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18:41
Cartes et géomatique : les articles 2016 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des cartes est une publication trimestrielle du Comité français de cartographie. Les articles de la revue sont publiés sur le site du CFC un an après leur publication sur support papier. Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie.
n° 228, juin 2016 : “Cartographie et traités de paix (XVe-XXe siècle)” (actes du colloque des 19 et 20 novembre 2015, Archives diplomatiques, La Courneuve)Introduction (Isabelle Warmoes, Catherine Hofmann, Isabelle Nathan)
Entre la liste et le terrain, la carte dans les négociations de paix au XVe siècle (Dauphiné et Savoie, France et Bourgogne) (Léonard Dauphant)
Les cartes au service de la diplomatie (Jean-François Moufflet)
La rectification de la frontière du nord en 1779, sur le terrain, à La Flamengrie (Jean-Louis Renteux)
Une frontière pour les Pyrénées : l’épisode trop méconnu de la commission topographique franco-espagnole Caro-Ornano (1784-1792) (Jean-Yves Puyo, Jacobo García Álvarez)
La frontière franco-italienne sous le Consulat et l’Empire (Michel Lechevalier)
Le géographe Kiepert et les Balkans à Berlin (1878) (Goran Sekulovski)
Cartes topographiques et détermination des frontières en zones montagneuses (Nicolas Jacob)
La délimitation des frontières maritimes – Le rôle du cartographe, principes généraux, cas d’école (Eric van Lauwe, Didier Ortolland, Jean-Pierre Pirat)
Les limites de la carte, objet juridique (Françoise Janin)
L’expertise territoriale des vaincus austro-hongrois (Nicolas Ginsburger)
Le plébiscite de Klagenfurt du 10 octobre 1920 (Roseline Salmon)
Cartes et contre-cartes à la conférence de paix de Paris (1919-1920) : débats cartographiques au sein de la délégation britannique (Daniel Foliard)
De l’Empire ottoman au chaos moyen-oriental (Denis Bauchard)
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15:16
Témoignage : Grand Bourg agglomération
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeAujourd'hui nous vous proposons une immersion au sein de Grand Bourg Agglomération avec un SIG opérationnel. Son responsable SIG Emmanuel Staniul nous en dresse les grandes lignes.Comment est organisé le SIG de Grand Bourg Agglomération (74 communes – 135 000 habitants – 1 239 km²) ?De manière assez rationnelle avec les aspects collecte des données, analyse cartographique, l’exploitation et -
10:26
Séminaire web : votre territoire en mode immersif dans ArcGIS !
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeMardi 10 mai à 11h00 se déroulera le web séminaire Votre territoire en mode immersif dans ArcGIS?! Certaines collectivités utilisatrices d'ArcGIS profitent déjà de ces possibilités immersives et gagnent un temps de dingue ! Participez et sachez comment ça marche et pourquoi?elles l'ont fait.Durant les 45 minutes de la session, vous découvrirez comment accélérer vos projets tout en limitant les
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22:59
A GIS Degree
sur James Fee GIS BlogMy son decided to change majors from biodesign to GIS. I had a short moment when I almost told him not to bring all this on himself but then thought differently. I could use my years of experience to help him get the perfect degree in GIS and get a great job and still do what he wants.
He’s one semester into the program so he really hasn’t taken too many classes. There has been the typical Esri, SPSS and Google Maps discussion, but nothing getting into the weeds. Plus he’s taking Geography courses as well so he’s got that going for him. Since he’s at Arizona State University, he’s going through the same program as I did, but it’s a bit different. When I was at ASU, Planning was in the Architectural College. Now it’s tied with Geography in a new School of Geographical Sciences & Urban Planning.
I have to be honest, this is smart, I started my GIS career working for a planning department at a large city. The other thing I noticed is a ton of my professors are still teaching. I mean how awesome is that? I suddenly don’t feel so old anymore.
I’ve stayed out of his classes for the past semester in hopes that he can form his own thoughts on GIS and its applicability. I probably will continue to help him focus on where to spend his electives (more Computer Science and less History of the German Empire 1894-1910). He’s such a smart kid, I know he’s going to do a great job and he was one who spent time in that Esri UC Kids Fair back when I used to go to the User Conference. Now he could be getting paid to use Esri software or whatever tool best accomplishes his goals.
I plan to show him the Safe FME Minecraft Reader/Writer.
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19:28
Appel à communications : « L’histoire de la cartographie et son écriture à l’épreuve du renouvellement » – Date butoir : 6 juin 2022
sur Cartes et figures du mondeJournée d’études
Le vendredi 25 novembre 2022, salle 100, Centre des colloques, Campus Condorcet, Aubervilliers
Organisateur : Comité Français de Cartographie (commission ‘histoire’)
Argumentaire :
Depuis les années 1980, l’histoire de la cartographie a vu ses concepts, ses objets, ses méthodes d’investigation et ses manières d’écrire se transformer profondément. Sous l’influence des analyses de John Brian Harley et de quelques autres (D. Wood, C. Jacob, M. Monmonier, J. Schulz, J. Black, M. Edney, entre autres), l’intérêt s’est porté vers la dimension symbolique des cartes, leurs modes de présence dans les cultures visuelles modernes, leur valeur politique et sociale (en particulier dans le cadre de l’affirmation des États-nations), leurs implications multiples dans les entreprises impériales et coloniales, etc., dans un effort général pour s’éloigner d’une approche strictement positiviste et « naturaliste » de la cartographie et de son histoire. Une nouvelle manière d’écrire l’histoire de la cartographie s’est progressivement installée, attentive aux contextes sociaux et culturels de la fabrication et de l’usage des cartes, aux jeux d’échelles (du général au particulier), et soucieuse d’envisager désormais la cartographie tout autant du côté des processus et des opérations (techniques, scientifiques, politiques, etc.) dont elle est le théâtre permanent, que du côté des objets, des productions et des acteurs plus ou moins prestigieux sur lesquels la recherche se focalisait naguère encore.
La journée d’étude organisée par la Commission « Histoire » du Comité Français de Cartographie propose de revenir sur les formes et les objets de l’écriture de l’histoire de la cartographie considérée dans un temps long. On insistera surtout sur la période contemporaine, en relation au renouvellement actuel des outils, notamment numériques.
Les contributions attendues peuvent répondre à l’une des trois directions suivantes :
– La première porte sur l’héritage des écrits de John Brian Harley, quarante ans après la publication de ses premiers travaux, et plus généralement sur l’ensemble des propositions qui ont marqué les approches « déconstructionnistes » dans l’histoire récente de la cartographie. Quel bilan peut-on en tirer, du point de vue des enseignements et des expériences en matière d’écriture historiographique ? A quelles négociations ces travaux ont-ils donné lieu pour concilier la tension entre la lecture internaliste et l’approche culturelle et sociale des objets cartographiques ? Comment ont-ils renouvelé l’étude de l’histoire de la cartographie et de ses acteurs ? Quelle place doit-on accorder aujourd’hui, à l’« analyse processuelle » (étude des processus cartographiques ) telle qu’elle est proposée par Matthew Edney par exemple ?
– La seconde direction proposée consiste à envisager la cartographie et son histoire en la confrontant de façon élargie aux apports récents des sciences sociales, de l’histoire des arts et de la littérature, de l’anthropologie visuelle et des médias, ainsi qu’aux perspectives ouvertes dans le champ spécifique des disciplines historiques par la micro-histoire, l’histoire globale, l’histoire matérielle, etc. En quoi l’écriture de l’histoire de la cartographie peut-elle être affectée par ces nouvelles manières d’envisager l’histoire des sociétés et de leurs cultures spatiales ? Comment, et jusqu’où, peut-elle répondre à ces sollicitations et se les approprier ? Qu’a-t-elle, symétriquement, à proposer, à apporter, notamment pour ce qui concerne le renouvellement des paradigmes spatiaux en cours au sein des sciences sociales et de l’histoire ?
– Mais l’histoire de la cartographie a une histoire, à la fois passée et très actuelle. Dans une troisième direction de réflexion, on aimerait alors envisager l’histoire de la cartographie, d’une part du point de vue des récits dont elle a été l’objet depuis au moins le XVIIIe siècle, et d’autre part du point de vue de l’impact, a priori considérable, provoqué par l’introduction des outils numériques, sur la reconfiguration de ces récits. Comment l’histoire de la cartographie a-t-elle été racontée, par les cartographes et par d’autres, du XVIIIe au XXe siècle, avec quelles motivations, quelles visées, scientifiques ou politiques ? Comment, aujourd’hui, à l’époque de la dématérialisation des objets cartographiques, et de leurs mises en relation avec les autres formes de l’économie iconographique, est-il possible de parler encore d’histoire de la cartographie stricto sensu ?
Modalités pratiques
• Les propositions de communication (environ 1500 signes), accompagnées d’une courte bio-bibliographie, sont à envoyer avant le 6 juin 2022 à l’adresse suivante : catherine.hofmann@bnf.fr.
• Le comité de sélection communiquera les résultats de l’appel à communications au plus tard le 30 juin 2022.
• Les communications retenues auront vocation à être publiées dans un numéro de la revue du Comité français de cartographie, Cartes & Géomatique, au courant de l’année 2023.
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10:47
Actualité ressources : Accessibilité du cheminement en voirie
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeAprès la publication du tutoriel Présenter son territoire il y a quelques jours, nous vous proposons aujourd'hui une nouvelle ressource arcOpole : Accessibilité du cheminement en voirie.arcOpole AccessibilitéDepuis 2019, la Loi d’orientation des mobilités (LOM) impose aux collectivités et aux autoritésorganisatrices de la mobilité de collecter et de mettre à disposition des usagers les données -
16:32
Mini carte #5 : présenter son territoire + nouvelle ressource à télécharger
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeAujourd'hui, parlons territoire et plus particulièrement présentation du territoire ! Quoi de mieux qu'une carte pour faire découvrir ses communes, ses EPCI ?Nous allons voir ensemble des exemples d'applications mises en œuvre par la communauté du Pays Mornantais, le département de l'Eure et la communauté d'agglomération de Bourges Plus. Nous terminerons cet article par la nouvelle ressource
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18:23
Cartes et géomatique : les articles 2017 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles de la revue sont mis en ligne sur le site du CFC un an après leur publication sur support papier. Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie.
n° 234, décembre 2017 : “A l’échelle du monde – La carte : objet culturel, social et politique, du Moyen Age à nos jours” (actes du colloque d’Albi les 17 et 18 octobre 2016)Bulletin 234 – Introduction (Thibault Courcelle, Emmanuelle Vagnon, Sandrine Victor)
La mappemonde d’Albi – Un pinax chôrographikos (Anca Dan)
La carte comme substitut au voyage (Nathalie Bouloux)
Représenter et décrire l’espace maritime dans le califat fatimide (David Bramoullé)
Quand le cartographe parle de sa carte (Jean-Charles Ducène)
Une cartographie des Lumières (Gilles Palsky)
Penser à l’échelle du monde pour maîtriser le temps en France et en Grande-Bretagne, 1870-1914 (Isabelle Avila)
Un autre monde ? (Clarisse Didelon-Loiseau, Christian Vandermotten, Christian Dessouroux)
Regards croisés sur la création des cartes à l’échelle du monde aujourd’hui (Thibault Courcelle, Emmanuelle Vagnon, Sandrine Victor)
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11:17
Séminaire web : les unités d'organisation dans le suivi des connexions
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeJeudi de 11h00 à 12h00 se déroulera le troisième web séminaire arcOpole de l'année. Nous vous présenterons la fonctionnalité de suivi des connexions d'arcOpole Builder et en profiterons pour zoomer sur la nouvelle interface d'administration des unités d'organisation. Durant cette présentation nous serons accompagnés de Frédéric Carvalhais de Perpignan Méditerranée Métropole qui partagera son -
13:41
Témoignage : Grand Chambéry
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeMarc Favreau du service Communication et Marion Granier du service Géomatique et Opendata de Grand Chambéry l'agglomération répondent à nos questions.Nous devons faire connaître notre agglomération et ses actions aux élus, partenaires et concitoyens. Nous avons le devoir de porter un territoire qui s’affirme et présente ses missions, actions et compétences, dans une démarche de transparence. -
9:54
Séminaire web : Filtrage dynamique dans arcOpole Builder
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeJeudi à 11h00 se déroulera le deuxième web séminaire arcOpole de l'année. Nous vous présenterons les fonctionnalités de filtrage dynamique d'arcOpole Builder en général et profiterons de l'occasion pour zoomer sur la nouvelle option de filtrage à l'utilisateur apparue avec la version 1.5 du logiciel. Pour vous inscrire, cliquez ici.Filtrage SQL, par groupe ou par utilisateur, rejoignez-nous ce
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8:00
Exposition “Inventer l’Indochine. Cartographier l’ailleurs (1873-1936)”
sur Cartes et figures du mondeExposition à la bibliothèque de l’Institut de Géographie Du 7 mars au 23 juillet 2022De la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, la découverte, la conquête puis l’organisation des terres extrême-orientales colonisées par la France donne lieu à une production de cartes où s’entremêlent science et subjectivité, pouvoir et échanges culturels.
