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Contact : patrick.mordelet@texte-a-enlever.univ-tlse3.fr

ATER Temps Plein 12 mois (charge d’enseignement de 192 h eq TD)
Intitulé du profil : SIG
Section CNU : 67
Département d’enseignement : Biologie & Géosciences
Mail directeur / directrice de département : fsi-dptbg-dir@texte-a-enlever.univ-tlse3.fr
Lieu d’exercice : Université de Toulouse, Faculté Sciences et Ingénierie
Campus sciences Toulouse

Filières de formations concernées :
Licence Sciences de la Vie, parcours BBE (Biodiversité et Biologie
Environnementale)
Master Biodiversité, Ecologie et Evolution (BEE)

Objectifs pédagogiques et besoins d’encadrement :
La personne s’impliquera en deuxième (L2) et troisième (L3) années de Licence dans les
modules visant à exposer les principes et approches de l’écologie quantitative, de l’évolution et
ou de l’écologie (TD et TP).
Au niveau du Master 1, il s'agira de renforcer les équipes pédagogiques des différents parcours
(CM, TD et TP).
De bonnes connaissances en SIG sont requises.

Nom du laboratoire d'accueil : CESBIO
Laboratoire d'accueil (Type UMR, URU, etc…) : UMR 5126
Mail directeur/directrice de laboratoire : valerie.demarez@texte-a-enlever.univ-tlse3.fr
Nombre d’enseignants-chercheurs au sein du laboratoire d'accueil : 14
Nombre de chercheurs au sein du laboratoire d'accueil : 33 (sans compter les IR)

Activités de recherche du laboratoire (10 lignes maximum) : le CESBIO
est une unité mixte de recherche (UT/CNES/IRD/CNRS et USC avec INRAe).
Il étudie le fonctionnement des surfaces continentales dans un contexte de
changements globaux . Ces recherches reposent sur 3 pilliers : la modélisation
des surfaces ( bilan d’énergie et gaz à effet de serre), l’instrumentation et le
suivi d’observatoires (le CESBIO porte un SNO dans le Sud-Ouest de la France
et un observatoire au Maroc (IRD)) , et l’exploitation de données de
télédétection. Le CESBIO est porteur des plusieurs missions spatiales du CNES et de l’ESA.

Descriptif du projet de recherche (20 lignes maximum) : L'objectif de ce
recrutement est de renforcer et d’enrichir, au laboratoire, les activités en
écophysiologie forestière en lien avec les observations récentes de
dépérissement des forêts déclenché par des augmentations de températures
et des périodes de sécheresse prolongée.
Les recherches viseront à
(1) comprendre et caractériser la diversité des réponses physiologiques au
déficit hydrique des arbres dans le contexte actuel de changement global
en abordant l’étude dynamique (i) du fonctionnement hydrique (circulation
de la sève brute et dysfonctionnements hydrauliques, régulation
stomatique, anatomie fonctionnelle du bois, etc…) et (ii) des relations
sources-puits (photosynthèse, dynamique de croissance, allocation,
réserves, etc…).
(2) Identifier les variables biophysiques et variables de structure pertinentes
accessibles via les différents capteurs spatiaux (proxy détection et missions spatiales).