Le portail francophone de la géomatique

Merci pour votre réponse rapide.

Cdt

Laurent

Bonjour,

Pour compléter la réponse de Christophe, et sans la remettre en cause, à partir de la base "CADASTRE", une solution plus pertinente est de créer une jointure sur les références cadastrales (CODCOM+Section+Numparc) entre la table PARCELLE et la table BATI et de faire une requête non sur l'adresse des PARCELLES mais sur l'adresse des BATIMENTS.
Je ne connais pas les fonctionnalités de VisDGI: j'ignore s'il permet cela (j'ai cru comprendre que l'outil est totalement verrouillé).
Pour info complémentaire, les adresses des batiments et celles des parcelles d'assise peuvent être différentes: MAJICII, il me semble n'établit pas de lien (ou de modification automatique) entre une adresse de batiment et une adresse de parcelle.

JM Le Barh

Bonjour,

Nous ne parlons pas ici de l'utilisation d'un SIG mais de l'utilisation d'une base de donnée.
Les agents des CDIF utilisent les données cadastrales sous deux forment:

MajicII pour les mises à jour, vieille base de donnée hiéarchique datant des années 80.

VisDGI (version service) qui est en fait une interface de visualisation d'une Base relationnelle MS ACCESS (apparement écrite en VB6+DAO3.6). Une base par commune protégée par un mot de passe spécifique invisible à l'utilisateur.

Le produit est effectivement totalement verrouillé, il ne comporte aucune fonctionnalité de type requête, seules les requêtes prédéfinies limitées aux entités d'entrées classiques (propriétaire, parcelle, lot,local,adresse)  sont présentes.
Les liaisons (relations) entre ces entités semblent de plus ne pas être exempt d'erreurs et les contrôles d'intégrité des liens semblent absents. On peu en effet obtenir dans certains cas des résultats différents suivant que l'on rentre par le local, la personne, ou la parcelle. Le local n'est pas par exemple référencé par la même parcelle d'assise suivant que vous entriez par le propriétaire ou le local.

Concernant la "commercialisation" des données, la DGI les vends (coût de production des données) aux partenaires signataires des conventions de numérisation ou les organismes à mission de service publique qui en font la demande, leurs utilisation est soumise à une autorisation de la CNIL. Elles se présentes sous la forme de fichiers texte qui contiennent l'extraction des données de la base MajicII. Toute la problémlatique est ensuite de l'intégrer dans une BD relationnelle pour pouvoir exploiter et analyser ces données.

Ci-joint une esquisse de modélisation des données cadastrales permettant une intégration dans un SGBR.

Je crois effectivement que majic ne fait pas de lien entre l'adresse de la parcelle et celle du local au sens ou il n'oblige pas l'adresse du batiment d'être un sous-ensemble de l'adresse de la parcelle d'assise , ce concept étant à mon sens difficile à mettre en place. D'une manière générale le concept d'adresse est utilisé pour un local ou pour un propriétaire, les parcelles elles sont gérées depuis leur identifiant (section + num parcelle), je parle ici des habitudes de consultation de la base par les agents des CDIF.

A+

Christophe

Bonjour,

Pour le fichier exemple, une précision:

Il existe toujours un Lot, codé avec un N° spécial (par exemple "*") , qui est la parcelle.
Exemple si une parcelle n'est pas contenante d'une PDL alors il y a uniquement le lot "*".
Si une parcelle contient trois lots alors nous avons:
Lot *
lot 1
lot 2
lot 3

Ce lot spécial permet d'établir les relations: local parcelle, propriétaire parcelle etc ...

A+

Christophe