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Éléments récents
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9:30
La végétalisation de Paris vue au travers d’une carte : une capitale verte ?
sur MappemondeCet article s’intéresse à un dispositif cartographique en ligne proposant de visualiser les projets de végétalisation urbaine entrant dans la politique municipale parisienne. Avec une approche de cartographie critique, nous montrons comment la construction de la carte, et en particulier le choix des figurés et la récolte des données, participe à donner à la capitale française une image de ville verte. Le mélange de données institutionnelles et de données contributives composant la carte du site web Végétalisons Paris traduit l’ambiguïté de la politique de végétalisation parisienne, entre participation citoyenne et instrumentalisation politique.
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9:30
Géopolitique de l’intégration régionale gazière en Europe centrale et orientale : l’impact du Nord Stream 2
sur MappemondeDépendante des importations de gaz russe, l’Union européenne tente de diversifier ses approvisionnements depuis la crise gazière russo-ukrainienne de 2009. En Europe centrale et orientale, cette politique se traduit par un processus d’intégration régionale des réseaux gaziers. Planifié depuis 2013, ce processus n’a pas connu le développement prévu à cause des divisions engendrées par le lancement du projet de gazoduc Nord Stream 2 porté par Gazprom et plusieurs entreprises énergétiques européennes. Ainsi la dimension externe de la politique énergétique des États membres a un impact sur la dimension interne de la politique énergétique européenne.
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9:30
Les Petites Cartes du web
sur MappemondeLes Petites Cartes du web est un ouvrage de 70 pages de Matthieu Noucher, chargé de recherche au laboratoire Passages (Bordeaux). Il s’adresse à un public universitaire ainsi qu’à toute personne intéressée par la cartographie. Son objet est l’analyse des « petites cartes du web », ces cartes diffusées sur internet et réalisées ou réutilisées par des non-professionnel?les. Elles sont définies de trois manières :
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historique, comme des cartes en rupture avec les « grands récits » de la discipline ;
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politique, comme des cartes « mineures », produites hors des sphères étatiques et dominantes ;
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technique, en référence aux « petites formes du web » d’É. Candel, V. Jeanne-Perrier et E. Souchier (2012), participant à un « renouvellement des formes d’écriture géographique ».
Ce bref ouvrage, préfacé par Gilles Palsky, comprend trois chapitres. Les deux premiers, théoriques, portent l’un sur la « profusion des “petites cartes” » et l’autre sur l’actualisation de la critique de la cartographie. L...
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9:30
L’Amérique latine
sur MappemondeEn choisissant de commencer son ouvrage par la définition du terme « latine », Sébastien Velut donne le ton d’une approche culturelle et géopolitique de cette région centrale et méridionale du continent américain. Grâce à une riche expérience, il présente ce « grand ensemble flou » (p. 11), ce continent imprévu qui s’est forgé depuis cinq siècles par une constante ouverture au Monde. L’ouvrage, destiné à la préparation des concours de l’enseignement, offre une riche analyse géographique, nourrie de travaux récents en géographie et en sciences sociales, soutenue par une bibliographie essentielle en fin de chaque partie. L’exercice est difficile mais le propos est clair, explicite et pédagogique pour documenter l’organisation des territoires de l’Amérique latine. En ouverture de chaque partie et chapitre, l’auteur pose de précieuses définitions et mises en contexte des concepts utilisés pour décrire les processus en œuvre dans les relations entre environnement et sociétés.
En presque 3...
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9:30
Les cartes de l’action publique. Pouvoirs, territoires, résistances
sur MappemondeLes cartes de l’action publique, ouvrage issu du colloque du même nom qui s’est déroulé en avril 2018 à Paris, se présente comme une recension de cas d’étude provenant de plusieurs disciplines des sciences sociales. Sociologues, politistes et géographes proposent au cours des 14 chapitres de l’ouvrage (scindé en quatre parties) une série d’analyses critiques de cartes dont il est résolument admis, notamment depuis J. B. Harley (1989), qu’elles ne sont pas neutres et dénuées d’intentionnalités. Cette position, assumée dès l’introduction, sert de postulat général pour une exploration de « l’usage politique des cartes, dans l’action publique et dans l’action collective » (p. 12).
Les auteurs de la première partie, intitulée « Représenter et instituer », approchent tout d’abord les cartes de l’action publique par leur capacité à instituer et à administrer des territoires.
Dans un premier chapitre, Antoine Courmont traite des systèmes d’information géographique (SIG) sous l’angle des scien...
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9:30
Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur MappemondeL’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
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9:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur MappemondeLes classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.
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9:00
Migration d'un site Drupal 7 en Drupal 10
sur Makina CorpusTrucs, astuces et "bouts" de code pour migrer votre site web de Drupal 7 à Drupal 10. Compte-rendu d'une conférence donnée au Drupalcamp Rennes 2024.
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1:04
Highly Artificial Locations
sur Google Maps ManiaToday, a revolutionary new AI-powered map has been released that goes beyond traditional navigation. The new map-based search engine Highly Artificial Locations leverages cutting-edge artificial intelligence to transform how users experience and interact with the world around them.Highly Artificial Locations is more than just a map; it’s an intelligent companion that empowers users to explore
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12:00
Mappery: Mapped It!
sur Planet OSGeoMatt Malone said “Gonna make a wild guess that one of my fellow surveying or GIS colleagues here in Michigan has this awesome plate that I spied recently.”
On the edge of being a Map in the Wild, no doubt some will want to draw the line somewhere else.
MapsintheWild Mapped It!
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11:26
Rapport de la Commission européenne sur la cohésion des territoires
sur Cartographies numériques
La Commission européenne a publié en mars 2024 son 9e Rapport sur la cohésion économique, sociale et territoriale de l'UE. Le rapport est agrémenté d'un outil de cartographie interactive en ligne. Les données sont disponibles en téléchargement pour une analyse plus approfondie. Il est possible de faire des comparaisons avec les rapports précédents qui datent de 2017 et 2021.
Depuis sa création, l'Union européenne repose sur un idéal de solidarité, d'égalité des chances et de cohésion. En 1957, le Traité de Rome s’était fixé pour objectif de « réduire les différences existant entre les différentes régions et le retard des régions les moins favorisées ». Vingt ans après l'élargissement de 2004, la politique de cohésion de l'UE a conduit à une convergence remarquable. Dans l’ensemble des pays d’Europe centrale et orientale, le revenu par habitant est passé de 52% de la moyenne de l’UE en 2004 à près de 80% aujourd’hui. Dans le même temps, leur taux de chômage est passé de 13% à 4%.
Le rythme de la convergence économique a cependant fortement ralenti après la récession de 2009, qui a eu un impact majeur sur la convergence, l’investissement et le PIB. Dans ce contexte difficile, la politique de cohésion a joué un rôle central dans l’amélioration globale des indicateurs économiques, sociaux et de l’emploi. La politique de cohésion de l'Union européenne joue un rôle clé en soutenant les investissements publics. Au cours de la période 2014-2020, cette politique a représenté près de 13 % de l’investissement public total dans l’ensemble de l’UE, et 51 % dans les États membres les moins développés. Ces investissements ont renforcé le modèle de croissance européen, stimulant la croissance économique conformément aux priorités politiques clés de la double transition vers l'innovation, les entreprises et les compétences, de la garde d'enfants, de l'éducation et de la santé à la protection contre les catastrophes naturelles. Toutefois, des défis subsistent, des potentiels inexploités ainsi que des poches de pauvreté se maintiennent dans chaque pays. Alors que la France fait partie des pays plutôt prospères, sa trajectoire de croissance semble avoir beaucoup ralenti dans la période 2001-2021 comme le montre la carte.Les changements démographiques vont affecter toutes les régions de l'UE au cours des prochaines décennies. Les régions européennes devront s’adapter à une main-d’œuvre en diminution et à une population vieillissante. Les défis ont tendance à être plus aigus dans les régions rurales et faiblement peuplées. De même, les effets de la transition numérique et du changement climatique sont susceptibles d’exacerber les disparités régionales au sein de l’UE. Dans ce contexte, la nécessité d’assurer la cohésion économique, inscrite dans l’UE depuis le Traité de Rome de 1957, reste plus que jamais d’actualité.
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Cartes et données sur l'enseignement et la formation en Europe (source Eurostat)
L’inégale abordabilité du logement dans les villes européennes (Cybergéo)
Surmortalité attribuée à la chaleur et au froid : étude d'impact sur la santé dans 854 villes européennes
Cartes et données sur la disparition des oiseaux en Europe
Guide de visualisation de données (Office des publications de l'Union européenne)
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11:14
The Easter Bunny's Egg-cellent Adventure
sur Google Maps ManiaThis year the Easter Bunny has been on a whirlwind world tour, hopping from continent to continent and hiding eggs in some of the most amazing places on Earth! Take part in the world's largest egg hunt today by visiting the Tripgeo Global Egg Hunt.Are you ready to undertake a global egg hunt? If so grab your basket and get ready to embark on a virtual adventure of some of the world's most
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11:00
Mappery: Tad’s Montana Tablecloth
sur Planet OSGeoEric Lund sent this to me, it’s a paper ‘tablecloth’ with a map of the Yellowstone area at Tad’s Montana Grill in Bozeman, Montana. Note the fruity cocktails while studying the elegant cartography.
MapsintheWild Tad’s Montana Tablecloth
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18:25
Appel à commentaires pour le standard adresse jusqu'au 17 mai 2024
sur Conseil national de l'information géolocaliséeAppel à commentaires pour le standard adresse jusqu'au 17 mai 2024
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14:59
L’utilisation des données de télédétection au CESBIO
sur Séries temporelles (CESBIO)Plusieurs centres d’accès aux données sont en train d’être renouvelés au CNES, à l’ESA, et il manque souvent dans les premières versions des caractéristiques dont nous aurions besoin. Avec des collègues du CESBIO, nous avons fait une présentation au CNES de la manière dont nous utilisons les données. Voici une version écrite de cette présentation.
Bien évidemment, il y a autant de manière d’utiliser les données qu’il y a d’utilisateurs, mais nous pouvons cependant trouver quelques motifs récurrents chez tous les utilisateurs du CESBIO.
Et vous, comment utilisez vous vos données ? N’hésitez pas à préciser dans les commentaires de l’article. Il y a certainement d’autres modes d’utilisation que les nôtres, tout aussi efficaces.
Quels utilisateurs ? Les utilisateurs de données du CESBIO devant le laboratoireAu CESBIO ou chez nos proches collègues, nous avons différents types d’utilisateurs :
- Des scientifiques compétents en informatique, capables de développer leurs applications et de gérer le passage à l’échelle de ces traitements sur de grands territoires
- Des scientifiques non spécialistes de codage, mais capables d’écrire des scripts, qui s’intéressent uniquement à une ou plusieurs AOI, éventuellement sur plusieurs années et avec plusieurs capteurs, qu ont besoin d’aide pour le passage à l’échelle
- Des scientifiques peu à l’aise avec le codage, ou qui n’en ont plus le temps (vous m’avez reconnu ?), et qui préfèrent des outils où l’on utilise des lignes de commandes déjà toute prêtes, voire même où l’on clique.
Finalement, nous travaillons rarement comme le montre l’illustration en entête de cet article, et quelques uns d’entre nous sont fiers d’affirmer ne jamais regarder les images (mais je sais qu’il mentent).
Quelles données ?Au CESBIO, nous observons la végétation par satellite, nous avons donc besoin d’une assez haute résolution pour accéder aux parcelles agricoles, mais nous nous intéressons aussi à de larges territoires, et à leur évolution. Les données Copernicus, et notamment Sentinel-1 et -2, et plus tard Trishna, LSTM, ROSE-L ou CHIME nous seront très utiles. Il s’agit de données globales, avec une forte revisite, une bonne résolution. Elles sont donc très volumineuses, et distribuées par granules couvrant des territoires assez réduits.
Certains d’entre nous utilisent des observations globales, comme SMOS, VIIRS, Sentinel-3, Grace, et si en général leur résolution est inférieure, la fréquence de revisite augmente, et le volume reste élevé.
Nous avons aussi besoin de données auxiliaires, comme des données météo (analyses, prévisions, composants atmosphériques), des données de terrain et de validation…
Cartes d’occupation des sols sur la France, produites annuellement au CNES avec le support du CESBIO, avec une année de données Sentinel-2, pour le compte de THEIA. Comment utilisons nous ces données ?- les données que nous utilisons ont souvent une couverture globale et une revisite fréquente. Nous n’utilisons quasiment jamais une seule image, nous traitons de grandes régions, et souvent des années entières.
- nous sommes chercheurs, nous tâtonnons, modifions et améliorons nos traitements qui ne marchent jamais du premier coup. Nous développons nos outils de traitement, et les données sont donc traitées à de nombreuses reprises, jusqu’à ce que nous soyons satisfaits des résultats.
- il nous arrive de mettre au point des chaines de traitement intéressantes (si, si ), et nous avons dans ce cas besoin de tester le passage à l’échelle de ces traitements pour traiter des zones géographiques un peu plus étendues.
- les méthodes d’apprentissage automatique nécessitent souvent l’utilisation de vignettes réparties aléatoirement dans des paysages différents. Dans la phase d’apprentissage, nous n’avons pas besoin d’utiliser des images entières
- les données spatiales sont aussi utilisées à des fins pédagogiques, dans les cours et travaux dirigés de nos collègues enseignants chercheurs, ou à des fins de démonstration, pour mettre en évidence le potentiel d’applications des satellites, par exemple sur ce blog
Certes, la mode est au traitement proche de la donnée, sur des serveurs à distance (le Cloud), mais le téléchargement reste souvent nécessaire, quand par exemple les ressources de calcul à proximité des données sont limitées, ou payantes et onéreuses.
Vues les quantités de données que nous utilisons, il n’est absolument pas envisageable de télécharger les données en cliquant. Nous utilisons donc très peu les interfaces interactives de recherche des données, elles ne nous sont utiles que pour la découverte des données. Certains centres de distribution fournissent des API (Rest, STAC), qui conviennent à certains utilisateurs, mais elles nécessitent de dépenser du temps à comprendre ces interfaces, à les coder et les maintenir, car les interfaces changent. Fournir des outils de téléchargement validés, utilisables en lignes de commandes, est donc très important, et souvent oublié par les fournisseurs de données. Nous avons par exemple fourni des outils de téléchargement (Peps_download, Theia_download, Sentinel_download, Landsat_download), mais nous avions largement sous-estimé la charge de documentation, maintenance et de réponse aux questions, ces outils ayant rencontré du succès. A notre avis, c’est aux centres de diffusion de les fournir, ce n’est pas le rôle des utilisateurs.
Vignettes du jeu de données Sen2VENµS qui associe des données Sentinel-2 et des données VENµS acquises au cours de la même journée, pour entrainer ou valider des méthodes de super-résolution appliquées à Sentinel-2.Les apprentissages automatiques sont souvent réalisés à partir de vignettes de petite taille sélectionnées aléatoirement dans les produits. pour économiser du temps de transfert, il serait donc utile que les outils de téléchargement permettent de sélectionner la zone d’intérêt, les dates et les bandes spectrales. Pour celà, le stockage des données en un format optimisé pour le web, comme le Cloud Optimised Geotiff (COG), serait bien utile.
Certains d’entre nous ont besoin de croiser des bases de données, par exemple pour repérer des acquisitions simultanées entre différents satellites, souvent sur des serveurs différents, en prenant en compte par exemple la couverture nuageuse ou les angles de prise de vue. Une API ouvrant l’accès à ces informations lors de requêtes à la base de données est donc très utile, avec le moins de limitations possibles en termes de performances et de nombres d’accès.
Traitement à la demandeDe la même manière que pour les téléchargements, certains sites proposent de lancer des traitements à la demande. Par exemple, lancer une correction atmosphérique, ou un outil de super-résolution. La encore, si nous les utilisons, ce ne sera pas pour les faire tourner sur une seule image, mais pour traiter de grandes quantités de données. Nous avons donc besoin d’accéder à ces traitements en ligne de commande ou en lançant des scripts sur le serveur où se trouvent les données.
Calcul proche des données
Traiter les données sur le cloud permet d’économiser le temps de téléchargement, les données en sortie des traitements étant souvent moins volumineuses que celles en entrée (par exemple, une carte d’occupation des sols produite à partir d’une année de données Sentinel-2). Cela présente cependant de nombreuses difficultés, et nous aimerions que l’on nous facilite la tâche.
D’un cloud à l’autre, les outils pour automatiser les traitements, ouvrir des machines virtuelles, lancer des processus peuvent différer. Si les données dont nous avons besoin sont sur des clouds différents, ou si nous souhaitons pouvoir déplacer nos traitements d’un cloud à l’autre, nous avons besoin d’apprendre les protocoles API propres à ces clouds, et de les adapter quand nous en changeons. Ce n’est pas efficace.
Nos travaux commencent presque toujours par la constitution de cubes de données, dont les dimensions sont les coordonnées spatiales, le temps, les bandes spectrales ou des informations diverses. Le format actuel des données Sentinel-2 peut être vu comme un cube de données, avec une granularité par date. Cependant, il peut-être pratique de réaliser des cubes de données plus grands ou plus petits que les tuiles de 110 x 110 km² de données. L’utilisation d’une API qui génère ces cubes de données à la volée, et permet de leur appliquer des traitements est donc très intéressante. C’est le cas de la librairie OpenEO. Ce n’est pas la seule API de ce genre, mais elle est bien faite et a le bon gout d’être un logiciel libre.
Accès à différents clouds au travers de l’API OpenEO (à partir d’un article de blog de r-spatial)Pour pouvoir utiliser des données réparties sur plusieurs clouds, OpenEO doit être installée côté serveur sur ces clouds. OpenEO utilise donc la notion de fédération de données. La génération des datacubes peut-être réalisée en parallèle sur plusieurs clouds, chaque cloud préparant la partie du datacube dont il possède les données. Pour un centre de distribution de données, participer à cette fédération donne donc aussi de la visibilité qu’il met à disposition.
Nous avons quelque peu insisté auprès du CNES pour que ce soit mis en place, et le CNES a intégré cette demande a sa feuille de route et a lancé une étude du type « preuve de concept » .
De l’aide… de l’aide…
Trouver de l’information sur toutes ces solutions demande beaucoup de recherches, mais ne devrait pas être l’objet principal des recherches des chercheurs. Nous avons donc vraiment besoin d’information, d’exemples, d’annonces permettant d’anticiper les changements et améliorations. Tout cela est couteux et n’est pas toujours inclus dans les priorités.
Nos collègues qui préparent le serveur Géodes au CNES semblent avoir bien pris en compte nos besoins, et nous préparent un portail d’accès, un site d’informations et support, des outils de téléchargement et travaillent à l’implémentation d’Open EO. Celà prend du temps bien sûr, mais devrait permettre un réel par rapport aux versions encore en activité comme PEPS.
Version Beta de l’interface et du portail de Geodes, qui seront disponibles dans quelques semaines.
RemerciementsCet article est le résultat de nombreuses discussions au CESBIO, avec des contributions directes de Sylvain Ferrant, Julien Michel, Emmanuelle Sarrazin et Jordi Inglada. Merci à tous !
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12:42
Que faire des mouches ?
sur Les cafés géographiquesLe café géo consacré à nos relations avec les animaux, en présence du géographe et spécialiste Jean Estebanez le 26 mars 2024, a permis de montrer combien nos destins humains sont liés aux animaux. Y compris les plus petits comme les mouches qui altèrent la douceur de vivre à la campagne l’été. Faut-il déplorer qu’on ne vienne pas à bout de ces bestioles si fragiles ? Explications sur une lutte inégale des places hommes/animaux. (Gilles Fumey)
Les citadins qui débarquent dans les campagnes l’été découvrent ces intruses dont ils ignorent l’existence en ville. Pauvres autochtones qui tapent, tempêtent, s’énervent. Sartre avait fait des mouches les déesses de la repentance dans une pièce de théâtre écrite sous l’Occupation en les chargeant de tous les péchés du monde. Salvador Dali les aimait pour confirmer sa méthode paranoïaque-critique. Cronenberg en a fait l’un des chefs d’œuvre du cinéma de science-fiction (La Mouche). Dans les tombes de l’Égypte antique, des pendentifs précieux en forme de mouche autour du cou des défunts rappellent que les mieux gradés de l’armée en étaient décorés, en hommage aux ennemis qu’ils avaient terrassés…
Sur ce vitrail, entre les trois personnages dont saint Bernard (à droite), les mouches meurent sous le coup d’une excommunication alors qu’elles envahissent l’abbaye de Foigny lors de son inauguration le 11 juillet 1121 par le fougueux moine. Un épisode raconté sur un vitrail d’Altenberg (Allemagne) aujourd’hui à Shrewsbury (Grande-Bretagne). Pour François d’Assise, écologiste avant l’heure, les mouches (nécrophiles) représentaient le diable.
Pullulant dans les régions d’élevage où le bétail les nourrit, les mouches s’infiltrent partout. Jusque dans les conversations à table, vibrionnant sous la tonnelle, nous cherchant sur le transat et, parfois, dans les chambres à coucher où la nuit peut tourner à la bataille. Malgré la traque dont elles sont l’objet, elles reviennent, se posent n’importe où. Sur le web, les astuces pour s’en débarrasser fourmillent : insecticides au pyrèthre, rouleaux collants, buvards mortels, moustiquaires, plantes carnivores, pièges électriques, rien n’y fait, les mouches sont toujours là.
Et depuis longtemps. Les diptères apparaissent avant même le crétacé, il y a au moins 200 millions d’années, en coévolution avec les plantes à fleurs. Leur classement est interminable. Tout est bon pour les distinguer : saisons (mouches de mai), géographie (mouches d’Espagne), éthologie (mouche pisseuse, mouche à miel), couleur (mouche blanche), physiologie (mouche à scie), etc… Certaines espèces sont jugées utiles : elles pollinisent, elles attaquent d’autres insectes, elles servent de nourriture aux poissons, elles sont nécrophages… Ce qui fait problème ? Leur commensalité avec les humains : elles salissent les murs, elles transportent des bactéries, des microbes, des virus sur les aliments, elles sont associées à la souillure et la mort.
De la souillure à l’asticothérapie
Le choléra et le typhus voyagent avec elles, notamment pendant les guerres, les séismes. La maladie du sommeil, la maladie de Chagas et la leishmaniose transmises par la redoutable tsé-tsé qui tue cinquante mille personnes dans les pays du Sud chaque année. Sans compter les dégâts sur le bétail et les récoltes. Des millions d’euros sont dépensés par la communauté internationale pour en venir à bout. En vain, pour l’instant.
