Vous pouvez lire le billet sur le blog La Minute pour plus d'informations sur les RSS !
Canaux
3083 éléments (12 non lus) dans 55 canaux
- Décryptagéo, l'information géographique
- Cybergeo
- Revue Internationale de Géomatique (RIG)
- SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatique
- Mappemonde
- Imagerie Géospatiale
- Toute l’actualité des Geoservices de l'IGN (2 non lus)
- arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier (2 non lus)
- arcOpole - Actualités du Programme
- Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiques
- Blog GEOCONCEPT FR
- Géoblogs (GeoRezo.net)
- Conseil national de l'information géolocalisée (2 non lus)
- Geotribu
- Les cafés géographiques (1 non lus)
- UrbaLine (le blog d'Aline sur l'urba, la géomatique, et l'habitat)
- Icem7
- Séries temporelles (CESBIO)
- Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)
- Cartes et figures du monde
- SIGEA: actualités des SIG pour l'enseignement agricole
- Data and GIS tips
- Neogeo Technologies
- ReLucBlog
- L'Atelier de Cartographie
- My Geomatic
- archeomatic (le blog d'un archéologue à l’INRAP)
- Cartographies numériques (3 non lus)
- Veille cartographie
- Makina Corpus (2 non lus)
- Oslandia
- Camptocamp
- Carnet (neo)cartographique
- Le blog de Geomatys
- GEOMATIQUE
- Geomatick
- CartONG (actualités)
Éléments récents
-
8:30
Saisir la position sémio-spatiale d’un élément géographique dans les cartes cognitives
sur MappemondeL’article propose d’analyser la position sémio-spatiale d’un élément géographique, en l’occurrence une frontière d’État, dans les cartes cognitives d’une ville frontalière. Sur le plan théorique, le recours au concept sémiologique de topos et la notion de position permettent de saisir les significations d’un élément géographique en fonction des positions sociales, afin de cerner leur contribution au positionnement de l’élément dans la carte cognitive. Méthodologiquement, cette analyse requiert une étroite intégration d’une tache discursive aux méthodes plus classiques de la cartographie cognitive.
-
8:30
La photographie comme représentation : L’ancrage et l’objectivation iconographique
sur MappemondeCet article aborde l’utilisation de la photographie de lieux comme un outil de recueil des représentations spatiales. Cette approche repose sur la présence des processus d’ancrage et d’objectivation dans l’iconographie qui révèle un rapport de communication tout comme une représentation sociospatiale. 20 habitants de Montreuil-sous-Bois ont réalisé des photos caractéristiques et non caractéristiques de quatre lieux imposés dans leur ville. Les résultats montrent que pour représenter ce qui est caractéristique d’un lieu, les personnes ancrent et objectivent leurs photos dans l’usage et/ou la fréquentation du lieu. À l’inverse, les photos non caractéristiques tentent d’être impersonnelles. La photographie de lieux apparait comme une réelle communication entre individus et comme un outil à développer pour aborder les représentations sociospatiales.
-
8:30
Des cartes mentales pour analyser la vulnérabilité au risque d’une ville de l’Arctique russe : Khamagatta
sur MappemondeL’article présente les résultats principaux d’un atelier cartographique conduit à Khamagatta (Sibérie orientale). L’objectif en était double : observer la vulnérabilité aux inondations de débâcle de la ville par les connaissances d’enfants et d’adolescents y vivant ; utiliser la carte comme instrument de dialogue, d’intégration des connaissances et de recueil de données. Récits et cartographies ne s’opposent pas, mais se renforcent. L’atelier cartographique a permis que se côtoient différents registres de connaissances et produit au final des informations précieuses pour l’analyse scientifique.
-
8:30
« Self Cartography », une narration autour du monde
sur MappemondeCet article propose une utilisation de la carte géographique comme support à la mise en récit de souffrances psychiques liées à l’expérience de la migration. À partir de la conception d’une méthodologie spécifique — « Self Cartography » — dans le champ de la psychologie clinique, nous reviendrons sur l’élaboration de cette méthode et l’illustrerons par la présentation de cas cliniques.
-
7:19
Quand tradition et innovation portent le SIG
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLa ville d’Aix-en-Provence mise sur les nouvelles technologies autant que sur son capital touristique et économique. Le SIG se transforme pour accompagner ce projet urbain ambitieux.
Fondée en 123 avant notre ère sous le nom d’Aquae Sextiae, surnommée la « Ville aux Cent Fontaines » ou encore « la Florence Provençale », Aix-en-Provence est riche d’un patrimoine architectural et naturel remarquable, dominé par l’emblématique montagne Sainte Victoire. Aujourd’hui sa population avoisine les 150.000 habitants et son territoire propose un important vivier d’entreprises. Ancrée dans le présent, la ville adopte les nouvelles technologies et la numérisation pour s’assurer que la transition digitale lui profite le plus possible. Aix-en- Provence est régulièrement présentée comme une collectivité pionnière en matière de travail sur la donnée. Elle a aussi lancé dès 2015 un programme de Smart City qui fait sans doute partie des rares projets territoriaux menés à leur terme, se construisant et évoluant dans la durée dans une logique de déploiement progressif et réfléchi. Englobée depuis 2016 dans la vaste métropole Aix-Marseille-Provence, la Ville continue à afficher sa singularité et sa personnalité y compris dans le domaine du SIG. Cette volonté d’autonomie est déjà ancienne. En effet, dans les années 2000, la Ville avait maintenu son activité de géomatique et topographie en parallèle de la mise en place d’un SIG par la Communauté d’Agglomération du Pays d’Aix.
Retrouvez la suite de cette enquête réalisée par Michel Bernard dans le magazine SIGMAG N°37
-
1:34
Jackie Ng: Where's the new Maestro API nuget packages?
sur Planet OSGeoThere were a few things I left out of the previous announcement that I'll use this post to address.
Firstly, the 6.0m12 release of MapGuide Maestro formally drops all Fusion editor support for integration with Google Maps tiles and services. We no longer support Google Maps integration in Fusion and the editor in previous releases gave the false impression that this is still possible. That is no longer the case with this release.
Secondly, the more important thing (and the subject of this post) is that if you are using the Maestro API and consume this through nuget packages from nuget.org you may be wondering why there are no new versions?
The answer to that one is simply: My nuget package publishing keys have expired and something in the nuget.org website or something with my nuget.org account is preventing me from regenerating these keys or to generate a fresh set. As a result, I currently cannot upload any new nuget packages to nuget.org
But do not fret, because there is an alternative solution.
As part of the MapGuide Maestro release on GitHub, the nuget .nupkg files are also included
From here, you can set up a local directory-based nuget package source, drop the .nupkg files into it and the this version of the package is available to install in your Visual Studio solution.
If/when I get a resolution on this publishing key matter, I will upload the .nupkg files for this release and make another announcement. Until then, this local package source is a suitable workaround.
-
19:46
Narcélio de Sá: A Importância das Conferências do State of the Map para o OpenStreetMap
sur Planet OSGeoSe você teve a sorte de participar de uma conferência do State of the Map (SotM), já sabe que elas oferecem alguns dos melhores conhecimentos, habilidades e treinamentos em SIG (Sistemas de Informações Geográficas) e geoespaciais disponíveis. Isso é além de ser um evento de networking fantástico, com muito tempo social divertido e envolvente. Se você é novo na comunidade do OpenStreetMap e ainda não participou de um SotM, ou faz parte de uma empresa pensando em patrocinar um SotM, juntamente com o envio de uma equipe para participar, este post é para você.
Image credit: Parker Michels-Boyce Photography. Please tag @OpenStreetMapUS in social media posts when using these photos. O que é um State of the Map – SotM?Os membros da comunidade do OpenStreetMap (OSM) organizam encontros anuais do State of the Map como uma forma de construir comunidade, compartilhar ferramentas e pesquisas, e estabelecer contatos entre si com o objetivo comum de melhorar o mapa. Esses encontros têm diversos tamanhos e são organizados local, regional e globalmente, mas o objetivo é sempre o mesmo: se reunir para discutir pesquisas sobre a criação de mapas, ferramentas, iniciativas e outros tópicos da comunidade. Os SotMs locais e regionais são organizados por comunidades locais, e o SotM global é organizado pela Fundação OSM.
As conferências do Estado do Mapa estabelecem pontes entre os mapeadores do OSM e ativistas comunitários, desenvolvedores de código aberto, pesquisadores de universidades e instituições acadêmicas, designers, cartógrafos, bem como profissionais de tecnologia de empresas privadas e instituições públicas.
Quais Tipos de Tópicos são Discutidos?A variedade de tópicos é tão diversa quanto a comunidade. As apresentações variam desde “palestras relâmpago” de 5 minutos até apresentações de 15-20 minutos e workshops de 75 minutos. Eles abordam temas como desenvolvimento de plataformas e ferramentas, análise de dados, mapeamento humanitário e muitos outros. Os apresentadores estão afiliados a comunidades locais, Youthmappers, HOTOSM, maplibre, FOSS4G, academia, outras organizações sem fins lucrativos e empresas pequenas e grandes.
A conferência global SotM de 2022 em Firenze, Itália, fornece um bom exemplo da variedade de informações e habilidades representadas em um SotM. Aqui estão apenas alguns títulos de sessões: “OSM Carto as Vector tiles; Innovating on Derivative OpenStreetMap Datasets”, Mapping a Small Town”, “maplibre-rs: Cross-platform Map Rendering using Rust”, “Ten Years iD Editor—The Road Ahead”, “Women Leadership in Mapping Riverside Communities in the Amazon Forest Using OSM.”
Esses exemplos mal arranham a superfície. Aqui está o programa completo e as gravações das apresentações. Há também uma exposição de pôsteres – sim, até as paredes do SotM de 2022 eram educacionais! E há um resumo dos procedimentos acadêmicos.
Portanto, como você pode ver, um SotM oferece inspiração e conhecimento para qualquer pessoa interessada no futuro da tecnologia geoespacial, OpenStreetMap e software e dados livres e de código aberto.
Participe do State of the Map Curitiba 2023Faça Parte do State of the Map Brasil 2023: Conectando-se ao Futuro do Mapeamento Geoespacial!
Prepare-se para uma experiência extraordinária! Estamos animados em anunciar o aguardado “State of the Map Brasil 2023?. De 2 a 4 de outubro de 2023, você terá a oportunidade de se envolver nesse evento imperdível, sediado na renomada Universidade Federal do Paraná, na charmosa cidade de Curitiba. E tem mais: este evento incrível acontecerá em um formato híbrido, permitindo que você participe tanto pessoalmente quanto virtualmente. Ah, e não se esqueça de marcar em sua agenda a pré-conferência, no dia 30 de setembro (sábado), para um mergulho profundo em conhecimento e networking.
Se você é um aficionado por mapeamento, um pesquisador curioso ou um usuário ávido por dados geoespaciais, esta é a sua oportunidade de brilhar! Estamos convocando você a compartilhar suas experiências, ideias inovadoras e trabalhos científicos através da nossa chamada para resumos de experiências acadêmicas e práticas. Mal podemos esperar para ver as gemas de conhecimento que você tem a oferecer.
O SOTM Curitiba 2023 é uma chance única para compartilhar sua expertise, conectar-se com colegas entusiastas e explorar as tendências mais recentes no mundo do mapeamento geoespacial. Junte-se a nós nessa emocionante jornada e contribua para construir um futuro mais mapeado e interconectado.
Para obter mais detalhes e informações sobre o evento, visite o site oficial aqui.
Não perca essa oportunidade singular. Estamos ansiosos para receber sua contribuição e encontrá-lo(a) pessoalmente no SOTM Curitiba 2023!
Fonte:
Why State of the Map Conferences Are So Important to OSM
The post A Importância das Conferências do State of the Map para o OpenStreetMap appeared first on Narcélio de Sá.
-
13:38
GRASS GIS: GRASS GIS 7.8.8 released
sur Planet OSGeoWhat’s new in a nutshell The GRASS GIS 7.8.8 release provides more than 80 improvements and fixes compared to the 7.8.7 release. This release is expected to be the last 7.8 release. Development continues with GRASS GIS 8.x. The overview of features in the 7.8 release series is available at new features in GRASS GIS 7.8. See also our detailed announcement with the full list of changes and bugs fixed at [https:]
-
10:00
Swimming in Sewage
sur Google Maps ManiaOver 50 competitors in last weekend's World Triathlon Championship Series in the UK fell ill after swimming in the sea off the coast of Sunderland. The UK's filthy rivers and sewage discharges have been largely blamed for the outbreaks of diarrhoea among those competing in the triathlon. In the UK the privatized water companies are allowed to discharge raw sewage into rivers when the system
-
10:11
Le samedi, c'est Map Story !
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Le sujet de la parité dans les dénominations des espaces publics est un sujet auquel je mettais intéressé, il y a presque 10 ans, à travers la dataviz PatronyMap (qui n'est plus en ligne aujourd'hui). Je présentais dans cet article arcOrama l'exploitation des données Open Data qui m'avais permis d'aboutir à cette cartographie. Aujourd'hui, je retrouve ce sujet traité à niveau plus local avec cette initiative de la ville de Tours.
Partant du constat qu'actuellement seulement 4% de ses rues, places, squares et jardin, ... portent le nom d'une femme, la ville de Tours a souhaité augmenter la visibilité des femmes dans l'espace public, Dans le cadre de son plan égalité, la ville a lancé une démarche participative appelée "La rue est aussi à nous" pour proposer et choisir de nouveaux noms de rues honorant des femmes. Depuis 2020, 35 femmes remarquables ont été mises à l'honneur, augmentant ainsi de plus de 50% le nombre total de femmes valorisées dans l'espace public de Tours, offrant ainsi des modèles inspirants aux jeunes générations.
La Story Map que je vous propose aujourd'hui a été réalisée par le Service SIG de Tours Métropole Val de Loire. Elle met en avant les 35 propositions de nouvelles dénominations inspirées par des femmes inspirantes.
Ce récit cartographique permet de parcourir, par la carte, les sites qui se voient attribués ces 35 nouvelles dénominations. Pour chaque site, le lecteur découvre une rapide biographie de la scientifique, l'écrivaine, l'artiste, la personnalité politique... ainsi célébrée.
D'un point de vue technique, l'application a été configurée à l'aide d'ArcGIS StoryMaps en utilisant notamment des blocs de type "Map Tour" pour permettre la visite cartographique. L'application et ses contenus sont hébergés sur ArcGIS Online, la plateforme SaaS d'Esri.
-
4:15
Sean Gillies: Never Summer training weekend recap
sur Planet OSGeoThursday, July 27, I drove west on CO-14 up the long Poudre River canyon and over Cameron Pass to Gould, the base for the Never Summer 60K and 100K races, for three days of camping and running in the mountains. Friday I would run the 60K race, Saturday I would go out for a few hours in the morning, and Sunday I would run a few more hours before driving home. Back-to-back-to-back easy long runs at high elevation to help me get in shape for the Bear 100 in September.
I had completely fair weather for the drive and for setting up my tent. I tossed a drop bag with spare shoes and socks in the truck bound for the Bockman aid station, caught up with other runners who I haven't seen in a while, cooked some quinoa for dinner, and tucked myself in.
Nokhu crags from Cameron Pass on CO-14
Thunderstorms passed over Gould almost all night long. I slept fitfully, and struggled to get my act together before the 5:30 a.m. start. I tied my shoes in the last 30 seconds before race director Nick Clark let us go. Not being a morning person, getting to the start on time is always a challenge for me.
After two miles of rolling along the margin of the valley floor, the course climbs steeply up Seven Utes Mountain. I stopped feeling groggy and started feeling the effort. I hiked the whole thing, comfortable at the back of the pack, and in a little over an hour, I was on top of the first alpine summit.
Runners heading down from the summit of Seven Utes Mountain, mile 6
My plan for the day was to go at an average pace of 20 minutes per mile. At the Bear 100, this would equate to a 33 hour finish, comfortably within the 36 hour cut off. I got to the Michigan Ditch aid station (11 miles) ahead of schedule and reached the Diamond Peak aid station (19 miles) 45 minutes ahead of schedule. The segment between them climbs 1000 feet, then becomes a highly runnable downhill. I ate solid food at the aid station, filled some pockets with cookies, and took 3 soft bottles of VFuel (race sponsor) solution to get me through the Diamond Peak climb and the ridge connection to Montgomery Pass.
Sweltering conditions made the first part of the Diamond Peak climb tough. A steady breeze above treeline helped make the slow, steep slog up the ridge more comfortable. The last unforgettable mile of the climb has a vertical gain of 1370 feet.
The ridge between North Diamond Peak and Montgomery Pass, mile 21
I took it easy on top, taking lots of pictures with my phone, and texting them to my family. News from the course always makes my mom happy. I reached the Montgomery Pass aid station a little less than three hours after leaving the Diamond Peak aid station.
I've been recovering from a back injury, perhaps from my crash at Kettle Moraine, and by the time I reached Montgomery Pass it had seized up. I wasn't able to do any consistent downhill running after this point. Still, seven hours of pain free running and hiking felt like major progress. I hope I'll be close to 100 percent by the Bear. I hiked down to Bockman aid station, did not change shoes and socks, grabbed more drinks and cookies, and hiked and jogged intermittently to the finish. I was just seven minutes over my goal.
Fort Collins runners Clint Anders and Jenna Bensko won the men's and women's divisions. Full results are here on OpenSplitTime.
Saturday morning I woke early to the sounds of the 100K race starting, dozed for another two hours, then drove 45 minutes to the Bockman aid station. It was dormant at 9. It is the 100K race's 50 mile mark and the first runner wouldn't be arriving before 2 p.m. From Bockman, I hiked the course in reverse to the Ruby Jewel aid station, then went forward on the course to the pass overlooking Kelly Lake, roughly mile 35. The lead runner and eventual winner, Zachary Russell, caught up to me just before the top. I stuck around to see the next ten runners come over, then headed back to Ruby Jewel. Saturday was warm, and the closer I got to Ruby Jewel, the more suffering I saw on faces. I heard later that 50 runners dropped out there at mile 31.
Pass above Kelly Lake, mile 35
I returned to Bockman, hung out there chatting with the aid station crew for a bit, then went for a swim in North Michigan Reservoir, a place where I've camped with my family, and which is full of water again after being drained for maintenance of the dam in 2021. After cooling and washing off, I returned to my camp at the race finish to change and get ready to work at the kitchen. From 6 p.m. until midnight I washed dishes and served food to runners. The kitchen group was a lot of fun and was lead by an actual chef who does the same duty at Hardrock 100 and a few other serious races. People are super grateful for a hot meal after a long day on the trail or at an aid station, and there isn't anywhere to eat in Gould. I would do this again.
100K finish line
I slept very little Saturday night. Runners trickled in until 6 a.m., and Brad Bishop (volunteer coordinator and finish line announcer among many roles) read every name and number over the PA system. On the bright side, I did hear names I knew, and was glad for them. My friend Ivan became the 100K race's first 70 year old finisher at 3:50 a.m.
After breaking camp and packing my car, I said good-bye to people, and drove homewards, stopping at the American Lakes trailhead for one more trip to that beautiful alpine basin. This time I went all the way to Thunder Pass for the view into Rocky Mountain National Park.
American Lakes basin from Thunder Pass
Over the weekend, I spent 20 hours on trails, covered 100 kilometers distance, and climbed over 4,000 meters. A successful mountain training camp, for sure. I got signs that my back is healing, did some volunteering, hung out with my favorite runners, and met some fun folks for the first time. I don't know if I'll run this next year, but I'll be back to be a part of it.
-
2:00
PostGIS Development: PostGIS 3.4.0rc1
sur Planet OSGeoThe PostGIS Team is pleased to release PostGIS 3.4.0rc1! Best Served with PostgreSQL 16 Beta2 and GEOS 3.12.0.
This version requires PostgreSQL 12 or higher, GEOS 3.6 or higher, and Proj 6.1+. To take advantage of all features, GEOS 3.12+ is needed. To take advantage of all SFCGAL features, SFCGAL 1.4.1+ is needed.
3.4.0rc1This release is a release candidate of a major release, it includes bug fixes since PostGIS 3.3.4 and new features.
