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Bonjour,

Je dirai qu'il s'agit d'un cas d'utilisation, ou une des problématiques de l'utilisation des fichiers majicII.

Ce qu'il faut savoir c'est que du fait même de la nature du système, les règles d'intégrités dans les relations sont dépendantes de la façon de saisir les données. Il n'y a pas de contrôle strict pour certains enregistrements, par exemple la liaison adresse-parcelle , deux parcelles contiguës peuvent être référencées à deux adresse différentes une l'adresse exacte normalisée, l'autre au lieu-dit. La seule contrainte de saisie étant de mentionner une adresse existante dans le fantoir. Et généralement l'adresse saisie est celle mentionné dans l'acte notarié qui elle n'est pas forcément normalisée, c'est la même chose pour l'adresse des locaux, où là l'adresse est celle inscrite par le propriétaire sur sa déclaration H1 ou H2.

A+

Bonjour,
Pour donner d'autres pistes, ou d'autres réserves à l'utilisation des fichiers MAJIC II, pour rappel (cf guide MAJIC II)
- les données ont un but fiscal : calculer l'impôt ou la base de l'impôt (TF dans notre cas) en identifiant et localisant le bien à imposer (le batiment, la parcelle) et adresser l'impôt au bon contribuable (le propriétaire pour la TF, sauf exception.

Sachant que la fiscalité sur le non bati (parcellaire) est de plus en plus accessoire (sauf cas particuliers) , la mise à jour des informations relatives aux parcelles est très limitée (notamment pour ce qui concerne les adresses des parcelles).

un exemple: des parcelles à lotir issues de la division d'une parcelle agricole héritent automatiquement de l'adresse de la parcelle-mère. Par contre, une fois ces parcelles baties, et l'ensemble des bâtiments identifiés dans MAJIC II, elles n'héritent pas des adresses des batiments créés.
Par contre le bati est relativement bien renseigné, l'adressage des propriétaires également.

Une astuce, s'il s'agit de créer un référentiel adresse :
- faire une jointure parcelle/bati pour "injecter" l'adresse du bâti à la parcelle, et utiliser cette adresse plutôt que l'adresse de la parcelle.
Attention, il peut ne pas y avoir unicité, s'il existe plusieurs bâtiments sur la même parcelle.
Vous pourrez ensuite créer un référentiel adresse sur le centröide de vos parcelles, voire de vos batiments (graphiques).
Autres solution : coder le point adresse du fichier EDIGEO par un buffer (2 m par ex) en récupérant l'adresse codée à la parcelle ci-dessus avec une clause TEX/point= numvoie/requête ci-dessus.
Ces solutions marchent relativement bien en zone urbaine, et beaucoup moins en zone rurale ou en zones d'activités, ou les adresses sont peu codifiées ("fictives" au sens cadastre).
Et n'hésitez pas à lire le guide MAJIC II, et à le diffuser (la partie principale au moins) auprès de votre hiérarchie.
Cordialement

Bonjour,
J'avais commencé un post sur une question un peu similaire, je n'avais pas vu cette discussion.
J'ai bien imaginé la question du buffer pour affecter les numéros complémentaires aux parcelles à partir du point adresse du fichier edigeo, cependant, ça ne marche absolument pas pour les parcelles en angle. En effet, il y a alors 2 rues... On pourrait imaginer de prendre la rue la plus proche du point, mais en fait, ce n'est pas toujours le cas et donc là encore, j'ai beaucoup, beaucoup d'erreurs.
Y a t il un autre moyen de faire un lien entre ces numéros et les noms de rue?
merci de vos réponses