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18:40
Le dixième millésime du MOS pourrait remonter à 1949
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueLes champs de Villetaneuse en 1949 (© IGN)
La base de données d’occupation du sol (MOS) de l’IAU est devenue, au fil des ans et des millésimes, une véritable institution, comme l’ont expliqué différents témoins lors de la table ronde organisée le 13 février. La version 2017 qu’il s’agissait de lancer en est la neuvième édition depuis 1982, réalisée en partie à partir d’images satellitaires. À l’occasion de cette rencontre, Fouad Awada, le directeur général de l’institut a annoncé officieusement, qu’une nouvelle édition était très sérieusement à l’étude : une version 1949, qui serait réalisée par photo interprétation de la campagne réalisée cette année-là par l’IGN, offrant ainsi une vision de l’Île-de-France avant le déploiement des grandes infrastructures… Sûrement très instructif ! On attend l’annonce officielle…
En savoir plus sur le MOS :
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18:40
Le dixième millésime du MOS pourrait remonter à 1949
sur Les Rencontres DécryptagéoLes champs de Villetaneuse en 1949 (© IGN)
La base de données d’occupation du sol (MOS) de l’IAU est devenue, au fil des ans et des millésimes, une véritable institution, comme l’ont expliqué différents témoins lors de la table ronde organisée le 13 février. La version 2017 qu’il s’agissait de lancer en est la neuvième édition depuis 1982, réalisée en partie à partir d’images satellitaires. À l’occasion de cette rencontre, Fouad Awada, le directeur général de l’institut a annoncé officieusement, qu’une nouvelle édition était très sérieusement à l’étude : une version 1949, qui serait réalisée par photo interprétation de la campagne réalisée cette année-là par l’IGN, offrant ainsi une vision de l’Île-de-France avant le déploiement des grandes infrastructures… Sûrement très instructif ! On attend l’annonce officielle…
En savoir plus sur le MOS :
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18:09
Réchauffement climatique : une carte interactive pour alerter les Américains
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueTout est bon pour faire passer le message ! Aujourd’hui ce sont des chercheurs de l’université du Maryland qui proposent une cartographie interactive du futur climatique de 540 villes des États-Unis.Simple et efficace : Urban Climate mise sur les similarités pour expliquer le changement climatique
Le principe est simple, cliquez sur la ville de votre choix et visualisez à quelle autre ville elle ressemblera le plus en termes de climat dans 60 ans. Les deux villes sont alors reliées par une ligne et la taille du cercle indique le degré de similitude. Matthew C. Fitzpatrick et Robert R. Dunn ne se sont pas arrêtés là et proposent une vision alternative « si nous réduisons nos émissions », selon les critères de l’accord de Paris. Il est également possible d’afficher une couche de similarité, qui transforme l’information ponctuelle en carte surfacique.
MéthodeLes chercheurs ont compilé douze variables pour définir le régime climatique présent et futur des 540 villes étudiées, et prennent en compte 27 scénarios pour proposer une évolution moyenne. Ils décrivent leur méthodologie et principaux résultats dans un article paru dans Nature le 12 février. Si une extension à d’autres régions vous intéresse, vous pouvez effectuer une donation…
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Réchauffement climatique : une carte interactive pour alerter les Américains
sur Les Rencontres DécryptagéoTout est bon pour faire passer le message ! Aujourd’hui ce sont des chercheurs de l’université du Maryland qui proposent une cartographie interactive du futur climatique de 540 villes des États-Unis.Simple et efficace : Urban Climate mise sur les similarités pour expliquer le changement climatique
Le principe est simple, cliquez sur la ville de votre choix et visualisez à quelle autre ville elle ressemblera le plus en termes de climat dans 60 ans. Les deux villes sont alors reliées par une ligne et la taille du cercle indique le degré de similitude. Matthew C. Fitzpatrick et Robert R. Dunn ne se sont pas arrêtés là et proposent une vision alternative « si nous réduisons nos émissions », selon les critères de l’accord de Paris. Il est également possible d’afficher une couche de similarité, qui transforme l’information ponctuelle en carte surfacique.
MéthodeLes chercheurs ont compilé douze variables pour définir le régime climatique présent et futur des 540 villes étudiées, et prennent en compte 27 scénarios pour proposer une évolution moyenne. Ils décrivent leur méthodologie et principaux résultats dans un article paru dans Nature le 12 février. Si une extension à d’autres régions vous intéresse, vous pouvez effectuer une donation…
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17:03
Archéologie en 3D : Kweneng émerge de l’oubli grâce au Lidar
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueSituée à une cinquantaine de kilomètres au sud de Johannesburg, l’ancienne cité de Kweneng est quasiment invisible pour qui traverse la savane. Une récente mission lidar permet aux archéologues d’en étudier plus précisément l’étendue et l’organisation.La mission Lidar révèle l’étendue de Kweneng (Université de Witwatersrand)
Quelques ruines de l’ancienne cité de Kweneng, sans doute occupée par les Tswanas du début du XIIIe siècle à la fin du XIXe avaient déjà été identifiées à la fin des années soixante grâce à des prises de vues aériennes. Et sur Google Earth, des traces de la ville sont bien visibles. Mais la récente mission lidar a permis à une équipe d’archéologues de mettre à jour des centaines de murs et maisons, sur une surface beaucoup plus étendue. Le professeur Karim Sadr de l’université de Witwatersrand estime aujourd’hui que ce sont quelque 5 000 à 10 000 personnes qui ont pu y vivre, au sein d’un système politique complexe.
Les données ainsi récoltées soulèvent des questions qui vont au-delà de la science, car les causes et dates de la disparition de la ville demeurent obscures. Les tswanas auraient-ils été chassés et pourraient-ils réclamer des terres ? L’image de la nature sauvage de l’Afrique de Sud qui fait son succès touristique ne risque-t-elle pas d’être écornée si les visiteurs se rendent compte que leurs safaris se font sur les ruines d’anciennes villes et villages ?
Pour en savoir plus sur cette découverte :- “How we recreated a lost African city with laser technology” (site de l’Université de Witwatersrand)
- “South African archaeologists have rediscovered an ancient lost city known as Kweneng using laser technology” (Africa News)
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Archéologie en 3D : Kweneng émerge de l’oubli grâce au Lidar
sur Les Rencontres DécryptagéoSituée à une cinquantaine de kilomètres au sud de Johannesburg, l’ancienne cité de Kweneng est quasiment invisible pour qui traverse la savane. Une récente mission lidar permet aux archéologues d’en étudier plus précisément l’étendue et l’organisation.La mission Lidar révèle l’étendue de Kweneng (Université de Witwatersrand)
Quelques ruines de l’ancienne cité de Kweneng, sans doute occupée par les Tswanas du début du XIIIe siècle à la fin du XIXe avaient déjà été identifiées à la fin des années soixante grâce à des prises de vues aériennes. Et sur Google Earth, des traces de la ville sont bien visibles. Mais la récente mission lidar a permis à une équipe d’archéologues de mettre à jour des centaines de murs et maisons, sur une surface beaucoup plus étendue. Le professeur Karim Sadr de l’université de Witwatersrand estime aujourd’hui que ce sont quelque 5 000 à 10 000 personnes qui ont pu y vivre, au sein d’un système politique complexe.
Les données ainsi récoltées soulèvent des questions qui vont au-delà de la science, car les causes et dates de la disparition de la ville demeurent obscures. Les tswanas auraient-ils été chassés et pourraient-ils réclamer des terres ? L’image de la nature sauvage de l’Afrique de Sud qui fait son succès touristique ne risque-t-elle pas d’être écornée si les visiteurs se rendent compte que leurs safaris se font sur les ruines d’anciennes villes et villages ?
Pour en savoir plus sur cette découverte :- “How we recreated a lost African city with laser technology” (site de l’Université de Witwatersrand)
- “South African archaeologists have rediscovered an ancient lost city known as Kweneng using laser technology” (Africa News)
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15:35
La TeleScop lauréate du 1er prix spatial de création de sociétés coopératives et participatives
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueLa TeleScop, société coopérative et participative (Scop) montpelliéraine du domaine spatial, a reçu le prix « Technologies de l’Espace et des Télécommunications » lors de la cérémonie de remises de prix de la 2ème édition du Concours jeunes entrepreneurs organisé par l’Union régionale des Scop Occitanie – Pôle Pyrénées le 7 février 2019 à Toulouse.Sophie Ayoubi et Bastien Nguyen Duy – Bardakji reçoivent leur prix Technologies de l’Espace et des Télécommunications remis par Gilles Rabin du Cnes en présence de Rémi Roux, président de l’Urscop Occitanie ©Urscop Occitanie
Ce concours récompense les porteurs de projets de moins de 35 ans, résidant en Occitanie, ayant mené un projet de création d’entreprise en coopérative au cours de l’année. Un nouveau prix dédié aux scop du domaine du spatial et des télécommunications a été créé en 2018 en association avec le Centre national d’études spatiales (Cnes) pour récompenser les entrepreneurs pour la nature de leur projet et leur innovation.
Bastien Nguyen Duy-Bardakji, fondateur et gérant de La TeleScop, et Sophie Ayoubi, chargée de communication, ont reçu le prix de 1000€ remis par Gilles Rabin, directeur de l’innovation, des applications et des sciences au Cnes.
L’équipe de la TeleScop a souhaité participer au concours organisé par l’Urscop afin de montrer que le statut de scop, qui s’inscrit dans le domaine de l’économie solidaire et sociale, peut être compatible avec un domaine d’activité lié aux technologies de pointe telles que la télédétection.
La TeleScop prévoit d’utiliser le montant de ce prix pour s’impliquer dans les réseaux nationaux et les événements régionaux en lien avec l’information géographique et spatiale.
http://www.scopmidipyrenees.coop
La TeleScop : société coopérative en télédétection, cartographie et appui aux politiques publiques, elle répond aux besoins des acteurs publics et privés en données spatialisées dans les domaines de l’environnement, l’agriculture et l’aménagement du territoire.
SCOP La TeleScop • 311 chemin de la Draye du Marbre – 34170 Castelnau-le-Lez – communication@latelescop.fr • LaTeleScop.fr
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La TeleScop lauréate du 1er prix spatial de création de sociétés coopératives et participatives
sur Les Rencontres DécryptagéoLa TeleScop, société coopérative et participative (Scop) montpelliéraine du domaine spatial, a reçu le prix « Technologies de l’Espace et des Télécommunications » lors de la cérémonie de remises de prix de la 2ème édition du Concours jeunes entrepreneurs organisé par l’Union régionale des Scop Occitanie – Pôle Pyrénées le 7 février 2019 à Toulouse.Sophie Ayoubi et Bastien Nguyen Duy – Bardakji reçoivent leur prix Technologies de l’Espace et des Télécommunications remis par Gilles Rabin du Cnes en présence de Rémi Roux, président de l’Urscop Occitanie ©Urscop Occitanie
Ce concours récompense les porteurs de projets de moins de 35 ans, résidant en Occitanie, ayant mené un projet de création d’entreprise en coopérative au cours de l’année. Un nouveau prix dédié aux scop du domaine du spatial et des télécommunications a été créé en 2018 en association avec le Centre national d’études spatiales (Cnes) pour récompenser les entrepreneurs pour la nature de leur projet et leur innovation.
Bastien Nguyen Duy-Bardakji, fondateur et gérant de La TeleScop, et Sophie Ayoubi, chargée de communication, ont reçu le prix de 1000€ remis par Gilles Rabin, directeur de l’innovation, des applications et des sciences au Cnes.
L’équipe de la TeleScop a souhaité participer au concours organisé par l’Urscop afin de montrer que le statut de scop, qui s’inscrit dans le domaine de l’économie solidaire et sociale, peut être compatible avec un domaine d’activité lié aux technologies de pointe telles que la télédétection.
La TeleScop prévoit d’utiliser le montant de ce prix pour s’impliquer dans les réseaux nationaux et les événements régionaux en lien avec l’information géographique et spatiale.
http://www.scopmidipyrenees.coop
La TeleScop : société coopérative en télédétection, cartographie et appui aux politiques publiques, elle répond aux besoins des acteurs publics et privés en données spatialisées dans les domaines de l’environnement, l’agriculture et l’aménagement du territoire.
SCOP La TeleScop • 311 chemin de la Draye du Marbre – 34170 Castelnau-le-Lez – communication@latelescop.fr • LaTeleScop.fr
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12:49
Drive, Park, Ride : Moovit et TomTom s’associent à Microsoft pour présenter le premier planificateur de trajets multimodaux au monde
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueParis, 14 février 2019 – Plusieurs leaders mondiaux de la mobilité urbaine ont dévoilé aujourd’hui la première et la plus complète plateforme de planification de trajets multimodaux au monde. Une solution permettant de réduire les embouteillages des villes à travers le monde et permettant ainsi aux développeurs de créer des applications plus riches afin d’améliorer les déplacements des consommateurs au sein de leurs villes. Les dirigeants de Moovit, leader des plateformes MaaS (“Mobility as a Service”) et première application de transport au monde ; TomTom, spécialiste des technologies de localisation ; ainsi qu’Azure Maps de Microsoft ont présenté une solution identifiant toutes les options de conduite, de stationnement et de transport en commun ; et les ont regroupé dans un seul et même produit pour les utilisateurs de carte. Cela sera particulièrement utile pour les utilisateurs de banlieues qui ne savent pas où stationner leur voiture ou bien quelle ligne de transport emprunter quand ils se rendent en ville.
Aux côtés de Nir Erez – cofondateur et PDG de Moovit – et Anders Truelsen – Directeur Général de TomTom – ; Chris Pendleton – Responsable de Azure Maps, a dévoilé la solution lors de son discours à la conférence MOVE à l’ExCeL London. Cette solution, qui s’appuie sur les API de transport de Moovit ainsi que sur les informations de la conduite et le stationnement provenant des API de TomTom, affiche les options permettant de connaître le trajet en voiture depuis une banlieue à un parking proche d’une station de transport, d’effectuer un trajet en transport public vers la ville et d’effectuer le reste du trajet à pied, en covoiturage, en scooter ou en vélo. Aucune autre solution de mobilité urbaine offre des informations en temps réel à la fois sur les déplacements en voiture, en transport en commun et sur les stationnements, dans un seul et unique planificateur de trajet. Grâce à l’intégration à Azure Maps, la plateforme de géolocalisation intelligente de Microsoft pour le cloud Azure, les développeurs pourront intégrer la planification de trajets multimodaux à leurs solutions IoT, de mobilité, de smart city et de logistique. Ces nouvelles API s’ajoutent à l’intégration des API de transport annoncée par Microsoft et Moovit en Novembre dernier.
« Durant les dernières années, les villes ont connu un important essor urbain, au cours duquel les habitants des zones métropolitaines ont dû se rediriger vers les banlieues, et très souvent au-delà des limites des lignes de transport en commun », déclare Chris Pendleton, Responsable de Azure Maps. « La plupart des emplois se trouvant encore dans les grandes villes, les déplacements quotidiens sont maintenant devenus multimodaux. Cela oblige les habitants des banlieues à conduire d’abord jusqu’à une station de transport en commun, puis à poursuivre leur trajet en train, bus, scooter ou à vélo. Le nombre d’options offertes aux usagers n’a également jamais été aussi important : choisir parmi les options de transport en commun, estimer la disponibilité des places de parkings. Cette solution leur simplifie donc la tâche en optimisant leurs itinéraires depuis leur point de départ jusqu’à leur destination. » poursuit-il.
« La mission de Moovit est de simplifier la mobilité urbaine à travers le monde et nous avons longtemps fourni aux usagers le meilleur moyen d’obtenir des itinéraires en transport en commun et d’autres options de mobilité urbaine », annonce Erez, confondateur et PDG de Moovi. « En Novembre dernier, nous nous sommes associés à Microsoft afin d’intégrer nos API de transport à Azure pour aider les développeurs à créer des applications plus riches pour des milliards de voyageurs. Je ne pouvais pas être plus heureux que par le fait que notre relation avec Microsoft ait évolué au point d’ajouter de nouvelles API de transport, combinées aux API de route et de trafic de TomTom. Le tout pour créer des fonctionnalités de cartographie multimodales complètes pour les développeurs sur Azure Maps avec des heures précises d’arrivée prévues. Cela permettra aux voyageurs d’avoir la meilleure option pour planifier un voyage combinant les étapes de transport en commun, de covoiturage, de vélo ou de scooter, et d’autres déplacements en voiture, y compris trouver des espaces de stationnement disponibles en temps réel. » déclare-t-il.
Le leadership de Moovit dans la planification de trajets multimodaux provient de plus de six ans d’optimisation de trajets des usagers urbains utilisant les services de plus de 7 000 agences de transport à travers le monde. Chaque jour, Moovit gère plus de 5 millions de demandes de planification de trajets et génère plus de 40 millions d’options d’itinéraires pour ses 350 millions d’utilisateurs à travers 2 700 villes de 88 pays. L’outil de planification de trajets multimodaux de la compagnie repose sur des données statiques, des données en temps réel sur les transports en commun, vélos, scooters et voitures en libreservice.
« Les données de localisation sont devenues plus pertinentes et importantes et personne ne sait cela mieux que TomTom. Nous avons révolutionné la façon dont les cartes sont mises à jour en inventant une plateforme de création de carte unique, capable de fournir une carte continuellement à jour », annonce Nir Truelsen, Directeur Général de TomTom. « Nos technologies de localisation incitent les particuliers, les entreprises et les villes à être plus durables, à se déplacer efficacement et en toute sécurité, créant ainsi un meilleur monde. » poursuit Nir Truelsen.
« En associant les données spécifiques de TomTom sur l’automobile et les parcs de stationnement, au planificateur de trajets multimodaux de Moovit; cela offre à Azure Maps une vue sans précédent de tous les aspects de la mobilité urbaine » ajoute Chris Pendleton. « Personne d’autre n’a jamais fourni un tel niveau de service dans une solution unique. » conclut-il
À propos de MoovitMoovit (www.moovit.com) est le leader des plateformes MaaS (“Mobility as a Service”) et la première application de mobilité urbaine au monde. Moovit simplifie la mobilité urbaine à travers le monde, facilitant les déplacements en transport en commun. En regroupant les données fournies par les opérateurs de transport en commun et gouvernements, avec les données provenant directement des utilisateurs de l’application ; Moovit offre à ses usagers une image en temps réel, ainsi que le meilleur itinéraire pour leur trajet. Elue meilleure application locale par Google en 2016, finaliste de la catégorie “Build for Billions” en 2018 et l’une des meilleures applications d’Apple en 2017; lancée en 2012, Moovit a déjà dépassé les 350 millions d’utilisateurs.
Moovit ajoute tous les jours plus de quatre milliards de points de données anonymes à la plus grande base de données de transports au monde. Cette collecte de données est facilitée par le réseau de Moovit qui se compose de plus de 550 000 éditeurs locaux appelés « Mooviters ». Ces utilisateurs passionnés aident à cartographier et à maintenir les informations sur les transports en commun locaux dans des villes qui ne seraient pas desservies autrement. Les Mooviters sont à l’origine de près de 65% des centaines de villes que Moovit lance chaque année et font de Moovit le véritable « Wikipédia des Transports Publics ».
Moovit est un pionnier des services MaaS (“Mobility as a Service”). Cette entreprise aide les personnes à changer leur façon de voir la mobilité en intégrant d’autres formes de transports dans son application, telles que les nouveaux systèmes de vélos en libre-service. En 2017, Moovit a lancé sa gamme de produits MaaS (“Mobility as a Service”) afin d’aider les municipalités, gouvernements et opérateurs de transport à améliorer la mobilité urbaine dans leurs villes.
L’application Moovit est disponible gratuitement sur iOS , Android et Web dans plus de 2700 villes, à travers 88 pays, et peut être utilisée dans 44 langues. Plus de 100 villeset événements mondiaux, y compris les Jeux Olympiques de Rio de Janeiro en 2016, ont fait de Moovit leur application officielle de transports.
À propos TomTomTomTom est le principal spécialiste indépendant des technologies de localisation, redéfinissant la mobilité grâce à ses cartes, logiciel de navigation, information-trafic et services en temps réel d’une extrême précision.
Pour réaliser notre vision d’un monde plus sûr, exempt de toutes congestions et émissions, nous créons des technologies innovantes qui font avancer le monde. En apportant notre vaste expérience aux principaux partenaires commerciaux et technologiques du secteur, nous alimentons les véhicules connectés, la mobilité intelligente et la conduite autonome.
Basée à Amsterdam avec des bureaux dans 30 pays, TomTom accompagne chaque jour des centaines de millions de personnes à travers le monde qui font confiance à ses technologies. Plus d’informations sur : www.tomtom.com
Contacts presse :
TomTom
- Vincent Martinier – vincent.martinier@tomtom.com
Agence the messengers
- Mélanie Zachwalinsky / Mélanie Gallet
- 01 40 41 19 73 / 19 68
- melaniez@themessengers.fr / melanie@themessengers.fr
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Drive, Park, Ride : Moovit et TomTom s’associent à Microsoft pour présenter le premier planificateur de trajets multimodaux au monde
sur Les Rencontres DécryptagéoParis, 14 février 2019 – Plusieurs leaders mondiaux de la mobilité urbaine ont dévoilé aujourd’hui la première et la plus complète plateforme de planification de trajets multimodaux au monde. Une solution permettant de réduire les embouteillages des villes à travers le monde et permettant ainsi aux développeurs de créer des applications plus riches afin d’améliorer les déplacements des consommateurs au sein de leurs villes. Les dirigeants de Moovit, leader des plateformes MaaS (“Mobility as a Service”) et première application de transport au monde ; TomTom, spécialiste des technologies de localisation ; ainsi qu’Azure Maps de Microsoft ont présenté une solution identifiant toutes les options de conduite, de stationnement et de transport en commun ; et les ont regroupé dans un seul et même produit pour les utilisateurs de carte. Cela sera particulièrement utile pour les utilisateurs de banlieues qui ne savent pas où stationner leur voiture ou bien quelle ligne de transport emprunter quand ils se rendent en ville.
Aux côtés de Nir Erez – cofondateur et PDG de Moovit – et Anders Truelsen – Directeur Général de TomTom – ; Chris Pendleton – Responsable de Azure Maps, a dévoilé la solution lors de son discours à la conférence MOVE à l’ExCeL London. Cette solution, qui s’appuie sur les API de transport de Moovit ainsi que sur les informations de la conduite et le stationnement provenant des API de TomTom, affiche les options permettant de connaître le trajet en voiture depuis une banlieue à un parking proche d’une station de transport, d’effectuer un trajet en transport public vers la ville et d’effectuer le reste du trajet à pied, en covoiturage, en scooter ou en vélo. Aucune autre solution de mobilité urbaine offre des informations en temps réel à la fois sur les déplacements en voiture, en transport en commun et sur les stationnements, dans un seul et unique planificateur de trajet. Grâce à l’intégration à Azure Maps, la plateforme de géolocalisation intelligente de Microsoft pour le cloud Azure, les développeurs pourront intégrer la planification de trajets multimodaux à leurs solutions IoT, de mobilité, de smart city et de logistique. Ces nouvelles API s’ajoutent à l’intégration des API de transport annoncée par Microsoft et Moovit en Novembre dernier.
« Durant les dernières années, les villes ont connu un important essor urbain, au cours duquel les habitants des zones métropolitaines ont dû se rediriger vers les banlieues, et très souvent au-delà des limites des lignes de transport en commun », déclare Chris Pendleton, Responsable de Azure Maps. « La plupart des emplois se trouvant encore dans les grandes villes, les déplacements quotidiens sont maintenant devenus multimodaux. Cela oblige les habitants des banlieues à conduire d’abord jusqu’à une station de transport en commun, puis à poursuivre leur trajet en train, bus, scooter ou à vélo. Le nombre d’options offertes aux usagers n’a également jamais été aussi important : choisir parmi les options de transport en commun, estimer la disponibilité des places de parkings. Cette solution leur simplifie donc la tâche en optimisant leurs itinéraires depuis leur point de départ jusqu’à leur destination. » poursuit-il.
« La mission de Moovit est de simplifier la mobilité urbaine à travers le monde et nous avons longtemps fourni aux usagers le meilleur moyen d’obtenir des itinéraires en transport en commun et d’autres options de mobilité urbaine », annonce Erez, confondateur et PDG de Moovi. « En Novembre dernier, nous nous sommes associés à Microsoft afin d’intégrer nos API de transport à Azure pour aider les développeurs à créer des applications plus riches pour des milliards de voyageurs. Je ne pouvais pas être plus heureux que par le fait que notre relation avec Microsoft ait évolué au point d’ajouter de nouvelles API de transport, combinées aux API de route et de trafic de TomTom. Le tout pour créer des fonctionnalités de cartographie multimodales complètes pour les développeurs sur Azure Maps avec des heures précises d’arrivée prévues. Cela permettra aux voyageurs d’avoir la meilleure option pour planifier un voyage combinant les étapes de transport en commun, de covoiturage, de vélo ou de scooter, et d’autres déplacements en voiture, y compris trouver des espaces de stationnement disponibles en temps réel. » déclare-t-il.
Le leadership de Moovit dans la planification de trajets multimodaux provient de plus de six ans d’optimisation de trajets des usagers urbains utilisant les services de plus de 7 000 agences de transport à travers le monde. Chaque jour, Moovit gère plus de 5 millions de demandes de planification de trajets et génère plus de 40 millions d’options d’itinéraires pour ses 350 millions d’utilisateurs à travers 2 700 villes de 88 pays. L’outil de planification de trajets multimodaux de la compagnie repose sur des données statiques, des données en temps réel sur les transports en commun, vélos, scooters et voitures en libreservice.
« Les données de localisation sont devenues plus pertinentes et importantes et personne ne sait cela mieux que TomTom. Nous avons révolutionné la façon dont les cartes sont mises à jour en inventant une plateforme de création de carte unique, capable de fournir une carte continuellement à jour », annonce Nir Truelsen, Directeur Général de TomTom. « Nos technologies de localisation incitent les particuliers, les entreprises et les villes à être plus durables, à se déplacer efficacement et en toute sécurité, créant ainsi un meilleur monde. » poursuit Nir Truelsen.
« En associant les données spécifiques de TomTom sur l’automobile et les parcs de stationnement, au planificateur de trajets multimodaux de Moovit; cela offre à Azure Maps une vue sans précédent de tous les aspects de la mobilité urbaine » ajoute Chris Pendleton. « Personne d’autre n’a jamais fourni un tel niveau de service dans une solution unique. » conclut-il
À propos de MoovitMoovit (www.moovit.com) est le leader des plateformes MaaS (“Mobility as a Service”) et la première application de mobilité urbaine au monde. Moovit simplifie la mobilité urbaine à travers le monde, facilitant les déplacements en transport en commun. En regroupant les données fournies par les opérateurs de transport en commun et gouvernements, avec les données provenant directement des utilisateurs de l’application ; Moovit offre à ses usagers une image en temps réel, ainsi que le meilleur itinéraire pour leur trajet. Elue meilleure application locale par Google en 2016, finaliste de la catégorie “Build for Billions” en 2018 et l’une des meilleures applications d’Apple en 2017; lancée en 2012, Moovit a déjà dépassé les 350 millions d’utilisateurs.
Moovit ajoute tous les jours plus de quatre milliards de points de données anonymes à la plus grande base de données de transports au monde. Cette collecte de données est facilitée par le réseau de Moovit qui se compose de plus de 550 000 éditeurs locaux appelés « Mooviters ». Ces utilisateurs passionnés aident à cartographier et à maintenir les informations sur les transports en commun locaux dans des villes qui ne seraient pas desservies autrement. Les Mooviters sont à l’origine de près de 65% des centaines de villes que Moovit lance chaque année et font de Moovit le véritable « Wikipédia des Transports Publics ».
Moovit est un pionnier des services MaaS (“Mobility as a Service”). Cette entreprise aide les personnes à changer leur façon de voir la mobilité en intégrant d’autres formes de transports dans son application, telles que les nouveaux systèmes de vélos en libre-service. En 2017, Moovit a lancé sa gamme de produits MaaS (“Mobility as a Service”) afin d’aider les municipalités, gouvernements et opérateurs de transport à améliorer la mobilité urbaine dans leurs villes.
L’application Moovit est disponible gratuitement sur iOS , Android et Web dans plus de 2700 villes, à travers 88 pays, et peut être utilisée dans 44 langues. Plus de 100 villeset événements mondiaux, y compris les Jeux Olympiques de Rio de Janeiro en 2016, ont fait de Moovit leur application officielle de transports.
À propos TomTomTomTom est le principal spécialiste indépendant des technologies de localisation, redéfinissant la mobilité grâce à ses cartes, logiciel de navigation, information-trafic et services en temps réel d’une extrême précision.
Pour réaliser notre vision d’un monde plus sûr, exempt de toutes congestions et émissions, nous créons des technologies innovantes qui font avancer le monde. En apportant notre vaste expérience aux principaux partenaires commerciaux et technologiques du secteur, nous alimentons les véhicules connectés, la mobilité intelligente et la conduite autonome.
Basée à Amsterdam avec des bureaux dans 30 pays, TomTom accompagne chaque jour des centaines de millions de personnes à travers le monde qui font confiance à ses technologies. Plus d’informations sur : www.tomtom.com
Contacts presse :
TomTom
- Vincent Martinier – vincent.martinier@tomtom.com
Agence the messengers
- Mélanie Zachwalinsky / Mélanie Gallet
- 01 40 41 19 73 / 19 68
- melaniez@themessengers.fr / melanie@themessengers.fr
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12:42
HERE crée un institut de recherche spécialisé dans l’intelligence artificielle, avec un financement de plus de 25 millions d’Euros
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueLe 14 Février 2019
Paris, France – HERE Technologies, leader mondial des services de cartographie et de localisation, annonce la création du nouvel institut international de recherche avancée en intelligence artificielle (IARAI – Institute for Advanced Research in Artificial Intelligence) qui sera implanté à Vienne. L’IARAI sera le premier institut mondial de recherche en machine-learning à utiliser des données de géolocalisation à l’échelle industrielle.
En tant qu’institution indépendante, l’IARAI mènera des recherches dans le domaine du machine-learning qui permettront d’approfondir l’intelligence de localisation nécessaire à la construction d’un monde autonome – une meilleure connaissance de la localisation des véhicules autonomes, des cartes plus précises et autocorrectives, de meilleurs modèles de prévision du trafic ainsi qu’une gestion de flotte et une infrastructure urbaine optimale. HERE coopérera étroitement avec l’institut en fournissant ses ensembles de données et son expertise uniques. Cette initiative novatrice donnera à HERE un meilleur accès aux capacités technologiques émergentes dans le principal domaine d’intérêt de l’entreprise, développé à partir de ses données.
Les algorithmes d’IA peuvent extraire des modèles complexes à partir d’un grand nombre de points de données et, ce faisant, sont capables d’autocorriger et d’apprendre des modèles. En appliquant ces algorithmes aux données de localisation, l’IARAI est en mesure de s’attaquer aux problèmes les plus urgents dans l’industrie et la société.
Sur une période de cinq ans, HERE offrira à l’institut un soutien financier non négligeable, s’élevant à plus de 25 millions d’Euros pour soutenir le développement de l’IARAI, y compris le financement de l’espace physique et des postes de recherche. L’accent est actuellement mis sur le recrutement international pour créer une équipe de recherche d’environ 30 personnes.
L’IARAI sera dirigé par deux experts renommés de l’apprentissage automatique et de la science des données : Dr Sepp Hochreiter, pionnier de l’intelligence artificielle et inventeur du réseau de neurones récurrents à mémoire court-terme et long terme (LSTM) de l’Université de Johannes Kepler de Linz, et Dr David P. Kreil, spécialiste réputé dans le domaine de la science des données, de l’Université de Boku en Vienne.
« L’IARAI est une passerelle qui nous permettra de créer la prochaine génération de services de localisation, depuis les cartes autocorrectives, jusqu’à l’automatisation de haut niveau, en passant par la recherche de pointe en IA « , a déclaré Peter Kürpick, le nouveau directeur de la technologie chez HERE Technologies. « HERE possède des données uniques et des ressources cartographiques. En mettant l’accent sur l’apprentissage approfondi et la mise à l’essai à grande échelle de ces données, l’institut élargira notre compréhension sur la façon dont la localisation peut être représentée par des réseaux de neurones artificiels, les éléments centraux qui alimenteront ces services de localisation de niveau supérieur. Nous sommes ravis de nous associer aux Drs Hochreiter et Kreil pour exploiter le potentiel de ces technologies. »
« Les données et l’expertise uniques qu’offre HERE pour la recherche universitaire ouverte changent la donne pour la construction de modèles d’IA réalistes « , a déclaré M. Hochreiter. « Cette ouverture a fait d’HERE un partenaire très attractif pour l’IARAI. »
« L’IARAI et HERE rassemblent, pour la première fois, la communauté scientifique au sens large et des données de localisation du monde réel à grande échelle « , a déclaré M. Kreil. « Cela crée des opportunités uniques pour la recherche académique et les applications industrielles. »
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A propos de HERE Technologies
HERE, the Open Location Platform Company, est un acteur de premier plan sur le marché de la cartographie et de la localisation. Grâce à ses solutions, les consommateurs, les véhicules, les entreprises et les villes profitent d’expériences et d’applications de localisation en temps réel optimisées. Pour en savoir plus sur HERE et sur ses services de localisation nouvelle génération, rendez-vous sur 360.here.com et www.here.comContacts Presse : AxiCom
Constance Falourd
01 56 02 68 25
constance.falourd@axicom.com
Elise Koenig
01 56 02 68 38Katherine Haller
01 56 02 68 30
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HERE crée un institut de recherche spécialisé dans l’intelligence artificielle, avec un financement de plus de 25 millions d’Euros
sur Les Rencontres DécryptagéoLe 14 Février 2019
Paris, France – HERE Technologies, leader mondial des services de cartographie et de localisation, annonce la création du nouvel institut international de recherche avancée en intelligence artificielle (IARAI – Institute for Advanced Research in Artificial Intelligence) qui sera implanté à Vienne. L’IARAI sera le premier institut mondial de recherche en machine-learning à utiliser des données de géolocalisation à l’échelle industrielle.
En tant qu’institution indépendante, l’IARAI mènera des recherches dans le domaine du machine-learning qui permettront d’approfondir l’intelligence de localisation nécessaire à la construction d’un monde autonome – une meilleure connaissance de la localisation des véhicules autonomes, des cartes plus précises et autocorrectives, de meilleurs modèles de prévision du trafic ainsi qu’une gestion de flotte et une infrastructure urbaine optimale. HERE coopérera étroitement avec l’institut en fournissant ses ensembles de données et son expertise uniques. Cette initiative novatrice donnera à HERE un meilleur accès aux capacités technologiques émergentes dans le principal domaine d’intérêt de l’entreprise, développé à partir de ses données.
Les algorithmes d’IA peuvent extraire des modèles complexes à partir d’un grand nombre de points de données et, ce faisant, sont capables d’autocorriger et d’apprendre des modèles. En appliquant ces algorithmes aux données de localisation, l’IARAI est en mesure de s’attaquer aux problèmes les plus urgents dans l’industrie et la société.
Sur une période de cinq ans, HERE offrira à l’institut un soutien financier non négligeable, s’élevant à plus de 25 millions d’Euros pour soutenir le développement de l’IARAI, y compris le financement de l’espace physique et des postes de recherche. L’accent est actuellement mis sur le recrutement international pour créer une équipe de recherche d’environ 30 personnes.
L’IARAI sera dirigé par deux experts renommés de l’apprentissage automatique et de la science des données : Dr Sepp Hochreiter, pionnier de l’intelligence artificielle et inventeur du réseau de neurones récurrents à mémoire court-terme et long terme (LSTM) de l’Université de Johannes Kepler de Linz, et Dr David P. Kreil, spécialiste réputé dans le domaine de la science des données, de l’Université de Boku en Vienne.
