Le portail francophone de la géomatique

C'est precisement la que la bas blesse... me semble-t-il en tout cas...
Essayer de circonsrir, meme, approximativement ce qu'est le secteur de
l'information geographique francais (ou geomatique comme l'on veut, pour
peu que l'on s'entende un jour sur ce que l'on y met), quel est son poids
economique, qui en sont les joueurs, etc., enfin ce que bon nombre de pays
industrialises , les Nords quoi, sont capables de produire aujourd'hui
avec precision, releve encore de la methode boule de cristal dans notre
bon pays... empetre qu'il se trouve dans un debat public-prive qui ne cesse
de reinventer les memes querelles trop souvent steriles periodiquement,
d'un rapport Lengagne 84 a un rapport lengagne 99.

Je suis d'accord avec Henri Pornon, quel interet autant d'energie developpee
si les choses ne bougent pas, ou si pire encore, les dynamiques decriees
perdurent... Mais que fait la police !!! La ou le secteur geomatique est
fleurissant, la ou l'on est capable de repondre clairement et simplement aux
etudiants s 'interrogeant sur le marche a prospecter pour rechercher un
emploi, c'est precisement les pays pourtant souvent beaucoup mois jacobins
que le notre, dans lesquels l'etat a su orchester un developpement coordonne
de ce secteur d'activite, articulant developpement du secteur prive et
amelioration du service public, le second etant difficielment dissociable
du premier. S'il existe pourtant un domaine d'activite propice a ce type
d'initiative, c'est bien celui de l'information geographique. Certes il a le
defaut, je vous l'accorde, d'etre trop transversal pour beaucoup, dans une
France si verticalement raidie ...

Sans doute faut-il laisser du temps au temps, mais pour le coup, le marche
international sera deja sature que la France n'aura troujours pas digerer la
numerisation de son plan cadastral... la suite au rapport Lengagne 2014...


Stephane Roche