Vous pouvez lire le billet sur le blog La Minute pour plus d'informations sur les RSS !
Feeds
4771 items (0 unread) in 101 feeds
-
Décryptagéo, l'information géographique
-
Revue Internationale de Géomatique
-
SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatique
-
Imagerie Géospatiale
-
Geospatial made in France
-
GéoTrouveTout
-
Humblogue
-
le blog decigeo
-
Articque - Les Sytèmes d'Analyse Géographique, la cartographie, le géomarketing et la géostatistique
-
GeoConcept
-
arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
-
arcOpole - Actualité du Programme
-
Géoclip, le générateur d'observatoire cartographique
-
Le blog de Geomatys
-
Camptocamp
-
Blog GEOCONCEPT FR
-
Cartographie – Icem7
-
Monde géonumérique
-
GeoInWeb
-
Le monde de la Géomatique et des SIG ... tel que je le vois
-
Géographie 2.0
-
BloGoMaps - google maps france
-
GeoRezo.net - Géoblogs
-
Geotribu
-
Benjamin Chartier
-
neogeo
-
OpenSource, Geospatial et Web ?.0
-
Faire joujou avec son GPS
-
Géomatique et Topographie
-
HelioMap
-
La chronique de la parallaxe
-
Remote In Every Sense
-
UrbaLine
-
GEMTICE
-
Serial Mapper
-
SIG-o-Matic
-
Librairie La GéoGraphie • Actualité internationale
-
Les Cafés géographiques
-
Une carte du monde.
-
Les blogs du Diplo - Visions cartographiques
-
Oslandia
-
Inventis Géomarketing
-
Blogue de la géomatique du MSP
-
Blog technique de Nicolas Boonaert
-
WebMapping
-
A GeoSpatial World
-
Cartes et Cartographie / Maps and Mapping
-
Sample Digital Orthophoto Images
-
RSS Libre@vous
-
Blog d'Intelli3
-
Audissey
-
GeoReader's Digest
-
Michael TRANCHANT
-
Le blog d'Henri Pornon
-
Data and GIS tips
-
Geo By The Cloud
-
123 Opendata
-
ReLucBlog
-
L'Atelier de Cartographie
-
AdrienVH.fr, le blog » Cartographie
-
Cartes et figures du monde
-
Baptiste Coulmont » cartographie
-
l'aménagerie » SIG
-
geomarketing.ca
-
Libertic
-
My Geomatic
-
OpenStreetMap France
-
Sigea : actualités
-
Géosource
-
www.touraineverte.com
-
archeomatic
-
Geographica » Cartographica
-
Tutoriels et formations gratuits des logiciels SIG ArcGIS, MapInfo, ArcView GIS etc.
-
simon mercier
-
GIS-blog.fr
-
Séries temporelles
-
Le blog d'Alexandre Cazaux
-
Veille cartographie
-
TempoGéo
-
Chroniques Cartographiques
-
Carnet (neo)cartographique
-
GEOMATIQUE
-
Geomatick
-
Planet Geospatial - http://planetgs.com
-
Google Maps Mania
-
All Points Blog
-
Directions Media - Podcasts
-
Navx
-
James Fee GIS Blog
-
OGC News Feed
Dans la presse
-
17:14
GéoDésirs : une exposition de Ghislaine Escande à Issy-les-Moulineaux jusqu’au 31 mars
sur Décryptagéo, l'information géographiqueGéoDésirs – Exposition de Ghislaine Escande Espace Andrée Chedid – Issy-les-Moulineaux du 3 au 31 mars 2021Pas de vernissage, malheureusement, mais la possibilité de faire une visite sur rendez-vous (à prendre auprès de moi en répondant à ce courriel ou par téléphone au 01 41 23 82 82). L’Espace Andrée Chedid est un très beau lieu, l’exposition est répartie sur l’ensemble (covid oblige, public limité à 6 personnes par salle).
Si vous pouvez venir les samedis 6, 13 et 20 mars entre 14h30 et 17h30, prenons rendez-vous, je serai là. Je serai aussi présente le mercredi 13 car nous aurons la chance d’accueillir Gilbert Lascault, qui lira ses textes (rencontre filmée et mise en ligne).
Une visite virtuelle sera très prochainement mise en ligne sur la page Facebook de l’Espace et sur la mienne, ma page perso, mon compte Instagram et mon site internet.
Désir d’évasion, de voyage ? Suivez le guide, GéoDésirs vous transporte ailleurs.
Empruntez La Route de l’Arpenteur qui passe sur le mur d’images de l’entrée de l’Espace Andrée Chedid, tournez ensuite à gauche dans la salle Entre Nil et Seine pour découvrir le livre virtuel de Melissa Ruba, également réalisé à partir de La Route de l’Arpenteur, mon livre d’artiste. Faites ensuite le tour de la salle, cartes thématiques et mondes recomposés vous emmènent aux confins du réel et de l’imaginaire. Engagez-vous ensuite sur la passerelle à la recherche d’un Paris perdu et retrouvé, poursuivez votre recherche dans la salle L’Autre. Reprenez votre chemin pour assister à des leçons de géographie insolites, données par des professeurs très divers à des élèves que vous reconnaîtrez peut-être… Montez à l’étage supérieur, d’autres paysages planétaires vous attendent. Le voyage est offert, à faire et à refaire ; il vous entraîne près et loin d’Issy avec humour et poésie. La visite sera guidée et virtuelle, on vous prépare un petit film et des ateliers. Bientôt en ligne !
Pour visiter mon site, c’est par ici
Cet article GéoDésirs : une exposition de Ghislaine Escande à Issy-les-Moulineaux jusqu’au 31 mars est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:53
Open Data : Enedis participe à un projet collaboratif mondial d’échange de données
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnedis et OpenStreetMap (OSM) France viennent de signer une convention pour 3 ans, qui marque un pas supplémentaire vers l’échange de données cartographiques à grande échelle. Engagée dans l’Open Data depuis 2015, Enedis s’allie à un projet collaboratif de renommée internationale pour mettre à disposition ses données de réseau et favoriser le crowdsourcing. Ce partenariat est un pas de plus dans cette révolution de la confiance engagée par l’entreprise au travers de son Projet Industriel et Humain 2020-2025.L’enrichissement de cette base de données s’effectue sur la plateforme commune : [https:]
Les données géographiques sont de plus en plus importantes pour les écosystèmes numériques.
L’Open Data : une solution gagnant-gagnant, au service des clients
Lancé en 2004, le projet OpenStreetMap propose de manière collaborative de fournir une description détaillée du monde entier, sous la forme d’une unique base de données géographiques. Ses 7 millions de contributeurs enregistrés dans le monde ont à cœur de décrire leur environnement avec le plus de précision possible à partir de constatations terrain régulières. La collaboration par le plus grand nombre/de la multitude permet de vérifier les contributions de la base de données. Les données produites sont réutilisables librement selon les conditions accordées par la Fondation et consultables sur le site du projet OpenStreetMap.La convention prévoit qu’Enedis s’engage à fournir à OSM France ses images aériennes afin d’enrichir les outils de cartographie collaborative.
L’association OSM France s’engage à mettre à disposition de la communauté (plusieurs milliers de contributeurs actifs en France) ces photos au travers des outils usuels de contribution. Les contributeurs pourront alors renseigner plus précisément les positions et caractéristiques des poteaux électriques répartis sur l’ensemble du territoire.Grâce à ce partenariat, les contributeurs OSM auront donc accès à une imagerie aérienne de plus grande précision. Enedis bénéficiera des enrichissements des cartes grâce aux contributions et pourra assurer un suivi encore plus fin du réseau électrique qu’il opère dans l’Hexagone, y compris la préparation de chantiers ou encore la prévision de travaux. La convention prévoit une extension à d’autres ouvrages comme les coffrets électriques.
L’orthophotographie comme base d’informationLes orthophotographies qu’Enedis s’engage à fournir à OSM France pour enrichir les cartographies sont des images aériennes rectifiées géographiquement permettant de mesurer des distances ou coordonnées géographiques avec une grande fiabilité. Les orthophotographies fournies par Enedis descendent à un niveau de détail très fin, un pixel objet de 5 cm. Cela signifie que les utilisateurs voient sur les outils de contribution OpenStreetMap les plus petits objets sur le terrain comme le marquage au sol, un coffret électrique ou un poteau.
Ces orthophotographies sont habituellement acquises par Enedis pour améliorer la position géographique des ouvrages en concession et ainsi améliorer la sécurité des intervenants sur le réseau de distribution publique.
L’Open Data favorise la transparence et incite à un mode de partage collaboratifEn 2015, Enedis est devenu le premier distributeur européen à publier en Open Data des données énergétiques agrégées. Depuis, Enedis approfondit cette démarche pour tous les acteurs de la transition énergétique. Consommation et production, description du réseau d’électricité ou panorama des énergies renouvelables, ces données qu’Enedis publie sont utiles à des acteurs aussi variés que des collectivités, des fournisseurs de services, des acteurs de la mobilité électrique, des associations, des acteurs du marché de l’électricité, des chercheurs ou encore des citoyens, notamment afin de mieux comprendre la transition énergétique, ses enjeux et ses implications. Cette démarche participe du Projet Industriel et Humain 2020-2025 d’Enedis en favorisant la relation de confiance avec ses parties prenantes.
Enedis protège les données à caractère personnel et les informations commercialement sensibles. Les données de consommation et de production, par exemple, tiennent compte des règles d’agrégation fixées par la réglementation.
A propos d’EnedisEnedis est une entreprise de service public, gestionnaire du réseau de distribution d’électricité qui emploie 38 000 personnes. Au service de 37 millions de clients, elle développe, exploite, modernise 1,4 million de kilomètres de réseau électrique basse et moyenne tension (230 et 20.000 Volts) et gère les données associées.
A propos d’OpenStreetMap France
Enedis réalise les raccordements des clients, le dépannage 24h/24, 7J/7, le relevé des compteurs et toutes les interventions techniques. Elle est indépendante des fournisseurs d’énergie qui sont chargés de la vente et de la gestion du contrat de fourniture d’électricité.
Contact: audrey.boissonnot@enedis.fr / service-presse@enedis.frOpenStreetMap France est une association loi 1901 créée le 8 octobre 2011 qui assure la promotion du projet mondial OpenStreetMap en France. Elle est le chapitre local de la Fondation OpenStreetMap depuis juillet 2017. Ses membres s’investissent dans la diffusion des pratiques et usages de la cartographie collaborative. Elle a également pour objectifs la collecte, la diffusion et l’utilisation de données cartographiques sous des licences libres. Elle est composée uniquement de bénévoles et son conseil d’administration se compose de 13 membres issus de la société civile.
Contact: contact@openstreetmap.frCet article Open Data : Enedis participe à un projet collaboratif mondial d’échange de données est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:22
Opendatasoft : Open Data Day, sensibilisons les Français à l’open data
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 5 mars 2021 – L’Open data reste un sujet encore méconnu des français, 42%* d’entre eux déclarent ne pas savoir ce qu’est l’open data. Pourtant l’année 2020 a marqué un tournant en France sur le partage des données depuis l’apparition de la pandémie COVID-19. À l’occasion de la journée internationale de l’Open Data, il est important de sensibiliser le grand public aux atouts du partage de données le 6 mars prochain.
L’année 2020 a confirmé l’usage plus affirmé de l’open data : 2 305 255, c’est le nombre de visiteurs uniques en novembre dernier sur la plateforme data.gouv.fr, ce qui représente le plus haut pic de fréquentation jamais enregistré sur la plateforme. Un chiffre qui montre le besoin du public de rester informé pendant cette pandémie, sur des sujets tels que le nombre de tests, de contaminations, ou les données hospitalières dont le jeu de données recueille 884 000 visites. En ce début d’année 2021, c’est la vaccination qui intéresse davantage la population.
“ À mon sens, il faut se baser sur cette intelligence collective, sur le partage des données qui la nourrit, pour résoudre un grand nombre de problématiques. Le fait de pouvoir rendre disponibles des données statistiques sur l’évolution de la pandémie, ou un annuaire de commerçants ouverts lors du confinement, c’est une condition nécessaire pour travailler ensemble à imaginer, à développer des solutions” explique Jean-Marc Lazard, CEO Opendatasoft.
Bien que les cinq jeux de données les plus consultés soient tous consacrés au covid-19, 2020 a montré un fort intérêt pour la gestion des villes et les questions environnementales. Pour 63%* des Français, c’est le budget de la ville qui requiert le plus grand intérêt.
L’action des territoires et collectivités en matière de pollution de l’air et de gestion des déchets intéresse aussi. D’ailleurs, 73%* des français pensent qu’il est important que les acteurs publics partagent les données en libre accès.Les acteurs du privé ont une place à prendre et doivent participer à la diffusion du partage des données, car pour 53% des français, ils ne communiquent pas assez sur les informations relatives à leurs activités.
Comme l’indique le récent rapport Bothorel, l’open data est le fer de lance de l’innovation mondiale, plus questions de se dire comment faire sans mais bien de se dire pourquoi ce n’est pas déjà mis en place.
Sensibiliser la population à cet outil est devenu incontournable :
-
- Qu’est-ce que signifie l’open data ?
- Qu’est-ce que cela apporte et en quoi cela peut améliorer la vie des citoyens ?
- Comment pouvons-nous améliorer la communication envers les citoyens ?
- Quels sont les usages de cet outil par les citoyens ?Contacts presse
L’AgenceRP
opendatasoft@lagencerp.com
Justine Boiramier – 06 50 31 86 24
· [https:]A propos :
Opendatasoft est le leader européen des plateformes conçues pour l’ouverture, le partage et la réutilisation des données pour tout type d’organisations, publiques et privées. Opendatasoft offre aux villes, aux entreprises et à leurs partenaires une plateforme prête à l’emploi pour gérer le partage et la diffusion des données, et démocratiser leur accès auprès du plus grand nombre (via des visualisations, des cartes, et des APIs). De nombreuses organisations, en France mais aussi à l’international, ont ainsi adopté la plateforme proposée par Opendatasoft. Parmi eux, figurent des villes telles que Paris, Lille, Bristol, Namur ou Eindhoven mais aussi de grandes entreprises telles Schneider Electric, Indigo, Veolia, Enedis ou encore Saint-Gobain.Cet article Opendatasoft : Open Data Day, sensibilisons les Français à l’open data est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
-
16:55
Une cartographie sans précédent révèle une perte de 220 millions d’hectares de forêts tropicales humides depuis 1990
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUne équipe associant des scientifiques du Centre commun de recherche (JRC), du Cirad, du CIFOR et de l’INPE, publie ce vendredi 5 mars dans la revue Science Advances un travail inédit : trente ans de données satellitaires sur les perturbations du couvert forestier tropical mondial. Les cartes fournies ont permis d’évaluer avec une précision sans précédent l’évolution de la déforestation et de la dégradation des forêts depuis 1990.Carte des forêts tropicales humides restantes en janvier 2020 (panneaux par continents) © Science Advances , Vancutsem et al. 2021.
Selon les résultats de ces travaux, les trois dernières décennies ont vu la perte de 220 millions d’hectares de forêt tropicale humide. « Les données satellites nous montrent que, entre 1990 et 2020, ce sont environ 7 millions d’hectares de forêt tropicale humide qui ont disparu en moyenne chaque année. Cela équivaut environ à la taille de l’Irlande, tous les ans » , précise Ghislain Vieilledent, écologue spécialiste des forêts tropicales au Cirad et co-auteur de l’article.
Déforestation sous-estimée et dégradation qui s’accélèreL’étude révèle que la déforestation a été largement sous-estimée par les précédents travaux, en particulier sur le continent africain. En Afrique, la déforestation associée à l’agriculture sur brûlis est de type mosaïque, affectant des surfaces de forêts petites mais multiples, ce qui la rend plus difficile à détecter par satellite. Au niveau mondial, ce sont 17 % des forêts tropicales humides qui ont disparu au profit de l’agriculture et d’autres utilisations des terres depuis 1990 . En 2020, il reste 1070 millions d’hectares de forêt tropicale humide dans le monde contre 1290 millions d’hectares en 1990.
Les forêts tropicales qui subsistent sont par ailleurs très dégradées. La dégradation des forêts tropicales, qui est caractérisée par une perte ponctuelle du couvert forestier, est associée majoritairement à l’exploitation de bois, aux feux de faible ampleur et aux perturbations naturelles comme les tempêtes. Sur les 1070 millions d’hectares de forêt tropicale humide en 2020, 10 % constituent de la forêt dégradée et ont une forte chance d’être déforestés dans un futur proche.En effet, environ la moitié des forêts dégradées sont par la suite déforestées. Et la situation semble s’accélérer, comme le note Christelle Vancutsem, spécialiste en télédétection au JRC et première auteure de l’étude : « Sur les cinq dernières années, de 2015 à 2019, on observe une forte augmentation de la dégradation des forêts : 2,6 millions d’hectares en plus par rapport à la période 2010-2014 ». Cette tendance s’explique notamment par des conditions climatiques particulières (sécheresses et feux associés à l’effet El Nino).
Une précision sans précédent, indispensable pour les politiques de conservation
La déforestation et la dégradation des forêts constituent une menace majeure pour le climat et la biodiversité. « La conversion des forêts pour un usage agricole est la deuxième source d’émissions de CO2 dans l’atmosphère après la combustion d’énergies fossiles » , rappelle Ghislain Vieilledent.Cette étude documente pour la première fois à l’échelle pantropicale et sur une période de 30 ans, l’étendue et les changements de couvert des forêts tropicales humides. Des cartes à haute résolution spatiale (30m) fournissent des informations annuelles sur la dégradation, la déforestation et la régénération des forêts tropicales humides sur la période 1990-2019. Surtout, la dégradation est, pour la première fois à si large échelle, différenciée de la déforestation . Le degré de précision des cartes obtenues permet de différencier les causes de déforestation ou de dégradation des forêts : agriculture, exploitation forestière ou feux de forêt. La carte de l’évolution du couvert forestier sur la période 1990-2019 et sur un pas de temps annuel est mise à disposition de la communauté scientifique et du grand public : [https:]] .
Pour les auteurs de l’article, ce travail sur les changements de couvert des forêts tropicales humides à l’échelle mondiale est primordial pour soutenir les politiques de lutte contre la déforestation et de conservation de la biodiversité. Les résultats et produits de cette étude pourront ainsi être utilisés à l’échelle globale, nationale ou régionale pour une meilleure gestion et conservation des forêts tropicales humides. Les résultats de l’étude permettront également à terme de quantifier de manière plus efficace les contributions des forêts tropicales aux flux de carbone à l’échelle planétaire.
Carte des forêts tropicales humides restantes en janvier 2020 (panneaux par continents) © Science Advances , Vancutsem et al. 2021.
RéférenceVancutsem C., F. Achard, J.-F. Pekel, G. Vieilledent, S. Carboni, D. Simonetti, J. Gallego, L. Aragao and R. Nasi. 2021. Long-term (1990–2019) monitoring of forest cover changes in the humid tropics . Science Advances (Sci. Adv.) 2021; 7 : eabe1603
Cet article Une cartographie sans précédent révèle une perte de 220 millions d’hectares de forêts tropicales humides depuis 1990 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:35
La pleine terre : nécessité d’une définition partagée dans les PLU
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’Institut Paris Region publie aujourd’hui la Note rapide n° 884
La pleine terre : nécessité d’une définition partagée dans les PLU
Déposé à l’assemblée nationale le 10 février, le projet de loi « climat et résilience », qui fait suite aux travaux de la convention citoyenne pour le climat, donne un nouveau relief à la pleine terre comme levier de la lutte contre l’artificialisation. L’enjeu du maintien de sols fonctionnels en ville n’est pas nouveau.Pour autant, la notion de pleine terre n’est toujours pas officiellement définie, faisant place à une approche à géométrie variable dans les documents d’urbanisme.
Cet article La pleine terre : nécessité d’une définition partagée dans les PLU est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:03
AI4GEO veut automatiser la production de données géographiques 3D
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnviron 4 minutes de lecture Projet de R&D à visée industrielle partiellement financé par le programme d’investissement d’avenir (PIA), AI4GEO vise « à développer une solution unique de production d’information géospatiale 3D automatique » en utilisant les techniques de l’intelligence artificielle. Point de situation un an après son démarrage. Réellement démarré en La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous pour consulter l'article
ou
Créez un compte et achetez cet article à l'unité pour 10 €
Email: Password: Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article AI4GEO veut automatiser la production de données géographiques 3D est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:26
Intelligence Artificielle : SUEZ et ffly4u déploient une solution unique pour optimiser la collecte des déchets sur le territoire toulousain (31)
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDepuis juillet 2020, les 200 bennes collectant les déchets déposés par les toulousains dans les 13 déchèteries du territoire gérées par SUEZ, sont équipées d’une intelligence embarquée. En test depuis 2019, la solution ffly4u a été déployée avec pour objectif de diminuer la consommation de carburant, d’optimiser les flux de bennes et de réduire les coûts à travers l’optimisation des moyens de collecte.Schéma simplifié du bénéfice quotidien en exploitation de la technologie ffly4u
Le partenariat entre ffly4u et SUEZ a débuté fin 2019 avec la mise en place d’une expérimentation sur une déchèterie et une dizaine de bennes. Forts de ce succès, SUEZ et Decoset[1] ont déployé la solution ffly4u en juillet 2020 dans les 13 déchetteries toulousaines. Ainsi grâce aux boitiers connectés placés sur les bennes, SUEZ dispose d’une visibilité en temps réel sur le taux de remplissage des bennes, leur localisation à quai et hors quai, aussi bien au sein des déchèteries qu’en transit. Les équipes opérationnelles connaissent précisément les phases de chargement/déchargement des bennes c’est-à-dire bennes sur camion ou au sol, et sont alertées en cas d’immobilisation prolongée. Sur un territoire fortement urbanisé qui attire chaque année plus de 10 000 nouveaux habitants, la digitalisation optimise la planification, le remplissage et le transport des bennes et permet ainsi de réduire de 5 % les émissions de gaz à effet de serre (GES) liées au transport des déchets.
Une technologie unique en Europe
L’innovation ffly4u repose sur l’intégration des technologies d’Intelligence Artificielle (IA) et de « Machine Learning » (ML) dans un boitier à faible consommation énergétique (de 4 à 6 ans d’autonomie des boitiers). Cette solution appelée « Edge AI Low Power® », lancée en 2018 par ffly4u, permet d’identifier précisément les phases de vie des objets industriels dans le secteur du recyclage mais aussi dans les secteurs du câble/fibre, des remorques, des emballages réutilisables et dans l’aéronautique.
Jean-Christophe Didio, Directeur régional Recyclage & Valorisation de SUEZ : « SUEZ développe des solutions innovantes pour capter plus de déchets valorisables, optimiser en continu la performance de la collecte et réduire son impact environnemental. La solution ffly4u expérimentée avec succès dans la région toulousaine, est un apport important dans la digitalisation de nos métiers. Le groupe SUEZ et l’équipe de ffly4u sont en discussion pour étendre cette solution à d’autres territoires ».
Rodolphe Henry, Directeur commercial Europe de ffly4u : « Ce projet avec le groupe SUEZ prouve la valeur ajoutée de notre approche et marque une véritable prise de conscience, de la part de nos clients et donneurs d’ordre, du potentiel important de création de valeur de nos services. Aujourd’hui le constat est clair : la remontée de données brutes provenant de capteurs élémentaires, comme la localisation ou la température, ne suffit plus. Les industriels sont à la recherche de véritables données spécifiques à leurs métiers. »
[1]Fin 2018, Decoset a confié à SUEZ l’exploitation de 13 déchèteries du toulousain dans un but d’amélioration continue, d’optimisation de la performance et d’amélioration de la qualité de service auprès des usagers.Schéma simplifié du bénéfice quotidien en exploitation de la technologie ffly4u
Contacts Presse :
SUEZ Occitanie
Géraldine Leroux
Responsable Communication
06 83 84 94 59
ffly4u
Antoine Monnier
06 03 71 76 10
A propos de ffly4u
Dans un secteur IoT en pleine évolution, le constat de ffly4u est clair : depuis l’apparition de l’Internet des Objets Industriels en 2014, les boitiers remontent des données standards (géolocalisation, température,) alors que la demande du marché depuis 2018 concerne des données-métier de plus en plus complexes et spécifiques. ffly4u a choisi de répondre à cette demande en développant une approche par verticale métier, composée à la fois d’une compréhension détaillée du métier (grâce à une collaboration de fond avec les utilisateurs sur le terrain) et de la technologie propriétaire embarquée – « Edge AI Low Power ® ». Cette approche novatrice permet au global d’identifier finement les différentes phases de vie d’un objet industriel assurant la création de données spécifiques à très forte valeur ajoutée, pouvant être dans certains cas monétisables.
Plus d’information sur www.ffly4u.com
et sur les réseaux sociaux
À propos de SUEZ
Fort de son expertise bâtie depuis la fin du XIXème siècle, SUEZ aide les femmes et les hommes à améliorer constamment leur qualité de vie, en préservant leur santé et en accompagnant le développement économique. Présent sur les 5 continents, le Groupe et ses 90000 collaborateurs préservent les éléments essentiels de notre environnement : l’eau, la terre et l’air, en proposant des solutions innovantes et résilientes de gestion de l’eau, de valorisation des déchets, de dépollution des sols et de traitement de l’air qui permettent aux collectivités et aux industries d’optimiser la gestion de leurs ressources, telles les villes « intelligentes » et d’améliorer leurs performances environnementale et économique. Le Groupe dessert 64 millions d’habitants en services d’assainissement, produit 7,1 milliards de m3 d’eau potable, contribue au développement économique avec plus de 200 000 emplois directs et indirects créés par an, et contribue à la création de nouvelles ressources avec 4,2 millions de tonnes de matières premières secondaires produites. A l’horizon de son plan stratégique, le Groupe ambitionne des solutions 100% durables ayant un impact positif sur l’environnement, la santé et le climat. En 2019, le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 18,0 milliards d’euros.
Retrouvez l’actualité du Groupe SUEZ
sur le site Internet & sur les réseaux sociaux
Cliquez ici si vous souhaitez ne plus recevoir d’emails de notre part
Cet article Intelligence Artificielle : SUEZ et ffly4u déploient une solution unique pour optimiser la collecte des déchets sur le territoire toulousain (31) est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
11:10
Avec le temps… serions-nous devenus les méchants ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueJe vous parle d’un temps… où personne dans votre entourage ne savait ce que vous faisiez de vos journées, à pianoter sur un ordinateur pour faire des cartes, mais on vous admirait. Je vous parle d’un temps… où une bande de petits gars sympas, fans de SF, ont déboulé avec leur globe virtuel Google Earth, et où votre mère a enfin découvert qu’elle ne vous avait pas payé des études pour rien. Je vous parle d’un temps… où une épingle est devenue notre emblème, inspirant nos logos, même celui de DécryptaGéo. Je vous parle d’un temps… où la géo s’est gentiment immiscée dans nos vies hyperconnectées nous permettant de créer nos propres cartes, de découvrir la magie des traces. Je vous parle d’un temps… où la géomatique s’est mise à irriguer tous les secteurs économiques, à servir les causes les plus nobles (climat, biodiversité, justice sociale…).
Ces temps que nous avons vécu ensemble depuis plus de vingt ans seraient-ils définitivement derrière nous ? La « géo » de géomatique est devenue l’une des données les plus convoitées, les plus captées, les plus revendues afin de cibler de plus en plus finement nos comportements de consommateurs, comme le prouve encore une nouvelle étude. La « tique », quant à elle, est devenue trop gourmande dans un monde qui voudrait bien devenir plus sobre mais ne sait pas comment faire (voir les critiques ici ou là des dernières annonces gouvernementales sur sa politique numérique et environnement). Aujourd’hui, nous avons parfois l’impression de faire partie du camp des méchants. Comme dirait un rockeur que ceux d’un autre temps n’ont peut-être pas connu* : « C’est comment qu’on freine ? »
* Pour une séance de rattrapage, s’adresser à la rédaction.
Cet article Avec le temps… serions-nous devenus les méchants ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:34
thinkWhere va développer le portail Open Maps for Europe
sur Décryptagéo, l'information géographiqueMené par EuroGeographics, l’association qui rassemble les instituts nationaux de cartographie et du cadastre de la grande Europe (soit une soixantaine d’organismes dans près de cinquante pays), Open Maps for Europe est un projet de portail d’accès aux données officielles ouvertes. thinkWhere, entreprise écossaise, est en charge de son développement.Avec le développement de l’open data, le rôle d’EuroGeographics se transforme. D’abord centré sur la création de jeux de données pan européens et à ce titre, spécialiste de l’harmonisation et de l’interopérabilité, l’association va proposer un portail rassemblant les données officielles ouvertes de ses membres.
Le grand public pourra ainsi découvrir et naviguer dans les « cartes officielles » de 40 pays : cartes topographiques, modèles numériques de terrain, photographies aériennes, données parcellaires… C’est thinkWhere, une société de service écossaise spécialisée dans l’open source qui est chargée de développer le portail, dont l’ouverture est prévue à l’été prochain.
L’accent semble être mis sur la fluidité de l’interface afin qu’elle soit utilisable par les plus néophytes des Européens.
Cet article thinkWhere va développer le portail Open Maps for Europe est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:46
IBM utilise les images satellite d’Airbus pour surveiller la végétation près des lignes électriques et assurer la fiabilité du réseau
sur Décryptagéo, l'information géographiqueHerndon, VA, USA, 25 février 2021 – Airbus fournit désormais des images satellite à très haute résolution à la société The Weather Company d’IBM. Celles-ci seront utilisées pour aider les entreprises de services publics et d’énergie à mieux comprendre l’état de la végétation à proximité des câbles, dans le but de les aider à réduire les risques de perturbations électriques et à améliorer la fiabilité globale du réseau. En effet, la végétation est le principal moteur des pannes d’électricité selon la Commission fédérale de régulation de l’énergie (*).Des images satellite à très haute résolution de 50 cm d’Airbus seront introduites dans la plateforme IBM Vegetation Management Platform, qui fait partie du IBM Weather Operations Center. Cette technologie de pointe transforme rapidement d’énormes quantités de données géospatiales (satellite, drone, aérien et LIDAR), de capteurs IoT et de données météorologiques pour fournir suivre l’évolution au fil du temps et aider à comprendre l’état de la végétation sur les territoires des services publics.
L’imagerie satellite Pléiades de 50 cm montre des détails sur la végétation permettant à des traitements basés sur l’Intelligence Artificielle de discerner les couvertures des arbres, puis d’identifier, de segmenter et d’estimer leur hauteur. Au final, les compagnies d’électricité seront en mesure de prioriser de manière proactive et efficace les efforts de coupe pour aider à se concentrer sur la végétation la plus à risque de provoquer des pannes d’électricité ou de déclencher des incendies de forêt.
«Nos satellites Pléiades offrent une excellente combinaison de très haute résolution et de grande capacité de couverture, pour alimenter la plateforme d’IBM avec des images précises et à jour, qui aident à mieux surveiller et préserver l’intégrité des lignes de services publics», a déclaré François Lombard , Directeur de l’activité Intelligence d’Airbus Defence and Space.
«Dans le cadre de la révolution actuelle des données, plus une équipe peut avoir de perspicacité et de visibilité sur l’état actuel de la végétation, plus les entreprises peuvent avoir confiance dans le passage à une approche de gestion plus conditionnée, ce qui peut finalement conduire à plus d’avantages pour les clients et les opérations, a déclaré Rob Boucher, responsable des offres pour l’énergie et les services publics, IBM. «L’expérience approfondie du secteur et la technologie d’IBM éclairent la solution, comme l’intelligence artificielle qui lit l’image pour discerner et identifier le couvert végétal pour aider à surveiller et analyser les actifs.»
L’imagerie satellite Pléiades de 50 cm aidera à améliorer les sources de données IBM actuelles, ainsi qu’à aider IBM à surveiller la végétation dans les endroits où les sources de données pourraient faire défaut ou être difficiles à obtenir. En outre, Airbus lancera Pléiades Neo au début de 2021, ce qui donnera à IBM, et à d’autres, la possibilité d’utiliser des images satellite de résolution de 30 cm pour améliorer davantage les connaissances et la couverture nécessaires à l’analyse prédictive.
Pour plus d’informations sur The Weather Company d’IBM, visitez [https:]]
(*)Commission fédérale de régulation de l’énergie des États-Unis : [https:]]
A propos d’Airbus
Airbus pioneers sustainable aerospace for a safe and united world. The Company constantly innovates to provide efficient and technologically-advanced solutions in aerospace, defence, and connected services. In commercial aircraft, Airbus offers modern and fuel-efficient airliners and associated services. Airbus is also a European leader in defence and security and one of the world’s leading space businesses. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions and services worldwide.
Cet article IBM utilise les images satellite d’Airbus pour surveiller la végétation près des lignes électriques et assurer la fiabilité du réseau est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
15:55
Lancement de la huitième saison des webinaires Isogeo !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa société Isogeo animera 4 web conférences du 11 mars au 10 juin 2021, dédiées aux retours d’expérience des différents utilisateurs de sa plateforme spécialisée en Geodata management. Une solution de Geodata management inéditeLe secteur des données géographiques a profondément évolué ces dernières années : explosion du nombre de données, apparition de nouveaux formats, norme ISO, directive INSPIRE, données publiques (Open Data), arrivée du BIM… Si les efforts de catalogage et de documentation des données géographiques sont de plus en plus nombreux, les outils de pilotage du SIG restent peu développés.
C’est pourquoi Isogeo propose une plateforme pour mieux gérer et valoriser votre patrimoine de données SIG, grâce à un catalogue de données exhaustif et à une multitude d’applications vous accompagnant sur l’ensemble des facettes du Geodata management (exploitation des données, diffusion interne et externe, open data, vitrine web…).
Du 11 mars au 10 juin : au programme de cette huitième saison…Après une saison 7 ( [https:]] ) tournée vers les enjeux de la gestion des données SIG et les différents outils proposés par Isogeo, c’est au tour des utilisateurs de la plateforme de s’exprimer sur leur projet de Geodata management. Des raisons qui les ont poussés à choisir notre solution aux outils mis en place avec nos équipes (OpenCatalog, CSW et plugins&widgets), plusieurs métropoles, départements et régions viendront témoigner sur leur expérience avec Isogeo et conseilleront ceux qui souhaitent se lancer dans un tel projet.
- Épisode 1 – 11 mars : Témoignage des métropoles d’Aix-Marseille-Provence et de Rouen Normandie.
- Épisode 2 – 8 avril : Témoignage du département Pyrénées-Atlantiques sur la cartographie globale des données avec notre partenaire Dawizz ( [https:]] ) .
- Épisode 3 – 6 mai : Témoignage des départements du Calvados et du Loiret.
- Épisode 4 – 10 juin : Témoignage des régions.
Les intervenants répondront également aux questions en fin de conférence.
Comment participer ?Les webinaires Isogeo sont gratuits et ouverts à tous. Il suffit de vous inscrire via cet article ( [https:]] ) aux épisodes qui vous intéressent.
Des enregistrements seront également disponibles sur la chaine Youtube Isogeo ( [https:]] ) .
A propos d’IsogeoCréée en 2009, la société Isogeo a pour objectif d’aider les organismes publics et les grands comptes à optimiser l’utilisation, le partage et la valorisation de leurs données géographiques.
Avec plus de 50 clients et 500 utilisateurs, Isogeo s’est imposé auprès des organismes publics et privés comme la solution de référence pour le catalogage de données géographiques : métropoles, départements, régions, établissements publics, gestionnaires de réseaux…
Contact presse :Mathieu Becker Isogeo (www.isogeo.fr)
Président – fondateur Isogeo Mail : contact@isogeo.fr
Mail : mathieu.becker@isogeo.fr Téléphone : 09 67 46 50 06
Cet article Lancement de la huitième saison des webinaires Isogeo ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
15:21
Cartographie avec Photoshop : nouveautés Geographic Imager 6.3
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlain Olivier Géomatique et Avenza Systems Inc. sont heureux d’annoncer la sortie de la version Geographic Imager 6.3. Cette version apporte de nombreuses améliorations telles que la compatibilité avec Adobe Photoshop 2021 ainsi qu’une compatibilité entière avec la dernière version de Mac OS 11 Big Sur. Nous sommes également ravis de présenter un tout nouveau moyen simple d’accéder aux licences flottantes directement depuis le Cloud !
La version Geographic Imager 6.3 inclut plusieurs améliorations :Une entière compatibilité avec macOS 11 Big Sur
Les utilisateurs seront ravis de constater que Geographic Imager 6.3 est désormais entièrement compatible avec macOS 11 Big Sur. Cela signifie que tous les utilisateurs peuvent passer à la dernière version macOS sans aucune interruption de leurs capacités avec Geographic Imager.Un nouveau système de gestion des licences flottantes dans le Cloud
Un nouveau système de gestion des licences flottantes est désormais disponible dans le cadre de Geographic Imager 6.3. Ce nouveau système de gestion des licences améliore considérablement les versions précédentes permettant à la fois aux utilisateurs et aux administrateurs d’une organisation d’accéder de manière efficace et transparente aux licences flottantes directement depuis le Cloud. Le nouveau système de licence est basé sur la plate-forme RLM Cloud ; les licences flottantes peuvent être mises en œuvre sans les défis de la configuration, du déploiement et de la gestion d’un serveur local.Découvrez les nouvelles options de licence Cloud en accédant au panneau de gestion des licences dans Geographic Imager 6.3 :
Geographic Imager est disponible dès maintenant !
Tous les détenteurs d’une maintenance en cours peuvent effectuer gratuitement la mise à jour à Geographic Imager 6.3 et ce, dès aujourd’hui. Les utilisateurs sans maintenance à jour, ou sur une version précédente de Geographic Imager, peuvent bien entendu mettre à niveau leur licence.? Pour télécharger Geographic Imager 6.3 : [www.mapublisher.fr]
À propos de Geographic Imager
Geographic Imager pour Adobe Photoshop exploite les capacités très supérieures dans le domaine de l’édition de l’imagerie du premier logiciel au monde de retouche des formats rasters le transformant en un puissant outil de productions géospatiales. Travaillez ainsi avec des images satellitaires, des photos aériennes, des MNT au format GeoTIFF et bien d’autres formats d’images S.I.G. en utilisant les fonctions d’Adobe Photoshop (ex. : transparences, filtres, etc.) tout en maintenant le géoréférencement et en conservant la prise en charge de centaines de systèmes de coordonnées. Pour plus d’information, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.mapublisher.fr/produits/gi/
À propos d’Avenza Systems Inc.
Avenza Systems Inc. est une société qui fournit aux cartographes de puissants outils logiciels pour réaliser les meilleures cartes possibles. Outre les logiciels sous Windows, OS X et iOS, la société propose des jeux de données, des sessions de formations et des conseils. Pour plus d’information, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.avenza.com
À propos d’Alain Olivier Géomatique
Alain Olivier Géomatique est partenaire de Avenza Systems Inc. en France et distributeur actif d’outils innovateurs pour la géomatique et l’édition cartographique. La combinaison d’une vaste connaissance de la géomatique et d’un haut niveau de services a fait ses preuves auprès de nombreux clients francophones à travers le monde, en particulier dans le support technique et la formation. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.geomatique.fr
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Alain Olivier Géomatique
04 79 64 34 35
info@geomatique.frCet article Cartographie avec Photoshop : nouveautés Geographic Imager 6.3 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:55
Paris 2024 cherche son SIG
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnviron 3 minutes de lecture Le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 vient de lancer un appel d’offres pour l’acquisition, la mise en œuvre et la maintenance d’une plateforme SIG. L’analyse du cahier des clauses techniques nous en dit un peu plus sur les prestations attendues. La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous pour consulter l'article
ou
Créez un compte et achetez cet article à l'unité pour 10 €
Email: Password: Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article Paris 2024 cherche son SIG est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
15:33
Geolabel-maker : Génération d’échantillons pour l’IA en open source
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes stages et les projets étudiants aboutissent régulièrement à des outils finalisés. La preuve avec Geolabel-maker, dédié à la génération d’échantillons pour les algorithmes d’apprentissage supervisé. Récemment publié sur Github, il est le fruit d’une collaboration entre Makina Corpus, une stagiaire et un étudiant. Détails.Cliquer pour visualiser l’animation
« Dans le cadre du développement de chaînes de traitement basées sur le deep learning, nous souhaitions automatiser l’extraction des toits en milieu urbain, visibles sur les images aériennes ou satellitaires, rappelle Daphné Lercier, chercheuse à Makina Corpus. En 2020, nous avons accueilli pendant six mois Lucie Camanez, data analyste, stagiaire de la Wild Code School, afin de faire les développements. Il lui a fallu constituer son jeu d’apprentissage et c’est ainsi qu’est né Geolabel-maker, car nous nous sommes vite rendu compte qu’un outil un peu plus générique nous serait également très utile. » En effet, dans le domaine de la géographie, les bases d’apprentissages manquent (voir par exemple nos articles sur le sujet ici et ici) et chacun se construit sa bibliothèque en fonction de la problématique traitée, plus ou moins manuellement.
Générer automatiquement des échantillons, même sans données sourcesLe rôle de Geolabel Maker est donc d’automatiser la production des jeux d’apprentissage. Pour cela, le logiciel se sert de géométries vectorielles déjà constituées et labellisées (la fameuse vérité terrain) pour enrichir des images aériennes ou satellites, constituant ainsi des données d’entraînement qui permettront au réseau de neurones d’apprendre à identifier ces mêmes labels (bâti, végétation…) sur une simple image aérienne ou satellitaire.
« L’une des originalités de Geolabel-maker, c’est qu’il est désormais capable de fournir des données à différents types de réseaux de neurones » se félicite Arthur Dujardin, étudiant en dernière année d’ingénieur à l’ENSG qui a poursuivi et enrichi les développements réalisés par Lucie Camanez. « Entièrement développé en Python, Geolabel-maker sait aussi bien générer des échantillons pour des algorithmes de classification, de segmentation que de détection, avec des formats adaptés, comme le COCO (Common Objects in Context) utilisé par Microsoft pour fournir des bases d’échantillons de segmentation et de détection ».
Après avoir chargé les images et les couches vectorielles correspondantes, Geolabel-maker génère des annotations qui enrichissent l’image, exploitables pour des algorithmes de classification (cette image contient des forêts et des bâtiments), de détection d’objet (rectangles englobant autour des forêts et des bâtiments) ou de segmentation (contours exacts des forêts et des bâtiments). (Document Makina Corpus)
L’étudiant a également optimisé le code et amélioré l’ouverture du logiciel à l’amont. « Nous utilisons OpenStreetMap pour les données vectorielles. Mais si l’utilisateur n’a pas de données d’entrée pour son projet, Geolabel-maker lui permet d’aller chercher des couples (images/vecteurs) via des flux ouverts : celui d’OSM bien sûr, mais également des images fournies par l’API Mapbox ou Sentinelsat ». L’outil sait en outre travailler à des échelles différentes, avec des niveaux de zoom différents.
C’est à l’occasion d’une année d’étude à Oslo qu’Arthur Dujardin a vraiment plongé dans les problématiques d’intelligence artificielle à partir de l’analyse d’images satellites. Aussi, quand Makina Corpus a proposé ce sujet d’étude à l’ENSG, il n’a pas hésité à s’en saisir.
Même si Geolabel-maker est déjà disponible sur Github, Arthur Dujardin finalise la documentation et les tutoriels, avant sa soutenance début mars. Ensuite, il fera son stage de fin d’études, toujours dans le domaine de l’imagerie spatiale et de l’intelligence artificielle.
Cet article Geolabel-maker : Génération d’échantillons pour l’IA en open source est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:12
Global Mapper : la version 22.1 FR est disponible !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlain Olivier Géomatique et Blue Marble Geographics sont heureux d’annoncer la sortie de la version 22.1 FR de Global Mapper.Global Mapper est une application SIG de pointe qui offre aux professionnels du géospatial, novices comme expérimentés, une gamme complète d’outils de traitement de données spatiales. Il donne accès à une variété inégalée de formats de données et comprend de très nombreux outils d’analyse spatiale à un prix extrêmement abordable.
La version 22.1 inclut plusieurs améliorations :
- De nouvelles fonctions ont été ajoutées au visualisateur 3D permettant, par exemple, d’enregistrer une nouvelle vue, de centrer la caméra sur des entités spécifiques ou bien encore de verrouiller l’axe de pivot autour d’une entité d’intérêt.
- Le gestionnaire de graphique et diagramme a été mis à jour permettant désormais la création de graphiques à partir de plusieurs couches de données.
- De nouvelles fonctions d’opérations spatiales ont été ajoutées, notamment celles d’Union et de Différence.
- Comme à chaque mise à jour, de nombreux nouveaux formats de données sont désormais pris en charge, notamment : l’exportation en COG (Cloud-Optimized GeoTiff) et l’importation de fichiers IFC (Buildings) et GeoSLAM.
