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Décryptagéo, l'information géographique
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18:41
La Carte de France Histoire & techniques par Jean-Luc Arnaud
sur Décryptagéo, l'information géographiquePour connaître et selon le cas défendre, aménager, exploiter ou soumettre un territoire, la carte constitue un outil incomparable. Œuvre de haute précision, son établissement a toujours mobilisé les techniques les plus avancées pour réunir des informations précieuses, voire confidentielles, longtemps réservées aux souverains, diplomates et officiers.
Cet ouvrage, dont le point de départ est la carte du Royaume de France dressée au milieu du xviiie siècle par l’astronome Cassini, présente l’intégralité des différentes séries cartographiques produites depuis lors ainsi que leurs nombreuses déclinaisons thématiques. Technique après technique — de relevé, d’impression, de colorisation, de découpage, de pliage… —, contenu après contenu — topographie, fortifications, voies de communication, géologie, hydrographie, sentiers de randonnée… —, ce sont ainsi deux siècles qui défilent, animés par un souci constant d’actualisation et d’enrichissement des données.
Forte d’un savoir-faire exceptionnel, la France dispose aujourd’hui d’une des plus belles collections de cartes au monde, dont certaines sont de véritables œuvres d’art appelant au voyage et à la rêverie.
Cette somme historique, à l’objet inédit, révèle avant tout un ensemble patrimonial remarquable dont la carte est en elle-même le trésor.
Jean-Luc Arnaud, architecte et historien de la période contemporaine, est directeur de recherche au CNRS. Son travail se situe au carrefour de l’histoire et de la géographie. Après avoir dirigé les observatoires urbains du Caire et de Beyrouth, il a consacré ses premières recherches aux villes du Proche?Orient (Le Caire, Istanbul, Damas, Sanaa…). Il s’est ensuite orienté vers l’histoire de la cartographie, fondant au début des années deux mille CartoMundi, une plateforme en ligne dédiée à la valorisation du patrimoine cartographique. Auteur de plusieurs ouvrages et d’une centaine d’articles, il préside l’association Le monde à la carte.
- En librairie près de chez vous le 3 juin : Jean-Luc Arnaud : La Carte de France, Histoire & techniques : 56 euros, éditions Parenthèses
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18:17
Risques majeurs : tout savoir sur l’alerte aux populations
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUn numéro spécial sur l’Alerte à la population en France vient de sortir dans la revue Risques’Infos de l’Institut des Risques Majeurs. Même s’il s’agit d’un document à destination du grand public, il contient plusieurs articles d’intérêt pour toutes celles et ceux qui travaillent sur cette thématique et mobilisent des geodata.Cliquez sur l’image pour télécharger le document
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15:59
Sogefi met ses APIs au service des professionnels
sur Décryptagéo, l'information géographiquePlus besoin d’être expert des données pour proposer des solutions riches en informations géographiques ! Sogefi met désormais son savoir-faire au service de l’enrichissement des solutions web de tous les professionnels par la mise à disposition de ses APIs. Les APIs du foncier80% de la donnée libérée est une donnée cartographiable, une aubaine pour SOGEFI, expert en cartographie ! En effet, cette libération de la donnée a ouvert le champ des possibles pour : disposer de données cadastrales à jour, se localiser à l’emplacement d’une parcelle, retrouver la généalogie d’une parcelle, estimer un bien immobilier en connaissant les prix de vente des biens et terrains alentours, identifier les parcelles appartenant à une personne morale, trouver facilement une référence cadastrale ou encore consulter le règlement du zonage du PLU impactant un terrain en particulier…
Reconstituer l’historique d’une parcelle (cartographiquement ou non) :
Connaître les valeurs foncières des biens et terrains vendus depuis 2014 :
L’ensemble des APIs proposées par Sogefi permettent ce type de requêtes et bien plus encore. Toujours en veille, de nouvelles APIs affinent les questions posées au niveau du bâti pour apporter plus de finesse dans les requêtes et exploitations. Pour en savoir plus, visitez la page dédiée aux APIs : https://www.sogefi-sig.com/geoservices-apis-wms/
Les APIs améliorent l’expérience utilisateurEn rationalisant les référentiels nationaux, les APIs de Sogefi permettent d’exploiter sans avoir à maîtriser leurs structures, les données issues de l’OpenData. Les applications utilisatrices d’APIs apportent ainsi une nouvelle expérience à leurs utilisateurs en toute transparence.
Pierre Touzard, expert données chez Sogefi, précise : “Pour le développement de ces APIs, nous avons porté un grand soin à la définition des « questions » des utilisateurs mais aussi des « réponses » qu’apporte l’open data en offrant plusieurs niveaux de détail possible. La cohérence d’ensemble est assurée grâce à une formulation des questions identique d’une API à l’autre. ”
Les APIs Sogefi suivant le formalisme RESTful, documentées sous Swagger et utilisant le format Geojson, sont donc compatibles avec les technologies modernes d’affichage de données cartographiques.
Le recours aux APIs, un gain de temps pour les développeursSogefi accompagne les bureaux d’études géomatiques, les grands acteurs ou gestionnaires fonciers, ou encore les éditeurs de logiciels pour compléter leurs solutions par des APIs.
Le protocole d’échange entre les APIs et les applications web est prédéfini et respecte un cadre strict. Il assure ainsi la sécurité dans l’appel de données. En effet, le destinataire de l’API ne peut accéder qu’aux informations partagées.
“Cette solution assure aux utilisateurs finaux, des informations complètes, fiables et à jour. Nous avons voulu créer des APIs qui sont des « produits sur étagère » et les avons dotés d’une documentation technique pour les rendre faciles à prendre en main par vos développeurs.” indique Mathilde de Sulzer Wart, gérante de Sogefi, pour qui la satisfaction utilisateurs prime.
En rendant les applications plus complètes et en simplifiant considérablement leur conception, mise en place et administration, s’ensuit mécaniquement un gain de temps et d’argent. Cette technologie particulièrement prisée facilite l’intégration de nouveaux services qui sont rendus plus riches en données.
Outre le fait que les APIs Sogefi sont un « facilitateur » des collaborations entre équipes informatiques et équipes métiers, elles permettent à ses utilisateurs de conserver leur compétitivité en se concentrant sur des innovations sans avoir à s’écarter de leur secteur d’activité et cœur de métier.
Des APIs éprouvées dans les solutions de SogefiSymbole même de l’ADN de Sogefi, la géomatique, qui combine la géographie et l’informatique, l’entreprise Toulousaine se singularise par le fait qu’elle manipule des données sur la France entière, fiables, et maintenues constamment à jour.
Ayant pour socle l’OpenData, renforcée par les politiques d’ouverture de données demandées par l’État, les APIs Sogefi sont donc multiples. En plus de mettre à disposition les APIs qu’elle crée, Sogefi exploite ses propres APIs, pour dynamiser ses solutions métiers que ce soit pour sa gamme de solutions Mon Territoire pour les collectivités ou pour Horizon, sa nouvelle solution web dédiée aux professionnels, ou encore pour les développements de portails cartographiques faits sur mesure à la demande de ses clients.
À propos de Sogefi
Sogefi, expert de la data et du webmapping depuis 33 ans adresse des solutions packagées ou sur-mesure à différents types d’acteurs. La gamme Mon Territoire est utile aux collectivités pour la gestion par métier de leur territoire. Son expertise de la donnée foncière s’adresse à d’autres professionnels au travers d’Horizon, des APIs ou développements sur-mesure, pour faciliter l’accès et l’exploitation de la donnée et à la cartographie. La société accompagne également le portail Géofoncier sur son expertise de la donnée et son exploitation de l’OpenData passant par l’utilisation des APIs Sogefi. Elle équipe aujourd’hui plus de 700 collectivités et entreprises avec ses solutions web-SIG cadastre, urbanisme, réseaux et voirie.
Juliette Domage, Chargée de communication chez Sogefi – juliette.domage@sogefi-sig.com – 05 34 66 72 27 – [https:]]
Contact presse : Agnès Rouvière 06 20 49 18 52 / agnes@rouvierecommunication.fr
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10:26
imajing, l’innovation comme moteur
sur Décryptagéo, l'information géographiqueExperte dans la donnée géospatiale, La PME toulousaine (qui exporte dans 40 pays) ne cesse de se renouveler pour répondre aux besoins grandissants de ses clients du monde entier.Implantée dans une maison en bois entourée d’un grand jardin au cœur de Labège (31), la discrète PME vient de signer de nouveaux contrats avec le Gabon et la Wallonie.
Depuis 2008, imajing conçoit une gamme d’outils qui permet de cartographier, inventorier, surveiller toute infrastructure linéaire et ses composantes.
Elle place l’innovation au cœur de son développement pour répondre aux besoins en constante évolution des projets des gestionnaires de réseaux, ferroviaires, routiers et électriques aux quatre coins du monde.
Une chaîne d’outils entièrement développée par la PMEimajing est aujourd’hui une des rares sociétés de son secteur à développer en interne l’ensemble des technologies d’acquisition et de traitement de données géospatiales qu’elle propose.
La PME commercialise aujourd’hui la 3ème génération de sa caméra « imajbox®» et vient d’annoncer un nouveau modèle avec un capteur 360°. Le système, facilement fixé sur n’importe quel véhicule, collecte des informations terrain géoréférencées au centimètre, qui sont ensuite traitées par la suite logicielle « imajview » et/ou partagées sur la plateforme en ligne « imajnet ».
L’utilisation est multiple : cartographie, étude, inventaire, planification ou encore budgétisation.
Des données captées sur les 5 continentsPar exemple, en France, l’entièreté du réseau ferroviaire est couverte en continu par 3 trains de surveillance équipés d’imajbox®. Cette vision précise et actualisée offre de précieuses informations à plus de 19 000 membres des équipes de maintenance et de projets de SNCF Réseau, abonnés au service imajnet®.
A l’étranger, ce sont la Metropolitan Transport Authority à New York, Kansas City Railways ou encore Infrabel en Belgique qui utilisent la chaîne d’outils pour leur maintenance.
À ce jour, l’imajbox® a sillonné des routes et voies ferrés sur tous les continents pour servir les besoins en information de gestionnaires partout dans le monde.Le succès d’imajing tient notamment à l’extrême simplicité d’utilisation de ses produits : la caméra compacte est déclenchée d’un clic depuis un smartphone, ne mobilisant qu’une seule personne sans compétence particulière pour effectuer des relevés.
Les utilisateurs apprécient également la précision de la solution et son adaptabilité puisque son format lui permet d’être déployée sur n’importe quel véhicule (hélicoptère, bateau…) et d’être également utilisée pour les réseaux utilitaires tels que l’eau ou l’électricité.
Ainsi, à Istanbul, la technologie imajing a été utilisée pour la gestion de l’éclairage public. L’imajbox®, montée sur une voiture, a inspecté 2 500 km de réseau routier en 12 semaines pour inventorier et évaluer l’état de plus de 60 000 candélabres. De même à Namur en Belgique, un véhicule municipal est équipé d’une caméra imajbox® dans le but de collecter des images de la chaussée et des équipements de la ville pour en faciliter la planification de sa maintenance.
L’innovation au cœur de la réussiteEtienne Lamort de Gail, le PDG d’imajing, est convaincu que l’innovation est la clé de la réussite d’imajing et qu’elle contribue à motiver la performance collective. C’est pourquoi depuis 3 ans, il a fait le choix d’investir dans l’intelligence artificielle et d’entraîner des réseaux de neurones sur de très vastes volumes de données, dans le but de proposer de nouveaux services de traitement.
Les algorithmes créés par imajing sont intéressants à bien des niveaux : automatisation des tâches répétitives, gain de temps, réduction des coûts et apport de valeur ajoutée. Ainsi, les clients d’imajing peuvent effectuer des inventaires automatiques, détecter les changements survenus sur une même portion de réseau au cours d’une période ou se mettre en conformité avec la politique RGPD de protection des données grâce au floutage à grande échelle dans les images d’éléments tels que les visages ou les plaques d’immatriculation.
« Avec l’intelligence artificielle, l’accélération de nos capacités d’analyse et de traitement est exponentielle, chaque avancée étant immédiatement intégrée dans nos chaines d’outils » déclare Etienne Lamort de Gail
Cette perpétuelle recherche d’avancée technologique passe par le recrutement régulier de nouveaux profils hautement qualifiés. Ainsi, sur les dernières années, l’équipe s’est enrichie de nouveaux profils experts de la donnée géospatiale, de la navigation inertielle et GNSS, de data scientists ou encore de chercheurs en traitement d’images.
« Je suis heureux d’avoir constitué une équipe soudée de profils très qualifiés et investis pleinement dans leurs missions. Je tiens aux échanges dans les différents pôles pour que chacun ait une vision globale et une conscience des enjeux que nous adressons » déclare Etienne Lamort de Gail.