Pourtant, que seraient nos déchets organiques, nos égouts sans les mouches ? Certains asticots de laboratoire ne cicatrisent-ils pas les plaies, en se régalant de chairs mortes et de pus ? Certaines mouches prédatrices n’aident-elles pas à combattre des ravageurs comme les chenilles ou les pucerons ? Et les mouches n’aident-elles pas les médecins légistes à déterminer le moment d’un décès en fonction des pontes d’œufs et des larves ?
Faut-il aimer les mouches lorsqu’elles inspirent le généticien T.H. Morgan sur les drosophiles où il met en évidence pour la première fois les mutations génétiques sur des animaux ? Ou voir dans la peinture et le dessin des pionnières de l’art baroque, un art de l’illusion au moment où la science se met en quête de vérité ?
————-
Sur le sujet, écouter l’excellente conférence de Benedetta Papasogli (professeure à l’université LUMSA de Rome) au Collège de France dans un colloque consacré à Pascal : « Des créatures sans un cantique : cirons, mouches, fourmis chez Pascal ».
Maître de Francfort, Autoportrait de l’artiste et de sa femme, 1496. Musée royal des Beaux-Arts d’Anvers
Maître de Francfort (autoportrait avec sa femme), XVe siècle. La taille de la mouche sur la coiffe donne l’impression qu’elle est posée sur le tableau. Un premier cas de mise en abyme
Gilles Fumey mars 2024
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12:07
Appel à commentaires pour le standard Paysages jusqu'au 15 mai 2024
sur Conseil national de l'information géolocaliséeAppel à commentaires pour le standard Paysages jusqu'au 15 mai 2024
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11:00
Mappery: Definitely a Well Used Map in the Wild
sur Planet OSGeoAnother one from Javier Jimenez Shaw. “Map in Grunewald, Berlin, Germany. The point where the map is in the map (like “you are here” or “aktueller Standort”) is worn from touching it so much, that you can see the material behind the painting.
MapsintheWild Definitely a Well Used Map in the Wild
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10:19
Oslandia: (Fr) En direct des Journées Utilisateurs QGIS-fr !
sur Planet OSGeoSorry, this entry is only available in French.
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10:17
L'effondrement du pont de Baltimore : quels effets sur le commerce maritime mondial ?
sur Cartographies numériques
Les images spectaculaires de l'effondrement du pont de Baltimore le 26 mars 2024, suite à la collision du porte-conteneurs MV Dali avec l'une des piles du pont, ont fait le tour du monde. Ce billet est destiné à dépasser l'approche catastrophiste des médias et à proposer des ressources pour aborder la question de la mondialisation maritime selon une appoche géographique.
Concernant le choix de l'approche par les notions et démarches de la géographie ou/et par le traitement des médias et de l'information, il est possible de se reporter au billet sur l’incident de l'Ever-Given. Bien que de nature différente, le blocage du canal de Suez par le porte-conteneurs Ever Given en 2021 avait entraîné une désorganisation massive du commerce international. La fermeture du port de Baltimore en mars 2024, après l’effondrement d’un pont, peut-elle aussi avoir des effets sur la chaîne logistique internationale ? Ce fil X-Twitter est complété au fur et à mesure des ressources repérées sur Internet.
#baltimorebridge
— Loïc Guermeur ?????? (@CapHornier_) March 26, 2024
Bon, vous avez tous vu ces images qui tournent depuis ce matin. Le porte conteneur Dali, 300x48m a percuté le Key Bridge de Baltimore ce matin.
Ce qu'il s'est passé est la hantise de tout navigateur : une avarie électrique totale dans un port.#Thread pic.twitter.com/xIRyqpet5F
"Un impact majeur et prolongé" : l'effondrement du pont de Baltimore va avoir d'importantes conséquences économiques [https:]]
— Sylvain Genevois (@mirbole01) March 28, 2024
Echanges maritimes et mondialisation
— Sylvain Genevois (@mirbole01) March 28, 2024
MV Dali est un porte-conteneurs Néopanamax immatriculé à Singapour achevé en 2015 et appartenant à Grace Ocean Pte Ltd. Depuis mars 2024, le navire est affrété par Maersk et géré et exploité par Synergy Marine Group [https:]]
Possibilité de consulter des sites de suivi des transports maritimes comme MarineTraffic ou Vesselfinder montrant le fort ralentissement du trafic dans le port de Baltimore [https:]] [https:]] pic.twitter.com/4un3ZFw8jL
— Sylvain Genevois (@mirbole01) March 28, 2024
Pont de Baltimore : quels effets sur le commerce maritime mondial ?
— Sylvain Genevois (@mirbole01) March 29, 2024
"La fermeture du port de Baltimore, après l'effondrement d'un pont mardi 26 mars, peut-elle aussi avoir des effets sur la chaîne logistique internationale ? Des conséquences mitigées" [https:]] pic.twitter.com/v1nnIojSxv
Des perturbations pourraient mettre en danger la chaîne d'approvisionnement automobile. Les véhicules assemblés constituent la majorité des marchandises circulant dans la baie de Chesapeake. Les ports de la côte Est se disent prêts à accueillir ce fret [https:]]
— Sylvain Genevois (@mirbole01) March 29, 2024
Les données disponibles sur Maryland, le site officiel du port de Baltimore, montre la part importante du trafic conteneurs suivis par les automobiles [https:]] [https:]] pic.twitter.com/lB2A0GeSTD
— Sylvain Genevois (@mirbole01) March 30, 2024
Mondialisation maritime et course au gigantisme
— Sylvain Genevois (@mirbole01) March 30, 2024
En août 2023, l'Evergreen Ever Max, plus gros porte-conteneurs au monde pouvant contenir 15 432 conteneurs EVP et pesant 165 350 tonnes, avait été accueilli dans le port de Baltimore [https:]] [https:]] pic.twitter.com/xQpKyXqBcV
Six ouvriers ont péri alors qu'ils intervenaient sur le pont. Parmi eux figurent des ouvriers venus notamment du Mexique et du Guatemala. "La catastrophe du pont de Baltimore nous rappelle que les immigrants sont ce qui fait la grandeur de l’Amérique" [https:]]
— Sylvain Genevois (@mirbole01) March 31, 2024
Pont effondré à Baltimore : un premier couloir de navigation ouvert parmi les décombres [https:]]
— Sylvain Genevois (@mirbole01) April 2, 2024
Wikimedia Commons a de nombreuses photos de l'effondrement du pont Francis-Scott-Key. Particularité américaine où tout ce qui est produit par l’État fédéral est dans le domaine public, y compris l'impressionnante médiathèque de l'armée. [https:]] pic.twitter.com/8tK44cpNUF
— Pierre-Yves Beaudouin (@Pyb75) April 1, 2024
Baltimore, mer Rouge : le transport maritime est-il trop vulnérable ?
— Sylvain Genevois (@mirbole01) April 3, 2024
Comment l’industrie du transport maritime s’adapte-t-elle à la nouvelle donne géopolitique ?
"La crise Covid ou les attaques sur les navires... sont quasiment inassurables" [https:]]
« L’accident de Baltimore illustre le gigantisme des porte-conteneurs » [https:]] @mirbole01 pic.twitter.com/G1ngHeMGF2
— Géoconfluences (@Geoconfluences) April 5, 2024
Articles connexes#ImageOfTheDay
— Copernicus EU (@CopernicusEU) April 16, 2024
On 26 March, a container ship collided with the Francis Scott Key Bridge in the Port of #Baltimore ??, causing the bridge to collapse
Recovery efforts continue, with teams working tirelessly to clear debris & restore connectivity#Sentinel2 image from 14 April pic.twitter.com/mDdgHjtSfT
Entre maritimisation des échanges et mondialisation de l'information : de quoi l’incident de l'Ever-Given est-il le nom ?
Bilan du transport maritime (UNCTAD) : une baisse du commerce mondial conteneurisé en 2020
Le site Marine Traffic permet désormais de visualiser la densité des routes maritimes
Shipmap, une visualisation dynamique du trafic maritime à l’échelle mondiale
Quand la route maritime de l'Arctique fait de nouveau l’actualité
OpenSeaMap, la cartographie nautique libre
L'histoire par les cartes : les routes commerciales au Moyen Age (déjà une route de la soie)
Les câbles sous-marins, enjeu majeur de la mondialisation de l’information
40 ans de piraterie maritime dans le monde (1978-2018) à travers une carte interactive
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9:57
The Islamic State Attack Map
sur Google Maps ManiaIn the last 12 months the Islamic State has claimed responsibility for 1,121 attacks around the world. Just last week the terrorist organization claimed that four of its members carried out the attack on concert goers at the Crocus City Hall, Moscow, leaving over one hundred people dead.The Islamic State Worldwide Activity Map is attempting to track IS's global activity and to make this
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16:03
Site Internet Drupal 10 : Oh ! Mon appart' Étudiant
sur Makina CorpusOh! mon appart’ étudiant est la marque de l’Association pour le Logement des Jeunes en Occitanie, dédiée au logement étudiant.
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14:52
En direct des Journées Utilisateurs QGIS-fr !
sur OslandiaUne belle partie de l’équipe est présente pendant les Journées Utilisateurs QGIS-fr les 27 et 28 mars à Grenoble pour animer 5 ateliers et 2 conférences avec des clients : nouveautés QGIS 3D, créer et publier un joli projet sur QWC, cartographie avancée avec QGIS, initiation au déploiement rationalisé de QGIS avec PowerShell et QDT, collecter vos données sur le terrain avec QField, …
Oslandia est Mécène Or des Rencontres utilisateurs QGIS-fr 2024. Au fil des projets réalisés et des expériences, Oslandia a acquis un statut d’acteur majeur français sur QGIS.
Editeur open source QGIS depuis 2011, Oslandia contribue activement à la communauté, comme pendant ces deux jours
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11:43
Ecere Corporation receives OGC Community Impact Award
sur Open Geospatial Consortium (OGC)The Open Geospatial Consortium (OGC) has announced Ecere Corporation, represented by Jérôme Jacovella-St-Louis, as the latest recipient of the OGC Community Impact Award. The award was presented last night at the Executive and VIP Dinner of the 128th OGC Member Meeting in Delft, The Netherlands.
The Community Impact Award is given by OGC to highlight and recognize those members of the OGC Community who, through their exceptional leadership, volunteerism, collaboration, and investment, have had a positive impact on the wider geospatial community.
Gobe Hobona, OGC Director of Product Management, Standards, commented: “Jérôme and colleagues from Ecere have been active participants of most OGC Code Sprints over the past five years, as well as contributors to several activities of Standards Working Groups. Their willingness to assist other participants during Code Sprints has helped to get many participants up to speed and to boost the work of the Code Sprints’ community of experts.
“Jérôme has also been a steadfast advocate of OGC Standards for symbology and portrayal, as demonstrated by his engagement of the cartographic community on the next generation of OGC web mapping and portrayal Standards. This engagement has facilitated the collaboration between the OGC and its partner communities in the cartographic domain.”
“Jérôme has been a key enabler for the implementation of OGC Standards,” added Joana Simoes, OGC Developer Relations. “Besides providing extremely complete implementations in GNOSIS, which can be used by others as a reference, he has always been available to help other projects – both online through Github and in-person during Code Sprints. Many OSGeo projects have improved their standards support thanks to GitHub issues filed or answered by Jérôme.”
Notably, Jérôme is also the Co-Chair of five OGC Standards Working Groups: OGC API – Common SWG, Coverages SWG, Styles & Symbology Encoding SWG, Discrete Global Grid Systems SWG, and OGC API – Tiles SWG. In addition to this, Jérôme is also Co-Editor of the OGC API – Maps, OGC API – Processes – Part 3: Workflows, OGC CDB 2.0 – Part 2: GeoPackage Data Store, and OGC API – 3D GeoVolumes Standards.
Ecere Corporation has, and continues to, make an impact within the OGC Community through their active leadership, collaboration, and engagement across numerous OGC Code Sprints, Collaborative Solutions and Innovation Program (COSI) Initiatives, Working Groups, and Member Meetings.
The OGC Community Impact award highlights the importance of collaboration, volunteering time and energy, advancing technologies and Standards, raising awareness, and helping solve critical issues across the geospatial community. Jérôme and Ecere Corporation exemplify all of these qualities in their tireless work during Code Sprints and across so many Standards Working Groups.
The post Ecere Corporation receives OGC Community Impact Award appeared first on Open Geospatial Consortium.
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11:00
Mappery: Scotland’s Geology
sur Planet OSGeoI am not sure who pointed me to this magnificent geological map of Scotland which was shared by Europe Says who said “Geologically correct map of Scotland. 30 years of collecting!”
MapsintheWild Scotland’s Geology
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10:13
The SpaceX Starlink Map
sur Google Maps ManiaStarLinkMap is a new real-time animated map of the 5,601 satellites currently orbiting the Earth as part of Starlink's huge satellite internet constellation. Starlink's megaconstellation of satellites, built and operated by SpaceX, provides high-speed broadband to even the most remote corners of the globe. Launched in 2019, Starlink boasts over 5,000 satellites in low Earth orbit (LEO), and
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13:29
Mise à jour ArcGIS QuickCapture - Mars 2024
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierArcGIS QuickCapture est l'application du système ArcGIS pour la collecte ultra-rapide de données sur le terrain. Elle permet la collecte de données géolocalisées en vous déplaçant sur le terrain via une expérience utilisateur simple basée sur quelques gros boutons. Vous saisissez des lignes, des polygones ou des observations ponctuelles et leurs caractéristiques en appuyant simplement sur un bouton !
Depuis quelques jours, la version 1.19 de l'application est disponible. Elle introduit plusieurs évolutions intéressantes que je vous présente dans cet article.
Introduction des listes de choix dynamiques
Avoir une liste déroulante, ou une liste de choix de valeurs valides accélère considérablement la collecte de données et présente l'avantage de garantir que seul un texte valide est saisi. Jusqu'à présent, les valeurs contenues dans les listes déroulantes devaient être configurées manuellement lors de la création ou récupérées à partir du domaine de valeurs codées dans un champ.
Les listes de choix dynamiques sont automatiquement renseignées à partir d'un champ dans une couche d'entités ou une table en ligne. Une fois chargées dans l'application, ces choix dynamiques persistent même lorsque le projet est utilisé en mode déconnecté. De plus, lorsque les valeurs de la liste de la couche d'entités changent (à mesure que de nouvelles données sont soumises), QuickCapture accédera à ces mises à jour sans que l'auteur ait à republier le projet, garantissant ainsi aux utilisateurs de toujours disposer des valeurs les plus récentes pour sa liste de choix.
Réorganiser les entrées utilisateur
Les entrées utilisateur constituent une des fonctionnalités les plus puissantes de QuickCapture. En effet, elles permettent aux utilisateurs sur le terrain d'ajouter des attributs supplémentaires à l'aide de boîtes de dialogue spécialement conçues pour une saisie rapide des données. Depuis cette mise à jour, vous pouvez configurer jusqu'à 10 entrées utilisateur par bouton. Désormais, grâce au concepteur QuickCapture, vous pourrez également réorganiser ces entrées utilisateur selon un flux de travail qui fonctionne le mieux pour votre équipe sur le terrain.
Des flux de travail amélioré pour la collecte d’imagerie orientée
Depuis fin 2023, l’imagerie orientée devient une capacité standard dans de nombreuses apps et ce type de données connaît une croissance rapide dans l’écosystème ArcGIS. Avec cette version 1.19 de QuickCapture, vous pouvez désormais capturer des images orientées sur le terrain à l'aide de l'application mobile, puis accéder à l'application Map Viewer pour visualiser et explorer facilement vos images. Si vous souhaitez en savoir plus sur l'imagerie orientée et ArcGIS QuickCapture, consultez ce blog .
Autres améliorations
On pourra également noter les évolutions suivantes- Cartographie et symbologie améliorées : vous contrôlez dorénavant la manière de symboliser les données non envoyées dans l'application mobile et créez automatiquement une carte web spécifique au projet lors de la création d'un projet à partir de couches.
- Modèle SARCOP : un nouveau modèle de recherche et de sauvetage en milieu urbain est désormais disponible via l'option de modèle lors de la création d'un nouveau projet.
- Icônes OCHA : de nouvelles d'icônes de l'ONU autour des activités humanitaires sont disponibles pour être utilisées dans vos projets.
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12:38
Cartographie et littérature
sur Cartographies numériques
La collection Libre cours des Presses Universitaires de Vincennes consacre un volume aux relations entre Cartographie et littérature, signé par Laurence Dahan-Gaida. L’ouvrage interroge l’impulsion cartographique qui nous conduit à dessiner des cartes pour nous orienter dans l’espace et y projeter nos déplacements virtuels.Présentation de l'ouvrage
La nécessité de nous orienter dans l’espace pour y projeter nos déplacements a donné aux cartes une importance cruciale pour notre existence. Cette impulsion cartographique est ici interrogée par le biais d’aller et retours entre géographie, cartographie et littérature. L’ouvrage interroge l’impulsion cartographique qui nous conduit à dessiner des cartes pour nous orienter dans l’espace et y projeter nos déplacements virtuels. Toute carte est une sorte de diagramme qui modélise l’espace grâce à une présentation spatiale et iconique de ses relations. Or le texte littéraire est aussi un dispositif de modélisation qui exploite les ressources du langage pour faire émerger un temps, un espace, un monde. Plutôt que d’opposer la cartographie des géographes à celle des écrivains, on les aborde ici comme des dispositifs cognitifs qui médient entre l’intelligible et le sensible pour générer à la fois un espace et un savoir sur cet espace.
Laurence Dahan-Gaida est professeure de littérature comparée et directrice du Centre de Recherches Interdisciplinaires et Transculturelles. Elle dirige la revue en ligne Epistemocritique et est auteure de nombreuses études sur les relations sciences/littérature.
Table des matièresIntroduction (à lire sur le site de l'éditeur)
Chapitre 1 – La raison cartographique
La carte et le diagramme
Épistémologie de la carte
Chapitre 2 – Les approches géocentrées de la carte en littérature
Chapitre 3 – Matérialités de la carteLa carte dans la littérature
Lieu, espace, territoire
De la géographie humaine à la géographie littéraire
Le croquis topographique?: I?Wouldn’t Start from Here
De la carte papier à la carte numérique… et au tableau
Chapitre 4 – Géométries de l’espace?: lignes et fractales
Cartographier par la ligne
Le Chant des pistes
Lignes d’erre et lignes de trajectoires
De la représentation à la performance?: l’art nomade
La physionomie du combat
Une cartographie fractale
Chapitre 5 – L’art du tableau et la science du paysage
La pensée du paysage
L’artialisation du paysage
La physionomie du paysage, entre science et arts
Écrire le paysage
Cartographier le paysage
Chapitre 6 – Cartographies de la littérature
Entre géographie et géométrie?: les cartes-diagrammes de Moretti
De la carte à la trame
Conclusion
Bibliographie
Articles connexes
Décrire la carte, écrire le monde
Au sujet du pouvoir émotionnel des cartes : « nous avons tous une carte en nous »
Cartes invisibles. Réflexions littéraires et cinématographiques sur l’image cartographique
Le tour de France des classiques de la littérature (Gallica - BNF)
Le voyage d'Ulysse. Comment cartographier un mythe ?
Cartes et fictions (XVIe-XVIIIe siècle) par Roger Chartier
Un océan de livres : un atlas de la littérature mondiale
Vers une carte interactive de la littérature de fiction dans le monde
Carte des road trips les plus épiques de la littérature américaine
Découvrir Paris à travers les grands classiques de la littérature
Les story maps : un outil de narration cartographique innovant ?
Fake Britain, un atlas de lieux fictionnels
Rubrique Cartes et atlas imaginaires
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11:00
Mappery: 3D Globe Jigsaw
sur Planet OSGeoJavier Jimenez Shaw shared this beauty “3D globe jigsaw puzzle in my living room. 30 cm diameter. Unfortunately it is not produced anymore.” Amazing object, I have never seen anything like this before, have you?
It turns out that Ravensburger make a newer version of a 3D globe which you can buy here or from other online places that we can do without boosting
MapsintheWild 3D Globe Jigsaw
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20:10
GeoSolutions: GeoSolutions at FedGeoDay in Washington, DC
sur Planet OSGeoYou must be logged into the site to view this content.
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11:00
Mappery: Stone Town, Zanzibar
sur Planet OSGeoStephen Mather, a good friend of Mapppery, shared this “Here’s one from Stone Town, Zanzibar, November of 2016. I think it’s up top of Emerson Spice.”
You might say “not very wild” but I love the idea of a hotel called Emerson Spice, sounds pretty wild to me.
MapsintheWild Stone Town, Zanzibar
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10:00
Panoramax
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGN: l'alternative libre et souveraine à StreetView -
10:00
Panoramax
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNL'alternative libre et souveraine à StreetView
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9:37
Mapping SpaceTime
sur Google Maps ManiaI recently stumbled upon Time Map, an interactive map which attempts to show points of interest around a location by walking time. Enter a location into the Time Map and a venue category (eg pizza restaurants) and the map will display a series of concentric circles around your location, each of which represents a minute of walking time. All the nearby points of interest are overlaid on top
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8:00
IGNFCollaboratifConnector
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIGNFCollaboratifConnector, une nouvelle suite de Transformers FME développée par l’IGN en partenariat avec Veremes -
8:00
IGNFCollaboratifConnector
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIGNFCollaboratifConnector, une nouvelle suite de Transformers FME développée par l’IGN en partenariat avec Veremes
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8:00
Le changement de licence OneGeo Suite
sur Neogeo TechnologiesAujourd’hui, l’implication de NEOGEO dans la communauté géomatique prend une autre dimension. En adoptant la licence Affero GPL pour nos logiciels OneGeo Suite et GeoContrib, nous souhaitons renforcer cet engagement.
Pourquoi ce changement ?À travers l’adoption de cette nouvelle licence, l’objectif est double :
1. Protéger les innovations : Nous souhaitons garantir que les développements réalisés par Neogeo et nos clients demeurent libres. Cette démarche permet de préserver la richesse et la valeur ajoutée de notre travail.
2. Partager et collaborer : Lorsqu’un acteur, issu ou non du monde de la géomatique, décide de s’appuyer sur nos travaux, ses contributions seront accessibles à toute la communauté. C’est un cercle vertueux : plus nous collaborons, plus le logiciel s’enrichit pour le bénéfice de tous.
