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Bonjour,

en première approximation, comme il est impossible d'ajouter de l'information à une donnée de précision 1 m, par exemple, je ne vois pas d'autre solution que généraliser (au sens cartographique) les données les plus précises, ie. les aligner sur la précision la plus faible.

Cordialement

Bonjour à tous les deux, merci pour vos réponses.

Nous avons déjà réalisé la découpe des couches anciennes avec les nouvelles (tout en gardant l’information des deux couches), ce qui nous permet d'observer des zones de changement. Le problème c'est qu'il est alors impossible de savoir si le changement de surface du recouvrement des habitats est dû à un réel changement surfacique (progression ou régression) ou uniquement dû à un gain de précision inféodé à la méthode.

Ou alors je n'ai pas exactement saisi ce que vous proposez de faire ?

Merci pour l'idée de généralisation, je n'y avais pas pensé. A voir ce que ça donne en trouvant le bon réglage sans trop lisser non plus et avoir l'effet inverse.

Je me demande si il n'est pas possible également de calculer une sorte de valeur seuil qui permettrait de dire si dans un cas ou un autre, la différence de recouvrement peut être attribué à un vrai changement de l'habitat ou à la méthode.

Il est assez clair que même avec une précision variant de 2m et 5cm, si on observe le recul d'un habitat de 20m par exemple, on peut dire sans trop se tromper que cela n'est pas dû simplement à une différence de méthode. Plus compliqué à dire à vue de nez pour un recul observé de 2m. Mais je ne m'attend pas à des miracles, la données est ce qu'elle est !

Merci en tout cas, bonne fin de journée,

Bonjour,
Oui oui, c'était très clair, le terme méthode était peut-être mal utilisé, je faisais référence à la méthode d'échantillonnage (résolution de la photo).
J'ai bien conscience de la logique de ne pas pouvoir gagner en précision à partir de données peu précises.

Cordialement,

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Thomas