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11:08
API-AGRO choisit DAWEX et OUTSCALE pour opérer sa plateforme sécurisée et souveraine d’échanges de données.
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa société API-AGRO a sélectionné deux acteurs technologiques de référence dans les domaines des plateformes logicielles d’échanges de données et de l’hébergement. Elle est aujourd’hui prête à commercialiser sa gamme de services packagés qui répond aux besoins de la communauté agricole. API-AGRO affirme ainsi son ambition de devenir leader sur le marché des échanges de données produites ou exploitées par les acteurs du secteur agricole.
API-AGRO dote aujourd’hui son offre de services d’une technologie souveraine et sécurisée, s’adressant à l’ensemble des acteurs de l’écosystème agricole. Les solutions opérées par API-AGRO et développées par DAWEX, éditeur de logiciels d’échanges de données et OUTSCALE, leader dans le Cloud Computing, satisfont aux besoins de tous les acteurs, publics comme privés.
Ces technologies garantissent aux utilisateurs qui exposent, partagent et valorisent leurs données sur la plateforme API-AGRO une sécurité totale dans le cadre de relations de confiance.
L’expertise de DAWEX sur l’économie de la donnée, mondialement reconnue, doit également permettre aux utilisateurs de s’adapter à l’évolution des marchés et de valoriser de nouveaux usages de leurs données. « La nouvelle économie de la donnée n’est pas réservée aux seuls acteurs du numérique. API-AGRO est l’exemple parfait d’une entreprise qui fédère un grand nombre d’acteurs du secteur agricole pour permettre à chacun de tirer profit d’un levier de croissance issu du partage et de la circulation des données, en ayant pris en compte dès le début les enjeux de souveraineté numérique», constate Fabrice Tocco, co-fondateur et Président de DAWEX.
En conformité avec le Règlement général sur la Protection des Données Personnelles en Europe, les services de Cloud Computing proposés par OUTSCALE répondent aux standards les plus exigeants du marché au niveau mondial. « Nous sommes très satisfaits de fournir l’infrastructure Cloud permettant à API-AGRO d’utiliser en toute confiance DAWEX. En effet, OUTSCALE apporte l’excellence du seul Cloud français intégralement certifié sur la sécurité et la protection des données avec ISO 27001-2013, ISO 27017 et ISO 27018 », confirme Laurent Seror, fondateur et DG d’OUTSCALE.
En s’appuyant sur les compétences métier d’API-AGRO et les savoir-faire technologiques de DAWEX et OUTSCALE, la plateforme rend accessible les technologies de partage des données les plus performantes hébergées sur une infrastructure souveraine – et ce pour toutes les organisations quelle que soit leur taille. Du forfait « Basique » au forfait « Premium », les abonnements ont été conçus pour répondre aux besoins et aux usages les plus variés.
« Les acteurs du monde agricole, représentés par les actionnaires d’API-AGRO, se dotent grâce à ces choix technologiques d’une plateforme européenne indispensable pour la compétitivité des producteurs agricoles français et des acteurs des filières, dans un contexte de concurrence accrue entre acteurs du numérique américains et chinois », analyse Sébastien Windsor, président d’API-AGRO.
Pour propulser et promouvoir sa vision stratégique à une échelle européenne, tout en restant ancrée au cœur des territoires, API-AGRO inscrit ses choix technologiques dans la continuité de son engagement en faveur de la transformation numérique et de la croissance du secteur agricole, privilégiant l’intégrité des données sectorielles et la sécurisation des échanges dans un but de valorisation et d’innovation métier.
Contact Presse
Jonathan SMADJA
Mail :Â jonathan@lanouvelle-agence.com Tel : 01 83 81 76 87
SAS au capital de 1 380 000,00 € • RCS Paris 827 935 925
Siège social : 149 rue de Bercy, 75012 Paris • Tel : 01 87 16 41 66 • Mail : contact@api-agro.fr
Contact API-AGRO
Sébastien PICARDAT, directeur
Mail :Â sebastien.picardat@api-agro.fr
Tel : 06 28 09 97 55
À propos d’API-AGRO                                                                                                                API-AGRO est la principale plateforme d’échanges de données françaises et européennes utiles au secteur agricole. La plateforme s’adresse à l’ensemble des acteurs de l’écosystème agricole afin de promouvoir la compétitivité et l’innovation du secteur à l’échelle française et européenne.
Elle structure et coordonne les flux d’informations entre les opérateurs du secteur agricole pour leur permettre de développer en toute sécurité des services digitaux innovants dédiés à l’amélioration de la performance des producteurs agricoles, et des filières agricoles dans leur ensemble.
https://www.api-agro.fr
À propos de DAWEX                                                                                                                  Dawex est un opérateur de place de marché de la donnée, qui permet aux entreprises d’orchestrer les échanges de données au sein de leur écosystème afin d’accélérer le partage, l’acquisition et la commercialisation des données, directement entre elles, en toute sécurité et conformité.
La technologie Dawex Private Data Exchange autorise une gouvernance fine des transactions de données et des conditions sous lesquelles elles sont échangées tout en intégrant les réglementations locales sur la protection des données.
Le rapport Villani sur l’intelligence artificielle a mis en avant Dawex comme un exemple de plateforme européenne d’échanges de données, accélérant les initiatives de mutualisation des données. Avec la Caisse des dépôts comme actionnaire minoritaire depuis 2016, Dawex a reçu de nombreux prix, notamment Horizon 2020 Instrument PME de la Commission européenne.
https://www.dawex.com
À propos d’OUTSCALE                                                                                                          Fondé en France, en 2010, partenaire stratégique de Dassault Systèmes, OUTSCALE fournit des services de Cloud Computing (IaaS), en conformité avec le RGPD, aux organisations privées et publiques souhaitant augmenter leur agilité IT. Le leader du Cloud français est certifié ISO/IEC 27001:2013 – 27017 -27018 sur l’intégralité de l’entreprise et de son infrastructure européenne, CMSP Advanced (Cloud and Managed Services Program) par Cisco Systems, 100% Intel Cloud Technology par Intel, AltaVault par NetApp, Cloud Service Provider Partner Preferred par Nvidia, Cloud Service Provider par CITRIX.
OUTSCALE est membre du CISPE, organisation professionnelle qui s’engage en faveur de la protection des données personnelles en Europe, et membre de Hexatrust, organisation européenne de promotion de la sécurité et de la confiance numérique. Après plusieurs années d’engagement lié à la RSE et suite à un audit réalisé par Bureau Veritas, OUTSCALE a obtenu la labellisation LUCIE – ISO 26000, en 2018. [https:]
SAS au capital de 1 380 000,00 € • RCS Paris 827 935 925
Siège social : 149 rue de Bercy, 75012 Paris • Tel : 01 87 16 41 66 • Mail : contact@api-agro.fr
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9:25
Nouvelle gamme de GPS auto pour Garmin®
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 7 janvier 2019 – Garmin dévoile aujourd’hui sa nouvelle gamme Garmin Driveâ„¢ : une nouvelle série de GPS conçus pour simplifier l’expérience de conduite que ce soit pour des trajets quotidiens ou les longs voyages. Cette gamme repensée est dotée d‘écrans de 5, 5,5 et 6,95 pouces. En mettant l’accent sur les fonctionnalités les plus essentielles, la série Garmin Drive offre à ses utilisateurs un affichage ultra haute résolution ainsi que des cartes faciles à suivre et enrichies de représentations 3D des bâtiments1. De plus, Garmin Drive propose un puissant service d’info-trafic pour une assistance sans faille sur la route. La série Garmin Drive 2019 sera présentée sur le stand Garmin (#30342) du Consumer Electronic Show du 8 au 11 janvier à Las Vegas.
Nouvelle gamme Garmin
Dan Bartel, Vice-Président de Garmin en charge des ventes mondiales, commente : « Nous sommes particulièrement fiers de notre Garmin DriveSmart 55 doté d’un écran ultra haute résolution de 5,5 pouces (14 cm) pour offrir à nos utilisateurs un affichage plus grand dans un appareil plus compact. Des fonctionnalités additionnelles, dont un calcul d’itinéraires plus rapide, une interface intuitive et des repères en 3D pour une meilleure orientation, en font le GPS idéal pour tous les déplacements. »
La nouvelle gamme Garmin Drive™ est compatible avec la technologie Galileo qui permet notamment d’améliorer la précision de localisation du véhicule, notamment dans les milieux urbains particulièrement difficiles à couvrir par les satellites.
Les nouveaux appareils sont équipés d’une commande vocale1 afin de permettre aux utilisateurs de garder les mains sur le volant en toute circonstance. Certains modèles1 possèdent également le Wi-Fi intégré pour bénéficier automatiquement des dernières mises à jour cartographiques et logicielles sans avoir besoin de passer par un ordinateur. Afin de favoriser la concentration et assurer une conduite plus sûre, des alertes sont envoyées aux conducteurs à l’approche de certaines zones méritant une attention particulière comme les zones scolaires ou les routes comportant des virages serrés. Par ailleurs, les modèles Garmin Drive 52 et Garmin DriveSmart 55/65 proposent des données de trafic en temps réel accessibles avec ou sans smartphone2 via un câble inclus3 (selon le modèle).
Avec les indications vocales de Garmin Real Directions™, Garmin perfectionne la qualité du guidage en énonçant des repères facilement reconnaissables sur la route. Les utilisateurs ont également accès aux notations TripAdvisor laissées par d’autres voyageurs. Cela facilite la recherche d‘hébergements ou de restaurants sur le trajet. Foursquare recense également des millions de nouveaux points d’intérêt. De plus, chacun des modèles Garmin Drive est équipé de mises à jour cartographiques pour toute l’Europe.
Les Garmin DriveSmart 55 et 65 sont compatibles avec la nouvelle application Garmin Drive™. Une fois l’application téléchargée, l’appareil se connecte au smartphone du conducteur via la technologie sans fil Bluetooth. Les conducteurs bénéficient ainsi de notifications2, d’informations trafic en temps réel2, de données de stationnement en direct2 ainsi que d’informations météo.
Depuis plus de 20 ans, Garmin est pionnier de la navigation GPS et acteur innovant dans le domaine des applications et appareils sans fil. Garmin est présent dans cinq marchés principaux dont l’automobile, l’aviation, le sport, le nautisme et les loisirs de plein air.
Prix et disponibilités
Le prix de vente conseillé de la nouvelle gamme Garmin Drive est compris entre 129,99 et 289,99 € selon le modèle proposé.
1Uniquement Garmin DriveSmart 55 et 65.
2Pour utiliser cette fonction, il faut télécharger l’application Garmin Drive (Garmin DriveSmart 55/65) sur un smartphone compatible et qui prend en charge les technologies Bluetooth et GPS ; pour plus de détails, rendez-vous sur Garmin.com/driveapp. Pour le Garmin Drive 52, il faut télécharger l’application Garmin Smartphone Link ; pour plus de détails, rendez-vous sur Garmin.com/spl.
3L’info-trafic numérique est disponible sur certains modèles grâce au récepteur d’info-trafic numérique intégré et du câble allume-cigare inclus. Ne requiert aucun appairage avec un smartphone. Â
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- Â Â Â Â Â Â Garmin sur Twitter : [https:] @GarminFrance
- Â Â Â Â Â Â Garmin sur Instagram : [https:]
- Â Â Â Â Â Â Garmin sur YouTube : [https:]
Garmin International Inc. est une filiale de Garmin Ltd. (Nasdaq:GRMN), leader mondial de la navigation par satellite. Depuis 1989, ce groupe de sociétés conçoit, fabrique et commercialise des appareils et des solutions de navigation, de communication et d’information, dont la plupart utilise la technologie GPS. Les produits Garmin regroupent l’ensemble des systèmes développés pour les secteurs de l’automobile, du sport et des loisirs de plein air, les applications mobiles et les objets connectés, les activités maritimes et aéronautiques ainsi que l’OEM. Garmin Ltd. est installé en Suisse et ses principales filiales sont basées aux États-Unis, à Taïwan et en Grande-Bretagne. Garmin est une marque déposée de Garmin Ltd. et de ses filiales.