Le fonds qu’en conserve la bibliothèque de l’Institut de Géographie de Paris permet d’appréhender comment les savoir-faire cartographiques ont été progressivement élaborés et adaptés pour rendre compte de terres jusqu’alors largement inconnues des Européens. À travers cette évolution se dessine celle de la géographie et du regard occidental porté sur l’étranger.
Le 10 mars, à partir de 18h00, une visite commentée par Marie de Rugy, spécialiste de l’histoire de la cartographie, marquera le début de cette exposition et sera suivie d’un échange entre historiens, géographes et cartographes.
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16:23
Cartes et géomatique : les articles 2018 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles de la revue sont mis en ligne un an après leur publication sur support papier.
Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie
n° 235-236, mars 2018L’œil et la toise : l’objectivité cartographique du XVIIIe à nos jours (Henri Desbois)
Ambivalence de la carte entre visible et invisible (Jean-Paul Bord et Nancy Meschinet de Richemond)
Le triple jeu d’un officier-cartographe dans la Régence de Tunis au XIXe siècle (Houda Baïr)
n° 237, septembre 2018L’image de l’espace tunisien dans la cartographie occidentale moderne du XVIe au XVIIIe siècle (Saada Afef)
La fin d’un rêve : dislocation de l’Empire et restitution des cartes réunies pour sa constitution (Monique Pelletier)
Le langage de la cartographie statistique, 1820-2015 : continuité ou ruptures ? (Gilles Palsky)
n° 238, décembre 2018 : “Faire la carte et restituer le paysage” (actes de la journée d’étude du 27 novembre 2017 au Service historique de la Défense, Vincennes)Bulletin 238 – Introduction (Nicolas Jacob et Claude Ponnou)
Courte histoire d’un échec : le mariage de l’armée et du cadastre dans le premier quart du XIXe siècle (Nicolas Verdier)
Pierre-Antoine Clerc et la brigade topographique du dépôt des fortifications : premières réalisations des courbes de niveau (Luisa Rossi)
La carte de Barcelone avec des courbes de niveau (1823-1827) : un tournant vers la cartographie de précision (Francesc Nadal i Piqué et Carme Montaner i Garcia)
La carte topographique en courbes de niveau : une difficile genèse au XIXe siècle (Nicolas Jacob)
Lever-nivelé de la place de Barcelone, 1823-1827 : comment obtenir un modèle 3 (Blanca Baella, Dolors Barrot et Maria Pla)
Apports des SIG pour la restitution de quelques éléments du paysage à Paris (Léa Hermenault)
La ” Carte générale du théâtre de la guerre en Italie et dans les Alpes…” de Bacler d’Albe (1798) et sa numérisation (Nicolas Dion et Nadine Gastaldi)
La ” Carte très particulière du Haynault ” de Naudain (ca 1709 – 1728) (Jean-Louis Renteux)
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15:55
L’atlas nautique ou portulan du Havre
sur Cartes et figures du monde[Article initialement publié le 22 octobre 2021 sur le site https://nutrisco-patrimoine.lehavre.fr/]
Ces cartes manuscrites sur parchemin sillonnées de lignes noires, rouges et vertes jaillissant de roses des vents, sont immédiatement reconnaissables. Ce sont des cartes portulans, mot dérivé de l’italien portolano qui désigne un livre d’instructions nautiques.
Portugal, Côtes d’Afrique, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 5Essentiellement produites entre le XIIIe et le XVIIIe siècle, peu d’entre elles sont parvenues jusqu’à nous. La plupart du temps, elles représentent la Méditerranée. Mais l’atlas nautique du XVIe siècle conservé au Havre consacre au contraire 5 cartes sur 13 au continent américain. Il est à ce titre exceptionnel.
Qu’est-ce qu’un atlas portulan ?Les cartes ou atlas portulan ont à l’origine vocation à être des adjuvants de la navigation. Ils indiquent les ports les plus importants en rouge, les autres en brun, ainsi que les dangers de la navigation, comme les écueils. Le pilote du navire pouvait s’aider des lignes de rhumbs qui indiquent des directions pour tracer son cap. Ce type de carte est principalement utile au cabotage.
Toutefois, les portulans aujourd’hui conservés dans les bibliothèques et les musées sont presque tous des objets d’apparat, destinés à exhiber la puissance de leur propriétaire ou à signifier l’étendue d’un empire, comme s’il existait une équivalence entre dessiner et s’approprier le monde. Souvent somptueux, ils sont souvent tracés sur les peaux les plus blanches et ornementés par des peintres habiles. Soigneusement conservés, ils n’ont jamais connu le roulis et l’humidité tenace d’un navire.
Feuilleter l’atlas portulan du HavreSous quelle forme et dans quel ordre étaient originellement organisés les 13 doubles-pages de l’atlas du Havre ? Il est impossible de le savoir, comme d’être certain qu’il soit complet. Aujourd’hui, il se présente aux regards dans une reliure en maroquin bordeaux, ornée de filets et de fleurons à chaud, autrement dit dorés. Cette reliure soignée date du XIXe siècle et a probablement été réalisée à la demande d’un bibliophile.
Reliure en maroquin bordeaux à la du Seuil, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 2C’est un objet maniable, d’une trentaine de centimètre de hauteur. Toutes les pages ne sont pas inscrites. Chaque double-page de carte est suivie d’une double-page vierge, plus foncée, moins uniforme. Le parchemin étant de médiocre qualité, seul le côté chair de la peau, plus blanc et uni, est inscrit.
Les cartes sont nombreuses pour un atlas portulan et le contenu des cartes, inhabituels. Il s’ouvre sur une représentation du Portugal et de Terre-Neuve et se referme sur l’Amérique du sud, le Brésil jusqu’à l’embouchure de la Plata : loin d’être uniquement méditerranéen, c’est un atlas qui pourrait être qualifié “atlantique” tant il se concentre sur les côtes qui longent à l’est comme à l’ouest cet océan.
S’il est intéressant par son contenu, il ne s’agit pas d’un atlas luxueux, bien au contraire. La qualité du parchemin est médiocre, les inscriptions maladroites et parfois recouverte par le tracé d’un parallèle, les illustrations, comparées à d’autres cartes marines contemporaines, semblent moins habiles et la représentation des animaux est répétitive, comportant uniquement des chameaux, des éléphants et une gazelle. On trouve même une inscription désignant le prêtre Jean des Indes, qui dépasse du cadre qui lui est, montrant que les noms des souverains ainsi que ceux des continents ont été rajouté après les illustrations.
Le prêtre Jean des Indes, détail de la carte de l’Afrique méridionale et de Madagascar, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 8L’atlas est dédié en majeure partie à l’Amérique ainsi qu’à l’Afrique, les deux grandes découvertes ibériques des XVe et XVIe siècles. Les toponymes sont espagnols, portugais, italiens et catalans. Toutes les cartes sont à la même échelle, et chacune est délimitée par un encadrement brun, avec des légendes pour chaque port ou cap, tracées à l’encre brune ou rouge pour les plus significatives, disposées le long des tracés des côtes, les noms de pays quant à eux figurent dans des encadrements peints.
32 lignes de rumbs sortent des roses de compas, matérialisant les principales directions par leur tracé en vert, rouge ou brun ; des échelles de latitude sont présentes sur chaque carte. Un utilisateur du portulan a laissé en chiffres arabes quelques notes sur la première carte et une autre main a tracé plusieurs notes en grec sur celle représentant la Mer Egée. Éléments de décor plus pittoresques, on trouve aussi des animaux terrestres et des représentations de souverains régnants, mais aucun bateau ou animal marin.
Bien que moins soigné que d’autres atlas nautiques, rien n’indique qu’il ait été utilisé en mer et il est plus probable qu’il ait servi d’objet relativement ostentatoire manifestant l’expansion ibérique.
Une datation et attribution incertainesQui a produit cet atlas portulan et quand a-t-il été tracé ? Bien que conservé au Havre, cet atlas nautique ne possède aucune caractéristique de la cartographie normande. Au contraire, sa toponymie espagnole, portugaise, italienne et catalane, comme l’ornementation ou les couleurs employées sont typiques de l’Europe du sud. Cependant, une attribution plus précise est délicate. De 1889 à 1910, il a été successivement attribué à un cartographe espagnol, à un pilote catalan ou encore à Salvatore de Pilestrina, cartographe à Majorque. Côté datation, un consensus qui reste admis jusqu’en 1950 : l’atlas portulan du Havre daterait du 2e quart du XVIe siècle et serait d’origine catalane ou majorquine.
En 1951, une note rédigée par Myriem Foncin, conservatrice et directrice du département des cartes et plans de la Bibliothèque nationale de France, indique que l’historien de la cartographie Marcel Destombes date l’atlas plus tardivement, de 1580.
Aujourd’hui, la numérisation de nombreux atlas portulan à travers le monde permet d’établir des comparaisons hier impossibles, offrant la possibilité de porter un nouveau regard sur ces documents. Selon une étude réalisée en 2018, la décoration de cet atlas est dans le style de Jaume Olives, et dans une moindre mesure, dans celui de Bartomeo Olives. Il pourrait avoir été dessiné ou copié sur les œuvres de ces cartographes.
Toujours d’après cet article, son iconographie est de fait héritière d’une longue tradition méditerranéenne typique de la carte de Salvatore de Pilestrina (1511) et même, au-delà, de la carte marine de Mecia de Viladestes de 1413 ou de l’atlas catalan de 1375. Néanmoins, l’iconographie de l’atlas portulan du Havre est plus particulièrement proche de celui des cartes des frères Jaume et Bartolomeu Olives par son vocabulaire esthétique comme dans les coloris employés. On retrouve les formes trapézoïdales aux extrémités des encadrements des noms de princes, les montagnes en forme de bonnet phrygien, le même éléphant, le même chameau, et surtout exactement la même gazelle, plus rare dans les autres cartes.
Iles dites « fantômes » de l’Atlantique nord : Frixland, Mayda, ou Brasil, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, f. 1 Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 1Le contenu géographique est d’influence diverses : les cartes de l’Amérique du Sud, l’Amérique centrale et l’Afrique profitent de la cartographie d’État portugaise et espagnole, tandis que les îles de l’Atlantique forgées par hypothèse que sont Frixland, Mayda, ou Brasil, sont typiques de la cartographie d’atelier, dite catalane et majorquine, et ne se retrouve jamais dans la cartographie d’État portugaise et espagnole.
L’atlas portulan ne saurait être antérieur à 1535, car les traces de l’influence de la carte de Gaspar Viegas (1535) dans les cartes d’Amérique sont trop importantes. En revanche, il ne peut pas être postérieur à 1547, car il représente la péninsule du Yucatan au Mexique comme une île. Or, aucune carte datée connue à ce jour ne représente le Yucatan comme insulaire après cette date. L’atlas du Havre aurait donc été produit entre 1535 et 1547 et réalisé ou copié sur un travail de Jaume Olives.
Le Yucatan représenté comme une île dans le golfe du Mexique, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 11 Un contenu politique singulierAlors qu’il est plutôt d’allure modeste et que son ornementation au premier abord paraît stéréotypée, le contenu de l’atlas du Havre possède des caractéristiques inhabituelles.
Les cartes portulans se distinguent en général par la stabilité de leur contenu, jusqu’à l’anachronisme. Le prêtre Jean des Indes y figure toujours, alors même que s’il a eu une origine historique, c’est au début du XIVe siècle qu’il aurait régné. Certains souverains d’Europe ne sont pour ainsi dire jamais représentés, comme le roi d’Angleterre, contrairement au roi d’Espagne ou au Grand Turc.
