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Revue de presse du 29 juillet 2022
sur GeotribuDécouvrez notre sélection du mois de Juillet : PhilCarto, Bertin.js, de la carte aux terrains de foot, le Tour de France, les Rencontres Géomatiques de La Réunion qui se préparent... -
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Classification automatisée avec le plugin QGIS dzetsaka
sur GeotribuPrésentation de Dzetsaka, un plugin QGIS pour faire de la classification semi-automatisée.
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18:08
Actualité ressources : Jardins partagés et aménagements cyclables
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeAujourd'hui nous vous proposons une nouvelle ressource arcOpole sur la thématique des jardins partagés. Nous en profitons également pour vous informer de la mise à jour de la ressource aménagements cyclables.Jardins partagésConstruisez une application dédiée à vos citoyens afin de promouvoir les jardins partagés de votre collectivité.Cliquez ici pour visionner la vidéo directement depuis
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20:00
Réaliser une carte comme la couverture de l'album Unknow Pleasures de Joy Division
sur GeotribuComment faire des cartes à la mode de Joy Division avec les générateurs de géométrie de QGIS
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9:10
Actualité ressources : Base Adresse Locale (BAL)
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeNous vous proposons aujourd'hui une nouvelle ressource arcOpole sur la thématique Base Adresse Locale. Elle permet d'automatiser la saisie des adresses, l'export des données au format BAL et propose l'édition d'un certificat de numérotage en option.Rappelons que les ressources arcOpole sont gratuites et accessibles à toutes les collectivités territoriales utilisatrices des solutions ArcGIS. -
14:53
Témoignage : Roissy Pays de France
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeElisabeth HC administratrice SIG de la communauté d'agglomération Roissy Pays de France répond à nos questions.A l’agglomération Roissy Pays de France, le pôle SIG, sous la direction de l’Aménagement, intervient pour le compte de toutes les directions de la CARPF qui en font la demande. Ceci induit une grande pluralité de sujets et de métiers à traiter et entraîne ainsi autant de services -
10:12
Témoignage : Grand Auch Cœur de Gascogne
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeAujourd'hui nous vous proposons un nouveau témoignage, celui de la communauté d'agglomération Grand Auch Cœur de Gascogne. Pierre Pellefigue, responsable des usages numériques et chef de projet SIG s'est confié à l'équipe arcOpole. Deux années se sont écoulées depuis que Grand Auch Cœur de Gascogne a opté pour la solution ArcGIS afin de mettre en œuvre son SIG. Au sein du Bureau d’Etudes et
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18:41
Cartes et géomatique : les articles 2016 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des cartes est une publication trimestrielle du Comité français de cartographie. Les articles de la revue sont publiés sur le site du CFC un an après leur publication sur support papier. Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie.
n° 228, juin 2016 : “Cartographie et traités de paix (XVe-XXe siècle)” (actes du colloque des 19 et 20 novembre 2015, Archives diplomatiques, La Courneuve)Introduction (Isabelle Warmoes, Catherine Hofmann, Isabelle Nathan)
Entre la liste et le terrain, la carte dans les négociations de paix au XVe siècle (Dauphiné et Savoie, France et Bourgogne) (Léonard Dauphant)
Les cartes au service de la diplomatie (Jean-François Moufflet)
La rectification de la frontière du nord en 1779, sur le terrain, à La Flamengrie (Jean-Louis Renteux)
Une frontière pour les Pyrénées : l’épisode trop méconnu de la commission topographique franco-espagnole Caro-Ornano (1784-1792) (Jean-Yves Puyo, Jacobo García Álvarez)
La frontière franco-italienne sous le Consulat et l’Empire (Michel Lechevalier)
Le géographe Kiepert et les Balkans à Berlin (1878) (Goran Sekulovski)
Cartes topographiques et détermination des frontières en zones montagneuses (Nicolas Jacob)
La délimitation des frontières maritimes – Le rôle du cartographe, principes généraux, cas d’école (Eric van Lauwe, Didier Ortolland, Jean-Pierre Pirat)
Les limites de la carte, objet juridique (Françoise Janin)
L’expertise territoriale des vaincus austro-hongrois (Nicolas Ginsburger)
Le plébiscite de Klagenfurt du 10 octobre 1920 (Roseline Salmon)
Cartes et contre-cartes à la conférence de paix de Paris (1919-1920) : débats cartographiques au sein de la délégation britannique (Daniel Foliard)
De l’Empire ottoman au chaos moyen-oriental (Denis Bauchard)
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15:16
Témoignage : Grand Bourg agglomération
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeAujourd'hui nous vous proposons une immersion au sein de Grand Bourg Agglomération avec un SIG opérationnel. Son responsable SIG Emmanuel Staniul nous en dresse les grandes lignes.Comment est organisé le SIG de Grand Bourg Agglomération (74 communes – 135 000 habitants – 1 239 km²) ?De manière assez rationnelle avec les aspects collecte des données, analyse cartographique, l’exploitation et -
10:26
Séminaire web : votre territoire en mode immersif dans ArcGIS !
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeMardi 10 mai à 11h00 se déroulera le web séminaire Votre territoire en mode immersif dans ArcGIS?! Certaines collectivités utilisatrices d'ArcGIS profitent déjà de ces possibilités immersives et gagnent un temps de dingue ! Participez et sachez comment ça marche et pourquoi?elles l'ont fait.Durant les 45 minutes de la session, vous découvrirez comment accélérer vos projets tout en limitant les
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22:59
A GIS Degree
sur James Fee GIS BlogMy son decided to change majors from biodesign to GIS. I had a short moment when I almost told him not to bring all this on himself but then thought differently. I could use my years of experience to help him get the perfect degree in GIS and get a great job and still do what he wants.
He’s one semester into the program so he really hasn’t taken too many classes. There has been the typical Esri, SPSS and Google Maps discussion, but nothing getting into the weeds. Plus he’s taking Geography courses as well so he’s got that going for him. Since he’s at Arizona State University, he’s going through the same program as I did, but it’s a bit different. When I was at ASU, Planning was in the Architectural College. Now it’s tied with Geography in a new School of Geographical Sciences & Urban Planning.
I have to be honest, this is smart, I started my GIS career working for a planning department at a large city. The other thing I noticed is a ton of my professors are still teaching. I mean how awesome is that? I suddenly don’t feel so old anymore.
I’ve stayed out of his classes for the past semester in hopes that he can form his own thoughts on GIS and its applicability. I probably will continue to help him focus on where to spend his electives (more Computer Science and less History of the German Empire 1894-1910). He’s such a smart kid, I know he’s going to do a great job and he was one who spent time in that Esri UC Kids Fair back when I used to go to the User Conference. Now he could be getting paid to use Esri software or whatever tool best accomplishes his goals.
I plan to show him the Safe FME Minecraft Reader/Writer.
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22:59
A GIS Degree
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19:28
Appel à communications : « L’histoire de la cartographie et son écriture à l’épreuve du renouvellement » – Date butoir : 6 juin 2022
sur Cartes et figures du mondeJournée d’études
Le vendredi 25 novembre 2022, salle 100, Centre des colloques, Campus Condorcet, Aubervilliers
Organisateur : Comité Français de Cartographie (commission ‘histoire’)
Argumentaire :
Depuis les années 1980, l’histoire de la cartographie a vu ses concepts, ses objets, ses méthodes d’investigation et ses manières d’écrire se transformer profondément. Sous l’influence des analyses de John Brian Harley et de quelques autres (D. Wood, C. Jacob, M. Monmonier, J. Schulz, J. Black, M. Edney, entre autres), l’intérêt s’est porté vers la dimension symbolique des cartes, leurs modes de présence dans les cultures visuelles modernes, leur valeur politique et sociale (en particulier dans le cadre de l’affirmation des États-nations), leurs implications multiples dans les entreprises impériales et coloniales, etc., dans un effort général pour s’éloigner d’une approche strictement positiviste et « naturaliste » de la cartographie et de son histoire. Une nouvelle manière d’écrire l’histoire de la cartographie s’est progressivement installée, attentive aux contextes sociaux et culturels de la fabrication et de l’usage des cartes, aux jeux d’échelles (du général au particulier), et soucieuse d’envisager désormais la cartographie tout autant du côté des processus et des opérations (techniques, scientifiques, politiques, etc.) dont elle est le théâtre permanent, que du côté des objets, des productions et des acteurs plus ou moins prestigieux sur lesquels la recherche se focalisait naguère encore.
La journée d’étude organisée par la Commission « Histoire » du Comité Français de Cartographie propose de revenir sur les formes et les objets de l’écriture de l’histoire de la cartographie considérée dans un temps long. On insistera surtout sur la période contemporaine, en relation au renouvellement actuel des outils, notamment numériques.
Les contributions attendues peuvent répondre à l’une des trois directions suivantes :
– La première porte sur l’héritage des écrits de John Brian Harley, quarante ans après la publication de ses premiers travaux, et plus généralement sur l’ensemble des propositions qui ont marqué les approches « déconstructionnistes » dans l’histoire récente de la cartographie. Quel bilan peut-on en tirer, du point de vue des enseignements et des expériences en matière d’écriture historiographique ? A quelles négociations ces travaux ont-ils donné lieu pour concilier la tension entre la lecture internaliste et l’approche culturelle et sociale des objets cartographiques ? Comment ont-ils renouvelé l’étude de l’histoire de la cartographie et de ses acteurs ? Quelle place doit-on accorder aujourd’hui, à l’« analyse processuelle » (étude des processus cartographiques ) telle qu’elle est proposée par Matthew Edney par exemple ?
– La seconde direction proposée consiste à envisager la cartographie et son histoire en la confrontant de façon élargie aux apports récents des sciences sociales, de l’histoire des arts et de la littérature, de l’anthropologie visuelle et des médias, ainsi qu’aux perspectives ouvertes dans le champ spécifique des disciplines historiques par la micro-histoire, l’histoire globale, l’histoire matérielle, etc. En quoi l’écriture de l’histoire de la cartographie peut-elle être affectée par ces nouvelles manières d’envisager l’histoire des sociétés et de leurs cultures spatiales ? Comment, et jusqu’où, peut-elle répondre à ces sollicitations et se les approprier ? Qu’a-t-elle, symétriquement, à proposer, à apporter, notamment pour ce qui concerne le renouvellement des paradigmes spatiaux en cours au sein des sciences sociales et de l’histoire ?