« L’IARAI est une passerelle qui nous permettra de créer la prochaine génération de services de localisation, depuis les cartes autocorrectives, jusqu’à l’automatisation de haut niveau, en passant par la recherche de pointe en IA « , a déclaré Peter Kürpick, le nouveau directeur de la technologie chez HERE Technologies. « HERE possède des données uniques et des ressources cartographiques. En mettant l’accent sur l’apprentissage approfondi et la mise à l’essai à grande échelle de ces données, l’institut élargira notre compréhension sur la façon dont la localisation peut être représentée par des réseaux de neurones artificiels, les éléments centraux qui alimenteront ces services de localisation de niveau supérieur. Nous sommes ravis de nous associer aux Drs Hochreiter et Kreil pour exploiter le potentiel de ces technologies. »
« Les données et l’expertise uniques qu’offre HERE pour la recherche universitaire ouverte changent la donne pour la construction de modèles d’IA réalistes « , a déclaré M. Hochreiter. « Cette ouverture a fait d’HERE un partenaire très attractif pour l’IARAI. »
« L’IARAI et HERE rassemblent, pour la première fois, la communauté scientifique au sens large et des données de localisation du monde réel à grande échelle « , a déclaré M. Kreil. « Cela crée des opportunités uniques pour la recherche académique et les applications industrielles. »
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A propos de HERE Technologies
HERE, the Open Location Platform Company, est un acteur de premier plan sur le marché de la cartographie et de la localisation. Grâce à ses solutions, les consommateurs, les véhicules, les entreprises et les villes profitent d’expériences et d’applications de localisation en temps réel optimisées. Pour en savoir plus sur HERE et sur ses services de localisation nouvelle génération, rendez-vous sur 360.here.com et www.here.comContacts Presse : AxiCom
Constance Falourd
01 56 02 68 25
constance.falourd@axicom.com
Elise Koenig
01 56 02 68 38Katherine Haller
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17:36
Le groupe RATP lance sa première application MaaS à Annemasse
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueUne solution MaaS (Mobility-as-a-Service) « tout-en-un » pour offrir aux voyageurs du réseau TAC exploité par RATP Dev, une expérience de mobilité multimodale.La RATP lance une application MaaS à Annemasse (© RATP Denis Sutton)
Le groupe RATP, via sa filiale RATP Dev et Annemasse Agglo, lance une nouvelle version de l’application mobile TAC Mobilités qui regroupe l’information théorique et/ou en temps réel des transports publics de l’agglomération d’Annemasse (réseau TAC, autopartage et SNCF) et de Genève (réseau transports publics genevois TPG, réseau CFF) pour offrir un service multimodal.
La nouvelle version de l’application mobile TAC Mobilités offre une porte d’entrée unique sur les mobilités du territoire, combinant plusieurs modes de transport complémentaires : transports publics TAC et TPG, covoiturage, taxi et places de parkings en temps réel. Elle regroupe également l’e-ticket pour le réseau TAC, déjà disponible via une autre application depuis l’automne 2017. Grâce à cette intégration, les voyageurs peuvent désormais s’informer, acheter et valider leurs titres de transports sur une application unique.
Dans ses prochains développements en 2019, l’application proposera l’ajout de nouveaux modes de transport, gérés par différents opérateurs, et l’intégration de solutions de paiement mobile en vue d’atteindre une solution MaaS avancée.
Cette nouvelle application mobile est, pour le groupe RATP, la première réalisation concrète d’une solution « MaaS », regroupant tous les services voyageurs (information, recherche d’itinéraire, achat/réservation, validation du titre de transport) pour des modes de transport multiples : transport en commun, autopartage, covoiturage, taxi et places de parkings.
« Avec la solution MaaS, l’ambition de RATP Dev, est de rendre le transport accessible à tous, partout et à tout moment en utilisant toutes les options disponibles privées comme publiques pour répondre aux enjeux de la ville de demain. » Laurence Batlle, Présidente du Directoire de RATP Dev.
L’application mobile TAC Mobilités est le résultat d’une collaboration entre RATP Dev, la startup Instant System et RATP Smart Systems, filiale du groupe RATP spécialisée dans la billettique et les systèmes de mobilité intelligentes.
Zoom sur Annemasse Agglo
Le territoire d’Annemasse Agglo est situé en Haute-Savoie et s’étend sur ses 12 communes : Ambilly, Annemasse, Bonne, Cranves-Sales, Etrembières, Gaillard, Juvigny, Lucinges, Machilly, Saint-Cergues, Vétraz-Monthoux et Ville-la-Grand. Annemasse Agglo avec plus de 90 000 habitants est le 2ème pôle urbain du Grand Genève, métropole d’un million d’habitants.Le groupe RATP, via sa filiale locale TP2A (Transports Publics de l’Agglomération d’Annemasse) exploite le réseau de transport urbain de l’agglomération d’Annemasse et des liaisons transfrontalières avec Genève. TP2A est une joint-venture RATP Dev et Transports Publics Genevois.
RATP : Service de Presse – Contact 01 58 78 37 37Cet article Le groupe RATP lance sa première application MaaS à Annemasse est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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Le groupe RATP lance sa première application MaaS à Annemasse
sur Les Rencontres DécryptagéoUne solution MaaS (Mobility-as-a-Service) « tout-en-un » pour offrir aux voyageurs du réseau TAC exploité par RATP Dev, une expérience de mobilité multimodale.La RATP lance une application MaaS à Annemasse (© RATP Denis Sutton)
Le groupe RATP, via sa filiale RATP Dev et Annemasse Agglo, lance une nouvelle version de l’application mobile TAC Mobilités qui regroupe l’information théorique et/ou en temps réel des transports publics de l’agglomération d’Annemasse (réseau TAC, autopartage et SNCF) et de Genève (réseau transports publics genevois TPG, réseau CFF) pour offrir un service multimodal.
La nouvelle version de l’application mobile TAC Mobilités offre une porte d’entrée unique sur les mobilités du territoire, combinant plusieurs modes de transport complémentaires : transports publics TAC et TPG, covoiturage, taxi et places de parkings en temps réel. Elle regroupe également l’e-ticket pour le réseau TAC, déjà disponible via une autre application depuis l’automne 2017. Grâce à cette intégration, les voyageurs peuvent désormais s’informer, acheter et valider leurs titres de transports sur une application unique.
Dans ses prochains développements en 2019, l’application proposera l’ajout de nouveaux modes de transport, gérés par différents opérateurs, et l’intégration de solutions de paiement mobile en vue d’atteindre une solution MaaS avancée.
Cette nouvelle application mobile est, pour le groupe RATP, la première réalisation concrète d’une solution « MaaS », regroupant tous les services voyageurs (information, recherche d’itinéraire, achat/réservation, validation du titre de transport) pour des modes de transport multiples : transport en commun, autopartage, covoiturage, taxi et places de parkings.
« Avec la solution MaaS, l’ambition de RATP Dev, est de rendre le transport accessible à tous, partout et à tout moment en utilisant toutes les options disponibles privées comme publiques pour répondre aux enjeux de la ville de demain. » Laurence Batlle, Présidente du Directoire de RATP Dev.
L’application mobile TAC Mobilités est le résultat d’une collaboration entre RATP Dev, la startup Instant System et RATP Smart Systems, filiale du groupe RATP spécialisée dans la billettique et les systèmes de mobilité intelligentes.
Zoom sur Annemasse Agglo
Le territoire d’Annemasse Agglo est situé en Haute-Savoie et s’étend sur ses 12 communes : Ambilly, Annemasse, Bonne, Cranves-Sales, Etrembières, Gaillard, Juvigny, Lucinges, Machilly, Saint-Cergues, Vétraz-Monthoux et Ville-la-Grand. Annemasse Agglo avec plus de 90 000 habitants est le 2ème pôle urbain du Grand Genève, métropole d’un million d’habitants.Le groupe RATP, via sa filiale locale TP2A (Transports Publics de l’Agglomération d’Annemasse) exploite le réseau de transport urbain de l’agglomération d’Annemasse et des liaisons transfrontalières avec Genève. TP2A est une joint-venture RATP Dev et Transports Publics Genevois.
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12:55
La nouvelle génération de Dove de Planet livre ses premières images
sur DécryptaGéo, l'information géographiquePlanet, spécialiste de l’imagerie satellite et de l’analyse des données, met en service sa nouvelle génération de nanosatellites Dove.
En décembre dernier, Planet a lancé 33 satellites à bord de 3 fusées en moins de 30 jours – un record en termes de lancement pour l’entreprise. Ces mises en orbite incluaient des Dove de nouvelle génération, chacun équipé d’un certain nombre de technologies qui seront intégrées tout au long de l’année.
Bien que les derniers nanosatellites Dove aient la même taille (10 cm x 10 cm x 30 cm) que les versions précédentes, leur appareil photo offre une meilleure netteté d’images, de cohérence radiométrique et de précision spectrale. Ces nouvelles caractéristiques améliorent la couleur naturelle des images satellites et augmentent la précision de l’analyse dérivée de ces données.
Voici ci-dessous les premières images de la nouvelle génération de Dove Planet. Celles-ci aussi téléchargeables via Dropbox.
A propos de Planet :
Planet, spécialiste de l’imagerie satellite et de l’analyse des données, exploite la plus grande flotte de microsatellites au monde et collecte une quantité impressionnante d’images sur l’évolution de la planète. Planet photographie tous les jours la Terre avec ses satellites pour rendre les changements survenant sur les 5 continents visibles, accessibles et actionnables.
Fondée en 2010 par trois scientifiques de la NASA, Planet conçus, fabrique et opère plus de 150 satellites et développe les outils logiciels en ligne pour que les utilisateurs puissent exploiter les données collectées. Les décideurs, au sein des entreprises, des gouvernements et autres organisations, utilisent les données de Planet et les analyses issues du machine learning pour développer de nouvelles technologies, générer des revenus, faire avancer la recherche et relever les défis mondiaux les plus complexes.
Plus d’informations sur www.planet.com. Suivez-nous sur Twitter @PlanetLabs.
Pour accéder à la galerie d’images de Planet : http://www.planet.com/gallery
GOOTENBERG
- 11, rue du chevalier Saint George 75008 Paris
Carole Cousin – Consultant RP
Mobile: 0687340803
Email: carole.cousin@gootenberg.fr
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La nouvelle génération de Dove de Planet livre ses premières images
sur Les Rencontres DécryptagéoPlanet, spécialiste de l’imagerie satellite et de l’analyse des données, met en service sa nouvelle génération de nanosatellites Dove.
En décembre dernier, Planet a lancé 33 satellites à bord de 3 fusées en moins de 30 jours – un record en termes de lancement pour l’entreprise. Ces mises en orbite incluaient des Dove de nouvelle génération, chacun équipé d’un certain nombre de technologies qui seront intégrées tout au long de l’année.
Bien que les derniers nanosatellites Dove aient la même taille (10 cm x 10 cm x 30 cm) que les versions précédentes, leur appareil photo offre une meilleure netteté d’images, de cohérence radiométrique et de précision spectrale. Ces nouvelles caractéristiques améliorent la couleur naturelle des images satellites et augmentent la précision de l’analyse dérivée de ces données.
Voici ci-dessous les premières images de la nouvelle génération de Dove Planet. Celles-ci aussi téléchargeables via Dropbox.
A propos de Planet :
Planet, spécialiste de l’imagerie satellite et de l’analyse des données, exploite la plus grande flotte de microsatellites au monde et collecte une quantité impressionnante d’images sur l’évolution de la planète. Planet photographie tous les jours la Terre avec ses satellites pour rendre les changements survenant sur les 5 continents visibles, accessibles et actionnables.
Fondée en 2010 par trois scientifiques de la NASA, Planet conçus, fabrique et opère plus de 150 satellites et développe les outils logiciels en ligne pour que les utilisateurs puissent exploiter les données collectées. Les décideurs, au sein des entreprises, des gouvernements et autres organisations, utilisent les données de Planet et les analyses issues du machine learning pour développer de nouvelles technologies, générer des revenus, faire avancer la recherche et relever les défis mondiaux les plus complexes.
Plus d’informations sur www.planet.com. Suivez-nous sur Twitter @PlanetLabs.
Pour accéder à la galerie d’images de Planet : http://www.planet.com/gallery
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15:34
Bird.i et Plex.Earth s’associent pour doper les projets AutoCAD avec de l’imagerie spatiale
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueImages spatiales des feux en Grèce
Afin de donner un contexte géographique à leurs modélisations sous Autocad, l’équipe de Plex.Earth fournit aux opérateurs un module sur le cloud leur permettant de projeter des fonds images en 3D, piqués par exemple sur Google Earth. L’entreprise grecque s’est aujourd’hui associée avec Bird.i, fondée par un ancien d’Airbus, qui propose un accès facilité aux images satellitaires (et qui notamment signé un contrat avec Airbus). Résultat : la possibilité d’accéder en quelques clics aux dernières images satellitaires disponibles pour enrichir un projet de construction, d’infrastructure ou de génie civil.
– Le communiqué de presse en anglais sous ce lienCet article Bird.i et Plex.Earth s’associent pour doper les projets AutoCAD avec de l’imagerie spatiale est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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Bird.i et Plex.Earth s’associent pour doper les projets AutoCAD avec de l’imagerie spatiale
sur Les Rencontres DécryptagéoImages spatiales des feux en Grèce
Afin de donner un contexte géographique à leurs modélisations sous Autocad, l’équipe de Plex.Earth fournit aux opérateurs un module sur le cloud leur permettant de projeter des fonds images en 3D, piqués par exemple sur Google Earth. L’entreprise grecque s’est aujourd’hui associée avec Bird.i, fondée par un ancien d’Airbus, qui propose un accès facilité aux images satellitaires (et qui notamment signé un contrat avec Airbus). Résultat : la possibilité d’accéder en quelques clics aux dernières images satellitaires disponibles pour enrichir un projet de construction, d’infrastructure ou de génie civil.
– Le communiqué de presse en anglais sous ce lienCet article Bird.i et Plex.Earth s’associent pour doper les projets AutoCAD avec de l’imagerie spatiale est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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15:12
Un manuel de géographie quantitative chez Armand Colin
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueManuel de géographie quantitative. Concepts, outils, méthodes par Étienne Cossart, Hadrien Commenges et Thierry Feuillet
À l’ère du big data et du développement fulgurant des nouvelles technologies, jamais les données spatiales n’ont été si nombreuses et aussi facilement accessibles.Toutefois, leur compréhension et leur mobilisation ne sont pas sans difficulté.
Ce manuel a pour objectif d’apporter un cadre rigoureux de lecture et d’analyse des données spatiales, sous toutes leurs formes, dans une démarche de modélisation applicable à tout type de données ou de phénomènes s’exprimant dans l’espace. Après avoir présenté les théories, les concepts et les principales définitions de la géographie quantitative, il propose aux étudiants d’explorer de manière progressive les principales méthodes à connaître – des statistiques spatiales basiques aux techniques de modélisation spatiale les plus avancées.
Un ouvrage assorti de plus d’une soixantaine de figures originales en couleurs et de nombreuses applications empruntées à tous les champs de la discipline géographique.Cadre, concepts et outils de la géographie quantitative. Théories, lois et modèles de la géographie quantitative – S’approprier la statistique et son langage – Les outils de la géographie quantitative.
Décrire les données spatiales et leur structure. Décrire la localisation des objets géographiques – Explorer les attributs des objets géographiques – Caractériser l’interaction spatiale.
Modéliser des relations statistiques en géographie. La régression linéaire – Les écueils géographiques en régression linéaire – Intégration de la dimension spatiale dans les modèles de régression – Les effets de contexte et la modélisation multiniveau.Feuillet T., Cossart E., Commenges H., 2019. Manuel de géographie quantitative. Concepts, outils, méthodes. A. Colin, 240 p.
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Un manuel de géographie quantitative chez Armand Colin
sur Les Rencontres DécryptagéoManuel de géographie quantitative. Concepts, outils, méthodes par Étienne Cossart, Hadrien Commenges et Thierry Feuillet
À l’ère du big data et du développement fulgurant des nouvelles technologies, jamais les données spatiales n’ont été si nombreuses et aussi facilement accessibles.Toutefois, leur compréhension et leur mobilisation ne sont pas sans difficulté.
Ce manuel a pour objectif d’apporter un cadre rigoureux de lecture et d’analyse des données spatiales, sous toutes leurs formes, dans une démarche de modélisation applicable à tout type de données ou de phénomènes s’exprimant dans l’espace. Après avoir présenté les théories, les concepts et les principales définitions de la géographie quantitative, il propose aux étudiants d’explorer de manière progressive les principales méthodes à connaître – des statistiques spatiales basiques aux techniques de modélisation spatiale les plus avancées.
Un ouvrage assorti de plus d’une soixantaine de figures originales en couleurs et de nombreuses applications empruntées à tous les champs de la discipline géographique.Cadre, concepts et outils de la géographie quantitative. Théories, lois et modèles de la géographie quantitative – S’approprier la statistique et son langage – Les outils de la géographie quantitative.
Décrire les données spatiales et leur structure. Décrire la localisation des objets géographiques – Explorer les attributs des objets géographiques – Caractériser l’interaction spatiale.
Modéliser des relations statistiques en géographie. La régression linéaire – Les écueils géographiques en régression linéaire – Intégration de la dimension spatiale dans les modèles de régression – Les effets de contexte et la modélisation multiniveau.Feuillet T., Cossart E., Commenges H., 2019. Manuel de géographie quantitative. Concepts, outils, méthodes. A. Colin, 240 p.
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14:55
Airbus investit 25 millions d’euros dans l’avenir spatial de son site d’Ottobrunn/Taufkirchen près de Munich
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueOttobrunn/Taufkirchen, le 11 février 2019 – Airbus renforce ses activités spatiales sur son site d’Ottobrunn/Taufkirchen, près de Munich, et franchit aujourd’hui deux jalons importants. Dr. Markus Söder, Ministre-Président de la Bavière, et Dirk Hoke, CEO d’Airbus Defence and Space, ont donné le coup d’envoi à la modernisation de la production de générateurs photovoltaïques pour satellites et à l’agrandissement des salles blanches dédiées aux instruments optiques des satellites. Ces travaux représentent pour l’entreprise un investissement total de l’ordre de 25 millions d’euros.
Panneaux solaires (© Airbus2019)
En février 2019, Airbus lance les travaux de construction d’une usine 4.0 qui lui permettra d’automatiser et de digitaliser la fabrication de générateurs photovoltaïques pour satellites. Entièrement réaménagé, le hall de production existant sera agrandi de 800 m2, s’étendant ainsi sur une surface totale de 5 500 m2, et intégrera une ligne d’assemblage robotisée. À travers cet investissement de 15 millions d’euros, l’entreprise renforce sa compétitivité sur le marché mondial, en réduisant ses cycles et ses coûts de moitié grâce à une chaîne de production automatisée. Ces technologies de pointe permettront de préserver 170 emplois et de maximiser les opportunités de croissance future, notamment liées aux constellations de satellites et au « New Space ». L’entreprise entend, en outre, continuer à soutenir la recherche de pointe, en particulier dans le domaine des satellites scientifiques avec, par exemple, des missions vers Jupiter, le Soleil ou Mercure.
Airbus continuera par ailleurs à exploiter la salle blanche (agrandie de 250 m2 et s’étendant désormais sur 1700 m2) pour l’intégration d’instruments optiques embarqués, activité dans laquelle Airbus a investi plus de 10 millions d’euros sur le site d’Ottobrunn / Taufkirchen. La nouvelle salle blanche permettra à une partie des 150 personnes travaillant dans les activités optiques de construire l’instrument de Merlin (Methane Remote Sensing Lidar Mission) dans la nouvelle salle blanche. Merlin est un projet de satellite franco-allemand qui mesurera la concentration en méthane dans l’atmosphère terrestre pour faciliter a compréhension du changement climatique.
« Le site aéronautique et spatial d’Ottobrunn/Taufkirchen écrit non seulement l’histoire de la haute technologie depuis 60 ans, mais il contribue aussi activement à façonner l’avenir. Avec notre production de générateurs photovoltaïques, nous entrons aujourd’hui dans l’ère de l’industrie 4.0 et disposons sur ce site de la plus grande salle blanche d’Allemagne dédiée à l’intégration de satellites optiques. Ceci nous permettra d’améliorer notre position face à la concurrence internationale et de préserver les emplois locaux », a déclaré Dirk Hoke, CEO d’Airbus Defence and Space.
A propos d’AirbusAirbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2017, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 59 milliards d’euros sous IFRS 15 avec un effectif d’environ 129 000 personnes. Airbus propose la famille d’avions de ligne la plus complète qui soit, de 100 à plus de 600 sièges. Airbus est, en outre, le leader européen dans le domaine des avions de mission, de ravitaillement en vol, de combat, et de transport. Par ailleurs, l’entreprise est également un leader de l’industrie spatiale. Enfin, dans le domaine des hélicoptères, Airbus propose les solutions civiles et militaires les plus performantes au monde.
Contact pour la presse- Guilhem BOLTZ
- guilhem.g.boltz@airbus.com
- +33 (0)6 34 78 14 08
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14:55
Airbus investit 25 millions d’euros dans l’avenir spatial de son site d’Ottobrunn/Taufkirchen près de Munich
sur Les Rencontres DécryptagéoOttobrunn/Taufkirchen, le 11 février 2019 – Airbus renforce ses activités spatiales sur son site d’Ottobrunn/Taufkirchen, près de Munich, et franchit aujourd’hui deux jalons importants. Dr. Markus Söder, Ministre-Président de la Bavière, et Dirk Hoke, CEO d’Airbus Defence and Space, ont donné le coup d’envoi à la modernisation de la production de générateurs photovoltaïques pour satellites et à l’agrandissement des salles blanches dédiées aux instruments optiques des satellites. Ces travaux représentent pour l’entreprise un investissement total de l’ordre de 25 millions d’euros.
Panneaux solaires (© Airbus2019)
En février 2019, Airbus lance les travaux de construction d’une usine 4.0 qui lui permettra d’automatiser et de digitaliser la fabrication de générateurs photovoltaïques pour satellites. Entièrement réaménagé, le hall de production existant sera agrandi de 800 m2, s’étendant ainsi sur une surface totale de 5 500 m2, et intégrera une ligne d’assemblage robotisée. À travers cet investissement de 15 millions d’euros, l’entreprise renforce sa compétitivité sur le marché mondial, en réduisant ses cycles et ses coûts de moitié grâce à une chaîne de production automatisée. Ces technologies de pointe permettront de préserver 170 emplois et de maximiser les opportunités de croissance future, notamment liées aux constellations de satellites et au « New Space ». L’entreprise entend, en outre, continuer à soutenir la recherche de pointe, en particulier dans le domaine des satellites scientifiques avec, par exemple, des missions vers Jupiter, le Soleil ou Mercure.
Airbus continuera par ailleurs à exploiter la salle blanche (agrandie de 250 m2 et s’étendant désormais sur 1700 m2) pour l’intégration d’instruments optiques embarqués, activité dans laquelle Airbus a investi plus de 10 millions d’euros sur le site d’Ottobrunn / Taufkirchen. La nouvelle salle blanche permettra à une partie des 150 personnes travaillant dans les activités optiques de construire l’instrument de Merlin (Methane Remote Sensing Lidar Mission) dans la nouvelle salle blanche. Merlin est un projet de satellite franco-allemand qui mesurera la concentration en méthane dans l’atmosphère terrestre pour faciliter a compréhension du changement climatique.
« Le site aéronautique et spatial d’Ottobrunn/Taufkirchen écrit non seulement l’histoire de la haute technologie depuis 60 ans, mais il contribue aussi activement à façonner l’avenir. Avec notre production de générateurs photovoltaïques, nous entrons aujourd’hui dans l’ère de l’industrie 4.0 et disposons sur ce site de la plus grande salle blanche d’Allemagne dédiée à l’intégration de satellites optiques. Ceci nous permettra d’améliorer notre position face à la concurrence internationale et de préserver les emplois locaux », a déclaré Dirk Hoke, CEO d’Airbus Defence and Space.
A propos d’AirbusAirbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2017, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 59 milliards d’euros sous IFRS 15 avec un effectif d’environ 129 000 personnes. Airbus propose la famille d’avions de ligne la plus complète qui soit, de 100 à plus de 600 sièges. Airbus est, en outre, le leader européen dans le domaine des avions de mission, de ravitaillement en vol, de combat, et de transport. Par ailleurs, l’entreprise est également un leader de l’industrie spatiale. Enfin, dans le domaine des hélicoptères, Airbus propose les solutions civiles et militaires les plus performantes au monde.
Contact pour la presse- Guilhem BOLTZ
- guilhem.g.boltz@airbus.com
- +33 (0)6 34 78 14 08
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14:37
Une infrastructure de données géographiques émerge en Île-de-France
sur DécryptaGéo, l'information géographique750 mots, environ 3 mn de lecture Le 25 octobre 2018, l’infrastructure de données géographique (IDG) d’Île-de-France était officiellement lancée à Saint-Ouen, au cours d’une réunion qui a réuni cent vingt personnes. À cette occasion, Michel Ruffin, chef du service pilotage transverse et territorialisation à la région, en charge du projet, La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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Une infrastructure de données géographiques émerge en Île-de-France
sur Les Rencontres Décryptagéo750 mots, environ 3 mn de lecture Le 25 octobre 2018, l’infrastructure de données géographique (IDG) d’Île-de-France était officiellement lancée à Saint-Ouen, au cours d’une réunion qui a réuni cent vingt personnes. À cette occasion, Michel Ruffin, chef du service pilotage transverse et territorialisation à la région, en charge du projet, La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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9:39
En Île-de-France, le bruit fait des ravages
sur DécryptaGéo, l'information géographiquePerturbation du sommeil, troubles cardio-vasculaires, baisse des capacités d’apprentissage… le bruit, ce n’est pas qu’une gêne, d’autant plus qu’il concerne principalement les populations les plus défavorisées ! Aujourd’hui, Bruitparif le prouve en cartes et publie une étude complète sur les « Impacts sanitaires du bruit des transports dans la zone dense de la région Île-de-France ».Dans la zone dense d’Île-de-France, 90 % de la population (soit 9 millions de personnes) est exposée à des niveaux de bruit (routier, aérien, ferroviaire) supérieurs aux valeurs recommandées par l’OMS : soit 107 766 années de vie en bonne santé perdues chaque année, soit 10,7 mois par personne en moyenne, avec de fortes disparités territoriales, en forte augmentation depuis la dernière étude de 2015 (7,3 mois en moyenne).
Dans ce document très fourni de 140 pages, l’agence francilienne propose des cartes de la morbidité liée au bruit des transports dans la zone dense francilienne. Elle s’appuie sur la méthode DALY de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui évalue « les années de vie en bonne santé perdues ». Les cartes s’appuient sur des mailles de 250 mètres de côté et à la commune.
Plusieurs mois de vie en bonne santé perdusLa méthode DALY (Disability Adjusted Life Years) est basée sur les relations dose-réponse entre les niveaux d’exposition des populations aux bruits (issus des cartes stratégiques du bruit réalisées par Bruitparif) et les taux de personnes se déclarant hautement gênées ou perturbées dans leur sommeil. Elle ne prend pas en compte les autres risques tels qu’accidents cardio-vasculaires et difficultés d’apprentissage, pourtant largement démontrés par des études locales. En effet, ces effets ne sont pas encore suffisamment documentés pour aboutir à des indicateurs simples, exploitables à l’échelle d’une région.
Les résultats montrent de grandes disparités spatiales, avec des zones où les habitants perdent plus de trois ans de vie en bonne santé. L’analyse spatiale a également permis à l’agence d’isoler 1 500 mailles à enjeux prioritaires, 500 par mode de transport. Un document qui sonne comme une interpellation !
– Source : « Impacts sanitaires du bruit des transports dans la zone dense de la région Île-de-France ».Cet article En Île-de-France, le bruit fait des ravages est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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En Île-de-France, le bruit fait des ravages
sur Les Rencontres DécryptagéoPerturbation du sommeil, troubles cardio-vasculaires, baisse des capacités d’apprentissage… le bruit, ce n’est pas qu’une gêne, d’autant plus qu’il concerne principalement les populations les plus défavorisées ! Aujourd’hui, Bruitparif le prouve en cartes et publie une étude complète sur les « Impacts sanitaires du bruit des transports dans la zone dense de la région Île-de-France ».Dans la zone dense d’Île-de-France, 90 % de la population (soit 9 millions de personnes) est exposée à des niveaux de bruit (routier, aérien, ferroviaire) supérieurs aux valeurs recommandées par l’OMS : soit 107 766 années de vie en bonne santé perdues chaque année, soit 10,7 mois par personne en moyenne, avec de fortes disparités territoriales, en forte augmentation depuis la dernière étude de 2015 (7,3 mois en moyenne).
Dans ce document très fourni de 140 pages, l’agence francilienne propose des cartes de la morbidité liée au bruit des transports dans la zone dense francilienne. Elle s’appuie sur la méthode DALY de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui évalue « les années de vie en bonne santé perdues ». Les cartes s’appuient sur des mailles de 250 mètres de côté et à la commune.
Plusieurs mois de vie en bonne santé perdusLa méthode DALY (Disability Adjusted Life Years) est basée sur les relations dose-réponse entre les niveaux d’exposition des populations aux bruits (issus des cartes stratégiques du bruit réalisées par Bruitparif) et les taux de personnes se déclarant hautement gênées ou perturbées dans leur sommeil. Elle ne prend pas en compte les autres risques tels qu’accidents cardio-vasculaires et difficultés d’apprentissage, pourtant largement démontrés par des études locales. En effet, ces effets ne sont pas encore suffisamment documentés pour aboutir à des indicateurs simples, exploitables à l’échelle d’une région.
Les résultats montrent de grandes disparités spatiales, avec des zones où les habitants perdent plus de trois ans de vie en bonne santé. L’analyse spatiale a également permis à l’agence d’isoler 1 500 mailles à enjeux prioritaires, 500 par mode de transport. Un document qui sonne comme une interpellation !
– Source : « Impacts sanitaires du bruit des transports dans la zone dense de la région Île-de-France ».Cet article En Île-de-France, le bruit fait des ravages est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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10:36
Airbus et JSAT signe un accord de coopération pour le troisième nœud de communication SpaceDataHighway
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueTokyo, 8 Février 2019 – Airbus et l’opérateur japonais de satellites de télécommunication SKY Perfect JSAT ont signé un accord de coopération qui porte sur la conception du nœud de communication EDRS-D. Ce troisième nœud de communication du système SpaceDataHighway doit être positionné au-dessus de la région Asie-Pacifique avant 2025. EDRS-D permettra d’augmenter significativement les capacités de communication du système et d’étendre largement sa couverture.
Cet accord porte sur le cofinancement d’études de conception et de développement tant de la charge utile du satellite que et du système global, ainsi que sur la commercialisation du service SpaceDataHighway par SKY Perfect JSAT au Japon. Avec cet accord, le montant total des investissements sur l’extension du SpaceDataHighway s’élève à près de 15 million d’euros.
La future charge utile d’EDRS-D sera composée de trois terminaux de communication laser (LCT) de nouvelles générations afin de pouvoir communiquer simultanément avec plusieurs satellites ainsi que des avions et des drones. Ces terminaux laser dotés d’un débit plus élevé seront également capables de communiquer en mode bidirectionnel avec des terminaux laser de conception japonaise. Grâce à une plus longue portée, ils permettront aussi d’établir des communications jusqu’à une distance de 75000 km avec d’autres satellites géostationnaires du SpaceDataHighway afin de relayer en quasi-temps réel des données de l’autre côté de la Terre.
Basé sur une technologie laser de pointe, SpaceDataHighway est en quelque sorte le premier réseau « fibre optique » de l’espace. Il s’agit d’un système unique constitué de satellites en orbite géostationnaire et d’un réseau de stations sol. Il permet de transmettre vers la Terre à un débit de 1,8 gigabit/s, jusqu’à 40 téraoctets par jour de données acquises par des satellites d’observation, des drones ou des avions.
Les satellites de SpaceDataHighway sont conçus pour se connecter par laser à des satellites d’observation en orbite basse tandis qu’ils scannent les terres et les océans. Depuis sa position en orbite géostationnaire, le système SpaceDataHighway transmet en quasi-temps réel vers la Terre les données recueillies par les satellites d’observation, faisant ainsi office de relai. Cela permet aux satellites d’observation de transmettre en continu les informations qu’ils recueillent, au lieu de les stocker à bord jusqu’à ce qu’ils survolent leur propre station sol. Ils sont ainsi en mesure d’envoyer en temps réel de plus grands volumes de données.
Depuis fin 2016, le système SpaceDataHighway transmet quotidiennement les images de laTerre acquises par les quatre satellites d’observation Sentinel du programme Copernicus. Le volume de données transmis vers l’Europe par Sentinel-1 a ainsi augmenté de 50% et le temps de revisite de Sentinel-2 pour couvrir l’ensemble du globe est passé de 10 à 5 jours.
Le système SpaceDataHighway a été développé dans le cadre d’un partenariat public-privé entre l’Agence spatiale européenne (ESA) et Airbus. Les terminaux de communication laser ont été conçus par la société Tesat-Spacecom et le centre aérospatial allemand (DLR). Lancé en janvier 2016, le premier satellite relais EDRS-A offre une couverture qui s’étend de la côte Est de l’Amérique à l’Inde. Un deuxième satellite lancé mi-2019 permettra de doubler la capacité du système et d’augmenter sa couverture ainsi que sa redondance.
Airbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2017, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 59 milliards d’euros sous IFRS 15 avec un effectif d’environ 129 000 personnes. Airbus propose la famille d’avions de ligne la plus complète qui soit, de 100 à plus de 600 sièges. Airbus est, en outre, le leader européen dans le domaine des avions de mission, de ravitaillement en vol, de combat, et de transport. Par ailleurs, l’entreprise est également un leader de l’industrie spatiale. Enfin, dans le domaine des hélicoptères, Airbus propose les solutions civiles et militaires les plus performantes au monde.
Bruno Daffix +33 (0) 6 48 09 96 50 bruno.b.daffix@airbus.com
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Airbus et JSAT signe un accord de coopération pour le troisième nœud de communication SpaceDataHighway
sur Les Rencontres DécryptagéoTokyo, 8 Février 2019 – Airbus et l’opérateur japonais de satellites de télécommunication SKY Perfect JSAT ont signé un accord de coopération qui porte sur la conception du nœud de communication EDRS-D. Ce troisième nœud de communication du système SpaceDataHighway doit être positionné au-dessus de la région Asie-Pacifique avant 2025. EDRS-D permettra d’augmenter significativement les capacités de communication du système et d’étendre largement sa couverture.
Cet accord porte sur le cofinancement d’études de conception et de développement tant de la charge utile du satellite que et du système global, ainsi que sur la commercialisation du service SpaceDataHighway par SKY Perfect JSAT au Japon. Avec cet accord, le montant total des investissements sur l’extension du SpaceDataHighway s’élève à près de 15 million d’euros.
La future charge utile d’EDRS-D sera composée de trois terminaux de communication laser (LCT) de nouvelles générations afin de pouvoir communiquer simultanément avec plusieurs satellites ainsi que des avions et des drones. Ces terminaux laser dotés d’un débit plus élevé seront également capables de communiquer en mode bidirectionnel avec des terminaux laser de conception japonaise. Grâce à une plus longue portée, ils permettront aussi d’établir des communications jusqu’à une distance de 75000 km avec d’autres satellites géostationnaires du SpaceDataHighway afin de relayer en quasi-temps réel des données de l’autre côté de la Terre.
Basé sur une technologie laser de pointe, SpaceDataHighway est en quelque sorte le premier réseau « fibre optique » de l’espace. Il s’agit d’un système unique constitué de satellites en orbite géostationnaire et d’un réseau de stations sol. Il permet de transmettre vers la Terre à un débit de 1,8 gigabit/s, jusqu’à 40 téraoctets par jour de données acquises par des satellites d’observation, des drones ou des avions.
Les satellites de SpaceDataHighway sont conçus pour se connecter par laser à des satellites d’observation en orbite basse tandis qu’ils scannent les terres et les océans. Depuis sa position en orbite géostationnaire, le système SpaceDataHighway transmet en quasi-temps réel vers la Terre les données recueillies par les satellites d’observation, faisant ainsi office de relai. Cela permet aux satellites d’observation de transmettre en continu les informations qu’ils recueillent, au lieu de les stocker à bord jusqu’à ce qu’ils survolent leur propre station sol. Ils sont ainsi en mesure d’envoyer en temps réel de plus grands volumes de données.