Le duc de Savoie, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 4La représentation du duc de Savoie sur la carte dès lors interpelle, d’autant que dans le second quart du XVIe siècle, il n’est pas à la tête d’un royaume puissant. En revanche à cette période, la rivalité entre le royaume de François Ier et l’empire de Charles Quint est à son comble. En s’alliant avec le duc de Savoie, Charles Quint barre la route aux ambitions du roi de France. Ce serait donc en tant qu’important allié qu’il apparaitrait sur la carte. Cette hypothèse encourage à relire le contenu politique de l’atlas, sans a priori sur son éventuel anachronisme. Les drapeaux castillans semés sur le continent américain qui signalent les conquêtes Hernàn Cortez et sans doute la fondation de la Nouvelle Castille (1519-1537) confirment l’importance de la dimension géopolitique de l’atlas : il représente l’emprise ibérique sur le monde.
Cette conclusion invite à réinterroger l’apparent anachronisme de la représentation des princes sur la carte.
Une provenance encore incertaineIl n’était pas évident que cet atlas nautique méditerranéen, à la gloire de l’empire de Charles Quint et des conquêtes ibériques soit conservé en Normandie, à la bibliothèque municipale du Havre. Ses anciens propriétaires comme les modalités de son entrée dans les fonds sont inconnus. On suppose qu’il serait entré dans les collections au XIXe siècle après avoir appartenu à un collectionneur privé. Il n’est signalé au catalogue qu’en 1888, mais son existence est attestée dès 1860 dans le Guide du voyageur de Joseph Morlent, conservateur de la bibliothèque de 1851 à 1861. En revanche, il ne l’évoque pas dans son précédent guide de 1854, ce qui semble indiquer que le document est entré dans les collections entre 1854 et 1860.
Consulter le document en ligne.
Pour en savoir plus :Lucile Haguet, L’Atlas nautique du Havre, une archéologie documentaire, Centre havrais de recherches historiques, n°HS 1, 2018, p. 53-90.
Ernest Grandidier, Histoire physique, naturelle et politique de Madagascar, Paris, 1885, t. I., p. 40, 228.
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17:11
Actualité ressources : Aménagements cyclables, PPR et Représentations parcellaires
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeNous vous proposons aujourd'hui une nouvelle ressource (arcOpole aménagements cyclables) ainsi que la mise à jour d'arcOpole Plan de Prévention des Risques (PPR) et d'arcOpole Représentations Parcellaires.arcOpole aménagements cyclables La Loi d'Orientation des Mobilités (LOM) impose aux Autorités Organisatrices de la Mobilité (AOM) de mettre à disposition leurs données liées aux aménagements
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17:05
Cartes et géomatique: les articles 2019 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles sont mis en ligne une année après leur publication sur support papier.
Ne sont recensés ici que les articles relatifs à l’histoire de la cartographie
n° 239-240, mars 2019Archives Nationales (Nadine Gastaldi)
n° 241-242, juin 2019Des emprises cartographiques. Restitution de données géohistoriques à partir de la Carte de France de Cassini, 1750 – 1789 (Bertrand Duménieu, Julien Chadeyron, Pascal Cristofolia, Julien Perreta, Laurence Jolivet, Stéphane Baciocchia)
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11:35
Une mine de connaissance
sur Parcell'airATTENTION : en ce début décembre 2023, ces ressources ne sont plus accessibles.
De nombreuses ressources ont été mises en ligne au cours de l’année 2021 concernant le cadastre et les données foncières par le GIRTEC
Le Groupement d’Intérêt public pour la Reconstitution des titres de propriétés En Corse a été créé par la loi du 23 juin 2006 portant réforme des successions, avec l’objectif d’aider à la résorption du “désordre foncier en Corse“. C’est une situation particulière qui découle d’un régime fiscal dérogatoire qui a laissé beaucoup de successions non abouties, avec des biens apparaissant dans la matrice cadastrale au nom de personnes souvent décédées depuis de nombreuses années.
Le GIRTEC travaille tout particulièrement avec les notaires pour aider à la reconstitution des titres de propriété. Depuis 2017 il a également une mission de service public plus globale visant à rassembler les éléments nécessaires à l’identification des propriétaires des biens fonciers et immobiliers.
Présentation du GIRTEC : [https:]
C’est donc pour aider à la reconstitution des titres de propriété en Corse que le GIRTEC a créé un Système d’information sur les données foncières de la Corse. Il met maintenant à disposition une documentation et des outils très utiles à l’analyse urbaine et foncière.
Sans volonté d’exhaustivité, on y trouve :
- Des pages plutôt orientées juridique concernant le système foncier, ses acteurs, la chaîne de propriété, …
- Le système foncier : Le système foncier – Base de Connaissances du GIRTEC – Confluence (atlassian.net)
- Le biens à l’abandon : Les biens à l’abandon – Base de Connaissances du GIRTEC – Confluence (atlassian.net)
- Des pages plus techniques concernant :
- Le modèle conceptuel des données cadastrale majic
- La caractérisation du bâti correspondant à une description fine des notions de bâtiment, local, copro, …
- Des ressources SQL avec des exemples de requêtes permettant de calculer la tache urbaine ou d’intégrer les documents de filiation informatisé qui permet de construire l’historique des parcelles.
- Et un renvoi vers le dépôt où l’on trouve l’intégrateur édigeo dans une base postgis
Ces pages ouvertes à tout un chacun mais plutôt orientées collectivités et adeptes tech et géomatique ont été construites et sont hébergées par la plateforme collaborative dénommée “confluence” développée par atlassian.
Pour conclure je reprends les mots de Christophe Vergon “Vous trouverez ici les premières ressources que nous partageons […]. Ce site est en cours de construction … soyez indulgents
Merci Christophe et Tumasgiu (pour ceux que l’on connait bien au GeoRezo)
- Des pages plutôt orientées juridique concernant le système foncier, ses acteurs, la chaîne de propriété, …
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16:50
Gérer l’incertitude, défi n°1 du Field Service Management en temps de covid
sur Blog GEOCONCEPT FRLa situation sanitaire porte à leur paroxysme les problématiques d’organisation des opérations de terrain. Dans un contexte durablement incertain, la capacité à hiérarchiser et concilier les contraintes – de personnel, de délai, de contrats de niveau de service, etc. – est plus que jamais vitale pour protéger l’activité.
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8:32
Géoclip et son module connecteurs
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesGéoclip propose à ses clients utilisateurs d’automatiser et de programmer la mise à jour des données issues de leur(s) observatoire(s) géostatistique(s) à partir de fichiers .csv ou .txt. -
8:26
Le module de réplication Géoclip
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesLe module de réplication Géoclip permet d’effectuer toutes sortes de mises à jour sur un observatoire Géoclip en préproduction, de les tester et de les valider avant de les déployer en production. -
8:21
Géoclip et le protocole TJS : partager des données statistiques géo-référencées
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesGéoclip favorise la connaissance partagée des territoires de par l'interopérabilité avec le standard d'échange de données TJS (Table Joining Service) de l’Open Geospatial Consortium (OGC). -
8:17
APIs Géoclip
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesYannick LAFONT, Product Owner Géoclip (Ciril GROUP) vous propose de (re)découvrir comment intégrer, piloter et exploiter les nombreuses fonctionnalités de Géoclip au travers d’une API web.
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15:43
Séminaire web : Les évolutions cadastre dans arcOpole Builder 1.5
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeJeudi, de 11h00 à 11h45 se déroulera le premier web séminaire arcOpole de l'année ! Le sujet abordé sera celui des nouveautés cadastre de la version 1.5 d'arcOpole Builder.Comme vous le savez, la version 1.5 d'arcOpole Builder a été publiée il y a quelques jours et parmi les nouveautés offertes, un bon nombre concerne la cadastre. Notamment avec un nouveau widget de consultation ainsi qu'une
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9:58
Ce que l’UX Design apporte à vos logiciels métiers
sur Blog GEOCONCEPT FREn mettant l’utilisateur final au cœur de la conception, l’UX Design maximise l’adoption, l’usage et l’efficacité des logiciels professionnels. On vous explique en quoi cela consiste et comment nous nous y prenons concrètement pour que l’expérience offerte par nos solutions renforce la productivité et la satisfaction de ceux qui les utilisent au quotidien.
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0:00
Utilisation de WebGL pour le rendu de cartes dans OpenLayers, partie 1
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Plus que jamais, les cartes interactives doivent être vectorielles. Pour cette raison, nous travaillons inlassablement à améliorer OpenLayers dans un but unique : dessiner des formes géométriques toujours plus rapidement.
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10:49
Livraison en 10 minutes : le quick commerce va-t-il réussir à s’imposer ?
sur Blog GEOCONCEPT FR -
9:15
Les données : clé du succès de vos projets de Field Service Management
sur Blog GEOCONCEPT FR
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Implémentation du Chinese Postman Problem au sein du moteur de routage Valhalla
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Nous implémentons un algorithme pour résoudre le Chinese Postman Problem au sein du moteur de routage Valhalla. C'est un projet avec Armasuisse pour calculer une route de patrouille.
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8:15
Gare à l’ultra-personnalisation et aux applications « presse bouton » !
sur Blog GEOCONCEPT FRTout le monde rêve de solutions métiers déployables du jour au lendemain et aussitôt adoptées par les utilisateurs parce qu’elles répondent parfaitement à leurs besoins. La réalité est souvent très différente : les demandes de personnalisation et les besoins d’intégration retardent les projets et vont parfois à l’encontre des bénéfices attendus. Une fatalité ?
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Journée romande de la géoinformation 2021
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Camptocamp sera présent pour présenter ses projets innovants au cours de la journée romande de la géoinformation le 23 novembre. Venez découvrir nos projets
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19:15
GIS and Monitors
sur James Fee GIS BlogIf there is one constant in my GIS career, it is my interest in the monitor I’m using. Since the days of being happy for a “flat screen” Trinitron monitor to now with curved flat screens, so much has changed. My first GIS Analyst position probably had the worst monitor in the history of monitors. I can’t recall the name but it had a refresh rate that was probably comparable what was seen in the 1960s. It didn’t have great color balance either, so I ended up printing out a color swatch pattern from ArcInfo and taped it on my wall so I could know what color was what.
I stared for years at this monitor. No wonder I need reading glasses now!Eventually I moved up in the world where I no longer got hand-me-down hardware and I started to get my first new equipment. The company I worked for at the time shifted between Dell and HP for hardware, but generally it was dual 21″ Trinitron CRTs. For those who are too young to remember, they were the size of a small car and put off enough heat and radiation to probably shorten my life by 10 year. Yet, I could finally count on them being color corrected by hardware/software and not feel like I was color blind.
It wasn’t sexy but it had a cool look to it. You could drop it flat to write on it like a table.Over 11 years ago, I was given a Wacom DTU-2231 to test. You can read more about it on that link but it was quite the monitor. I guess the biggest change between now and then is how little that technology took off. I guess if you asked me right after you read that post in 2010 what we’d be using in 2020, I would have said such technology would be everywhere. Yet we don’t see stylus based monitor much at all.
These days my primary monitor is a LG UltraFine 24″ 4k. I pair it with another 24″ 4K monitor that I’ve had for years. Off to the other side is a generic Dell 24″ monitor my company provided. I find this setup works well for me, gone are the days where I had ArcCatalog and ArcMap open in two different monitors. Alas two of the monitors are devoted to Outlook and WebEx Teams, just a sign of my current work load.
I’ve always felt that GIS people care more about monitors than most. A developer might be more interested in a Spotify plugin for their IDE, but a GIS Analyst care most about the biggest, brightest and crispest monitor they can get their hands on. I don’t always use FME Workbench these days, but when I do, it is full screen on the most beautiful monitor I can have. Seems perfect to me.
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10:16
Modélisation de la distribution des espèces next-level
sur Le blog de GeomatysPièce jointe: [télécharger]
Les modèles de répartition des espèces (MDS) sont des modèles statistiques et mécanistes utilisés pour définir la répartition géospatiale des espèces en fonction de la combinaison de variables écologiques (telles que l’environnement biotique et abiotique) offrant des conditions et des possibilités favorisant leur présence.
En projetant les MDS sur des environnements futurs, les scientifiques peuvent déterminer où et quand ces conditions seront réunies pour fournir une prédiction de la répartition future des espèces. Ces prédictions sont souvent prévues des mois, des années ou des décennies à l’avance, et sont statiques en ce qui concerne à la fois l’algorithme et les occurrences prédites.
Cependant, les facteurs qui affectent les espèces et leurs déplacements ne sont pas statiques. Imaginez que vous puissiez appliquer ces modèles à un monde en évolution en temps réel ! C’est précisément l’aide que nous apportons aux scientifiques en utilisant la technologie de traitement géospatial et de science des données à la volée EXAMIND de Geomatys.