Ce changement sera effectif à partir de la version OneGeo Suite 1.1 et pour la version stable GeoContrib 5.4.
Les 4 libertés du logiciel libre : Un rappel essentielLa notion de logiciel libre repose sur 4 libertés fondamentales :
- Le droit d’utiliser le logiciel sans restriction
- Le droit d’étudier le logiciel
- Le droit de diffuser le logiciel
- Le droit de modifier le logiciel et de diffuser les modifications
Le Copyleftt : En la matière, le copyleft est un gage d’égalité et de liberté qui vise à empêcher la restriction des droits des utilisateurs.
Le logiciel peut être modifié mais sa licence doit rester compatible, tout en conservant notamment le droit de copier le code source. Le copyleft garantit donc que les logiciels libres le restent.
Les licences libres en un coup d’œilIl existe actuellement plusieurs licences libres :
- Apache : Une licence permissive qui autorise la modification de la licence des fichiers modifiés exclusivement.
- GPL : Sans doute la licence libre la plus populaire et le pilier du copyleft. Elle exige que les produits dérivés et programmes associés adoptent une licence compatible, garantissant les mêmes droits aux utilisateurs.
- LGPL : Une variante de la GPL, la LGPL offre plus de flexibilité sur l’intégration du code dans un produit sous une autre licence (même non libre) tout en restant compatible avec la GPL.
- Affero GPL : La principale différence entre la GPL et l’AGPL réside dans la façon dont elles traitent l’utilisation du logiciel sur des serveurs distants. L’AGPL a été créée pour s’assurer que les services Web basés sur des logiciels libres donnent accès au code source aux utilisateurs distants (même s’ils n’ont pas téléchargé le logiciel).
D’autres licences sont également disponibles mais plus contraignantes en matière de libertés :
- SSPL (Server Side Public License) : utilisée par MongoDB et ElasticSearch, la licence limite la mise à disposition d’un logiciel sur des hébergeurs Cloud. Elle vise essentiellement les géants du cloud comme AWS. La plupart des utilisateurs peuvent continuer d’utiliser MongoDB et ElasticSearch comme avant. Cette licence n’est pas reconnue par l’OSI (Open Source Initiative) comme « open source » et celle-ci est parfois critiquée pour ses exigences jugées excessives ;
- Freemium (ou shareware) : les logiciels sont gratuits mais le plus souvent non modifiables
- CLAs (Contributor License Agreements) : À l’instar d’une NDA (Non Disclosure Agreement), l’agrément doit être signé par les contributeurs afin de céder leurs droits. Cette licence permet également à l’entreprise d’utiliser les contributions d’une manière qui ne serait pas permise par la licence open source sous laquelle le logiciel est publié (ex : changer de licence).
Le passage des solutions sur cette nouvelle licence traduit notre volonté de renforcer la liberté, la collaboration et l’innovation dans le domaine géomatique. Nous souhaitons également que ce changement profite à toute la communauté, ainsi que les évolutions qui en découleront.
Rédacteur : Sébastien DA ROCHA
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7:00
[Equipe Oslandia] Jean, ingénieur SIG
sur OslandiaAprès un diplôme d’ingénieur obtenu à Centrale Lille, Jean s’engage dans une thèse en Morphologie mathématique, orientée sur le traitement d’images numériques, aux Mines de Paris. Après sa thèse, il poursuit pendant 12 ans sa collaboration avec son entreprise d’accueil. Il travaille sur de nombreux projets de R&D et sur l’écriture d’algorithmes de traitements d’images ou sur des algorithmes de données SIG géolocalisées.
Il découvre les SIG, QGIS, et … Oslandia, identifié comme un acteur majeur dans la communauté QGIS !
« La culture open source m’intéresse, j’ai toujours utilisé des outils et logiciels OS et je faisais d’ailleurs de la contribution à titre perso. J’avais par ailleurs envie de travailler dans une société dans laquelle je pouvais être davantage partie prenante des décisions et des actions »
Jean est ingénieur SIG chez Oslandia depuis 2022 et dispose d’une solide expérience en C++, le langage de programmation sur lequel est basé QGIS et sur le visualisateur QT. Il met à disposition ses compétences sur des projets variés comme le visualiseur de données 3D pour le CEA, de nouvelles fonctionnalités pour améliorer le chargement et la visualisation de nuages de points sur QGIS pour EDF,… ou encore la visualisation de données de l’IFREMER qui repose sur QGIS server.
Projet emblématiqueJean a développé avec son collègue Florent un plugin pour l’IFREMER « QDuckDB » permettant de lire des bases de données DuckDB, qui stockent des infos spatiales (points, polygones, lignes, …), dans QGIS.
Technologies de prédilection
Ce plugin permet aujourd’hui de partager des fichiers « parquet » utilisés de plus en plus notamment par l’INSEE.
« Comme tout est en open source, d’autres utilisateurs peuvent proposer de nouvelles fonctionnalités, on peut imaginer plein d’évolutions possibles ! »Langages C, C++ et Python
PhilosophieTout ce que je développe peut servir à la communauté, j’aime l’idée de contribuer à un bien commun.
Oslandia en 1 motTransparence !
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19:12
Imaginer demain. Chroniques cartographiques d'un monde à venir
sur Cartographies numériques
Julien Dupont, alias @Kartokobri
Que vous connaissiez déjà ou non les cartes imaginaires de Julien Dupont, il faut aller découvrir le bel ouvrage qu'il vient de publier aux éditions Armand Colin Imaginer demain. Chroniques cartographiques d'un monde à venir (mars 2024). Vous y découvrirez des espaces imaginaires (pas si futuristes !) dans lesquels se déroulent déjà une partie de nos vies à l'ère de l'Anthropocène. En empruntant le chemin de l'art et de la cartographie, l'auteur nous y offre « des transpositions, des comparaisons, des allers-retours entre passé, présent et futur, en mêlant prospectives et prophéties, à travers des expériences cartographiques artisanales ».
Julien Dupont, que l'on peut suivre sur le réseau X-Twitter ou à travers son blog Kartokobri. Cartographies imaginaires, est professeur d'histoire-géographie en collège à Vaulx-en-Velin et grand passionné de cartographie. Il s'est fait connaître à travers une série de cartes réalisées quotidiennement pendant le premier confinement (voir par exemple sa cartographie de Clustland ou celle de Moncovideo). Pour le making-off, on peut se reporter aux explications sur le site Visionscarto ainsi qu'à l'interview de l'auteur pour le Café pédagogique.
La cartographie imaginaire, c'est l'art de faire rêver et aussi d'attirer le regard par le choix des titres, par le découpage et le collage qui permettent de « créer des espaces improbables, en les fondant pour créer de nouveaux lieux, de nouvelles proximités » (voir par exemple sa carte dystopique de l'Europe, ses Continents à la dérive ou encore ses zones de guerre transposées). Les cartes qu'il dessine et peint à la main s'inscrivent dans un imaginaire réaliste. Ses fictions cartographiques oscillent entre sentiment d'émoi et humour face à l'actualité. Ce qu'il nous met sous les yeux, c'est à la fois la gravité du monde d'aujourd'hui et ce qui nous permet d'entrevoir d'autres possibles :Je dessine des cartes et les utilise comme supports pour formaliser des lectures du monde, en partant de l’idée qu’une carte peut raconter une infinité de choses vues, vécues, racontées, comprises et surtout peut-être, incomprises. À travers elles, j’essaye d’interroger des faits, de développer des histoires, de fixer des mémoires, en détournant les lignes, les contours, les toponymies... Je réalise ces cartes à la main (crayons de couleur, feutre, plus généralement à l’aquarelle), et elles sont donc, par nature, fausses, géométriquement suspectes. Les dessiner moi-même me permet de m’approprier ces morceaux de monde, d’y poser un récit, une histoire, une explication plausible, une extrapolation.
Présentation de l'ouvrage
Comment s’imaginer le monde de demain ? Comment le représenter ? Quels vont être les impacts sur notre vie des changements climatiques, des crises migratoires, des inégalités qui se creusent, des guerres à venir ?
Raconter demain, réfléchir aux possibles, c’est mieux se préparer aux grands défis qui nous attendent. Maniant une imagination réaliste, Julien Dupont propose dans ce livre une vision scénarisée de notre avenir par les cartes. S’appuyant sur des données scientifiques (les rapports du GIEC, les données de l’Office mondial des migrations, l’INSEE, des travaux universitaires) enrichies de ce que nous propose la fiction (littérature, cinéma, séries), il cartographie les espaces et met en avant, parfois de manière étonnante voire troublante, la manière dont notre environnement va changer dans les années à venir. Écosystèmes, habitat, ressources, frontières, migrations, technologies, etc., sont déclinés au fil de ces chroniques cartographiques, qui vont de la prospective réaliste à court terme à la dystopie la plus poussée.
Une lecture subjective et sensible de l’auteur, qui encourage le lecteur à s’interroger à son tour et à construire sa vision personnelle des futurs de notre monde.
Quelques cartes pour imaginer notre futur climatique
Si Julien Dupont stimule notre imagination, ce n'est jamais gratuitement mais bien pour parler de notre monde et des menaces qui pèsent sur lui. Il ne cherche pas à imposer un regard, mais plutôt à suggérer des scénarios possibles. Et si ces scénarios peuvent paraître pessimistes, il s'agit le plus souvent d'éviter le pire : imaginer le futur, y compris dans ses scénarios les plus funestes, pour mieux déterminer nos choix dans le présent.
Il est bien difficile de faire une sélection tant ses cartes imaginaires ont chacune leur originalité. En voici quelques-unes pour vous donner un avant-goût de ce qui nous attend si l'on ne prend pas des mesures pour ménager notre futur climatique :
Quelques scénarios cartographiques pour imaginer le monde de demain @duno pic.twitter.com/FJ45sEpu4v
— Julien Dupont Kobri (@Kartokobri) March 24, 2024
Ressources minières et fossiles de l'Antarctique. Vers la fin du XXIIIème siècle, après la fonte des derniers glaciers,la colonisation du dernier continent habitable s'accéléra. Des pistes furent ouvertes vers l'intérieur des terres
— Julien Dupont Kobri (@Kartokobri) March 18, 2024
"Imaginer demain" #armandcolin pic.twitter.com/eSHV2634ts
Une Afrique utopique (réseaux tgv et pistes cyclables, éoliennes et champs photovoltaïques, extension des surfaces agricoles...) Un autre monde est plausible ! In "Imaginer demain" @dun pic.twitter.com/PNm6cDfYEE— Julien Dupont Kobri (@Kartokobri) March 16, 2024
Sommaire de l'ouvrage
Avant-propos. Quelques stations d'anticipation cinématographiques des années 1950 à nos jours - La littérature d'effondrement.
1 – Scènes d'exposition. La scénarisation du futur. North Sentinell / North Oléron en 2124 : rester à l'écart - A propos des scénarios du Giec : nous sommes quelque part par-là (mais ça bouge tout le temps) - Planisphère de la montée des eaux après la fonte du dernier glacier et une élévation de la mer de 54 mètres - Cinq îles et archipels en voie de submersion - Comment représenter les inégalités de développement ? - Chamonix demain : trois scénarios de sortie de modèle.
2 – Le premier rôle. La trace de l'Homme. Ile Cocos (Costa Rica) - Les zones sans doute inhabitables en 2100 - Des lacs en voie d'asséchement - Migingo, lac Victoria. L’Amazonie - De Manaus à l’Amasaônie - Désert d'Amazonhara, été 2224 - La vie de château en 2224 (Post-Anthropocène).
3 – L'Épice. Nos ressources et nos besoins. Hashima : épuiser les ressources et puis évacuer les lieux - Les resources de la dernière chance ? - Pangea Proxima - Le XXIIe siècle chinois - Groenland, saison estivale 2224 - La ruée vers l'or en Antarctique - Pripiat et alentours - Loin des zones irradiées, survivre dans les hautes terres du Drômardèche vers 2124.
4 – Le décor. Notre stream quotidien. Malé (Maldives) : la ville partout (et au-delà) - Villes et bidonvilles d'hier, aujourd'hui et demain - De l'île des Manhattes à la cité engloutie de Manhattan - Vivre dans les interstices : le rond-point de Croix-Luizet - QR Code City. Urbex (Exploration urbaine) - Paris, après les Grandes Pluies de la fin du XXIe siècle - La planète des câbles.
5 – Les chemins et les lieux (mobiles, immobiles). Diego Garcia : être déplacé sur la Terre. L'impossible retour aux sources - Christmas Island (Australie) : un territoire schizophrène - La Méditerranée submergée - La Méditerranée évaporée - Pantelleria : le vent du sud - L'île de Sète, après la rupture des cordons littoraux (2124) - Un détail du vaisseau Aurora (Kim Stanley Robinson)
6 – Happy End. Fin tragique ou Cliffhanger. Un autre monde est-il toujours plausible ? - Tikopia, une île résiliente ? - Le Sahara humide - Une Afrique utopique - Le Jour d'après ? Traverser la Manche et fuir les zones gelées (2124) - Collaps Peninsula : imaginer la fin du monde - Le monde de demain (en une soixantaine de langues).
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Diffusion en Open Data des premières données de l'OCS GE Nouvelle Génération
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNLes données de l’OCS GE nouvelle génération sont progressivement diffusées, au fil de la production, en Open Data sur le site Géoservices -
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Mappery: Birds Eye View
sur Planet OSGeoJachym Cepicky shared this “Fish eye View from Sn?žka, hand drawn”
MapsintheWild Birds Eye View
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10:20
OTB Team: OTB works with QGis 3.36
sur Planet OSGeoThe OTB Provider QGis plugin is now available on QGis plugin catalog. Since QGis version 3.36, the plugin previously packaged is no longer in QGis package. To use OTB with QGis 3.36 you need to install plugin from QGis plugin catalog (“Extensions menu –> Install/Manage Extensions” and type OTB in not-installed tab). Then follow plugin […]
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9:51
Py3dtiles v7.0.0 est de sortie ! Des fonctionnalités, et une communauté qui se développe
sur Oslandiavar spector; var captureOnLoad = false; var captureOffScreen = false; window.__SPECTOR_Canvases = [];
(function() { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = HTMLCanvasElement.prototype.getContext; HTMLCanvasElement.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext;
if (typeof OffscreenCanvas !== 'undefined') { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = OffscreenCanvas.prototype.getContext; OffscreenCanvas.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext;
OffscreenCanvas.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }
if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }
var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { // context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent); this.id = "Offscreen"; window.__SPECTOR_Canvases.push(this);
if (captureOnLoad) { // Ensures canvas is in the dom to capture the one we are currently tracking. if (false) { spector.captureContext(context, 500, false); captureOnLoad = false; } } }
return context; } }
HTMLCanvasElement.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }
if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }
var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent);
if (captureOffScreen) { var found = false; for (var i = 0; i
var spector; var captureOnLoad = false; var captureOffScreen = false; window.__SPECTOR_Canvases = [];
(function() { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = HTMLCanvasElement.prototype.getContext; HTMLCanvasElement.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext;
if (typeof OffscreenCanvas !== 'undefined') { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = OffscreenCanvas.prototype.getContext; OffscreenCanvas.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext;
OffscreenCanvas.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }
if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }
var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { // context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent); this.id = "Offscreen"; window.__SPECTOR_Canvases.push(this);
if (captureOnLoad) { // Ensures canvas is in the dom to capture the one we are currently tracking. if (false) { spector.captureContext(context, 500, false); captureOnLoad = false; } } }
return context; } }
HTMLCanvasElement.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }
if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }
var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent);
if (captureOffScreen) { var found = false; for (var i = 0; i
var spector; var captureOnLoad = false; var captureOffScreen = false; window.__SPECTOR_Canvases = [];
(function() { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = HTMLCanvasElement.prototype.getContext; HTMLCanvasElement.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext;
if (typeof OffscreenCanvas !== 'undefined') { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = OffscreenCanvas.prototype.getContext; OffscreenCanvas.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext;
OffscreenCanvas.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }
if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }
var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { // context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent); this.id = "Offscreen"; window.__SPECTOR_Canvases.push(this);
if (captureOnLoad) { // Ensures canvas is in the dom to capture the one we are currently tracking. if (false) { spector.captureContext(context, 500, false); captureOnLoad = false; } } }
return context; } }
HTMLCanvasElement.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }
if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }
var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent);
if (captureOffScreen) { var found = false; for (var i = 0; i
Py3dtiles est une librairie et un outil Python en ligne de commande pour générer, lire et modifier des 3D Tiles. On peut l'utiliser seul ou l'intégrer dans sa propre application Python.
La version 7.0.0 vient de sortir, il est temps de faire une petite rétrospective sur les dernières années !
La communauté et un nouveau mainteneurNous accueillons un nouveau mainteneur : Lorenzo Marnat (Liris). Le Liris a très significativement contribué à py3dtiles et a mené un travail de R&D conséquent sur leur fork et via l'application py3dtilers. Lorenzo réalise depuis quelques mois le travail d'intégration dans le tronc commun, véritable travail de fourmi ô combien nécessaire. L'intégrer à l'équipe était donc l'étape logique dans ce processus.
Cela signifie que py3dtiles n'est plus un projet uniquement Oslandien ! Ceci constitue une étape très importante dans le développement d'un projet réellement communautaire et nous sommes très heureux de l'avoir dans l'équipe.
En conséquence, certains changements ont été adoptés afin que py3dtiles soit plus indépendant d'Oslandia. Nous espérons ainsi favoriser les contributions externes et l'implication d'autres entitées qu'Oslandia et le Liris:
- Le dépôt de code a été déplacé vers sa propre organisation: [https:]] . Nous en avons profité pour renommer la branche principale en main à la place de master (afin de s'approcher du défaut de GitLab).
- Le site web est maintenant hébergé sur [https:]] . Une redirection de l'ancien site a été mise en place, mais nous conseillons tout de même de mettre à jour vos signets web.
- Nous avons maintenant un document décrivant la gouvernance: GOVERNANCE.md, qui décrit le fonctionnement de la communauté.
- Et nous avons un canal de discussion instantané sur matrix.org !
Lidar HD de l'ign converti en 3dtiles avec py3dtiles et visualisé avec giro3d
Les évolutions fonctionnelles Améliorations du support de la spécificationEn version 2, py3dtiles souffrait encore de l'absence de ces quelques classes décrivant les concepts 3Dtiles, et qui sont maintenant présentes en version 7 :
- BoundingVolumeBox
- TileSet
- Tile
- Extension
Les feature tables sont maintenant supportées pour les b3dm en plus des pnts.
Nouveaux formatsPy3dtiles supporte maintenant les fichiers PLY (en nuage de points uniquement) et LAZ.
Le support XYZ et CSV a été amélioré, avec une auto-détection du format du CSV.
py3dtiles mergeIl s'agit d'une nouvelle commande permettant de générer un tileset à partir de 2 autres tilesets. Pour l'instant la génération des tuiles racines est assez naïve, mais devrait très bien fonctionner avec les nuages de points.
Autres fonctionnalitésIl est maintenant possible d'exporter les classifications des nuages de points dans les pnts.
Le support des batch tables a été ajouté.
Les évolutions techniques Des évolutions de packaging Les dépendances optionnellesAvec le support de formats additionnels, le nombre de dépendances de py3dtiles augmente de façon significative. Nous avons créé des sections de dépendances optionnelles, afin d'éviter de demander aux utilisateurs d'installer des librairies pour des formats qu'ils n'utilisent pas.
Image DockerNous publions maintenant des images docker sur le gitlab registry et docker hub.
Support WindowsUn premier travail pour supporter Windows a été effectué, mais du travail reste à accomplir pour produire un .exe facilitant le déploiement.
La qualité du codeDe gros efforts ont été effectués pour rendre la contribution plus agréable et améliorer globalement la qualité du code. Des analyseurs automatiques de code ont été mis en place, notamment des linters et un SonarCloud.
Nous avons fait un effort spécifique pour typer nos déclarations de fonctions et variables avec les nouvelles possibilités qu'offre les versions modernes de Python.
À venirLe point principal sera le support des géométries dans le processus de conversion multiprocessus lancé par py3dtiles convert. Cela permettra ensuite d'avoir un support des formats géométriques, en particulier l'IFC ! (Mais également, l'amélioration du support PLY, des tables PostGIS, des OBJ, etc.).
D'autres améliorations sont bien sûr dans les cartons.
Impliquez-vous !Py3dtiles est un logiciel communautaire et se portera mieux si vous participez ! Tester, ouvrir des tickets, voire contribuer ou financer sont des actions qui sont très utiles pour le projet. Le guide de contribution de la communauté est ici. Alternativement, n'hésitez pas à nous contacter pour en discuter !
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9:29
The World Air Quality Report 2023
sur Google Maps ManiaIQAir has released its annual World Air Quality Report. The 2023 report reveals that last year only seven countries met the World Health Organizations' PM2.5 air pollution guideline.The IQAir Annual World Air Quality Report is a yearly analysis of global air quality, compiled by the Swiss air quality monitoring firm IQAir. The report gathers data on PM2.5 (which is particulate matter with a
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8:30
Appropriations de l’espace et répression du mouvement des Gilets jaunes à Caen
sur MappemondeEn mobilisant différentes méthodologies de recherche issues principalement de la géographie sociale et de la sociologie politique, le présent article souhaite esquisser quelques pistes d’analyse et répondre à la question suivante : comment rendre compte par la cartographie des espaces de lutte du mouvement des Gilets jaunes dans l’agglomération caennaise ? En explorant ainsi sa dimension spatiale, nous désirons contribuer aux débats méthodologiques et analytiques qui ont accompagné ce mouvement qui s’est distingué par ses revendications et sa durée, mais aussi par sa géographie.
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8:30
Les cartes dans l’analyse politique de l’espace : de l’outil à l’objet de recherche
sur MappemondeLa publication de la carte répertoriant les trajets d’utilisateurs de l’application de sport Strava, en 2017, a rendu identifiables des bases militaires dont les membres utilisaient Strava lors de leurs entraînements (Six, 2018). Cet exemple souligne à la fois l’omniprésence de l’outil cartographique dans nos vies et sa dimension stratégique. Aucune carte n’est anodine, quand bien même son objet semble l’être. Nos sociétés sont aujourd’hui confrontées à de nouveaux enjeux, liés à l’abondance des cartes sur Internet, dans les médias, au travail, que celles-ci soient réalisées de manière artisanale ou par le traitement automatisé de données géolocalisées. L’usage de la cartographie, y compris produite en temps réel, s’est généralisé à de nombreux secteurs d’activités, sans que l’ensemble des nouveaux usagers ne soit véritablement formé à la lecture de ce type de représentation, ni à leur remise en question. Dans ce cadre, le rôle du géographe ne se limite pas à la production de cartes...