Découvrez le top 5 des nouvelles fonctionnalités de Global Mapper 22.1 à l’adresse suivante : [https:]]
? Pour télécharger Global Mapper 22.1 FR :
[https:]]
? Pour demander une démonstration en ligne et gratuite :
[https:]]
? Pour découvrir notre offre de formation :
[https:]]
À propos de Blue Marble Geographics
Blue Marble Geographics est un développeur et fournisseur de produits logiciels et services pour proposer des solutions géospatiales de conversion de données de haute précision. Blue Marble est connu pour sa conversion de coordonnées et son l’expertise en format de fichiers et est le développeur de Geographic Calculator, GeoCalc SDK, Global Mapper, Global Energy Mapper, et le SDK Global Mapper. La société a écrit des outils logiciels SIG et des solutions depuis plus de vingt ans et fournit actuellement des centaines de milliers d’utilisateurs à travers le monde. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.bluemarblegeo.com.À propos d’Alain Olivier Géomatique
Alain Olivier Géomatique est partenaire de Blue Marble Geographics en France et distributeur actif d’outils innovateurs pour la géomatique et l’édition cartographique. La combinaison d’une vaste connaissance de la géomatique et d’un haut niveau de services a fait ses preuves auprès de nombreux clients francophones à travers le monde, en particulier dans le support technique et la formation. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.geomatique.fr.
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Alain Olivier Géomatique
04 79 64 34 35
info@geomatique.frCet article Global Mapper : la version 22.1 FR est disponible ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:05
Opendatasoft obtient la labellisation Tech.Gouv
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 22 février 2021 – Opendatasoft le leader européen des plateformes conçues pour l’ouverture, le partage et la réutilisation des données pour tout type d’organisations, publiques et privées vient d’être labellisé par la Mission LABEL du programme Tech.Gouv de la DINUM (Direction Interministérielle du Numérique).Ce programme Tech.Gouv initié par le gouvernement en 2019, pour accélérer la transformation numérique du secteur public, a créé une mission LABEL ayant pour objectif de « labelliser les solutions et outils numériques recommandés, à l’usage des administrations » et ainsi « favoriser la création de services publics numériques utilisant les meilleures solutions disponibles ».
Opendatasoft apparaît donc désormais au sein du « catalogue » de produits / solutions / entreprise recommandés et validés pour l’administration. Une marque de confiance renouvelée par le gouvernement auprès de l’entreprise française créée il y a maintenant plus de 10 ans par trois co-fondateurs dont Jean-Marc Lazard, son porte-parole.
En effet, Opendatasoft est déjà un acteur reconnu par les Administrations avec plus de la moitié de ses clients issus du secteur public dont environ 12 ministères. La dernière initiative réalisée en date est l’élaboration de la plateforme d’open data Frais et Local, commandée par le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, en soutien à l’agriculture locale.
Contacts presse
L’Agence RP
Justine Boiramier – 06 50 31 86 24
Pauline Potier – 06 98 62 07 92
Lynda Ben Chatouh – 06 08 05 11 76
opendatasoft@lagencerp.comCet article Opendatasoft obtient la labellisation Tech.Gouv est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
15:53
L’Agence spatiale européenne choisit CGI pour développer des services combinant l’intelligence artificielle et l’observation de la Terre afin de repérer les feux incontrôlés
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLONDRES, le 22 févr. 2021 – CGI (NYSE: GIB) (TSX: GIB.A) a signé une entente avec l’Agence spatiale européenne (ESA) pour développer un service de cartographie des feux incontrôlés qui combine les récentes avancées en matière d’observation de la Terre, d’intelligence artificielle et d’informatique en nuage. La solution permettra de mieux repérer et surveiller les impacts des incendies imprévus survenant dans une zone naturelle.CGI et son partenaire de projet, l’Université de Leicester, collaborent avec des organisations d’utilisateurs mandatées par l’État en Australie (Geoscience Australia) et en France (ONF France) pour la mise en œuvre et la démonstration de services d’observation de la Terre en fonction de leurs exigences pour une gestion améliorée des feux de forêt. Ce consortium évaluera la variété des algorithmes d’intelligence artificielle qui permettraient d’atteindre ces objectifs. Il est attendu que la combinaison des capacités d’apprentissage automatique de ces algorithmes et de la disponibilité accrue d’observations satellite fréquentes et de grande qualité permettra d’offrir de meilleurs produits de cartographie des incendies aux endroits et aux moments souhaités par les utilisateurs.
Le service de cartographie des incendies sera offert à Geoscience Australia et à ONF France, ainsi qu’à la communauté environnementale élargie, par l’entremise du portail lab EO4SD. Le portail en ligne, qui a été conçu par CGI pour l’ESA, fait appel à l’informatique en nuage pour offrir un accès gratuit à un éventail de données, outils et services d’observation de la Terre aux organismes de développement durable et à la communauté environnementale en général.
Les récents incendies importants aux États-Unis, dans le sud de l’Europe et en Australie ont fait valoir les coûts environnementaux et humains des feux incontrôlés. Les changements climatiques contribuent à la prolifération des incendies. Des études* ont établi qu’il y a eu une prolongation de 19 % de la durée de la saison des feux à l’échelle mondiale de 1979 à 2013. Une surveillance et une analyse accrues des zones brûlées sont importantes pour améliorer la gestion des terres et atténuer les impacts des incendies.
« Nous sommes ravis de collaborer à ce projet de pointe qui permettra de tirer parti du potentiel de l’intelligence artificielle pour aider les communautés scientifiques et environnementales à mieux saisir l’étendue et l’incidence des incendies ravageurs, partout sur la planète, a affirmé Tara McGeehan, présidente des opérations de CGI au Royaume-Uni et en Australie. Notre partenariat continu avec l’ESA pour la gestion des plateformes d’observation de la Terre et d’exploitation thématique permet des avancées rapides en matière de surveillance de l’environnement de la Terre et favorise la recherche scientifique tout en répondant aux politiques gouvernementales. »
« Après 20 ans de recherche sur l’utilisation des données satellite pour mesurer les zones brûlées et leur sévérité à l’échelle locale comme mondiale, la collaboration avec CGI et les partenaires de l’ESA est très prometteuse pour le développement de nouveaux services dans le domaine des feux contrôlés, a ajouté Kevin Tansey, professeur en télédétection et chercheur principal à l’Université de Leicester. Je suis d’autant plus ravi qu’il s’agit du premier projet à être mis en œuvre au Space Park Leicester*, notre nouveau complexe haute technologie extrêmement moderne pour la recherche, le développement et la fabrication. »
Depuis plus de 40 ans, CGI propose des logiciels complexes et essentiels à l’industrie spatiale* à des clients de partout en Europe, en Australie, en Asie et en Amérique du Nord et qui sont utilisés pour la navigation, les communications et les activités par satellite pour les applications dotées de capacités spatiales. Partenaire de CGI, l’Université de Leicester possède une vaste expérience dans le domaine de l’observation de la Terre et fait partie des meilleurs établissements universitaires du Royaume-Uni. CGI est partenaire de METEOR (Manufacturing, Engineering, Technology and Earth Observation Centre), le centre de fabrication, ingénierie, technologie et observation de la Terre du Space Park Leicester.
*en anglais
À propos de CGI
Fondée en 1976, CGI figure parmi les plus importantes entreprises indépendantes de services-conseils en technologie de l’information (TI) et en management au monde. CGI compte 76 000 conseillers et autres professionnels établis partout dans le monde grâce auxquels l’entreprise offre un portefeuille complet de services et de solutions : des services-conseils stratégiques en TI et en management, de l’intégration de systèmes, des services en TI et en gestion des processus d’affaires en mode délégué ainsi que des solutions de propriété intellectuelle. La collaboration de CGI avec ses clients repose sur un modèle axé sur les relations locales, conjugué à un réseau mondial de prestation de services, qui permet aux clients de réaliser la transformation numérique de leur organisation et d’accélérer l’obtention de résultats. Au cours de l’exercice financier 2020, CGI a généré des revenus de 12,16 milliards de dollars canadiens. Les actions de CGI sont inscrites à la Bourse de Toronto (GIB.A) ainsi qu’à la Bourse de New York (GIB). Apprenez-en davantage sur cgi.com.SOURCE CGI inc.
Pour plus de renseignementsInvestisseurs
Maher Yaghi
Vice-président, Relations avec les investisseurs
maher.yaghi@cgi.com
514-415-3651Médias locaux
Paul Butler
Chef de service, Communications externes
p.butler@cgi.com
+44 (0) 7920 784199Cet article L’Agence spatiale européenne choisit CGI pour développer des services combinant l’intelligence artificielle et l’observation de la Terre afin de repérer les feux incontrôlés est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:57
Revue de presse du 9 au 23 février 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueWaze, Google Maps, réseaux sociaux, 3D, MaaS… l’information géographique est plus que jamais présente dans nos vies. C’est peut-être le moment de réviser quelques notions de base et de déclarer votre amour à la géographie.RÉVISION EN VIDEO : « Tectonique des plaques : regardez un milliard d’années résumées en 40 secondes ! » Fascinante animation réalisée par des géologues, merci Futura Planète d’avoir relayé l’information.
I LOVE GEO : À l’occasion de ses 200 ans, la société de géographie organise un concours original : « L’amour de la géographie ». Les plus belles déclarations d’amour à la géographie seront valorisées lors d’un colloque organisé les 8, 9 et 10 avril 2021.
WAZE/GOOGLE : « L’ancien CEO de Waze affirme que l’application aurait pu mieux se développer sans Google ». Au moment de son départ, Noam Bardin regrette de n’avoir pu se concentrer sur les améliorations fonctionnelles, mais reconnaît que l’application est passée de 10 à 140 millions d’utilisateurs mensuels depuis 2013. Article à lire dans l’Usine Digitale.
WAZE/APPLE : « Apple Maps aura son propre Waze pour signaler ce qui se passe sur la route ». La bêta d’iOS 14.5, inclut des fonctions de signalement d’incident, façon Waze, nous révèle Numerama. La guerre cartographique entre Apple et Google est loin d’être terminée.
MAAS : « Google Maps : une nouvelle fonctionnalité permet de payer le parking et les transports sur l’app ». Aux États-Unis et sur Android, Google Maps se connecte à certaines applications de MaaS (Mobility as a Service) nous apprend Presse Citron.
3D : « Parera, le spécialiste gersois de la cartographie de réseaux, mise sur la modélisation 3D ». Jacques Cettolo, président de Parera, commente les dernières annonces de l’entreprise dans l’Usine Digitale : projet PCRS Cloud et rapprochement avec WiseBIM.
3D : « Electronic Arts dépose un brevet pour reproduire le monde réel dans ses jeux vidéo » en s’appuyant sur de la modélisation procédurale et des images satellites, nous apprend Presse Citron. À suivre.
LEVÉE DE FONDS : Pionnier dans l’utilisation d’une interface cartographique pour présenter ses annonces et permettre aux utilisateurs de faire des analyses géographiques, « PropTech : face à SeLoger et Leboncoin, Bien’ici lève 23 millions d’euros » nous apprend French Web.
GEO-SNAP : « Pourquoi Snap rachète-t-il une plateforme de données de localisation ? ». Pour enrichir sa Snap Map, Snapchat met la main sur StreetCred, explique French Web
Cet article Revue de presse du 9 au 23 février 2021 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:13
senseFly propose un drone dédié à l’agriculture
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe 15 février 2021, senseFly a lancé eBee Ag, un drone de la série eBee X dédié aux problématiques agricoles.L’agriculture devient l’un des marchés importants de l’imagerie acquise par drone. Les problématiques à traiter par l’analyse d’images sont nombreuses : suivi du cycle cultural, détection précoce d’anomalies, analyse des variations intra-parcellaires, cartographie des intrants, etc. De plus, dans les champs, les drones sont réglementairement plus faciles à utiliser qu’en ville, car la présence humaine y est moins importante.
Aujourd’hui, senseFly complète sa gamme eBee à aile fixe avec un modèle dédié. Sa batterie standard lui offre une autonomie de 45 mn, mais une batterie dite « endurante » lui permet d’atteindre 55 minutes d’autonomie, soit plus de 160 hectares couverts en un vol. Il est équipé d’un double capteur senseFly Duet M qui comprend une caméra RGB (senseFly Soda) et un capteur multispectral à 4 bandes (Parrot Sequoia+), facilitant la production automatique d’indicateurs agronomiques (NDVI…). Grâce à l’intégration d’un RTK, le positionnement absolu des images RGB est de 2,5 cm. Ces dernières peuvent être directement reçues par les machines agricoles équipées.
- Le communiqué de presse en anglais sous ce lien
- La plaquette de présentation sous ce lien
Cet article senseFly propose un drone dédié à l’agriculture est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:58
Saison 2 pour le MOOC Adresse : la gestion des adresses par les communes
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe #MoocAdresse sur la gestion des adresses par les communes est de retour ! Disposer d’adresses complètes et fiables sur l’ensemble du territoire est indispensable pour répondre à de multiples besoins : services d’urgence, livraisons de colis aux particuliers et aux entreprises, raccordement à la fibre optique, sans compter les multiples applications mobiles basées sur l’adresse.Plaquette de présentation du nouveau MOOC Adresse (cliquer pour télécharger)
Afin d’atteindre cet objectif, la Coordination régionale de l’information géographique (CRIGE) en Normandie, réseau des acteurs de l’information géographique dont la Région Normandie assure l’animation, a créé en 2019 une formation en ligne ouverte à tous (MOOC) sur « La gestion des adresses par les communes » : le #MoocAdresse !
Forte du succès de la première saison, la CRIGE Normandie, en partenariat avec GÉOPAL (réseau régional d’information géographique en Pays de la Loire), propose une saison 2 du #MoocAdresse.
Réalisée à nouveau en collaboration avec le Centre national de la fonction publique territoriale (CNFPT), cette formation en ligne gratuite est destinée aux acteurs premiers de l’adresse : élus et techniciens des communes, mais aussi aux départe- ments, intercommunalités, bureaux d’étude, structures d’ingénierie publiques et privées sur l’information géographique qui interviennent en appui.
La force des réseaux régionaux de l’information géographique a permis de mobiliser une grande diversité d’intervenants et d’experts (élus, techniciens des collectivités, de l’État et de l’Institut national de l’information géographique et forestière), désireux de partager leurs connaissances et expériences au travers de présentations, démonstrations et exercices pratiques. Tout au long de cette formation, les participants pourront bénéficier de différentes ressources documentaires et d’échanges via un forum et les réseaux sociaux.
La seconde session sera en ligne à compter du 15 mars 2021 pour une durée de 4 semaines sur la plateforme France Univer- sité Numérique (FUN). Les inscriptions sont possibles depuis le 15 février directement sur le site internet de la plateforme FUN (www.fun-mooc.fr).
Cette formation sera disponible 24h/24 -7j/7 et se décompose en 5 modules :
- Module commun (obligatoire)
- Module élus/élues
- Module directeurs/directrices de communes
- Module référents/référentes adresses
- Module géomaticiens/géomaticiennes, informaticiens/informaticiennes
Les 4 derniers modules peuvent être suivis parallèlement et selon le profil de chaque participant.
INFORMATIONS CLÉS
- MOOC « La gestion des adresses par les communes » lancé par la CRIGE en Normandie et GÉOPAL, en collaboration avec le CNFPT.
- Formation en ligne à destination des élus et techniciens des communes et EPCI
- Formation gratuite sur la plateforme FUN
- Dates : du 15 mars au 9 avril 2021
- Inscriptions sur : [https:]
À PROPOS
La CRIGE en Normandie et GÉOPAL rassemblent les acteurs de l’information géographique dans leur région respective dans un objectif de mutualisation et de valorisation des données géographiques dans le respect des initiatives de chacun et en cohérence avec les projets nationaux.
Ce projet est co-piloté par les Régions Normandie et Pays de la Loire, l’État (DREAL Normandie), le Département du Calvados et Terres de Montaigu, communauté de communes Montaigu-Roche- servière, avec l’appui des groupes de travail Adresse de la CRIGE et de GÉOPAL.
Il a bénéficié d’un cofinancement État-Région Normandie pour la saison 1 et d’un financement de la Région Pays de la Loire pour la saison 2.
Le CNFPT est l’acteur majeur de la formation des personnels des collectivités territoriales.
CONTACTS
Carole LECOMTE – DREAL Normandie
02 50 01 83 73 Carole.Lecomte@developpement-durable.gouv.fr Jérôme AUBERT – GÉOPAL jerome.aubret@gigalis.fr
Cet article Saison 2 pour le MOOC Adresse : la gestion des adresses par les communes est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
10:09
Le DLR fait appel au service Bartolomeo d’Airbus pour la première vérification en orbite d’horloges optiques laser
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa mission COMPASSO du centre aérospatial allemand (DLR) décollera vers la nouvelle plateforme externe de l’ISS, Bartolomeo, fin 2024 Les horloges optiques laser, très précises, sont essentielles pour améliorer la navigation par satellite et les liaisons inter-satellitesBrême/Friedrichshafen/Cologne, le 19 février 2021– Le centre de compétence Galileo du Centre aérospatial allemand (DLR-GK) et Airbus ont signé un contrat de 16,8 millions d’euros pour l’hébergement de la mission COMPASSO du DLR sur la plateforme Bartolomeo de la Station Spatiale Internationale (ISS).
COMPASSO sera la première vérification en orbite d’horloges optiques laser, compactes et très précises. Grâce à une liaison optique bi-directionnelle, ces horloges sont alignées et synchronisées avec des horloges très précises sur Terre. En outre, la liaison optique entre l’ISS et la station au sol est utilisée pour évaluer l’influence des turbulences atmosphériques sur la fréquence et la vitesse du signal.
En combinaison avec les liaisons optiques, les horloges optiques très précises présentent un intérêt particulier pour les générations futures de systèmes de navigation par satellite, comme Galileo, et constituent la base des nouvelles architectures de systèmes planétaires de navigation par satellite (GNSS), comme le concept Kepler développé au DLR. Combiné à la maitrise d’autres paramètres, tels que la précision de la détermination de l’orbite et la modélisation de l’atmosphère, il est possible d’obtenir une plus grande précision dans la détermination de la position sur Terre tout en réduisant la complexité et la taille du segment terrestre.
« En plus des applications de positionnement par satellite, la référence fréquentielle développée avec COMPASSO fournit un signal lumineux très stable et extrêmement adapté pour l’interférométrie laser inter-satellite », a déclaré Hansjoerg Dittus, membre du conseil d’administration du DLR. « Ceci est particulièrement intéressant pour les missions d’observation de la Terre telles que la mission de mesure de la gravité et du climat, GRACE-FO, ou les missions scientifiques telles que l’interféromètre laser spatial LISA ».
La mission COMPASSO devrait être lancée fin 2024 et ses 200kg occuperont un double emplacement sur la plateforme Bartolomeo. Au terme de cette mission de 18 mois, les éléments de la charge utile seront ramenés sur Terre.
« COMPASSO sera monté sur un transporteur ArgUS dédié, un adaptateur conçu à l’origine pour transporter plusieurs petites charges utiles dans un scénario de «covoiturage» », a déclaré Andreas Hammer, responsable de l’exploration spatiale chez Airbus. « C’est formidable grâce à cette solution de service sur mesure, d’avoir également pu offrir au DLR une base idéale pour leurs expériences COMPASSO ».
Le centre de compétence DLR Galileo (DLR-GK) est responsable de la gestion du projet COMPASSO et agit à la fois comme autorité contractante et autorité technique. Il coordonne les différents instituts du DLR et les fournisseurs externes qui développent les sous-systèmes COMPASSO, y compris les logiciels embarqués et au sol. Le DLR-GK est situé à Oberpfaffenhofen.
Pour la mission COMPASSO, Airbus combine divers services dans une offre sur mesure afin de répondre au mieux aux besoins du client; combinant notamment l’expertise système et ingénierie des équipes Airbus de Brême et Friedrichshafen respectivement, pour la réalisation de ces charges utiles complexes pour l’ISS. Airbus fournit non seulement le service Bartolomeo, qui comprend le lancement, l’installation et les opérations en orbite ainsi que le retour des charges utiles, mais aussi l’adaptateur de charges utiles multiples ArgUS et est responsable de l’ingénierie systèmes et des activités d’assemblage et d’intégration.
La plateforme Bartolomeo d’Airbus a été lancée et fixée de manière robotisée au module Columbus de l’ISS en 2020. Après la connexion finale du câblage, qui nécessite une activité extravéhiculaire (EVA), la plateforme sera prête pour sa mise en service dans l’espace dans les prochaines semaines.
Bartolomeo est un investissement d’Airbus dans l’infrastructure de l’ISS, qui permet d’accueillir jusqu’à douze charges utiles externes en environnement spatial, offrant ainsi des possibilités uniques pour les missions de démonstration et d’expérience en orbite. Il est exploité dans le cadre d’un partenariat entre Airbus, l’ESA, la NASA et le laboratoire national de l’ISS.
Bartolomeo convient à de nombreux types de missions, notamment l’observation de la Terre, la recherche sur l’environnement et le climat, la robotique, les sciences des matériaux et l’astrophysique. Il offre des capacités d’hébergement de charges utiles très prisées par les clients et les chercheurs pour tester les technologies spatiales, vérifier de nouvelles approches commerciales dans le domaine spatial, mener des expériences scientifiques en microgravité ou développer des techniques de fabrication dans l’espace.
La plateforme permet l’hébergement d’une large gamme de masses de charges utiles, de 5 à 450 kg, et d’un volume allant jusqu’à environ 1m³. Pour les charges utiles plus petites, Airbus a développé l’adaptateur de charge utiles ArgUS, une solution de co-hébergement permettant d’accueillir plusieurs charges utiles dans un emplacement pour charge utile. Ces charges utiles peuvent être aussi petites que 3U, c’est-à-dire à peu près la taille d’une boîte à chaussures (1U = 10x10x10cm³).
Dans le cadre de l’évolution de la plateforme, Airbus fournira une capacité optique d’envoi de données atteignant un à deux téraoctets par jour.
Des créneaux de lancement sont offerts à chaque mission de ravitaillement de l’ISS, environ tous les trois mois. Les charges utiles peuvent être conçues et prêtes à fonctionner dans un délai d’un an et demi après la signature du contrat. La taille des charges utiles, les interfaces, la préparation avant le lancement et les processus d’intégration sont largement standardisés. Cela permet de réduire les délais d’exécution et de réaliser des économies importantes par rapport aux coûts des missions traditionnelles.
Airbus offre cet accès facilité à l’espace comme un service de mission tout-en-un. Cela comprend l’assistance technique pour la préparation de la mission de la charge utile, le lancement et l’installation, les opérations et le transfert de données, ainsi qu’un retour sur Terre en option.
Cet article Le DLR fait appel au service Bartolomeo d’Airbus pour la première vérification en orbite d’horloges optiques laser est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
10:47
Des chercheurs américains imaginent une projection presque parfaite
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa nouvelle carte du monde circulaire en recto verso proposée par Richard Gott, Robert Vanderbei et David Goldberg s’appuie sur une projection qui minimise les déformations. Aura-t-elle autant de succès que la projection Mercator ?La nouvelle mappemonde imaginée par des professeurs américains, à imprimer en recto verso
Elle ne ressemble pas vraiment à une mappemonde. La nouvelle carte proposée par d’émérites professeurs de Princeton et de Dexel a plutôt des allures de disque vinyle, de l’aveu même de ses créateurs qui n’en sont pas à leur coup d’essai. En effet, l’astrophysicien Richard Gott a déjà créé une carte logarithmique de l’univers, et c’est à Robert Vanderbei que l’on doit la carte électorale « Purple America« .
Pourquoi une carte en recto verso ? Et pourquoi pas, répondent les créateurs, qui sont étonnés que personne n’y ait jamais songé. C’est une façon de dépasser les limites imposées par la 2D tout en restant facilement réalisable en termes d’impression et de stockage. Les auteurs imaginent d’ailleurs enrichir les manuels scolaires d’une pochette de « disques », présentant les grands enjeux mondiaux ainsi que d’autres planètes.
Déformations minimiséesCe disque qui tient dans la main a également une autre vertu. Il minimise les déformations selon les 6 critères de l’indice d’évaluation des projections mis au point par les mêmes Gott et Goldberg en 2007 : formes locales, surfaces, distances, courbures, asymétries et discontinuités aux limites de la carte. Si le globe terrestre a un indice de 0, la projection Mercator atteint plus de 8, tandis que Winkel Tripel (la projection fétiche du National Geographic) dépasse les 4,5. Cette nouvelle mappemonde, basée sur une projection azimutale équidistante, présente un indice de 0,881, du jamais atteint !
Au service d’une vision… classiqueL’approche reste visuellement déroutante mais les auteurs l’assument « Nous sommes comme M. Fosbury [l’inventeur du saut en rouleau dorsal], a déclaré Richard Gott. Nous faisons cela pour battre un record, pour créer une carte plate avec le moins d’erreur possible. Donc, comme lui, nous sommes des gens surprenants. Nous proposons un type de carte radicalement différent et nous avons battu Winkel Tripel sur chacune des six erreurs. »
Une vision déroutante mais pas totalement surprenante. Comme par hasard, chaque face représente un hémisphère et ce sont les continents africains et sud américain qui sont coupés en deux, renforçant encore une fois l’image que le monde se réduit à l’hémisphère nord. Comme pour les vinyles, il y a bien une face A, contenant les titres les plus populaires et une face B, qu’il faut prendre la peine de découvrir…
Pour aller plus loin :- Texte original en anglais de l’université de Princeton sous ce lien
- Article scientifique original sous ce lien qui explique les choix de projection et les illustre également avec la représentation d’autres planètes.
Cet article Des chercheurs américains imaginent une projection presque parfaite est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
10:07
LE NOUY, menuisier industriel breton, choisit PTV Route Optimiser pour accroître l’efficacité de ses livraisons, service compris !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEn confiant à PTV la digitalisation de ses fonctions transport, l’entreprise LE NOUY compte bien réduire ses coûts de distribution tout en améliorant la qualité de service offerte à ses clients.Créée en 1956 à Briec, au cœur du Finistère, la marque LE NOUY est une signature de caractère qui rayonne sur l’ouest de la France. La société est devenue une innovante entreprise industrielle de 200 salariés spécialisée dans la fabrication de volets roulants, de portails de jardin et de fenêtres en PVC et en aluminium.
LE NOUY mobilise quotidiennement une trentaine de véhicules, en flotte propre et affrètement, pour assurer la livraison de ses produits auprès d’une clientèle en majorité composée de professionnels.
Le client, qui souhaitait digitaliser ses processus transport, a sélectionné le logiciel de planification et d’optimisation de tournées PTV Route Optimiser.
A l’instar d’un TMS, PTV Route Optimiser communique avec l’ERP maison et identifie sur la base d’un nuage de points à livrer, les meilleures tournées et itinéraires grâce à ses algorithmes de dernière génération.
Dotée d’une interface bidirectionnelle, le logiciel est connecté au service Cloud PTV Drive&Arrive qui assure un suivi d’exécution en temps-réel des livraisons, permettant d’interagir avec les chauffeurs et de communiquer aux clients une heure d’arrivée précise et fiable.
Selon Franck Le Merrer, Directeur industriel, 2 éléments majeurs ont clairement fait la différence dans l’offre de PTV Group : d’une part la souplesse de l’outil capable de s’adapter à un environnement cumulant de nombreuses contraintes de livraisons, que ce soit au niveau de la variété des produits, des contraintes clients et d’autre part l’expérience de PTV dans le domaine de la menuiserie.
Chez Le Nouy, les attentes sont de 3 ordres : le gain de temps (pour la préparation des tournées et le chargement des véhicules), l’optimisation des coûts de livraison et l’amélioration du service client.
La solution, déjà utilisée chez une quinzaine de confrères fabricants et distributeurs de menuiseries, prend en compte les contraintes métier, couvrant une large palette de fonctionnalités telles que :
- ? La gestion de la flotte et des différents gabarits des véhicules
- ? Le géocodage précis des adresses clients
- ? La gestion des affrètements et l’intégration des grilles tarifaires transport
- ? La dématérialisation et la mise à jour des feuilles de tournées sur les smartphones des chauffeurs
- ? L’envoi via SMS/Email des notifications d’heures d’arrivées chez les clients en dynamique (calcul ETA)
- ? L’automatisation de certaines tâches redondantes ou sans réelle valeur pour les planificateurs qui peuvent se consacrer à des missions plus stratégiques
Pour les dirigeants de LE NOUY, les objectifs sont multiples : réduction des coûts de transport de l’ordre de 10%, gain de productivité de la chaîne logistique, amélioration de la qualité de service et respect de la « promesse client », sécurisation de l’activité par la création d’un référentiel logistique « partagé ».
De plus, l’entreprise, sensible à son impact environnemental, entend également réduire son empreinte carbone grâce à la diminution globale des kms parcourus sur la route, et contribuer chiffres à l’appui à « une distribution plus propre ».
Enfin, bien plus qu’un simple logiciel de planification de tournées, PTV Route Optimiser est également un puissant outil d’analyse qui va aider l’exploitant dans ses prises de décisions pour construire un plan de transport dynamique.
Grâce à une cinquantaine d’indicateurs de performances, les planificateurs LE NOUY disposent d’informations telles que le kilométrage total de chacune des tournées, les durées de conduite, l’ensemble des coûts de livraisons, les heures d’arrivées sur chaque point de passage, etc…
Ces derniers peuvent également contrôler la performance des tournées en cours d’exécution, consulter en temps-réel les avances/retards, les statuts d’exécutions, comparer le planifié et le réalisé, etc., procéder rapidement à des mesures correctives et ainsi garantir l’amélioration continue du service transport de l’entreprise.
Site web de l’entreprise Le Nouy
PTV Route Optimiser – le logiciel d’optimisation de tournées Service PTV Dive&Arrive
Références Clients
Pour plus d’informations, merci de contacter :
- Marie Gomes, Responsable Communications
- Mobile : +33 (0)1-30-75-75-82, marie.gomes@ptvgroup.com Internet: www.ptvgroup.com
- PTV Group
- Immeuble Les Miroirs – Bât C
- 18 avenue d’Alsace CS 80122 Courbevoie
- 92091 Paris La Défense Cedex
PTV. The Mind of Movement.
PTV Group suit une approche holistique qui intègre tous les aspects du trafic, du transport et de la logistique pour créer et promouvoir une mobilité durable. Reconnu comme un leader international sur son marché, PTV développe des solutions logicielles intelligentes pour le transport et la logistique, la planification et la gestion de la circulation. Ainsi les villes, les entreprises et les personnes génèrent des éco- nomies de temps et d’argent, renforcent la sécurité routière et réduisent leur impact sur l’environnement. Basé sur son expertise unique dans tous les domaines de la mobilité, PTV garantie que les personnes et les marchandises arrivent à destination en toute sécurité et à l’heure.
Plus de 2500 villes utilisent les produits PTV. Les itinéraires et les tournées de plus d’un million de véhicules sont planifiés avec nos logiciels. Le modèle de transport européen, qui couvre tous les déplacements de passagers et de marchandises en Europe, a été développé avec la technologie PTV. Nous avons plus de 850 collègues dans le monde impliqués dans la conception de haute performance de nos produits. Le siège de PTV, situé en plein cœur du bassin technologique de Karlsruhe, accueille notre centre de développement et d’inno- vation. De là, PTV planifie et optimise tous les déplacements des Hommes et des marchandises dans le monde – telle est l’idée conductrice qui accompagne le groupe depuis sa fondation en 1979. La société française PTV France est une entreprise de PTV Group. www.ptvgroup.com
Membre de l’Alliance internationale pour la décarbonisation des transports (lien vers http://tda–mobility.org/) PTV Groupe France a aussi rejoint le comité des partenaires de la Métropole du Grand Paris (lien vers https://www.metropolegrandparis.fr/fr/premiere–reunion–du–co- mite–des–partenaires–du–pacte–pour–une–logistique–metropolitaine–280 ).
Cet article LE NOUY, menuisier industriel breton, choisit PTV Route Optimiser pour accroître l’efficacité de ses livraisons, service compris ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
19:44
L’open data à l’épreuve du papier
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDepuis le 1er janvier, l’IGN a publié sous licence Etalab une grande partie de ses données : BD Topo, BD Ortho, Parcellaire express, RGE Alti à 5 m, Plan IGN, nombreux SCAN… Une ouverture unanimement saluée, conforme au développement de l’open data, qui devrait faciliter les relations entre l’IGN et ses utilisateurs. Quelques La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous pour consulter l'article
ou
Créez un compte et achetez cet article à l'unité pour 10 €
Email: Password: Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article L’open data à l’épreuve du papier est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:09
Une carte de vœux inspirante venue de Marseille
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa Phase 5, studio de création digitale marseillais a eu une belle idée pour sa carte de vœux… une balade virtuelle dans quelques lieux emblématiques de la métropole.À partir d’une maquette 3D aussi esthétique que rustique (comme quoi, la profusion de détails n’est pas une fin en soi), la navigation se fait tout en douceur vers une trentaine de lieux (commerces, culture, points de vue…) présentés à l’aide d’une photographie immersive et d’un petit texte. Une déclaration d’amour géographique simple et de bon goût en ces temps d’immobilisme.
Cet article Une carte de vœux inspirante venue de Marseille est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:28
L’IGN se met aux pyramides vecteur tuilées
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe 11 février 2021 l’IGN a présenté l’évolution de sa pyramide de fonds de cartes lors d’un webinaire. Les tuiles vectorielles seront bientôt à la disposition de tous.4 styles de Plan IGN sous forme de tuiles vectorielles. De gauche à droite : classique, accentué, épuré et transparent (sans fond blanc)
Voilà déjà plusieurs années que les principaux éditeurs de flux cartographiques proposent des tuiles vectorielles, permettant d’avoir plus de souplesse dans les styles de représentation, d’alléger les flux et de gagner en fluidité de navigation. Toutes sortes de données telles que OpenStreetMap (via Jawg Maps, Qwant Maps, Makina Maps…) ainsi que celles assemblées par MapTiler ou par Esri dans ArcGIS Online… sont ainsi accessibles via le protocole TMS (Tile Map Service).
D’ici peu, le Géoportail fournira également une déclinaison de sa pyramide Plan IGN sous forme de tuiles vectorielles précalculées et assemblées au format PBF (Mapbox). Cette nouvelle version sera accessible directement depuis le Géoportail (en projection Web Mercator) ou intégrable gratuitement dans un SIG (c’est par exemple le cas de QGIS depuis la version 3.14) via l’API du Géoportail (les tuiles en téléchargements seront projetées en Lambert 93).
À chacun son styleL’un des intérêts des tuiles vectorielles est la possibilité d’associer différents styles cartographiques à un même jeu de données via un fichier de style en JSON qui définit précisément la représentation de chaque type d’entité (couleur, plage de visibilité, bordure…). Ainsi, l’IGN a présenté 7 styles allant du classique (proche du rendu du SCAN 25) à des habillages plus ou moins contrastés, et plus ou moins chargés en toponymie. L’IGN travaille également sur un éditeur de style simple (accessible sur geoservices.ign.fr), qui pourra compléter ceux qui existent déjà comme Maputnik ou Fresco, qui s’adressent plutôt à des publics experts.
Le prototype d’éditeur de style développé par l’IGN
« Un groupe de travail utilisateurs va être créé afin de définir des styles qui correspondent bien aux attentes des utilisateurs » a de plus annoncé Sofiane Kriat lors du webinaire. Différentes pistes seront étudiées comme la création d’un style adapté aux données touristiques, aux interfaces mobiles ou aux utilisateurs ayant des déficiences visuelles (daltoniens notamment). Dans les prochains mois, d’autres données seront proposées sous forme de tuiles vectorielles : le parcellaire cadastral, les bâtiments, les routes, etc.
Pour en savoir plus :- Article du blog Géoservices IGN sur l’utilisation du service vecteur tuilé
- Supports de présentation du Webinaire du 11 février sous ce lien.
Cet article L’IGN se met aux pyramides vecteur tuilées est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
10:21
1Spatial reçoit le label Utility Network Management Specialty d’Esri
sur Décryptagéo, l'information géographiqueArcueil, France, 12 Février 2021, (www.1spatial/fr.com) 1Spatial, éditeur mondial de logiciels et de solutions géospatiales et partenaire Esri Gold, est ravie de recevoir la certification de spécialité « Utility Network Management Speciality » d’Esri pour ses solutions SIG de gestion des réseaux d’eau.Avec cette certification, 1Spatial est donc reconnue par Esri pour sa connaissance et son expertise dans le domaine des réseaux d’utilité publique et sa capacité à mettre en œuvre des solutions de gestion des réseaux d’eau utilisant l’extension ArcGIS « Utility Network Management ».
La solution logicielle 1Water de 1Spatial est basée sur l’extension ArcGIS Utility Network et permet la gestion des données géographiques et du patrimoine, ainsi que la modélisation, l’édition et l’analyse des réseaux. Elle permet aux acteurs dans le domaine de l’eau de modéliser l’ensemble de leur réseau dans ArcGIS à un niveau de détail jamais atteint auparavant. 1Water est reconnue par Esri comme une solution professionnelle haute performance qui offre de nouvelles possibilités à nos clients, exploitant les capacités exceptionnelles de Utility Network d’ArcGIS, tout en aidant à définir les meilleures approches pour modéliser le réseau dans le Utility Network.
« Nous sommes honorés d’être reconnus par Esri pour notre expertise et nos solutions, dans le cadre de la mise en œuvre de l’extension ArcGIS Utility Network Management auprès des gestionnaires de réseaux. Ce modèle permet à ces derniers de créer de véritables jumeaux numériques de leur réseau et de relever les défis d’un service public moderne. Nous sommes impatients de travailler avec les acteurs du secteur Utilities du monde entier pour les aider à passer à Utility Network et à en exploiter tous les avantages », déclare Claire Milverton, CEO de 1Spatial.
Le modèle ArcGIS Utility Network couvre de nombreux secteurs tels que l’électricité, le gaz, les télécommunications et l’eau et améliore considérablement les capacités de gestion du réseau au sein d’ArcGIS. 1Spatial travaille avec les entreprises de services publics depuis de nombreuses années, et nous disposons des compétences et des solutions nécessaires pour exploiter la puissance d’ArcGIS Utility Network pour la gestion des réseaux d’utilité publique du monde entier, avec des projets et des engagements de clients en cours à l’échelle internationale.
« Nous sommes honorés d’être reconnus par Esri pour notre savoir-faire dans le domaine de la gestion des réseaux d’eau et d’assainissement et notre expertise démontrée de l’extension Utility Network (UN) d’ArcGIS. Ce label de spécialité récompense le travail extraordinaire de nos équipes techniques et est le gage pour nos clients utilisateurs du UN d’ArcGIS que nos solutions exploitent finement et de manière optimale toute la puissance du modèle. Cette étape importante démontre aussi l’engagement de 1Spatial auprès d’Esri pour apporter la meilleure valeur ajoutée métier aux utilisateurs d’ArcGIS » ajoute Issam Tannous, Directeur Général 1Spatial Europe.
Si vous souhaitez en savoir plus sur les solutions de 1Spatial et comprendre comment nous pouvons vous aider à exploiter la valeur des données de votre réseau de services publics, n’hésitez pas à nous contacter.
À propos de 1Spatial
1Spatial est un leader mondial dans la fourniture de logiciels, de solutions et d’applications métier pour la gestion des données de localisation et géospatiales.
Parmi nos clients, nous comptons des agences nationales de cartographie, des collectivités territoriales, des opérateurs de réseaux d’utilité publique, des organismes de transport, des agences gouvernementales, des services de défense et de sécurité ainsi que des gestionnaires de bâtiment.
Aujourd’hui, alors que les données de localisation provenant des smartphones, de l’Internet des objets et des grands lacs de données orientent de plus en plus les décisions, notre technologie est un facteur d’efficacité et permet aux organisations d’avoir confiance dans les données qu’elles utilisent.
Nous libérons la valeur des données de localisation grâce à nos collaborateurs, nos solutions innovantes, notre connaissance métier et notre vaste base de clients. Nous nous efforçons de rendre le monde plus durable, plus sûr et plus intelligent pour l’avenir. Nous pensons que les réponses pour atteindre ces objectifs se trouvent dans les données.
La plateforme 1Spatial, comprenant notamment notre moteur de règles 1Integrate de notre logiciel Location Master Data Management (LMDM), fournit des solutions de traitement de données puissantes et des applications métier ciblées fonctionnant sur site, en mobilité et dans le cloud. Cela garantit que les données sont à jour, exhaustives et cohérentes grâce à l’automatisation.
Notre maison mère est située à Cambridge, au Royaume-Uni, et nous sommes présents au Royaume-Uni, en Irlande, aux États-Unis, en France, en Belgique, en Tunisie et en Australie.
Nous nous engageons à travailler avec nos clients pour libérer la valeur de leurs données et créer un monde plus intelligent.
Pour plus d’informations, visitez le site www.1spatial/fr.com
Pour plus d’information, veuillez contacter :
Catherine Gauthier, Responsable Marketing
catherine.gauthier@1spatial.com – M +33 (0)4 79 25 38 71
1Spatial France/Belgique – 23-25 avenue Aristide Briand, Immeuble AXEO 2 94110 Arcueil
Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux :
Twitter : [https:]]
LinkedIn : [https:]]
Facebook : [https:]]
Cet article 1Spatial reçoit le label Utility Network Management Specialty d’Esri est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:04
« Mesures et perception » : une expérimentation inédite de mesure de la qualité de l’air en Île-de-France
sur Décryptagéo, l'information géographiqueValérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France et Jean-Philippe Dugoin Clément, Vice-président de l’Écologie, du Développement durable et de l’Aménagement, et leurs partenaires, Philippe Wahl, Président-directeur général de La Poste et Karine Leger, directrice générale d’Airparif, ont présenté ce jour en conférence de presse l’expérimentation « Mesures & perception », une expérimentation innovante de mesure de la qualité de l’air et de collecte du ressenti des citoyens en Île-de-France.La Région Île-de-France annonçait en octobre 2019 lors de la présentation de son plan pour la transformation écologique de l’Île-de-France d’ici 2024 (10 milliards d’euros pour répondre à l’urgence écologique) le lancement d’un nouveau dispositif expérimental de mesure de la qualité de l’air, embarqué sur des véhicules sillonnant l’Île-de-France, et permettant de croiser ces informations avec la perception des Franciliens.
Le 16 mars 2020, après une procédure d’appel d’offres à laquelle 7 consortiums ont concouru, le groupement porté par la société Geoptis – filiale du groupe La Poste – est désigné lauréat du projet par Airparif. Le groupement réunit La Poste, sa filiale Geoptis et 42 Factory, concepteur de micro-capteurs AtmoTrack.
Le projet est intégralement financé par la Région Île-de-France à hauteur d’1,5 millions d’euros et piloté par AIRLAB, la plateforme d’innovation d’Airparif et de ses partenaires – dont la Région est un des principaux contributeurs-. Il a pour objectif d’améliorer les connaissances sur les niveaux de pollution au cœur du trafic, tout en testant un nouveau réseau de mesures, et d’appréhender la perception des Franciliens vis-à-vis de la qualité de l’air. Ces innovations permettront de faire mieux connaître la qualité de l’air en Ile-de-France, et in fine d’identifier les leviers d’engagement des Franciliens pour faire baisser la pollution de l’air.
Valérie Pécresse, Présidente de la Région Île-de-France : « Avec ces flottes de véhicules qui sillonnent désormais l’Île-de-France, nous allons avoir accès à une quantité d’informations inégalée en matière de qualité de l’air, et nous pourrons les croiser avec les ressentis des Franciliens. Cela renforcera l’adhésion à la transition écologique en Ile-de-France ».
Philippe Wahl, Président-Directeur général du Groupe La Poste :
« L’amélioration de la qualité de l’air est un enjeu de santé publique majeur auquel nous sommes fiers de participer. La Poste, neutre en carbone, est engagée depuis plus de 10 ans dans sa propre transition écologique, c’est donc naturellement que nous contribuons avec notre filiale Geoptis, à ce projet de mesure de la qualité de l’air en Île-de-France. ».Karine Leger, Directrice Générale d’Airparif, Pour aller plus vite et plus loin dans l’amélioration de la qualité de l’air, l’innovation est un facteur clé avec de nouvelles technologies tant pour favoriser les changements de comportement qu’en termes de mesure et de dépollution. Ces technologies sont à la fois porteuses d’opportunités conséquentes mais aussi de questions, par exemple quant à leur efficacité. Pour apporter des éléments d’aide à la décision pour les politiques publiques et à nos partenaires, une évaluation objective est nécessaire. C’est le sens de cette expérimentation grandeur réelle, qui porte conjointement sur des technologies de mesure et d’information, et tout l’enjeu de l’écosystème d’innovation ouvert Airlab, solutions pour notre air, coordonné par Airparif»
Mis en œuvre dans une dynamique partenariale, le dispositif se décompose en 3 volets :
- Mesurer la qualité de l’air en mobilité
Geoptis a déployé 600 micro-capteurs AtmoTrack, développés par son partenaire 42 Factory, sur tout le territoire francilien. 500 sont embarqués sur les flottes de véhicules du Groupe La Poste : les véhicules des facteurs, les vélos et remorques de vélos à assistance électrique (K-Ryole) des coursiers Stuart, ainsi que des utilitaires et poids lourds. En complément, 100 micro-capteurs sont positionnés sur des bâtiments de La Poste, plateformes de distribution ou bureaux de poste.