– Mais l’histoire de la cartographie a une histoire, à la fois passée et très actuelle. Dans une troisième direction de réflexion, on aimerait alors envisager l’histoire de la cartographie, d’une part du point de vue des récits dont elle a été l’objet depuis au moins le XVIIIe siècle, et d’autre part du point de vue de l’impact, a priori considérable, provoqué par l’introduction des outils numériques, sur la reconfiguration de ces récits. Comment l’histoire de la cartographie a-t-elle été racontée, par les cartographes et par d’autres, du XVIIIe au XXe siècle, avec quelles motivations, quelles visées, scientifiques ou politiques ? Comment, aujourd’hui, à l’époque de la dématérialisation des objets cartographiques, et de leurs mises en relation avec les autres formes de l’économie iconographique, est-il possible de parler encore d’histoire de la cartographie stricto sensu ?
Modalités pratiques
• Les propositions de communication (environ 1500 signes), accompagnées d’une courte bio-bibliographie, sont à envoyer avant le 6 juin 2022 à l’adresse suivante : catherine.hofmann@bnf.fr.
• Le comité de sélection communiquera les résultats de l’appel à communications au plus tard le 30 juin 2022.
• Les communications retenues auront vocation à être publiées dans un numéro de la revue du Comité français de cartographie, Cartes & Géomatique, au courant de l’année 2023.
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10:47
Actualité ressources : Accessibilité du cheminement en voirie
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeAprès la publication du tutoriel Présenter son territoire il y a quelques jours, nous vous proposons aujourd'hui une nouvelle ressource arcOpole : Accessibilité du cheminement en voirie.arcOpole AccessibilitéDepuis 2019, la Loi d’orientation des mobilités (LOM) impose aux collectivités et aux autoritésorganisatrices de la mobilité de collecter et de mettre à disposition des usagers les données -
16:32
Mini carte #5 : présenter son territoire + nouvelle ressource à télécharger
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeAujourd'hui, parlons territoire et plus particulièrement présentation du territoire ! Quoi de mieux qu'une carte pour faire découvrir ses communes, ses EPCI ?Nous allons voir ensemble des exemples d'applications mises en œuvre par la communauté du Pays Mornantais, le département de l'Eure et la communauté d'agglomération de Bourges Plus. Nous terminerons cet article par la nouvelle ressource
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18:23
Cartes et géomatique : les articles 2017 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles de la revue sont mis en ligne sur le site du CFC un an après leur publication sur support papier. Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie.
n° 234, décembre 2017 : “A l’échelle du monde – La carte : objet culturel, social et politique, du Moyen Age à nos jours” (actes du colloque d’Albi les 17 et 18 octobre 2016)Bulletin 234 – Introduction (Thibault Courcelle, Emmanuelle Vagnon, Sandrine Victor)
La mappemonde d’Albi – Un pinax chôrographikos (Anca Dan)
La carte comme substitut au voyage (Nathalie Bouloux)
Représenter et décrire l’espace maritime dans le califat fatimide (David Bramoullé)
Quand le cartographe parle de sa carte (Jean-Charles Ducène)
Une cartographie des Lumières (Gilles Palsky)
Penser à l’échelle du monde pour maîtriser le temps en France et en Grande-Bretagne, 1870-1914 (Isabelle Avila)
Un autre monde ? (Clarisse Didelon-Loiseau, Christian Vandermotten, Christian Dessouroux)
Regards croisés sur la création des cartes à l’échelle du monde aujourd’hui (Thibault Courcelle, Emmanuelle Vagnon, Sandrine Victor)
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11:17
Séminaire web : les unités d'organisation dans le suivi des connexions
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeJeudi de 11h00 à 12h00 se déroulera le troisième web séminaire arcOpole de l'année. Nous vous présenterons la fonctionnalité de suivi des connexions d'arcOpole Builder et en profiterons pour zoomer sur la nouvelle interface d'administration des unités d'organisation. Durant cette présentation nous serons accompagnés de Frédéric Carvalhais de Perpignan Méditerranée Métropole qui partagera son -
13:41
Témoignage : Grand Chambéry
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeMarc Favreau du service Communication et Marion Granier du service Géomatique et Opendata de Grand Chambéry l'agglomération répondent à nos questions.Nous devons faire connaître notre agglomération et ses actions aux élus, partenaires et concitoyens. Nous avons le devoir de porter un territoire qui s’affirme et présente ses missions, actions et compétences, dans une démarche de transparence. -
9:54
Séminaire web : Filtrage dynamique dans arcOpole Builder
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeJeudi à 11h00 se déroulera le deuxième web séminaire arcOpole de l'année. Nous vous présenterons les fonctionnalités de filtrage dynamique d'arcOpole Builder en général et profiterons de l'occasion pour zoomer sur la nouvelle option de filtrage à l'utilisateur apparue avec la version 1.5 du logiciel. Pour vous inscrire, cliquez ici.Filtrage SQL, par groupe ou par utilisateur, rejoignez-nous ce
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8:00
Exposition “Inventer l’Indochine. Cartographier l’ailleurs (1873-1936)”
sur Cartes et figures du mondeExposition à la bibliothèque de l’Institut de Géographie Du 7 mars au 23 juillet 2022De la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, la découverte, la conquête puis l’organisation des terres extrême-orientales colonisées par la France donne lieu à une production de cartes où s’entremêlent science et subjectivité, pouvoir et échanges culturels.
Le fonds qu’en conserve la bibliothèque de l’Institut de Géographie de Paris permet d’appréhender comment les savoir-faire cartographiques ont été progressivement élaborés et adaptés pour rendre compte de terres jusqu’alors largement inconnues des Européens. À travers cette évolution se dessine celle de la géographie et du regard occidental porté sur l’étranger.
Le 10 mars, à partir de 18h00, une visite commentée par Marie de Rugy, spécialiste de l’histoire de la cartographie, marquera le début de cette exposition et sera suivie d’un échange entre historiens, géographes et cartographes.
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16:23
Cartes et géomatique : les articles 2018 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles de la revue sont mis en ligne un an après leur publication sur support papier.
Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie
n° 235-236, mars 2018L’œil et la toise : l’objectivité cartographique du XVIIIe à nos jours (Henri Desbois)
Ambivalence de la carte entre visible et invisible (Jean-Paul Bord et Nancy Meschinet de Richemond)
Le triple jeu d’un officier-cartographe dans la Régence de Tunis au XIXe siècle (Houda Baïr)
n° 237, septembre 2018L’image de l’espace tunisien dans la cartographie occidentale moderne du XVIe au XVIIIe siècle (Saada Afef)
La fin d’un rêve : dislocation de l’Empire et restitution des cartes réunies pour sa constitution (Monique Pelletier)
Le langage de la cartographie statistique, 1820-2015 : continuité ou ruptures ? (Gilles Palsky)
n° 238, décembre 2018 : “Faire la carte et restituer le paysage” (actes de la journée d’étude du 27 novembre 2017 au Service historique de la Défense, Vincennes)Bulletin 238 – Introduction (Nicolas Jacob et Claude Ponnou)
Courte histoire d’un échec : le mariage de l’armée et du cadastre dans le premier quart du XIXe siècle (Nicolas Verdier)
Pierre-Antoine Clerc et la brigade topographique du dépôt des fortifications : premières réalisations des courbes de niveau (Luisa Rossi)
La carte de Barcelone avec des courbes de niveau (1823-1827) : un tournant vers la cartographie de précision (Francesc Nadal i Piqué et Carme Montaner i Garcia)
La carte topographique en courbes de niveau : une difficile genèse au XIXe siècle (Nicolas Jacob)
Lever-nivelé de la place de Barcelone, 1823-1827 : comment obtenir un modèle 3 (Blanca Baella, Dolors Barrot et Maria Pla)
Apports des SIG pour la restitution de quelques éléments du paysage à Paris (Léa Hermenault)
La ” Carte générale du théâtre de la guerre en Italie et dans les Alpes…” de Bacler d’Albe (1798) et sa numérisation (Nicolas Dion et Nadine Gastaldi)
La ” Carte très particulière du Haynault ” de Naudain (ca 1709 – 1728) (Jean-Louis Renteux)
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15:55
L’atlas nautique ou portulan du Havre
sur Cartes et figures du monde[Article initialement publié le 22 octobre 2021 sur le site https://nutrisco-patrimoine.lehavre.fr/]
Ces cartes manuscrites sur parchemin sillonnées de lignes noires, rouges et vertes jaillissant de roses des vents, sont immédiatement reconnaissables. Ce sont des cartes portulans, mot dérivé de l’italien portolano qui désigne un livre d’instructions nautiques.
Portugal, Côtes d’Afrique, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 5Essentiellement produites entre le XIIIe et le XVIIIe siècle, peu d’entre elles sont parvenues jusqu’à nous. La plupart du temps, elles représentent la Méditerranée. Mais l’atlas nautique du XVIe siècle conservé au Havre consacre au contraire 5 cartes sur 13 au continent américain. Il est à ce titre exceptionnel.
Qu’est-ce qu’un atlas portulan ?Les cartes ou atlas portulan ont à l’origine vocation à être des adjuvants de la navigation. Ils indiquent les ports les plus importants en rouge, les autres en brun, ainsi que les dangers de la navigation, comme les écueils. Le pilote du navire pouvait s’aider des lignes de rhumbs qui indiquent des directions pour tracer son cap. Ce type de carte est principalement utile au cabotage.
Toutefois, les portulans aujourd’hui conservés dans les bibliothèques et les musées sont presque tous des objets d’apparat, destinés à exhiber la puissance de leur propriétaire ou à signifier l’étendue d’un empire, comme s’il existait une équivalence entre dessiner et s’approprier le monde. Souvent somptueux, ils sont souvent tracés sur les peaux les plus blanches et ornementés par des peintres habiles. Soigneusement conservés, ils n’ont jamais connu le roulis et l’humidité tenace d’un navire.
