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Bonjour,

Le problème est que si nous (utilisateurs) savons dans quelle projection se trouve nos données (et encore, pas toujours !), le logiciel ne le sait pas car pour la plupart des formats il n'y a rien de définie sur la manière de le faire. Notamment les format MapInfo et Shape. pour ce dernier il y a bien le fichier prj mais son contenu n'a jamais été définie par ESRI contrairement au format des fichiers SHP et SHX. Par conséquent, le fichier prj n'est pas suffisant pour être certain que QGIS retrouve la projection des données.

Ce problème n'existe pas dans des tables de bases de données  car le système de coordonnée est définie avec les données (dans PostGIS il y a la vue/table geometry_columns ou dans les données elle même).

QGIS lors de la sauvegarde crééun fichier qgp qui stocke la projection dans le format lisible par QGIS (le même que celui géré par la lib proj4 via GDAL-OGR). Le fichier prj, s'il a été créé par un logiciel propriétaire, ne sera probablement pas compatible avec ce format, et juste pour des petits détails mais qui ne sont pas facilement traitable par un logiciel.

Il y a eut un travail de fait pour améliorer la compatibilité entre des ceux formats dans GDAL (de mémoire) donc il se pourrait que ca s'améliore dans le temps (out pas).

Lors de l'ouverture des données dans QGIS il est primordiale de vérifier la projection et l'encodage des caractères avant d'aller plus loin. La reprojection à la volée active juste la fonction qui permet de reprojeté les données du système de coordonnée source vers celui du projet (s'il est différent).

Dans QGIS 2.0 vous avez la possibilité d'activer dans les options la reprojection à la volé si et seulement si deux couches ont des SCR différents.

Y.