La totalité des autres marques, noms de produits, noms de sociétés, marques commerciales et marques de service sont la propriété de leurs propriétaires respectifs. Tous droits réservés.
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7:59
Marco Bernasocchi: New Year’s present – QField 1.0 RC1
sur Planet OSGeoIt was a long and winding road but we are very excited to announce the general availability of QField 1.0 Release Candidate 1.
Packed with loads of useful features like online and offline features digitizing, geometry and attributes editing, attribute search, powerful forms, theme switching, GPS support, camera integration and much more, QField is the powerful tool for those who need to edit on the go and would like to avoid standing in the swamp with a laptop or paper charts.
With a slick user interface, QField allows using QGIS projects on tablets and mobile devices. Thanks to the QGIS rendering engine, the map-results are identical and come with the full range of styling possibilities available on the desktop.
We ask you to help us test as much as possible this Release Candidate so that we can iron out as many bugs as possible before the final release of QField 1.0.
You can easily install QField using the playstore ( [qfield.org] ), find out more on the documentation site (http://qfield.org) and report problems to our issues tracking system ( [qfield.org] )
QField, like QGIS, is an open source project. Everyone is welcome to contribute to make the product even better – whether it is with financial support, enthusiastic programming, translation and documentation work or visionary ideas.
If you want to help us build a better QField or QGIS, or need any services related to the whole QGIS stack don’t hesitate to contact us.
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6:02
Blog 2 Engenheiros: Como salvar seu projeto SIG e manter o Layout do mapa no ArcGIS e QGIS?
sur Planet OSGeoQuando estamos trabalhando em um projeto ambiental, utilizamos vários dados de diferentes compartimentos, seja do meio fÃsico, biótico ou socioeconômico. E quando essa informação pode ser representada espacialmente, usamos um sistema de informações geográficas (SIG) para visualizá-las.
Após finalizar a interpretação desses dados, exportamos os resultados no formato de mapas, os quais devem atender um padrão definido, caso contrário, terÃamos vários mapas (do mesmo projeto) com aparências (i.e. layouts) diferentes.
Entretanto, como podemos padronizar essa confecção de mapas? Como salvamos nosso projeto no ArcGIS e no QGIS? Como podemos utilizar inúmeras vezes o mesmo template?
Confira nossa postagem e descubra.
Já comentamos em um dos nossos vÃdeos como realizar a organização das suas pastas do seu SIG. Nesta postagem, iremos mostrar um passo a passo para você criar seu template de mapa, de modo que você possa sempre aproveitá-lo em outros mapas e projetos.
Criando seu mapa base no ArcGISNo ArcGIS, logo após abrir o software, normalmente, ele abre uma janela com alguns layouts de mapas já estabelecidos. Porém, no nosso caso, queremos criar um mapa novo, então, iremos clicar em New Maps (Novos Mapas) > Meus Templates (My Templates)(1) > Mapa Vazio (Blank Map)(2) e depois em OK (3).
Criando um mapa em branco no ArcGIS.
Defina o sistema de coordenadas do seu projeto e vá no Layout View.
Para definir o sistema de coordenadas do seu projeto, clique com o botão direito sobre o Data Frame na tabela de conteúdos (Table of Contents), vá em propriedades e em seguida, na aba Sistema de Coordenadas. Nesta aba, você escolhe qual sistema irá adotar.
No Layout View, insira e organize todos os elementos do seu mapa, tais como:
- TÃtulo;
- Legenda;
- Norte;
- Escalas gráfica e numérica;
- Grade de coordenadas;
- Outros elementos (por exemplo, autor, empresa, data e sistema de coordenadas adotada).
Não esqueça também de modificar as configurações do papel, que pode ser modificada clicando sobre o fundo com o botão direito e selecionando Configuração de Página e Impressão (Page and Print Setup).
Janela para configuração da página / folha de impressão no ArcGIS.
Após inserir os elementos do seu mapa, vá em Arquivo (File) e clique em Salvar (Save) ou Salvar Como (Save As). Uma nova janela será aberta solicitando onde você quer salvar o arquivo no formato MXD, que representa um documento do ArcMap.
Ao compartilhar esse documento, você estará enviando somente o layout do mapa e não estará incluso os arquivos que você abriu nele, tais como shapefiles e rasters.
Um exemplo de mapa criado é apresentado na figura abaixo.
Exemplo de Layout criado no ArcGIS.
Agora, com este arquivo no formato MXD é possÃvel, ao abrir um novo projeto no ArcGIS, selecioná-lo para que você abra as mesmas configurações de layout que você já havia criado.
Para replicar esse layout para outros mapas, crie cópias deste arquivo MXD e renomeie elas com o nome do novo mapa (e.g. “mapaSolos.mxdâ€, “Hidrografia.mxdâ€).
Criando seu mapa base no QGIS 2.18Na versão 2.18 do QGIS, é possÃvel criar vários templates utilizando o gerenciador de layouts. Este pode ser acessado clicando-se em Projeto (Project), Novo Compositor de Impressão (New Print Composer). Após clicar neste item, o QGIS irá solicitar o nome do layout. Podemos chamá-lo de “Mapa A4 Retratoâ€.
Após o compositor de impressão ser aberto, é possÃvel modificar as configurações da página na aba do lado direito (1) e em seguida, adicionar os item como Norte, Legenda e Escala pelos menu lateral (2) ou pelo menu superior Layout (3).
Compositor de mapas do QGIS 2.18.
Agora, após adicionar e organizar todos os elementos do seu mapa, clique em Compositor (Composer) e em seguida em Salvar Projeto (Save Project). Isso irá salvar o projeto e os layouts do compositor de layouts.
Lembre-se que ao clicar sobre um elemento, suas propriedades podem ser mudadas na aba do lado direito do compositor.
A figura abaixo mostra um exemplo de layout criado no QGIS 2.18.
Exemplo de mapa base criado no QGIS 2.18.
O arquivo salvo estará no formato QGS, formato dos projetos salvos no QGIS 2.18. Cabe salientar que no QGIS, por meio do compositor de impressões, é possÃvel duplicar o layout que você já criou e aproveitá-lo para outro mapa com dados similares.
Leia também: Layout de Mapas no QGIS (II) e Layout de Mapas no QGIS (III)
Com esse arquivo QGS, você poderá duplicá-lo (criar cópias) para desenvolver outros mapas utilizando sempre o mesmo template.
Criando mapa base no QGIS 3O procedimento para criação de templates no QGIS 3 é semelhante à versão 2.18, entretanto, ao salvar seu projeto, você verá que ele estará no formato QGZ.
Lembrando também que alguns itens (botões) mudaram de posição no compositor de mapas do QGIS 3, mas nada que interfira no desenvolvimento dos seus templates de mapas.
Agora você já conhece os caminhos para desenvolver seus templates de mapas e agilizar o desenvolvimento de novos mapas, sem precisar ter que criá-los manualmente.
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22:03
QGIS Blog: User question of the Month – Jan19 & answers from Dec
sur Planet OSGeoIn December, we wanted to know what QGIS.ORG should focus on in 2019.
PortugueseÂ
Based on these results, in today’s PSC meeting, we’ve decided that the 2019 grant programme will be focusing on bug fixing and polishing existing features. So thanks to everyone who provided feedback!
New questionThis month, we’d like to know if you have ever contributed to improving QGIS and – if yes – how. As you’ll see, there are many different ways to contribute to QGIS, so please go ahead and take the survey.
The survey is available in English, Spanish, Portuguese, French, Italian, Ukrainian, and Danish. If you want to help us translate user questions in more languages, please get in touch!
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20:30
12 Months of Global Winds
sur Google Maps ManiaReddit user anvaka has created an impressive video visualizing 12 month's of global surface winds. The 2018 Global Wind map uses GFS (global forecasting system) data from the National Oceanic and Atmospheric Administration. While watching the video it is possible to spot the world's prevailing winds. There are a number of dominant wind patterns around the globe which are influenced by the -
19:30
How Big is the SkyDome?
sur Google Maps ManiaToronto's SkyDome stadium overlaid on Central Park Mapto has developed a neat way to show the comparative size of a building by overlaying its 3D model on top of an interactive map. The map allows you to place the 3D model on any spot in the world, allowing the user to view the building in relation to a familiar location. In the Mapto example, SkyDome Map, you can view a 3D model of Toronto's
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17:25
HERE s’associe à Amazon Alexa pour offrir une expérience de guidage vocal unique, à bord et en dehors du véhicule
sur Décryptagéo, l'information géographique- Une combinaison d’interactions vocales et de services de navigation
- L’interface vocale fournit un guidage encore plus intuitif aux conducteurs
- Les constructeurs automobiles bénéficient d’un délai de développement réduit grâce à la pré-intégration HERE + Alexa Auto
7 janvier 2019
Las Vegas, CES 2019 – HERE Technologies annonce aujourd’hui une nouvelle collaboration avec Amazon, qui prévoit l’intégration d’Amazon Alexa avec les services de navigation et de localisation de HERE. La combinaison d’interactions vocales via Alexa avec une solution de navigation reconnue va permettre aux constructeurs automobiles d’offrir une experience de guidage vocal à bord et à l’extérieur du véhicule.
Alexa sera pré-intégré avec HERE Navigation On-Demand, la nouvelle solution complète permettant aux constructeurs automobiles d’offrir à leurs clients une expérience de navigation unique et performante.
S’appuyant sur les APIs et outils Alexa Auto, HERE a conçu une expérience de navigation vocale qui permet aux conducteurs de rester concentrés sur la route pendant qu’Alexa leur fournit un guidage personnalisé au moment opportun.
“L’expérience à bord du véhicule évolue rapidement, et les constructeurs automobiles ont aujourd’hui l’opportunité de fournir des services de nouvelle génération qui repoussent sans cesse les fonctionnalités du véhicule jusqu’à devenir le terminal connecté ultime, offrant une expérience utilisateur résolument unique,†a déclaré Edzard Overbeek, CEO de HERE Technologies. “Notre collaboration avec Amazon a pour objectif de créer une expérience agréable et différentiante pour l’utilisateur, de son domicile à sa voiture, jusqu’à sa destination finale et avec les informations dont il a besoin.â€
HERE va également fournir à Alexa des données issues de sa plateforme de services de localisation, afin de permettre aux usagers de rechercher et trouver des points d’intérêts, d’accéder à des infos trafic en temps réel et de gérer leur itinéraire de manière fluide, à l’intérieur comme à l’extérieur du véhicule. Par exemple, un utilisateur chez lui pourra demander à Alexa de lui rappeler d’acheter le pain lorsqu’il sortira du travail. A la fin de la journée, le système de navigation embarqué trouvera, sur la base des informations traffic en temps réel, l’itinéraire idéal pour rentrer chez lui en passant par la boulangerie, et lui rappellera de s’arrêter prendre le pain lorsque le véhicule sera en approche du magasin.
“Nous sommes ravis de collaborer avec HERE à l’intégration d’Alexa au sein d’un logiciel de navigation embarqué,†a ajouté Ned Curic, VP d’Alexa Auto au sein d’Amazon. “Comme Alexa s’intègre directement dans l’expérience de conduite, les constructeurs automobiles utilisant HERE Navigation On-Demand vont pouvoir offrir une expérience intuitive à leurs clients, et générer des interactions vocales encore plus riches et pertinentes à la maison et en mobilité.â€
Amazon s’appuie sur les services de localisation haute precision de HERE pour enrichir Alexa et fournir aux utilisateurs des données de localisation contextualisées leur permettant d’estimer précisément le temps nécessaire pour se rendre au travail ou trouver le café le plus proche.