Etienne Lamort de Gail ne compte pas s’arrêter là. Dans un contexte où les enjeux se tournent vers l’optimisation des coûts, la sécurité, ou encore l’émergence de Smart Cities, les besoins de ses clients se font de plus en plus exigeants. Il souhaite maintenant proposer des services très intégrés où la valeur n’est plus seulement technologique.
imajing en chiffres
- Créée en 2008
- Nombre de collaborateurs :
- Imajing France : 19 à Toulouse
- Imajing Roumanie : 20 à Craiova (En 2009, Bogdan Negru fait un stage à Toulouse chez imajing dans le cadre d’un programme Erasmus. A son retour en Roumanie, il crée sa propre entité intégrée aujourd’hui à Imajing Toulouse)
- Clients dans 40 pays différents
- Chiffre d’affaires : 2,2M€
Contact presse : Agnès Rouvière 06 20 49 18 52 / agnes@rouvierecommunication.fr
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14:53
Cartographie de la France en 3D : un dispositif d’accompagnement pour favoriser l’exploitation des données LiDAR
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDans le cadre du programme national LiDAR HD, l’IGN met à disposition en open data des données inédites à fort potentiel. Pour faciliter l’exploitation des données LiDAR et favoriser l’émergence de projets innovants, l’institut propose un dispositif d’accompagnement et lance l’appel à projet IGNfab « Donne du relief à tes projets avec les données LiDAR », destiné aux start-up et aux PME. Un ‘bac à sable’ ouvert à tous permet aux utilisateurs de se familiariser, d’interagir et de télécharger les données LiDAR acquises dans le cadre du programme national LiDAR HD, également présentées lors d’un webinaire national le 19 mai.Saint-Emilion, LiDAR HD 2022 ©IGN
Outiller la Nation pour mieux comprendre son territoire à l’heure des grands bouleversements écologiques et numériques, telle est l’ambition de l’IGN. Avec le programme LiDAR HD la France est le premier grand pays à initier pour la première fois un projet national de couverture LiDAR haute densité (10 points /m2 hors Guyane) afin de disposer d’une description du sol et du sursol (routes, bâtiments, forêts, surfaces d’eau…) très précise sur tout le territoire pour répondre aux besoins des politiques publiques agricoles, forestières et de prévention des risques, faciliter l’observation et l’analyse des changements et aider à la simulation de phénomènes.
Un dispositif d’animation et d’accompagnement pour favoriser l’exploitation des données LiDARL’exploitation des nuages de points LiDAR HD offre de larges opportunités d’innovation tant pour les porteurs de politiques publiques que pour les acteurs économiques. L’IGN met en place un dispositif pour favoriser l’exploitation des données LiDAR HD, développer les usages et favoriser l’émergence de nouveaux services, dans une dynamique de géocommuns pour co-construire une information géographique au service de l’intérêt général. La mise à disposition d’un ‘bac à sable’, une interface accessible à tous, permet de visualiser et de naviguer dans les nuages de points LiDAR, et de télécharger des données. L’occasion de découvrir les premières données brutes du programme LiDAR HD sur la zone de Nîmes (10 points/m² en moyenne) ainsi que des données LiDAR de moindre densité sur diverses zones géographiques (urbain, forestier et littoral).
L’appel à projets IGNfab « Donne du relief à tes projets avec les données LiDAR », ouverture le 16 mai et lancement de la consultation le 30 juin, propose aux start-up et aux PME d’accélérer de nouveaux services ou produits à très forte valeur ajoutée en bénéficiant d’un accès aux données, à l’expertise et aux réseaux institutionnel et partenarial de l’IGN. De nombreux partenaires sont impliqués dans ce nouvel appel à projets, parmi lesquels : ADEME, Aerospace Valley, Cap Digital, Eurométropole de Strasbourg, GTI, Nantes Métropole, ONF, PEMB, SPW, Tuba, etc.
Pour faire vivre le processus de publication de données et favoriser l’utilisation des données LiDAR dans une boucle d’amélioration continue, l’institut ouvre un espace d’échange avec les utilisateurs des données et prépare un LiDAR Tour National qui permettra de construire des temps d’échanges privilégiés autour de cas d’usages spécifiques, et avec les communautés, dans plusieurs régions en France. Pour découvrir les enjeux et l’actualité de ce vaste chantier visant la couverture LiDAR HD France entière d’ici la fin 2025, l’institut organise un webinaire national le 19 mai.
Une couverture LiDAR HD France entière d’ici fin 2025En 2021, les avions de l’IGN et de ses partenaires ont couvert 115 000 km² soit environ 20% du territoire français dont une partie des départements de la moitié sud. Les premières données brutes publiées couvrent plus de 17 000 km² à cheval sur les départements du Gard, de l’Hérault, de la Lozère, de l’Aveyron, de l’Ain et de la Haute-Savoie. Une nouvelle phase d’acquisitions a démarré début 2022 avec la couverture de l’Alsace et du massif des Vosges ainsi qu’une partie des départements de la Meuse, de l’Oise et des Yvelines. Une deuxième phase d’acquisitions se déroulera ce printemps et cet été dans le sud de la France, le massif Central, les Alpes, les Pyrénées, le Jura et une partie de la Normandie. Le programme LiDAR HD vise la couverture de plus 150 000 km² en 2022, pour atteindre une couverture de 50% de la France métropolitaine début 2023 et la couverture France entière fin 2025. Les résultats des acquisitions Lidar aéroportées sont progressivement diffusés en open data sur le site geoservices.ign.fr.
Pour en savoir plus :
Appel à projets IGNfab « Donne du relief à tes projets avec les données LiDAR »
Accès au ‘bac à sable’ LiDAR
Webinaire, le 19 mai à 14h : « Le programme national LiDAR Haute Densité, concrètement aujourd’hui »
Renseignements et inscriptions :
Le programme national LiDAR HD :
Télécharger les premières données LiDAR HD et rejoindre une communauté LiDAR :
Suivre l’avancement des acquisitions LiDAR HD :
Vidéo LiDAR HD, Arènes de Nîmes :
À propos de l’IGNL’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est un établissement public placé sous la tutelle des ministères chargés de l’écologie et de la forêt. Sa vocation est de produire et diffuser des données (open data) et des représentations (cartes en ligne et papier, géovisualisation) de référence relatives à la connaissance du territoire national et des forêts françaises ainsi que de leur évolution. A travers son école d’ingénieur, ENSG-Géomatique, et à ses équipes de recherche, l’institut cultive un potentiel d’innovation de haut niveau dans de multiples domaines (géodésie, forêt, photogrammétrie, intelligence artificielle, analyse spatiale, visualisation 3D, etc.).
En savoir plus : [https:]
Contacts Presse
Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
Nous suivre sur >> ign.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse
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9:14
HERE s’associe à AWS pour améliorer la visibilité de la supply chain
sur Décryptagéo, l'information géographique- La pression sur les chaînes d’approvisionnement mondiales rend indispensable le recours à la localisation pour améliorer le suivi des actifs, la logistique et les ETA.
- Selon Gartner, “50% des entreprises dans le monde vont investir dans la visibilité en temps réel d’ici 2023.”
- Les solutions Supply Chain de HERE font économiser du temps et de l’argent pour le suivi du fret multimodal en temps réel, la planification des tournées et l’optimisation des itinéraires des flottes.
Paris, le 10 mai 2022 – HERE Technologies, plateforme mondiale de données et de services de localisation, annonce aujourd’hui la conclusion d’un accord stratégique de cinq ans avec Amazon Web Services (AWS) afin d’aider les entreprises à améliorer la visibilité sur leur chaîne d’approvisionnement, en optimisant leurs opérations de transport et logistique (T&L), le calcul d’itinéraires de leur flotte et les heures d’arrivée estimées (ETA), du premier au dernier kilomètre de livraison.
Selon Gartner®, « la visibilité du transport en temps réel reste une priorité essentielle pour les expéditeurs, les fournisseurs 3PL et leurs clients[i]. » D’ici 2023, 50 % des grandes entreprises mondiales auront investi dans des solutions de visibilité du transport en temps réel. Un autre rapport Gartner indique que « de plus en plus, l’adoption de la visibilité de la chaîne d’approvisionnement est devenue un « must-have » pour toute organisation – quelle que soit sa taille, sa géographie ou son secteur d’activité »[ii].
Dans le cadre de cette collaboration, les solutions Supply Chain de HERE seront disponibles pour les entreprises T&L du monde entier sur AWS Marketplace, un catalogue numérique que les clients peuvent utiliser pour trouver, acheter, déployer et gérer des logiciels, des données et des services tiers afin de créer des solutions et de gérer leurs activités. En outre, HERE travaillera avec AWS pour mettre sur le marché des capacités avancées que les acteurs T&L pourront exploiter, telles que la gestion d’entrepôt, les calculs prédictifs d’ETA et les solutions de tracking d’émission de CO2.
Les solutions Supply Chain de HERE s’appuient sur un contenu cartographique de qualité professionnelle et des services de localisation avancés (API pour le calcul d’itinéraires en fonction du trafic, le géofencing, le géocodage et les SDK mobiles). Ces solutions connectent et agrègent les données de plusieurs parties prenantes dans l’écosystème du transport pour optimiser la planification et la prédiction d’événements, fournir une ETA prédictive et des analyses basées sur la localisation, offrant une meilleure visibilité, une aide à la prise de décision et un contrôle des flux logistiques en quasi temps-réel.
Les solutions Supply Chain de HERE incluent :
- HERE Asset Tracking offre une visibilité en temps réel sur la localisation et le statut d’un chargement. HERE s’appuie sur un modèle de plateforme en tant que service pour permettre aux entreprises de suivre leurs actifs de manière transparente, à l’intérieur des bâtiments comme à l’extérieur. Les entreprises peuvent réduire le temps et l’argent consacrés aux équipements manquants et se concentrer sur l’optimisation de l’utilisation et de l’efficacité des actifs.
- HERE Tour Planning crée des tournées optimisées en termes de coûts ou de temps pour tous les véhicules d’un parc, en tenant compte du type et de la capacité du véhicule, afin de maximiser son utilisation. Les calculs reflètent le trafic actuel et incluent les attributs spéciaux des poids-lourds, tels que les restrictions de route, de hauteur et de virage.
- HERE Last Mile est une application SaaS (Software-as-a-Service) pour la gestion des livraisons urbaines et du dernier kilomètre. Elle est dotée d’un tableau de bord de planification en ligne, d’une application mobile pour les chauffeurs et d’un suivi en temps réel pour des ETA plus précises. Les clients peuvent facilement l’intégrer à leurs systèmes existants de gestion des commandes et de gestion de la relation client ou l’utiliser de manière autonome.
« Avec un volume d’expéditions en constante augmentation, des processus de planification complexes et une pénurie de travailleurs qualifiés, les exigences en matière de planification de tournées ne cessent de croître dans le secteur du transport », explique Tobias Braun, chef de projet informatique chez Active Logistics. « En utilisant HERE Tour Planning, nous avons développé une application complète qui automatise entièrement le processus de planification du transport, avec des données précises sur le trafic, la priorisation des expéditions et le respect des créneaux de livraison. Cette solution permet aux clients de réduire le temps nécessaire à la planification des itinéraires de centaines de véhicules de plusieurs heures à quelques minutes seulement. »
AWS participe au développement des applications de localisation HERE afin d’accroître la visibilité des chaînes d’approvisionnement tout en relevant certains des plus grands défis en matière de T&L au niveau mondial. La feuille de route de développement inclut :
- Etendre la visibilité des actifs peu importe le mode de transport et y compris dans les entrepôts ;
- Permettre le suivi au-delà des conteneurs ou des palettes pour surveiller l’emplacement et le statut des expéditions ;
- Améliorer la précision des prévisions d’heures d’arrivée et de départ (ETA/ETD) pour tous les modes de transport grâce à l’IA/ML ;
- Fournir des services permettant de mesurer les émissions de CO2 des flottes conformément aux normes mondiales et de planifier des scénarios de transition vers des carburants et des systèmes de transmission alternatifs.
« L’intelligence géographique est au cœur de la visibilité de la chaîne d’approvisionnement. Nous savons désormais que des connaissances approfondies sur les dimensions » où » et » quand » des opérations apportent une valeur considérable, de l’optimisation de la logistique entrante et sortante à l’exécution des livraisons du dernier kilomètre « , a déclaré Edzard Overbeek, PDG de HERE Technologies. « Nous sommes fiers de collaborer avec AWS pour déployer des solutions permettant aux entreprises de gagner du temps et de l’argent, afin de minimiser les temps d’arrêt, de prévoir les ETA avec plus de précision à chaque étape, et de mesurer les émissions de CO2 des flottes, alors que la transition vers les véhicules EV s’accélère pour décarboner le transport. »
« Les entreprises de T&L du monde entier comptent sur la visibilité en temps réel pour améliorer la satisfaction clients et l’efficacité opérationnelle. Lorsque les expéditions n’arrivent pas à temps, ou n’arrivent pas du tout, quelqu’un est forcément impacté quelque-part », a déclaré Bill Vass, vice-président, AWS Engineering. » Les solutions Supply Chain de HERE intègrent les services AWS de gestion et d’agrégation de données afin que les données clients les plus pertinentes soient mises en relation avec les dernières informations de localisation et permettent de résoudre le problème de visibilité et de prévisibilité tout au long de la chaîne d’approvisionnement. »
Les solutions HERE s’adressent à l’ensemble de l’écosystème d’expéditeurs, 3PL, 4PL, transitaires et transporteurs routiers. Des centaines d’entreprises des secteurs du transport, de la logistique et de la mobilité utilisent les données de localisation, les logiciels et la technologie de HERE pour alimenter des applications permettant d’économiser du carburant, du temps et des coûts.
En intégrant la chaîne d’approvisionnement et en la combinant avec des données et des services de localisation de qualité professionnelle, HERE fournit des informations précieuses aux opérateurs de la supply chain pour mieux optimiser leurs flux tout au long du processus, de l’usine à l’intérieur de l’entrepôt et à l’extérieur sur le chantier, jusqu’à la livraison du dernier kilomètre. Grâce à l’analyse des données, les algorithmes d’apprentissage automatique de HERE peuvent prédire les perturbations éventuelles, identifier les modèles et prescrire des stratégies pour améliorer les performances logistiques globales de la chaîne d’approvisionnement.
