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Bonjour,

Je dirais 1, pour des raisons essentiellement topologiques. Dans la mesure où la nature géométrique (point, ligne, polygone) de l'objet A n'est pas déterminée, on ne peut pas a priori l'associer géométriquement à la zone tampon (polygone) qui sera créée. Mais le problème n'en est pas vraiment un, puisque si l'objet A est un point ou une ligne, la zone tampon l'incluera forcément, mais sans se confondre avec lui.
Avec un polygone, la zone tampon reste la zone tampon, extérieure à l'objet initial. Vous pouvez les fusionner pour obtenir un nouvel objet, qui ne sera ni A ni "tampon de A", mais "A + tampon". Il peut d'ailleurs être intéressant de pouvoir déterminer si un objet tiers se situe dans A ou dans le tampon de A. Il faut bien pour cela que ce soit des entités différentes.

Cordialement

Guillaume

Bonjour,

Si la surface de l'objet est important (si l'impacte sur l'environnement avoisinant est de 100 mètres à partir des bords de cet objet), faire un tampon à partir de son centroïde (cas 1) me semble faux, il serait plus juste de faire une zone tampon de 100 mètres à partir des limites de cet objet :
Je vote donc 2 :-)

Hello,

Je ne suis pas sûr d'avoir compris la même chose que vous. Pour moi la question était la suivante : après avoir généré un tampon autour d'un objet, ce qu'on appelle zone tampon est-il l'objet initial et le périmètre défini par le tampon ou seulement ce périmètre. J'ai trop bu ?

Guillaume

Oups ! erreur de compréhension, je reviens sur mon vote :

je pense que l'objet A peut être défini comme l'élément "perturbateur" et que la zone tampon est l'espace "perturbé" par A : ces deux objet sont donc deux entités à distinguer.
Je revote donc (;-) et je vote 1