Les SIG Métiers

Application de base nécessaire pour faire fonctionner un SIG territorial et/ou disposer d'une représentation

• Support de numérisation pour les applicatifs Métiers
• Assemblage numérique du fond de plan cadastrale avec attachement de la fiche MajicII à la parcelle
  1. adaptation du travail de michel Wurtz (edi2mif) pour générer des fichiers SQL pour Postgis ici appelé par un script schell pour traiter plusieurs communes.
  2. écriture en php d'une lecture des fichiers MajicII avec intégration dans postgréSQL et de l'application d'affichage par parcelle

Bien que le renseignement d'urbanisme n'existe plus légalement depuis la réforme, le maintien de l'application permet de renseigner rapidement un pétitionnaire, un marchand de biens ou un instructeur sur la réglementation PLU/POS et SUP

Suivi de toutes les opérations immobilières (restructuration, lotissement, …) dès leur connaissance par le service de l'urbanisme. Intègre le nombre de logement créé et démolie, l'année de livraison prévisionnelle.

Dans le cadre d'un programme d'aide au ravalement, outils de suivi des opérations nécessaires, souhaitables, … et réalisés

(En bêta)Permet à un notaire de saisir une demande reprenant les termes de l'imprimé directement sur le site de la commune. Informe l'instructeur par mail.

(Reflexion en cours)Remplace le RU mais demande une signature (électronique ??)

Enregistre la carte scolaire actuelle. Permet des simulations de nouveaux périmètres en géolocalisant les enfants via leur adresse (tient compte des dérogations), et projette sur 3 ans l'impact des programmes immobiliers.

Permet d'insérer ou de chercher un plan topographique ou de recolement. Retourne une fiche avec affichage du plan au format DWF et un lien vers le DWG.

Intègre les données Insee et permet leur interrogation sur des territoires propres à la collectivité (quartier, périmètre autour d'un établissement )

Le Service des Espaces Verts d'une collectivité a besoin d'avoir une connaissance fine de tous les éléments gérés par lui sur le territoire de la commnune. Parallèlement ce même service a besoin de suivre au jour le jour l'activité de ses agents sur le terrain.
Cela se traduit par deux outils potentiellement existants :

• un plan des espaces verts
• un outil de gestion de l'activité du service

Le gestionnaire de service a l'intuition qu'il peut “croiser” ces deux outils afin d'avoir un véritable outil de gestion et de connaissance de son patrimoine vert.
Cela est d'autant plus sensible que la superficie des espaces verts gérés est importante et que le personnel est nombreux.

Dans une collectivité concernée par ce genre de besoins, la donnée de base nécessaire existe bien souvent :

• Plan topographique
• Plan photogrammétrique
• Gestion de l'activité du service (tableaux Excel, base Access, applicatif de gestion)

S'il est correctement structuré (ce qui souvent est loin d'être le cas…), il permet notamment d'identifier les éléments renseignés de la façon suivante :

• arbres individualisés avec potentiellement deux attributs (résineux/feuillus, diamètre)
• Haies vives avec la largeur
• Limites de revêtement type pelouse, fleurs, stabilisé, broussailles, forêts

Il permet potentiellement d'extraire le même type d'informations avec cependant une classe de précission inférieure. Il a par contre le mérite de pouvoir être constitué rapidement et de posséder de l'information sur la cote Z.

Il s'agit souvent de tableaux excel détaillant le nombre d'heures travaillées par mois et par activité, comme ci-dessous par exemple:

Le tableau ci-dessus indique des heures passées outils en main. On imagine sans peine qu'on en déduit des ETP (Equivalent Temps Plein)qui ont une implication certaine en terme de coût de fonctionnement.

Au vu de l'inventaire des données existantes, on a l'intuition de l'intérêt de les croiser pour les faire “parler” de façon plus intelligible.

Parce que les surfaces, linéaires et ponctuels d'espaces verts sont tous qualifiés et que l'on peut les relier à un ensemble géographique particulier (rue, quartier, parc, secteur) par analyse spatiale par exemple, il est donc possible d'obtenir des coûts d'entretien par m², par type de plantation (massifs floraux, pelouse, zone boisée) et par type d'espace (avenue, parcs).
Cela peut permettre de mettre en exergue des phénomènes localisés dans l'espace (analyse thématique) qui seront plus facilement identifiables par un néophyte ou par un élu qui a besoin de documents parlants.

De la même façon, dans le cadre du suivi sanitaire des arbres, on peut visualiser sur une carte thématique les types de maladies les affectant.

Parce que je sais où sont localisées mes jardinières et mes jeunes arbres, je peux optimiser la tournée d'arrosage avec un outil adéquat.

Cette liste n'est bien sûr pas limitative et on peut imaginer des usages plus expérimentaux :

• parce que je connais tous mes espaces verts et leur peuplements (arbres, rosiers, pelouses, massifs floraux, stabilisé, béton, enrobé…) je peux peut-être connaître la capacité à absorber de grosses précipitations et ainsi leur capacité à réduire le ruissellement en zone urbaine.

Sauf erreur de ma part il n'existe pas d'applicatif tout prêt dans le cadre cité. Voici ce qu'un tel applicatif devrait permettre de faire :

• Saisie des heures travaillées rattachées à un ensemble géographique (rue, parc,sous ensemble d'un parc, arbre, ensemble d'arbres) avec au minimum qualification du type d'activité.
• Saisie des diagnostics sanitaires rattachés à l'arbre
• mise à jour de la géométrie des entités
• analyses thématiques
• production de rapports

Ces quelques fonctionnalités impliquent un SBGD unique, un client lourd (mise à jour de la géométrie), un client léger en environnement web avec interface cartographique interactive permettant de faire de la saisie alphanumérique sur les entités, de faire du requêtage (requêtes et rapport type pré-paramétrés pour un usage simple). Un client léger permet de délocaliser la saisie des informations au plus près des équipes terrains.

— Sisyphe 2008/08/04 13:23