Feuilleter l’atlas portulan du HavreSous quelle forme et dans quel ordre étaient originellement organisés les 13 doubles-pages de l’atlas du Havre ? Il est impossible de le savoir, comme d’être certain qu’il soit complet. Aujourd’hui, il se présente aux regards dans une reliure en maroquin bordeaux, ornée de filets et de fleurons à chaud, autrement dit dorés. Cette reliure soignée date du XIXe siècle et a probablement été réalisée à la demande d’un bibliophile.
Reliure en maroquin bordeaux à la du Seuil, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 2C’est un objet maniable, d’une trentaine de centimètre de hauteur. Toutes les pages ne sont pas inscrites. Chaque double-page de carte est suivie d’une double-page vierge, plus foncée, moins uniforme. Le parchemin étant de médiocre qualité, seul le côté chair de la peau, plus blanc et uni, est inscrit.
Les cartes sont nombreuses pour un atlas portulan et le contenu des cartes, inhabituels. Il s’ouvre sur une représentation du Portugal et de Terre-Neuve et se referme sur l’Amérique du sud, le Brésil jusqu’à l’embouchure de la Plata : loin d’être uniquement méditerranéen, c’est un atlas qui pourrait être qualifié “atlantique” tant il se concentre sur les côtes qui longent à l’est comme à l’ouest cet océan.
S’il est intéressant par son contenu, il ne s’agit pas d’un atlas luxueux, bien au contraire. La qualité du parchemin est médiocre, les inscriptions maladroites et parfois recouverte par le tracé d’un parallèle, les illustrations, comparées à d’autres cartes marines contemporaines, semblent moins habiles et la représentation des animaux est répétitive, comportant uniquement des chameaux, des éléphants et une gazelle. On trouve même une inscription désignant le prêtre Jean des Indes, qui dépasse du cadre qui lui est, montrant que les noms des souverains ainsi que ceux des continents ont été rajouté après les illustrations.
Le prêtre Jean des Indes, détail de la carte de l’Afrique méridionale et de Madagascar, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 8L’atlas est dédié en majeure partie à l’Amérique ainsi qu’à l’Afrique, les deux grandes découvertes ibériques des XVe et XVIe siècles. Les toponymes sont espagnols, portugais, italiens et catalans. Toutes les cartes sont à la même échelle, et chacune est délimitée par un encadrement brun, avec des légendes pour chaque port ou cap, tracées à l’encre brune ou rouge pour les plus significatives, disposées le long des tracés des côtes, les noms de pays quant à eux figurent dans des encadrements peints.
32 lignes de rumbs sortent des roses de compas, matérialisant les principales directions par leur tracé en vert, rouge ou brun ; des échelles de latitude sont présentes sur chaque carte. Un utilisateur du portulan a laissé en chiffres arabes quelques notes sur la première carte et une autre main a tracé plusieurs notes en grec sur celle représentant la Mer Egée. Éléments de décor plus pittoresques, on trouve aussi des animaux terrestres et des représentations de souverains régnants, mais aucun bateau ou animal marin.
Bien que moins soigné que d’autres atlas nautiques, rien n’indique qu’il ait été utilisé en mer et il est plus probable qu’il ait servi d’objet relativement ostentatoire manifestant l’expansion ibérique.
Une datation et attribution incertainesQui a produit cet atlas portulan et quand a-t-il été tracé ? Bien que conservé au Havre, cet atlas nautique ne possède aucune caractéristique de la cartographie normande. Au contraire, sa toponymie espagnole, portugaise, italienne et catalane, comme l’ornementation ou les couleurs employées sont typiques de l’Europe du sud. Cependant, une attribution plus précise est délicate. De 1889 à 1910, il a été successivement attribué à un cartographe espagnol, à un pilote catalan ou encore à Salvatore de Pilestrina, cartographe à Majorque. Côté datation, un consensus qui reste admis jusqu’en 1950 : l’atlas portulan du Havre daterait du 2e quart du XVIe siècle et serait d’origine catalane ou majorquine.
En 1951, une note rédigée par Myriem Foncin, conservatrice et directrice du département des cartes et plans de la Bibliothèque nationale de France, indique que l’historien de la cartographie Marcel Destombes date l’atlas plus tardivement, de 1580.
Aujourd’hui, la numérisation de nombreux atlas portulan à travers le monde permet d’établir des comparaisons hier impossibles, offrant la possibilité de porter un nouveau regard sur ces documents. Selon une étude réalisée en 2018, la décoration de cet atlas est dans le style de Jaume Olives, et dans une moindre mesure, dans celui de Bartomeo Olives. Il pourrait avoir été dessiné ou copié sur les œuvres de ces cartographes.
Toujours d’après cet article, son iconographie est de fait héritière d’une longue tradition méditerranéenne typique de la carte de Salvatore de Pilestrina (1511) et même, au-delà, de la carte marine de Mecia de Viladestes de 1413 ou de l’atlas catalan de 1375. Néanmoins, l’iconographie de l’atlas portulan du Havre est plus particulièrement proche de celui des cartes des frères Jaume et Bartolomeu Olives par son vocabulaire esthétique comme dans les coloris employés. On retrouve les formes trapézoïdales aux extrémités des encadrements des noms de princes, les montagnes en forme de bonnet phrygien, le même éléphant, le même chameau, et surtout exactement la même gazelle, plus rare dans les autres cartes.
Iles dites « fantômes » de l’Atlantique nord : Frixland, Mayda, ou Brasil, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, f. 1 Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 1Le contenu géographique est d’influence diverses : les cartes de l’Amérique du Sud, l’Amérique centrale et l’Afrique profitent de la cartographie d’État portugaise et espagnole, tandis que les îles de l’Atlantique forgées par hypothèse que sont Frixland, Mayda, ou Brasil, sont typiques de la cartographie d’atelier, dite catalane et majorquine, et ne se retrouve jamais dans la cartographie d’État portugaise et espagnole.
L’atlas portulan ne saurait être antérieur à 1535, car les traces de l’influence de la carte de Gaspar Viegas (1535) dans les cartes d’Amérique sont trop importantes. En revanche, il ne peut pas être postérieur à 1547, car il représente la péninsule du Yucatan au Mexique comme une île. Or, aucune carte datée connue à ce jour ne représente le Yucatan comme insulaire après cette date. L’atlas du Havre aurait donc été produit entre 1535 et 1547 et réalisé ou copié sur un travail de Jaume Olives.
Le Yucatan représenté comme une île dans le golfe du Mexique, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 11 Un contenu politique singulierAlors qu’il est plutôt d’allure modeste et que son ornementation au premier abord paraît stéréotypée, le contenu de l’atlas du Havre possède des caractéristiques inhabituelles.
Les cartes portulans se distinguent en général par la stabilité de leur contenu, jusqu’à l’anachronisme. Le prêtre Jean des Indes y figure toujours, alors même que s’il a eu une origine historique, c’est au début du XIVe siècle qu’il aurait régné. Certains souverains d’Europe ne sont pour ainsi dire jamais représentés, comme le roi d’Angleterre, contrairement au roi d’Espagne ou au Grand Turc.
Le duc de Savoie, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 4La représentation du duc de Savoie sur la carte dès lors interpelle, d’autant que dans le second quart du XVIe siècle, il n’est pas à la tête d’un royaume puissant. En revanche à cette période, la rivalité entre le royaume de François Ier et l’empire de Charles Quint est à son comble. En s’alliant avec le duc de Savoie, Charles Quint barre la route aux ambitions du roi de France. Ce serait donc en tant qu’important allié qu’il apparaitrait sur la carte. Cette hypothèse encourage à relire le contenu politique de l’atlas, sans a priori sur son éventuel anachronisme. Les drapeaux castillans semés sur le continent américain qui signalent les conquêtes Hernàn Cortez et sans doute la fondation de la Nouvelle Castille (1519-1537) confirment l’importance de la dimension géopolitique de l’atlas : il représente l’emprise ibérique sur le monde.
Cette conclusion invite à réinterroger l’apparent anachronisme de la représentation des princes sur la carte.
Une provenance encore incertaineIl n’était pas évident que cet atlas nautique méditerranéen, à la gloire de l’empire de Charles Quint et des conquêtes ibériques soit conservé en Normandie, à la bibliothèque municipale du Havre. Ses anciens propriétaires comme les modalités de son entrée dans les fonds sont inconnus. On suppose qu’il serait entré dans les collections au XIXe siècle après avoir appartenu à un collectionneur privé. Il n’est signalé au catalogue qu’en 1888, mais son existence est attestée dès 1860 dans le Guide du voyageur de Joseph Morlent, conservateur de la bibliothèque de 1851 à 1861. En revanche, il ne l’évoque pas dans son précédent guide de 1854, ce qui semble indiquer que le document est entré dans les collections entre 1854 et 1860.
Consulter le document en ligne.
Pour en savoir plus :Lucile Haguet, L’Atlas nautique du Havre, une archéologie documentaire, Centre havrais de recherches historiques, n°HS 1, 2018, p. 53-90.
Ernest Grandidier, Histoire physique, naturelle et politique de Madagascar, Paris, 1885, t. I., p. 40, 228.
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17:11
Actualité ressources : Aménagements cyclables, PPR et Représentations parcellaires
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeNous vous proposons aujourd'hui une nouvelle ressource (arcOpole aménagements cyclables) ainsi que la mise à jour d'arcOpole Plan de Prévention des Risques (PPR) et d'arcOpole Représentations Parcellaires.arcOpole aménagements cyclables La Loi d'Orientation des Mobilités (LOM) impose aux Autorités Organisatrices de la Mobilité (AOM) de mettre à disposition leurs données liées aux aménagements
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17:05
Cartes et géomatique: les articles 2019 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles sont mis en ligne une année après leur publication sur support papier.
Ne sont recensés ici que les articles relatifs à l’histoire de la cartographie
n° 239-240, mars 2019Archives Nationales (Nadine Gastaldi)
n° 241-242, juin 2019Des emprises cartographiques. Restitution de données géohistoriques à partir de la Carte de France de Cassini, 1750 – 1789 (Bertrand Duménieu, Julien Chadeyron, Pascal Cristofolia, Julien Perreta, Laurence Jolivet, Stéphane Baciocchia)
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11:35
Une mine de connaissance
sur Parcell'airATTENTION : en ce début décembre 2023, ces ressources ne sont plus accessibles.