-
18:35
Sean Gillies: Laid off
sur Planet OSGeoMy position evaporated on Monday, one of many layoffs at my job. This is a first for me. If you've got advice, I'm all ears. If you're a former coworker and looking for help finding a new job, hit me up. I'm good at reviewing resumes and enjoy telling hiring managers good things about good people.
I'm fortunate to be in a good position right now. My family is healthy, we are insured through Ruth's position at CSU, and have some savings. This is not the case for everyone who gets laid off, I know.
Am I going to let this derail my attempt to finish a 100 miler in September? No way. Looking for work will take time, and I'm picking up more family duties, but it looks like I'll also have more free time to spend on the trail this summer.
-
18:35
Sean Gillies: Laid off
sur Planet OSGeoMy position evaporated on Monday, one of many layoffs at my job. This is a first for me. If you've got advice, I'm all ears. If you're a former coworker and looking for help finding a new job, hit me up. I'm good at reviewing resumes and enjoy telling hiring managers good things about good people.
I'm fortunate to be in a good position right now. My family is healthy, we are insured through Ruth's position at CSU, and have some savings. This is not the case for everyone who gets laid off, I know.
Am I going to let this derail my attempt to finish a 100 miler in September? No way. Looking for work will take time, and I'm picking up more family duties, but it looks like I'll also have more free time to spend on the trail this summer.
-
11:44
Conseils & Astuces ArcGIS Online - N°175
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierN° 175 - Utiliser le catalogue d'imagerie orientée de Mapillary d'ArcGIS Online
Que ce soit avec le complément "Oriented Imagery" pour ArcGIS Pro, le widget "Oriented Imagery" pour ArcGIS Experience Builder, ou encore l'application web ArcGIS prête à l'emploi "Oriented Imagery", vous pouvez accéder aux vues immersives des catalogues d'imagerie orientée collectés par votre organisation ou par vos fournisseurs. C'est aussi le cas pour le catalogue d'imagerie orientée de Mapillary qui contient aujourd'hui plus de 1,8 milliard d'images auxquelles vous pouvez accéder directement à partir de votre projet ArcGIS Pro, de l'application Web Experience Builder ou de l'application web ArcGIS prête à l'emploi.
Je vous propose de voir les étapes qui vous permettrons, dans ArcGIS Experience Builder, d'ajouter des images Mapillary à votre application (la même démarche sera applicable à ArcGIS Pro ou à l'application web prête à l'emploi) :- Sur votre portail ArcGIS Online, créez une nouvelle application ArcGIS Experience Builder ou modifiez une application existante.
- Après avoir ajouté une carte dans la page, vous pouvez ajouter le widget "Imagerie Orienté" à votre application Web.
- Sélectionner le widget "Imagerie Orienté" puis configurez ensuite le widget Imagerie orientée à partir des propriétés qui s'affichent à droite de l'interface en suivant les étapes suivantes...
- Définir le widget de carte que vous souhaitez utiliser conjointement avec les images orientées (ici "Carte 1").
- Dans la section "Choisir le catalogue", sélectionnez "À partir de l'URL de l'élément" puis, dans "URL de l'élément", copiez et collez l'url ci-dessous :
[https:]] - Cliquer sur "Addition" pour ajouter le catalogue d'imagerie orientée Mapillary au widget.
- La carte doit alors se mettre à jour avec une nouvelle couche correspondant à la couverture des images orientées Mapillary.
- En option, dans la section "Configurer la modification", vous pouvez ajouter certaines couches d'entités éditables de votre carte web ou de votre scène web disponibles en tant que couche de superpositions dans la visionneuse d'imagerie orientée (et pouvoir ainsi les mettre à jour dans l'environnement immersif).
- Enregistrez et prévisualisez votre application Experience Builder.
- Dans l'application, vous accéderez à votre zone d'intérêt, sélectionnez le widget 'Imagerie Orientée" et cliquez n'importe où à proximité des zones surlignées en vert pour afficher les images de cet emplacement.
Vous noterez que, pour plus de clarté aux niveaux locaux, la couche de couverture du catalogue d'imagerie orientée n'est plus affichée aux grandes échelles.
Mapillary n'est qu'un des exemples de catalogue d'imagerie orientée auquel vous pouvez accéder dans ArcGIS. Dans quelques mois, lorsque le projet collaboratif Panoramax sera plus mature, je vous expliquerai comment tirer profit également de ces contenus de vues immersives Open Data dans ArcGIS.
Important : Le catalogue d'imagerie orientée Mapillary évoqué dans cet article n'est pas géré par Esri et n'est donc pas supporté par Esri.
Bonne route sur ArcGIS Online ! Pour retrouver l'ensemble des Conseils & Astuces ArcGIS Online, cliquez sur ce lien.
- Sur votre portail ArcGIS Online, créez une nouvelle application ArcGIS Experience Builder ou modifiez une application existante.
-
8:13
The X-Files of Paranormal Activity
sur Google Maps ManiaI can't decide if the Anomaly Observatory is a brilliantly tongue-in-cheek parody or the work of genuine lunatics. Whatever it is - it is wonderfully weird.According to Google Bard - "Beobachtungsstelle für Anomalien (Anamoly Observatory) is a website that reports on paranormal activities. It was founded in 2008 by an anonymous team and has since collected reports of paranormal activities from
-
16:34
Mise à jour ArcGIS Urban - Juin 2023
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Conçu pour les aménageurs et les urbanistes, ArcGIS Urban offre une combinaison d'outils de conception, de planification urbaine, d'analyse et de visualisation 3D pour modéliser et évaluer des changements dans les plans d'aménagements et les plans de zonage réglementaires. Dans la dernière version d'ArcGIS Urban déployée en juin, vous trouverez les évolutions suivantes pour améliorer la productivité et la facilité d'utilisation :
- Des enveloppes 3D affichées en transparence pour une communication et une interprétation plus facile des réglementations de zonage et de construction.
- Des instantanés interactifs de vos projets 3D pour créer des narrations dynamiques et des présentations guidées sur certains de vos projets d'aménagement.
- Plus de conseils et d'efficacité avec des messages d'aide intégrés à l'application
- Des modèles d'adéquation qui s'enregistrent automatiquement
- Des options d'accrochage pendant les opérations de mesure.
Visualisez les enveloppes pour mieux interpréter les contraintes et les opportunités de développement
Lorsque nous pensons à des modèles numériques 3D de villes, nous pensons souvent à des représentations physiques, comme des bâtiments, des arbres et du mobilier urbain. ArcGIS Urban va plus loin avec la possibilité de visualiser les enveloppes maxima théoriques sous forme de limites 3D transparentes. C'est un moyen efficace pour les aménageurs d'interpréter la complexité des réglementations de zonage et de les communiquer aux résidents et aux développeurs.
L'utilisateur d'ArcGIS Urban a toujours été en mesure de visualiser des enveloppes 3D pour une zone de son plan, ce qui a été amélioré c'est la façon dont vous interagissez avec elles dans cette nouvelle version.
Identifier la marge de croissance
Lors de la visualisation d'une zone d'intérêt, vous pouvez désormais afficher directement toutes les enveloppes 3D, ce qui vous permet d'identifier les opportunités de densification. Vous pouvez également simplifier la visualisation pour vous concentrer uniquement sur les aménagements prévus afin de voir rapidement où les propositions ne sont pas conformes.
Que vous ayez un examen régulier des propositions d'aménagement ou une mise à jour de zonage plus importante, Esri a ajouté de nouvelles fonctionnalités et des performances améliorées pour afficher ces enveloppes 3D dans n'importe quelle zone d'intérêt.
Enveloppes 3D dans ArcGIS Urban projetées sur plusieurs bâtiments 3D
Vous souhaitez visualiser une éventuelle modification d'une enveloppe ? Cliquez simplement sur une zone dans le panneau latéral d'édition et ajustez les valeurs. Pendant le chargement de vos paramètres nouvellement calculés, vous pouvez maintenant afficher et modifier d'autres aspects de votre zone de plan sans délai.
Révisez vos plans en toute confiance
Ne vous inquiétez pas si certaines de vos zones de planification manquent de paramètres de hauteur. Les parcelles sans hauteur spécifiée sont désormais automatiquement marquées d'une ligne pointillée, verticale à chaque sommet garantissant qu'ils ne causent pas de perturbation à la visualisation.
Enveloppes 3D sur une zone de plan
En éclaircissant la couleur de la bordure et en ajoutant des lignes pointillées pour les paramètres de hauteur manquants, les enveloppes 3D transparentes se fondent naturellement sans détourner l'attention de la vue d'ensemble.
3 façons de donner vie aux visualisations 3D pour une narration dynamique et engageante
Vous savez comme moi que les modèles 3D et les récits contextuels forment un duo puissant pour impliquer les parties prenantes dans un processus de planification urbaine. Forts de ses efforts continus pour rendre le partage de contenu avec ArcGIS Urban simple et pratique, Esri a fait en sorte que vous puissiez désormais partager un instantané de vos projets urbains sous forme de scènes web.
Présenter des scénarii individuels basés sur des projets
Les projets représentent un ensemble de propositions de conception ou de phases dans un développement à court terme, généralement à niveau très local (1 à 2 parcelles le plus souvent). Les responsables de planification urbaine ont désormais la possibilité d'exporter des scénarii individuels liés à des projets directement depuis ArcGIS Urban pour les utiliser dans des applications personnalisées, des sites web ou des StoryMaps.
Exemple de scène web issue d'un scénario de projet montrant un projet de réaménagement
à grande échelle et le placement d'arbres 3D
L'ajout de l'export en scènes web de projet complète la fonctionnalité d'export existante et couvre désormais les trois types d'éléments urbains :
- Projets - Représente les projets de conception soumis ou une phase d'un projet de développement, généralement au niveau de la parcelle.
- Plans - Affiche les bâtiments existants ou proposés (et leurs métriques), les surfaces et les parcelles dans une zone plus vaste (ZAC par exemple), telles que celles envisagées pour une réforme du zonage réglementaire ou un réaménagement.
- Modèles de quartiers ou de ville - Une sélection personnalisée de plusieurs plans ou projets pour créer une vue d'ensemble de haut niveau des développements en cours et futurs.
Exporter des scènes web d'ArcGIS Urban pour les utiliser en réalité virtuelle
Quelle meilleure façon d'explorer un modèle 3D actuel ou futur d'un quartier ou d'une ville qu'avec un casque VR ? Les casques VR sont en effet un excellent moyen d'encourager la participation aux réunions des parties prenantes et lors de rencontres ou de forums publics. Pour exporter des projets et des plans, vous pourrez utiliser simplement la nouvelle option d'export de scène vers ArcGIS 360 VR, tout comme vous exportez les nouvelles scènes web de projet vers une application ou ArcGIS StoryMaps. Vous pouvez en savoir plus sur 360 VR dans cet article arcOrama.Exemple de scène web ArcGIS Urban dans ArcGIS 360 VR
Plus d'informations et d'efficacité pendant que vous travaillez
Que vous découvriez ArcGIS Urban ou que vous soyez un aménageur urbain expérimenté en 3D, voici quelques améliorations supplémentaires qu'Esri a ajoutées pour faciliter l'apprentissage et l'utilisation d'ArcGIS Urban.
Conseils et astuces selon vos besoins
Avec différentes contraintes inhérentes à vos missions, il parfois difficile de maîtriser une nouvelle compétence. Pour vous aider, l'équipe d'ArcGIS Urban a ajouté des liens dans l'interface vers la documentation en ligne pour vous aider dans les workflows courants. Par exemple, vous les trouverez lorsque vous utilisez la barre d'outils d'édition pour les zones et la modélisation du développement.Liens intégrés à l'application vers la documentation (dans votre langue)
L'accès à l'intégralité du catalogue de documentation ArcGIS Urban et à aux dernières actualités est également désormais disponible lorsque vous ouvrez le panneau latéral d'ArcGIS Urban dans le coin supérieur gauche de votre fenêtre. Où que vous soyez dans ArcGIS Urban, que vous mettiez à jour une couche de parcelles ou que vous configuriez des paramètres de plan, ce bouton de navigation est un guide cohérent qui inclut désormais des liens utiles.
L'analyse d'adéquation des parcelles est enregistrée automatiquement
Dans ArcGIS Urban, l'analyse d'adéquation permet de trouver quelles parcelles sont adaptées au développement. Avec la sauvegarde automatique, vous pouvez maintenant créer votre modèle d'aptitude virtuel sans vous soucier de perdre votre progression.
Mesures
Désormais, lors de l'utilisation des outils de mesure de distance et de surface, vous pouvez vous accrocher à chaque ligne et à chaque sommet, garantissant des mesures précises, par exemple lors du traçage des limites d'une parcelle ou d'un bâtiment. Pour continuer avec des mesures de forme libre, utilisez simplement la touche CTRL de votre clavier pour désactiver temporairement la capture.
En savoir plus sur ArcGIS Urban
En route pour la conférence des utilisateurs Esri de cette année ? Consultez notre liste organisée de sessions ArcGIS Urban et assurez-vous de vous arrêter à la zone de développement communautaire . Vous ne participerez pas cette année ou vous souhaitez discuter avec nous plus tôt ? Planifiez une démonstration pour rencontrer un membre de notre équipe en tête-à-tête.
Ressources additionnelles- Pour une liste complète de toutes les nouvelles fonctionnalités, améliorations et corrections de bugs, veuillez consulter les notes de version.
- Tenez-vous au courant des annonces comme celle-ci et bien plus encore en vous inscrivant à notre newsletter ArcGIS Urban trimestrielle.
- Vous pouvez consulter la StoryMap "ArcGIS Urban Resources" (en anglais) pour un aperçu complet de toutes les ressources ArcGIS Urban disponibles.
- Vous pouvez également aider l'équipe Urban d'Esri à améliorer cette solution en rejoignant l'ArcGIS Urban User Lab pour être informé, tout a long de l'année, des recherches et des tests avec les utilisateurs.
-
10:04
AI Geo Guessing
sur Google Maps ManiaMeta has released a research project which uses AI to find the location of any photographed image. Meta's OrienterNet uses deep learning to determine the accurate position of an image using data from OpenStreetMap. Unlike previous algorithms which have relied on 3D point clouds to identify the locations depicted in images OrienterNet can determine the orientation and position of an image by -
11:01
Where Your County Got its Name
sur Google Maps ManiaCanadian County in Oklahoma is around 1,000 miles from Canada. This is because the name of the county doesn't derive from the US's northern neighbor but comes from the Canadian River (which apparently gets its name from some Canadians who were once spotted camping on its banks).I discovered the etymology of Canadian County thanks to Lia Prins' interactive map of US country names. Lia's map
-
10:00
Potentiel solaire
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueEsri France et namR collaborent pour l’évaluation du potentiel solaire des toitures françaises. L’éditeur français de logiciel namR a pour objectif de développer localement les installations photovoltaïques. Il possède déjà une solution qui recense le potentiel solaire des bâtiments ainsi que de nombreuses données relatives, comme celles de diagnostic de performance énergétique ou d’orientation des toitures. En s’associant à Esri France, la société intègre leur outil de GéoServices, avec pour ambition de permettre aux collectivités et acteurs locaux de visualiser ce potentiel appliqué à une ville et par bâtiment. De cette manière, les différentes politiques à mettre en oeuvre en lien avec cette thématique pourront être anticipées et adaptées. Cet outil pourra également inciter les habitants à s’équiper en panneaux photovoltaïques afin d’atteindre les objectifs définis par le Plan Climat Énergie Territorial.
+ d'infos :
solar.namr.com
-
22:41
Jackie Ng: Announcing: MapGuide Maestro 6.0m12
sur Planet OSGeoNext stop on the tour: A new release of MapGuide Maestro
This release includes the following notable changes.
Improved MapGuide Open Source 4.0 authoring supportThis release improves the MapGuide Open Source 4.0 authoring experience with support for the new label justification setting for basic stylization labels.
This setting is part of the new v4.0.0 Layer Definition XML schema, whose .xsd file is now also included with this release (so XML validation against this schema will work)
Fusion editor enhancements for mapguide-react-layout featuresThis release includes several enhancements to the Fusion Flexible Layout editor to support various features that can be taken advantage of when loaded into a mapguide-react-layout viewer. These new enhancements are accessible from the layout settings panel and require the latest release of mapguide-react-layout to leverage these new features.
The Manage Custom Projections button opens up a new dialog that lets you manage and pre-register custom proj4 definitions for your application. By pre-registering these definitions in the Flexible Layout document itself, you can avoid needing to perform a epsg.io lookup for any projections found in the viewer init process that is not EPSG:4326 or EPSG:3857
The Manage Settings button opens up a different dialog that lets you managed the app settings in the Flexible Layout document. These are arbitrary key/value pairs that your mapguide-react-layout viewer will be initialized with and your viewer code can read such settings at runtime to control and drive whatever custom functionality you may have.
Other Changes- Improved layer editor UI responsiveness when layer points to a feature source with a really large schema
- Increased schema walk/describe timeout to handle really large schemas
- Fix: Connection error dialog buttons are no longer cut off
- Fix: Transactional package drag-and-drop loading works again
- Fix: Broken rest addin due to missing RestSharp dependency
- Fix: Fill/line pattern dropdowns in layer editor are working again
- Fix: MgTileSeeder will now accept bounding boxes outside the [-90, -180, 90, 180] lat/long domain by clamping any outside coordinates to be within this domain.
Download -
21:47
OSGeo.nl: Nieuw bestuur Stichting OSGeo.nl
sur Planet OSGeoStichting OSGeo.nl heeft sinds juli 2023 een nieuw bestuur! Dit nieuwe bestuur kijkt onwijs uit om samen met jullie vol enthousiasme en plezier te zorgen dat we samen mensen nog meer bekend maken met het gebruik en de ontwikkeling van open source software voor geo-informatie. Als je benieuwd bent wat er allemaal besproken werd bij het debuut van dit nieuwe bestuur dan is de nota van deze laatste bestuursvergadering is te lezen op de wiki via: [https:]
-
16:24
Global map of irrigated areas
sur Séries temporelles (CESBIO)It’s not easy to find a good cartographic representation of the global irrigated land, therefore I made my own map using data from Meier et al. (2018).
The raw resolution of the above product is 30 arcsec, i.e. 1 pixel covers about 1 km by 1 km at equator. Here, I aim to represent the entire world in a single picture of say 1000 pixels wide, which means that 1 pixel would span about 40 km of land at the equator. Therefore I need to aggregate the original data to a lower resolution. Many people don’t realize that cartographic software like QGIS or ArcGIS will do this resampling under the hood with a default anti-aliasing method that may not work well with the data to represent, as shown below:
I like to aggregate data with hexagon grids because « hexagons are the most circular-shaped polygon that can tessellate to form an evenly spaced grid « . Thanks to the MMQGIS plugin it’s easy to generate a shapefile of continuous hexagons covering the Meier et al. layer. Here I worked in the Equal Earth projection because it retains the relative size of areas. Hence I first resampled the Meier et al. layer to Equal Earth at 800 m resolution using the nearest neighbor method. Then, I used the zonal statistics tool in QGIS to compute the « count » of irrigated pixels in every hexagon. Finally I computed the percentage of irrigated area by hexagon using the $area function in the field calculator available from the attribute table menu (percent irrigated = 100*800*800* « _count » / $area).
Using the same method we can aggregate the data by country.
Countries with the highest percentage of irrigated land:
- Bangladesh (38%)
- India (28%)
- Pakistan (22%)
Countries with the largest irrigated area:
- India (876’000 km²)
- China (746’000 km²)
- USA (287’000 km²)
Reference: Meier, J., Zabel, F., and Mauser, W.: A global approach to estimate irrigated areas – a comparison between different data and statistics, Hydrol. Earth Syst. Sci., 22, 1119–1133, [https:] 2018.
-
15:23
GeoSolutions: Free Webinar: GeoNode 4.1.0 release
sur Planet OSGeoYou must be logged into the site to view this content.