Depuis fin 2016, le système SpaceDataHighway transmet quotidiennement les images de laTerre acquises par les quatre satellites d’observation Sentinel du programme Copernicus. Le volume de données transmis vers l’Europe par Sentinel-1 a ainsi augmenté de 50% et le temps de revisite de Sentinel-2 pour couvrir l’ensemble du globe est passé de 10 à 5 jours.
Le système SpaceDataHighway a été développé dans le cadre d’un partenariat public-privé entre l’Agence spatiale européenne (ESA) et Airbus. Les terminaux de communication laser ont été conçus par la société Tesat-Spacecom et le centre aérospatial allemand (DLR). Lancé en janvier 2016, le premier satellite relais EDRS-A offre une couverture qui s’étend de la côte Est de l’Amérique à l’Inde. Un deuxième satellite lancé mi-2019 permettra de doubler la capacité du système et d’augmenter sa couverture ainsi que sa redondance.
Airbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2017, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 59 milliards d’euros sous IFRS 15 avec un effectif d’environ 129 000 personnes. Airbus propose la famille d’avions de ligne la plus complète qui soit, de 100 à plus de 600 sièges. Airbus est, en outre, le leader européen dans le domaine des avions de mission, de ravitaillement en vol, de combat, et de transport. Par ailleurs, l’entreprise est également un leader de l’industrie spatiale. Enfin, dans le domaine des hélicoptères, Airbus propose les solutions civiles et militaires les plus performantes au monde.
Bruno Daffix +33 (0) 6 48 09 96 50 bruno.b.daffix@airbus.com
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9:52
Le transfert des activités topographiques de la DGFIP à l’IGN est à l’étude
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueDans un communiqué publié le 05 février, la députée Valéria Faure-Muntian, annonce qu’une mission a été demandée par François de Rugy, ministre de la Transition écologique et par Gérald Darmanin, ministre de l’action et des comptes publics afin d’évaluer les impacts techniques, organisationnels, juridiques et financiers d’un transfert des missions topographiques de la DGFiP à l’IGN d’ici la fin de la législature.« Aujourd’hui, c’est la Direction générale des finances publiques (DGFiP) qui assure l’ensemble des missions fiscales de l’Etat. A ce titre, notre impôt étant pour partie fondé sur une accroche territoriale, elle a également la charge d’assurer elle-même la délimitation et la représentation de la propriété foncière.
Or, la réalisation à terme de la représentation parcellaire cadastrale unique (RCPU) et la qualité d’expert de l’IGN en matière géographique, laissent apparaître que cette mission topographique devrait naturellement revenir à l’IGN.
L’une des principales recommandations de mon rapport sur les données géographiques consistait donc à demander une évaluation des impacts techniques, organisationnels, juridiques et financiers d’un transfert des missions topographiques de la DGFiP à l’IGN et de procéder au transfert avant la fin de la législature si cette évaluation confirme des gains de mutualisation.
Cette étude d’un transfert des missions topographique a également été demandée par un rapport de la Cour des Comptes intitulé « La DGFiP, dis ans après la fusion – Une transformation à accélérer » diffusé le 20 juin 2018.
En ce début d’année, François DE RUGY, ministre de la transition écologique et solidaire, et Gérald DARMANIN, ministre de l’action et des comptes publiques, ont conjointement demandé à ce que soient effectivement expertisés et évalués les avantages et inconvénients d’un tel transfert tant pour la DGFiP et l’IGN que pour les collectivités locales et les professionnels du foncier.
J’attends les conclusions de cette étude pour la fin du premier semestre 2019. »
Cet article Le transfert des activités topographiques de la DGFIP à l’IGN est à l’étude est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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9:52
Le transfert des activités topographiques de la DGFIP à l’IGN est à l’étude
sur Les Rencontres DécryptagéoDans un communiqué publié le 05 février, la députée Valéria Faure-Muntian, annonce qu’une mission a été demandée par François de Rugy, ministre de la Transition écologique et par Gérald Darmanin, ministre de l’action et des comptes publics afin d’évaluer les impacts techniques, organisationnels, juridiques et financiers d’un transfert des missions topographiques de la DGFiP à l’IGN d’ici la fin de la législature.« Aujourd’hui, c’est la Direction générale des finances publiques (DGFiP) qui assure l’ensemble des missions fiscales de l’Etat. A ce titre, notre impôt étant pour partie fondé sur une accroche territoriale, elle a également la charge d’assurer elle-même la délimitation et la représentation de la propriété foncière.
Or, la réalisation à terme de la représentation parcellaire cadastrale unique (RCPU) et la qualité d’expert de l’IGN en matière géographique, laissent apparaître que cette mission topographique devrait naturellement revenir à l’IGN.
L’une des principales recommandations de mon rapport sur les données géographiques consistait donc à demander une évaluation des impacts techniques, organisationnels, juridiques et financiers d’un transfert des missions topographiques de la DGFiP à l’IGN et de procéder au transfert avant la fin de la législature si cette évaluation confirme des gains de mutualisation.
Cette étude d’un transfert des missions topographique a également été demandée par un rapport de la Cour des Comptes intitulé « La DGFiP, dis ans après la fusion – Une transformation à accélérer » diffusé le 20 juin 2018.
En ce début d’année, François DE RUGY, ministre de la transition écologique et solidaire, et Gérald DARMANIN, ministre de l’action et des comptes publiques, ont conjointement demandé à ce que soient effectivement expertisés et évalués les avantages et inconvénients d’un tel transfert tant pour la DGFiP et l’IGN que pour les collectivités locales et les professionnels du foncier.
J’attends les conclusions de cette étude pour la fin du premier semestre 2019. »
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9:35
Delair lance delair.ai, la plate-forme d’intelligence aérienne la plus complète du marché pour visualiser et exploiter les données drones
sur DécryptaGéo, l'information géographiquedelair.ai crée et gére des jumeaux numériques dans le cloud, permettant aux entreprises de mieux comprendre et piloter leurs ressources stratégique
Delair conforte sa position dominante sur un marché mondial en cours de consolidation : delair.ai est le fruit de son positionnement précurseur sur le traitement et l’analyse de données et de ses opérations de croissance en 2018
Toulouse, France, le 6 février 2019 – Delair, l’un des leaders mondiaux des solutions drones pour l’industrie, lance Delair Aerial Intelligence (delair.ai), la plateforme de gestion et d’exploitation des données collectées par drone la plus complète du marché. Solution cloud d’intelligence aérienne, delair.ai automatise et simplifie les étapes de collecte, stockage, traitement et partage des données, et propose une suite d’outils analytiques spécifiques à différentes industries : mines et carrières, construction, agriculture, énergie et secteur public. Intuitive et collaborative, delair.ai digitalise les infrastructures et sites industriels en modèle 2D ou 3D. Les jumeaux numériques ainsi créés dans le cloud intègrent des systèmes d’intelligence artificielle – basés sur des algorithmes d’apprentissage automatique – pour aider les entreprises à gérer plus efficacement leurs ressources et transformer leurs activités.
Le lancement de Delair Aerial Intelligence consolide la position dominante de Delair sur le marché des solutions logicielles pour drones professionnels. Grâce à son positionnement visionnaire sur le développement d’outils de traitement et d’analyse de données – expertise reconnue par Intel qui lui a confié le développement de sa plateforme Intel Insight – et à l’acquisition de l’américain Airware en octobre 2018, Delair propose aujourd’hui la plateforme la plus aboutie du marché, capable d’évoluer avec les besoins croissants de ses clients. Le financement d’Intel Capital en septembre 2018, lui a également permis de constituer l’équipe de développeurs et le portfolio d’outils analytiques les plus conséquents du marché.
« La clé de l’adoption massive des drones professionnels se situe très clairement du côté de la gestion et de l’exploitation des données. Les entreprises exigent non seulement une technologie innovante, mais des solutions analytiques clés en main, évolutives, fiables et sécurisées, et capables de s’intégrer parfaitement avec l’ensemble de leurs processus métiers. Avec Delair Aerial Intelligence, nous accélérons toutes les étapes de la chaîne, de la collecte des données à la digitalisation d’une infrastructure dans le cloud, pour mettre l’intelligence aérienne au coeur de la transformation digitale des entreprises. » explique Michaël de Lagarde, PDG de Delair.
Une solution complète et collaborative de visualisation des données
Delair Aerial Intelligence fournit une suite d’outils de visualisation, traitement, mesure et stockage des informations. Des rapports détaillés sont disponibles en quelques heures.
- Les utilisateurs visualisent leurs sites et infrastructures industriels en 2D et 3D, manipulent les données grâce à des outils de mesure (longueur, surface, pente, volume de stocks), stockent leurs informations dans le cloud et suivent l’évolution de leurs actifs grâce à une mise à jour fréquente des données.
- La plateforme propose des outils de partage des informations en temps réel avec collaborateurs, partenaires et clients. Elle est compatible avec les logiciels de cartographie standards afin d’agréger différentes sources d’informations.
Une suite d’outils analytiques avancés au service de l’efficacité industrielle
La plateforme Delair Aerial Intelligence propose le panel d’outils décisionnels le plus large du marché
- Travaux publics, mines et carrières, construction – Les exploitants de mines et de carrières pilotent leurs sites en temps réel avec une plus grande précision : suivi des stocks de matériaux, optimisation des pistes pour faciliter les opérations ou garantir la sécurité du site. Sur les chantiers de construction, les données collectées par drone fournissent une photographie précise et régulière de l’avancement des travaux, ainsi qu’un suivi de l’évolution du chantier par rapport au plan projet.
- Agriculture et forêts : delair.ai couvre l’ensemble du processus d’analyse des cultures, des inventaires de parcelles à la caractérisation et au suivi de la qualité des cultures (comptage d’arbres, suivi de la croissance des plants, optimisation et suivi des points de plantations, inventaire d’espèces, modélisation de la dynamique des peuplements, agriculture de précision).
- Grands réseaux d’infrastructure (rails et énergie): la plateforme vectorise les lignes électriques ou ferroviaires, analyse la croissance de la végétation et priorise les interventions de maintenance, calcule les coupes d’arbres nécessaire pour réduire les risques de chutes sur les lignes
Scalabilité, sécurité et interopérabilité pour les projets industriels à grande échelle
La plateforme est évolutive et peut supporter une quantité illimitée de projets. Enregistrées dans le cloud, les informations peuvent être partagées à l’intérieur et à l’extérieur d’une organisation, de manière simple et sécurisée. La confidentialité est assurée par une procédure de cryptage des données, de hiérarchisation des accès, et de traçabilité des activités de chaque utilisateur.
Delair.ai met à disposition des APIs et SDKs pour une parfaite intégration avec les systèmes informatiques des grandes entreprises. Les données peuvent être exportées vers les logiciels standards d’ERP, GMAO ou FSM.
Compatible avec tout type de drones, delair.ai offre une intégration optimale avec le Delair UX11, drone de dernière génération de l’entreprise. La qualité des images collectées par l’UX11 accélère les étapes de traitement et d’analyse sur delair.ai ; à l’inverse, un plan de vol de l’UX11 peut être automatiquement déclenché dans la plateforme si les données acquises sont incomplètes.
Voir la vidéo delair.ai pour les mines et carrières: https://delair.aero/aerial-data-solutions/
Contact presse: Laurence Collet – 07 86 27 36 43 – laurence.collet.ext@delair.aero
A propos de Delair Delair.ai est accessible selon un modèle de facturation à l’utilisation, dont les crédits pré-payés donnent accès aux différentes fonctionnalités. La solution est sans engagement, sans droit d’entrée, et offre la première année de stockage des données. Reconnu comme l’un des pionniers mondiaux des solutions drones pour l’industrie, Delair permet aux entreprises de digitaliser et de transformer leurs activités grâce aux données collectées par les drones. Positionné depuis sa création en 2011 sur l’ensemble de la chaîne de valeur, Delair commercialise des drones à voilure fixe ainsi que des solutions clés en main de traitement et d’analyse de données basées sur des techniques d’intelligence artificielle. Distribuées dans plus de 70 pays, les solutions de Delair sont utilisées dans l’énergie, les transports, la construction, la sécurité ou encore l’agriculture pour améliorer la productivité, l’efficacité et la sécurité des opérations. Delair a consolidé sa position de leader mondial grâce à une série d’acquisitions, comme celle de la société Gatewing, filiale de l’américain Trimble, en 2016, et celle du groupe Airware/Redbird en 2018. En 2018, Delair a également conclu un financement de série B avec Intel Capital pour accélérer le développement de son offre logicielle et de sa plateforme de gestion de données. Créée en 2011, l’entreprise compte désormais 180 salariés répartis entre les bureaux de Toulouse, siège de l’entreprise, Gent, Los Angeles, Singapour et Beijing. Plus d’informations sur www.delair.aero et sur twitter @DelairTech.
Cet article Delair lance delair.ai, la plate-forme d’intelligence aérienne la plus complète du marché pour visualiser et exploiter les données drones est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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Delair lance delair.ai, la plate-forme d’intelligence aérienne la plus complète du marché pour visualiser et exploiter les données drones
sur Les Rencontres Décryptagéodelair.ai crée et gére des jumeaux numériques dans le cloud, permettant aux entreprises de mieux comprendre et piloter leurs ressources stratégique
Delair conforte sa position dominante sur un marché mondial en cours de consolidation : delair.ai est le fruit de son positionnement précurseur sur le traitement et l’analyse de données et de ses opérations de croissance en 2018
Toulouse, France, le 6 février 2019 – Delair, l’un des leaders mondiaux des solutions drones pour l’industrie, lance Delair Aerial Intelligence (delair.ai), la plateforme de gestion et d’exploitation des données collectées par drone la plus complète du marché. Solution cloud d’intelligence aérienne, delair.ai automatise et simplifie les étapes de collecte, stockage, traitement et partage des données, et propose une suite d’outils analytiques spécifiques à différentes industries : mines et carrières, construction, agriculture, énergie et secteur public. Intuitive et collaborative, delair.ai digitalise les infrastructures et sites industriels en modèle 2D ou 3D. Les jumeaux numériques ainsi créés dans le cloud intègrent des systèmes d’intelligence artificielle – basés sur des algorithmes d’apprentissage automatique – pour aider les entreprises à gérer plus efficacement leurs ressources et transformer leurs activités.
Le lancement de Delair Aerial Intelligence consolide la position dominante de Delair sur le marché des solutions logicielles pour drones professionnels. Grâce à son positionnement visionnaire sur le développement d’outils de traitement et d’analyse de données – expertise reconnue par Intel qui lui a confié le développement de sa plateforme Intel Insight – et à l’acquisition de l’américain Airware en octobre 2018, Delair propose aujourd’hui la plateforme la plus aboutie du marché, capable d’évoluer avec les besoins croissants de ses clients. Le financement d’Intel Capital en septembre 2018, lui a également permis de constituer l’équipe de développeurs et le portfolio d’outils analytiques les plus conséquents du marché.
« La clé de l’adoption massive des drones professionnels se situe très clairement du côté de la gestion et de l’exploitation des données. Les entreprises exigent non seulement une technologie innovante, mais des solutions analytiques clés en main, évolutives, fiables et sécurisées, et capables de s’intégrer parfaitement avec l’ensemble de leurs processus métiers. Avec Delair Aerial Intelligence, nous accélérons toutes les étapes de la chaîne, de la collecte des données à la digitalisation d’une infrastructure dans le cloud, pour mettre l’intelligence aérienne au coeur de la transformation digitale des entreprises. » explique Michaël de Lagarde, PDG de Delair.
Une solution complète et collaborative de visualisation des données
Delair Aerial Intelligence fournit une suite d’outils de visualisation, traitement, mesure et stockage des informations. Des rapports détaillés sont disponibles en quelques heures.
- Les utilisateurs visualisent leurs sites et infrastructures industriels en 2D et 3D, manipulent les données grâce à des outils de mesure (longueur, surface, pente, volume de stocks), stockent leurs informations dans le cloud et suivent l’évolution de leurs actifs grâce à une mise à jour fréquente des données.
- La plateforme propose des outils de partage des informations en temps réel avec collaborateurs, partenaires et clients. Elle est compatible avec les logiciels de cartographie standards afin d’agréger différentes sources d’informations.
Une suite d’outils analytiques avancés au service de l’efficacité industrielle
La plateforme Delair Aerial Intelligence propose le panel d’outils décisionnels le plus large du marché
- Travaux publics, mines et carrières, construction – Les exploitants de mines et de carrières pilotent leurs sites en temps réel avec une plus grande précision : suivi des stocks de matériaux, optimisation des pistes pour faciliter les opérations ou garantir la sécurité du site. Sur les chantiers de construction, les données collectées par drone fournissent une photographie précise et régulière de l’avancement des travaux, ainsi qu’un suivi de l’évolution du chantier par rapport au plan projet.
- Agriculture et forêts : delair.ai couvre l’ensemble du processus d’analyse des cultures, des inventaires de parcelles à la caractérisation et au suivi de la qualité des cultures (comptage d’arbres, suivi de la croissance des plants, optimisation et suivi des points de plantations, inventaire d’espèces, modélisation de la dynamique des peuplements, agriculture de précision).
- Grands réseaux d’infrastructure (rails et énergie): la plateforme vectorise les lignes électriques ou ferroviaires, analyse la croissance de la végétation et priorise les interventions de maintenance, calcule les coupes d’arbres nécessaire pour réduire les risques de chutes sur les lignes
Scalabilité, sécurité et interopérabilité pour les projets industriels à grande échelle
La plateforme est évolutive et peut supporter une quantité illimitée de projets. Enregistrées dans le cloud, les informations peuvent être partagées à l’intérieur et à l’extérieur d’une organisation, de manière simple et sécurisée. La confidentialité est assurée par une procédure de cryptage des données, de hiérarchisation des accès, et de traçabilité des activités de chaque utilisateur.
Delair.ai met à disposition des APIs et SDKs pour une parfaite intégration avec les systèmes informatiques des grandes entreprises. Les données peuvent être exportées vers les logiciels standards d’ERP, GMAO ou FSM.
Compatible avec tout type de drones, delair.ai offre une intégration optimale avec le Delair UX11, drone de dernière génération de l’entreprise. La qualité des images collectées par l’UX11 accélère les étapes de traitement et d’analyse sur delair.ai ; à l’inverse, un plan de vol de l’UX11 peut être automatiquement déclenché dans la plateforme si les données acquises sont incomplètes.
Voir la vidéo delair.ai pour les mines et carrières: https://delair.aero/aerial-data-solutions/
Contact presse: Laurence Collet – 07 86 27 36 43 – laurence.collet.ext@delair.aero
A propos de Delair Delair.ai est accessible selon un modèle de facturation à l’utilisation, dont les crédits pré-payés donnent accès aux différentes fonctionnalités. La solution est sans engagement, sans droit d’entrée, et offre la première année de stockage des données. Reconnu comme l’un des pionniers mondiaux des solutions drones pour l’industrie, Delair permet aux entreprises de digitaliser et de transformer leurs activités grâce aux données collectées par les drones. Positionné depuis sa création en 2011 sur l’ensemble de la chaîne de valeur, Delair commercialise des drones à voilure fixe ainsi que des solutions clés en main de traitement et d’analyse de données basées sur des techniques d’intelligence artificielle. Distribuées dans plus de 70 pays, les solutions de Delair sont utilisées dans l’énergie, les transports, la construction, la sécurité ou encore l’agriculture pour améliorer la productivité, l’efficacité et la sécurité des opérations. Delair a consolidé sa position de leader mondial grâce à une série d’acquisitions, comme celle de la société Gatewing, filiale de l’américain Trimble, en 2016, et celle du groupe Airware/Redbird en 2018. En 2018, Delair a également conclu un financement de série B avec Intel Capital pour accélérer le développement de son offre logicielle et de sa plateforme de gestion de données. Créée en 2011, l’entreprise compte désormais 180 salariés répartis entre les bureaux de Toulouse, siège de l’entreprise, Gent, Los Angeles, Singapour et Beijing. Plus d’informations sur www.delair.aero et sur twitter @DelairTech.
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15:38
Scopelec lance Wefeel, un boîtier connecté de mesure de données environnementales
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueLe Groupe Scopelec, Associé Resadia et spécialiste de la construction d’infrastructures IT a élaboré en début d’année 2018 le boîtier Wefeel. Grâce aux capteurs imaginés et conçus par l’entreprise, cet objet connecté est en mesure de relever des données environnementales qui s’avèreront utiles aux secteurs de l’industrie ou encore de l’agriculture. Eprouvé sur le voilier Resadia de Pierrick Tollemer lors de la Route du Rhum 2018, ce prototype va être commercialisé par les équipes courant 2019. Wefeel : l’environnement au service de l’IoTMis au point en laboratoire par Scopelec, Associé Resadia, jusqu’en juillet 2018, le boîtier connecté Wefeel a été livré pour test à la mi-octobre et embarqué sur le voilier Resadia de Pierrick Tollemer, compétiteur de la Route du Rhum. Equipé de capteurs de température, de pression atmosphérique, de pression de la mer, d’humidité, de lumière, de géolocalisation, et d’un accéléromètre, Wefeel délivre les données précises grâce au réseau GSM.
« La Route du Rhum était pour nous une belle opportunité et, en tant qu’Associé Resadia, nous avons pu tester le boîtier dans des conditions opérationnelles réelles avec Pierrick Tollemer. Nous avons vérifié que le prototype pouvait résister à des conditions difficiles et notamment examiner si la carte électronique et la batterie restaient performantes. De cette façon, nous nous sommes aussi assurés que le boîtier est en mesure de conserver les données sans accès réseau »,explique Florence Passelergue, Directrice Innovation et Centre de compétences SI de Scopelec.
Grâce à la plateforme de suivi en direct, les équipes Scopelec ont relevé toutes les mesures point par point du trajet de Pierrick Tollemer, même hors connexion.
De nombreux cas d’usages à imaginerAvec Wefeel, Scopelec entend cibler plusieurs secteurs d’activité et proposer différents cas d’usages. Le boîtier pourrait notamment relever les taux d’humidité des milieux agricoles, de déchetteries ou encore d’entrepôts à risques. Les cas d’usages pourraient ainsi être industriels, agricoles mais aussi s’intégrer dans des projets de Smart cities.
« Nous avons imaginé par exemple le boîtier Wefeel accroché à un poteau Enedis et détectant les vibrations, mesurant la température, le son et la lumière. Le but principal serait alors d’évaluer l’usure de ce dernier et d’anticiper les chutes. D’autre part, les informations environnementales récoltées pourraient être vendues à d’autres acteurs tels que des promoteurs immobiliers, des agriculteurs pour un usage adapté à leurs besoins », ajoute Florence Passelergue, Directrice Innovation et Centre de compétences SI de Scopelec.
Scopelec envisage de développer le boîtier Wefeel avec de nouveaux capteurs (compteurs de passage, pluviomètre, détecteur de pollution) pour répondre à de nombreux autres cas d’usages ou encore de l’intégrer à son mobilier urbain connecté « Welcome », qui est un espace numérique déjà équipé d’un distributeur de colis, d’un défibrillateur, d’un appel d’urgence, de caméra, de son, de recharge de smartphone et d’écrans numériques tactiles.
« Resadia encourage les Associés à aller toujours plus loin en matière d’innovation technologique. Grâce à la commission IoT du Groupe, nous leur donnons accès à un puissant accélérateur dans ce domaine. Nous veillons, par ailleurs, à ce que chacun d’eux soit accompagné dans l’aboutissement et la réussite de ses projets », conclut Jérôme Comin, Directeur Général du Groupe Resadia.
A propos du Groupe Resadia
Né en 2004, de la fusion d’AREDIA (1986) et de RESATIS (1995), le Groupe RESADIA, leader sur le marché de l’intégration de solutions de communication unifiées et collaboratives, accompagne les entreprises publiques et privées dans la conception, la réalisation, l’exploitation et la maintenance de leurs infrastructures et services IT jusqu’à leur transformation digitale.
La force du Groupe RESADIA repose sur les nombreuses compétences technologiques de ses 31 Associés représentant près de 5000 collaborateurs répartis sur plus de 146 points de présence pour des compétences et expertises de proximité.
La capacité de mutualisation des réflexions, des projets et des ressources permet au Groupe Resadia d’être à la pointe des nouvelles technologies.
Pour plus d’informations : www.resadia.comContact presse
Agence MilleSoixanteQuatre
Sarah Le Roux
s.leroux@millesoixantequatre.com
01 85 76 12 09Cet article Scopelec lance Wefeel, un boîtier connecté de mesure de données environnementales est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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Scopelec lance Wefeel, un boîtier connecté de mesure de données environnementales
sur Les Rencontres DécryptagéoLe Groupe Scopelec, Associé Resadia et spécialiste de la construction d’infrastructures IT a élaboré en début d’année 2018 le boîtier Wefeel. Grâce aux capteurs imaginés et conçus par l’entreprise, cet objet connecté est en mesure de relever des données environnementales qui s’avèreront utiles aux secteurs de l’industrie ou encore de l’agriculture. Eprouvé sur le voilier Resadia de Pierrick Tollemer lors de la Route du Rhum 2018, ce prototype va être commercialisé par les équipes courant 2019. Wefeel : l’environnement au service de l’IoTMis au point en laboratoire par Scopelec, Associé Resadia, jusqu’en juillet 2018, le boîtier connecté Wefeel a été livré pour test à la mi-octobre et embarqué sur le voilier Resadia de Pierrick Tollemer, compétiteur de la Route du Rhum. Equipé de capteurs de température, de pression atmosphérique, de pression de la mer, d’humidité, de lumière, de géolocalisation, et d’un accéléromètre, Wefeel délivre les données précises grâce au réseau GSM.
« La Route du Rhum était pour nous une belle opportunité et, en tant qu’Associé Resadia, nous avons pu tester le boîtier dans des conditions opérationnelles réelles avec Pierrick Tollemer. Nous avons vérifié que le prototype pouvait résister à des conditions difficiles et notamment examiner si la carte électronique et la batterie restaient performantes. De cette façon, nous nous sommes aussi assurés que le boîtier est en mesure de conserver les données sans accès réseau »,explique Florence Passelergue, Directrice Innovation et Centre de compétences SI de Scopelec.
Grâce à la plateforme de suivi en direct, les équipes Scopelec ont relevé toutes les mesures point par point du trajet de Pierrick Tollemer, même hors connexion.
De nombreux cas d’usages à imaginerAvec Wefeel, Scopelec entend cibler plusieurs secteurs d’activité et proposer différents cas d’usages. Le boîtier pourrait notamment relever les taux d’humidité des milieux agricoles, de déchetteries ou encore d’entrepôts à risques. Les cas d’usages pourraient ainsi être industriels, agricoles mais aussi s’intégrer dans des projets de Smart cities.
« Nous avons imaginé par exemple le boîtier Wefeel accroché à un poteau Enedis et détectant les vibrations, mesurant la température, le son et la lumière. Le but principal serait alors d’évaluer l’usure de ce dernier et d’anticiper les chutes. D’autre part, les informations environnementales récoltées pourraient être vendues à d’autres acteurs tels que des promoteurs immobiliers, des agriculteurs pour un usage adapté à leurs besoins », ajoute Florence Passelergue, Directrice Innovation et Centre de compétences SI de Scopelec.
Scopelec envisage de développer le boîtier Wefeel avec de nouveaux capteurs (compteurs de passage, pluviomètre, détecteur de pollution) pour répondre à de nombreux autres cas d’usages ou encore de l’intégrer à son mobilier urbain connecté « Welcome », qui est un espace numérique déjà équipé d’un distributeur de colis, d’un défibrillateur, d’un appel d’urgence, de caméra, de son, de recharge de smartphone et d’écrans numériques tactiles.
« Resadia encourage les Associés à aller toujours plus loin en matière d’innovation technologique. Grâce à la commission IoT du Groupe, nous leur donnons accès à un puissant accélérateur dans ce domaine. Nous veillons, par ailleurs, à ce que chacun d’eux soit accompagné dans l’aboutissement et la réussite de ses projets », conclut Jérôme Comin, Directeur Général du Groupe Resadia.
A propos du Groupe Resadia
Né en 2004, de la fusion d’AREDIA (1986) et de RESATIS (1995), le Groupe RESADIA, leader sur le marché de l’intégration de solutions de communication unifiées et collaboratives, accompagne les entreprises publiques et privées dans la conception, la réalisation, l’exploitation et la maintenance de leurs infrastructures et services IT jusqu’à leur transformation digitale.
La force du Groupe RESADIA repose sur les nombreuses compétences technologiques de ses 31 Associés représentant près de 5000 collaborateurs répartis sur plus de 146 points de présence pour des compétences et expertises de proximité.
La capacité de mutualisation des réflexions, des projets et des ressources permet au Groupe Resadia d’être à la pointe des nouvelles technologies.
Pour plus d’informations : www.resadia.comContact presse
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12:35
Observatoires cartographiques : Géoclip toujours dans l’air du temps
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueDébut d’année en fanfare pour Géoclip, la plateforme d’exploration et de visualisation de données géostatiques. Vendredi 1er février 2019, Santé publique France ouvrait son observatoire cartographique, tandis que l’INSEE annonçait ses portraits de territoires.En lançant son observatoire cartographique dynamique baptisé Géodes, Santé Publique France expose au grand jour le fruit d’un travail de fond, mené depuis l’ouverture de l’établissement public en 2016, qui rassemble l’INVS, l’Inpes et l’Eprus.
Évolution des diagnostics du Sida… soit près de 40 ans de données cartographiées et synthétisées dans Géodes sous Géoclip.
Une mine d’informations et de visualisationsCe sont plus de 300 indicateurs qui sont proposés, expliqués, cartographiés… grâce à Géoclip Air. « Nous avons dû relever plusieurs défis, reconnaît bien volontiers Éric Mauvière, le fondateur d’EMC3 et créateur de Géoclip. Tout d’abord, Santé Publique France dispose de séries très longues et il a fallu trouver les moyens de représenter les évolutions spatio-temporelles, grâce aux animations et aux diagrammes de synthèse. Ensuite, le site peut avoir d’importants pics d’utilisation et il doit répondre à de fortes contraintes de sécurité… nous avons dû passer beaucoup de tests pour faire la preuve que Géoclip pouvait répondre à ces exigences. » Avec sa double entrée, par pathologie et par déterminant, le site permet une véritable exploration d’une mine d’informations, aujourd’hui à l’échelle du département ou de la région. Les cartes, graphiques et tableaux sont ensuite facilement importables dans un site Web par le biais d’un iframe.
Portraits croisés à l’INSEEDes portraits synthétiques de territoires personnalisables à l’INSEE.
Au moment où l’agence nationale de la santé publique recevait les journalistes autour de Géodes, l’INSEE ouvrait une nouvelle rubrique dans son portail de statistiques locales : les rapports. Ils permettent de générer un portrait de territoire sur une zone d’étude (à définir soi-même si besoin) et de la comparer avec la tendance nationale ou avec un autre territoire. Trois thèmes sont proposés : une synthèse générale, la démographie et les conditions de vie ainsi que l’économie et l’emploi. À découvrir sur [https:]] .
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Observatoires cartographiques : Géoclip toujours dans l’air du temps
sur Les Rencontres DécryptagéoDébut d’année en fanfare pour Géoclip, la plateforme d’exploration et de visualisation de données géostatiques. Vendredi 1er février 2019, Santé publique France ouvrait son observatoire cartographique, tandis que l’INSEE annonçait ses portraits de territoires.En lançant son observatoire cartographique dynamique baptisé Géodes, Santé Publique France expose au grand jour le fruit d’un travail de fond, mené depuis l’ouverture de l’établissement public en 2016, qui rassemble l’INVS, l’Inpes et l’Eprus.
Évolution des diagnostics du Sida… soit près de 40 ans de données cartographiées et synthétisées dans Géodes sous Géoclip.
Une mine d’informations et de visualisationsCe sont plus de 300 indicateurs qui sont proposés, expliqués, cartographiés… grâce à Géoclip Air. « Nous avons dû relever plusieurs défis, reconnaît bien volontiers Éric Mauvière, le fondateur d’EMC3 et créateur de Géoclip. Tout d’abord, Santé Publique France dispose de séries très longues et il a fallu trouver les moyens de représenter les évolutions spatio-temporelles, grâce aux animations et aux diagrammes de synthèse. Ensuite, le site peut avoir d’importants pics d’utilisation et il doit répondre à de fortes contraintes de sécurité… nous avons dû passer beaucoup de tests pour faire la preuve que Géoclip pouvait répondre à ces exigences. » Avec sa double entrée, par pathologie et par déterminant, le site permet une véritable exploration d’une mine d’informations, aujourd’hui à l’échelle du département ou de la région. Les cartes, graphiques et tableaux sont ensuite facilement importables dans un site Web par le biais d’un iframe.
Portraits croisés à l’INSEEDes portraits synthétiques de territoires personnalisables à l’INSEE.
Au moment où l’agence nationale de la santé publique recevait les journalistes autour de Géodes, l’INSEE ouvrait une nouvelle rubrique dans son portail de statistiques locales : les rapports. Ils permettent de générer un portrait de territoire sur une zone d’étude (à définir soi-même si besoin) et de la comparer avec la tendance nationale ou avec un autre territoire. Trois thèmes sont proposés : une synthèse générale, la démographie et les conditions de vie ainsi que l’économie et l’emploi. À découvrir sur [https:]] .
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11:35
Articque célèbre trente ans de cartographie statistique
sur DécryptaGéo, l'information géographique750 mots, environ 3 mn de lecture Le 31 janvier 2019, Articque a fêté ses trente ans d’existence, entouré d’une centaine de clients et partenaires, dans ses locaux de la banlieue de Tours. À cette occasion, Georges Antoine Strauch, PDG et fondateur de l’entreprise, revient le parcours de son « bébé ». Georges-Antoine La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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Articque célèbre trente ans de cartographie statistique
sur Les Rencontres Décryptagéo750 mots, environ 3 mn de lecture Le 31 janvier 2019, Articque a fêté ses trente ans d’existence, entouré d’une centaine de clients et partenaires, dans ses locaux de la banlieue de Tours. À cette occasion, Georges Antoine Strauch, PDG et fondateur de l’entreprise, revient le parcours de son « bébé ». Georges-Antoine La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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7:42
TomTom étend son partenariat avec Microsoft pour enrichir les offres Cloud de Microsoft avec des services de géolocalisation
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueLes services de TomTom basés sur la géolocalisation seront utilisés sur les technologies de Microsoft pour ses services cloud incluant Microsoft Azure, Bing Cartes et CortanaAmsterdam / Redmond, 4 février 2019 – TomTom (TOM2) et Microsoft (MSFT) annoncent aujourd’hui qu’ils étendent leur partenariat en intégrant les cartes et les données de trafic TomTom dans une multitude de fonctionnalités cartographiques pour les services cloud de Microsoft. TomTom devient ainsi l’un des principaux fournisseurs de données de géolocalisation pour Microsoft Azure et Bing Cartes. En étendant ainsi ses relations avec Microsoft, Tomtom choisit Microsoft Azure comme son fournisseur cloud de prédilection.
Azure Maps fournit des API de géolocalisation sécurisées qui permettent de replacer des données dans un contexte géospatial. Le service Azure Maps enrichit l’offre de la plateforme cloud Microsoft Azure, qui aide les entreprises et les développeurs à créer des solutions de mobilité, de logistique et de tracking. Les données cartographiques et services de TomTom constituent un élément essentiel pour répondre aux différentes configurations des entreprises clientes.
« TomTom est fier de la relation établie avec Microsoft pour offrir aux clients de Microsoft Azure l’accès à des applications s’appuyant sur la localisation. Nous souhaitons renforcer cette relation à mesure que nous étendons nos technologies de géolocalisation auprès d’un public encore plus large. Nous sommes ravis d’être choisis comme fournisseur de données de géolocalisation qui permettent d’alimenter les services cartographiques de Microsoft dont Bing, Cortana et Windows, ainsi que des innovations qui se concrétiseront dans cette relation continue » déclare Anders Truelsen, Directeur Général de TomTom Enterprise.