Contact Presse : AxiCom
Eliot Montier
À propos de HERE Technologies
HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
GARTNER and MAGIC QUADRANT are registered trademarks and service marks of Gartner, Inc. and/or its affiliates in the U.S. and internationally and is used herein with permission. All rights reserved
[i] Magic Quadrant™ for Real-Time Transportation Visibility Platforms, Bart De Muynck, Carly West, Oct 19, 2021.
[ii] Smart Insights for the Real-Time Transportation Visibility Platforms Market, Carly West, Bart De Muynck, April 29, 2021.
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16:27
L’IGN vigie du territoire à l’ère de l’anthropocène, mieux comprendre la dynamique de la Terre avec le nouveau repère international de référence terrestre !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueQuelle est la vitesse actuelle de la montée du niveau de la mer dans les différentes régions du globe ? Comment notre Terre se déforme-t-elle sous l’effet de la dérive des continents, des phénomènes sismiques, ou de la fonte des calottes glaciaires ? Quel est le mouvement du centre des masses de la Terre ? Comment déterminer la position d’un point à la surface d’une Terre en constante déformation et la comparer à une position estimée à des décennies d’intervalle ? Alors que la Terre est entrée dans l’ère de l’anthropocène, les réponses à ces questions fondamentales pour la compréhension de la dynamique de notre planète rendent plus que jamais nécessaire la mise à jour du repère international de référence terrestre (ITRF, International Terrestrial Reference Frame) confiée à l’IGN, et dont l’estimation 2020 est aujourd’hui publiée sur > [https:]]
Les nombreuses applications de l’ITRF
Les enjeux de l’ITRF (mis à jour tous les 5 ans en moyenne) dans les applications en sciences de la Terre sont considérables. C’est la référence pour le positionnement sur laquelle s’appuie la détermination des orbites précises des satellites qui observent notre planète ; c’est un socle indispensable pour les scientifiques, astronomes, géophysiciens, climatologues du monde entier qui étudient ses déformations et ses mouvements. C’est enfin pour tous les passionnés de géodésie ou de l’évolution de notre planète, une source incontournable d’informations.
La nouvelle estimation du référentiel mondial, l’ITRF2020 (International Terrestrial Reference Frame) publiée par l’IGN, s’appuie sur les observations de géodésie spatiale effectuées jusqu’au 31 décembre 2020. Cette version de l’ITRF apporte des améliorations significatives par rapport aux précédentes réalisations : elle confirme l’estimation de la position du centre des masses de la Terre telle qu’elle avait été déterminée en 2016, mais fournit aussi ses variations saisonnières ; elle améliore l’exactitude de l’échelle du repère au niveau du millimètre, ce qui représente un gain de précision d’un facteur 8 sur la mesure de la taille de la Terre ; elle apporte une quantification précise des déplacements co- et post-sismiques provoqués par, entre autres, les séismes dévastateurs, tels que celui du Chili en 2010 où l’Observatoire de Conception avait relevé un déplacement co-sismique de la ville de plus de 3 mètres, et du Japon en 2011 où l’Observatoire de Tsukuba avait mis en évidence un déplacement co-sismique de la ville d’une cinquantaine de centimètres.
Comme le déclare Zuheir Altamimi, directeur de recherche à l’IGN et l’IPGP et responsable, avec son équipe de cinq chercheurs, du centre du système international de référence terrestre de l’IERS : « Grâce aux résultats de l’ITRF2020, on peut aujourd’hui déterminer avec une précision de quelques millimètres, non seulement le déplacement co-sismique, mais aussi la trajectoire pendant la période post-sismique – dite de relaxation – d’un point qui a subi un tremblement de Terre majeur. Enfin, la détermination de l’ITRF2020 permet d’améliorer l’étude de son exactitude : on peut, par exemple, non seulement s’appuyer sur le référentiel mondial pour mesurer la montée du niveau des mers, indicateur majeur du changement climatique, mais également quantifier la confiance que l’on peut avoir dans la mesure ».
Focus ITRF : En 1988, l’Union astronomique internationale et l’Union géodésique et géophysique internationale créent le service international de la rotation de la Terre et des systèmes de référence (IERS, International Earth Rotation and Reférence System Service, http://www.iers.org). Ce service confie à l’IGN, sous la direction actuelle de Zuheir Altamimi, la mission de produire une référence géodésique à l’échelle de la planète : le repère international de référence terrestre (ITRF, International Terrestrial Reference Frame) qui compile les coordonnées et les vitesses moyennes de plus de 1000 instruments de géodésie spatiale – antennes GNSS, balises DORIS, téléscopes LASER et antennes VLBI (Very Long Baseline Inteferometry ; Interférométrie à très longue base).
L’ITRF2020 est en ligne sur > [https:]]
À propos de l’IGN
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est un établissement public placé sous la tutelle des ministères chargés de l’écologie et de la forêt. Sa vocation est de produire et diffuser des données (open data) et des représentations (cartes en ligne et papier, géovisualisation) de référence relatives à la connaissance du territoire national et des forêts françaises ainsi que de leur évolution. À travers son école d’ingénieur, ENSG-Géomatique, et à ses équipes de recherche, l’institut cultive un potentiel d’innovation de haut niveau dans de multiples domaines (géodésie, forêt, photogrammétrie, intelligence artificielle, analyse spatiale, visualisation 3D, etc.).
En savoir plus : [https:]
Contacts Presse
Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
Nous suivre sur >> ign.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse –
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8:30
Nomadia ouvre une filiale à Milan, renforçant son offre de solutions de mobilité intelligente aux entreprises italiennes
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’éditeur français poursuit son expansion internationale en ouvrant une filiale à Milan, dirigée par Cyril Magnani. Les solutions SaaS de l’entreprise sont destinées aux professionnels nomades : commerciaux, techniciens et chauffeurs-livreurs.
Le Naviglio Grande de Milan (W?ochy)
Paris, le 27 avril 2022 : Nomadia, 1er éditeur français de solutions SaaS de mobilité intelligente à destination des professionnels itinérants, annonce l’ouverture de sa filiale Nomadia Italia à Milan. L’installation de l’entreprise en Italie lui permet d’accélérer son développement commercial et de renforcer la proximité avec ses clients italiens.
La direction de Nomadia Italia est confiée à Cyril Magnani, classe 1970. Ce dernier rapportera directement à Fabien Breget, PDG du groupe. Après une carrière de 25 ans chez ADP dans des rôles à responsabilité croissante, notamment au poste de Directeur de la BU et du Customer Service Beyond Payroll, Cyril Magnani a été ensuite en charge du Business Development chez SkyLab Italia (groupe TeamSystem) entre 2017 et 2022.
Opérant sur un marché en croissance de 15% par an qui devrait dépasser 30 milliards d’euros en 2026, Nomadia répond au besoin grandissant des entreprises de gérer en temps réel les activités de leurs équipes sur le terrain. Ces professionnels, qui consacrent en moyenne 30% de leur temps de travail aux déplacements, ont tout intérêt à optimiser la gestion de leurs interventions pour gagner en efficacité opérationnelle et améliorer la satisfaction client. Depuis le début de la pandémie, ce besoin est devenu encore plus pressant, tant pour mieux gérer une organisation de travail hybride, que pour accéder aux données dont l’entreprise a besoin, partout et à tout moment.
Les solutions SaaS de Nomadia ont été conçues pour simplifier et optimiser les activités des commerciaux, des techniciens de maintenance et des chauffeurs-livreurs. Ces outils couvrent l’ensemble des besoins quotidiens de professionnels itinérants : applications mobiles métiers, optimisation des tournées, Field Service Management, CRM SFA, géomarketing… Nomadia fournit également à ses clients PME et grands comptes un accompagnement sur-mesure, du data conseil au déploiement de terminaux mobiles.
Grâce à ses solutions innovantes embarquant de l’intelligence artificielle, l’entreprise a été saluée par le Gartner en 2021 pour la quatrième fois consécutive dans son « Magic Quadrant Field Service Management », et pour la cinquième fois consécutive dans son « Market Guide for Vehicle Routing and Scheduling and Last-Mile Technologies ».
Des gains opérationnels et un atout pour la RSE
Grâce à des algorithmes d’optimisation avancés, les solutions de Nomadia aident les entreprises à relever leurs principaux défis en matière de performance opérationnelle et de rentabilité avec une promesse de gain de productivité de l’ordre de 20% à 30%.
En outre, les solutions de Nomadia permettent de répondre à l’attention croissante que portent les entreprises à leur empreinte environnementale (avec une diminution des émissions de CO2 jusqu’à 30% pour les utilisateurs des solutions d’optimisation de tournées) et au bien-être des salariés (les outils d’optimisation de plannings permettant de prendre en compte les contraintes des salariés dans la répartition des missions).
Fabien Breget, PDG du groupe Nomadia, affirme : « Je suis très heureux et fier d’ouvrir la filiale italienne de Nomadia afin d’apporter de nouvelles solutions innovantes pour aider les entreprises italiennes à gérer leurs activités sur le terrain. Face à la hausse constante du prix du carburant, nos solutions d’optimisation de tournées sont d’une grande utilité pour les entreprises, qui peuvent ainsi réduire leurs coûts jusqu’à 20 % et augmenter la productivité de leurs équipes jusqu’à 15 %. »
Une référence de confiance dans de nombreux secteurs d’activité
De nombreuses entreprises italiennes font déjà confiance à Nomadia. Parmi celles-ci figurent WBA Group, société holding d’investissement située à Lecco ; CMC Company, distributeur de produits pour les professionnels du Piemont et de la Vallée d’Aoste ; et Taccolini, producteur et distributeur de boissons basé dans la province de Bergame.
A travers le monde, ce sont 1500 clients qui font appel au groupe Nomadia, dans divers secteurs dont la logistique (Colis Privé, Cdiscount), l’énergie et les services publics (Engie, GRDF, Dalkia, Suez, Veolia), la santé (Johnson&Johnson, Pfizer), l’industrie (Otis, Renault), et tous les autres domaines impliquant des professionnels itinérants, de la PME à la grande entreprise.
Des ambitions de croissance à l’international
Il s’agit de la cinquième filiale de l’éditeur à l’international, après la Suisse, les Etats-Unis, l’Inde et la Chine. Dans d’autres régions dont la Grande-Bretagne, le Mexique, le Brésil ou encore le Japon, l’entreprise opère par le biais de partenaires stratégiques.
« L’ouverture de Nomadia Italia nous rapproche encore plus de nos clients en Italie et nous permet de les accompagner tant dans la phase de mise en œuvre des solutions que dans le suivi quotidien. Je suis ravi de rejoindre un leader du secteur en pleine expansion de la mobilité intelligente en Europe », déclare Cyril Magnani, directeur Nomadia Italia.
Nomadia Italia participe au salon Transpotec Logitec 2022 à Milan, du 12 au 15 mai prochains (Pad. 24P – Stand E11)
A propos de Nomadia
Nomadia est le 1er éditeur français de solutions SaaS de mobilité intelligente (smart mobility) à destination des professionnels nomades : commerciaux itinérants, techniciens de maintenance et chauffeurs-livreurs.
Créée en 2021, Nomadia réunit trois acteurs français aux savoir-faire complémentaires?et leaders sur leurs segments de marché depuis près de 30 ans : [https:] ">GEOCONCEPT (optimisation des tournées et des plannings, Field Service Management, SIG et géomarketing), [https:] ">Danem (applications mobiles pour les commerciaux, chauffeurs livreurs et techniciens de maintenance) et [https:] ">B&B Market (CRM SFA, conseil & data pour la grande consommation et la distribution). Avec 165.000 utilisateurs et 1500 clients, Nomadia a aujourd’hui une couverture internationale dans 27 pays.
Avec un tiers des effectifs à la R&D, son innovation technologique, qui intègre entre autres de l’intelligence artificielle et de l’IoT, lui permet d’intégrer le classement Truffle 100 et le top 100 des éditeurs français du Syntec Numérique.
La société est implantée en France (son siège social est à Paris), et dispose de bureaux aux États-Unis, en Chine, en Inde, en Suisse et en Italie.
Contacts presse : AxiCom France
Céline Rousseau et Félix Grand – rpnomadia@axicom.com
Contact marketing : Nomadia
Laura L’Hoiry – laura.lhoiry@nomadia-group.com
Contact : Nomadia Italia
Via Massena 12/7 – 20145 Milano
Cyril Magnani – +39 02 0070 6955 (fixe) et +39 340 263 4578 (portable)
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8:21
La Fing met fin à son aventure
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 27 avril 2022 – La Fing (Association pour la Fondation d’un Internet Nouvelle Génération) créée en 2000 comme “un projet de R&D collectif, d’une durée de vie limitée à 5 ans, centré sur les services, les applications et les usages de l’Internet nouvelle génération”, a su pendant 22 ans jouer un rôle essentiel dans la prise de conscience publique des enjeux sociétaux et transformatifs du numérique. Particulièrement fragilisée par la période de la pandémie, le conseil d’administration réuni le 21 avril 2022 a décidé de la mettre en cessation d’activité auprès du Tribunal Judiciaire de Paris. Durant cette période de transition, l’association mettra tout en œuvre pour transmettre aux collectifs qui l’ont accompagnée pendant ces longues années l’important patrimoine constitué au fil du temps.