De nombreuses ressources ont été mises en ligne au cours de l’année 2021 concernant le cadastre et les données foncières par le GIRTEC
Le Groupement d’Intérêt public pour la Reconstitution des titres de propriétés En Corse a été créé par la loi du 23 juin 2006 portant réforme des successions, avec l’objectif d’aider à la résorption du “désordre foncier en Corse“. C’est une situation particulière qui découle d’un régime fiscal dérogatoire qui a laissé beaucoup de successions non abouties, avec des biens apparaissant dans la matrice cadastrale au nom de personnes souvent décédées depuis de nombreuses années.
Le GIRTEC travaille tout particulièrement avec les notaires pour aider à la reconstitution des titres de propriété. Depuis 2017 il a également une mission de service public plus globale visant à rassembler les éléments nécessaires à l’identification des propriétaires des biens fonciers et immobiliers.
Présentation du GIRTEC : [https:]
C’est donc pour aider à la reconstitution des titres de propriété en Corse que le GIRTEC a créé un Système d’information sur les données foncières de la Corse. Il met maintenant à disposition une documentation et des outils très utiles à l’analyse urbaine et foncière.
Sans volonté d’exhaustivité, on y trouve :
- Des pages plutôt orientées juridique concernant le système foncier, ses acteurs, la chaîne de propriété, …
- Le système foncier : Le système foncier – Base de Connaissances du GIRTEC – Confluence (atlassian.net)
- Le biens à l’abandon : Les biens à l’abandon – Base de Connaissances du GIRTEC – Confluence (atlassian.net)
- Des pages plus techniques concernant :
- Le modèle conceptuel des données cadastrale majic
- La caractérisation du bâti correspondant à une description fine des notions de bâtiment, local, copro, …
- Des ressources SQL avec des exemples de requêtes permettant de calculer la tache urbaine ou d’intégrer les documents de filiation informatisé qui permet de construire l’historique des parcelles.
- Et un renvoi vers le dépôt où l’on trouve l’intégrateur édigeo dans une base postgis
Ces pages ouvertes à tout un chacun mais plutôt orientées collectivités et adeptes tech et géomatique ont été construites et sont hébergées par la plateforme collaborative dénommée “confluence” développée par atlassian.
Pour conclure je reprends les mots de Christophe Vergon “Vous trouverez ici les premières ressources que nous partageons […]. Ce site est en cours de construction … soyez indulgents
Merci Christophe et Tumasgiu (pour ceux que l’on connait bien au GeoRezo)
- Des pages plutôt orientées juridique concernant le système foncier, ses acteurs, la chaîne de propriété, …
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16:50
Gérer l’incertitude, défi n°1 du Field Service Management en temps de covid
sur Blog GEOCONCEPT FRLa situation sanitaire porte à leur paroxysme les problématiques d’organisation des opérations de terrain. Dans un contexte durablement incertain, la capacité à hiérarchiser et concilier les contraintes – de personnel, de délai, de contrats de niveau de service, etc. – est plus que jamais vitale pour protéger l’activité.
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8:32
Géoclip et son module connecteurs
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesGéoclip propose à ses clients utilisateurs d’automatiser et de programmer la mise à jour des données issues de leur(s) observatoire(s) géostatistique(s) à partir de fichiers .csv ou .txt. -
8:26
Le module de réplication Géoclip
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesLe module de réplication Géoclip permet d’effectuer toutes sortes de mises à jour sur un observatoire Géoclip en préproduction, de les tester et de les valider avant de les déployer en production. -
8:21
Géoclip et le protocole TJS : partager des données statistiques géo-référencées
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesGéoclip favorise la connaissance partagée des territoires de par l'interopérabilité avec le standard d'échange de données TJS (Table Joining Service) de l’Open Geospatial Consortium (OGC). -
8:17
APIs Géoclip
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesYannick LAFONT, Product Owner Géoclip (Ciril GROUP) vous propose de (re)découvrir comment intégrer, piloter et exploiter les nombreuses fonctionnalités de Géoclip au travers d’une API web.
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15:43
Séminaire web : Les évolutions cadastre dans arcOpole Builder 1.5
sur arcOpole - Actualités du ProgrammeJeudi, de 11h00 à 11h45 se déroulera le premier web séminaire arcOpole de l'année ! Le sujet abordé sera celui des nouveautés cadastre de la version 1.5 d'arcOpole Builder.Comme vous le savez, la version 1.5 d'arcOpole Builder a été publiée il y a quelques jours et parmi les nouveautés offertes, un bon nombre concerne la cadastre. Notamment avec un nouveau widget de consultation ainsi qu'une
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9:58
Ce que l’UX Design apporte à vos logiciels métiers
sur Blog GEOCONCEPT FREn mettant l’utilisateur final au cœur de la conception, l’UX Design maximise l’adoption, l’usage et l’efficacité des logiciels professionnels. On vous explique en quoi cela consiste et comment nous nous y prenons concrètement pour que l’expérience offerte par nos solutions renforce la productivité et la satisfaction de ceux qui les utilisent au quotidien.
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Utilisation de WebGL pour le rendu de cartes dans OpenLayers, partie 1
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Plus que jamais, les cartes interactives doivent être vectorielles. Pour cette raison, nous travaillons inlassablement à améliorer OpenLayers dans un but unique : dessiner des formes géométriques toujours plus rapidement. -
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Utilisation de WebGL pour le rendu de cartes dans OpenLayers, partie 1
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Plus que jamais, les cartes interactives doivent être vectorielles. Pour cette raison, nous travaillons inlassablement à améliorer OpenLayers dans un but unique : dessiner des formes géométriques toujours plus rapidement.
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10:49
Livraison en 10 minutes : le quick commerce va-t-il réussir à s’imposer ?
sur Blog GEOCONCEPT FR -
9:15
Les données : clé du succès de vos projets de Field Service Management
sur Blog GEOCONCEPT FR
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Implémentation du Chinese Postman Problem au sein du moteur de routage Valhalla
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Nous implémentons un algorithme pour résoudre le Chinese Postman Problem au sein du moteur de routage Valhalla. C'est un projet avec Armasuisse pour calculer une route de patrouille. -
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Implémentation du Chinese Postman Problem au sein du moteur de routage Valhalla
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Nous implémentons un algorithme pour résoudre le Chinese Postman Problem au sein du moteur de routage Valhalla. C'est un projet avec Armasuisse pour calculer une route de patrouille.
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8:15
Gare à l’ultra-personnalisation et aux applications « presse bouton » !
sur Blog GEOCONCEPT FRTout le monde rêve de solutions métiers déployables du jour au lendemain et aussitôt adoptées par les utilisateurs parce qu’elles répondent parfaitement à leurs besoins. La réalité est souvent très différente : les demandes de personnalisation et les besoins d’intégration retardent les projets et vont parfois à l’encontre des bénéfices attendus. Une fatalité ?
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Journée romande de la géoinformation 2021
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Camptocamp sera présent pour présenter ses projets innovants au cours de la journée romande de la géoinformation le 23 novembre. Venez découvrir nos projets -
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Journée romande de la géoinformation 2021
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Camptocamp sera présent pour présenter ses projets innovants au cours de la journée romande de la géoinformation le 23 novembre. Venez découvrir nos projets
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19:15
GIS and Monitors
sur James Fee GIS BlogIf there is one constant in my GIS career, it is my interest in the monitor I’m using. Since the days of being happy for a “flat screen” Trinitron monitor to now with curved flat screens, so much has changed. My first GIS Analyst position probably had the worst monitor in the history of monitors. I can’t recall the name but it had a refresh rate that was probably comparable what was seen in the 1960s. It didn’t have great color balance either, so I ended up printing out a color swatch pattern from ArcInfo and taped it on my wall so I could know what color was what.
I stared for years at this monitor. No wonder I need reading glasses now!Eventually I moved up in the world where I no longer got hand-me-down hardware and I started to get my first new equipment. The company I worked for at the time shifted between Dell and HP for hardware, but generally it was dual 21″ Trinitron CRTs. For those who are too young to remember, they were the size of a small car and put off enough heat and radiation to probably shorten my life by 10 year. Yet, I could finally count on them being color corrected by hardware/software and not feel like I was color blind.
It wasn’t sexy but it had a cool look to it. You could drop it flat to write on it like a table.Over 11 years ago, I was given a Wacom DTU-2231 to test. You can read more about it on that link but it was quite the monitor. I guess the biggest change between now and then is how little that technology took off. I guess if you asked me right after you read that post in 2010 what we’d be using in 2020, I would have said such technology would be everywhere. Yet we don’t see stylus based monitor much at all.
These days my primary monitor is a LG UltraFine 24″ 4k. I pair it with another 24″ 4K monitor that I’ve had for years. Off to the other side is a generic Dell 24″ monitor my company provided. I find this setup works well for me, gone are the days where I had ArcCatalog and ArcMap open in two different monitors. Alas two of the monitors are devoted to Outlook and WebEx Teams, just a sign of my current work load.
I’ve always felt that GIS people care more about monitors than most. A developer might be more interested in a Spotify plugin for their IDE, but a GIS Analyst care most about the biggest, brightest and crispest monitor they can get their hands on. I don’t always use FME Workbench these days, but when I do, it is full screen on the most beautiful monitor I can have. Seems perfect to me.
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GIS and Monitors
sur James Fee GIS BlogIf there is one constant in my GIS career, it is my interest in the monitor I’m using. Since the days of being happy for a “flat screen” Trinitron monitor to now with curved flat screens, so much has changed. My first GIS Analyst position probably had the worst monitor in the history of monitors. I can’t recall the name but it had a refresh rate that was probably comparable what was seen in the 1960s. It didn’t have great color balance either, so I ended up printing out a color swatch pattern from ArcInfo and taped it on my wall so I could know what color was what.