-
9:29
Learning Countries While Having Fun
sur Google Maps ManiaMap Practice: A Game to Learn Countries is a fun new way to learn the locations of countries around the world. The idea behind the game is very straightforward. You are simply asked to identify countries by pointing to their location on a map. Identify the country correctly and it will be colored green on the map. At the heart of the 'learning' element of this interactive map game is the
-
9:00
Développement d'une passerelle Apidae vers Geotrek pour les itinéraires de randonnées
sur Makina CorpusGeotrek est aujourd'hui un logiciel de référence pour la gestion et la présentation d'activités de pleine nature sur un territoire.
-
8:53
ArcGIS 360 VR : Créer et visualiser des expériences en réalité virtuelle sur le web
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierLa réalité virtuelle (VR) offre des possibilités sans équivalent pour examiner, analyser et comparer des projets en planification, AEC (architecture, ingénierie et construction) et SIG.
Il y a encore 10 ans, le coût élevé des appareils VR et du matériel de rendu, ainsi que la configuration et l'utilisation non triviales de l'équipement VR ont bloqué l'adoption généralisée de la VR à des niveaux modérés. Depuis quelques années, les appareils à faible coût tels que l'Oculus Quest lèvent ces limitations. Les appareils fonctionnent de manière autonome et sont ergonomiquement faciles à utiliser. Les applications peuvent être déployées à l'aide des technologies du web, ce qui les rend accessibles à de grands nombres d'utilisateurs.
ArcGIS 360 VR : une solution tout-en-un et gratuite pour les professionnels des SIG, les aménageurs, les urbanistes ou les architectes.
ArcGIS 360 VR est la solution tout-en-un légère d'Esri pour créer et visualiser des expériences VR panoramiques à 360 degrés. Il permet aux professionnels des SIG, aux urbanistes et aux architectes utilisant l'application Scene Viewer ou CityEngine de créer des expériences VR composées d'images panoramiques générées par ordinateur, de plusieurs points de vue et, lors de la génération depuis CityEngine, de scénarios de conception.
Les expériences sont ensuite partagées avec les utilisateurs sur ArcGIS Online et peuvent être consultées dans un navigateur web sur des appareils XR, des appareils mobiles ou des ordinateurs de bureau.
Créez facilement des expériences 360 VR à partir de scènes web
Depuis la version de juin 2022 d'ArcGIS Online, vous pouvez désormais créer vos expériences 360 VR à partir de scènes web en quelques clics depuis l'application Scene Viewer. Les diapositives de la scène sont converties en points de vue 360 ??VR et l'imagerie panoramique est rendue automatiquement.
Création d'une expérience 360 VR depuis l'application Scene Viewer
Depuis, d'autres améliorations ont été apportée à l'application ArcGIS 360 VR notamment avec une interface utilisateur fraîche et allégée et de nombreuses corrections de bogues.
Une récente innovation importante dans les expériences 360 VR concerne le support des fenêtres contextuelles configurées dans vos couches. Ceci permet, au-delà de la visualisation et de la navigation, une interactivité supplémentaire dans l'environnement immersif.
Affichage de fenêtres contextuelles dans ArcGIS 360 VR
Pour en savoir plus sur la création d'expériences 360 ??VR, vous pouvez vous référer à la documentation en ligne.
Exemple d'expérience 360 VR sur un appareil mobile (dans un navigateur web)
Exemple d'expérience 360 VR sur un poste bureautique (dans un navigateur web)
A votre tour d'essayer !
Pour l'essayer, c'est très simple. Il vous suffit d'avoir une scène web 3D sur votre portail ArcGIS (quels que soient ses contenus 2D et 3D) puis d'exporter vers une expérience 360 VR depuis l'application Scene Viewer (voir cette page de la documentation si vous avez besoin d'aide).
Si vous n'avez pas encore créé votre scène web 3D, alors vous pouvez également vous rendre sur [https:]] et découvrir les exemples proposés par Esri dans une galerie d'une centaine d'expériences 360 VR : un projet architectural détaillé, une expérience de réaménagement de Pasadena, une expérience contenant des couches de BIM, et une expérience montrant différents scénarios d'inondation pour la ville de Francfort.
-
16:46
A Message from Prashant Shukle on Behalf of the OGC Board of Directors
sur Open Geospatial Consortium (OGC)The OGC Board of Directors of the Open Geospatial Consortium congratulate Dr. Nadine Alameh on her selection as the inaugural Executive Director of the Taylor Geospatial Institute.
As her final week with the Open Geospatial Consortium draws to a close, we know that we have greatly benefitted from her transformational leadership over the last 5 years and are committed to the ongoing process of modernization within the OGC.
OGC Members and Staff work on very comprehensive and high-impact activities in the areas of Defense and Intelligence, Climate and Disasters, Health, Smart Cities and Digital Twins, the Metaverse, and advanced technology domains including Space and Earth Observation or Cloud Native Geospatial.
As the board searches for a new Chief Executive Officer, the Board and Staff are committed to ensuring that our focus will be sharp, and our momentum will not slow. We will continue to develop geospatial standards and solve interoperability issues; and serve as the leading geospatial consortium by bringing individuals and organizations together from around the world to collaborate, innovate, and develop solutions to some of the world’s toughest data and technology issues.
The Board of the OGC has started to develop a transparent, objective, merit-based process for the next Chief Executive Officer of the Open Geospatial Consortium. Please check ogc.org for any updates.
I look forward to seeing you at our in-person meetings, webinars, standard working groups, domain working groups, and at various high-level fora and research & innovation initiatives.
Should you have any questions, please send your enquiries here.
Prashant Shukle, Board Chair
On behalf of the
Open Geospatial Consortium
The post A Message from Prashant Shukle on Behalf of the OGC Board of Directors appeared first on Open Geospatial Consortium.
-
15:00
Developers invited to the 2023 OGC API – Processes Virtual Code Sprint
sur Open Geospatial Consortium (OGC)The Open Geospatial Consortium (OGC) invites developers to the 2023 OGC API – Processes Virtual Code Sprint to be held September 18-20, 2023, on Gitter. Registration for the code sprint is free and open to the public.
The Sprint will focus on refining the next version of the OGC API – Processes Standard and associated extensions.
The OGC API – Processes Standard supports the wrapping of computational tasks into executable processes that can be offered by a server through a Web API and be invoked by a client application. Typically, these processes combine raster, vector, coverage, and/or point cloud data with well-defined algorithms to produce new information.
Examples of computational processes that can be supported by implementations of OGC API – Processes include vector data analysis, imagery analysis, and various types of Artificial Intelligence (AI) enhanced analysis.
An OGC Sprint is a collaborative and inclusive event driven by innovative and rapid programming with minimal process and organization constraints to support the development of new applications and candidate standards.
During the virtual code sprint, there will be an opportunity for joint discussion with all participants on the goals and objectives of the event, as well as the final briefing of findings and opinions of the participants. However, the majority of the time will be spent in collaboration between participants in active coding. The virtual code sprint will run from 9:00am to 5:30pm US Eastern Time each day.
To learn more about how the family of OGC API Standards work together to provide modular “building blocks for location” that address both simple and the most complex use-cases, visit ogcapi.org.
Registration for the 2023 OGC API – Processes Virtual Code Sprint is here. The Sprint will take place in the ogc-developer/Sprints Gitter room from 9:00am to 5:30pm (US Eastern) each day from September 18-20, 2023.
To learn more about future and previous OGC code sprints, visit the OGC Code Sprints webpage or join the OGC-Events Discord Server.
The post Developers invited to the 2023 OGC API – Processes Virtual Code Sprint appeared first on Open Geospatial Consortium.
-
10:20
Visit Barcelona Without Going Abroad
sur Google Maps ManiaEarlier this year Axios created 50 travel itineraries which allow Americans to travel the world without ever leaving their home state. In Visit Paris Without Leaving Home you can enter the name of any state and retrieve an interactive map which shows an optimal route around the towns and cities in your state which share a name with a foreign location. Of course if you are French then you
-
10:00
Une StoryMap olympique
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLes collégiens de l’Aisne ont créé un parcours fictif pour la Flamme olympique à l’occasion des Jeux olympiques Paris 2024. Cette démarche a été initiée par le pôle SIG du département qui a mis en place un concours pour élire le meilleur projet sur 8 collèges candidats. Le parcours ne devait pas dépasser les 250 kilomètres, il devait entrer et sortir à deux points bien précis du département et être présenté sous forme de StoryMap. Les projets mêlaient photos, vidéos, musiques et informations sur une carte interactive. Ce projet soutenu par Esri France était l’occasion pour les enfants de lier leurs travaux à des enjeux d’actualité autour de l’eau, des forêts ou du patrimoine. L’utilisation de ce nouvel outil était source de motivation. Cet ensemble s’inscrit dans le cadre du programme SIG au collège visant à déployer des outils géographiques et numériques pour aider les élèves à développer des projets. Nos félicitations aux trois collèges en premières places : Villard de Honnecourt (Fresnoy-le- Grand), Louis Sandras (Anizy-le-Grand) et Gérard Philipe(Soissons) !
+ d'infos :
aisne.com
-
9:30
Contribution of maritime surveillance data to French Maritime Spatial Planning: between technical potential and political constraints
sur CybergeoMaritime Spatial Planning (MSP) is widely recognised around the world as a lever for sustainable development at sea. In practice, it is a new form of negotiation for the use of maritime space and its resources. To support shared decision-making, MSP requires information on the spatiotemporal dynamics of existing maritime activities. In this context, maritime surveillance, operated in real-time by the State (defence, fisheries monitoring) is a strategic source of data (AIS, VMS and radar) and information for planning purposes. While these data are growingly used by the scientific community, their contributions to MSP remains marginal. This article identifies the main reasons for this, drawing on 38 semi-directive interviews with French MSP stakeholders. It highlights two obstacles to the use of data for MSP: a) a limited accessibility of data for many actors, especially public ones and; b) a lack of acceptability on the part of historical users of maritime space when faced with their...
-
9:30
Le péage urbain de Tromsø, l’urbanisme durable à l’épreuve de la périphéricité arctique
sur CybergeoL’article s’intéresse au processus d’instauration du péage urbain de Tromsø, dont l’adoption très tardive (2021) pose question dans un pays qui a fait de l’exemplarité environnementale un levier d’intégration mondiale. L’article propose une lecture géohistorique du processus d’adoption du péage au prisme des relations centre-périphérie, explorant les racines de la rétivité locale aux principes nationaux de l’urbanisme durable et s’attachant à comprendre l’attachement singulier des habitants à l’automobile. À l’heure où ailleurs en Europe, la reconfiguration des relations centre/périphérie se marque une autonomisation des villes face à la tutelle étatique, l’établissement du péage urbain de Tromsø se singularise par le maintien d’une forte dualité entre la centralité méridionale et sa périphérie septentrionale. L’instauration du péage signe la fin d’un régime particulier accordé à la municipalité par l’État, et révèle le changement de statut de la ville, passée, malgré elle, de marge...
-
9:30
Contribution des données de surveillance maritime à la Planification de l’Espace Maritime français : entre potentiels techniques et contraintes politiques
sur CybergeoLa Planification de l’Espace Maritime (PEM), plébiscitée autour du globe comme un levier du développement durable en mer, s’illustre en pratique comme une nouvelle forme de négociation pour l’usage de l’espace maritime et de ses ressources. Pour alimenter et conforter la prise de décisions partagées, la PEM suscite un fort besoin d’information sur les dynamiques spatiotemporelles des activités maritimes existantes. Dans ce contexte, la surveillance maritime opérée en temps réel par l’État (défense, suivi des pêches) s’inscrit comme une source stratégique de données (AIS, VMS et radar) et d’informations au profit de la planification. Si l’exploitation de ces données fait l’objet d’un intérêt croissant de la part de la communauté scientifique, leur contribution effective à la planification en mer demeure marginale. Cet article en identifie les principales raisons à partir d’une enquête par entretiens semi-directifs réalisée auprès de 38 acteurs de la PEM française. Il met en lumière d...
-
9:30
La dialectique entre activités informelles et action de l’État dans la construction territoriale des grands espaces : le cas de l’orpaillage dans l’intérieur de la Guyane française
sur CybergeoLes grands espaces, ou régions faiblement peuplées, se distinguent par une série de caractéristiques spécifiques et notamment par un contrôle incomplet de la part des États. Cela ouvre des brèches pour l’exercice de pratiques qui, si elles sont ou illégales ou à la limite de la légalité, apportent des ressources économiques, des connaissances sur les territoires concernés et participent finalement à la domination, voire à la conquête des zones concernées par les États. Bien qu’invisibles ou réprimées, ces activités informelles influencent donc, directement ou indirectement, la construction officielle, symbolique et matérielle du territoire. Cet article analyse la pratique de l’orpaillage en Guyane selon cette perspective. En analysant le jeu dialectique entre contrôle formel du territoire et exploitation informelle des ressources, il met en relief la contribution des activités informelles à l’exploration, à la formation des frontières et à la gouvernance de l’intérieur de ce territo...
-
9:30
Alexandre Grondeau, Altermétropolisation : une autre vi(ll)e est possible, Aix-en-Provence, La Lune sur le toit, collection Hic et nunc, 2022, 337 p.
sur CybergeoLa photographie en couverture de l’ouvrage illustre ce qu’Alexandre Grondeau identifie comme une "schizophrénie urbaine" : la dissociation extrême entre deux espaces proches, un immeuble d’apparence luxueuse et des habitations faites de briques et de tôles. Cette opposition iconique entre un quartier aisé et une favela de São Paulo a été immortalisée par le photographe brésilien Tuca Vieira en 2007, comme symbole des inégalités extrêmes induites par la métropolisation contemporaine. Se posant comme "clinicien" de ces villes métropolisées, Alexandre Grondeau se propose alors d’en analyser les causes et symptômes, permettant d’envisager des remèdes à sa question centrale : comment faire advenir une autre ville ?
À la croisée entre l’ouvrage de synthèse et l’essai universitaire, ce livre interroge l’avenir des espaces urbains, partant de ce que l’innovation (tant technologique que sociale) fait (et peut faire) aux territoires. Actuellement maître de conférences habilité à diriger des re...
-
9:30
Sergio J. Rey, Rachel S. Franklin (eds), 2022, Handbook of spatial analysis in the social sciences, Cheltenham, Northampton, Edward Elgar publishing, 568 p.
sur CybergeoQuel plaisir constitue la lecture de cet ouvrage pour tout amateur d’analyse spatiale quantitative. C’est l’acception disciplinaire (et non technique) de l’analyse spatiale qui est privilégiée ici, celle des théories, des concepts et des méthodes permettant de mieux comprendre les localisations d’objets et de processus sociaux. Si vous cherchez des algorithmes de géotraitements pour votre SIG, passez votre chemin. À la fois très complet, rigoureux, pédagogique, ce livre, édité par Sergio J. Rey (Professeur à l’Université de Californie et directeur du Center for geospatial sciences) et Rachel S. Franklin (Professeure de géographie à l’Université de Newcastle et éditrice-en-chef de la revue Geographical analysis), compile le travail de synthèse de 51 auteurs (dont Roger Bivand, Luc Anselin, Michael Goodchild, Alan T. Murray, Stewart Fotheringham, et d’autres grands noms de la géographie quantitative) à travers 33 chapitres. Si certains de ces chapitres présentent des concepts ou des m...
-
9:30
Géographicité et immersion : La réalité virtuelle pour voyager dans le passé
sur CybergeoLe principe de l’immersion participe depuis le XIXe siècle du succès de nombreuses attractions visuelles, à l’exemple du cinéma, et a atteint une dimension inédite avec les dispositifs de réalité virtuelle à destination du grand public. C’est en particulier parce qu’elle permet d’interagir avec l’environnement simulé, et par le puissant effet de réel de son dispositif, que cette technologie est utilisée en contexte muséal. Outre les perspectives que son usage ouvre en termes de conservation, sa capacité à déplacer le visiteur ailleurs et dans un autre temps invite à l’interroger en termes de géographicité : son caractère immersif relève-t-il d’une "valence organisatrice de l’espace" ? Ou ne relève-t-il que d’un simple effet, aussi spectaculaire soit-il ? Cet article vise à identifier les modalités d’appropriation spectatorielle de cette technologie en contexte patrimonial, à partir d’un travail ethnographique mené sur le site d’une installation de réalité virtuelle présentée au musé...
-
9:30
Karl R. Kegler, 2015, Deutsche Raumplanung. Das Modell der "Zentralen Orte" zwischen NS-Staat und Bundesrepublik, Paderborn, Ferdinand Schöningh GmbH, 648 p.
sur CybergeoCe livre est la version révisée d’une thèse soutenue à l’université d’Aix-la-Chapelle le 10 juin 2011 sous la direction de Gerhard Fehl, fondateur de la chaire de théorie de la planification à l’Université technique de Rhénanie-Westphalie d’Aix en 1971. L’ouvrage a fait l’objet de recensions en allemand et en anglais, mais pas encore en français. Karl R. Kegler est depuis 2015 professeur à la faculté d’architecture de l’Université de Munich, où il enseigne l’histoire et la théorie de la ville et de l’architecture. Outre son enseignement, il travaille actuellement sur le lien entre la planification et les crimes commis par l'État nazi dans les territoires occupés d'Europe de l'Est.
Son ouvrage lie histoire, géographie, aménagement du territoire et architecture. Il témoigne de ses deux domaines de spécialisations, l’histoire d’une part et l’architecture d’autre part. Cette double formation lui permet de formuler son hypothèse de base : le "modèle" christallérien est tellement erroné qu...
-
9:30
Mapping the urban climate to address summer comfort management in French urban planning documents
sur CybergeoIn France, the integration of climate and energy issues in the spatial planning tools of local authorities is compulsory for cities with more than 20000 inhabitants. Through the example of Toulouse Metropole, the interdisciplinary work here presented make use of the available geographic and climatic data to perform spatial microclimatic diagnostics and its translation into recommendations to address thermal summer comfort. Analysis maps and strategic maps for daytime and night time are presented for thermal and aeraulic analysis taking advantage of available numerical simulations at 250x250 m, one year of duration and local weather type classifications. A three years long collaboration with the local authority and the urban agency allowed the co-construction of the cartographic protocol and the publication of an Atlas as well as a set of guidelines. Collaboration with a network of French cartographers allowed original propositions on graphic semiology as visual organization, the cho...
-
9:30
Sous la carte, des jeux d’acteurs : cartographie de l’environnement et SIG critique
sur CybergeoCet article documente la cartographie d’objets environnementaux, tels que les fonctions des zones humides et le paysage, à l'aide d'outils de géographie numérique. Si ces cartes doivent servir d’appui aux politiques publiques de gestion de l’eau et d’anticipation du changement climatique, leur dimension politique est rarement discutée. Nous cherchons donc à observer et rendre visibles les enjeux méthodologiques présents dans les processus de description, de reconnaissance et de localisation de ces objets environnementaux. Nous déconstruisons l’illusion d’une fabrique de carte numérique rapide et automatique, permettant de répondre de manière objective à toute question : les choix méthodologiques doivent être discutés en tenant compte de la finalité de la carte. Il s’agit, dans nos contextes interdisciplinaires, de prendre la mesure de la polysémie des termes afin de s’accorder sur une définition commune des objets à représenter. Les outils numériques remettent en question l'expertis...
-
8:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
-
8:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
-
8:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
-
8:30
Augustin J.-P. et Gillon P., 2021, Les jeux du monde. Géopolitique de la flamme olympique
sur MappemondeJean-Pierre Augustin de l’Université Bordeaux-Montaigne, chef de file d’une géographie sociale et culturelle du sport en France depuis presque quatre décennies, et Pascal Gillon, tenant plutôt du courant de l’analyse dite spatiale, inspiré, entre autres, par le travail de Jean Praicheux à l’Université de Franche-Comté et co-auteur notamment de l’Atlas du sport mondial, présentent un ouvrage d’envergure. La quantité d’informations, la qualité du traitement et des fondements théoriques du travail d’analyse, et surtout ce croisement entre deux écoles que parfois tout oppose, mais qui se complètent ici de manière remarquable, offrent un ouvrage majeur sur le sujet.