Depuis 22 ans, le rôle d’animateur de communautés et de fédération des expertises de la Fing, a permis de coproduire des « communs » en licence libre pour tous ses travaux, contribuant ainsi à la naissance de plusieurs associations, organisations, projets d’innovations, et actions de recherche.
Les expéditions prospectives et leurs scénarios extrêmes, les articles des journalistes et des invités d‘internetactu, les cycles exploratoires Questions Numériques, les projets de recherche, les programmes d’action, les formats d’animation et le vivier d’envies et d’idées qui en sont issus constituent 22 ans de productions dont il faut prendre soin : la Fing cherchera les modalités collectives de leur partage, et dans l’immédiat, travaille à un archivage pérenne de ces productions.
» L’aventure exceptionnelle de la Fing s’achève. L’association peut être fière de l’ensemble de ses réalisations portant des enjeux d’intérêt général, éthiques, sociaux, démocratiques et environnementaux du numérique auprès de l’ensemble des décideurs et du grand public. » déclare Bruno Louis Séguin, délégué général.
“ La décision d’arrêt d’activité prise par le Conseil d’Administration, difficile et courageuse, doit être saluée pour le sens des responsabilités qu’elle manifeste. Je suis persuadée que ses productions seront reprises et valorisées dans un contexte où le développement exponentiel des usages du numérique interroge notre capacité collective à en maîtriser les finalités et l’empreinte environnementale ” déclare Laurence Monnoyer-Smith, présidente de la Fing.
À propos de la FingLa Fing est un think tank associatif qui travaille sur les changements de société liés aux transformations du numérique. Créée en 2000 par Daniel Kaplan, et Jacques-François Marchandise dans un contexte où les questions numériques étaient émergentes, elle a constitué un important corpus de travaux intellectuels, prospectifs, expérimentaux et permis la naissance et le développement de nombreux projets d’innovation, de recherche et d’action collective ou publique.
Sa présidente, Laurence Monnoyer-Smith, a été élue en 2021, et Bruno Louis Séguin est son délégué général depuis janvier 2022.
En savoir plus sur la Fing : fing.org/a-propos.html
Contact : info@fing.org | fing.org
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12:13
Satellite météo MetOp-SG-B: ciel dégagé pour le diffusiomètre
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDiffusiomètres: primordiaux pour observer le changement climatique Un satellite météorologique de nouvelle génération pour améliorer les prévisions régionales et mondialesMadrid, le 6 avril 2022 – Le modèle de vol du sous-système d’antenne du diffusiomètre (SAS) des satellites météorologiques MetOp de deuxième génération a été officiellement livré après quatre mois de tests approfondis dans les installations d’Airbus à Madrid. Il va maintenant être transféré à Airbus à Friedrichshafen (Allemagne) où il sera intégré au satellite avec les autres instruments.
Le prototype de vol SAS a été soumis à une longue campagne d’essais au cours de laquelle il a été confronté aux conditions extrêmes qu’il rencontrera lors du lancement et du fonctionnement en orbite. Ces tests comprenaient: le déploiement de l’antenne, le cyclage thermique, les vibrations mécaniques et l’environnement acoustique.
« Il s’agit pour nous d’une étape très importante car il s’agit d’un système à trois antennes avec un déploiement en orbite très complexe », a déclaré Luis Guerra, président d’Airbus Space Systems en Espagne. « Les satellites météorologiques MetOp-SG SAT-B s’appuieront sur deux instruments clés avec une contribution majeure d’Airbus en Espagne pour mener à bien leur mission: le diffusiomètre (SCA) avec le sous-système d’antenne (SAS) et l’imageur de nuages de glace (ICI). »
Le SCA avec son sous-système principal SAS est l’un des cinq instruments embarqués à bord de MetOp-SG SAT-B et offrira une résolution deux fois supérieure à celle des satellites MetOp de première génération. Il mesurera la vitesse et la direction du vent à la surface de l’océan, afin de contribuer à la surveillance de phénomènes à grande échelle tels que les vents océaniques et les calottes glaciaires continentales, et vérifiera l’humidité du sol à la surface de la terre – un facteur clé des flux d’eau et de chaleur entre le sol et l’atmosphère. Il devrait couvrir 99 % de la surface de la Terre en l’espace de deux jours avec une résolution de 25 kilomètres.
Les données fournies par les diffusiomètres sont utilisées depuis plus de 30 ans, depuis ERS-1 et 2, pour la prévision du temps et des vagues. Plus récemment, avec les satellites MetOp, elles ont été utilisées pour étudier des phénomènes météorologiques inhabituels comme El Niño, les effets à long terme de la déforestation et les changements dans les masses de glace de mer autour des pôles. Tous ces éléments jouent un rôle central dans la surveillance du changement climatique.
La série de satellites MetOp-SG SAT-B se concentre sur l’utilisation de capteurs micro-ondes qui fourniront:
- des sondages améliorés de la température et de l’humidité par infrarouge, micro-ondes et radio-occultation
- des vecteurs de mouvement de l’atmosphère polaire extraits d’images optiques
- de nouvelles mesures des précipitations et des nuages à partir d’images dans les spectres optique, submillimétrique et micro-ondes
- et des mesures haute résolution du vecteur vent à la surface de l’océan et de l’humidité du sol extraites d’observations par diffusiomètre.
Ces données contribueront à améliorer la prévision numérique du temps – l’épine dorsale de nos bulletins météo quotidiens – à l’échelle régionale et mondiale.
Le premier lancement de la mission MetOp-SG est prévu pour 2024 après l’achèvement de l’intégration et des tests au niveau du satellite. La durée de vie opérationnelle nominale de chacun des trois satellites MetOp-SG est de 7,5 ans, ce qui garantit une couverture opérationnelle complète sur une période de 21 ans.
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9:41
Actualisation du Livre Blanc « La gouvernance des données géographiques »
sur Décryptagéo, l'information géographiqueFace à l’évolution constante du monde du SIG (déploiement de la directive INSPIRE, affirmation de l’open data, développement du BIM et du catalogage global de données…), Mathieu Becker (Isogeo) et Hervé Halbout (Halbout Consultants) se sont lancés dans l’actualisation de leur livre blanc sur la gouvernance des données géographiques, initialement publié en 2016.
La « gouvernance » des données géographiques et ses enjeuxCette nouvelle édition a pour objectif d’établir un tour d’horizon sur la gouvernance des données géographiques en France, et met l’accent sur les retours d’expérience de différents professionnels manipulant de l’information géographique. Elle est en effet alimentée par une vingtaine d’entretiens avec des géomaticiens et des grands témoins, retranscrits dans l’annexe du livre blanc, également disponible en téléchargement gratuit sur le site Web de la société Isogeo ( [https:]] ).
Dans cette nouvelle édition, la gouvernance des données géographiques est définie comme : « une procédure (méthodes, règles, structures) qui établit et clarifie les rôles et responsabilités (production, mise à jour, diffusion) de chacun des acteurs (publics, privés, individuels), par rapport au patrimoine global de données géographiques sur un territoire d’action donné ».
- Quels sont les nouveaux enjeux de la gouvernance des données géographiques ?
- Comment peut-on la mettre en place ?
- Quels bénéfices peut-on en retirer dans le cadre d’un projet SIG, d’une IDG ou encore d’un projet d’open data ?
- À quels défis les géomaticiens seront-ils confrontés dans les années à venir ?
Abordées dans ce livre blanc, ces questions orientent la réflexion des deux auteurs vers des notions émergentes dans le monde de la géomatique, comme la qualité des données, l’écologie, l’éthique et la place des données géographiques dans les projets de catalogage global.
- Téléchargez gratuitement le livre blanc et son annexe ( [https:]] ) !
Depuis plus de 10 ans, la société Isogeo propose une solution éponyme de catalogage de données géographiques permettant aux organismes publics et privés de gérer et de valoriser efficacement leur patrimoine SIG.
La solution de catalogage Isogeo comprend :
- Une plateforme Web centralisant toutes vos métadonnées dans un inventaire unique et exhaustif.
- Des modules intégrables à la plateforme pour partager vos catalogues en interne, les publier en ligne et sur les plateformes INSPIRE et open data…
- Des applications tierces pour valoriser vos données, consulter vos fiches directement dans vos outils métiers (QGIS, ArcGIS Pro, Web AppBuilder)…
- Un accompagnement sur mesure comprenant un audit de votre SIG et des formations personnalisées.
HALBOUT Consultants a développé, depuis plus de 25 ans, une grande expérience et une véritable expertise dans les domaines des SIG, de la 3D et aujourd’hui du BIM : conseiller sur les aspects stratégiques et techniques de l’information géographique, accompagner le changement, faire de la veille technologique, réaliser des prestations techniques (cahier des charges, appels d’offre), rédiger des articles, informer/former aux usages de l’information géographique, de l’open data et aux technologies innovantes connexes.
La société ne vend ni progiciel, ni solution SIG, pas plus que des données géographiques, garantissant ainsi sa neutralité vis-à-vis des intégrateurs, éditeurs et autres producteurs de données. Cette indépendance lui permet de proposer, à chaque étape d’un projet, une réponse objective en adéquation avec les besoins de ses clients.
Contact presse :
Mathieu Becker Isogeo ( [www.isogeo.com] )
Président – Fondateur Isogeo Mail : contact@isogeo.fr
Mail : mathieu.becker@isogeo.fr Téléphone : 09 67 46 50 06
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12:40
Chaque sapeur-pompier français dispose maintenant de la technologie what3words avec Geoloc 18-112 pour sauver des vies
sur Décryptagéo, l'information géographique- what3words a quadrillé la planète de carrés de3 m x 3 m. À chaque carré a été attribué trois mots aléatoires du dictionnaire, donnant ainsi une adresse de 3 mots. Par exemple, ///visant.longueur.bassin vous mènera à l’entrée principale du jardin du Luxembourg, côté ouest.
- Grâce à what3words, les personnes en danger, nécessitant d’être secourues, peuvent désormais communiquer facilement et rapidement une localisation précise aux opérateurs des services d’urgence, réduisant ainsi leur temps de réponse en cas d’incident.
- Geoloc18-112, outil français d’aide à la localisation des appels d’urgence, intègre désormais what3words, rendant ainsi cette technologie accessible à tous les sapeurs-pompiers de l’Hexagone.
PARIS, 4 avril 2022 — Geoloc 18-112 devient aujourd’hui le premier dispositif français d’aide à la localisation des appels d’urgence à adopter la technologie d’adressage universel what3words. Tous les sapeurs-pompiers du territoire ont ainsi accès à cet outil qui contribue à sauver des vies : what3words s’intègre automatiquement dans le système, rendant cette technologie innovante immédiatement disponible pour tous les services. Outre les pompiers français, d’autres centres de réception des appels d’urgence ont désormais également accès à what3words, comme les CROSS métropolitains et ultra marins pour le sauvetage en mer (196) , le CNR114 pour les sourds et malentendants (114), et l’ARCC de Lyon Mont-Verdun pour le sauvetage aérien (191).
À chaque carré a été attribué trois mots aléatoires du dictionnaire, donnant ainsi une adresse de 3 mots. Par exemple, visant.longueur.bassin vous mènera à l’entrée principale du jardin du Luxembourg, côté ouest. Lorsqu’une personne appelle le 112 et communique son adresse de 3 mots à l’opérateur, celui-ci peut automatiquement le convertir en une adresse géographique et partager la position avec l’équipe de secours concernée pour qu’elle repère exactement l’endroit de l’intervention.
Téléchargeable gratuitement sur iOS et Android, l’application what3words fonctionne hors connexion. Elle est donc idéale dans les zones où la couverture des données mobiles n’est pas fiable : les plages, les parcs nationaux et les lieux de bivouac, par exemple. La carte en ligne est également disponible sur le site what3words.com. Disponible dans plus de 50 langues, dont le français, cette technologie peut être utilisée partout dans le monde. Si la personne à secourir n’a pas installé l’application what3words, le système de gestion des appels d’urgence identifie son adresse de 3 mots à partir de son téléphone mobile. Cette technologie offre aux opérateurs et aux intervenants un précieux gain de temps et de ressources en cas d’urgence, permettant parfois de sauver des vies.
La technologie innovante what3words est adoptée par les salles de contrôle des centres de gestion des appels d’urgence dans le monde entier : Afrique du Sud, Allemagne, Australie, Autriche, Belgique, Canada, États-Unis, Inde, Royaume-Uni et Singapour. Déjà utilisée par 85 % des services d’urgence (policiers, pompiers et ambulanciers) du Royaume-Uni, l’application what3words est décrite comme « un outil fiable à inclure dans le kit d’urgence ».[1]
Cette technologie est utilisée dans le monde entier, pour tous types d’intervention : des incendies au sauvetage d’animaux de compagnie, en passant par la localisation ultra-précise de personnes égarées dans des zones reculées. Au Royaume-Uni, un jeune a appelé une ambulance depuis la bande d’arrêt d’urgence de l’autoroute pendant que son père était victime d’un arrêt cardiaque dans la voiture. Une fois l’adresse what3words communiquée, quelques minutes ont suffi à l’ambulancier pour arriver sur les lieux, et l’homme a pu être sauvé. Dans le Tennessee, la technologie what3words a permis à des pompiers de retrouver des adolescentes perdues dans un parc. En Bavière, une salle de contrôle a pu secourir une victime qui s’était fracturé la cheville en tombant de son VTT sur un sentier menant au Spitzberg, dans la forêt de Franconie. Sur un autre continent, en Inde, cette technologie a permis aux services d’urgence de sauver une victime coincée entre un camion et un car sur l’autoroute entre Sinnar et Ghoti.
