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Ou bien nous montre sa réactivité ?

Je ne pratique pas assez (pour ne pas dire pas du tout) la dernière version d'ArcGIS pour savoir si les bugs de la dernière version existaient avant, ne sont issus que de nouvelles fonctionnalités, ou sont des bonus qui apparaissent à la place de fonctions opérationnelles.

Si les nouvelles versions n'altèrent pas les fonctions déjà existantes, je trouve ça très bien. le nombre de versions n'est pas forcément un signe de faiblesse. Les nouvelles fonctions doivent être compatibles à toutes les utilisations, mêmes celles non prévues par les développeurs, et aussi compatibles à toutes les configurations matérielles. C'est un immense travail.

Par contre ce qui est dommage c'est la présence de bugs signalés depuis fort longtemps, ou alors des bugs corrigés par un outils ArcToolBox sans que l'outil défaillant soit supprimé. Les dernières modifications que j'ai vu faisaient très sparadrap. C'est ça que je trouve vraiment dommage. Livrer de nouvelles fonctions pas totalement performantes, cela peut passer, quand ça marche, on est toujours content.

Bonjour,

J'exporte souvent des cartes en format extra-large, avec des résolutions au-delà de 300dpi.

Avec de la transparence, il est vrai que les couches sous-jacentes seront rasterisées, avec les conséquences que cela implique en terme de ressource sur la machine.

L'astuce, c'est de paramétrer un format d'impression par défaut dans Windows (dans les Propriétés d'Imprimantes) un format plus grand que toutes cartes faites afin de ne jamais avoir de problème à l'export ou à l'impression. Par exemple, j'utilise PrimoPDF, gratuit, avec des dimensions de 91.4 cm x 200 cm.

Toutefois, toutes applications dans windows utilisera cette imprimante par défaut alors il faut bien penser à choisir une imprimante lors d'un impression dans Word, Excel ou autres par la suite.

Voir l'article ESRI attaché.