Lorsque les conditions environnementales changent, ou sont affectées par des perturbations telles qu’un ouragan ou des projets de développement qui perturbent les habitats actuels, des MDS à échelle fine peuvent être appliqués pour prédire comment les animaux se disperseront. En collaboration avec nos partenaires de la recherche et de l’industrie, nous travaillons à l’application de cette technologie en développement pour, par exemple, gérer les populations animales. Cette capacité deviendra essentielle dans presque tous les domaines, y compris la gestion de la biodiversité, car le changement climatique déstabilise les écosystèmes et les habitudes, et ainsi il perturbe les connaissances sur lesquelles nous nous appuyons actuellement pour prendre des décisions.
Un projet dans lequel la technologie de Geomatys facilite ce travail est celui fait pour l’association française pour la gestion et la conservation du cheval de Przewalski, une espèce menacée (TAKH). L’association a présenté son portail Web alimenté par EXAMIND pour visualiser et analyser les populations de chevaux de Przewalski, appelé Shamane, lors du Congrès mondial de la nature de l’UICN de cette année, le 8 septembre 2021 à Marseille.
Explorer le platform Shamane ( [https:]] )
Bien que l’objectif soit de former des algorithmes d’apprentissage automatique qui puissent aider à prédire le comportement des chevaux en réponse à des facteurs environnementaux variant dans le temps, un travail préliminaire que nous ayons effectué pour faciliter ce projet a été de construire la base de données, en rassemblant des sources de données vastes et disparates, en assurant l’interopérabilité et en les rendant accessibles à l’utilisateur dans un seul environnement.
Grâce aux nouvelles fonctionnalités disponible sur son socle EXAMIND en réponse aux besoins des chercheurs TAKH, les utilisateurs peuvent suivre des animaux individuels à travers le temps, basculer leur histoire et leur pedigree, explorer leurs habitats en 4D, interroger des ensembles de données connexes et lancer des analyses, le tout dans l’environnement de l’infrastructure de données spatiales de Shamane. L’outil permet donc non seulement d’analyser les données, mais aussi de fournir des renseignements permettant de prendre des décisions en temps réel en matière de surveillance et de gestion des populations.
Vidéo teaser crée pour le TAKH par Les Fées Spéciales
La vidéo teaser du projet Shamane ci-dessus illustre comment l’utilisateur peut suivre le mouvement de chevaux individuels génétiquement distincts (représentés par des couleurs différentes, souvent regroupés en troupeaux) dans une vue 3D du paysage. À l’aide du curseur situé en bas de la page, il peut suivre les changements de position des animaux ainsi que l’évolution de l’habitat dans le temps. Cela permet aux chercheurs de déterminer, par exemple, quels types de barrières d’habitat peuvent influencer les déplacements.
Dans un prochain temps, ils vont pouvoir également superposer d’autres données, telles que des données météorologiques à cette vue et effectuer des analyses dans la barre latérale de gauche à l’aide d’un notebook de datascience. A priori, ces analyses visent à identifier les facteurs écologiques qui déterminent les comportements de déplacement des animaux afin de soutenir les stratégies de gestion des populations et d’autres efforts de conservation.
Le futur de l’environnement interactif de visualisation de données 4D de Shamane, alimenté par EXAMIND.Bien que l’outil soit disponible via un portail web, l’accès est limité aux utilisateurs autorisés, sécurisé avec la même technologie que celle utilisée par Geomatys dans le domaine de la défense. Ceci est important pour traiter des données sensibles, telles que la localisation précise d’espèces menacées. Cet outil fournit donc une plateforme performante et sécurisée pour gérer la conservation de ces populations fragiles.
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12:02
Visualisation des conditions météo à la volée en réalité augmenté
sur Le blog de GeomatysDepuis quelques mois les équipes R&D de Geomatys travaillent sur l’exploitation de données GHOM (Géographiques, Hydrographiques, Océano et météo ) en réalité augmentée.
L’enjeu étant de convertir, côté serveur à l’aide d’Examind-Server, des formats complexes tel que GRIB, NetCDF ou encore S-57, pour les servir en 3D sur un client Unity et de visualiser ces données à la volée avec des HolloLens.
Voici donc un exemple de visualisation de vecteurs de vent issus de fichiers GRIB en réalité augmentée.D’autres cas d’usages arrivent en particulier pour le monde maritime, nous vous les présenterons bientôt.
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10:39
FOSS4G 2021 - Les présentations que je souhaiterais suivre
sur ReLucBlogLe FOSS4G 2021 a commencé hier, lundi 27 september 2021, avec les premiers workshops. Les présentations commenceront demain, mercredi 29 Septembre 2021.
3Liz a 3 présentations plus 1 faîtes par ONF International :
- Lizmap to create a Web Map Application with QGIS Desktop and Server
- How to use OpenStreetMap data in QGIS Desktop
- PgMetadata - A QGIS plugin to store the metadata of PostgreSQL layers inside the database, and use them inside QGIS
- How Open Source solution help to build an scalable and adaptable environmental decision platform tools
Le programme de cette année est très complet et j'ai du mal à choisir parmi la longue liste de présentations. Voici donc ma liste des présentations que j'aimerais suivre, mais que je ne pourrais pas suivre en entier :
- Printing maps in the browser with InkMap
- OSGeo in the browser: Advances in client-side WebAssembly-based Geospatial Analysis and frontend visualization using jsgeoda and Vis.gl
- Solving Spatial Problems with PostGIS
- 3D geo-applications with CesiumJS - data, possible use-cases and specifications
- Browser-side geoprocessing with Turf.js and Leaflet
- Watching after your PostGIS herd
- Geostyler Mapfile Parser
- A fast web 3D viewer for 11 million buildings
- Graph algorithms on the database with pgRouting
- pygeoapi: what's new in the Python OGC API Reference Implementation
- FOSS4GPU: Faster GIS via GPU and cuSpatial
- OpenStreetMap and the neglected pedestrian
- OGC APIs: background, current state, what's next
- Geospatial analysis using python 101
- OGC API - Deeper Dive into OGC API Features, Records and EDR
- QGIS and OGC APIs - how do they work together?
- Practical Geospatial Data Versioning with Kart
- Processing Massive-Scale Geospatial Data with Apache Sedona
- PMTiles: An open, cloud-optimized archive format for serverless map data
- MapLibre project: community driven Mapbox GL fork
- Modular OGC API Workflows for Processing and Visualization
- Cloud optimized formats for rasters and vectors explained
- Demystifing OGC APIs with GeoServer: introduction and status of implementation
- Deploying and operating GeoServer: a DevOps perspective
- QField Features Frenzy
- Seamless fieldwork thanks to QFieldCloud
- Deployment of open source vector tile technology with UN Vector Tile Toolkit
- The Very Best New Features of QGIS 3.x
- QGIS Plugin Development Is Not Scary: Lessons Learned from Literature Mapper
- QGIS MetaSearch: lowering the barrier to geospatial data discovery in the desktop
- Input, Mergin & QGIS: collect data, sync, and collaborate with ease
- GeoRasterLayer for Leaflet: Truly Server-Free GeoTIFF Visualization
- Versioning in 2021: when and how you should do it
- Using point clouds in QGIS
- GeoHealthCheck - QoS Monitor for Geospatial Web Services
- Wegue - Webmapping with OpenLayers and Vue.js
- GeoMapFish und QGIS Server
- Algorithm Talk: JSON-to-Code Compression
- Vector tile basemaps for your QGIS project
- OpenLayers Feature Frenzy
- Easily publish your QGIS projects on the web with QWC2
- MapStore, a year in review
- Deploying QGIS using command line options.
- Large scale QGIS deployments : feedback and lessons learned
- Fast, Robust Arithmetics for Geometric Algorithms and Applications to GIS
- WAPLUGIN: Water Accounting and Productivity Plugin for QGIS
- FOSS4G software developments for Water Utilities Management in Eastern Africa by using Vector Tiles
- G3W-SUITE: in OS framework for publishing and managing QGIS projects on the Web
- Giswater : open source management tool for water networks
- An implementation of FOSS4G - QGIS, QField and Vector Tiles for rural water supply management in Rwanda
- Geospatial programming with Rust
- QGIS, Football, what else ?
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10:30
FOSS4G 2021 - Presentations I would like to follow
sur ReLucBlogFOSS4G 2021 began yesterday, Monday September 27 2021, with the first workshops. The presentations will begin tomorrow, Wednesday Septembre 29 2021.
3Liz has 3 presentations plus 1 made by ONF International :
- Lizmap to create a Web Map Application with QGIS Desktop and Server
- How to use OpenStreetMap data in QGIS Desktop
- PgMetadata - A QGIS plugin to store the metadata of PostgreSQL layers inside the database, and use them inside QGIS
- How Open Source solution help to build an scalable and adaptable environmental decision platform tools
This years's schedule is very complete and I find it hard to choose from the long list of presentations. So here is my list of presentations that I would like to attend, but that I will not be able to follow in full:
- Printing maps in the browser with InkMap
- OSGeo in the browser: Advances in client-side WebAssembly-based Geospatial Analysis and frontend visualization using jsgeoda and Vis.gl
- Solving Spatial Problems with PostGIS
- 3D geo-applications with CesiumJS - data, possible use-cases and specifications
- Browser-side geoprocessing with Turf.js and Leaflet
- Watching after your PostGIS herd
- Geostyler Mapfile Parser
- A fast web 3D viewer for 11 million buildings
- Graph algorithms on the database with pgRouting
- pygeoapi: what's new in the Python OGC API Reference Implementation
- FOSS4GPU: Faster GIS via GPU and cuSpatial
- OpenStreetMap and the neglected pedestrian
- OGC APIs: background, current state, what's next
- Geospatial analysis using python 101
- OGC API - Deeper Dive into OGC API Features, Records and EDR
- QGIS and OGC APIs - how do they work together?
- Practical Geospatial Data Versioning with Kart
- Processing Massive-Scale Geospatial Data with Apache Sedona
- PMTiles: An open, cloud-optimized archive format for serverless map data
- MapLibre project: community driven Mapbox GL fork
- Modular OGC API Workflows for Processing and Visualization
- Cloud optimized formats for rasters and vectors explained
- Demystifing OGC APIs with GeoServer: introduction and status of implementation
- Deploying and operating GeoServer: a DevOps perspective
- QField Features Frenzy
- Seamless fieldwork thanks to QFieldCloud
- Deployment of open source vector tile technology with UN Vector Tile Toolkit
- The Very Best New Features of QGIS 3.x
- QGIS Plugin Development Is Not Scary: Lessons Learned from Literature Mapper
- QGIS MetaSearch: lowering the barrier to geospatial data discovery in the desktop
- Input, Mergin & QGIS: collect data, sync, and collaborate with ease
- GeoRasterLayer for Leaflet: Truly Server-Free GeoTIFF Visualization
- Versioning in 2021: when and how you should do it
- Using point clouds in QGIS
- GeoHealthCheck - QoS Monitor for Geospatial Web Services
- Wegue - Webmapping with OpenLayers and Vue.js
- GeoMapFish und QGIS Server
- Algorithm Talk: JSON-to-Code Compression
- Vector tile basemaps for your QGIS project
- OpenLayers Feature Frenzy
- Easily publish your QGIS projects on the web with QWC2
- MapStore, a year in review
- Deploying QGIS using command line options.
- Large scale QGIS deployments : feedback and lessons learned
- Fast, Robust Arithmetics for Geometric Algorithms and Applications to GIS
- WAPLUGIN: Water Accounting and Productivity Plugin for QGIS
- FOSS4G software developments for Water Utilities Management in Eastern Africa by using Vector Tiles
- G3W-SUITE: in OS framework for publishing and managing QGIS projects on the Web
- Giswater : open source management tool for water networks
- An implementation of FOSS4G - QGIS, QField and Vector Tiles for rural water supply management in Rwanda
- Geospatial programming with Rust
- QGIS, Football, what else ?
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0:00
Conférence DINAcon
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Le 29.10.2021, la conférence DINAcon se tiendra pour la première fois dans le parc de la Bâloise à Bâle. -
0:00
Camptocamp présent au 127ème congrès national des sapeurs pompiers
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Annulé l’année dernière du fait de la crise sanitaire, le 127ème congrès national des sapeurs pompiers aura bien lieu cette année du 13 au 16 octobre à Marseille. -
0:00
Le projet MADD
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Ce projet MADD avait comme objectif d’automatiser tant que possible le processus de commande et d ’offrir un accès standardisé aux données issues du RegBL pour les utilisateurs.