« GEOLOC18-112 est un outil mis à disposition gracieusement des centres de réception des appels d’urgence français, utilisé plusieurs centaines de fois par jour et ayant déjà contribué de nombreuses fois à sauver des vies ! Basé initialement sur l’envoi d’un SMS permettant de récupérer les coordonnées GPS du smartphone de l’appelant, il est aujourd’hui capable de récupérer les données de localisation AML envoyées automatiquement par les smartphones lors de l’émission d’un appel d’urgence. L’intégration de W3W permettra désormais aux opérateurs de traitement des appels d’urgence de traiter directement les localisations transmises à un format d’adresse de 3 mots mais également de partager simplement aux équipes du terrain la localisation précise des interventions par le biais de cette nouvelle technologie », ajoute le Capitaine Martin DEROIDE, officier de sapeur-pompier professionnel du SDIS56, co-développeur de l’outil GEOLOC18-112.
« what3words est un outil précieux, à la fois pour les services d’urgence et pour les utilisateurs individuels. Cette technologie étant désormais déployée par Geoloc 18-112, les sapeurs-pompiers savent repérer exactement le lieu d’une urgence, partout en France. Nous avons pu constater l’avantage que représente what3words pour des services d’urgence dans le monde entier. Nous sommes ravis d’en faire profiter les sapeurs-pompiers français », ajoute Chris Sheldrick, co-fondateur et directeur général de what3words.
L’application n’est pas utile uniquement en cas d’urgence. Elle permet chaque jour aux utilisateurs de se retrouver entre amis au parc ou à la plage, d’échanger de magnifiques sites de running ou de randonnée, de communiquer avec leur équipe le lieu du match qu’ils doivent disputer… La technologie what3words est également intégrée dans le système de navigation par satellite de certains véhicules Mercedes-Benz et Mitsubishi, permettant au conducteur de saisir n’importe quelle destination simplement à l’aide de trois mots. Des entreprises comme Premier Inn et Lonely Planet s’en servent pour aider les voyageurs à repérer l’entrée de leur hôtel ou un restaurant difficile à trouver. Des services logistiques comme DPD et Evri l’utilisent pour livrer les colis au bon endroit.
Téléchargez gratuitement l’application what3words pour iOS et Android ou connectez-vous à what3words depuis votre navigateur pour vérifier votre adresse avec précision, y compris hors ligne.
Contact presse :
Lucie Arnaud
À propos de what3words
Co-fondée en 2013, à Londres, par Chris Sheldrick, what3words offre le moyen le plus simple de désigner un emplacement. Couvrant la totalité du globe, le système ne nécessite aucune actualisation et fonctionne hors connexion. Une adresse what3words est un moyen adapté à l’humain de partager avec d’autres personnes des localisations très précises, ou encore de les inclure sur des plateformes et des machines, comme des applications de covoiturage ou de paiement d’achats en ligne. Le système est optimisé pour la saisie vocale et intègre l’identification et la correction instantanée des erreurs de saisie.
Grâce à l’application what3words gratuite, disponible pour iOS et Android, et à la carte en ligne, les utilisateurs peuvent trouver, partager et parcourir les adresses de 3 mots dans 50 langues aujourd’hui. Des millions d’adresses de 3 mots sont utilisées partout à travers le monde. Des milliers d’entreprises s’en servent pour faire des économies, gagner en efficacité et offrir une meilleure expérience client. Quelques lignes de code suffisent pour intégrer what3words dans les applications, les plateformes et les sites web. Les ONG éligibles peuvent se procurer les produits gratuitement ou à un prix symbolique. what3words a conclu des partenariats avec Mercedes-Benz, Triumph Motorcycles, Premier Inn, l’Automobile Association et de nombreux services d’urgence dans le monde entier.
L’équipe what3words compte plus de 100 collaborateurs répartis dans des bureaux au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Allemagne, en Inde et en Mongolie. L’entreprise a levé près de 119 millions € en capital auprès d’investisseurs comme Intel, Aramex, Deutsche Bahn, Subaru et Sony Innovation Fund.
À propos de Geoloc18-112
Développé fin 2015 par les SDIS du Morbihan et du Var, Geoloc18-112 est désormais utilisé par la plupart des centres de réception des appels d’urgence 18 et 112 français ainsi que de nombreux autres centres partenaires (15, 17, 114, 191, 196). Ayant participé au déploiement de l’AML en France en 2019 , les équipes de Geoloc18–112 ont par la suite développé de nouvelles fonctionnalités comme la communication vidéo, la transmission de photos et de vidéos et même une solution de secours pour la réception des appels d’urgence.
Aujourd’hui, l’intégration des fonctionnalités de What3Words au sein de GEOLOC18-112 apporte une vraie plus value aux fonctionnalités existantes de l’outil tout en offrant une possibilité supplémentaire aux victimes de communiquer très simplement leur localisation précise aux secours.
[1] * Enseignements tirés d’une enquête auprès de 19 salles de contrôle de centres de gestion des appels d’urgence au Royaume-Uni, menée du 16 juin au 19 juillet 2021.
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12:33
Optimisation de tournées : Nomadia dévoile TourSolver Spring 2022
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa dernière version de TourSolver Spring 2022 se dote de nouvelles fonctionnalités visant à faciliter le pilotage et l’analyse de la logistique verte notamment grâce à ses tableaux de bords thématiques et son évaluation plus précise des émissions de CO2.Paris, le 4 avril 2022 – Nomadia, leader des technologies de mobilité intelligente pour les professionnels itinérants, dévoile la version Spring 2022 de TourSolver, sa solution SaaS d’optimisation de tournées.
TourSolver est une solution conçue pour permettre aux spécialistes de la logistique et de la planification ainsi qu’aux équipes de terrain de concevoir et d’exécuter facilement des plans de tournées optimaux, pour des visites, des interventions techniques, des livraisons et des collectes. L’outil 100% cloud s’adresse donc aux entreprises ou organisations gérant les déplacements d’une flotte constituée de ressources mobiles.
Grâce à ses puissants algorithmes d’optimisation, à son interface intuitive et à la prise en compte des spécificités et des complexités de chaque métier, TourSolver augmente la performance opérationnelle de toutes les équipes. Les fonctions de suivi en temps réel permettent de valider la qualité des tournées et de gérer les aléas qui peuvent se présenter tout en conservant une organisation optimale.
La toute dernière version de TourSolver est repensée pour accompagner les entreprises sur deux axes : une performance améliorée ainsi qu’un accompagnement vers une stratégie plus verte. Voici plusieurs nouveautés qui vont permettre cet accompagnement :
- L’évaluation plus précise des émissions de CO2
TourSolver Spring 2022 prend en compte de nouveaux profils de carburant qu’ils soient hybrides, électriques, bioéthanol, gpl, sans plomb ou diesel. La solution permet donc de gérer des flottes de véhicules hétérogènes. La consommation de carburant et les gains en termes d’émissions de CO2 sont ainsi évalués beaucoup plus précisément.
- L’analyse en temps réel de l’activité et des performances
Le suivi et l’analyse des performances est l’une des préoccupations majeures des managers logistiques. Pour les aider à monitorer et piloter en temps réel leur activité, de nombreux tableaux de bord sont désormais disponibles dans TourSolver. Pré-paramétrés et organisés sous forme de thématiques (réalisations, visites, déplacements, consommation…), ces tableaux de bord permettent d’analyser en temps réel les principaux indicateurs de performance de l’organisation et de suivre leur évolution dans le temps. Par exemple, les managers peuvent suivre le nombre de livraisons réalisées à l’heure ou en retard, la durée totale des livraisons ou des déplacements, ou encore la distance parcourue. Ils peuvent également suivre les émissions CO2, la consommation de carburant et la consommation électrique.
- L’optimisation de la replanification des livraisons par le client final
Lorsqu’un client annule une livraison depuis le portail dédié, le nouveau créneau sélectionné est intégré de manière optimale au sein des tournées existantes afin de maximiser la productivité des équipes et garantir la pertinence des tournées réalisées.
- La consultation facilitée de documents sur le terrain depuis l’application mobile
Afin de faciliter la réalisation des livraisons, il est désormais possible d’intégrer des documents aux fiches de mission consultables directement depuis l’application mobile. Ces documents (bon de livraison, garantie, notice, devis…) peuvent être importés en masse par le planificateur au sein d’une bibliothèque de documents intégrée à TourSolver, ou ajoutés par simple glisser-déposer dans la fiche d’un client. S’il s’agit d’images ou de photos, elles s’affichent directement à l’ouverture de la fiche de mission par le livreur sur le terrain. Les autres fichiers sont listés par type (pdf, tableur, texte…) et l’utilisateur choisit de les afficher et/ou de les télécharger sur son appareil mobile.
L’application mobile, véritable assistant du livreur sur le terrain, bénéficie également de nombreuses améliorations dans cette nouvelle version : ajout d’une ligne de temps au sein de l’agenda, meilleur confort de travail visuel, améliorations diverses pour aider le livreur à gagner du temps… Elle est disponible pour toutes les ressources mobiles sur le terrain, sans coût supplémentaire : sur Google Play et sur l’App Store.
A propos de Nomadia
Nomadia est le 1er éditeur français de solutions SaaS de mobilité intelligente (smart mobility) à destination des professionnels nomades : commerciaux itinérants, techniciens de maintenance et chauffeurs-livreurs.
Créée en 2021, Nomadia réunit trois acteurs français aux savoir-faire complémentaires?et leaders sur leurs segments de marché depuis près de 30 ans : [https:] ">GEOCONCEPT (optimisation des tournées et des plannings, Field Service Management, SIG et géomarketing), [https:] ">Danem (applications mobiles pour les commerciaux, chauffeurs livreurs et techniciens de maintenance) et [https:] ">B&B Market (CRM SFA, conseil & data pour la grande consommation et la distribution). Avec 165.000 utilisateurs et 1500 clients, Nomadia a aujourd’hui une couverture internationale dans 27 pays.
Avec un tiers des effectifs à la R&D, son innovation technologique, qui intègre entre autres de l’intelligence artificielle et de l’IoT, lui permet d’intégrer le classement Truffle 100 et le top 100 des éditeurs français du Syntec Numérique.
La société est implantée en France (son siège social est à Paris), et dispose de bureaux aux États-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller et Félix Grand – rpnomadia@axicom.com
Contact marketing : Nomadia
Laura L’Hoiry – laura.lhoiry@nomadia-group.com
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12:25
BIM/GEM : CARL Berger Levrault propose BL.Viz, un nouveau Viewer 3D qui intègre la plateforme du jumeau numérique
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEditeur leader européen en gestion d’exploitation, de maintenance (GEM), CARL Berger- Levrault enrichit son jumeau numérique à destination des acteurs de la maintenance et de l’exploitation avec le nouveau Viewer multi échelles BL.VIZ.CARL berger levrautl lance une plateforme numérique complète de gestion des équipements et du patrimoine grâce à sa nouvelle offre BIM – CIM. Cette offre succède aux fonctionnalités de gestion apportées par le logiciel CARL Source, telle que la cartographie par l’intégration SIG ou plans DWG ou encore la dimension « temps réel » grâce aux objets connectés à l’Intelligence Artificielle, le BIM – pour répondre aux attentes du Jumeau numérique.
Une solution BIM-CIM GEM ouverte, Open BIM et innovante !Intégré à son logiciel CARL Source, le Viewer 3D BL.VIZ permet de visualiser et synchroniser les données des maquettes (attributaires et 3D) pour un usage
maintenance. Parmi ses atouts, il s’appuie sur une architecture Open BIM (IFC, 3DTiles) simplifiant son utilisation quels que soient les outils de modélisation.
Cette offre concerne le domaine du patrimoine immobilier, des infrastructures et des réseaux.
Les usages sont multiples :
? Les responsables du patrimoine peuvent ainsi optimiser le pilotage de leur activité grâce à l’interaction des données de gestion, des maquettes 3D et des données IoT.
? Les techniciens terrain bénéficient d’une aide aux diagnostics grâce à une meilleure compréhension de leur environnement (connaissance des chemins des réseaux, canalisations, accès virtuel aux espaces fermés et sécurisés…).
La solution BL.VIZ est le fruit des travaux menés en collaboration avec la direction de l’innovation du groupe Berger-Levrault et le laboratoire LIRIS de Lyon. Elle vient enrichir une offre existante qui repose sur certains produits partenaires.
À propos du groupe Berger-Levrault et de sa filiale CARL Berger-Levrault
À propos de Berger-Levrault :
L’éditeur de logiciels international accompagne les professionnels privés et publics pour répondre aux exigences croissantes de performance et de transformation de leurs métiers. Avec 51 000 clients dans le monde et 2000 collaborateurs en Europe, au Maroc et au Canada, le Groupe s’adresse aux collectivités et administrations locales, aux établissements médico-sociaux, au secteur hospitalier, aux entreprises, industries et au monde de l’éducation. Son ambition: faire bénéficier ses utilisateurs du formidable potentiel du numérique au travers de plateformes de services à l’heure de l’ouverture massive des données et des interfaces intelligentes. En 2020, le Groupe Berger-Levrault (Siège social à Boulogne Billancourt, Paris) a réalisé un CA de 172 M€ dont 20% réalisés à l’international.
La filiale CARL Berger-Levrault :
En mai 2018, l’éditeur CARL Software, expert en solutions de gestion des équipements, du patrimoine et de la maintenance (GMAO / EAM / GTP) rejoint le groupe Berger-Levrault et devient CARL Berger- Levrault.