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8:30
Les stratégies cartographiques des membres de la plateforme Technopolice.fr
sur MappemondeConséquence de la transformation des cadres institutionnels du contrôle et de la sécurité, le déploiement de la vidéosurveillance dans l’espace public est aujourd’hui contesté par plusieurs collectifs militants qui s’organisent à travers des modes d’action cartographiques. Leurs pratiques entendent dénoncer, en la visibilisant, une nouvelle dimension techno-sécuritaire des rapports de pouvoir qui structurent l’espace. Grâce aux résultats d’une enquête de terrain menée auprès des membres de la plateforme Technopolice, nous montrons que le rôle stratégique de la cartographie collaborative dans leurs actions politiques réside dans ses fonctions agrégatives et multiscalaires. La diffusion de cartes et leur production apparaissent alors comme des moyens complémentaires, analytiques et symboliques, utilisés par les militants pour mieux appréhender et sensibiliser le public au phénomène auquel ils s’opposent.
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8:30
La végétalisation de Paris vue au travers d’une carte : une capitale verte ?
sur MappemondeCet article s’intéresse à un dispositif cartographique en ligne proposant de visualiser les projets de végétalisation urbaine entrant dans la politique municipale parisienne. Avec une approche de cartographie critique, nous montrons comment la construction de la carte, et en particulier le choix des figurés et la récolte des données, participe à donner à la capitale française une image de ville verte. Le mélange de données institutionnelles et de données contributives composant la carte du site web Végétalisons Paris traduit l’ambiguïté de la politique de végétalisation parisienne, entre participation citoyenne et instrumentalisation politique.
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8:30
Géopolitique de l’intégration régionale gazière en Europe centrale et orientale : l’impact du Nord Stream 2
sur MappemondeDépendante des importations de gaz russe, l’Union européenne tente de diversifier ses approvisionnements depuis la crise gazière russo-ukrainienne de 2009. En Europe centrale et orientale, cette politique se traduit par un processus d’intégration régionale des réseaux gaziers. Planifié depuis 2013, ce processus n’a pas connu le développement prévu à cause des divisions engendrées par le lancement du projet de gazoduc Nord Stream 2 porté par Gazprom et plusieurs entreprises énergétiques européennes. Ainsi la dimension externe de la politique énergétique des États membres a un impact sur la dimension interne de la politique énergétique européenne.
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8:30
Les Petites Cartes du web
sur MappemondeLes Petites Cartes du web est un ouvrage de 70 pages de Matthieu Noucher, chargé de recherche au laboratoire Passages (Bordeaux). Il s’adresse à un public universitaire ainsi qu’à toute personne intéressée par la cartographie. Son objet est l’analyse des « petites cartes du web », ces cartes diffusées sur internet et réalisées ou réutilisées par des non-professionnel?les. Elles sont définies de trois manières :
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historique, comme des cartes en rupture avec les « grands récits » de la discipline ;
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politique, comme des cartes « mineures », produites hors des sphères étatiques et dominantes ;
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technique, en référence aux « petites formes du web » d’É. Candel, V. Jeanne-Perrier et E. Souchier (2012), participant à un « renouvellement des formes d’écriture géographique ».
Ce bref ouvrage, préfacé par Gilles Palsky, comprend trois chapitres. Les deux premiers, théoriques, portent l’un sur la « profusion des “petites cartes” » et l’autre sur l’actualisation de la critique de la cartographie. L...
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8:30
L’Amérique latine
sur MappemondeEn choisissant de commencer son ouvrage par la définition du terme « latine », Sébastien Velut donne le ton d’une approche culturelle et géopolitique de cette région centrale et méridionale du continent américain. Grâce à une riche expérience, il présente ce « grand ensemble flou » (p. 11), ce continent imprévu qui s’est forgé depuis cinq siècles par une constante ouverture au Monde. L’ouvrage, destiné à la préparation des concours de l’enseignement, offre une riche analyse géographique, nourrie de travaux récents en géographie et en sciences sociales, soutenue par une bibliographie essentielle en fin de chaque partie. L’exercice est difficile mais le propos est clair, explicite et pédagogique pour documenter l’organisation des territoires de l’Amérique latine. En ouverture de chaque partie et chapitre, l’auteur pose de précieuses définitions et mises en contexte des concepts utilisés pour décrire les processus en œuvre dans les relations entre environnement et sociétés.
En presque 3...
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8:30
Les cartes de l’action publique. Pouvoirs, territoires, résistances
sur MappemondeLes cartes de l’action publique, ouvrage issu du colloque du même nom qui s’est déroulé en avril 2018 à Paris, se présente comme une recension de cas d’étude provenant de plusieurs disciplines des sciences sociales. Sociologues, politistes et géographes proposent au cours des 14 chapitres de l’ouvrage (scindé en quatre parties) une série d’analyses critiques de cartes dont il est résolument admis, notamment depuis J. B. Harley (1989), qu’elles ne sont pas neutres et dénuées d’intentionnalités. Cette position, assumée dès l’introduction, sert de postulat général pour une exploration de « l’usage politique des cartes, dans l’action publique et dans l’action collective » (p. 12).
Les auteurs de la première partie, intitulée « Représenter et instituer », approchent tout d’abord les cartes de l’action publique par leur capacité à instituer et à administrer des territoires.
Dans un premier chapitre, Antoine Courmont traite des systèmes d’information géographique (SIG) sous l’angle des scien...
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8:30
Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur MappemondeL’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
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8:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur MappemondeLes classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.
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7:30
WebMapping 3D : définition et introduction à CesiumJS
sur GeomatickLe WebMapping 3D est la cartographie de données spatiales dans un environnement tridimensionnel, généralement dans un navigateur Web. Cette technologie permet aux utilisateurs de visualiser et d’interagir avec les données géographiques de manière plus immersive et réaliste que les cartes 2D traditionnelles. Alors, Comment faire une Map 3D en ligne?… Continuer à lire →
L’article WebMapping 3D : définition et introduction à CesiumJS est apparu en premier sur GEOMATICK.
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11:00
Mappery: The Meanderings of the River Ahr
sur Planet OSGeoAnton van Tetering shared this “Map of the meanders of the river Ahr on the wall of restaurant Ruland in Altenahr, Germany. Just like many other buildings in the Ahr-valley, this restaurant was severely damaged in the flood catastrophe of July 2021 which killed at least 135 people in this valley alone.”
MapsintheWild The Meanderings of the River Ahr
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1:00
SourcePole: FOSSGIS 2024
sur Planet OSGeoSourcepole hat an der FOSSGIS 2024 in Hamburg verschiedene Themen mit Vorträgen abgedeckt:
- QGIS Web Client 2 (QWC2) - Neues aus dem Projekt
- QGIS Server Plugins
- BBOX: Kompakter OGC API Server für Features, Tiles und mehr
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11:00
Mappery: Pinocchio Theme Park
sur Planet OSGeoIan Wagner shared this pic of a map of Italy in a Pinocchio themed park in South Korea. Who knew Pinocchio was a thing there?
MapsintheWild Pinocchio Theme Park
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10:09
The Future for Trees
sur Google Maps ManiaLike many people a few years ago I realized that not only is climate change happening but that human beings as a species are doing next to nothing to prevent its escalation. I do believe that the worst excesses of climate change are still preventable. I just see very little evidence that we are making the changes necessary to stop global heating, or even slow our ever increasing rush towards
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0:00
Ecodiv.earth: An addon to download the AHN data in GRASS GIS
sur Planet OSGeoThe r.in.ahn addonIn the previous post, I introduced the ‘Actueel Hoogtebestand Nederland’. To start with a small correction, the version 4 I mentioned isn’t the latest version. Version 5 is being rolled out and is already available for the northern part of the country. But for now, let’s focus on version 4.
In the previous post, I presented some steps to download the AHN for a specific area and import it in GRASS GIS. Downloading was easy using the r.in.wcs addon. However, a few extra steps were required to ensure the imported data would align with the extent and resolution of the original AHN data.
Easy, but why not make it easier yet? So, as it was a rainy day anyway, I used the code presented earlier and wrapped it up in the addon r.in.ahn. Let’s see how to download the DTM for the Land van Cuijk again, but this time using the new addon.
©
Download the DTM for a selected areaNote that this addon only works in locations with the coordinate reference system RD New (EPSG 28992). This is that the CRS of the original data, and the addon is meant to ensure you download the data as it is. This is akin to how the
r.in.gdal
import function works. If you want to import and reproject the data on the fly (similar to ther.import
function), you can use ther.in.wcs
addon.This example shows the steps to download the 0.5-meter resolution DTM for the Land van Cuijk. You’ll need to install the r.in.wcs and r.in.ahn addons 1 2.
Install the required addons.
First step is to import the Python libraries. Note, this will not be repeated with the next scripts.
import grass.script as gs
Now, you can install the two addons using the g.extension function.
gs.run_command("g.extension", extension="r.in.wcs") gs.run_command("g.extension", extension="r.in.ahn")
Install the two addons using the g.extension function.
g.extension extension=r.in.wcs g.extension extension=r.in.ahn
You need the
Figure 1: The g.extension function, started from the command line. Figure 1: The g.extension function, started from the command line.g.extension
function to install addons. In the main menu, go toSettings > Addons extension > Install extension from addon
. Alternatively, type ing.extension
on the command line. The example below is forr.in.wcs
. Repeat this step forr.in.ahn
.Now, download the administrative boundaries of the Dutch municipalities, and extract the boundaries of the “Land van Cuijk”.
Download layer with administrative boundaries of the neighborhood.
gs.run_command( "v.in.wfs", url="https://service.pdok.nl/cbs/wijkenbuurten/2022/wfs/v1_0?", output="municipalities", name="gemeenten", )
Next, extract the boundaries of the municipality of “Land van Cuijk”
gs.run_command( "v.extract", input="municipalities", where="naam = 'Land van Cuijk'", output="LandvanCuijk", )
Get the vector layer with the boundaries of the municipality.
v.in.wfs url="https://service.pdok.nl/cbs/wijkenbuurten/2022/wfs/v1_0?" \ output=municipalities name=gemeenten
Next, extract the boundaries of the municipality of “Land van Cuijk”
v.extract input=municipalities where="naam = 'Land van Cuijk'" \ output="LandvanCuijk"
Type in
Figure 2: Download the vector layer with the municipality boundaries. Define the base URL and the name of the output layer. Figure 2: Download the vector layer with the municipality boundaries. Define the base URL and the name of the output layer. Figure 3: Download the vector layer with the municipality boundaries. Fill in the name of the WFS layer to download. Figure 3: Download the vector layer with the municipality boundaries. Fill in the name of the WFS layer to download. Figure 4: Extract the boundaries of the municipality of Land van Cuijk. Select the name of the vector layer with municipalities and give the name of the output layer. Figure 4: Extract the boundaries of the municipality of Land van Cuijk. Select the name of the vector layer with municipalities and give the name of the output layer. Figure 5: Extract the boundaries of the municipality of Land van Cuijk. Fill in the query, which defines which features you want to select and save. Tip: Use the convenient query builder. Figure 5: Extract the boundaries of the municipality of Land van Cuijk. Fill in the query, which defines which features you want to select and save. Tip: Use the convenient query builder.v.in.wfs
on the command line or in the console. You can also find the function undermain menu > File > Import vector data
. This opens the following screen (you need to fill in parameters in two tabs):Now, set the region to match the extent of the municipality. Note, you do not need to be concerned with the resolution;
r.in.ahn
will adjust the resolution and extent to make sure the imported data aligns perfectly with the original AHN data. This is done by setting the resolution to 0.5 meters and subsequently extending the region’s extent until it aligns with the original AHN data layer.Set the region to match the vector layer LandvanCuijk.
gs.run_command("g.region", vector="LandvanCuijk")
Get the vector layer with the boundaries of the municipality.
g.region vector=LandvanCuijk
Type in
Figure 6: Set the region to match the extent of the vector layer LandvanCuijk. Figure 6: Set the region to match the extent of the vector layer LandvanCuijk.g.region
on the command line or console, or open the function’s window viamenu | Settings | Computational region | Set region
.Now, you can run the
r.in.ahn
function to import the layer. Note that by default, the addon will change the region you just defined. It will set the resolution to 0.5 meters (this is the resolution of the AHN data you are about to download). It will furthermore expand the extent so that it aligns perfectly with the AHN data.Import the DTM using the
r.in.ahn
function.gs.run_command("r.in.ahn", product="dtm", output="dtm_05")
Get the vector layer with the boundaries of the municipality.
r.in.ahn product=dtm output=dtm_05
Type in
Figure 7: Open the r.in.ahn plugin, select the product to download (dtm or dsm) and provide the output layer name. Figure 7: Open the r.in.ahn plugin, select the product to download (dtm or dsm) and provide the output layer name. Download whole tilesr.in.ahn
on the command line or console. A third way is shown in the image below. Open theTools tab
and go toAddons
. The function should be available there.If you set the
-t flag
, the function will import the DTM or DSM for all 6.5×5 km AHN tiles that overlap with the current region. In addition, a vector polygon layer will be created with the tile boundaries.Define the region for which you want to download the data, and import the DSM using the
r.in.ahn
function. Set the -t flag to download the DTM for the area covered by the tiles that overlap with the region.# Set the region gs.run_command("g.region", n=412572, s=411280, w=188911, e=190085) # Import the tile(s) that include the selected region gs.run_command("r.in.ahn", product="dtm", flags="t", output="dtm_05_subset")
# Set the region g.region n=412572 s=411280 w=188911 e=190085) # Import the tile(s) that include the selected region r.in.ahn -t product=dtm output=dtm_05_subset)
Open the
Figure 8: Set the region bounds. Figure 8: Set the region bounds.g.region
addon by typing g.region on the command line, in the console, or using the menu. Fill in the northern, southern, western, and eastern limits of the area for which you want to download the data.Type in
Figure 9: Open the r.in.ahn plugin, select the product to download (DTM or DSM) and provide the output layer name. Figure 9: Open the r.in.ahn plugin, select the product to download (DTM or DSM) and provide the output layer name.r.in.ahn
on the command line or console. Or go to theTools tab
and go toAddons
. The function should be available there. Fill in the required fields, like in the previous examples. Next, go to theOptional
tab and selectDownload whole tiles
.The extent of the imported layer covers the 6.5×5 km AHN tile. In addition to the raster layer, you’ll have a vector layer with the boundary of the downloaded tile(s). This vector layer has the same name but with the suffix *_tiles*.
You should be aware that running the function will adjust the computational region so that it aligns with the imported data. You can avoid this by setting the -g flag, as illustrated in Figure 10.
Figure 10: A: The downloaded 6.5 x 5 km AHN tiles that intersect with the user-defined region, here indicated by the orange outline. In addition, a vector layer with the boundaries of the tiles is created. The red outline shows the adjusted region extent after running the function. The blue outlines show the boundaries of the downloaded tiles. B: The same, but with the -g flag set. With this flag set, the user-defined region (red outline) will not be altered . Figure 10: A: The downloaded 6.5 x 5 km AHN tiles that intersect with the user-defined region, here indicated by the orange outline. In addition, a vector layer with the boundaries of the tiles is created. The red outline shows the adjusted region extent after running the function. The blue outlines show the boundaries of the downloaded tiles. B: The same, but with the -g flag set. With this flag set, the user-defined region (red outline) will not be altered . FootnotesYou are expected to be familiar with GRASS GIS and the concept of region used in GRASS GIS. If you are new to GRASS GIS, you are warmly recommended to first check out the GRASS GIS Quickstart and the explanation about the GRASS GIS database.??
Downloading the DTM for the whole municipality will take a while. If you want to speed things up, you can work with a smaller area by using your own vector data.??
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18:15
Taïwan : une île en état d’alerte ?
sur Les cafés géographiquesL’agression de l’Ukraine par la Russie a ravivé les inquiétudes sur la sécurité de Taïwan.
La petite île doit-elle redouter une prochaine invasion de son grand voisin chinois ?Jacques Gravereau (Photo de J.-P. Némirowsky)
Le Café de la Mairie était bondé pour écouter Jacques Gravereau nous parler de Taïwan, de sa société, de sa géographie particulière et surtout de ses relations avec la Chine. Grand expert des questions économiques et politiques liées à l’Asie, notre intervenant, président pendant 25 ans de l’Institut HEC-Eurasia, a une connaissance approfondie de la deuxième puissance mondiale dans laquelle il a fait 70 séjours. Et c’est sur un ton combinant humour et érudition qu’il analyse la situation d’une zone très sensible de notre monde.
Les médias occidentaux s’intéressent de plus en plus à la Chine à partir de 1989, année de Tiananmen et de la bifurcation majeure de la trajectoire économique chinoise. C’est ce que constate Jacques Gravereau qui a également pratiqué de près la diplomatie multilatérale en représentant longtemps la France au PECC (Pacific Economic Coperation Council) dont la France est membre eu égard à sa position dans le Pacifique grâce à la Nouvelle Calédonie et à la Polynésie. Dans cette enceinte, Chinois et Taïwanais (sous l’appellation de « Chinese Taipei ») discutent beaucoup ensemble – J. Gravereau reviendra à plusieurs reprises sur ce fait.
Que dire de la conjoncture actuelle ?
Xi Jinping a-t-il des velléités d’empire ? Depuis son arrivée au pouvoir il y a 11 ans, ses discours multiplient les appels à la « réunification » de la Chine avec Taïwan. Les manœuvres d’intimidation chinoises dans les eaux qui entourent l’île sont nombreuses, comme l’actualité récente ne cesse de l’illustrer, notamment par des incursions menaçantes répétées de chasseurs chinois à proximité immédiate de Taïwan. Le détroit de Taïwan est toutefois juridiquement constitué d’eaux internationales libres de navigation. Ce que les navires de la septième flotte américaine rappellent périodiquement en y passant intentionnellement.
Il est utile de rappeler brièvement l’histoire de Taïwan.
Ce sont d’abord des Aborigènes du Pacifique qui ont peuplé l’île. Puis des paysans chinois, originaires du Fujian voisin, s’y installent à partir du XVe siècle. Peu nombreux et « mal reçus » dans un premier temps, ils constituent un flux continu de migrants au XVIIIe siècle, alors que les Européens, Portugais puis Hollandais, s’intéressent aussi à la grande île. Les Aborigènes seront progressivement repoussés dans les montagnes. Lorsqu’à la fin du XIXe siècle, en 1885, Taïwan devient une province dépendant de l’empereur de Chine, 4 millions de Chinois parlant la langue du Fujian y vivent. Dix ans plus tard, le traité de Shimonoseki, qui met fin à la guerre sino-japonaise, donne au Japon la souveraineté sur Taïwan. Taïwan ne retournera à la Chine – alors dirigée par Tchang Kaï-chek – qu’au moment de la capitulation japonaise dans la guerre du Pacifique, en 1945.
En 1949 Tchang Kaï-chek, battu par les communistes sur le continent, installe à Taipei le gouvernement d’une « République de Chine ». De 1895 jusqu’à aujourd’hui, aucune autorité pékinoise, aucun soldat de Chine continentale, n’a mis les pieds sur le sol de Taïwan.
L’histoire racontée par Xi Jinping dit que Taïwan a de tout temps été une province chinoise inaliénable. Elle est instrumentalisée dans le droit fil d’une vision impériale ancienne. Un empire, en effet, n’a pas de frontières fixes, il a des « marches » bonnes à être vassalisées. Cela a toujours été, en Chine comme en Russie ou dans l’empire ottoman.
Depuis 1949, Taïwan et Chine ont connu deux évolutions différentes.
Taïwan est d’abord menée de main de fer par Tchang et son parti unique, le Kuomintang. Après la mort du leader autoritaire (1975), son fils entreprend la démocratisation du régime, ce qui est facilité par la conjoncture internationale. On vit alors la période de la mondialisation « heureuse » (boom économique du Japon, puis des « quatre petits dragons » asiatiques, dont Taïwan. Les progrès fulgurants favorisent l’éclosion de classes moyennes éduquées et entrepreneuriales, soucieuses de vivre selon des règles stables affranchies de l’arbitraire. A la fin des années 1980, l’éclosion du multipartisme, servie par la transparence des élections accouchent d’une démocratie authentique. Les Taïwanais ne sont pas prêts à régresser sur ce plan (la situation de Hong Kong leur sert de repoussoir absolu). A 80% il se revendiquent comme « Taïwanais » ; seulement 2% se définissent « Chinois ». D’accord pour avoir des relations avec les Chinois, mais uniquement sur le plan du business. Lors des dernières élections présidentielles de 2023, c’est le candidat non prochinois qui a été élu, mais personne ne s’aventurerait à prononcer le mot tabou d’ « indépendance ».
En Chine, Mao Zedong, arrivé au pouvoir en 1949, évoque à maintes reprises la « réunification de la province renégate » et envoie en 1955 et 1958 son armée bombarder les îles Kinmen et Matsu, tout proches du continent. Le mantra de la « réunification » est rabâché régulièrement par les successeurs de Mao, ce qui témoigne de la frustration des Chinois. Mais toute velléité d’attaque est obérée par les contraintes géographiques (éloignement des côtes, relief montagneux) et militaires (proximité de l’armée américaine).
Après Mao, Deng Xiaoping met la croissance économique au centre de sa politique et fait profil bas en matière internationale. C’est l’arrivée au pouvoir de Xi Jinping en novembre 2012 qui remet au centre du « rêve chinois » les ambitions internationales de l’« empire du milieu ». On proclame : « la mer de Chine est à nous » (jusqu’aux Philippines) et on bétonne les petits atolls pour en faire des pistes d’atterrissage.
La Chine fait des efforts considérables depuis quelques années pour se doter d’une imposante flotte de guerre. Elle a lancé en trois ans l’équivalent de toute la flotte de guerre française actuelle. Elle est encore en état d’infériorité sur les sous-marins et les porte-avions, mais ses ambitions sont grandes. De plus, la Chine est entourée d’une chaine d’iles (Japon, Philippines etc…) qui contraignent son déploiement dans les eaux profondes du Pacifique.