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17:23
ÉTUDE DE CAS GÉOCLIP : L’OBSERVATOIRE C@RTOSANTÉ DES ARS
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesLes agences régionales de santé (ARS) sont chargées du pilotage régional du système de santé. Elles définissent et mettent en œuvre la politique de santé en région au plus près des besoins de la population. Les ARS mènent divers projets de diffusion de l’information, parmi lesquels C@rtoSanté, l'un de leurs observatoires géostatistiques fondés sur Géoclip.
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0:00
Camptocamp est sponsor de la conférence FOSS4G de Buenos Aires 2021
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Du 27 septembre au 2 octobre, la conférence FOSS4G 2021 aura lieu en ligne. Jetez un coup d'œil à nos conférences. -
0:00
GeoDatadays : à la rencontre de la communauté geospatial en France
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Les GeoDatadays, événement autour de la geodata, auront lieues les 15 et 16 septembre à Grenoble, et sont co-organisées par l'AFIGéo et Décryptagéo. -
0:00
MapFish Print - sous le capot
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
MapFish Print est une solution complète permettant d’imprimer des cartes et des rapports, et pouvant être facilement intégrée dans un SIG. Nous présentons ici l'état actuel de ce projet open-source toujours aussi vivant.
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15:26
GÉODATADAYS – SEPTEMBRE 2021
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesRetrouvons nos bonnes habitudes ! Les équipes de Business Geografic et Ciril GROUP ont hâte - non, sont impatientes ! - de vous retrouver aux GéoDataDays les 15 et 16 septembre 2021 à Grenoble.
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17:00
Are Conferences Important Anymore?
sur James Fee GIS BlogHey SOTM is going on, didn’t even know. The last SOTM I went to was in 2013 which was a blast. But I have to be honest, not only did this slip my mind, none of my feeds highlighted it to me. Not only that, apparently Esri is having a conference soon. (wait for me to go ask Google when it is) OK, they are having it next week. I used to be the person who went to as much as I could, either through attending or invited to keynote. The last Esri UC I went to was in 2015, 6 years ago. As I said SOTM was in 2013. FOSS4G, 2011. I had to look up, the last conference that had any GIS in it was the 2018 Barcelona Smart City Expo.
So with the world opening back up, or maybe not given whatever greek letter variant we are dealing with right now, I’ve started to think about what I might want to attend and the subject matter. At the end of the day, I feel like I got more value out of the conversations outside the convention center than inside. So probably where I see a good subset of smart people hanging out. That’s why those old GeoWeb conferences that Ron Lake put on were so amazing. Meeting a ton of smart people and enjoying the conversations, rather than reading Powerpoint slides in a darkly lit room.
Hopefully we can get back to that, just need to keep my eye out.
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0:00
La version 2.6 GeoMapFish
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
GeoMapFish est une application SIG web, extensible et flexible, incluant de nombreuses fonctionnalités. La version 2.6 vient de sortir.
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12:12
Prise de rendez-vous – et si vous laissiez la main à vos clients ?
sur Blog GEOCONCEPT FRSi vous continuez à croire que vous pouvez imposer à vos clients les dates et heures de rendez-vous qui vous arrangent, attendez-vous à des déboires ! En 2021, c’est le client qui choisit. Et vous pouvez facilement lui apporter cette satisfaction – sans désorganiser complètement vos opérations, bien au contraire !
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14:32
Dataviz : “voir et donner à voir”
sur Le blog de GeomatysDans le cadre de ses activités Geomatys s’est structuré selon trois axes :
1.La mise en place et l’exploitation de Datalakes Geospatiaux (basé sur des infrastructure Cloud et exploitant des volumes massifs de donnée)
2. La (Geo)Datascience
3. La visualisation de données incluant la 3D et la réalité augmentée.
Cet article présente un retour d’expérience sur la mise en place de traitements à la volée sur un DataLake pour les besoins d’une agence spatiale.
Les masses de données brutes et les résultats de leurs analyses disponibles pour la prise de décision humaine sont un challenge pour les outils de visualisation. Ainsi si les masses de données actuelles permettent l’émergence des Jumeaux Numériques, pour la Dataviz elle peuvent parfois ressembler à Janus :
- Agréger les données afin de produire un indicateur pour l’aide à la décision ou un tableau de bord synthétique est une solution pragmatique, mais elle a le défaut de masquer la complexité des données sources.
- Donner accès en visualisation à toutes les données est transparent mais difficilement analysable pour l’opérateur.
Autrement dit et pour paraphraser René Char qui s’interroge quand même un peu sur ce qu’il vient faire là, pour les outils de Dataviz conduisant à une prise de décision, “l’essentiel est toujours menacé par l’insignifiant” .
C’est en cherchant à dépasser cette ambivalence que nous tâchons de concevoir notre environnement d’exploration et de visualisation de la donnée : EXAMIND Playground dont nous faisons ici une petite revue d’inventaire.
S’appuyant sur les capacités de notre socle logiciel à diffuser de large volume de données géospatiaux, le cas échéant en streaming, EXAMIND Playground est conçu comme un ensemble de modules de visualisation cartographique mobilisable et configurable à façon qui s’appuie sur un moteur de visualisation géographique 4D (3D plus la dimension temporelle) sur lequel viennent se greffer des outils d’exploration de la donnée.
Ainsi à partir d’une vue d’ensemble contextuelle à son besoin, l’utilisateur va pouvoir se concentrer et zoomer sur des zones spécifiques et éventuellement en observer la dynamique temporelle (cf infra). L’utilisateur va également pouvoir forer sa donnée et examiner l’évolution de plusieurs variables dernière le long d’une trajectoire ou en un point donné.
L’outil de visualisation interagit avec le serveur de données ainsi, si le cas d’usage le nécessite, l’utilisateur peut ajouter des objets à l’environnement cartographique et simuler leurs impacts. Comme ici, dans le cas de la simulation de l’impact de la circulation des flamands roses après un ajout de linéaire de haies.
Enfin, la donnée géographique pouvant venir enrichir notre perception du monde réel, EXAMIND Playground est utilisable avec des casques de réalité augmentée afin de proposer à l’usager de voir directement son univers enrichi.
EXAMIND Playground propose donc toute une panoplie d’outils de visualisation cartographique mobilisables en fonction du besoin et du cas d’usage traité afin de pouvoir explorer au mieux toute la richesse de ses données. Le seul risque à trop bien voir ses données étant d’ « avoir la surprise de trouver un lion dans un placard là où l’on était sûr [au départ] d’y trouver des chemises. »(Frida Kahlo)
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0:00
Pièges courants lors de l'impression de cartes sur le web
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
La production de cartes de qualité professionnelle affichées dans une application Web ne se limite pas à une simple capture d'écran. Nous vous présentons ici quelques-uns des défis et problèmes les plus fréquents à résoudre pour réussir l’impression de cartes en ligne. -
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Nouvelles de la communauté GeoNetwork - Été 21
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Data hub, Opendata, Dataviz : plein de nouveaux concepts évoqués lors du sprint de code GeoNetwork, du 14 au 18 juin 2021 à la Tite Ferme. -
0:00
pgRouting comme aide à la décision des Services d'Incendie et de Secours
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Les Services d'Incendie et de Secours cherchent à identifier les camions qui mettront le moins de temps à se rendre sur une intervention. PostGIS et pgRouting leur offrent flexibilité et gain de temps.
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9:16
GÉOCLIP 4.12.0 EST DISPONIBLE
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesGéoclip se dévoile dans sa nouvelle version 4.12.0 pour offrir aux utilisateurs et administrateurs des nouveautés côté protocole TJS ainsi que des améliorations liées à la sécurité, à l'administration, à l’interface utilisateur, etc. des observatoires
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14:38
[Interview] Véhicules autonomes : la réalité n’est et ne sera pas celle que vous croyez…
sur Blog GEOCONCEPT FRLes véhicules autonomes font l’objet de tellement d’annonces qu’il est difficile de s’y retrouver. Journaliste automobile depuis plus de 30 ans, Laurent Meillaud suit de près les évolutions technologiques du secteur et les défis qu’il doit relever. Il nous apporte aujourd’hui son éclairage sur ce qui existe déjà en matière de véhicule autonome, ce qui a des chances d’exister et ce qui restera probablement de l’ordre de la fiction…
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Camptocamp participe au geOcom 2021
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Du 8 au 10 juin se tiendra en visioconférence la réunion annuelle des utilisateurs et développeurs de l'Infrastructure de Données Spatiales geOrchestra.
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7:30
Professionnels itinérants : disposer d’une application mobile métier n’est plus un luxe mais une nécessité !
sur Blog GEOCONCEPT FRCommerciaux, techniciens et livreurs passent l’essentiel de leur vie professionnelle sur le terrain. Les applications mobiles de nouvelle génération regroupent tout ce dont ils ont besoin pour optimiser leurs déplacements, leurs interventions et les interactions avec les clients – du bout des doigts !
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Simplifier le point d’entrée de votre IDG - Du fun pour les métadonnées !
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Comment convaincre les utilisateurs de référencer leurs données dans une infrastructure de données géographiques s'ils doivent passer leur précieux temps à remplir d'obscurs champs de métadonnées ? -
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FOSSGIS 2021: Nos présentations
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Rejoignez-nous pour la première édition entièrement numérique de FOSSGIS 2021 et jetez un coup d'œil aux conférences de Camptocamp.
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16:38
[Interview] Comment redonner le goût de prospecter à vos commerciaux ?
sur Blog GEOCONCEPT FRNous retrouvons Nicolas Caron à l’occasion de la sortie de Lève-toi et prospecte !
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MapFish Print - la solution d'impression cartographique open-source la plus avancée
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Dans ce premier article, nous donnons un aperçu de la solution d'impression MapFish Print et nous vous présentons ses divers cas d'utilisation. -
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La plateforme de documentation FttH du Tyrol
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Pour l'agence de services haut débit Breitbandserviceagentur Tirol GmbH, une plateforme de documentation a été développée sous forme de géoportail pour l'infrastructure FttH des municipalités du Tyrol.
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17:57
Unreal and Unity are the new Browsers
sur James Fee GIS BlogSomeone asked me why I hadn’t commented on Cesium and Unreal getting together. Honestly , no reason. This is big news honestly. HERE, where I work, is teaming up with Unity to bring the Unity SDK and the HERE SDK to automotive applications. I talk about how we used Mapbox Unity SDK at Cityzenith (though I have no clue if they still are). Google and Esri have them too. In fact both Unreal and Unity marketplaces are littered with data sources you can plug in.
HERE Maps with UnityThis is getting at the core of what these two platforms could be. Back in the day we had two browsers, Firefox and Internet Explorer 6. Inside each we had many choices of mapping platforms to use. From Google and Bing to Mapquest and Esri. In the end that competition to make the best API/SDK for a mapping environment drove a ton of innovation. What Google Maps looks like and does in 2021 vs 2005 is amazing.
This brings up the key as to what I see happening here. We’ll see the mapping companies (or companies that have mapping APIs) deliver key updates to these SDK (which today are pretty limited in scope) because they have to stay relevant. Not that web mapping is going away at any point, but true 3D world and true Digital Twins require power that browsers cannot provide even in 2021. So this rush to become the Google Maps of 3D engines is real and will be fun to watch.
Interesting in that Google is an also-ran in the 3D engine space, so there is so much opportunity for the players who have invested and continue to invest in these markets without Google throwing unlimited R&D dollars against it. Of course it only takes on press release to change all that so don’t bet against Google.
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13:00
Arrays in GeoJSON
sur James Fee GIS BlogSo my last post was very positive. I figured out how to relate the teams that share a stadium with the stadium itself. This was important because I wanted to eliminate the redundant points that were on top of each other. For those who don’t recall, I have an example in this gist:
Now I mentioned that there were issues displaying this in GIS applications and was promptly told I was doing this incorrectly:
An array of <any data type> is not the same as a JSON object consisting of an array of JSON objects. If it would have been the first, I'd have pointed you (again) to QGIS and this widget trick [https:]] .
— Stefan Keller (@sfkeller) April 4, 2021If you click on that tweet you’ll see basically that you can’t do it the way I want and I have to go back to the way I was doing it before:
Unfortunately, the beat way is to denormalise. Redundant location in many team points.
— Alex Leith (@alexgleith) April 4, 2021I had a conversation with Bill Dollins about it and he sums it up susinctly:
I get it, but “Do it this way because that’s what the software can handle” is an unsatisfying answer.
So I’m stuck, I honestly don’t care if QGIS can read the data, because it can. It just isn’t optimal. What I do care about is an organized dataset in GeoJSON. So my question that I can’t get a definitive answer, “is the array I have above valid GeoJSON code?”. From what I’ve seen, yes. But nobody wants to go on record as saying absolutely. I could say, hell with it I’m moving forward but I don’t want to go down a dead end road.