« Ce partenariat étroit avec TomTom est très différent de tout ce que Microsoft a réalisé dans le domaine des cartes, annonce Tara Prakriya, en charge du programme Partenaires chez Azure Maps et des Véhicules connectés. En hébergeant ses services dans le cloud Azure, TomTom apporte également ses données cartographiques. La fabrication de cartographie dans Azure réduit la latence pour les applications client, ce qui nous permet de proposer les données les plus récentes via Azure Maps. Les clients Azure de tous les secteurs d’activité sont gagnants lorsque leurs données et analyses géospatiales interopèrent avec les données TomTom et les services Azure Maps et cela dans le même cloud. »
Azure Maps ouvre la voie à une multitude de possibilités de géolocalisation pour Microsoft. Les clients Azure bénéficient désormais d’un support allant de la création de tableaux de bord basés sur la cartographie pour la visualisation de l’analyse spatiale IoT, en passant par des scénarios de mobilité pour les déplacements de véhicules. Par exemple, dans l’agriculture, les exploitants peuvent suivre l’usage de capteurs de cultures, bétail, machines agricoles et plus encore, et cela pour optimiser leur production. Les services de guidage d’Azure Maps alimentés par TomTom permettent de distribuer de manière astucieuse les produits agricoles vers des points de vente, restaurants ou particuliers. L’utilisation des cartes les plus récentes et des informations de trafic permettent de déterminer la plage horaire, d’optimiser l’itinéraire à suivre et de fournir aux clients un suivi de livraison.
En fournissant les informations de cartographie et de trafic les plus récentes combinées aux SDK et aux services Azure Maps, TomTom contribue au développement et à l’amélioration d’applications pour la ville intelligente. Les kits de développement logiciel Azure Maps qui utilisent les services TomTom simplifient le calcul d’une multitude de données à partir de sources variées et permettent ainsi le développement d’applications basées sur la cartographie. Cela propose une visualisation d’informations urbaines pertinentes et essentielles aux citadins.
A propos de Microsoft
Microsoft (Nasdaq ?MSFT? @microsoft) enables digital transformation for the era of an intelligent cloud and an intelligent edge. Its mission is to empower every person and every organization on the planet to achieve more.
À propos TomTom
TomTom est le principal spécialiste indépendant des technologies de localisation, redéfinissant la mobilité grâce à ses cartes, logiciel de navigation, information-trafic et services en temps réel d’une extrême précision.
Pour réaliser notre vision d’un monde plus sûr, exempt de toutes congestions et émissions, nous créons des technologies innovantes qui font avancer le monde. En apportant notre vaste expérience aux principaux partenaires commerciaux et technologiques du secteur, nous alimentons les véhicules connectés, la mobilité intelligente et la conduite autonome.
Basée à Amsterdam avec des bureaux dans 30 pays, TomTom accompagne chaque jour des centaines de millions de personnes à travers le monde qui font confiance à ses technologies.
Plus d’informations sur : www.tomtom.com
Contacts presse :
TomTom
Vincent Martinier – vincent.martinier@tomtom.com
Agence the messengers
Mélanie Zachwalinsky / Mélanie Gallet
01 40 41 19 73 / 19 68
melaniez@themessengers.fr / melanie@themessengers.fr
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TomTom étend son partenariat avec Microsoft pour enrichir les offres Cloud de Microsoft avec des services de géolocalisation
sur Les Rencontres DécryptagéoLes services de TomTom basés sur la géolocalisation seront utilisés sur les technologies de Microsoft pour ses services cloud incluant Microsoft Azure, Bing Cartes et CortanaAmsterdam / Redmond, 4 février 2019 – TomTom (TOM2) et Microsoft (MSFT) annoncent aujourd’hui qu’ils étendent leur partenariat en intégrant les cartes et les données de trafic TomTom dans une multitude de fonctionnalités cartographiques pour les services cloud de Microsoft. TomTom devient ainsi l’un des principaux fournisseurs de données de géolocalisation pour Microsoft Azure et Bing Cartes. En étendant ainsi ses relations avec Microsoft, Tomtom choisit Microsoft Azure comme son fournisseur cloud de prédilection.
Azure Maps fournit des API de géolocalisation sécurisées qui permettent de replacer des données dans un contexte géospatial. Le service Azure Maps enrichit l’offre de la plateforme cloud Microsoft Azure, qui aide les entreprises et les développeurs à créer des solutions de mobilité, de logistique et de tracking. Les données cartographiques et services de TomTom constituent un élément essentiel pour répondre aux différentes configurations des entreprises clientes.
« TomTom est fier de la relation établie avec Microsoft pour offrir aux clients de Microsoft Azure l’accès à des applications s’appuyant sur la localisation. Nous souhaitons renforcer cette relation à mesure que nous étendons nos technologies de géolocalisation auprès d’un public encore plus large. Nous sommes ravis d’être choisis comme fournisseur de données de géolocalisation qui permettent d’alimenter les services cartographiques de Microsoft dont Bing, Cortana et Windows, ainsi que des innovations qui se concrétiseront dans cette relation continue » déclare Anders Truelsen, Directeur Général de TomTom Enterprise.
« Ce partenariat étroit avec TomTom est très différent de tout ce que Microsoft a réalisé dans le domaine des cartes, annonce Tara Prakriya, en charge du programme Partenaires chez Azure Maps et des Véhicules connectés. En hébergeant ses services dans le cloud Azure, TomTom apporte également ses données cartographiques. La fabrication de cartographie dans Azure réduit la latence pour les applications client, ce qui nous permet de proposer les données les plus récentes via Azure Maps. Les clients Azure de tous les secteurs d’activité sont gagnants lorsque leurs données et analyses géospatiales interopèrent avec les données TomTom et les services Azure Maps et cela dans le même cloud. »
Azure Maps ouvre la voie à une multitude de possibilités de géolocalisation pour Microsoft. Les clients Azure bénéficient désormais d’un support allant de la création de tableaux de bord basés sur la cartographie pour la visualisation de l’analyse spatiale IoT, en passant par des scénarios de mobilité pour les déplacements de véhicules. Par exemple, dans l’agriculture, les exploitants peuvent suivre l’usage de capteurs de cultures, bétail, machines agricoles et plus encore, et cela pour optimiser leur production. Les services de guidage d’Azure Maps alimentés par TomTom permettent de distribuer de manière astucieuse les produits agricoles vers des points de vente, restaurants ou particuliers. L’utilisation des cartes les plus récentes et des informations de trafic permettent de déterminer la plage horaire, d’optimiser l’itinéraire à suivre et de fournir aux clients un suivi de livraison.
En fournissant les informations de cartographie et de trafic les plus récentes combinées aux SDK et aux services Azure Maps, TomTom contribue au développement et à l’amélioration d’applications pour la ville intelligente. Les kits de développement logiciel Azure Maps qui utilisent les services TomTom simplifient le calcul d’une multitude de données à partir de sources variées et permettent ainsi le développement d’applications basées sur la cartographie. Cela propose une visualisation d’informations urbaines pertinentes et essentielles aux citadins.
A propos de Microsoft
Microsoft (Nasdaq ?MSFT? @microsoft) enables digital transformation for the era of an intelligent cloud and an intelligent edge. Its mission is to empower every person and every organization on the planet to achieve more.
À propos TomTom
TomTom est le principal spécialiste indépendant des technologies de localisation, redéfinissant la mobilité grâce à ses cartes, logiciel de navigation, information-trafic et services en temps réel d’une extrême précision.
Pour réaliser notre vision d’un monde plus sûr, exempt de toutes congestions et émissions, nous créons des technologies innovantes qui font avancer le monde. En apportant notre vaste expérience aux principaux partenaires commerciaux et technologiques du secteur, nous alimentons les véhicules connectés, la mobilité intelligente et la conduite autonome.
Basée à Amsterdam avec des bureaux dans 30 pays, TomTom accompagne chaque jour des centaines de millions de personnes à travers le monde qui font confiance à ses technologies.
Plus d’informations sur : www.tomtom.com
Contacts presse :
TomTom
Vincent Martinier – vincent.martinier@tomtom.com
Agence the messengers
Mélanie Zachwalinsky / Mélanie Gallet
01 40 41 19 73 / 19 68
melaniez@themessengers.fr / melanie@themessengers.fr
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17:36
Santé publique France lance Géodes, un observatoire cartographique dynamique permettant d’accéder aux principaux indicateurs de santé
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueDans le cadre de ses missions de veille, d’alerte et de surveillance, Santé publique France produit des indicateurs de santé publique à partir de différents systèmes de surveillance, d’enquêtes épidémiologiques en population générale, d’enquêtes de comportements et de bases de données médico-administratives. Ce recueil de données fait l’objet d’analyses et de publications régulières. Afin de les rendre plus visible et d’en faciliter l’accès à un public élargi et notamment à l’ensemble des acteurs de santé, Santé publique France lance aujourd’hui Géodes, une plateforme web dynamique rassemblant une grande partie des indicateurs santé qu’elle produit. Cet outil, unique en son genre, permet à l’utilisateur de visualiser ces informations sous forme de cartes dynamiques, de tableaux et de graphiques/ séries temporelles.
Géodes, une avancée dans la restitution des données de surveillance
L’une des missions de Santé publique France est de produire des indicateurs utiles à la décision et à l’action en santé publique, en s’adaptant aux évolutions et aux enjeux sociétaux, numériques et scientifiques. Jusqu’à présent, la restitution des indicateurs se faisaient par l’intermédiaire de bulletins ou de publication scientifiques. L’observatoire Géodes répond à une volonté forte de transparence et de modernité en permettant un accès libre simplifié à de nombreux indicateurs de l’agence.
Les utilisateurs pourront grâce à cette plateforme, accessible en ligne :
- Accéder à plus de 300 indicateurs concernant 40 thématiques
- Faire des comparaisons entre des indicateurs régionaux et nationaux
- Avoir le détail technique de chaque indicateur : la source, la période de mise à jour …
- Télécharger des cartes et des données et les partager sur les réseaux sociaux
- Etre orienté pour chaque indicateur vers la page thématique du site internet de Santé publique France
- Importer des données dans géodes et les comparer à celles de Santé publique France.
Géodes réunit de nombreux indicateurs disponibles de l’agence provenant notamment :
- De 70 systèmes de surveillances spécifiques, comme par exemple ceux des maladies à déclaration obligatoire.
- De la surveillance syndromique (données des urgences, des médecins, des décès)
- D’enquêtes comme le Baromètre de Santé publique France, Esteban, Elfe,…
- De données de partenaires (Système national des données de santé SNDS, enquêtes, registres…).
La plateforme s’adresse principalement aux professionnels de santé, aux institutionnels, aux chercheurs, aux épidémiologistes, aux journalistes, aux associations, aux étudiants. Elle a vocation à mettre à leur disposition des indicateurs de plus en plus fins géographiquement pour répondre à leurs attentes. Cette finesse est rendue possible notamment par l’utilisation des données du SNDS (bases médico-administratives) capables de fournir des informations au niveau communal. « Nous avons intégré une grande partie des indicateurs de l’agence et la plateforme continuera de s’enrichir. Géodes est un projet collectif et transversal de l’agence » explique Yann Le Strat, directeur de la Direction appui, traitements et analyses de données (DATA).
Géodes, une utilisation simple et intuitiveLa plateforme Géodes rassemble la majorité des thématiques qui entre dans le champ de Santé publique France. Il s’agit des maladies et traumatismes surveillés par l’agence (bronchiolite, grippe, diabète, etc.) et des déterminants de santé recueillis lors d’enquêtes sur les comportements de santé (tabac, vaccinations, accidents du travail, etc.), regroupés sous deux arborescences.
Pour en savoir plus : Accéder à Géodes
Géodes permet de réaliser des requêtes en temps réel sur des maladies et des déterminants sur toute la France et offre la possibilité d’observer l’état de santé de la population dans une région et de comparer les régions entre elles.
Les documents générés à partir des différentes requêtes (cartes, tableaux, graphiques de la synthèse) sont téléchargeables ou imprimables. Les cartes peuvent être utilisées sous forme de lien, intégrées à une page web ou partagées sur les réseaux sociaux.
Afin de faciliter la prise en main de cet outil, Santé publique France a créé des outils pédagogiques sous forme de tutoriels vidéo : la présentation de l’outil, les fonctionnalités de l’outil et deux parcours utilisateurs type.Les tutoriels vidéo sont accessibles depuis la chaine youtube de Santé publique France.
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Santé publique France lance Géodes, un observatoire cartographique dynamique permettant d’accéder aux principaux indicateurs de santé
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Géodes, une avancée dans la restitution des données de surveillance
L’une des missions de Santé publique France est de produire des indicateurs utiles à la décision et à l’action en santé publique, en s’adaptant aux évolutions et aux enjeux sociétaux, numériques et scientifiques. Jusqu’à présent, la restitution des indicateurs se faisaient par l’intermédiaire de bulletins ou de publication scientifiques. L’observatoire Géodes répond à une volonté forte de transparence et de modernité en permettant un accès libre simplifié à de nombreux indicateurs de l’agence.
Les utilisateurs pourront grâce à cette plateforme, accessible en ligne :
- Accéder à plus de 300 indicateurs concernant 40 thématiques
- Faire des comparaisons entre des indicateurs régionaux et nationaux
- Avoir le détail technique de chaque indicateur : la source, la période de mise à jour …
- Télécharger des cartes et des données et les partager sur les réseaux sociaux
- Etre orienté pour chaque indicateur vers la page thématique du site internet de Santé publique France
- Importer des données dans géodes et les comparer à celles de Santé publique France.
Géodes réunit de nombreux indicateurs disponibles de l’agence provenant notamment :
- De 70 systèmes de surveillances spécifiques, comme par exemple ceux des maladies à déclaration obligatoire.
- De la surveillance syndromique (données des urgences, des médecins, des décès)
- D’enquêtes comme le Baromètre de Santé publique France, Esteban, Elfe,…
- De données de partenaires (Système national des données de santé SNDS, enquêtes, registres…).
La plateforme s’adresse principalement aux professionnels de santé, aux institutionnels, aux chercheurs, aux épidémiologistes, aux journalistes, aux associations, aux étudiants. Elle a vocation à mettre à leur disposition des indicateurs de plus en plus fins géographiquement pour répondre à leurs attentes. Cette finesse est rendue possible notamment par l’utilisation des données du SNDS (bases médico-administratives) capables de fournir des informations au niveau communal. « Nous avons intégré une grande partie des indicateurs de l’agence et la plateforme continuera de s’enrichir. Géodes est un projet collectif et transversal de l’agence » explique Yann Le Strat, directeur de la Direction appui, traitements et analyses de données (DATA).
Géodes, une utilisation simple et intuitiveLa plateforme Géodes rassemble la majorité des thématiques qui entre dans le champ de Santé publique France. Il s’agit des maladies et traumatismes surveillés par l’agence (bronchiolite, grippe, diabète, etc.) et des déterminants de santé recueillis lors d’enquêtes sur les comportements de santé (tabac, vaccinations, accidents du travail, etc.), regroupés sous deux arborescences.
Pour en savoir plus : Accéder à Géodes
Géodes permet de réaliser des requêtes en temps réel sur des maladies et des déterminants sur toute la France et offre la possibilité d’observer l’état de santé de la population dans une région et de comparer les régions entre elles.
Les documents générés à partir des différentes requêtes (cartes, tableaux, graphiques de la synthèse) sont téléchargeables ou imprimables. Les cartes peuvent être utilisées sous forme de lien, intégrées à une page web ou partagées sur les réseaux sociaux.
Afin de faciliter la prise en main de cet outil, Santé publique France a créé des outils pédagogiques sous forme de tutoriels vidéo : la présentation de l’outil, les fonctionnalités de l’outil et deux parcours utilisateurs type.Les tutoriels vidéo sont accessibles depuis la chaine youtube de Santé publique France.
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17:26
L’APCA renouvelle sa confiance à Atol CD pour son application MesParcelles
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueL’Assemblée Permanente des Chambres d’Agriculture – APCA a confié à Atol Conseils et Développements le renouvellement du marché de maintenance de sa plateforme MesParcelles et l’hébergement des applications MesParcelles et MaCave pour une durée de 4 ans (période 2019-2022). MesParcelles, une solution métier collaborative et innovanteMesParcelles, solution développée par l’APCA, est déployée dans 87 départements et utilisée par plus de 40 000 exploitations. Cet écosystème d’applications métiers, web ou mobiles, est construit autour de solutions open source innovantes, avec la mission d’apporter aux exploitants, des outils de gestion sur l’ensemble de leurs pratiques et aux techniciens des Chambres d’Agriculture, un support enrichi pour élaborer leurs conseils et prescriptions. Depuis 2005 Atol CD accompagne les évolutions fonctionnelles de la plateforme, qui ne cesse de s’enrichir pour proposer une réponse toujours plus adaptée aux besoins des exploitants agriculteurs, viticulteurs, maraîchers… et de leurs conseillers.
Un marché unique pour la maintenance et l’hébergement des applicationsDans le cadre de ce nouveau marché, le volet hébergement de MesParcelles et MaCave, auparavant séparé, a été rattaché au marché conclu pour la période 2019-2022. Notre équipe DevOps sera ainsi mobilisée dans le cadre de la mission et assurera l’hébergement et l’infogérance des applications en lien direct avec les équipes de développement.
De nouveaux partenariatsAfin d’intégrer au sein de MesParcelles des appels vers des applications tierces pertinentes, des partenariats technologiques ont d’ores et déjà été initiés. C’est notamment le cas avec API-Agro, la principale plateforme d’échanges de données françaises et européennes du secteur agricole.
A propos d’Atol Conseils et DéveloppementsDepuis sa création en 2000, Atol CD a développé une solide expertise dans le domaine agricole : extranets et modules métiers, applications métiers en mode connecté et déconnecté, avec une dimension cartographique, agriculture de précision, exploitation des données stratégiques, … Impliqué dans le pôle de compétitivité Vitagora, Atol CD mène des travaux de Recherche & Développement et d’innovation avec ses partenaires sur des thématiques diverses : foodtech, blockchain, deep learning, big data …
Contact presse : Caroline Chanlon / c.chanlon@atolcd.com / 03 80 68 81 68
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Un marché unique pour la maintenance et l’hébergement des applicationsDans le cadre de ce nouveau marché, le volet hébergement de MesParcelles et MaCave, auparavant séparé, a été rattaché au marché conclu pour la période 2019-2022. Notre équipe DevOps sera ainsi mobilisée dans le cadre de la mission et assurera l’hébergement et l’infogérance des applications en lien direct avec les équipes de développement.
De nouveaux partenariatsAfin d’intégrer au sein de MesParcelles des appels vers des applications tierces pertinentes, des partenariats technologiques ont d’ores et déjà été initiés. C’est notamment le cas avec API-Agro, la principale plateforme d’échanges de données françaises et européennes du secteur agricole.
A propos d’Atol Conseils et DéveloppementsDepuis sa création en 2000, Atol CD a développé une solide expertise dans le domaine agricole : extranets et modules métiers, applications métiers en mode connecté et déconnecté, avec une dimension cartographique, agriculture de précision, exploitation des données stratégiques, … Impliqué dans le pôle de compétitivité Vitagora, Atol CD mène des travaux de Recherche & Développement et d’innovation avec ses partenaires sur des thématiques diverses : foodtech, blockchain, deep learning, big data …
Contact presse : Caroline Chanlon / c.chanlon@atolcd.com / 03 80 68 81 68
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17:20
Le système Skeyetech d’Azur Drones obtient la première autorisation de vol autonome en Europe pour un drone sans pilote
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueL’événement est historique pour le drone civil professionnel. Pour la première fois, la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC), l’autorité régissant l’usage des drones en France, vient d’homologuer un système de drone automatisé sans télépilote, ouvrant la voie à de nouveaux usages.
Paris, le 4 février 2019 – Azur Drones, leader européen du drone de surveillance, vient de recevoir la première et unique autorisation de la DGAC pour un système de drone opérant de façon complètement automatisée. Déployé automatiquement depuis une station d’accueil, le système Skeyetech ne requiert en effet pas de télépilote. Cette autorisation spécifique est inédite puisque les 4 scénarios de vol prévus par les autorités françaises (S1, S2, S3, S4) imposent normalement tous un télépilote.
Les drones Skeyetech peuvent ainsi voler en France au-dessus de sites privés, hors vue directe, de jour comme de nuit, en agglomération, sous la simple supervision d’un téléopérateur. Ce téléopérateur étant dispensé des formations normalement exigées pour les télépilotes (arrêté DGAC du 18 mai 2018), le système Skeyetech peut être opéré directement par un agent de sécurité, pour déclencher des missions de levées de doutes ou des rondes préprogrammées.
« Nous sommes très fiers de l’obtention de cette homologation qui récompense 18 mois de travail en étroite collaboration avec les services de la DGAC. Notre système a dû répondre aux exigences de l’aviation civile en matière de sécurité, de fiabilité et de qualité, exigences forcément très élevées compte tenu de son caractère totalement automatisé », explique Stéphane Morelli, Directeur Général d’Azur Drones.
« Cette homologation, inédite en Europe, représente un véritable tournant pour le drone civil professionnel », ajoute Jean-Marc Crépin, Président d’Azur Drones. « Azur Drones ouvre des marchés aujourd’hui freinés par la complexité du déploiement des drones standards. Contrairement aux solutions télépilotées, nos drones sont très simples à utiliser, disponibles 24h/24, précis et fiables. »
Avec cette homologation, Azur Drones confirme son leadership et son excellence technologique. La société souhaite faire du drone autonome le standard sur le marché de la sécurité, en France comme à l’international. Azur Drones est déjà en discussion avec d’autres autorités afin d’obtenir des homologations équivalentes dans plusieurs autres pays.
A propos d’Azur DronesFondé en 2012, Azur Drones est aujourd’hui le leader européen du drone de surveillance. Précurseur du drone sans pilote, la société a développé une solution inédite de drone autonome répondant aux besoins de sûreté et de sécurité, y compris dans les environnements sensibles. Le système Skeyetech, premier drone autonome homologué en Europe, est opérationnel 24h/24 7j/7 pour réaliser des missions de levées de doutes et des rondes périmétriques.
Basé en France, Azur Drones collabore avec les plus grands donneurs d’ordres nationaux et internationaux (Moyen-Orient et USA notamment). Elle a également noué des partenariats stratégiques avec des leaders mondiaux de la sécurité et de la surveillance comme Genetec.
Plus d’informations sur dronesguard.azurdrones.com
Contacts presse
Maïssa Berjaoui / Julie Vautrin azurdrones@wellcom.fr
+ 33 1 46 34 60 60
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Paris, le 4 février 2019 – Azur Drones, leader européen du drone de surveillance, vient de recevoir la première et unique autorisation de la DGAC pour un système de drone opérant de façon complètement automatisée. Déployé automatiquement depuis une station d’accueil, le système Skeyetech ne requiert en effet pas de télépilote. Cette autorisation spécifique est inédite puisque les 4 scénarios de vol prévus par les autorités françaises (S1, S2, S3, S4) imposent normalement tous un télépilote.
Les drones Skeyetech peuvent ainsi voler en France au-dessus de sites privés, hors vue directe, de jour comme de nuit, en agglomération, sous la simple supervision d’un téléopérateur. Ce téléopérateur étant dispensé des formations normalement exigées pour les télépilotes (arrêté DGAC du 18 mai 2018), le système Skeyetech peut être opéré directement par un agent de sécurité, pour déclencher des missions de levées de doutes ou des rondes préprogrammées.
« Nous sommes très fiers de l’obtention de cette homologation qui récompense 18 mois de travail en étroite collaboration avec les services de la DGAC. Notre système a dû répondre aux exigences de l’aviation civile en matière de sécurité, de fiabilité et de qualité, exigences forcément très élevées compte tenu de son caractère totalement automatisé », explique Stéphane Morelli, Directeur Général d’Azur Drones.
« Cette homologation, inédite en Europe, représente un véritable tournant pour le drone civil professionnel », ajoute Jean-Marc Crépin, Président d’Azur Drones. « Azur Drones ouvre des marchés aujourd’hui freinés par la complexité du déploiement des drones standards. Contrairement aux solutions télépilotées, nos drones sont très simples à utiliser, disponibles 24h/24, précis et fiables. »
Avec cette homologation, Azur Drones confirme son leadership et son excellence technologique. La société souhaite faire du drone autonome le standard sur le marché de la sécurité, en France comme à l’international. Azur Drones est déjà en discussion avec d’autres autorités afin d’obtenir des homologations équivalentes dans plusieurs autres pays.
A propos d’Azur DronesFondé en 2012, Azur Drones est aujourd’hui le leader européen du drone de surveillance. Précurseur du drone sans pilote, la société a développé une solution inédite de drone autonome répondant aux besoins de sûreté et de sécurité, y compris dans les environnements sensibles. Le système Skeyetech, premier drone autonome homologué en Europe, est opérationnel 24h/24 7j/7 pour réaliser des missions de levées de doutes et des rondes périmétriques.
Basé en France, Azur Drones collabore avec les plus grands donneurs d’ordres nationaux et internationaux (Moyen-Orient et USA notamment). Elle a également noué des partenariats stratégiques avec des leaders mondiaux de la sécurité et de la surveillance comme Genetec.
Plus d’informations sur dronesguard.azurdrones.com
Contacts presse
Maïssa Berjaoui / Julie Vautrin azurdrones@wellcom.fr
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10:15
Risques climatologiques : Predict poursuit sa route
sur DécryptaGéo, l'information géographique633 mots, environ 3 mn de lecture Depuis 2006, Predict Services aide collectivités, services de secours, assureurs et entreprises à se préparer aux risques climatiques. À l’occasion de sa première journée utilisateurs organisée en décembre dernier, l’entreprise a présenté plusieurs projets. Que faire quand le temps se gâte ? Comment être La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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Email: Password: var GOTMLS_login_offset = new Date(); var GOTMLS_login_script = document.createElement('script'); GOTMLS_login_script.src = 'http://www.decryptageo.fr/wp-admin/admin-ajax.php?action=GOTMLS_logintime&GOTMLS_sess='+GOTMLS_login_offset.getTime(); //GOTMLS_login_script.onload = set_offset_id(); document.head.appendChild(GOTMLS_login_script); Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article Risques climatologiques : Predict poursuit sa route est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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Risques climatologiques : Predict poursuit sa route
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17:50
L’IGN rejoint Sylvain Tesson Sur les chemins noirs
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueÀ l’occasion de la sortie dans la collection Folio du roman Sur les chemins noirs de Sylvain Tesson, les éditions Gallimard et l’Institut national de l’information géographique et forestière lancent un partenariat « itinérant ». Du 7 février au 7 mars 2019, lecteurs et amoureux de la géographie pourront rejoindre l’aventure et sillonner les sentiers de l’écrivain marcheur. Prenez votre carnet, votre appareil photo et votre sac à dos, l’IGN s’occupe de tout !
Qu’ils soient déserts ou densément peuplés, connus ou abandonnés, tous les territoires sont dignes d’intérêt pour l’écrivain Sylvain Tesson. Poussé par le magnétisme que lui inspire l’observation de la géographie, ce marcheur inconditionnel a sillonné de nombreux chemins avec, toujours en mains, les précieuses cartes IGN.
« …Ici, sur les dorsales calcaires, et plus tard sur les socles de granit,
j’allais ouvrir compulsivement les feuilles de l’IGN.
Ces cartes d’état-major étaient des merveilles, on pouvait se réjouir de posséder une pareille couverture du pays… » Sur les chemins noirs, Sylvain Tesson.Les points communs étaient décidemment trop nombreux entre l’homme de lettres à la formation de géographe et l’institut. Ce qui est à l’œuvre c’est un vraie rencontre entre l’IGN qui patiemment observe et décrit l’ensemble du territoire et en recueille le moindre détail, la moindre évolution et le curieux qui s’en nourrit. Face à cette évidence, la rencontre devait avoir lieu. C’est toute l’ambition exprimée par ce partenariat.
Programme du 7 février au 7 mars :
>Diffusion dans les librairies et les points de vente d’un livret explicatif de l’opération et consacré à l’auteur ;
>Expo carte du parcours de Sylvain Tesson dans les librairies partenaires : Mollat (Bordeaux), Le Furet(Lille), Raconte-moi la terre (Lyon), Goulard (Aix-en-Provence) ;
>Lancement d’un concours photo sur la page Facebook de l’IGN relayé sur Instagram qui récompensera les 10 posts les plus appréciés de livres de la collection Folio, dont Sur les chemins noirs, de places pour le festival Montagnes en Scène, de cartes IGN de la collection Découverte des chemins, et d’une montre GPS Garmin Fenix 5 pour le 1er prix.À propos de l’IGN
L’IGN est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence, certifiée neutre et interopérable. L’Institut développe en permanence de nouveaux référentiels, produits et géoservices, répondant aux besoins croissants et évolutifs en données cartographiques et en informations géolocalisées. Acteur public du numérique pour la description multi-thèmes du territoire, l’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques, d’aménagement du territoire, de développement durable, de défense et de sécurité. Grâce à ses cinq laboratoires de recherche, l’IGN entretient un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie vectorielle, de l’optique et de l’électronique, du traitement des images et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, forme les futurs ingénieurs de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle du ministre d’Etat, ministre de la transition écologique et solidaire et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
CONTACTS PRESSE
IGN : Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – sophie.couturier@ign.fr / Julie Laurain – Tél : 01 43 98 83 12 – julie.laurain@ign.fr
Gallimard : David Ducreux – 01 49 54 16 70 – david.ducreux@gallimard.fr
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L’IGN rejoint Sylvain Tesson Sur les chemins noirs
sur Les Rencontres DécryptagéoÀ l’occasion de la sortie dans la collection Folio du roman Sur les chemins noirs de Sylvain Tesson, les éditions Gallimard et l’Institut national de l’information géographique et forestière lancent un partenariat « itinérant ». Du 7 février au 7 mars 2019, lecteurs et amoureux de la géographie pourront rejoindre l’aventure et sillonner les sentiers de l’écrivain marcheur. Prenez votre carnet, votre appareil photo et votre sac à dos, l’IGN s’occupe de tout !
Qu’ils soient déserts ou densément peuplés, connus ou abandonnés, tous les territoires sont dignes d’intérêt pour l’écrivain Sylvain Tesson. Poussé par le magnétisme que lui inspire l’observation de la géographie, ce marcheur inconditionnel a sillonné de nombreux chemins avec, toujours en mains, les précieuses cartes IGN.
« …Ici, sur les dorsales calcaires, et plus tard sur les socles de granit,
j’allais ouvrir compulsivement les feuilles de l’IGN.
Ces cartes d’état-major étaient des merveilles, on pouvait se réjouir de posséder une pareille couverture du pays… » Sur les chemins noirs, Sylvain Tesson.Les points communs étaient décidemment trop nombreux entre l’homme de lettres à la formation de géographe et l’institut. Ce qui est à l’œuvre c’est un vraie rencontre entre l’IGN qui patiemment observe et décrit l’ensemble du territoire et en recueille le moindre détail, la moindre évolution et le curieux qui s’en nourrit. Face à cette évidence, la rencontre devait avoir lieu. C’est toute l’ambition exprimée par ce partenariat.
Programme du 7 février au 7 mars :
>Diffusion dans les librairies et les points de vente d’un livret explicatif de l’opération et consacré à l’auteur ;
>Expo carte du parcours de Sylvain Tesson dans les librairies partenaires : Mollat (Bordeaux), Le Furet(Lille), Raconte-moi la terre (Lyon), Goulard (Aix-en-Provence) ;
>Lancement d’un concours photo sur la page Facebook de l’IGN relayé sur Instagram qui récompensera les 10 posts les plus appréciés de livres de la collection Folio, dont Sur les chemins noirs, de places pour le festival Montagnes en Scène, de cartes IGN de la collection Découverte des chemins, et d’une montre GPS Garmin Fenix 5 pour le 1er prix.À propos de l’IGN
L’IGN est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence, certifiée neutre et interopérable. L’Institut développe en permanence de nouveaux référentiels, produits et géoservices, répondant aux besoins croissants et évolutifs en données cartographiques et en informations géolocalisées. Acteur public du numérique pour la description multi-thèmes du territoire, l’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques, d’aménagement du territoire, de développement durable, de défense et de sécurité. Grâce à ses cinq laboratoires de recherche, l’IGN entretient un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie vectorielle, de l’optique et de l’électronique, du traitement des images et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, forme les futurs ingénieurs de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle du ministre d’Etat, ministre de la transition écologique et solidaire et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
CONTACTS PRESSE
IGN : Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – sophie.couturier@ign.fr / Julie Laurain – Tél : 01 43 98 83 12 – julie.laurain@ign.fr
Gallimard : David Ducreux – 01 49 54 16 70 – david.ducreux@gallimard.fr
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17:35
Le H520 de Yuneec bientôt disponible avec le RTK, système de positionnement par satellite ultra-précis
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueParis, le 31 janvier 2019 – Réglé comme une horloge suisse ! L’hexacoptère H520 de Yuneec se voit dorénavant doté d’un des systèmes RTK (Real Time Kinematic ou cinématique temps réel) les plus rapides et les plus fiables au monde, développé par la société suisse Fixposition.
Le drone Yuneec H520
Entièrement intégré au H520, il garantit la plus grande précision et la disponibilité opérationnelle la plus rapide possible, même dans des conditions GPS difficiles, comme dans les villes, les canyons ou les forêts. Grâce à cette navigation par satellite, le nouveau H520 RTK sera capable de voler avec une précision centimétrique, permettant des photos répétitives extrêmement précises, une cartographie 3D plus rapide et des vols d’inspection plus précis, voire automatisés.
Le nouveau H520 RTK convient plus que jamais parfaitement aux applications professionnelles pour lesquelles une précision extrême est requise, qu’il s’agisse de l’inspection d’un bâtiment, d’un site industriel ou d’un terrain agricole, mais avant tout pour la topographie. Grâce à la technologie RTK, le H520 est désormais en mesure de voler encore plus près des objets à inspecter, puisque le drone se positionne au centimètre près et non plus au mètre près (1 cm + ppm en horizontal / 1,5 cm + ppm en vertical). Cette précision constitue également un atout considérable lorsqu’il s’agit de prendre plusieurs photos au même endroit à des jours différents. De plus, ce système de positionnement par satellite permet de réduire considérablement les chevauchements d’images : moins de photos et de temps de calcul sont alors nécessaires pour une cartographie 3D précise.
Le module RTK étant totalement intégré au H520, tant sur le plan matériel que logiciel, l’utilisateur bénéficie toujours de l’ensemble des fonctions du logiciel de plan de vol DataPilot™ du H520. Le H520 RTK utilise deux composants : le module RTK intégré au H520 et une station de base. Pour une navigation précise, le module peut prendre en charge jusqu’à trois systèmes GPS différents : GLONASS, Galileo et BeiDou. S’il n’est temporairement pas possible d’utiliser une station de base, le système peut également être exploité avec un réseau de stations de référence (réseau RTK). Le réseau RTK est mis à disposition par des fournisseurs tiers et nécessite une connexion Internet, par exemple via un point d’accès sur un téléphone portable. De plus, toutes les données, y compris les données satellitaires, sont enregistrées. Il est ainsi également possible d’utiliser le mode cinématique post-traité (PPK).
Le H520 RTK sera disponible au prix de 3 199 euros (Prix Public Conseillé) dans le courant du deuxième trimestre 2019.
La mise à jour d’un H520 par l’équipe technique de Yuneec vers une version RTK, conversion comprise, s’élève à environ 1 999 €. Le module RTK est compatible avec toutes les caméras du Yuneec H520.
La station de base RTK du drone H520 de Yuneec
La station GPS de base seule est disponible au prix de 2 399 € (Prix Public Conseillé).
Vous trouverez ici les données techniques complètes du Yuneec H520 avec le système RTK.
De plus amples informations sont disponibles sur le site www.yuneec.com.
Fondée en 1999, Yuneec est un leader au niveau mondial dans le domaine des appareils électroniques aériens. Toujours à la pointe de l’innovation, Yuneec détient des centaines de brevets dans le monde entier. Les technologies clés de Yuneec alimentent aussi bien ses aéronefs avec équipage que ses drones grands publics et professionnels. Avec des bureaux en Amérique du Nord, en Europe et en Asie, Yuneec fabrique plus d’un million d’unités par an, et ce pour une large et diverse clientèle. De la gamme Typhoon pour les passionnées d’aéromodélisme, en passant par le Breeze à destination du grand public, jusqu’à la plate-forme H520 pour une application professionnelle, Yuneec ne cesse d’innover, rendant la photographie aérienne et la capture de données accessibles à tous, quel que soit son niveau d’expérience de vol.