Ces capteurs ont été déployés progressivement depuis le 25 juin 2020, et ce pour une durée d’un an.
Les micro-capteurs AtmoTrack ont été évalués à plusieurs reprises par AIRLAB dans le cadre du Challenge micro-capteurs, à la fois en position fixe et sur des véhicules. Les données produites toutes les 10 secondes seront traitées et analysées en vue de tester leur pertinence et la valeur ajoutée de leur intégration aux cartographies d’Airparif.
72% des communes d’Île-de-France sont directement concernées par le déploiement de ces micro-capteurs.
- Mener une vaste enquête de perception en ligne et à domicile
Le deuxième volet consiste en une vaste enquête de perception, qui vise à recueillir le ressenti des Franciliens sur l’air qu’ils respirent, grâce à un questionnaire.
Cette enquête aura lieu en ligne ( [https:]] ), via une plateforme de participation citoyenne, et aux domiciles de Franciliens volontaires qui seront interrogés par des facteurs de La Poste (sous réserve de l’évolution des conditions sanitaires).
Le croisement de ces résultats basés sur le ressenti des Franciliens à des données objectives de qualité de l’air issues des relevés dans le trafic et à une telle échelle, en s’appuyant sur des interlocuteurs de proximité que sont les facteurs, constitue une approche innovante et complètement nouvelle par rapport aux divers expérimentations qui existent d’ores et déjà sur l’utilisation de flotte de micro-capteurs, en France comme à l’étranger.
- Mettre à disposition des citoyens un outil de signalement des anomalies, l’application « Signal’Air »
Apres les mesures et l’enquête de perception, le troisième volet va plus loin encore dans l’implication des Franciliens avec la mise en place d’une application de signalements participatifs « Signal’Air », qui leur permettra de signaler des anomalies ayant un impact sur l’air qu’ils respirent (odeurs, panache de fumée…).
Cette application de signalement, inédite en Île-de-France, a pour objectif de permettre à chaque Francilien non seulement de signaler des anomalies, mais aussi de connaître le ressenti des habitants sur la pollution en temps réel, tout en contribuant à améliorer la connaissance de la qualité de l’air dans sa région.
Chiffres Clés :
-Opération financée intégralement par la Région à hauteur 1,5 million d’euros
-Volet 1 : Mesures de polluants
- 600 capteurs, dont 500 en mobilité et 100 sur des bâtiments
- 930 cellules de mesures embarquées dans les capteurs
5 polluants mesurés 24h/24 et 7 jours sur 7 :
- 3 tailles de particules fines : PM10, PM5, PM1 avec 600 cellules de mesures
- Dioxyde d’azote (NO2) avec 300 cellules de mesures
- Ammoniac (NH3) avec 30 cellules de mesures
-Volet 2 : Enquête de perception
Une plateforme en ligne de participation citoyenne sera dédiée à recueillir la perception qu’ont les Franciliens de la qualité de l’air qu’ils respirent, ainsi qu’à évaluer les leviers de leur engagement pour améliorer celle-ci.
Par ailleurs, 1 100personnes volontaires participeront à des entretiens personnalisés effectuées par des facteurs de La Poste, afin de recueillir leurs perceptions sur la qualité de l’air, et ce sur l’ensemble du territoire francilien, y compris en zones rurales (sous réserve de l’évolution des conditions sanitaires).
-Volet 3 : Déploiement d’une application de signalements
L’application de signalements participatifs « Signal’Air » sera déployée en Île-de-France au mois de mars 2021. Cette application permettra à tous les Franciliens qui le souhaitent de signaler des nuisances qui affectent l’air qu’ils respirent (odeurs, visuels – comme un panache de fumée – mais aussi bruits et pollens). L’ensemble des signalements sera regroupé sur une carte interactive, ce qui permettra aux utilisateurs de l’application de connaître en temps réel les perceptions des Franciliens sur la qualité de l’air autour d’eux, ainsi que de contribuer à l’amélioration des connaissances sur la qualité de l’air en Île-de-France.
Les partenaires du projet :
A propos de la Région Île-de-France :
Améliorer la qualité de l’air est une urgence de santé publique pour les Franciliens. La Région en a fait l’une des priorités de sa stratégie environnementale en lançant son plan d’action « Changeons d’air en Île-de-France », adopté en 2016. L’expérimentation « Mesures et Perception » vient ainsi en complément d’autres initiatives que la Région mène actuellement pour améliorer la qualité de l’air dans le métro ou les stations RER, dans les crèches et les écoles, mais aussi via des actions de mobilité propres.
La Région agit dans la plupart des domaines qui concernent le quotidien des 12 millions de Franciliens : les transports, les lycées, le développement économique, l’environnement etc. Sur un espace qui couvre 2% du territoire français mais rassemble 18% de sa population et près de 30% du PIB national, la Région mène une politique d’aménagement qui place l’environnement au cœur de ses priorités et mobilise ainsi 10 milliards d’euros sur cette thématique d’ici à 2024 avec un volet d’action très important sur la qualité de l’air qui constitue une priorité phare de l’action régionale.
A propos d’Airparif :
Airparif est l’Observatoire indépendant de la qualité de l’air en Île-de-France. Association loi 1901 agréée par le ministère en charge de l’environnement, Airparif a pour missions de :
– Surveiller l’air respiré par les Franciliens grâce à un dispositif de mesure robuste et fiable ;
– Comprendre la pollution de l’air, ses impacts et son évolution, en participant au renforcement des connaissances ;
– Accompagner les citoyens, et tous les acteurs, pour améliorer la qualité de l’air en lien avec l’énergie et le climat, en informant et en apportant l’expertise de l’Observatoire pour l’élaboration et l’évaluation des plans d’action ;
– Innover en facilitant l’émergence de nouvelles solutions pour améliorer plus rapidement la pollution de l’air, et évaluer la performance de ces innovations.
A propos d’AIRLAB
AIRLAB est l’accélérateur de solutions pour la qualité de l’air, créé par Airparif et 11 partenaires fondateurs, dont le Conseil Régional d’Île-de-France, qui a financé la mission de préfiguration. AIRLAB regroupe les acteurs institutionnels, économiques, la recherche publique et les start-ups engagés pour la recherche de solutions innovantes pour la qualité de l’air. La communauté AIRLAB compte aujourd’hui 85 organisations.
A propos de Geoptis
Geoptis : Depuis 2017, Geoptis, filiale à 100 % du Groupe La Poste, accompagne des collectivités de toutes tailles et les aide à optimiser la gestion et l’entretien de leur patrimoine urbain : routes, mobilier urbain, etc. Les véhicules de La Poste sont pour l’occasion équipés de caméras qui filment la route lors des tournées des facteurs. Dès 2018, Geoptis a développé de nouvelles solutions basées sur l’exploitation de vidéos ou la mise en œuvre de nouveaux capteurs, en transposant ses savoir-faire à d’autres usages. Geoptis dispose ainsi de solutions de géoréférencement, de mesure de la qualité de l’air et de couverture des réseaux mobiles. Ces solutions sont des outils d’aide à décision au service de l’attractivité des territoires, de l’optimisation des budgets et des politiques publiques. En outre, Geoptis est partenaire de la chaire « Territoires en transition » de Grenoble Ecole de Management. www.geoptis.fr
A propos du Groupe La Poste
La Poste est une société anonyme à capitaux publics, filiale de la Caisse des dépôts et de l’Etat. Le groupe La Poste est organisé en cinq branches : Services-Courrier-Colis, La Banque Postale, Réseau La Poste, GeoPost, Numérique. Le Groupe est présent dans 47 pays sur 4 continents. Chaque jour, les 17 000 points de contact de La Poste, 1er réseau commercial de proximité de France, accueillent 1,3 million de clients. La Poste, neutre en carbone depuis 2012, distribue 21,6 milliards d’objets par an dans le monde (lettres, imprimés publicitaires et colis), 6 jours par semaine. En 2019, le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 26 milliards d’euros, dont 30% à l’international, et emploie plus de 249 000 collaborateurs. La Poste s’est donné pour objectif d’accélérer sa transformation en continuant à se diversifier. Avec pour ambition de devenir la première entreprise de services de proximité humaine, pour tous, partout et tous les jours, La Poste s’engage à simplifier la vie.
A propos de 42 Factory
42 Factory, jeune entreprise innovante créée en 2015, propose les micro-capteurs AtmoTrack pouvant être installés sur des véhicules, des bâtiments et du mobilier urbain. Les micro-capteurs « Made in France » AtmoTrack embarquent une gamme inédite et complète de technologies de mesure de la qualité de l’air (PM 10 – 2,5 – 1) mais également du NO2, de la température et de l’humidité (testées lors du challenge AIRLAB organisé par Airparif). Depuis 2017, ces micro-capteurs ont été mis en place éprouvés aussi bien en condition de monitoring urbain pour des collectivités que pour de la surveillance de sites sensibles. En constante évolution, la société continue d’innover sur les capteurs avec l’intégration de nouveaux polluants comme par exemple le NH3.
Contacts presse
Région Île-de-France :
Eléonore Flacelière 06 64 82 77 04 – eleonoreflaceliere@iledefrance.fr
Geoptis – Le Groupe La Poste :
Perrine Landry : 01 55 44 22 39 / 06 84 36 27 76 – perrine.landry@laposte.fr
Airparif :
Service Communication – 06 24 01 44 08 – communication@airparif.fr
Cet article « Mesures et perception » : une expérimentation inédite de mesure de la qualité de l’air en Île-de-France est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
20:01
Îlots de chaleur et défaut d’eau courante favorisent la dengue à Delhi en Inde
sur Décryptagéo, l'information géographiqueVue de South Delhi.
© CC BY Ryan / FlickrMaladie virale sans traitement spécifique ni vaccin, la dengue menace potentiellement 3,5 milliards de personnes à ce jour – un nombre qui pourrait augmenter avec l’urbanisation des zones tropicales et le réchauffement climatique. En effet, les moustiques tigres vecteurs de la maladie sont particulièrement bien adaptés aux milieux urbains et leur aire de répartition s’étend de plus en plus en direction des régions tempérées.
Depuis 1996, Delhi est touchée chaque année par une épidémie de dengue entre juillet et novembre. Pour savoir où et comment agir pour mieux combattre ces épidémies, une équipe associant géographes, virologues, entomologistes et épidémiologistes a étudié leur propagation à l’échelle de cette métropole de 16,7 millions d’habitants. Les scientifiques ont ciblé 18 quartiers de Delhi pour lesquels ils ont mesuré l’abondance des larves de moustiques, et recherché la présence d’anticorps (signe d’une infection passée) chez une partie des habitants. En combinant ces données de terrain aux cas repérés dans les hôpitaux, ils ont pu mettre en avant le rôle des facteurs sociaux et environnementaux dans la diffusion de cette maladie émergente.
Premier résultat : malgré une densité de moustiques plus faible, les quartiers riches sont presque aussi touchés par la dengue que les quartiers défavorisés, et davantage que les quartiers au statut socio-économique intermédiaire. Les scientifiques expliquent ce paradoxe par l’importance prise par les mobilités journalières dans la ville : quartiers favorisés et défavorisés sont dorénavant hyper connectés et partagent tout autant les espaces de vie que les virus. Deuxième enseignement : le manque d’accès à l’eau courante est le facteur de risque majeur d’infection par le virus de la dengue, plus que la pauvreté même si les deux sont souvent associés.
En effet, les rares cas hivernaux de dengue sont recensés dans les quartiers à la fois défavorisés et densément peuplés. Le manque d’eau courante oblige les habitants à y stocker l’eau dans des réservoirs qui constituent des lieux de ponte privilégiés pour les moustiques. Et la forte densité de ces types de quartiers crée des îlots de chaleur. La température y atteint en effet jusqu’à 15°C en janvier (10°C de plus que dans les zones moins denses) permettant aux moustiques de survivre à l’hiver et de continuer à propager localement le virus.
Cartographie des îlots de chaleur (températures nocturnes du mois de novembre). Les cas de dengue hivernaux sont localisés dans les zones les plus chaudes de la ville.
© Olivier Telle/CSH/CNRSEn somme, si les déplacements semblent expliquer la diffusion du virus pendant les épidémies, les déterminants sociaux jouent un rôle prépondérant dans l’ancrage du virus à Delhi, puisque le virus continue à circuler à bas bruit l’hiver dans les quartiers denses au faible accès à l’eau. Améliorer l’accès à l’eau dans ces quartiers devrait donc permettre d’atténuer l’épidémie dans toute la métropole, et pour tous ses habitants. Limiter les îlots de chaleur, ou du moins y concentrer la lutte anti-moustique en période hivernale, affaiblirait également le réservoir qui alimente l’épidémie chaque année. La planification urbaine pourrait ainsi être un instrument de lutte contre la dengue et plus globalement un levier majeur pour améliorer la santé de tous. Il s’agit là d’un concept utilisé bien avant la vaccination, et qui a permis au 19e siècle de contrôler les épidémies de choléra dans les villes européennes.
Télécharger le communiqué de presse (512.31 Ko)
Notes
1. 1. Les centres de recherche concernés sont le Centre de sciences humaines de Delhi (CNRS/Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères), le laboratoire Génomique évolutive, modélisation et santé (CNRS/Institut Pasteur), le National Institute of Malaria Research (Indian Council of Medical Research) et le laboratoire Géographie-cités (CNRS/Université Paris 1 Panthéon Sorbonne/EHESS/Université de Paris).
Bibliographie
Social and environmental risk factors for dengue in Delhi city: a retrospective study, Olivier Telle, Birgit Nikolay, Vikram Kumar, Samuel Benkimoun, Rupali Pal, B.N. Nagpal, Richard E. Paul. PLOS Neglected Tropical Diseases, 11 février 2021. DOI : 10.1371/journal.pntd.0009024 (lien actif après la levée de l’embargo).
Contact presse Véronique Etienne
Attachée de presse CNRS
+33 1 44 96 51 37
Contact chercheur Olivier Telle
Chercheur CNRS
+33 6 64 74 00 96 (Whatsapp)
Attention : à Delhi, heure de Paris + 4h30
telle.olivier@gmail.comRetrouvez tous les communiqués du CNRS Cet article Îlots de chaleur et défaut d’eau courante favorisent la dengue à Delhi en Inde est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:58
Loi climat et résilience : les zones d’activités et centres commerciaux dans le viseur
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe projet de loi Climat et Résilience a été présenté à l’issue du Conseil des ministres ce 10 février 2020. Il se pose en synthèse d’une partie des travaux menés par 150 membres de la Convention citoyenne pour le climat, qui ont réalisé 149 propositions. En tout, 146 ont vocation à être mises en œuvre par le gouvernement, dont 46 dans le cadre de la loi Climat et Résilience. Pour rappel, l’objectif est de définir des mesures permettant de réduite d’au moins 40% les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030. Cette loi sera présentée en première lecture à l’Assemblée nationale en mars, avec pour objectif d’être promulguée en juin 2021.
Certaines mesures vont directement faire travailler les services SIG, notamment ceux des collectivités et des agences d’urbanisme. Nous en avons relevé 4 principales : la création de zones à faibles émissions, la lutte contre l’artificialisation nette, la limitation des zones d’activités et notamment de construction de nouvelle zone commerciale.
La mise en place de zones à faibles émissions-mobilités (ZFE-m) est déjà bien engagée. Elle sera obligatoire pour les agglomérations de plus de 150 000 habitants d’ici le 31 décembre 2024. Dans ces zones, la circulation des véhicules les plus polluants est limitée et la prime à la conversion peut bénéficier d'un supplément. Des restrictions sont prévues pour les véhicules Crit’Air 3 en 2025 pour les zones encore en dépassement. Concrètement, cela implique de réorganiser les zones urbaines, de créer des parkings relais et de développer dans ces territoires une mobilité plus durable et moins polluante, en soutenant y compris le développement du vélo, du covoiturage ou des transports en commun.
Réduire l'artificialisation des sols Une autre grande mesure est l’objectif de division par deux du rythme d’artificialisation des sols. Cela dans les dix prochaines années, par rapport à la précédente décennie. Pas de règle donc, mais un objectif à atteindre. Cela va concerner tous les niveaux de programmation d'aménagement avec une déclinaison aux schémas régionaux d'aménagement (SRADDET), aux SCOT et aux PLU. Il va notamment falloir justifier chaque ouverture de terrains à l'urbanisation par l'impossibilité de densifier d’autres zones déjà urbanisées ou l’impossibilité de réutiliser des friches.
Chaque année, les collectivités devront aussi présenter un rapport sur la lutte contre l'artificialisation et procéder à un inventaire des zones d'activités économiques. Il faudra rendre compte de l'état parcellaire, des occupants, du taux de vacances, etc. Ce nouvel observatoire vise à lutter contre la création de nouvelles friches tout en donnant la possibilité à la collectivité d’imposer de réhabiliter des locaux ou terrains ou d'engager des procédures d'expropriation.
Enfin, il n’y aura plus aucune construction de zone commerciale en périphérie des villes sur des terres naturelles, notamment plus de méga projets comme Europacity. Sauf exception car la création de zones de moins de 10.000 mètres carrés de surface de vente pourra toujours se faire. Mais seulement si elle réunit à cinq conditions : l'insertion du projet dans le secteur d'une opération de revitalisation du territoire, la continuité avec le tissu urbain, la démonstration des qualités environnementales du projet, la qualité du dispositif de compensation de l'artificialisation et les besoins réels du territoire.
Ce projet de loi doit encore passer par bien des étapes et navettes, allègements et autres modifications... À suivre.
+ d'infos:
conventioncitoyennepourleclimat.fr
ecologie.gouv.fr
-
15:33
Le satellite d’analyse de la biomasse forestière prend forme
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe satellite fournira des informations exceptionnelles uniquement possibles depuis l’espace
Le modèle structurel est prêt pour la campagne de testStevenage/Toulouse, le 11 Février 2021 – Biomass, le satellite de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) pour l’étude des forêts prend forme: son modèle structurel a été achevé sur le site d’Airbus à Stevenage. Conformément aux directives du gouvernement britannique, le site de Stevenage est sécurisé anti-COVID, ce qui a permis de poursuivre la production d’engins spatiaux en toute sécurité.
L’assemblage de la structure mécanique du satellite n’a pas pu être réalisé comme prévu en raison de la crise sanitaire, mais au cours des mois d’avril et mai 2020, l’équipe Airbus a mis en place une solution numérique pour permettre la collaboration avec l’ESA et les fournisseurs, sécurisant ainsi le développement de la structure mécanique du satellite.
Les équipes d’Airbus ont finalisé la construction de la structure au cours du second semestre 2020 et l’intégration du matériel sur la plateforme de modélisation de la structure a été achevée début janvier 2021. Le modèle structurel est maintenant chez Airbus à Toulouse, pour sa campagne d’essais mécaniques.
Richard Franklin, directeur général d’Airbus Defence and Space UK, a déclaré: « Malgré la pandémie, les équipes ont vraiment innové et fait preuve d’initiative afin de sécuriser la production. Les progrès réalisés démontrent le haut niveau de compétences et de savoir-faire des équipes d’Airbus et leur engagement à remplir leur mission ».
Michael Fehringer, responsable du projet Biomass à l’ESA, a déclaré : « L’avancement de la structure à ce jour est une réalisation remarquable étant donné la quantité et la variété des problèmes auxquels les équipes ont dû faire face ».
Biomass est une mission Earth Explorer de l’ESA dont le lancement est prévu en 2022. Elle étudiera la biomasse forestière afin d’évaluer les stocks et les flux de carbone terrestre pendant cinq ans. Le satellite emportera le premier radar à synthèse d’ouverture en bande P embarqué dans l’espace et fournira des cartes exceptionnellement précises de la biomasse des forêts tropicales, tempérées et boréales, que les techniques de mesure au sol ne permettent pas d’obtenir.
About Airbus
Airbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
Cet article Le satellite d’analyse de la biomasse forestière prend forme est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
14:30
Le Secrétaire d’état chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, Cédric O, installe un nouveau Conseil national du numérique pour éclairer l’action publique
sur Décryptagéo, l'information géographique- Une nouvelle mission : interroger notre relation au numérique
- Un collège interdisciplinaire composé de 17 membres nommés par le Premier ministre et de 4 parlementaires nommés par les Présidents des Assemblées pour 2 ans
- Une co-présidence assurée par Mme Françoise MERCADAL-DELASALLES et M. Gilles BABINET
Cérémonie d’installation du nouveau Conseil national du numérique, le 8 février 2021. Au centre de la photo, la directrice générale du Crédit du Nord Françoise Mercadal-Delasalles, qui co-préside le nouveau CNNum avec l’entrepreneur Gilles Babinet (à sa droite).
DONNER DE LA MATIÈRE POUR UNE PENSÉE SCIENTIFIQUE SUR LE NUMÉRIQUECréé en 2011 pour éclairer la conduite des politiques publiques sur les questions relatives au numérique, le Conseil national du numérique (CNNum) a participé à inscrire le numérique dans l’agenda des décideurs français et a contribué à accompagner une transition sociétale majeure. Ses travaux récents en matière d’inclusion, sa feuille de route environnementale, ses analyses en matière d’interopérabilité des réseaux sociaux ou encore sa mobilisation pendant la crise sanitaire l’illustrent encore.
À l’heure où nous faisons face à une conjonction de crises sans précédent, le numérique est tantôt perçu avec défiance, tantôt comme un facteur de progrès. Plus notre relation au numérique s’intensifie, plus sa place dans la société est questionnée. Dans ce contexte, la nouvelle mission du Conseil national du numérique et de ses membres sera de formaliser les problématiques relatives au numérique et de mettre en partage les éléments utiles à la pensée et à la décision publique, tant à l’échelle nationale qu’européenne.
UN COLLECTIF POUR UNE PENSÉE OUVERTE ET PLURIELLEPour relever ce défi ambitieux, le nouveau collège de membres du CNNum est composé de 21 personnalités aux expertises diverses : philosophes, sociologues, psychologues, anthropologues, parlementaires, économistes, dirigeants d’entreprises, juristes, scientifiques, informaticiens… Toutes ont à cœur d’interroger les changements de notre société impulsés par la transition numérique.
LISTE DES MEMBRES (biographies disponibles dans le dossier de presse)Anne ALOMBERT, Gilles BABINET, Adrien BASDEVANT, Justine CASSELL, Patrick CHAIZE, Gilles DOWEK, Martine FILLEUL, Elisabeth GROSDHOMME, Rahaf HARFOUSH, Tatiana JAMA, Olga KOKSHAGINA, Alexandre LACROIX, Constance LE GRIP, Françoise MERCADAL-DELASALLES, Jean-Pierre MIGNARD, Jean-Michel MIS, Dominique PASQUIER, Eric SALOBIR, Serge TISSERON, Joëlle TOLEDANO, Jean-Marc VITTORI
Nommée pour 2 ans, cette nouvelle mandature témoigne, par la pluralité de sa composition, de l’ambition d’inscrire le CNNum dans une démarche interdisciplinaire. Ce collectif sera co-présidé par Françoise MERCADAL-DELASALLES, directrice générale du Crédit du Nord et Gilles BABINET, multi-entrepreneur.
Pour mener à bien ses missions, ce Conseil adoptera une méthode de travail ouverte, basée sur l’échange entre les disciplines et les organisations et personnes intéressées. À l’issue de leurs premières rencontres, les membres élaboreront leur programme de travail ainsi que les chantiers prioritaires sur lesquels ils travailleront. Tout au long de son mandat, ce collège rendra ses travaux visibles et accessibles par tous.
Ce nouveau collège de membres bénéficiera du soutien du secrétariat général du Conseil national du numérique à la tête duquel Jean Cattan, précédemment conseiller du président de l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), vient d’être nommé.
Cédric O, secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques :
« Les avis et rapports conduits par la mandature précédente ont été précieux pour le gouvernement autant que pour l’ensemble des parties prenantes et je remercie les membres précédents, et notamment l’ancienne présidente Salwa Toko, pour leur contribution. Les membres que nous accueillons aujourd’hui ont ma pleine et entière confiance pour nous aider à relever le défi de notre relation au numérique et j’ai hâte de découvrir leurs travaux, qui seront essentiels. »Françoise Mercadal-Delasalles, co-présidente du Conseil national du numérique : « Pour réussir cette mission inédite, nous devrons faire corps avec la complexité pour en donner une vision simple et en dégager des moyens d’actions. Nous devrons aller à la rencontre d’idées, d’acteurs de terrain et de personnalités de tous horizons. C’est grâce à cette somme de matière grise et d’expérience que nous pourrons avancer dans notre compréhension collective des enjeux auxquels nous faisons face pour ensuite proposer des orientations qui répondent à l’urgence de notre époque. C’est avec une grande humilité et un très grand enthousiasme que j’accueille cette nomination en tant que co-présidente du Conseil national du numérique. »
Gilles Babinet, co-président du Conseil national du numérique : « Entre le refus de tout déterminisme technologique et le rejet de tout technosolutionnisme béat, c’est avec un regard lucide mais positif, volontaire et ouvert que nous partagerons nos visions du numérique. Cette mission que nous attribue le Secrétaire d’État est ambitieuse, mais sans nul doute passionnante. Je le remercie donc de la confiance qu’il nous témoigne pour relever le défi. Dans la continuité des travaux de la mandature précédente, je suis ravi de continuer avec des acteurs aussi brillants. »
Cabinet de Cédric O
01 53 18 43 10
Conseil national du numérique :
01 44 97 25 28 / agathe.bougon@cnnumerique.fr
139, rue de Bercy
75012 Paris
– Le dossier de presse complet sous ce lienCet article Le Secrétaire d’état chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, Cédric O, installe un nouveau Conseil national du numérique pour éclairer l’action publique est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:53
1Spatial et Esri UK collaborent avec Northern Gas Networks pour mener la première Migration vers le modèle Utility Network d’ArcGIS au Royaume-Uni
sur Décryptagéo, l'information géographiqueArcGIS Utility Network atterrit au Royaume-Uni.(document Northern Gas Networks)
Cambridge, Royaume-Uni, 10 février 2021, (www.1spatial.com) 1Spatial, l’éditeur mondial de logiciels et de solutions géospatiales, et Esri UK, le leader mondial des SIG et intelligence géographique, ont été sélectionnés comme partenaires clés pour réaliser la première migration vers le modèle Utility Network au Royaume-Uni. Northern Gas Networks (NGN) fournit du gaz à 2,7 millions de foyers et d’entreprises dans le nord de l’Angleterre. NGN mène ce projet de transformation numérique qui a débuté en janvier 2021 et qui devrait durer 12 mois.
Les données sont de plus en plus l’un des actifs les plus précieux des gestionnaires de réseaux. L’extension Utility Network d’ArcGIS place les données au cœur de l’organisation et les maintient avec intégrité. Cette technologie de nouvelle génération nécessite un changement du modèle de données sous-jacent, pour passer du modèle géométrique actuel au modèle Utility Network. Ce modèle permet aux gestionnaires de réseaux de créer de véritables jumeaux numériques de leur réseau et de relever les défis d’un service public moderne. Il s’agit d’une rupture technologique dans la modélisation des réseaux, la sécurité de l’information et les capacités d’évolution.
« Esri UK se réjouit de travailler avec NGN et 1Spatial pour fournir une plateforme géospatiale de nouvelle génération, qui constituera la base d’un jumeau numérique du réseau de distribution de gaz de NGN. Première de ce type au Royaume-Uni, elle fournira à NGN un réseau géospatial de haute précision pour permettre une meilleure planification et prise de décision à l’avenir », a déclaré Craig Hayes, Chef des Infrastructures Nationales Critiques pour Esri UK. « En travaillant en partenariat, nous serons en mesure de réunir le meilleur de la plate-forme géospatiale d’Esri et l’expertise de pointe de 1Spatial en matière de nettoyage et de gestion des données géospatiales ».
En tant que premier gestionnaire de réseau d’utilité publique au Royaume-Uni à s’engager dans cette voie de transformation, NGN bénéficiera de la possibilité de visualiser, d’analyser et d’éditer son jumeau numérique avec une grande fidélité et de maintenir l’intégrité du réseau. Des fonctionnalités telles que la connectivité et le parcours de graphe seront fournies en standard, ainsi qu’une multitude de fonctionnalités qui jusqu’à présent se sont avérées complexes pour les gestionnaires de réseaux. Compte tenu des énormes avantages offerts par le modèle Utility Network d’ArcGIS, Esri Inc s’est engagé à le développer et le maintenir sur le long terme.
Claire Milverton, CEO de 1Spatial, a commenté cette collaboration : « Nous sommes ravis d’étendre notre partenariat avec Northern Gas Networks et de collaborer avec Esri UK pour réaliser le premier projet de Migration vers Utility Network du Royaume-Uni en utilisant ArcGIS et 1Integrate. Le contrat met en évidence les opportunités d’expansion potentielles dans le secteur des réseaux d’utilité publique et illustre l’ampleur et la profondeur des capacités de 1Spatial en tant que leader dans la gestion et la migration des données ».
L’équipe de 1Spatial et Esri UK est enthousiaste à l’idée de collaborer avec l’opérateur NGN pour améliorer la qualité et l’exhaustivité de ses données et étendre ses capacités géospatiales. Ceci permettra à NGN de bénéficier des énormes avantages des technologies de dernière génération. Nous pensons que cela aidera NGN dans la prochaine étape de son parcours pour devenir – une organisation centrée sur les données, et l’aidera à atteindre les objectifs fixés dans son Business-plan RIIO-2 et sa Stratégie Digitale associée. En tant que première entreprise du Royaume-Uni à s’engager dans une Migration complète vers Utility Network, NGN reste fidèle à l’esprit de sa Stratégie Digitale :
» Le Digital offre l’opportunité d’aborder les choses différemment, de redéfinir les processus, de bouleverser les méthodes de travail et les modes de pensée traditionnels. Le Digital est l’occasion de faire de meilleures choses ».
Le projet comprend la conception et l’architecture du modèle Utility Network, la réalisation d’un audit complet de la qualité des données, ainsi que le nettoyage et l’amélioration des données pour s’assurer qu’elles s’adaptent au nouveau modèle. Le projet se déroulera en plusieurs phases, avec un mécanisme de synchronisation innovant permettant à NGN de ne passer chaque application métier en production que lorsque le métier est prêt. La migration itérative comprendra la configuration et la refonte des applications métier existantes de NGN afin qu’elles soient compatibles avec le nouveau modèle de données.
Ce projet exigera un haut niveau de collaboration entre NGN, 1Spatial et Esri UK. Pour cela, l’équipe suivra des méthodologies de projet agiles et effectuera une transition de service approfondie. Cette approche permettra à NGN d’atteindre son objectif de prendre le contrôle de son patrimoine SIG et lui permettra d’exploiter la valeur des données de ses actifs sans trop dépendre de fournisseurs tiers.
Matthew Little, Directeur de l’Innovation, de l’Amélioration et de l’Information (3iG) chez Northern Gas Networks :
« Chez NGN, nous travaillons dur pour exploiter la puissance du Digital afin de faire un meilleur usage de nos données et de fonctionner encore plus efficacement, ce qui nous permet de faire profiter nos clients de tous les avantages. »
« En plus d’aider à exploiter notre réseau, des projets comme celui-ci jouent un rôle essentiel dans la modernisation de nos données et, en fin de compte, dans notre préparation à la transition vers une économie « Net Zero ».
1Spatial et Esri UK sont impatients de lancer ce projet transformationnel dans les semaines à venir et invitent les opérateurs de réseaux qui se lancent dans ce type d’aventure à nous contacter pour obtenir de plus amples informations – Contact.
Pour en savoir plus sur les applications métier de 1Spatial qui seront migrées vers le modèle de réseau d’utilité dans le cadre de ce projet, veuillez contacter utilities@1spatial.com
À propos de 1Spatial
1Spatial, un partenaire commercial d’Esri dans la Spécialité « Utility Network Management », est un leader mondial dans la fourniture de logiciels, de solutions et d’applications métier pour la gestion des données de localisation et géospatiales.
1Spatial, an Esri business Partner in the Utility Network Management Specialty, is a global leader in providing software, solutions and business applications for managing location and geospatial data.
Parmi nos clients, nous comptons des agences nationales de cartographie, des collectivités territoriales, des opérateurs de réseaux d’utilité publique, des organismes de transport, des agences gouvernementales, des services de défense et de sécurité ainsi que des gestionnaires de bâtiment.
Aujourd’hui, alors que les données de localisation provenant des smartphones, de l’Internet des objets et des grands lacs de données orientent de plus en plus les décisions, notre technologie est un facteur d’efficacité et permet aux organisations d’avoir confiance dans les données qu’elles utilisent.
Nous libérons la valeur des données de localisation grâce à nos collaborateurs, nos solutions innovantes, notre connaissance métier et notre vaste base de clients. Nous nous efforçons de rendre le monde plus durable, plus sûr et plus intelligent pour l’avenir. Nous pensons que les réponses pour atteindre ces objectifs se trouvent dans les données.
La plateforme 1Spatial, comprenant notamment notre moteur de règles 1Integrate de notre logiciel Location Master Data Management (LMDM), fournit des solutions de traitement de données puissantes et des applications métier ciblées fonctionnant sur site, en mobilité et dans le cloud. Cela garantit que les données sont à jour, exhaustives et cohérentes grâce à l’automatisation.
Notre maison mère est située à Cambridge, au Royaume-Uni, et nous sommes présents au Royaume-Uni, en Irlande, aux États-Unis, en France, en Belgique, en Tunisie et en Australie.
Nous nous engageons à travailler avec nos clients pour libérer la valeur de leurs données et créer un monde plus intelligent.
Pour plus d’informations, visitez le site www.1spatial/fr.com
A propos de Northern Gas Networks
Depuis nos débuts en 2005, nous avons ouvert la voie en tant que l’un des huit réseaux de distribution de gaz les plus rentables du Royaume-Uni. Nous offrons un excellent rapport qualité-prix à nos clients, ainsi qu’une multitude d’avantages sociaux et économiques à notre région. Nous sommes reconnus comme une équipe dynamique, passionnée, consciente et centré sur les gens, qui fournit du gaz en toute sécurité et fiabilité à plus de 2,7 millions de foyers et d’entreprises dans le Nord-Est, le nord de la Cumbria et une grande partie du Yorkshire. Bien que nous ne nous occupions pas de l’approvisionnement en gaz, de la réparation des chaudières et des appareils, ni de la plomberie, nous travaillons avec ceux qui s’en chargent par le biais d’un vaste réseau de canalisations souterraines qui font l’objet d’investissements et de mises à niveau constants. C’est plus compliqué qu’il n’y paraît, c’est pourquoi nous sommes toujours à la recherche d’idées de pointe, de pratiques d’ingénierie révolutionnaires et d’expertise scientifique mondiale pour trouver de nouvelles façons de fournir des sources d’énergie durables. Et même si nos clients ne nous voient pas très souvent, ils peuvent dormir sur leurs deux oreilles en sachant que nous travaillons 24 heures sur 24 pour les garder connectés et veiller à leur sécurité. Pour plus d’informations, visitez le site web de Northern Gas Networks. Vous pouvez aussi nous suivre sur Facebook ou Twitter.
Vous pouvez contacter le bureau de presse des réseaux de gaz du Nord au 0113 322 7950 entre 8h30 et 17h00, du lundi au vendredi, sauf les jours fériés
A propose de Esri UK
Esri, le leader mondial des systèmes d’information géographique (SIG), propose la technologie de cartographie et d’analyse spatiale la plus puissante qui soit. Depuis 1969, Esri aide ses clients à exploiter tout le potentiel des données pour améliorer les résultats opérationnels et commerciaux. Aujourd’hui, les logiciels d’Esri sont déployés dans plus de 350 000 organisations, dont les plus grandes villes du monde, la plupart des gouvernements nationaux, 75 % des entreprises du Fortune 500 et plus de 7 000 collèges et universités. Parmi les clients de Esri UK figurent Northern Gas Networks, Severn Trent Water, Thames Water, Scottish Power Energy Networks et des entreprises de télécommunications, dont BT et Sky.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site esriuk.com/gas
Pour plus d’information, veuillez contacter :
Catherine Gauthier, Responsable Marketing
catherine.gauthier@1spatial.com – M +33 (0)4 79 25 38 71
1Spatial France/Belgique – 23-25 avenue Aristide Briand, Immeuble AXEO 2 94110 Arcueil
Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux :
Twitter : [https:]]
LinkedIn : [https:]]
Facebook : [https:]]
Cet article 1Spatial et Esri UK collaborent avec Northern Gas Networks pour mener la première Migration vers le modèle Utility Network d’ArcGIS au Royaume-Uni est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
10:27
Revue de presse du 26 janvier au 9 février 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDes eaux usées à Marseille aux éléphants d’Afrique en passant par les nouvelles cartes suisses et le bilan Rennais sans oublier quelques applications indélicates… une quinzaine où l’on a beaucoup parlé d’information géographique dans les médias.Voici la réponse de Romain Lacroix à celles et ceux qui ne savent plus passer de leur SIG pour faire des cartes. Une carte réalisée dans le cadre du #30DayMapChallenge, que vous pouvez retrouver ici : [https:]
COVID DANS LES TUYAUX : « Covid 19 : circulation du virus à Marseille, que faut-il lire dans les analyses des eaux usées des marins-pompiers » La cartographie des prélèvements effectués dans les eaux usées se révèle parlante. Ça rappelle un peu les analyses de John Snow sur le choléra à Londres en 1854, le SIG en plus !
COVID SUR LA TOILE : « Sur Twitter, les prémices de la pandémie étaient déjà perceptibles fin 2019 ». Les chercheurs analysent la présence de certains mots-clés comme pneumonie, rapporte Presse Citron
IMMERSION : « Google Maps peut maintenant afficher simultanément la carte et Street View », mais la mise à jour ne concerne qu’Android pour l’instant nous apprend 01Net
VU D’EN HAUT : « Les satellites appelés à la rescousse pour protéger les éléphants d’Afrique ». Un article du Monde qui parle de télédétection satellitaire au service du comptage des pachydermes.
IDS TCHADIENNE : « Tchad : la ville de N’Djaména et ses environs disposent désormais des données spatiales » : une infrastructure de données spatiales financée par le gouvernement portée par le ministère de l’aménagement du territoire (MATDHU) et mise en œuvre par IGN FI et son partenaire tchadien BECC.
TRACES TRACÉES : « Attention, vous devriez vraiment désinstaller ces 450 applications de votre smartphone » vous conseille Presse Citron, révélant une enquête d’ExpressVPN qui liste les applications contenant un tracker de géolocalisation douteux. Rassurez-vous, vous ne les utilisez pas toutes.
SUISSE DIGITALE : « Une toute nouvelle carte nationale disponible après sept ans de travaux ». L’Office fédéral de topographie Swisstopo publie la nouvelle carte nationale. En sept ans, Swisstopo aura converti toutes les cartes du pays en cartes numériques de la nouvelle génération. Elle propose aussi une nouvelle application, Swisstopo App (source RTS.ch)
DATA STRATÉGIE : « Rennes métropole dresse un bilan nuancé de son service public de la donnée ». La Gazette des communes résume le bilan de deux ans de fonctionnement du SPMD. Beaucoup de concertation et de rencontres, mais pas encore assez de concret.
BIM : « Groupe Parera et WiseBIM de concert » pour des solutions BIM et de jumeaux numériques au service des gestionnaires de patrimoine et d’immobilier.
Cet article Revue de presse du 26 janvier au 9 février 2021 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:55
Fin du POS, cartes communales et PLUi : le Sénat vote pour un nouveau délai
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe Sénat a adopté en première lecture ce mardi 9 février, la proposition de loi déposée par le Sénateur du Cher Rémy Pointereau ayant pour but «d’accompagner la transition des documents d’urbanisme communaux», en atténuant l’impact de la caducité des POS depuis le 1er janvier 2021 et en facilitant la transition des cartes communales aux PLUi.
De fait, depuis le début des années 2000, plusieurs réformes ont modifié le cadre législatif. D’abord, la loi SRU a amené le plan local d’urbanisme (PLU) à remplacer les anciens plans d’occupation des sols (POS). Puis, la loi ALUR a acté le transfert de la compétence d’urbanisme à l’échelon intercommunal pour élaborer les PLU intercommunaux (PLUi); ce qui concerne les 55% des communes françaises faisant désormais partie d’un établissement public de coopération intercommunale (EPCI).
Le problème étant que ces différentes réformes s’accompagnaient de dates bien précises de mise en œuvre et de caducité des précédents documents. Et en dépit des délais supplémentaires octroyés à plusieurs reprises, la transition des POS vers les PLUi devait intervenir avant le 31 décembre 2020.
Or, fin 2020, il existait 18.400 PLU contre 5.700 cartes communales et 530 POS. Ce qui veut donc dire que 530 communes, en majorité rurale, n’ont pas pu transformer à temps leur POS... Par ailleurs, 2.300 communes (essentiellement des petites communes aux moyens financiers et juridiques limités) sont toujours engluées dans des procédures d’élaboration de leur PLUi. Il faut reconnaitre que ces procédures, en pleine année de changement d’équipes municipales, ont été rendues compliquées par la crise sanitaire et la période de confinement, mais aussi un manque de clarté, a reconnu la commission des affaires économiques lors de son examen le 27 janvier 2021.
Être hors délai a de lourdes conséquences Les conséquences ne sont pas neutres, car sans PLUi, les communes se voient appliquer le règlement national d’urbanisme (RNU), c’est-à-dire la réglementation de base plus restrictive qui s’applique par défaut, dès l’abrogation à date de leur carte communale.
Côté POS, cette situation hors délai implique la perte de droit de préemption urbain (DPU) et impose d’obtenir (et donc d’attendre) un avis conforme du préfet sur toutes les décisions en matière d’autorisation d’urbanisme instruites par le maitre. Pire, comme le soulignaient Sophie Primas, Sénateur des Yvelines, Présidente de la commission des affaires économiques, et son rapporteur, le Sénateur du Vaucluse, Jean-Baptiste Blanc : «les changements des règles de constructibilité bloquent des projets pertinents importants pour le développement des communes, tout en faisant émerger des projets prédateurs auxquels les communes ne peuvent plus s’opposer». D'où leur volonté «d'atténuer l'impact négatif de la caducité des POS».
Le projet de loi vise donc à donner deux ans de plus, soit jusqu’au 31 décembre 2022, pour en finir avec tous les POS, tout en permettant aux maires retardataires de bénéficier d’un droit de proposition pour reprendre temporairement la main.
Surtout, l’article 1 de la proposition de loi vise à mener à bien l’approbation des PLUi à l’aide d’une procédure combinée permettant d’abroger de manière automatique la carte communale lors d’une procédure unique de délibération, d’enquête publique, publication et entrée en vigueur.
+ d'infos :
senat.fr
Texte adopté en première lecture le mardi 9 février
Suivez la séance publique en direct du Sénat, mardi 9 février à partir de 17h41 [https:]
-
14:39
rzine.fr : des ressources pour mieux exploiter R
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes géomaticiennes et géomaticiens sont de plus en plus nombreux à utiliser R pour le traitement statistique de leurs données géographiques. Pour s’y retrouver dans les nombreuses fonctions du logiciel open source, un collectif universitaire met à disposition des ressources sur un nouveau site : http://rzine.frComment générer de magnifiques cartes de rues avec OSM sous R : l’un des billets de blogs référencés sur [https:]
« Rzine est un projet de la Fédération de Recherche Collège international des sciences territoriales. Initié par un groupe interdisciplinaire d’ingénieur.e.s et de chercheur.e.s, son objectif est double : encourager et contribuer à la production de documentation sur la pratique de R, mais également favoriser leur référencement, leur diffusion et leur partage dans un périmètre pluridisciplinaire large, » détaille le site http://rzine.fr, qui a ouvert le 3 février 2021.
Celles et ceux qui souhaitent utiliser R pour des analyses en sciences humaines et sociales y trouveront certainement des informations utiles : livres, notes de cours, articles de blogs, vidéos, fiches synthétiques mais également code source de nombreuses routines… en anglais et en français. Notons que le projet se veut participatif et que chacun est encouragé à y contribuer afin de compléter les quelque deux cents ressources déjà référencées.
Cet article rzine.fr : des ressources pour mieux exploiter R est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:25
Télédec for good ou comment Ecosia surveille ses plantations d’arbres
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnviron 3 mn de lecture Ecosia, le moteur de recherche qui plante des arbres à chaque recherche effectuée, tient à suivre ses plantations, réalisées avec un réseau de partenaires. Pour cela, Pieter Van Midwoud, responsable des plantations, a dû se mettre aux SIG. Récit. Entre la surface très dégradée à La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous pour consulter l'article
ou
Créez un compte et achetez cet article à l'unité pour 10 €
Email: Password: Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article Télédec for good ou comment Ecosia surveille ses plantations d’arbres est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:21
La Ville de Lyon lance un bilan carbone de ses systèmes d’information
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueDirigée par le marie écologiste Grégory Doucet, la ville de Lyon multiplie les initiatives en faveur de l’environnement et la biodiversité, la lutte contre le réchauffement climatique et la production massive de déchets. Ainsi, la Ville a fait appel au cabinet Carbone 4 pour scanner ses systèmes d’information.