Actuellement la stratégie de Xi pour soumettre Taïwan déploie une panoplie impressionnante en « zones grises », faite de cyberattaques (5 millions par jour !), de désinformations systématiques, de menaces de rétorsions en tout genre, de fait accompli hors du droit international (en mer de Chine en particulier). Les gesticulations militaires chinoises sont amples et récurrentes, par des moyens ou aériens, tels des masses de chasseurs fonçant dans la zone d’identification aérienne de Taïwan, avant de faire subitement demi-tour). Quand les Américains se montrent trop empressés à l’égard de Taïwan, les menaces montent de plusieurs crans, et l’incertitude devient difficile à gérer. C’est le but.
Quels scénarios pour le futur ?
Trois scénarios sont envisageables.
Le « scénario vert » serait le statu quo avec la poursuite des échanges commerciaux. 40% des exportations taïwanaises partent en Chine et les Chinois ont besoin des entreprises taïwanaises implantées sur leur sol. Taïwan a sur son sol un joyau industriel unique : TSMC (Taïwan Semiconductor Manufacturing Company), qui contrôle actuellement 58% du marché mondial des semi-conducteurs de dernière génération.
Dans le cas d’un « scénario orange », les Chinois pourraient intensifier leurs intimidations, en ajoutant par exemple à leur panoplie actuelle des actions de quarantaine ou d’embargo maritime et aérien pour isoler Taïwan, qui dépend évidemment de ses échanges avec l’étranger.
Le « scénario rouge » aboutirait au lancement d’une attaque majeure sur l’ile, ce qui provoquerait un bain de sang. En effet, l’effet de surprise indispensable à une attaque amphibie est très hasardeux à cause du renseignement moderne et de l’importante flotte de missiles taïwanais. Néanmoins, si Taïwan est laissée à elle-même sans assistance extérieure, ses perspectives sont celles d’un champ de ruines. Mais le « coût d’acquisition » pour la Chine serait hors de sens. Tout dépendrait alors des Etats-Unis, présents dans quatorze bases autour de l’île (Guam, Okinawa, Japon, Philippines, Corée du Sud…). S’ils n’interviennent pas, ils perdent stratégiquement l’océan Pacifique et dynamitent l’ensemble de leurs systèmes d’alliances majeures en Asie et sans doute dans le monde. S’ils interviennent, ils subissent de lourdes pertes, mais tous les wargames indiquent que la Chine ne peut pas l’emporter.
La rationalité voudrait que Xi Jinping et les forces de rappel du Parti communiste chinois n’aillent pas jusque-là. Mais c’est une science inexacte !
Questions de la salle
A une question sur les relations entre Taïwan et Hong Kong, J. Gravereau confirme les liens étroits entre les deux territoires en matière de business, malgré la chape de plomb politique qui pèse sur la région administrative spéciale chinoise.
Une étudiante qui, pour ses travaux de recherche, a travaillé chez TSMC, précise que, depuis trois ans, aucun équipement de dernière génération n’a été vendu à la Chine et que beaucoup d’entreprises taïwanaises ont quitté le continent à cause de l’arbitraire chinois qui peut s’exercer sur n’importe quelle personne. Le climat des affaires n’est pas bon.
J. Gravereau n’est pas convaincu, comme le suggérait un auditeur, que l’« obsession chinoise » que subit Taïwan soit un voile pour masquer les actuels problèmes économiques chinois, car elle date de 1949.
Peut-on dire que le régime chinois « tangue » actuellement comme pourraient le faire soupçonner les purges anti-corruption et la « disparition » de certains ministres comme celui des Affaires étrangères et celui de la Défense ? On ne peut rien affirmer, ni sur la solidité du régime, ni sur celle de la base du pouvoir de Xi Jinping.
Une précision est donnée sur l’implication militaire des Etats-Unis : ils ne possèdent pas de base sur le territoire même de Taïwan mais lui vendent annuellement du matériel militaire d’une valeur de 500 millions $.
Note :
Jacques Gravereau vient de publier « Taïwan, une obsession chinoise » avec de nombreuses cartes en couleurs aux éditions Hémisphères, janvier 2024.
Michèle Vignaux, relu par Jacques Gravereau, mars 2024
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11:00
Mappery: A map lover’s birthday present
sur Planet OSGeoGregory Marler said “I got a scarf for my birthday, it’s got 2 country maps on it! Would @mappery count this as a map in the wild? At the least it is being worn beside my wild/unkempt beard.”
The answer is definitely “Yes”
Who can work out the country that is not UK? (Greg can’t answer)
MapsintheWild A map lover’s birthday present
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9:40
Jackie Ng: Avalonia UI Test Drive
sur Planet OSGeoAs the title implies, this blog post is about my experience test driving Avalonia UI.
So why am I doing this?
I've been getting growing questions lately about whether MapGuide Maestro works on Linux via Mono.
Sadly I no longer emphasize anything regarding Mono compatibility because.
- WinForms support (in legacy .net Framework 4.x) on Mono is pretty much a hack.
- And since we've moved away from legacy .net Framework to .net 6.0, the combination of WinForms + .net 6.0 is probably an unsupported combination (you don't use Mono to run .net core/5.0+ applications, you use Microsoft's official SDK/runtime). I'm also not too keen to waste time and resources to test and find out.
And in terms of .net multi-platform UI frameworks, there's only one logical choice: Avalonia UI
While it is not in my immediate plans to rewrite MapGuide Maestro's UI in Avalonia, I wanted to at least explore the feasibility of building such a UI even if all the actual functionality is mocked up, just to see how easy or difficult the whole process is.
Hence the motivation for this post.
So why Avalonia?
Avalonia is effectively the "spiritual successor" to WPF, and adopts most of the same patterns and practices when building UIs for Avalonia.
I had first heard about Avalonia when it was formerly known as Perspex and at the time, from the screenshots of example Perspex applications on Windows and non-Windows platforms, it was clear at that point in time the range of possible applications one can build with Perspex was quite limited and building an application like Maestro on top of Perspex was not feasible.
Just recently, I had heard about the framework now known as Avalonia again and this time round there was a lot more positive buzz around it, so I gave it another look and was much more impressed at its capabilities and richer suite of UI controls to build applications with.
Our objectiveMy objective with this Avalonia learning exercise was to build a minimal multi-document interface skeleton application, mimicking the primary functionality (UI-wise) of MapGuide Maestro.
- Being able to present a login UI to connect to a MapGuide Server
- Present MapGuide Server resources in a tree view
- Open resources in a region of tabbed editor panels and being able to close them.
If this kind of UI looks familiar, yes it's basically the UI for tools like:- Visual Studio Code
- Azure Data Studio
- Azure Storage Explorer
- any many others like them!
The benefit of such a UI, is that it doesn't require an explicit VS-style window docking control like I have for the current WinForms-based MapGuide Maestro. I can already see the controls needed to build such a UI
Any UI toolkit worth its salt should to able to provide these basic controls.
This is a proof-of-concept, so we won't be using the existing Maestro API to talk to actual MapGuide Servers. Instead such functionality will be mocked up for this application. The main purpose of this exercise is to see if Avalonia provides enough of the base UI elements to build a hypothetical version of MapGuide Maestro on top of.
It turns out this exercise was fraught with several challengesChallenge #1: Getting familiar with Avalonia conceptsThe first challenge was simply getting familiar with Avalonia concepts. Being someone who did .net desktop app development primarily in Windows Forms, I skipped over WPF, and its XAML-based variants/successors like Silverlight, Xamarin Forms, UWP, and MAUI, and Avalonia being a "spiritual successor" to WPF meant that I didn't have a potential conceptual head start on Avalonia that one might have if they already had experience with WPF and its XAML-based derivatives.
However, I was familiar with the MVVM pattern and data-binding, which is used heavily in Avalonia. I already had experience in knockout.js building/maintaining some of our web apps in my day job, and these concepts learned from knockout.js mostly translate cleanly 1:1 to Avalonia.
The other Avalonia concepts I'll have to figure out as we go along.
Challenge #2: WebAssembly (WASM) supportBefore I begin, I must take the MapGuide-knowledgable readers of this post back in time, way back to when MapGuide Open Source 1.0 was released.
Do you remember how this new (at the time), re-invented version of MapGuide was released, but the only authoring option at the time was to buy a license of Autodesk MapGuide Studio? Not a pretty look if you are offering a free and open source web map GIS server, but the authoring tools are not?
Some members of the MapGuide community were aware of this glaring discrepancy and created a web-based equivalent of MapGuide Studio called Web Studio built fully with HTML/JS/CSS. Unfortunately, Web Studio was really bare-bones in terms of authoring capabilities and the code being written in the pre-historic era of javascript (this was circa 2006-2007) which did not make it conductive to external contribution. React, TypeScript and friends weren't around then, so trying to enhance Web Studio with new features was extremely challenging. I once tried to add at least a generic XML text editor fallback for Web Studio so you had something to edit various resources where Web Studio did not provide a dedicated editor UI for, but alas this was just too challenging for me and I gave up on such an idea.
But eventually another user of the MapGuide community solved this problem more directly by developing and releasing a v1.0 of a windows .net desktop application that you all know as MapGuide Maestro. As an aside, I am not the original author of MapGuide Maestro in case you're wondering, I merely took over development and maintenance of Maestro from the 2.1 release onwards.
Anyways, back to the topic at hand, when I created the new Avalonia application with the provided project template, I was most surprised to see that the generated solution came with a project that compiled to WebAssembly (WASM) that was ready to run in your web browser!
This was a mind-blowing revelation for me from a conceptual standpoint. It means our hypothetical MapGuide Maestro built on Avalonia could not only exist as a regular desktop application, but the WASM build of this application could be dropped in the the wwwroot of a MapGuide Web tier installation and you would now have a modern version of Web Studio, but much more powerful and capable, because it is just MapGuide Maestro ... now in your web browser!
Since our starter project template includes a functioning WASM browser target. I now had a strong incentive to keep this target active and working, because the prospect of being able to run MapGuide Maestro in a web browser is a very tempting proposition. Therefore, the choice of libraries and APIs I use is constrained by my new requirement of being able to work in a browser/WASM environment.
For example, I originally wanted to use MVVMDialogs to simplify working with dialogs (Maestro has lots of dialogs, so I figure such a library could be useful), but I couldn't get this library to work in a WASM environment with some of my testing dialogs, so this was a no-go. Since this was just a proof-of-concept, there wasn't a need to have working dialog system, but it does mean if this were to go beyond a proof-of-concept and into an actual application where we will inevitably have to present a dialog of some sort, I'd have to come with a paradigm that can work in both desktop and browsers.
Another problem with this WASM target is that I can't seem to debug it in Visual Studio. You can launch the WASM target in the debugger and spawn a new browser window to launch your app, but any breakpoints you stick in your C# code are not being hit. I'm not sure if this a shortcoming or a broken feature, but it is somewhat concerning if we were to go full steam ahead with support WASM as a compilation/deployment target.Challenge #3: "Large scale" MVVMAlthough I already knew the MVVM pattern from knockout.js, my scope of usage was mostly limited to using knockout.js to building "islands" of interactive client-side content on primarily server-generated web pages. So I didn't really have an idea of how to apply such a pattern on a full blown Single Page Application (SPA), which is pretty much what we're trying to achieve (conceptually) in Avalonia. By the time I was building SPAs proper, I had moved on the popular stuff like React, which is how I gained the knowledge needed to build a modern replacement map viewer for MapGuide and my usage of knockout.js fell by the wayside as a result, so I never figured out the answer for how to do large scale MVVM.
The main problem was that in a large scale MVVM, how do view models communicate with each other without a tight parent-child coupling?
I deduced that for starters, we definitely need to use dependency injection. Various view models will need to access different services and if we had a root view model with explicit nested child view models (each with their own service requirements), it would be an absolute pain to have to setup these various view models. Using a DI container means we can offload this concern to it and we can focus on just asking the DI container for a particular view model and it will setup all the required services for it for us provided we register everything properly with the DI container.
For better WASM support, I wanted a dependency injection container that is not driven by reflection to make the code more friendlier to app trimming. We want to be able to app trim on publish so that we can eliminate unused code and reduce the final binary size. This is most desirable for the WASM target as app trimming means smaller binaries, which means smaller payloads to download in a web browser. StrongInject was chosen for this reason as it was a "compile-time" DI container that can verify all your dependencies are registered properly before running the application through the magic of source generators, generating all the necessary registration and validation code for you.
Finally, to be able to communicate between view models without necessary parent-child coupling, the messenger facility of the MVVM toolkit can be used. With this messenger facility, we simply:- Have select view models be recipients of certain messages
- Have our application services (that various view model commands call) send these messages.
- Relevant recipients get notified and update themselves (and their bound UIs) accordingly as a result.
The reason is because the tab content we want to show is not homogenous. One open editor tab could be for a layer, one for a map, one for a feature source, etc, etc. So we need to be able to show different tabs on the same tab control.
Avalonia documentation is pretty scant on this topic. All examples I found assume homogenous series of tab content, which is not our case.
Just for laughs, since AI has been hyped for soon taking away everyone's jobs (even us devs), I figured I'd ask huggingface chat (as a guest), how would you solve this problem?
Unfortunately, the provided code sample does not work out of the box. It clearly assumed Avalonia = WPF and gave me a WPF-based solution. The giveaway was the Avalonia TabControl does not have an ItemTemplateSelector, but the WPF TabControl does.
But Avalonia sharing many conceptual similarities with WPF meant that although the answer provided wasn't correct, parts of the answer were applicable and did lead me down to further avenues of inquiry and eventually I found the solution: It was to define a data template for every possible derived tab view model class in the same UserControl where the TabControl was specified.Final challenge: Avalonia VS designerThis wasn't so much a challenge, rather an annoyance. The Avalonia designer in Visual Studio has some teething issues- Intellisense/autocomplete is somewhat flaky when writing binding expressions and when you're doing a lot of data-binding, having the editor giving you and incomplete or outdated list of properties you can bind to becomes annoying. A full project build generally fixes this, but it is annoying having to do this every time I add new observable properties or commands to an existing view model class.
- It's also not rename-aware, so observable property or command renames will result in stale binding expressions, causing havoc with the designer and have to be manually fixed up in the XAML. Choose your observable property names wisely I suppose, because renaming them afterwards is painful.
And if these screenshots don't convince you, thanks to being able to deploy as a WASM target, I deployed a copy to GitHub pages, so you can see this app for yourself right in your WASM-enabled web browser!
The source code for this app can be found here. One day this may form the basis of a new (true) multi-platform version of MapGuide Maestro, but for now this lies as a potentially useful starting point for building a tabbed-multi-document editor application with Avalonia.
So what did I think of Avalonia from this little experiment?- I like it mostly. My pre-existing experience on knockout.js helped greatly with picking up MVVM and data-binding. My initial prediction of a VSCode-style UI layout being buildable turned out to be true.
- I like the default (project template provided) choice of MVVM Toolkit for applying the MVVM pattern. I like their heavy use of source generators to make adding new observable properties and commands to a view model being a simple case of tacking [ObservableProperty] on a field or tacking [RelayCommand] to a private method and having the source generator generate all of the boilerplate code for you (and it's a lot of boilerplate!).
- The revelation that Avalonia has a WASM deployment target was both exciting and "cramping my style". It meant that certain libraries I wanted to use (eg. The MVVM dialogs library) could not be used and it wasn't clear what would work in a WASM browser environment and what wouldn't. Which leads to ...
- Documentation is lacking in some areas. What really stumped me for a while was how do a TabControl bound to a collection of polymorphic or heterogenous tab view models. Their provided examples completely failed to tell me how to do this. I suppose if I came into this with existing WPF experience, this wouldn't have been so difficult as most of the concepts and patterns seem to be mostly transferable, but I happened to have skipped WPF and its bajillion XAML-based derivatives, so I didn't have this pre-existing knowledge to fall back on. Through perseverance and looking at the source code for many existing Avalonia applications on GitHub, I was finally able to determine that data templates was the solution.
Now I better get back onto this MapGuide/FDO work.
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8:34
FlightRadar's New GPS Jamming Map
sur Google Maps ManiaYesterday the live real-time global plane tracking website FlightRadar released a new interactive map which detects and tracks interference and jamming of GPS signals across the world. The map uses a simple to understand colored overlay to show in near real-time areas around the globe currently experiencing levels of interference to global navigation satellite systems. GPS jamming
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17:47
GIScussions: Your Map Inside
sur Planet OSGeoA few weeks ago I recorded a Geomob Podcast with Ana Lucía González Paz about her beautiful flipbook, A Map Inside. You can read the book in a few minutes and then you can listen to the podcast
[https:]]Towards the end of each podcast, I give my guest the opportunity to go off piste and talk about a subject that they choose (in the past we have talked about digital privacy, mental health and open source sustainability to mention just a few). Ana said that she would like to ask me to describe my Map Inside and you can hear how I replied at the end of the podcast.
After we recorded the podcast, I was chatting with Ana and we thought that it would be fun to get other people to share their Map Inside. Everyone has a Map Inside connected to memories, people, special moments, would you like to share yours? Just record a short audio clip in mp3 format running for 60 to 120 seconds and mail it to me (if you don’t know my email use the Contact Form to reach me or find me at Mastodon). Assuming we get a few responses, Ana and I will put together an episode of the podcast with a selection of your Maps Inside.
Hope to hear from you with your Map Inside
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15:30
Le dessin du géographe n°99. Dessins pédagogiques de découverte du bocage (enfants de 3 à 9 ans)
sur Les cafés géographiquesCes dessins sont ceux d’enfants de 3 à 9 ans que j’ai amenés dans un petit bocage (vallée du Valbonnais, massif des Écrins, printemps 2022) avec l’intention de leur en faire découvrir la richesse. Ce ne sont pas des dessins de géographes, ni géographiques, mais le dessin ici est un moyen de découverte pédagogique du milieu. L’activité se déroulait dans le cadre d’une association qui propose des « ateliers nature » et les objectifs en termes de contenus ou de compétences étaient relativement peu formalisés, alors que l’aspect convivial et le plaisir simple d’être en extérieur étaient centraux.
Le bocage en question, où nous nous sommes rendus, est un endroit que les enfants connaissent mais qu’ils n’identifient pas comme tel. Je leur ai proposé successivement trois exercices : celui de dessiner un arbre ou arbuste, puis des plantes de la prairie, et enfin une vie ou une trace de vie animale (insecte, oiseau …). Une fois l’activité lancée j’ai incité individuellement ceux qui étaient les plus rapides à prêter attention à ce qui était en hauteur, à ce qui était au niveau du visage, ou à ce qui était au sol, avec l’idée qu’ils remarqueraient peut-être que des espèces différentes habitent ces étages des haies. Les consignes étaient des invitations et certains enfants se les sont réappropriés. Tel petit (3 ans) qui ne voulait pas dessiner a accepté de choisir un sujet que j’ai représenté pour qu’il le colorie (fig.1, rouge-gorge) ; tel enfant plus grand a préféré prendre des échantillons de feuilles pour les reproduire par frottage (fig.2, noisetier, cornouiller sanguin, érable…).
Finalement nous avons regroupé nos dessins pour échanger. Il en est ressorti l’idée de milieux riches, avec des habitats variés et de nombreuses espèces entretenant des relations entre elles.
Enfin, nous avons réfléchi sur l’origine d’un tel milieu, pour évoquer bien sûr la place de l’homme. Sans employer le terme il était question de co-suscitation des milieux (homme-nature).Le dessin a donc été un outil qui a servi d’abord de prétexte attrayant pour visiter le lieu et le parcourir (rando-croquis), ensuite pour y rester un long moment attentif et concentré. Puis a suivi un moment où exprimer de l’information et une sensibilité. Enfin, ce fut un temps de partage et de réflexion collective à partir des nombreuses observations.
Cette approche s’inscrit dans le vaste cadre de la pédagogie par le dehors. Elle est source de connaissances, mais nourrit aussi le lien affectif et sensible des enfants à leur environnement.
Fig.1 : Rouge-gorge Fig.2 : Feuilles diverses (cornouiller sanguin, pissenlit, noisetier…) Fig 3 : Ronce Fig 4 : Insectes variés (lacon souris, syrphe, larve de coccinelle etc.) Fig 5 : J’ai dessiné un des enfants lors de cet exercice. Simon Estrangin, mars 2024
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11:09
La RSE n’est pas qu’un vague concept à Geomatys
sur Le blog de Geomatys/*! elementor - v3.21.0 - 26-05-2024 */ .elementor-heading-title{padding:0;margin:0;line-height:1}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title[class*=elementor-size-]>a{color:inherit;font-size:inherit;line-height:inherit}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-small{font-size:15px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-medium{font-size:19px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-large{font-size:29px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-xl{font-size:39px}.elementor-widget-heading .elementor-heading-title.elementor-size-xxl{font-size:59px}La RSE et Geomatys- 21/03/2024
- Isabelle Pelissier
… Nous essayons, dans la mesure de nos possibilités de nous servir de notre spécificité pour aider les personnes qui en ont besoin d’une quelconque manière.
C’est dans ce cadre que nous avons accueilli courant mars 2024 et durant 2 jours Vincent D. qui est en cours de réorientation. Après plusieurs semaines de recherche infructueuse, pour être accueilli en observation dans une entreprise d’informatique nous nous sommes organisés pour l’aider. Il souhaitait venir en entreprise pour rencontrer des développeurs et discuter avec eux afin de confirmer son aspiration pour entrer en formation dans le domaine.
Nous avons tous consacré une partie de notre temps pour lui expliquer notre métier. Les développeurs et spécialistes de Geomatys ont joué le jeu en lui présentant aussi bien les spécificités du géospatial que les outils utilisés pour coder ainsi que pour lui faire un retour sur ce qu’ils aimaient dans ce métier et les inconvénients de ce type de travail.
Vincent a eu droit aussi à un cours accéléré sur les outils de management de projet ainsi que des infos sur comment une PME comme Geomatys voyait sa croissance, comment elle fonctionnait au quotidien et les qualités nécessaires pour travailler dans notre structure.
Vincent a vécu 2 jours très denses et, est reparti avec les toutes les informations nécessaires à son choix d’orientation.
C’est l’un des aspects de notre engagement sociétal et nous réfléchissons régulièrement à nos actions potentiels dans le domaine.
Menu Linkedin Twitter YoutubeThe post La RSE n’est pas qu’un vague concept à Geomatys first appeared on Geomatys.