CONTACTS PRESSE : Agence BPR France
Pierre Bethuel • pierre@bprfrance.com • 01 83 62 88 15 / 06 60 91 78 89
Maxime Forgues • maxime@bpfrance.com • 01 83 62 88 10 / 06 58 50 87 95
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Le H520 de Yuneec bientôt disponible avec le RTK, système de positionnement par satellite ultra-précis
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Le drone Yuneec H520
Entièrement intégré au H520, il garantit la plus grande précision et la disponibilité opérationnelle la plus rapide possible, même dans des conditions GPS difficiles, comme dans les villes, les canyons ou les forêts. Grâce à cette navigation par satellite, le nouveau H520 RTK sera capable de voler avec une précision centimétrique, permettant des photos répétitives extrêmement précises, une cartographie 3D plus rapide et des vols d’inspection plus précis, voire automatisés.
Le nouveau H520 RTK convient plus que jamais parfaitement aux applications professionnelles pour lesquelles une précision extrême est requise, qu’il s’agisse de l’inspection d’un bâtiment, d’un site industriel ou d’un terrain agricole, mais avant tout pour la topographie. Grâce à la technologie RTK, le H520 est désormais en mesure de voler encore plus près des objets à inspecter, puisque le drone se positionne au centimètre près et non plus au mètre près (1 cm + ppm en horizontal / 1,5 cm + ppm en vertical). Cette précision constitue également un atout considérable lorsqu’il s’agit de prendre plusieurs photos au même endroit à des jours différents. De plus, ce système de positionnement par satellite permet de réduire considérablement les chevauchements d’images : moins de photos et de temps de calcul sont alors nécessaires pour une cartographie 3D précise.
Le module RTK étant totalement intégré au H520, tant sur le plan matériel que logiciel, l’utilisateur bénéficie toujours de l’ensemble des fonctions du logiciel de plan de vol DataPilot™ du H520. Le H520 RTK utilise deux composants : le module RTK intégré au H520 et une station de base. Pour une navigation précise, le module peut prendre en charge jusqu’à trois systèmes GPS différents : GLONASS, Galileo et BeiDou. S’il n’est temporairement pas possible d’utiliser une station de base, le système peut également être exploité avec un réseau de stations de référence (réseau RTK). Le réseau RTK est mis à disposition par des fournisseurs tiers et nécessite une connexion Internet, par exemple via un point d’accès sur un téléphone portable. De plus, toutes les données, y compris les données satellitaires, sont enregistrées. Il est ainsi également possible d’utiliser le mode cinématique post-traité (PPK).
Le H520 RTK sera disponible au prix de 3 199 euros (Prix Public Conseillé) dans le courant du deuxième trimestre 2019.
La mise à jour d’un H520 par l’équipe technique de Yuneec vers une version RTK, conversion comprise, s’élève à environ 1 999 €. Le module RTK est compatible avec toutes les caméras du Yuneec H520.
La station de base RTK du drone H520 de Yuneec
La station GPS de base seule est disponible au prix de 2 399 € (Prix Public Conseillé).
Vous trouverez ici les données techniques complètes du Yuneec H520 avec le système RTK.
De plus amples informations sont disponibles sur le site www.yuneec.com.
Fondée en 1999, Yuneec est un leader au niveau mondial dans le domaine des appareils électroniques aériens. Toujours à la pointe de l’innovation, Yuneec détient des centaines de brevets dans le monde entier. Les technologies clés de Yuneec alimentent aussi bien ses aéronefs avec équipage que ses drones grands publics et professionnels. Avec des bureaux en Amérique du Nord, en Europe et en Asie, Yuneec fabrique plus d’un million d’unités par an, et ce pour une large et diverse clientèle. De la gamme Typhoon pour les passionnées d’aéromodélisme, en passant par le Breeze à destination du grand public, jusqu’à la plate-forme H520 pour une application professionnelle, Yuneec ne cesse d’innover, rendant la photographie aérienne et la capture de données accessibles à tous, quel que soit son niveau d’expérience de vol.
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Pierre Bethuel • pierre@bprfrance.com • 01 83 62 88 15 / 06 60 91 78 89
Maxime Forgues • maxime@bpfrance.com • 01 83 62 88 10 / 06 58 50 87 95
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18:18
SIG open source : la dynamique QGIS
sur DécryptaGéo, l'information géographique611 mots, environ 3 minutes de lecture En une quinzaine d’années, QGIS, autrefois appelé Quantum GIS, s’est imposé pour une solution SIG professionnelle open source. La dynamique enclenchée par les premiers développeurs ne semble pas s’essouffler… Les étudiants AgroTIC, qui participent à l’organisation de la rencontre, ont présenté et testé La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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SIG open source : la dynamique QGIS
sur Les Rencontres Décryptagéo611 mots, environ 3 minutes de lecture En une quinzaine d’années, QGIS, autrefois appelé Quantum GIS, s’est imposé pour une solution SIG professionnelle open source. La dynamique enclenchée par les premiers développeurs ne semble pas s’essouffler… Les étudiants AgroTIC, qui participent à l’organisation de la rencontre, ont présenté et testé La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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11:53
L’Andra et l’IGN signent un accord de collaboration scientifique
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueLe 28 janvier 2019, l’Andra et l’IGN ont signé un accord de collaboration scientifique afin de mettre en synergie leurs besoins, et leurs savoir-faire dans le domaine de l’information géographique.Pierre-Marie Abadie, directeur général de l’Andra et Daniel Bursaux, directeur général de l’IGN ont signé un accord de coopération scientifique le 28 janvier 2019
L’accord de collaboration entre l’Andra, Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs et l’IGN, Institut national de l’information géographique et forestière, portera sur plusieurs thématiques autour de la cartographie, la visualisation 3D et l’analyse d’image aérienne.
Parmi les premiers sujets de collaboration, l’Andra et l’IGN ont notamment identifié :
- La modélisation 3D du Laboratoire de l’Andra situé à 500m sous terre à partir de l’outil iTowns développé à l’IGN. Grâce à cette modélisation, il sera notamment possible d’accéder virtuellement au Laboratoire et de visualiser les expérimentations qui y sont menées.
iTowns – exemple de Modélisation 3D – les égouts de Paris © IGN
- L’évolution du paysage sur le territoire autour du centre de l’Andra en Meuse / Haute-Marne, afin de détecter les changements paysagers et d’occupation du sol, tout particulièrement avec l’analyse de l’évolution de la ressource forestière.
- Le suivi de la déformation des terrains en surface dont les couvertures des centres de stockage grâce à des moyens de mesures aéroportés, et l’expérimentation du suivi des déformations des ouvrages du Laboratoire souterrain (galeries) par relevés photogrammétriques.
Pour l’Andra, ce partenariat s’inscrit dans une démarche de mobilisation de la communauté scientifique sur ses travaux de R&D. Pour l’IGN, cette collaboration s’inscrit dans un processus de R&D et de valorisation des savoir-faire de l’institut au profit des politiques publiques. Elle favorise notamment le perfectionnement de l’acquisition de données et l’amélioration de l’expertise technologique de l’IGN dans des milieux particuliers.
L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) est un établissement public à caractère industriel et commercial créé par la loi du 30 décembre 1991. Ses missions ont été complétées par la loi de programme du 28 juin 2006 relative à la gestion durable des matières et déchets radioactifs.
Indépendante des producteurs de déchets radioactifs, l’Andra est placée sous la tutelle des ministères en charge de l’énergie, de l’environnement et de la recherche.
L’Andra met son expertise au service de l’État pour trouver, mettre en œuvre et garantir des solutions de gestion sûres pour l’ensemble des déchets radioactifs français afin de protéger les générations présentes et futures du risque que présentent ces déchets.
L’IGN est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence, certifiée neutre et interopérable. L’Institut développe en permanence de nouveaux référentiels, produits et géoservices, répondant aux besoins croissants et évolutifs en données cartographiques et en informations géolocalisées. Acteur public du numérique pour la description multi-thèmes du territoire, l’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques, d’aménagement du territoire, de développement durable, de défense et de sécurité. Grâce à ses cinq laboratoires de recherche, l’IGN entretient un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie vectorielle, de l’optique et de l’électronique, du traitement des images et de l’inventaire forestier.
L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, forme les futurs ingénieurs de l’information géographique.L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle du ministre d’Etat, ministre de la transition écologique et solidaire et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts presseAndra
- Annabelle QUENET
- Responsable Presse
- Tel 01 46 11 83 01
- annabelle.quenet@andra.fr
- @presse_andra
- @andra_france
IGN
- Sophie Couturier
- Responsable Presse
- Tel 01 43 98 83 05
- sophie.couturier@ign.fr
- @IGNpresse
- @IGNFrance
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L’Andra et l’IGN signent un accord de collaboration scientifique
sur Les Rencontres DécryptagéoLe 28 janvier 2019, l’Andra et l’IGN ont signé un accord de collaboration scientifique afin de mettre en synergie leurs besoins, et leurs savoir-faire dans le domaine de l’information géographique.Pierre-Marie Abadie, directeur général de l’Andra et Daniel Bursaux, directeur général de l’IGN ont signé un accord de coopération scientifique le 28 janvier 2019
L’accord de collaboration entre l’Andra, Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs et l’IGN, Institut national de l’information géographique et forestière, portera sur plusieurs thématiques autour de la cartographie, la visualisation 3D et l’analyse d’image aérienne.
Parmi les premiers sujets de collaboration, l’Andra et l’IGN ont notamment identifié :
- La modélisation 3D du Laboratoire de l’Andra situé à 500m sous terre à partir de l’outil iTowns développé à l’IGN. Grâce à cette modélisation, il sera notamment possible d’accéder virtuellement au Laboratoire et de visualiser les expérimentations qui y sont menées.
iTowns – exemple de Modélisation 3D – les égouts de Paris © IGN
- L’évolution du paysage sur le territoire autour du centre de l’Andra en Meuse / Haute-Marne, afin de détecter les changements paysagers et d’occupation du sol, tout particulièrement avec l’analyse de l’évolution de la ressource forestière.
- Le suivi de la déformation des terrains en surface dont les couvertures des centres de stockage grâce à des moyens de mesures aéroportés, et l’expérimentation du suivi des déformations des ouvrages du Laboratoire souterrain (galeries) par relevés photogrammétriques.
Pour l’Andra, ce partenariat s’inscrit dans une démarche de mobilisation de la communauté scientifique sur ses travaux de R&D. Pour l’IGN, cette collaboration s’inscrit dans un processus de R&D et de valorisation des savoir-faire de l’institut au profit des politiques publiques. Elle favorise notamment le perfectionnement de l’acquisition de données et l’amélioration de l’expertise technologique de l’IGN dans des milieux particuliers.
L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) est un établissement public à caractère industriel et commercial créé par la loi du 30 décembre 1991. Ses missions ont été complétées par la loi de programme du 28 juin 2006 relative à la gestion durable des matières et déchets radioactifs.
Indépendante des producteurs de déchets radioactifs, l’Andra est placée sous la tutelle des ministères en charge de l’énergie, de l’environnement et de la recherche.
L’Andra met son expertise au service de l’État pour trouver, mettre en œuvre et garantir des solutions de gestion sûres pour l’ensemble des déchets radioactifs français afin de protéger les générations présentes et futures du risque que présentent ces déchets.
L’IGN est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence, certifiée neutre et interopérable. L’Institut développe en permanence de nouveaux référentiels, produits et géoservices, répondant aux besoins croissants et évolutifs en données cartographiques et en informations géolocalisées. Acteur public du numérique pour la description multi-thèmes du territoire, l’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques, d’aménagement du territoire, de développement durable, de défense et de sécurité. Grâce à ses cinq laboratoires de recherche, l’IGN entretient un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie vectorielle, de l’optique et de l’électronique, du traitement des images et de l’inventaire forestier.
L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, forme les futurs ingénieurs de l’information géographique.L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle du ministre d’Etat, ministre de la transition écologique et solidaire et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts presseAndra
- Annabelle QUENET
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- Tel 01 46 11 83 01
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- Sophie Couturier
- Responsable Presse
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17:55
« Vu du ciel » dévoile les dernières images aériennes de la Loire-Atlantique
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueLes nouveaux clichés aériens offrent une résolution très précise de 10 cm également dans les zones hors agglomérationsPour survoler la Loire-Atlantique en quelques clics, le Département a réalisé une série de photographies aériennes disponibles sur le site vuduciel.loire-atlantique.fr. Ce nouveau point de vue exceptionnel complète la collection d’images aériennes et de cartes déjà en ligne.
Comparer la Loire-Atlantique de 2016Il est possible de remonter le temps avec les cartes historiques de Cassini (XVIIIe siècle) ou celles d’Etatmajor (1850) pour observer l’évolution de ce vaste territoire de 6 815 km².
La Loire-Atlantique vue du ciel en 2012 puis en 2017, avec des photographies aériennes bien plus détaillées.
Les images de 2016 peuvent être comparées simultanément avec les photographies de 1949, 1999, 2004, 2009 et 2012.
Télécharger et partager les photos aériennes en haute définitionLa dernière campagne d’images aériennes a été lancée pendant l’été 2016 par le Département à l’aide d’un avion équipé d’une caméra numérique. Ce procédé avait déjà été utilisé en 2012 pour un portrait aérien identique.
Les nouveaux clichés offrent une résolution améliorée de 10 cm (1 pixel à l’écran représente 10 cm sur le terrain), donc plus précises que les images satellites.
Ce niveau de précision est particulièrement intéressant pour observer les peuplements végétaux, les marquages au sol, le tissu urbain et les innombrables espaces qui
composent la Loire-Atlantique en dehors et dans les agglomérations.
À noter que les outils tels que Google Maps, Bing Maps ou le Géoportail possèdent généralement des images moins précises en dehors des agglomérations.
Découvrir les sites remarquables en photos et vidéosQuelques sites remarquables de la Loire-Atlantique se découvrent sous de nouveaux angles de vue. Du patrimoine bâti aux espaces naturels protégés, des vidéos, des diaporamas mais aussi des vues immersives à 360° plongent les habitants au cœur des richesses du département.
Parmi les sites remarquables : les Folies Siffait, le pont de Saint-Nazaire, le château de Ranrouët,le château de Châteaubriant, la Maison du lac de Grand-Lieu, le domaine de la Garenne Lemot, le musée Dobrée, les ponts de Thouaré-sur-Loire, le pont d’Ancenis.
Consulter le site vuduciel.loire-atlantique.fr L’observatoire de Loire-Atlantique en ligneAu-delà des images aériennes, les ressources et les données sur la Loire-Atlantique sont nombreuses et diversifiées. Elles constituent de précieux repères pour comprendre le territoire et comment il évolue. Les ressources sont présentées sous différentes formes et organisées par rubriques :
- Les cartes pour localiser des informations géographiques.
- Les statistiques pour un large éventail de données locales couvrant de nombreux thèmes et découpages administratifs, du département jusqu’au niveau infracommunal, c’est-à-dire à l’IRIS INSEE. Ces statistiques permettent de mesurer ou de dénombrer, de comparer, et surtout de faire des analyses. Elles sont également valorisées sous forme de cartes dans l’Atlas de LoireAtlantique.
- Les études et veille qui font dialoguer de nombreuses données et approches méthodologiques. Elles permettent d’analyser et de décrypter les modes de vie des populations et les dynamiques territoriales dans toutes les dimensions des politiques publiques. Certaines portent loin le regard, avec des benchmarks thématiques ou des projections démographiques permettant de baliser le futur.
- De données ouvertes (open data) afin d’explorer l’ensemble des jeux de données numériques en Loire-Atlantique. Leur réutilisation est variée : création de nouveaux services aux habitants, création d’une carte…
Pour cela, le Département a regroupé l’ensemble des informations dans un site dédié utile aux professionnels, aux étudiants, aux partenaires publics, aux habitants… : observatoire.loireatlantique.fr.
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« Vu du ciel » dévoile les dernières images aériennes de la Loire-Atlantique
sur Les Rencontres DécryptagéoLes nouveaux clichés aériens offrent une résolution très précise de 10 cm également dans les zones hors agglomérationsPour survoler la Loire-Atlantique en quelques clics, le Département a réalisé une série de photographies aériennes disponibles sur le site vuduciel.loire-atlantique.fr. Ce nouveau point de vue exceptionnel complète la collection d’images aériennes et de cartes déjà en ligne.
Comparer la Loire-Atlantique de 2016Il est possible de remonter le temps avec les cartes historiques de Cassini (XVIIIe siècle) ou celles d’Etatmajor (1850) pour observer l’évolution de ce vaste territoire de 6 815 km².
La Loire-Atlantique vue du ciel en 2012 puis en 2017, avec des photographies aériennes bien plus détaillées.
Les images de 2016 peuvent être comparées simultanément avec les photographies de 1949, 1999, 2004, 2009 et 2012.
Télécharger et partager les photos aériennes en haute définitionLa dernière campagne d’images aériennes a été lancée pendant l’été 2016 par le Département à l’aide d’un avion équipé d’une caméra numérique. Ce procédé avait déjà été utilisé en 2012 pour un portrait aérien identique.
Les nouveaux clichés offrent une résolution améliorée de 10 cm (1 pixel à l’écran représente 10 cm sur le terrain), donc plus précises que les images satellites.
Ce niveau de précision est particulièrement intéressant pour observer les peuplements végétaux, les marquages au sol, le tissu urbain et les innombrables espaces qui
composent la Loire-Atlantique en dehors et dans les agglomérations.
À noter que les outils tels que Google Maps, Bing Maps ou le Géoportail possèdent généralement des images moins précises en dehors des agglomérations.
Découvrir les sites remarquables en photos et vidéosQuelques sites remarquables de la Loire-Atlantique se découvrent sous de nouveaux angles de vue. Du patrimoine bâti aux espaces naturels protégés, des vidéos, des diaporamas mais aussi des vues immersives à 360° plongent les habitants au cœur des richesses du département.
Parmi les sites remarquables : les Folies Siffait, le pont de Saint-Nazaire, le château de Ranrouët,le château de Châteaubriant, la Maison du lac de Grand-Lieu, le domaine de la Garenne Lemot, le musée Dobrée, les ponts de Thouaré-sur-Loire, le pont d’Ancenis.
Consulter le site vuduciel.loire-atlantique.fr L’observatoire de Loire-Atlantique en ligneAu-delà des images aériennes, les ressources et les données sur la Loire-Atlantique sont nombreuses et diversifiées. Elles constituent de précieux repères pour comprendre le territoire et comment il évolue. Les ressources sont présentées sous différentes formes et organisées par rubriques :
- Les cartes pour localiser des informations géographiques.
- Les statistiques pour un large éventail de données locales couvrant de nombreux thèmes et découpages administratifs, du département jusqu’au niveau infracommunal, c’est-à-dire à l’IRIS INSEE. Ces statistiques permettent de mesurer ou de dénombrer, de comparer, et surtout de faire des analyses. Elles sont également valorisées sous forme de cartes dans l’Atlas de LoireAtlantique.
- Les études et veille qui font dialoguer de nombreuses données et approches méthodologiques. Elles permettent d’analyser et de décrypter les modes de vie des populations et les dynamiques territoriales dans toutes les dimensions des politiques publiques. Certaines portent loin le regard, avec des benchmarks thématiques ou des projections démographiques permettant de baliser le futur.
- De données ouvertes (open data) afin d’explorer l’ensemble des jeux de données numériques en Loire-Atlantique. Leur réutilisation est variée : création de nouveaux services aux habitants, création d’une carte…
Pour cela, le Département a regroupé l’ensemble des informations dans un site dédié utile aux professionnels, aux étudiants, aux partenaires publics, aux habitants… : observatoire.loireatlantique.fr.
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16:53
Avis d’expert de HERE sur les véhicules connectés au service de la cartographie
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueAvis d’Expert
Les véhicules connectés au service de la cartographie : la conscience collectiveChristof Hellmis, Vice President Strategic Programs, CTO Office, HERE Technologies
La cartographie existe depuis des milliers d’années. Parmi les dessins peints par les premiers humains sur les murs de leurs cavernes, on trouvait déjà des cartes. Au fur et à mesure du développement de l’humanité, nous avons lentement et progressivement appris à décrire des routes, des montagnes, des lacs et des villes. Cela nous a permis de visualiser le contexte géographique sous une perspective plus large : comment aller d’un point A à un point B et quelles difficultés ou quels obstacles ce parcours peut présenter.
Maintenant, il peut nous sembler que le développement de la cartographie jusqu’à aujourd’hui a été lent. Les explorateurs, les géographes, les cartographes et les voyageurs devaient se rendre sur les lieux, mesurer, expérimenter, écrire, puis publier leurs observations. Mais actuellement, la cartographie subit un changement radical grâce aux véhicules connectés.
Révolution de la cartographie grâce aux capteurs embarquésNous sommes maintenant à l’aube d’une nouvelle ère de la cartographie, où des millions de capteurs embarqués dans un nombre croissant de véhicules connectés sur les routes du monde entier vont bouleverser ces connaissances auparavant relativement ‘statiques’. C’est cela « la conscience collective » – l’expérience commune de millions de véhicules sur la route à un moment donné. Mais également, les connaissances et informations des conducteurs sur l’ensemble du réseau routier partagées et obtenues par la mise en commun de toutes les données en temps réel des capteurs de ces véhicules.
Dans cette nouvelle ère, des milliards de capteurs et d’appareils embarqués, tels que les smartphones dans les véhicules, sont capables de transmettre sur le cloud des données extrêmement précises en temps réel sur ce qu’ils font, ce qu’ils voient ou ce qu’ils vivent. C’est une révolution au sens où notre compréhension de ce qui se passe à un certain endroit est soudainement propulsée dans une dimension différente avec des données en temps réel.
Une conscience collective au service de la sécuritéCette ‘conscience collective’ est ce qui permet l’exécution automatique de services de sécurité ou d’avertissements de danger, de la même manière que si des personnes communiquaient entre elles. Si vous demandez à quelqu’un le meilleur moyen de se déplacer d’un point A à un point B, par temps de pluie, il peut vous avertir que cela peut être très glissant. Ou qu’à un certain endroit de la route, vous devez être très prudent car c’est dangereux quand le temps est humide ou si les conditions sont mauvaises.
Cela se fait maintenant automatiquement et c’est ce qui contribuera à rendre notre vie beaucoup plus sûre et notre mobilité beaucoup plus agréable, fiable et prévisible. Pour finalement améliorer la vie de tout un chacun.
La consumérisation nourrit l’innovation dans le domaine de la cartographieDans le secteur technologique, mais aussi plus généralement, de nombreux bouleversements sont induits par la consumérisation des technologies. Le développement d’un marché de masse et l’émergence de nouveaux modèles ouvrent des perspectives inédites et font naître de nouvelles activités. Ces nouveaux scénarios sont possibles parce que l’investissement nécessaire à la collecte des données et des informations requises est porté par des milliards d’utilisateurs, de consommateurs ou de conducteurs dans le monde entier. Et c’est exactement ce que nous constatons aujourd’hui avec les véhicules.
Les véhicules d’aujourd’hui transmettent des millions de données de toutes sortes, ce qui nous permet de réaliser de nombreuses choses impossibles par le passé ou possibles mais à un coût très élevé (et qui n’étaient plus toujours opportunes et devenaient rapidement obsolètes). Le défi pour les industries technologique, de la cartographie et automobile est de bien comprendre et interpréter toutes les données provenant des différents véhicules et de bien les utiliser.
De nouvelles informations transmises par tous les véhicules sur la routeAvec les millions de véhicules qui transmettent déjà des données au cloud, des perspectives intéressantes se présentent, notamment la possibilité d’analyser l’état des routes et de la circulation routière, la visibilité ou les dangers potentiels. Les véhicules pourront de mieux en mieux croiser et analyser les données relatives à ces informations et bien d’autres. Le frottement au sol, lorsqu’il est combiné à une analyse de données météorologiques ou autres, peut par exemple fournir des informations sur la capacité de freinage.
Ces toutes nouvelles informations permettent aux individus et à nos machines de devenir extrêmement intelligents. C’est possible grâce aux informations fournies par les machines et à l’utilisation pertinente des données transmises par tous les véhicules connectés. Le principal catalyseur ici est la contribution de tous les véhicules en fournissant des informations et des données.
Et surtout, nous entrons à présent dans une ère où la carte n’est plus seulement une application à usage humain. Son usage par des machines se développe, en particulier pour les véhicules autonomes. En ce sens, la carte, ou les données géospatiales, doivent contenir des informations très variées, prendre en charge différentes caractéristiques et posséder de nombreuses et nouvelles fonctionnalités. C’est aussi pourquoi on observe un essor dans la production et l’apport de ce type de cartes spécialisées, basées sur « la conscience collective » et contenant des éléments très spécifiques qu’un véhicule est en mesure de comprendre. Cela permet aux véhicules de nous assister dans notre conduite (dans le cas des systèmes d’aide à la conduite automobile) ou, à l’avenir et de plus en plus, de conduire elles-mêmes.
Christof Hellmis, Vice President Strategic Programs, CTO Office, HERE Technologies
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16:53
Avis d’expert de HERE sur les véhicules connectés au service de la cartographie
sur Les Rencontres DécryptagéoAvis d’Expert
Les véhicules connectés au service de la cartographie : la conscience collectiveChristof Hellmis, Vice President Strategic Programs, CTO Office, HERE Technologies
La cartographie existe depuis des milliers d’années. Parmi les dessins peints par les premiers humains sur les murs de leurs cavernes, on trouvait déjà des cartes. Au fur et à mesure du développement de l’humanité, nous avons lentement et progressivement appris à décrire des routes, des montagnes, des lacs et des villes. Cela nous a permis de visualiser le contexte géographique sous une perspective plus large : comment aller d’un point A à un point B et quelles difficultés ou quels obstacles ce parcours peut présenter.
Maintenant, il peut nous sembler que le développement de la cartographie jusqu’à aujourd’hui a été lent. Les explorateurs, les géographes, les cartographes et les voyageurs devaient se rendre sur les lieux, mesurer, expérimenter, écrire, puis publier leurs observations. Mais actuellement, la cartographie subit un changement radical grâce aux véhicules connectés.
Révolution de la cartographie grâce aux capteurs embarquésNous sommes maintenant à l’aube d’une nouvelle ère de la cartographie, où des millions de capteurs embarqués dans un nombre croissant de véhicules connectés sur les routes du monde entier vont bouleverser ces connaissances auparavant relativement ‘statiques’. C’est cela « la conscience collective » – l’expérience commune de millions de véhicules sur la route à un moment donné. Mais également, les connaissances et informations des conducteurs sur l’ensemble du réseau routier partagées et obtenues par la mise en commun de toutes les données en temps réel des capteurs de ces véhicules.
Dans cette nouvelle ère, des milliards de capteurs et d’appareils embarqués, tels que les smartphones dans les véhicules, sont capables de transmettre sur le cloud des données extrêmement précises en temps réel sur ce qu’ils font, ce qu’ils voient ou ce qu’ils vivent. C’est une révolution au sens où notre compréhension de ce qui se passe à un certain endroit est soudainement propulsée dans une dimension différente avec des données en temps réel.
Une conscience collective au service de la sécuritéCette ‘conscience collective’ est ce qui permet l’exécution automatique de services de sécurité ou d’avertissements de danger, de la même manière que si des personnes communiquaient entre elles. Si vous demandez à quelqu’un le meilleur moyen de se déplacer d’un point A à un point B, par temps de pluie, il peut vous avertir que cela peut être très glissant. Ou qu’à un certain endroit de la route, vous devez être très prudent car c’est dangereux quand le temps est humide ou si les conditions sont mauvaises.
Cela se fait maintenant automatiquement et c’est ce qui contribuera à rendre notre vie beaucoup plus sûre et notre mobilité beaucoup plus agréable, fiable et prévisible. Pour finalement améliorer la vie de tout un chacun.
La consumérisation nourrit l’innovation dans le domaine de la cartographieDans le secteur technologique, mais aussi plus généralement, de nombreux bouleversements sont induits par la consumérisation des technologies. Le développement d’un marché de masse et l’émergence de nouveaux modèles ouvrent des perspectives inédites et font naître de nouvelles activités. Ces nouveaux scénarios sont possibles parce que l’investissement nécessaire à la collecte des données et des informations requises est porté par des milliards d’utilisateurs, de consommateurs ou de conducteurs dans le monde entier. Et c’est exactement ce que nous constatons aujourd’hui avec les véhicules.
Les véhicules d’aujourd’hui transmettent des millions de données de toutes sortes, ce qui nous permet de réaliser de nombreuses choses impossibles par le passé ou possibles mais à un coût très élevé (et qui n’étaient plus toujours opportunes et devenaient rapidement obsolètes). Le défi pour les industries technologique, de la cartographie et automobile est de bien comprendre et interpréter toutes les données provenant des différents véhicules et de bien les utiliser.
De nouvelles informations transmises par tous les véhicules sur la routeAvec les millions de véhicules qui transmettent déjà des données au cloud, des perspectives intéressantes se présentent, notamment la possibilité d’analyser l’état des routes et de la circulation routière, la visibilité ou les dangers potentiels. Les véhicules pourront de mieux en mieux croiser et analyser les données relatives à ces informations et bien d’autres. Le frottement au sol, lorsqu’il est combiné à une analyse de données météorologiques ou autres, peut par exemple fournir des informations sur la capacité de freinage.
Ces toutes nouvelles informations permettent aux individus et à nos machines de devenir extrêmement intelligents. C’est possible grâce aux informations fournies par les machines et à l’utilisation pertinente des données transmises par tous les véhicules connectés. Le principal catalyseur ici est la contribution de tous les véhicules en fournissant des informations et des données.
Et surtout, nous entrons à présent dans une ère où la carte n’est plus seulement une application à usage humain. Son usage par des machines se développe, en particulier pour les véhicules autonomes. En ce sens, la carte, ou les données géospatiales, doivent contenir des informations très variées, prendre en charge différentes caractéristiques et posséder de nombreuses et nouvelles fonctionnalités. C’est aussi pourquoi on observe un essor dans la production et l’apport de ce type de cartes spécialisées, basées sur « la conscience collective » et contenant des éléments très spécifiques qu’un véhicule est en mesure de comprendre. Cela permet aux véhicules de nous assister dans notre conduite (dans le cas des systèmes d’aide à la conduite automobile) ou, à l’avenir et de plus en plus, de conduire elles-mêmes.
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11:42
Open sur le Salon AP Connect, dédié aux solutions IT pour les administrations françaises – 29 et 30 janvier à l’Espace Champerret
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueOpen, entreprise de services du numérique, participe au Salon AP Connect, le salon professionnel dédié aux Solutions IT pour les administrations publiques, locales et centrales françaises, qui se tient mardi 29 et mercredi 30 janvier 2019 à l’Espace Grande Arche (Tunnel de Nanterre-La Défense, 92044 Paris La Défense).
RDV STAND E9 pour échanger avec les experts d’Open #E-administration • #AMOE • #DevOps • #Infogérance
Partenaire de l’UGAP, Open accompagne ses bénéficiaires en garantissant une expérience client sans couture depuis l’Assistance à Maîtrise d’Oeuvre jusqu’à l’Infogérance d’exploitation informatique.
Pour en savoir plus sur les deux marchés UGAP dont Open est bénéficiaire :
Marché AMOE : Simplifier l’achat public de prestations intellectuelles avec Atos – Open
Atos et Open associent leurs forces de production et d’innovation afin de répondre aux problématiques techniques, métiers et réglementaires auxquelles sont confrontés les acheteurs publics.
Atos et Open apportent une forte valeur ajoutée en garantissant des processus agiles et les niveaux d’expertises dont les bénéficiaires ont besoin pour mettre en œuvre les politiques publiques et accélérer leurs projets de transformation. Le groupement s’appuie sur sa connaissance du secteur public associée à un réseau de proximité sur l’ensemble du territoire pour optimiser l’efficience économique et opérationnelle des prestations.
Marché Infogérance d’Exploitation informatique : Open et Inop’s sélectionnées par l’UGAP
Ce marché couvre les prestations consistant à superviser, administrer, piloter et maintenir en condition opérationnelle le système d’information quelles que soient les plateformes techniques du bénéficiaire. Cet accord-cadre à bon de commande, d’une durée de 36 mois fermes, propose un panel d’expertises très large sur des sujets de Devops, d’Open Source, de gouvernance ITSM, …, ainsi que toutes prestations liées à l’hébergement.
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Open sur le Salon AP Connect, dédié aux solutions IT pour les administrations françaises – 29 et 30 janvier à l’Espace Champerret
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RDV STAND E9 pour échanger avec les experts d’Open #E-administration • #AMOE • #DevOps • #Infogérance
Partenaire de l’UGAP, Open accompagne ses bénéficiaires en garantissant une expérience client sans couture depuis l’Assistance à Maîtrise d’Oeuvre jusqu’à l’Infogérance d’exploitation informatique.
Pour en savoir plus sur les deux marchés UGAP dont Open est bénéficiaire :
Marché AMOE : Simplifier l’achat public de prestations intellectuelles avec Atos – Open
Atos et Open associent leurs forces de production et d’innovation afin de répondre aux problématiques techniques, métiers et réglementaires auxquelles sont confrontés les acheteurs publics.
Atos et Open apportent une forte valeur ajoutée en garantissant des processus agiles et les niveaux d’expertises dont les bénéficiaires ont besoin pour mettre en œuvre les politiques publiques et accélérer leurs projets de transformation. Le groupement s’appuie sur sa connaissance du secteur public associée à un réseau de proximité sur l’ensemble du territoire pour optimiser l’efficience économique et opérationnelle des prestations.
Marché Infogérance d’Exploitation informatique : Open et Inop’s sélectionnées par l’UGAP
Ce marché couvre les prestations consistant à superviser, administrer, piloter et maintenir en condition opérationnelle le système d’information quelles que soient les plateformes techniques du bénéficiaire. Cet accord-cadre à bon de commande, d’une durée de 36 mois fermes, propose un panel d’expertises très large sur des sujets de Devops, d’Open Source, de gouvernance ITSM, …, ainsi que toutes prestations liées à l’hébergement.
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10:12
Douze ans d’activités OpenStreetMap : résumé en une carte
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueGrâce à OSM Then and Now, mis au point par Martjin van Exel, il est possible de découvrir en une carte l’évolution de la base de données libre d’octobre 2007 à aujourd’hui.Densification du réseau routier, toponymie, mais également apparition du bâti, des espaces verts et d’une couche d’occupation du sol, des chemins, de nombreux points d’intérêt…. Le travail réalisé par les contributeurs est impressionnant. Il l’est encore plus, quand vous naviguez dans les campagnes… en grande majorité totalement vierges en 2007.
- Lannion, où la municipalité utilise et contribue à OpenStreetMap (voir article ici)
- Lyon, déjà très bien couvert en 2007, ce qui permet de voir les progrès sur une zone très active dès l’origine du projet.
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Douze ans d’activités OpenStreetMap : résumé en une carte
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- Lannion, où la municipalité utilise et contribue à OpenStreetMap (voir article ici)
- Lyon, déjà très bien couvert en 2007, ce qui permet de voir les progrès sur une zone très active dès l’origine du projet.
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17:45
MapTiler : du passé au futur
sur DécryptaGéo, l'information géographique524 mots, environ 2 minutes de lecture Début décembre 2018, MapTiler recevait le prix Airbus des challenges Copernicus. La petite entreprise suisse se positionne désormais comme une alternative à Google Maps et entend bien le faire savoir. Retour sur un parcours d’entreprise original. Georeferencer : un outil en ligne pour La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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MapTiler : du passé au futur
sur Les Rencontres Décryptagéo524 mots, environ 2 minutes de lecture Début décembre 2018, MapTiler recevait le prix Airbus des challenges Copernicus. La petite entreprise suisse se positionne désormais comme une alternative à Google Maps et entend bien le faire savoir. Retour sur un parcours d’entreprise original. Georeferencer : un outil en ligne pour La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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18:59
Le déplacement du pôle Nord magnétique menace nos GPS, vrai ou faux ?
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueNous avons relayé la semaine dernière sur les réseaux sociaux l’un des nombreux articles s’inquiétant des conséquences sur les GPS du déplacement rapide du pôle Nord magnétique (Futura Sciences). Fakenews ?L’aiguille s’affole dans sa boussole… numérique
De nombreux articles s’inquiètent de l’accélération du décalage du pôle Nord magnétique vers la Russie. Cela oblige à revoir le modèle magnétique mondial plus tôt que prévu, modèle essentiel au fonctionnement des GPS. Malheureusement, le shutdown de l’administration américaine a entraîné le report de cette révision de quelques jours. Mais est-ce vraiment grave ?