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21:42
GeoJSON Ballparks as JSON
sur James Fee GIS BlogIn a way it is good that Sean Gillies doesn’t follow me anymore. Because I can hear his voice in my head as I was trying to do something really stupid with the project. But Sheldon helps frame what I should be doing with what I was doing:
tables? what the? add , teams:[{name:"the name", otherprop: …}, {name:…}] to each item in the ballparks array and get that relational db BS out of your brain
— Sheldon (@tooshel) April 2, 2021Exactly! What the hell? Why was I trying to do something so stupid when the while point of this project is baseball ballparks in GeoJSON. Here is the problem in a nutshell and how I solved it. First off, let us simply the problem down to just one ballpark. Salt River Fields at Talking Stick is the Spring Training facility for both the Arizona Diamondbacks and the Colorado Rockies. Not only that, but there are Fall League and Rookie League teams playing there. Probably even more that I still haven’t researched. Anyway, GeoJSON Ballparks looks like this today when you just want to see that one stadium.
Let’s just say I backed myself in this corner by starting by only having MLB ballparks, none of which at the time of the project were shared between teams.It’s a mess right? Overlapping points, so many opportunities to screw up names. So my old school thought was just create a one-to-many relationship between the GeoJSON points and some external table. Madness! Seriously, what was I thinking? Sheldon is right, I should be doing a JSON array for the teams. Look how much nicer it all looks when I do this!
Look how nice that all is? So easy to read and it keeps the focus on the ballparks.As I said in the earlier blog post.
The problem now is so many teams, especially in spring training, minor leagues and fall ball, share stadiums, that in GeoJSON-Ballparks, you end up with multiple dots on top of each other. No one-to-many relationship that should happen.”
The project had pivoted in a way I hadn’t anticipated back in 2014 and it was a sure a mess to maintain. So now I can focus on fixing the project with the Minor League Baseball realignment that went on this year and get an updated dataset in Github very soon.
One outcome of doing this nested array is that many GIS tools don’t understand how to display the data. Take a look at geojson.io:
geojson.io compresses the array into one big JSON-formatted string. QGIS and Github do this also. It’s an issue that I’m willing to live with. Bill Dollins shared the GeoJSON spec with me to prove the way I’m doing is correct:
3.2. Feature Object A Feature object represents a spatially bounded thing. Every Feature object is a GeoJSON object no matter where it occurs in a GeoJSON text. o A Feature object has a "type" member with the value "Feature". o A Feature object has a member with the name "geometry". The value of the geometry member SHALL be either a Geometry object as defined above or, in the case that the Feature is unlocated, a JSON null value. o A Feature object has a member with the name "properties". The value of the properties member is an object (any JSON object or a JSON null value).
ANY JSON OBJECT! So formatting the files this way is correct and the way it should be done. I’m going to push forward on cleaning up GeoJSON Ballparks and let the GIS tools try and catch up.
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Vers une meilleure intégration de GeoServer dans une infrastructure cloud
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Comment améliorer GeoServer pour une meilleure intégration dans une infrastructure “cloud” et dans un contexte de Haute-Disponibilité ? -
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Rebuilding from the ground up with IFREMER
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
How Camptocamp went through and made a data visualization application more performant and reliable. -
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ArcGIS Pro vers GeoServer
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
La compatibilité entre la suite d'outils ESRI et les logiciels open source est un défi permanent. Des solutions existent pour ArcMap, mais pas pour son successeur ArcGIS Pro.
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10:55
On our way to quality
sur ReLucBlogLizmap is almost 10 years old. 10 years of new features, documentation, and numerous version release. Many software libraries updates, many contributors (31 if github is correct) and contributions later we've released version 3.4 at the end of 2020.
Whilst in the release cycle, we realized that our release process was lacking something. We were unsure of the quality of this release, and we were missing some tools to assess whether the release would contain regressions.
In order to avoid these issues in future releases and updates, we decided to implement a number of processes and changes in both how we release and build lizmap.
First : we have decided to not accept code patches without tests. Be these tests unit tests, integration tests or just some lines of text explaining how to test for the bug or regression being fixed by the patch. We are now maintaining a list of tests in our code repository.
Secondly we changed our release process to be able to test. We now have a dedicated time slot between the time when our code is ready and the time our code is released to the world. This will let us test internally and will let us gather feedback from users testing our release candidates.
Our third point is community centered. It's now quite easy to set up a lizmap stack or two using our Docker images. Using these instructions you'll have a docker running lizmap in no time on your computer. Add a project or two to it, test and see if you see anything that doesn't work like your production environment and let us know by opening a ticket. Our aim here is to have more user test our release candidates (we do these for major releases) so we can quickly fix regressions before we officially release.
Fourth we are setting up internal processes to make our code easier to test (docker is a good example of this) and easier to read. Hence, are growing use of linters. We also added a code analyzer for our backend: PHPstan.
Finally, we spent a good amount of time updating our demos (see demo.lizmap.com), making sure they work. This makes our demos a reference for most of our testing.
We had realized in June 2020 some of theses issues around quality. That's why we had an intern refactor lizmap. That refactor had two goals. One was to make it easier to add tests to its code and the second one was to add more tests. All these changes have made it to the 3.4 branch. They aren't in the 3.3 branch because it would have meant too much work. This means 3.3 is a bit less tested than 3.4 (hint upgrading from 3.3 is very easy).
Now that most of our backend is covered we are focusing our efforts on the front-end. This means we will update some of the libraries we use, we will refactor our code and will add as much test as possible. This is going to be the work of an intern. We have chosen Cypress to build end2end tests.
All of these automated tests (backend, front-end, end2end) are being run from our githubrepo through github actions.
All these changes have been made possible by the growth of 3liz during 2020.
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10:39
Nos efforts qualité
sur ReLucBlogLizmap a près de 10 ans. 10 ans de code, d'ajout de nouvelles fonctionnalités, de rédaction de documentation, de sortie de nombreuses versions. Des montées de versions de librairies, de nombreux contributeurs (31 si j'en crois GitHub) et contributions plus tard, nous avons sorti la version 3.4 fin 2020.
Lors de ce cycle de release entre les differentes versions RC et la version finale, nous nous sommes rendu compte d'un manque dans notre processus de release. Nous n'étions pas sûrs de la qualité de lizmap au moment de cette sortie et nous n'avions pas assez de moyens pour évaluer le risque d'avoir une version qui contiendrait des régressions.
Afin de rendre le produit plus fiable lors de mise-à-jour et de pouvoir être plus serein lors de nos prochaines sorties de version, nous avons mis en place un certain nombre de points afin d'améliorer la qualité.
Le premier est de ne plus accepter de contributions sans tests. Des tests automatiques, c'est bien, mais des procédures manuelles de tests, c'est bien aussi. Nous avons donc maintenant une règle qui dit "pas de patch sans test". Nous préférons les tests automatiques qui seront joués lors de l'intégration continue. Mais nous avons aussi conscience que tout n'est pas testable de manière automatique. Et donc qu'un certain nombre de tests devront se jouer de manière manuelle. Nous maintenons donc une liste de tests à jouer. Ces projets de tests sont présents dans les branches 3.4 et pour la prochaine version 3.5 (aka master).
Le deuxième est de mettre en place un processus de release qui intègre une phase de test. Nous consacrons maintenant un jour ou deux afin de pouvoir jouer tous les tests et de valider qu'aucune régression n'est présente. Pour les versions majeures, nous avons alloué encore plus de temps afin de pouvoir intégrer le retour de nos utilisateurs.
Troisième point dans lequel nous avons investi, la participation communautaire aux tests. Il est désormais très simple d'avoir un Lizmap avec un ou plusieurs projets. Il suffit d'utiliser notre stack docker, d'ajouter votre projet et de voir si tout fonctionne comme prévu. Si un problème survient, il est alors possible d'ouvrir au plus vite un ticket avec le maximum d'information pour que nous puissions le corriger. Nous souhaiterions que plus de personnes participent aux tests de nos Release Candidates (RC), afin de détecter avant les sorties les régressions sur vos projets.
Quatrièmement, nous mettons en place des processus internes pour que notre code soit plus facile à tester (cf la stack docker), mais aussi plus lisible par l'utilisation de linters. Nous avons également ajouté un analyseur de code pour le backend, PHP Static Analyser afin de nous prévenir de possibles erreurs côté PHP.
Cinquièmement, nous venons de passer du temps à mettre à jour la plate-forme de démo [https:]] ; les projets ont été dépoussiérés et mis à jour. Ces mises à jour facilitent l'adoption de nos démos comme un référentiel de tests avec de vraies données.
Nous avions pris conscience en juin 2020 d'un déficit dans nos processus qualité. Nous avions donc dirigé un stage afin de refactoriser la librairie Lizmap pour qu'elle soit plus facile à tester de manière automatique. De nombreux tests ont été ajoutés lors de cette refactorisation. Ces changements ont été intégrés dans la future branche 3.5 de Lizmap. C'était trop de travail pour l'intégrer dans les branches 3.3 et 3.4 - elles seront donc légèrement moins bien testées de manière automatique par la CI.
La partie backend PHP étant mieux couverte et mieux testable, nos efforts dans les mois à venir vont se focaliser sur la partie front-end (Javascript, inteface Web...), avec des mises à jour de librairies, de la refactorisation de code et l'ajout de nombreux tests. Une stagiaire en fera le sujet de son stage, on ajoutera grâce à l'outil cypress des tests end2end automatiques.
Les tests backend PHP ainsi que frontend end2end Javascript, ainsi que les linters PHP et Javascript sont lancés sur le dépôt GitHub avec Actions.
Tous ces changements n'ont été possibles qu'en allouant plus de ressources au projet Lizmap au sein de 3liz, par l'arrivée de nouvelles personnes dans l'équipe.
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Première release pour Inkmap 1.0
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Nous sommes fiers d'annoncer la toute première version d'InkMap, une technologie web moderne permettant d'intégrer des services d'impression dans des applications cartographiques web.
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22:15
GeoJSON Ballparks and MLB Minor League Realignment
sur James Fee GIS Blog**UPDATE** – See the plan.
Boy, where to start? First, for those who haven’t been following, this happened over the winter.
Minor League BaseballMajor League Baseball announced on Friday (February 12, 2021) a new plan for affiliated baseball, with 120 Minor League clubs officially agreeing to join the new Professional Development League (PDL). A full list of Major League teams and their new affiliates, one for each level of full-season ball, along with a complex league (Gulf Coast and Arizona) team, can be found below.
What does that mean? Well for GeoJSON Ballparks basically every minor league team is having a modification to it. At a minimum, the old minor league names have changed. Take the Pacific Coast League that existed for over 118 years is now part of Triple-A West which couldn’t be a more boring name. All up and down the minor leagues, the names now just reflect the level of minor league the teams are. And some teams have moved from AAA to Single A and all around.
I usually wait until Spring Training is just about over to update the minor league teams but this year it almost makes zero sense. I’ve sort of backed myself into a spatial problem, unintended when I started. Basically, the project initially was just MLB teams and their ballparks. The key to that is that the teams drove the dataset, not the ballparks even though the title of the project clearly said it was. As long as nobody shared a ballpark, this worked out great. The problem now is so many teams, especially in spring training, minor leagues and fall ball, share stadiums, that in GeoJSON-Ballparks, you end up with multiple dots on top of each other. No one-to-many relationship that should happen.
So, I’m going to use this minor league realignment to fix what I should have fixed years ago. There will be two files in this dataset moving forward. One GeoJSON file of the locations of a ballpark and then a CSV (or other format) file containing the teams. Then we’ll just do the old fashioned relate between the two and the world is better again.
I’m going to fork GeoJSON-Ballparks into a new project and right the wrongs I have done against good spatial data management. I’m finally ready to play centerfield!
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17:46
I’m Here at HERE
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Last Tuesday I started at HERE Technologies with the Professional Services group in the Americas. I’ve probably used HERE and their legacy companies data and services for most of my career so this is a really cool opportunity to work with a mobile data company.
I’m really excited about working with some of their latest data products including Premier 3D Cities (I can’t escape Digital Twins).
Digital Twins at HERE
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Calcul d’itinéraires avec édition du graphe en ligne
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
L’application Plan, basée sur GeoMapFish, permet aux visiteurs de l’EPFL d’afficher des itinéraires piétons. Le calcul utilise un réseau édité en ligne. -
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Ouverture du code de GetItFixed!
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
GetItFixed! est un projet open source et public pour aider à la remontée d’informations par les usagers. -
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KADAS Routing – a routing plugin for offline navigation
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Learn more about the offline routing plugin that we have developed for KADAS Albirero.