Amazon et HERE vont également explorer les opportunités de développement de fonctionnalités additionnelles pour les constructeurs automobiles et leurs clients. En intégrant Alexa Auto et de nouveaux services à l’Open Location Platform (OLP) de HERE, Alexa pourrait par exemple être capable de répondre à des questions de manière plus contextualisée et conversationnelle. Un conducteur pourrait demander « Alexa, où dois-je tourner ?†et Alexa lui répondre “Tourne directement après le [bâtiment désigné] ».
La plateforme HERE OLP est aujourd’hui utilisée par des entreprises qui enrichissent leurs données avec des informations de localisation. Elles peuvent ainsi accéder et contribuer à la nouvelle génération de services de localisation (LBS).  HERE OLP agrège en temps réel les données issues de capteurs de véhicules de marques concurrentes, et les transforme en alertes sur les accidents en temps réel ou en messages de sécurité prévenant par exemple de zones de possible perte d’adhérence ou de coup de frein brusque sur le parcours. Ces informations sont envoyées directement aux systèmes de navigation embarqués et aux systèmes d’aide à la conduite automobile (ADAS).
Les services de navigation HERE sont embarqués dans plus de 100 millions de véhicules dans le monde. Les investisseurs HERE incluent Audi, BMW, Daimler, Intel, Bosch, Continental et Pioneer.
A propos de HERE Technologies
HERE, the Open Location Platform Company, est un acteur de premier plan sur le marché de la cartographie et de la localisation. Grâce à ses solutions, les consommateurs, les véhicules, les entreprises et les villes profitent d’expériences et d’applications de localisation en temps réel optimisées. Pour en savoir plus sur HERE et sur ses services de localisation nouvelle génération, rendez-vous sur 360.here.com et www.here.comContacts Presse : AxiCom
Â
Constance Falourd
01 56 02 68 25
constance.falourd@axicom.com
Katherine Haller01 56 02 68 30
Elise Koenig
01 56 02 68 38Â
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17:22
Protégé : La navigation embarquée réinventée : HERE dévoile HERE Navigation On Demand
sur Décryptagéo, l'information géographique- La première solution mondiale de navigation et services connectés en mode SaaS
- Permet aux constructeurs automobiles d’offrir des expériences fiables et différentiantes aux conducteurs et aux passagers, tout en simplifiant la chaîne de distribution et en reduisant les coûts
- Offre clé en main de services connectés commercialisable en mode OEM ou tiers via l’ Open Location Platform de HERE
- Interface utilisateur optimisée avec une approche « voice-first », proposée via l’option Amazon Alexa pré-intégrée
Le 7 janvier 2019
Las Vegas, CES 2019 – HERE Technologies dévoile aujourd’hui HERE Navigation on Demand, une nouvelle solution complète qui permet aux constructeurs automobiles d’offrir des expériences de navigation captivantes, multifonctions et pertinentes dans leurs véhicules.
HERE Navigation On Demand, ou navigation as a service, allie les avantages de la navigation embarquée à l’ergonomie d’une solution de navigation mobile. Cette solution entièrement intégrée permet un déploiement rapide et économique au sein de systèmes embarqués connectés ainsi que sur mobile. Les constructeurs automobiles peuvent également profiter de l’aspect clé en main de la solution pour vendre des services connectés à la demande et générer de nouvelles sources de revenus récurrents.
« HERE Navigation On Demand réinvente la navigation embarquée à l’ère du véhicule connecté », déclare Edzard Overbeek, PDG de HERE Technologies. « Notre solution offre aux constructeurs automobiles l’agilité et la flexibilité dont ils ont besoin pour offrir les meilleures expériences de navigation du marché. La solution offre également aux constructeurs la liberté de créer leur propre business model. »
Une solution complète et économique pour une évolutivité amélioréeHERE Navigation on Demand est une solution complète permettant aux constructeurs automobiles de configurer et diffuser facilement des expériences de navigation pour toutes plateformes d’infodivertissement embarquées et toutes gammes de véhicules. Tous les composants nécessaires sont intégrés, y compris une interface homme machine (HMI) configurable. La solution peut être déployée sur les systèmes d’exploitation les plus répandus et peut fonctionner dans le système d’infodivertissement ou être répliquée depuis un téléphone portable.
Grâce à HERE Navigation on Demand, les constructeurs automobiles simplifient leur chaîne de distribution et les processus de développement de leur système d’infodivertissement, et peuvent également réduire leurs dépenses d’investissement. A l’approche de la mise en production de nouveaux modèles, les constructeurs minimisent également les risques de perte de fonctionnalités provenant de la complexité de la chaîne logistique et du développement et relèvent plus facilement les défis de mise à jour des logiciels lorsqu’une voiture est en production ou déjà sur le marché.
Des mises à jour en continuHERE Navigation On Demand s’appuie sur l’expertise « over the air » de HERE pour réaliser les mises à jour des cartes, données et logiciels quand la voiture est dans son circuit de distribution ou sur le marché. Grâce aux transmissions entièrement sécurisées entre la voiture et le cloud, la confidentialité des données des conducteurs et des passagers, ainsi que leur sécurité, est préservée.
Des services à la demande pour des revenus récurrentsHERE Navigation On Demand permet aux constructeurs automobiles de générer des revenus récurrents grâce à la vente de services connectés aux conducteurs directement via le système d’infodivertissement. Le cadre de prestation de services est intégré à la solution, ce qui réduit l’investissement nécessaire pour la mise en œuvre d’un business model. Les constructeurs peuvent sélectionner librement quels services ils vont proposer sous abonnement et n’ont pas besoin d’avoir de licence de contenu ou logicielle avant qu’un utilisateur ne s’abonne.
Des marques différenciées, avec une forte présence numériqueEn s’appuyant sur l’environnement de l’Open Location Platform de HERE et le kit de développement logiciel (SDK) approprié, les fabricants automobiles ou même des tiers peuvent créer des fonctionnalités supplémentaires pour HERE Navigation On Demand. Ces applications s’intègreront parfaitement dans l’expérience sur mesure de HERE Navigation On Demand, créant ainsi une valeur ajoutée et une réelle différenciation.
HERE Navigation On Demand permet également aux constructeurs automobiles de diffuser leurs propres images et contenus de marque sur tous les écrans à l’intérieur et à l’extérieur de la voiture, dans le cadre des options de configuration personnalisées.
Une intégration plus poussée dans le véhicule offre une meilleure expérience utilisateur et aide à réduire les distractions du conducteur. Par exemple, les fabricants automobiles peuvent aider les conducteurs à localiser des bornes de recharge pour leur véhicules électrique et à payer le coût de la recharge directement dans l’application de navigation, sans devoir alterner entre différentes vues ou même différentes applications.
Prêt pour les solutions de mobilité de demainLa capacité de déployer HERE Navigation On Demand à la fois sur des plateformes embarquées et sur mobile, ainsi que la possibilité d’ajouter des fonctionnalités développées dans l’Open Location Platform de HERE sont des atouts indéniables pour une possible intégration au sein de solutions de mobilité à la demande plus globales incluant par exemple une recherche de VTC ou d’autopartage.
Compatibilité avec les systèmes ADAS et la conduite automatiséeHERE Navigation On Demand offre tous les avantages de qualité des cartes et services de navigation de HERE. Cela inclut notamment de la possibilité de transmettre des données cartographiques et informations sur la circulation aux systèmes ADAS et aux unités de contrôle de conduite utomatisée du véhicule. Au fur et à mesure que les constructeurs automobiles automatisent davantage leurs véhicules, HERE Navigation On Demand est prêt pour accompagner leur migration d’un système ADAS vers la conduite autonome.
Des délais de mise sur le marché réduits grâce à des partenariats stratégiquesNavigation vocale avec Amazon Alexa
HERE collabore avec Amazon pour intégrer Alexa, le service vocal basé sur le cloud d’Amazon, dans l’expérience de HERE Navigation On Demand. Alexa est pré-intégré à HERE Navigation On Demand, permettant ainsi aux fabricants automobiles d’offrir plus rapidement et plus facilement une expérience de navigation intuitive et « voice-first » aux usagers dans la voiture.
Disponbilité avec la plateforme Renesas R-Car
HERE et Renesas Electronics Corporation ont configuré HERE Navigation On Demand pour fonctionner avec la gamme System-on-chip (SoC) de la plateforme R-Car de Renesas pour des applications dans le poste de pilotage automobile. La combinaison de la plateforme matérielle R-Car et de HERE Navigation On Demand facilite la mise à l’échelle des solutions IVI à tous niveaux.
Disponbilité dans webOS
LG Electronics et Luxoft se sont associés pour rendre HERE Navigation On Demand disponible à travers l’écosystème webOS à mesure qu’il s’étend de l’électronique grand public à l’infodivertissement automobile embarqué et au-delà . Les constructeurs automobiles peuvent réduire considérablement le délai de mise sur le marché de leurs solutions d’infodivertissement embarquées et offrir des services connectés clé en main grâce à l’intégration de HERE Navigation On Demand dans webOS Auto.
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A propos de HERE Technologies
HERE, the Open Location Platform Company, est un acteur de premier plan sur le marché de la cartographie et de la localisation. Grâce à ses solutions, les consommateurs, les véhicules, les entreprises et les villes profitent d’expériences et d’applications de localisation en temps réel optimisées. Pour en savoir plus sur HERE et sur ses services de localisation nouvelle génération, rendez-vous sur 360.here.com et www.here.comContacts Presse : AxiCom
Constance Falourd
01 56 02 68 25
constance.falourd@axicom.comKatherine Haller
01 56 02 68 30
Elise Koenig
01 56 02 68 38Cet article La navigation embarquée réinventée : HERE dévoile HERE Navigation On Demand est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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16:30
America's Million Dollar Neighborhoods
sur Google Maps Mania3.65% of American homes now cost more than one million dollars. You can find out where America's most expensive homes are located on the Million Dollar Neighborhoods map. This interactive map uses data from Trulia to show neighborhoods where the median house price has exceeded $1 million. The map uses different shades of blue to show which year the median house price in the neighborhood
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13:33
[INSPIRE by clouds] Quelles belles histoires INSPIRE pour 2019?
sur Géoblogs (GeoRezo.net)C'est la nouvelle année, et je vous souhaite une excellente année deux-mille-dix-n'oeufs.
Même si la Commission européenne, dans sa grande générosité, dispense cette année les Etats membres de produire l'habituel rapport triennal en 2019, il nous a semblé positif de continuer à recueillir et à publier des récits concrets sur l'apport d'INSPIRE aux différents acteurs.
La dernière fois, en 2016, nous avions ainsi publié sur ce blog la plupart des récits contenus dans le rapport de la France.
Cela a été utile pour comprendre, et faire comprendre, l'intérêt de tout ce travail souterrain de la construction d'une infrastructure de données, normalement invisible - sauf quand cela ne fonctionne pas!
Aussi, merci de me proposer des récits sur l'environnement, sur les territoires, sur des usages par les associations ou les entreprises, aux différents niveaux administratifs. Comme dans toute bonne histoire, il y aura des succès, des problèmes, des acteurs emblématiques, des sujets obscurs ou symboliques, des paraboles si vous le voulez, dans le respect toutefois de la décence propre à un rapport de la France.
C'est à envoyer à mon adresse professionnelle, marc.leobet[(at)]developpement-durable.gouv.fr avec comme objet "rapport INSPIRE 2019" SVP.
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12:33
Quelles belles histoires INSPIRE pour 2019?
sur INSPIRE by cloudsC’est la nouvelle année, et je vous souhaite une excellente année deux-mille-dix-n’oeufs. Même si la Commission européenne, dans sa grande générosité, dispense cette année les Etats membres de produire l’habituel rapport triennal en 2019, il nous a semblé positif de continuer à recueillir et à publier des récits concrets sur l’apport d’INSPIRE aux différents acteurs. […]
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12:21
Récapitulatif des apps associées aux types d'utilisateur ArcGIS
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierDans cet article arcOrama, je vous présentais les nouveaux types d'utilisateurs introduits dans la mise à jour d'ArcGIS Online de décembre et qui sera disponible dans la version 10.7 (mars 2019). Cette nouvelle distinction entre les différents profils d'utilisateurs d'un portail ArcGIS permet une gestion plus souple et plus optimisée des licences de chaque membre de votre organisation en leur octroyant des capacités fonctionnelles et des accès à des apps en fonction de leurs besoins. Pour compléter mon article, je vous propose ci-dessous un tableau récapitulatif des apps incluses et des apps additionnelles correspondant à chaque type d'utilisateur.