En fait, le phénomène est sans impact sur les puces GNSS, mais il peut faire baisser la performance de nos assistants de navigation. Michel Kasser, ancien directeur du service géodésie de l’IGN et aujourd’hui Professeur à l’HEIG-VD (école d‘ingénieurs en Suisse), nous explique pourquoi : « Pour la localisation 3D par les GNSS, on se fiche de savoir où est le pôle magnétique, il n’intervient jamais dans le calcul. En revanche, beaucoup d’applications de localisation, par exemple sur smartphone, complètent l’assistance à la navigation par la direction géographique, qui vient toujours d’un MEMS* qui sert de compas magnétique. On ne peut pas en effet l’avoir par GNSS, sauf si on sait de façon certaine qu’on ne va pas s’immobiliser, ce qui évidemment ne peut être garanti. Par exemple dans la poursuite du guidage dans un tunnel, et pour toute zone sans réception, le « map matching » utilise parfois le cap magnétique, qui sert de valeur approchée. Si le Nord magnétique bouge beaucoup, il faudra donc adapter les algorithmes employés. » Ce ne sont donc pas les GPS qui sont impactés, mais certains capteurs de nos smartphones, utilisés par les assistants de navigation, souvent appelés à tort « GPS ».
La situation risque-t-elle d’empirer ? « Il est question depuis quelque temps d’une inversion des pôles, ce qui en soit n’est pas très grave. On arrivera à gérer, mais cela pourrait aussi se passer avec une courte période de champ affaibli, et ça, c’est nettement moins drôle, et pas seulement pour les smartphones. » Alors, gardons tous un œil sur l’horizon…
- MEMS : systèmes microélectroniques, qui concentrent en un tout petit espace de nombreuses fonctions : capteurs de mouvement, d’accélération, boussole, rotation…
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Le déplacement du pôle Nord magnétique menace nos GPS, vrai ou faux ?
sur Les Rencontres DécryptagéoNous avons relayé la semaine dernière sur les réseaux sociaux l’un des nombreux articles s’inquiétant des conséquences sur les GPS du déplacement rapide du pôle Nord magnétique (Futura Sciences). Fakenews ?L’aiguille s’affole dans sa boussole… numérique
De nombreux articles s’inquiètent de l’accélération du décalage du pôle Nord magnétique vers la Russie. Cela oblige à revoir le modèle magnétique mondial plus tôt que prévu, modèle essentiel au fonctionnement des GPS. Malheureusement, le shutdown de l’administration américaine a entraîné le report de cette révision de quelques jours. Mais est-ce vraiment grave ?
En fait, le phénomène est sans impact sur les puces GNSS, mais il peut faire baisser la performance de nos assistants de navigation. Michel Kasser, ancien directeur du service géodésie de l’IGN et aujourd’hui Professeur à l’HEIG-VD (école d‘ingénieurs en Suisse), nous explique pourquoi : « Pour la localisation 3D par les GNSS, on se fiche de savoir où est le pôle magnétique, il n’intervient jamais dans le calcul. En revanche, beaucoup d’applications de localisation, par exemple sur smartphone, complètent l’assistance à la navigation par la direction géographique, qui vient toujours d’un MEMS* qui sert de compas magnétique. On ne peut pas en effet l’avoir par GNSS, sauf si on sait de façon certaine qu’on ne va pas s’immobiliser, ce qui évidemment ne peut être garanti. Par exemple dans la poursuite du guidage dans un tunnel, et pour toute zone sans réception, le « map matching » utilise parfois le cap magnétique, qui sert de valeur approchée. Si le Nord magnétique bouge beaucoup, il faudra donc adapter les algorithmes employés. » Ce ne sont donc pas les GPS qui sont impactés, mais certains capteurs de nos smartphones, utilisés par les assistants de navigation, souvent appelés à tort « GPS ».
La situation risque-t-elle d’empirer ? « Il est question depuis quelque temps d’une inversion des pôles, ce qui en soit n’est pas très grave. On arrivera à gérer, mais cela pourrait aussi se passer avec une courte période de champ affaibli, et ça, c’est nettement moins drôle, et pas seulement pour les smartphones. » Alors, gardons tous un œil sur l’horizon…
- MEMS : systèmes microélectroniques, qui concentrent en un tout petit espace de nombreuses fonctions : capteurs de mouvement, d’accélération, boussole, rotation…
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17:19
Smartcity : Datategy mise sur la lutte prédictive contre la fraude
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueCréé en 2016, Datategy propose une plateforme d’intelligence artificielle au service de la smartcity. Ses algorithmes prédictifs devraient aider pouvoirs publics et opérateurs à mieux gérer l’espace urbain. Premières applications : la fraude dans les transports et les parcmètres.Visualisation des verbalisations sous Octocity
Où les équipes de contrôleurs ont-elles le plus de chance de dresser des contraventions ? Le pitch n’a rien de sympathique, mais il fait recette. Pour preuve, une société de transports de l’Essonne qui a déployé la plateforme Octocity et gère le réseau de bus sur une vingtaine de communes vient de demander un audit externe après quelques mois : + 30 % de procès-verbaux, avec des équipes bien plus réduites.
Une plateforme d’analyseManifestement, la prédiction de la fraude, ça marche. Pour y arriver, Datategy a rassemblé une équipe internationale de data scientists qui misent sur l’analyse des données et les algorithmes neuronaux. Plusieurs types de données sont exploités. Celles qui décrivent les infrastructures observées (lignes de transports, arrêts, horaires ou tronçons de rues) sont issues de l’open data. Les historiques de validation (dans les transports en commun) et de verbalisation sont récupérés grâce à une connexion avec les systèmes de gestion. Enfin, quelques points d’intérêt générateurs de trafic tels qu’hôpitaux, stades, centres commerciaux… sont intégrés, le plus souvent à partir d’OpenStreetMap. Les développements (en Python principalement) exploitent des briques open source comme PostGreSQL et l’un des data scientists de l’équipe apporte son savoir-faire en cartographie pour améliorer les rendus.
Au delà de la fraude, la possibilité d’un pilotage de l’activité (image Octocity)
« Notre plateforme s’adapte au contexte, précise Mehdi Chouiten, l’un des deux fondateurs de l’entreprise, qui comprend maintenant 17 salariés. Les clients intègrent leurs contraintes, comme l’exclusion de certaines stations ou d’une zone de travaux. Ensuite, le calcul prend en compte le nombre d’agents disponibles, l’organisation des patrouilles, etc. pour fournir des propositions selon les heures de la journée et les jours de la semaine. » Ainsi, Octocity veillera à ne pas envoyer les agents trop régulièrement au même endroit. Grâce aux applications mobiles des agents où ils saisissent les verbalisations, la plateforme apprend et devient de plus en plus efficace.
Derrière la fraude, une ville plus intelligenteLa prédiction de la fraude n’est que l’une des applications que peut apporter une vision plus juste de la circulation réelle des personnes dans la ville, qu’elles soient en transports en commun, en voiture, à pied… ou encore au bureau. La startup a par exemple travaillé avec une université parisienne comprenant de nombreux bâtiments. Grâce à l’analyse des plannings de cours, des accès des badges du personnel, du journal des connexions WiFi… elle a rapidement repéré les salles qui devaient être évacuées lors d’un exercice de sécurité. Intégrer une vision spatio-temporelle de la fréquentation urbaine peut effectivement être utile dans bien des domaines : adaptation des moyens de transport, économies de chauffage ou d’éclairage… la petite équipe de Datategy ne manque pas d’idées pour valoriser son savoir-faire. « En plus, il ne faut pas voir que le côté répressif de la lutte contre la fraude. En région parisienne, ce sont l’équivalent de mille bus par an qui ne sont pas achetés à cause du coût de la fraude… insiste Mehdi Chouiten. On pourrait faire autre chose avec cet argent. »
En 2018, grâce à sa plateforme Octocity et à quelques contrats d’analyse de bigdata, Datategy a réalisé un chiffre d’affaires d’un million d’euros. Elle travaille aujourd’hui à sa première levée de fonds. À suivre…
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17:19
Smartcity : Datategy mise sur la lutte prédictive contre la fraude
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Où les équipes de contrôleurs ont-elles le plus de chance de dresser des contraventions ? Le pitch n’a rien de sympathique, mais il fait recette. Pour preuve, une société de transports de l’Essonne qui a déployé la plateforme Octocity et gère le réseau de bus sur une vingtaine de communes vient de demander un audit externe après quelques mois : + 30 % de procès-verbaux, avec des équipes bien plus réduites.
Une plateforme d’analyseManifestement, la prédiction de la fraude, ça marche. Pour y arriver, Datategy a rassemblé une équipe internationale de data scientists qui misent sur l’analyse des données et les algorithmes neuronaux. Plusieurs types de données sont exploités. Celles qui décrivent les infrastructures observées (lignes de transports, arrêts, horaires ou tronçons de rues) sont issues de l’open data. Les historiques de validation (dans les transports en commun) et de verbalisation sont récupérés grâce à une connexion avec les systèmes de gestion. Enfin, quelques points d’intérêt générateurs de trafic tels qu’hôpitaux, stades, centres commerciaux… sont intégrés, le plus souvent à partir d’OpenStreetMap. Les développements (en Python principalement) exploitent des briques open source comme PostGreSQL et l’un des data scientists de l’équipe apporte son savoir-faire en cartographie pour améliorer les rendus.
Au delà de la fraude, la possibilité d’un pilotage de l’activité (image Octocity)
« Notre plateforme s’adapte au contexte, précise Mehdi Chouiten, l’un des deux fondateurs de l’entreprise, qui comprend maintenant 17 salariés. Les clients intègrent leurs contraintes, comme l’exclusion de certaines stations ou d’une zone de travaux. Ensuite, le calcul prend en compte le nombre d’agents disponibles, l’organisation des patrouilles, etc. pour fournir des propositions selon les heures de la journée et les jours de la semaine. » Ainsi, Octocity veillera à ne pas envoyer les agents trop régulièrement au même endroit. Grâce aux applications mobiles des agents où ils saisissent les verbalisations, la plateforme apprend et devient de plus en plus efficace.
Derrière la fraude, une ville plus intelligenteLa prédiction de la fraude n’est que l’une des applications que peut apporter une vision plus juste de la circulation réelle des personnes dans la ville, qu’elles soient en transports en commun, en voiture, à pied… ou encore au bureau. La startup a par exemple travaillé avec une université parisienne comprenant de nombreux bâtiments. Grâce à l’analyse des plannings de cours, des accès des badges du personnel, du journal des connexions WiFi… elle a rapidement repéré les salles qui devaient être évacuées lors d’un exercice de sécurité. Intégrer une vision spatio-temporelle de la fréquentation urbaine peut effectivement être utile dans bien des domaines : adaptation des moyens de transport, économies de chauffage ou d’éclairage… la petite équipe de Datategy ne manque pas d’idées pour valoriser son savoir-faire. « En plus, il ne faut pas voir que le côté répressif de la lutte contre la fraude. En région parisienne, ce sont l’équivalent de mille bus par an qui ne sont pas achetés à cause du coût de la fraude… insiste Mehdi Chouiten. On pourrait faire autre chose avec cet argent. »
En 2018, grâce à sa plateforme Octocity et à quelques contrats d’analyse de bigdata, Datategy a réalisé un chiffre d’affaires d’un million d’euros. Elle travaille aujourd’hui à sa première levée de fonds. À suivre…
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15:06
Leica Geosystems annonce la disponibilité du Leica BLK3D pour des mesures 3D sur photo, en temps réel
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueSon appareil a été couronné par plusieurs prix internationaux prestigieux pour son innovation, son ingénierie et son design.Leica BLK3D
(HEERBRUGG, SUISSE, le 23 janvier 2019) Leica Geosystems, filiale du groupe Hexagon, annonce que son imageur 3D Leica BLK3D innovant est à présent disponible à la commande.
Conçu pour révolutionner le travail des professionnels évoluant dans un large éventail de secteurs, notamment l’architecture, le BTP, la sécurité publique et l’immobilier, cet imageur BLK3D compact, qui se glisse dans la poche, améliore la productivité en générant instantanément des mesures 3D précises à partir des photographies réalisées.
Alliant des capteurs de mesure, des outils logiciels et des capacités embarquées de traitement des données, le BLK3D pratique l’art de la photogrammétrie avec la précision d’un équipement professionnel. Chacune des images acquises par le BLK3D constitue un relevé 3D complet et précis. Ses capacités de traitement évitant la nécessité de connexions réseau et/ou services cloud, les professionnels peuvent prendre leurs décisions plus rapidement dans le cadre des flux d’opérations qu’ils ont à gérer au quotidien – qu’il s’agisse d’établir un plan de sol et d’estimer les installations d’un bâtiment ou de faire le point sur les avancées d’un chantier et de produire une documentation sur l’ouvrage terminé.
Grâce aux fonctionnalités étoffées du logiciel pour ordinateur, les utilisateurs sont en mesure de créer de nouveaux projets et modèles 3D prêts pour la CAO à partir de leurs images mesurables. BLK3D se connecte aisément à un ordinateur portable ou de bureau – en WiFi ou au moyen d’un câble USB. Les données sont synchronisées automatiquement et il est possible d’accéder aux images mesurables, de les traiter et de les classer à partir de cette application bureautique très commode.
Le Leica BLK3D s’est d’ores et déjà vu décerner plusieurs prix prestigieux dans le domaine du design et de l’innovation. Au nombre des distinctions reçues, figurent celles-ci:
- Lauréat « Best of Innovation » aux CES 2019 Innovation Awards. Le programme annuel CES Innovation Awards récompense, dans 28 catégories, les innovations technologiques grand public se distinguant par un design et une ingénierie produit d’exception.
- Prix BAKA de l’innovation de produits 2019. Annoncé au salon BAU international du BTP à Munich, en Allemagne, le BLK3D a décroché ce prix spécial qui récompense sa technologie innovante, la qualité de sa conception, son efficacité et sa polyvalence. Le prix distingue les idées de produits et les solutions exceptionnelles destinées aux projets de rénovation et de renouvellement.
- Prix 2018 « Good Design Award ». Il reconnaît dans le BLK3D une innovation révolutionnaire en matière de mesure visant à créer une expérience utilisateur intuitive.
- Wichmann Innovation Awards. Salué pour son innovation, sa convivialité et sa commodité, le BLK3D a remporté le premier prix dans la catégorie Matériel aux Wichmann Innovations Awards, en marge du salon INTERGEO à Francfort, en Allemagne. Une commission d’experts et les votes de professionnels du secteur décident conjointement de l’attribution des prix Wichmann.
- Finaliste aux « Prism Awards » 2019. Organisés par l’International Society for Optics and Photonics (SPIE), les « Prism Awards for Photonics Innovation », concours international de premier plan, récompensent les meilleurs nouveaux produits photoniques sur le marché. Le BLK3D fait partie des finalistes dans la catégorie « Imaging & Cameras ».
« Le Leica BLK3D est la parfaite illustration du rôle moteur joué par Leica Geosystems et Hexagon pour démocratiser la capture de la réalité : son maniement est d’une simplicité telle qu’il est utilisable par quiconque », affirme Tobias Heller, responsable produit senior de la division Geosystems du groupe Hexagon. « Le BLK3D simplifie la collecte des données et met des technologies haut de gamme à disposition d’un large éventail de professionnels, accentuant encore ainsi la transformation numérique de secteurs jusqu’à présent axés sur les opérations manuelles. Il conjugue parfaitement robustesse et simplicité, en alliant ergonomie et design attrayant, et les multiples distinctions dont il a fait l’objet en témoignent. »
Le BLK3D peut être commandé sur le site www.blk3d.com. Le pack de lancement comprend l’imageur BLK3D, le kit de mission BLK3D et les logiciels BLK3D, à savoir BLK3D Sketch & Document, BLK3D Desktop et BLK3D Desktop 3D Modeller (licences d’un an).
Pour obtenir de plus amples informations et accéder aux caractéristiques techniques, consultez le site www.blk3d.com
Leica Geosystems, partout où l’exactitude est de mise : when it has to be right
Leica Geosystems, filiale du groupe Hexagon, révolutionne l’univers de la mesure et de la topographie depuis près de 200 ans en créant des solutions très complètes pour les professionnels du monde entier. Réputée pour ses produits de haute qualité et ses solutions innovantes, Leica Geosystems a gagné la confiance de professionnels évoluant dans des secteurs d’activité aussi variés que l’aérospatiale et la défense, la protection et la sécurité, le BTP et l’industrie, qui s’en remettent à elle pour répondre à toutes leurs exigences géospatiales. Par la précision et l’exactitude de ses instruments, le perfectionnement de ses logiciels et la fiabilité de ses services, Leica Geosystems procure quotidiennement de la valeur ajoutée à ceux qui façonnent l’avenir de notre monde.
Leader mondial de solutions numériques à l’origine de la création d’écosystèmes connectés autonomes (ACE), Hexagon (Nasdaq Stockholm : HEXA B) compte approximativement 20 000 collaborateurs dans 50 pays et réalise un chiffre d’affaires net d’environ 3,5 milliards d’euros.
Obtenez des informations complémentaires sur hexagon.com et suivez-nous sur les réseaux sociaux @HexagonAB.
Contact presse :
Martha de MonclinBijou PR pour Leica Geosystems
T: 06 63 44 33 74
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15:06
Leica Geosystems annonce la disponibilité du Leica BLK3D pour des mesures 3D sur photo, en temps réel
sur Les Rencontres DécryptagéoSon appareil a été couronné par plusieurs prix internationaux prestigieux pour son innovation, son ingénierie et son design.Leica BLK3D
(HEERBRUGG, SUISSE, le 23 janvier 2019) Leica Geosystems, filiale du groupe Hexagon, annonce que son imageur 3D Leica BLK3D innovant est à présent disponible à la commande.
Conçu pour révolutionner le travail des professionnels évoluant dans un large éventail de secteurs, notamment l’architecture, le BTP, la sécurité publique et l’immobilier, cet imageur BLK3D compact, qui se glisse dans la poche, améliore la productivité en générant instantanément des mesures 3D précises à partir des photographies réalisées.
Alliant des capteurs de mesure, des outils logiciels et des capacités embarquées de traitement des données, le BLK3D pratique l’art de la photogrammétrie avec la précision d’un équipement professionnel. Chacune des images acquises par le BLK3D constitue un relevé 3D complet et précis. Ses capacités de traitement évitant la nécessité de connexions réseau et/ou services cloud, les professionnels peuvent prendre leurs décisions plus rapidement dans le cadre des flux d’opérations qu’ils ont à gérer au quotidien – qu’il s’agisse d’établir un plan de sol et d’estimer les installations d’un bâtiment ou de faire le point sur les avancées d’un chantier et de produire une documentation sur l’ouvrage terminé.
Grâce aux fonctionnalités étoffées du logiciel pour ordinateur, les utilisateurs sont en mesure de créer de nouveaux projets et modèles 3D prêts pour la CAO à partir de leurs images mesurables. BLK3D se connecte aisément à un ordinateur portable ou de bureau – en WiFi ou au moyen d’un câble USB. Les données sont synchronisées automatiquement et il est possible d’accéder aux images mesurables, de les traiter et de les classer à partir de cette application bureautique très commode.
Le Leica BLK3D s’est d’ores et déjà vu décerner plusieurs prix prestigieux dans le domaine du design et de l’innovation. Au nombre des distinctions reçues, figurent celles-ci:
- Lauréat « Best of Innovation » aux CES 2019 Innovation Awards. Le programme annuel CES Innovation Awards récompense, dans 28 catégories, les innovations technologiques grand public se distinguant par un design et une ingénierie produit d’exception.
- Prix BAKA de l’innovation de produits 2019. Annoncé au salon BAU international du BTP à Munich, en Allemagne, le BLK3D a décroché ce prix spécial qui récompense sa technologie innovante, la qualité de sa conception, son efficacité et sa polyvalence. Le prix distingue les idées de produits et les solutions exceptionnelles destinées aux projets de rénovation et de renouvellement.
- Prix 2018 « Good Design Award ». Il reconnaît dans le BLK3D une innovation révolutionnaire en matière de mesure visant à créer une expérience utilisateur intuitive.
- Wichmann Innovation Awards. Salué pour son innovation, sa convivialité et sa commodité, le BLK3D a remporté le premier prix dans la catégorie Matériel aux Wichmann Innovations Awards, en marge du salon INTERGEO à Francfort, en Allemagne. Une commission d’experts et les votes de professionnels du secteur décident conjointement de l’attribution des prix Wichmann.
- Finaliste aux « Prism Awards » 2019. Organisés par l’International Society for Optics and Photonics (SPIE), les « Prism Awards for Photonics Innovation », concours international de premier plan, récompensent les meilleurs nouveaux produits photoniques sur le marché. Le BLK3D fait partie des finalistes dans la catégorie « Imaging & Cameras ».
« Le Leica BLK3D est la parfaite illustration du rôle moteur joué par Leica Geosystems et Hexagon pour démocratiser la capture de la réalité : son maniement est d’une simplicité telle qu’il est utilisable par quiconque », affirme Tobias Heller, responsable produit senior de la division Geosystems du groupe Hexagon. « Le BLK3D simplifie la collecte des données et met des technologies haut de gamme à disposition d’un large éventail de professionnels, accentuant encore ainsi la transformation numérique de secteurs jusqu’à présent axés sur les opérations manuelles. Il conjugue parfaitement robustesse et simplicité, en alliant ergonomie et design attrayant, et les multiples distinctions dont il a fait l’objet en témoignent. »
Le BLK3D peut être commandé sur le site www.blk3d.com. Le pack de lancement comprend l’imageur BLK3D, le kit de mission BLK3D et les logiciels BLK3D, à savoir BLK3D Sketch & Document, BLK3D Desktop et BLK3D Desktop 3D Modeller (licences d’un an).
Pour obtenir de plus amples informations et accéder aux caractéristiques techniques, consultez le site www.blk3d.com
Leica Geosystems, partout où l’exactitude est de mise : when it has to be right
Leica Geosystems, filiale du groupe Hexagon, révolutionne l’univers de la mesure et de la topographie depuis près de 200 ans en créant des solutions très complètes pour les professionnels du monde entier. Réputée pour ses produits de haute qualité et ses solutions innovantes, Leica Geosystems a gagné la confiance de professionnels évoluant dans des secteurs d’activité aussi variés que l’aérospatiale et la défense, la protection et la sécurité, le BTP et l’industrie, qui s’en remettent à elle pour répondre à toutes leurs exigences géospatiales. Par la précision et l’exactitude de ses instruments, le perfectionnement de ses logiciels et la fiabilité de ses services, Leica Geosystems procure quotidiennement de la valeur ajoutée à ceux qui façonnent l’avenir de notre monde.
Leader mondial de solutions numériques à l’origine de la création d’écosystèmes connectés autonomes (ACE), Hexagon (Nasdaq Stockholm : HEXA B) compte approximativement 20 000 collaborateurs dans 50 pays et réalise un chiffre d’affaires net d’environ 3,5 milliards d’euros.
Obtenez des informations complémentaires sur hexagon.com et suivez-nous sur les réseaux sociaux @HexagonAB.
Contact presse :
Martha de MonclinBijou PR pour Leica Geosystems
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10:53
Atol CD participe à AP-Connect, le salon de l’IT dans les administrations publiques
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueAtol Conseils et Développements sera présent avec ses partenaires Alfresco et Kofax au grand rendez-vous annuel dédié à la transition numérique des administrations publiques, les 29 et 30 janvier 2019 à l’Espace Grande Arche, Paris La Défense. Pour cette édition, AP-Connect s’associe à l’initiative Villes Internet dont le Congrès National se tiendra en marge du salon.
Atol CD, partenaire historique du secteur public
Depuis 2006, Atol CD s’engage au côté des collectivités et organismes publics dans leur processus de digitalisation et de transformation numérique au service des usagers, des citoyens : solutions de dématérialisation, GED, solutions métier, SIG, informatique décisionnelle, … Atol CD compte parmi ses clients 25 Conseils Départementaux, plusieurs Régions, de nombreuses grandes villes et Métropoles ainsi que plusieurs Ministères et établissements publics d’envergure.
Les nouveautés 2019
Intégrateur expérimenté de solutions métiers pour le secteur public et particulièrement bien implanté dans les collectivités locales et territoriales pour les projets de dématérialisation : capture et GED, Atol CD développe aujourd’hui une offre RPA (Robotic Process Automatisation) qui sera présentée à l’occasion du salon.
Parmi les autres nouveautés, le lancement d’une application open source à destination des MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) et les nouveautés de la solution webRSA (solution open source complète de gestion du Revenu de Solidarité Active)
Un stand, 3 partenaires
Intégrateur des solutions Alfresco pour la gestion électronique de documents et Kofax pour la capture documentaire, Atol CD vous invite à venir découvrir ses expertises sur le stand E6 pendant la durée du salon.
A propos d’Alfresco
Alfresco est une solution personnalisable permettant de mettre en place des processus performants de gestion électronique de documents. Plus de 1 800 entreprises dans 195 pays utilisent la plateforme Alfresco, parmi lesquels des acteurs majeurs du secteur public, de l’industrie et des services financiers. Alfresco vous permet d’accéder facilement à vos contenus depuis vos appareils mobiles, offre des possibilités de collaboration simples, et permet d’exploiter pleinement le potentiel de vos contenus. Elle est la solution ECM privilégiée de milliers de clients dans le monde !
A propos de Kofax
Éditeur de solutions logicielles de premier plan, Kofax assure l’automatisation et la transformation numérique des processus manuels impliquant le traitement d’importants flux d’informations. Très implantés dans l’administration publique, les logiciels de capture, de RPA et traitement des factures Kofax aident à l’automatisation intelligente des services administratifs pour une accélération et une simplification des processus de demande, une amélioration des communications et d’accès aux données dans le cadre du maintien de l’ordre ou encore à une rationalisation de la dématérialisation des demandes d’indemnisation de santé dans les hôpitaux.Contact Presse : Caroline Chanlon / Atol Conseils et Développements – c.chanlon@atolcd.com – 03 80 68 81 68
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sur Les Rencontres DécryptagéoAtol Conseils et Développements sera présent avec ses partenaires Alfresco et Kofax au grand rendez-vous annuel dédié à la transition numérique des administrations publiques, les 29 et 30 janvier 2019 à l’Espace Grande Arche, Paris La Défense. Pour cette édition, AP-Connect s’associe à l’initiative Villes Internet dont le Congrès National se tiendra en marge du salon.
Atol CD, partenaire historique du secteur public
Depuis 2006, Atol CD s’engage au côté des collectivités et organismes publics dans leur processus de digitalisation et de transformation numérique au service des usagers, des citoyens : solutions de dématérialisation, GED, solutions métier, SIG, informatique décisionnelle, … Atol CD compte parmi ses clients 25 Conseils Départementaux, plusieurs Régions, de nombreuses grandes villes et Métropoles ainsi que plusieurs Ministères et établissements publics d’envergure.
Les nouveautés 2019
Intégrateur expérimenté de solutions métiers pour le secteur public et particulièrement bien implanté dans les collectivités locales et territoriales pour les projets de dématérialisation : capture et GED, Atol CD développe aujourd’hui une offre RPA (Robotic Process Automatisation) qui sera présentée à l’occasion du salon.
Parmi les autres nouveautés, le lancement d’une application open source à destination des MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) et les nouveautés de la solution webRSA (solution open source complète de gestion du Revenu de Solidarité Active)
Un stand, 3 partenaires
Intégrateur des solutions Alfresco pour la gestion électronique de documents et Kofax pour la capture documentaire, Atol CD vous invite à venir découvrir ses expertises sur le stand E6 pendant la durée du salon.
A propos d’Alfresco
Alfresco est une solution personnalisable permettant de mettre en place des processus performants de gestion électronique de documents. Plus de 1 800 entreprises dans 195 pays utilisent la plateforme Alfresco, parmi lesquels des acteurs majeurs du secteur public, de l’industrie et des services financiers. Alfresco vous permet d’accéder facilement à vos contenus depuis vos appareils mobiles, offre des possibilités de collaboration simples, et permet d’exploiter pleinement le potentiel de vos contenus. Elle est la solution ECM privilégiée de milliers de clients dans le monde !
A propos de Kofax
Éditeur de solutions logicielles de premier plan, Kofax assure l’automatisation et la transformation numérique des processus manuels impliquant le traitement d’importants flux d’informations. Très implantés dans l’administration publique, les logiciels de capture, de RPA et traitement des factures Kofax aident à l’automatisation intelligente des services administratifs pour une accélération et une simplification des processus de demande, une amélioration des communications et d’accès aux données dans le cadre du maintien de l’ordre ou encore à une rationalisation de la dématérialisation des demandes d’indemnisation de santé dans les hôpitaux.Contact Presse : Caroline Chanlon / Atol Conseils et Développements – c.chanlon@atolcd.com – 03 80 68 81 68
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14:48
OneWeb Satellites a transféré les premiers satellites de la constellation OneWeb vers leur site de lancement
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueToulouse, le 22 janvier 2019 – OneWeb Satellites, la co-entreprise entre Airbus et OneWeb, a annoncé aujourd’hui la livraison des premiers satellites de la constellation OneWeb.5 satellites OneWeb alignés (image Airbus)
Six des premiers satellites réalisés dans l’usine OneWeb Satellites de Toulouse ont quitté le site d’Airbus Defence and Space pour rejoindre le centre spatial de Kourou. Inaugurant une longue série, ce premier lancement alimentant la méga constellation est prévu le 19 février 2019 à bord d’un lanceur Soyouz.
Grâce à cette génération de satellites, OneWeb Satellites ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire qui a débuté il y a trois ans. « Notre équipe transforme l’industrie spatiale et nous sommes sur le point de démontrer que nous tenons nos promesses », a déclaré Tony Gingiss, directeur executif de OneWeb Satellites.
OneWeb Satellites concentrera désormais ses efforts sur la montée en cadence de la production de l’ensemble des satellites de la constellation dans sa nouvelle usine de Floride, démontrant une nouvelle fois l’agilité de la co-entreprise.
OneWeb Satellites est une joint-venture entre Airbus et OneWeb, une société de communication mondiale avec pour vocation de fournir un accès à Internet abordable à tous les habitants de la planète. Sa première mission et commande porte sur la fabrication des satellites de communication ultra haute performance. L’usine OneWeb Satellites de Toulouse permet de développer et valider les méthodes de production innovantes nécessaires à la fabrication de ces satellites à une échelle encore jamais atteinte, de minimiser tous risques potentiels et de jeter les bases de l’usine plus vaste de OneWeb Satellites, abritant plusieurs chaînes d’assemblage, à proximité du centre spatial Kennedy, en Floride. D’une masse d’environ 150 kg, les satellites seront placés sur une orbite terrestre basse quasi polaire à une altitude de 1 200 km.
* * *
A propos d’AirbusAirbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2017, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 59 milliards d’euros sous IFRS 15 avec un effectif d’environ 129 000 personnes. Airbus propose la famille d’avions de ligne la plus complète qui soit, de 100 à plus de 600 sièges. Airbus est, en outre, le leader européen dans le domaine des avions de mission, de ravitaillement en vol, de combat, et de transport. Par ailleurs, l’entreprise est également un leader de l’industrie spatiale. Enfin, dans le domaine des hélicoptères, Airbus propose les solutions civiles et militaires les plus performantes au monde.
Media contact Guilhem BOLTZ guilhem.g.boltz@airbus.com +33 (0)6 34 78 14 08 Cet article OneWeb Satellites a transféré les premiers satellites de la constellation OneWeb vers leur site de lancement est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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OneWeb Satellites a transféré les premiers satellites de la constellation OneWeb vers leur site de lancement
sur Les Rencontres DécryptagéoToulouse, le 22 janvier 2019 – OneWeb Satellites, la co-entreprise entre Airbus et OneWeb, a annoncé aujourd’hui la livraison des premiers satellites de la constellation OneWeb.5 satellites OneWeb alignés (image Airbus)
Six des premiers satellites réalisés dans l’usine OneWeb Satellites de Toulouse ont quitté le site d’Airbus Defence and Space pour rejoindre le centre spatial de Kourou. Inaugurant une longue série, ce premier lancement alimentant la méga constellation est prévu le 19 février 2019 à bord d’un lanceur Soyouz.
Grâce à cette génération de satellites, OneWeb Satellites ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire qui a débuté il y a trois ans. « Notre équipe transforme l’industrie spatiale et nous sommes sur le point de démontrer que nous tenons nos promesses », a déclaré Tony Gingiss, directeur executif de OneWeb Satellites.
OneWeb Satellites concentrera désormais ses efforts sur la montée en cadence de la production de l’ensemble des satellites de la constellation dans sa nouvelle usine de Floride, démontrant une nouvelle fois l’agilité de la co-entreprise.
OneWeb Satellites est une joint-venture entre Airbus et OneWeb, une société de communication mondiale avec pour vocation de fournir un accès à Internet abordable à tous les habitants de la planète. Sa première mission et commande porte sur la fabrication des satellites de communication ultra haute performance. L’usine OneWeb Satellites de Toulouse permet de développer et valider les méthodes de production innovantes nécessaires à la fabrication de ces satellites à une échelle encore jamais atteinte, de minimiser tous risques potentiels et de jeter les bases de l’usine plus vaste de OneWeb Satellites, abritant plusieurs chaînes d’assemblage, à proximité du centre spatial Kennedy, en Floride. D’une masse d’environ 150 kg, les satellites seront placés sur une orbite terrestre basse quasi polaire à une altitude de 1 200 km.
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A propos d’AirbusAirbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2017, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 59 milliards d’euros sous IFRS 15 avec un effectif d’environ 129 000 personnes. Airbus propose la famille d’avions de ligne la plus complète qui soit, de 100 à plus de 600 sièges. Airbus est, en outre, le leader européen dans le domaine des avions de mission, de ravitaillement en vol, de combat, et de transport. Par ailleurs, l’entreprise est également un leader de l’industrie spatiale. Enfin, dans le domaine des hélicoptères, Airbus propose les solutions civiles et militaires les plus performantes au monde.
Media contact Guilhem BOLTZ guilhem.g.boltz@airbus.com +33 (0)6 34 78 14 08 Cet article OneWeb Satellites a transféré les premiers satellites de la constellation OneWeb vers leur site de lancement est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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9:16
La refonte du site du CRIGE PACA attendue au printemps
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueVoilà déjà quelques mois que la page d’accueil du site du CRIGE PACA a été rénovée. Mais ce n’est que le début des travaux, qui se poursuivent activement avec, en ligne de mire, un site tout neuf au printemps.Lors des 15 ans du CRIGE le 6 décembre 2018, Mathieu Kazmierski a présenté l’évolution du site.
Dès 2001 le Centre Régional de l’Information Géographique en Provence-Alpes-Côte D’Azur, alias CRIGE PACA a ouvert son premier site Web. Quatre ans plus tard, au moment de la fondation de l’association, le site s’est doté d’un extracteur, permettant aux ayants droit de télécharger directement des fichiers de données géographiques. Il a fallu attendre 2011 pour une refonte plus globale. Mais en huit ans, les technologies du Web, le rôle et la place du CRIGE ont tellement évolué qu’une nouvelle version s’avérait nécessaire. Elle arrive ce printemps.
www.crige-paca.org et www.datasud.fr sont dans le même bateauÀ la fois plus simple et plus complexe, le prochain site du CRIGE ne prendra en charge qu’une partie des fonctions assurées aujourd’hui. En effet, entre-temps, le vent de l’open data a soufflé sur le Sud. Le site openpaca créé en 2012 et le géoportail du CRIGE sont intégrés à Datasud, guichet unique régional pour toutes les données (ouvertes mais pas seulement), largement inspiré par l’organisation mise en place autour de l’information géographique. Désormais, les deux projets (refonte du site du CRIGE et développement de Datasud) sont intimement liés. Datasud publie ou relaye les données d’une cinquantaine d’organismes, dont celles du CRIGE et de nombre de ses ayants droit ou partenaires. Les données ouvertes géographiques, les services INSPIRE, l’extracteur de données ainsi que l’interface de visualisation sont en cours d’intégration au cœur même de Datasud. C’est Neogeo Technologies qui en assure le développement à l’aide de briques open source comme CKAN (catalogue de données), GeoNetwork, MapServer et Django, avec deux sous-traitants : Quai13 (CMS WordPress) et Jaguar Network (hébergement).