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11:00
Mappery: Route Map Not Available
sur Planet OSGeoKaakapoo shared this “A lack of #MapsintheWild today”
I’m sure this will prompt some debate as to whether the absence of a Map qualifies as an entry here, but you know the rules (editors are always right)
MapsintheWild Route Map Not Available
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9:27
The Sea Trade Monitor
sur Google Maps ManiaPortWatch is a new platform which monitors disruptions to global maritime trade. The platform uses real-time data on ship traffic and maritime trade to provide an alert system on trade disruptions likely to impact shipping trade routes. Recent attacks by Houthi rebels on ships traversing the Red Sea have helped to highlight how marine trade is vulnerable to geopolitical instability..
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9:00
L'anonymisation sous stéroïdes avec le DBToolsBundle
sur Makina CorpusLe DbToolsBundle permet d’anonymiser des tables d’un million de lignes en seulement quelques secondes. Cet article vous présente la méthodologie mise en place pour arriver à ce résultat.
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16:00
Les APIs JavaScript Géoportail deviennent les APIs Web Géoplateforme
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNLes secondes versions adaptatives des APIs à la Géoplateforme sont publiées et actent leur migration vers la Géoplateforme : tous les services Géoplateforme sont désormais interrogeables via ces APIs.
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15:19
Jorge Sanz: Interview at Geomob Podcast
sur Planet OSGeoPièce jointe: [télécharger]
Earlier this week an episode of the Geomob Podcast was published where Steven Feldman interviews yours truly. It was a lot of fun to chat with Steven about Elastic, my experience in the geospatial industry, and Open Source in general. I could also advocate a bit about data privacy and digital identity which is a topic that has picked my interest even more lately with all the shit that is hitting that social network we all know about.
If you want to learn a bit about Elastic and Geo this is maybe a good opportunity to get a condensed gist of why would anyone want to store and analyze geospatial data in Elasticsearch, a few compelling use cases and so on.
Cheers!
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11:00
Mappery: Fushimi Inari-taisha Park
sur Planet OSGeoRaf shared this beautiful map from Fushimi Inari-taisha park in Kyoto.
MapsintheWild Fushimi Inari-taisha Park
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10:28
Incident en cours sur le téléchargement
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIncident en cours sur le téléchargement -
10:28
Incident en cours sur le téléchargement (résolu)
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIncident en cours sur le téléchargement
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9:36
The most mis-mapped US states
sur Google Maps ManiaAccording to the 55,387 players of the online game 'Find the Location of ...' Texas, California and Virginia are the most well-known states in the United States. Based on the results of this popular mapping game North Dakota, Missouri and Wyoming are the least well-known statesFlagWhiz.com's map game Find the Location of ... requires players to position the outlines of states onto a near empty
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9:00
L'info géo intéresse de plus en plus !
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueL'année bissextile nous va bien ! Notre site sigtv.fr a accroché un record de fréquentation en février 2024. Précisément, 54.725 pages ont été vues durant ce seul mois marquant l'intérêt pour les sujets autour de l'information géographique et de l'utilisation des SIG. Un autre chiffre en atteste par ailleurs : 106.032 pages sigtv.fr ont été remontées en février en résultats par les moteurs de recherche. Il faut dire que la généralisation des géo pratiques permet de multiplier les angles de nos articles et ainsi attirer un nouveau public. De là à fidéliser ces nouveaux venus il y aura encore beaucoup à faire, mais notre rédaction ne va pas bouder son plaisir. Et puis, nous allons essayer de convaincre cette moitié d'internautes qui n'a pas cliqué sur le lien proposé notamment par Google...
Les scores enregistrés depuis début janvier sont ainsi de bon augure pour cette année anniversaire de notre média (10 ans en juin). En 2023, sigtv.fr a atteint 450.000 pages vues pour une moyenne de 10.500 visiteurs par mois. L'intérêt pour sigtv.fr se constate aussi sur les réseaux sociaux et principalement sur notre page LinkedIn qui compte désormais plus de 3.000 abonnés. Tout cela permet à nos infos d'avoir encore plus de résonance et de nous mettre au défi d'atteindre le demi million cette année. Ce serait pas mal pour un média de "niche" et une structure aussi petite que la nôtre. Alors, merci de votre soutien et de votre fidélité pour nous aider à y parvenir !
N'oubliez pas de participer à notre enquête lecteurs. Votre avis est important pour faire évoluer votre média comme vous le souhaitez:
[https:]]
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1:00
Camptocamp: Camptocamp at FOSSGIS 2024
sur Planet OSGeoPièce jointe: [télécharger]
Camptocamp will join other geospatial professionals at the FOSSGIS conference in Hamburg, Germany from March 20 to 23, 2024. -
20:12
GeoTools Team: GeoTools 31.0 released
sur Planet OSGeoGeoTools 31.0 released The GeoTools team is pleased to announce the release of the latest stable version of GeoTools 31.0: geotools-31.0-bin.zip geotools-31.0-doc.zip geotools-31.0-userguide.zip geotools-31.0-project.zip This release is also available from the OSGeo Maven Repository and is made in conjunction with GeoServer 2.25.0 and
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14:43
CityBuilder : faciliter la reconstruction 3D
sur OslandiaContexteOslandia participe aux côtés d’Eviden au projet CP4SC, mené dans le cadre de l’AMI Cloud lancé en 2021 par la Banque Publique d’Investissement.
Le sigle CP4SC signifie Cloud Platform for Sustainable Cities et son objectif est d’aider les gouvernements à mettre en œuvre des politiques ambitieuses vers l’atteinte de la neutralité carbone par ingestion des données issues de différentes sources comme la mobilité, la gestion de l’énergie ou l’observation de la terre et de l’environnement
De quoi s’agit-il ?La visualisation 3D de bâtiments est un attendu de nombreux acteurs de la planification urbaine, attendu qui se heurte à deux écueils :
- les données 3D structurées à grande échelle sont peu nombreuses
- il n’existe pas de solution logicielle mature permettant de travailler à grande échelle, même si certains éditeurs proposent des outils propriétaires capables de travailler à l’échelle des bâtiments
Cependant, la disponibilité et la diffusion de nuages de points de grande taille, prend beaucoup d’ampleur ces dernières années : les méthodes et outils de levés terrain ont beaucoup évolué et de nombreux acteurs en ont profité pour acquérir des nuages de points (y compris à l’échelle nationale comme c’est le cas en France avec la couverture Lidar en cours de constitution par l’IGN).
Mais si les nuages de points peuvent être acquis rapidement, ils ne sont pas immédiatement exploitables pour tous les types d’analyse.
L’objectif d’Oslandia à travers le projet est donc de proposer une chaine industrielle de traitement permettant de créer des données structurées depuis des nuages de points, ainsi que des logiciels permettant d’exploiter ces informations, l’ensemble sous licence opensource à gouvernance ouverte bien entendu !
Nous avons déja présenté ici les outils Giro3D et Piero qui permettent la visualisation des données spatiales 3D. Nous allons maintenant parler génération de CityJSON !
CityBuilderParmi les différentes actions menées par Oslandia dans le cadre du projet, CityBuilder simplifie la reconstruction de données 3D géoréférencées. Notre objectif dans un premier temps est de proposer un plugin QGIS pour faciliter l’accès des utilisateurs aux fonctionnalités des outils sous-jacents.
En effet CityBuilder exploite :
- la bibliothèque opensource geoflow, développée par l’université de Delft et la société 3DGI. Geoflow a notamment été utilisé pour générer le bâti 3D de l’ensemble des Pays-Bas
- la cartographie du sol et sursol LIDAR produite par l’IGN
- les fonctionnalités de visualisation 3D de QGIS
Concernant la démarche projet, nous avons travaillé initialement sur la première version prototypale de CityBuilder conjointement à un projet de développement informatique (PDI), séquence des cycles Master1 Géomatique et Ingénieur (2e année) de l’ENSG mené en partenariat avec Oslandia.
En 2024 les travaux ont constitué en amélioration du plugin afin d’utiliser au maximum les outils natifs à QGIS, optimiser ses performances et réduire sa dette technique. Nous avons également intégré une version du code utilisable en ligne de commande.
Geoflow a donc été intégré dans un processing QGIS intégré à la barre d’outils de processing QGIS.
Geoflow permet de générer un fichier de sortie JSON à partir d’un fichier de données de nuage de point et un autre de données d’emprise de bâtiments. Nous utilisons la dernière version de geoflow permettant d’avoir un niveau de detail (LOD Level of Detail) allant jusqu’au LOD2.2.
Pour la version ubuntu l’image docker de geoflow utilisé est celle de l’IGN.
Des données 3D, et maintenant ?La visualisation des données générées peut se faire directement dans QGIS. Ceci est notamment possible grâce aux travaux menés sur le sujet par Oslandia depuis deux ans, qui consistent en une reprise de la dette technique embarquée, l’ajout de tests, des correctifs d’anomalies et le développement de nombreuses fonctionnalités bas niveau qui permettent aujourd’hui de disposer d’une version bien plus stable de QGIS 3D.
Le projet CP4SC étant cloud native, il s’appuie sur Giro3D et son application de visualisation, Piero pour afficher l’ensemble des données spatiales y compris 3D : les données urbaines reconstruites peuvent donc être aussi consultées sur le web.
Démonstration Contactez-nous !Le sujet vous intéresse ? Vous souhaitez mutualiser les efforts de développement sur ces sujets ? Vous voudriez incorporer ces fonctionnalités sur vos plateformes IT ? N’hésitez pas à nous contacter pour en discuter : infos+3d@oslandia.com
Financé par l’Union européenne – Next Generation EU dans le cadre du plan France Relance
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11:00
Mappery: Drinking Longitude
sur Planet OSGeoJavier asks whether this qualifies as a map in the wild? And we say “Why not?”
The blurb on the bottle should say “This wine will coordinate well with food from any latitude”
MapsintheWild Drinking Longitude
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10:10
A Total Scrolly Eclipse
sur Google Maps ManiaIn three weeks time, on April 8, people across large parts of the USA will be able to watch a total solar eclipse. The path of totality, where the Moon's shadow completely falls during a total solar eclipse and where the view of the sun is completely obscured by the moon, will travel around 4,000 miles over North America from the Pacific Ocean west of Mexico, through 15 U.S. states, to the
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7:00
[Témoignage Client] Pierrick Yalamas, Auvergne-Rhône-Alpes Énergie Environnement – TerriSTORY®
sur OslandiaPierrick Yalamas est Directeur intelligence territoriale et observatoires à Auvergne-Rhône-Alpes Énergie Environnement. Initiateur et coordinateur au niveau national du consortium TerriSTORY®, portant l’outil d’aide au pilotage de la transition écologique et énergétique du même nom, il pilote l’équipe de l’agence régionale AURA-EE qui travaille sur le projet. Il revient sur les enjeux du projet ainsi que la collaboration avec les équipes d’Oslandia qui ont travaillé sur les volets techniques et fonctionnels dès 2018.
A quels enjeux répond ce projet ?En tant qu’Agence régionale, nous sommes opérateurs depuis une vingtaine d’années d’Observatoires copilotés par l’Etat et la Région. Notre mission : collecter, produire, traiter et diffuser des données sur le climat, l’énergie, les déchets, les ressources, … afin de les mettre à disposition des territoires pour les accompagner sur les enjeux écologiques.
Avant TerriSTORY®, nous disposions de tableaux et documents mis en forme qui s’avéraient insuffisants pour aider les territoires à passer à l’action.Avec TerriSTORY®, nous disposons aujourd’hui d’un véritable outil d’aide à la décision qui permet de :
- Rendre les données plus appropriables, grâce aux technologies de datavisualisation, à des personnes non initiées aux enjeux énergies / climat, notamment les élus et décideurs du territoire.
- Repositionner la transition écologique dans des enjeux de transition territoriale plus globale grâce au croisement de données sur l’énergie avec des données sur les mobilités, les ressources, les bâtiments, … Nous proposons aujourd’hui une approche systémique.
- Donner les clés permettant de construire une trajectoire et établir des scénarios pour mesurer les différents impacts en termes énergétique, carbone, mais aussi économique ou sur la qualité de l’air.
- Proposer des outils de pilotage des trajectoires et permettre un pilotage coordonné, dans une logique d’articulation entre les différents territoires.
L’outil a été initié en Auvergne-Rhône-Alpes et nous avons proposé à d’autres Régions de mutualiser les développements. Il est aujourd’hui mis à disposition de tous dans 6 régions qui ont accès au module dataviz mais aussi au module « Stratégie territoriale » pour aider au pilotage de la trajectoire.
Comment s’est passée la collaboration avec les équipes d’Oslandia ?La collaboration s’est très bien passée. Nous avons travaillé en mode très agile avec la contrainte d’un budget limité au départ. Nous avons instauré une relation de confiance au cours de laquelle Oslandia a initié les développements et a formé nos équipes en interne pour qu’elles s’approprient les technologies. J’ai apprécié que cela se passe en totale coopération. Oslandia nous a également fait bénéficier de son expérience pour préparer le passage en open-source qui a eu lieu début 2023.
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5:28
Appel à communications - La carte, œil de l’histoire (XVIe-XVIIIe siècle)
sur Cartographies numériques
Appel à communications sur le site de la BnF : La carte, œil de l’histoire (XVIe-XVIIIe siècle)Selon le cartographe anversois Abraham Ortelius (1527-1598), la géographie est «?l’œil de l’histoire?», reprenant une expression déjà courante et en passe de devenir un véritable topos décliné en diverses formulations dans les siècles suivants. Cette expression illustre le lien étroit qui unit histoire et géographie, tout en posant une relation d’inféodation de la seconde par la première. Dans cette perspective, la géographie est perçue comme une discipline auxiliaire à l’histoire et un instrument utile à sa compréhension. La géographie permet ainsi de rendre visibles et lisibles les lieux dans lesquels s’est déployé le récit historique sous toutes ses formes. Il n’est pas surprenant que l’érudit français Pierre Le Lorrain de Vallemont (1649-1721), auteur des Éléments de l’histoire en cinq tomes, affirme à la fin du XVIIe siècle que «?l’Histoire est aveugle?» sans le secours de la géographie, puisqu’elle est sa «?mémoire locale?». Selon lui, il y aurait une différence notable entre un individu qui lit simplement l’histoire d’Alexandre et celui qui l’étudie à l’aide d’une carte géographique sous les yeux. Le premier n’aurait qu’une connaissance imparfaite sur le conquérant macédonien, tandis que le second serait le «?témoin?» direct de son expédition. Ici, Vallemont introduit la carte géographique comme un outil visuel indispensable pour comprendre l’histoire antique. La relation entre histoire et géographie, souvent étudiée de manière théorique, en se fondant sur les traités, les manuels d’histoire et de géographie, s’articule de manière spécifique si l’on pose l’objet cartographique comme point d’observation. La carte, dispositif graphique de visualisation de réalités spatiales, se prête largement à l’observation de phénomènes historiques. Par histoire, il faut ici l’entendre dans une acception élargie comme l’inscription de temporalités plurielles comprenant l’histoire sainte ou profane, l’histoire ancienne, médiévale ou moderne, jusqu’à l’histoire naturelle, civile ou militaire. L’objectif de cette journée d’étude est de réinvestir le couple carte et histoire dans l’empan chronologique du XVIe au XVIIIe siècle. Il s’agit d’interroger cette relation à travers l’étude des cartes elles-mêmes, comme objet d’un savoir historique et selon trois axes de recherche.
Le premier axe porte sur les cartes dans l’enseignement et la lecture de l’histoire. L’expression d’«?œil de l’histoire?» suggère que la géographie – et en son sein la cartographie – est un complément aidant à l’apprentissage, à l’écriture et à la lecture de l’histoire. La carte apparaît comme un instrument essentiel pour connaître et reconnaître les phénomènes du passé. Dans le sillage des travaux de François de Dainville sur les collèges jésuites ou de ceux de Pascale Mormiche sur l’éducation des princes, cet axe vise à renouveler notre compréhension sur les relations entre géographie et histoire à partir de l’examen des discours et des pratiques attachées à l’usage des cartes dans l’enseignement de l’histoire du XVIe au XVIIIe siècle. Il pourra s’agir à la fois d’examiner les traités historiques et géographiques qui théorisent et tentent de normer cette relation, que les atlas qualifiés d’«?historiques?» revendiquant l’interconnexion entre les deux domaines savants, ou encore d’analyser les programmes d’enseignement de diverses structures éducatives. À partir de ces documents, il conviendra de se pencher sur les discours portés par les cartes, les atlas ou les ouvrages historiques afin d’y débusquer des traces matérielles qui renseignent sur les usages concrets des cartes dans les pratiques de lecture ou d’apprentissage de l’histoire : annotations manuscrites, cahiers d’écoliers, brouillons, etc.
Le deuxième axe s’attache plus spécifiquement à documenter l’histoire sur et par les cartes. L’expression d’«?œil de l’histoire?», dans un sens premier, invite à penser la carte comme un lieu d’ordonnancement de savoirs historiques et de représentation de phénomènes du passé, notamment à travers la stratification de différents registres graphiques : tracé cartographique, toponymes, cartouches, vignettes historiées, textes ou données numériques (dates par exemple). Par sa capacité synoptique, la carte favorise la spatialisation d’une situation historique, qu’il s’agisse du tracé évolutif des frontières, de la forme changeante des villes, ou de la représentation de zones du globe récemment explorées. Les cartes servent autant à représenter l’histoire immédiate – à l’instar de celles qui sont produites pour suivre les événements militaires et diplomatiques dans le sillage de la naissance de l’imprimé d’actualité – que des situations plus éloignées dans le temps, en lien avec l’émergence progressive de la cartographie historique liée à l’histoire sainte, antique et médiévale. Cet axe invite à examiner les dispositifs visuels et textuels des cartes mobilisant l’histoire sous différentes formes (civile, militaire, naturelle) tout en réfléchissant aux enjeux politiques et épistémologiques déployés dans les cartes. On réfléchira aussi à leur place dans les ouvrages d’histoire, à leur articulation avec le matériau textuel et aux effets de leur mise en relation.
Enfin, un troisième axe invite à penser la porosité, voire l’indistinction, qui existe entre les producteurs de matériaux historiques et cartographiques. Les liens entre les deux domaines savants sont en effet manifestes si on s’intéresse à leurs acteurs. Les rédacteurs d’ouvrages historiques peuvent ainsi être impliqués dans la conceptualisation graphique de cartes accompagnant leurs écrits, tandis que l’ingéniosité de certains géographes favorise la mise en images de l’histoire sur les cartes. En outre, certains imprimeurs-libraires produisent et vendent à la fois des documents historiques et cartographiques, sans parler des graveurs parfois sollicités pour les deux types d’entreprises. Enfin, dans une période où la professionnalisation et l’institutionnalisation de l’histoire et de la géographie sont encore en construction, des individus porteurs des titres d’«?historiographe?», de «?géographe?» ou de «?cosmographe?» peuvent s’investir autant dans la production de savoirs cartographiques qu’historiques. On cherchera par exemple à comprendre comment les cartographes effectuent un véritable travail d’historiographe, par la recherche de sources et leur confrontation critique, quand à l’inverse les historiens manipulent et discutent le matériau cartographique. En dépit de l’expression d’«?œil de l’histoire?», ce dernier axe vise à repenser le lien de subordination entre carte et histoire, relation qui n’est plus aussi claire et évidente si on la pose du point de vue des producteurs et de leurs pratiques.
Ces trois axes, qui peuvent être abordés simultanément, permettent de réfléchir à la relation entre l’objet cartographique et l’histoire entre les XVIe et XVIIIe siècles. Dans le cadre de cette journée d’étude, il conviendra de croiser les approches et d’associer les recherches en sciences humaines et sociales à d’autres historiographies. Le cadre géographique de cette journée d’étude s’articule principalement autour de l’Europe et ses extensions impériales, sans pourtant s’y restreindre. En effet, des communications sur d’autres espaces pourront être proposées afin d’élargir la perspective et la réflexion de la journée d’étude sur les liens entre carte et histoire.
Modalités de soumission
Les propositions en français ou en anglais, d’une longueur maximale de 300 mots, et accompagnées d’un bref curriculum vitæ, devront être envoyées à oeildelhistoire2024@gmail.com avant le 15 mai 2024.
Modalités d’organisation
Avec le soutien du Centre Alexandre-Koyré (CAK) et de la Bibliothèque nationale de France (BnF), la journée d’étude aura lieu le mardi 8 octobre 2024 dans la salle de conférences du département des Cartes et Plans de la BnF sur le site Richelieu (Paris).
Les organisateurs prendront en charge les repas, les frais de déplacement, et dans la mesure du possible d’hébergement pour une nuit. La journée d’étude se déroulera exclusivement sur site.
Organisateurs
Oury Goldman, docteur de l’EHESS et chercheur associé à TEMOS
Lucile Haguet, docteure et conservatrice de la bibliothèque municipale du Havre
Catherine Hofmann, conservatrice au département des Cartes et plans de la BnF
Geoffrey Phelippot, docteur de l’EHESS et membre du CAK
Bibliographie indicative
Svetlana Alpers, « L’œil de l’histoire : l’effet cartographique dans la peinture hollandaise au 17e siècle », Actes de la recherche en sciences sociales, vol. 49, 1983, p. 71-101.
Jean-Marc Besse, «?Historiae oculus geographia : cartographie et histoire dans le Parergon d’Ortelius?», Écrire l’histoire, vol. 4, 2009, p. 137-146.
Jean-Marc Besse, Les Grandeurs de la Terre, Aspects du savoir géographique à la Renaissance, Lyon, Éditions de l’École normale supérieure, 2003.
Grégoire Binois, «?La cartographie militaire au XVIIIe siècle, une cartographie historique???», Hypothèses, vol. 19, n° 1, 2016, p. 41-51.
Jeremy Black, Maps and History. Constructing images of the Past, New Haven/Londres, Yale University Press, 1997.
François de Dainville, La Cartographie, reflet de l’histoire, Genève/Paris, Slatkine, 1986.
François de Dainville, « Les découvertes portugaises à travers des cahiers d’écoliers parisiens de la fin du XVIe siècle?», dans : Michel Mollat et Paul Adam (dir.), Aspects internationaux de la découverte océanique aux XVe et XVIe siècles, Paris, SEVPEN, 1966, p. 39-46.
François de Dainville, La géographie des humanistes, Paris, Beauchesne, 1940.
Matthew H. Edney, « History and Cartography », dans : Matthew H. Edney et Mary Sponberg Pedley (eds.), The History of Cartography, Volume 4: Cartography in the European Enlightenment, Chicago, University of Chicago Press, 2020, p. 624-631.
Walter Goffart, Historical Atlases: The First Three Hundred Years, 1570–1870, Chicago, University of Chicago Press, 2003.