Vous pouvez également consulter cette page du site web d'Esri France pour plus d'informations sur les types d'utilisateur dans la plateforme ArcGIS.Cliquer sur l'image pour l'agrandir
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18:54
// Et Bienvenue … //
sur GeomatickBienvenue à tous … sur le nouveau visage d’Ô Bonheur des Dames, Après 5 ans d’activité Ô Bonheur des Dames se révèle sous un autre jour : Nouveau locaux & nouveau site Internet ! Je suis super heureuse de […]
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15:08
Intéressez-vous à TJS
sur Neogeo TechnologiesActuellement, les relations entre la plupart des IDG actuelles et les données tabulaires dont regorgent les collectivités et autres établissements publics sont assez tristes. Les géomaticiens qui participent à la conception, la réalisation et l’administration de telles infrastructures ont été élevés dans le culte de la donnée topographique, de la précision géodésique et des relations topologiques. Résultat : pas de géolocalisation, pas de publication.
Le constat est plutôt amer : les IDG actuelles ne savent pas valoriser des données tabulaires si elles ne sont pas passées entre les mains d’un géomaticien au préalable pour les géolocaliser. C’est regrettable puisque, quelques facteurs concordants devraient pousser leur publication sur des IDG :
- la majorité des données géographiques produites par les parties prenantes des IDG sont de simples données tabulaires organisées par unités territoriales (dont facilement géolocalisables) ;
- la majorité des utilisateurs des IDG (en collectivité, dans les services de l’Etat et dans bien d’autres administrations publiques) ont besoin d’indicateurs selon des découpages territoriaux et non de données topographiques qu’elles ne savent pas interpréter ;
- la majorité des gens qui aimeraient exploiter des IDG, n’ont pas de compétence en géomatique mais sont tout à fait capables de comprendre des cartes avec des indicateurs territoriaux.
À l’heure où l’Open Data prend le pas sur la mise en œuvre d’INSPIRE, la situation des IDG vis-à-vis des données tabulaires n’est plus tenable. Elle l’est d’autant moins qu’il existe justement un standard dont l’objectif est de fournir des données tabulaires à des outils SIG qui se chargeront d’y adjoindre une géométrie : Table Joining Service (TJS). L’intérêt de ce standard ne réside pas uniquement dans le fait qu’il gère des données tabulaires mais aussi que c’est l’application cliente qui se charge d’attribuer une géométrie et une représentation aux informations qui lui sont transmises. Cela permet de publier des données géographiques sans compétences spécifiques en géomatique (en faisant complètement abstraction de la projection, des problèmes de précision géographique, des règles de représentation cartographique…). On évite donc également de devoir publier les données en 3 versions pour satisfaire les adorateurs du RGE, les fans d’OSM ou ceux de je ne sais quel autre référentiel idéalisé.
C’est parce que nous sommes convaincus que les données tabulaires sont sous-exploitées par les IDG actuelles et que TJS apporte une solution concrète que nous avons développé un serveur sous licence ouverte implémentant ce standard : OneTjs. Aujourd’hui l’implémentation phare de TJS est Géoclip. Preuve de son interopérabilité, OneTjs permet d’alimenter le client cartographique d’un Géoclip distant avec vos propres données.
Illustration : offre hôtelière en Normandie servies par OneTjs et affichée dans Géoclip O3
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8:52
// Look Book N° 8 : TERRACOTTA //
sur GeomatickHello, Le Maroc : L’échappée envoûtante ! Une véritable fête des sens puisqu’au plaisir du nez s’ajoute celui de la vue. Difficile de ne pas succomber à l’appel des effluves exotiques, au foisonnement des couleurs aux clameurs et aux étals […]
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12:28
Blockchain et information géographique
sur Neogeo TechnologiesSuite à une série de présentations publiques sur le thème de la blockchain depuis le printemps (FOSS4G-FR, GeoDataDays notamment) il est temps de rendre compte des diverses réflexions qui ont motivé cette démarche et qui ont aussi été alimentées par des échanges nourris avec les participants.
Qu’est-ce que la blockchain ?La blockchain n’est que le dernier avatar d’une longue série de techniques destinées à conserver de l’information de manière durable. Les premiers exemples d’écriture témoignent déjà de ce besoin. Ce sont les comptables qui les premiers ont tracé des symboles dans l’argile, ce sont aussi les comptables qui les premiers ont vu l’intérêt de la technologie blockchain pour inventer les cryptomonnaies. La blockchain n’est rien de plus qu’un registre numérique sécurisé et distribué, permettant de s’affranchir d’une autorité régulatrice, chacun faisant office de tiers de confiance (mais on parle déjà là de gouvernance, nous y reviendrons). Ce registre numérique sécurisé vise à reproduire dans notre monde de fake news et copies illicites la notion d’infalsifiabilité qui fait la valeur des registres papier reliés. Dans ceux-ci, une page sans rature signifie que les informations n’y ont pas été altérées. La présence de toutes les pages, vérifiables par leur numérotation ou l’absence de déchirure, permet de certifier que toutes les informations sont bien présentes. C’est exactement ce que vise à reproduire la blockchain dans le contexte d’un registre numérique.
Comment ça marche ?Si le principe de la blockchain est finalement assez simple, il recourt à des algorithmes très sophistiqués que je serais bien en peine de vous expliquer en détail et que l’on désigne sous le nom de fonctions de hachage (hash en anglais). Ceux-ci sont capables de générer des chaînes de caractères de longueur fixe (32 bits, 64 bits…) uniques (si la longueur est bien choisie évidemment) à partir d’un contenu quelconque (fichier, image, texte, chiffres) servant ainsi d’empreinte numérique compacte à des choses très variées. On s’en sert pour vérifier l’intégrité d’un téléchargement par exemple, car l’altération du moindre bit change radicalement l’empreinte numérique. Par exemple le hachage par SHA256 (un des algorithmes les plus répandus) du terme « géomatique » donne D47A202B297CB6CCD4238CB88BBD49670209447787BE73EA834725A1AB184F6E tandis que pour « geomatique » (sans accent donc) on obtient
3BF2C56948337C47F1E031E2ACE3F4EEFEE62FC2D3AB55625688683FE385274E ! Impossible de les confondre ou de supposer de leur proximité littérale.
A l’aide de ces puissants algorithmes, la blockchain reproduit les deux preuves de non altération du registre qu’offre la version papier broché :- La page devient le bloc. Il est composé de lignes d’écriture (transactions, opérations diverses). Dans l’en-tête du bloc (le haut de page en quelque sorte), on écrit l’empreinte numérique des opérations, de telle sorte que si une d’entre elles venait à être modifiée, l’empreinte ne correspondrait plus au contenu. Le registre ayant vocation à être public et distribué, chacun peut faire ce genre de vérification.
- Chaque bloc est relié au bloc précédent, en reprenant également son empreinte numérique dans son en-tête. Ainsi, si tout le bloc venait à être modifié (opération + en-tête), c’est dans le bloc suivant qu’on verrait l’incohérence. La falsification n’est pas impossible, mais imposerait de réécrire toute la chaîne, de régénérer tous les hash, en suffisamment peu de temps pour que ça passe inaperçu. C’est donc de facto irréalisable.
Ça donne alors à peu près ça :
On a ici le bloc n° 3 référençant le bloc précédent (previous) par son hash, contenant une charge utile composée de transactions, dont l’empreinte numérique et l’horodatée sont également inscrits. Toute altération de ce contenu serait détectable très rapidement, car le hash se calcule en quelques centièmes de seconde et peut donc être vérifié par tout utilisateur, voire automatiquement par des programmes spécialisés.
Pour quoi faire ?Belle technologie donc, mais on n’est pas des comptables non plus, et on n’a pas forcément envie de se convertir aux cryptomonnaies, qui recourent largement à ces technologies. Donc que va-t-on pouvoir bien faire d’un registre infalsifiable ? Mais ce qu’on veut, c’est ça qui est extrêmement séduisant ! On va pouvoir y écrire absolument ce qu’on veut, des positions de véhicules, des valeurs de capteurs, des noms de fichiers, des empreintes numériques de documents, mélanger le tout, secouer, la blockchain est agnostique. Dès lors qu’on doit pouvoir prouver l’enregistrement d’une information à un moment donné (la patrouille de police était devant la mairie, le document d’arpentage a été publié, le taux de CO2 dépassait la norme) sans avoir à douter de celui qui tient le registre, le serveur, la base de données, tous ces intermédiaires qui peuvent, avec les systèmes de bases de données traditionnels (fichiers ou SGBD), falsifier un contenu numérique, sans avoir à se reposer sur un tiers de confiance, la blockchain fait des merveilles.
Et l’information géographique là-dedans ?Comme indiqué précédemment, on peut enregistrer ce qu’on veut dans la blockchain, de l’information géographique ou autre. On peut donc très bien avoir des geoblockchains dédiées et optimisées à cet usage, dans lesquelles on peut imaginer des conditions de validation supplémentaires (vérification de cohérence géographique, de topologie, tout ce qui fait le miel du géomaticien au quotidien). Mais on peut aussi en faire le déclencheur de la validation du bloc. C’est une notion que nous n’avons pas encore abordée, mais s’il peut sembler clair que tout un chacun (les utilisateurs de la blockchain au moins) vont être en mesure d’enregistrer des opérations, qui valide les blocs ? Pour le Bitcoin il s’agit également des utilisateurs eux-mêmes, suscitant des courses de vitesse très énergivores pour calculer le premier le Proof of Work, autre empreinte numérique obéissant à des contraintes fortes, afin de ne pas être calculable trop vite, car dans le monde des cryptomonnaies les validateurs de blocs sont rétribués et il ne faut pas trop stimuler la création monétaire. Tout est donc fait pour qu’un bloc mette 10 minutes en moyenne pour être validé. Dans un monde géomatique, les choses n’ont pas la même criticité, et surtout nous ne créons pas de monnaie. Donc qui valide le bloc, c’est tout l’enjeu de la gouvernance.
Qui c’est qui commande ?On voit déjà s’indigner le burelain, le rond-de-cuir, appliqué à soigner les pleins et les déliés de son registre jalousement gardé dans son tiroir fermé à clé… « Ne seriez-vous pas un peu des anarchistes vous autres ? », « que vais-je devenir ? « . Mais comme pour ce qu’on met DANS la blockchain, la manière de piloter la blockchain, d’assurer sa gouvernance, est très libre. Au modèle égalitaire et horizontal revendiqué des cryptomonnaies, il existe des approches plus intégrées, des blockchains de consortium ou même privées, dans lesquelles les droits à l’écriture des opérations et à la validation des blocs sont réservés à certains utilisateurs, comme du temps des registres papier. La distribution du registre pour lecture peut ainsi être ouverte à certains utilisateurs, et les modifications à d’autres. Rien de très original donc, si ce n’est que même si vous déléguez la saisie des opérations à un tiers, il n’aura néanmoins pas la possibilité d’en falsifier le contenu. Ou s’il le fait ça se verra… L’information géographique peut elle-même servir de preuve. Parce que je suis à tel endroit je suis en mesure de certifier que : la voiture de location s’y trouve aussi, la borne cadastrale est bien positionnée, le bureau de l’AFIGEO est toujours au bistrot…
Alors on se lance ?De nombreux secteurs d’activités s’intéressent de près à cette technologie. C’est évidemment le cas des banques, qui disposent déjà de blockchains de consortium en interbancaire, des assurances, de l’aviation… du foncier évidemment avec quelques programmes pilotes en Afrique. La totale liberté du contenu de la blockchain et de sa gouvernance devrait en séduire d’autres, dès lors que la réticence due à la proximité encore marquée avec les sulfureuses cryptomonnaies se sera dissipée et que la blockchain sera ramenée à la place qui est la sienne, un bon vieux registre.