Plus de Géo à venirDepuis la première version ouverte en mars 2018, le site continue d’évoluer avec l’ajout de nouvelles fonctions, notamment géographiques… un mouvement qui se poursuivra jusqu’au printemps 2019. Tout a été pensé pour répondre aux besoins simples comme aux plus complexes. Télécharger un jeu de données ouvert se fait en un clic. Publier un fichier, un flux ou une fiche de métadonnées est presqu’aussi simple grâce aux liens directs avec les outils SIG et de catalogage.
Le nouveau portail du CRIGE, lui, sera centré sur la vie de l’association et du réseau géomatique régional : animations, pôles métiers, annuaire du réseau, publication de la newsletter, documentation, supports de présentation, etc. « Il sera plus ergonomique, plus interactif et plus participatif, notamment pour les animateurs des pôles métiers » insiste Mathieu Kazmierski du CRIGE.
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La refonte du site du CRIGE PACA attendue au printemps
sur Les Rencontres DécryptagéoVoilà déjà quelques mois que la page d’accueil du site du CRIGE PACA a été rénovée. Mais ce n’est que le début des travaux, qui se poursuivent activement avec, en ligne de mire, un site tout neuf au printemps.Lors des 15 ans du CRIGE le 6 décembre 2018, Mathieu Kazmierski a présenté l’évolution du site.
Dès 2001 le Centre Régional de l’Information Géographique en Provence-Alpes-Côte D’Azur, alias CRIGE PACA a ouvert son premier site Web. Quatre ans plus tard, au moment de la fondation de l’association, le site s’est doté d’un extracteur, permettant aux ayants droit de télécharger directement des fichiers de données géographiques. Il a fallu attendre 2011 pour une refonte plus globale. Mais en huit ans, les technologies du Web, le rôle et la place du CRIGE ont tellement évolué qu’une nouvelle version s’avérait nécessaire. Elle arrive ce printemps.
www.crige-paca.org et www.datasud.fr sont dans le même bateauÀ la fois plus simple et plus complexe, le prochain site du CRIGE ne prendra en charge qu’une partie des fonctions assurées aujourd’hui. En effet, entre-temps, le vent de l’open data a soufflé sur le Sud. Le site openpaca créé en 2012 et le géoportail du CRIGE sont intégrés à Datasud, guichet unique régional pour toutes les données (ouvertes mais pas seulement), largement inspiré par l’organisation mise en place autour de l’information géographique. Désormais, les deux projets (refonte du site du CRIGE et développement de Datasud) sont intimement liés. Datasud publie ou relaye les données d’une cinquantaine d’organismes, dont celles du CRIGE et de nombre de ses ayants droit ou partenaires. Les données ouvertes géographiques, les services INSPIRE, l’extracteur de données ainsi que l’interface de visualisation sont en cours d’intégration au cœur même de Datasud. C’est Neogeo Technologies qui en assure le développement à l’aide de briques open source comme CKAN (catalogue de données), GeoNetwork, MapServer et Django, avec deux sous-traitants : Quai13 (CMS WordPress) et Jaguar Network (hébergement).
Plus de Géo à venirDepuis la première version ouverte en mars 2018, le site continue d’évoluer avec l’ajout de nouvelles fonctions, notamment géographiques… un mouvement qui se poursuivra jusqu’au printemps 2019. Tout a été pensé pour répondre aux besoins simples comme aux plus complexes. Télécharger un jeu de données ouvert se fait en un clic. Publier un fichier, un flux ou une fiche de métadonnées est presqu’aussi simple grâce aux liens directs avec les outils SIG et de catalogage.
Le nouveau portail du CRIGE, lui, sera centré sur la vie de l’association et du réseau géomatique régional : animations, pôles métiers, annuaire du réseau, publication de la newsletter, documentation, supports de présentation, etc. « Il sera plus ergonomique, plus interactif et plus participatif, notamment pour les animateurs des pôles métiers » insiste Mathieu Kazmierski du CRIGE.
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14:34
Sogefi occupe le terrain de la création et de la valorisation de données !
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueTrente ans après sa création, l’un des plus importants bureaux d’études en géomatique de France assoit son catalogue de prestations et oriente sa stratégie vers la création de données au plus près du terrain. A l’écoute de ses clients, SOGEFI développe de nouvelles solutions innovantes pour accompagner collectivités et professionnels du foncier dans une démarche d’acquisition et de valorisation de la data. SOGEFI, un arsenal de prestations dédié à la création et à la valorisation des données cartographiques.Trente ans après sa création, SOGEFI accompagne les collectivités et les professionnels du foncier avec le même objectif : fournir des solutions concrètes à leurs problématiques du quotidien, en y apportant une valeur ajoutée. Numériser un document d’urbanisme pour se conformer à la loi, c’est bien ; le rendre disponible à tous sur un portail cartographique via le site de la collectivité, c’est mieux ! Recenser des dispositifs publicitaires est nécessaire dans le cadre de la TLPE* ; les livrer dans une interface aux multiples fonctionnalités est un vrai plus. Développer un SIG pour répondre aux besoins des services techniques est la moindre des choses ; le rendre accessible aux élus et aux citoyens va au-delà des attentes.
Quelle que soit la prestation, SOGEFI intègre de la donnée et la valorise. Lorsqu’elle doit être créée, SOGEFI apporte là aussi une innovation : le relevé vidéo terrain grâce à un matériel à la pointe de la technologie !
Le relevé vidéo terrain, un enjeu fort pour 2019 !Aller là où se trouve la donnée pour la capturer, la traiter et la valoriser, tel est le crédo de SOGEFI amorcé en 2018 qui va s’intensifier sur 2019. Parallèlement aux collectivités qui appliquent la TLPE* sur leur territoire et dans lesquelles SOGEFI se rend pour en recenser les publicités extérieures, de plus en plus de fonctions techniques expriment le besoin d’inventorier les routes, le mobilier urbain, la signalétique, les végétaux… Fort de ses trente années d’expérience dans la data, SOGEFI, proche de ses clients, va de plus en plus occuper le terrain pour créer de la donnée et ainsi favoriser une meilleure circulation de l’information dans les collectivités territoriales.
Le Kit 360, la réponse au besoin d’autonomie dans l’acquisition des données.Pour aller plus loin, SOGEFI a lancé fin 2018 la commercialisation du Kit 360, un package comprenant une caméra filmant à 360°, le nécessaire de fixation sur véhicule et un logiciel développé en interne permettant de publier les images sur Mapillary et dans Mon Territoire, web-SIG nouvelle génération également développé par SOGEFI. A l’écoute de ses clients, le bureau d’études a entendu leur besoin d’autonomie en matière d’acquisition de données ; réactif et innovant, il a conçu cette solution visiblement attendue au regard des premières commandes déjà enregistrées ; expert dans son domaine, SOGEFI met toutes les compétences de ses collaborateurs à contribution pour proposer un produit simple, fiable et pratique.
SOGEFI, 1er contributeur mondial de Mapillary SOGEFI, contributeur officiel agréé Google Street View
*TLPE : Taxe Locale sur la Publicité Extérieure
A propos de SOGEFICréé en 1989, SOGEFI est un bureau d’études spécialisé dans la création et la valorisation de données géographiques et propose ses prestations aux collectivités territoriales et aux professionnels du foncier. Par la mise en place de solutions web cartographiques, SOGEFI apporte une réponse à des problématiques bien précises : administration foncière, diagnostic et aménagement du territoire, gestion de réseaux, gestion du patrimoine, taxe locale sur la publicité extérieure, etc.
Aux commandes, Mathilde de Sulzer Wart gère 15 collaborateurs résolument tournés vers l’innovation. Se positionnant en véritable spécialiste de la data, SOGEFI est le support administratif et technique depuis 2010 de Géofoncier, portail cartographique national de référence de l’Ordre des Géomètres Experts.
Faisant partie des acteurs incontournables de la géomatique en France (membre de l’AFIGEO, de la Mêlée Numérique et d’InSpace Institute), référencé à l’UGAP pour ses solutions innovantes et soutenu par la Banque Publique d’Investissement, SOGEFI apporte son expertise à plusieurs centaines de communes et collectivités territoriales.
Cet article Sogefi occupe le terrain de la création et de la valorisation de données ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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14:34
Sogefi occupe le terrain de la création et de la valorisation de données !
sur Les Rencontres DécryptagéoTrente ans après sa création, l’un des plus importants bureaux d’études en géomatique de France assoit son catalogue de prestations et oriente sa stratégie vers la création de données au plus près du terrain. A l’écoute de ses clients, SOGEFI développe de nouvelles solutions innovantes pour accompagner collectivités et professionnels du foncier dans une démarche d’acquisition et de valorisation de la data. SOGEFI, un arsenal de prestations dédié à la création et à la valorisation des données cartographiques.Trente ans après sa création, SOGEFI accompagne les collectivités et les professionnels du foncier avec le même objectif : fournir des solutions concrètes à leurs problématiques du quotidien, en y apportant une valeur ajoutée. Numériser un document d’urbanisme pour se conformer à la loi, c’est bien ; le rendre disponible à tous sur un portail cartographique via le site de la collectivité, c’est mieux ! Recenser des dispositifs publicitaires est nécessaire dans le cadre de la TLPE* ; les livrer dans une interface aux multiples fonctionnalités est un vrai plus. Développer un SIG pour répondre aux besoins des services techniques est la moindre des choses ; le rendre accessible aux élus et aux citoyens va au-delà des attentes.
Quelle que soit la prestation, SOGEFI intègre de la donnée et la valorise. Lorsqu’elle doit être créée, SOGEFI apporte là aussi une innovation : le relevé vidéo terrain grâce à un matériel à la pointe de la technologie !
Le relevé vidéo terrain, un enjeu fort pour 2019 !Aller là où se trouve la donnée pour la capturer, la traiter et la valoriser, tel est le crédo de SOGEFI amorcé en 2018 qui va s’intensifier sur 2019. Parallèlement aux collectivités qui appliquent la TLPE* sur leur territoire et dans lesquelles SOGEFI se rend pour en recenser les publicités extérieures, de plus en plus de fonctions techniques expriment le besoin d’inventorier les routes, le mobilier urbain, la signalétique, les végétaux… Fort de ses trente années d’expérience dans la data, SOGEFI, proche de ses clients, va de plus en plus occuper le terrain pour créer de la donnée et ainsi favoriser une meilleure circulation de l’information dans les collectivités territoriales.
Le Kit 360, la réponse au besoin d’autonomie dans l’acquisition des données.Pour aller plus loin, SOGEFI a lancé fin 2018 la commercialisation du Kit 360, un package comprenant une caméra filmant à 360°, le nécessaire de fixation sur véhicule et un logiciel développé en interne permettant de publier les images sur Mapillary et dans Mon Territoire, web-SIG nouvelle génération également développé par SOGEFI. A l’écoute de ses clients, le bureau d’études a entendu leur besoin d’autonomie en matière d’acquisition de données ; réactif et innovant, il a conçu cette solution visiblement attendue au regard des premières commandes déjà enregistrées ; expert dans son domaine, SOGEFI met toutes les compétences de ses collaborateurs à contribution pour proposer un produit simple, fiable et pratique.
SOGEFI, 1er contributeur mondial de Mapillary SOGEFI, contributeur officiel agréé Google Street View
*TLPE : Taxe Locale sur la Publicité Extérieure
A propos de SOGEFICréé en 1989, SOGEFI est un bureau d’études spécialisé dans la création et la valorisation de données géographiques et propose ses prestations aux collectivités territoriales et aux professionnels du foncier. Par la mise en place de solutions web cartographiques, SOGEFI apporte une réponse à des problématiques bien précises : administration foncière, diagnostic et aménagement du territoire, gestion de réseaux, gestion du patrimoine, taxe locale sur la publicité extérieure, etc.
Aux commandes, Mathilde de Sulzer Wart gère 15 collaborateurs résolument tournés vers l’innovation. Se positionnant en véritable spécialiste de la data, SOGEFI est le support administratif et technique depuis 2010 de Géofoncier, portail cartographique national de référence de l’Ordre des Géomètres Experts.
Faisant partie des acteurs incontournables de la géomatique en France (membre de l’AFIGEO, de la Mêlée Numérique et d’InSpace Institute), référencé à l’UGAP pour ses solutions innovantes et soutenu par la Banque Publique d’Investissement, SOGEFI apporte son expertise à plusieurs centaines de communes et collectivités territoriales.
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12:02
Bientôt un assistant de navigation “vert” pour vos déambulations en ville ?
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueNatural Solutions met la dernière main à « Mon jardin en ville », une application qui met les espaces verts au cœur de la navigation piétonne.Quelques écrans de la future application « Mon jardin en ville » de Natural Solutions
Que vous alliez à pied à votre prochain rendez-vous, que vous souhaitiez prendre deux heures pour découvrir la ville ou trouver un circuit pour votre prochain footing, il est difficile de trouver un itinéraire sympa avec les applications standards d’aide à la navigation. Pourtant, aujourd’hui, les villes essayent de valoriser leurs rues végétalisées, leurs espaces verts, leurs parcs, etc. Fort de cette contradiction, Natural Solutions a développé Mon jardin en ville, une application (en version Alpha à l’heure où nous écrivons) qui calcule des itinéraires « verts », favorisant le passage par des lieux préenregistrés, le tout sur fond OpenStreetMap. Une collectivité peut ainsi mettre en avant ses aménagements (photos et descriptions à l’appui) que les utilisateurs peuvent compléter avec leurs trouvailles.
À découvrir sur [www.mon-jardin-en-ville.fr]
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Que vous alliez à pied à votre prochain rendez-vous, que vous souhaitiez prendre deux heures pour découvrir la ville ou trouver un circuit pour votre prochain footing, il est difficile de trouver un itinéraire sympa avec les applications standards d’aide à la navigation. Pourtant, aujourd’hui, les villes essayent de valoriser leurs rues végétalisées, leurs espaces verts, leurs parcs, etc. Fort de cette contradiction, Natural Solutions a développé Mon jardin en ville, une application (en version Alpha à l’heure où nous écrivons) qui calcule des itinéraires « verts », favorisant le passage par des lieux préenregistrés, le tout sur fond OpenStreetMap. Une collectivité peut ainsi mettre en avant ses aménagements (photos et descriptions à l’appui) que les utilisateurs peuvent compléter avec leurs trouvailles.
À découvrir sur [www.mon-jardin-en-ville.fr]
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18:35
Le BRGM et l’IPGP renforcent leur coopération en matière de risques naturels et de recherche en géosciences
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueMichèle Rousseau, P.-D.G. du BRGM et Marc Chaussidon, directeur de l’Institut de physique du globe de Paris, ont signé le 18 janvier un premier accord-cadre dans les locaux du BRGM à Paris. Il vise à renforcer la collaboration scientifique entre les deux entités, tant en matière de suivi des risques volcaniques et sismiques que de recherche en géosciences.Michèle Rousseau,
P.-D.G. du BRGM, et Marc Chaussidon, directeur de l’IPGP, lors de la signature de l’accord-cadre entre les deux entités, le 18 janvier 2019 au siège parisien du BRGM. © BRGML’accord-cadre, d’une durée de 4 ans, vise à institutionnaliser une coopération scientifique déjà riche entre les deux établissements. Instaurée au fil des années et des projets, elle porte aussi bien sur le plan de la recherche scientifique que de l’enseignement.
Elle se traduit par la réalisation d’études, d’analyses et d’exploitations de données acquises dans le cadre de projets de recherche ainsi que par la participation conjointe à des projets européens.
Les sujets communs abordés sont multiples et couvrent un large spectre des sciences de la Terre et de l’environnement.
Un partenariat qui ouvre le champ des possibles
Cette coopération vise à tirer parti plus largement des meilleures capacités de chacun et à accélerer la collaboration scientifique sur les thématiques majeures suivantes :
- Risques sismiques et volcaniques
Collaboration dans le cadre de l’étude des risques sismiques et volcaniques aux Antilles et à la Réunion et recherche en sismologie, mouvements de terrains et tsunamis;
- Thématiques environnementales
Recherche collaborative en matière de caractérisation, de mesures et de comportements de nano-polluants, radon et polluants métalliques dans l’environnement;
- Energie et technologies du sous-sol
Recherche en géothermie, stockage profond des gaz (CO2, H2S) et méthodes de suivi de forages;
• Géosciences, innovations en géophysique et biosphère profonde.
Des collaborations croisées en matière d’enseignement supérieur et de formation sont également prévues.
« Une association signée avec un institut d’excellence avec de fortes complémentarités, que nous espérons fructueuse et riche en projets ouverts sur l’avenir », déclare Michèle Rousseau, présidente-directrice générale du BRGM.
« Cet accord important ouvre de nombreuses perspectives avec le BRGM, un établissement public de référence en sciences de la Terre et un partenaire naturel et historique de l’IPGP », explique Marc Chaussidon, directeur de l’institut de physique du globe de Paris.
FOCUS : QUELQUES PROJETS 2019 DU BRGM ET DE L’IPGP Sismologie et modélisation des processus gravitaires et des tsunamis : modélisation des processus gravitaires en domaine torrentiel pour l’évaluation des risques associés (Thèse débutée en octobre 2017) ;
De l’aléa au risque (séismes, volcans, tsunamis) :
• étude des tsunamis générés par des déstabilisations gravitaires : applications pour les côtes françaises, dont les Antilles et déclinaison aux Antilles des outils d’estimation automatique de bilan des séismes pour l’appui à la gestion de crise ;
• actualisation de l’évaluation et du zonage de l’aléa volcanique pour le sud Basse-Terre.
Grand établissement d’enseignement supérieur et de recherche, l’Institut de physique du globe de Paris étudie la Terre et les planètes depuis le noyau jusqu’aux enveloppes fluides les plus superficielles, à travers l’observation, l’expérimentation et la modélisation. Il a la charge de services d’observation labellisés en volcanologie, sismologie, magnétisme, gravimétrie et érosion à travers ses observatoires permanents sur les îles de Guadeloupe, de la Martinique, de la Réunion et à Chambon-la-Forêt. L’IPGP équipe et entretient deux réseaux géophysiques mondiaux qui suivent les variations du champ magnétique et l’activité sismique du globe. Il est membre fondateur de la future Université de Paris, membre de la Comue USPC et est associé au CNRS (l’INSU-CNRS étant son institut de rattachement), ainsi qu’aux universités Paris Diderot et de La Réunion. Il est également un laboratoire spatial du CNES.
Retrouvez plus d’informations sur www.ipgp.fr et sur @IPGP_officiel.
À PROPOS DU BRGMLe BRGM, Bureau de recherches géologiques et minières, placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, du ministère de la Transition écologique et solidaire, et du ministère de l’Economie et des Finances est l’établissement public de référence pour gérer les ressources et les risques du sol et du sous-sol. Il remplit diverses missions : recherche scientifique, appui aux politiques publiques, recherche partenariale en tant qu’Institut Carnot, coopération internationale et aide au développement, prévention et sécurité minière, formation supérieure. C’est le service géologique national français.
Retrouvez plus d’informations sur www.brgm.fr et sur @BRGM_fr.
CONTACT PRESSEBRGM : Anaïs PETIT – 02 38 64 46 65 – 06 84 27 94 14 – presse@brgm.fr
IPGP : Emmelyne MITARD – 01 83 95 76 01 – mitard@ipgp.fr
Michèle Rousseau, P.-D.G. du BRGM, et Marc Chaussidon, directeur de l’IPGP, lors de la signature de l’accord-cadre entre les deux entités, le 18 janvier 2019 au siège parisien du BRGM. © BRGM
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Le BRGM et l’IPGP renforcent leur coopération en matière de risques naturels et de recherche en géosciences
sur Les Rencontres DécryptagéoMichèle Rousseau, P.-D.G. du BRGM et Marc Chaussidon, directeur de l’Institut de physique du globe de Paris, ont signé le 18 janvier un premier accord-cadre dans les locaux du BRGM à Paris. Il vise à renforcer la collaboration scientifique entre les deux entités, tant en matière de suivi des risques volcaniques et sismiques que de recherche en géosciences.Michèle Rousseau,
P.-D.G. du BRGM, et Marc Chaussidon, directeur de l’IPGP, lors de la signature de l’accord-cadre entre les deux entités, le 18 janvier 2019 au siège parisien du BRGM. © BRGML’accord-cadre, d’une durée de 4 ans, vise à institutionnaliser une coopération scientifique déjà riche entre les deux établissements. Instaurée au fil des années et des projets, elle porte aussi bien sur le plan de la recherche scientifique que de l’enseignement.
Elle se traduit par la réalisation d’études, d’analyses et d’exploitations de données acquises dans le cadre de projets de recherche ainsi que par la participation conjointe à des projets européens.
Les sujets communs abordés sont multiples et couvrent un large spectre des sciences de la Terre et de l’environnement.
Un partenariat qui ouvre le champ des possibles
Cette coopération vise à tirer parti plus largement des meilleures capacités de chacun et à accélerer la collaboration scientifique sur les thématiques majeures suivantes :
- Risques sismiques et volcaniques
Collaboration dans le cadre de l’étude des risques sismiques et volcaniques aux Antilles et à la Réunion et recherche en sismologie, mouvements de terrains et tsunamis;
- Thématiques environnementales
Recherche collaborative en matière de caractérisation, de mesures et de comportements de nano-polluants, radon et polluants métalliques dans l’environnement;
- Energie et technologies du sous-sol
Recherche en géothermie, stockage profond des gaz (CO2, H2S) et méthodes de suivi de forages;
• Géosciences, innovations en géophysique et biosphère profonde.
Des collaborations croisées en matière d’enseignement supérieur et de formation sont également prévues.
« Une association signée avec un institut d’excellence avec de fortes complémentarités, que nous espérons fructueuse et riche en projets ouverts sur l’avenir », déclare Michèle Rousseau, présidente-directrice générale du BRGM.
« Cet accord important ouvre de nombreuses perspectives avec le BRGM, un établissement public de référence en sciences de la Terre et un partenaire naturel et historique de l’IPGP », explique Marc Chaussidon, directeur de l’institut de physique du globe de Paris.
FOCUS : QUELQUES PROJETS 2019 DU BRGM ET DE L’IPGP Sismologie et modélisation des processus gravitaires et des tsunamis : modélisation des processus gravitaires en domaine torrentiel pour l’évaluation des risques associés (Thèse débutée en octobre 2017) ;
De l’aléa au risque (séismes, volcans, tsunamis) :
• étude des tsunamis générés par des déstabilisations gravitaires : applications pour les côtes françaises, dont les Antilles et déclinaison aux Antilles des outils d’estimation automatique de bilan des séismes pour l’appui à la gestion de crise ;
• actualisation de l’évaluation et du zonage de l’aléa volcanique pour le sud Basse-Terre.
Grand établissement d’enseignement supérieur et de recherche, l’Institut de physique du globe de Paris étudie la Terre et les planètes depuis le noyau jusqu’aux enveloppes fluides les plus superficielles, à travers l’observation, l’expérimentation et la modélisation. Il a la charge de services d’observation labellisés en volcanologie, sismologie, magnétisme, gravimétrie et érosion à travers ses observatoires permanents sur les îles de Guadeloupe, de la Martinique, de la Réunion et à Chambon-la-Forêt. L’IPGP équipe et entretient deux réseaux géophysiques mondiaux qui suivent les variations du champ magnétique et l’activité sismique du globe. Il est membre fondateur de la future Université de Paris, membre de la Comue USPC et est associé au CNRS (l’INSU-CNRS étant son institut de rattachement), ainsi qu’aux universités Paris Diderot et de La Réunion. Il est également un laboratoire spatial du CNES.
Retrouvez plus d’informations sur www.ipgp.fr et sur @IPGP_officiel.
À PROPOS DU BRGMLe BRGM, Bureau de recherches géologiques et minières, placé sous la tutelle du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, du ministère de la Transition écologique et solidaire, et du ministère de l’Economie et des Finances est l’établissement public de référence pour gérer les ressources et les risques du sol et du sous-sol. Il remplit diverses missions : recherche scientifique, appui aux politiques publiques, recherche partenariale en tant qu’Institut Carnot, coopération internationale et aide au développement, prévention et sécurité minière, formation supérieure. C’est le service géologique national français.
Retrouvez plus d’informations sur www.brgm.fr et sur @BRGM_fr.
CONTACT PRESSEBRGM : Anaïs PETIT – 02 38 64 46 65 – 06 84 27 94 14 – presse@brgm.fr
IPGP : Emmelyne MITARD – 01 83 95 76 01 – mitard@ipgp.fr
Michèle Rousseau, P.-D.G. du BRGM, et Marc Chaussidon, directeur de l’IPGP, lors de la signature de l’accord-cadre entre les deux entités, le 18 janvier 2019 au siège parisien du BRGM. © BRGM
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17:46
Rendez-moi ma capuche !
sur DécryptaGéo, l'information géographique« Mets ta cagoule ! Mets ta capuche ! » Quand j’étais petite, c’était ma mère qui fredonnait inlassablement cette rengaine. À cette époque, une cagoule ou une capuche, ça servait à se protéger du froid, de la petite pluie fine d’hiver et ça nous empêchait d’attraper des rhumes, du moins, c’est ce que croyaient nos mères. Je détestais ma capuche qui réduisait mon champ de vision de moitié. Et plus encore ma cagoule qui faisait de l’électricité statique quand je l’enlevais.
Depuis, j’ai grandi et j’ai essayé de faire la même chose avec mes enfants, avec beaucoup moins de succès ! Il faut dire que les industriels du prêt à porter avaient anticipé la rébellion de la nouvelle génération et prévu quelques boutons-pressions ou une fermeture éclair discrète afin de désolidariser la capuche du manteau ou du blouson. Mes gosses en ont vite profité pour perdre leurs capuches. Quant aux cagoules, la course-poursuite nécessaire pour arriver à leur enfiler la maudite bestiole ne valait pas le coup, et j’ai abandonné. Tant pis, mes gosses ont été enrhumés comme les autres.
Depuis, j’ai vieilli mais j’ai continué à être à la page, grâce à ce beau métier de journaliste, spécialisée dans le numérique qui plus est. Croyez-le ou non, à la maison, c’est encore moi qui en sais le plus sur le fonctionnement des ordinateurs (c’est vous dire le niveau de la famille !). Mais parfois, je me sens dépassée, comme à chaque fois que je cherche une illustration pour parler de sécurité informatique, de respect des données personnelles, de piratage, de hacking… car les seules images que l’on me propose, ce sont ces fantômes à capuche penchés sur des claviers, aux visages invisibles mais à l’allure menaçante. Tout ça, parce que la cagoule du sweat-shirt est devenue le symbole d’une jeunesse énervée, qui se méfie des caméras de surveillance. On a même fait des lois pour interdire les capuches !
Première page des résultats sur la recherche « pirate informatique » sur Google Images !
D’accord, moi aussi, je la détestais ma capuche, mais avec les années, elle fait partie de ces petits riens qui donnent des couleurs à nos souvenirs d’enfance. S’il vous plaît, Mesdames et Messieurs les photographes et les créatifs, faites un effort pour nous parler de menaces informatiques avec d’autres images que des capuches, c’est lassant !
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Rendez-moi ma capuche !
sur Les Rencontres Décryptagéo« Mets ta cagoule ! Mets ta capuche ! » Quand j’étais petite, c’était ma mère qui fredonnait inlassablement cette rengaine. À cette époque, une cagoule ou une capuche, ça servait à se protéger du froid, de la petite pluie fine d’hiver et ça nous empêchait d’attraper des rhumes, du moins, c’est ce que croyaient nos mères. Je détestais ma capuche qui réduisait mon champ de vision de moitié. Et plus encore ma cagoule qui faisait de l’électricité statique quand je l’enlevais.
Depuis, j’ai grandi et j’ai essayé de faire la même chose avec mes enfants, avec beaucoup moins de succès ! Il faut dire que les industriels du prêt à porter avaient anticipé la rébellion de la nouvelle génération et prévu quelques boutons-pressions ou une fermeture éclair discrète afin de désolidariser la capuche du manteau ou du blouson. Mes gosses en ont vite profité pour perdre leurs capuches. Quant aux cagoules, la course-poursuite nécessaire pour arriver à leur enfiler la maudite bestiole ne valait pas le coup, et j’ai abandonné. Tant pis, mes gosses ont été enrhumés comme les autres.
Depuis, j’ai vieilli mais j’ai continué à être à la page, grâce à ce beau métier de journaliste, spécialisée dans le numérique qui plus est. Croyez-le ou non, à la maison, c’est encore moi qui en sais le plus sur le fonctionnement des ordinateurs (c’est vous dire le niveau de la famille !). Mais parfois, je me sens dépassée, comme à chaque fois que je cherche une illustration pour parler de sécurité informatique, de respect des données personnelles, de piratage, de hacking… car les seules images que l’on me propose, ce sont ces fantômes à capuche penchés sur des claviers, aux visages invisibles mais à l’allure menaçante. Tout ça, parce que la cagoule du sweat-shirt est devenue le symbole d’une jeunesse énervée, qui se méfie des caméras de surveillance. On a même fait des lois pour interdire les capuches !
Première page des résultats sur la recherche « pirate informatique » sur Google Images !
D’accord, moi aussi, je la détestais ma capuche, mais avec les années, elle fait partie de ces petits riens qui donnent des couleurs à nos souvenirs d’enfance. S’il vous plaît, Mesdames et Messieurs les photographes et les créatifs, faites un effort pour nous parler de menaces informatiques avec d’autres images que des capuches, c’est lassant !
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16:30
Occupation du sol : la neuvième vie du MOS
sur DécryptaGéo, l'information géographique650 mots, environ 3 mn de lecture L’IAU vient de mettre en ligne la nouvelle version de son Mode d’Occupation du Sol, alias MOS. Base de son SIG et de nombreuses analyses, cette couche d’information existe depuis 35 ans. Une continuité exceptionnelle qui permet de capter les évolutions de l’Ile-de-France, La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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Occupation du sol : la neuvième vie du MOS
sur Les Rencontres Décryptagéo650 mots, environ 3 mn de lecture L’IAU vient de mettre en ligne la nouvelle version de son Mode d’Occupation du Sol, alias MOS. Base de son SIG et de nombreuses analyses, cette couche d’information existe depuis 35 ans. Une continuité exceptionnelle qui permet de capter les évolutions de l’Ile-de-France, La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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10:53
Le groupe Open publie son chiffre d’affaires 2018
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueChiffre d’Affaires 2018 : 324 Millions d’euros | +3,2%Paris, le 17 Janvier 2019 – Groupe Open (ISIN : FR 0004050300 ; segment NextEconomy – 972, services informatiques), Entreprise de Services du Numérique, publie le chiffre d’affaires de l’année 2018.
En M€ 2018 2017 Croissance France Consolidé France Consolidé France Consolidé 1er trimestre 81,6 85,1 78,6 81,2 +3,8% +4,8% 2ème trimestre 76,7 79,9 73,2 76,0 +4,8% +5,1% 3ème trimestre 71,6 75,0 69,8 72,4 +2,7% +3,6% 4ème trimestre 80,5 83,8 81,4 84,3 -1,0% -0,6% TOTAL 310,3 323,8 302,9 313,9 +2,5% +3,2% Groupe Open confirme sur l’année 2018 une croissance de +3,2% de son chiffre d’affaires, malgré un 4ème trimestre en deçà de ses attentes (-0,6%).
Le chiffre d’affaires annuel s’élève donc à 324 millions d’euros. Sur la France, Groupe Open affiche une croissance de +2,5%.
Le ralentissement du 4ème trimestre s’explique par une baisse du taux d’occupation liée à un taux de turn over en augmentation, conduisant à un effectif productif stable par rapport à Décembre 2017, et ce malgré une activité de recrutement soutenue avec l’intégration de plus de 900 collaborateurs productifs sur l’année 2018.
Pour rappel, Groupe Open a engagé au second semestre la refonte de sa politique Ressources Humaines proposant à ses candidats et collaborateurs une expérience différenciante (agile et collaborative) pour attirer, développer, engager et fidéliser les talents. Les actions de déploiement associées commencent à porter leurs fruits et devraient impacter les résultats de l’année 2019.
Plus récemment, Groupe Open a procédé en décembre 2018 à l’acquisition de la société IZBERG, éditeur de plateforme de marketplaces. Pour devenir l’un des leaders français des services et solutions du numérique, Groupe Open a complété son offre Solutions, affichant ainsi ses intentions de se développer fortement sur ce marché.
Synthèse & PerspectivesPour l’année 2018, Groupe Open anticipe des résultats comparables à ceux de 2017.
Pour rappel, Groupe Open présentera la révision de son Plan Stratégique à son Conseil d’Administration et sera rendu public et commenté en Mars 2019, lors de la réunion de présentation des Résultats Annuels (28 Mars 2019).
Les résultats financiers de 2018 seront publiés le 27 Mars 2019 après bourse et commentés par Valérie Benvenuto, Frédéric Sebag et Guy Mamou-Mani au cours de la réunion qui aura lieu le 28 Mars 2019.
A propos de Groupe OpenAvec 3775 collaborateurs et un chiffre d’affaires de 324 M€ en 2018, Open se positionne comme un acteur majeur des services du numérique et intervient principalement en France et à l’international aux Pays Bas, Luxembourg et Roumanie. Open accompagne au quotidien les entreprises et les organisations dans leur transformation industrielle et digitale avec une offre de bout en bout, IT et digitale, efficace sur toute la chaine de valeurs des entreprises. Son objectif : Transformer les systèmes d’information de ses clients pour répondre à leurs nouveaux Business Model digitaux avec une garantie de stabilité, de contrôle et de coûts maîtrisés en répondant aux enjeux de mise sur le marché, d’agilité, de rapidité et d’expérimentations.
Open inscrit sa démarche dans une logique d’avenir au travers de la mise en œuvre de ses valeurs d’entreprise : Pertinence, Audace, Ethique & Responsabilité, Passion et Engagement.
Pour en savoir plus sur le groupe Open : www.open.global
Relations médias – Agence Wellcom – Elise Plat & Camille Ruols – Tél. : 01 46 34 60 60 elise.plat@wellcom.fr | camille.ruols@wellcom.fr
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10:53
Le groupe Open publie son chiffre d’affaires 2018
sur Les Rencontres DécryptagéoChiffre d’Affaires 2018 : 324 Millions d’euros | +3,2%Paris, le 17 Janvier 2019 – Groupe Open (ISIN : FR 0004050300 ; segment NextEconomy – 972, services informatiques), Entreprise de Services du Numérique, publie le chiffre d’affaires de l’année 2018.
En M€ 2018 2017 Croissance France Consolidé France Consolidé France Consolidé 1er trimestre 81,6 85,1 78,6 81,2 +3,8% +4,8% 2ème trimestre 76,7 79,9 73,2 76,0 +4,8% +5,1% 3ème trimestre 71,6 75,0 69,8 72,4 +2,7% +3,6% 4ème trimestre 80,5 83,8 81,4 84,3 -1,0% -0,6% TOTAL 310,3 323,8 302,9 313,9 +2,5% +3,2% Groupe Open confirme sur l’année 2018 une croissance de +3,2% de son chiffre d’affaires, malgré un 4ème trimestre en deçà de ses attentes (-0,6%).
Le chiffre d’affaires annuel s’élève donc à 324 millions d’euros. Sur la France, Groupe Open affiche une croissance de +2,5%.
Le ralentissement du 4ème trimestre s’explique par une baisse du taux d’occupation liée à un taux de turn over en augmentation, conduisant à un effectif productif stable par rapport à Décembre 2017, et ce malgré une activité de recrutement soutenue avec l’intégration de plus de 900 collaborateurs productifs sur l’année 2018.
Pour rappel, Groupe Open a engagé au second semestre la refonte de sa politique Ressources Humaines proposant à ses candidats et collaborateurs une expérience différenciante (agile et collaborative) pour attirer, développer, engager et fidéliser les talents. Les actions de déploiement associées commencent à porter leurs fruits et devraient impacter les résultats de l’année 2019.