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13:45
2021, Lizmap will be 10 years old
sur ReLucBlogThe year 2020 was marked by the growth of the 3Liz team (now we are 8) and the release of version 3.4 of Lizmap Web Client (Liste des nouvelles fonctionnalités)
This new version marks a change in the way Lizmap Web Client works, as some features now depend on the installation of the Lizmap plugin for QGIS Server. The Lizmap plugin extend QGIS Server API.
In 2011, when Michaël imagined Lizmap, he wanted to take advantage of QGIS Server to facilitate the creation of Web maps, by offering a solution that integrates with QGIS so that the geographic data manager doesn't have to change tools when he wants to make a Web publication of his work.
In 10 years, Lizmap has become a true tool for creating and publishing Web mapping applications ranging from simple maps for consulting geographic data to collaborative geographic data management applications (addresses, water networks, naturalist observations, etc.), including the creation of dashboards with graphs or data mining tools.
Consulting data with LizmapPoints of interest in the Lake Geneva Watershed
Selecting and export data with LizmapFaunistic observations in Polynesia
Collaborative Data Editing with LizmapEvolution of COVID-19 in France from march to may 2020
Dashboards Lizmap Data mining with LizmapIn 2021, we want to continue to improve the quality and stability of Lizmap (code refactoring, adding new tests), release 2 new versions of Lizmap Web Client with a version 3.5 at the end of May 2021, and maybe a new major version at the end of the year.
All the 3Liz team wishes you a very happy new year 2021 with Lizmap.
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13:30
2021, Lizmap aura 10 ans
sur ReLucBlogL'année 2020 a été marqué par une croissance de l'équipe de 3Liz (nous sommes maintenant 8) et par la publication de la version 3.4 de Lizmap Web Client (Liste des nouvelles fonctionnalités)
Cette nouvelle version marque un changement dans le fonctionnement de Lizmap Web Client, car certaines fonctionnalités dépendent maintenant de l'installation du extension Lizmap pour QGIS Serveur. Le plugin Lizmap étend l'API standard de QGIS Serveur.
En 2011, quand Michaël imagine Lizmap, il souhaite profiter de QGIS Serveur pour faciliter la création de cartes Web, en proposant une solution qui s'intègre à QGIS afin que le gestionnaire de données géographiques n'ait pas à changer d'outil lorsqu'il souhaite faire une publication Web de son travail.
En 10 ans, Lizmap est devenu un vrai outil de création et de publication d'applications Web cartographiques allant de la simple carte de consultation de données géographiques à l'application de gestion de données géographiques collaboratives (adresses, réseaux d'eau, observations naturalistes, etc) en passant par la création de tableaux de bord avec graphiques ou d'outils d'exploration de données.
Risques de crues à Montpellier
Consultation de données avec LizmapPoints d'intérêts dans le bassin versant du lac Léman
Sélection de données et export avec LizmapObservations faunistiques en Polynésie
Édition collaborative de données avec LizmapÉvolution du COVID-19 en France de mars à mai 2020
Tableaux de bords avec LizmapSuivi des déplacements de chats
Exploration de données avec LizmapEn 2021, nous souhaitons continuer à améliorer la qualité et la stabilité de Lizmap (refactorisation du code, ajout de nouveaux tests), publier 2 nouvelles versions de Lizmap Web Client avec une version 3.5 fin mai 2021, et peut-être une nouvelle version majeure en fin d'année.
Toute l'équipe 3Liz vous souhaite donc une très bonne année 2021 avec Lizmap.
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16:52
Refactoring and tests about the PHP code in Lizmap
sur ReLucBlogAdrien Lagroy de Croutte from the École 42 joined 3Liz 6 months ago for an internship.
His main goal was to lead a refactoring on the PHP code of Lizmap, to make it easier to write unit tests.
His second goal was writing unittests. Approximately 200 unit tests have been added. These tests are executed by the continuous integration platform on each commit to avoid regressions and bugs.
Thanks to this work, we will avoid regressions for any next versions of Lizmap by having more tests on our continuous integration platform.
Thanks to you Adrien ;)
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11:03
Refactoring et tests du code PHP de Lizmap
sur ReLucBlogAdrien Lagroy de Croutte de l'École 42 a rejoint 3Liz il y a 6 mois dans le cadre d'un stage.
Sa mission principale a été de faire un refactoring du code PHP de Lizmap, ceci dans le but de pouvoir plus facilement le tester unitairement.
Sa seconde mission a été d'ajouter plus de 200 tests unitaires. Ceci sont exécutés par nos outils d'intégration continue sur chaque modification du code, nous évitant de possible bugs et régressions.
Grâce à ce travail, nous limitons les régressions sur les prochaines versions de Lizmap en rendant le code plus testable par des outils d'intégration continue.
Merci à toi Adrien ;)
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FOSSGIS 2021 in Rapperswil: Camptocamp is Platinsponsor!
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Camptocamp is happy to be on-site again from June 06 - 09 as a platin sponsor and exhibitor at the FOSSGIS 2021 conference. -
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Camptocamp, sponsor des 8èmes Rencontres Utilisateurs de QGIS
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Pour la 8ème année consécutive, Camptocamp a été sponsor, au niveau Mécène, de la conférence des Rencontres des Utilisateurs Francophone de QGIS. -
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InkMap
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Pour nous, il est temps de profiter des innovations récentes dans le monde du Web pour embarquer ces outils d’impression directement dans le navigateur. -
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Plugins QGIS pour le Schapi
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Le Schapi a confié à Camptocamp au travers d'un accord-cadre le développement et la maintenance de plusieurs Plugin QGIS.
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12:26
Lizmap Web Client 3.4 RC
sur ReLucBlogWe are pleased to announce the release of Lizmap Web Client 3.4 RC (release candidate). You will find the new features list here:
This new Lizmap Web Client release comes with Lizmap plugin in 3.3 version:
There remains work on documentation and translation. Any help is welcome :)
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12:06
Lizmap Web Client 3.4 RC
sur ReLucBlogNous sommes heureux d’annoncer la sortie de Lizmap Web Client 3.4 RC (release candidate). Vous trouverez la liste des nouvelles fonctionnalités ici :
Cette nouvelle version de Lizmap Web Client s'accompagne de celle du plugin Lizmap en version 3.3 :
Il reste du travail concernant la documentation et la traduction. Toute aide est la bienvenue :)
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10:15
Evaluate QGIS Expression server side with Lizmap plugin
sur ReLucBlogSince the beginning of Lizmap-Web-Client all the server part was based on PHP code. With Lizmap Web Client 3.4, which will be released very soon, part of the functionality has been developed within the Lizmap plugin to add features to QGIS Server.
QGIS Server is an open source implementation of the WMS 1.3.0, 1.1.1 and 1.0.0, WFS 1.1.0 and 1.0.0 and WCS 1.0.0 standards defined by the Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server uses QGIS as a backend for GIS layer logic and map rendering. As QGIS desktop and QGIS Server use the same visualization libraries, the maps that are published on the web look the same as in desktop GIS.
To learn more about QGIS Server
Just like QGIS Desktop, QGIS Server is extensible using Python plugins. It is for example possible to create and add new services to QGIS Server. Documentation
The second QGIS Server feature we have implemented in the Lizmap plugin is a QGIS expression evaluation service.
- SERVICE=EXPRESSION
- REQUEST=Evaluate
- EXPRESSION: a QGIS expression
- EXPRESSIONS: List of QGIS expressions
- FEATURE: Option a GeoJSON Feature
- FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
- FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
- REQUEST=replaceExpressionText
- STRING: A string with expression between [% and %]
- STRINGS: A list of strings with expression between [% and %]
- FEATURE: Option a GeoJSON Feature
- FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
- FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
- REQUEST=GetFeatureWithFormScope
- LAYER: a WMS Layer Name to be filtered
- FILTER: a QGIS expression to filter the layer
- FORM_FEATURE: a GeoJSON Feature
- FIELDS: Option a list of fields to return
- WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
- REQUEST=VirtualFields
- LAYER: a WMS Layer Name to get virtual fields
- VIRTUALS: a list of key QGIS expression
- FILTER: Option a QGIS expression to filter layer
- FIELDS: Option a list of fields to return
- WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
- REQUEST=Evaluate
These new queries are used in Lizmap Web Client 3.4 to exploit expressions from QGIS forms. These expressions can be used for :
- Set default values
- Set constraints
- Do drill down
- Manage field group visibility
Example of using QGIS expression as a form constraint:
Example of use of QGIS expression to manage the visibility of groups of fields
In the case of drill down in forms, it is possible to use geometry to filter the list, for example to select a municipality, a parcel or the nearest street. It is of course possible to use all other values during form entry.
Finally we also added a lizmap service with a GetServerSettings query to retrieve information about QGIS Server and available services.
- SERVICE=EXPRESSION
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10:00
Evaluer les Expresions QGIS côté serveur avec le Plugin Lizmap
sur ReLucBlogDepuis le début de Lizmap-Web-Client toute la partie serveur reposait sur du code PHP. Avec Lizmap Web Client 3.4, qui sera publié très prochainement, une partie des fonctionnalités ont été développées au sein du plugin Lizmap pour ajouter des fonctionnalités à QGIS Server.
QGIS Server est une implémentation open source des normes WMS 1.3.0, 1.1.1 et 1.0.0, WFS 1.1.0 et 1.0.0 et WCS 1.0.0 défini par l'Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server utilise QGIS comme backend pour la logique des couches SIG et le rendu cartographique. Étant donné que QGIS Bureautique et QGIS Server utilisent les mêmes bibliothèques de visualisation, les cartes publiées sur le web ont le même aspect que sous le SIG Bureautique.
Pour en savoir plus sur QGIS Server
Tout comme QGIS Bureautique, QGIS Server est extensible à l'aide de plugins Python. Il est par exemple possible de créer, d'ajouter de nouveaux services à QGIS Server. Documentation
La seconde fonctionnalité QGIS Server que nous avons implémentée dans le plugin Lizmap est un service d'évaluation des expressions QGIS.
- SERVICE=EXPRESSION
- REQUEST=Evaluate
- EXPRESSION: a QGIS expression
- EXPRESSIONS: List of QGIS expressions
- FEATURE: Option a GeoJSON Feature
- FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
- FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
- REQUEST=replaceExpressionText
- STRING: A string with expression between [% and %]
- STRINGS: A list of strings with expression between [% and %]
- FEATURE: Option a GeoJSON Feature
- FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
- FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
- REQUEST=GetFeatureWithFormScope
- LAYER: a WMS Layer Name to be filtered
- FILTER: a QGIS expression to filter the layer
- FORM_FEATURE: a GeoJSON Feature
- FIELDS: Option a list of fields to return
- WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
- REQUEST=VirtualFields
- LAYER: a WMS Layer Name to get virtual fields
- VIRTUALS: a list of key QGIS expression
- FILTER: Option a QGIS expression to filter layer
- FIELDS: Option a list of fields to return
- WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
- REQUEST=Evaluate
Ces nouvelles requêtes servent dans Lizmap Web Client 3.4 à exploiter les expressions des formulaires QGIS. Ces expressions peuvent servir à :
- Définir des valeurs par défaut
- Définir des contraintes
- Faire des listes en cascade
- Gérer la visibilité de groupes de champs
Exemple d'utilisation d'expression QGIS comme contrainte de formulaire:
Exemple d'utilisation d'expression QGIS afin de gérer la visibilité des groupes de champs
Dans le cas des listes en cascades dans les formulaires, il est possible d'utiliser la géométrie pour filtrer la liste, par exemple pour sélectionner une commune, une parcelle ou la rue la plus proche. Il est bien sûr possible d'utiliser toutes les autres valeurs en cours de saisie du formulaire.
Enfin nous avons aussi ajouter un service lizmap avec une requête GetServerSettings pour récupérer des informations sur QGIS Server et les services disponibles.
- SERVICE=EXPRESSION
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18:36
Digital Twins and Unreal Engine
sur James Fee GIS BlogI’ve had a ton of experience with Unity and Digital Twins but I have been paying attention to Unreal Engine. I think the open nature of Unity is probably more suited for the current Digital Twin market, but competition is so important for innovation. This project where Unreal Engine was used to create a digital clone of Adelaide is striking but the article just leaves me wanting for so much more.
A huge city environment results in a hefty 3D model. Having strategies in place to ease the load on your workstation is essential. “Twinmotion does not currently support dynamic loading of the level of detail, so in the case of Adelaide, we used high-resolution 3D model tiles over the CBD and merged them together,” says Marre. “We then merged a ring of low-resolution tiles around the CBD and used the lower level of detail tiles the further away we are from the CBD.”