Leader européen EAM, implanté en Belgique, France, Espagne, Italie et soutenu par un réseau mondial de distributeurs, CARL Berger-Levrault compte un millier de clients répartis partout dans le monde.
Une offre logicielle métier pour répondre aux besoins des grands secteurs d’activité
CARL Berger-Levrault propose le logiciel CARL Source décliné en 5 versions métiers parfaitement adaptées à la gestion des assets des grands secteurs d’activité :
? CARL Source Factory : Equipements industriels et moyens généraux.
? CARL Source Facility : Bâtiments, équipements et infrastructures techniques.
? CARL Source City : Patrimoine, infrastructures, réseaux publics.
? CARL Source Transport : Matériels roulants, infrastructures fixes et linéaires…
? CARL Source Santé : Equipements techniques, biomédicaux.
Des solutions innovantes pour relever les défis de la maintenance 4.0 :
Dématérialisation des process de maintenance grâce aux 3 applications mobiles :
? CARL Touch : GMAO mobile pour les techniciens et les gestionnaires de stocks.
? CARL Xpress : Application de gestion de comptes rendus d’interventions en mode express.
? CARL Flash : Application de demandes de services tout public.
Intégration et interaction graphique :
? CARL Maps CAD : visualisation des équipements et du patrimoine à l’aide des plans.
? CARL Maps GIS : cartographie et géolocalisation des équipements, réseaux, bâtiments, infrastructures.
? CARL Maps – BIM & CIM : Intégration des maquettes 3D (bâtiments, infrastructures, réseaux) dans CARL Source.
Déploiement de la maintenance prévisionnelle :
? BL Predict – plateforme IoT dédiée à la maintenance : valoriser les données terrain (objets et machines connectés), analyser les défaillances, proposer les actions de maintenance appropriées et anticiper les usures et pannes.
Contact presse : Agence Abrasive
Clotilde Boué
clotilde@abrasive.fr | 04 26 02 92 32
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10:38
Nomadia lance Doowit-at-Home, la première solution de réparation à domicile par contrôle corporel distant
sur Décryptagéo, l'information géographiqueGrâce à des neurotransmetteurs 5G, des techniciens équipés de casques de réalité virtuelle peuvent prendre le contrôle à distance du corps des clients pour effectuer des réparations à domicile sans avoir à se déplacer.
Paris, le 1er avril 2022 : Nomadia, éditeur français leader de solutions SaaS de mobilité intelligente, lance aujourd’hui Doowit-at-Home, la première solution mondiale d’intervention technique par contrôle corporel distant. Des techniciens interviennent grâce à un casque de réalité virtuelle adapté aux environnements métavers, leur permettant de prendre le contrôle à distance du corps des clients afin d’effectuer des réparations à leur domicile.
Conscient des enjeux éthiques autour de ce sujet, Nomadia a opté pour une approche Security-by-Design pour gérer les identités et les accès, et ainsi s’assurer que seules les personnes habilitées prennent le contrôle des clients. Non seulement les techniciens sont triés sur le volet (critères éthiques, casier vierge, cruciverbistes force 5 voire 6), mais la solution dispose également d’un système d’authentification forte assorti d’un mot de passe à usage unique qui s’autodétruit après 5 minutes d’inactivité.
Un besoin accru d’interventions à distance
Selon Gartner, plus de 60 % des prestations de service client seront assurées par des canaux numériques en 2023, contre 23 % en 2019. Une tendance exacerbée par la pandémie : confinés à leur domicile, les consommateurs ont davantage investi dans des appareils électroménagers pour améliorer leur confort. Mais lors de pannes, les techniciens ne pouvaient plus intervenir en raison des restrictions sanitaires.
C’est dans ce contexte que Nomadia a développé Doowit-at-Home. Finis les longs mois d’attentes pour planifier le passage d’un technicien compétent à domicile. Il devient désormais possible de bénéficier d’une intervention en moins de 24H, même en cas de confinement ou de fortes intempéries. Si le client ne dispose pas d’outils chez lui, il peut recevoir un kit d’intervention d’urgence Doowit à domicile ou activer l’option « Mac Gyver » dans l’application.
Le technicien prend le contrôle de votre corps
Se retrouvant face à une panne technique à son domicile, le particulier active l’application Doowit-at-Home sur mobile ou tablette. Il commence par renseigner en quelques clics l’objet de sa demande et planifie l’intervention. A l’heure prévue, un technicien compétent pour réparer la panne enfile un casque de réalité virtuelle 5G développé par la start-up LittleFish, partenaire de Nomadia. Les neurotransmetteurs 5G s’activent, permettant au technicien de prendre le contrôle neurosensoriel du client.
Ce dernier effectuera la réparation sur la machine ou l’appareil, avec ses mains pilotées par le technicien à distance, qui bénéficie d’une vue 360 sur l’environnement du client grâce au casque RV. Le client reste conscient pendant l’ensemble de l’intervention, et son système cognitif apprend d’ailleurs les manipulations, ce qui pourrait ensuite lui permettre d’être autonome.
Entre novembre 2021 et février 2022, la solution était proposée en bêta privée à un échantillon représentatif de 17 utilisateurs français. « Je suis globalement très satisfait de la solution Doowit-at-Home », témoigne Xavier Merlu, client particulier habitant Faubourg Poissonnières à Paris. « Le technicien s’est connecté à mon corps à l’heure prévue. Certes, au début de l’intervention, au lieu de réparer ma télévision, il a d’abord tenté de réparer mon grille-pain, mais apparemment il s’agissait d’une erreur technique dans son casque. Après quelques essais, ma télévision fonctionne parfaitement. »
Un gain de temps et de ressources pour les entreprises
Avec Doowit-at-Home, les techniciens n’ont plus besoin de se déplacer, gagnant du temps auparavant perdu en déplacement. Si la crise sanitaire a généralisé le télétravail en France, les techniciens n’y prenaient pas part jusqu’à maintenant. Mais grâce aux capacités de contrôle corporel à distance, les techniciens eux aussi peuvent tirer les avantages du télétravail et du travail hybride. Par ailleurs, alors que la France fait face à une pénurie de main-d’œuvre sans précédent, avec la moitié des entreprises rencontrant des difficultés à recruter selon la Banque de France, la solution de Nomadia s’avère une réponse pour les entreprises en manque d’effectifs.
L’application Doowit-at-Home sera commercialement disponible après l’aval de la CNIL et du bureau européen d’éthique de l’IA. En attendant, vous pouvez trouver plus d’informations sur des solutions de mobilité intelligentes ici.
A propos de Nomadia
Nomadia est le 1er éditeur français de solutions SaaS de mobilité intelligente (smart mobility) à destination des professionnels nomades : commerciaux itinérants, techniciens de maintenance et chauffeurs-livreurs.
Créée en 2021, Nomadia réunit trois acteurs français aux savoir-faire complémentaires et leaders sur leurs segments de marché depuis près de 30 ans : [https:] ">GEOCONCEPT (optimisation des tournées et des plannings, Field Service Management, SIG et géomarketing), [https:] ">Danem (applications mobiles pour les commerciaux, chauffeurs livreurs et techniciens de maintenance) et [https:] ">B&B Market (CRM SFA, conseil & data pour la grande consommation et la distribution). Avec 165.000 utilisateurs et 1500 clients, Nomadia a aujourd’hui une couverture internationale dans 27 pays.
Avec un tiers des effectifs à la R&D, son innovation technologique, qui intègre entre autres de l’intelligence artificielle et de l’IoT, lui permet d’intégrer le classement Truffle 100 et le top 100 des éditeurs français du Syntec Numérique.
La société est implantée en France (son siège social est à Paris), et dispose de bureaux aux Etats-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller et Félix Grand – rpnomadia@axicom.com
Contact marketing : Nomadia
Laura L’Hoiry – laura.lhoiry@nomadia-group.com
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10:21
GeoRivière, l’application de suivi et de gestion des cours d’eau
sur Décryptagéo, l'information géographiqueMakina Corpus, expert en solutions open source lance GeoRivière ( [https:]] ), la 1ère application métier de gestion et de suivi des cours d’eau en France.Ce logiciel libre* innovant cartographie les cours d’eau et l’ensemble des données associées, aidant ainsi les intercommunalités à exercer leur mission obligatoire de gestion aquatique (GEMAPI) depuis les lois de décentralisation. Développée en partenariat avec le Parc naturel régional du Haut-Jura, GeoRivière est lauréate du Trophée Or au Label Territoire Innovant 2022 des Interconnectés. Grâce à l’open source, les acteurs de l’eau peuvent utiliser GeoRivière, l’améliorer et avoir une vision globale de la ressource pour mieux la surveiller et la préserver.
Lancement de GeoRivièreÉrosions des berges, espèces invasives, pollutions… Depuis les lois de décentralisation et leur mise en application au 01 janvier 2018, la gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations (GEMAPI) est confiée aux intercommunalités (métropoles, communautés urbaines, communautés d’agglomération, communautés de communes) et doit couvrir l’ensemble du territoire. Cette nouvelle obligation légale intervient au moment où plus de la moitié des cours d’eau est polluée [1] et où les épisodes de crues et de sécheresses s’intensifient.
Le Parc naturel régional du Haut-Jura a ainsi décidé de faire appel à Makina Corpus pour l’aider à exercer cette compétence GEMAPI déléguée et transférée par les intercommunalités.
L’application métier GeoRivière ( [https:]] ) a pour vocation d’identifier les problématiques environnementales grâce à la cartographie enrichie et de cibler les actions visant à préserver et restaurer les milieux aquatiques.
GeoRivière ( [https:]] ) affiche les données de surveillance des cours d’eau et agrège notamment les données des APIs Hub’eau pour les afficher sur une carte : température de l’eau, qualité des cours d’eau avec la liste des paramètres physico-chimiques étudiés, suivi des caractéristiques hydrométriques. Ces données sont visualisables en temps réel et facilitent l’analyse et la prise de décision.
Développée en mode collaboratif en deux ans avec l’ensemble des usagers du Parc, GeoRivière permet de :
– Observer et analyser les connaissances
– Planifier et suivre une intervention sur un cours d’eau
– Partager les informations avec les parties prenantes
– Gérer les aspects administratifs et financiers
« Un technicien du Parc régional du Haut Jura peut désormais identifier un dysfonctionnement sur le terrain et faire remonter l’information directement sur GeoRivière. Il précise les éventuels travaux à réaliser, les éléments essentiels à l’intervention ainsi que les aspects administratifs. Les informations sont partagées avec les gestionnaires et partenaires des cours d’eau.” Thomas MAGNIN-FEYSOT – Chargé de mission SIG, Informatique, Évaluation – Parc naturel régional du Haut-Jura
Cette application se veut évolutive avec le déploiement de nouvelles fonctionnalités. Ainsi, à terme, GeoRivière permettra aussi aux différents usagers comme le grand public ou les associations (pêche, etc.) d’accéder directement à un site Internet qui viendra compléter l’application métier existante pour faire remonter des informations terrain aux techniciens.
Collaboration et logiciel libre*Le Parc et Makina Corpus ont souhaité que GeoRivière soit un logiciel libre* suffisamment générique pour pouvoir être utilisé par toutes autres collectivités titulaires de la compétence GEMAPI : “Nous avons documenté le code source et l’avons mis à disposition en ligne. Les 1 253 établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre peuvent désormais s’approprier l’application et la faire évoluer. Grâce à cette application open source, l’objectif est de former une communauté d’utilisateurs autour de GeoRivière pour mieux mutualiser et optimiser les fonds publics. ” Thomas MAGNIN-FEYSOT – Chargé de mission SIG, Informatique, Évaluation – Parc naturel régional du Haut-Jura
Trophée Or au Label Territoire Innovant 2022Lors du Forum des Interconnectés de Nantes les 2 et 3 mars, GeoRivière s’est vue remettre le « Label Or Territoire Innovant 2022”, dans la catégorie « Territoire Intelligent et Durable ». Ce label valorise les initiatives des collectivités qui mobilisent les technologies numériques et pratiques innovantes au service des territoires et de leurs habitants. Il récompense la réussite collaborative des équipes de Makina Corpus et du Parc naturel régional du Haut-Jura.
Le numérique au service de l’environnementMakina Corpus a développé une expertise autour de la gestion de l’eau ( [https:]] ) pour répondre notamment aux défis environnementaux actuels et à venir. Ainsi, l’entreprise a déjà créé plusieurs applications métier open source dans ce domaine comme La Vie De La Rivière ( [https:]] ) pour surveiller les niveaux d’eau du Bassin du Lot ou l’application grand public Qualité Rivière ( [https:]] ) développée pour l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée Corse et disponible sur Apple et Android : “Pour connaître et suivre les cours d’eau d’un territoire, Makina Corpus propose son expertise dans la gestion de l’eau : observation des milieux aquatiques, analyse et comparaison des données, prévention des inondations, etc. Makina Corpus s’appuie sur son expérience en logiciels libres* pour développer des solutions innovantes et sur-mesure au service de l’environnement.” Amandine Boivin, Responsable Marketing Communication Makina Corpus
En savoir + : [https:]] , [https:]] , [https:]]
Sources :
[1] [https:]] et où les épisodes de crues et de sécheresses s’intensifient.
A propos de Makina CorpusSocie?te? de services en inge?nierie logicielle, Makina Corpus crée des applications web et mobiles innovantes, en s’appuyant exclusivement sur des logiciels libres.La socie?te? s’est spe?cialise? e dans le de?veloppement d’applications me?tiers, les portails complexes, le traitement d’informations spatiales et la cartographie interactive.