Plus récemment, Groupe Open a procédé en décembre 2018 à l’acquisition de la société IZBERG, éditeur de plateforme de marketplaces. Pour devenir l’un des leaders français des services et solutions du numérique, Groupe Open a complété son offre Solutions, affichant ainsi ses intentions de se développer fortement sur ce marché.
Synthèse & PerspectivesPour l’année 2018, Groupe Open anticipe des résultats comparables à ceux de 2017.
Pour rappel, Groupe Open présentera la révision de son Plan Stratégique à son Conseil d’Administration et sera rendu public et commenté en Mars 2019, lors de la réunion de présentation des Résultats Annuels (28 Mars 2019).
Les résultats financiers de 2018 seront publiés le 27 Mars 2019 après bourse et commentés par Valérie Benvenuto, Frédéric Sebag et Guy Mamou-Mani au cours de la réunion qui aura lieu le 28 Mars 2019.
A propos de Groupe OpenAvec 3775 collaborateurs et un chiffre d’affaires de 324 M€ en 2018, Open se positionne comme un acteur majeur des services du numérique et intervient principalement en France et à l’international aux Pays Bas, Luxembourg et Roumanie. Open accompagne au quotidien les entreprises et les organisations dans leur transformation industrielle et digitale avec une offre de bout en bout, IT et digitale, efficace sur toute la chaine de valeurs des entreprises. Son objectif : Transformer les systèmes d’information de ses clients pour répondre à leurs nouveaux Business Model digitaux avec une garantie de stabilité, de contrôle et de coûts maîtrisés en répondant aux enjeux de mise sur le marché, d’agilité, de rapidité et d’expérimentations.
Open inscrit sa démarche dans une logique d’avenir au travers de la mise en œuvre de ses valeurs d’entreprise : Pertinence, Audace, Ethique & Responsabilité, Passion et Engagement.
Pour en savoir plus sur le groupe Open : www.open.global
Relations médias – Agence Wellcom – Elise Plat & Camille Ruols – Tél. : 01 46 34 60 60 elise.plat@wellcom.fr | camille.ruols@wellcom.fr
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16:29
Imagerie satellitaire : A lire dans le bulletin Theia n°10
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueLe Bulletin n°10 de Theia vient de paraître.Ce nouveau bulletin du pôle de données et services sur les surfaces continentales Theia, qui vise à développer l’usage des données satellitaires, revient sur le séminaire annuel qui s’est tenu mi-octobre à Montpellier.
Au sommaire
- les nouvelles du réseau,
- des articles sur le Plan satellitaire français, l’archivage numérique pérenne, Geosud, Dinamis, A2S, OZCAR, L’Avion jaune…
- des échos de recherche sur l’estimation de l’humidité des sols et les variables essentielles pour la biodiversité
- les deux premiers portraits (d’une longue série) de chercheurs et d’animateurs d’ART
Il peut être téléchargé ou consulté en ligne sous ce lien
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Imagerie satellitaire : A lire dans le bulletin Theia n°10
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Au sommaire
- les nouvelles du réseau,
- des articles sur le Plan satellitaire français, l’archivage numérique pérenne, Geosud, Dinamis, A2S, OZCAR, L’Avion jaune…
- des échos de recherche sur l’estimation de l’humidité des sols et les variables essentielles pour la biodiversité
- les deux premiers portraits (d’une longue série) de chercheurs et d’animateurs d’ART
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19:09
Karos renforce son équipe avec la nomination de Philippe Very au poste de Lead data scientist
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueAvec la nomination de Philippe Very, statisticien de formation, au poste de Lead data scientist, Karos confirme la stratégie de l’entreprise d’investir massivement dans l’Intelligence Artificielle. Sa volonté est de fournir un service toujours plus performant et optimisé aux utilisateurs de l’application, pour offrir la meilleure solution de mobilité partagée.
PHILIPPE VERY, STATISTICIEN DIPLOME DE L’ENSAEPhilippe a fait sa formation à l’ENSAE (École nationale de la statistique et de l’administration économique). Il a travaillé pendant 10 ans dans la finance, à la Société Générale d’abord puis chez Natixis. Sa spécialité ? Appliquer des modèles statistiques à la modélisation sur les marchés financiers.
PHILIPPE VERY, EXPERT EN MACHINE LEARNINGPhilippe participe ensuite à la création d’un fonds d’investissement. Il a œuvré à la conception d’un « outil maison » pour l’analyse statistique et informatique. Une partie de la mission consistait à faire du machine learning appliqué aux séries temporelles financières. Son objectif ? Créer des stratégies pour dégager de la valeur (mesure et comparaison des gains potentiels versus les risques que représentent les investissements).
En avril 2016, Philippe rejoint pour la première fois une équipe Data Science au sein de la société Sidetrade, une entreprise B2B spécialisée dans le recouvrement de factures. Il y a mis en place des process d’automatisation des relances avec son équipe, en analysant les emails reçus par l’entreprise grâce aux méthodes de » Natural Language Processing « .
Cette mission a conduit Philippe à concevoir à la fois des robots d’optimisation et de planification d’actions de recouvrement, et des outils prédictifs des comportements de paiement.
UNE NOMINATION STRATEGIQUE POUR DEVELOPPER LA TECHNOLOGIE KAROSLes compétences de Philippe lui permettent aujourd’hui de rejoindre Karos pour prendre la tête des data scientists. Ses expériences précédentes et son esprit analytique en font un point fort pour l’équipe.
« Nos data scientists travaillent tous les jours sur des algorithmes d’Intelligence Artificielle capables d’apprendre les habitudes de déplacement des utilisateurs, de prédire leurs besoins de mobilité à J+6 ou de repérer les fraudeurs par exemple. L’expérience conséquente de Philippe en machine learning va nous permettre d’accélérer les développements côté science, pour que :
- les matchings & trajets que nous proposons à nos utilisateurs soient toujours plus fiables, calqués sur leurs habitudes réelles ;
- l’expérience de nos utilisateurs dans l’application soit personnalisée au maximum, y compris lorsqu’ils seront en contact avec le support », précise Tristan Croiset, co-fondateur de Karos.
Créée en 2014 par Olivier Binet, spécialiste du financement et du développement d’entreprises de croissance, et Tristan Croiset, expert Big Data et Machine Learning, Karos invente un nouveau réseau de transport en commun en exploitant les sièges libres des voitures en circulation. Après 2 années de développement technique et fort d’une équipe d’experts en data science, big data, développement mobile et psycho-ergonomie, Karos a inventé le « court-voiturage® » et lancé son application mobile en 2015. L’application a aujourd’hui permis quasiment 1 million de trajets partagés partout en France. Soutenue par Facebook, le Ministère de la Recherche et BPI France, ambassadrice de la French Tech à la COP 21, membre de la plateforme Ville-durable de Paris&Co et du consortium Européen EIT Digital, Karos a été primée à plus de 10 reprises pour son innovation de rupture au service de la mobilité durable.
Téléchargez Karos sur l’App Store ou Google Play : [https:]]
Laetitia Guittard – 06 76 13 71 55 – laetitia@edifice-communication.com
Marie-Ange Juet – 06 89 96 09 94 – marie-ange@edifice-communication.com
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Karos renforce son équipe avec la nomination de Philippe Very au poste de Lead data scientist
sur Les Rencontres DécryptagéoAvec la nomination de Philippe Very, statisticien de formation, au poste de Lead data scientist, Karos confirme la stratégie de l’entreprise d’investir massivement dans l’Intelligence Artificielle. Sa volonté est de fournir un service toujours plus performant et optimisé aux utilisateurs de l’application, pour offrir la meilleure solution de mobilité partagée.
PHILIPPE VERY, STATISTICIEN DIPLOME DE L’ENSAEPhilippe a fait sa formation à l’ENSAE (École nationale de la statistique et de l’administration économique). Il a travaillé pendant 10 ans dans la finance, à la Société Générale d’abord puis chez Natixis. Sa spécialité ? Appliquer des modèles statistiques à la modélisation sur les marchés financiers.
PHILIPPE VERY, EXPERT EN MACHINE LEARNINGPhilippe participe ensuite à la création d’un fonds d’investissement. Il a œuvré à la conception d’un « outil maison » pour l’analyse statistique et informatique. Une partie de la mission consistait à faire du machine learning appliqué aux séries temporelles financières. Son objectif ? Créer des stratégies pour dégager de la valeur (mesure et comparaison des gains potentiels versus les risques que représentent les investissements).
En avril 2016, Philippe rejoint pour la première fois une équipe Data Science au sein de la société Sidetrade, une entreprise B2B spécialisée dans le recouvrement de factures. Il y a mis en place des process d’automatisation des relances avec son équipe, en analysant les emails reçus par l’entreprise grâce aux méthodes de » Natural Language Processing « .
Cette mission a conduit Philippe à concevoir à la fois des robots d’optimisation et de planification d’actions de recouvrement, et des outils prédictifs des comportements de paiement.
UNE NOMINATION STRATEGIQUE POUR DEVELOPPER LA TECHNOLOGIE KAROSLes compétences de Philippe lui permettent aujourd’hui de rejoindre Karos pour prendre la tête des data scientists. Ses expériences précédentes et son esprit analytique en font un point fort pour l’équipe.
« Nos data scientists travaillent tous les jours sur des algorithmes d’Intelligence Artificielle capables d’apprendre les habitudes de déplacement des utilisateurs, de prédire leurs besoins de mobilité à J+6 ou de repérer les fraudeurs par exemple. L’expérience conséquente de Philippe en machine learning va nous permettre d’accélérer les développements côté science, pour que :
- les matchings & trajets que nous proposons à nos utilisateurs soient toujours plus fiables, calqués sur leurs habitudes réelles ;
- l’expérience de nos utilisateurs dans l’application soit personnalisée au maximum, y compris lorsqu’ils seront en contact avec le support », précise Tristan Croiset, co-fondateur de Karos.
Créée en 2014 par Olivier Binet, spécialiste du financement et du développement d’entreprises de croissance, et Tristan Croiset, expert Big Data et Machine Learning, Karos invente un nouveau réseau de transport en commun en exploitant les sièges libres des voitures en circulation. Après 2 années de développement technique et fort d’une équipe d’experts en data science, big data, développement mobile et psycho-ergonomie, Karos a inventé le « court-voiturage® » et lancé son application mobile en 2015. L’application a aujourd’hui permis quasiment 1 million de trajets partagés partout en France. Soutenue par Facebook, le Ministère de la Recherche et BPI France, ambassadrice de la French Tech à la COP 21, membre de la plateforme Ville-durable de Paris&Co et du consortium Européen EIT Digital, Karos a été primée à plus de 10 reprises pour son innovation de rupture au service de la mobilité durable.
Téléchargez Karos sur l’App Store ou Google Play : [https:]]
Laetitia Guittard – 06 76 13 71 55 – laetitia@edifice-communication.com
Marie-Ange Juet – 06 89 96 09 94 – marie-ange@edifice-communication.com
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7:27
Business Geografic accompagne une activité très intense sur sa plateforme géomatique GEO
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueVilleurbanne, le 14 janvier 2019 – Business Geografic observe une activité très intense sur sa plateforme géomatique GEO ; ses équipes travaillent sans relâche pour absorber la demande du marché SIG et géo-décisionnel en France et à l’international.
Après une période d’activité particulièrement dense, Business Geografic démarre 2019 avec des équipes renforcées et une plateforme GEO sous supervision Qualité permanente, afin d’aborder une nouvelle année qui s’annonce encore plus riche en projets clients.
Le nombre et la qualité de ces projets permettent d’affirmer que GEO est résolument ancrée dans le paysage SIG et géo-décisionnel français et international : défi de convergence industrielle réussi pour Business Geografic, qui livre un panorama des derniers projets réalisés ou à venir sous GEO.
SIGBusiness Geografic enregistre de nouvelles références SIG GEO.
– La communauté d’agglomération de Saint-Malo et les communautés de communes Côte d’Emeraude, Bretagne Romantique, Pays Dol de Bretagne et Baie du Mont-Saint-Michel signent une convention pour mutualiser leur SIG sous GEO ; la communauté d’agglomération Valence Romans Agglo rejoint elle aussi les rangs des utilisateurs GEO.
– La communauté de communes Arc Sud Bretagne choisit GEO en vue de bâtir un SIG mutualisé pour l’ensemble de ses services communautaires ; la communauté de communes du Pays de Mortagne opte également pour GEO dans sa démarche de renouvellement et de modernisation de ses outils SIG.
– Challans-Gois-Communauté remplace ses outils SIG par les technologies et solutions GEO.
– La ville de Saint-Nazaire choisit GEO pour déployer une application cartographique grand public de géolocalisation des pratiques sportives sur son territoire ; elle rallie ainsi le choix technologique de la communauté d’agglomération CARENE, client historique de Business Geografic.
– La Fédération nationale des Conseils des Chevaux met en œuvre son observatoire statistique en s’appuyant sur les technologies GEO.
Les projets de migration vers GEO continuent par ailleurs de s’enchaîner, notamment chez :
– les départements de l’Aude, du Gers, des Deux-Sèvres et du Val-de-Marne,
– les communautés d’agglomération de l’Auxerrois, d’Evreux Portes de Normandie, du Grand Chambéry et de Loire Forez,
– la communauté de communes du Pays Riolais,
– Toulouse Métropole et la ville de Lille,
– les établissements publics territoriaux Grand Paris Sud Est Avenir et Vallée Sud-Grand Paris,
– les chambres d’agriculture Auvergne-Rhône-Alpes et Pays de la Loire,
– MEDIAPOST, filiale privée de la branche Services-Courrier-Colis du Groupe La Poste,
– Vilogia, groupe privé d’immobilier social, etc.
Les utilisateurs GEO enrichissent de plus leurs SIG fondés sur GEO pour leurs besoins métiers.
Outre les innombrables projets clients qui exploitent les GEO Solutions dédiées aux services techniques des collectivités, Business Geografic constate une activité dynamique sur la thématique des routes :
– les départements de la Nièvre et de l’Orne deviennent utilisateurs de GEO SI Routier ;
– Toulouse Métropole migre de Aigle Routes vers GEO SI Routier ;
– l’Union européenne soutient la réalisation d’un géo-portail routier, fondé sur GEO, pour la visualisation et l’analyse des routes classées et des ouvrages d’art en République du Congo, ainsi que la programmation et la planification des travaux de réhabilitation et d’entretien sur le réseau routier congolais ;
– le Ministère des Travaux Publics de Guinée déploie lui aussi un géo-portail routier avec GEO.
Enfin, suite à l’ouverture de la filiale de Ciril GROUP à Montréal, Business Geografic développe des relations d’affaires et des ententes de collaboration avec de prestigieuses références canadiennes telles qu’Effigis, Energère ou DimOnOff. De grands projets SIG et Smart Cities sont en réflexion conjointe des deux côtés de l’Atlantique : Business Geografic a hâte de pouvoir dévoiler ses premiers projets géomatiques de grande ampleur sur le territoire canadien.
GEO-DECISIONNELGEO Key, la solution de Géo-Business Intelligence universelle et innovante de Business Geografic, est très remarquée depuis sa sortie officielle fin 2018. Elle est notamment retenue par le Département de l’Aude, les communautés d’agglomération Cœur d’Essonne et Brive, l’AUDIAR (Agence d’Urbanisme et de Développement Intercommunal de l’Agglomération Rennaise) et le Ministère français des Outre-mer.
Mentionnons par ailleurs le projet du CNIV (Comité National des Interprofessions des Vins à appellation d’origine et à indication géographique) ; ce projet de grande ampleur s’inscrit dans le cadre du Plan national de lutte contre le dépérissement du vignoble. Le CNIV s’équipe du GEO Générateur, de GEO IDS, de GEO Key et des APIs GEO pour déployer son observatoire national du vignoble, hébergé dans les datacenters SynAApS. A terme, c’est une plateforme de type Big Data, collaborative et participative, connectée avec des capteurs (IoT) pour faciliter la collecte de données en masse en vue de favoriser l’aide à la décision éclairée, que le CNIV souhaite proposer.
Autre référence en matière d’usages géo-décisionnels innovants, sur GeoQlik pour Qlik Sense cette fois-ci : Midor, leader sur le marché suisse des biscuits, en-cas et crèmes glacées. Midor a déployé, avec l’aide de son partenaire GEO Business & Decision, un tableau de bord Qlik Sense + GeoQlik connecté à une infrastructure Cloud IoT. L’objectif : collecter (capteurs IoT), traiter (infrastructure Cloud IoT), restituer et analyser (tableau de bord Qlik + GeoQlik) de très gros volumes de données, afin de pouvoir superviser en temps réel les événements tout au long de ses chaînes de production et, in fine, mieux détecter et anticiper les incidents éventuels. Ces chaînes de production sont représentées en 3 dimensions dans le tableau de bord géo-décisionnel de Midor.
Business Geografic annonce de plus de nouvelles références géo-décisionnelles dans le domaine de la santé en Belgique, parmi lesquelles le Centre hospitalier de Wallonie Picarde ainsi que le Centre hospitalier régional de la Haute Senne. Ford Motor Company aux Etats-Unis d’Amérique, Teva en Israël, Bumitama Agro en Indonésie, Nishi-Nippon Railroad, Kobelco Construction Machinery et Isuzu Motors au Japon continuent quant à eux d’étendre leurs usages géo-décisionnels avec GeoQlik pour QlikView et Qlik Sense.
Business Geografic poursuit le renforcement de ses équipes et de ses moyens techniques pour tenir ses engagements en matière de développements produits et conforter son Plan d’Assurance Qualité dans un contexte de croissance marquée ; l’éditeur est par ailleurs satisfait de pouvoir créer son équipe canadienne autour d’un collaborateur historique référent, qui s’assurera d’un niveau de qualité Produits et Services strictement identique en France et outre-Atlantique.
* * *
À propos de Business Geografic
Business Geografic est un éditeur innovant dans le domaine des Systèmes d’Information Géographique (SIG).
Chez Business Geografic, créativité, innovation et croissance marchent de pair. Business Geografic mène une politique d’innovation continue pour le bénéfice de milliers d’utilisateurs dans le monde. GEO, la plateforme SIG et géo-décisionnelle innovante de Business Geografic, propose des technologies et solutions brevetées pour générer, diffuser et partager en mode HTML5 responsive toutes sortes d’applications cartographiques multi-publics et multi-supports. Les forces de GEO résident dans son interopérabilité, sa richesse fonctionnelle et sa puissance. GEO est en perpétuelle évolution technologique et fonctionnelle pour permettre à ses utilisateurs d’enrichir constamment leurs SIG avec des pratiques cartographiques toujours plus innovantes et différenciantes.
GEO répond à tous les besoins des professionnels de l’information géographique des secteurs public et privé, de la géo-représentation à la géo-prospective en passant par le géo-reporting et la géo-analyse de données et indicateurs métier et grand public, quels que soient les volumes de données. GEO capitalise sur l’ensemble des technologies et solutions SIG et géo-décisionnelles de Business Geografic.
GEO est disponible en mode SaaS et On-Premises, avec des garanties d’hébergement Haute Sécurité pour les utilisateurs en mode SaaS, grâce aux datacenters SynAApS certifiés ISO 27001:2013 et agréés Santé de Ciril GROUP.
Business Geografic (business-geografic.com) est la division Géomatique de Ciril GROUP (cirilgroup.com).
Pour plus d’information – Contact presse chez Ciril GROUP : Camille ROSSI – 04 72 69 16 80 – crossi@cirilgroup.com.
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Business Geografic accompagne une activité très intense sur sa plateforme géomatique GEO
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Après une période d’activité particulièrement dense, Business Geografic démarre 2019 avec des équipes renforcées et une plateforme GEO sous supervision Qualité permanente, afin d’aborder une nouvelle année qui s’annonce encore plus riche en projets clients.
Le nombre et la qualité de ces projets permettent d’affirmer que GEO est résolument ancrée dans le paysage SIG et géo-décisionnel français et international : défi de convergence industrielle réussi pour Business Geografic, qui livre un panorama des derniers projets réalisés ou à venir sous GEO.
SIGBusiness Geografic enregistre de nouvelles références SIG GEO.
– La communauté d’agglomération de Saint-Malo et les communautés de communes Côte d’Emeraude, Bretagne Romantique, Pays Dol de Bretagne et Baie du Mont-Saint-Michel signent une convention pour mutualiser leur SIG sous GEO ; la communauté d’agglomération Valence Romans Agglo rejoint elle aussi les rangs des utilisateurs GEO.
– La communauté de communes Arc Sud Bretagne choisit GEO en vue de bâtir un SIG mutualisé pour l’ensemble de ses services communautaires ; la communauté de communes du Pays de Mortagne opte également pour GEO dans sa démarche de renouvellement et de modernisation de ses outils SIG.
– Challans-Gois-Communauté remplace ses outils SIG par les technologies et solutions GEO.
– La ville de Saint-Nazaire choisit GEO pour déployer une application cartographique grand public de géolocalisation des pratiques sportives sur son territoire ; elle rallie ainsi le choix technologique de la communauté d’agglomération CARENE, client historique de Business Geografic.
– La Fédération nationale des Conseils des Chevaux met en œuvre son observatoire statistique en s’appuyant sur les technologies GEO.
Les projets de migration vers GEO continuent par ailleurs de s’enchaîner, notamment chez :
– les départements de l’Aude, du Gers, des Deux-Sèvres et du Val-de-Marne,
– les communautés d’agglomération de l’Auxerrois, d’Evreux Portes de Normandie, du Grand Chambéry et de Loire Forez,
– la communauté de communes du Pays Riolais,
– Toulouse Métropole et la ville de Lille,
– les établissements publics territoriaux Grand Paris Sud Est Avenir et Vallée Sud-Grand Paris,
– les chambres d’agriculture Auvergne-Rhône-Alpes et Pays de la Loire,
– MEDIAPOST, filiale privée de la branche Services-Courrier-Colis du Groupe La Poste,
– Vilogia, groupe privé d’immobilier social, etc.
Les utilisateurs GEO enrichissent de plus leurs SIG fondés sur GEO pour leurs besoins métiers.
Outre les innombrables projets clients qui exploitent les GEO Solutions dédiées aux services techniques des collectivités, Business Geografic constate une activité dynamique sur la thématique des routes :
– les départements de la Nièvre et de l’Orne deviennent utilisateurs de GEO SI Routier ;
– Toulouse Métropole migre de Aigle Routes vers GEO SI Routier ;
– l’Union européenne soutient la réalisation d’un géo-portail routier, fondé sur GEO, pour la visualisation et l’analyse des routes classées et des ouvrages d’art en République du Congo, ainsi que la programmation et la planification des travaux de réhabilitation et d’entretien sur le réseau routier congolais ;
– le Ministère des Travaux Publics de Guinée déploie lui aussi un géo-portail routier avec GEO.
Enfin, suite à l’ouverture de la filiale de Ciril GROUP à Montréal, Business Geografic développe des relations d’affaires et des ententes de collaboration avec de prestigieuses références canadiennes telles qu’Effigis, Energère ou DimOnOff. De grands projets SIG et Smart Cities sont en réflexion conjointe des deux côtés de l’Atlantique : Business Geografic a hâte de pouvoir dévoiler ses premiers projets géomatiques de grande ampleur sur le territoire canadien.
GEO-DECISIONNELGEO Key, la solution de Géo-Business Intelligence universelle et innovante de Business Geografic, est très remarquée depuis sa sortie officielle fin 2018. Elle est notamment retenue par le Département de l’Aude, les communautés d’agglomération Cœur d’Essonne et Brive, l’AUDIAR (Agence d’Urbanisme et de Développement Intercommunal de l’Agglomération Rennaise) et le Ministère français des Outre-mer.
Mentionnons par ailleurs le projet du CNIV (Comité National des Interprofessions des Vins à appellation d’origine et à indication géographique) ; ce projet de grande ampleur s’inscrit dans le cadre du Plan national de lutte contre le dépérissement du vignoble. Le CNIV s’équipe du GEO Générateur, de GEO IDS, de GEO Key et des APIs GEO pour déployer son observatoire national du vignoble, hébergé dans les datacenters SynAApS. A terme, c’est une plateforme de type Big Data, collaborative et participative, connectée avec des capteurs (IoT) pour faciliter la collecte de données en masse en vue de favoriser l’aide à la décision éclairée, que le CNIV souhaite proposer.
Autre référence en matière d’usages géo-décisionnels innovants, sur GeoQlik pour Qlik Sense cette fois-ci : Midor, leader sur le marché suisse des biscuits, en-cas et crèmes glacées. Midor a déployé, avec l’aide de son partenaire GEO Business & Decision, un tableau de bord Qlik Sense + GeoQlik connecté à une infrastructure Cloud IoT. L’objectif : collecter (capteurs IoT), traiter (infrastructure Cloud IoT), restituer et analyser (tableau de bord Qlik + GeoQlik) de très gros volumes de données, afin de pouvoir superviser en temps réel les événements tout au long de ses chaînes de production et, in fine, mieux détecter et anticiper les incidents éventuels. Ces chaînes de production sont représentées en 3 dimensions dans le tableau de bord géo-décisionnel de Midor.
Business Geografic annonce de plus de nouvelles références géo-décisionnelles dans le domaine de la santé en Belgique, parmi lesquelles le Centre hospitalier de Wallonie Picarde ainsi que le Centre hospitalier régional de la Haute Senne. Ford Motor Company aux Etats-Unis d’Amérique, Teva en Israël, Bumitama Agro en Indonésie, Nishi-Nippon Railroad, Kobelco Construction Machinery et Isuzu Motors au Japon continuent quant à eux d’étendre leurs usages géo-décisionnels avec GeoQlik pour QlikView et Qlik Sense.
Business Geografic poursuit le renforcement de ses équipes et de ses moyens techniques pour tenir ses engagements en matière de développements produits et conforter son Plan d’Assurance Qualité dans un contexte de croissance marquée ; l’éditeur est par ailleurs satisfait de pouvoir créer son équipe canadienne autour d’un collaborateur historique référent, qui s’assurera d’un niveau de qualité Produits et Services strictement identique en France et outre-Atlantique.
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À propos de Business Geografic
Business Geografic est un éditeur innovant dans le domaine des Systèmes d’Information Géographique (SIG).
Chez Business Geografic, créativité, innovation et croissance marchent de pair. Business Geografic mène une politique d’innovation continue pour le bénéfice de milliers d’utilisateurs dans le monde. GEO, la plateforme SIG et géo-décisionnelle innovante de Business Geografic, propose des technologies et solutions brevetées pour générer, diffuser et partager en mode HTML5 responsive toutes sortes d’applications cartographiques multi-publics et multi-supports. Les forces de GEO résident dans son interopérabilité, sa richesse fonctionnelle et sa puissance. GEO est en perpétuelle évolution technologique et fonctionnelle pour permettre à ses utilisateurs d’enrichir constamment leurs SIG avec des pratiques cartographiques toujours plus innovantes et différenciantes.
GEO répond à tous les besoins des professionnels de l’information géographique des secteurs public et privé, de la géo-représentation à la géo-prospective en passant par le géo-reporting et la géo-analyse de données et indicateurs métier et grand public, quels que soient les volumes de données. GEO capitalise sur l’ensemble des technologies et solutions SIG et géo-décisionnelles de Business Geografic.
GEO est disponible en mode SaaS et On-Premises, avec des garanties d’hébergement Haute Sécurité pour les utilisateurs en mode SaaS, grâce aux datacenters SynAApS certifiés ISO 27001:2013 et agréés Santé de Ciril GROUP.
Business Geografic (business-geografic.com) est la division Géomatique de Ciril GROUP (cirilgroup.com).
Pour plus d’information – Contact presse chez Ciril GROUP : Camille ROSSI – 04 72 69 16 80 – crossi@cirilgroup.com.
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La DARPA confie à Airbus le contrat de développement d’une plateforme pour les petits satellites du programme Blackjack
sur DécryptaGéo, l'information géographiqueHERNDON, Virginie, USA, le 14 janvier 2019 – L’agence de recherche militaire américaine DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) a confié à Airbus Defense and Space Inc. un contrat visant à développer une plateforme de satellite pour la constellation du programme Blackjack.
La DARPA décrit le programme Blackjack comme un prototype d’architecture destiné à démontrer l’utilité militaire des constellations globales en orbite basse et des réseaux maillés de faibles taille, poids et coût. L’Agence souhaite acquérir des bus de satellites commerciaux pour les équiper de capteurs et charges utiles militaires. Le bus fournit pour chaque satellite l’énergie, le contrôle d’attitude, la propulsion et la transmission des télémesures, et permet l’intégration de charges utiles, notamment des emplacements de montage spécifiques pour des capteurs militaires.
« Airbus a déjà co-investi plusieurs centaines de millions de dollars dans la technologie de production en grande série et la gestion de la chaine logistique et d’approvisionnement pour construire de grandes constellations de petits satellites », a déclaré Tim Deaver, Directeur des Programmes spatiaux américains au sein d’Airbus Defense and Space, Inc. « Airbus s’est engagé à augmenter ses capacités industrielles aux États-Unis, de sorte que nos clients gouvernementaux puissent profiter de ce levier commercial pour développer des constellations en orbite basse, en complément des grands systèmes existants. »
Grâce à ce contrat, le site Airbus Defense and Space, Inc. de Herndon, en Virginie, et son partenaire stratégique, OneWeb Satellites, implanté sur le complexe d’Exploration Park en Floride, deviennent des prestataires de services de premier plan pour le programme Blackjack.
Une chaîne d’assemblage à cadence élevée et un système de conception à coût objectif (CCO) permettent à OneWeb Satellites de proposer des solutions de constellations à faibles coûts au gouvernement américain et aux autres clients. Ces constellations de satellites peu onéreux offrent des architectures désagrégées à grande échelle améliorant la résilience dans des zones de mission très différentes.
OneWeb Satellites crée des solutions spatiales d’avant-garde à forte valeur ajoutée, en concevant et fabriquant des satellites ultra performants en grande série.
« Notre modèle de conception, d’approvisionnement et de production a entièrement changé la donne », a déclaré Tony Gingiss, CEO de OneWeb Satellites. « Nos équipes ont révolutionné l’industrie spatiale et nous sommes sur le point de démontrer que nous honorons nos promesses. »
OneWeb Satellites utilise des capacités qui réduisent considérablement le coût et les délais d’acquisition pour les clients, grâce à une conception modulaire et à la production agile de satellites en série.
L’usine de production de satellites de OneWeb Satellites en Floride est la dernière mesure prise par Airbus dans le cadre de sa politique de développement constant et durable de l’industrie, de l’emploi et de l’investissement aux États-Unis.
Cet établissement, qui soutiendra à terme plusieurs milliers d’emplois, est le deuxième du genre après l’usine d’assemblage final des Airbus A320 à Mobile, Alabama, d’où est sorti le premier exemplaire en 2016. Une chaîne d’assemblage de l’Airbus A220 sera également construite sur ce même site à partir de janvier 2019.
S’approvisionnant auprès d’un vaste réseau de fournisseurs américains, Airbus est le plus important client de produits aérospatiaux et de défense américains au monde, avec un volume d’achat supérieur à celui de n’importe quelle autre entreprise, et même nation. Airbus a investi 16,5 milliards de dollars dans des entreprises américaines en 2017, contribuant ainsi à soutenir 275 000 emplois outre-Atlantique.
* * *
À propos d’Airbus AmericasAirbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2017, Airbus a généré plus de 48 milliards de dollars US de dépenses aéronautiques et spatiales aux États-Unis, et soutenu 275 000 emplois dans une quarantaine d’États américains. Airbus propose la famille d’avions de ligne la plus complète qui soit, de 100 à plus de 600 sièges, et est également leader dans le domaine des avions militaires, notamment de mission, de ravitaillement en vol, de combat et de transport. L’entreprise est par ailleurs l’un des principaux acteurs de l’industrie spatiale. Enfin, dans le domaine des hélicoptères, Airbus propose les solutions civiles et militaires les plus performantes au monde.
Guilhem BOLTZ guilhem.g.boltz@airbus.com +33 (0)6 34 78 14 08
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La DARPA confie à Airbus le contrat de développement d’une plateforme pour les petits satellites du programme Blackjack
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La DARPA décrit le programme Blackjack comme un prototype d’architecture destiné à démontrer l’utilité militaire des constellations globales en orbite basse et des réseaux maillés de faibles taille, poids et coût. L’Agence souhaite acquérir des bus de satellites commerciaux pour les équiper de capteurs et charges utiles militaires. Le bus fournit pour chaque satellite l’énergie, le contrôle d’attitude, la propulsion et la transmission des télémesures, et permet l’intégration de charges utiles, notamment des emplacements de montage spécifiques pour des capteurs militaires.
« Airbus a déjà co-investi plusieurs centaines de millions de dollars dans la technologie de production en grande série et la gestion de la chaine logistique et d’approvisionnement pour construire de grandes constellations de petits satellites », a déclaré Tim Deaver, Directeur des Programmes spatiaux américains au sein d’Airbus Defense and Space, Inc. « Airbus s’est engagé à augmenter ses capacités industrielles aux États-Unis, de sorte que nos clients gouvernementaux puissent profiter de ce levier commercial pour développer des constellations en orbite basse, en complément des grands systèmes existants. »
Grâce à ce contrat, le site Airbus Defense and Space, Inc. de Herndon, en Virginie, et son partenaire stratégique, OneWeb Satellites, implanté sur le complexe d’Exploration Park en Floride, deviennent des prestataires de services de premier plan pour le programme Blackjack.
Une chaîne d’assemblage à cadence élevée et un système de conception à coût objectif (CCO) permettent à OneWeb Satellites de proposer des solutions de constellations à faibles coûts au gouvernement américain et aux autres clients. Ces constellations de satellites peu onéreux offrent des architectures désagrégées à grande échelle améliorant la résilience dans des zones de mission très différentes.
OneWeb Satellites crée des solutions spatiales d’avant-garde à forte valeur ajoutée, en concevant et fabriquant des satellites ultra performants en grande série.
« Notre modèle de conception, d’approvisionnement et de production a entièrement changé la donne », a déclaré Tony Gingiss, CEO de OneWeb Satellites. « Nos équipes ont révolutionné l’industrie spatiale et nous sommes sur le point de démontrer que nous honorons nos promesses. »
OneWeb Satellites utilise des capacités qui réduisent considérablement le coût et les délais d’acquisition pour les clients, grâce à une conception modulaire et à la production agile de satellites en série.
L’usine de production de satellites de OneWeb Satellites en Floride est la dernière mesure prise par Airbus dans le cadre de sa politique de développement constant et durable de l’industrie, de l’emploi et de l’investissement aux États-Unis.
Cet établissement, qui soutiendra à terme plusieurs milliers d’emplois, est le deuxième du genre après l’usine d’assemblage final des Airbus A320 à Mobile, Alabama, d’où est sorti le premier exemplaire en 2016. Une chaîne d’assemblage de l’Airbus A220 sera également construite sur ce même site à partir de janvier 2019.
S’approvisionnant auprès d’un vaste réseau de fournisseurs américains, Airbus est le plus important client de produits aérospatiaux et de défense américains au monde, avec un volume d’achat supérieur à celui de n’importe quelle autre entreprise, et même nation. Airbus a investi 16,5 milliards de dollars dans des entreprises américaines en 2017, contribuant ainsi à soutenir 275 000 emplois outre-Atlantique.
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À propos d’Airbus AmericasAirbus est un leader mondial de l’aéronautique, de l’espace et des services associés. En 2017, Airbus a généré plus de 48 milliards de dollars US de dépenses aéronautiques et spatiales aux États-Unis, et soutenu 275 000 emplois dans une quarantaine d’États américains. Airbus propose la famille d’avions de ligne la plus complète qui soit, de 100 à plus de 600 sièges, et est également leader dans le domaine des avions militaires, notamment de mission, de ravitaillement en vol, de combat et de transport. L’entreprise est par ailleurs l’un des principaux acteurs de l’industrie spatiale. Enfin, dans le domaine des hélicoptères, Airbus propose les solutions civiles et militaires les plus performantes au monde.
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18:14
Observation de la Terre : bientôt une constellation satellitaire française dédiée à la 3D ?
sur DécryptaGéo, l'information géographique800 mots, environ 4 mn de lecture Réaliser rapidement et à bas coût un modèle numérique de surface (MNS) de résolution métrique du monde entier. Ce rêve pourrait devenir réalité d’ici quatre à cinq ans grâce au programme CO3D, pour lequel le CNES a lancé récemment une consultation auprès des La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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