I stared for years at this monitor. No wonder I need reading glasses now!Eventually I moved up in the world where I no longer got hand-me-down hardware and I started to get my first new equipment. The company I worked for at the time shifted between Dell and HP for hardware, but generally it was dual 21″ Trinitron CRTs. For those who are too young to remember, they were the size of a small car and put off enough heat and radiation to probably shorten my life by 10 year. Yet, I could finally count on them being color corrected by hardware/software and not feel like I was color blind.
It wasn’t sexy but it had a cool look to it. You could drop it flat to write on it like a table.Over 11 years ago, I was given a Wacom DTU-2231 to test. You can read more about it on that link but it was quite the monitor. I guess the biggest change between now and then is how little that technology took off. I guess if you asked me right after you read that post in 2010 what we’d be using in 2020, I would have said such technology would be everywhere. Yet we don’t see stylus based monitor much at all.
These days my primary monitor is a LG UltraFine 24″ 4k. I pair it with another 24″ 4K monitor that I’ve had for years. Off to the other side is a generic Dell 24″ monitor my company provided. I find this setup works well for me, gone are the days where I had ArcCatalog and ArcMap open in two different monitors. Alas two of the monitors are devoted to Outlook and WebEx Teams, just a sign of my current work load.
I’ve always felt that GIS people care more about monitors than most. A developer might be more interested in a Spotify plugin for their IDE, but a GIS Analyst care most about the biggest, brightest and crispest monitor they can get their hands on. I don’t always use FME Workbench these days, but when I do, it is full screen on the most beautiful monitor I can have. Seems perfect to me.
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10:16
Modélisation de la distribution des espèces next-level
sur Le blog de GeomatysPièce jointe: [télécharger]
Les modèles de répartition des espèces (MDS) sont des modèles statistiques et mécanistes utilisés pour définir la répartition géospatiale des espèces en fonction de la combinaison de variables écologiques (telles que l’environnement biotique et abiotique) offrant des conditions et des possibilités favorisant leur présence.
En projetant les MDS sur des environnements futurs, les scientifiques peuvent déterminer où et quand ces conditions seront réunies pour fournir une prédiction de la répartition future des espèces. Ces prédictions sont souvent prévues des mois, des années ou des décennies à l’avance, et sont statiques en ce qui concerne à la fois l’algorithme et les occurrences prédites.
Cependant, les facteurs qui affectent les espèces et leurs déplacements ne sont pas statiques. Imaginez que vous puissiez appliquer ces modèles à un monde en évolution en temps réel ! C’est précisément l’aide que nous apportons aux scientifiques en utilisant la technologie de traitement géospatial et de science des données à la volée EXAMIND de Geomatys.
Lorsque les conditions environnementales changent, ou sont affectées par des perturbations telles qu’un ouragan ou des projets de développement qui perturbent les habitats actuels, des MDS à échelle fine peuvent être appliqués pour prédire comment les animaux se disperseront. En collaboration avec nos partenaires de la recherche et de l’industrie, nous travaillons à l’application de cette technologie en développement pour, par exemple, gérer les populations animales. Cette capacité deviendra essentielle dans presque tous les domaines, y compris la gestion de la biodiversité, car le changement climatique déstabilise les écosystèmes et les habitudes, et ainsi il perturbe les connaissances sur lesquelles nous nous appuyons actuellement pour prendre des décisions.
Un projet dans lequel la technologie de Geomatys facilite ce travail est celui fait pour l’association française pour la gestion et la conservation du cheval de Przewalski, une espèce menacée (TAKH). L’association a présenté son portail Web alimenté par EXAMIND pour visualiser et analyser les populations de chevaux de Przewalski, appelé Shamane, lors du Congrès mondial de la nature de l’UICN de cette année, le 8 septembre 2021 à Marseille.
Explorer le platform Shamane ( [https:]] )
Bien que l’objectif soit de former des algorithmes d’apprentissage automatique qui puissent aider à prédire le comportement des chevaux en réponse à des facteurs environnementaux variant dans le temps, un travail préliminaire que nous ayons effectué pour faciliter ce projet a été de construire la base de données, en rassemblant des sources de données vastes et disparates, en assurant l’interopérabilité et en les rendant accessibles à l’utilisateur dans un seul environnement.
Grâce aux nouvelles fonctionnalités disponible sur son socle EXAMIND en réponse aux besoins des chercheurs TAKH, les utilisateurs peuvent suivre des animaux individuels à travers le temps, basculer leur histoire et leur pedigree, explorer leurs habitats en 4D, interroger des ensembles de données connexes et lancer des analyses, le tout dans l’environnement de l’infrastructure de données spatiales de Shamane. L’outil permet donc non seulement d’analyser les données, mais aussi de fournir des renseignements permettant de prendre des décisions en temps réel en matière de surveillance et de gestion des populations.
Vidéo teaser crée pour le TAKH par Les Fées Spéciales
La vidéo teaser du projet Shamane ci-dessus illustre comment l’utilisateur peut suivre le mouvement de chevaux individuels génétiquement distincts (représentés par des couleurs différentes, souvent regroupés en troupeaux) dans une vue 3D du paysage. À l’aide du curseur situé en bas de la page, il peut suivre les changements de position des animaux ainsi que l’évolution de l’habitat dans le temps. Cela permet aux chercheurs de déterminer, par exemple, quels types de barrières d’habitat peuvent influencer les déplacements.
Dans un prochain temps, ils vont pouvoir également superposer d’autres données, telles que des données météorologiques à cette vue et effectuer des analyses dans la barre latérale de gauche à l’aide d’un notebook de datascience. A priori, ces analyses visent à identifier les facteurs écologiques qui déterminent les comportements de déplacement des animaux afin de soutenir les stratégies de gestion des populations et d’autres efforts de conservation.
Le futur de l’environnement interactif de visualisation de données 4D de Shamane, alimenté par EXAMIND.Bien que l’outil soit disponible via un portail web, l’accès est limité aux utilisateurs autorisés, sécurisé avec la même technologie que celle utilisée par Geomatys dans le domaine de la défense. Ceci est important pour traiter des données sensibles, telles que la localisation précise d’espèces menacées. Cet outil fournit donc une plateforme performante et sécurisée pour gérer la conservation de ces populations fragiles.
The post Modélisation de la distribution des espèces next-level first appeared on Geomatys.
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12:02
Visualisation des conditions météo à la volée en réalité augmenté
sur Le blog de GeomatysDepuis quelques mois les équipes R&D de Geomatys travaillent sur l’exploitation de données GHOM (Géographiques, Hydrographiques, Océano et météo ) en réalité augmentée.
L’enjeu étant de convertir, côté serveur à l’aide d’Examind-Server, des formats complexes tel que GRIB, NetCDF ou encore S-57, pour les servir en 3D sur un client Unity et de visualiser ces données à la volée avec des HolloLens.
Voici donc un exemple de visualisation de vecteurs de vent issus de fichiers GRIB en réalité augmentée.D’autres cas d’usages arrivent en particulier pour le monde maritime, nous vous les présenterons bientôt.
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10:39
FOSS4G 2021 - Les présentations que je souhaiterais suivre
sur ReLucBlogLe FOSS4G 2021 a commencé hier, lundi 27 september 2021, avec les premiers workshops. Les présentations commenceront demain, mercredi 29 Septembre 2021.
3Liz a 3 présentations plus 1 faîtes par ONF International :
- Lizmap to create a Web Map Application with QGIS Desktop and Server
- How to use OpenStreetMap data in QGIS Desktop
- PgMetadata - A QGIS plugin to store the metadata of PostgreSQL layers inside the database, and use them inside QGIS
- How Open Source solution help to build an scalable and adaptable environmental decision platform tools
Le programme de cette année est très complet et j'ai du mal à choisir parmi la longue liste de présentations. Voici donc ma liste des présentations que j'aimerais suivre, mais que je ne pourrais pas suivre en entier :
- Printing maps in the browser with InkMap
- OSGeo in the browser: Advances in client-side WebAssembly-based Geospatial Analysis and frontend visualization using jsgeoda and Vis.gl
- Solving Spatial Problems with PostGIS
- 3D geo-applications with CesiumJS - data, possible use-cases and specifications
- Browser-side geoprocessing with Turf.js and Leaflet
- Watching after your PostGIS herd
- Geostyler Mapfile Parser
- A fast web 3D viewer for 11 million buildings
- Graph algorithms on the database with pgRouting
- pygeoapi: what's new in the Python OGC API Reference Implementation
- FOSS4GPU: Faster GIS via GPU and cuSpatial
- OpenStreetMap and the neglected pedestrian
- OGC APIs: background, current state, what's next
- Geospatial analysis using python 101
- OGC API - Deeper Dive into OGC API Features, Records and EDR
- QGIS and OGC APIs - how do they work together?
- Practical Geospatial Data Versioning with Kart
- Processing Massive-Scale Geospatial Data with Apache Sedona
- PMTiles: An open, cloud-optimized archive format for serverless map data
- MapLibre project: community driven Mapbox GL fork
- Modular OGC API Workflows for Processing and Visualization
- Cloud optimized formats for rasters and vectors explained
- Demystifing OGC APIs with GeoServer: introduction and status of implementation
- Deploying and operating GeoServer: a DevOps perspective
- QField Features Frenzy
- Seamless fieldwork thanks to QFieldCloud
- Deployment of open source vector tile technology with UN Vector Tile Toolkit
- The Very Best New Features of QGIS 3.x
- QGIS Plugin Development Is Not Scary: Lessons Learned from Literature Mapper
- QGIS MetaSearch: lowering the barrier to geospatial data discovery in the desktop
- Input, Mergin & QGIS: collect data, sync, and collaborate with ease
- GeoRasterLayer for Leaflet: Truly Server-Free GeoTIFF Visualization
- Versioning in 2021: when and how you should do it
- Using point clouds in QGIS
- GeoHealthCheck - QoS Monitor for Geospatial Web Services
- Wegue - Webmapping with OpenLayers and Vue.js
- GeoMapFish und QGIS Server
- Algorithm Talk: JSON-to-Code Compression
- Vector tile basemaps for your QGIS project
- OpenLayers Feature Frenzy
- Easily publish your QGIS projects on the web with QWC2
- MapStore, a year in review
- Deploying QGIS using command line options.
