Le portail francophone de la géomatique

Bonjour

Ce qui est surtout intéressant dans cet article ce que d'un côté l'auteur se pose des questions sur les conditions d'utilisation pour Google Maps (je cite "Si l’on prend ces conditions d’utilisation au sérieux le géocodage de grands fichiers d’adresses devient long et difficile et l’utilisation que l’on pourrait faire ensuite des données géocodées est limitée.") mais ne s'en pose aucune pour l'utilisation des données OSM (licence ODBL) ou BAN (licence de repartage).
C'est dommage, car l'intérêt de passer par les solutions "non-Google" c'est l'accès simple aux données adresses, mais aussi le fait que le repartage permet d'améliorer le bien commun.
En caricaturant, on a l'impression que dans cet article l'intérêt du "non-Google" c'est juste de pouvoir bidouiller dans son coin sans rien demander à personne.

Cordialement

Intéressant, cette démo en béta.

Y a t il plus d'info sur la future disponibilité/mise en ligne "officielle" ?

Bah, c'est facile :du geocodage efficace, pertinent, rapide, gratuit et massif

Bonjour,
Et ceci : https://adresse.data.gouv.fr/tools/
Ne devrait-il pas devenir le géocodeur "officiel" ?

Bonjour,
C'est vrai que j'aurais sans doute dû rajouter un point plus explicite pour mettre en perspective "philosophiquement" l'utilisation d'OSM par rapport à celle de Google Maps.
Cet aspect est bien entendu un élément majeur de ma démarche dans ce post.
En proposant du code open source (package R) pour interagir avec une API open source (photon) sur les données OSM (licence ODbL) j'ai quand même l'impression de m'inscrire dans une démarche de partage, et de la promouvoir, plutôt que d'inciter à "bidouiller dans son coin".
Pour rendre tout cela plus clair j'ai édité le post initial pour rajouter quelques références sur l'intérêt spécifiquement open data d'OSM.

Timothée