L’objectif est de mesurer, d’ici la fin du premier semestre 2021, l’impact environnemental de ses réseaux, ses logiciels, son parc informatique et de leurs usages. Cela inclut donc tout ce qui a trait au système d’information géographique. Dans un second temps, il faudra agir sur les émissions de gaz à effet de serre, en engageant la Ville dans une démarche d’amélioration continue, tout en garantissant un bon niveau de service...
En effet, malgré l’apparente dématérialisation, le numérique représente une part importante des consommations de matières et d’énergie pour produire, faire fonctionner et si possible recycler tout ce qui fait fonctionner le numérique. En 2019, près de 4% des émissions carbonées mondiales sont dues aux systèmes numériques, soit deux fois plus que le transport aérien !
«Nous voulons engager la Ville dans un numérique plus responsable. Le bilan carbone des systèmes d’information de la Ville de Lyon est une première étape dans cette démarche. Il doit nous permettre d’identifier les axes de progression majeurs, et nous servir de sensibilisation sur les impacts du numérique», explique dans un communiqué Bertrand Maes, Adjoint au Maire délégué à l’Administration générale, l’informatique, la politique numérique et les mairies d’arrondissement.
Cette démarche de la ville de Lyon est pionnière, notamment dans le fait de focaliser sur un seul service, en l’occurrence celui des systèmes d’information de la Ville. Pourtant, avec le Grenelle 2, le bilan carbone risque de devenir une obligation à court terme pour les entreprises de plus de 500 salariés et les collectivités locales de plus de 50.000 habitants.
+ d’infos :
lyon.fr
carbone4.com
-
14:21
Allianz Partners enrichit son offre de services de mobilité électrique avec la solution de GIREVE
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa solution de GIREVE permettant de localiser les bornes de recharge pour véhicules électriques, intègre les systèmes d’assistance d’Allianz Partners pour mieux accompagner les conducteurs de véhicules électriquesAllianz Partners, leader mondial des services d’assistance B2B2C, enrichit son offre d’assistance pour les conducteurs de véhicules électriques avec la possibilité de localiser les bornes de recharge directement dans son système de gestion des incidents. GIREVE offre ainsi la meilleure couverture en nombre de points de recharge en Europe, avec une base de données complète sur les infrastructures de recharge, leur disponibilité en temps réel, et la possibilité de réserver une borne de recharge à distance.
Avec cette nouvelle offre, Allianz Partners poursuit son engagement en matière de mobilité durable et démontre ainsi sa capacité à accompagner et à anticiper les besoins de ses clients et des propriétaires de véhicules électriques. L’objectif est également d’assurer une expérience client optimale en mettant à disposition de l’utilisateur des données de qualité comme la mise à jour en temps réel de la disponibilité des bornes et de leur état de fonctionnement, ainsi que toutes les informations nécessaires au client et au dépanneur : horaires d’accès, type de connecteur, puissance de recharge, etc.
Le partenariat, mis en place en France en janvier 2021, sera ensuite étendu sur l’ensemble de l’Europe. Il s’inscrit dans la stratégie globale d’Allianz Partners de services autour du véhicule électrique. Depuis juin 2020, Allianz Partners accompagne son réseau de prestataires dans l’installation de bornes de recharge rapide sur leurs sites grâce à une offre clé en main en partenariat avec EVBox, pionnier de la recharge pour véhicules électriques, et ENGIE Solutions, créateur de réponses sur-mesure aux défis de la transition énergétique. En Mars 2020, Allianz Partners a également rejoint CharIN, initiative visant à unifier le chargement autour du standard CCS, en tant que membre partenaire.
Enfin, à partir de 2021, Allianz Partners proposera un réseau de remorquage et de dépanneurs spécialement formés et agréés pour les véhicules électriques, ainsi qu’une une ligne téléphonique d’assistance dédiée aux propriétaires de véhicules électriques, cette dernière étant également accessible à l’aide du bouton d’assistance installé dans l’habitacle.
« Allianz Partners participe déjà largement à la transition vers une mobilité électrique et durable. L’intégration des données GIREVE dans nos systèmes et process va participer à l’amélioration de l’expérience client sur l’assistance dédiée au véhicule électrique. De nouveaux services adaptés à ces nouveaux usages sont proposés à nos clients et reposent sur une parfaite maîtrise du réseau et des fonctionnalités des bornes de recharge » commente Jérôme Joubert, Directeur Marketing Assistance Routière chez Allianz Partners.
« Nous sommes heureux de travailler avec Allianz Partners, leader de l’assurance et de l’assistance, pour les aider à enrichir leurs services aux conducteurs de Véhicules Electriques. Par exemple, un conducteur de VE dont la batterie est vide a besoin d’assistance dédiée, pour localiser une borne compatible proche, en service et disponible. C’est pourquoi la combinaison des expertises d’Allianz Partners et de GIREVE constitue un atout clef pour améliorer l’expérience des conducteurs et continuer à faciliter l’adoption du VE. » ajoute Armand Gallet, Business Development Manager, GIREVE
A propos d’Allianz PartnersL’un des leaders mondiaux de l’assistance et de l’assurance B2B2C, Allianz Partners propose des solutions globales dans les domaines de la vie et de la santé à l’international, de l’assurance voyage, de l’assurance automobile et de l’assistance. Centrés sur les besoins clients, nos experts repensent les services assurantiels en proposant des produits et solutions de demain « high-tech, high-touch » qui dépassent le cadre de l’assurance traditionnelle. Intégrés aux offres de nos partenaires ou proposés directement aux clients, nos produits sont commercialisés sous quatre marques commerciales : Allianz Assistance, Allianz Automotive, Allianz Travel et Allianz Care. Présents dans 75 pays, nos 21 500 collaborateurs parlent 70 langues, traitent 71 millions de dossiers chaque année et ne ménagent pas leurs efforts pour aider et protéger nos clients dans le monde entier.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.allianz-partners.com
Nous suivre sur Twitter @AllianzPartners
Nous suivre sur LinkedIn @Allianz Partners
GIREVE est la plateforme d’itinérance offrant la meilleure couverture en nombre de points de recharge en Europe. Elle permet aux conducteurs de véhicules électriques de se charger facilement grâce aux partenariats mis en place entre opérateurs de mobilité et d’infrastructures. GIREVE assure un rôle d’interface contractuelle, technique et opérationnelle entre des systèmes hétérogènes. Comptabilisant plus de 100 000 points de recharge dans 25 pays, GIREVE s’attache à offrir le meilleur service au marché, par des solutions flexibles et pensées pour s’adapter aux besoins de ses partenaires.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.gireve.com
Contacts Presse
Agence Wellcom pour Allianz Partners – 01 46 34 60 60 – allianzpartners@wellcom.fr
GIREVE Marie Bonnefous – 01 84 73 22 57 – marie.bonnefous@gireve.com
Cet article Allianz Partners enrichit son offre de services de mobilité électrique avec la solution de GIREVE est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:47
Marcoleptique, révélateur de la matière vivante des cartes
sur Décryptagéo, l'information géographiqueMarcoleptique en David de Michel-Ange
Rappelez-vous, ses cartes peuplées de personnages étonnants ont ravi les visiteurs des GéoDataDays. Pourtant, malgré la cinquantaine approchante, Marcoleptique est un jeune plasticien. Rencontre avec un artiste qui révèle les figures vivantes tapies au fond des cartes.Donnez-lui une carte, ancienne de préférence, quelques crayons, des feutres, un peu d’aquarelle ou de gouache, laissez reposer quelques heures et… vous obtiendrez une fillette paniquée sur son surf, un étrange crocodile, un couple d’amoureux ou un banc de poissons… Marcoleptique est inspiré par les cartes et les peuple de figures aux couleurs vives, qui nous racontent des histoires de monstres, de djinns, de gnomes, d’animaux, de personnages aux traits déformés mais toujours expressifs.
© Marcoleptique
Un regard particulier sur les cartes« Je dessine ce que je vois. Au fur et à mesure, l’histoire se crée. » C’est aussi simple que cela, et chacun peut imaginer sa propre histoire. « Parfois, c’est immédiat, et ça me saute aux yeux, comme une évidence. Parfois, je ne vois rien, même sur une très belle carte, alors je la range dans une grande enveloppe et je la ressors un autre jour, et là, ça marche. » Les règles aussi sont simples : respecter les traits de la carte, se contenter de renforcer, de mettre en couleurs, de relier des points et des traits pour faire apparaître un visage, un corps, une scène de groupe, un entrelacs d’animaux et de personnages, un regard, une planche d’anatomie… « C’est comme un jeu, mais j’essaye que la carte colle avec l’histoire que je raconte. » Quel plus beau message qu’un baiser sur une vieille carte de 1918 représentant l’Allemagne et la France ? Il a beau avoir dessiné une dizaine de fois la carte de France, ce n’est jamais le même personnage qui ressort.
1918 : le France et l’Allemagne se déchirent… et s’embrassent (© Marcoleptique)
Marcoleptique aime que ça aille vite. Comme il a peu de moyens et un petit atelier, il travaille essentiellement sur des formats réduits, A4, A3 éventuellement. Une histoire de quelques heures et une production intense de un, voire deux dessins par jour. « Le plus dur, c’est de trouver des cartes sur lesquelles travailler. J’ai commencé par chiner mais j’ai de plus en plus de personnes qui m’apportent des cartes, des atlas, notamment parmi mes acheteurs. Je viens de récupérer toute une collection de 200 cartes datant de 1850 à 1910, j’ai également mis la main sur des atlas routiers… plus ça va, moins j’achète de cartes, mais plus j’en ai. » Il préfère la qualité des papiers anciens qui absorbent les couleurs, craque pour les cartes routières et aimerait poursuivre son travail sur des images satellites.
Le changement climatique vu par Marcoleptique
Parcours hors-normeVoilà longtemps que Marc Guérin dessine sur tout ce qu’il trouve. Les murs du HLM de son enfance en région parisienne en ont fait les frais, même si le graffiti s’avère trop onéreux pour le jeune garçon qui a du mal à s’acheter des bombes. « À la fin du collège, j’étais très mauvais à l’école, la conseillère d’orientation avait vu que je n’étais pas trop nul en dessin et m’a conseillé de faire des études de cartographie. Je ne savais même pas ce que c’était ! » L’adolescent ne suit pas cette voie peu inspirante mais fait des études de dessin, de graphisme et devient un spécialiste de la signalétique, sans cesser de peindre pour son plaisir. Pendant plus de vingt ans, Marc Guérin travaille en agence. Il fuit Paris pendant quelques années pour le Sud et la corse, puis s’installe à Lyon où il décroche un poste d’enseignant en signalétique pendant deux ans. « J’avais un peu plus de temps, je me suis remis à dessiner ». Premières victimes ? Les livres. « J’ai commencé par faire des taches aléatoires de peinture, puis à dessiner dessus. Les cartes ont pris la suite. » Livres d’anatomie, annuaires, affiches, cartes de toutes sortes lui inspirent ses personnages, son bestiaire.
Il y a deux ans, au moment de la fermeture de la formation dans laquelle il enseignait, Marc Guérin fait le grand saut et décide de vivre de son art : il devient Marcoleptique. Il revient en région parisienne pour suivre sa compagne et commence à être repéré dans le milieu de l’art singulier. Il enchaîne les expositions, commence à vendre… mais la crise sanitaire arrête tout. Marcoleptique continue pourtant à tenir. Sa rencontre avec les géomaticiens lui a beaucoup plu. Il multiplie les rencontres (même virtuelles), s’expose en ligne et présentera quelques pièces à l’exposition Figuration Critique au Bastille Design Center en avril, si ce dernier n’est pas annulé… D’ici là, n’hésitez pas à visiter son site, à le suivre sur Facebook ou Instagram, à acheter en ligne quelques dessins ou à lui envoyer des cartes et des images satellites qui pourront l’inspirer.
Cet article Marcoleptique, révélateur de la matière vivante des cartes est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:42
Kermap publie la carte des cultures majoritaires en 2020
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueGrâce à l’analyse de séries temporelles de plus de 10.000 images satellites Sentinel-2, Kermap a créé une superbe cartographie des cultures majoritaires sur le territoire métropolitain en 2020. Outre la localisation à la parcelle pour chacune des 19 cultures référencées, Kermap a déterminé, à l’échelle de chaque département, le top 5 des cultures présentes et la superficie de surface agricole utile (SAU).
L’analyse des terroirs français devient donc accessible en un clic. Ainsi, il est possible de savoir avec précision satellitaire quel était en 2020 le premier département agricole de France en surface agricole utile. La réponse est la Marne, avec 72% de la superficie du département dédiée à l’agriculture, soit 5.897 km2. Les cultures principales sont le blé (28%, soit 1.627 km2), l’orge (18%, soit 1048 km2) et le colza (11%, soit 642 km2).
Les plus curieux remarqueront la précision des analyses de Kermap qui a réussi à trouver 2 km2 de SAU dans Paris, avec 1km2 de prairies (91% des cultures totales). En zoomant dans la carte, il est même possible de localiser où se trouvent les autres cultures parisiennes : légumes, blé, vergers et les fameuses vignes qui ne se situent pas seulement à Montmartre !
Ces données statistiques sont proposées via la plate-forme NIMBO. Elles sont aussi téléchargeables gratuitement.
Surtout, elles offrent une formidable vitrine pour l’équipe de Kermap qui prouve qu’elle est capable de produire des données agricoles de référence et de les rendre disponibles bien plus rapidement que le registre parcellaire graphique (RPG), généralement rendu public un an après l’année culturale. C’est aussi une belle démonstration du savoir-faire de la start-up rennaise à l’échelle d’un large territoire....
+ d'infos :
agri.nimbo.earth
kermap.com
-
16:26
La Vallée dorée opte pour arcOpole Pro
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLa Vallée dorée se situe au centre de l’Oise, entre Clermont et Creil, à égale distance entre Beauvais et Compiègne. Dix communes composent ce territoire d’environ 24.000 habitants. Elles sont regroupées en communauté de communes du Liancourtois Vallée Dorée (CCLVD).
En mars 2020, Charlène Perrier a été recrutée avec l’objectif de remettre à jour le SIG pour l’eau potable et l’assainissement. Elle sa donc participé au choix d’une solution pour gérer cette tâche principale. En janvier 2021, la CCLVD a ainsi arrêté son choix sur la gamme de logiciels SIG métiers arcOpole Pro proposée par 1Spatial.
Grâce aux différentes applications d’arcOpole PRO, la CCLVD pourra ainsi gérer et partager les données du cadastre en mode web, tout en disposant d’une interface avec les outils d’administration du droit des sols Cart@DS. Elle pourra gérer l’eau potable en lien avec le logiciel de gestion de la facturation, préparer la DECI, améliorer l’assainissement grâce à l’exploitation des ITV et même réduire les délais de réponse aux DT-DICT par l’utilisation d’un portail web spécifique de réception des demandes et de traitement des réponses.
Précédemment en poste à l’agence d’urbanisme des territoires de l’Orléanais (Topos), après avoir travaillé à l’INRA, Charlène Perrrier a aussi pour idée « d’aller au-delà de l’eau et l’assainissement, en étendant l’utilisation du SIG à d’autres thématiques associées aux nouvelles compétences de la collectivité. Notre choix d’arcOpole Pro associé à la plate-forme ArcGIS va me permettre de créer des outils et des indicateurs pour notamment suivre nos objectifs stratégiques».
En effet, début 2019, la collectivité a défini son projet de territoire pour à l’horizon 2030. Sept objectifs stratégiques ont ainsi été déterminés : poursuivre l’accueil de nouveaux habitants, développer l’intermodalité et les mobilités douces, renforcer le pôle urbain, poursuivre le développement économique et le développement du territoire en maitrisant l’énergie, l’eau et les déchets, poursuivre le développement soutenable de l’agriculture et enfin favoriser les activités de loisirs, sportives, de culture et les actions de prévention liées à la santé.
Même si elle travaille actuellement en présentiel à Laigneville au siège de la Vallée dorée, la jeune géomaticienne ne cache pas son envie «dès que la situation le permettra, d’aller à la rencontre des élus pour leur présenter tout le potentiel d’un SIG, notamment pour faciliter la communication avec les usagers, à travers des applications et des cartes interactives visibles sur le web et les mobiles». À suivre.
+ d’infos
ccl-valleedoree.fr
1spatial/fr.com
-
10:45
Avec la PaaS ArcGIS Platform, Esri veut élargir son écosystème
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueDepuis des années, Esri démontre avec raison l’importance de l’information géographique et l’omniprésence universelle de son usage, quel que soit le secteur d’activité. Si les géomaticiens sont depuis longtemps convaincus et utilisent déjà pour beaucoup ArcGIS et les potentiels d’ArcGIS Online, ce spectre des utilisateurs peut toujours s’élargir...
De plus, la surexposition médiatique du tableau de bord rafraichi quotidiennement par l’université John Hopkins autour de la Covid 19 a eu ces derniers mois des effets « collatéraux ». D’abord, ce Dashboard a mis un impressionnant coup de projecteur sur la géoinformation. Ensuite, malgré sa simplicité et la discrète utilisation de la cartographie, il a prouvé la capacité des serveurs d’Esri à tenir face à des montées en charge aussi inédites qu’impressionnantes : des dizaines de millions de connexions simultanées à l’échelle mondiale, durant des semaines et même des mois !
Bien sûr, il existait déjà dans le portfolio d’Esri des outils permettant aux développeurs peu coutumiers des géopratiques d’intégrer dans leurs sites web ou leurs applications des bouts de cartes, des points d’intérêts ou autres calculs d’itinéraires. Mais rien de très simple, épuré ou direct comme l’aiment ceux qui manient des lignes de codes. Avec un nouveau look et un soupçon de marketing, ArcGIS Platform s’impose donc à comme LA solution qu’il leur faut...
Les dirigeants de Salesforce et SAP en VRP de luxe Covid-19 oblige, cette plate-forme géospatiale de type PaaS (pour «Plate-forme as a Service») a été présentée lors d’un événement virtuel international par Jack Dangermond, le patron d’Esri, et l’équipe en charge du développement d’ArcGIS Platform représentée par David Cardella et Euan Cameron (vidéo en replay ci-dessous). «Grâce à ArcGIS Platform, les utilisateurs peuvent développer leurs propres produits ou intégrer les services d'Esri dans leurs logiciels existants, est convaincu Jack Dangermond pour qui : le mode PaaS facilite l'accès des développeurs de logiciels à la technologie géospatiale».
Pour le confirmer, la présentation s’est appuyée sur des VRP de luxe avec Ben Brantly, le vice-président produit de Salesforce et Ifran Kahn, le président de SAP Platform & technologies ! Michael Healander, CEO d’Airspace Link (solution de gestion de drones dans le Cloud), apportait aussi son témoignage... Plus que dire du bien d’ArcGIS Platform en tant que bêta-testeurs, ils ont surtout pu démontrer comment leurs propres outils intégraient d’ores et déjà des technos et contenus “powered by Esri”...
Dans le détail, ArcGIS Platform propose un ensemble de services géospatiaux et en premier lieu les APIs cartographiques d’ArcGIS. La PaaS propose aussi des librairies cartographiques en Open-Source, un ensemble de cartes de base prêtes à l’emploi, réalisées par les équipes d’Esri, avec des fonds de plans au format vectoriel ou raster d’Esri, OSM ou Here, neutres ou enrichis avec différentes couches thématiques. Ces contenus sont personnalisables grâce à un éditeur et d’autres ressources de développement avec tutoriels et un bac à sable permettant de tester ses propres codes.
« Cerise sur le gâteau » : conscient que son API JavaScript n’est pas forcément maitrisé par tous les développeurs, Esri offre des librairies qui permettent de rester dans son environnement Leaflet, OpenLayers, Mapbx GL javascript. Autant de contenus qui peuvent aussi intéresser les utilisateurs habituels des technos Esri, si tant est qu’ils goûtent aux environnements de développement.
Reprendre du terrain sur Google Maps et Mapbox Un autre point (et frein habituel) pour les développeurs est la notion tarifaire. D’abord, parce que chez Esri, elle s’exprime en crédits de services à consommer selon des types d’utilisateurs. Cette approche n’est pas forcément claire pour tout le monde. Ainsi, un nouveau système de tarification est proposé avec une interface (simple et en anglais seulement) : le développeur dispose même d’une vue précise de sa consommation effective et de ce qu’il va payer à chaque fin de mois.
Mieux le tarif va aussi représenter un des plus d’ArcGIS Platform en raison de tout ce qui est proposé gratuitement avant de passer à la caisse... Par exemple, il est possible de consommer gratuitement 2 millions de tuiles de basemap (pour localiser sur une carte les différents sites ou bureaux d’une entreprise) avant d’être facturé. Il est possible de réaliser 20.000 recherches d’adresses, 20.000 calculs d’itinéraires ou bien 5.000 isochrones avant de commencer à payer quelque chose. Idem pour les données hébergées (car l’un des intérêts d’ArcGIS Platform est de stocker de manière sécurisée ses propres données sur le Cloud et d’externaliser ainsi la charge des traitements) : stockage de 100 Mo de données dynamiques offerts puis 2,4 $ les 100 Mo suivants, stockage gratuit de 5 Go de fonds de cartes vecteur ou Raster, puis 0,12$ le Go suivant... Bref, un développeur peut largement voir venir avant de sortir sa CB !
Tous ces arguments vont probablement faire mouche, notamment auprès des start-ups qui n’ont pas besoin de beaucoup de cartographie et qui, pour répondre à des besoins très basiques, se dirigent presque instinctivement vers Google Maps, dont la dimension grand public en fait un acteur bien plus connu qu’Esri. Or Google a créé une “opportunité” pour Esri en revoyant ses tarifs à la hausse, par exemple pour les géocodages. Le néoacteur Mapbox est un autre concurrent de poids. En dix ans, il a réussi à s’imposer dans la cartographie en ligne en mettant en avant son utilisation du logiciel libre et les données d’OpenStreetMap. Vu la générosité des packages et la faculté d’ArcGIS Platform à proposer de multiples bibliothèques JavaScript, Esri ne semble vraisemblement pas vouloir faire du business, mais retrouver une notoriété et une place de premier plan pour s’imposer en choix évident auprès des développeurs.
Les visas octroyés par des poids lourds comme Salesforce et SAP qui ont besoin de border leurs propores développements en se reposant au long court sur des technologies maitrisées, donnent des raisons supplémentaires pour qu’un développeur privilégie l’utilisation d’ArcGIS Platform.
Aux échecs ou au billard, il faut toujours réfléchir et appréhender les coups suivants. Un jeu auquel Esri est généralement plutôt bon.
+ d'infos :
esri.com/en-us/arcgis/products/arcgis-platform
-
15:26
Un appel à projets pour faire bouger le tourisme alpin
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLa mobilité, l’habitat, l’énergie, l’économie circulaire et de nouveaux modèles sont les 5 axes qu’examinent l’Alpes Tourisme Lab pour transformer les modèles touristiques alpins. Dans ces 5 axes et enjeux, la cartographie, l’analyse spatiale et les géodonnées trouveront aussi leur place.
L’organisation pilotée par la French Tech in the Apls, l’incubateur de Savoie Technolac, le village by CA et le cluster montage Auvergne-Rhône Alpes, lance ainsi son premier dispositif d’incubation.
Les start-ups de moins de 3 ans, les porteurs de projets en phase d’incubation ou les intrapreneurs peuvent candidater du 21 janvier au 19 février.
À la clef, après les pitchs de sélection finale le 29 mars, les lauréats bénéficieront d’un programme de 4 mois pour booster leur projet, avec 2 Boot Camp, un accompagnement personnalisé et un hébergement, ainsi que des possibilités de démonstrations en lien avec les acteurs impliqués.
Alpes Tourisme Lab rappellent que la région Auvergne-Rhône-Alpes représente 200 stations avec des territoires variés de haute et de moyenne montagne, et de grands lacs connectés à de grandes métropoles européennes : Genève, Grenoble, Lyon et Turin.
Ce milieu de montagne qui dépend d’une forte saisonnalité et de contraintes exacerbées par le réchauffement climatique, en plus d’un contexte sanitaire particulier pour cette saison.
Il faut donc de la créativité et de l’agilité pour repenser les activités du tourisme et accompagner la transformation des modèles traditionnels vers un tourisme durable.
+ d'infos :
alpestourismelab.com
-
9:37
Un nouveau Cerema pour un monde en grande mutation
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParce que les territoires de demain s’inventent aujourd’hui, le Cerema se positionne plus que jamais comme le maillon central de la politique d’adaptation au changement climatique des territoires. Une mutation nécessaire et vertueuse au service de celles et ceux qui y vivent.Le Cerema opère sa mue en capitalisant sur ses forces qu’il met au service des territoires engagés dans une démarche résiliente. Mieux adapté aux problématiques de terrain des collectivités et des aménageurs qui y œuvrent au quotidien, il se positionne résolument comme un tiers de confiance engagé durablement pour plus d’efficacité pour affronter les défis actuels et futurs. Une vision moderne portée par une direction en phase avec les enjeux environnementaux à l’échelle globale comme aux échelles locales les plus fines. Cette mue se traduit aussi par une nouvelle identité visuelle et coïncide avec l’arrivée d’une nouvelle présidente, Marie-Claude Jarrot, élue de terrain pour qui la résilience des territoires est un enjeu concret et essentiel.
En matière, notamment, de mobilité, d’adaptation des bâtiments aux enjeux climatiques, de reconquête des friches industrielles mais aussi de prise en compte des risques littoraux, le Cerema accompagne les territoires pour les aider à gérer l’inévitable et à éviter l’ingérable.
Participant activement au Plan de relance engagé par l’État, cet expert des problématiques d’environnement, d’infrastructure, declimat et d’énergie vient en appui aux territoires à toutes les étapes de leur transition vers un avenir maîtrisé.
Afin de clarifier son action, le Cerema se positionne sur six grands domaines d’expertise tous liés à l’adaptation au changement climatique. Il propose des solutions sur-mesure aux collectivités maîtres d’ouvrage, entreprises ou porteurs des politiques publiques.
Son approche transversale et « de bout en bout » en fait un partenaire privilégié des acteurs territoriaux. Son nouvel Institut Carnot Clim’adapt renforce l’accompagnement du Cerema aux collectivités s’engageant dans une transition vers une économie sobre en ressources, décarbonée et respectueuse de l’environnement.Le Cerema prépare aujourd’hui son projet stratégique et son Contrat d’objectifs et de performance pour les dix prochaines années.Il s’ouvre aussi aux acteurs économiques locaux et aux porteurs d’innovation au travers du dispositif CeremaLab. Pour plus d’efficacité, de réactivité et un accompagnement financier plus ouvert des collectivités, il réfléchit à la mise en œuvre d’une quasi régie conjointe avec l’État et les collectivités territoriales.
Partenaire des territoires, le Cerema veille plus que jamais à s’adapter à leurs besoins afin de les accompagner dans leur transition.
Cliquer sur l’image pour accéder au dossier de presse (PDF)
Cet article Un nouveau Cerema pour un monde en grande mutation est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:05
L’IGN annonce les lauréats de l’appel à projets d’IGNfab 6 !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’IGN et son partenaire Cap Digital, sont heureux d’annoncer la liste des lauréats du 6ème appel à projets « Énergie et Climat » d’IGNfab, l’accélérateur de projets de géoservices numériques de l’IGN qui soutient les PME et TPE dans le développement de produits et services innovants. Pour cette 6ème édition, l’Institut a sélectionné cinq start-up : DEEPKI pour GEODE, REUNIWATT pour PARCS, OPENERGY pour Odyssée, U.R.B.S pour SIRIUS et GEOSOPHY. En rejoignant IGNfab, ces start-up vont, dès lors, bénéficier de l’expertise, de l’appui du réseau et des données #GéodataPourLeClimat de l’IGN, en faveur d’une meilleure prise en compte de la transition énergétique par une réduction de l’impact de notre consommation d’énergie sur l’environnement.
IGNfab 6, les lauréats « Energie et Climat »
« Le comité de sélection d’IGNfab 6 a retenu les projets parmi les plus prometteurs en termes de marché, de stratégie de développement et d’équipe en lien avec les thématiques « Énergie et Climat » ; des projets dont la mise en œuvre connaîtra une véritable accélération grâce à l’accompagnement de l’IGN et de ses partenaires ! » David Di Marco, chef du département Europe, espace, numérique et innovation de l’IGN.
DEEPKI,entreprise créée en 2014, connue sur le marché de la transition énergétique, a lancé un programme d’innovation baptisé GEODE (GEographical Optimized Data for Evaluation), qui permet dans des délais courts et à distance, de détecter les économies d’énergies réalisables sur l’ensemble d’un parc immobilier. GEODE vise à enrichir les modélisations énergétiques des bâtiments et à identifier leur capacité de résilience, grâce notamment aux données IGN issues du modèle numérique de surface (MNS), des orthophotos et de la technologie Lidar.
« Ce qui va être intéressant dans le cadre du programme IGNfab, c’est que nous allons pouvoir confronter des cas d’utilisation de la donnée géographique aux besoins concrets des acteurs de l’immobilier. » Emmanuel Blanchet, DG.
>Contact : Emmanuel Blanchet, directeur général
emmanuel.blanchet@deepki.com / 06 66 02 56 46Adresse : 25 boulevard de Strasbourg – 75010 PARIS
REUNIWATT,basée à La Réunion depuis sa création en 2010, est une référence en matière d’observation et de prévision de la couverture nuageuse, principalement pour anticiper la production d’énergie photovoltaïque. Sur la base d’algorithmes brevetés et grâce aux millions de données qu’elle produit sur le monde entier, Reuniwatt permet aux opérateurs de réseaux électriques de prévoir quand et en quelle quantité il est possible et nécessaire d’y injecter de l’énergie solaire. Son projet PARCS consiste à réaliser la cartographie des installations photovoltaïques sur un territoire donné. Avec IGNfab, il s’agira d’industrialiser le prototype produit sur La Réunion, à partir de la BD ORTHO et de méthodes d’Intelligence artificielle, pour recenser les installations solaires sur l’ensemble du territoire français et, à terme, dans le monde entier.
« Avec IGNfab, notre projet PARCS va bénéficier d’une visibilité accrue grâce au réseau de partenaires privilégiés de l’IGN, mais surtout d’un développement accéléré grâce à l’apport des données de l’Institut. » Nicolas Schmutz, PDG
>Contact : Nicolas Schmutz, PDG
info@reuniwatt.com / 09 77 21 61 50Adresse : 14 rue de la Guadeloupe – 97490 Sainte-Clotilde – La Réunion
est une société créée en 2012 basée à la Station F. Elle ambitionne d’accélérer et de massifier la transition énergétique des bâtiments, en développant des logiciels et des services au croisement du Big Data et de la simulation. Sa solution d’audit énergétique digital Odyssée doit permettre d’automatiser la modélisation en 3D de jumeaux énergétiques, à partir de l’adresse des bâtiments. L’accompagnement apporté par IGNfab va favoriser l’amélioration de la précision du modèle, et permettre à Openergy d’atteindre un niveau d’industrialisation maximal et d’intensifier le rythme des rénovations, en France comme en Europe.
« L’accélération au sein d’IGNfab, c’est bénéficier de l’expertise de l’IGN dans les domaines de la forme 3D et de l’adressage des bâtiments, une expertise indispensable au développement d’Odyssée ! » Riad Ziour, président.
>Contact : Riad Ziour, président
riad.ziour@openergy.fr / 06 63 34 48 02Adresse : Station F, 5 parvis Alan Turing – 75013 Paris
est une jeune entreprise créée il y a un an, issue de l’École nationale supérieure des Mines de Saint-Étienne. Spécialisée dans le développement d’outils numériques et le traitement de la donnée territoriale, U.R.B.S se positionne comme facilitateur et accélérateur de la transition énergétique solidaire et numérique des territoires, plus particulièrement sur le segment de l’habitat et du tertiaire, notamment avec IMOPE, son observatoire de l’habitat et de la rénovation énergétique. Son projet SIRIUS, qui va s’appuyer sur la BD Topo et les données Lidar de l’IGN, traite des questions d’adaptation et de vulnérabilité des bâtiments liées aux canicules. Cet outil a pour vocation de détecter les îlots de chaleur urbains et ainsi de permettre aux acteurs en charge de l’habitat de déterminer les actions de protection de la population à mettre en place.
« Travailler avec l’IGN sur l’analyse d’images notamment, va nous permettre de mieux caractériser le parc bâti, avec l’objectif concret de proposer un outil finalisé réplicable à l’ensemble du territoire français. » Maximilien Brossard, président.
>Contact : Maximilien Brossard, président
maximilienbrossard@urbs.fr / 06 23 69 42 25
Adresse : Bâtiment des Hautes Technologies – 20 rue Professeur Benoît Lauras – 42000 Saint-Etienne
est une start-up francilienne créée en 2018 qui a breveté une méthodologie pour accompagner la transition énergétique des bâtiments s’appuyant sur la géo-énergie, via une technologie du secteur pétrolier. L’atout de sa solution est d’estimer les consommations de chauffage et de climatisation d’un bâtiment sur la base d‘une simple adresse. Geosophy souhaite, dans le cadre du programme d’accélération IGNfab, mieux comprendre et intégrer les bases de données de l’IGN, pour améliorer l’identification des consommations énergétiques des bâtiments en lien avec la géo-énergie.
« Grâce à IGNfab, nous allons pouvoir améliorer les prédictions de consommations énergétiques des bâtiments et ainsi affiner nos cartes de potentiels de géo-énergie. » Quentin Barral, directeur technique.
>Contact : Quentin Barral, directeur technique
quentin.barral@geosophy.io / 06 84 59 59 89
Adresse : 81 rue de la Cosarde – 94240 L’Hay les Roses
6e appel à projets « Énergie et climat » :
19 dossiers de candidature – 20 partenaires – 5 projets retenus
IGNfab depuis 2014 :
6 appels à projets – 153 candidatures – 30 projets accélérés – 68 partenaires
Les partenaires d’IGNfab 6
À propos de l’IGN
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est l’opérateur public de l’Etat en matière d’information géographique et forestière en France. Sa vocation est de produire, de collecter et de diffuser des données indispensables à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques, de préservation de l’environnement ou encore d’aménagement du territoire. Pour garantir une information géographique riche, complète et actualisée, l’IGN fédère un écosystème de partenaires pour la production collaborative des données utiles au plus grand nombre, notamment aux décideurs publics. En tant qu’animateur de communautés de producteurs et d’utilisateurs, l’IGN leur apporte conseil et assistance dans la définition et la qualification de leurs besoins en géodatas, tout en leur offrant des outils pour faciliter l’appropriation et l’utilisation de ces données. Grâce à son école d’ingénieur, ENSG-Géomatique, et à ses équipes de recherche pluridisciplinaires, l’institut dispose de savoir-faire pointus et d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans plusieurs domaines (géodésie, topographie, photogrammétrie, intelligence artificielle, inventaire forestier, etc.).
L’IGN est un établissement public à caractère administratif placé sous la double tutelle des ministères chargés de l’écologie et de la forêt.
Cet article L’IGN annonce les lauréats de l’appel à projets d’IGNfab 6 ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:32
De GéoGrandEst à DataGrandEst : l’information géographique doit-elle disparaître pour mieux renaître ?
sur Décryptagéo, l'information géographiquePlusieurs infrastructures de données géographiques régionales (IDG) tendent à intégrer des missions élargies autour de la data : Occitanie, PACA…. Ainsi, GéoGrandEst est en train de devenir DataGrandEst. Guillaume Ryckelynck et Marie Christine Schott de la Région reviennent sur les enjeux d’un tel changement. Environ 3 minutes de lecture Guillaume Ryckelynck La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous pour consulter l'article
ou
Créez un compte et achetez cet article à l'unité pour 10 €
Email: Password: Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article De GéoGrandEst à DataGrandEst : l’information géographique doit-elle disparaître pour mieux renaître ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:15
1Spatial remporte le marché du système d’information géographique de la Communauté de Communes du Liancourtois Vallée Dorée (CCLVD)
sur Décryptagéo, l'information géographiqueArcueil, France, 28 janvier 2020, (www.1spatial/fr.com) 1Spatial, se positionne comme un acteur majeur du secteur public en proposant aux Collectivités Territoriales de toutes tailles des solutions SIG Métier pour les accompagner dans la gestion territoriale et patrimoniale.
En janvier 2021, 1Spatial remporte un nouvel appel d’offres public relatif à l’acquisition, mise en œuvre et maintenance d’un système d’information géographique pour la Communauté de Communes du Liancourtois Vallée Dorée (CCLVD).
Le parc de Chédeville dans la Communauté de Communes du Liancourtois Vallée Dorée
La solution qui sera installée va permettre de gérer les données dans tous les domaines de compétences de la CCLVD. Elle est construite sur la gamme de logiciels SIG métier arcOpole PRO éditée par 1Spatial. La gamme arcOpole PRO se compose d’applications de gestion dédiées aux métiers des collectivités territoriales et repose sur la plateforme ArcGIS d’Esri. Chaque application offre des fonctionnalités spécialisées et une interface cartographique adaptées au métier adressé.
Charlène PERRIER, Chargée du Système d’Information Géographique, qui a participé au choix de la solution souligne la qualité et la complétude de l’offre « techniquement tout est proposé, à la fois sur le côté métier avec un outil très complet pour gérer l’eau et l’assainissement qui est notre tâche de fond principale, avec la possibilité d’extension à d’autres thématiques associées aux nouvelles compétences de la collectivité. »
Avec les différentes applications d’arcOpole PRO, la CCLVD pourra gérer et partager les données du cadastre en mode web, tout en disposant d’une interface avec les outils d’administration du droit des sols Cart@DS; gérer l’eau potable en lien avec le logiciel de gestion de la facturation ; préparer la DECI ; améliorer l’assainissement grâce à l’exploitation des ITV ; réduire les délais de réponse aux DT-DICT par l’utilisation d’un portail web spécifique de réception des demandes et de traitement des réponses.
« Le SIG grâce aux outils Esri va également nous permettre de nous rendre visible pour communiquer avec les usagers et les élus qui ont aussi envie de consulter des cartes interactives. Nous disposerons de fond de cartes, de modèles d’applications qui vont nous permettre d’être plus visible sur le web et sur les mobiles » ajoute Charlène PERRIER.
Modernes et complètes, les applications arcOpole PRO sur ArcGIS disposent d’une couverture fonctionnelle exhaustive dans des environnements bureautique, web et mobile, pour gérer sereinement l’activité quotidienne. La solution, déployée majoritairement sur le Web, permet de développer l’efficacité en centralisant les données pour mieux les partager entre tous les services, ainsi qu’avec le grand public.
À propos de 1Spatial1Spatial est un leader mondial dans la fourniture de logiciels, de solutions et d’applications métier pour la gestion des données de localisation et géospatiales.
Parmi nos clients, nous comptons des agences nationales de cartographie, des collectivités territoriales, des opérateurs de réseaux d’utilité publique, des organismes de transport, des agences gouvernementales, des services de défense et de sécurité ainsi que des gestionnaires de bâtiment.
Aujourd’hui, alors que les données de localisation provenant des smartphones, de l’Internet des objets et des grands lacs de données orientent de plus en plus les décisions, notre technologie est un facteur d’efficacité et permet aux organisations d’avoir confiance dans les données qu’elles utilisent.
Nous libérons la valeur des données de localisation grâce à nos collaborateurs, nos solutions innovantes, notre connaissance métier et notre vaste base de clients. Nous nous efforçons de rendre le monde plus durable, plus sûr et plus intelligent pour l’avenir. Nous pensons que les réponses pour atteindre ces objectifs se trouvent dans les données.
La plateforme 1Spatial, comprenant notamment notre moteur de règles 1Integrate de notre logiciel Location Master Data Management (LMDM), fournit des solutions de traitement de données puissantes et des applications métier ciblées fonctionnant sur site, en mobilité et dans le cloud. Cela garantit que les données sont à jour, exhaustives et cohérentes grâce à l’automatisation.
Notre maison mère est située à Cambridge, au Royaume-Uni, et nous sommes présents au Royaume-Uni, en Irlande, aux États-Unis, en France, en Belgique, en Tunisie et en Australie.
Nous nous engageons à travailler avec nos clients pour libérer la valeur de leurs données et créer un monde plus intelligent.
Pour plus d’informations, visitez le site www.1spatial/fr.com
Pour plus d’information, veuillez contacter :
Catherine Gauthier, Responsable Marketing
catherine.gauthier@1spatial.com – M +33 (0)6 25 93 72 59
1Spatial France/Belgique – 23-25 avenue Aristide Briand, Immeuble AXEO 2 94110 Arcueil
Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux :
Twitter : [https:]]
LinkedIn : [https:]]
Facebook : [https:]]
Cet article 1Spatial remporte le marché du système d’information géographique de la Communauté de Communes du Liancourtois Vallée Dorée (CCLVD) est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:00
Esri lance ArcGIS Platform
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUn ensemble complet de services de localisation, des données et des outils de cartographie mis à disposition des développeursLe monde d’Esri s’enrichit d’une solution PaaS
Redlands (Californie, Etats-Unis), le 27 janvier 2021. Esri, le principal acteur mondial de l’information géolocalisée, annonce le lancement d’ArcGIS Platform. Cette plateforme géospatiale de type PaaS (« Platform as a Service ») permet aux développeurs d’intégrer des fonctionnalités de géolocalisation dans leurs apps, dans leurs systèmes d’information et dans leurs produits. ArcGIS Platform donne aux développeurs un accès direct aux puissants services de localisation d’Esri à l’aide des API et des frameworks Web de leur choix.
« Grâce à ArcGIS Platform, les utilisateurs peuvent développer leurs propres produits ou intégrer les services d’Esri dans leurs logiciels existants. Le mode PaaS facilite l’accès des développeurs de logiciels à la technologie géospatiale », explique Jack Dangermond, président fondateur d’Esri.
David Cardella, responsable produit pour les technologies de développement d’Esri, ajoute : « ArcGIS Platform met à la portée des développeurs des contenus et des fonctionnalités d’un haut niveau de qualité, qu’ils peuvent facilement connecter à leurs apps, ce qui leur permet de respecter leur budget tout en réduisant le délai de mise de mise à disposition ». A l’instar des développeurs, les clients peuvent exploiter les mêmes services et environnement dans ArcGIS Platform, qu’ils supportent quelques dizaines ou quelques millions d’utilisateurs.
S’adaptant aux développeurs et à leurs applications, ArcGIS Platform permet aux clients d’exploiter le même cadre et les mêmes services, qu’ils prennent en charge des dizaines d’utilisateurs ou des millions d’entre eux.
« Nous sommes ravis que notre partenariat avec Esri se prolonge avec l’intégration d’ArcGIS Platform », affirme Ben Brantly, vice-président produit chez Salesforce. « Les cartes de base prêtes à l’emploi d’Esri donnent aux utilisateurs le moyen de mieux comprendre leurs données en les visualisant sur une carte. Les fonctionnalités d’ArcGIS Platform augmentent la valeur que nous apportons aux utilisateurs de Salesforce Maps ; ils peuvent désormais exploiter les services de géolocalisation d’Esri et adopter ArcGIS API pour JavaScript ».
Esri a présenté ArcGIS Platform lors d’un événement virtuel au cours duquel plusieurs utilisateurs tels que Salesforce ou Airspace Link, fournisseur de solutions de gestion de drones dans le cloud, ont témoigné de leur utilisation de la technologie PaaS d’Esri.
« Fusionnés avec des données locales, les services démographiques et de géocodage d’Esri nous ont permis de proposer dans tout le pays une solution d’usage de drones à la fois sûre et conforme », se félicite Michael Healander, PDG et co-fondateur et CEO d’Airspace Link.
SAP, partenaire de longue date d’Esri, était également présent à l’événement de lancement. « Les services de localisation de la plateforme ArcGIS d’Esri seront exposés à travers le modèle de consommation cloud de SAP, qui joue sur la force de ce que les clients recherchent », a déclaré Irfan Khan, président de Plateforme et Technologie chez SAP. « La plateforme technologique de SAP offre un point d’intégration idéal, permettant aux développeurs de construire plus facilement des applications innovantes qui combinent des données commerciales en temps réel avec l’intelligence géospatiale ».
Pour plus d’informations sur Esri, qualifié de « leader » dans la Forrester Wave « Location intelligence platforms, Q2 2020, mais aussi au sujet d’ArcGIS Platform ainsi que les services de géolocalisation qui sont à la fois accessibles et de grande qualité, mis à disposition des développeurs, consultez go.esri.com/Platform-Learn-More.
À propos d’Esri
Créé en 1969 à Redlands (Californie, Etats-Unis), Esri est le principal fournisseur mondial de Systèmes d’information géographique (SIG), d’outils de géolocalisation et de cartographie. Ses produits aident les utilisateurs à libérer tout le potentiel de leurs données et à mieux l’exploiter pour optimiser leurs activités et leurs résultats.