- Large scale QGIS deployments : feedback and lessons learned
- Fast, Robust Arithmetics for Geometric Algorithms and Applications to GIS
- WAPLUGIN: Water Accounting and Productivity Plugin for QGIS
- FOSS4G software developments for Water Utilities Management in Eastern Africa by using Vector Tiles
- G3W-SUITE: in OS framework for publishing and managing QGIS projects on the Web
- Giswater : open source management tool for water networks
- An implementation of FOSS4G - QGIS, QField and Vector Tiles for rural water supply management in Rwanda
- Geospatial programming with Rust
- QGIS, Football, what else ?
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10:30
FOSS4G 2021 - Presentations I would like to follow
sur ReLucBlogFOSS4G 2021 began yesterday, Monday September 27 2021, with the first workshops. The presentations will begin tomorrow, Wednesday Septembre 29 2021.
3Liz has 3 presentations plus 1 made by ONF International :
- Lizmap to create a Web Map Application with QGIS Desktop and Server
- How to use OpenStreetMap data in QGIS Desktop
- PgMetadata - A QGIS plugin to store the metadata of PostgreSQL layers inside the database, and use them inside QGIS
- How Open Source solution help to build an scalable and adaptable environmental decision platform tools
This years's schedule is very complete and I find it hard to choose from the long list of presentations. So here is my list of presentations that I would like to attend, but that I will not be able to follow in full:
- Printing maps in the browser with InkMap
- OSGeo in the browser: Advances in client-side WebAssembly-based Geospatial Analysis and frontend visualization using jsgeoda and Vis.gl
- Solving Spatial Problems with PostGIS
- 3D geo-applications with CesiumJS - data, possible use-cases and specifications
- Browser-side geoprocessing with Turf.js and Leaflet
- Watching after your PostGIS herd
- Geostyler Mapfile Parser
- A fast web 3D viewer for 11 million buildings
- Graph algorithms on the database with pgRouting
- pygeoapi: what's new in the Python OGC API Reference Implementation
- FOSS4GPU: Faster GIS via GPU and cuSpatial
- OpenStreetMap and the neglected pedestrian
- OGC APIs: background, current state, what's next
- Geospatial analysis using python 101
- OGC API - Deeper Dive into OGC API Features, Records and EDR
- QGIS and OGC APIs - how do they work together?
- Practical Geospatial Data Versioning with Kart
- Processing Massive-Scale Geospatial Data with Apache Sedona
- PMTiles: An open, cloud-optimized archive format for serverless map data
- MapLibre project: community driven Mapbox GL fork
- Modular OGC API Workflows for Processing and Visualization
- Cloud optimized formats for rasters and vectors explained
- Demystifing OGC APIs with GeoServer: introduction and status of implementation
- Deploying and operating GeoServer: a DevOps perspective
- QField Features Frenzy
- Seamless fieldwork thanks to QFieldCloud
- Deployment of open source vector tile technology with UN Vector Tile Toolkit
- The Very Best New Features of QGIS 3.x
- QGIS Plugin Development Is Not Scary: Lessons Learned from Literature Mapper
- QGIS MetaSearch: lowering the barrier to geospatial data discovery in the desktop
- Input, Mergin & QGIS: collect data, sync, and collaborate with ease
- GeoRasterLayer for Leaflet: Truly Server-Free GeoTIFF Visualization
- Versioning in 2021: when and how you should do it
- Using point clouds in QGIS
- GeoHealthCheck - QoS Monitor for Geospatial Web Services
- Wegue - Webmapping with OpenLayers and Vue.js
- GeoMapFish und QGIS Server
- Algorithm Talk: JSON-to-Code Compression
- Vector tile basemaps for your QGIS project
- OpenLayers Feature Frenzy
- Easily publish your QGIS projects on the web with QWC2
- MapStore, a year in review
- Deploying QGIS using command line options.
- Large scale QGIS deployments : feedback and lessons learned
- Fast, Robust Arithmetics for Geometric Algorithms and Applications to GIS
- WAPLUGIN: Water Accounting and Productivity Plugin for QGIS
- FOSS4G software developments for Water Utilities Management in Eastern Africa by using Vector Tiles
- G3W-SUITE: in OS framework for publishing and managing QGIS projects on the Web
- Giswater : open source management tool for water networks
- An implementation of FOSS4G - QGIS, QField and Vector Tiles for rural water supply management in Rwanda
- Geospatial programming with Rust
- QGIS, Football, what else ?
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Conférence DINAcon
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Le 29.10.2021, la conférence DINAcon se tiendra pour la première fois dans le parc de la Bâloise à Bâle. -
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Conférence DINAcon
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Le 29.10.2021, la conférence DINAcon se tiendra pour la première fois dans le parc de la Bâloise à Bâle. -
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Camptocamp présent au 127ème congrès national des sapeurs pompiers
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Annulé l’année dernière du fait de la crise sanitaire, le 127ème congrès national des sapeurs pompiers aura bien lieu cette année du 13 au 16 octobre à Marseille. -
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Camptocamp présent au 127ème congrès national des sapeurs pompiers
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Annulé l’année dernière du fait de la crise sanitaire, le 127ème congrès national des sapeurs pompiers aura bien lieu cette année du 13 au 16 octobre à Marseille. -
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Le projet MADD
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Ce projet MADD avait comme objectif d’automatiser tant que possible le processus de commande et d ’offrir un accès standardisé aux données issues du RegBL pour les utilisateurs. -
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Le projet MADD
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Ce projet MADD avait comme objectif d’automatiser tant que possible le processus de commande et d ’offrir un accès standardisé aux données issues du RegBL pour les utilisateurs.
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17:23
ÉTUDE DE CAS GÉOCLIP : L’OBSERVATOIRE C@RTOSANTÉ DES ARS
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesLes agences régionales de santé (ARS) sont chargées du pilotage régional du système de santé. Elles définissent et mettent en œuvre la politique de santé en région au plus près des besoins de la population. Les ARS mènent divers projets de diffusion de l’information, parmi lesquels C@rtoSanté, l'un de leurs observatoires géostatistiques fondés sur Géoclip.
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Camptocamp est sponsor de la conférence FOSS4G de Buenos Aires 2021
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Du 27 septembre au 2 octobre, la conférence FOSS4G 2021 aura lieu en ligne. Jetez un coup d'œil à nos conférences. -
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GeoDatadays : à la rencontre de la communauté geospatial en France
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Les GeoDatadays, événement autour de la geodata, auront lieues les 15 et 16 septembre à Grenoble, et sont co-organisées par l'AFIGéo et Décryptagéo. -
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GeoDatadays : à la rencontre de la communauté geospatial en France
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Les GeoDatadays, événement autour de la geodata, auront lieues les 15 et 16 septembre à Grenoble, et sont co-organisées par l'AFIGéo et Décryptagéo. -
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MapFish Print - sous le capot
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MapFish Print est une solution complète permettant d’imprimer des cartes et des rapports, et pouvant être facilement intégrée dans un SIG. Nous présentons ici l'état actuel de ce projet open-source toujours aussi vivant. -
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MapFish Print - sous le capot
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MapFish Print est une solution complète permettant d’imprimer des cartes et des rapports, et pouvant être facilement intégrée dans un SIG. Nous présentons ici l'état actuel de ce projet open-source toujours aussi vivant.
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15:26
GÉODATADAYS – SEPTEMBRE 2021
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesRetrouvons nos bonnes habitudes ! Les équipes de Business Geografic et Ciril GROUP ont hâte - non, sont impatientes ! - de vous retrouver aux GéoDataDays les 15 et 16 septembre 2021 à Grenoble.
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17:00
Are Conferences Important Anymore?
sur James Fee GIS BlogHey SOTM is going on, didn’t even know. The last SOTM I went to was in 2013 which was a blast. But I have to be honest, not only did this slip my mind, none of my feeds highlighted it to me. Not only that, apparently Esri is having a conference soon. (wait for me to go ask Google when it is) OK, they are having it next week. I used to be the person who went to as much as I could, either through attending or invited to keynote. The last Esri UC I went to was in 2015, 6 years ago. As I said SOTM was in 2013. FOSS4G, 2011. I had to look up, the last conference that had any GIS in it was the 2018 Barcelona Smart City Expo.
So with the world opening back up, or maybe not given whatever greek letter variant we are dealing with right now, I’ve started to think about what I might want to attend and the subject matter. At the end of the day, I feel like I got more value out of the conversations outside the convention center than inside. So probably where I see a good subset of smart people hanging out. That’s why those old GeoWeb conferences that Ron Lake put on were so amazing. Meeting a ton of smart people and enjoying the conversations, rather than reading Powerpoint slides in a darkly lit room.
Hopefully we can get back to that, just need to keep my eye out.
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Are Conferences Important Anymore?
sur James Fee GIS BlogHey SOTM is going on, didn’t even know. The last SOTM I went to was in 2013 which was a blast. But I have to be honest, not only did this slip my mind, none of my feeds highlighted it to me. Not only that, apparently Esri is having a conference soon. (wait for me to go ask Google when it is) OK, they are having it next week. I used to be the person who went to as much as I could, either through attending or invited to keynote. The last Esri UC I went to was in 2015, 6 years ago. As I said SOTM was in 2013. FOSS4G, 2011. I had to look up, the last conference that had any GIS in it was the 2018 Barcelona Smart City Expo.
So with the world opening back up, or maybe not given whatever greek letter variant we are dealing with right now, I’ve started to think about what I might want to attend and the subject matter. At the end of the day, I feel like I got more value out of the conversations outside the convention center than inside. So probably where I see a good subset of smart people hanging out. That’s why those old GeoWeb conferences that Ron Lake put on were so amazing. Meeting a ton of smart people and enjoying the conversations, rather than reading Powerpoint slides in a darkly lit room.
Hopefully we can get back to that, just need to keep my eye out.
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La version 2.6 GeoMapFish
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
GeoMapFish est une application SIG web, extensible et flexible, incluant de nombreuses fonctionnalités. La version 2.6 vient de sortir. -
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La version 2.6 GeoMapFish
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GeoMapFish est une application SIG web, extensible et flexible, incluant de nombreuses fonctionnalités. La version 2.6 vient de sortir.