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15:17
// 1200 m2 de Bonheur //
sur GeomatickHello, Et voilà, après quelque mois de recherches ( 1 an ) de questions, d’écritures, de rendez vous, de déceptions, de visites, de nuits blanches, d’excitation et de belles surprises … Nous y voilà enfin : Un nouveau visage pour Ô […]
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12:12
SLD est-il mort ?
sur Neogeo TechnologiesSi vous êtes intéressés par les standards de l’OGC vous avez sans doute déjà entendu parler de SLD (Styled Layer Descriptor) et peut-être l’avez-vous même déjà manipulé (au travers d’un QGIS, GeoServer, Mapserver ou que sais-je). En général, ce que l’on retient de SLD c’est quelque chose du genre :
« un langage compliqué pour écrire des styles simples en vue de publier des données vecteur en WMS ».En vrai, c’est un peu plus compliqué :
- SLD est avant tout une extension/un profil de WMS proposant des opérations/paramètres supplémentaires permettant aux applications clientes de manipuler les styles des couches d’un service WMS
- SLD n’est plus aujourd’hui un langage de description de styles. Cette partie de SLD 1.0 a été externalisée dans un standard à part entière intitulé Symbology Encoding (SE) au moment du passage à SLD 1.1 (en 2005)
- SLD se limite bien aux services WMS mais la partie consacrée au langage de description des styles (que ce soit dans SLD 1.0 ou SE) peut très bien s’appliquer à n’importe quels logiciels capables de produire des cartes
- Ce langage n’est pas limité aux données vecteur. En effet, une de ses parties est consacrée aux styles appliqués aux rasters.
Sur le papier, SLD/SE se présente donc comme une bonne initiative pour favoriser l’interopérabilité graphique entre systèmes qui ont besoin d’échanger des styles :
- déployer des couches avec des rendus graphiques identiques sur des systèmes hétérogènes ;
- permettre aux applications clientes de fournir aux services WMS un style à appliquer à une couche ;
- écrire des styles avec un outil et les déployer avec d’autres.
Si j’écris cet article avec ce titre vous vous doutez bien que ce n’est pas pour dresser un tableau tout rose de SLD/SE, n’est-ce pas ? Vous avez peut-être/sans doute (rayez la mention inutile) noté dans la description synthétique de SLD du premier paragraphe ce « un langage compliqué pour décrire des styles simples ». L’adoption de SLD aurait été plus facile et générale si cette phrase ressemblait plutôt à ceci : « un langage simple pour décrire des styles compliqués » [vous aviez sans doute déjà noté que l’informatique et la standardisation ne font pas toujours des miracles]. Cette dualité complexité/simplicité aboutit sans surprise à :
- rares sont les outils dont toute la richesse graphique peut être décrite au travers de SLD/SE ;
- rares sont les solutions techniques qui mettent en avant le support de SLD/SE ;
- la réelle interopérabilité entre solutions autour de SLD n’est pas toujours au rendez-vous : publier dans GeoServer un style SLD écrit avec QGIS nécessite des retouches manuelles (entre autres sur les paramètres correspondant à des longueurs tels que les épaisseurs de trait par exemple) (corrigé depuis peu – cf. commentaire de René-Luc D’Hont) ;
- la complexité de SLD/SE pousse certains éditeurs à proposer des alternatives pas forcément interopérables dans le domaine de l’information géographique : CSS par exemple au niveau de TileMill et de GeoServer. CSS est plus compact et plus facile à lire que le langage XML utilisé par SE mais n’est pas une solution pour décrire des styles complexes ;
- pour prendre en compte des besoins graphiques non pris en compte par SE certaines solutions ont été enrichies avec des extensions de SLD/SE qui leurs sont propres (donc non interopérables) : cf ici [docs.geoserver.org] pour GeoServer.
En fait d’interopérabilité, nous nous retrouvons avec des initiatives qui délitent l’intérêt de SLD/SE et une communauté géospatiale pas franchement dynamique ni unie autour de ces standards. Que se passe-t-il depuis 2005 à l’OGC sur ce sujet ? Peut-on encore espérer que SE s’impose réellement ? Lors du geoCom 2016 à Bordeaux, Erwan Bocher a présenté les derniers travaux menés par le groupe chargé de produire une nouvelle version de SE. Elle permettrait de produire des styles plus complexes (donc plus adaptés aux besoins des utilisateurs) et elle s’abstrairait des lourdeur d’XML (que de bonnes choses donc). J’apprécie la tentative de redynamiser la communauté autour de ces problématiques. Malheureusement, nous sentons bien que les contributeurs de cette nouvelle version luttent pour imposer leurs idées sans réel support des éditeurs ou des communautés des principales solutions du marché (les standards de l’OGC qui n’ont été publiés que par l’énergie et la conviction d’une poignée de personnes ne sont pas rares).
Pourquoi la communauté se mobiliserait-elle autour de ces sujets ? Il faut bien constater que la situation actuelle a bien changé depuis la première publication de SLD (2002). A l’époque la seule manière réaliste d’appliquer des styles riches avec des services en ligne se trouvait plutôt du côté serveur (là où les données étaient stockées) surtout si les données étaient très volumineuses. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, on transmet de plus en plus de données vecteur au navigateur en lui demandant de faire le boulot graphique. Depuis quelques années, les tuiles vecteurs optimisées pour la diffusion sur le web (notez au passage que l’OGC a loupé le passage aux tuiles vecteur) remplacent les tuiles raster. Le besoin pour les applications clientes d’envoyer les styles aux serveurs chargés de produire les images se réduit donc progressivement. Sans oublier que les technologies évoluent nettement plus vite que les standards de l’OGC : à grand regret vous aviez mis de côté SE au profit de CartoCSS et on vous apprend que ce dernier est mort. Comment pourriez-vous encore croire en un sursaut de SE ?
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17:25
// Fanny & James : Mariage Ô Naturel //
sur GeomatickHello à tous, Je suis tellement contente de vous partager un de mes précieux moment 2017 : le mariage de mes amis -> Fanny et James METCALF ! C’était une très belle aventure que de travailler avec ces deux là […]
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11:16
// Love Etc. 2019 //
sur GeomatickHello à tous Je partage avec vous un de mes RDV préférés de l’année : La Love Etc organisé par la talentueuse Nessa aka La Mariée Aux Pieds Nus. Je suis conviée à participer à ce sublime évènement pour la […]
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12:29
WFS 3.0 et autres petites nouvelles de l’OGC
sur Neogeo TechnologiesWFS 3.0En parcourant rapidement un appel à participation au prochain testbed de l’OpenGeospatialConsortium, en vue de mieux savoir ce sur quoi cet organisme travaille actuellement, je me suis rendu compte qu’une version 3.0 de WFS était en cours de gestation.
Très peu d’informations semblent circuler sur ce sujet sur internet. J’ai essentiellement trouvé 2 choses intéressantes (en plus des informations présentes dans l’appel à participation) :
- le projet Github qui constitue l’espace de travail de l’OGC pour cette nouvelle version du standard;
- un article de Chris Holmes.
Ce que je retiens de ces sources d’information :
- WFS 3.0 sera vraiment REST et, en cela, présente une vraie rupture ou sacrée évolution de WFS : utilisation d’OpenAPI, JSON et codes d’erreur HTTP standards au programme.
- jusqu’ici, les standards de l’OGC mettaient en œuvre des schémas XML auxquels les requêtes et les réponses HTTP devaient se conformer. L’utilisation de tels schémas, ni même d’XML, ne semble pas requise pour mettre en œuvre WFS 3.0.
- la question de l’authentification et de la sécurité des accès aux données est prise en compte par l’OGC : l’utilisation d’OAuth2 est citée à la fois au niveau du projet Github et du testbed.
Un projet « Maps for HTML » visant à disposer d’éléments permettant d’intégrer facilement une carte dans le contenu de pages HTML comme on peut déjà le faire avec d’autres contenus multimédia (vidéos, sons…). Je suis plutôt content de cette évolution car pour tout vous dire, lors d’une réunion plénière de l’OGC à Bruxelles en 2011 portant sur HTML5 et la géolocalisation (cf. ici), j’avais demandé à un représentant du W3C et d’Opera si le W3C avait l’intention d’intégrer ce genre de chose au standard HTML. La réaction de l’assistance m’a fait comprendre que ma demande devait être complètement déplacée. Je vois que je ne suis plus seul à espérer un élément <(geo)map> dans HTML et cela ne devrait plus tarder à voir le jour. Quelques liens sur ce sujet : The HTML <map> Element proposal, Customized Built-In <map> Element et Maps for HTML Community Group.
Orléans en marsLes prochaines réunions du comité technique de l’OGC se tiendront à Orléans au cours de la semaine du 19 mars 2018 (cf. ici).
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11:31
// Charlène & Geoffrey, Mariage Canadien //
sur GeomatickHello tout le monde, Je vais vous faire découvrir un joli mariage que j'ai eu la chance de réaliser au mois de mai dernier. J'ai donc organisé et décoré le grand " OUI " de Charlène et Geoffrey : un […]
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12:23
Envoyer des SMS en Python avec l’API OVH
sur Neogeo TechnologiesUn petit post technique pour partager une expérience récente et servir aussi d’aide-mémoire tant il n’a pas été simple de trouver la configuration adéquate. Il s’agit d’envoyer des SMS depuis un script python, dans un contexte d’envoi d’alertes dans mon cas, mais ça peut aussi être utile dans d’autres cas (Nouvel an, Saint-Valentin…). On dispose pour cela de l’API OVH, pour peu qu’on y ait souscrit une offre SMS (c’est la partie la plus simple).
Charger l’API OVH en pythonPremière étape ensuite, disposer depuis Python d’un accès à l’API. Si comme moi vous commencez par la page « Premiers pas avec l’API » d’OVH, vous trouverez en bas de celle-ci le lien vers la « surcouche » de l’API en Python. Première erreur. Je ne sais pas si c’est déprécié ou n’a jamais bien fonctionné, mais il suffit en fait de passer par pip et d’installer la librairie ovh !
Donc :
pip install ovh
Et la meilleure doc est finalement là : [https:]]
Comprendre les différentes clés.Comme l’indique la première page de la doc de la librairie Python sur Pypi, l’instanciation d’un objet Client de l’API nécessite de transmettre trois paramètres liés à votre compte : une « application key », une « application secret » et une « consumer key » ! Pour les deux premières, c’est assez simple, il suffit d’aller à la page dédiée sur le site OVH : on y créé son « application » et en retour on obtient les clé applicative et son mot de passe. Pour la troisième ça se corse… Il faut faire un script permettant de la générer. Il est indiqué sur la page github, mais mérite qu’on s’y arrête :
# -*- encoding: utf-8 -*- import ovh # create a client using configuration client = ovh.Client() # Request RO, /me API access ck = client.new_consumer_key_request() ck.add_rules(ovh.API_READ_ONLY, "/me") # Request token validation = ck.request() print "Please visit %s to authenticate" % validation['validationUrl'] raw_input("and press Enter to continue...") # Print nice welcome message print "Welcome", client.get('/me')['firstname'] print "Btw, your 'consumerKey' is '%s'" % validation['consumerKey']
Déjà la partie de création de l’objet client suppose que vous appliquiez ce qui a été fait dans les paragraphes précédents de la doc (ce qui n’est pas forcément le cas). Donc on fait plutôt ça :
client = ovh.Client('ovh-eu', application_key='your_application_key', application_secret='your_application_secret, consumer_key='' )
Ensuite, modifiez aussi le script pour activer les droits nécessaires à l’envoi des SMS et à l’accès à votre compte :
# Request RW, /me and /sms API access ck = client.new_consumer_key_request() ck.add_recursive_rules(ovh.API_READ_ONLY, "/me") ck.add_recursive_rules(ovh.API_READ_WRITE, "/sms")
et lancez le script en ligne de commande.