Plus de 350 000 organisations et 200 000 institutions dans le monde utilisent les logiciels d’Esri, dont des entreprises du classement Fortune 500, des agences gouvernementales, des organisations à but non lucratif ou des universités. Esri dispose de bureaux régionaux, de distributeurs internationaux et de partenaires offrant un soutien local dans plus de 100 pays sur six continents. Pionnière de la technologie d’information géospatiale, la société développe les solutions les plus innovantes pour la transformation numérique, l’Internet of Things (IoT) et les techniques d’analyses avancées.
Consultez www.esri.com
Copyright © 2021 Esri. Tous droits réservés. Esri, le logo Esri globe, ArcGIS, The Science of Where, esri.com et @esri.com sont des marques commerciales, des marques de service ou des marques déposées de Esri aux États-Unis, dans la Communauté européenne ou dans certaines autres juridictions. Les autres sociétés et produits ou services mentionnés dans le présent document peuvent être des marques commerciales, des marques de service ou des marques déposées de leurs propriétaires respectifs.
Cet article Esri lance ArcGIS Platform est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:50
Revue de presse du 12 au 26 janvier 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueGoogle, Snap… Qui sont les véritables maîtres des cartes ? Rassurez-vous, on aura toujours besoin de géomaticiennes et de géomaticiens comme l’illustre la lutte contre l’orpaillage illégal ou le développement de l’éolien, qui ne sauraient se passer de cartes.DESSOUS DES CARTES : Jeudi 21 janvier est paru dans la Croix Hebdo, tout un dossier sur « Google, le maître des cartes ? », avec, entre autres, une interview de Henri Desbois : « Notre vision du monde par défaut est celle de Google Earth ».
GEOLOCALISATION : « Pourquoi Snap rachète-t-il une plateforme de données de localisation? ». Après avoir lancé sa Snap Map, Snapchat (2 49 millions d’utilisateurs chaque mois) rachète StreetCred qui recueille des données de localisation, nous apprend French Web.
GUYANE : Les satellites au service de la protection de notre planète : un reportage vidéo (Energy Observer) sur la surveillance de l’orpaillage illégal en Guyane avec Sébastien Linarès qui était venu nous présenter l’OAM en 2019 aux GéoDataDays.
ÉNERGIES : « Pompili souhaite cartographier « les zones propices au développement de l’éolien » ». Du travail pour les géomaticiennes et géomaticiens… (source Batiactu)
Cet article Revue de presse du 12 au 26 janvier 2021 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:15
Quelle mobilité post-Covid ? Bilan et perspectives de Karos, acteur de la mobilité quotidienne
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEn 2020, l’activité de « court-voiturage » est restée significative pour la startup française Karos.
Grâce à l’impulsion permise par La Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) et le Forfait Mobilités Durables, Karos a mené en 2020, et malgré la crise sanitaire, pas moins de 35 nouveaux déploiements, qui concernent plus de 1,2 million de covoitureurs potentiels. Avec des AOM, des régions, des opérateurs de transport, des employeurs privés et publics, dans toute la France : depuis la RTM à Marseille jusqu’à la Région Occitanie, en passant par l’AP-HP en Île-de-France, le SMMAG à Grenoble, et bien d’autres (liste des références en fin de communiqué). La loi LOM facilite et encourage le covoiturage domicile-travail afin de lutter contre la congestion urbaine, dans la perspective de l’accord sur le climat, et pour favoriser le désenclavement des zones les moins denses.
A ce jour, Karos enregistre 4 millions de covoiturages réalisés depuis le lancement de la solution en 2015 et n’a perdu « que » 21 % de ses volumes de trajets en 2020 par rapport à 2019. Karos est dans une dynamique de croissance générale depuis plus de 4 ans (+15 % par mois pendant les 36 mois pre-Covid). La crise sanitaire a pour l’instant effacé la croissance naturelle, mais pas réduit l’activité à néant.
Le siège libre des autosolistes valorisé en transport public
Le covoiturage courte distance devient un nouveau mode de transport en commun. Karos est aujourd’hui la seule solution de covoiturage référencée à la centrale d’achat du transport public. 70 % des trajets domicile-travail en France se font en voiture avec en moyenne 1,1 personne par véhicule pour un trajet quotidien. Si ce chiffre passait à 1,7 personne, les bouchons seraient terminés.Une technologie basée sur l’IA et de nouvelles fonctionnalités
L’étude menée par Karos au printemps 2020 auprès de ses covoitureurs a permis de mieux comprendre les nouveaux enjeux de mobilité. Karos y a répondu avec de nouvelles fonctionnalités (voir ci-dessous). On ne covoiture plus aujourd’hui comme on le faisait il y a 12 mois.
Sa technologie propriétaire de géolocalisation et ses algorithmes de machine learning fonctionnent en 4 étapes : apprentissage des habitudes de déplacement des utilisateurs, prédiction de leurs besoins de mobilité futurs, identification des conducteurs et passagers compatibles, calcul d’un itinéraire intermodal clé en main.La récente fonctionnalité « Favoris » permet de créer une liste de covoitureurs afin de les retrouver plus vite dans l’application et de planifier aisément et sereinement ses covoiturages pour la semaine, tout en respectant les règles sanitaires (rappelées dans l’application Karos ou sur le site web de l’entreprise).
A cela s’ajoute désormais, la possibilité de modifier le lieu de rendez-vous. Les utilisateurs (conducteur ou passager) peuvent ainsi proposer un lieu de rencontre plus pratique à leurs covoitureurs. Celui-ci sera sauvegardé pour les prochains trajets.
Les atouts plébiscités par les utilisateurs
Une meilleure qualité de vie :
26 minutes gagnées par trajet en moyenne vs les transports en commun
97 euros économisés par mois en moyenne vs l’autosolisme
Et pour l’environnement et la qualité de l’air :
3 242 tonnes de CO2 évitées
Les données sont calculées sur l’ensemble des covoiturages réalisés depuis le lancement de la solution en 2015.Les références
Karos entreprises
Une solution déjà déployée auprès de +1 100 sites clients représentant +110 000 salariés
Safran, Airbus, Nissan, Total, Pichet, Inria, CNES, Pichet, Belle Epine, HPHP, Stelia, ATR, Aéroport Toulouse Blagnac…
Karos territoires
Région Normandie, Région Réunion, Région Occitanie, Troyes Champagne métropole, Toulouse métropole, Grenoble-Alpes métropole, Ile-de-France mobilités, Flers agglo, Caux Seine agglo, département Aube en Champagne.Agence Henry Conseil
42 rue Laugier – 75017 Paris
Tel: 01 46 22 76 43
[www.henryconseil.com]Cet article Quelle mobilité post-Covid ? Bilan et perspectives de Karos, acteur de la mobilité quotidienne est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:32
merIGéo : bouillonnante information géographique
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnviron 6 minutes de lecture Le colloque merIGéo dédié à l’information géographique au service de la mer, coorganisé par l’Ifremer, l’Office Français de la Biodiversité (OFB) et le SHOM s’est finalement tenu sous forme de conférences en ligne du 24 au 26 novembre derniers. Retour sur une trentaine de présentations La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous pour consulter l'article
ou
Créez un compte et achetez cet article à l'unité pour 10 €
Email: Password: Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article merIGéo : bouillonnante information géographique est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
15:28
En Vendée, l’Union des Artisans du Bois soigne sa qualité de service avec le logiciel transport PTV Route Optimiser
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 22 janvier 2021
« Tous différents notre richesse, tous ensemble notre force » : telle est la devise de l’UAB, Union des Artisans du Bois, une coopérative d’achats regroupant près de 400 artisans menuisiers, charpentiers, ébénistes, cuisinistes, agenceurs, plaquistes, étancheurs. Implantée à La Ferrière en Vendée, « l’entreprise » assure le stockage et la distribution de matériaux auprès de ses adhérents au moyen d’une flotte d’une quinzaine de camions (flotte en propre) et à l’aide de prestataires externes. L’UAB réalise environ une centaine de tournées de livraison par semaine sur l’ensemble de son réseau vendéen et charentais.
L’UAB souhaitait digitaliser ses opérations transport, et a opté pour le logiciel d’optimisation de tournées PTV Route Optimiser. Plusieurs objectifs sont ciblés : optimiser la planification des tournées de livraisons, renforcer la qualité de service et la communication avec les adhérents, et bénéficier de l’efficacité opérationnelle du suivi en temps-réel.
« Nous nous sommes naturellement rapprochés de PTV groupe qui travaille déjà au sein du réseau ORCAB et avec certains de nos fournisseurs. La solution PTV va nous permettre d’améliorer la qualité de service à nos adhérents en optimisant nos schémas de livraison et en communiquant mieux, notamment sur les horaires de livraison. » Benoit Buron, Responsable d’exploitation et logistique.
PTV Route Optimiser facilite le processus de planification : d’une grande simplicité d’utilisation, le logiciel importe depuis l’ERP de la coopérative le puits de commandes clients puis calcule l’ensemble du plan de transport sur la semaine à venir. En quelques clics, le logiciel répartit automatiquement tous les ordres de transport de façon idéale en optimisant l’utilisation des véhicules et des chauffeurs.
Dès visualisation des résultats, tout est plus clair : la liste des tournées, les feuilles de routes par tournée, les différents points de passages sont détaillés et l’ensemble des spécifications adhérents sont intégrées : horaires de rendez-vous, contraintes de livraisons sur chantiers, optimisation de la saturation des véhicules, etc.
En parallèle, point très important pour ses dirigeants, l’UAB pourra mettre en place grâce à PTV Route Optimiser un système de communication et d’alertes auprès de ses adhérents dans le but de continuer à améliorer sa qualité de service et les prises de rendez-vous sur chantiers. Quelques secondes suffisent à l’exploitant pour paramétrer l’envoi de notifications automatiques via emails et SMS aux adhérents, les informant par exemple de l’heure de livraison de leurs commandes.
En retour, le pool transport dispose d’un suivi d’exécution en temps-réel des tournées. « Cette planification dynamique rendra la coopérative plus agile et plus réactive en cas d’imprévus grâce au module de comparaison entre le planifié et le réalisé » confirme Yann Desloire, directeur commercial vente directe chez PTV. « Quant aux utilisateurs, ils gagnent un temps considérable consacré à la construction des tournées et disposent d’une interface graphique orientée métier, d’une cartographie professionnelle et d’un haut niveau de paramétrage ».
Le site web UAB
Découvrir le logiciel PTV Route Optimiser ainsi que notre Blog sur les mobilités.
Notre Système de navigation professionnelle PTV Navigator
Pour plus d’informations, merci de contacter :
Marie Gomes, Responsable Communications
Mobile : +33 (0)1-30-75-75-82, marie.gomes@ptvgroup.com
Internet: www.ptvgroup.com
PTV Group
Immeuble Les Miroirs – Bât C
18 avenue d’Alsace
CS 80122 Courbevoie
92091 Paris La Défense Cedex
PTV. The Mind of Movement.
PTV Group suit une approche holistique qui intègre tous les aspects du trafic, du transport et de la logistique pour créer et promouvoir une mobilité durable. Reconnu comme un leader international sur son marché, PTV développe des solutions logicielles intelligentes pour le transport et la logistique, la planification et la gestion de la circulation. Ainsi les villes, les entreprises et les personnes génèrent des économies de temps et d’argent, renforcent la sécurité routière et réduisent leur impact sur l’environnement. Basé sur son expertise unique dans tous les domaines de la mobilité, PTV garantie que les personnes et les marchandises arrivent à destination en toute sécurité et à l’heure.
Plus de 2500 villes utilisent les produits PTV. Les itinéraires et les tournées de plus d’un million de véhicules sont planifiés avec nos logiciels. Le modèle de transport européen, qui couvre tous les déplacements de passagers et de marchandises en Europe, a été développé avec la technologie PTV. Nous avons plus de 850 collègues dans le monde impliqués dans la conception de haute performance de nos produits. Le siège de PTV, situé en plein cœur du bassin technologique de Karlsruhe, accueille notre centre de développement et d’innovation. De là, PTV planifie et optimise tous les déplacements des Hommes et des marchandises dans le monde – telle est l’idée conductrice qui accompagne le groupe depuis sa fondation en 1979. La société française PTV France est une entreprise de PTV Group. www.ptvgroup.com
Membre de l’Alliance internationale pour la décarbonisation des transports (lien vers [tda-mobility.org] ) PTV Groupe France a aussi rejoint le comité des partenaires de la Métropole du Grand Paris (lien vers [https:]] ).
Cet article En Vendée, l’Union des Artisans du Bois soigne sa qualité de service avec le logiciel transport PTV Route Optimiser est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:45
HD Rain lève 1 million d’euros pour déployer son dispositif de prévisions météorologiques à très haute résolution autour de l’Arc Méditerranéen
sur Décryptagéo, l'information géographique- Plus de 1.000 capteurs seront installés pour cartographier la météo avec une résolution de 500 m, toutes les minutes
- Une réponse à l’intensification des événements climatiques extrêmes
Paris, le 25 janvier 2021 – HD Rain, start-up qui réinvente la mesure et la prévision météorologique, annonce une levée de 1 million d’euros auprès des fonds d’investissement Newfund, Kima Venture et ResiliAnce avec l’objectif de déployer sa solution innovante dans le Sud de la France, autour de l’Arc Méditerranéen.
Fondée en 2018 par Ruben Hallali – CEO, ingénieur et docteur en sciences atmosphériques, Duminda Ratnayake – CTO, ingénieur en électronique et robotique, et François Mercier – CSO, ingénieur et docteur en mathématiques appliquées, HD Rain fournit aux acteurs économiques et décideurs publics des mesures et des prévisions météo à très haute résolution basées sur une technologie propriétaire pour les zones et activités économiques météo-sensibles.
« En France, les niveaux d’alerte actuels au niveau départemental – vigilance verte, orange et rouge – ne suffisent pas tandis que dans les pays en développement, ils sont souvent inexistants. Or, de nombreuses professions ont une activité météo-sensible. Il existe donc une forte attente envers une solution innovante et abordable fournissant une grande précision de données »,explique Ruben Hallali, CEO de HD Rain.
Concrètement, la start-up a développé un système de capteurs robustes, à bas coût et reliés à une parabole TV qui mesure l’impact de l’atmosphère sur la transmission des signaux entre le satellite géostationnaire et la parabole de réception. Le réseau est ainsi capable d’anticiper les pluies jusqu’à 2 heures en avance avec une précision de 500 m toutes les minutes, à comparer avec les méthodes de radar classiques qui ont une précision limitée entre 1 et 5 km, toutes les 10 à 15 mn. « La fiabilité de nos données a été confirmée via une étude réalisée en partenariat avec le département des Systèmes d’Observations de Météo-France », indique Ruben Hallali.
Déploiement à grande échelle sur l’Arc Méditerranéen
Après des phases de test en France, à Toulouse, en Côte d’Ivoire et au Brésil, HD Rain utilisera cette levée de fonds pour déployer plus de 1 000 capteurs tout autour de l’Arc Méditerranéen, de Menton à Cerbère, une zone stratégique en France, puisque 19 des 20 premières zones météo-sensibles françaises appartiennent à cette région. La donnée collectée sera destinée aux acteurs économiques – assurances, agriculteurs, entreprises de BTP ou de logistique, ainsi qu’aux collectivités locales. Dans les Alpes Maritimes où débutera l’opération, HD Rain va mener le déploiement en partenariat non-exclusif avec l’assureur Allianz, la ville d’Antibes et la Communauté d’Agglomération Sophia-Antipolis.
Augustin Sayer, Directeur d’investissement chez Newfund déclare : « Nous avons été impressionnés par la qualité de l’équipe de HD Rain et ses trois co-fondateurs aux parcours scientifiques remarquables et complémentaires. Leur solution de mesure et prévision météo répond aux besoins concrets d’un grand nombre d’acteurs pour qui la météo joue un rôle et peut représenter un risque économique. Newfund est heureux d’aider l’entreprise à étendre le déploiement de sa solution. »
A propos de HD Rain
Fondée en 2018, HD Rain est une start-up née de la thèse qu’avec l’intensification des événements climatiques extrêmes, l’absence de données micro-météorologiques représente un risque environnemental et humain, et limite le développement économique des zones météo-sensibles. La société basée à Paris a développé un système de capteurs robustes à bas coûts et reliés à une parabole TV, qui mesure l’atténuation produite par la pluie sur les signaux émis entre la parabole et le satellite géostationnaire. Le déploiement en réseau des capteurs et l’utilisation d’algorithmes permettent de mesurer et d’anticiper la pluie. HD Rain permet ainsi de visualiser sous forme de cartographie la pluie avec une résolution de 500 m, toutes les minutes.
Plus d’information sur : hd-rain.com
À propos de Newfund
Fondé en 2008 par François Véron et Patrick Malka, Newfund est un fonds d’investissement fondé par des entrepreneurs pour les entrepreneurs. Newfund apporte du capital aux start-up au début de leur aventure. Il est doté de 230M€, souscrit par des entrepreneurs et des family offices engagés dans le développement entrepreneurial. En 2019, Newfund compte plus de 80 participations actives, parmi lesquelles Aircall, In2Bones, Zinier et Eqinov. Le fonds a opéré une quinzaine de sorties significatives dont Luckey Homes (acquisition par Airbnb), Medtech SA (acquisition par Zimmer Biomet) et Beyond Ratings (acquisition par London Stock Exchange Group). Newfund est aussi le seul fonds français early-stage présent aux Etats-Unis dans la Silicon Valley avec plus de 25 participations.
Plus d’informations sur : newfundcap.com
À propos de Kima Ventures
Kima Ventures est le bras d’investissement startup de Xavier Niel, l’un des investisseurs early stage les plus actifs au monde. Kima investit dans 100 startups par an du Seed à la Series A. Basé à Paris à Station F, Kima a investi depuis 2010 dans près de 700 startups, dont Transferwise, CaptainTrain, Zenly, Payfit, Docker, et Doctrine, leur fournissant financement, réseau et support pour les aider à atteindre les prochaines étapes de leur parcours.
Plus d’informations sur kimaventures.com
A propos de RésiliAnce
RésiliAnce est le fonds d’investissement du Groupe Touton, un groupe installé à Bordeaux depuis sa création en 1848. Acteur majeur du négoce international de matières premières, Touton s’appuie sur un réseau de filiales exportatrices implantées dans les pays d’origine. Présent sur quatre continents, le Groupe a bâti sa force sur la formation de ses collaborateurs, la diversité culturelle de ses équipes et la profonde connaissance des pays dans lesquels il est implanté. Signature de première rang, Touton s’enorgueillit de compter parmi les clients de ses départements Cacao, Café et Epices les principaux industriels transformateurs mondiaux.
Plus d’informations sur [https:]]
Contacts Presse
Ulysse Communication
Charles Courbet / 06 28 93 03 06 / ccourbet@ulysse-communication.com
Nicolas Daniels / 06 63 66 59 22 / ndaniels@ulysse-communication.com
Cet article HD Rain lève 1 million d’euros pour déployer son dispositif de prévisions météorologiques à très haute résolution autour de l’Arc Méditerranéen est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:57
Thales Alenia Space et Airbus construiront tous deux les prochains satellites Galileo
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa commission européenne a annoncé mercredi les résultats de l’appel d’offres lancé en 2018 pour la construction des 12 prochains satellites Galileo.Ce sont donc bien Thales Alenia Space et Airbus Defense and Space qui vont se partager le gâteau d’un montant de 1,47 milliard d’euros. Chacune des deux entreprises (l’une en Italie et l’autre en Allemagne) construira 6 satellites de nouvelle génération. Dotés de nouvelles horloges atomiques et communicant mieux entre eux, ces satellites devraient permettre des gains en précision. Les premiers satellites seront placés en orbite à la fin de 2024, tandis que deux satellites de première génération devraient être lancés courant 2021.
Cet article Thales Alenia Space et Airbus construiront tous deux les prochains satellites Galileo est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
15:07
Comment l’opendata peut-elle répondre au besoin de transparence des citoyens ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUne tribune de Jean-Marc Lazard, CEO OpendatasoftLe besoin de transparence des citoyens est de plus en prégnant et notamment depuis le début de la crise. Nombreux sont les Français qui pensent que le gouvernement leur « cache certaines informations »[1]. 81 % des Français estiment que la crise a renforcé leur besoin de transparence[2]. Comment répondre au besoin des citoyens de consulter librement des données publiques d’acteurs privés ou publics à l’heure où la communication n’a jamais été aussi importante ? La crise renforce le besoin de transparence
L’open data est née il y a une dizaine d’années, principalement chez les Anglo-saxons qui ont une culture de la donnée et des modèles de circulation de l’information plus avancés. Aujourd’hui, la France a largement comblé son retard en la matière et l’open data y est devenue un véritable élément démocratique. Si le partage de données n’est pas un phénomène nouveau, la demande des Français d’accéder aux données est de plus en plus forte. En effet, les citoyens veulent accéder à de l’information structurée et réutilisable issue tant de la part des instances publiques (73%) que des entreprises privées (55%). La crise a d’ailleurs participé à accélérer cette tendance pour 76% de la population.
Ce n’est pas une surprise. Les Français ont besoin d’être informés et rassurés. Ils ont aussi envie de prendre part aux débats et aux décisions du gouvernement. À l’heure de la méfiance généralisée des citoyens envers les pouvoirs publics, les citoyens ne se contentent plus de simples discours. Dans ce contexte, on voit émerger un nouveau genre de web : celui des données.
Des preuves pour appuyer les discoursSi la crise sanitaire est un facteur d’accélération, ce besoin de transparence et de « preuve par la data » résulte surtout de comportements sociétaux antérieurs.
En effet, s’il existe un besoin immédiat d’informations pratiques à propos de la pandémie, il y a surtout nécessité de joindre les actes à la parole.
Nous le savons, les Français ne croient plus aux discours marketing galvaudés des marques en ce qui concerne leurs démarches environnementales ou leur lutte contre la maltraitance des animaux, entre autres. Ils sont 56 % à vouloir accéder à ce type de données dans le but d’orienter leurs comportements d’achat. Et cela se retrouve également dans leur vie citoyenne. Ils sont ainsi 72% à vouloir accéder aux données de leurs territoires comme les dépenses publiques (où vont les impôts ? comment sont répartis les budgets ?) – la démographie – la culture – afin de prendre des décisions électorales en connaissance de cause.
Comment les acteurs concernés par cette demande réagissent-ils ? Après tout, cette dernière est légitime et il est assez simple d’y répondre. La clef est d’agréger ses données internes et de les relier dans le but de constituer un réseau global d’informations brutes et objectives.
Partage de données en période de criseEn temps de crise, le partage de données devient réellement primordial. Les acteurs publics font tout leur possible pour mettre des informations sur l’évolution de la pandémie à disposition des citoyens, dans une démarche transparente et pédagogique.
Si Santé Publique France communique de manière régulière les données attenantes à la situation du secteur de la santé au niveau national, les collectivités publiques ont pris le relais pour fournir de l’information locale.
C’est par exemple le cas de la région Ile-de-France, qui partage des informations relatives à l’ouverture des pharmacies de la région. Dans la même veine, la ville d’Issy-les-Moulineaux a publié une liste de commerces qui livrent des repas à domicile : des données précieuses pour les Isséens.
Plus globalement, à l’échelle internationale, nombreuses sont les régions qui utilisent leurs portails open data pour fournir des informations de première nécessité à leurs habitants. C’est notamment le cas de la communauté autonome espagnole de la Junta de Castilla y Leon, qui a commencé à publier des dashboards Covid-19 dès le début de la pandémie.
Au-delà de la dimension informationnelle, l’open data facilite le travail des experts, qui peuvent s’appuyer sur ces données dans le but de proposer des analyses et de continuer à alimenter leurs recherches. C’est par exemple le cas de l’entreprise IQVIA qui met désormais à disposition des données exclusives sur le suivi des tests antigéniques en pharmacie de ville.
L’accès à la donnée publique représente également l’opportunité de créer des rapprochements entre les acteurs publics et la société civile. Ce type de collaboration, qui fait appel à l’intelligence collective, donne naissance à des solutions innovantes et à des initiatives spontanées.
Les acteurs privés se mettent au partageLa soif d’informations des Français est également dirigée vers les entreprises.
55 % des citoyens souhaitent avoir une meilleure visibilité sur les actions et les décisions des acteurs privés. Après avoir longtemps opéré dans l’opacité, de nombreuses entreprises ont été accusées de « greenwashing ».
Afin de lutter contre cela, Barbara Pompili, l’actuelle Ministre de la Transition écologique, a récemment lancé une mission contre le greenwashing. Certains grands groupes sont en avance sur le sujet et ont déjà compris l’intérêt d’utiliser l’open data comme expression la plus objective de la preuve. C’est le cas de Kering, qui a choisi de quantifier et de rendre disponible les informations concernant l’impact écologique des activités du groupe – mesure de l’impact en euros de l’utilisation de l’eau pour son activité de tannerie –
Aujourd’hui, les entreprises prennent de plus en plus conscience des opportunités que représente le partage de données. Challengées par les consommateurs et les influenceurs, elles utilisent l’open data comme un outil d’information et de communication pour rendre compte de leurs actions environnementales et sociétales.
Si l’open data apparaît comme l’un des piliers phares de cette crise sanitaire, 42% des Français ne savent toujours pas ce que signifie ce terme et 29% ne savent pas où chercher l’information disponible en open data ! La communication tant par les organes gouvernementaux que par les relais locaux est plus que jamais importante dans le cadre de la naissance de ce web des données. A l’image de l’Internet dans les années 2000, le web des données a le mérite d’exister, imparfait mais solide avec un véritable réseau global. La crise a révélé le pouvoir de la donnée et la puissance du partage d’informations – à chacun de continuer dans cette direction.
Cet article Comment l’opendata peut-elle répondre au besoin de transparence des citoyens ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:58
Le système Minard : anthologie des représentations statistiques de Charles-Joseph Minard
sur Décryptagéo, l'information géographiqueInformations éditeur
Pionnier en matière de représentation de données statistiques, l’ingénieur français en génie civil Charles-Joseph Minard a fait de ses cartes et tableaux des outils permettant de comprendre les bouleversements sociaux et économiques qui transforment l’Europe et le reste du monde à l’heure de la révolution industrielle de la seconde moitié du XIXe siècle. Si la remarquable carte de flux qu’il a créée pour représenter la campagne de Napoléon en Russie est considérée comme l’une des plus extraordinaires visualisations de données jamais produites, son oeuvre, autrement plus étendue, demeure méconnue.
Minard a produit un ensemble de représentations statistiques dont l’influence est aujourd’hui encore sensible dans le champ des représentations graphiques et visuelles de données. Le Système Minard met en lumière les processus mis en oeuvre dans leur invention. L’ouvrage, qui fait le portrait de l’homme et retrace sa carrière, reproduit les remarquables dessins de la collection de l’École nationale des ponts et chaussées de Paris où il fut enseignant et donne à voir pour la première fois l’intégralité de ses réalisations.
Cet article Le système Minard : anthologie des représentations statistiques de Charles-Joseph Minard est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:31
1Spatial signe un contrat avec les pompiers de Californie
sur Décryptagéo, l'information géographiqueBeau contrat américain pour les équipes de 1Spatial qui vont équiper CalOES, le centre d’appels des pompiers de Californie avec leurs solutions 1Intergrate et 1Data Gateway en mode SaaS.Tomasz Zajda pour AdobeStock
D’une valeur totale d’environ 600 000 $ (500 000 €) sur deux ans, le contrat comprend la fourniture des logiciels ainsi que leur mise en œuvre et le support techniques. Les solutions de validation des données seront intégrées au système d’appels 9-1-1 de nouvelle génération. La création d’une plate-forme de validation évolutive va permettre de garantir que les données des fournisseurs respectent bien les normes de précision du système d’appel, améliorant ainsi la vitesse et la précision de réponse des équipes de l’État le plus peuplé des États-Unis.
Le communiqué de presse en anglais sous ce lienCet article 1Spatial signe un contrat avec les pompiers de Californie est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
14:54
HERE Technologies au CES : Nombreuses annonces, nombreux marchés
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe spécialiste des données de localisation HERE Technologies a profité du Consumer Electronic Show (CES) pour lancer plusieurs nouveautés, qui confirment qu’il ne compte pas uniquement sur le marché automobile pour se développer.HERE Premier 3D Cities (Paris)
Même si HERE Technologies appartient aujourd’hui à un consortium essentiellement constitué de firmes automobiles (Audi, BMW, Mercedes-Benz, Bosch et Continental), les dernières annonces publiées à l’occasion du CES 2021 montrent que l’entreprise mise sur plusieurs secteurs pour assurer son développement.
3D, IoT, précision…Ainsi, les modèles numériques 3D haute résolution de 75 villes du monde entier (dont Paris et Lyon pour la France) que l’éditeur publie dans l’offre HERE Premier 3D Cities, s’adressent aussi bien au monde du jeu vidéo que de la logistique du dernier kilomètre ou de l’urbanisme. Les données, annoncées avec une précision de géolocalisation de quelques centimètres sont proposées pour une utilisation en réalité virtuelle ou augmentée (tuiles 3D Cesium/OGC 3D), dans des SIG ou autres outils de visualisation/navigation. Même s’il existe déjà aujourd’hui des maquettes 3D des grandes villes du monde (ce qui est le cas pour Paris et Lyon), elles sont généralement produites par les collectivités et n’ont pas toutes les mêmes spécifications. De plus, la base HERE Premier 3D Cities associe cette représentation 3D avec l’ensemble des données nécessaires à la navigation.
Dissocier outil et donnéesHERE mise sur des données de plus en plus détaillées, spatialement précises, adaptées aux déplacements intérieurs, sur des chantiers ou autres espaces particuliers, en lien étroit avec l’Internet des objets. A cet effet, l’entreprise a également annoncé une offre de « cartographie as a service » qui permet à un utilisateur de bénéficier du Cloud HERE pour stocker les données décrivant son espace, de les associer aux données HERE existantes si besoin, et de bénéficier ensuite des fonctions de géolocalisation, de navigation, de représentation, de diffusion, le tout en lien avec toutes sortes de capteurs connectés. C’est un peu le sens du projet Sensor4Rail, mené avec Bosch, Ibeo et Siemens Mobility qui va permettre à la Deutsche Bahn de disposer d’un véritable jumeau numérique de ses voies et équipements. Ainsi, les trains, dûment équipés de capteurs, pourront être mieux suivis et mieux se repérer, ce qui devrait faciliter l’augmentation du trafic.
L’éditeur a également annoncé de nouveaux outils pour gérer le consentement des utilisateurs et l’anonymisation des données en Europe (RGPD). Il propose enfin un calculateur d’itinéraire adapté aux véhicules électriques (prenant en compte les temps de charge par exemple)… des sujets qui sont bien dans l’air du temps et qui illustrent la volonté de l’entreprise à s’imposer comme une alternative « professionnelle » à Google.
Cet article HERE Technologies au CES : Nombreuses annonces, nombreux marchés est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:20
Choose Paris Region, le Groupe ADP et le Groupe RATP annoncent les lauréats de l’appel à manifestation d’intérêt international pour la structuration d’une filière Mobilité Aérienne Urbaine
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAfin de réunir un écosystème autour de la mobilité aérienne urbaine en Île-de-France, le Groupe RATP, le Groupe ADP et Choose Paris Region ont lancé le 1er octobre dernier un appel à manifestation d’intérêt international, avec le soutien de la Région Île-de-France. Cette initiative, dont l’ampleur est inédite en Europe, a permis de réunir 150 candidatures à travers 25 pays.Une trentaine de lauréats ont été choisis, afin de pouvoir réaliser dès juin 2021 des expérimentations sur la zone de test à l’aérodrome de Pontoise – Cormeilles-en-Vexin, inaugurée le 30 septembre 2020.
Pour relever les défis posés par cette nouvelle forme de mobilité en matière de définition des usages, d’acceptabilité, de technologies et d’industrialisation, l’appel à manifestation d’intérêt s’est articulé autour des cinq composantes suivantes :
- Le véhicule : pour les constructeurs et équipementiers (batteries, avionique…) ;
- L’infrastructure : pour les énergéticiens ou concepteurs de vertiports ;
- Les opérations : pour les fournisseurs de solutions intermodales, de maintenance, ou de plateformes digitales de mise en relation ;
- L’intégration dans l’espace aérien : pour les fournisseurs d’Unmanned Traffic Management (UTM) ou de systèmes de communication/navigation ;
- L’acceptabilité : pour les laboratoires de recherche et instituts d’étude, autour des enjeux sociétaux et environnementaux.
L’un des critères clés de sélection définis préalablement a été celui de la maturité de la solution. Début des expérimentations à l’été 2021
Ainsi, à partir de juin 2021, en collaboration étroite avec la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) et avec le soutien de l’Agence Européenne de la Sécurité Aérienne (AESA), et d’Eurocontrol, l’organisation européenne pour la sécurité de la navigation aérienne, les opérations de stationnement, de décollage et d’atterrissage pourront être testées en environnement aéronautique réel à Pontoise, ou encore les opérations autour du véhicule, que ce soit la maintenance ou la recharge électrique.
Les candidats sélectionnés rejoignent Volocopter, constructeur de véhicule électrique à décollage vertical (eVTOL), qui sera le premier acteur industriel à tester son véhicule VoloCity dès juin 2021.
Les acteurs sélectionnés vont dorénavant pouvoir partager leurs expertises, identifier des synergies et déployer des tests dans les mois à venir sur l’aérodrome de Pontoise-Cormeilles en Vexin.
Le succès de cet appel à manifestation d’intérêt a en effet permis de réunir des grands acteurs industriels de référence sur la mobilité aérienne comme Airbus, en passant par des jeunes entreprises internationales, jusqu’à de grandes institutions de l’enseignement et de la recherche comme l’Université de Berkeley et l’École national de l’Aviation Civile.
Par ailleurs, la perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 constitue une opportunité exceptionnelle de mobilisation d’une filière, afin de préparer un démonstrateur à cet horizon, et de faire de l’Île-de-France une référence sur le marché mondial de la mobilité aérienne urbaine.
À cette occasion, Edward Arkwright, Directeur général exécutif du Groupe ADP, a déclaré : « le succès de cet appel à manifestation d’intérêt international témoigne d’une forte mobilisation autour de la structuration d’une filière mobilité aérienne en Île-de-France. Aux côtés de tous ces acteurs industriels, de l’enseignement et de la recherche, et grâce à l’implantation d’une zone de test inédite en Europe sur notre aérodrome de Pontoise, nous allons dorénavant pouvoir accélérer son développement. L’intégration de la zone de test au sein de l’aérodrome a fait l’objet d’un travail collaboratif avec les équipes de la DGAC. Le Groupe ADP souhaite aujourd’hui explorer et rendre possible tous les futurs de l’aviation, décarbonée et innovante. »
Catherine Guillouard, Présidente–directrice générale du groupe RATP, a indiqué: « après l’inauguration d’une zone de test le 30 septembre 2020, la filière de mobilité aérienne urbaine vient de franchir une nouvelle étape avec cet appel à manifestation d’intérêt, qui a remporté un réel succès. Partenaire des villes, le groupe RATP est heureux de contribuer au développement de cette nouvelle mobilité, complémentaire de nos modes de transport historiques, et à sa bonne intégration en environnement urbain en vue des J.O. de 2024. »
Et Franck Margain, Président de l’agence Choose Paris Region d’ajouter : « le succès de cet appel à manifestation d’intérêt mené aux côtés du groupe ADP et du groupe RATP démontre l’attractivité internationale de la Région Île-de-France et l’importance que représente notre région pour le développement des industries du futur. À travers la collaboration des acteurs publics et privés, et en invitant des entreprises innovantes du monde entier à venir nous rejoindre pour compléter notre chaîne de valeur, nous constituons un écosystème unique pour développer la mobilité aérienne urbaine, pour renforcer l’attractivité future de notre région, et pour soutenir les industries responsables et l’emploi ».
Les lauréats dans les cinq catégories sont : Pour la catégorie véhicule :– Airbus (France) : constructeur aéronautique ;
– Ascendance Flight Technologies (France) : constructeur du VTOL hybride Atea de transport de passagers ;
– Ehang (Chine) : constructeur de VTOL électrique de transport de passagers ;
– H3 Dynamics (Singapour) : développeur de systèmes VTOL à hydrogène ;
– Pipistrel (Slovénie) : constructeur d’avions électriques et de VTOL logistiques ;
– Safran Electronics & Defense (France) : constructeur du drone Patroller et solutions et services en optronique, avionique, électronique et logiciels critiques pour des applications civiles ou militaires ;
– Vertical Aerospace (Royaume-Uni) : constructeur du eVTOL VA-1X de transport de passagers ;
– Volocopter (Allemagne) : constructeur de véhicule électrique à décollage vertical (eVTOL) ;
– Zipline (États-Unis) : constructeur et opérateur de drones logistiques.
– Air France (France) : contribution attendue dans plusieurs domaines, notamment en matière de maintenance et de la réparation d’aéronefs ;
– CAE (Canada) : technologies de formation au pilotage via la modélisation et la simulation ;
– Dassault Falcon Services (France) : filiale de Dassault Aviation spécialisée en opérations de maintenance et autres services destinés à l’aviation d’affaire ;
– ESTACA (France) : école d’ingénieurs spécialisée en mobilité et en techniques aéronautiques (dont la maintenance des aéronefs) ;
– Helifirst (France) : compagnie aérienne hélicoptères spécialisée dans l’aviation d’affaire ;
– Helipass (France) : plateforme digitale de réservation de vols en hélicoptère.
Pour la catégorie infrastructures :– Green Motion (Suisse) : fournisseur de systèmes de recharge pour véhicules électriques ;
– IDEMIA I&S (France) : spécialiste des solutions de sécurité numérique, de biométrie et d’identification/ authentification ;
– Leosphere (France) : équipements Lidar permettant de générer des prévisions météorologiques de pointe ;
– Skyports (Royaume-Uni) : concepteur et opérateur de vertiports, et de VTOL logistiques.
– Cergy Université et ESSEC (France) : groupement d’universités et écoles regroupant 25 000 étudiants dont la première Junior Entreprise d’Europe ;
– ENAC (France) : école d’ingénieurs de l’aviation civile avec une chaire systèmes de drones ;
– Internest (France) : solution de positionnement de précision permettant des atterrissages automatiques en environnements dégradés ;
– M3 Systems (Belgique) : applications embarquées de géolocalisation haute performance ;
– Thales SIX (France) : systèmes embarqués d’anticollision interopérables.
Pour la catégorie acceptabilité :– Bruitparif (France) : centre d’évaluation technique de l’environnement sonore en Ile-de-France ;
– École Polytechnique (France) : école d’ingénieur avec un Mastère spécialisé dans l’innovation technologique et les nouveaux modèles économiques ;
– Envirosuite (Australie) : fournisseur de plateforme technologies digitale de collecte de données localisées pour améliorer la performance environnementale.
– Institute of Transportation Studies de l’Université de Californie Berkeley, NEXTOR (États-Unis) : centre universitaire de recherche dans le domaine de la mobilité et des transports ;
– ONERA (France) : établissement public de recherche dans l’aéronautique, le spatial et la défense;
– Royal Netherlands Aerospace Centre (Pays-Bas) : centre d’expertise, de conseil et de recherche en aéronautique.
Contact presse : Lola Bourget, responsable du Pôle Médias et Réputation, +33 (0)1 74 25 23 23
Relations Investisseurs : Audrey Arnoux, responsable des Relations Investisseurs, +33 (0)6 61 27 07 39 – invest@adp.fr
Le Groupe ADP aménage et exploite des plates-formes aéroportuaires parmi lesquelles Paris-Charles de Gaulle, Paris-Orly et Paris-Le Bourget. En 2019, le groupe a accueilli sous sa marque Paris Aéroport, plus de 108 millions de passagers sur Paris-Charles de Gaulle et Paris-Orly, 2,2 millions de tonnes de fret et de courrier et près de 127 millions de passagers au travers d’aéroports gérés à l’étranger. Bénéficiant d’une situation géographique exceptionnelle et d’une forte zone de chalandise, le groupe poursuit une stratégie de développement de ses capacités d’accueil et d’amélioration de sa qualité de services et entend développer les commerces et l’immobilier. En 2019, le chiffre d’affaires du groupe s’est élevé à 4 700 millions d’euros et le résultat net à 588 millions d’euros.
Aéroports de Paris SA au capital de 296 881 806 euros. Siège social : 1 rue de France – Tremblay en France 93290.
RCS Bobigny 552016 628. Plus d’informations sur : www.groupeadp.fr et sur twitter : @GroupeADP
Contact presse : Léa Commeau, +33 (0)1 58 78 37 37 – lea.commeau@ratp.fr / servicedepresse@ratp.fr
Avec 16 millions de voyages chaque jour dans le monde, le groupe RATP compte parmi les leaders mondiaux du transport urbain. Implanté dans 13 pays et sur 4 continents à travers sa filiale RATP DEV, le Groupe exploite au quotidien 8 modes de transport (métro, bus urbains et interurbains, tramway, ferroviaire, sightseeing, câble, navette maritime, transport à la demande). Il est par ailleurs présent sur toute la chaîne des nouvelles mobilités, en partenariat dans d’autres modes (navette autonome, scooter électrique en libre-service, covoiturage, autopartage, parkings intelligents et connectés). Expert de renom en gestion d’infrastructures comme en ingénierie, le Groupe propose également, à travers ses filiales, une large palette de services urbains en matière de gestion et d’ingénierie immobilière, d’exploitation de surfaces commerciales, de fibre optique, d’information voyageur sur mesure ou de solutions de billettique innovantes.
En Île-de-France, la RATP exploite depuis plus de 70 ans l’un des réseaux multimodaux les plus denses au monde. À travers ses 64 000 collaborateurs, le groupe RATP conçoit, met en œuvre et fait vivre au quotidien des solutions de mobilité et des services innovants pour une ville durable et plus humaine.
Plus d’informations sur [https:] www.ratp.fr/groupe–ratp et sur twitter : @RATPGroup
Contacts Presse : Maude Megtert, +33 (0)6 19 20 67 35 – maude.megtert@chooseparisregion.org
Boris Pankiewicz, +33 (0)3 74 02 02 51 boris@oxygen–rp.com / Maïwenn Régnault, +33 (0)7 69 95 01 14 – maiwenn.r@oxygen–rp.com Choose Paris Region est l’agence de promotion et d’attractivité internationale de la région Île-de-France. Elle travaille en partenariat avec tous les acteurs du territoire francilien pour offrir aux entreprises internationales un service d’accompagnement sur mesure. Choose Paris Region est un catalyseur d’affaires et d’innovation qui accompagne les entreprises internationales dans leur développement en Île-de-France. L’agence conjugue son expertise du marché et son réseau local pour aider les entreprises internationales à construire des partenariats technologiques, à élaborer leur plan de développement en Île-de-France, puis à concrétiser leur implantation locale.
Avec son équipe de 80 collaborateurs en Europe, aux États-Unis et en Chine, l’agence accompagne chaque année un millier d’entreprises internationales qui cherchent à accélérer leur développement dans la première région d’Europe, et contribue ainsi à faire de l’Île-de-France l’une des plus grandes régions au monde en termes d’activité économique et d’innovation.
Plus d’informations sur : www.chooseparisregion.org et sur twitter : @ChooseIDF
Cet article Choose Paris Region, le Groupe ADP et le Groupe RATP annoncent les lauréats de l’appel à manifestation d’intérêt international pour la structuration d’une filière Mobilité Aérienne Urbaine est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
11:09
L’Afigéo, le think tank de l’information géographique, se renouvelle !
sur Décryptagéo, l'information géographiquewww.afigeo.asso.fr En janvier 2021, l’Afigéo (Association française pour l’information géographique) déploie sa nouvelle identité visuelle et lance son nouveau site Internet ! Fruits d’une réflexion stratégique engagée depuis plusieurs mois, ces nouveaux supports de communication reflètent sa volonté de développer ses actions de façon plus transversale et d’affirmer son rôle de think tank de l’information géographique française.
Une nouvelle identité visuelle déployée
L’Afigéo fédère une communauté de 200 membres issus de différents secteurs : services de l’État et collectivités, institutions publiques et privées, entreprises et grands comptes, organismes de formations et monde de la recherche. Un positionnement au cœur d’usages variés et reflétés dans cette nouvelle identité visuelle ! Site Internet, réseaux sociaux, plaquettes… l’Afigéo fait peau neuve en ce début d’année !
Une vision partagée de l’information géographiqueDerrière cette nouvelle identité, l’Afigéo précise sa vision d’un secteur clé : “A l’Afigéo, nous sommes convaincus que l’information géographique est un puissant outil pour mieux appréhender, gérer et anticiper les enjeux de notre société. Nous croyons à la profonde utilité de l’ensemble des métiers représentés au sein de notre think tank. Leurs expertises complémentaires permettent d’appréhender un enjeu de manière pérenne : ses aspects sociaux, environnementaux et économiques. Nous nous engageons ainsi pour la construction d’une vision commune de l’information géographique française de demain et être force de proposition pour développer une économie numérique inclusive, objective et innovante, au service d’un développement durable des territoires.”