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12:12
Prise de rendez-vous – et si vous laissiez la main à vos clients ?
sur Blog GEOCONCEPT FRSi vous continuez à croire que vous pouvez imposer à vos clients les dates et heures de rendez-vous qui vous arrangent, attendez-vous à des déboires ! En 2021, c’est le client qui choisit. Et vous pouvez facilement lui apporter cette satisfaction – sans désorganiser complètement vos opérations, bien au contraire !
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14:32
Dataviz : “voir et donner à voir”
sur Le blog de GeomatysDans le cadre de ses activités Geomatys s’est structuré selon trois axes :
1.La mise en place et l’exploitation de Datalakes Geospatiaux (basé sur des infrastructure Cloud et exploitant des volumes massifs de donnée)
2. La (Geo)Datascience
3. La visualisation de données incluant la 3D et la réalité augmentée.
Cet article présente un retour d’expérience sur la mise en place de traitements à la volée sur un DataLake pour les besoins d’une agence spatiale.
Les masses de données brutes et les résultats de leurs analyses disponibles pour la prise de décision humaine sont un challenge pour les outils de visualisation. Ainsi si les masses de données actuelles permettent l’émergence des Jumeaux Numériques, pour la Dataviz elle peuvent parfois ressembler à Janus :
- Agréger les données afin de produire un indicateur pour l’aide à la décision ou un tableau de bord synthétique est une solution pragmatique, mais elle a le défaut de masquer la complexité des données sources.
- Donner accès en visualisation à toutes les données est transparent mais difficilement analysable pour l’opérateur.
Autrement dit et pour paraphraser René Char qui s’interroge quand même un peu sur ce qu’il vient faire là, pour les outils de Dataviz conduisant à une prise de décision, “l’essentiel est toujours menacé par l’insignifiant” .
C’est en cherchant à dépasser cette ambivalence que nous tâchons de concevoir notre environnement d’exploration et de visualisation de la donnée : EXAMIND Playground dont nous faisons ici une petite revue d’inventaire.
S’appuyant sur les capacités de notre socle logiciel à diffuser de large volume de données géospatiaux, le cas échéant en streaming, EXAMIND Playground est conçu comme un ensemble de modules de visualisation cartographique mobilisable et configurable à façon qui s’appuie sur un moteur de visualisation géographique 4D (3D plus la dimension temporelle) sur lequel viennent se greffer des outils d’exploration de la donnée.
Ainsi à partir d’une vue d’ensemble contextuelle à son besoin, l’utilisateur va pouvoir se concentrer et zoomer sur des zones spécifiques et éventuellement en observer la dynamique temporelle (cf infra). L’utilisateur va également pouvoir forer sa donnée et examiner l’évolution de plusieurs variables dernière le long d’une trajectoire ou en un point donné.
L’outil de visualisation interagit avec le serveur de données ainsi, si le cas d’usage le nécessite, l’utilisateur peut ajouter des objets à l’environnement cartographique et simuler leurs impacts. Comme ici, dans le cas de la simulation de l’impact de la circulation des flamands roses après un ajout de linéaire de haies.
Enfin, la donnée géographique pouvant venir enrichir notre perception du monde réel, EXAMIND Playground est utilisable avec des casques de réalité augmentée afin de proposer à l’usager de voir directement son univers enrichi.
EXAMIND Playground propose donc toute une panoplie d’outils de visualisation cartographique mobilisables en fonction du besoin et du cas d’usage traité afin de pouvoir explorer au mieux toute la richesse de ses données. Le seul risque à trop bien voir ses données étant d’ « avoir la surprise de trouver un lion dans un placard là où l’on était sûr [au départ] d’y trouver des chemises. »(Frida Kahlo)
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Pièges courants lors de l'impression de cartes sur le web
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
La production de cartes de qualité professionnelle affichées dans une application Web ne se limite pas à une simple capture d'écran. Nous vous présentons ici quelques-uns des défis et problèmes les plus fréquents à résoudre pour réussir l’impression de cartes en ligne. -
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Pièges courants lors de l'impression de cartes sur le web
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La production de cartes de qualité professionnelle affichées dans une application Web ne se limite pas à une simple capture d'écran. Nous vous présentons ici quelques-uns des défis et problèmes les plus fréquents à résoudre pour réussir l’impression de cartes en ligne. -
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Nouvelles de la communauté GeoNetwork - Été 21
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Data hub, Opendata, Dataviz : plein de nouveaux concepts évoqués lors du sprint de code GeoNetwork, du 14 au 18 juin 2021 à la Tite Ferme. -
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Data hub, Opendata, Dataviz : plein de nouveaux concepts évoqués lors du sprint de code GeoNetwork, du 14 au 18 juin 2021 à la Tite Ferme. -
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pgRouting comme aide à la décision des Services d'Incendie et de Secours
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Les Services d'Incendie et de Secours cherchent à identifier les camions qui mettront le moins de temps à se rendre sur une intervention. PostGIS et pgRouting leur offrent flexibilité et gain de temps. -
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pgRouting comme aide à la décision des Services d'Incendie et de Secours
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Les Services d'Incendie et de Secours cherchent à identifier les camions qui mettront le moins de temps à se rendre sur une intervention. PostGIS et pgRouting leur offrent flexibilité et gain de temps.
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9:16
GÉOCLIP 4.12.0 EST DISPONIBLE
sur Géoclip, le générateur d'observatoires cartographiquesGéoclip se dévoile dans sa nouvelle version 4.12.0 pour offrir aux utilisateurs et administrateurs des nouveautés côté protocole TJS ainsi que des améliorations liées à la sécurité, à l'administration, à l’interface utilisateur, etc. des observatoires
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14:38
[Interview] Véhicules autonomes : la réalité n’est et ne sera pas celle que vous croyez…
sur Blog GEOCONCEPT FRLes véhicules autonomes font l’objet de tellement d’annonces qu’il est difficile de s’y retrouver. Journaliste automobile depuis plus de 30 ans, Laurent Meillaud suit de près les évolutions technologiques du secteur et les défis qu’il doit relever. Il nous apporte aujourd’hui son éclairage sur ce qui existe déjà en matière de véhicule autonome, ce qui a des chances d’exister et ce qui restera probablement de l’ordre de la fiction…
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Camptocamp participe au geOcom 2021
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Du 8 au 10 juin se tiendra en visioconférence la réunion annuelle des utilisateurs et développeurs de l'Infrastructure de Données Spatiales geOrchestra. -
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Camptocamp participe au geOcom 2021
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Du 8 au 10 juin se tiendra en visioconférence la réunion annuelle des utilisateurs et développeurs de l'Infrastructure de Données Spatiales geOrchestra.
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7:30
Professionnels itinérants : disposer d’une application mobile métier n’est plus un luxe mais une nécessité !
sur Blog GEOCONCEPT FRCommerciaux, techniciens et livreurs passent l’essentiel de leur vie professionnelle sur le terrain. Les applications mobiles de nouvelle génération regroupent tout ce dont ils ont besoin pour optimiser leurs déplacements, leurs interventions et les interactions avec les clients – du bout des doigts !
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Simplifier le point d’entrée de votre IDG - Du fun pour les métadonnées !
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Comment convaincre les utilisateurs de référencer leurs données dans une infrastructure de données géographiques s'ils doivent passer leur précieux temps à remplir d'obscurs champs de métadonnées ? -
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Simplifier le point d’entrée de votre IDG - Du fun pour les métadonnées !
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FOSSGIS 2021: Nos présentations
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Rejoignez-nous pour la première édition entièrement numérique de FOSSGIS 2021 et jetez un coup d'œil aux conférences de Camptocamp. -
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FOSSGIS 2021: Nos présentations
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16:38
[Interview] Comment redonner le goût de prospecter à vos commerciaux ?
sur Blog GEOCONCEPT FRNous retrouvons Nicolas Caron à l’occasion de la sortie de Lève-toi et prospecte !
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MapFish Print - la solution d'impression cartographique open-source la plus avancée
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Dans ce premier article, nous donnons un aperçu de la solution d'impression MapFish Print et nous vous présentons ses divers cas d'utilisation. -
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MapFish Print - la solution d'impression cartographique open-source la plus avancée
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La plateforme de documentation FttH du Tyrol
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Pour l'agence de services haut débit Breitbandserviceagentur Tirol GmbH, une plateforme de documentation a été développée sous forme de géoportail pour l'infrastructure FttH des municipalités du Tyrol. -
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La plateforme de documentation FttH du Tyrol
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Pour l'agence de services haut débit Breitbandserviceagentur Tirol GmbH, une plateforme de documentation a été développée sous forme de géoportail pour l'infrastructure FttH des municipalités du Tyrol.
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17:57
Unreal and Unity are the new Browsers
sur James Fee GIS BlogSomeone asked me why I hadn’t commented on Cesium and Unreal getting together. Honestly , no reason. This is big news honestly. HERE, where I work, is teaming up with Unity to bring the Unity SDK and the HERE SDK to automotive applications. I talk about how we used Mapbox Unity SDK at Cityzenith (though I have no clue if they still are). Google and Esri have them too. In fact both Unreal and Unity marketplaces are littered with data sources you can plug in.
HERE Maps with UnityThis is getting at the core of what these two platforms could be. Back in the day we had two browsers, Firefox and Internet Explorer 6. Inside each we had many choices of mapping platforms to use. From Google and Bing to Mapquest and Esri. In the end that competition to make the best API/SDK for a mapping environment drove a ton of innovation. What Google Maps looks like and does in 2021 vs 2005 is amazing.
This brings up the key as to what I see happening here. We’ll see the mapping companies (or companies that have mapping APIs) deliver key updates to these SDK (which today are pretty limited in scope) because they have to stay relevant. Not that web mapping is going away at any point, but true 3D world and true Digital Twins require power that browsers cannot provide even in 2021. So this rush to become the Google Maps of 3D engines is real and will be fun to watch.
Interesting in that Google is an also-ran in the 3D engine space, so there is so much opportunity for the players who have invested and continue to invest in these markets without Google throwing unlimited R&D dollars against it. Of course it only takes on press release to change all that so don’t bet against Google.