Lucile Haguet, «?Comme des sœurs qui s’y tiennent par la main…?», Écrire l’histoire, vol. 3, 2009, p. 125-133.
Catherine Hofmann, «?La genèse de l’atlas historique en France (1630-1800), pouvoirs et limites de la carte comme “œil de l’histoire”?», Bibliothèque de l’école des Chartes, t. 158, 2000, p. 97-128.
Pascale Mormiche, « L’utilisation des images dans l’éducation des princes français (XVIIe-XVIIIe siècles) », dans Images et imagerie, Paris, Éditions du CTHS, 2012, p. 103-122.
Pascale Mormiche, Devenir prince – L’école du pouvoir en France, Paris, CNRS Éditions, 2015.
Daniel Nordman, «?La géographie, œil de l’histoire?», Espaces Temps, vol. 66-67, numéro spécial Histoire/géographie, 1. L’arrangement, 1998, p. 44-54.
Monique Pelletier, «?Les géographes et l’histoire, de la Renaissance au siècle des Lumières?», dans : Apologie pour la géographie : mélanges offerts à Alice Saunier-Seïté, Paris, Société de Géographie, 1997, p. 145-156.
Daniel Rosenberg et Anthony Grafton, Cartographies of Time: A History of the Timeline, Princeton, Princeton Architectural Press, 2013.
Informations pratiques
8 octobre 2024
BnF, site Richelieu, département des Cartes et plans, salle des conférences
Articles connexes
Histoire de la cartographie de l'Antiquité à aujourd'hui (cycle de conférences de la BNF - 2023)
Le monde en sphères. Une exposition virtuelle de la BnF
Géolocaliser les documents numérisés avec Gallicarte (BnF)
L'histoire par les cartes
Rubrique Cartes et atlas historiques
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1:00
GeoServer Team: GeoServer 2.25.0 Release
sur Planet OSGeoGeoServer 2.25.0 release is now available with downloads (bin, war, windows), along with docs and extensions.
This is a stable release of GeoServer recommended for production use. GeoServer 2.25.0 is made in conjunction with GeoTools 31.0, and GeoWebCache 1.25.0.
Thanks to Peter Smythe for making this release. Thanks to Levy Steve, Peter Smythe, Jody Garnett, and Mark Prins for testing the 2.25.0 release.
Security ConsiderationsThis release addresses several security vulnerabilities, all of which require admin access.
- If you have updated to GeoServer 2.24.2 Release or GeoServer 2.23.5 Release you are already patched.
- If you are working with a commercial support provider that volunteers with the geoserver-security email list they are already informed.
Vulnerabilities:
- CVE-2023-51444 Arbitrary file upload vulnerability in REST Coverage Store API (High).
- CVE-2023-41877 GeoServer log file path traversal vulnerability (High).
- CVE-2024-23634 Arbitrary file renaming vulnerability in REST Coverage/Data Store API (Moderate).
- CVE-2024-23643 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in GWC Seed Form (Moderate).
- CVE-2024-23821 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in GWC Demos Page (Moderate).
- CVE-2024-23819 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in MapML HTML Page (Moderate).
- CVE-2024-23818 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in WMS OpenLayers Format (Moderate).
- CVE-2024-23642 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in Simple SVG Renderer (Moderate).
- CVE-2024-23640 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in Style Publisher (Moderate).
- CVE-2023-51445 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in REST Resources API (Moderate).
We would like to thank everyone who contributed to reporting, verifying and fixing the above vulnerabilities (see each CVE for appropriate credits). A special thank you to Steve Ikeoka for reporting most of the issues and doing the majority of the actual fixes.
The use of the CVE system allows the GeoServer team to reach a wider audience than blog posts. See the project security policy for more information on how security vulnerabilities are managed.
Upgrade NotesWe have a number of configuration changes when updating an existing system:
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The longstanding
ENTITY_RESOLUTION_ALLOWLIST
setting has been recommended as a way to control the locations available for external entity resolution when parsing XML documents and requests.The default has changed from
*
(allowing any location) to allowing the recommendedwww.w3.org
,schemas.opengis.net
,www.opengis.net
locations used for OGC Web Services, along with theinspire.ec.europa.eu/schemas
location used by our friends in Europe. -
The FreeMarker Template HTML Auto-escaping is now enabled by default.
-
The spring security firewall is now enabled by default.
-
A new configuration setting is available to limit content served from the
geoserver/www
folder.If you have not met the
www
folder before it is used to share content, and there is a tutorial serving static files. -
We do add recommendations to production considerations over time, if you have not checked that page in a while please review.
Thanks to Steve Ikeoka and Jody Garnett for these improvements.
JTS fast polygon intersection enabled by defaultThe JTS Next Generation polygon intersection algorithm has been enabled by default, which will improve performance of a number of operations, including WPS processes and the vector tiles generation. We deem the functionality well tested enough that it should be opened to the majority of users, even if it’s still possible to turn it off by adding the
MapML Extension-Djts.overlay=old
.The MapML extension is receiving a number of updates and improvements, with more to come in the following months. It’s now possible to declare “Tiled CRS” as the CRS for a layer, with the implication not just of the CRS, but also of the gridset that will be used by the MapML viewer:
This portion builds on top of the work done months ago to support astronomical CRSs, which allows GeoServer to support multiple CRS authorities.
The MapML preview links are now using the new MapML output format, while the old dedicated REST controller has been removed. This allows for better integration of the MapML format in the GeoServer ecosystem. The MapML viewer has also been updated to the latest version:
Thanks to Joseph Miller and Andrea Aime (GeoSolutions) for this work, and Natural Resources Canada for sponsoring it.
Community Module UpdatesMuch of the new activity in GeoServer starts as a community module. We’d like to remind you that these modules are not yet supported, and invite you to join the effort by participating in their development, as well as testing them and providing feedback.
Raster Attribute Table community moduleDeveloped as part of GEOS-11175, the Raster Attribute Table community module uses the GDAL Raster Attribute Table (RAT) to provide a way to associate attribute information for individual pixel values within the raster, to create styles as well as to provide a richer GetFeatureInfo output.
For more information see the user guide.
We’d like to thank Andrea Aime (GeoSolutions) for the development and NOAA for sponsoring.
Graticules for WMS mapsThe graticules community module, developed as part of GEOS-11216, provides a datastore generating graticules for WMS maps, along with a rendering transformation that can be used to label them. The module can be used to draw a graticule in WMS maps, as well as to download them as part of WFS (or in combination with the WPS download module).
We’d like to thank Ian Turton for development and GeoSolutions for sponsoring the work.
GeoServer monitor Kafka storageThe monitoring Kafka storage module, developed as part of GEOS-11150, allows storing the requests captured by the monitoring extension into a Kafka topic.
We’d like to thank Simon Hofer for sharing his work with the community. To learn more about the module, how to install and use it, see the user-guide.
JWT HeadersThe JWT headers module has been developed as part of GEOS-11317.
The module is a new authentication filter that can read JWT Headers, as well as general JSON payloads and simple strings, to identify a user, as well as to extract their roles. The combination of Apache mod_auth_openidc with geoserver-jwt-headers-plugin provides an alternative to using the geoserver-sec-oauth2-openid-connect-plugin plugin.
We’d like to thank David Blasby (GeoCat) for this work on this module.
Developer Updates ResourceStore / Paths API ChangeDevelopers should keep in mind some important maintenance work performed by Niels Charlier on the use absolute and relative paths in the
ResourceStore
. See the Developers Guide for more information.This does not affect end users.
Experimental Java 21 supportGeoServer, along with GeoTools and GeoWebCache, are now tested to build and pass tests with Java 21.
This is not yet an endorsement to run GeoServer in production with Java 21. We are looking ahead at the 2024 roadmap, and are making sure the basics are covered for the newer Java releases.
Full Release notesNew Feature:
- GEOS-11225 [AuthKey] AuthKey synchronize the user/group automatically
MapML:
- GEOS-10438 ENTITY_RESOLUTION_ALLOWLIST property not parsing empty setting
- GEOS-11207 Refactor MapML MVC controller as GetMap-based operation with standard parameter format
- GEOS-11221 mkdocs preflight rst fixes
- GEOS-11289 Enable Spring Security Stric [HttpFirewall] by default
- GEOS-11297 Escape WMS GetFeatureInfo HTML output by default
- GEOS-11300 Centralize access to static web files
Improvement:
- GEOS-11306 Java 17 does not support GetFeature lazy JDBC count(*)
- GEOS-11130 Sort parent role dropdown in Add a new role
- GEOS-11142 Add mime type mapping for yaml files
- GEOS-11148 Update response headers for the Resources REST API
- GEOS-11149 Update response headers for the Style Publisher
- GEOS-11152 Improve handling special characters in the Simple SVG Renderer
- GEOS-11153 Improve handling special characters in the WMS OpenLayers Format
- GEOS-11155 Add the X-Content-Type-Options header
- GEOS-11173 Default to using [HttpOnly] session cookies
- GEOS-11176 Add validation to file wrapper resource paths
- GEOS-11213 Improve REST external upload method unzipping
- GEOS-11222 Include Conformance Class for “Search” from OGC API - Features Part 5 proposal
- GEOS-11226 Enable JTS OverlayNG by default
- GEOS-11246 Schemaless plugin performance for WFS
- GEOS-11247 Avoid HTML annotations special status in APIBodyProcessor
- GEOS-11248 Move version header handling from APIBodyMethodProcessor to APIDispatcher
- GEOS-11260 JNDI tutorial uses outdated syntax
- GEOS-11288 Improve input validation in ClasspathPublisher
- GEOS-11289 Enable Spring Security Stric [HttpFirewall] by default
- GEOS-11298 When a Raster Attribute Table is available, expose its attributes in GetFeatureInfo
- GEOS-11327 Add warning about using embedded data directories
- GEOS-11334 Update MapML viewer to release 0.13.1
Bug:
- GEOS-11050 jdbc-store broken by changes to Paths.names
- GEOS-11051 Env parametrization does not save correctly in AuthKey extension
- GEOS-11145 The GUI “wait spinner” is not visible any longer
- GEOS-11182 Avoid legends with duplicated entries
- GEOS-11187 Configuring a raster with NaN as NODATA results in two NaN in the nodata band description
- GEOS-11190 GeoFence: align log4j2 deps
- GEOS-11203 WMS GetFeatureInfo bad WKT exception for label-geometry
- GEOS-11224 Platform independent binary doesn’t start properly with default data directory
- GEOS-11250 WFS GeoJSON encoder fails with an exception if an infinity number is used in the geometry
- GEOS-11278 metadata: only selected tab is submitted
- GEOS-11312 Used memory calculation fix on legend WMS request
- GEOS-11266 csw-iso: missing fields in summary response
- GEOS-11312 Inconsistent Memory Units in Legend Image Creation
- GEOS-11335 A layer in an authority other than EPSG may fail to reload after restart
Task:
- GEOS-11242 Remove the Xalan library
- GEOS-11315 Revert to CORS commented out
- GEOS-11318 Update postgresql to 42.7.2
- GEOS-11134 Feedback on download bundles: README, RUNNING, GPL html files
- GEOS-11141 production consideration for logging configuration hardening
- GEOS-11159 Update mapfish-print-lib 2.3.0
- GEOS-11180 Update ImageIO-EXT to 1.4.9
- GEOS-11181 Update jai-ext to 1.1.25
- GEOS-11186 Fix maven enforcer failFast
- GEOS-11220 Upgrade Hazelcast from 5.3.1 to 5.3.6
- GEOS-11245 Update OSHI from 6.2.2 to 6.4.10
- GEOS-11316 Update Spring version to 5.3.32
For the complete list see 2.25.0 release notes.
Community UpdatesCommunity module development:
- GEOS-11305 Add layer information in the models backing STAC
- GEOS-11146 Fix MBTiles output format test
- GEOS-11184 ncwms module has a compile dependency on gs-web-core test jar
- GEOS-11209 Open ID Connect Proof Key of Code Exchange (PKCE)
- GEOS-11212 OIDC accessToken verification using only JWKs URI
- GEOS-11219 Upgraded mail and activation libraries for SMTP compatibility
- GEOS-11293 Improve performance of wps-lontigudinal-profile
- GEOS-11216 Create a datastore to produce graticules for WMS maps.
Community modules are shared as source code to encourage collaboration. If a topic being explored is of interest to you, please contact the module developer to offer assistance.
About GeoServer 2.25 SeriesAdditional information on GeoServer 2.25 series:
-
1:00
GeoServer Team: GeoServer 2.25.0 Release
sur Planet OSGeoGeoServer 2.25.0 release is now available with downloads (bin, war, windows), along with docs and extensions.
This is a stable release of GeoServer recommended for production use. GeoServer 2.25.0 is made in conjunction with GeoTools 31.0, and GeoWebCache 1.25.0.
Thanks to Peter Smythe for making this release. Thanks to Levy Steve, Peter Smythe, Jody Garnett, and Mark Prins for testing the 2.25.0 release.
Security ConsiderationsThis release addresses several security vulnerabilities, all of which require admin access.
- If you have updated to GeoServer 2.24.2 Release or GeoServer 2.23.5 Release you are already patched.
- If you are working with a commercial support provider that volunteers with the geoserver-security email list they are already informed.
Vulnerabilities:
-
CVE-2023-51444 Arbitrary file upload vulnerability in REST Coverage Store API (High).
-
CVE-2023-41877 GeoServer log file path traversal vulnerability (High).
-
CVE-2024-23634 Arbitrary file renaming vulnerability in REST Coverage/Data Store API (Moderate).
-
CVE-2024-23643 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in GWC Seed Form (Moderate).
-
CVE-2024-23821 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in GWC Demos Page (Moderate).
-
CVE-2024-23819 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in MapML HTML Page (Moderate).
-
CVE-2024-23818 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in WMS OpenLayers Format (Moderate).
-
CVE-2024-23642 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in Simple SVG Renderer (Moderate).
-
CVE-2024-23640 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in Style Publisher (Moderate).
-
CVE-2023-51445 Stored Cross-Site Scripting (XSS) vulnerability in REST Resources API (Moderate).
We would like to thank everyone who contributed to reporting, verifying and fixing the above vulnerabilities (see each CVE for appropriate credits). A special thank you to Steve Ikeoka for reporting most of the issues and doing the majority of the actual fixes.
The use of the CVE system allows the GeoServer team to reach a wider audience than blog posts. See the project security policy for more information on how security vulnerabilities are managed.
Upgrade NotesWe have a number of configuration changes when updating an existing system:
-
The longstanding
ENTITY_RESOLUTION_ALLOWLIST
setting has been recommended as a way to control the locations available for external entity resolution when parsing XML documents and requests.The default has changed from
*
(allowing any location) to allowing the recommendedwww.w3.org
,schemas.opengis.net
,www.opengis.net
locations used for OGC Web Services, along with theinspire.ec.europa.eu/schemas
location used by our friends in Europe. -
The FreeMarker Template HTML Auto-escaping is now enabled by default.
-
The spring security firewall is now enabled by default.
-
A new configuration setting is available to limit content served from the
geoserver/www
folder.If you have not met the
www
folder before it is used to share content, and there is a tutorial serving static files. -
We do add recommendations to production considerations over time, if you have not checked that page in a while please review.
Thanks to Steve Ikeoka and Jody Garnett for these improvements.
JTS fast polygon intersection enabled by defaultThe JTS Next Generation polygon intersection algorithm has been enabled by default, which will improve performance of a number of operations, including WPS processes and the vector tiles generation. We deem the functionality well tested enough that it should be opened to the majority of users, even if it’s still possible to turn it off by adding the
MapML Extension-Djts.overlay=old
.The MapML extension is receiving a number of updates and improvements, with more to come in the following months. It’s now possible to declare “Tiled CRS” as the CRS for a layer, with the implication not just of the CRS, but also of the gridset that will be used by the MapML viewer:
This portion builds on top of the work done months ago to support astronomical CRSs, which allows GeoServer to support multiple CRS authorities.
The MapML preview links are now using the new MapML output format, while the old dedicated REST controller has been removed. This allows for better integration of the MapML format in the GeoServer ecosystem. The MapML viewer has also been updated to the latest version:
Thanks to Joseph Miller and Andrea Aime (GeoSolutions) for this work, and Natural Resources Canada for sponsoring it.
Community Module UpdatesMuch of the new activity in GeoServer starts as a community module. We’d like to remind you that these modules are not yet supported, and invite you to join the effort by participating in their development, as well as testing them and providing feedback.
Raster Attribute Table community moduleDeveloped as part of GEOS-11175, the Raster Attribute Table community module uses the GDAL Raster Attribute Table (RAT) to provide a way to associate attribute information for individual pixel values within the raster, to create styles as well as to provide a richer GetFeatureInfo output.
For more information see the user guide.
We’d like to thank Andrea Aime (GeoSolutions) for the development and NOAA for sponsoring.
Graticules for WMS mapsThe graticules community module, developed as part of GEOS-11216, provides a datastore generating graticules for WMS maps, along with a rendering transformation that can be used to label them. The module can be used to draw a graticule in WMS maps, as well as to download them as part of WFS (or in combination with the WPS download module).
We’d like to thank Ian Turton for development and GeoSolutions for sponsoring the work.
GeoServer monitor Kafka storageThe monitoring Kafka storage module, developed as part of GEOS-11150, allows storing the requests captured by the monitoring extension into a Kafka topic.
We’d like to thank Simon Hofer for sharing his work with the community. To learn more about the module, how to install and use it, see the user-guide.
JWT HeadersThe JWT headers module has been developed as part of GEOS-11317.
The module is a new authentication filter that can read JWT Headers, as well as general JSON payloads and simple strings, to identify a user, as well as to extract their roles. The combination of Apache mod_auth_openidc with geoserver-jwt-headers-plugin provides an alternative to using the geoserver-sec-oauth2-openid-connect-plugin plugin.
We’d like to thank David Blasby (GeoCat) for this work on this module.
Developer Updates ResourceStore / Paths API ChangeDevelopers should keep in mind some important maintenance work performed by Niels Charlier on the use absolute and relative paths in the
ResourceStore
. See the Developers Guide for more information.This does not affect end users.
Experimental Java 21 supportGeoServer, along with GeoTools and GeoWebCache, are now tested to build and pass tests with Java 21.
This is not yet an endorsement to run GeoServer in production with Java 21. We are looking ahead at the 2024 roadmap, and are making sure the basics are covered for the newer Java releases.
Full Release notesNew Feature:
- GEOS-11225 [AuthKey] AuthKey synchronize the user/group automatically
MapML:
- GEOS-10438 ENTITY_RESOLUTION_ALLOWLIST property not parsing empty setting
- GEOS-11207 Refactor MapML MVC controller as GetMap-based operation with standard parameter format
- GEOS-11221 mkdocs preflight rst fixes
- GEOS-11289 Enable Spring Security Stric [HttpFirewall] by default
- GEOS-11297 Escape WMS GetFeatureInfo HTML output by default
- GEOS-11300 Centralize access to static web files
Improvement:
- GEOS-11130 Sort parent role dropdown in Add a new role
- GEOS-11142 Add mime type mapping for yaml files
- GEOS-11148 Update response headers for the Resources REST API
- GEOS-11149 Update response headers for the Style Publisher
- GEOS-11152 Improve handling special characters in the Simple SVG Renderer
- GEOS-11153 Improve handling special characters in the WMS OpenLayers Format
- GEOS-11155 Add the X-Content-Type-Options header
- GEOS-11173 Default to using [HttpOnly] session cookies
- GEOS-11176 Add validation to file wrapper resource paths
- GEOS-11213 Improve REST external upload method unzipping
- GEOS-11222 Include Conformance Class for “Search” from OGC API - Features Part 5 proposal
- GEOS-11226 Enable JTS OverlayNG by default
- GEOS-11246 Schemaless plugin performance for WFS
- GEOS-11247 Avoid HTML annotations special status in APIBodyProcessor
- GEOS-11248 Move version header handling from APIBodyMethodProcessor to APIDispatcher
- GEOS-11260 JNDI tutorial uses outdated syntax
- GEOS-11288 Improve input validation in ClasspathPublisher
- GEOS-11289 Enable Spring Security Stric [HttpFirewall] by default
- GEOS-11298 When a Raster Attribute Table is available, expose its attributes in GetFeatureInfo
- GEOS-11327 Add warning about using embedded data directories
- GEOS-11334 Update MapML viewer to release 0.13.1
Bug:
- GEOS-11050 jdbc-store broken by changes to Paths.names
- GEOS-11051 Env parametrization does not save correctly in AuthKey extension
- GEOS-11145 The GUI “wait spinner” is not visible any longer
- GEOS-11182 Avoid legends with duplicated entries
- GEOS-11187 Configuring a raster with NaN as NODATA results in two NaN in the nodata band description
- GEOS-11190 GeoFence: align log4j2 deps
- GEOS-11203 WMS GetFeatureInfo bad WKT exception for label-geometry
- GEOS-11224 Platform independent binary doesn’t start properly with default data directory
- GEOS-11250 WFS GeoJSON encoder fails with an exception if an infinity number is used in the geometry
- GEOS-11278 metadata: only selected tab is submitted
- GEOS-11312 Used memory calculation fix on legend WMS request
- GEOS-11266 csw-iso: missing fields in summary response
- GEOS-11312 Inconsistent Memory Units in Legend Image Creation
- GEOS-11335 A layer in an authority other than EPSG may fail to reload after restart
Task:
- GEOS-11242 Remove the Xalan library
- GEOS-11315 Revert to CORS commented out
- GEOS-11318 Update postgresql to 42.7.2
- GEOS-11134 Feedback on download bundles: README, RUNNING, GPL html files
- GEOS-11141 production consideration for logging configuration hardening
- GEOS-11159 Update mapfish-print-lib 2.3.0
- GEOS-11180 Update ImageIO-EXT to 1.4.9
- GEOS-11181 Update jai-ext to 1.1.25
- GEOS-11186 Fix maven enforcer failFast
- GEOS-11220 Upgrade Hazelcast from 5.3.1 to 5.3.6
- GEOS-11245 Update OSHI from 6.2.2 to 6.4.10
- GEOS-11316 Update Spring version to 5.3.32
For the complete list see 2.25.0 release notes.
Community UpdatesCommunity module development:
- GEOS-11305 Add layer information in the models backing STAC
- GEOS-11146 Fix MBTiles output format test
- GEOS-11184 ncwms module has a compile dependency on gs-web-core test jar
- GEOS-11209 Open ID Connect Proof Key of Code Exchange (PKCE)
- GEOS-11212 OIDC accessToken verification using only JWKs URI
- GEOS-11219 Upgraded mail and activation libraries for SMTP compatibility
- GEOS-11293 Improve performance of wps-lontigudinal-profile
- GEOS-11216 Create a datastore to produce graticules for WMS maps.
