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bonjour
je ne sais pas si ma méthode est académique,
mais en principe tu ouvres un xls dans QGIS, tu fais ensuite une jointure avec ta couche géoréférencée et tu peux ainsi faire évoluer ta carte sur cette couche.
A chaque réouverture de ton projet la couche va aller interroger dont xls mis à jour, et seulement à ce moment là mettra à jour ta carte, ce ne sera pas dynamique.
par contre l'inverse je crois ne marche pas, tu peux faire un jointure à partir de xls vers une couche il faut alors exporter en xls mais pas sur que cela garde des autres onglets de classeur si tel est le cas

en fait en écrivant je me dit quel est l'intérêt d'alimenter à partir d'une fiche xls ?

LJ

Bonjour,

Manipuler le dbf d'un shapefile avec Excel est une très mauvaise pratique : la perte de données et de lien entre géométries et attributs est plus que probable en cas d'édition avec Excel.

Peut-être regarder du côté des extensions 'ExcelSync' et/ou 'Spreadsheet layers' ?

Bonne journée.

Bonjour,

Pour qu'une couche soit utile dans QGIS, il faut qu'elle ait une géométrie. Le sens de jointure est donc toujours : vous rapprochez les champs du Excel sur la couche ShapeFile.

Pourtant, lorsque vous paramétrez la jointure dans QGIS, si vous cochez « Table jointe modifiable » et « Mise à jour et insertion », vous pourrez modifier les champs joints lors d'une session d'édition de la couche ShapeFile.

Il faut également que la couche source des champs joints soit modifiable ; pour une source de donnée Excel, assurez-vous que la feuille à modifier soit très simple (en-têtes en 1ère ligne, même type de donnée dans une même colonne, pas de formules) (vous pouvez faire les calculs dans une autre feuille).

Assurez-vous enfin que les champs du ShapeFile ne dupliquent pas ceux du Excel, sinon il faudra les saisir deux fois (à moins d'assigner aux champs joints une valeur par défaut dynamique qui duplique la valeur saisie pour le champ ShapeFile correspondant).

Cordialement,