Le dessin discutable de première de couverture du graphiste pourtant connu Adria Fruitos ne doit pas obérer la teneur des 220 pages au format royal de ce titre de la nouvelle collection « Monde » des éditions Armand Colin, une collection consacrée à des ouvrages d’envergure qui permettent de comprendre les mécanismes de nos so...
-
8:30
La ligne de couleur de W.E.B Du Bois. Représenter l’Amérique noire au tournant du XXe siècle
sur MappemondeDepuis 2013, un mouvement politique lutte contre le racisme envers les Noirs d’Amérique : Black Lives Matter. Pourtant, un tel militantisme en faveur de la cause noire ne date pas d’hier. William Edward Burghardt Du Bois en est un précurseur lorsque, en 1900, pendant l’Exposition universelle de Paris, il entend illustrer les progrès accomplis par la communauté afro-américaine depuis l’abolition de l’esclavage. Pour ce faire, ce sociologue et historien américain réalise une soixantaine de représentations : cartes, graphiques et diagrammes colorés, de véritables innovations, pour son époque, dans les domaines statistique et cartographique. Son travail minutieux est à la croisée de plusieurs disciplines : de l’histoire à la géographie, en passant par les statistiques, la sociologie et l’ethnologie. Il entend, à travers cette exposition, mettre en lumière ce qu’il appelle le « très proche », ces structures invisibles du « colonialisme et du capitalisme racial, qui conditionnent l’organi...
-
8:30
De l’intérêt des pictogrammes pour figurer les représentations sociocognitives de l’espace résidentiel
sur MappemondeQuel rapport émotionnel un individu entretient-il avec son habitat ? Un jeu de simulation de négociation entre les différents critères d’évaluation de l’environnement résidentiel permet de recueillir un corpus de données. Son analyse implique une réflexion sur la formalisation des résultats obtenus. Deux options sont confrontées : une représentation en graphe polaire et une image composée de pictogrammes symbolisant les multiples dimensions de l’espace résidentiel qui peuvent motiver les choix d’installation. Cette dernière image permet une appréhension plus simple du lien entre les structures spatiales, cognitives et sociales.
-
8:30
Saisir la position sémio-spatiale d’un élément géographique dans les cartes cognitives
sur MappemondeL’article propose d’analyser la position sémio-spatiale d’un élément géographique, en l’occurrence une frontière d’État, dans les cartes cognitives d’une ville frontalière. Sur le plan théorique, le recours au concept sémiologique de topos et la notion de position permettent de saisir les significations d’un élément géographique en fonction des positions sociales, afin de cerner leur contribution au positionnement de l’élément dans la carte cognitive. Méthodologiquement, cette analyse requiert une étroite intégration d’une tache discursive aux méthodes plus classiques de la cartographie cognitive.
-
8:30
La photographie comme représentation : L’ancrage et l’objectivation iconographique
sur MappemondeCet article aborde l’utilisation de la photographie de lieux comme un outil de recueil des représentations spatiales. Cette approche repose sur la présence des processus d’ancrage et d’objectivation dans l’iconographie qui révèle un rapport de communication tout comme une représentation sociospatiale. 20 habitants de Montreuil-sous-Bois ont réalisé des photos caractéristiques et non caractéristiques de quatre lieux imposés dans leur ville. Les résultats montrent que pour représenter ce qui est caractéristique d’un lieu, les personnes ancrent et objectivent leurs photos dans l’usage et/ou la fréquentation du lieu. À l’inverse, les photos non caractéristiques tentent d’être impersonnelles. La photographie de lieux apparait comme une réelle communication entre individus et comme un outil à développer pour aborder les représentations sociospatiales.
-
8:30
Des cartes mentales pour analyser la vulnérabilité au risque d’une ville de l’Arctique russe : Khamagatta
sur MappemondeL’article présente les résultats principaux d’un atelier cartographique conduit à Khamagatta (Sibérie orientale). L’objectif en était double : observer la vulnérabilité aux inondations de débâcle de la ville par les connaissances d’enfants et d’adolescents y vivant ; utiliser la carte comme instrument de dialogue, d’intégration des connaissances et de recueil de données. Récits et cartographies ne s’opposent pas, mais se renforcent. L’atelier cartographique a permis que se côtoient différents registres de connaissances et produit au final des informations précieuses pour l’analyse scientifique.
-
8:30
« Self Cartography », une narration autour du monde
sur MappemondeCet article propose une utilisation de la carte géographique comme support à la mise en récit de souffrances psychiques liées à l’expérience de la migration. À partir de la conception d’une méthodologie spécifique — « Self Cartography » — dans le champ de la psychologie clinique, nous reviendrons sur l’élaboration de cette méthode et l’illustrerons par la présentation de cas cliniques.
-
18:21
The Map of National Animals
sur Google Maps ManiaTwo weeks ago I used Map Channels V9 and AI to create a National Stereotypes map. It turns out that I am not the only one who has been inspired by the power of AI to generate geographically themed images. In fact the latest demo map on Map Channels is this International Map of Mascots.The idea behind this map was to create a map of individual country's national animals. According to the notes -
9:14
Scrolling the Appalachian Trail
sur Google Maps ManiaThe Washington Post has published an article which explores the reasons why the world famous Appalachian Trail keeps getting longer. Apparently less than half the original trail remains where it was first laid. It also now 150 miles longer than it was in 1937. You can see all the changes made to the trail over the last 86 years in Why the famed Appalachian Trail keeps getting longer — and
-
2:00
PostGIS Development: PostGIS 3.4.0beta2
sur Planet OSGeoThe PostGIS Team is pleased to release PostGIS 3.4.0beta2! Best Served with PostgreSQL 16 Beta2 and GEOS 3.12.0.
This version requires PostgreSQL 12 or higher, GEOS 3.6 or higher, and Proj 6.1+. To take advantage of all features, GEOS 3.12+ is needed. To take advantage of all SFCGAL features, SFCGAL 1.4.1+ is needed.
3.4.0beta2This release is a beta of a major release, it includes bug fixes since PostGIS 3.3.4 and new features.
-
15:00
OGC adopts CityGML 3.0 Part 2: GML Encoding as an official OGC Standard
sur Open Geospatial Consortium (OGC)The Open Geospatial Consortium (OGC) is excited to announce that the OGC Membership have approved the OGC City Geography Markup Language (CityGML) Part 2: GML Encoding Standard for adoption as an official OGC Standard.
The CityGML 3.0 GML Encoding Standard presents the GML encoding of the concepts defined by the CityGML 3.0 Part 1: Conceptual Model (CM) Standard, which was approved as an OGC Standard in 2021. The GML encoding is compliant to OGC GML versions 3.2 and 3.3 (thus also ISO 19136). This encoding can be used to store and exchange 3D city models in the GML format as data sets or via web services.
Since its first publication by OGC in 2008, CityGML has been an open standard used for the storage and exchange of virtual 3D city models. CityGML allows the integration of urban geodata for use across a variety of applications, including urban and landscape planning; Urban Digital Twins for Smart Cities; the Metaverse; Building Information Modeling (BIM); mobile telecommunication; disaster management; 3D cadastre; tourism; vehicle & pedestrian navigation; autonomous driving and driving assistance; facility management; and energy, traffic, and environmental simulations.
CityGML defines a “City” in a broad fashion to comprise not just built structures, but also the land surface, vegetation, water bodies, city furniture, and more. Despite its name, CityGML is useful for large areas and small regions, not just cities, and can represent real-world terrain and 3D objects at different Levels Of Detail (LOD) simultaneously. CityGML enables the consistent representation of 3D urban objects across different Geographic Information Systems and users.
CityGML 3.0 is an evolution of the previous versions 1.0 and 2.0 of CityGML that further enables the cost-effective sustainable maintenance of 3D city models. While previous versions standardized a GML exchange format, CityGML 3.0 standardizes the underlying information model and can thus be implemented in a variety of technologies beyond GML. As a result, governments and companies can increase the Return On Investment (ROI) of their 3D city models by being able to put the same models into play across different technology platforms and application fields.
This Part 2 of the Standard defines how the concepts developed in Part 1 are realized using XML and GML technologies. The CityGML 3.0 GML encoding represents a full mapping of the Conceptual Model. The encoding is derived fully automatically from the UML model following the UML-to-GML encoding rules as defined by ISO 19136.
A collection of example data sets for the CityGML 3.0 GML Encoding is available from the OGC CityGML-3.0 Encodings Public GitHub Repository.
OGC Members interested in staying up to date on the progress of this standard, or contributing to its future development, are encouraged to join the CityGML Standards Working Group (SWG) via the OGC Portal. Non-OGC members who would like to know more about participating in this SWG are encouraged to contact the OGC Standards Program.
As with any OGC Standard, the open CityGML Part 2: GML Encoding Standard is free to download and implement. Interested parties can learn more about, view, and download the Standard from OGC’s CityGML Standard Page.
The post OGC adopts CityGML 3.0 Part 2: GML Encoding as an official OGC Standard appeared first on Open Geospatial Consortium.
-
14:20
Revue de presse du 28 juillet 2023
sur GeotribuUne GeoRDP à mettre dans la valise pour vos vacances ;) -
14:20
Revue de presse du 28 juillet 2023
sur GeotribuUne GeoRDP à mettre dans la valise pour vos vacances ;)
-
10:10
Aurorasaurus
sur Google Maps ManiaAurorasaurus is an interactive map of aurora borealis sightings. The website uses crowd-sourced data from Twitter users reporting aurora sightings and NOAA forecasts to show where there are confirmed aurora sightings and to alert people nearby that an aurora is happening. The map provides "view-lines" which show the predicted areas for an aurora according to the National Oceanic and
-
9:03
Pas à Pas - Préparer ses données avec les outils de Data Engineering d'ArcGIS Pro
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierDepuis les premiers numéros du magazine SIGMAG, arcOrama collabore chaque trimestre à la rédaction d'un article didactique focalisé sur une fonctionnalité ou une application clé du système ArcGIS. Je reprends ci-dessous l'article publié dans le numéro 34 paru en octobre 2022. Celui-ci présente en quelques étapes comment nettoyer, préparer et comprendre ses données à l'aide des outils de Data Engineering introduits récemment dans ArcGIS Pro.
L'analyse de données est au cœur du système ArcGIS. Cela veut dire une large palette d'outils d'analyse mais aussi l'outillage permettant l'intégration, le nettoyage et la mise en forme de ces données en amont de ces analyses. Ainsi, depuis ArcGIS Pro 2.7, Esri a ajouté une interface dédiée à l'ingénierie de la données (Data Engineering) pour rassembler les outils indispensables à la préparation de données, quelle soient spatiales ou non. Dans ce pas à pas, je vous propose, à travers un exemple concret, de découvrir quelques-unes des fonctionnalités proposées par les outils de Data Engineering d'ArcGIS Pro.
1. La première étape consiste tout d'abord à ouvrir l’application ArcGIS Pro avec les données souhaitées. Ici, nous utiliserons un jeu de données issu de l'ADEME concernant les Diagnostics de Performance Énergétiques (DPE) de logements pour le département du Calvados. Après avoir la table, vous ferrez apparaitre les outils de Data Engineering à partir du menu contextuel sur la table ou en utilisant le raccourci clavier Ctrl+Maj+D.
2. L'interface de Data Engineering pour s'affiche alors. Elle est constituée d'un ruban spécifique avec différents outils de nettoyage, de création, d'intégration et de mise en forme de données. Dans la partie inférieure, un panneau présente la liste des champs. Vous pouvez glisser-déposer les champs dont vous voulez découvrir le contenu puis cliquer sur le bouton "Calculer" pour générer les statistiques. Le panneau affiche alors, pour chaque champ, des informations comme le type de champ, le pourcentage de valeurs nulles, le diagramme de distribution des valeurs, les valeurs min/max/moyenne, le nombre de valeurs uniques, …
3. Ces informations vont vous permettre de repérer un certain nombre de points relatifs à la qualité des données. Par exemple, on constate ici que la date minimum du champ "date_visite_diagnostique" est le 23/07/1013. Cette erreur est manifestement une erreur de saisie sur l'année qui peut être rapidement corrigée en sélectionnant la ligne correspondant à ce minimum, puis dans la table en modifiant la valeur de la date en 23/07/2013. Une fois la mise à jour enregistrée, on désélectionnera la ligne puis on recalculera les statistiques dans le panneau Data Engineering. Le diagramme de distribution des valeurs est maintenant cohérent.
4. Un autre problème peut ici être identifié sur le champ "consommation_energie" qui présente des valeur négatives et des valeurs anormalement élevées. De la même manière que précédemment vous pouvez rapidement les corriger dans la table, par exemple ici en supprimant les lignes suspectes. Pour sélectionner les lignes correspondant à une plage de valeurs précises, vous pouvez demander à ouvrir le diagramme de distribution. Après correction, le fait de recalculer les statistiques (dans l'interface de Data Engineering) vous permet d'actualiser ce diagramme de distribution.
5. Un autre aspect de la préparation d'un jeu de données est de vérifier les types d'un champ. Par exemple ici, on constate que le champ "code_insee" est de type "Texte" alors qu'on souhaite disposer d'un champ de type "Long" pour de future jointure avec notre couche des communes. Pour cela, l'interface de Data Engineering ne propose pas de nouveaux outils car ils existent déjà dans ArcGIS Pro. Deux outils vous permettront de créer un champs "code_insee_num" de type numérique et d'y copier les valeurs par calcul de champ. Ils sont simplement rassemblés dans le groupe d'outils "Créer" ce qui permet un gain de temps.
6. Une fois ce problème de type de champ traité, un dernier point reste à traiter dans la préparation de nos données. Il s'agit ici de classer les différentes valeurs de consommation d'énergie en 7 classes de consommation A, B, C, D, E, F et G afin de pouvoir produire des DataViz avec cette codification normalisée. Pour cela, nous utiliserons l'outil "Reclasser un champ" qui se trouve dans le groupe d'outils "Mettre en forme".
7. L'outil de reclassement permet de décrire les différents intervalles de valeurs et d'indiquer la valeur correspondante souhaitée. L'outils permet de créer les intervalles de reclassification de manière automatique par une méthode mathématique ou de manière manuelle. Nous allons prendre cette dernière option pour pouvoir définir les intervalles avec nos propres valeurs. On notera que les intervalles se définissent par leur borne supérieure. L'outil permet de créer de classes que nécessaire. Vous indiquerez également le nom du nouveau champ à créer.
8. Une fois l'outil de reclassement exécuté, 2 champs ont été créés. Le premier est nommé avec le suffixe "_CLASS" et contient les nouvelles valeurs de reclassement, le second est nommé avec le suffixe "_RANGE" contient les bornes des intervalles appliqués lors du reclassement. Ceci permet notamment de garder une trace des bornes utilisées. Ce second champ peut être supprimé si vous n'en avez pas besoin.
9. Maintenant que nous disposons de nos classes de consommation d'énergie, il est intéressant de voir la répartie des classes A, B, C … à l'aide du diagramme de répartition. Pour cela, il faudra ajouter le nouveau champ "consommation_energie_7_classes" dans le panneau de statistiques de l'interface de Data Engineering. Après avoir vérifié que toutes les lignes de la table sont désélectionnées, vous pouvez recalculer les statistiques. Dès lors, il suffira de survoler le diagramme de distribution pour avoir le détail de la répartition pour chaque classe. Comme nous l'avons vu précédemment, vous pourrez également ouvrir le diagramme pour plus de détails.
10. La dernière phase de notre préparation de données consiste à agréger notre table des DPE par commune afin de pouvoir cartographier certaines informations. Pour cela nous allons utiliser la commande "Récapituler" que l'on trouvera dans le menu contextuel du champ de récapitulation (ici le champ "code_insee_num" créé précédemment). Nous demanderons notamment la moyenne de la consommation énergétique des bâtiments ayant réalisé un DPE afin de pouvoir la représenter sur une carte.
11. Une fois que la nouvelle table récapitulée est créée, vous pouvez afficher ses statistiques dans l'interface de Data Engineering, comme pour la table d'origine. Cela vous permettra rapidement de valider la cohérence des valeurs de chaque champ, puis de lancer l'outils de jointure de champ afin de joindre la couche des communes avec cette table de statistiques sur les DPE. Le champ contenant le code INSEE (en numérique) permettra ici de faire la jointure.
12. La jointure est maintenant réalisée sur la couche des communes. Nous disposons donc d'informations permettant de cartographier les communes du Calvados en fonction, par exemple, de la moyenne des consommations énergétiques issue des DPE de chaque commune entre 2013 et 2020. Nous avons choisi ici une représentation très simple par symboles gradués. Nous avons travaillé ici sur une table autonome, mais lorsque vous travaillerez sur des tables attributaires de couches vous découvrirez de nombreux autres outils pour manipuler les propriétés géographiques de vos données.
-
2:00
PostGIS Development: PostGIS 3.3.4 Patch Release
sur Planet OSGeoThe PostGIS development team is pleased to announce bug fix release 3.3.4, mostly focused on Topology fixes.
-
21:07
Stefano Costa: Sono vegetariano da due anni
sur Planet OSGeoIn questi giorni di fine luglio, due anni fa, ho deciso di smettere di mangiare carne e pesce e animali. Per un po’ di tempo, mi sono detto, ci provo. E sono passati due anni. Perché?
Non è stata una decisione improvvisa e penso che siano anni che mi porto dietro l’idea di non nutrirmi più di altri animali, ma l’ho sempre considerata molto difficile da attuare, molto faticosa da spiegare. E invece è stato piuttosto semplice.
Sono arrivato a questa decisione da due strade, il rispetto per gli animali e la convinzione che non esista un futuro per l’umanità carnivora.
Il rispetto per gli animali mi porta a rimanere inquieto sul consumo di prodotti di origine animale, in particolare latticini e uova, poiché la loro produzione su larga scala richiede necessariamente quegli allevamenti intensivi disumani da cui provengono gli animali destinati alla macellazione. Ho quindi grande rispetto per chi pratica una alimentazione vegana e non capisco perché la prima domanda che mi viene rivolta quando dico di essere vegetariano è se io non sia mica vegano, nemmeno fosse una malattia infettiva. Ho ridotto il consumo di latticini, soprattutto lo yogurt che ho sostituito con prodotti alternativi che sono in prevalenza a base di soia. La coltivazione di soia non distrugge le foreste amazzoniche, per inciso.
Le considerazioni planetarie sono le stesse che vengono ripetute da anni nell’ambito del discorso sulla crisi climatica globale. L’allevamento consuma una quantità di suolo enormemente superiore alla superficie richiesta per coltivare le piante in grado di fornire lo stesso apporto nutritivo. L’allevamento produce gas serra. Non cedo ai finti fondamentalismi eco-fascisti e credo che le popolazioni che praticano allevamento tradizionale debbano poter continuare a praticarlo. La stessa cosa non può essere detta per l’allevamento industriale tipico dei paesi occidentali. Queste sono convinzioni personali, che vorrei trovassero sponda in ambito politico.
Sono un archeologo, conosco abbastanza bene la storia della cultura materiale dell’umanità e credo che i cambiamenti culturali che continuamente avvengono siano ben più significativi di qualunque “tradizione” a cui si vuole rimanere aggrappati. La lista delle pratiche oggi ritenute incivili e inconcepibili che “abbiamo sempre fatto” è lunghissima, quindi non c’è nessun ostacolo concettuale ad aggiungerci anche il consumo di carne.
Ora sono un po’ più tranquillo quando mi siedo a tavola.
-
17:02
Des GéoDataDays au cœur de l'actualité
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiquePour l’édition 2023, le rendez-vous annuel de l’info géo, s’engage tout particulièrement à traiter les problématiques actuelles telles que l’environnement, le climat ou encore le numérique. Sur ces deux journées riches, les 13 et 14 septembre, il y en aura pour tous les goûts. Au Centre des Congrès de Reims, les GéoDataDays s’interrogent sur la possibilité d'atteindre un géonumérique responsable et la souveraineté en tant qu’enjeu économique pour les géodatas. Les deux grands débats donneront la parole à de nombreux experts : acteurs territoriaux, de la transition écologique, de l’économie et même du droit. Les discussions évoqueront le numérique vert, les infrastructures mutualisées, les partenariats publics/privés et la valeur ajoutée de l’open data et des géocommuns. Le spatial pour les territoires sera aussi une thématique abordée au sein de plusieurs conférences, d’ateliers et d’un village.