Makina Corpus est aujourd’hui pre? sente en France et en Belgique. Forte de 50salarie? s, elle est présente sur Paris, Toulouse, Nantes et Bruxelles. L’entreprise a embauché 6 personnes en 2021 et prévoit 4 recrutements en 2022.
Positionnée sur l’open Source et l’innovation, Makina Corpus consacre 15% de son chiffre d’affaires à la R&D et collabore régulièrement avec des laboratoires de recherche.Plus d’information :
makina-corpus.com* Un logiciel libre est un logiciel dont l’utilisation, l’étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement, ceci afin de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l’utilisateur et la possibilité de partage entre individus. Source Wikipédia
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11:58
Opendatasoft annonce le lancement de nouvelles fonctionnalités pour faciliter la valorisation des données dans tous les secteurs d’activités
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 28 mars 2022 – Opendatasoft, leader européen des plateformes de démocratisation de la donnée, annonce la mise à disposition de nouvelles fonctionnalités au sein de sa plateforme SaaS afin de rendre l’usage de la donnée simple et accessible à tous. Parmi elles : de nouveaux outils d’intégration et la création d’ODS Studio. De nouvelles connexions pour une intégration à n’importe quelle stack technologiqueAu sein d’une organisation, la donnée est dispersée dans le système informatique de l’entreprise, sur un serveur ou encore dans des applications métiers telles que SharePoint et Google Drive. Pour offrir une meilleure expérience utilisateur et faciliter le processus d’industrialisation de la collecte de données, Opendatasoft a déployé de nouvelles connexions « directes » vers ces applications métiers et repensé son interface d’ajout de sources à un dataset. Ces deux nouveaux connecteurs rejoignent ainsi les 76 autres connecteurs déjà intégrés.
Les + :– Recherche directe des fichiers dans les outils sans jamais quitter la plateforme
– Aucun téléchargement ni import de fichiers dans Opendatasoft requis.
– Mises à jour des documents en temps réel
– Peu importe le format d’origine, la plateforme les prend en charge
Par ailleurs, pour faciliter l’utilisation de sa plateforme, Opendatasoft offre désormais une vue globale de l’ensemble des options de sourcing et de connexions automatiques disponibles. A cela s’ajoute également un tout nouveau parcours de création plus fluide et intuitif, offrant aux utilisateurs un gain de temps considérable lors de la création d’un nouveau dataset. Opendatasoft propose aussi une option inédite de mémorisation des accès à distance et de création de raccourcis, accélérant et facilitant davantage encore le processus de création de dataset.
ODS Studio : l’outil pour rendre la dataviz accessible à tousLe rôle stratégique de la donnée pour les organisations n’est plus à démontrer. Cependant, les outils de valorisation et de mise en forme de ces données sont souvent réservés aux experts de la data. Dans son ambition de démocratiser l’accès à la data pour tous, Opendatasoft a développé ODS Studio, un nouvel outil destiné à la création d’expériences data en toute simplicité.
Les + :– Zéro code : seule maîtrise requise le glisser – déposer
– Parcours intuitif : l’interface guide la progression de l’utilisateur sur des étapes clés : sélection de votre dataset source, choix de la visualisation pour le représenter, paramétrage du graphique/KPI et enfin, = personnalisation de son apparence.
– Une fenêtre web unique
– Calcul automatique et prévisualisation instantanée
La plateforme all-in-one est en constante évolution pour permettre à chaque utilisateur de bénéficier d’une expérience toujours plus proche de ses besoins. De nouvelles fonctionnalités sont en cours de construction.
« Chez Opendatasoft, nous accordons une attention particulière aux retours d’expériences de nos clients. Dans cet objectif, nous avons à cœur de leur proposer les meilleurs outils, capables de répondre à leurs attentes et aux différentes problématiques qu’ils peuvent rencontrer. Ces nouvelles fonctionnalités qui viennent enrichir notre plateforme, s’inscrivent donc naturellement dans cette démarche et seront suivies d’autres, en vue de soutenir le développement continu de notre produit et l’accompagnement que nous menons au plus près de nos clients. », Jean-Marc Lazard, Président et co-fondateur d’Opendatasoft.
A propos d’OpendatasoftOpendatasoft est le leader européen en matière de démocratisation de l’accès et des usages de la donnée. L’entreprise propose une plateforme SaaS all-in-one qui permet à toutes les équipes de créer et diffuser rapidement des expériences data sur le digital pour nourrir leurs écosystèmes internes et/ou externes de l’expert-technique au consommateur-citoyen. Cela permet à ses clients d’accélérer leur transformation digitale et leur développement, de transformer positivement leurs opérations et d’établir des relations plus transparentes avec leurs parties prenantes.
Plus de 350 organisations dans le monde ont ainsi adopté Opendatasoft. Parmi elles, figurent de grandes entreprises telles Schneider Electric, le Groupe BPCE, SFR, Veolia, Enedis ou encore Saint-Gobain, des ministères ainsi que des villes telles que Paris, Vancouver, Lille, Bristol, Namur ou Eindhoven.
Contacts presse – L’AgenceRP opendatasoft@lagencerp.com
Mélina Dahmane – 06 58 94 47 82
Lucille Lavigne – 06 98 62 07 92
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10:48
Kermap lance Nimbo Maps
sur Décryptagéo, l'information géographiquePour la première fois, une plateforme d’observation de la Terre offre des images satellites chronologiques, sans coutures et sans nuagesRennes, le 22 mars 2022 – Suivre l’évolution de la Terre mois après mois, sur des images claires et homogènes, dans un format simple d’accès, ouvert à tous et gratuit : c’est le pari réussi par Nimbo Maps. La nouvelle plateforme développée par Kermap propose une visualisation chronologique de la Terre, issue d’un traitement par intelligence artificielle d’images satellites Sentinel du programme européen Copernicus. Kermap réaffirme ainsi son ambition fondatrice : simplifier l’accès aux données satellite, grâce à Nimbo Maps ainsi qu’un ensemble d’autres produits disponibles sur abonnement, et destinés aux professionnels. Les accès API de la solution Nimbo permettent d’obtenir des informations stratégiques clé-en-main, avec de premier marchés-clés, dont l’agriculture et l’aménagement du territoire.
Une plateforme 100% française et souveraine
Dernière-née de l’écosystème Nimbo, la plateforme Nimbo Maps incarne l’ambition qui anime Kermap depuis sa création : simplifier et démocratiser l’accès aux images satellites et aux données qu’elles recèlent. L’évolution des surfaces émergées s’y dévoile mois après mois sur des cartes homogènes et sans nuages allant jusqu’à une résolution de 10m. Ces visualisations sont issues des images satellites Sentinel 1 et 2 du programme Copernicus, et sont intégralement développées en interne par la start-up rennaise via sa solution Nimbo, hébergée et distribuée dans un cadre 100% souverain.
Pour cette réalisation, Kermap a bénéficié du soutien de l’Agence spatiale européenne, ainsi que de l’accompagnement du CNES (Centre national d’études spatiales).
Nimbo Maps, pour tous les amateurs d’exploration géographique
L’accès à Nimbo Maps est ouvert à tous sur inscription et gratuit, à l’adresse maps.nimbo.earth. La création d’un compte Nimbo inclut un forfait mensuel de crédits de navigation pour bénéficier, là aussi gratuitement, de l’ensemble des fonctionnalités de la plateforme sur ordinateur :
- Consultation de toutes les cartes mensuelles depuis janvier 2020 jusqu’à février 2022
- Accès à quatre types de composition : couleurs naturelles, infrarouge, NDVI (santé de la végétation) et radar
- Utilisation des fonctions “diviser” et “glisser” pour comparer deux dates, ainsi que de l’animation en timelapse pour générer et télécharger des vidéos de l’évolution de n’importe quel territoire en accéléré.
Kermap continue à enrichir la plateforme, qui permettra bientôt de remonter jusqu’en 2017. La couverture de Nimbo Maps – 20 millions de km² actuellement – sera par ailleurs progressivement étendue à l’ensemble des terres émergées de la planète. Enfin, Kermap développe d’autres procédés innovants de traitement d’image par intelligence artificielle, grâce auxquels Nimbo Maps pourra, d’ici quelques mois, fournir des images de la Terre en super-résolution, à 2,5m par pixel (contre 10 m par pixel pour les images initiales de Sentinel).
Nimbo simplifie la donnée satellite pour les professionnels
Au-delà de l’offre gratuite, plusieurs formules d’abonnement incluent l’accès à des produits destinés aux professionnels, à partir de 50 euros par mois. Ces offres donnent accès aux APIs Nimbo, afin de récupérer clé-en-main des données exclusives supplémentaires produites en interne par Kermap, notamment pour le domaine agricole (identification et suivi des cultures en quasi temps réel). Également inclus dans ces abonnements, l’accès aux flux cartographiques permettant aux spécialistes de l’information géographique d’exploiter les fonds de carte issus de Nimbo Maps.
Plus d’info sur https://nimbo.earth
À propos de Kermap
Fondée en 2017 et implantée à Rennes, Kermap livre des informations stratégiques sur les espaces urbains, agricoles naturels grâce à l’analyse massive d’images satellite par intelligence artificielle. Son objectif : simplifier l’accès aux données géographiques issues de l’observation de la Terre que la recherche académique sait produire, mais qui restent complexes et coûteuses à valoriser pour les intervenants de terrain. Grâce à son expertise en analyse spatiale et en automatisation du traitement des images par IA, Kermap produit et facilite la visualisation de ces informations pour le suivi territorial et l’aide à la décision via ses plateformes nosvillesvertes.fr, klover.city et sa solution Nimbo. En seulement quatre ans, l’envergure, l’efficacité et la fiabilité de ses solutions SIG ont déjà convaincu des dizaines d’acteurs dans le domaine de l’urbanisme, l’environnement, et l’agriculture, dont le Ministère de l’Agriculture, Eau de Paris les villes de Rennes, Montpellier, Nice, Troyes, ou dans le secteur privé, Nestlé avec la Fondation Earthworm, MyEasyFarm ou FarmLeap.
Pour en savoir plus : www.kermap.com
Contacts presse :
Marjorie Gandon – marjorie.g@oxygen-rp.com / 06 69 18 32 88Yann Daoulas – yann.daoulas@kermap.com / 06 03 67 42 11
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France : KAYRROS, spécialisé dans la tech climatique, bénéficie d’un prêt de 15 millions d’euros de la BEI
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCette opération qui s’inscrit dans un tour de table de 40 millions d’euros au total permettra à KAYRROS de consolider sa position de leader mondial en matière de données géospatiales, afin d’aider les entreprises et les pouvoirs publics à répondre à leurs objectifs de développement durable.KAYRROS, le leader de l’analyse des données climatiques et énergétiques, a réalisé un nouveau tour de table de 40 millions d’euros, dont 15 millions d’euros apportés par un prêt de la Banque européenne d’investissement (BEI). L’Etat, au travers de French Tech Souveraineté qui s’inscrit dans le cadre de France 2030 piloté par le Secrétariat général pour l’investissement (SGPI) et opéré par Bpifrance, NewSpace Capital et OperaTech Ventures, branche VC de BNP Paribas, participent également à ce financement aux côtés des investisseurs historiques qui réinvestissent à cette occasion.
Cette opération permettra de soutenir le développement des technologies de détection géospatiale de Kayrros, qui révolutionnent l’analyse des images satellites et autres données permettant d’évaluer l’empreinte climatique résultant des activités économiques. Les mesures de Kayrros permettent aux entreprises et aux institutions publiques de maîtriser les risques climatiques, de déployer des stratégies de transition vers une économie à faible émission de carbone et d’atteindre les objectifs de développement durable.
Ce financement participe de la construction d’un Nouvel Espace, composé d’une grande diversité d’acteurs financés à la fois par des fonds privés et des agences d’État, et promouvant la souveraineté spatiale en des termes radicalement nouveaux. Le soutien apporté à Kayrros par French Tech Souveraineté, dont c’est le premier investissement, ainsi que par la banque publique de l’UE, expriment la volonté des acteurs publics français et européen, de travailler à la fois avec les acteurs établis et de nouveaux acteurs afin de réussir le défi des nouvelles explorations spatiales.
Ce nouveau tour de table témoigne de la pertinence du modèle de Kayrros et porte à 72 millions d’euros les fonds levés par l’entreprise depuis sa création en 2016. Il permettra d’accélérer son développement commercial, renforçant ainsi sa position de leader mondial dans le secteur de la surveillance géospatiale, essentielle pour répondre à l’urgence climatique. Cette nouvelle levée de fonds comprend des investissements en fonds propres et quasi-fonds propres.