Community modules are shared as source code to encourage collaboration. If a topic being explored is of interest to you, please contact the module developer to offer assistance.
About GeoServer 2.25 SeriesAdditional information on GeoServer 2.25 series:
-
20:16
Free and Open Source GIS Ramblings: Getting started with pygeoapi processes
sur Planet OSGeoToday’s post is a quick introduction to pygeoapi, a Python server implementation of the OGC API suite of standards. OGC API provides many different standards but I’m particularly interested in OGC API – Processes which standardizes geospatial data processing functionality. pygeoapi implements this standard by providing a plugin architecture, thereby allowing developers to implement custom processing workflows in Python.
I’ll provide instructions for setting up and running pygeoapi on Windows using Powershell. The official docs show how to do this on Linux systems. The pygeoapi homepage prominently features instructions for installing the dev version. For first experiments, however, I’d recommend using a release version instead. So that’s what we’ll do here.
As a first step, lets install the latest release (0.16.1 at the time of writing) from conda-forge:
conda create -n pygeoapi python=3.10
conda activate pygeoapi
mamba install -c conda-forge pygeoapiNext, we’ll clone the GitHub repo to get the example config and datasets:
cd C:\Users\anita\Documents\GitHub\
git clone [https:]
cd pygeoapi\To finish the setup, we need some configurations:
cp pygeoapi-config.yml example-config.yml
# There is a known issue in pygeoapi 0.16.1: [https:]
# To fix it, edit the example-config.yml: uncomment the TinyDB option in the server settings (lines 51-54)
$Env:PYGEOAPI_CONFIG = "F:/Documents/GitHub/pygeoapi/example-config.yml"
$Env:PYGEOAPI_OPENAPI = "F:/Documents/GitHub/pygeoapi/example-openapi.yml"
pygeoapi openapi generate $Env:PYGEOAPI_CONFIG --output-file $Env:PYGEOAPI_OPENAPINow we can start the server:
pygeoapi serve
And once the server is running, we can send requests, e.g. the list of processes:
curl.exe [localhost:5000]
And, of course, execute the example “hello-world” process:
curl.exe --% -X POST [localhost:5000] -H "Content-Type: application/json" -d "{\"inputs\":{\"name\": \"hi there\"}}"
As you can see, writing JSON content for curl is a pain. Luckily, pyopenapi comes with a nice web GUI, including Swagger UI for playing with all the functionality, including the hello-world process:
It’s not really a geospatial hello-world example, but it’s a first step.
Finally, I wan’t to leave you with a teaser since there are more interesting things going on in this space, including work on OGC API – Moving Features as shared by the pygeoapi team recently:
So, stay tuned.
-
20:12
GRASS GIS: 2024 GRASS GIS Community meeting in Prague!
sur Planet OSGeoThe GRASS GIS team announces the annual Community Meeting!! The GRASS GIS Community Meeting will take place from June 14 to 19, 2024, at the NC State European Center in Prague, Czech Republic. Community meetings are great opportunities to support the development of GRASS GIS! Join us Write code Write documentation Translation Website design and content Integrations with other software (QGIS, GDAL, R, etc.) Plan for the future The community meeting is a get-together where supporters, contributors, power users and developers make decisions and tackle larger problems related to the project, discuss and fix bugs, draw the project roadmap and work on new features.
-
14:00
Le crowdsourcing avec cocarto
sur GeotribuPièce jointe: [télécharger]
Comment utiliser cocarto pour permettre à des non-sigistes de collecter des données sur le terrain avec uniquement un smartphone
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13:33
Appel à communications : “La carte, «?œil de l’histoire?» (XVIe-XVIIIe siècle)” – date butoir : 15 mai 2024
sur Cartes et figures du mondeLa carte, «?œil de l’histoire?» (XVIe-XVIIIe siècle) 8 octobre 2024 Bibliothèque nationale de France, site Richelieu, salle des conférencesArgumentaire :
Selon le cartographe anversois Abraham Ortelius (1527-1598), la géographie est «?l’œil de l’histoire?», reprenant une expression déjà courante et en passe de devenir un véritable topos décliné en diverses formulations dans les siècles suivants. Cette expression illustre le lien étroit qui unit histoire et géographie, tout en posant une relation d’inféodation de la seconde par la première. Dans cette perspective, la géographie est perçue comme une discipline auxiliaire à l’histoire et un instrument utile à sa compréhension. La géographie permet ainsi de rendre visibles et lisibles les lieux dans lesquels s’est déployé le récit historique sous toutes ses formes. Il n’est pas surprenant que l’érudit français Pierre Le Lorrain de Vallemont (1649-1721), auteur des Éléments de l’histoire en cinq tomes, affirme à la fin du XVIIe siècle que «?l’Histoire est aveugle?» sans le secours de la géographie, puisqu’elle est sa «?mémoire locale?». Selon lui, il y aurait une différence notable entre un individu qui lit simplement l’histoire d’Alexandre et celui qui l’étudie à l’aide d’une carte géographique sous les yeux. Le premier n’aurait qu’une connaissance imparfaite sur le conquérant macédonien, tandis que le second serait le «?témoin?» direct de son expédition. Ici, Vallemont introduit la carte géographique comme un outil visuel indispensable pour comprendre l’histoire antique. La relation entre histoire et géographie, souvent étudiée de manière théorique, en se fondant sur les traités, les manuels d’histoire et de géographie, s’articule de manière spécifique si l’on pose l’objet cartographique comme point d’observation. La carte, dispositif graphique de visualisation de réalités spatiales, se prête largement à l’observation de phénomènes historiques. Par histoire, il faut ici l’entendre dans une acception élargie comme l’inscription de temporalités plurielles comprenant l’histoire sainte ou profane, l’histoire ancienne, médiévale ou moderne, jusqu’à l’histoire naturelle, civile ou militaire. L’objectif de cette journée d’étude est de réinvestir le couple carte et histoire dans l’empan chronologique du XVIe au XVIIIe siècle. Il s’agit d’interroger cette relation à travers l’étude des cartes elles-mêmes, comme objet d’un savoir historique et selon trois axes de recherche.
Le premier axe porte sur les cartes dans l’enseignement et la lecture de l’histoire. L’expression d’«?œil de l’histoire?» suggère que la géographie – et en son sein la cartographie – est un complément aidant à l’apprentissage, à l’écriture et à la lecture de l’histoire. La carte apparaît comme un instrument essentiel pour connaître et reconnaître les phénomènes du passé. Dans le sillage des travaux de François de Dainville sur les collèges jésuites ou de ceux de Pascale Mormiche sur l’éducation des princes, cet axe vise à renouveler notre compréhension sur les relations entre géographie et histoire à partir de l’examen des discours et des pratiques attachées à l’usage des cartes dans l’enseignement de l’histoire du XVIe au XVIIIe siècle. Il pourra s’agir à la fois d’examiner les traités historiques et géographiques qui théorisent et tentent de normer cette relation, que les atlas qualifiés d’«?historiques?» revendiquant l’interconnexion entre les deux domaines savants, ou encore d’analyser les programmes d’enseignement de diverses structures éducatives. À partir de ces documents, il conviendra de se pencher sur les discours portés par les cartes, les atlas ou les ouvrages historiques afin d’y débusquer des traces matérielles qui renseignent sur les usages concrets des cartes dans les pratiques de lecture ou d’apprentissage de l’histoire : annotations manuscrites, cahiers d’écoliers, brouillons, etc.
Le deuxième axe s’attache plus spécifiquement à documenter l’histoire sur et par les cartes. L’expression d’«?œil de l’histoire?», dans un sens premier, invite à penser la carte comme un lieu d’ordonnancement de savoirs historiques et de représentation de phénomènes du passé, notamment à travers la stratification de différents registres graphiques : tracé cartographique, toponymes, cartouches, vignettes historiées, textes ou données numériques (dates par exemple). Par sa capacité synoptique, la carte favorise la spatialisation d’une situation historique, qu’il s’agisse du tracé évolutif des frontières, de la forme changeante des villes, ou de la représentation de zones du globe récemment explorées. Les cartes servent autant à représenter l’histoire immédiate – à l’instar de celles qui sont produites pour suivre les événements militaires et diplomatiques dans le sillage de la naissance de l’imprimé d’actualité – que des situations plus éloignées dans le temps, en lien avec l’émergence progressive de la cartographie historique liée à l’histoire sainte, antique et médiévale. Cet axe invite à examiner les dispositifs visuels et textuels des cartes mobilisant l’histoire sous différentes formes (civile, militaire, naturelle) tout en réfléchissant aux enjeux politiques et épistémologiques déployés dans les cartes. On réfléchira aussi à leur place dans les ouvrages d’histoire, à leur articulation avec le matériau textuel et aux effets de leur mise en relation.
Enfin, un troisième axe invite à penser la porosité, voire l’indistinction, qui existe entre les producteurs de matériaux historiques et cartographiques. Les liens entre les deux domaines savants sont en effet manifestes si on s’intéresse à leurs acteurs. Les rédacteurs d’ouvrages historiques peuvent ainsi être impliqués dans la conceptualisation graphique de cartes accompagnant leurs écrits, tandis que l’ingéniosité de certains géographes favorise la mise en images de l’histoire sur les cartes. En outre, certains imprimeurs-libraires produisent et vendent à la fois des documents historiques et cartographiques, sans parler des graveurs parfois sollicités pour les deux types d’entreprises. Enfin, dans une période où la professionnalisation et l’institutionnalisation de l’histoire et de la géographie sont encore en construction, des individus porteurs des titres d’«?historiographe?», de «?géographe?» ou de «?cosmographe?» peuvent s’investir autant dans la production de savoirs cartographiques qu’historiques. On cherchera par exemple à comprendre comment les cartographes effectuent un véritable travail d’historiographe, par la recherche de sources et leur confrontation critique, quand à l’inverse les historiens manipulent et discutent le matériau cartographique. En dépit de l’expression d’«?œil de l’histoire?», ce dernier axe vise à repenser le lien de subordination entre carte et histoire, relation qui n’est plus aussi claire et évidente si on la pose du point de vue des producteurs et de leurs pratiques.
Ces trois axes, qui peuvent être abordés simultanément, permettent de réfléchir à la relation entre l’objet cartographique et l’histoire entre les XVIe et XVIIIe siècles. Dans le cadre de cette journée d’étude, il conviendra de croiser les approches et d’associer les recherches en sciences humaines et sociales à d’autres historiographies. Le cadre géographique de cette journée d’étude s’articule principalement autour de l’Europe et ses extensions impériales, sans pourtant s’y restreindre. En effet, des communications sur d’autres espaces pourront être proposées afin d’élargir la perspective et la réflexion de la journée d’étude sur les liens entre carte et histoire.
Modalités de soumission
Les propositions en français ou en anglais, d’une longueur maximale de 300 mots, et accompagnées d’un bref curriculum vitæ, devront être envoyées à oeildelhistoire2024@gmail.com avant le 15 mai 2024.
Modalités d’organisation
Avec le soutien du Centre Alexandre-Koyré (CAK) et de la Bibliothèque nationale de France (BnF), la journée d’étude aura lieu le mardi 8 octobre 2024 dans la salle de conférences du département des Cartes et Plans de la BnF sur le site Richelieu (Paris).
Les organisateurs prendront en charge les repas, les frais de déplacement, et dans la mesure du possible d’hébergement pour une nuit. La journée d’étude se déroulera exclusivement sur site.
Organisateurs
Oury Goldman, docteur de l’EHESS et chercheur associé à TEMOS
Lucile Haguet, docteure et conservatrice de la bibliothèque municipale du Havre
Catherine Hofmann, conservatrice au département des Cartes et plans de la BnF
Geoffrey Phelippot, docteur de l’EHESS et membre du CAK
Bibliographie indicative
Svetlana Alpers, « L’œil de l’histoire : l’effet cartographique dans la peinture hollandaise au 17e siècle », Actes de la recherche en sciences sociales, vol. 49, 1983, p. 71-101.
Jean-Marc Besse, «?Historiae oculus geographia : cartographie et histoire dans le Parergon d’Ortelius?», Écrire l’histoire, vol. 4, 2009, p. 137-146.
———, Les Grandeurs de la Terre, Aspects du savoir géographique à la Renaissance, Lyon, Éditions de l’École normale supérieure, 2003.
Grégoire Binois, «?La cartographie militaire au XVIIIe siècle, une cartographie historique???», Hypothèses, vol. 19, n° 1, 2016, p. 41-51.
Jeremy Black, Maps and History. Constructing images of the Past, New Haven/Londres, Yale University Press, 1997.
François de Dainville, La Cartographie, reflet de l’histoire, Genève/Paris, Slatkine, 1986.
———, « Les découvertes portugaises à travers des cahiers d’écoliers parisiens de la fin du XVIe siècle?», dans Michel Mollat et Paul Adam (dir.), Aspects internationaux de la découverte océanique aux XVe et XVIe siècles, Paris, SEVPEN, 1966, p. 39-46.
———, La géographie des humanistes, Paris, Beauchesne, 1940.
Matthew H. Edney, « History and Cartography », dans Matthew H. Edney et Mary Sponberg Pedley (eds.), The History of Cartography, Volume 4: Cartography in the European Enlightenment, Chicago, University of Chicago Press, 2020, p. 624-631.
Walter Goffart, Historical Atlases: The First Three Hundred Years, 1570–1870, Chicago, University of Chicago Press, 2003.
Lucile Haguet, «?Comme des sœurs qui s’y tiennent par la main…?», Écrire l’histoire, vol. 3, 2009, p. 125-133.
Catherine Hofmann, «?La genèse de l’atlas historique en France (1630-1800), pouvoirs et limites de la carte comme “œil de l’histoire”?», Bibliothèque de l’école des Chartes, t. 158, 2000, p. 97-128.
Pascale Mormiche, « L’utilisation des images dans l’éducation des princes français (XVIIe-XVIIIe siècles) », dans Images et imagerie, Paris, Éditions du CTHS, 2012, p. 103-122.
———, Devenir prince – L’école du pouvoir en France, Paris, CNRS Éditions, 2015.
Daniel Nordman, «?La géographie, œil de l’histoire?», Espaces Temps, vol. 66-67, numéro spécial Histoire/géographie, 1. L’arrangement, 1998, p. 44-54.
Monique Pelletier, «?Les géographes et l’histoire, de la Renaissance au siècle des Lumières?», dans Apologie pour la géographie : mélanges offerts à Alice Saunier-Seïté, Paris, Société de Géographie, 1997, p. 145-156.
Daniel Rosenberg et Anthony Grafton, Cartographies of Time: A History of the Timeline, Princeton, Princeton Architectural Press, 2013.
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13:00
Fernando Quadro: Geoprocessamento no Agronegócio
sur Planet OSGeoO geoprocessamento na agricultura reúne tecnologias e métodos essenciais para coletar, tratar e analisar diversos dados sobre a produção agropecuária.
Com isso o produtor pode ter acesso a imagens e mapas precisos, além de poder traçar planejamentos mais eficientes. Assim consegue aumentar a produtividade e se tornar mais competitivo.
Por isso, o investimento em tecnologias de geoprocessamento na agricultura é considerado fundamental para o produtor que quer melhorar seus resultados.
Mas, como isso pode ajudar o agricultor na prática? Vamos citar abaixo alguns benefícios:
Acesso a informações mais detalhadas sobre cada talhão
Identificação de tendências de produtividade
Permitir o trabalho com parceiros de negócio
Identificação de pragas e doenças
Controle de plantas daninhasO uso do WebGIS vem sendo uma tendência que cresce a cada dia nesse setor. Sua possibilidade de interação e disponibilização de informações para o usuário é um elemento fundamental que faz com que este tipo de sistema de informação geográfica conectado à internet seja uma importante vertente para o futuro das geotecnologias.
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11:00
Mappery: No Cigars!
sur Planet OSGeoReinder sent this pic, he said “In Amsterdam, they named the Balthasar Floriszstraat after a 17th C. mapmaker. In this street I ran into a rather peculiar world map. The caption says ‘No Cigars'”
MapsintheWild No Cigars!
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9:58
Mapping the History of the Railway
sur Google Maps ManiaMartin Brake has created a number of interactive maps which visualize the historical development of transport networks in Germany, London, Paris and Barcelona. His Timemap Timelines project provides an animated map for each featured city which shows how its transit network has grown over time. For example the screenshot above shows the development of the London Underground between 1858 and 1947.
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9:30
Bernard Lahire, 2023, Les structures fondamentales des sociétés humaines, Paris, La Découverte, Collection sciences sociales du vivant, 970 p.
sur CybergeoL’ouvrage de Bernard Lahire est d’importance, par son volume, par son érudition qui en fait une véritable "somme" scientifique, et par sa position originale réaffirmant en la substantialisant la liaison entre les sciences sociales et les sciences de la nature. Il faut admirer le courage de l’auteur, qui mobilise un vaste corpus de données pour aller souvent à contre-courant des idées plus fréquemment reçues en sciences sociales, et identifier des éléments de savoirs cumulables pour construire une sociologie faite d’universaux et de lois. Je ne prétends pas faire ici la recension que mérite cet ouvrage, quant à ce qu’il représente en termes d’apport à la science sociologique, d’autres plus qualifiés s’en chargeront, et sa dimension et sa construction rendraient difficile autant qu’injuste une proposition de résumé. Chacune de ses trois grandes parties offre cependant une lecture qui sera du plus grand intérêt pour les géographes. La première partie "Des sciences sociales et des lois"...
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9:30
Improving the perfomance of commercial mapping on the web : proposals for the web site of the French Forest Authority
sur CybergeoIn 1999 the Internet was used for the first time as a marketing medium by the ONF (France’s National Forest Office) to sell timber from state- and locally-owned forests. Using a search engine, this site enables visitors to locate items corresponding to their requests (species, available volume,...). The only map proposed by the ONF is a document indicating roughly the felling location. It seemed appropriate to suggest the addition of an atlas allowing sellers to increase the visibility of the products on sale and visitors to rationalize their purchases. Is the result more efficient? A questionnaire is provided for Cybergeo readers.
Keywords: geomatics, Internet, wood sale, applied cartography, ONF -
9:30
Le principe de solidarité dans les politiques françaises de l’eau : originalité, fonctionnement et fragilités
sur CybergeoPour répondre à la dégradation de la qualité de l’eau en France, le législateur a créé en 1964 des outils novateurs d’une gestion autonome de l’eau, à savoir les agences et les comités de bassin, délimités selon les bassins hydrographiques. Durant les cinquante années qui ont suivi, les lois françaises puis les directives européennes ont favorisé une solidarité unique en matière de politiques environnementales, fonctionnant à un triple niveau : hydrographique, financier et territorial. Cet article présente l’originalité de cette solidarité et son évolution, en s’appuyant sur l’évolution des règlementations et l’analyse du fonctionnement des agences et des comités de bassin à mesure de l’élargissement de leurs missions. La récente reconnaissance nationale d'une pression quantitative sur la ressource, matérialisée en 2023 par l'adoption de 53 mesures visant une gestion de l'eau résiliente et concertée, recentre les agences et les comités de bassin au cœur de la gouvernance de l'eau. C...
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9:30
Déforestation au nord du Bénin : un éclairage par des enquêtes communautaires
sur CybergeoCet article part du constat d'une hétérogénéité spatio-temporelle de la déforestation dans le nord du Bénin au cours des quatre dernières décennies. Pour explorer les raisons sous-jacentes de ces disparités spatiales, nous avons mené une enquête approfondie auprès des résidents des territoires où le couvert ligneux a connu des évolutions s’écartant sensiblement de la tendance régionale. En utilisant des méthodes statistiques textuelles, notre analyse de ces entretiens a fourni des perspectives plus approfondies sur les nuances locales spécifiques dans les perceptions de la population concernant les transformations environnementales en cours au sein de leurs territoires. Nos enquêtes ont également mis en évidence une aggravation des inégalités sociales et foncières qui touche l’ensemble de la région. La poursuite de la déforestation au Nord du Bénin ainsi que le sentiment de vulnérabilité économique et sociale exprimé par les populations interrogées trouvent un écho à des situations ...
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9:30
Georges Courade, 2023, "Comme le fleuve, la vérité se perd dans le désert". Faire de la recherche dans les Afriques en décolonisation, Paris, Les Indes savantes, 151 p.
sur CybergeoDans ce petit livre interrogeant sur un mode personnel les modalités de la recherche en Afrique subsaharienne entre les décennies 1960 et 2010, Georges Courade mène un projet devenu assez commun dans le monde de la géographie, l’égohistoire. Mais c’est un projet exigeant, visant à reconstituer la vérité d’un parcours scientifique, vérité pour soi, par rapport aux enjeux successivement formulés par l’institution de recherche "pour le développement" et en termes d’effets sur les sociétés étudiées. Ce récit de vie vise aussi à retracer une "aventure collective" menée par une "génération 1962-1968" dans le cadre d’une recherche finalisée au sein de l’ORSTOM puis de l’IRD. Mais surtout, il s’agit d’une autofiction, une analyse réflexive menée en fin de carrière sous le truchement du personnage de Basile Costal.
Le récit se déroule en dix chapitres. Les six premiers portent sur les débuts et sur le background du chercheur, encadrés par son "baptême" dans un coin peu connu de l’Afrique, le ...
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9:30
La compensation écologique permet-elle vraiment de tendre vers l’absence de perte nette de biodiversité ?
sur CybergeoDepuis 2016, le droit français poursuit un objectif de non perte nette de biodiversité en imposant aux projets ayant des incidences sur la biodiversité d’éviter, de réduire, puis de compenser ces incidences. Les mesures compensatoires doivent générer des gains écologiques suffisants, ce qui suppose qu’elles soient réalisées sur des sites en mauvais état écologique. Cet article analyse le contexte écologique dans lequel ont été réalisées 1153 mesures compensatoires, entre 2017 et 2021, sur le territoire hexagonal français. En utilisant des données de la "naturalité potentielle de France métropolitaine", nous comparons d’une part les scores d’intégrité biophysique des sites choisis et d’autre part les scores de qualité écologique incluant un indice de connectivité du paysage autour des sites, par rapport aux scores nationaux. Nos résultats montrent que 64 % de la surface des sites de compensation se situe sur des espaces où le score d’intégrité biophysique est supérieur à la médiane f...