Cette année, les « Grands Défis » s’articulent autour des géodatas en commun aux géocommuns et la manière dont il est possible de démocratiser l’accès aux géodatas. Des retours d’expérience permettront d’y voir plus clair. Un point sera fait sur l’IA, les usages du machin learning et du deep learning en exploitant des géodatas. Sans oublier les jumeaux numériques des territoires et leurs mises en place aux côtés ou dans les SIG. Les questionnements techniques et organisationnels seront passés au crible. Une conférence divisée en deux demi-journées, dont une animée par la rédaction de Twin+, laissera la place également aux retours d’expérience et aux perspectives des jumeaux numériques.
Enfin, les grands thèmes traiteront de l’atmosphère et plus précisément de l’intégration dans les SIG des données de qualité de l’air, de météo et d’évolution climatique. Pour se rapprocher ensuite des sols et du sous-sol afin de faire un tour d’horizon des méthodes de recueil et d’exploitation de données. Ces enjeux vont aujourd’hui de pair avec ceux des mobilités durables et du monde de demain, l’occasion de décrypter la place de l’info géo pour économiser les ressources et limiter l’impact des activités humaines.
L’IGN, Living Data, Mappia, l’INSEE, Esri France et bien d’autres animeront des ateliers divers. Jean-Baptiste Fressoz, Chargé de recherche au CNRS et membre du Centre de recherches historiques (EHESS) sera le grand témoin de cette édition. Il présentera ses travaux sur l’histoire environnementale, l’histoire des savoirs climatique et l’Anthropocène.
En quelques chiffres, les GéoDataDays, c’est 70 exposants et 80 experts qui n’attendent que vous : élus, gestionnaires de territoire, chercheurs, géographes, etc. à Reims au Centre des Congrès, les 13 et 14 septembre 2023.
+ d'infos :
geodatadays.fr
-
10:16
New Worldwide Open Map Data
sur Google Maps ManiaThe Overture Maps Foundation has announced its first release of open map data. This initial release of data includes four 'themes':Places - Point of Interest (POI) Data on approximately 59 million places worldwideBuildings - building footprint and height data for 785 million buildings worldwideTransportation - road network dataAdministrative Boundaries - administrative boundaries for Level 2 (
-
9:12
Le service civique pour renforcer la localisation de nos projets
sur CartONG (actualités)Depuis plusieurs années, CartONG propose des services civiques pour soutenir les activités de cartographie collaborative, notamment les mapathons. Cette année, CartONG a pour la première fois participé au dispositif de service civique de réciprocité. Une démarche qui s'avère être un véritable levier pour renforcer la localisation de nos projets tout en favorisant l'échange et le partage de connaissances. Découvrez comment cette collaboration nourrit notre travail au quotidien.
-
17:18
QGIS Blog: QGIS Contributor meeting at BIDS ‘23 Vienna
sur Planet OSGeoWe are happy to announce that OSGeo kindly extended an invitation to have a QGIS contributor meeting joining the OSGeo Community Sprint 2023 during the Big Data from Space 2023 conference in Vienna.
The 26th QGIS Contributor Meeting will be held from Monday, November 6th to Thursday, 11th.
- Where: Austria Center Vienna [https:]]
- When: Mon 2023-??11-06 09:00 -?? Thu 2023-11-09 12:00
For more details and to sign up, please visit the corresponding OSGeo announcement page.
About QGIS contributor meetings
QGIS Contributors Meetings are volunteer-driven events where contributors to the QGIS project from around the world get together in a common space – usually a university campus. During these events, contributors to the QGIS project take the opportunity to plan their work, hold face-to-face discussions and present new improvements to the QGIS project that they have been working on. Everybody attending the event donates their time to the project for the days of the event. As a project that is built primarily through online collaboration, these meetings provide a crucial ingredient to the future development of the QGIS project. The event is planned largely as an ‘unconference’ with minimal structured programme planning. We do this to allow attendees the freedom to meet dynamically with those they encounter at the event. Those sessions that are planned are advertised on the event web page, and we try to enable remote participation through video conferencing software. Although our hosts are not funded and donate the working space to us, we show our appreciation by making one of our software release’s splash screens in honour of that host, which is a great way to gain exposure of your institution and country to the hundreds of thousands of users that make use of QGIS.
About OSGeo
The Open Source Geospatial Foundation (OSGeo) has a long tradition of organizing code sprints for developers of Free and Open Source GIS software.
Since 2009, the Open Source Geospatial Foundation (OSGeo) has been organizing a yearly Code Sprint of the “C Tribe” OSGeo projects, which has evolved into a full OSGeo Community Sprint and all “Tribes” are included/welcome. Leading developers of projects like GDAL, PostGIS,
MapServer, GeoServer, GRASS, QGIS, PDAL, pygeoapi and many more get together to discuss new ideas, hack, decide, tackle large geospatial problems and have fun.The OSGeo Community Sprint is open to all who wish to participate in one or more projects. There is always plenty to do – it’s not all about programming. Translation, documentation, feedback, discussions, testing – all this is also important for projects so everyone is cordially invited to attend the code sprint!
About BiDS
BiDS brings together key actors from industry, academia, EU entities and government to reveal user needs, exchange ideas and showcase the latest technical solutions and applications touching all aspects of space and big data technologies, providing a unique opportunity to discuss and present the most recent innovations and challenges encountered in the context of big data from space. The 2023 edition of BiDS will focus not only on technologies enabling insight and foresight inferable from big data from space. Together, we want to emphasize how breakthrough space data-driven technologies impact society’s grand challenges, such as climate change and the green transition.
The event, organized by the European Space Agency (ESA) together with the European Union Satellite Center (SatCen) and the Joint Research Center (JRC), will take place at the Austria center Vienna, and counts on the support of the partners FFG, Austria in Space and the Federal Ministry Republic of Austria.
-
11:50
Une brève histoire de Géodatabase - Épisode 3/3
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierCet article est le troisième et dernier de la série "Une brève histoire de Géodatabase".
Dans cet article, je vous présente deux nouveaux exemples d'outils pour vous aider dans la gestion de vos données et plus précisément, comment migrer une Géodatabase personnelle vers une Géodatabase fichier et, si nécessaire, vers une Géodatabase mobile.
Cependant, avant d'aborder ces deux nouveaux outils de migration de données, examinons d'abord ensemble la différence entre les types de Géodatabases basées sur des fichiers, leurs caractéristiques et fonctionnalités.
Si vous ne le saviez pas encore, ArcGIS 10.8.2, la version actuelle d'ArcGIS Desktop, entrera en phase de support dit mature en mars 2024. Le support mature signifie qu'il n'y aura plus de support logiciel via des correctifs, et que seul le support technique sera pris en charge.
Comme il n'y aura pas de sortie d'ArcGIS Desktop 10.9, il est plus que recommandé de migrer vers ArcGIS Pro. ArcGIS Pro prend en charge une grande variété de types de données. Toutefois, les formats de stockage de données, tels que les couvertures, les catalogues d'images et les Géodatabases personnelles, ne sont pas pris en charge et devront être migrés.
Attendez !
Alors que certains sont excités en entendant cette annonce, d'autres peut-être pas tellement. L'appréhension s'ensuit, la confiance flétrit et les questions commencent à tourbillonner alors que vous tentez de manière préventive de penser et d'anticiper toutes les hypothèses et inconnues potentielles qui pourraient vous guetter. Les doutes commencent à s'installer. Mais des solutions s'offrent à vous!
Allez découvrir toutes les ressources (guides, documentation et didactitiels) disponibles pour vous aider, vous et votre organisation, à migrer d'ArcMap vers ArcGIS Pro, et vous vous apercevrez rapidement que vous n'êtes pas seuls ! Il existe des communautés mondiale et française regorgeant d'idées et de ressources disponibles pour vous.
Vous commencez alors à penser à la logistique d'une telle entreprise de gestion de données. Vous avez une montagne de données à migrer, et de nombreux utilisateurs devront conserver l'accès à ces données pendant qu'elles sont migrées et ne peuvent pas être mises hors ligne. Vous disposez peut-être de ressources internes limitées pour vous aider à migrer toutes vos données. Il peut sembler que la seule solution soit de migrer vos données sur un fichier à la fois. Vous vous demandez comment gérer tout cela.
Mais un nouvel ensemble d'outils de migration de données personnalisés est apparu !
Êtes-vous prêts ?
Pour le reste de cet article, je vais vous guider à travers ce qui suit :
- La comparaison entre les Géodatabases basées sur des fichiers (mobiles, fichiers et personnelles)
- Les outils de migration de données et workflow de configuration
- Migrer des Géodatabases personnelles vers des Géodatabases fichier
- Migrer des Géodatabases fichier vers des Géodatabases mobiles
- Une FAQ sur les outils de migration de données
- Et après
Comparaison de Géodatabases basées sur des fichiers
Pour commencer, voici un tableau comparant les trois types de stockage de Géodatabase "basé sur des fichiers" (c'est à dire les Géodatabases mobiles, fichiers et personnelles). Ce tableau exclut toute information sur les Géodatabases d'entreprise.
J'espère que le fait d'avoir à portée de main les informations contenues dans cette comparaison vous permettra de trouver rapidement les détails dont vous avez besoin pour prendre les meilleures décisions pour vos flux de travail.
Outils de migration de données
Voici deux exemples d'outils de géotraitement de migration de données :
- L'outil Migrate Personal Geodatabases to File Geodatabases (PGDB_2_FGDB), conçu pour migrer une ou plusieurs Géodatabases personnelles vers des Géodatabases fichier à utiliser dans ArcGIS Pro. Cet outil sera utilisé uniquement dans ArcMap ou ArcCatalog
- L'outil Migrate File Geodatabases to Mobile Geodatabases (FGDB_2_MGDB), conçu pour migrer une ou plusieurs Géodatabases fichier vers des Géodatabases mobiles à utiliser dans ArcGIS Pro. Cet outil est facultatif et sera utilisé uniquement dans ArcGIS Pro
Étapes de flux de travail de configuration des outils
L'image suivante illustre le modèle de workflow en trois étapes que nous utiliserons pour configurer chaque outil avant d'appliquer ces outils à vos données.
Remarque : ces outils sont des exemples d'outils de géotraitement et sont fournis "tels quels". Ils ne sont pas pris en charge par les services de support d'Esri.
Migrer des Géodatabases personnelles vers des Géodatabases fichier - Étapes de configuration de l'outil
L'outil Migrer des Géodatabases personnelles vers des Géodatabases fichier (PGDB_2_FGDB) doit être utilisé uniquement dans ArcMap ou ArcCatalog. Cet outil est conçu pour migrer une ou plusieurs Géodatabases personnelles vers des Géodatabases fichier à utiliser dans ArcGIS Pro.
Effectuez les étapes suivantes pour télécharger, configurer et utiliser l'outil.
Étape 1 - Téléchargez l'outil
- Cliquez sur ce lien et, lorsque vous y êtes invité, connectez-vous avec votre compte ArcGIS Online pour accéder à l'outil Migrate Personal Geodatabases to File Geodatabases (PGDB_2_FGDB)
- Cliquez sur Télécharger. Cela téléchargera le fichier PGDB_2_FGDB.zip sur votre ordinateur
- Enregistrez le fichier .zip téléchargé localement sur votre ordinateur
- Cliquez avec le bouton droit sur le fichier .zip téléchargé, cliquez sur 7-Zip, puis cliquez sur Extraire ici. La boîte à outils ArcMap PGDB_2_FGDB.tbx apparaîtra dans le dossier
Étape 2 - Configurez la boîte à outils
- Pour ajouter une boîte à outils personnalisée, ouvrez ArcMap ou ArcCatalog
Remarque: cette boîte à outils personnalisée doit être exécutée dans ArcGIS Desktop 10.x
- Cliquez sur l'icône ArcToolbox pour ouvrir ArcToolbox
- Dans ArcToolbox, cliquez avec le bouton droit dans l'espace blanc et cliquez sur Ajouter une boîte à outils. La boîte de dialogue Ajouter une boîte à outils s'ouvre
- Accédez à l'emplacement où vous avez stocké le fichier PGDB_2_FGDB.tbx et sélectionnez Ouvrir
- Cette nouvelle boîte à outils PGDBMigrate apparaît dans la liste ArcToolbox. Développez la boîte à outils pour afficher l'outil Migrer des Géodatabases personnelles vers des Géodatabases fichier (Migrate Personal Geodatabases to File Geodatabases)
Étape 3 - Migrez vos données
- Double-cliquez sur l'outil Migrate Personal Geodatabases to File Geodatabases récemment ajouté à partir d'ArcCatalog ou d'ArcMap pour l'ouvrir
Remarque: cet outil doit être UNIQUEMENT utilisé dans ArcMap ou ArcCatalog, en licence standard ou avancée, et que vous disposiez des droits d'écriture sur les emplacement en entrée et en sortie de l'outil
Migrer des Géodatabases personnelles vers des Géodatabases fichier - Paramètres de l'outil
- Géodatabases personnelles en entrée (Input Personal Geodatabases) - Le paramètre de Géodatabases en entrée peut accepter une seule Géodatabase personnelle ou un dossier contenant une ou plusieurs Géodatabases personnelles. Le processus de migration inclura les Géodatabases personnelles dans les sous-dossiers du dossier d'entrée sélectionné
- Dossier de sortie (Output Folder) - Sélectionnez un emplacement de dossier de sortie pour stocker la ou les nouvelles Géodatabases fichier
Remarque: les noms de sous-dossiers avec des Géodatabases personnelles seront créés dans le dossier de sortie contenant la nouvelle Géodatabase fichier. Si une Géodatabase fichier du même nom existe déjà, l'outil ajoute un numéro à la fin du nouveau nom de Géodatabase fichier pour conserver des noms uniques.
- Charger les attributs raster en tant que pièces jointes (Load Raster Attributes as Attachments) (facultatif) - Par défaut, toutes les classes d'entités avec des attributs raster seront chargées en tant que pièces jointes pour chaque entité dans la classe d'entités associée. Si cette case n'est pas cochée, les attributs raster ne seront pas chargés en tant que pièces jointes dans la nouvelle Géodatabase fichier
Remarque: les colonnes d'attribut raster ne seront pas migrées vers des Géodatabases fichier car elles ne sont pas prises en charge dans ArcGIS Pro
- Exporter les images raster (Export Raster Images) (facultatif) - Cochez cette case pour exporter chaque image d'attribut raster vers un dossier de sortie
- Dossier de sortie des images raster (Raster Images Output Folder) (facultatif) - Dossier de sortie pour stocker les images d'attributs raster exportées sous forme de fichiers .jpg
Remarque: les images exportées auront le format de nom suivant
GeodatabaseName_FeatureClassName_Raster_ObjectID.jpg
Migrer des Géodatabases fichier vers des Géodatabases mobiles - Étapes de configuration de l'outil
L'outil Migrate File Geodatabases to Mobile Geodatabases (FGDB_2_MGDB) doit être uniquement utilisé dans ArcGIS Pro. Cet outil facultatif est conçu pour migrer une ou plsuieurs Géodatabases fichier vers des Géodatabases mobiles, si nécessaire, pour une utilisation dans ArcGIS Pro.
Effectuez les étapes suivantes pour télécharger, configurer et utiliser l'outil.
Étape 1 - Téléchargez l'outil
- Cliquez sur ce lien et, lorsque vous y êtes invité, connectez-vous avec votre compte ArcGIS Online pour accéder à l'outil Migrate File Geodatabases to Mobile Geodatabases (FGDB_2_MGDB)
Remarque: si vous n'êtes pas membre d'une organisation ArcGIS Online, vous pouvez créer un compte public gratuit avec une connexion ArcGIS, ou créer un compte public avec une connexion sociale pour accéder à ArcGIS Online. Une fois que vous avez créé un compte, vous pouvez l'utiliser pour vous connecter à ArcGIS Online. Si vous rencontrez des problèmes pour vous inscrire ou vous connecter à votre compte, consultez la page de dépannage du compte.
- Cliquez sur Télécharger. Cela téléchargera le fichier FGDB_2_MGDB.zip sur votre ordinateur
- Enregistrez le fichier .zip téléchargé sur votre ordinateur
- Cliquez avec le bouton droit sur le fichier .zip, cliquez sur 7-zip, puis cliquez sur Extraire ici. La boîte à outils ArcGIS Pro FGDB_2_MGDB.atbx apparaîtra dans le dossier
Remarque et clause de non-responsabilité: cet outil est fourni "tel quel" et n'est pas pris en charge par les services de support Esri. Veuillez poster toute question ou commentaire concernant l'outil dans la discussion sur la communauté mondiale Esri.
Étape 2 - Configurer la boîte à outils
Pour configurer cette boîte à outils personnalisée FGDB_2_MGDB.atbx, procédez comme suit:
- Pour ajouter un outil de géotraitement personnalisé, ouvrez ArcGIS Pro. Vous pouvez ajouter une boîte à outils à l'aide de l'une des options suivantes:
- Dans l'onglet Insertion, cliquez sur le menu déroulant en regard de Boîte à outils et cliquez sur Ajouter une boîte à outils
- Dans le volet Catalogue, cliquez avec le bouton droit sur le dossier Boîtes à outils, puis cliquez sur Ajouter une boîte à outils
- Accédez à l'emplacement où vous avez stocké le FGDB_2_MGDB.atbx et sélectionnez Ouvrir
- Dans le volet Catalogue, la boîte à outils FGDB_2_MGDB nouvellement ajoutée se trouve désormais dans le dossier Boîtes à outils. Développez le boîte à outils pour afficher l'outil File Geodatabase to Mobile Geodatabase
Étape 3 - Migrez vos données
- Double-cliquez sur l'outil File Geodatabase to Mobile Geodatabase pour l'ouvrir
Remarque: cet outil doit être UNIQUEMENT utilisé dans ArcGIS Pro.
Migrer des Géodatabases fichier vers des Géodatabases mobiles - Paramètres de l'outil
- Géodatabase fichier en entrée (Input File Geodatabase) - Ce paramètre peut accepter une Géodatabase fichier unique ou un dossier contenant une ou plusieurs Géodatabases fichier, ou une combinaison des deux. Les dossiers sélectionnés incluront automatiquement les Géodatabases fichier dans les sous-dossiers pour l'entrée et seront inclus dans le processus de migration
- Dossier de sortie (Output Folder) - Choisissez l'emplacement du dossier de sortie pour stocker la ou les nouvelles Géodatabases mobiles. Pendant la migration, en commençant par le dossier racine spécifié pour cet emplacement de dossier de sortie, cet outil imite la même structure de dossiers et de sous-dossiers que le paramètre de Géodatabase du fichier d'entrée. Les nouvelles Géodatabases mobiles conservent les mêmes noms de table, de classes d'entités et de structure de dossiers précédemment utilisés dans la Géodatabase fichier. Cela permet également à de nouvelles Géodatabases mobiles du même nom d'exister dans des chemins de répertoires différents
- Options d'attribut raster (Raster Attribute Options)
- Ajouter des attributs raster en tant que pièces jointes (Add raster attributes as attachments) - Par défaut, si des attributs raster existent dans une classe d'entités, ils seront chargés en tant que pièce jointe. Si cette case n'est pas cochée, les attributs raster ne seront pas chargés en tant que pièces jointes dans la nouvelle Géodatabase mobile. Si aucun attribut raster n'existe, les classes d'entités ne seront pas activées pour les pièces jointes et aucune pièce jointe ne sera ajoutée
Remarque: les attributs raster sont des images qui peuvent être associées à chaque entité dans une colonne raster d'une classe d'entités. Les colonnes d'attribut raster ne seront pas migrées car elles ne sont pas prises en charge dans les Géodatabases mobiles.
