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Bonjour,

Je souhaite apporter la contribution suivante

En premier lieu, cerner le besoin. A un moment,  il faut bien se créer sa
bibliothèque d'objets (en général sur Autocad) avec points d'accroche et
nomenclature. Ce prototype sera livré au prestataire. On peut décrire dans
le CCTP des recommandations de levés pour les objets lignes, points,
symbole. L'essentiel est d'avoir construit cette base d'objets. On peut
ensuite différencier différents types de levés comme milieu urbain, milieu
rural et descendre dans les sous types. Exemples : voie de différentes
catégories selon la largeur, le stationnement, la circulation, les petits
jardins privatifs en façade ... pour l'urbain. Pour le rural,
accessibilité, pente, broussaille ........ L'analyse du besoin est donc
capitale pour définir le lévé (en vue d'aménagement, de profil, levé de
récolement, intégration au SIG, de gestion de réseau, d'élargissement ...
etc ...). Ce besoin aboutit à une description et à des précisions pour les
données : et c'est à cela que le prestataire va répondre, par exemple en
donnant un coût à l'hectomètre (ou hectare) par type de levé.
En tout cas c'est dans ce sens que va le nouvel arrêté sur les classes de
précision du 16/09/03 que les donneurs d'ordre sont censés appliquer et
faire appliquer. On publiera très prochainement, le nouveau cahier des
charges topo de la ville de Nice (octobre 2005) intégrant ces nouveaux
concepts, et ce comme entendu avec le CNIG.
La mise en place d'un test soit DAO, soit Levé + DAO pour le choix peut
s'avérer judicieuse. Comme de prévoir un contrôle des prestations dans le
marché (là encore c'est imposé par le nouvel arrêté).
Aujourd'hui il convient aussi de prévoir le rattachement (également
obligatoire) en Lambert 93 (c'est bientôt obligatoire) et les projections
complémentaires qui arrivent (normalement second semestre 2005) .... Donc
il faut connaître l'état du canevas, l'existence de station GPS RGP, le
projet TERIA ... pour faciliter le rattachement.
Enfin, il faut prévoir la récupération et l'intégration des données dans
le SIG, leur diffusion aux clients, puis la gestion dans le temps : il
faut encourager le partenariat avec d'autres acteurs locaux .........
Donc il y a du taf autour d'un marché de topos, de la réflexion, de la
stratégie, de la connaissance métier et besoin, de la veille
réglementaire, de la technologie : je recommande donc de bien s'y pencher
en s'intéressant vraiment au métier, pour mieux se lancer ensuite.
Selon moi, la communication d'un cahier des charges peut se faire si nous
sommes bien dans cet esprit.


Denis DELERBA
Mairie de Nice
Information Géographique
e-mail : denis.delerba@texte-a-enlever.ville-nice.fr
Animateur national GT SIG Topo de l'AITF

Bonjour,
nous avons élaboré un CCTP pour un marché de géomètre,
cependant, afin de l'affiner ou de le corriger, je recherche également un exemple concret sur lequel appuyer notre reflexion.
En vous remerciant par avance