Des missions et des actions stratégiques pour le secteur En 2021, l’Afigéo poursuit ses trois principales missions :- Animer la communauté française des acteurs et des réseaux de l’information géographique
- Promouvoir le secteur de l’information géographique en France et à l’international
- Représenter la filière et ses différents acteurs et réseaux auprès des instances nationales
L’ensemble de ses travaux, présentés au fil du temps sur son site Web et ses réseaux sociaux, s’organise autour :
- de groupes de travail : partage de réflexion, d’expérience et de bonnes pratiques autour de sujets à forts enjeux (Défense, Sécurité, Adresse, PCRS, Open Data, Export…) en vue de la construction de positions communes ;
- d’événements : échange d’expériences entre pairs et convivialité inter-réseaux… notamment avec les GéoDataDays, l’événement national de référence autour de la géographie numérique ;
- de ressources : promotion du secteur à travers la production de supports pédagogiques en lien avec les enjeux de la géomatique : publications, observatoires sectoriels, articles de presse, diaporamas, vidéos ;
- d’annuaire des membres : vitrine sur la pluralité, la diversité et l’expertise des hommes et des femmes membres de l’Afigéo.
- 200 membres
- 20 publications
- 3 observatoires
- 600 participants aux GéoDataDays
A propos de l‘Afigéo Association loi 1901 créée en 1986, l’Afigéo (Association française pour l’information géographique) est une association neutre et indépendante, qui reflète la diversité et la pluralité des acteurs et réseaux du secteur français de l’information géographique.Think thank fédérant 200 membres, espace d’échange et de réflexion ouvert vers l’extérieur, l’Afigéo promeut l’expertise française en la matière en France et à l’International.
Contact presse :
communication@afigeo.asso.fr
Tél. 01 43 98 81 96
Cet article L’Afigéo, le think tank de l’information géographique, se renouvelle ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:29
HERE propose de nouveaux outils pour gérer l’anonymisation des données personnelles et le consentement des utilisateurs
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCette technologie fournit des services de données aux véhicules connectés en conformité avec le RGPD13 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies, plateforme de données et de services de localisation, présente aujourd’hui un ensemble d’outils numériques de gestion de la vie privée, permettant de donner plus de contrôle aux utilisateurs, de protéger leurs données personnelles et d’acquérir une conformité réglementaire dans le cadre de l’Internet des objets. HERE Consent Manager et HERE Anonymizer aident les entreprises à créer et fournir des services de données personnalisés aux utilisateurs du monde entier, en toute confiance.
HERE Consent Manager fournit aux entreprises les moyens de collecter et de traiter les données personnelles, tandis que le prestataire de services conserve un contrôle clair sur l’accès aux données par des tiers. Il s’agit d’un système basé sur de la blockchain, conçu pour que tous les acteurs de la chaîne de valeur des données puissent valider et gérer le consentement de manière transparente.
En Europe, HERE Consent Manager aide les constructeurs automobiles à fournir des services à valeur ajoutée aux conducteurs, conformément au règlement général sur la protection des données de l’UE (RGPD). HERE Consent Manager permet l’autorisation et l’utilisation de données personnelles pour fournir un certain nombre de services centrés sur la route, de l’entretien du véhicule et des alertes de sécurité routière aux services de stationnement à la demande et de recharge des VE.
HERE Anonymizer propose diverses techniques pour protéger la vie privée en contrôlant les caractéristiques des données personnelles tout en préservant leur utilité – par exemple, le traitement des données de capteurs cellulaires pour les services de trafic en temps réel. HERE Anonymizer est disponible sur la plateforme de localisation HERE pour tirer parti de sa puissance de traitement et de son échelle, et il pourra être déployé sur site et dans l’environnement déterminé par le client.
« Le consentement des personnes et l’anonymisation des données deviennent impératifs au niveau commercial, et ce, dans tous les secteurs. Actuellement, ce sont des technologies indispensables pour le développement de la conduite connectée et automatisée, d’applications de télécommunications et, de plus en plus, pour toutes les expériences des consommateurs », a déclaré Jonathan Abon, vice-président de la gestion des produits chez HERE Technologies. « Nous sommes impatients de mettre à profit notre vaste expertise en matière de données de localisation pour aider les entreprises à développer des mécanismes qui assurent la protection de la vie privée et l’utilité des données ».
Avec une gestion du consentement conforme au RGPD et des capacités d’anonymisation avancées, la plateforme de localisation HERE permet de traiter efficacement les données personnelles. L’analyse, la visualisation et la distribution des données personnelles peuvent ensuite être réalisées au sein de la plateforme de localisation HERE et HERE Marketplace. Pour en savoir plus sur la manière dont les entreprises peuvent utiliser la plateforme de localisation HERE et les outils de protection de la vie privée, rendez-vous sur [https:]] .
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
Cet article HERE propose de nouveaux outils pour gérer l’anonymisation des données personnelles et le consentement des utilisateurs est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:58
Revue de presse du 22 décembre 2020 au 12 janvier 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUne douzaine d’articles repérés ces dernières semaines qui nous présentent de nouvelles entreprises, de nouveaux produits et qui nous rappellent également que les données géographiques et les cartes sont de formidables outils de connaissance…Voici à quoi ressemblerait la tête d’un homme à laquelle on applique la projection de Mercator. Explicite ! (source)
VIRUS DANS LES EGOÛTS : « Covid 19 : nouveau pic du coronavirus détecté dans les eaux usées de Marseille » France 3 détaille la façon dont Marseille cartographie la progression du virus.
LE 18 DE DEMAIN : « NexSis, futur système d’alerte commun aux Sdis, sur la rampe de lancement » Dernières nouvelles de NexSis dont Camptocamp assure la composante information géographique. Le système devrait être testé en mars en Seine-et-Marne avant un déploiement qui durera jusqu’en 2023. via La Gazette des Communes.
DRONE ÉCOLO : « Un drone solaire qui veille sur nos champs et nos infrastructures ». Futura Tech présente la start-up XSun, basée en Loire Atlantique dont le drone solaire réalise des missions de cartographie.
DÉFENSE : « Masa Group, le champion français caché de l’IA militaire » Un article de la revue Challenges sur l’entreprise française et son logiciel de simulation Sword.
THE SKY IS THE LIMIT : « Cette start-up française développe un Flight Radar souverain ». L’Usine Nouvelle part à la découverte d’AltRnativ.radio, le nouvel observatoire astronomique installé par Gaël Musquet près de Vernon, qui écoute les transpondeurs des avions et cartographie le ciel.
VUE D’EN HAUT : « Une année tumultueuse sur Terre vue de l’espace » Futura revient sur les principaux événements de 2020 : feux, ouragans, fonte des glaces… vus par les satellites.
VUE D’EN BAS : « Découvrez UlyX, le robot sous-marin de l’Ifremer qui plonge à 6 000 mètres ». Un reportage de l’Usine Nouvelle sur l’UAV qui cartographie le fond des océans.
NIDS DE POULES : « Cette startup indienne devrait inspirer Waze pour la sécurité routière » Presse-Citron nous fait découvrir Intents, une application qui cartographie les nids-de-poule et fonctionne en arrière-plan… pour l’instant.
QUAND GOOGLE MAPS N’EST PLUS TON AMI : « Quand une erreur de code postal sur Google Maps t’empêche de recevoir ta pizza pendant trois ans ». Hé oui, pas de zip code, pas de pizza ! À lire sur FredZone
NEW SPACE : « L’industrie spatiale mondiale à l’aube d’une décennie de bouleversements majeurs ». Une analyse proposée par Lucien Rapp, directeur scientifique de la Chaire SIRIUS (Space Institute for Research on Innovative Uses of Satellites) co-financée par le CNES, Airbus Defense and Space et Thales Alenia Space dans The Conversation. Remise à plat de la législation, prolifération des Cubesat, importance du marché défense pour l’observation de la Terre, big data… il analyse quelques tendances déjà bien visibles.
VILLE INTELLIGENTE : « Une smart city peut avoir une cinquantaine de types de capteurs » Stéphane Gervais du groupe Lacroix revient sur les tendances récentes en matière d’Internet des objets dans les villes. Qualité de l’air et relevés sans contacts semblent être en développement. (Journal du Net)
CARTOGRAPHIE POLITIQUE : « Élection présidentielle au Burkina Faso : les cartes et le territoire » Christian Bouquet, chercheur au LAM (Sciences-Po Bordeaux) propose dans The Conversation une analyse intéressante des résultats des dernières élections au Burkina Fasso. Il se concentre sur des données peu utilisées, notamment celles des bureaux qui n’ont pas pu ouvrir, qu’il a rapproché des cartes du Quai d’Orsay sur les zones d’instabilité dans le pays (zones grises).
Cet article Revue de presse du 22 décembre 2020 au 12 janvier 2021 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
11:51
2021 sera-t-elle la nouvelle année de l’ouverture des données ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnviron 10 minutes de lecture En ce début d’année 2021, plusieurs initiatives militent pour une plus large ouverture des données, notamment dans le secteur public mais également dans le privé, au service de l’intérêt général. L’heure de la maturité a-t-elle sonné ? Remise du rapport Bothorel au Premier ministre le 23 La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous pour consulter l'article
ou
Créez un compte et achetez cet article à l'unité pour 10 €
Email: Password: Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article 2021 sera-t-elle la nouvelle année de l’ouverture des données ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:38
HERE dévoile des modèles de villes en 3D pour la création d’applications et de simulations basées sur la réalité virtuelle
sur Décryptagéo, l'information géographique- Données géospatiales précises utilisées dans le transport, la logistique, l’urbanisme et les opérations gouvernementales, la réalisation de films, le développement de jeux vidéo et les applications AR/VR
12 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies, plateforme de données et de services de localisation, dévoile aujourd’hui des modèles 3D haute-fidélité de 75 centres-villes dans le monde, afin de fournir aux développeurs de logiciels les données géospatiales nécessaires pour une représentation réaliste des villes. Avec HERE Premier 3D Cities, les livreurs du dernier kilomètre peuvent naviguer dans des villes denses grâce à des cartes qui mettent en évidence les dimensions précises des bâtiments et les points d’entrée tout au long de leur parcours de livraison. Pour les jeux vidéo par exemple, l’utilisation de ces modèles 3D permet de créer une immersion virtuelle dans les bâtiments et facilite l’intégration de l’imagerie générée par ordinateur. Dans le secteur des télécoms, ces modèles peuvent aider les opérateurs à modéliser leurs réseaux 5G en 3D. Les urbanistes et les services d’urgence peuvent quant à eux construire des jumeaux numériques, pour une meilleure analyse de l’utilisation des sols et des simulations de préparation aux catastrophes.
Les modèles HERE Premier 3D Cities contiennent de riches couches de données et des attributs qui sont alignés sur la géométrie physique et le terrain. Chaque structure est indexée, adressable et précise en termes d’emplacement physique, de volume, de hauteur et même de couleur de façade.
La plateforme d’info-divertissement modulaire (MIB2+) de la berline de luxe Audi A8 intègre déjà les modèles de villes en 3D de HERE, offrant aux conducteurs l’interface de navigation la plus avancée ainsi qu’une expérience de guidage inégalée, au niveau de la voie.
« HERE a capturé, indexé et cartographié les principaux réseaux routiers et centres urbains du monde en 3D« , déclare Jørgen Behrens, vice-président senior et Chief Product Officer chez HERE Technologies. « Nous avons hâte de voir se concrétiser tout le potentiel et la valeur de ces modèles pour les entreprises. Ils représentent le socle fondateur pour la création d’applications de réalité augmentée au niveau sub-métrique, et promettent de révolutionner les supply chains, les réseaux de transport et de mobilité, et l’expérience des consommateurs« .
Les structures indexées et adressables dans HERE Premier 3D Cities permettent aux développeurs d’isoler des bâtiments pour leur attacher des métadonnées supplémentaires et appliquer des techniques de rendu avancées, comme des applications CGI (Common Gateway Interface).
Les modèles HERE Premier 3D Cities sont disponibles en Cesium/OGC 3D Tiles pour faciliter leur intégration. Chaque kilomètre de données est stocké dans des tuiles de petite taille pour une diffusion et un rendu efficaces. Des échantillons de données de Londres, Berlin et Munich sont actuellement disponibles sur AWS Data Exchange.
HERE a cartographié 196 pays et collecte chaque jour plus de 28 téraoctets de données LiDAR terrestres. Les modèles HERE Premier 3D Cities sont créés à partir de multiples sources – dont le LiDAR, l’imagerie optique et satellitaire – sur la base de décennies d’expertise en cartographie et applications IA/machine learning que la société a développées pour fournir des services de localisation de pointe aux entreprises du monde entier.
Pour en savoir plus sur Premier 3D Cities : [https:]]
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
Cet article HERE dévoile des modèles de villes en 3D pour la création d’applications et de simulations basées sur la réalité virtuelle est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:32
Leia Inc, Continental et HERE Technologies embarquent des cartes 3D à bord des véhicules
sur Décryptagéo, l'information géographique- HERE, Leia et Continental apportent une expérience de navigation inégalée aux équipementiers automobiles
- Le logiciel Lightfield de Leica permet de visualiser des cartes en 3D pendant de longues périodes, sans avoir besoin de lunettes adaptées
12 Janvier 2021
CES 2021 – Leia Inc, fournisseur de matériel et de services Lightfield et gagnant de deux prix de l’innovation au CES 2021 pour son dernier produit Lume Pad, Continental, leader de la mobilité, et HERE Technologies, plateforme de données et de services de localisation, s’associent pour fournir aux équipementiers automobiles des cartes et une navigation en 3D sur écrans Lightfield.
Pour ce faire, le partenariat s’appuie sur HERE Premier 3D Cities, des modèles 3D haute-fidélité de 75 centres-villes du monde entier permettant aux développeurs de logiciels de produire une représentation réaliste des villes. Les modèles HERE Premier 3D Cities contiennent de riches couches de données et des attributs qui sont alignés sur la géométrie physique et le terrain. Chaque structure est indexée, adressable et précise en termes d’emplacement physique, de volume, de hauteur et même de couleur de façade.
Les données 3D des bâtiments et de topographie fournies par HERE s’affichent dans les solutions de Continental à bord des véhicules grâce au logiciel Lightfield de Leia qui permet de visualiser des cartes 3D pendant de longues périodes sans avoir besoin de lunettes adaptées ou d’un capteur de suivi du regard. Grâce à ce partenariat, les cartes 3D deviennent un élément essentiel du kit de développement logiciel (SDK) Lightfield pour automobile de Leia. Ensemble, Leia Inc., Continental et HERE créent une représentation spatiale du monde réel qui aidera les conducteurs à mieux s’orienter et à rester plus vigilants au volant.
« Les cartes constituent la base de tout SDK automobile. Nous sommes ravis de combiner notre logiciel Lightfield avec les modèles de villes 3D de HERE et la solution d’affichage de Continental pour pouvoir offrir à tous les équipementiers une expérience de navigation de pointe », a déclaré David Fattal, co-fondateur et PDG de Leia.
« La technologie d’affichage 3D n’apporte pas seulement de la nouveauté, avec le bon contenu, elle crée également une interaction plus intuitive entre le conducteur et le véhicule et améliore la sécurité de la conduite », a déclaré Ulrich Lueders, responsable de la stratégie au sein de la division Interface Homme-Machine de Continental. « Je suis fier de contribuer à un meilleur design UX et à un environnement de conduite plus sûr en associant le contenu cartographique d’excellente qualité de HERE et le logiciel Lightfield de Leia à notre expertise en matière de solutions d’interface entre l’homme et la machine pour l’automobile ».
« La technologie Lightfield génère des expériences 3D étonnantes pour les conducteurs, sans qu’ils aient besoin de porter des lunettes adaptées. C’est pourquoi nous avons choisi cette technologie pour donner vie à nos données urbaines en 3D. Nous sommes impatients de présenter les résultats de notre collaboration à nos nombreux clients du secteur automobile », a déclaré Adrián Novik, directeur principal de la gestion des produits chez HERE Technologies.
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
À propos de Leia Inc.
Leia, une plateforme d’expérience basée dans la Silicon Valley, crée des produits et des logiciels 3D Lightfield qui repoussent les limites de ce qui peut être créé et montré sur un écran. Des marques de premier plan dans les domaines de l’automobile, de l’éducation, de l’hôtellerie, des jeux et de la médecine adoptent 3D Lightfield comme le moyen de facto de percer et de se connecter avec leurs consommateurs et de définir leurs marchés. Leia combine la nanotechnologie et l’IA pour construire l’avenir de l’expérience. Pour en savoir plus sur Leia Inc., veuillez consulter le site www.leiainc.com.
À propos de Continental
Continental développe des technologies et des services pionniers pour une mobilité durable et connectée des personnes et de leurs biens. Fondée en 1871, la société technologique propose des solutions sûres, efficaces, intelligentes et abordables pour les véhicules, les machines, la circulation et le transport. En 2019, Continental a réalisé un chiffre d’affaires de 44,5 milliards d’euros et emploie actuellement plus de 233 000 personnes dans 59 pays et marchés. En 2021, la société célèbre son 150e anniversaire.
Cet article Leia Inc, Continental et HERE Technologies embarquent des cartes 3D à bord des véhicules est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:39
HERE Technologies personnalise la conduite des véhicules électriques
sur Décryptagéo, l'information géographique- EV Routing propose le trajet le plus optimal en prenant en compte le temps nécessaire pour recharger son véhicule
- Les trajets et les arrêts sont planifiés en prenant en compte des données statiques et dynamiques
11 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies, plateforme technologique de données de localisation, annonce aujourd’hui le lancement de EV Routing qui vise à optimiser les déplacements des véhicules électriques privés et commerciaux.
À l’heure où de nombreux acteurs de l’industrie du transport se sont engagés à électrifier l’ensemble de leur flotte et où plusieurs pays se sont engagés à interdire la vente de voitures classiques à moteur à essence et diesel, EV Routing permet désormais aux véhicules électriques (VE) de calculer le trajet le plus optimal pour rallier une destination tout en minimisant le nombre d’arrêts de charge et en optimisant les temps de charge des batteries, en fonction du modèle de consommation du véhicule et de sa courbe de charge.
L’itinéraire optimal en tenant compte des données statiques et dynamiques
EV Routing planifie les trajets en tenant compte de la topographie, de la géométrie des routes, des informations en temps réel sur le trafic et des schémas de circulation. La nature dynamique du modèle de consommation du véhicule permet d’adapter EV Routing à différents styles de conduite, charges ou conditions météorologiques. EV Routing utilise une API de calcul d’itinéraires construite sur une carte qui inclut les produits HERE ADAS de haute précision et offre la possibilité d’inclure des arrêts supplémentaires et des itinéraires alternatifs. La base de données des points de charge pour véhicules électriques de HERE comprend la marque du véhicule, la disponibilité en temps réel des stations de charge, le nombre de connecteurs, les informations sur l’abonnement et les prix.
Personnalisation de l’itinéraire des VE
Les caractéristiques de charge de chaque véhicule peuvent être définies de manière unique afin que le temps de charge puisse être calculé avec précision même si la batterie se dégrade avec le temps. EV Routing permet aux utilisateurs de définir des marques d’opérateurs de charge privilégiés afin que la sélection des stations de charge tienne compte des abonnements de l’utilisateur et des modes de paiement préférés. Les clients de HERE peuvent également personnaliser EV Routing en intégrant leurs propres données – de stations de recharge par exemple.
« EV Routing fait plus qu’indiquer le chemin vers une station de recharge. Il fournit l’itinéraire le plus approprié et intègre les temps de charge, tout en tenant compte des données statiques et dynamiques telles que la vitesse de charge ou le trafic en temps réel. EV Routing s’appuie sur un large éventail de paramètres et peut être personnalisé en fonction du profil du véhicule, du style de conduite et des préférences en matière d’opérateurs de stations de recharge. Avec EV Routing, HERE supprime l’angoisse de l’autonomie et fait de la conduite d’un VE une expérience véritablement personnalisée », a déclaré Jussi Koski, VP Produit chez HERE Technologies.
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
Cet article HERE Technologies personnalise la conduite des véhicules électriques est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:31
HERE dévoile une nouvelle offre de cartographie privée pour aider les entreprises à créer des cartes personnalisées
sur Décryptagéo, l'information géographique- Une offre unique de cartographie as-a-service destinée aux entreprises qui souhaitent se différencier et améliorer leur efficacité opérationnelle
- Une solution particulièrement adaptée aux acteurs du transport et de la logistique qui souhaitent construire des cartes personnalisées à grande échelle
11 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies, plateforme de données et de services de localisation, annonce aujourd’hui le lancement d’une offre unique de cartographie as-a-service. Cette offre de cartographie privée s’adresse aux entreprises qui souhaitent se différencier et réduire leurs coûts opérationnels en créant et utilisant des ensembles de données cartographiques uniques pour des analyses et des services avancés. L’offre s’appuie sur des fonctionnalités de plateforme couplées à des capacités de création, de traitement et de livraison de cartes à la pointe de l’industrie.
L’offre est disponible dès à présent dans le cadre d’un engagement de services professionnels. Les chantiers industriels figurent parmi les premiers cas d’usage de la cartographie privée, exploitant les données de capteurs de flottes de véhicules privées afin de créer et de mettre à jour leur propre carte. Progressivement en 2021, l’objectif est de permettre aux entreprises d’apporter leurs propres données cartographiques sur la plateforme de localisation HERE et de les utiliser en combinaison avec les données et services cartographiques HERE qui seront de plus en plus disponibles en libre-service. Les entreprises auront la possibilité de le faire de manière autonome ou en co-développement avec l’équipe de services professionnels HERE qui fournit un large portefeuille de services cartographiques à l’échelle mondiale, pour définir une solution et déployer une cartographie privée sur la plateforme de localisation HERE en leur nom.
L’offre de cartographie privée sera également particulièrement utile aux entreprises du secteur du transport et de la logistique (T&L) – plus précisément les acteurs de la gestion de flotte et de la supply chain – qui souhaitent établir des cartes à grande échelle, améliorer leur efficacité opérationnelle et se différencier de leurs principaux concurrents. L’offre leur permettra de construire et de maintenir un ensemble unique de données cartographiques en utilisant diverses sources telles que des capteurs, du contenu cartographique de tiers et, éventuellement, de l’imagerie et du LiDAR. Ces ensembles de données seront stockés de manière privée et sécurisée sur la plateforme de localisation HERE et pourront ensuite être combinés avec la carte HERE et utilisés par ailleurs dans d’autres services ou comme base d’analyses avancées.
« De nombreux acteurs détiennent d’énormes quantités de données de localisation et cherchent à en extraire de la valeur. En utilisant leurs données de localisation pour créer des cartes privées sur la plateforme de localisation HERE, ils peuvent créer une base pour l’amélioration de l’efficacité opérationnelle, la différenciation et la satisfaction clients », a déclaré Jonathan Abon, vice-président de la gestion produit de la plateforme chez HERE Technologies. « Nous mettons nos capacités avancées en matière de cartographie à la disposition des entreprises pour leur permettre de consommer des services de localisation tels que le calcul d’itinéraires, alimentés par les cartes d’HERE ainsi que par les leurs ».
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
Cet article HERE dévoile une nouvelle offre de cartographie privée pour aider les entreprises à créer des cartes personnalisées est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:21
La Deutsche Bahn s’appuie sur la cartographie HD de HERE pour un projet de numérisation du rail
sur Décryptagéo, l'information géographique- Le projet Sensors4Rail est une collaboration entre la Deutsche Bahn, Bosch, Ibeo, HERE et Siemens Mobility
- Ce projet sera présenté au Congrès mondial ITS 2021 à Hambourg
11 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies fournit une technologie de cartographie HD à la Deutsche Bahn via la plateforme de localisation HERE. La compagnie ferroviaire allemande utilisera cette technologie pour son nouveau projet de rail numérique « Sensors4Rail ». Le but de ce projet pilote est de tester la localisation des trains et la reconnaissance de leur environnement à l’aide de capteurs, afin d’augmenter la capacité du réseau ferroviaire pour plus d’efficacité et de fiabilité. Parmi les autres partenaires du projet figurent Bosch, Ibeo et Siemens Mobility.
Dans le cadre de ce projet pilote, la Deutsche Bahn va équiper un train d’une technologie avancée de capteurs pour détecter et surveiller son environnement ainsi que pour se localiser avec précision en temps réel. À terme, cette technologie permettra à la Deutsche Bahn d’opérer un plus grand nombre de trains simultanément sur les voies.
Un élément essentiel de ce test est la carte HD, une carte numérique en qualité haute définition qui permet au train de se localiser avec précision sur les voies. En outre, en scannant et analysant son environnement, le train peut reconnaître et catégoriser les obstacles qui se présentent sur les rails ou à proximité. L’identification précise de ces obstacles sur la carte HD permet au centre de contrôle de pouvoir réagir encore plus rapidement pendant les opérations.
La Deutsche Bahn construit actuellement cette carte HD basée sur des données LiDAR propriétaires grâce à la plateforme HERE et à la technologie de cartographie HD développée par HERE. Les données comprennent des objets sur le parcours du train tels que bâtiments, poteaux ou rebords de plateformes, qui servent de référence pour détecter les changements dans l’environnement. En réalité, la carte devient le jumeau numérique du chemin de fer et de ses environs immédiats. Grâce à sa plateforme de localisation, HERE fournit à la Deutsche Bahn un environnement de développement privé pour gérer ses données de manière indépendante. Les données restent entièrement sous la propriété et le contrôle de la Deutsche Bahn.
Dr. Kristian Weiland, responsable du programme Digital Rail pour l’Allemagne : « À la Deutsche Bahn, nous allons utiliser les avantages des technologies numériques pour augmenter la capacité et la qualité du système ferroviaire. La carte HD de HERE nous aide à localiser nos trains avec plus de précision. Nous pouvons ainsi faire circuler plus de trains, à des intervalles plus courts, sur notre infrastructure existante ».
« La plateforme de localisation HERE permet à des clients comme la Deutsche Bahn de créer leurs propres cartes à partir de données de capteurs propriétaires, en utilisant les riches capacités techniques et opérationnelles de cartographie que nous avons développées et intégrées », a déclaré Jørgen Behrens, chef de produit chez HERE Technologies. « En tant que pionniers de la cartographie HD, il est particulièrement agréable de voir le concept d’une carte HD apporter une valeur ajoutée dans un nouvel environnement, au-delà de la conduite automatisée ».
Les partenaires présenteront les résultats du projet lors du Congrès mondial des systèmes de transport intelligents (ITS) à Hambourg du 11 au 15 octobre 2021, avec notamment des démonstrations en direct du train pilote.
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
Cet article La Deutsche Bahn s’appuie sur la cartographie HD de HERE pour un projet de numérisation du rail est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
15:23
COOPITS : une application mobile pour sécuriser les trajets en voiture
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLancée le 5 janvier 2021, l’application COOPITS permet à l’usager de la route de recevoir des informations directement du gestionnaire routier : emplacement et disponibilité des parkings, vitesse optimale pour arriver au feu au vert, panneau à messages variables embarqué, information en temps réel sur les chantiers, …Elle permet également à l’usager de signaler une difficulté (panne, accident…) au gestionnaire routier pour une intervention plus rapide. Elle peut se superposer à un navigateur préinstallé (ex. Waze, Google maps ou toute autre application) ou fonctionner de façon indépendante.
COOPITS favorise l’écoconduite en évitant l’attente au feu et en signalant les voies réservées au covoiturage ou aux transports en commun.
Soutenue par la Délégation à la Sécurité Routière, son ergonomie a été optimisée pour fournir à l’usager l’information utile à sa sécurité sans causer de distraction.
Enfin, COOPITS respecte la vie privée de l’usager : l’information reçue par le gestionnaire routier est strictement anonymisée.
COOPITS est déployée dans un premier temps sur Bordeaux et ses environs, avant d’être étendue à de nouvelles régions.
En savoir plus et télécharger l’application : COOPITSÀ propos de COOPITS :
COOPITS est l’application aux smartphones du concept de systèmes de transports intelligents coopératifs (C-ITS).
Les C-ITS désignent l’échange d’information entre l’infrastructure et le véhicule, et de véhicule à véhicule.
Ils ont donc trois modes de fonctionnement :
- I2V : Descente d’information du gestionnaire vers les véhicules.
- V2I : Remontée des informations du véhicule vers le gestionnaire de la route (centre de gestion de trafic et véhicules d’intervention)
- V2V : Echanges d’information entre deux véhicules soit par émission automatique à partir de capteurs embarqués, soit via un bouton de déclaration manuel.
De nombreuses études ont mis en avant les gains en termes de sécurité routière apportés par les C-ITS.
Les C-ITS ont été testés à grande échelle en France dans le cadre du projet SCOOP avec les constructeurs Renault et PSA, qui s’est achevé fin 2019. Ce projet était basé sur une forme de wifi véhiculaire, l’ITS G5, qui présente une très faible latence mais nécessite un équipement spécifique des véhicules.
Début 2020, Volkswagen a lancé sa nouvelle Golf 8 équipée d’ITS G5 de série. Il faudra néanmoins plusieurs années pour que cette technologie se démocratise dans les véhicules.
C’est pourquoi, dans les suites de SCOOP, le projet C-Roads France, financé à 50% par l’Union européenne, s’est attelé au développement d’une application smartphone (fonctionnant en 3G/4G) permettant à tout véhicule de disposer des avantages des C-ITS : cette application, c’est COOPITS.
COOPITS inclut les services d’information suivants : panneau à messages variables embarqué, vitesse optimale pour arriver au feu au vert, emplacement et disponibilité des parkings, voies réservées aux transports en commun ou au covoiturage, chantiers, route glissante, panne, accident, obstacle/personne sur les voies, véhicule à contresens…
Elle permet à l’usager de déclarer directement au gestionnaire routier des événements : panne, accident… pour une intervention plus rapide.
Elle remonte aussi au gestionnaire routier des données anonymisées sur la vitesse, lui permettant d’appréhender le niveau de congestion y compris dans les zones non équipées de capteurs.
COOPITS a été développée conformément au règlement général de la protection des données et selon les derniers standards en matière de cybersécurité.
Son développement a duré 17 mois et coûté 400 000 euros.
Sa conception s’est appuyée sur les recommandations d’un ergonome et les retours d’expérience d’un groupe de bêta-testeurs qui l’ont testée en environnement réel de conduite. Elle a ainsi fait l’objet de plusieurs cycles d’amélioration continue avant d’être mise sur Google Play Store.
Elle est disponible pour l’instant en version Android, mais prochainement également en version Apple.
Le site de Bordeaux et sa région a été choisi pour déployer l’application en premier compte tenu de l’implication historique de la métropole de Bordeaux et de la Direction interdépartementale des routes Atlantique dans le domaine des C-ITS. Il permet de mettre en évidence la continuité de service entre le milieu urbain et le milieu interurbain, qui est un point fort de COOPITS par rapport aux systèmes antérieurs (SCOOP, C-the-Différence).
Si le succès est au rendez-vous, de nombreux autres gestionnaires routiers (directions interdépartementales des routes, sociétés d’autoroutes, métropoles) sont prêts à s’impliquer dans COOPITS et s’y préparent.
Cet article COOPITS : une application mobile pour sécuriser les trajets en voiture est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:24
1Spatial remporte le marché SIG Eau de Nantes Métropole
sur Décryptagéo, l'information géographiqueNouveau marché remporté par 1Spatial dans le secteur de l’eau et l’assainissement.Usine d’eau de La Roche (c) Patrick Garçon
Arcueil, France, le 05 janvier 2021. 1Spatial, un des leaders mondiaux spécialisé dans la fourniture de logiciels et de solutions métiers pour la gestion des données de localisation et géospatiales, a été choisi par la Métropole de Nantes pour la fourniture de sa solution logicielle SIG métier de gestion et d’exploitation des données Eau et Assainissement.
Le marché remporté porte sur la » fourniture d’un logiciel SIG Métier Eau/Assainissement » ainsi que » les prestations d’installation, de reprise de données, de formation, d’accompagnement, d’assistance et de maintenance » associées.
La solution équipera la Direction du Cycle de l’Eau (DCE) regroupant les fonctions d’autorité organisatrice et de maîtrise d’ouvrage pour l’eau, l’assainissement et les milieux aquatiques et la Direction des Opérateurs Publics de l’Eau et de l’Assainissement (DOPEA) regroupant les fonctions d’opérateurs publics d’eau et d’assainissement.
La solution retenue dans le cadre d’un marché passé selon une procédure adaptée devra permettre d’assurer la gestion des réseaux d’eau et d’assainissement de la ville de Nantes et des 23 autres communes de la Métropole. Outre le fonctionnel métier, les enjeux de gestion sont importants car il s’agit de mettre à la disposition de l’ensemble des agents des Directions métier et des 7 pôles de proximité, c’est à dire une cinquantaine d’agents déportés sur le territoire qui utilisent massivement des données géographiques, des outils de collaboration et de gestion des flux de données métier en temps réel. Une mission qui implique de relever de nombreux défis, notamment la fiabilisation des données par les agents de la collectivité, qui permettra notamment de répondre aux DT-DICT de classe A avec des données précises.
Parmi les critères de sélection figurent la pertinence de l’offre fonctionnelle métier de haut niveau proposée, la garantie de qualité des données grâce aux outils de contrôle et de validation de 1Spatial, l’ergonomie de la solution, l’architecture qui s’intègre à la plateforme ArcGIS d’Esri en place, enfin les possibilités de lien vers les outils métiers déjà installés au sein de la collectivité, tels que les outils de GMAO et autres logiciels métier du domaine de l’eau.
C’est une solution clé en main qui sera installée dans un premier temps. Grâce à la puissance des outils d’administration fournis qui permettent de nombreuses possibilités de personnalisation, Nantes Métropole pourra faire évoluer sa solution au fil du temps.
Avec la signature de ce contrat majeur, 1Spatial confirme le succès de ses solutions dédiées à la gestion des réseaux d’utilité publique, notamment dans le secteur de l’eau, visant aussi bien les gestionnaires publics que les opérateurs privés.
A propos de 1Spatial1Spatial est un fournisseur de produits et solutions logicielles spécialisés dans la gestion des données géospatiales. Nous travaillons avec nos clients pour leur apporter une réelle valeur ajoutée dans leur processus métier exploitant des données géospatiales.
Notre vision est d’être des leaders dans la fourniture de solutions de Location Master Data Management (LMDM). LMDM décrit des logiciels et des services de gestion de données géospatiales qui améliorent la qualité des données, les associent et les intègrent pour une utilisation optimale dans les solutions de gestion et d’exploitation métier.
Notre offre comprend :
- des services de production et de numérisation de données ;
- des solutions automatisées de contrôle et d’amélioration de la qualité des données;
- des solutions SIG d’exploitation métier qui confèrent toutes leurs valeurs aux données.
Nos solutions s’adressent aux organisations publiques et aux sociétés privées dans les secteurs des Administrations locales et nationales, des opérateurs de réseaux d’utilité publique (eau, énergie, télécommunication), du transport, et du bâtiment et de la construction.
Nous aspirons à rendre le monde plus durable, plus sûr et plus intelligent pour l’avenir. Nous pensons que les réponses pour atteindre ces objectifs sont contenues dans les données. Chez 1Spatial, nous nous engageons à travailler avec nos clients, à libérer la valeur de leurs données et à créer un monde meilleur.
Catherine Gauthier, Responsable Marketing
catherine.gauthier@1spatial.com – M +33 (0)6 25 93 72 59
1Spatial France/Belgique – 23-25 avenue Aristide Briand, Immeuble AXEO 2 94110 Arcueil
https://1spatial.com/fr/
Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux :
Twitter : [https:]]
LinkedIn : [https:]]
Facebook : [https:]]
Cet article 1Spatial remporte le marché SIG Eau de Nantes Métropole est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
11:17
Lancement réussi de CSO-2, le satellite d’observation militaire français réalisé par Airbus
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDeuxième des trois satellites d’observation optique de très haute résolution de nouvelle générationKourou, le 29 décembre 2020 – CSO-2, le satellite d’observation de la Terre de la Composante spatiale optique (CSO) des forces armées françaises construit par Airbus, a été lancé avec succès depuis le port spatial européen de Kourou, en Guyane, à bord d’un lanceur Soyouz.
CSO-2 est le deuxième des trois satellites de la constellation CSO, qui fournira des informations géospatiales à extrêmement haute résolution aux forces armées françaises et à leurs partenaires dans le cadre du programme de coopération MUSIS (Multinational Space-based Imaging System for surveillance, reconnaissance and observation). Les satellites CSO sont équipés d’un système de pointage très agile et sont contrôlés depuis le sol grâce à un centre d’opérations sécurisé. La constellation offrira une capacité d’imagerie 3D et de très haute résolution, dans les domaines du visible et de l’infrarouge, permettant l’acquisition de jour comme de nuit, afin de maximiser l’utilité opérationnelle.
Le satellite CSO-2, identique au CSO-1, sera toutefois placé sur une orbite polaire inférieure, à 480 km d’altitude, pour remplir au mieux la mission d’identification du programme.
Le CNES (Centre national des études spatiales) avait attribué le contrat CSO à Airbus fin 2010 pour le compte de la Direction générale de l’Armement (DGA). Ce dernier comprenait une option pour la livraison d’un troisième satellite, qui a été activée en 2015 lorsque l’Allemagne a rejoint le programme.
Maître d’œuvre du programme, Airbus a fourni la plate-forme agile et l’avionique, et a également réalisé l’intégration, les essais et la livraison des satellites au CNES. Thales Alenia Space a livré à Airbus l’instrument optique de très haute résolution.
Les équipes d’Airbus continueront également à gérer les opérations du segment sol utilisateur, comme pour les programmes précédents (Hélios, Pléiades, SarLupe, Cosmo-Skymed).« Grâce à notre étroite collaboration depuis le début de l’aventure spatiale française avec le ministère des Armées, et notamment le nouveau commandement spatial, le CNES et la DGA, ainsi qu’au soutien de l’industrie et des partenaires, en particulier de Thales Alenia Space, nous avons réussi… une fois de plus ! CSO fournit une capacité d’observation des plus modernes et efficaces pour la sécurité de nos citoyens, pour la souveraineté et l’indépendance de la France et de l’Europe. CSO change vraiment la donne en termes de résolution, de complexité, de sécurité de transmission, de fiabilité et de disponibilité, et très rares sont les nations à pouvoir se targuer d’une telle capacité », a déclaré Jean-Marc Nasr, directeur d’Airbus Space Systems.
Grâce à son agilité et à sa fiabilité exceptionnelles, le satellite est en mesure de fournir rapidement aux utilisateurs des images de très grande qualité recueillies par l’instrument de Thales Alenia Space, même dans des conditions complexes.
Airbus s’est appuyé sur les décennies d’innovations et de succès qui ont conduit à Hélios 1, Pléiades et Hélios 2, et a eu recours à des actionneurs gyroscopiques, des gyromètres à fibre optique, des systèmes électroniques embarqués et des logiciels de contrôle ultra modernes afin d’optimiser la masse et l’inertie tout en augmentant sensiblement la vitesse de pointage.
About AirbusAirbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
Cet article Lancement réussi de CSO-2, le satellite d’observation militaire français réalisé par Airbus est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:06
Dassault Systèmes collabore avec La Philharmonie de Paris pour assurer le retour du public et des orchestres en toute sécurité dans sa plus grande salle de concert
sur Décryptagéo, l'information géographique- Dassault Systèmes a créé un modèle 3D de la Grande salle Pierre Boulez afin d’évaluer les mesures de sécurité prise par La Philharmonie à l’issue du confinement lié à la pandémie de COVID-19
- La simulation des flux d’air à l’intérieur de la salle a démontré les effets positifs qu’ont le port du masque et la réduction de la ventilation sur la propagation des particules virales
- En rendant ces expérimentations possibles, les mondes virtuels permettent de révéler l’inconnu.
VÉLIZY-VILLACOUBLAY, le 16 décembre 2020 — Dassault Systèmes (Euronext Paris : #13065, DSY.PA) a aidé la Philharmonie de Paris, haut lieu de la musique à Paris, à préparer la réouverture de sa plus grande salle de concert en toute sécurité, lorsque les mesures de confinement liées à la pandémie de COVID-19 seront levées. La simulation a permis d’expérimenter et de comprendre comment l’air est amené à circuler dans la salle, d’évaluer l’efficacité des mesures sanitaires préventives prises par la Philharmonie de Paris et, le cas échéant, d’en identifier de nouvelles.
Avec une jauge de 2 400 places, la Grande salle Pierre Boulez se caractérise par une configuration enveloppante qui immerge le public dans la musique, mais aussi par un système de ventilation individuelle de chaque siège qui permet une répartition des flux d’air neuf dans la salle et un bruit de ventilation faible. Grâce aux données fournies par l’établissement, Dassault Systèmes a utilisé son logiciel de simulation pour créer un modèle 3D de la salle de concert à pleine capacité. Grâce à ce logiciel, on peut visualiser la circulation de l’air depuis les deuxièmes balcons jusqu’au parterre et à l’orchestre dans le but d’évaluer l’impact du port du masque et des flux d’air sur la propagation des particules virales.
Plusieurs scénarios ont illustré la concentration des particules émises par un membre du public infecté par le virus toussant avec, puis sans masque. Ces simulations ont également permis de démontrer comment les particules se propagent aux autres spectateurs, aux musiciens et au chef d’orchestre en fonction du système de ventilation intégré à chaque siège et des différentes directions dans lesquelles l’air circule dans les escaliers, entre les sièges et au niveau du sol.
Les simulations ont ainsi révélé que le risque de propagation des particules virales est moins élevé lorsque les spectateurs portent un masque et que la ventilation de chaque siège est réduite de moitié. Porté correctement, le masque joue un rôle majeur dans la baisse du volume de particules émises dans l’air, ainsi que dans la vitesse de propagation, ce qui en fait une première barrière capitale. Les expérimentations ont également montré que la salle présente un comportement similaire à celui d’un lieu de plein air, avec un risque de propagation très limité d’un côté à l’autre.
Le système de ventilation réduit naturellement les risques de contamination en limitant le mouvement latéral de l’air et en le dirigeant derrière le public et l’orchestre.
« La sécurité du public, de nos artistes et de notre personnel n’est pas négociable. C’est pourquoi nous avons décidé de nous associer à Dassault Systèmes. Grâce à leur technologie de simulation de pointe, nous sommes prêts à rouvrir notre salle de concert dans les meilleures conditions», déclare Laurent Bayle, directeur de la Philharmonie de Paris.
Parallèlement, la simulation des flux d’air à l’entrée de la salle de concert a confirmé que les mesures préventives déjà mises en œuvre, telles que le port du masque et la distanciation physique, sont adaptées à cette zone particulière de l’établissement.
« Notre collaboration avec la Philharmonie de Paris s’inscrit dans le cadre des efforts que nous entreprenons quotidiennement pour aider les entreprises à simuler, visualiser et analyser les conditions existantes, pour évaluer l’effet de scénarios hypothétiques, ainsi que pour identifier des solutions permettant de rouvrir et de fonctionner en toute sécurité », déclare Florence Verzelen, directrice générale adjointe, Dassault Systèmes. « Dans la vie, les répétitions n’existent pas. Mais à l’heure où le monde réel met tout en œuvre pour sortir du confinement, les mondes virtuels rendent possibles des expérimentations qui permettent de révéler de nombreuses inconnues. »
Accès à la présentation et aux résultats de cette étude (vidéo disponible sur demande) :
Partager sur Twitter : .@Philharmonie collabore avec @3dsfrance pour assurer le retour du public et des orchestres en toute sécurité dans sa plus grande salle de concert #3DEXPERIENCE #simulation
Dassault Systèmes sur les réseaux sociaux : Twitter ; Facebook ; LinkedIn ; YouTube
Pour plus d’informations sur la plateforme 3DEXPERIENCE, les solutions de création 3D, de maquette numérique en 3D et de gestion du cycle de vie des produits de Dassault Systèmes : 3ds.com/fr.
# # #
À propos de Dassault Systèmes
Dassault Systèmes, the 3DEXPERIENCE Company, est un « accélérateur de progrès humain ». Elle propose aux entreprises et aux particuliers des environnements virtuels collaboratifs qui leur permettent d’imaginer des innovations plus durables. En développant un jumeau virtuel du monde réel, grâce à la plateforme 3DEXPERIENCE et à ses applications, Dassault Systèmes donne à ses clients les moyens de repousser les limites de l’innovation, de l’apprentissage et de la production.
Les 20 000 collaborateurs de Dassault Systèmes travaillent à créer de la valeur pour nos 270 000 clients de toutes tailles, dans toutes les industries, dans plus de 140 pays. Pour plus d’informations, visitez notre site www.3ds.com/fr
3DEXPERIENCE®, l’icône Compass, le logo 3DS, CATIA, BIOVIA, GEOVIA, SOLIDWORKS, 3DVIA, ENOVIA, EXALEAD, NETVIBES, MEDIDATA, CENTRIC PLM, 3DEXCITE, SIMULIA, DELMIA et IFWE sont des marques commerciales ou des marques déposées de Dassault Systèmes, une « société européenne » française (registre du commerce de Versailles n° B 322 306 440) ou de l’une de ses filiales aux États-Unis et/ou dans d’autres pays.