- Exporter les attributs raster vers un dossier (Export raster attributes to folder) (facultatif) - Cochez cette option si vous avez des images d'attributs raster que vous souhaitez télécharger dans un dossier sélectionné
- Dossier de sortie raster (Raster Output Folder) (facultatif) - Choisissez l'emplacement du dossier pour télécharger les images d'attributs raster sous forme de fichiers .jpg
Remarque: les images exportées auront le format de nom suivant
GeodatabaseName_FeatureClassName_Raster_ObjectID.jpg
FAQ - Outils de migration de données
Puis-je utiliser l'outil Migrate Personal Geodatabases to File Geodatabases (PGDB_2_FGDB) dans ArcGIS Pro?
Techniquement, non. Vous pouvez charger cet exemple d'outil ArcGIS Desktop dans ArcGIS Pro, mais une erreur se produira lorsque vous l'ouvrirez. Même si l'outil ne rencontrait pas d'erreur lors de l'ouverture, vous ne pourrez pas migrer les Géodatabases personnelles car ArcGIS Pro filtre tous les fichiers .mdb des espaces de travail. L'outil File Geodatabase to Mobile Geodatabases ne peut être utilisé, quant à lui, que dans ArcGIS Pro.
Quelles sont les exigences de licence ArcGIS Pro et ArcMap nécessaires pour utiliser ces outils?
Les deux outils nécessitent une licence standard ou advanced car chacun utilise les outils de géotraitement d'exportation et d'importation XML avec la même exigence.
Puis-je migrer mes Géodatabases personnelles directement vers des Géodatabases mobiles?
Malheureusement, non. C'est pour cette raison que deux outils ont été fournis pour migrer les Géodatabases personnelles vers des Géodatabases mobiles. Le processus nécessite d'abord de convertir les Géodatabases personnelles en Géodatabases fichier. Pour migrer correctement les Géodatabases personnelles vers le mobile, ces outils doivent vérifier les images d'attribut raster (un précurseur des pièces jointes), qui ne sont pas prises en charge sur le mobile. Ils vérifient également les jeux de données actuellement non pris en charge dans les mobiles, tels que les catalogues d'images, les jeux de données raster, etc.
Pourquoi devrais-je migrer ma Géodatabase fichier vers une Géodatabase mobile ?
Il est uniquement nécessaire de migrer une Géodatabase fichier vers une Géodatabase mobile si vous avez besoin de fonctionnalités d'accès SQL en dehors d'ArcGIS, comme l'utilisation d'un client SQLite.
Si je n'ai aucun attribut raster dans mes classes d'entités, l'outil active-t-il toujours toutes les classes d'entités pour les pièces jointes par défaut ?
Non. Chaque outil a cette option cochée par défaut et n'activera qu'une classe d'entités pour les pièces jointes et chargera chaque attribut raster entant que pièce jointe pour l'entité appropriée qui lui est actuellement associée. Si aucun attribut de raster n'existe, l'outil continuera au-delà des deux options de raster. Aucune image raster ne sera téléchargée si vous choisissez d'exporter vers un dossier.
Je souhaite télécharger mes images d'attribut raster dans un dossier de sortie, mais la dénomination des fichiers image ne peut pas être modifiée à partir de GeodatabaseName_FeatureClassName_Raster_ObjectID.jpg. Existe-t-il des alternatives pour pouvoir télécharger des images avec un nom de fichier plus descriptif ?
Oui! Un outil prêt à emploi existe pour télécharger des pièces jointes à l'aide de valeurs de nom de champ pour renommer des images à partir d'une classe d'entités. L'outil est disponible ici.
L'outil échoue avec une erreur indiquant que l'importation XML a échoué en raison de problèmes de données/schéma. Qu'est-ce que cela signifie et comment puis-je y remédier?
Si vous rencontrez une erreur d'importation XML, la messagerie de l'outil vous montrera la Géodatabase avec laquelle l'importation a échoué. La Géodatabase a été créée mais n'avait pas de données/schéma en raison de l'erreur d'importation. Cette erreur peut être reproduite indépendamment à l'aide des outils de géotraitement Exporter et Importer un document d'espace de travail XML. La solution consiste à copier et coller chaque jeu de classes d'entités, classe d'entités ou table de la Géodatabase personnelle vers la nouvelle Géodatabase fichier, ou d'une Géodatabase fichier vers une Géodatabase mobile. Le copier-coller échouera avec la même erreur lors du chargement de l'ensemble de données incriminé. Ce flux de travail fournira devrait vous fournir plus d'informations sur la raison pour laquelle l'importation a échoué sur un ou plusieurs ensembles de données.
Ces outils de migration de données étant des exemples et non pris en charge par les services de support Esri, seront-ils mis à jour selon les besoins, et comment les utilisateurs sauront qu'ils disposent de la dernière mise à jour ?
Si un outil rencontre un problème inattendu, une tentative sera faite pour réparer et mettre à jour l'outil. Pour vérifier que vous travaillez avec l'outil de migration de données le plus récent, utilisez les liens d'outils fournis dans cet article pour accéder à la présentation de l'outil et l'emplacement de téléchargement. Au-dessus de la description, vous verrez l'élément créé, l'élément mis à jour et le nombre de téléchargements affichés. L'élément mis à jour indique la date à laquelle cet outil a été mis à jour pour la dernière fois.
Existe-t-il des repères sur le temps nécessaire à la migration d'une Géodatabase personnelle vers une Géodatabase fichier ?
De nombreuses variables peuvent influencer le temps de migration d'une Géodatabase personnelle vers une Géodatabase fichier. Un test récent sur un Dell Precision 3561 avec un processeur i7-11850H et 64 Go de RAM a migré une Géodatabase personnelle d'environ 660 Mo vers une Géodatabase fichier en 1 heure et 6 minutes. La copie de données d'un format de Géodatabase à un autre prend du temps. Les résultats individuels peuvent varier.
Puis-je utiliser l'exemple d'outil File Geodatabases to Mobile Geodatabases avec des Géodatabases compressées ou sous licence ?
L'exemple d'outil a été testé avec deux types de Géodatabases. Si vous avez une Géodatabase fichier qui a été précédemment compressée, il est recommandé de décompresser la Géodatabase fichier avant d'utiliser cet outil pour migrer la Géodatabase fichier vers une Géodatabase mobile car l'outil peut échouer avec une erreur La table n'est pas modifiable lors de la tentative d'activation d'une classe d'entités pour les pièces jointes par exemple. Il n'est pas non plus pris en charge ou recommandé d'utiliser l'outil avec des Géodatabases sous licence car ces types de Géodatabases fichier limitent l'utilisation des données et ne migreront pas correctement la Géodatabase sous licence vers une Géodatabase mobile.
Et après ?...
Je vous ai expliqué au fil de cette série d'articles "Une brève histoire de Géodatabase" pourquoi les Géodatabases personnelles ne sont pas supportées dans ArcGIS Pro, comment connecter et utiliser des bases de données (en lecture seule) dans ArcGIS Pro grâce au OLE DB, et comment migrer vos données depuis une Géodatabase personnelle vers une Géodatabase fichier, et si besoin, vers une Géodatabase mobile.
C'est donc maintenant à vous de jouer, et de poursuivre vos aventures en migrant vos données vers ArcGIS Pro !
-
10:37
The Heartbeat of the Internet
sur Google Maps ManiaThe Fair Internet Report has created an interactive map which visualizes where and when in the world internet users ran speed tests over a 24 hour period (data from June 21, 2023). Mapping 24 Hours of Internet Speed Tests shows a total of 3.6 million speed tests being carried out across the world, all over the course of one day in June. Each line on the map represents a speed test carried out
-
9:00
La formation Python éligible au CPF est enfin arrivée
sur Makina CorpusMakina Corpus propose un nouvelle formation Python éligible au CPF. Grâce à cette certification, cette formation peut être entièrement financée par votre compte Compte Personnel de Formation.
-
9:00
Alerte hirondelles !
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLa ville d’Auch s’est associée à Esri France et à atReal pour protéger les hirondelles. Grâce au logiciel openADS interconnecté au SIG de la commune et au recensement des lieux de vies des hirondelles, les travaux d’urbanisme de la municipalité seront réalisés en tentant de préserver, tant que possible, les colonies d’hirondelles. Une application a donc été créée. afin d’alerter automatiquement le service Développement durable lorsque le service Urbanisme enregistre une demande d’autorisation de travaux (construction, aménagement, etc.) et qu’elle se trouve à proximité immédiate de site de nidification. Dans ce cas, des agents interviennent sur les lieux dans le but de mesurer le danger pour les oiseaux, selon la nature de la demande. S’ils considèrent qu’il y a un risque, ils feront en sorte de sensibiliser le propriétaire du bâtiment, de l’infrastructure, en proposant des solutions. Comme décaler la période de travaux, déplacer le nid ou fournir des nids de remplacement, artificiels. Pour davantage de précision, l’application permet de mettre à jour le positionnement des colonies sur une carte.
+ d'infos :
mairie-auch.fr
-
16:52
Nouveau drone DJI Air 3 : pour une imagerie aérienne doublement performante
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDeux caméras principales, jusqu’à 46 minutes de temps de vol, détection d’obstacles omnidirectionnelle et transmission vidéo HD O4 pour faire de votre sujet le centre de la photographie aérienne
25 juillet 2023 – DJI, leader mondial de drones civils et de technologies de caméras innovantes, présente aujourd’hui le DJI Air 3, un nouvel appareil puissant de la gamme Air doté d’une double caméra principale. Doté d’une caméra grand-angle et d’une télécaméra moyenne 3x, ce drone confère aux utilisateurs une sensation de compression dans leurs prises de vue, tout en offrant une longueur focale moyenne pour tout féru de photographie aérienne. Ce drone polyvalent avancé garantit des images incroyablement détaillées et des séquences saisissantes sans effort, les deux caméras offrant des images de 48 MP et des vidéos HDR 4K/60 ips. Des fonctions phares telles que 46 minutes de temps de vol[1], la détection d’obstacles omnidirectionnelle[2], la transmission vidéo HD O4 et bien davantage permettront aux utilisateurs une maîtrise optimale de la photographie aérienne.
« Le DJI Air 3 est le premier drone de notre gamme Air à proposer des fonctionnalités professionnelles telles que la double caméra principale et la détection d’obstacles omnidirectionnelle, tout en conservant ses capacités de légèreté avec seulement 720 g pour une liberté et une flexibilité accrues », a déclaré Ferdinand Wolf, Directeur créatif chez DJI. « Ce drone constitue l’outil polyvalent parfait pour vos aventures en plein air, tout en offrant un langage de caméra considérablement plus varié. »
Double caméra principale : pour des sujets hautement mis en valeur dans le cadreLe DJI Air 3 est doté d’un système inédit à double caméra principale de la gamme Air, intégrant une caméra CMOS grand-angle 1/1,3 pouce et une télécaméra moyenne 3x CMOS 1/1,3 pouce, le tout sur un corps compact. Les deux caméras présentent une taille de capteur identique mais des longueurs focales différentes, pour une qualité d’image plus homogène[3] et un langage caméra plus varié.
La caméra grand-angle permet de capturer des paysages majestueux dans toute leur splendeur. Elle présente une taille de pixel de 2,4 ?m, un format équivalent à 24 mm et une ouverture de f/1,7. La télécaméra moyenne 3x présente une taille de pixel de 2,4 ?m, un format équivalent à 70 mm et une ouverture de f/2,8.
La télécaméra moyenne 3x offre un zoom optique 3x tout en créant une forte impression de compression spatiale, pour une perspective unique permettant à l’utilisateur ou à toute autre personne d’être présentée comme un sujet saisissant dans le cadre. La présence humaine dans la scène multiplie ainsi désormais les possibilités de la photographie aérienne.
Les pilotes peuvent exploiter le large FOV de la caméra grand-angle pour capturer l’intégralité du paysage, ou passer à la télécaméra moyenne 3x pour saisir le sujet comme un point de mise au point cinématographique, créant ainsi une proximité visuelle saisissante entre le sujet et son environnement. Les deux caméras offrent des photos de 48 MP, garantissant des détails d’une authenticité saisissante, tout en permettant le recadrage ultérieur pour faciliter la composition secondaire.
Contrairement à son prédécesseur, le DJI Air 2S, le DJI Air 3 est doté de deux capteurs CMOS 1/1,3 pouce prenant en charge l’ISO double natif, permettant une sortie directe de vidéos HDR 4K/60 ips avec des taux de rafraîchissement élevés. De plus, il offre des spécifications vidéo max. de 4K/100 ips, sans nécessiter de recadrage du FOV4. Ces vidéos capturent des détails de couleurs d’une richesse exceptionnelle et des transitions d’éclairage naturel, offrant ainsi une restitution précise des paysages à couper le souffle. Les deux caméras prennent en charge les modes de couleur D-Log M 10 bits et HLG 10 bits. Le mode D-Log M 10 bits préserve les détails dans les hautes lumières et les ombres, pour une flexibilité accrue lors du post-traitement.
Le DJI Air 3 est le premier drone de la gamme Air à prendre en charge la prise de vidéo verticale 2,7K (9:16), facilitant ainsi le partage rapide et pratique sur les réseaux sociaux.
Temps de vol prolongé, accumulation facile d’énergieContrairement à son prédécesseur dans la gamme Air, le DJI Air 3 offre 48 % de temps de vol en plus,5 soit jusqu’à 46 minutes. Les pilotes peuvent ainsi trouver les positions optimales et ajuster la composition avec plus de sérénité au cours d’un même vol.
La nouvelle station de recharge de batterie est dotée d’une fonction d’accumulation d’énergie. Une pression prolongée sur le bouton fonction permet de transférer l’énergie restante de plusieurs batteries vers celle avec le niveau d’énergie le plus élevé6. Cette fonction confère aux pilotes la liberté et la flexibilité d’exploiter pleinement leur vol dans des scénarios à options de recharge limitées, tels que les randonnées en montagne ou les excursions en forêt.
Décollage confiant et atterrissage sûr grâce à la détection d’obstacles omnidirectionnelle et à la transmission vidéo O4Le DJI Air 3 est le premier drone de la gamme Air à intégrer la fonction de détection d’obstacles omnidirectionnelle. Cette fonction permet une connaissance complète de l’environnement en permettant au drone de détecter les obstacles dans toutes les directions. Le drone est équipé d’une paire d’objectifs fisheye à l’avant et à l’arrière, assurant une détection complète dans toutes les directions : vers l’avant, l’arrière, la gauche, la droite et vers le haut. En outre, la partie inférieure est dotée d’objectifs binoculaires et d’un capteur ToF 3D, offrant une puissante détection omnidirectionnelle des obstacles.
En cas de détection d’obstacle, le DJI Air 3 peut également utiliser le système APAS 5.0 pour l’éviter activement et le contourner en toute fluidité, garantissant ainsi des prises de vue ininterrompues et une expérience de vol nettement améliorée7. Même les débutants en photographie aérienne peuvent voler en toute confiance et libérer leurs idées créatives. La fonction ActiveTrack libère davantage les mains des pilotes et fonctionne de pair avec la fonction RTH avancé8 pour un vol entièrement automatique et un retour au point de départ en toute sécurité.
Le système de transmission vidéo O4 de nouvelle génération confère au DJI Air 3 des performances exceptionnelles. Outre une distance de transmission maximale de 20 km9, il améliore davantage la stabilité de la transmission pour éviter les interruptions de l’affichage en direct, garantissant ainsi un vol plus sûr. Il prend en charge les flux en direct jusqu’à 1 080p/60 ips, et un taux de rafraîchissement plus élevé garantit une expérience visuelle plus fluide. Pour la bande de fréquences en Europe, la fréquence de 5,1 GHz a été ajoutée pour améliorer les performances de transmission, permettant aux utilisateurs de voler avec davantage de confiance et de sécurité.
Des fonctionnalités intelligentes, une inspiration infinieFocusTrack pour les deux caméras : composé de Spotlight 2.0, ActiveTrack 5.0 et Point d’intérêt 3.0, FocusTrack garde le sujet au centre du cadre. L’utilisation d’une télécaméra moyenne 3x permet d’obtenir une sensation unique de compression spatiale pour une mise en valeur plus cinématographique du sujet.
QuickShots : permet au DJI Air 3 d’effectuer des mouvements de caméra créatifs tels que Fusée, Dronie, Cercle, Spirale, Boomerang et Astéroïde10.
Prise de vue verticale 2,7K : DJI Air 3 prend en charge la prise de vue vidéo verticale 2,7K à double caméra. La caméra grand-angle offre des informations d’image riches, tandis que la télécaméra moyenne 3x permet des photos aériennes verticales plus accrocheuses avec le pilote ou d’autres personnes en tant que sujet. La prise de vue verticale 2,7K peut être partagée immédiatement sur les médias sociaux sans nécessiter de recadrage.
MasterShots : permet à DJI Air 3 de réaliser automatiquement divers mouvements de caméra, de filmer plusieurs clips, de les monter et d’ajouter de la musique pour créer rapidement et en toute simplicité des séquences cinématographiques.
Mode Nuit : grâce à des algorithmes de réduction des nuisances sonores, le DJI Air 3 peut capturer des séquences épurées jusqu’à 4K/30 ips dans des environnements à faible luminosité.
Hyperlapse : choisissez parmi quatre sous-modes, dont Libre, Cercle, Course Lock et Waypoint, pour filmer des séquences Timelapse jusqu’à 4K à l’horizontale ou 2,7K à la verticale.
Ralenti : sélectionnez 4K/100 ips ou 1 080p/100 ips pour enregistrer directement une vidéo au ralenti 4x.
SmartPhoto 3.0 : en mode de prise de vue unique, DJI Air 3 utilise SmartPhoto 3.0 par défaut, lequel peut sélectionner automatiquement entre HDR, Hyperlight et reconnaissance de scène en fonction du scénario pour de meilleurs résultats d’imagerie. Au format HDR DNG11, la caméra peut enregistrer une plage dynamique plus importante avec une amélioration du contraste intégrée. Le fichier image peut atteindre une qualité de type JPG avec les logiciels de post-édition, limitant ainsi les difficultés du post-traitement.
QuickTransfer : téléchargez rapidement des photos et des vidéos de votre appareil vers votre smartphone via une connexion sans fil, pour un gain de temps et d’efforts.
LightCut : connectez le DJI Air 3 sans fil à l’application LightCut sur votre smartphone pour une reconnaissance intelligente des moments forts et une édition en un clic. Inutile de télécharger les images pendant le processus, pour un gain d’espace de stockage sur le téléphone.
Édition en un clic : identifie intelligemment la composition et la trajectoire de vol, sélectionne les clips en fonction de la composition et des mouvements de caméra, associe automatiquement le modèle et les effets sonores optimaux, puis génère une vidéo cinématique sans effort.
Effet tilt-shift : profitez d’effets incroyables conférant à la prise de vue un aspect miniature et semblable à celui d’un jouet, en un clic. Appliquez cette fonction aux séquences filmées avec la télécaméra moyenne 3x pour des résultats encore meilleurs.Vol Waypoint :une fonction disponible pour la première fois sur la gamme Air. Les utilisateurs peuvent planifier à l’avance les itinéraires de vol et les actions de prise de vue pour le DJI Air 3 pour réaliser des mouvements de caméra complexes comme des prises de vue uniques. Les pilotes peuvent également enregistrer un itinéraire de vol pour répéter la même mission avec précision à une date ou une heure ultérieure, permettant ainsi des prises de vue prolongées en timelapse pour capturer des transitions telles que le passage du jour à la nuit ou d’une saison à l’autre.
Des accessoires exceptionnels pour des performances de vol accrues 12Jeu de filtres ND DJI Air 3 :doté de filtres ND8/16/32/64, ce jeu permet à l’utilisateur de créer des séquences plus fluides à des vitesses d’obturation plus lentes.
Adaptateur secteur 100 W DJI USB-C :cet adaptateur permet une recharge rapide et simultanée de la batterie et de la radiocommande, ou des appareils mobiles via les ports USB-C.
Chargeur pour voiture 65 W DJI :léger et portable, le chargeur de voiture utilise un port universel. Ainsi, il peut recharger une batterie, une radiocommande, un smartphone, un ordinateur portable et d’autres dispositifs.