Envoyer un SMS pour de vrai
Celui-ci va générer un lien, et vous demander d’appuyer sur Entrée pour continuer. Mais visitez bien le lien d’abord ! Sur la page web correspondante, validez les droits indiqués, choisissez leur limite de validité et seulement alors terminez l’exécution du script en appuyant sur Entrée en ligne de commande. Normalement vous obtenez alors votre précieuse « consumer key » qui va vous permettre d’instancier dans de nouveaux scripts des objets ovh.Client dotés des droits qui leur ont été associés. On va donc pouvoir envoyer des SMS via les méthodes de l’API OVH.On trouve vite dans la doc de l’API les URL à utiliser pour manipuler des SMS, qui recourrent toutes à une dimension « serviceName » référencée nulle part (non, ce n’est pas « sms »). Il faut récupérer cette dernière par une première requête à l’API, de la forme :
res = client.get('/sms')
qui renvoie un tableau avec une seule valeur, celle du nom interne de votre service, avec lequel on peut alors construire l’URL de base pour la suite :
url = '/sms/' + res[0] + '/jobs/'
On voit ensuite dans la doc de l’API qu’il suffit de faire un POST sur /jobs pour envoyer des SMS, mais la liste des paramètres obligatoires ou optionnels est longue et pas forcément juste… Si vous aurez sans doute des idées quant au contenu du message, il vous faudra obligatoirement un paramètre « sender » correspondant à l’expéditeur du SMS. C’est une string, mais qui doit correspondre à un compte expéditeur créé dans la console d’administation de votre compte OVH-Télécom. Il faut le savoir, d’autant que le paramètre est marqué comme facultatif dans la doc (mais l’API elle-même vous rappelle vitre à l’ordre lors de vos essais infructueux). Par défaut vous en avez un qui correspond à votre compte général OVH, mais vous pouvez aussi en créer de nouveaux, avec des noms plus adaptés à l’application. Une fois le nom du Sender récupéré dans l’admin, ça devient plus simple :
result_send = client.post(url, charset='UTF-8', coding='7bit', message="Votre message", noStopClause=False, priority='high', receivers= ["+336xxxxxxxx","+336xxxxxxxx"], senderForResponse=False, validityPeriod=2880, sender="Le nom du sender tel que proposé dans l'admin" ) print json.dumps(result_send, indent=4) # pour l'affichage du résultat de la transaction.
Remarquez néanmoins l’utilisation de la numérotation internationale et quelques paramètres dont la description est proposée dans la doc de l’API.
Normalement c’est bon, vos destinataires devraient recevoir leurs messages.A bientôt.
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12:25
De la complexité
sur Neogeo TechnologiesComplexité est le mot qui m’a le plus marqué lors de la dernière conférence européenne INSPIRE (qui s’est tenue il y deux semaines à Strasbourg). Il a été prononcé de manière très fréquente que ce soit en séance plénière par des techniciens de la chose, par des responsables de grandes administrations publiques, par des élus ou que ce soit lors de présentations plus restreintes.
Je retiens 2 interventions totalement différentes et frappantes. La première par Bruce McCormack devant un relativement petit auditoire. Il présentait le résultat d’une petite enquête (à laquelle j’ai participé) lancée très peu de temps avant la conférence auprès d’un nombre très limité de personnes portant sur une analyse SWOT (forces, faiblesses, opportunités, menaces) de la directive européenne INSPIRE. Le terme qui ressort le plus de cette analyse est complexité (à ranger dans la catégorie faiblesses pour ceux d’entre vous qui auraient un doute). Une autre faiblesse récurrente accompagnait cette complexité : le manque de cas d’usage concrets. Situation classique d’un projet pour lequel des choix techniques ont été faits avant de connaître les besoins concrets (les besoins abstraits étaient plutôt clairs et sont toujours parfaitement d’actualité).
La seconde intervention a eu lieu en séance plénière au cours de présentations de retours d’expérience sur des projets réalisés en régions. La fin de séance a été l’occasion pour chaque intervenant de donner sa vision de l’évolution de la directive INSPIRE. Mário Caetano est revenu brièvement sur la complexité d’INSPIRE en saisissant une perche tendue par Fabrice Phung. Grosso modo, sa vision des choses était que le monde que nous décrivons, nous géomaticiens, et les problèmes que nous cherchons à résoudre sont complexes par nature et que les prendre en main nécessite de manipuler des données et des outils complexes. La complexité serait donc inéluctable. De quoi faire sérieusement réfléchir.
On trouve la complexité un peu partout. La vie, l’univers et langage par exemple sont complexes. Appréhender de manière frontale des problèmes complexes est une mauvaise idée. En général, pour résoudre des problèmes l’homme utilise des abstractions. Deux d’entre elles sont intéressantes : la simplification et la généralisation. La simplification consiste à ne retenir que certaines caractéristiques du phénomène observé en supposant que les perturbations non prises en compte dans ce modèle simple sont négligeables dans le cadre de l’étude. Exemple : tous les corps en chute libre tombent à la même vitesse… si l’on suppose que le champ gravitationnel est uniforme, si l’on fait abstraction de toutes les autres forces et si les corps en question sont lâchés en même temps et à la même vitesse… C’est simple et efficace : on gère la majorité des cas de la sorte tant que les besoins et les capacités de mesure ne deviennent pas incompatibles avec la précision du modèle.
Le problème en sciences c’est qu’il arrive toujours un moment où l’on constate que le modèle adopté jusqu’ici n’est plus adapté. Souvent, maintenir un modèle simple ne permet pas de prendre en compte tous les paramètres dont l’on a besoin. Lorsque l’on souhaite intégrer un plus grand nombre de phénomènes apparemment distincts dans un même modèle on procède à une généralisation. C’est le cas par exemple de la théorie de la gravitation universelle de Newton qui couvre à la fois les phénomènes de chute des corps décrits par Galilée et les déplacements des planètes. C’est aussi le cas de la théorie des cordes, chère à Sheldon Cooper, qui s’attache à prendre en compte dans un même modèle la mécanique quantique et la relativité générale. Ces généralisations ne procèdent pas du tout d’une simplification (sauf dans le cas de la généralisation cartographique mais c’est hors sujet ici). Elles visent à définir un modèle plus général capable de prendre en compte des phénomènes jusque là considérés comme étant à la marge par les outils préalablement disponibles. La généralisation apporte un niveau de complexité égal à tous les phénomènes qu’elle englobe avec cet effet de bord qui consiste à ajouter de la complexité là où il n’y en avait pas, peu ou moins. À force de généralisations on arrive donc à une complexité de plus en plus importante pour une plus-value qui ne s’exprimera, la plupart du temps, que dans des cas de plus en plus marginaux. Excellent article scientifique dénonçant la généralisation à outrance : la montre à moutarde (désolé si mon sarcasme a touché ceux parmi vous qui en ont acheté une).
La complexité n’est pas une mauvaise chose en soit. En particulier, elle permet de faire des avancées majeures en recherches théoriques qui pourront ensuite déboucher sur des applications plus courantes. Elle est simplement déplacée lorsqu’on nous l’impose, lorsqu’elle ne répond pas à l’un de nos besoins majeurs et lorsque nous ne sommes pas armés pour y faire face. Fixer quelque chose avec un clou est une opération relativement complexe en soi. Mais voilà, on peut acheter toute sorte de clous pour toute sorte de matériaux, choisir le marteau adapté et n’importe quel voisin digne de ce nom vous expliquera comment faire si vous avez des doutes. De surcroît, en général, vous ne devez pas fabriquer vos propres clous, ni votre marteau, vous ne devez pas lire 200 pages de spécifications avant de vous lancer, vous êtes la plupart du temps certains de l’utilité de planter un clou et dans le pire des cas, si vous avez affreusement mal aux doigts après le premier coup de marteau, vous savez pourquoi et êtes suffisamment malin pour comprendre d’où cela vient et comment ne pas le refaire au prochain coup.
Mais alors, qu’est-ce qui nous a pris avec GML, ISO19115/19139 et d’autres trucs dans le genre ? Pourquoi nous imposons-nous autant de souffrance ? Nous n’avons pas les outils pour écrire de tels fichiers ni, parfois, pour les lire ; nous avons toujours des doutes sur les informations censées être obligatoires à mettre dedans ; notre gentil voisin (celui avec les lunettes, qui est toujours plongé dans des livres bizarres et que l’on n’invite pas à nos fêtes) en a de plus en plus ras le bol de venir nous dépanner pour finir nos fiches de métadonnées (il faut dire qu’au bout de 10 ans nous n’avons toujours pas compris qu’il ne faut pas mettre à la fois une résolution et une échelle dans vos fiches) ; nous ne sommes même pas convaincus de la plus-value de ces formats par rapport à ce que nous utilisions avant. Je suis amer et sévère ? Parlons un peu des outils, tiens : un logiciel qui nécessite d’avoir le même niveau de compétence pour l’utiliser (pas pour le réparer, hein) que celui qui l’a conçu n’est pas vraiment un outil de mon point de vue.
Cela me fait penser au petit voisin qui a bravement surmonté l’épreuve des additions, puis celle des multiplications, et à qui il faut expliquer comment faire manuellement une division. Cela peut être un vrai calvaire pour certains, surtout quand il a conscience que n’importe quelle calculette fait le travail sans râler. C’est plus facile pour ceux qui ont le cerveau adapté aux maths, ceux qui ont des lunettes et qui voient l’intérêt de la chose (pas évident à cet âge). Voilà, la complexité est un facteur d’échec, voire d’abandon. Par voie de conséquence, c’est aussi une cause de sélection, volontaire ou non. Alors, dans la cadre d’un texte réglementaire qui doit être mis en œuvre de manière généralisée la complexité me semble être un excellent moyen de ne pas atteindre des objectifs et donc un bon moyen de programmer son propre échec (avec une admirable dose d’enthousiasme au départ ceci dit).
GML et ISO 19115 sont pour moi des exercices de style de généralisation des données et métadonnées pour prendre en compte n’importe quel besoin. Quelle est la plus-value d’utiliser un format qui permet de décrire un simple carré de plus d’une vingtaine de manières différentes (cf. GML Madness) ? Pourquoi codifier les informations de qualité et de généalogie dans des métadonnées en XML alors que ces informations ne sont pas exploitées de manière automatique par les moteurs de recherche, que ces informations sont difficilement exploitables par un humain normalement constitué ? La plus-value est-elle à la hauteur des efforts sans cesse renouvelés de développement, sensibilisation, formation, support technique sur ces formats, outils de saisie et de contrôle ? L’investissement réalisé par tous (les animateurs des démarches d’INSPIRE, les développeurs, les administrateurs, les producteurs et les utilisateurs) sur ces sujets techniques me paraît démesuré au regard de pratiques pragmatiques alternatives plus efficaces et appréciées : pour les métadonnées par exemple, un bon vieux Dublin Core avec quelques références à des documents lisibles par des humains pour les informations les plus complexes.
Oui, la complexité est partout dans notre monde. Elle est présente aussi en géomatique. Mais on n’est pas obligé de la subir et le meilleur moyen de la traiter est de la reporter soit dans des outils éprouvés qui savent la gérer (ce qui n’est pas franchement le cas dans la panoplie d’outils que nous utilisons) soit en la reportant dans des documents annexes en langage naturel que la plupart des géomaticiens savent lire et interpréter.
La complexité fait partie des mots que l’on utilise facilement sans trop savoir comment le définir. D’ailleurs, je ne m’y suis pas risqué. Je préfère rester dans le domaine de la perception. Personnellement, je situe la complexité dans le giron de la douleur. En général, la complexité est subie. Certains pervers la font subir aux autres ; ça arrive. Mais arrêtons de nous l’infliger nous-mêmes à grande échelle et par voie réglementaire qui plus est !