Well, that’s how we did it at Cityzenith. Tiles are the only way to have the detail one needs in these 3D worlds and one that geospatial practitioners are very used to dealing with their slippy maps. The eye-candy that one sees in that Adelaide project is amazing. Of course, scaling one city out is hard enough but doing so across a country or the globe is another. Still, this is an amazing start.
Seeing Epic take Twinmotion and scale it out this way is very exciting because as you can see from that video above, it really does look photorealistic.
But this gets at the core of where Digital Twins have failed. It is so very easy to do the above, crate an amazing looking model of a city, and drape imagery across it. It is a very different beast to actually create a Digital Twin where these buildings are not only linked up to external IoT devices and services but they should import BIM models and generalize as needed. They do so some rudimentary analysis of shadows which is somewhat interesting, but this kind of stuff is so easy to do and there are so many tools to do it that all this effort to create a photorealistic city seems wasted.
I think users would trade photorealistic cities for detailed IoT services integration but I will watch Aerometrex continue to develop this out. Digital Twins are still stuck in sharing videos on Vimeo and YouTube, trying to create some amazing realistic city when all people want is visualization and analysis of IoT data. That said, Aerometrex has done an amazing job building this view.
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9:30
The Lizmap plugin as an access control plugin for QGIS Server
sur ReLucBlogSince the beginning of Lizmap-Web-Client all the server part was based on PHP code. With Lizmap Web Client 3.4, which will be released very soon, part of the functionality has been developed within the Lizmap plugin to add features to QGIS Server.
QGIS Server is an open source implementation of the WMS 1.3.0, 1.1.1 and 1.0.0, WFS 1.1.0 and 1.0.0 and WCS 1.0.0 standards defined by the Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server uses QGIS as a backend for GIS layer logic and map rendering. As QGIS desktop and QGIS Server use the same visualization libraries, the maps that are published on the web look the same as in desktop GIS.
To learn more about QGIS Server
Just like QGIS Desktop, QGIS Server is extensible using Python plugins. For example, it is possible to add a data access control system to QGIS Server Documentation.
The first QGIS Server feature we implemented in the Lizmap plugin is an access control system.
We have implemented 3 access controls:
- access to the project
- filter by user
- access to project layers
The first 2 controls were already present. In the Lizmap configuration, it is possible to restrict access to a project for a list of user groups. It is also possible to define filtering rules according to the user logged in or not.
The implementation in QGIS Server of the filter by user, thanks to the Lizmap plugin, allows to filter layers even if they are hidden in a layer group. In Lizmap Web Client version 3.3 and previous versions, filtering layers by user only works if the layer is displayed alone, because Lizmap Web Client adds filters to the requests sent to QGIS server. In Lizmap, it is possible to transform a group of QGIS layers into a single layer for the web client. This results in requests where the layer to be filtered does not appear. With the Lizmap plugin for Lizmap Web Client 3.4 all layers will be filtered correctly.
By making the Lizmap plugin, an access control plugin for QGIS Server, we were able to add the possibility to restrict access to the layers of a project for a list of user groups.
The ability to restrict access to the layers of a project for a list of user groups makes it possible to distribute a QGIS project, a Lizmap webmap, with a content that can vary depending on the user.
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8:30
Le plugin Lizmap comme plugin de contrôle d'accès pour QGIS Server
sur ReLucBlogDepuis le début de Lizmap-Web-Client toute la partie serveur reposait sur du code PHP. Avec Lizmap Web Client 3.4, qui sera publié très prochainement, une partie des fonctionnalités ont été développées au sein du plugin Lizmap pour ajouter des fonctionnalités à QGIS Server.
QGIS Server est une implémentation open source des normes WMS 1.3.0, 1.1.1 et 1.0.0, WFS 1.1.0 et 1.0.0 et WCS 1.0.0 défini par l'Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server utilise QGIS comme backend pour la logique des couches SIG et le rendu cartographique. Étant donné que QGIS Bureautique et QGIS Server utilisent les mêmes bibliothèques de visualisation, les cartes publiées sur le web ont le même aspect que sous le SIG Bureautique.
Pour en savoir plus sur QGIS Server
Tout comme QGIS Bureautique, QGIS Server est extensible à l'aide de plugins Python. Il est par exemple possible d'ajouter un système de contrôle d'accès aux données dans QGIS Server Documentation.
La première fonctionnalité QGIS Server que nous avons implémentée dans le plugin Lizmap est un système de contrôle d'accès.
Nous avons implémenté 3 contrôles d'accès :
- l'accès au projet
- le filtre par utilisateur
- l'accès aux couches du projet
Les 2 premiers contrôles étaient déjà présent. Dans la configuration Lizmap, il est possible de restreindre l'accès à un projet pour une liste de groupes d'utilisateur. Il est aussi possible de définir des règles de filtrage en fonction de l'utilisateur connecté ou non.
Le portage dans QGIS Server du filtre par utilisateur, grâce au plugin Lizmap, permet de filtrer des couches même si elles sont cachées dans un groupe de couche. Dans la version 3.3 de Lizmap Web Client et les précédentes, le filtrage par utilisateur des couches ne fonctionne que si la couche est affichée seule, car Lizmap Web Client ajoute des filtres aux requêtes envoyées à QGIS server. Dans Lizmap, il est possible de transformer un groupe de couche QGIS en une seule couche pour le client web. Il en découle des requêtes où n'apparaissent pas la couche à filtrer. Avec le plugin Lizmap pour Lizmap Web Client 3.4 toutes les couches seront filtrées correctement.
En faisant du plugin Lizmap, un plugin de contrôle d'accès pour QGIS Server, nous avons pu ajouter la possibilité de restreindre l'accès des couches d'un projet pour une liste de groupes d'utilisateur.
La possibilité de restreindre l'accès des couches d'un projet pour une liste de groupes d'utilisateurs permet de diffuser un projet QGIS, une carte Lizmap, avec un contenu qui peut varier en fonction de l'utilisateur.
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Geonetwork-ui
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Basées sur des designs simples et intuitifs, centrées sur les cas d'usages, découvrez les futures interfaces de GeoNetwork: Web Component, SEO, accessibilité, Storybook, UX.. geonetwork-ui tente sa révolution dans le monde de la métadonnée et des SDI.
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21:01
Moving Towards a Digital Twin Ecosystem
sur James Fee GIS BlogSmart Cities really start to become valuable when they integrate with Digital Twins. Smart Cities do really well with transportation networks and adjusting when things happen. Take, for example, construction on an important Interstate highway that connects the city core with the suburbs causes backups and a smart city can adjust traffic lights, rail, and other modes of transportation to help adjudicate the problems. This works really well because the transportation system talk to each other and decisions can be made to refocus commutes toward other modes of transportation or other routes. But unfortunately, Digital Twins don’t do a great job talking to Smart Cities.
Photo by Victor Garcia on UnsplashA few months ago I talked about Digital Twins and messaging. The idea that:
Digital twins require connectivity to work. A digital twin without messaging is just a hollow shell, it might as well be a PDF or a JPG. But connecting all the infrastructure of the real world up to a digital twin replicates the real world in a virtual environment. Networks collect data and store it in databases all over the place, sometimes these are SQL-based such as Postgres or Oracle, and other times they are simple as SQLite or flat-file text files. But data should be treated as messages back and forth between clients.
This was in the context of a Digital Twin talking to services that might not be hardware-based, but the idea stands up for how and why a Digital Twin should be messaging the Smart City at large. Whatever benefits a Digital Twin gains from an ecosystem that collects and analyzes data for decision-making those benefits become multiplied when those systems connect to other Digital Twins. But think outside a group of Digital Twins and the benefit of the Smart City when all these buildings are talking to each other and the city to make better decisions about energy use, transportation, and other shared infrastructure across the city or even the region (where multiple Smart Cities talk to each other).
When all these buildings talk to each other, they can help a city plan, grow and evolve into a clean city.What we don’t have is a common data environment (CDE) that cities can use. We have seen data sharing on a small scale in developments but not on a city-wide or regional scale. To do this we need to agree on model standards that allow not only Digital Twins to talk to each other (Something open like Bentley’s iTwin.js) and share ontologies. Then we need that Smart City CDE where data is shared, stored, and analyzed at a large scale.
One great outcome of this CDE is all this data can be combined with City ordinances to give tools like Delve from Sidewalk Labs even more data to create their generative design options. Buildings are not a bubble in a city and their impacts on the city extend out beyond the boundaries of the parcel they are built on. That’s what so exciting about this opportunity, manage assets in a Digital Twin on a micro-scale, but share generalized data about those decisions to the city at large which then can share them with other Digital Twins.
And lastly, individual Smart Cities aren’t bubbles either. They have huge impacts on the region or even the country that they are in. If we can figure out how to create a national CDE, one that covers a country as diverse as the United States, we can have something that can even benefit the world at large. Clean cities are the future and thinking about them on a small scale will only result in the gentrification of affluent areas and leave less well areas behind. I don’t want my children to grow up in a world like that and we have the processes in place to ensure that they have a better place than use to grow up in.
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12:02
Plugin Cadastre pour QGIS : version 1.10.0, support QGIS 3.16 et autres
sur ReLucBlogNous sommes fière de vous annoncer la publication d'une nouvelle version du plugin Cadastre pour QGIS, la version 1.10.0
Cette version est déjà disponible sur le dépôt des plugins officiels de QGIS [https:]] et donc dans votre QGIS.
Cette version intègre les améliorations suivantes :
- Compatibilité avec QGIS 3.16 tout en restant compatible 3.4
- Import - Optimisation de l'import Spatialite et de l'affichage du temps passé
- Ajout de l'extraction de détails sur les propriétaires (indivisions)
- Widget "Outils de Recherche" : Ajout du bouton Infos parcelle
- Dialogue "infos parcelle" : Ajout des actions imprimer / copier /sauvegarder des infos des onglets
- Révision barre d'outils (position actions) et réécriture code menu / barre d'outils
- Fix - bug connexion (relevé parcellaire, première instanciation)
Cette version ainsi que la précédente, la version 1.9.0, a été possible grâce au soutient de :
- Le Ministère de la Transition Écologie
- L'association ASA de France
- La Communauté d'Agglomération du Grand-Narbonne
- Les Agences d'Urbanisme de Bretagne et autres : AGAM, AUSB, ADUGA, AUDAT, AUD Clermont Métropole, AGAPE Lorraine Nord, Boulogne Développement
- Le Conseil Départemental de Meurthe et Moselle
Et elle intègre les contributions de :
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The OGC API Code Sprint
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Participating the making of future geospatial web service standards -
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The Swiss Alpine Club and SchweizMobil - two closely linked platforms
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
In partnership with the Swiss Alpine Club SAC, SchweizMobil now presents selected tours in alpine terrain under "Mountain sports".
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14:25
ETUDE DE CAS GEOCLIP : L’observatoire Géodes de Santé publique France pour suivre la pandémie de coronavirus Covid-19
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesSanté publique France est l’agence nationale de santé publique. Sa vocation : veiller, surveiller, prévenir, alerter et intervenir sur de multiples questions relatives à la santé publique en France. Informer le grand public fait partie de ses missions. Santé publique France s’appuie pour cela sur Géodes, son observatoire géostatistique fondé sur Géoclip. -
16:32
DEMONSTRATION GEOCLIP : Observatoire du déploiement de la fibre optique FTTH
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesDécouvrez l’observatoire du déploiement de la fibre optique : telecoms.geoclip.fr. Cette démonstration Géoclip a été créée par les équipes de Business Geografic en vue de proposer un observatoire géostatistique du déploiement de la fibre optique FTTH ("fiber to the home", fibre optique jusqu'à l'abonné) sur le territoire français.
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INTERGEO DIGITAL 2020: Camptocamp is part of it
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
The first completely virtual INTERGEO will take place from 13 to 15 October 2020. -
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GeoVignes, un module géographique pour les vignes et vendanges
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Camptocamp a réalisé GeoVignes, qui gère tous les aspects géographiques d'un projet. -
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Camptocamp Sponsor Argent du GeoDataDays 2020
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Camptocamp a le plaisir de vous annoncer que notre équipe sera présente en tant que sponsors au Geodatadays les 15 et 16 septembre. -
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Geonetwork Bolsena 2020
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Le code sprint Geonetwork Bolsena a bien eu lieu du 29 juin au 3 juillet dernier, bien sûr en remote ! Les équipes ont été réparties en plusieurs factions, en France, Hollande et Canada.