DJI Care Refresh
DJI Care Refresh, la protection complète pour les produits DJI, couvre maintenant DJI Air 3. Les dommages accidentels, dont les flyaway, collisions et dégâts dus à l’eau sont couverts par le service de remplacement. Vous pouvez bénéficier du remplacement de votre produit à un moindre coût en cas d’accident.
DJI Care Refresh (Plan de 1 an) comprend jusqu’à 2 remplacements sur un an. DJI Care Refresh (Plan de 2 ans) comprend jusqu’à 4 remplacements sur deux ans. Les autres services de DJI Care Refresh comprennent la garantie officielle et la livraison gratuite. Pour obtenir une liste complète des détails, accédez à : [https:]]
Prix et disponibilité
Le DJI Air 3 est disponible à l’achat sur store.dji.com et auprès des revendeurs agréés, avec livraison effective dès aujourd’hui, dans les configurations suivantes :
DJI Air 3 (DJI RC-N2) au prix de détail de 1099 €
Bundle DJI Air 3 Fly More (DJI RC-N2) au prix de détail de 1349 €
Bundle DJI Air 3 Fly More (DJI RC 2) au prix de détail de 1549 €
Le DJI Air 3 sera commercialisé avec une étiquette d’identification de classe C1 valable dans toute l’Union européenne ainsi qu’en Islande, au Liechtenstein, en Norvège et en Suisse.Pour en savoir plus, cliquez ici : [https:]]
À propos de DJI
Depuis 2006, DJI s’est imposé comme le leader mondial des innovations de drones civils, permettant aux particuliers de voler pour la première fois, aux visionnaires de transformer leur imagination en réalité et aux professionnels de révolutionner complètement leur travail. De nos jours, DJI œuvre à la construction d’un monde meilleur en favorisant continuellement le progrès humain. Mue par un état d’esprit orienté vers les solutions et une véritable curiosité, l’entreprise DJI a poussé ses ambitions dans des domaines tels que l’agriculture, la sécurité publique, l’arpentage et la cartographie, ainsi que l’inspection des infrastructures. Dans chaque application, les produits DJI offrent des expériences qui améliorent considérablement le quotidien des populations du monde entier, comme jamais auparavant.
Pour obtenir des informations plus détaillées, veuillez vous rendre sur?:
Site Internet?: www.dji.com
Boutique en ligne?: store.dji.com
Facebook?: www.facebook.com/DJI
Instagram?: www.instagram.com/DJIGlobal
Twitter?: www.twitter.com/DJIGlobal
LinkedIn?: www.linkedin.com/company/dji
Abonnez-vous à notre chaîne YouTube?: www.youtube.com/DJI
[1] Mesuré avec le DJI Air 3 en vol à une vitesse constante de 28,8 km/h dans un environnement sans vent au niveau de la mer, avec les systèmes APAS et AirSense désactivés, les paramètres de la caméra réglés sur 1 080p/24 ips, le mode vidéo désactivé, et un niveau de batterie passant de 100 à 0 %. Données uniquement à titre de référence. Veuillez prêter attention aux messages dans l’application pendant le vol.
[2] N’utilisez PAS l’appareil par mauvais temps, notamment en cas de vent violent de plus de 12 m/s, de neige, de pluie, de brouillard, de grêle ou d’éclairs. NE faites PAS voler l’appareil à 6 000 m (19 685 pi) ou plus au-dessus du niveau de la mer. NE faites PAS voler l’appareil dans des environnements à température inférieure à -10 °C (14 °F) ou supérieure à 40 °C (104 °F). NE décollez PAS à partir d’objets en mouvement tels que des voitures, des bateaux et des avions. NE volez PAS à proximité de surfaces réfléchissantes telles que l’eau ou la neige. Autrement, le fonctionnement du système optique pourrait en être altéré. En cas de signal GNSS faible, faites voler l’appareil uniquement dans des environnements bien éclairés et offrant une bonne visibilité. Une faible lumière ambiante peut entraîner un fonctionnement anormal du système optique. NE faites PAS voler l’appareil à proximité de zones soumises à des interférences magnétiques ou radio. Au nombre des sources courantes d’interférences magnétiques ou radio figurent les suivantes : points d’accès Wi-Fi, routeurs, appareils Bluetooth, lignes à haute tension, grandes centrales électriques, stations radars, stations de base mobiles et tours de radiodiffusion. Évitez toute pénétration de sable dans l’appareil lorsque vous décollez dans le désert ou sur une plage. Faites voler l’appareil dans des zones ouvertes, loin de la foule. Les bâtiments, montagnes et arbres peuvent bloquer le signal GNSS et affecter le fonctionnement du compas intégré.
[3] La caméra grand-angle et la télécaméra moyenne 3x présentent des ouvertures différentes.
4 Taux de rafraîchissement. La vidéo correspondante est lue au ralenti.
5 Comparé à DJI Air 2S.
6 Évitez de brancher le chargeur, les appareils externes ou d’insérer/retirer les batteries durant l’accumulation d’énergie.
7 L’action d’évitement des obstacles doit être réglée sur Bypass dans l’application.
8 Disponible uniquement en cas de lumière ambiante conforme aux conditions de fonctionnement des systèmes optiques. Prêtez toujours attention à l’environnement et aux messages d’avertissement de l’application. Pour plus de détails sur les conditions d’utilisation, veuillez vous référer au Guide d’utilisateur du produit.
9 20 km@FCC, 10 km@SRRC/CE/MIC
Mesurée dans un environnement extérieur, ouvert, sans interférence et conforme à la norme FCC. Les données ci-dessus correspondent aux distances de communication les plus éloignées pour les vols à sens unique sans retour. Veuillez prêter attention aux messages dans l’application pendant le vol.10 La télécaméra moyenne 3x ne prend pas en charge la fonction Astéroïde.
11 DJI Air 3 enregistre les photos au format HDR DNG lorsque l’appareil est en vol stationnaire, et les paramètres d’exposition sont automatiquement réglés en mode Auto ou Pro.
12 Vendus séparément.
Cet article Nouveau drone DJI Air 3 : pour une imagerie aérienne doublement performante est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
10:20
Obtenir la version de PROJ installée en Python
sur GeotribuMémo technique : comment récupérer la version de PROJ installée depuis un script Python, avec GDAL, PyProj ou le binaire proj. -
10:20
Obtenir la version de PROJ installée en Python
sur GeotribuMémo technique : comment récupérer la version de PROJ installée depuis un script Python, avec GDAL, PyProj ou le binaire proj.
-
9:09
Isochrone Maps
sur Google Maps Maniatime2reach is an interactive map that shows you see how far you travel within a set time period using public transit. The map can currently create isochrone visualizations for 6 global cities: New York, Paris, San Francisco, Toronto, Montreal and Vancouver. If you double-click on the map in any of these six cities an isochrone visualization will show you how far you can travel from that point
-
11:44
Le drone, ce voleur de données pour le SIG
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLongtemps cantonnés à un monde de spécialistes, les drones se sont démocratisés. Les données collectées sont intégrées à l’aide d’outils dédiés dans les SIG pour suivre de manière plus poussée l’évolution des territoires. Qu’il semble loin le temps où le drone était un engin lourd, complexe à manoeuvrer, et dont le plan de vol mettait des heures à être calculé et mis en oeuvre. À l’époque, la résolution des images captées du ciel avait bien du mal à rivaliser avec les photographies aériennes fournies par des prestataires spécialisés. Désormais, le drone est simple, maniable, réactif, peu onéreux et réactif. De quoi séduire un autre monde que celui des initiés de la première heure !
Ce constat, c’est Nicolas Hebert, Président d’Escadrone qui l’établit. Il a créé cette société il y a dix ans, en proposant l’intégration de robotique autonome adaptée aux activités de clients professionnels. Historiquement positionnée sur des sujets liés à la mesure, Escadrone propose aujourd’hui des solutions, de la formation à la prestation ou vente de drones, pour créer des nuages de points ou des orthophotos. Ses clients sont surtout des géomètres, mais aussi les services topographiques de certaines communes. Des structures qui bénéficient ainsi de drones aériens dotés de scanners lasers ou d’appareils photo permet tant de faire de la modélisation 3D.
Retrouvez la suite de cette enquête réalisée par Steve Carpentier dans le magazine SIGMAG N°37
-
11:30
Mise à jour des couvertures mondiales d'occupation des sols
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Les couches Esri Land Cover du Living Atlas sont les meilleures dans le domaine selon cette évaluation indépendante réalisée lors de l'annonce de la version "001" en 2021. Malgré tout, Esri continue à mettre à jour et à améliorer ces couches de la couverture terrestre mondiale avec de nouvelles données et fonctionnalités. En juin 2023, grâce à son partenariat continu avec Impact Observatory, Esri a publié la version "003" de cette série chronologique mondiale, qui va désormais de 2017 à 2022. Je reviens rapidement sur les apports de cette mise à jour.
Mise à jour des couches, cartes et applications existantes
Tout d'abord, on notera que la structure globale et les désignations des classes des nouvelles données sont les mêmes que les précédentes. Cela signifie que la nouvelle version a remplacé de manière transparente la version précédente et qu'il n'y a aucune modification fonctionnelle des éléments existants trouvés dans ArcGIS Living Atlas. La série temporelle Sentinel-2 Land Use/Land Cover à 10m est la couche temporelle du Living Atlas où vous pouvez trouver chaque carte annuelle de la série. Dans la page de description des couches, vous trouverez des informations sur les cartes, y compris les classes LULC désignées et leurs descriptions. L'application Sentinel-2 Land Cover Explorer utilise cette même couche de série chronologique dynamique et a été mise à jour de manière transparente avec les nouvelles cartes.
Si vous aviez précédemment téléchargé l'une des données pour une utilisation hors ligne, vous devrez actualiser votre copie locale en téléchargeant à nouveau via le mode de téléchargement dans l'application Explorer. Là, vous pouvez télécharger des tuiles individuelles par année, ou des années entières à la fois.
Les principales améliorations
Des changements plus crédibles
Un aspect fondamental des cartes mondiales LULC (Land Use/Land Cover) est la capacité de détecter et d'évaluer les changements de couverture terrestre au fil du temps. Pour améliorer encore la précision de l'ensemble de ces cartes annuelles, Impact Observatory a intégré de nouvelles fonctionnalités et méthodologies dans son modèle propriétaire de classification par Deep Learning, ce qui se traduit par une meilleure cohérence temporelle sur l'ensemble de la série chronologique.
Un changement entre deux cartes LULC peut potentiellement signifier un changement important et en développement dans une zone d'intérêt. Cependant, dans certains cas, les résultats de la classification peuvent varier d'un cycle annuel à l'autre en raison d'insuffisances de modélisation, de la variabilité des observations saisonnières et/ou de l'ambiguïté des classes à une résolution de 10 mètres. De tels cas peuvent conduire à des résultats de changement faux ou fallacieux lors de la réalisation d'une analyse de changement temporel. Comme le montre l'exemple ci-dessous, les améliorations récentes peuvent réduire considérablement les modifications parasites.
Grâce aux améliorations apportées à la cohérence temporelle, les utilisateurs qui évaluent les changements temporels dans la série chronologique peuvent être plus sûrs que ce qu'ils voient représente des évolutions réelles.
Aligné avec le système MGRS
Une autre amélioration notable de cette mise à jour est l'alignement des cartes LULC avec le Military Grid Reference System (MGRS). L'imagerie source Sentinel-2 Level-2A, à partir de laquelle la couverture terrestre est dérivée, est désormais alignée sur le MGRS. Bien que les cartes LULC aient toujours été alignées de manière cohérente les unes avec les autres, il y avait un décalage de sous-pixel entre elles et l'imagerie source. Désormais, l'imagerie source et chacune des cartes LULC annuelles sont parfaitement alignées.
Des résultats plus pertinents
Comme pour chaque génération du produit, Impact Observatory a mené une évaluation de validation rigoureuse pour mesurer la précision et les taux de changement. Selon leur rapport de validation de produit, la version "003" de la série chronologique LULC permet aux utilisateurs d'étudier plus facilement des changements significatifs avec une série chronologique améliorée et stabilisée dans le temps sans compromettre les performances statistiques de l'une des cartes annuelles individuelles.
"Avec le soutien d'Esri, Impact Observatory a pu encore améliorer ces cartes du monde entièrement automatisées, qui ont déjà été évaluées de manière indépendante comme étant les cartes d'occupation du sol mondiales les plus précises disponibles", a déclaré Steve Brumby, PDG d'Impact Observatory. "Ces cartes fournissent des informations importantes sur les modèles à grande échelle de notre planète en mutation."
Esri continue de tirer parti de partenariats stratégiques pour relever les défis de la conservation et de la durabilité dans le monde entier. L'expérience d'Impact Observatory dans la fourniture d'algorithmes avancés pour l'IA/ML contribue à accélérer les progrès dans ces domaines.
Mise à jour de l'application
Coïncidant avec cette mise à jour des données, Esri a ajouté une nouvelle fonctionnalité à l'application Sentinel-2 Land Cover Explorer. Désormais, vous pouvez exporter les séries temporelles de la couverture terrestre vers une carte web vers ArcGIS Online pour une analyse plus approfondie ou peut-être comme élément de base d'une application personnalisée rapide et facile via ArcGIS Instant Apps.
Sentinel-2 Land Cover Explorer fait partie d'une suite d'applications dans ArcGIS Living Atlas qui démontrent chacune les capacités et les modèles d'utilisation au sein du système ArcGIS. Si vous souhaitez exploiter ou étendre les capacités démontrées autour de ces couches Sentinel-2 Land Cover Explorer, n'hésitez pas à accéder au référentiel de code sur GitHub.
-
9:30
Le péage urbain de Tromsø, l’urbanisme durable à l’épreuve de la périphéricité arctique
sur CybergeoL’article s’intéresse au processus d’instauration du péage urbain de Tromsø, dont l’adoption très tardive (2021) pose question dans un pays qui a fait de l’exemplarité environnementale un levier d’intégration mondiale. L’article propose une lecture géohistorique du processus d’adoption du péage au prisme des relations centre-périphérie, explorant les racines de la rétivité locale aux principes nationaux de l’urbanisme durable et s’attachant à comprendre l’attachement singulier des habitants à l’automobile. À l’heure où ailleurs en Europe, la reconfiguration des relations centre/périphérie se marque une autonomisation des villes face à la tutelle étatique, l’établissement du péage urbain de Tromsø se singularise par le maintien d’une forte dualité entre la centralité méridionale et sa périphérie septentrionale. L’instauration du péage signe la fin d’un régime particulier accordé à la municipalité par l’État, et révèle le changement de statut de la ville, passée, malgré elle, de marge...
-
9:30
Contribution des données de surveillance maritime à la Planification de l’Espace Maritime français : entre potentiels techniques et contraintes politiques
sur CybergeoLa Planification de l’Espace Maritime (PEM), plébiscitée autour du globe comme un levier du développement durable en mer, s’illustre en pratique comme une nouvelle forme de négociation pour l’usage de l’espace maritime et de ses ressources. Pour alimenter et conforter la prise de décisions partagées, la PEM suscite un fort besoin d’information sur les dynamiques spatiotemporelles des activités maritimes existantes. Dans ce contexte, la surveillance maritime opérée en temps réel par l’État (défense, suivi des pêches) s’inscrit comme une source stratégique de données (AIS, VMS et radar) et d’informations au profit de la planification. Si l’exploitation de ces données fait l’objet d’un intérêt croissant de la part de la communauté scientifique, leur contribution effective à la planification en mer demeure marginale. Cet article en identifie les principales raisons à partir d’une enquête par entretiens semi-directifs réalisée auprès de 38 acteurs de la PEM française. Il met en lumière d...
-
9:30
La dialectique entre activités informelles et action de l’État dans la construction territoriale des grands espaces : le cas de l’orpaillage dans l’intérieur de la Guyane française
sur CybergeoLes grands espaces, ou régions faiblement peuplées, se distinguent par une série de caractéristiques spécifiques et notamment par un contrôle incomplet de la part des États. Cela ouvre des brèches pour l’exercice de pratiques qui, si elles sont ou illégales ou à la limite de la légalité, apportent des ressources économiques, des connaissances sur les territoires concernés et participent finalement à la domination, voire à la conquête des zones concernées par les États. Bien qu’invisibles ou réprimées, ces activités informelles influencent donc, directement ou indirectement, la construction officielle, symbolique et matérielle du territoire. Cet article analyse la pratique de l’orpaillage en Guyane selon cette perspective. En analysant le jeu dialectique entre contrôle formel du territoire et exploitation informelle des ressources, il met en relief la contribution des activités informelles à l’exploration, à la formation des frontières et à la gouvernance de l’intérieur de ce territo...
-
9:30
Alexandre Grondeau, Altermétropolisation : une autre vi(ll)e est possible, Aix-en-Provence, La Lune sur le toit, collection Hic et nunc, 2022, 337 p.
sur CybergeoLa photographie en couverture de l’ouvrage illustre ce qu’Alexandre Grondeau identifie comme une "schizophrénie urbaine" : la dissociation extrême entre deux espaces proches, un immeuble d’apparence luxueuse et des habitations faites de briques et de tôles. Cette opposition iconique entre un quartier aisé et une favela de São Paulo a été immortalisée par le photographe brésilien Tuca Vieira en 2007, comme symbole des inégalités extrêmes induites par la métropolisation contemporaine. Se posant comme "clinicien" de ces villes métropolisées, Alexandre Grondeau se propose alors d’en analyser les causes et symptômes, permettant d’envisager des remèdes à sa question centrale : comment faire advenir une autre ville ?
À la croisée entre l’ouvrage de synthèse et l’essai universitaire, ce livre interroge l’avenir des espaces urbains, partant de ce que l’innovation (tant technologique que sociale) fait (et peut faire) aux territoires. Actuellement maître de conférences habilité à diriger des re...
-
9:30
Sergio J. Rey, Rachel S. Franklin (eds), 2022, Handbook of spatial analysis in the social sciences, Cheltenham, Northampton, Edward Elgar publishing, 568 p.
sur CybergeoQuel plaisir constitue la lecture de cet ouvrage pour tout amateur d’analyse spatiale quantitative. C’est l’acception disciplinaire (et non technique) de l’analyse spatiale qui est privilégiée ici, celle des théories, des concepts et des méthodes permettant de mieux comprendre les localisations d’objets et de processus sociaux. Si vous cherchez des algorithmes de géotraitements pour votre SIG, passez votre chemin. À la fois très complet, rigoureux, pédagogique, ce livre, édité par Sergio J. Rey (Professeur à l’Université de Californie et directeur du Center for geospatial sciences) et Rachel S. Franklin (Professeure de géographie à l’Université de Newcastle et éditrice-en-chef de la revue Geographical analysis), compile le travail de synthèse de 51 auteurs (dont Roger Bivand, Luc Anselin, Michael Goodchild, Alan T. Murray, Stewart Fotheringham, et d’autres grands noms de la géographie quantitative) à travers 33 chapitres. Si certains de ces chapitres présentent des concepts ou des m...
-
9:30
Géographicité et immersion : La réalité virtuelle pour voyager dans le passé
sur CybergeoLe principe de l’immersion participe depuis le XIXe siècle du succès de nombreuses attractions visuelles, à l’exemple du cinéma, et a atteint une dimension inédite avec les dispositifs de réalité virtuelle à destination du grand public. C’est en particulier parce qu’elle permet d’interagir avec l’environnement simulé, et par le puissant effet de réel de son dispositif, que cette technologie est utilisée en contexte muséal. Outre les perspectives que son usage ouvre en termes de conservation, sa capacité à déplacer le visiteur ailleurs et dans un autre temps invite à l’interroger en termes de géographicité : son caractère immersif relève-t-il d’une "valence organisatrice de l’espace" ? Ou ne relève-t-il que d’un simple effet, aussi spectaculaire soit-il ? Cet article vise à identifier les modalités d’appropriation spectatorielle de cette technologie en contexte patrimonial, à partir d’un travail ethnographique mené sur le site d’une installation de réalité virtuelle présentée au musé...