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12:24
Voyage en Inspirie
sur Neogeo TechnologiesLa semaine dernière j’ai posé mes valises en Inspirie. Un court séjour.
Préparation
L’Inspirie est le fruit d’une utopie géniale : un mélange de libre échange, de partage, d’harmonisation. L’idée qui se cache derrière : sans produire plus, en limitant le gâchis, devenir collectivement plus riches et devenir plus efficace. L’évolution ultime de notre civilisation pour certains ou un projet de méga secte pour d’autres. Le voyage était tentant.Je m’étais préparé de longue date : téléchargement de guides, téléchargement d’applications, de données, consultation de la réglementation locale, nombreux échanges avec sa diaspora. Bref, cela faisait plus de dix ans que je préparais ce voyage (l’Inspirie fête ses dix ans). J’étais prêt. Il faut dire que j’avais l’impression de maitriser la langue et les pratiques locales. Néanmoins, j’appréhendais. Il faut bien dire que la variabilité des retours sur cette contrée mythique étaient très déroutants. Vous comprendrez bien que le commercial de votre agence de voyage spécialisée en activités extrêmes et le touriste rapatrié en urgence n’utilisent pas le même vocabulaire pour décrire cette contrée. Pas facile de se faire une idée précise de ce pays. Une chose étais sûre : il ne laissait pas indifférent ses visiteurs.
Toujours est-il que j’y ai mis les pieds, mon guide du routard en poche (ses annexes et ses « technical guidances » dans le sac à dos). Curieux, avide de découvrir des cultures et paysages étranges, et cherchant à relever de nouveaux défis cette destination était inévitable.
DevisePremière étape : les devises. Mieux vaut être prévenu : l’Inspirie n’est pas en zone Shapefile, ni en zone GeoJSON. Vous devez vous rendre dans un bureau de change (en général c’est une enseigne HALE) pour convertir vos fichiers à plat et vos tables en GML. Attention, prévoyez un gros porte-monnaie car la monnaie locale est plus encombrante.
Les Inspiriens ont une relation très étrange avec cette monnaie. Les échanges commerciaux doivent utiliser le GML. Rien de vous empêche de posséder des devises (Shapefile, GeoJSON, TAB…). Mais uniquement pour votre usage personnel. Autant dire qu’elles n’ont aucune valeur dans ces conditions (à part les contempler et les montrer à vos proches). Plus étonnant encore, vous avez le droit de faire des copies parfaites de GML. Vous pouvez aussi les diviser ou les coller ensemble. En fait, chaque coupure de GML est numérotée et c’est uniquement ce numéro qui compte. Photocopier des GML ne vous rend donc pas plus riche (contrairement à ce que l’on connaît chez nous avec les Shapefiles). C’est aussi pour cette raison que les Inspiriens les laissent en permanence à la banque alors que chez nous on les accumule sous des matelas. Cela se comprend. Une faillite de nos banques est vite arrivée faute d’échanges financiers entre banques. En Inspirie, les banques se soutiennent les unes et les autres. On peut changer de banque sans formalité et nos biens sont disponibles dans n’importe quelle banque en toute transparence et sans frais.
FauneMais bon, si l’on va en Inspirie, ce n’est pas pour sa monnaie. C’est plutôt pour sa faune. Le pays entier est une sorte de parc naturel dans lequel on peut facilement observer des ouebservices. Animaux grégaires, sociables et capricieux. Certains sont très spectaculaires et se laissent approchés alors que d’autres se cachent. Certains peuvent se domestiquer. Certains peuvent être effrayants sans pour autant être dangereux.
La plupart d’entre eux ont une utilité pour l’homme (même s’ils se montrent pas toujours au grand jour). Il faut dire qu’ils sont le fruit d’expériences de généticiens. Certaines d’entre elles semblent avoir mal tourné. [On raconte qu’au départ les premiers ouebservices wéhaifesse avaient tendances à produire des KKML. Un généticien fou aurait réussi à faire en sorte qu’il en sorte du GML à la place. Difficile d’y croire. Sans doute une blague pour se moquer de ces savants fous.] L’utilité des ouebservices dans l’ensemble ne fait pas de doute. Néanmoins, les spécialistes ne sont pas d’accord sur la manière de les nourrir, de les faire se reproduire ou de les exploiter. Ce sont des animaux complexes et très récents. Il est donc légitime que les connaissances qui les concernent fassent débat (même chez leurs créateurs). L’utilité de certains est encore inconnue ou spéculative (la branche des ouebservices invokus). D’autres auraient une utilité évidente dans nos contrées et pourtant sont complètement délaissés en Inspirie : les ouebservices téjihaisse. Ces derniers sont trop rares par chez nous. On se demande si cette espèce n’est pas en train de disparaitre. Il faudrait sans doute qu’elle évolue pour survivre. [Il semblerait que des généticiens soient sur l’affaire]
Beaucoup de touristes veulent adopter un ou plusieurs ouebservices à la suite d’une visite en Inspirie. Malheureusement, s’en occuper nécessite bien souvent des compétences très pointues. De plus leur adaptation à un nouveau régime alimentaire est difficile. Sans parler de leur caractère ; ils ne sont jamais violents mais leurs caprices nécessitent beaucoup de patience. Il n’est pas rare que leurs propriétaires peu expérimentés les abandonnent. Il faut savoir qu’il est aussi possible de mettre ses ouebservices en pension. Ainsi vous pouvez en profiter tout en confiant leurs soins quotidiens à des spécialistes.
Ambiance localeLa population locale, ses mœurs et coutumes laissent une impression étrange :
– un enthousiasme phénoménal de la population dans une ambiance de messages positivistes placardés sur tous les murs par le gouvernement local. Étonnant ce pays où les autochtones donnent l’impression d’être plus heureux que les touristes. Réalité ou subversion ?
– un mélange de liberté totale et de règles de bonnes conduites très complexes. Comment expliquer que l’on a l’impression permanente que la police locale risque de vous tomber dessus (alors que l’on ne la voie jamais) ? Un exemple que presque tous les touristes dans ce pays ont connu au moins une fois : on sort machinalement de son porte-monnaie un billet de Shapefile (que l’on a oublié de convertir au bureau de change) pour se payer un petit souvenir ; le commerçant nous regarde gentiment, hésite un peu avant de le prendre et pendant cette hésitation on se demande s’il va l’accepter ou s’il va appeler la police pour fabrication, recel et usage de fausse-monnaie. La recette pour régler ce moment de gêne bilatéral : on lui explique avec une dose assumée de mauvaise foi que l’on est nouveau et que l’on n’a pas encore assimilé toutes les usages du pays.
– une population locale très peu nombreuse (comparée à celle des touristes qui traversent sans cesse le pays). Elle semble vouloir accueillir le reste du monde à bras ouverts. De fait, on croise plus touristes que d’autochtones. Les premiers demandant en permanence aux seconds de leur expliquer, réexpliquer, réexpliquer, réexpliquer les bons usages locaux (on croit les avoir compris la première fois mais dès qu’on essaie de les mettre en œuvre le doute vous submerge inévitablement). Effectivement, quand on est chez soi on a facilement l’impression que les choses simples sont faites partout de la même manière. Les choses simples devraient être universelles en somme. Mais cette vision des choses n’est plus aussi évidente dès que l’on traverse la frontière (ou même simplement en lisant les guides touristiques).
EvolutionDe l’avis général des touristes, le pays a besoin d’être réformé s’il veut continuer à exister (pas uniquement dans le domaine touristique). La complexité des usages et pratiques locales est un défi souvent bien trop important pour ceux qui n’y sont pas nés. Visiblement, ses dirigeants en ont conscience et promettent des changements.
Nous verrons si cette destination tiendra ses promesses.
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14:45
Datagistips
sur Data and GIS tipsdatagistips, axé sur l’opensource SIG et l’opendata des données spatialisées, essaie de rendre la donnée amusante, via des cas d’usage inspirés du quotidien. Il informe aussi de nouveautés, sur certaines technologies, à appliquer dans le domaine de la géomatique. Se voulant original, il tente de relier au domaine SIG, des sphères communément extérieures à celle-ci : celle des statistiques, de la récupération de données depuis Internet, ou du design génératif appliqué à la cartographie. -
22:15
Parcourir le Monde
sur Data and GIS tipsQuel est l’itinéraire idéal pour parcourir le Monde ? Combien de temps de vol cela prendrait ? Quels sont les deux pays les plus distants l’un de l’autre ?Dans ce post, j’ai fait mumuse avec la carte du globe, et appris des choses au sujet des distances orthodromiques et des voyageurs de commerce. Bon voyage ! Dernièrement, j’ai eu un échange avec @matamix au sujet du calcul de trajets permettant de couvrir un ensemble de points de façon optimale. Nous avons échangé au sujet … Continuer la lecture de Parcourir le Monde → -
15:30
Le sport en France métropolitaine et le leurre cartographique
sur Data and GIS tipsDans ce post, nous allons voir comment réaliser un leurre cartographique, soit la réalisation d’une carte représentant un territoire totalement façonné par des données. Plus précisément, nous verrons la conception d’un territoire de la pratique sportive par départements en France.  Territoire physique et territoire vécu Le territoire physique, tout le monde le connaît. Le paysage se déploie sous nos yeux de façon continue, façonné par des variables non discrètes dans l’espace, à savoir le climat, le relief, etc… Mais le territoire perceptible est-ce il … Continuer la lecture de Le sport en France métropolitaine et le leurre cartographique →
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12:27
pgRouting: Méthodes de création d’isochrones
sur GEOMATIQUEEn cartographie, une courbe isochrone est une courbe géométrique délimitant les points accessibles par un véhicule – terrestre ou aérien – en un temps donné (par exemple, la zone pouvant être desservie en moins de 30 minutes par un livreur de pizza ou un dépanneur de matériel informatique). Pour comparer, voici des exemples d’isochrones avec […]
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21:51
Des statistiques et des bulles d’iris qui flottent sur Paris
sur Data and GIS tipsCet article traite des cartes avec camemberts, des problèmes que cela pose d’un point de vue graphique, et cartographique. Mais surtout, nous verrons la conception d’une carte socio avec diagrammes, par contour IRIS à Paris, qui s’appuie sur le circle packing. Tout ça en essayant d’être rigolo. Cliquer sur l’image modes de pour voir en grand La tarte tatin, c’est bon …enfin, ça dépend Les twix, c’est meilleur que les donuts Les américains, ils disent que les tartes aux pommes, c’est pas bon. En … Continuer la lecture de Des statistiques et des bulles d’iris qui flottent sur Paris → -
14:27
Le bâti de Paris façon réseau ou comment faire des gribouillis avec R comme avec Processing
sur Data and GIS tipsParis sous forme de réseau. Non, on ne parle pas de rues, mais de bâti. Dans cet article, nous proposerons le passage d’une représentation à plat des bâtiments en une figuration sous forme de lignes, aux multiples évocations. On verra qu’avec R, on peut faire certaines choses comme Processing, l’outil de référence en design génératif. La carte Cliquer sur l’image pour la voir en grand sur flickr Sur cette carte est représenté le bâti de Paris sous la forme d’une toile. Chaque point de … Continuer la lecture de Le bâti de Paris façon réseau ou comment faire des gribouillis avec R comme avec Processing → -
19:53
Plongée dans l’absurde de la cartographie
sur Data and GIS tipsÇa et là apparaissent sur la Toile des cartes qui revisitent des thématiques a priori banales sous un angle d’approche assez insolite. Dans ce billet de début d’année, nous en listerons quelques-unes avant de nous attaquer à la réalisation d’une carte qui soulève les océans et immerge les montagnes. Attention, tout ce qui suit ne doit pas toujours êtres pris au premier degré. Petit cabinet de curiosités cartographiques Le problème, c’est que quand on met la carte dans le “bon” sens, le texte est … Continuer la lecture de Plongée dans l’absurde de la cartographie →
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14:15
Bonne année 2016
sur GEOMATIQUEBonne année 2016
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17:11
Corine Disco Cover
sur Data and GIS tipsThis post is about the making of an experimental video that dives into the land cover of Paris & its surroundings with a hint of RGB magic. You’ll see the purpose of gridding, how to cross a vector and a raster layer in R. Finally we’ll cover one of the latest functionnality of QGIS 2.12 : data-defined layer combinations in atlases. If the world were square do you prefer ice creams or sandwiches ? Matrix is the first movie approaching grids Gridding is a way … Continuer la lecture de Corine Disco Cover →
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17:27
Configuration Geonetwork 3 / PostgreSQL/Postgis
sur GEOMATIQUEVoici la solution après une journée perdue dans les méandres du web pour chercher une solution pour connecter notre base de données avec géonetwork. 1- Installer Tomcat à partir de ce lien [tomcat.apache.org] 2-Télécharger le war de Geonetwork 3 ici: [sourceforge.net] et déposer le dans le webapps de Tomcat 3-Télécharger et installer postgreSQL 4- Creer […]
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12:48
Streets of Paris Colored by Orientation
sur Data and GIS tipsRecently, I read an article by datapointed which presented maps of streets of different cities colored by orientation.The author gave some details about the method, which I tried to reproduce. In this post, I present the different steps from the calculation in my favorite spatial R ToolBox to the rendering in QGIS using a specific blending mode. The code is given at the end of the article.Data used in this post is from OpenStreetMap contributors :Get it on OSM Metro Extract or GeoFabrik First, polylines are split into lines. … Continuer la lecture de Streets of Paris Colored by Orientation → -
9:04
whatGoogleSuggestsFor() : Using Google Instant to map Stereotypes or Sentiment (in R)
sur Data and GIS tipsSome interesting things emerge when using Google Instant service from different countries. The whatGoogleSuggestsFor() function will take a string as an input and return a list of suggestions by Google based upon Google Instant Service. Good to map stereotypes or analyze sentiment of a brand. The code is at the end. For instance, we could get stereotypes attributed to France, seen from the US > whatGoogleSuggestsFor(“why france”, domain=”us”) … Continuer la lecture de whatGoogleSuggestsFor() : Using Google Instant to map Stereotypes or Sentiment (in R) →
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Hot new features in OpenLayers 3
sur CamptocampEnclosure: [download]
OpenLayers 3 will be the proud successor of the widely used OpenLayers 2 map visualisation javascript library. -
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QGIS and GeoServer: creating styles
sur CamptocampEnclosure: [download]
In Open Source software development, there is a strong tendency to create software having precise objectives. It is thought that a good specific tool is better than a complex and complicated one.