Contact presse :
Dassault Systèmes
Arnaud Malherbe
01 61 62 87 73
arnaud.malherbe@3ds.comPhilharmonie de Paris
Philippe Provensal
01 44 84 45 63
pprovensal@cite-musique.frAgence Gen-G:
Félix Deltour / Cédric Derond
07.88.32.11.43 // 07.88.32.70.57
felix.deltour@gen-g.com // cedric.derond@gen-g.comCet article Dassault Systèmes collabore avec La Philharmonie de Paris pour assurer le retour du public et des orchestres en toute sécurité dans sa plus grande salle de concert est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:09
Revue de presse du 8 au 22 décembre 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueHumour, 3D, imagerie satellitaire, mobilisation citoyenne en Afrique, open data… quelques lectures pour passer des fêtes carto-inspirées !Un peu d’humour (dans ce monde de cartes) ! Un billet réjouissant de Camille Scheffler qui passe en revue les productions décalées de ©Les Savoirs Ambulants (@SavoirsEnBulles sur Twitter) lors du dernier #30DayMapChallenge.
VIDEO : Sous ce lien, Remise du Grand Prix Syntec Conseil à PwC pour son application FaST au service de l’agriculture de précision, développée pour la commission européenne et déployée en Estonie, en Espagne et en Italie. FaST associe données Sentinel, administratives et environnementales pour l’optimisation des intrants.
VIDÉO : « Quand Dassault Systèmes étudie la circulation de l’air à la Philharmonie de Paris pour lutter contre le Covid-19 ». L’Usine Nouvelle relaye une vidéo qui présente la modélisation en 3D de la salle.
AFRIQUE : « Quand les communautés africaines s’emparent du numérique pour cartographier leurs villes » Publié sur le blog Nasikiliza de la Banque Mondiale, un long article qui relate de nombreux retours d’expérience basés sur OpenStreetMap.
AFRIQUE : « Afrique Avenir : Geomatica met les sciences et technologies spatiales au service des communautés » BBC News propose un reportage audio dans lequel les fondateurs de la jeune entreprise sénégalaise expliquent ce qu’est la géomatique
GÉO-SIGNALEMENT : « Des applications mobiles pour simplifier le signalement de dysfonctionnements aux collectivités ». L’Usine Digitale revient sur le succès des applications de « tranquillité publique » dont la composante cartographie est essentielle.
IGN : Une interview de Sylvain Latarget dans Acteurs publics, au moment il passe la main à Sébastien Soriano à la direction générale de l’Institut : « L’IGN tourne la page de ses activités commerciales pour venir en appui des politiques publiques »
Cet article Revue de presse du 8 au 22 décembre 2020 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
11:47
Le changement dans la continuité : une nouvelle année s’ouvre à l’IGN
sur Décryptagéo, l'information géographiqueOuverture plus large de ses données, nouveau directeur général, l’année 2021 s’ouvre sur des changements importants à l’Institut de l’information géographie et forestière (IGN).Sébastien Soriano, nouveau directeur général de l’IGN prendra ses fonctions le 4 janvier 2021
Après 6 mois de vacance du poste, nous avons appris mi décembre la nomination de Sébastien Soriano à la tête de l’IGN, qui prendra ses fonctions au moment même ou l’institut franchit un pas de plus dans l’ouverture de ses données.
En effet, dès le 1er janvier 2021, la BD Topo, la BD Ortho, la BD Forêt et le RGE Alti seront diffusées sous licence Etalab 2.0, dans la poursuite d’un mouvement engagé depuis plusieurs années.
Le choix de Sébastien Soriano à la direction générale de l’Institut va clairement dans le même sens. L’ancien président de l’ARCEP, le « gendarme des télécoms » est un ardent partisan de l’ouverture des données, des communs numériques et de la concertation, comme il l’explique dans son ouvrage « Un avenir pour le service public : Un nouvel État face à la vague écologique, numérique, démocratique » paru en novembre aux éditions Odile Jacob. Sébastien Soriano connaît bien les enjeux de l’information géographique, essentielle dans le déploiement de la fibre et des réseaux mobiles. Les dossiers ne manqueront pas sur son bureau, notamment celui de la construction collaborative de la Géoplateforme.
En route pour une nouvelle destination : l’@IGNFrance !
Hâte de mettre l’information géographique au service de la transition écologique ?
Merci aux ministres @barbarapompili et @J_Denormandie pour leur confiance ????? [https:]] pic.twitter.com/fxJGAButVL
— Sébastien Soriano (@sorianotech) December 16, 2020
C’est avec humour que Sébastien Soriano a annoncé sur Twitter son arrivée à l’IGN
Cet article Le changement dans la continuité : une nouvelle année s’ouvre à l’IGN est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
10:51
À lire dans le dernier bulletin Theia
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAu sommaire du Bulletin n°14 de TheiaAu sommaire
- les nouvelles du réseau : OSS-Nouvelle Calédonie, des ateliers OSO en Nouvelle-Calédonie, une nouvelle IDS en Occitanie, des fiches thématiques GeoDEV, Women in Copernicus, soumettre des sites pour Venus, observation citoyenne des lacs pyrénéens, impact de la tempête Alex…
- des articles sur les CES & produits Theia : Unités paysagères, Irrigation des parcelles agricoles, humidité de la zone racinaire, un CES dédié aux sécheresses, Hauteur de canopée et volume de bois par GEDI, 38 années de données végétation, Les résultats de l’enquête auprès des utilisateurs des données infrarouge thermique…
- I-SEA : un exemple d’expertise privée s’appuyant sur la recherche publique
- deux nouveaux portraits : un responsable d’exploitation & un animateur d’ART impliqués dans Theia.
>>> Télécharger le .pdf en version impression
>>> Lire le Bulletin sur Calaméo
>>> Retrouver les numéros précédents.Cet article À lire dans le dernier bulletin Theia est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
10:39
À lire dans la dernière newsletter de la SFPT
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAu sommaire de la newsletter de la société française de photogrammétrie et de Télédétection :Cliquez sur l’image pour ouvrir la newsletter
- L’IGN fête ses 80 ans
- Présentation du programme « Connect by CNES », du projet ai4geo (intelligence artificielle au service de l’information géopatiale)
- Des nouvelles de Pléiades Neo
- Une communication du Groupe Archéologie et Architecture
- Des notes de lecture sur l’Atlas critique de la Guyane et sur Le Pixel et la Balance
Cet article À lire dans la dernière newsletter de la SFPT est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:36
Les BAL : stars de cette fin d’année 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueenviron 7 mn de lecture Non, nous ne proposons pas à nos lecteurs de rompre gestes barrières et règles de distanciation physique en cette fin d’année. C’est derrière leur écran qu’ils peuvent participer ou s’intéresser aux BAL, alias Bases d’Adresses Locales. Grâce à elles, la BAN (Base Adresses Nationale) semble La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
Déjà abonné ? Identifiez-vous pour consulter l'article
ou
Créez un compte et achetez cet article à l'unité pour 10 €
Email: Password: Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article Les BAL : stars de cette fin d’année 2020 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:51
Un dernier petit cadeau carto ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnvie d’offrir un dernier petit cadeau cartographique ? Découvrez les productions des Artisans cartographes, toujours sympas.#Nantes, un jeu de cartes … cartographique pour (re)découvrir la cité des Ducs –> découvrir le jeu
#Paris, une sérigraphie de la capitale 100cm*70cm pour afficher fièrement le dédale des rues Parisiennes –> voir la sérigraphie
#Paris encore, un atlas complet des rues pour ne pas vous perdre lors de votre prochaine sortie vélo –> lien vers l’atlas
#Bruxelles, une gravure sur bois du centre ville, quoi de plus chic qu’une Golden Map pour la capitale Européenne ? –> découvrir la gravure
#Mapzle, pour tous les amoureux de cartes et de puzzles –> voir le puzzleCet article Un dernier petit cadeau carto ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:01
IDC et HERE publient un livre blanc : « Utiliser une plateforme de localisation pour tirer le meilleur parti de vos données »
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’institut International Data Corporation (IDC) et HERE Technologies annoncent la parution du livre blanc « utiliser une plate-forme de localisation pour tirer le meilleur parti de vos données »Le présent livre blanc propose un éclairage sur le marché des données à travers ses usages et ses bénéfices.
Les dirigeants ont tout à fait conscience que les données de leurs entreprises ne prennent de la valeur que si elles sont partagées. Cependant, les données spécifiques à un lieu ne sont que rarement exploitées. Les acheteurs et les vendeurs de ce type d’actifs ont encore du mal à se trouver. Les marketplaces permettent non seulement de constituer un lien, mais également de simplifier le processus de mise en relation des données avec les acheteurs. Ce sont les marketplaces de données de localisation qui permettent aux entreprises d’offrir leurs données, leurs algorithmes et leurs API/SDK à un public plus large, créant ainsi de plus grandes opportunités de valeur.
Ces dernières années, l’intérêt pour les données a donné naissance à un grand nombre de ces plateformes. Dans son livre blanc, IDC revient sur les différentes tendances émergentes de ce marché et pour illustrer son propos, met en avant le témoignage de HERE Technologies qui offre un positionnement et une vision unique.
HERE Technologies propose une marketplace complète et centrée sur la localisation et s’illustre comme un leader du marché dans le domaine de la localisation avec plus de 35 ans d’expérience dans le domaine de l’intelligence de localisation.
Parmi ses principaux points forts :
- Sécurité, confidentialité et contrôle de la plateforme. Les ensembles de données de localisation ont tendance à être très volumineux et peuvent divulguer beaucoup d’informations sur les capteurs, les utilisateurs et les contributeurs. Grâce à la vision sophistiquée des propriétés de localisation de HERE Technologies, l’entreprise a intégré la sécurité, la confidentialité et le contrôle au sein de la plateforme et de ses outils. La société offre des fonctions d’anonymisation, des protocoles d’accès spécifiques, la gestion du consentement et des capacités de nettoyage des données.
- Plus que de simples données. La plateforme donne accès à une grande variété de données, mais elle n’est pas seulement une marketplace. Les acheteurs et les vendeurs peuvent également travailler avec du contenu géolocalisé, des API, des SDK et des algorithmes contrairement à d’autres marketplaces qui sont limitées aux données ou aux API.
- Une force de vente mondiale. Rejoindre la plateforme HERE Technologies en tant qu’acheteur ou vendeur signifie rejoindre une organisation ayant une présence et des capacités mondiales dans le domaine de localisation.
La concurrence s’intensifie sur le marché et les vendeurs devront relever le défi de l’expansion. Plus le volume, la variété des données, et le nombre d’algorithmes sont importants, plus il est probable que les vendeurs seront en mesure d’attirer une proportion croissante d’acheteurs. HERE Technologies dispose déjà de données à l’échelle mondiale et de contributeurs du monde entier.
Les atouts initiaux de la plateforme proviennent de l’héritage de HERE Technologies dans les applications pour les véhicules et le transport. Le défi pour HERE consiste à développer des cas d’utilisation pour d’autres secteurs industriels comme les Télécoms ou les assurances.
Le livre blanc est disponible dans le lien ici
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
Cet article IDC et HERE publient un livre blanc : « Utiliser une plateforme de localisation pour tirer le meilleur parti de vos données » est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
9:05
Outsight donne aux opérateurs la vision intégrale de leurs opérations en temps réel
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes opérateurs des espaces publics peuvent désormais assurer un monitoring des flux de personnes avec la solution d’Intelligence Spatiale laser d’OutsightOutsight est le créateur d’une solution de traitement LiDAR unique qui peut simultanément percevoir et comprendre l’environnement en 3D. Sélectionnée par le Groupe ADP (Aéroport de Paris), la technologie est actuellement en test sur l’aéroport Paris-Charles de Gaulle pour fournir, tout en préservant les données privées, un suivi précis des flux de personnes en temps réel.
Grâce à la technologie d’Outsight, le gestionnaire d’aéroports peut obtenir des informations précieuses sur les flux de personnes et l’utilisation des actifs en temps réel à un niveau de détail inégalé auparavant. En effet, la technologie mesure précisément le nombre de personnes en salles de livraison bagages, leurs déplacements et leurs interactions.
Toutes ces observations en temps réel apportent un niveau de connaissance précis pour permettre à l’opérateur de suivre les flux de passagers via son interface de monitoring et pour intervenir en cas de besoin.
Pour Raul Bravo, Président et cofondateur d’Outsight, “ce premier résultat obtenu avec le partenariat noué avec le Groupe ADP, quelques mois à peine après la création de l’entreprise, démontre la pertinence de notre démarche dans la perception 3D dans un contexte d’amélioration des opérations et de la sécurité. Cette première implémentation fait suite à une succession d’annonces pour Outsight qui reçoit de nombreuses sollicitations dans d’autres domaines tels que les centres commerciaux, les gares, les stades, les centres de loisirs et de congrès.”
Un suivi individuel et précis avec un anonymat garantiUn des éléments-clés de cette technologie est le respect de la vie privée : le laser détecte les formes mais aucune donnée sensible n’y est rattachée. Cela permet de suivre un individu en respectant les principes de protection des données et de respect de la vie privée.
Améliorer les espaces publicsLe cœur de métier des opérateurs est d’optimiser les passages des visiteurs. Avoir une meilleure compréhension de leurs déplacements leur permet de fournir un meilleur service et d’adapter les infrastructures aux utilisateurs. Ce qui se traduit instantanément par l’augmentation des revenus et la baisse des coûts. Outsight, leader dans le marché en pleine expansion de l’Intelligence Spatiale, est un partenaire clé pour ses clients qui visent l’excellence opérationnelle.
Une technologie récompenséeEn moins d’un an, Outsight a réussi à développer et industrialiser cette nouvelle génération de traitements de données Lidar[1] qui a fait l’objet de 42 dépôts de brevets.
L’innovation d’Outsight a gagné le prestigieux Best of CES Innovation Awards à Las Vegas ainsi que le Prism Award décerné par les leaders mondiaux de la photonique et des lasers. Outsight a déjà convaincu de nombreuses organisations et fabricants d’équipements dans l’automobile, l’aéronautique, le marché de la sécurité, incluant Faurecia et Safran.
À propos de OutsightOutsight développe des solutions matérielles et logicielles de perception 3D temps réel, à partir de technologies laser de pointe. Nous apportons aux Smart Machines et Smart Cities un niveau de compréhension inédit de leur environnement et des évènements qui s’y produisent. Nous pensons que ces nouvelles capacités contribuent à la construction d’un monde plus sûr et plus économe en ressources. Les équipes internationales de scientifiques et d’ingénieurs d’Outsight s’y consacrent avec passion depuis Paris, Helsinki et San Francisco.
Contacts presse Outsight :Jean-François Kitten, +33 (0)6 11 29 30 28 – jfk@outsight.tech
Sophie Renard, +33 (0)6 82 80 61 97 – s.renard@licencek.com
Ilinca Spita, +33 (0)6 64 75 12 98 (EN) – i.spita@licencek.com (EN)
Sasha Rolland, +33 (0)6 47 77 36 53 – s.rolland@licencek.com (EN)
[1] Light detection and ranging
Cet article Outsight donne aux opérateurs la vision intégrale de leurs opérations en temps réel est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
19:51
Sébastien Soriano est nommé directeur général de l’IGN
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSébastien Soriano, président de l’Arcep, a été nommé directeur général de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), lors du conseil des ministres du 16/12/2020. Sébastien Soriano prendra ses fonctions le 4/01/2021.Sébastien Soriano (c) DR
Depuis 2015 président de l’Arcep, autorité de régulation des télécoms des postes et de la distribution de la presse, Sébastien Soriano vient d’être nommé directeur général de l‘IGN. Cette nomination intervient dans un contexte de mutation profonde de l’Institut qui vient d’annoncer le 11/12 l’ouverture de ses données sous licence ouverte Etalab 2.0 et dont le COP 2020-2024, qui oriente et matérialise la trajectoire stratégique de l’IGN, vient d’être signé par ses deux tutelles du ministère de la Transition écologique et du ministère de l’Agriculture et de l’alimentation. Un contexte on ne peut plus favorable à l’arrivée de Sébastien Soriano à ce poste, auteur d’« Un Avenir pour le service public » qui vient de paraître aux éditions Odile Jacob et pour lequel l’innovation publique et la posture d’un Etat plus partenarial sont parties prenantes des enjeux environnementaux. Ainsi aura-t-il à confirmer l’IGN dans son rôle d’opérateur de l’Etat dont l’ambition affichée est de porter la nécessaire avance technologique au profit de la transformation des politiques publiques. Parmi les projets de l’IGN, citons la Géoplateforme, la nouvelle plateforme publique pour l’information géographique ; le programme national Lidar Haute Densité, lauréat du FTAP (fonds pour la transformation de l’action publique) 2020 dans le cadre d’action publique 2022, pour la prévention des risques et la gestion des ressources forestières ; la production, par la DGALN, du référentiel d’occupation et usage des sols également lauréat du FTAP 2020, pour la préservation de la biodiversité et la lutte contre l’artificialisation des sols, dont la mise en œuvre a été confiée à l’IGN ; la production d’une cartographie HD pour la circulation du véhicule autonome notamment en Ile-de-France ; la production d’un PCRS (plan corps de rue simplifié) sur les réseaux enterrés.
Ingénieur (corps des mines), Sébastien Soriano est âgé de 45 ans. Il succède à Daniel Bursaux, DG de l’IGN de novembre 2014 à juin 2020.
PARCOURS :- 2015-2020 Président de l’Arcep, autorité de régulation des télécoms et des postes
- 2014 Conseiller spécial de la Ministre de la culture et de la Secrétaire d’Etat au commerce extérieur (Quai d’Orsay) 2012-2014 Directeur de cabinet de la Ministre déléguée chargée des PME, de l’innovation et de l’économie numérique, 2009-2012 Autorité de la concurrence, rapporteur général adjoint,
- 2004-2009 Arcep, chef d’unité (mobile) puis directeur (haut débit et collectivités locales),
- 2001-2004 Conseil de la concurrence, rapporteur. FORMATION :
- 2000-2001 Licence d’administration publique à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne 1999-2001 Ecole Telecom ParisTech, Paris
- 1996-1999 Ecole Polytechnique, Paris (intégration du corps des télécoms, devenu mines)
L’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie vectorielle, de l’optique, de l’électronique, du traitement des images et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint l’Université Gustave Eiffel créée en janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts PresseSophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse –
Cet article Sébastien Soriano est nommé directeur général de l’IGN est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:12
GEOCONCEPT présente Territory Manager Winter 2021, pour une sectorisation géographique optimisée
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes décideurs bénéficient de fonctionnalités de simulation et d’analyse enrichies, pour répartir plus efficacement leur activité, leurs équipes et leurs ressources
Paris, le 15 décembre 2020 – GEOCONCEPT, leader des technologies d’optimisation géographique pour les professionnels, lance la nouvelle version de sa solution cloud de sectorisation géographique : Territory Manager Winter 2021. Cette nouvelle version apporte des fonctionnalités d’analyse et d’optimisation enrichies, telles que la comparaison de deux simulations, et la sectorisation partielle pour affiner pas à pas une simulation. Les utilisateurs bénéficient également de nombreuses améliorations ergonomiques et de nouvelles possibilités d’export.
Territory Manager est la solution web de référence pour répartir équitablement l’activité, les équipes et les ressources. A l’aide de cet outil intuitif, les responsables commerciaux, les planificateurs et les décideurs définissent des stratégies omnicanales orientées vers la performance : objectifs commerciaux équilibrés, couverture de marché optimale et productivité améliorée des équipes terrain.
L’outil permet de construire des secteurs équilibrés en trois étapes : la visualisation de la répartition géographique existante ; l’identification des déséquilibres et dysfonctionnements ; et l’optimisation via l’équilibrage automatique des secteurs. Cette solution s’adresse aux entreprises souhaitant optimiser l’affectation de leurs ressources sur un territoire donné. La sectorisation géographique constitue également une étape préalable à l’optimisation des déplacements des forces mobiles (commerciaux, techniciens ou livreurs).
Nouveautés de la version Winter 2021 :
Simulation et analyse
Outil de simulation par excellence, Territory Manager Winter 2021 franchit un pas de plus dans l’aide à la décision en offrant à ses utilisateurs la possibilité de comparer deux simulations, particulièrement utile pour évaluer par exemple les changements apportés par une sectorisation prévisionnelle. Pour permettre aux utilisateurs de mieux évaluer l’impact des modifications apportées, les données peuvent à présent être représentées en fonction de leur écart à la moyenne, ou de l’atteinte de seuils personnalisés.
Optimisation de la sectorisation
Plusieurs modes d’optimisation sont disponibles pour réaliser une sectorisation idéale, dont une nouvelle méthode : l’optimisation sur la base d’une valeur cible. Au lieu d’optimiser la charge de travail ou le potentiel de vente au sein d’un nombre de secteurs prédéfini, ce nouveau mode permet de calculer le nombre de secteurs nécessaires pour atteindre une valeur cible, comme par exemple un potentiel moyen d’un million d’euro pour chaque secteur. Grâce à la capacité de sectorisation partielle, également nouvelle, les utilisateurs peuvent réaliser une optimisation non plus sur l’ensemble du territoire mais sur une sélection de secteurs. Cette méthode permet notamment d’affiner pas à pas une simulation. En outre, la charge de travail des équipes peut maintenant être évaluée au niveau global, et le transfert de points d’un secteur à un autre peut être effectué directement dans la carte par simple glisser-déposer.
Ergonomie et prise en main de la solution
Avec la version Winter 2021, les utilisateurs bénéficient de nombreuses évolutions ergonomiques et peuvent dorénavant :
- Identifier rapidement la qualité des adresses géocodées grâce à un code couleur sur la carte et dans le tableau
- Définir des préférences d’affichage
- Réattribuer facilement des secteurs
- Annuler ou rétablir une sectorisation automatique
- Sélectionner l’ensemble ou une partie des données en un clic
- Zoomer sur un site spécifique
- Accéder aux commandes depuis le nouveau menu
- Sauvegarder plus facilement les études en cours
- Consulter l’historique des informations de l’éditeur
Partage des résultats
Pour faciliter la diffusion des simulations, les cartes de sectorisation peuvent désormais être exportées sous forme d’images.
Un rééquilibrage facile et rapide : l’expérience de Quadient
La société Quadient aide les entreprises à gérer leurs interactions clients grâce à une communication omnicanale construite autour de quatre catégories de solutions : traitement du courrier, automatisation des processus métier, gestion de l’expérience client, consignes colis automatiques. Avec une force de vente composée d’une centaine de commerciaux en France, Quadient avait besoin d’un outil facile d’utilisation permettant de travailler rapidement le découpage des secteurs géographiques en phase avec la stratégie de l’entreprise.
Samuel Guinet, Responsable Stratégie & CRM au sein de Quadient France, témoigne : « Nous avons été séduits par le degré de réactivité et la qualité de la proposition de GEOCONCEPT. Territory Manager est une solution cloud très ergonomique, qui nous permet d’équilibrer efficacement nos secteurs pour répondre à nos besoins. Réaliser des études est facile et rapide, et nous pouvons partager les résultats avec les directeurs régionaux et les agences de manière très fluide, pour une mise en œuvre concrète de nos plans d’actions ».
Pour en savoir plus sur Territory Manager : [https:]]
A propos du Groupe GEOCONCEPT
Le Groupe GEOCONCEPT, éditeur français de solutions logicielles d’optimisation géographique pour les professionnels, se positionne aujourd’hui parmi les leaders mondiaux de la planification des interventions terrain et de l’optimisation de tournées. Reconnu comme acteur majeur du Field Service Management et du Vehicle Routing & Scheduling par le cabinet Gartner, GEOCONCEPT optimise quotidiennement les déplacements de 155 000 ressources dans le monde.
Livraison du dernier kilomètre, gestion des interventions terrain, performance commerciale, géomarketing, développement de réseaux, SIG, géo-décisionnel… : les domaines d’application de la géoptimisation sont nombreux et les bénéfices engendrés multiples (15 à 30 % de gain de productivité, réduction des coûts opérationnels, satisfaction client, conditions de travail améliorées).
Grâce à ses nombreuses possibilités de déploiement (SaaS, on-premise, mobile, server, API…), l’ouverture de ses technologies, la couverture géographique de ses solutions et son support 24/7, GEOCONCEPT gère des projets d’envergure internationale.
Le Groupe GEOCONCEPT est implanté à Paris, Grenoble et Caen, et dispose de bureaux aux Etats-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse. Des partenaires stratégiques revendent également les solutions du Groupe dans de nombreux pays dont la Grande-Bretagne, le Mexique, le Brésil ou encore le Japon.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller – katherine.haller@axicom.com
Vincent Rosso – vincent.rosso@axicom.com
Contact marketing : GEOCONCEPT
Laura L’hoiry – laura.lhoiry@geoconcept.com
Cet article GEOCONCEPT présente Territory Manager Winter 2021, pour une sectorisation géographique optimisée est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:08
Tableau 2020.4 : vous pouvez maintenant préparer vos données dans votre navigateur !
sur Décryptagéo, l'information géographiquePrincipales nouveautés de cette version : Tableau Prep Builder disponible dans votre navigateur pour des déploiements simplifiés en entreprise et dans le cloud, Resource Monitoring Tool maintenant disponible sur Linux et optimisation de l’analyse spatiale.
PARIS – 15 décembre 2020 : Tableau Software, leader de la solution data visualisation, annonce aujourd’hui le lancement de Tableau 2020.4. Cette nouvelle version simplifie la préparation et l’analyse des données en entreprise en apportant toutes les fonctionnalités de Tableau Prep dans le navigateur, via Tableau Server et Tableau Online. Cela permet de réduire les coûts de déploiement globaux, tout en simplifiant le processus de préparation des données. En effet, les analystes peuvent maintenant créer et modifier leurs flux directement dans le navigateur. Tableau 2020.4 apporte d’autres améliorations, comme la possibilité d’ajouter un nombre illimité de couches spatiales aux cartes, la surveillance des ressources (RMT, Resource Monitoring Tool) dans Linux, ou encore de nouveaux connecteurs natifs.« Tableau Prep démocratise la préparation des données en la rendant plus simple, plus visuelle et plus directe », explique François Ajenstat, directeur produit chez Tableau. « Désormais, chacun peut accéder aux flux de données, les créer et les modifier dans un navigateur Web, où qu’il se trouve. Concrètement, cela met la préparation de données à la portée de tous les collaborateurs.»
La préparation de données devient possible partout
Tableau Prep Builder est conçu pour aider les clients à combiner, remanier et nettoyer facilement leurs données avant de les analyser en utilisant de simples glisser-déposer, une convivialité que connaissent bien tous les utilisateurs Tableau. Dans la version 2020.4, tout cela peut être effectué intégralement dans un navigateur, ce qui simplifie les opérations en entreprise et permet aux administrateurs IT de centraliser la gestion du déploiement et le contrôle des versions, sans avoir à mettre à jour chaque machine. Désormais, les analystes peuvent se connecter à une source de données, nettoyer et préparer leurs données, créer des tableaux de bord pour réaliser des analyses et même partager leurs résultats, sans passer par une application sur leur ordinateur.
« Avec Tableau Prep dans le navigateur, l’étape de la préparation devient accessible à ceux qui connaissent le mieux les données », se réjouit Julien Beylat de la société The Information Lab. « Les équipes sont encore plus à même de préparer elles-mêmes leurs données, aussi souvent que nécessaire, afin d’en exploiter tout le potentiel. »
Surveillance des ressources sur Linux
Tableau Server sur Linux est une solution très intéressante pour les clients qui déploient Linux dans leurs environnements IT et qui ne souhaitent pas avoir à gérer une instance Windows pour leur déploiement Tableau. Resource Monitoring Tool (RMT) est maintenant disponible sur Linux. Avec Tableau 2020.4, les clients qui utilisent Server Management Add-On peuvent surveiller et dépanner proactivement leurs déploiements, avec une visibilité optimale sur les performances matérielles et logicielles. Auparavant disponible uniquement sur Windows, l’outil RMT sur Linux permet d’identifier les problèmes à l’origine d’un chargement plus long, les erreurs dans les extraits, ainsi que les autres problèmes critiques susceptibles de dégrader l’expérience utilisateur.
Autres nouveautés de Tableau 2020.4 :
- Fonctionnalités spatiales améliorées. Les clients analysant des données géospatiales peuvent désormais ajouter un nombre illimité de couches de repères d’une même source de données sur leurs cartes, et ainsi combiner plusieurs couches spatiales à des informations contextuelles pour faciliter la compréhension et les analyses. Par ailleurs, les utilisateurs Tableau peuvent désormais se connecter directement à des tables de données spatiales Amazon Redshift, préparer les données dans Tableau Prep, puis créer des cartes hors ligne avec Tableau Server.
- Améliorations apportées à la modélisation prédictive, comme l’ajout de la régression linéaire régularisée et du processus gaussien à la liste des modèles prédictifs. Il est facile de changer le modèle à utiliser dans le champ de calcul et de voir instantanément les effets sur les prédictions.
- Nouveaux connecteurs et améliorations des connecteurs existants, avec notamment une modification de l’API de connecteur Salesforce, qui permet une connexion directe aux derniers objets Salesforce, comme Work.com. Parmi les ajouts, citons notamment Datorama, ainsi que le tout nouveau connecteur de données Web COVID-19 qui permet d’accéder facilement aux données les plus récentes sur les tests COVID.
Pour en savoir plus sur cette nouvelle version ou pour l’essayer gratuitement, rendez-vous sur tableau.com/fr-fr/new-features.
À propos de Tableau
Tableau aide les utilisateurs à voir et comprendre leurs données. Sa plate-forme analytique en libre-service leur permet d’analyser leurs données, quel que soit leur niveau de compétence. De l’utilisateur isolé aux plus grands groupes, en passant par les organismes à but non lucratif et les administrations, des dizaines de milliers de clients partout dans le monde font confiance à Tableau pour faire ressortir des insights plus rapidement et prendre de meilleures décisions en s’appuyant sur les données. Découvrez comment Tableau peut vous aider en téléchargeant la version d’évaluation gratuite sur www.tableau.com/fr-fr/trial.
###Contacts Presse : L’AgenceRP
Lisa Hagen
06 69 30 95 58
lisa@lagencerp.comRaya Rizk
07 85 15 22 40
raya@lagencerp.comCet article Tableau 2020.4 : vous pouvez maintenant préparer vos données dans votre navigateur ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
17:45
MAPublisher 10.7 est désormais disponible !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlain Olivier Géomatique et Avenza Systems Inc. sont heureux d’annoncer la sortie de MAPublisher® 10.7 pour Adobe Illustrator®.Cette version de MAPublisher assure une compatibilité continue avec Adobe Illustrator 2021 et macOS Big Sur. Les améliorations apportées aux types de licence incluent une nouvelle licence flottante Cloud offrant une configuration plus facile à la fois pour les administrateurs et les utilisateurs finaux.
Les améliorations et nouvelles fonctionnalités de MAPublisher 10.7 sont les suivantes :– Compatibilité avec Adobe Illustrator 2021 sur Mac et Windows
– Compatibilité avec macOS 11 Big Sur
– Accès aux licences flottantes depuis le Cloud
– Améliorations de l’interface utilisateur et de l’ergonomie
Pour télécharger cette mise à jour, cliquez ici : [www.mapublisher.fr]
MAPublisher est un puissant logiciel de production cartographique pour la création de cartes de haute qualité à partir de données SIG. MAPublisher est un ensemble de filtres pour Adobe Illustrator qui renforcent ce logiciel d’édition graphique par de très nombreuses fonctionnalités cartographiques incluant notamment l’import/export des principaux formats SIG avec toute l’information attributaire alphanumérique, intacte et utilisable pour de nombreuses opérations (requêtes, créations de cartes thématiques, indexation, jointures, étiquetage sans collision avec MAPublisher Label Pro, etc.). Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.mapublisher.fr] .
Avenza Systems Inc. est une société qui fournit aux cartographes de puissants outils logiciels pour réaliser les meilleures cartes possibles. Outre les logiciels sous Windows, OS X et iOS, la société propose des jeux de données, des sessions de formations et des conseils. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.avenza.com] .
Alain Olivier Géomatique est partenaire de Avenza Systems Inc. en France et distributeur actif d’outils innovateurs pour la géomatique et l’édition cartographique. La combinaison d’une vaste connaissance de la géomatique et d’un haut niveau de services a fait ses preuves auprès de nombreux clients francophones à travers le monde, en particulier dans le support technique et la formation. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.geomatique.fr] .
Alain Olivier Géomatique
04 79 64 34 35
Cet article MAPublisher 10.7 est désormais disponible ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
19:01
Le Groupe Delta Drone fortement engagé dans la formation des télépilotes et opérateurs de drones civils à usage professionnel
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDelta Drone, acteur majeur du secteur des drones civils à usage professionnel, développe son activité « formation » à travers de sa filiale Techni Drone, leader français de la formation des télépilotes avec plus de 2 000 personnes formées depuis 2013. Localisée à Dardilly près de Lyon Techni Drone bénéficie de l’expertise d’anciens instructeurs pilotes professionnels pour prodiguer des formations aux élèves sur des sujets toujours plus spécialisés.Dotée d’un espace flambant neuf composé d’une salle d’instruction de plus de 100m² et de zones extérieures et intérieures pour les travaux pratiques, Techni Drone propose des formations de pointe pour ses clients équipés des solutions professionnelles Delta Drone, mais aussi des sessions « intra-entreprise » pour le compte de grands groupes désireux de former son personnel à l’utilisation de drones de tous types.
Afin d’être au plus près des clients et d’offrir le meilleur service, des centres de formations temporaires sont mis en place à Paris, Nantes, Arcachon, Toulouse, Avignon, Cannes, mais aussi en Guadeloupe et en Suisse.
Depuis le début de la pandémie actuelle, le groupe s’est également adapté et a élargi son offre en proposant des formations en visioconférence.
Avec plus de 213 stagiaires formés et plus de 15 000 heures de formations dispensées en 2019, Techni Drone met un accent particulier et permanent sur la définition précise des formations pratiques et théoriques adaptées au mieux de la demande du client, permettant le développement des compétences et des qualifications des télépilotes. La qualité de l’enseignement permet de maintenir, à chaque instant, un niveau d’exigence élevé. Une fois par an, il est également proposé aux stagiaires un contrôle du maintien des compétences ainsi qu’une remise à niveau, suivant une méthodologie conforme aux usages du secteur aéronautique.
L’activité formation constitue un axe stratégique important pour le groupe au sein de son pôle « services associés ». Il devrait connaître un nouvel élan avec l’ouverture prochaine d’un centre de formation en Afrique du Sud, en étroite collaboration avec l’Université de Pretoria.
En France, Techni Drone prévoit d’accroitre son offre de formation à distance, qui comprendra également des sessions d’assistance de 30 minutes en ligne avec un formateur en fonction des besoins.
En totale cohérence avec la stratégie de « dronifier » des métiers et des secteurs d’activité, Delta Drone et sa filiale Techni Drone ont pour ambition d’intégrer la formation « drone » directement au sein de l’enseignement académique, dans les écoles du bâtiment et des travaux publics par exemple, afin de former les étudiants qui seront les professionnels des drones de demain.
A propos de Delta Drone : Le Groupe Delta Drone est un acteur international reconnu du secteur des drones civils à usage professionnel. Il développe une gamme de solutions professionnelles basées sur la technologie des drones ainsi que tous les services associés qui forment une chaine de valeur complète.
L’action Delta Drone est cotée sur le marché Euronext Growth Paris – Code ISIN : FR0011522168
Sont également cotés sur Euronext Growth des BSA Y – Code ISIN : FR 0013400991
Louise Caetano+33 1 55 02 15 13
Sarah Ousahla
+33 1 55 02 15 31
Cet article Le Groupe Delta Drone fortement engagé dans la formation des télépilotes et opérateurs de drones civils à usage professionnel est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:53
CARL Berger-Levrault lance CARL Source 6 : Une nouvelle version du logiciel GTP et GMAO tournée vers le futur
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCARL Berger-Levrault, expert en solutions de gestion du patrimoine technique, présente la nouvelle version de son logiciel CARL Source. Doté d’évolutions ergonomiques, d’améliorations métiers et d’innovations autour de l’Internet des objets, du BIM ou encore de fonctionnalités étendues dans la mobilité, CARL Source 6 est une version majeure de l’offre de l’éditeur.« CARL Source 6 est le fruit de développements animés en collaboration avec des clients référents, impliqués au quotidien dans la gestion de leurs parcs techniques. Les évolutions fonctionnelles ou ergonomiques ont ainsi été éprouvées in-situ, dans le cadre des chantiers de développement menés selon des processus agiles », indique Tugdual le Bouar, Directeur Général de CARL Berger-Levrault.
« Cette nouvelle version concrétise la transformation de notre offre GMAO / GTP, et intègre une plateforme unifiée et digitale de gestion des équipements. Cette plateforme combine des processus de gestion optimisés du cycle de vie des actifs, la dimension graphique et cartographique (plan, SIG, BIM), le big data et l’intelligence artificielle.
Au travers de ses solutions innovantes, CARL Source 6 accélère, pour nos utilisateurs, l’entrée dans l’univers de l’industrie 4.0, du smart building ou de la smart city. Il répond ainsi aux enjeux de performance économique et technique du pilotage de la maintenance », déclare Tugdual Le Bouar.
Une nouvelle ergonomie et plus de fonctions métiers :Le premier contact avec le progiciel est essentiel pour l’adhésion des acteurs de l’application, ainsi cette version fait peau neuve dès sa page d’accueil. CARL Source 6 étend ses possibilités de contextualisation (couleurs, logos…) selon la charte de l’entreprise qui l’utilise. Le portail d’accueil a été enrichi (nouveaux widgets), et sa manipulation est repensée. Le portail informe, alerte et oriente l’utilisateur dans les actions qu’il doit mener au quotidien.
Un axe clé visait à optimiser la rapidité d’accès aux contenus. Ainsi, une fonction de recherche full texte paramétrable permet de traiter et d’extraire l’information utile à partir d’un grand volume de données (base NoSQL). De plus, des « timeline » (ligne de temps) dédiées aux informations importantes ont été mises en place pour faciliter la compréhension de l’avancement d’un processus ou le cycle de vie d’un équipement.
Les possibilités liées à la publication de contenus à destination d’acteurs externes ont été étendues. Par exemple, l’envoi programmé du rapport d’activité toutes les semaines ou la réception du compte-rendu d’intervention…
Le pilotage de la maintenance simplifiéLa planification des ressources : un casse-tête pour le manager !
CARL Source 6 intègre un nouveau planning graphique des ressources, esthétique, pensé pour la maintenance. L’affectation d’interventions via un panier, le déplacement et la permutation des ressources ou des moyens matériels par drag & drop, ainsi que les possibilités de personnalisation au contexte métier constituent ses principaux atouts.L’interopérabilité avec les outils de gestion de Ressources Humaines a été enrichie. En effet, une partie des informations proviennent de systèmes tiers (ex : congés, RTT…) et leur intégration est maintenant simplifiée.
Une offre en mobilité enrichie
Pionnier en GMAO mobile, CARL Berger-Levrault s’est distingué par la fourniture d’applications mobiles sur mesure répondant aux besoins des utilisateurs. Fort des succès remportés par CARL Touch et CARL Flash, l’éditeur complète sa gamme d’applications mobiles avec CARL Xpress, et renforce les fonctionnalités de sa gamme mobile.CARL Xpress, une nouvelle application pour les techniciens et prestataires : intuitive et simple, CARL Xpress permet, en quelques clics, de réaliser des comptes-rendus express. Son ergonomie épurée exploite les dispositifs favorisant les échanges (Chat) et l’acquisition d’informations (dictée vocale, multimédia, NFC, QrCode…). L’application est destinée à tous les agents, internes ou externes à l’entreprise (équipes de production, organismes de contrôle, techniciens SAV…) amenés à réaliser des actes de maintenance ou des diagnostics élémentaires.
CARL Touch, l’application dédiée aux agents itinérants, aux gestionnaires de stocks, accroit ses capacités fonctionnelles : dotée d’un moteur de synchronisation optimisé (base NoSQL), CARL Touch 6 offre une solution adaptée aux organisations d’envergure (plusieurs milliers d’accès concurrents) en garantissant le transfert de données et de documents dont le volume est souvent corrélé avec l’étendue du patrimoine maintenu. CARL Touch s’enrichit de fonctionnalités pour les acteurs maintenance : le suivi des activités permet de distinguer les temps en cours ou hors interventions, et toutes occupations hors maintenance. Des assistants intelligents simplifient l’enregistrement des actions de pose, dépose ou d’échanges standard d’équipements lors d’une intervention.
Le gestionnaire de stock peut également réaliser les actions de réception d’achats ou de transfert. Le contrôle de réception, l’enregistrement des litiges ou la prise de photos améliorent la couverture de cette activité.
Enfin la technologie NFC est intégrée à l’ensemble des processus de gestion des équipements ou des articles.CARL Flash, l’application de demande de services tout public : elle permet aux utilisateurs d’un bien, d’un équipement ou d’un espace public de solliciter, pour des besoins variés, les services techniques chargés d’en assurer la maintenance.
Le réglementaire sans peine :CARL Source 6 et ses options mobiles apportent à nos clients une réelle facilité et efficacité pour assurer la conformité avec la réglementation RGPD. Cette démarche autour de la conformité réglementaire est en parfaite cohérence avec les fondamentaux du groupe Berger-Levrault.
Des innovations tournées vers l’avenirUn Connecteur IFC BIM assure l’intégration des informations issues des maquettes numériques 3D relatives aux bâtiments et infrastructures. Ainsi, la continuité du BIM construction vers le BIM exploitation maintenance est assurée. Les données de la maquette (locaux, équipements, réseaux) sont récupérées de manière itérative dès la phase de conception et sont intégrées dans CARL Source 6. Le gain de temps est indéniable, le passage en cycle de maintenance est immédiat, pour les travaux de construction ou de rénovation.
Une Plateforme IoT : CARL Berger-Levrault lance sa propre plateforme IoT dédiée à la maintenance. Capable de traiter toutes les composantes de la chaîne IoT, du capteur à la valorisation des données dans la GMAO, elle permet aux services techniques de disposer des données prévisionnelles nécessaires au déclenchement optimal de la maintenance.
À propos de CARL Berger-LevraultCARL Software, expert en solutions de gestion du patrimoine technique et de la maintenance depuis plus de 30 ans a rejoint le groupe Berger-Levrault en mai 2018. Il fait évoluer son nom de marque : CARL Berger-Levrault.
Le groupe Berger-Levrault, éditeur de logiciels international, accompagne les professionnels privés et publics à répondre aux exigences croissantes de performance et de transformation digitale de leurs métiers.
Avec plus de 50 000 clients et 1 800 collaborateurs en France, en Espagne, au Canada et au Maroc, le Groupe adresse, les collectivités et administrations locales, les entreprises privées, les industries, les établissements médico-sociaux, le secteur hospitalier et le monde de l’éducation.?L’ambition de Berger-Levrault est de faire bénéficier ses utilisateurs du formidable potentiel du numérique au travers de plateformes de services à l’heure de l’ouverture massive des données et des interfaces intelligentes.
En 2019, le groupe Berger-Levrault (Siège social à Boulogne Billancourt/Paris) a réalisé un CA de 168 M€ dont 20% réalisés à l’international.Contact Presse : Agence Abrasive?
Aimée Le Goff : 06 24 00 00 18
eMail : aimee@abrasive.frCet article CARL Berger-Levrault lance CARL Source 6 : Une nouvelle version du logiciel GTP et GMAO tournée vers le futur est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
14:38
Bilan 2020 – Claire Milverton, CEO, 1Spatial
sur Décryptagéo, l'information géographiqueInnovation pendant une année où tout a changéClaire Milverton, CEO de 1Spatial dresse le bilan de l’année 2020
14 décembre 2020
Bilan 2020 – Claire Milverton, CEO, 1Spatial
Lorsque je regarde l’année écoulée, je n’arrive pas à croire à quel point et à quelle vitesse nous nous sommes tous adaptés aux nouvelles méthodes de travail en 2020.
L’histoire nous apprend que les entreprises qui continuent d’innover pendant une crise s’en sortent mieux que celles qui ne le font pas. L’innovation étant au cœur de 1Spatial. En 2020, nous avons été en mesure de relever de nouveaux défis et de saisir de nouvelles opportunités, tout en assurant nos prestations de haute qualité pour nos clients.
En effet, quelle année intense ! Avec la signature de nombreux nouveaux contrats et l’extension de projets clés avec nos clients à travers le monde, en passant par le lancement de 1Data Gateway – l’offre de traitement de données de 1Spatial basée sur le cloud – et la poursuite de nos plans de recrutement. Nous avons également lancé un nouveau site web Groupe et un programme d’événements virtuels. Toute notre communauté a fait preuve d’une réelle résilience en ces temps compliqués, tout en permettant à nos équipes de poursuivre leurs activités en télétravail.