-
9:30
Karl R. Kegler, 2015, Deutsche Raumplanung. Das Modell der "Zentralen Orte" zwischen NS-Staat und Bundesrepublik, Paderborn, Ferdinand Schöningh GmbH, 648 p.
sur CybergeoCe livre est la version révisée d’une thèse soutenue à l’université d’Aix-la-Chapelle le 10 juin 2011 sous la direction de Gerhard Fehl, fondateur de la chaire de théorie de la planification à l’Université technique de Rhénanie-Westphalie d’Aix en 1971. L’ouvrage a fait l’objet de recensions en allemand et en anglais, mais pas encore en français. Karl R. Kegler est depuis 2015 professeur à la faculté d’architecture de l’Université de Munich, où il enseigne l’histoire et la théorie de la ville et de l’architecture. Outre son enseignement, il travaille actuellement sur le lien entre la planification et les crimes commis par l'État nazi dans les territoires occupés d'Europe de l'Est.
Son ouvrage lie histoire, géographie, aménagement du territoire et architecture. Il témoigne de ses deux domaines de spécialisations, l’histoire d’une part et l’architecture d’autre part. Cette double formation lui permet de formuler son hypothèse de base : le "modèle" christallérien est tellement erroné qu...
-
9:30
Mapping the urban climate to address summer comfort management in French urban planning documents
sur CybergeoIn France, the integration of climate and energy issues in the spatial planning tools of local authorities is compulsory for cities with more than 20000 inhabitants. Through the example of Toulouse Metropole, the interdisciplinary work here presented make use of the available geographic and climatic data to perform spatial microclimatic diagnostics and its translation into recommendations to address thermal summer comfort. Analysis maps and strategic maps for daytime and night time are presented for thermal and aeraulic analysis taking advantage of available numerical simulations at 250x250 m, one year of duration and local weather type classifications. A three years long collaboration with the local authority and the urban agency allowed the co-construction of the cartographic protocol and the publication of an Atlas as well as a set of guidelines. Collaboration with a network of French cartographers allowed original propositions on graphic semiology as visual organization, the cho...
-
9:30
Sous la carte, des jeux d’acteurs : cartographie de l’environnement et SIG critique
sur CybergeoCet article documente la cartographie d’objets environnementaux, tels que les fonctions des zones humides et le paysage, à l'aide d'outils de géographie numérique. Si ces cartes doivent servir d’appui aux politiques publiques de gestion de l’eau et d’anticipation du changement climatique, leur dimension politique est rarement discutée. Nous cherchons donc à observer et rendre visibles les enjeux méthodologiques présents dans les processus de description, de reconnaissance et de localisation de ces objets environnementaux. Nous déconstruisons l’illusion d’une fabrique de carte numérique rapide et automatique, permettant de répondre de manière objective à toute question : les choix méthodologiques doivent être discutés en tenant compte de la finalité de la carte. Il s’agit, dans nos contextes interdisciplinaires, de prendre la mesure de la polysémie des termes afin de s’accorder sur une définition commune des objets à représenter. Les outils numériques remettent en question l'expertis...
-
9:30
Using Geographically Weighted Regression to Explore County Subdivision Level Predictors of Drug Overdose Death in Connecticut, U.S.
sur CybergeoDeaths caused by drug overdoses have increased significantly over the past 2 decades in the U.S, becoming a public health concern. Existing empirical evidence examining the spatial association between the contextual correlates and drug overdose death rates, however, remains limited and ambiguous. Additionally, death caused by drug overdose is a multi-disciplinary issue and requires a correspondingly multifaceted and multidisciplinary approach, but there has been little research to date in the U.S. focusing on risk factors of drug overdose deaths from a crime perspective. This paper uses geographically weighted regression to examine the relationship between drug overdose death rates and contextual characteristics at the county subdivision level in the State of Connecticut. The results show that explanatory variables, such as gender, education, poverty, housing, and racial/ethnic diversity, are associated with drug overdose death rates in the state. Most importantly, the association b...
-
8:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
-
8:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
-
8:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
-
8:30
Augustin J.-P. et Gillon P., 2021, Les jeux du monde. Géopolitique de la flamme olympique
sur MappemondeJean-Pierre Augustin de l’Université Bordeaux-Montaigne, chef de file d’une géographie sociale et culturelle du sport en France depuis presque quatre décennies, et Pascal Gillon, tenant plutôt du courant de l’analyse dite spatiale, inspiré, entre autres, par le travail de Jean Praicheux à l’Université de Franche-Comté et co-auteur notamment de l’Atlas du sport mondial, présentent un ouvrage d’envergure. La quantité d’informations, la qualité du traitement et des fondements théoriques du travail d’analyse, et surtout ce croisement entre deux écoles que parfois tout oppose, mais qui se complètent ici de manière remarquable, offrent un ouvrage majeur sur le sujet.
Le dessin discutable de première de couverture du graphiste pourtant connu Adria Fruitos ne doit pas obérer la teneur des 220 pages au format royal de ce titre de la nouvelle collection « Monde » des éditions Armand Colin, une collection consacrée à des ouvrages d’envergure qui permettent de comprendre les mécanismes de nos so...
-
8:30
La ligne de couleur de W.E.B Du Bois. Représenter l’Amérique noire au tournant du XXe siècle
sur MappemondeDepuis 2013, un mouvement politique lutte contre le racisme envers les Noirs d’Amérique : Black Lives Matter. Pourtant, un tel militantisme en faveur de la cause noire ne date pas d’hier. William Edward Burghardt Du Bois en est un précurseur lorsque, en 1900, pendant l’Exposition universelle de Paris, il entend illustrer les progrès accomplis par la communauté afro-américaine depuis l’abolition de l’esclavage. Pour ce faire, ce sociologue et historien américain réalise une soixantaine de représentations : cartes, graphiques et diagrammes colorés, de véritables innovations, pour son époque, dans les domaines statistique et cartographique. Son travail minutieux est à la croisée de plusieurs disciplines : de l’histoire à la géographie, en passant par les statistiques, la sociologie et l’ethnologie. Il entend, à travers cette exposition, mettre en lumière ce qu’il appelle le « très proche », ces structures invisibles du « colonialisme et du capitalisme racial, qui conditionnent l’organi...
-
8:30
De l’intérêt des pictogrammes pour figurer les représentations sociocognitives de l’espace résidentiel
sur MappemondeQuel rapport émotionnel un individu entretient-il avec son habitat ? Un jeu de simulation de négociation entre les différents critères d’évaluation de l’environnement résidentiel permet de recueillir un corpus de données. Son analyse implique une réflexion sur la formalisation des résultats obtenus. Deux options sont confrontées : une représentation en graphe polaire et une image composée de pictogrammes symbolisant les multiples dimensions de l’espace résidentiel qui peuvent motiver les choix d’installation. Cette dernière image permet une appréhension plus simple du lien entre les structures spatiales, cognitives et sociales.
-
8:30
Saisir la position sémio-spatiale d’un élément géographique dans les cartes cognitives
sur MappemondeL’article propose d’analyser la position sémio-spatiale d’un élément géographique, en l’occurrence une frontière d’État, dans les cartes cognitives d’une ville frontalière. Sur le plan théorique, le recours au concept sémiologique de topos et la notion de position permettent de saisir les significations d’un élément géographique en fonction des positions sociales, afin de cerner leur contribution au positionnement de l’élément dans la carte cognitive. Méthodologiquement, cette analyse requiert une étroite intégration d’une tache discursive aux méthodes plus classiques de la cartographie cognitive.
-
8:30
La photographie comme représentation : L’ancrage et l’objectivation iconographique
sur MappemondeCet article aborde l’utilisation de la photographie de lieux comme un outil de recueil des représentations spatiales. Cette approche repose sur la présence des processus d’ancrage et d’objectivation dans l’iconographie qui révèle un rapport de communication tout comme une représentation sociospatiale. 20 habitants de Montreuil-sous-Bois ont réalisé des photos caractéristiques et non caractéristiques de quatre lieux imposés dans leur ville. Les résultats montrent que pour représenter ce qui est caractéristique d’un lieu, les personnes ancrent et objectivent leurs photos dans l’usage et/ou la fréquentation du lieu. À l’inverse, les photos non caractéristiques tentent d’être impersonnelles. La photographie de lieux apparait comme une réelle communication entre individus et comme un outil à développer pour aborder les représentations sociospatiales.
-
8:30
Des cartes mentales pour analyser la vulnérabilité au risque d’une ville de l’Arctique russe : Khamagatta
sur MappemondeL’article présente les résultats principaux d’un atelier cartographique conduit à Khamagatta (Sibérie orientale). L’objectif en était double : observer la vulnérabilité aux inondations de débâcle de la ville par les connaissances d’enfants et d’adolescents y vivant ; utiliser la carte comme instrument de dialogue, d’intégration des connaissances et de recueil de données. Récits et cartographies ne s’opposent pas, mais se renforcent. L’atelier cartographique a permis que se côtoient différents registres de connaissances et produit au final des informations précieuses pour l’analyse scientifique.
-
8:30
« Self Cartography », une narration autour du monde
sur MappemondeCet article propose une utilisation de la carte géographique comme support à la mise en récit de souffrances psychiques liées à l’expérience de la migration. À partir de la conception d’une méthodologie spécifique — « Self Cartography » — dans le champ de la psychologie clinique, nous reviendrons sur l’élaboration de cette méthode et l’illustrerons par la présentation de cas cliniques.
-
8:15
2023 Spanish Election
sur Google Maps ManiaYesterday's election in Spain has resulted in no clear winner. Going into the election the opinion polls had suggested that the conservative People’s party (PP) would secure a comfortable win and would likely form a coalition government with the far-right Vox party. After all the votes were counted however PP had won only 136 seats to the ruling left-wing PSOE’s 122 seats. The far-right Vox
-
0:00
As to why Life Technology and Technology Companies Use Virtual Data Rooms
sur Veille cartographieCet article As to why Life Technology and Technology Companies Use Virtual Data Rooms est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Many companies rely on electronic data rooms to store and promote critical and sensitive corporate documents. Although they can be used by any company seeking to protect proprietary information, life science and technology firms make up the heaviest users of VDRs. A virtual data room is known as a secure and easy-to-use device that simplifies […]
Cet article As to why Life Technology and Technology Companies Use Virtual Data Rooms est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
-
21:50
Volker Mische: FOSS4G 2023
sur Planet OSGeoFinally, after missing one virtual and one in person global FOSS4G I had again the chance to attend a global in-person FOSS4G conference. Thanks Protocol Labs for sending me. This year it was in Prizren, Kosovo. I’m a bit late with that post, but that’s due to doing some hiking in Albania right after the conference.
The organization and venueWow. It’s been my favourite venue of all FOSS4Gs I’ve been to so far. The exhibition hall was a great place to hang out, combined with the excellent idea of a 24h bar. I’m not sure if it was used at all times, but definitely for more than 20h a day. Outside, there was plenty of space and tables to hang out, and very close by another set of tables that formed the “work area”. Which was another great place to hang out, with enough power sockets and shade for the hot days.
The main stage was an open air stage with enough seating for everyone. It was converted for the gala dinner to a stage with an excellent live band and the usual big round tables.
For me, the best part was that even the accommodation was on-site. The barracks of the former military basis, which now serve as student dorms, were our home for a week. Pretty spartan, but at a conference I don’t really spend much time in my room, I mostly need just some place to sleep.
Having everything, the talks, exhibition, social events and accommodations on-site makes it easy to maximize the time for socializing, which for me is the number one reason to attend a conference.
Everything was well organized, and it was great to see so many volunteers around.
The talksI haven’t really selected the talks I went to. I rather joined others where they were going, or listened to recommendations. Often, I just stayed in the rest of the slot to see what else is there. My favourite talks were:
- Smart Maps for the UN and All - keeping web maps open: For me, it was the first time I saw someone speaking at a FOSS4G about using IPFS that wasn’t me. It’s great to see that it gains traction for the offline use case, where it just makes a lot of sense. UN Smart Maps is part of the UN OpenGIS initiative, it features a wide range of things, even an AI chatbot called TRIDENT that transforms the text into Overpass API calls. Try TRIDENT it out yourself, when you open the developer console, you can see the resulting Overpass API calls.
- Offline web map server “UNVT Portable”: This talk got into more detail about using Raspberry Pis to have map data stored in IPFS for offline use. It’s very similar to what I envision, the only difference is that I’d also like to keep the storage in the browser. But I surely see a future, where those efforts are combined, to have a small easy server you can deploy, with in browser copies of subsets of the data to be able to work completely offline in the field. The original UNVT Portable repository doesn’t use IPFS, but Smart Maps Bazaar does, which seems to be its successor.
- B6, Diagonal’s open source geospatial analysis engine: A presentation of the B6 tool for geospatial analysis for urban planning. It has a beautiful interface. I really like the idea of doing things directly on the map in a notebook-style way, where you perform certain steps after each other.
- Elephant in the room: A talk about how many resources to computations take? Do we always need it? It’s very hard, often impossible, to find out how environmentally friendly some cloud services are. One of the conclusions was that cheaper providers likely use less power, hence are harming the environment less. I would like if there would be better ways (e.g. it misses things like economies of scale of large providers), but I agree that this might be the best metric we currently have. And I also hope there will be more economic pressure to save resources.
- There was a closing keynote from Kyoung-Soo Eom, who was talking about his long journey in open source GIS, but also his history with Kosovo, where he was also on a mission in 1999. Quite inspiring.
My talk about Collaborative mapping without internet connectivity was about a browser based offline-first prototype that uses IPFS to enable replication to other peers. The project is called Colleemap and is dual-licensed under the MIT and Apache 2.0 license. Although I tried the demo bazillion times before my talk, it sadly didn’t work during my talk. Though, trying it later with various people, I was able to get 4 peers connected once. I even saw it working on a Windows machine. So it really works cross-platform.
For the future I hope to work closer with the people from the UN OpenGIS initiative, it would be great to combine it with their Raspberry Pi based prototype.
Things I’ve learntThe Sentinel-2 satellite imagery is available from multiple sources, directly from Copernicus Open Access Hub or through cloud providers like AWS, Azure of Google Cloud. From the cloud providers you only get the level-2 data. They might use the original level-2 data or do their own atmospheric correction based on the level-1 data. Or even re-encode the data. So it’s hard to tell which kind of data you actually get.
As far as I know (please let me know if I’m wrong), there isn’t any mirror of the full level-1c data. You can only get it through the Copernicus Open Access Hub and there the older images are stored in the long term archive on tape, where it can take up to 24h for the data to be available for download (if it works).
Ideally, there would be a mirror of the full level-1c data (where the ESA would provide checksums of their files) and a level-2 version, where the exact process is openly published, so that you can verify how it was created. The problem is the storage cost. The current level-2 data is about 25 PiB, which leads to storage costs of over $500k USD a month if you would store it on AWS S3 Standard at the current pricing (I used the $0.021 per GB).
Final thoughtsIt was great to meet Gresa and Valmir from the local organizing committee before the FOSS4G in March at the OSGeo German language chapter conference FOSSGIS in Berlin. That made it easy for me to connect to the event right from the start. If there’s one thing future FOSS4Gs should adapt, it’s the cheap on-site (or close by) accommodation. I think that shared bathrooms is also much smoother to have, if you know that everyone in the accommodation is from the conference. We had something similar with the BaseCamp in Bonn during the FOSS4G 2016 and the international code spring in 2018 during the FOSSGIS conference, where the whole place was rented for the time of the events.
Though, of course, I also missed some of my longtime FOSS4G friends I hadn’t seen in a long time. I hope you’re all doing well and will meet again soon.
-
11:19
Electrical Japan
sur Google Maps ManiaElectrical Japan is an interactive map that visualizes electricity supply and demand in Japan. It was created by the National Institute of Informatics (NII) in the wake of the 2011 Fukushima Daiichi nuclear disaster, in order to better understand Japan's energy problems after the 2011 tsunami and to help promote energy conservation. The map shows the location of all of Japan's power plants, as
-
21:00
KAN T&IT Blog: Jornadas FOSS4G 2023 Kosovo
sur Planet OSGeoQuerida comunidad, como saben, en junio estuvimos participando en las jornadas del FOSS4G 2023 en Kosovo. Allí presentamos nuestro conocimiento y experiencia en diferentes temas relacionados con las geosoluciones y el software de código abierto. Aquí está el temario que expusimos y que ahora compartimos con ustedes en nuestro blog.
Workshops
Automatización de Geoprocesamiento con QGIS y GRASS utilizando Airflow
Github – Repositorio del Workshop
El taller tuvo como objetivo implementar en Docker un conjunto de contenedores que permitan la operación de DAGs (flujos ETL) para la automatización de procesos. Se trabajaron los siguientes puntos:
Implementación de Airflow modificado para geoprocesamiento con QGIS y GRASS.
Configuración del entorno de desarrollo.
Montaje de ejemplo de flujo de datos de DAGs para cada caso.
Generación automática de errores y seguimiento de alertas.Implementación de un visor desarrollado con MapLibre y React en conjunto a GeoNode como Servidor de vector tiles
Github – Repositorio del Workshop
El taller abordó los pasos necesarios para personalizar GeoNode como un servidor Vector Tiles. Trabajamos los siguientes puntos:
Revisión del flujo de datos desde la producción hasta la publicación.
Despliegue de GeoNode en Docker Compose.
Adaptación de GeoNode como servidor Vector Tiles.
Armado de visor Maplibre.
Despliegue del visor utilizando Docker Compose.
Configuración de capas a mostrar.
Conexión visor MapLibre con GeoNode.
CharlasImplementación de Geoportales Estadísticos en América Latina y el Caribe
A partir de la implementación del Marco Geoespacial y Estadístico Global (GSGF) propuesto por la ONU e implementado en América Latina y el Caribe por la Comisión Económica para América Latina y el Caribe (CEPAL), se desarrollaron un conjunto de componentes tecnológicos específicos, tales como geoportal, gestor estadístico y API con posibilidad de consumir información de diferentes aplicaciones. Al mismo tiempo, se implementaron componentes ya existentes en la comunidad como Kobo Toolbox, GeoNode, Airflow, MapLibre, Nominatim y Metabase para la integración de la información desde la recolección en el territorio hasta la publicación de los datos. El proyecto se realizó inicialmente con un grupo de países: Argentina, Paraguay, Honduras, Guatemala, República Dominicana, Costa Rica y Ecuador.
[Caso de uso] Implementación Digital Twin City en MapLibre con la integración de diferentes fuentes de información
Caso de uso para la implementación de una plataforma que soporte datos que contribuyan a la publicación y gestión de Gemelos Digitales, basada en el uso de MapLibre como visor web y al mismo tiempo consumiendo información de diferentes fuentes geoespaciales, incluyendo Mesh, Raster, DEM y fuentes de datos casi en tiempo real como OneBusWay u OpenTripPlanner basadas en formatos GTFS, para la comparación y análisis de la información.
[Caso de uso] Automatización de Kobo Toolbox con GeoNode para la gestión de riesgos
A partir de la implementación de un conjunto de formularios en Kobo Toolbox se creó un flujo de información para la Comisión de Manejo de Incendios de la República Argentina para poder integrar desde campo los reportes de incendios (on line/off line) de manera sencilla y sus diferentes etapas de evolución. La automatización de la ingesta a un GeoNode como gestor de datos geoespaciales permite la integración con datos de previsión meteorológica, información casi en tiempo real, incidencias de incendios, detección de puntos calientes e índices predictivos de incendios.
La automatización e integración se realiza con la herramienta Airflow, que garantiza el seguimiento de los flujos de información, simplificando el proceso durante las incidencias.
Gobernanza de datos con OpenMetadata Integrando servicios OGC – CSW
La plataforma OpenMetadata facilita la creación, integración y administración de metadatos proporcionando una estructura unificada para describir y clasificar los datos, permitiendo gestionar su acceso y su publicación. Lo que compartimos aquí es la adaptación de una de las fuentes de datos a servicios OGC – CSW para que diferentes sistemas y aplicaciones puedan consumir los metadatos catalogados de forma transparente, facilitando la gestión y aprovechamiento de la información geoespacial.
Esperamos que les haya resultado útil toda esta información. No duden en consultarnos y dejarnos sus comentarios ¡queremos leerlos! Muchas gracias por su apoyo.