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18:08
QGIS 2 : Artificialisation du sol en Île de France // Les modes de rendu par fusion
sur Data and GIS tipsDans cet article, nous allons voir comment tirer parti des modes de rendu révolutionnaires de la version QGIS 2 pour représenter le phénomène d’artificialisation en Île-de-France de 1990 à 2006. Selon Wikipédia, “on parle d’artificialisation du sol ou d’un milieu, d’un habitat naturel ou semi-naturel quand ces derniers perdent les qualités qui sont celles d’un milieu naturel”. L’artificialisation se produit le plus souvent lors de la construction de bâtiments, d’infrastructures de transport. Elle amène l’imperméabilisation des milieux et est d’autant plus dramatique lorsqu’elle concerne … Continuer la lecture de QGIS 2 : Artificialisation du sol en Île de France // Les modes de rendu par fusion →
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1:16
NAVX in 30 seconds
sur Navx -
16:33
Interview in Telematics Update: the connected head-unit is an enabler
sur NavxNAVX was recently interviewed by Susan Kuchinskas, for Telematics Update (here).
NAVX discussed the return on investment for OEMs launching connected services :
"Apps and content are not the car manufacturers’ only business. OEMs are selling a car, a service, maintenance and all kind of other stuff. Of course, if they just look at the PNL for buying content, they are clearly in the red. But if they look at the PNL of the company, they are selling cars with head units that will allow them to introduce new services, to understand better their clients and to generate new sources of revenue or increased loyalty.”This is indeed a crucial driver for telematics today. The connected head-unit should be considered as an enabler, allowing car manufacturers to transform their activity from "selling cars" to "selling services".
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14:19
NAVX fuel prices coverage
sur NavxNAVX is proud to announce that its fuel price database now covers 2 continents (Europe and Latin America) and 25 countries.
The most recent additions are Russia, Czech Republic and Mexico.
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16:33
NAVX lance deux applications connectées sur la Peugeot 208
sur NavxNAVX fournira les applications Carburant et Parking de Peugeot Connect Apps, nouveau service connecté lancé par Peugeot courant 2012. Ces applications indiquent aux conducteurs des nouvelles 208 les prix des carburants et à la disponibilité des parkings.
Proposée en avant-première sur 208, Peugeot Connect Apps est une nouvelle offre disponible dans 17 pays européens. Peugeot Connect Apps permet d’accéder à un univers d’applications intelligentes via l’écran tactile intégré au véhicule.
L’application Carburant de NAVX utilise les données du véhicule telles que la position GPS, pour indiquer une station-service en fonction de la distance et du prix. Les prix sont mis à jour quotidiennement par NAVX.
L’application comporte une dimension communautaire permettant aux automobilistes de saisir le prix constaté à la pompe, et offre en outre la possibilité de gérer son budget carburant mensuel.
L’application Parking de NAVX permet aux conducteurs de trouver un parking disponible à proximité et de connaître les tarifs et les services proposés. Sur certains pays, l’application affiche en temps réel la disponibilité, qui est indiquée via un code couleur.
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21:24
NAVX conteste le décret
sur NavxDepuis plusieurs mois, le Gouvernement a entamé un processus visant à rendre les avertisseurs de radars illicites. Dans le cadre d'un protocole signé avec une association représentant des fabricants d'avertisseurs de radars, le Gouvernement avait laissé entendre que seuls les produits indiquant des zones de danger seraient autorisés.
NAVX a toujours refusé de s'associer à cette démarche, considérant qu'elle n’aurait pour effet que de rendre inutilisables des avertisseurs de radars dont l’interdiction est, selon elle, dépourvue de base juridique.
Or, le 3 janvier dernier, le gouvernement a publié un décret réprimant les usagers de la route qui utilisent, détiennent ou transportent un avertisseur de radars.
NAVX ne comprend pas ce qui justifie l’entrée en vigueur d'un texte aussi répressif.
De plus, ce décret constitue une véritable rupture avec la politique antérieure qui autorisait la publication de l’emplacement des radars sur le site de la Sécurité Routière et leur diffusion sur téléphone mobile, GPS et avertisseurs car de telles informations étaient considérées comme un facteur de sécurité.
Nous considérons que ce décret enfreint le droit de chacun de communiquer des informations publiques, et qu’il atteint le droit de propriété des usagers. (Rappelons notamment que votre véhicule peut être saisi par les forces de l'ordre).
Il faut souligner également que rien ne permet d’affirmer que les produits supposés compatibles avec le protocole signé par le Gouvernement ne soient pas interdits par ce texte.
Devant ce fait sans précédent, nous avons déposé le 13 janvier dernier un recours devant le Conseil d'Etat visant à suspendre, puis annuler le décret.
La sécurité routière et la diminution des accidents restent la préoccupation de tous et en particulier de NAVX. Cependant, nous pensons que ce n'est pas en promulguant un décret violant les libertés fondamentales qu'on attendra cet objectif. C'est en contribuant à l'éducation des usagers de la route d'une part, et en donnant aux forces de l'ordre d'autre part les moyens de repérer les contrevenants.
Nous espérons que le Conseil d'Etat saura reconnaître la légitimité de notre position et annulera ce décret.
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18:55
NAVX at Telematics Munich - Nov 9-10
sur NavxThis week, on Nov 9-10, NAVX will be at Telematics Munich. An opportunity to meet, share, exchange with an impressive list of 400 professionals of the Automotive, Telematics and Navigation industries.
The "connected car" is allowing for a whole set of innovative services. Car drivers will remain connected in their car, accessing dynamic and valuable information to optimize their trips (navigation, fuel prices, parking availability, etc). They will be safe thanks to eCall and remote diagnostic. They will access information about local commerces, hotels and restaurants, etc. And why not entertainement and social networking.
Of course, business models, choice of platforms and connectivity as well as many other issues need to be addressed. And that's certainly what will be debated in Munich this week.
Contact us if you want to explore dynamic content for connected cars !
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16:27
NAVX at i7-Summit 2011
sur NavxOn October 12-14, NAVX will participate to the i7 Summit organized by in the Chateau of Chantilly.
This event, organized by Jean-Bernard Guerree, founder of Avisé Partners is a Global Conference on Technology, Innovation, Entrepreneurship and Society.
An opportunity to debate and exchange views with VCs and entrepreneurs.
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15:20
Google bets on quality content
sur NavxIn a bold move, Google announced yesterday that it had acquired Zagat, the famous US Restaurnant guide.
Zagat's guides rely on user-generated content (consumer reviews) which are monitored and edited by a team of experts.
This news is not surprising. As we explained recently, quality content can only be produced through combining various sources of information (including user-generated content), automated algorithms and manual work. At NAVX, we implement these types of processes in what we call a Content Factory, relying on a scalable platform, an efficient Content Management System and a team of content specialists.
The acquisition of Zagat shows that Google is serious about content quality.
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16:24
NAVX at the 15th European Park Association Congress
sur NavxOn Septembre 14-15, NAVX is participating to the European Park Association congress in Torino. It will be an opportunity to present Parkinfo, our information service about parking in France.
Contact us if you would like to meet in Torino.
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14:38
Google not good enough
sur NavxMaps and geolocalisation allowed for the huge success of personal navigation devices, then became a standard feature in smartphones, and are now getting embedded directly in cars.
Maps and navigation software are nowadays pretty good in most of Europe and the USA. However, finding a point of interest (e.g. a shop, theater, gas station, parking, etc) is still very adventurous: the place will often have changed name, or closed down, maybe moved to a different address. Or new places will have appeared and won't show up on the map. And the geolocalisation will be wrong.
Providing reliable points of interest on a map is therefore critical to a growing number of applications and devices.
In this respect, Google Maps is not good enough, as reported by the New York Times here.
This is why some companies, including NAVX, run a Content Factory. The factory collects and verifies information about points of interest, not only using smart algorithms but also relying on a team of specialists and operators who interact directly with brands, shops and other outlets.
Building and running a Content Factory has a cost, but can be done in a scalable way, allowing to produce best-in-class content for the satisfaction of customers.
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[Les GéoBlogs] Les GéoBlogs sont de retour...
sur Géoblogs (GeoRezo.net)<a href=" [georezo.net] class="aligncenter size-full wp-image-41" src=" [georezo.net] alt="" /></a> <br> <br> <a href=" [georezo.net] class="aligncenter size-full wp-image-43" src=" [georezo.net] alt="" /></a> <br> <br> <a href=" [georezo.net] class="aligncenter size-full wp-image-45" src=" [georezo.net] alt="" /></a> <br> <p style="text-align: center"></p> <br> <p style="text-align: center"><a href=" [georezo.net] class="aligncenter size-full wp-image-46" src=" [georezo.net] alt="" /></a></p> <br> <p style="text-align: center"><a href=" [georezo.net] class="aligncenter size-full wp-image-47" src=" [georezo.net] alt="" /></a></p> <br> <p style="text-align: center"><a href=" [georezo.net] class="aligncenter size-full wp-image-49" src=" [georezo.net] alt="" /></a></p>
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20 juin 2022 : journée nationale des données foncières
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Journée nationale des données foncières : Attention : date en cours de modification
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