Au Nord, au Sud, à l’Est et à l’Ouest – 1Spatial en 2020En mars, nous avons eu le plaisir d’annoncer le lancement de 1Data Gateway : un portail web libre-service intuitif pour la validation, le traitement et l’amélioration des données. Il fait partie de notre gamme de produits de gestion des données de localisation de référence (LMDM) qui assurent la qualité et la cohérence des données spatiales dans toute l’organisation.
1Integrate a également connu un enrichissement significatif de ses fonctionnalités cette année. Suivez son évolution car, en 2021, nous sortirons un équivalent 3D sous le nom de 1Integrate3D, qui fournira les mêmes fonctions de contrôle, de qualité et d’enrichissement des données pour les données vectorielles 3D comme pour la modélisation des villes ou les projets BIM.
Même avant la Covid-19, l’importance des données de localisation était grandissante, et aujourd’hui déjà 80% des données gérées ont une composante de localisation.
Pour les organismes gouvernementaux et le secteur public, elles sont un élément unificateur entre plusieurs domaines, comme le calcul des impôts fonciers, l’agriculture, l’urbanisme et la construction. Par conséquent, au cours des 12 derniers mois, notre expertise principale – la gestion des données – a pris de l’importance dans les programmes gouvernementaux, tant au Royaume-Uni, en Europe qu’à travers le monde.
Principaux contratsLes données de localisation jouent également un rôle déterminant dans le secteur privé. Par exemple, nous sommes un fournisseur majeur du Métro de Londres avec lequel nous collaborons à la constitution d’un référentiel patrimonial des actifs visant à prévenir les pannes accidentelles, un projet précurseur avant la préparation d’un Registre National des Actifs du Métro (NUAR). Aussi, avec UK Power Networks nous préparons une Carte Nationale de l’Energie.
Au Royaume-Uni, notre partenariat avec Black and Veatch sur le projet Datastore Rules and Validation (DRV) utilise les données GeoCOBie dans 1Integrate pour aider à construire des répliques numériques d’infrastructures complexes. Avec le développement rapide des jumeaux numériques, notre marché avec l’Agence de l’Environnement dans un autre projet DRV nous met en bonne position pour contribuer à un monde virtuel où les actifs numériques sont aussi précieux que les actifs physiques.
Nos clients font preuve d’une grande ingéniosité en adoptant différentes méthodes de travail et en refusant de laisser la pandémie mondiale arrêter les activités. Par exemple, Northumbrian Water a continué à innover et à faire progresser son projet révolutionnaire sur la sécurité des réseaux, en mesurant et en modélisant la profondeur de son réseau souterrain de conduites d’eau. Nous avons été ravis de travailler en partenariat avec eux dans le cadre d’ateliers virtuels et de discussions de groupe via des applications mobiles pour éviter que le projet ne soit retardé.
Aux États-Unis, notre contrat de 5 ans pour la mise en place d’une infrastructure de données spatiales pour un montant de 2,6 millions de dollars US avec l’État du Michigan permettra à 1Data Gateway d’être utilisé par des centaines d’organisations. Nous avons également reçu les félicitations de CalTrans pour le succès de notre projet de validation de la gestion des actifs en partenariat avec Gartner. Cette année, nous avons également élargi notre relation et notre contrat avec Google.
En Europe, faisant suite à l’acquisition de Geomap-Imagis en 2019, nous avons maintenant achevé la fusion juridique de nos sociétés françaises. En conséquence, 1Spatial France emploie 90 personnes dans cinq bureaux à travers le pays qui travaillent comme une seule équipe pour offrir à nos clients les meilleurs services autour des données et des solutions métier géospatiales. Notre société belge est également intégrée dans la nouvelle activité, ainsi que notre filiale en Tunisie, qui se consacre à la numérisation et au traitement de données géospatiales.
En Tunisie, nous avons déménagé nos locaux afin d’offrir un lieu de travail plus agréable et proche du centre à nos 42 collaborateurs, spécialisés dans le traitement des données.
Nous poursuivons notre étroite collaboration avec nos nombreux clients existants et sommes heureux d’accueillir tous les nouveaux clients signés cette année en France et en Belgique.
Nous continuons à intégrer les dernières innovations dans nos chaines de traitements de données et nos solutions logicielles telles qu’arcOpole Pro, 1Water et RealWorld4D pour apporter les meilleures capacités métier aux collectivités territoriales, aux secteurs des transports, des réseaux d’utilité publique et du bâtiment/facilities management.
Notre partenariat avec Esri dans toutes nos régions continue d’apporter des opportunités communes passionnantes. Entre autres actions, nous avons lancé cette année plusieurs projets de migration avec des clients communs en France et en Belgique, et à la conférence Esri France nous avons présenté une dizaine d’applications qui utilisent la plateforme ArcGIS.
Dans la région Asie-pacifique, les ventes continuent de croître et, en raison de notre expansion, nous avons déménagé nos bureaux de Sydney dans des locaux plus modernes, semblables à ceux de Melbourne. En Australie, nos consultants couvrent un large éventail de secteurs et réalisent des projets passionnants et stimulants. Nous travaillons notamment à la transition vers GDA2020 (le nouveau système de référence géodésique australien), à la fourniture de solutions innovantes pour des clients tels que Yarra Valley Water pour le Development Industry Translator (DIT), qui valide automatiquement les données fournies par les promoteurs immobiliers, et à la modernisation et au remplacement d’anciens systèmes par des plates-formes basées sur le serveur FME, qui sous-tendent des sites web très fréquentés de nombreuses organisations.
Nous avons été les premiers à vendre des abonnements FME pour les collectivités locales, les services publics et les entreprises sur le marché australien, ainsi que la nouvelle offre Dynamic Engines de Safe Software. L’éditeur de FME a attribué à 1Spatial Australie le titre de revendeur ayant directement contribué à la plus forte augmentation annuelle des ventes de FME dans la région Asie-Pacifique.
Connecter les gens – où qu’ils soientAlors que nous avons tous souffert du manque de réseautage en face à face, nos expériences virtuelles se sont avérées être très positives et ont permis de connecter des personnes du monde entier grâce à un programme complet de webinaires. Le mois dernier, notre conférence Smarter Data Smarter World a réuni plus de 600 participants à travers la planète désireux d’en savoir plus sur les avantages de la gestion des données de localisation de référence, et en mai, notre tournée mondiale FME a attiré un public similaire de plus de 800 délégués du monde entier.
Pour aider les clients, les partenaires et les personnes du secteur à surmonter leurs difficultés en matière de données, nous avons transformé notre site web en un outil interactif doté d’un contenu sur mesure tel que des webinaires à la demande, des vidéos, des liens d’assistance produit et un « appel à l’innovation » permettant aux utilisateurs de nous soumettre directement leurs idées.
L’équipe a continué à travailler avec les clients, les partenaires et les confrères du secteur pour fournir des solutions qui contribuent à libérer la valeur des données de localisation. Je tiens à remercier chacun d’entre eux pour leur engagement et leur professionnalisme.
La Covid-19 nous a montré à quel point il est difficile de prédire l’avenir, et les succès des 12 derniers mois ont été obtenus sur un fond d’incertitude. Nous avons tous beaucoup appris et nous utiliserons ces connaissances pour nous adapter aux défis futurs.
Nous nous réjouissons de travailler sur de nombreux autres projets passionnants au cours de la nouvelle année.
A 2021 et à tout ce que cette nouvelle année apportera !
Contact :
Catherine Gauthier
Responsable Marketing et CommunicationF +33 (0)4 79 25 38 71
M +33 (0)6 25 93 72 59
catherine.gauthier@1spatial.com
Cet article Bilan 2020 – Claire Milverton, CEO, 1Spatial est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:21
Cartographie de l’emploi dans la fibre en France
sur Décryptagéo, l'information géographiqueInfraNum, la Banque des territoires, l’Avicca et Régions de France lancent la 1ère cartographie de l’emploi dans la fibre en France. Un outil à enrichir avec les régions. Décembre 2020Paris, le 10 décembre 2020
Alors que les industriels de la fibre se démènent pour tenir les objectifs du plan France THD, ils sont à la peine pour trouver des candidats partout en France. C’est pourquoi la fédération InfraNum, soutenue par la Banque des Territoires et en partenariat avec l’Avicca et Régions de France, présentent un nouvel outil pour sensibiliser les acteurs et prescripteurs de l’emploi dans chaque territoire. Pour cette première cartographie interactive, qui se veut le meilleur reflet de l’emploi dans la fibre en France, les partenaires lancent un appel aux Régions et aux territoires.
Dans un contexte d’aggravation du chômage en France, les partenaires de ce nouvel observatoire n’acceptent pas que la promesse de recruter 7 000 à 8 000 nouveaux entrants par an au cours des 2 prochaines années, dans une filière reconnue comme essentielle, ne se réalise pas.
La méconnaissance de ces métiers, non seulement par le grand public, mais aussi par les acteurs et prescripteurs de l’emploi dans les territoires, reste encore bien trop répandue.Aussi, si InfraNum travaille avec le gouvernement pour mettre en place une campagne nationale d’information du grand public, elle a décidé en parallèle de s’adresser directement aux acteurs de l’emploi.
La fédération a organisé avec succès en Nouvelle-Aquitaine puis, début novembre, en Bourgogne Franche-Comté un événement à destination de ces acteurs, avec le soutien de l’association Régions de France.
Cette fois-ci, Régions de France s’associe à l’ensemble des partenaires de l’observatoire (InfraNum, Avicca et Banque des Territoires) pour lancer la première cartographie de l’emploi et des déploiements de la fibre en France.Basée sur les chiffres recueillis dans le cadre de l’Observatoire national du THD sorti en juin 2020 et synchronisé avec les chiffres du bilan de l’EDEC fibre optique publié en septembre, cette cartographie interactive permet de connaître par région et même par département, le potentiel d’emploi, d’heures d’insertion et de formation, pour chaque zone de déploiement (ZDT, AMII et RIP) en 2019, 2022 et 2025.
Les partenaires souhaitent associer l’ensemble des Régions et acteurs de l’emploi à ce nouvel outil mis à leur disposition sur :
Objectif : actualiser les projections (2022 et 2025) au plus près de la réalité terrain (puisqu’elles sont pour l’instant issues de données modélisées) pour être un outil de référence annualisé pour les prescripteurs de l’emploi sur chaque territoire.
Pour rappel, le site objectif fibre peut venir en complément pour les professionnels, qui y trouveront toute l’information utile sur les profils, description de postes et événements emploi par territoire.
Exemple de la cartographie avec un zoom sur la Région Grand-Est
- Contact presse lnfraNum
Sylvie LE ROUX : 06 28 69 05 24 / sylvie.leroux@pressentiel.fr
- Contact Avicca
Ariel TURPIN – Délégué général : 01 42 81 59 99
Cet article Cartographie de l’emploi dans la fibre en France est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
15:38
À compter du 1er janvier 2021, toutes les données publiques (vecteur et ortho-images) de l’IGN seront libres et accessibles gratuitement
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlors que l’ouverture de l’ensemble des données publiques demandée par le Gouvernement était prévue en 2022, l’IGN anticipe et annonce l’ouverture de ses données publiques à compter du 1er janvier 2021. Cet accès gratuit et libre pour tous, en téléchargement ou par flux, contribue au plan national de relance de l’économie.L’ouverture des données IGN sous licence ouverte Etalab 2.0, signifie un accès et un usage gratuit pour tous. Pas de droits de reproduction, ni de diffusion à régler. Seules les données incluant des droits de tiers ou protégées par le droit d’auteur (cartes et SCANs) ne sont pas concernées par cette ouverture. Parmi les données importantes qui seront désormais ouvertes, citons la BD TOPO®, la BD ORTHO®, la BD forêt® et le RGE® Alti.
« Avec la logique d’ouverture des données publiques, l’objectif est d’offrir à tous la possibilité de valoriser les données sans contrainte limitante, de faciliter leur croisement avec d’autres données et de faire émerger de nouveaux services rendus nécessaires par la transformation numérique de la société et de l’Etat. Nous faisons le pari que l’ouverture permettra de construire de nouveaux partenariats et de nouvelles collaborations solides, renforçant ainsi l’adéquation entre les données publiques produites et les attentes exprimées par ceux qui les utiliseront. » déclare Sylvain Latarget, Directeur général par intérim de l’IGN.
Dans la dynamique de la stratégie d’État-plateforme modernisant l’action publique et de la révolution des usages numériques, l’IGN a, ces dernières années, fait évoluer sa mission historique de production-diffusion de données, son organisation, son modèle économique et ses méthodes de travail pour satisfaire un impératif : apporter un appui direct aux politiques publiques.
« Pour tous ceux qui attendaient cette ouverture avec impatience, la mise à disposition de ces données publiques, qui représentent la bagatelle de quelques centaines de téraoctets, se fera progressivement jusqu’à l’ouverture de notre nouvel outil de diffusion massif des données prévue à la fin du 1er trimestre 2021.» complète Sylvain Latarget.
Pour toute question utilisateur : [https:]]
A propos de l’IGNL’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique pour la ville et les territoires durables), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie, de l’opto-électronique, de la photogrammétrie et de la télédétection, du traitement des images, de l’intelligence artificielle, et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint, comme école membre, l’Université Gustave Eiffel créée au 1er janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de la géomatique et de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts Presse
Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse
Cet article À compter du 1er janvier 2021, toutes les données publiques (vecteur et ortho-images) de l’IGN seront libres et accessibles gratuitement est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:24
Airbus qualifie un réflecteur dépliable de cinq mètres pour satellites radar, une première en Europe
sur Décryptagéo, l'information géographique
Coûts réduits pour missions ou constellations de petits satellites radarFriedrichshafen, le 10 décembre 2020 – Airbus a complété la qualification d’un réflecteur d’antenne radar dépliable de cinq mètres, le premier en Europe. Ce réflecteur dépliable de 70 kilogrammes permettra d’obtenir d’un instrument radar une meilleure résolution pour l’observation de la Terre. Avec sa conception exceptionnellement légère, sa rigidité et sa grande robustesse, la technologie du réflecteur semi-rigide offre des avantages significatifs par rapport aux réflecteurs à mailles classiques.
Avec son grand diamètre, le réflecteur ne tiendrait dans aucune coiffe de fusée; il doit donc être replié pour le lancement. Une fois la coiffe larguée, le réflecteur se dépliera comme une fleur – de 1,6 à 5 mètres. Le concept du réflecteur parabolique dépliable permet à Airbus de pénétrer le marché des missions ou constellations radar à coûts réduits.
A l’issue d’une campagne de tests de déploiement et d’environnement intensive, le modèle de qualification a été livré au client pour des tests supplémentaires au niveau du système satellitaire complet. Le modèle de vol sera livré en 2021 et son lancement est actuellement prévu pour le client export, en 2022.
About Airbus
Airbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
Cet article Airbus qualifie un réflecteur dépliable de cinq mètres pour satellites radar, une première en Europe est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:11
Sogelink acquiert GOTMI.IO et renforce son offre de coordination des travaux grâce à l’Intelligence Artificielle (IA)
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 10 décembre 2020 – Après le lancement il y a quelques semaines de PraDICT.io, le portail unique en France pour réaliser gratuitement les Déclarations Prévisionnelles de Chantier (DPC), Sogelink accélère la déclinaison de sa feuille de route avec l’acquisition de la startup GOTMI.IO, proposant une plateforme cartographique innovante basée sur l’intelligence artificielle.Sogelink s’engage ainsi sur la voie d’une coordination des chantiers dans l’espace public plus collaborative et plus efficace avec pour ambition de devenir la référence de la data liée aux travaux.
Déjà connue pour ses solutions de gestion des chantiers et du domaine public (DICT.fr, Littéralis, DA-DPA, PraDICT.io…) Sogelink ajoute une nouvelle corde à son arc avec l’acquisition de GOTMI.IO. Cette nouvelle étape dans la feuille de route de l’éditeur de logiciels, classé 59ème dans le dernier Syntec Top 2501 et 46ème au Truffle 1002, vient conforter sa stratégie dans le domaine de la coordination des travaux.
L’objectif est double : d’une part systématiser les Déclarations Prévisionnelles de Chantiers (DPC)3 en misant sur des standards ouverts, l’Open Data et la gratuité du portail PraDICT.io (lancé début novembre), d’autre part révolutionner la coordination des travaux par l’utilisation de l’intelligence décisionnelle et multicritère. « Avec GOTMI.IO, c’est l’IA qui va directement identifier les recouvrements spatiaux et temporels, en se concentrant sur les chantiers à fort potentiel de mutualisation. Cette mutualisation apportera un véritable gain de temps, des économies de coût de production pour les différentes parties prenantes, collectivités comme prestataires, et une réduction des nuisances pour les usagers » Jean-Loup Delaveau, Manager Business Development chez Sogelink.
Une nouvelle « pépite » pour accélérer la stratégie globale d’innovation et de développement de SogelinkVéritable « pépite lyonnaise », lauréate du concours DataCity en 2019, sur la thématique « Réduire les temps de travaux en ville de Paris » GOTMI.IO est une startup experte dans le domaine de la cartographie collaborative. Créée en 2018, l’entreprise s’adresse essentiellement aux collectivités et aux usagers de la donnée travaux dans l’espace public comme les concessionnaires, les aménageurs, les bureaux d’études et les promoteurs. Son objectif : permettre à tout maître d’ouvrage de déposer son projet de travaux dans un format ouvert, pour ensuite valoriser cette donnée en réutilisation inspirée par des usages concrets (réglementation de voirie, coordination, informations grand public, mobilités…).
« Avec GOTMI.IO, les utilisateurs définissent leurs critères de coordination avec les autres intervenants, les algorithmes vont analyser en temps réel les chantiers intégrés et les faire matcher. Le rôle de la plateforme est de stimuler la mise en relation et la communication entre les utilisateurs », précise Vincent Robert, le fondateur de GOTMI.IO.
En plus d’avoir été séduit par la dynamique collaborative de GOTMI.IO, cette acquisition permet à Sogelink de renforcer son savoir-faire. Déjà à la pointe sur le sujet de la coordination avec ses solutions Littéralis et PraDICT.io, l’éditeur ajoute avec l’acquisition de GOTMI.IO la carte de l’intelligence artificielle, de l’apprentissage automatique des usages et de l’approfondissement de ses modèles collaboratifs ouverts.
Devenir la référence de la data liée aux travauxSogelink entend avec GOTMI.IO profiter d’une expérience réussie en standardisation concrétisée par un schéma de données ouvert, publié et reconnu par les instances de modernisation du gouvernement. Cela permet à Sogelink de pousser plus loin son offre et d’améliorer son accompagnement des collectivités dans la gestion de l’occupation de leur espace public.
Basé sur un algorithme prédictif qui gagne en efficacité avec la quantité de données qu’il intègre, GOTMI.IO accède, en rejoignant Sogelink, à une quantité massive d’informations qui va lui permettre d’alimenter, d’approfondir et d’améliorer ses modèles d’apprentissage automatique développés jusqu’à présent.
A terme, l’ambition de l’adoption généralisée de GOTMI.IO est de faire réaliser plus d’1,5 milliard d’euros par an d’économie aux collectivités, de diminuer le nombre de jours d’occupation du domaine public de plus de 250 000 jours et d’avoir un impact environnemental, sur le traitement des déchets, de plus 10 millions de tonnes par an, car mieux les travaux sont coordonnés, moins ils contribuent à l’émission de GES et de déchets polluants.
« Aujourd’hui, une des préoccupations des élus est d’évaluer au fil de l’eau la perception des travaux par les usagers. L’acquisition de GOTMI.IO nous ouvre cette possibilité au-delà de la sphère réglementaire, de mettre en place un grand nombre d’indicateurs mesurant l’impact des chantiers (économique, temporel, voire social). En résumé, nous ambitionnons de devenir la référence de la data liée aux travaux. », déclare Fatima Berral, CEO de Sogelink.
Créé en 2000 par Ignace Vantorre, Sogelink accompagne tous les acteurs de l’écosystème des infrastructures, des chantiers et du patrimoine avec des solutions logicielles, cloud et mobiles. Toutes ses solutions s’appuient sur une plateforme technologique de services notamment d’échanges de flux à très grande échelle. Avec
26 000 clients et plus de 100 000 utilisateurs, Sogelink ambitionne d’être l’expert incontournable des solutions numériques, intelligentes et collaboratives de gestion 2D/3D/4D des données pour son écosystème. www.sogelink.fr
GOTMI.IO, plateforme collaborative dédiée à la coordination des travaux sur l’espace public, est née en 2017 d’une expérimentation menée avec les collectivités, concessionnaires, et exploitants afin de de développer un algorithme capable d’identifier les chantiers à haut potentiel de coordination. Startup lauréate du concours Datacity#4 pour le challenge « Mieux coordonner les travaux en Ville de Paris » en 2019, elle s’appuie sur un schéma de données ouvert qui recense plus de 6 000 chantiers en temps réels.
https://gotmi.io/
Contact presse
Maurine CASSIN « La Nouvelle Agence »
+33 (0)1 83 81 71 40
maurine@lanouvelle-agence.com
1 Le Top 250 est le classement des éditeurs et créateurs français par Ernst & Young et Syntec Numérique
2 Le Truffle100 est le classement des éditeurs de logiciel français par Private Equity Truffle Capital, et le cabinet d’études
Teknowlogy
3 Avant de démarrer un chantier sur l’espace public, les maîtres d’ouvrage ont la possibilité de réaliser une Déclaration Prévisionnelle de Chantier (DPC) destinée à prévenir les collectivités des travaux envisagés sur leur territoire conformément au code de la voirie routière (Article L115-1). Les collectivités quant à elle doivent assurer la coordination de l’ensemble des chantiers programmés, avec pour principale difficulté l’anticipation de ces interventions multi-acteurs
Cet article Sogelink acquiert GOTMI.IO et renforce son offre de coordination des travaux grâce à l’Intelligence Artificielle (IA) est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
16:04
Avec Karos Territoires, le covoiturage devient un nouveau mode de transport public
sur Décryptagéo, l'information géographique- Désenclaver les zones les moins denses avec le covoiturage
- Optimiser l’offre de transport public
- Augmenter l’attractivité d’un territoire
Seule solution de covoiturage référencée à la Centrale d’achat du transport public (CATP), Karos, via sa solution Karos Territoires, travaille main dans la main avec les collectivités pour offrir notamment aux habitants des zones à faible densité, où les réseaux de transports publics sont souvent moins développés, un moyen de transport économique et une opportunité de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
A PROPOS DE KAROS
Les régions Normandie et Occitanie, le Syndicat Mixte des Transports Artois-Gohelle, le département de l’Aube, le Syndicat Mixte des Mobilités de l’Aire Grenobloise ou encore l’EPCI Caux Vallée de Seine proposent ainsi des offres de mobilité où le covoiturage avec Karos s’intègre directement dans le réseau de transports publics. Les conducteurs des trajets réalisés en covoiturage gagnent en pouvoir d’achat grâce à une rémunération substantielle et les passagers bénéficient de la gratuité ou de tarifs attractifs selon qu’ils possèdent ou non un abonnement à l’offre de transport locale.
Pour les collectivités, travailler avec Karos Territoires, personnalisable en fonction de leurs besoins, permet de déployer une solution de mobilité sur-mesure intégrant le covoiturage domicile-travail dans la tarification de leur offre de transport. La Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) donnant désormais la compétence covoiturage aux Autorités organisatrices de la mobilité (AOM) et aux collectivités, ces dernières peuvent en effet financer en partie le covoiturage domicile-travail et s’associer avec un opérateur prépondérant dans ce domaine.Créée en 2014 par Olivier Binet, spécialiste du financement et du développement d’entreprises, et Tristan Croiset, expert Big Data et Machine Learning, Karos invente un nouveau réseau de transport en commun en exploitant les sièges libres des voitures en circulation. Après 2 années de développement technique et forte d’une équipe d’experts en data science, big data, développement mobile et psycho-ergonomie, Karos a inventé le court-voiturage® et lancé son application mobile en 2015. Aujourd’hui l’application compte près de 400 000 utilisateurs actifs, qui réalisent un covoiturage toutes les 6 secondes. Elle a permis plus d’1,5 million de trajets partagés partout en France.
Soutenue par le Ministère de la Recherche et BPI France, ambassadrice de la French Tech à la COP 21, membre de la plateforme Ville-durable de Paris&Co et du consortium Européen EIT Digital, Karos a été primée à 14 reprises pour son innovation de rupture au service de la mobilité durable.Agence Henry Conseil
42 rue Laugier – 75017 Paris
Tel: 01 46 22 76 43
http://www.henryconseil.comCet article Avec Karos Territoires, le covoiturage devient un nouveau mode de transport public est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
15:58
Le partenariat entre Parrot et UgCS renforce la planification de missions et la cartographie par drones
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe logiciel UgCS est désormais compatible avec les drones Parrot ANAFI pour mieux répondre aux attentes des professionnelsParis, 10 décembre 2020 – Parrot, le premier groupe de drones Européen, a annoncé aujourd’hui la compatibilité de ses drones ANAFI avec le logiciel professionnel de planification de missions UgCS, édité par SPH Engineering. Les utilisateurs d’ANAFI ont désormais accès à la vaste gamme de fonctionnalités du programme améliorant les opérations de drones professionnels, ainsi que les processus d’arpentage et de cartographie.
Premier UgCS (Universal Ground Control Software – Logiciel de contrôle au sol universel) au monde, ce logiciel, adapté à l’arpentage et aux inspections industrielles, permet une planification de missions ainsi qu’une collecte de données améliorées. Il s’agit d’un outil d’acquisition de données standard pour les pilotes de drones professionnels travaillant avec une flotte de drones multifournisseurs, dans le cadre de projets d’arpentage à grande échelle. Il permet de planifier des missions de surveillance par drone pour collecter en toute sécurité des données de haute qualité, en fournissant des techniques pratiques pour les inspections aériennes et linéaires, et en permettant le contrôle direct des drones. UgCS propose également des fonctionnalités clés, comme l’importation personnalisée de données d’altitude, le mode de suivi du terrain et la diffusion de vidéos géoréférencées.
« UgCS est l’un des logiciels de planification de missions les plus avancés pour les drones. Ses fonctionnalités uniques en font l’outil idéal pour mener à bien des projets de cartographie complexes et à grande échelle » déclare Jérôme Bouvard, Directeur des Partenariats Stratégiques chez Parrot. « Ce partenariat permettra d’élargir les capacités de cartographie et les options logicielles disponibles pour l’ensemble des utilisateurs professionnels d’ANAFI. »
Par le biais de son programme de partenariat SDK, Parrot s’efforce de créer un écosystème mondial de fournisseurs de logiciels pour drones pour répondre aux besoins uniques et grandissants des entreprises et de ses utilisateurs professionnels.
« Les domaines d’application professionnels de Parrot incluent certains des utilisateurs les plus exigeants, que ce soit dans le domaine de la sécurité publique, de la construction, de l’inspection, des entreprises et du gouvernement. Pour mener à bien leurs missions quotidiennes étendues et parfois complexes, ils ont besoin d’une technologie de drone fiable, sécurisée et à la pointe, expertise détenue et maitrisée par Parrot. Ils ont également besoin de solutions logicielles puissantes qui leur permettent d’étendre leurs utilisations avancées et leurs exigences « , déclare Chris Roberts, Vice-Président et Directeur des Ventes et du Marketing chez Parrot. « En combinant la planification de missions UgCS avec la plate-forme de drones Parrot ANAFI, c’est chose faite. Nous pouvons offrir des capacités approfondies fiables et efficaces avec de puissants outils de planification d’inspections, l’importation personnalisée de données d’altitude et le suivi du terrain. »
Le réseau mondial des utilisateurs d’UgCS rassemble des organismes privés, publics et éducatifs ainsi que des revendeurs dans plus de 150 pays depuis 2013. Le logiciel est régulièrement mis à jour pour prendre en charge de nouveaux types de drones : le support Parrot ANAFI a été ajouté à la nouvelle version 4.0 d’UgCS.
UgCS est proposé sous forme d’abonnement mensuel ou de licence perpétuelle. Les nouveaux clients ont aussi la possibilité de profiter d’un essai gratuit de 14 jours.
« SPH Engineering est ravi de s’associer à Parrot dans la construction de l’écosystème mondial des drones pour les consommateurs et les professionnels, et de soutenir Parrot ANAFI via UgCS avec une planification de missions de drones sûre et polyvalente », commente Alexei Yankelevich, directeur R&D chez SPH Engineering. « C’est une excellente gamme de drones avec des caractéristiques très compétitives pour la construction, l’agriculture, les premiers secours et bien d’autres applications. »
Pour plus d’informations sur Parrot et les drones ANAFI, rendez-vous sur Parrot.com.
Pour en savoir plus sur les logiciels UgCS : ugcs.com.
Parrotthe messengers pour ParrotCecilia HageJohana Gunthercecilia.hage @parrot.comjohana@themessengers.fr
SPH Engineering:
Anastasiya Voronkova
Tel. 06 34 42 62 86
A propos de Parrot
Fondé en 1994 par Henri Seydoux, Parrot est aujourd’hui le premier groupe de drone Européen sur ce marché en pleine expansion. Visionnaire, à la pointe de l’innovation, Parrot est le seul groupe à être positionné sur l’ensemble de la chaîne de valeur, des équipements aux services en passant par les logiciels.
· Parrot, numéro 2 mondial du marché des drones grand public, conçoit des produits et des logiciels grand public et professionnels reconnus pour leurs performances et leur simplicité d’usage.
· Parrot dispose aussi d’un portefeuille de sociétés et de participations de premier plan dans les drones professionnels, couvrant équipements, logiciels et services. Les expertises sont principalement centrées sur 3 verticaux : (i) l’Agriculture, (ii) la Cartographie 3D, la Géomatique et l’Inspection, et (iii) la Défense et la Sécurité.
Le Groupe Parrot, conçoit et développe ses produits en Europe, principalement à Paris où est établi son siège et en Suisse. Il compte aujourd’hui plus 500 collaborateurs dans le monde et réalise la grande majorité de ses ventes à l’international. Parrot est cotée depuis 2006 sur Euronext Paris (FR0004038263 – PARRO). L’information financière est disponible sur http://corporate.parrot.com. Pour plus d’informations consultez : www.parrot.com et ces filiales www.pix4d.com, www.sensefly.com, www.micasense.com.
A propos de SPH Engineering
SPH Engineering (sph-engineering.com) is the world’s premier UgCS software developer and integration services provider for unmanned aerial systems. Founded in 2013 in Latvia, the company has created a rich global customer network while over 45% of customers are located in North America. Its developed UgCS, UgCS CC, UgCS Mapper, ATLAS, Drone Show Software, and Industrial Integration Solutions for UAV with Echo Sounders, Ground Penetrating Radars (GPR), Methane detectors, and Magnetometers, enriched with radar/laser altimeters, are applied across a wide range of industries worldwide.
Cet article Le partenariat entre Parrot et UgCS renforce la planification de missions et la cartographie par drones est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:38
Comment ne pas perdre ses repères en zoomant rapidement dans une carte web ? Guillaume Touya, chercheur IGN-ENSG au LaSTIG, lauréat de la bourse de l’ERC pour LostInZoom
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe 9 décembre, l’ERC (European Research Council), l’agence européenne dédiée à la recherche fondamentale, annonce la liste de ses 327 prestigieuses bourses de recherche allouées pour un montant total de 655 millions d’euros aux lauréats des 23 pays concourants, dont 34 bourses pour la France. Parmi elles, celle de deux millions d’euros, catégorie sciences sociales et humaines, accordée pour cinq ans à Guillaume Touya, chercheur et directeur adjoint du LaSTIG, unité mixte de recherche de l’IGN et de l’Université Gustave Eiffel, pour le projet LostInZoom, un nouveau paradigme de zoom cartographique.Après avoir zoomé à différentes échelles sur une carte numérique, il est fréquent de se retrouver perdu quelques secondes dans sa navigation. En effet, le cerveau humain, peu adapté à l’exercice du changement d’échelle, est susceptible de ne plus pouvoir se repérer sur la carte et d’être confronté à une situation d’échec ou de stress. Le nouveau paradigme de zoom cartographique LostInZoom, développé par Guillaume Touya, chercheur de 39 ans de l’ENSG-Géomatique(1), directeur adjoint du LaSTIG(2), vise à supprimer ces précieuses secondes de désorientation, grâce à une navigation qui privilégie une approche plus cognitive et moins mécanique de la carte. Il s’agit d’utiliser la manière dont le cerveau humain relie les représentations mentales des échelles pour les traduire sous forme d’animations. Ce sont dès lors des points de repères identifiables à plusieurs échelles comme autant d’ancrages forts qui seront utilisés dans la représentation de la carte – par exemple, la Seine et la Tour Eiffel comme ancres pour se repérer dans le sud-ouest parisien – au sein et autour desquels il sera possible de faire progressivement apparaître tous les détails de la carte souhaités.
« Deep learning, généralisation cartographique, analyse et cognition spatiales, IHM (interaction homme machine) sont autant de moyens et de méthodes d’approche qui viennent implanter un vaste et prometteur domaine de recherche pluridisciplinaire exploré par Guillaume Touya, l’un de nos brillants chercheurs, dont le travail reconnu par cette bourse d’excellence vient honorer la recherche IGN- ENSG et confirmer l’IGN dans son rôle d’opérateur cartographique de référence au service des politiques publiques » déclare Nicolas Paparoditis, directeur de l’ENSG-Géomatique.
Si le grand public pourra, à terme, bénéficier d’une lecture facilitée de son environnement grâce à LostInZoom, ce sont les gestionnaires de crises confrontés à la nécessaire rapidité en matière de prises de décision, qui en seront les premiers bénéficiaires face aux situations qui provoquent l’effondrement ou la disparition traumatique d’un environnement : tremblements de terre, submersions marines et inondations.
Plus d’informations sur les bourses 2020 de l’ERC > https://erc.europa.eu/
(1)L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques, pôle d’enseignement supérieur et de recherche de l’IGN, a rejoint l’Université
Gustave Eiffel créée en janvier 2020.
(2)Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique, unité mixte de recherche IGN et Université Gustave Eiffel
A propos de l’IGN
L’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique pour la ville et les territoires durables), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie, de l’opto-électronique, de la photogrammétrie et de la télédétection, du traitement des images, de l’intelligence artificielle, et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint, comme école membre, l’Université Gustave Eiffel créée au 1er janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de la géomatique et de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts Presse
Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
Nous suivre sur >> ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse –
Cet article Comment ne pas perdre ses repères en zoomant rapidement dans une carte web ? Guillaume Touya, chercheur IGN-ENSG au LaSTIG, lauréat de la bourse de l’ERC pour LostInZoom est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
12:53
Du pixel à la balance : comment mobiliser les images de télédétection en droit foncier ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAvec « Le pixel et la balance », Élisabeth Botrel et Laurent Polidori associent leurs expertises pour faire le point sur un sujet encore peu traité : le potentiel des images de télédétection (acquises par satellite, avion ou drone) pour dire le droit foncier.
Information actualisée, « sans filtre » apparent, base de discussions… l’image de la Terre vue du dessus aide aménageurs, géographes et autorités publiques dans leurs missions. Mais comment est-elle aujourd’hui mobilisée dans le cadre légal et jusqu’où pourrait-elle être exploitée ? Quand et comment sert-elle de preuve ? Compte tenu du droit actuel et des avancées techniques, peut-on envisager un bornage dématérialisé ? Pour creuser ces questions, Élisabeth Botrel, juriste, et Laurent Polidori, spécialiste de la télédétection, mais également ancien directeur de l’École Supérieure des Géomètres Topographes (ESGT) engagent un véritable dialogue. Leur ouvrage commun va aussi bien chercher dans les bases de la télédétection, dans les cas de jurisprudence, dans les travaux de recherche que du côté des enjeux éthiques. À l’aide de nombreux exemples, les auteurs nous proposent une réflexion très détaillée et des outils pratiques pour répondre aux enjeux actuels et futurs de l’utilisation de l’image spatiale dans la propriété foncière.
Le pixel et la balance : les images de télédétection pour le droit foncier, Éditons LexisNexis, 39 €. À commander dans une librairie près de chez vous.Cet article Du pixel à la balance : comment mobiliser les images de télédétection en droit foncier ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
18:59
Mapotempo développe son partenariat avec Cityzen (Groupe Up)
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDepuis 2015 Mapotempo, éditeur de solutions de gestion de tournées et Cityzen (Groupe Up), leader dans l’informatisation des structures d’aide et de soins à domicile, ont noué un partenariat technologique pour la fourniture de plusieurs composants web de :
- Cartographie : Cartographie des clients, tournées, sectorisation…
- Géocodage : Passer d’une adresse aux coordonnées géographiques et inversement
- Calcul d’itinéraires : Calcul de routes, matrices et d’isochrones, gestion de modes de transports variés : véhicule léger, poids lourd, piéton, vélo, transport en commun, triporteur électrique…
Aujourd’hui nous sommes fiers de pouvoir annoncer une nouvelle étape de notre partenariat avec l’intégration de notre module d’optimisation de tournées : optimisation avec ou sans contraintes (coûts, créneaux horaires, véhicules, pauses…)
Ce nouveau module totalement intégré à la Solution Web d’Up Cityzen, permettra à des centaines de structures de bénéficier de tournées optimisées. Ce module augmentera à la fois la qualité de service rendue aux bénéficiaires mais aussi le confort de travail des coordinateurs et des intervenants à domicile, tout en réduisant l’emprunte carbone.
À propos de Mapotempo :Fort de 250 clients et intégrée au groupe international Octime, Mapotempo édite et commercialise des solutions innovantes de gestion de tournées : livraisons, collectes, interventions, commerciaux.
À la fois puissantes et user-friendly, les applications Mapotempo aident les grands comptes, ETI, PME, start-up et éditeurs à faire de leurs tournées un axe de développement stratégique.Site web : www.mapotempo.com
Contact presse : Léa Da Palma, lea@mapotempo.com, 06 73 17 07 46
À propos de Up Cityzen :Spécialiste de l’informatisation des structures de services à la personne depuis plus de 30 ans, Up Cityzen propose des solutions de gestion innovante pour :
- Optimiser la performance de leur organisation,
- Encourager l’engagement des collaborateurs,
- Faciliter la prise en charge des personnes aidées,
- Fidéliser leur clientèle.
Site web : [https:]
Contact presse : Alissia Julien,
alissia.julien@up.coop, 02 99 36 12 34Cet article Mapotempo développe son partenariat avec Cityzen (Groupe Up) est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
11:22
Pays du monde : révision en ligne avec Map Quiz
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSi vous faites partie de celles et ceux qui confondent la Guinée et la République Centrafricaine, l’Azerbaïdjan et l’Irak, ce petit quiz est fait pour vous (ou pour vos enfants, bien sûr).Réalisé par Arun Ganesh en utilisant les données OpenStreetMaps et Mapbox, Map Quiz vous demande d’identifier des pays que l’on situe plus ou moins vaguement sur la mappemonde. Que vous gagniez ou perdiez, vous découvrirez à cette occasion quelques informations récupérées sur Wikidata : drapeau, hymne national notamment.
Cet article Pays du monde : révision en ligne avec Map Quiz est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
19:56
Revue de presse du 24 novembre au 8 décembre 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSignée Ariane Pinel, voici une carte bien vue d’un pays reconfiné !
Covid, confinement, élections, 5G, vélo, piétons, recommandations… tous les sujets d’actualité s’expriment en cartographie. La preuve dans quelques articles parus récemment.COVID : « L’analyse des eaux usées cartographiée pour anticiper l’évolution de la Covid dans la région » Made in Marseille donne des détails sur la campagne menée par les Marins-pompiers en cours d’extension dans la région.
ÉLECTIONS : « S’initier à la cartographie électorale à travers l’exemple des élections présidentielles de novembre 2020 aux Etats-Unis ». Nouveau billet de Sylvain Genevois sur Cartographie(s) numérique(s) pour tout comprendre… Pédagogique, complet, plein de liens intéressants : indispensable lecture non réservée aux professeurs de géographie.
COVID : « Les effets du Covid sur votre région depuis mars. Regard de cartographe #1 » Un article de l’Humanité signé Nicolas Lambert (cartographe encarté) accompagné de cartes interactives.
FONDS DES MERS : « Objectif mer #2 – Les incroyables images de la Méditerranée pendant le confinement ». Retrouvez sur Le Point comment le confinement a permis à la cartographie des fonds proches du littoral méditerranéen d’avancer et de révéler l’ampleur des dégâts causés par certains bateaux.
3D : « Sans cartographie, point de 5G » JDN explique les enjeux de la cartographie 3D détaillée pour le déploiement des antennes, avec des témoignages de HERE et Esri France.
VILLE INTELLIGENTE : « Smart city : où sont les villes intelligentes en France » Le Journal du Net fait une synthèse des projets et réalisations, open data en tête.
VILLE INTELLIGENTE : « Paris se dote d’une plateforme de données pour analyser l’essor du vélo », grâce à Géovélo, qui propose un tableau de bord intégrant les traces des utilisateurs de son application. (Journal du Net)
GÉOMARKETING : « Spécialisée dans l’analyse de flux, Affluences lève 4 millions d’euros et part à la conquête du retail » nous apprend l’Usine Digitale. L’affluence et l’analyse des flux seraient-elles les nouveaux terrains de jeu pour la géolocalisation et l’analyse spatiale ?
IA ET CARTO : Découvrez une bonne dizaine d’entreprises occitanes qui misent sur l’IA dans le domaine géographique à travers cette cartographie originale des compétences régionales dans le domaine. Attention, toutes ne se cachent pas dans la rubrique « Cartographie » !
GOOGLE MAPS : « Avec son nouveau fil d’actualité, Google Maps va faire de l’ombre à Facebook ». l’application de cartographie vous propose désormais de découvrir ce qui se passe pas loin en ce moment (aujourd’hui, pas grand-chose
) (Presse Citron)
Cet article Revue de presse du 24 novembre au 8 décembre 2020 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
-
19:34
Zones humides : les inventorier pour mieux les préserver
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDans le cadre de la mise en œuvre des 10 Schémas d’Aménagement et de Gestion des Eaux dont il assure le portage, l’Etablissement public Loire conduit depuis plusieurs années des inventaires de zones humides afin d’améliorer leur connaissance et de les préserver de toute dégradation future.
Les zones humides, de typologies très variées, restent aujourd’hui menacées par les activités anthropiques (50% des surfaces ont disparu en France entre 1950 et 1990) au détriment des fonctions (hydrologique, écologique, physiques et biogéochimiques) et services (approvisionnement, régulation des écoulements, culturels et sociaux) qu’elles peuvent assurer et rendre. Afin d’améliorer la connaissance de ce patrimoine naturel et de le préserver, les Commissions locales de l’eau ont affirmé le caractère prioritaire des inventaires de terrain.Afin d’assurer une certaine homogénéité dans la réalisation de prospections utilisables à l’échelle locale et nationale, de ne pas tarder dans leur mise en œuvre et de faire des économies d’échelle sur le coût associé, l’Etablissement a engagé depuis 2013 plusieurs inventaires avec comme autre objectif d’apporter une information la plus exhaustive sans toutefois aller jusqu’à délimiter ces milieux au sens réglementaire (Arrêtés de juin 2008 et d’octobre 2009).
Ainsi, en termes de méthodologie, le protocole proposé est adapté à la superficie du territoire à inventorier et se base préférentiellement sur la présence d’une végétation hygrophile, les sondages pédologiques s’inscrivant comme un complément à l’analyse floristique et n’intervenant que si cette dernière s’avère insuffisante. Ces inventaires, réalisés en régie ou externalisés, associent largement les acteurs locaux (élus et techniciens communaux, agriculteurs, sylviculteurs, représentants d’associations environnementalistes, etc.) afin de partager les résultats et de faciliter leur appropriation ainsi que leur intégration dans les documents d’urbanisme.
Fin 2020, ce sont près de 550 territoires communaux qui auront été prospectés dans le cadre des initiatives lancées par l’Etablissement, soit un peu plus de 10% des communes du bassin de la Loire et ses affluents. Ce nombre devrait être porté à plus de 700 d’ici un an. Afin de mettre à disposition de tous les acteurs, les limites géographiques et les principales caractéristiques de ces zones humides inventoriées, une cartographie interactive sera développée et mise en ligne à partir du 2 février 2021, date de la journée mondiale des zones humides.
A cette occasion, sur plusieurs périmètres de SAGE, d’autres actions seront menées par l’Etablissement afin de sensibiliser le plus grand nombre aux enjeux liés à la préservation de ces tourbières, queues d’étangs, marais, prairies humides… Vous pourrez les retrouver dans le cadre du programme d’animations de la prochaine journée mondiale des zones humides.
Dans un contexte de changement climatique, préserver, gérer et restaurer les zones humides constituent de vraies solutions fondées sur la nature qui permettent de répondre en partie aux défis d’une gestion durable de l’eau et de la lutte contre la perte de biodiversité inféodée à ces milieux.
Cet article Zones humides : les inventorier pour mieux les préserver est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.