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Unreal and Unity are the new Browsers
sur James Fee GIS BlogSomeone asked me why I hadn’t commented on Cesium and Unreal getting together. Honestly , no reason. This is big news honestly. HERE, where I work, is teaming up with Unity to bring the Unity SDK and the HERE SDK to automotive applications. I talk about how we used Mapbox Unity SDK at Cityzenith (though I have no clue if they still are). Google and Esri have them too. In fact both Unreal and Unity marketplaces are littered with data sources you can plug in.
HERE Maps with UnityThis is getting at the core of what these two platforms could be. Back in the day we had two browsers, Firefox and Internet Explorer 6. Inside each we had many choices of mapping platforms to use. From Google and Bing to Mapquest and Esri. In the end that competition to make the best API/SDK for a mapping environment drove a ton of innovation. What Google Maps looks like and does in 2021 vs 2005 is amazing.
This brings up the key as to what I see happening here. We’ll see the mapping companies (or companies that have mapping APIs) deliver key updates to these SDK (which today are pretty limited in scope) because they have to stay relevant. Not that web mapping is going away at any point, but true 3D world and true Digital Twins require power that browsers cannot provide even in 2021. So this rush to become the Google Maps of 3D engines is real and will be fun to watch.
Interesting in that Google is an also-ran in the 3D engine space, so there is so much opportunity for the players who have invested and continue to invest in these markets without Google throwing unlimited R&D dollars against it. Of course it only takes on press release to change all that so don’t bet against Google.
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13:00
Arrays in GeoJSON
sur James Fee GIS BlogSo my last post was very positive. I figured out how to relate the teams that share a stadium with the stadium itself. This was important because I wanted to eliminate the redundant points that were on top of each other. For those who don’t recall, I have an example in this gist:
Now I mentioned that there were issues displaying this in GIS applications and was promptly told I was doing this incorrectly:
An array of <any data type> is not the same as a JSON object consisting of an array of JSON objects. If it would have been the first, I'd have pointed you (again) to QGIS and this widget trick [https:]] .
— Stefan Keller (@sfkeller) April 4, 2021If you click on that tweet you’ll see basically that you can’t do it the way I want and I have to go back to the way I was doing it before:
Unfortunately, the beat way is to denormalise. Redundant location in many team points.
— Alex Leith (@alexgleith) April 4, 2021I had a conversation with Bill Dollins about it and he sums it up susinctly:
I get it, but “Do it this way because that’s what the software can handle” is an unsatisfying answer.
So I’m stuck, I honestly don’t care if QGIS can read the data, because it can. It just isn’t optimal. What I do care about is an organized dataset in GeoJSON. So my question that I can’t get a definitive answer, “is the array I have above valid GeoJSON code?”. From what I’ve seen, yes. But nobody wants to go on record as saying absolutely. I could say, hell with it I’m moving forward but I don’t want to go down a dead end road.
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Arrays in GeoJSON
sur James Fee GIS BlogSo my last post was very positive. I figured out how to relate the teams that share a stadium with the stadium itself. This was important because I wanted to eliminate the redundant points that were on top of each other. For those who don’t recall, I have an example in this gist:
Now I mentioned that there were issues displaying this in GIS applications and was promptly told I was doing this incorrectly:
An array of <any data type> is not the same as a JSON object consisting of an array of JSON objects. If it would have been the first, I'd have pointed you (again) to QGIS and this widget trick [https:]] .
— Stefan Keller (@sfkeller) April 4, 2021If you click on that tweet you’ll see basically that you can’t do it the way I want and I have to go back to the way I was doing it before:
Unfortunately, the beat way is to denormalise. Redundant location in many team points.
— Alex Leith (@alexgleith) April 4, 2021I had a conversation with Bill Dollins about it and he sums it up susinctly:
I get it, but “Do it this way because that’s what the software can handle” is an unsatisfying answer.
So I’m stuck, I honestly don’t care if QGIS can read the data, because it can. It just isn’t optimal. What I do care about is an organized dataset in GeoJSON. So my question that I can’t get a definitive answer, “is the array I have above valid GeoJSON code?”. From what I’ve seen, yes. But nobody wants to go on record as saying absolutely. I could say, hell with it I’m moving forward but I don’t want to go down a dead end road.
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21:42
GeoJSON Ballparks as JSON
sur James Fee GIS BlogIn a way it is good that Sean Gillies doesn’t follow me anymore. Because I can hear his voice in my head as I was trying to do something really stupid with the project. But Sheldon helps frame what I should be doing with what I was doing:
tables? what the? add , teams:[{name:"the name", otherprop: …}, {name:…}] to each item in the ballparks array and get that relational db BS out of your brain
— Sheldon (@tooshel) April 2, 2021Exactly! What the hell? Why was I trying to do something so stupid when the while point of this project is baseball ballparks in GeoJSON. Here is the problem in a nutshell and how I solved it. First off, let us simply the problem down to just one ballpark. Salt River Fields at Talking Stick is the Spring Training facility for both the Arizona Diamondbacks and the Colorado Rockies. Not only that, but there are Fall League and Rookie League teams playing there. Probably even more that I still haven’t researched. Anyway, GeoJSON Ballparks looks like this today when you just want to see that one stadium.
Let’s just say I backed myself in this corner by starting by only having MLB ballparks, none of which at the time of the project were shared between teams.It’s a mess right? Overlapping points, so many opportunities to screw up names. So my old school thought was just create a one-to-many relationship between the GeoJSON points and some external table. Madness! Seriously, what was I thinking? Sheldon is right, I should be doing a JSON array for the teams. Look how much nicer it all looks when I do this!
Look how nice that all is? So easy to read and it keeps the focus on the ballparks.As I said in the earlier blog post.
The problem now is so many teams, especially in spring training, minor leagues and fall ball, share stadiums, that in GeoJSON-Ballparks, you end up with multiple dots on top of each other. No one-to-many relationship that should happen.”
The project had pivoted in a way I hadn’t anticipated back in 2014 and it was a sure a mess to maintain. So now I can focus on fixing the project with the Minor League Baseball realignment that went on this year and get an updated dataset in Github very soon.
One outcome of doing this nested array is that many GIS tools don’t understand how to display the data. Take a look at geojson.io:
geojson.io compresses the array into one big JSON-formatted string. QGIS and Github do this also. It’s an issue that I’m willing to live with. Bill Dollins shared the GeoJSON spec with me to prove the way I’m doing is correct:
3.2. Feature Object A Feature object represents a spatially bounded thing. Every Feature object is a GeoJSON object no matter where it occurs in a GeoJSON text. o A Feature object has a "type" member with the value "Feature". o A Feature object has a member with the name "geometry". The value of the geometry member SHALL be either a Geometry object as defined above or, in the case that the Feature is unlocated, a JSON null value. o A Feature object has a member with the name "properties". The value of the properties member is an object (any JSON object or a JSON null value).
ANY JSON OBJECT! So formatting the files this way is correct and the way it should be done. I’m going to push forward on cleaning up GeoJSON Ballparks and let the GIS tools try and catch up.
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Vers une meilleure intégration de GeoServer dans une infrastructure cloud
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Comment améliorer GeoServer pour une meilleure intégration dans une infrastructure “cloud” et dans un contexte de Haute-Disponibilité ? -
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Comment améliorer GeoServer pour une meilleure intégration dans une infrastructure “cloud” et dans un contexte de Haute-Disponibilité ? -
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Rebuilding from the ground up with IFREMER
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
How Camptocamp went through and made a data visualization application more performant and reliable. -
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ArcGIS Pro vers GeoServer
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
La compatibilité entre la suite d'outils ESRI et les logiciels open source est un défi permanent. Des solutions existent pour ArcMap, mais pas pour son successeur ArcGIS Pro. -
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Rebuilding from the ground up with IFREMER
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ArcGIS Pro vers GeoServer
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La compatibilité entre la suite d'outils ESRI et les logiciels open source est un défi permanent. Des solutions existent pour ArcMap, mais pas pour son successeur ArcGIS Pro.
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10:55
On our way to quality
sur ReLucBlogLizmap is almost 10 years old. 10 years of new features, documentation, and numerous version release. Many software libraries updates, many contributors (31 if github is correct) and contributions later we've released version 3.4 at the end of 2020.
Whilst in the release cycle, we realized that our release process was lacking something. We were unsure of the quality of this release, and we were missing some tools to assess whether the release would contain regressions.
In order to avoid these issues in future releases and updates, we decided to implement a number of processes and changes in both how we release and build lizmap.
First : we have decided to not accept code patches without tests. Be these tests unit tests, integration tests or just some lines of text explaining how to test for the bug or regression being fixed by the patch. We are now maintaining a list of tests in our code repository.
Secondly we changed our release process to be able to test. We now have a dedicated time slot between the time when our code is ready and the time our code is released to the world. This will let us test internally and will let us gather feedback from users testing our release candidates.
Our third point is community centered. It's now quite easy to set up a lizmap stack or two using our Docker images. Using these instructions you'll have a docker running lizmap in no time on your computer. Add a project or two to it, test and see if you see anything that doesn't work like your production environment and let us know by opening a ticket. Our aim here is to have more user test our release candidates (we do these for major releases) so we can quickly fix regressions before we officially release.
Fourth we are setting up internal processes to make our code easier to test (docker is a good example of this) and easier to read. Hence, are growing use of linters. We also added a code analyzer for our backend: PHPstan.
Finally, we spent a good amount of time updating our demos (see demo.lizmap.com), making sure they work. This makes our demos a reference for most of our testing.
We had realized in June 2020 some of theses issues around quality. That's why we had an intern refactor lizmap. That refactor had two goals. One was to make it easier to add tests to its code and the second one was to add more tests. All these changes have made it to the 3.4 branch. They aren't in the 3.3 branch because it would have meant too much work. This means 3.3 is a bit less tested than 3.4 (hint upgrading from 3.3 is very easy).
Now that most of our backend is covered we are focusing our efforts on the front-end. This means we will update some of the libraries we use, we will refactor our code and will add as much test as possible. This is going to be the work of an intern. We have chosen Cypress to build end2end tests.
All of these automated tests (backend, front-end, end2end) are being run from our githubrepo through github actions.
All these changes have been made possible by the growth of 3liz during 2020.