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Bonjour,

La réponse à ce problème est la topologie.
Arcview n'étant pas topologique (la topologie est créée à la volée), il existe effectivement des écarts. Ce biais est limité par l'application d'une tolérance de capture lors de la création des entités.

Il faut aller dans les options d'édition pour appliquer cette tolérance selon l'unité employée ou en nombre de pixels... Ensuite dans l'environnement de capture, il faut définir cette tolérance aux noeuds, sommets, arcs des entités à considérer...

Pour réellement corriger ces écarts, la topologie doit être générée. Il faut cependant disposer au moins d'une licence ArcEditor pour le réaliser et corriger ces pb...

Bonjour,

A la mairie de Nice nous avions deja detecte ce probleme. La majorite des
gens vont repondre que de toute facon l'erreur est bien inferieure a la
precision de la donnees. Ce qui est vrai. Cependant, on perd la topologie.

En fait le probleme n'est pas un probleme de precision de donnees mais un
probleme de precision informatique de stockage des donnees, ce qui n'est
pas du tout pareil.

Le Shape de part sa structuration comporte une plus grande precision de
stockage des donnees que les donnees presentent dans les geodatabases. Or,
d'apres une reponse que j'ai recue d'ESRI, il semblerait que l'assistant
de geotraitement utilise le meme mode de gestion des coordonnees que la
geodatabase (stockage d'entiers).

Il faut donc effectuer les geotraitements a l'interieur des geodatabases.
Et plus precisement, dans le cas d'un geotraitement ou il y a une creation
d'un nouveau fichier, il semble necessaire d'effectuer le geotraitement a
l'interieur d'un jeu de classe d'entite, ou tout au moins d'enregistrer le
nouveau fichier dans un jeu de classe d'entite de la geodatabase. C'est un
tour de passe-passe qui evite bien des soucis. (Rien empeche ensuite de
sortir la classe d'entite du jeu de classe d'entite.)

Affin de resoudre definitivement ce probleme, la solution que nous avons
trouve est de "degrader" la precision de stockage pour tous nos fichiers
Shape. Pour cela il "suffit? d'importer les Shape dans une geodatabase en
specifiant bien la precision (par exemple 1000 pour une précision
millimetrique)  puis de re-exporter ces fichiers en Shape.  Cependant, vu
le nombre de fichiers que nous avons dans notre base, cette solution n'a
pas encore ete mise en place.

J'ai rapidement effectuer un test sur la version 9.1, et malheureusement
le probleme semble toujours exister.

Si vous obtenez d'autres informations sur le sujet je suis preneuse.


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Claire GUILLAUME
DCSIT - Direction Information Géographique - Mairie de Nice
email : claire.guillaume@texte-a-enlever.ville-nice.fr

Allons Ludovic,

Je sens que tu as perdu ta matinée...mais nous ne sommes que lundi!
Je ne connais qu'un seul éditeur fiable, celui de ma petite fille de 20 mois:
http://membres.lycos.fr/geogommette

Bruno

PS: je pense que nous étions bien jeunes quand le moteur de la version 3 est sorti.

Bonjour,

quelques précisions... ArcGIS est développé selon trois niveaux fonctionnels que sont ArcView, ArcEditor et ArcInfo.

ArcView est un outil adapté pour la cartographie, les géotraitements de base, les requêtes ... Il gère très bien le shape mais pas du tout la topologie.

Donc le problème n'a effectivement rien à voir avec le poids du fichier ni le nombre d'entités créées. C'est une question de structuration. Si on veut une précision de ce niveau, il faut passer d'un modèle géométrique à un modèle topologique et se doter des outils comme ArcGIS ArcEditor ou ArcInfo. La topologie permet d'appliquer un certain nombre de règles définies en amont de la création d'information. Elle gère les relations entre les entités dans l'espace. La structure de données adaptées est la couverture et non plus le shapefile. En analyse spatiale, les grilles sont par contre entièrement topologiques ...

Cordialement,

Arnaud