Antoine Rostand, Président de Kayrros, commente: « Ce tour de table réunit plusieurs domaines d’intérêt pour Kayrros, à commencer par le secteur public représenté par la Banque européenne d’investissement (BEI) et pour le compte de l’Etat par Bpifrance via le fonds French Tech Souveraineté. Leur participation souligne l’importance du secteur du Nouvel Espace dans la politique climatique française et européenne. De son côté, Opera Tech Ventures fournit une expertise de premier ordre dans le secteur financier, apportant des conseils précieux alors que nous répondons à la demande croissante du secteur en matière de données climatiques. NewSpace Capital va également nous aider à nous développer en tant que leader émergent de l’industrie spatiale. »
Ambroise Fayolle, Vice Président de BEI, précise : « La sécurité énergétique et l’empreinte carbone sont des enjeux essentiels pour les secteurs public et privé. Kayrros a développé des solutions puissantes pour relever ces défis. Les objectifs de Kayrros sont en phase avec la politique économique et climatique européenne et la BEI est heureuse de soutenir Kayrros dans la poursuite de ces objectifs. »
« La disponibilité de données climatiques fiables en temps quasi-réel est un avantage stratégique pour les pays, pour leur sécurité énergétique, leur durabilité et leur croissance économique. S’appuyant en partie sur les données publiques de l’Agence spatiale européenne, Kayrros et ses partenaires ont construit une boîte à outils permettant de lutter contre le réchauffement climatique dont il faut maintenant accélérer l’adoption. » a déclaré pour sa part Adrien Muller de Bpifrance.
Felix von Schubert, Président de NewSpace Capital, estime : « Depuis sa création en 2016, Kayrros s’est imposé comme l’expert mondial du traitement des données spatiales appliqué à l’énergie et au climat pour les marchés publics. Le savoir-faire acquis par Kayrros aura un vaste périmètre d’application à mesure que l’action climatique s’accélèrera. Cette levée de fonds ouvre un nouveau chapitre dans le développement de Kayrros alors que l’appétit pour les mesures d’impact climatique va croître de manière exponentielle. »
Jacky Abitbol, Managing Partner de Cathay Innovation, déclare : « La lutte contre le changement climatique est au cœur des préoccupations des entreprises et des gouvernements, qui s’efforcent de plus en plus de transformer leurs engagements en résultats concrets. Grâce à sa technologie basée sur l’intelligence artificielle, la plateforme de Kayrros permet aux organisations d’agir concrètement pour relever le grand défi de notre époque en leur fournissant des informations de qualité et pertinentes. »
Informations généralesA propos de la Banque européenne d’investissement
La BEI, dont les actionnaires sont les 27 États membres de l’Union européenne est l’institution de financement à long terme de l’UE. Créée par le Traité de Rome et fondée en 1958, elle a pour mission de contribuer à l’intégration, au développement équilibré, à la cohésion économique et sociale et à la compétitivité des Etats membres de l’UE. Elle emprunte d’importants volumes de fonds sur les marchés de capitaux et les prête à des conditions très favorables pour soutenir des projets qui concourent à la réalisation de ces grands objectifs européens. Depuis 2019, la banque publique de l’UE accélère sa transformation en banque du climat en s’engageant à consacrer à partir de 2025 au moins 50% de ses financements à des investissements contribuant à la lutte contre le changement climatique et l’atténuation de ses effets. En 2021, elle a déjà largement atteinte cette cible en France où la BEI a investi un quart de ses financements, soit 3,6 milliards d’euros, à des projets dans l’innovation, la plupart du temps en relation étroite avec l’action climatique.
A propos de Kayrros
Fondée en 2016 à Paris par un groupe multidisciplinaire d’ingénieurs, d’économistes et de mathématiciens experts en énergie et en intelligence artificielle, Kayrros s’est imposé comme leader dans l’application des techniques géospatiales d’observation de la terre au service de l’action climatique et de la protection de l’environnement. Lauréate de la French Tech 120, Kayrros déploie ses activités à partir de son siège parisien et de ses bureaux de Houston, New York, Londres, Bangalore et Singapour. En collaboration avec le Centre National d’Etudes Spatiales (CNES) et l’Agence Spatiale Européenne, Kayrros agrège et analyse d’immenses quantités de données publiques, satellitaires et géolocalisées pour en extraire des signaux quantifiés propres à guider les décisionnaires des secteurs public et privé et à accélérer leur transition vers une économie à bas carbone. Les outils développés par Kayrros pour mesurer les impacts climatiques et environnementaux permettent notamment le suivi en temps quasi-réel des émissions de CO2 et de méthane ainsi que des volumes de carbone séquestrés dans la végétation.
A propos de Bpifrance
Bpifrance finance les entreprises à chaque étape de leur développement en crédit, en garantie et en fonds propres, les accompagnant dans leurs projets d’innovation et à l’international. Conseil, mise en réseau et programme d’accélération à destination des startups, des PME et des ETI font également partie de l’offre proposée aux entrepreneurs via ses 50 implantations régionales.
A propos de France 2030
Lancé fin 2021, ce plan du gouvernement français doté de 30 milliards d’euros de fonds publics entend répondre aux grands défis de notre temps, en particulier la transition écologique. Il vise, à travers un effort d’investissement massif sur cinq ans, à faire émerger les futurs champions technologiques de demain et accompagner les transitions dans des secteurs clés comme l’énergie, les transports ou encore l’espace.
A propos de French Tech Souveraineté
French Tech Souveraineté est une enveloppe d’investissement géré par Bpifrance disposant d’une première poche de 150 M€ afin de soutenir des entreprises françaises développant des technologies d’avenir à caractère souverain.
Contacts pour la presse
BEI
Christophe Alix, c.alix @bei.org, tél. : +352 43 79 84303 / Gsm: +33 6 11 81 30 99
Site internet : www.bei.org/press – Service de presse : +352 4379 21000 – presse@bei.orgKayrros
Victoria Pearson
Sonder London
victoria@sonder-london.com
+44 20 7183 1267Alexander Clare
alexander@sonder-london.com
Sonder London
+44 7792 2541Bpifrance
Nathalie Police
Nathalie.police@bpifrance.fr
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GEOCONCEPT by Nomadia dévoile Territory Manager – Spring 2022
sur Décryptagéo, l'information géographiqueComment répartir la charge de travail entre plusieurs commerciaux ? Quelle est la couverture opérationnelle d’une agence ou d’un magasin ? Quel est l’impact d’un déménagement ? La nouvelle version du logiciel de sectorisation Territory Manager permet de répondre à ces questions.Interface Territory Manager Spring 2022
Paris, le 22 mars 2022 – GEOCONCEPT by Nomadia, concepteur leader de technologies d’optimisation géographique à destination des professionnels nomades, présente Territory Manager, édition Spring 2022, la nouvelle version de sa solution cloud de sectorisation géographique.
Territory Manager est la solution web de référence pour répartir géographiquement et équitablement l’activité, les équipes et les ressources. Grâce à cet outil intuitif, responsables commerciaux, planificateurs et décideurs définissent des stratégies omnicanales orientées vers la performance : objectifs commerciaux équilibrés, couverture de marché optimale et productivité améliorée des équipes terrain.
Avec cette nouvelle édition Spring 2022, il est plus facile que jamais de décider où ouvrir un nouveau site, qu’il s’agisse d’une agence, d’un magasin ou d’un dépôt. En effet, Territory Manager permet désormais d’étudier l’impact d’un déménagement ou de l’ouverture d’un nouveau site sur le chiffre d’affaires, le potentiel de vente et la charge de travail des équipes. Grâce au calcul de zones isochrones, l’utilisateur étudie également la couverture opérationnelle de chacun de ses sites.
Parmi les nouveautés de Territory Manager Spring 2022 :
Impact du déplacement d’un site
Véritable outil d’aide à la décision, Territory Manager Spring 2022 permet d’étudier l’impact d’un déménagement de site sur une organisation existante. Cela comprend les modifications induites sur l’ensemble des indicateurs présents dans le tableau, dont le chiffre d’affaires, le potentiel de vente et la charge de travail, qui sont visibles en déplaçant un site depuis la carte. Cette fonctionnalité permet aussi de définir de nouveaux objectifs réalistes et adaptés à une nouvelle organisation et sert également à l’étude d’implantation lorsqu’un ou plusieurs nouveaux sites doivent être sélectionnés.
Calcul de zones isochrones
Quelle est la couverture opérationnelle d’un site ou d’un secteur ? Déterminer la zone accessible autour d’un point, comme un magasin, une agence, un dépôt ou le barycentre d’un secteur, en un temps défini, est désormais possible avec le calcul de zones isochrones, nouvelle fonctionnalité de Territory Manager directement accessible depuis la carte. La zone isochrone est calculée en prenant en compte les vitesses de circulation et les spécificités d’accessibilité par la route.
Optimisation de la charge de travail des ressources mobiles
Mieux définir la charge de travail de chaque collaborateur, pour une sectorisation plus fine. Désormais, les utilisateurs de Territory Manager peuvent définir et optimiser plusieurs secteurs rattachés à un même site. Ce grâce à la prise en compte des ressources mobiles (commerciaux, livreurs, techniciens) en tant que nouvel objet. Ainsi, il est possible d’affecter un périmètre d’action à une ressource mobile définie tout en répartissant de manière optimale la charge de travail entre toutes les ressources rattachées au site.
Transport multimodal
Le multimodal s’invite dans la sectorisation géographique. En effet la version Spring 2022 s’adapte au métier de l’utilisateur en prenant désormais en compte les activités nécessitant des déplacements piétons et en poids-lourds. Ces deux nouvelles modalités de déplacement viennent s’ajouter à celle de la voiture. En outre, il est maintenant possible de sélectionner la vitesse (fluide, moyenne, modérée, dense, embouteillée) la mieux adaptée à une certaine localisation ou à une certaine période.
Pour en savoir plus sur Territory Manager Spring 2022 : [https:]]
A propos de Nomadia
Nomadia est le 1er éditeur français de solutions SaaS de mobilité intelligente (smart mobility) à destination des professionnels nomades : commerciaux itinérants, techniciens de maintenance et chauffeurs-livreurs.
Créée en 2021, Nomadia réunit trois acteurs français aux savoir-faire complémentaires et leaders sur leurs segments de marché depuis près de 30 ans : [https:] ">GEOCONCEPT (optimisation des tournées et des plannings, Field Service Management, SIG et géomarketing), [https:] ">Danem (applications mobiles pour les commerciaux, chauffeurs livreurs et techniciens de maintenance) et [https:] ">B&B Market (CRM SFA, conseil & data pour la grande consommation et la distribution). Avec 165.000 utilisateurs et 1500 clients, Nomadia a aujourd’hui une couverture internationale dans 27 pays.
Avec un tiers des effectifs à la R&D, son innovation technologique, qui intègre entre autres de l’intelligence artificielle et de l’IoT, lui permet d’intégrer le classement Truffle 100 et le top 100 des éditeurs français du Syntec Numérique.
La société est implantée en France (son siège social est à Paris), et dispose de bureaux aux Etats-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller et Félix Grand – rpnomadia@axicom.com
Contact marketing : Nomadia
Laura L’Hoiry – laura.lhoiry@nomadia-group.com
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9:07
DJI permet des vols de nouvelle génération pour les opérateurs de drones professionnels avec une nouvelle génération de systèmes de drones d’entreprise
sur Décryptagéo, l'information géographique- Le nouveau drone DJI Matrice 30 offre une puissance sans précédent qui tient dans un sac à dos
- DJI FlightHub 2 permet la planification à distance, le vol et la gestion des données pour les flottes de drones
- Le DJI Dock garde, lance, reçoit et recharge les drones automatiquement
- Le nouveau capteur Zenmuse H20N donne une vision nocturne au drone DJI M300 RTK
La nouvelle DJI Matrice 30 et le DJI Dock
21 mars 2022 – DJI, le leader mondial des drones civils et de la technologie d’imagerie aérienne, lance aujourd’hui une solution tout-en-un pour les opérateurs de drones professionnels qui met pour la première fois une puissante plateforme de vol au service d’une gestion de flotte pouvant être gérée entièrement à distance depuis une station d’accueil et de recharge autonome. Cette solution intégrée ouvre de nouvelles fonctionnalités puissantes pour les utilisateurs de drones professionels tels que les agences de sécurité publique, les inspecteurs d’infrastructures et les industries de l’énergie, leur permettant d’opérer des missions de nouvelle génération qui libèrent enfin le plein potentiel de la technologie transformatrice de DJI.
« DJI Enterprise se consacre à la recherche et au développement de nouvelles solutions de drones conçues pour révolutionner le travail, pour aider les héros du quotidien dans leurs missions pour sauver des vies, entretenir les infrastructures physiques et préserver l’environnement naturel. Avec les performances, la transportabilité et la facilité d’utilisation exceptionnelles du drone DJI Matrice 30 et sa parfaite intégration avec le logiciel cloud de gestion de flotte DJI FlightHub 2 et le DJI Dock, nous franchissons une étape sans précédent pour tous nos clients Enterprise qui pourront accéder à l’ère de solutions autonomes créant des possibilités de voler hors vue du télépilote avec les autorisations réglementaires appropriées en place », a déclaré Christina Zhang, Directrice de la Stratégie d’Entreprise chez DJI. « Nous sommes fiers de proposer la prochaine génération d’outils aériens qui sauveront des vies et élèvera le travail vers de nouveaux sommets, avec une suite de solutions de produits à 360 degrés pour une variété de domaines tels que l’inspection énergétique, les missions de secours d’urgence, la protection de l’environnement, ou encore la numérisation et la préservation du patrimoine culturel.
Le nouveau DJI Matrice 30 – Un drone professionel puissant, polyvalent et transportableLe nouveau DJI Matrice 30 est la nouvelle référence de drone de DJI Enterprise qui tient dans un sac à dos. Il intègre plusieurs capteurs à hautes performances dans une seule caméra, il est contrôlé avec une radiocommande repensée ingénieuse et fonctionne avec le logiciel Pilot 2 mis à niveau, ce qui améliore considérablement l’expérience de vol. Le modèle M30 offre beaucoup plus de puissance, d’endurance et de capacité pour des utilisations professionnelles robustes, tandis que sa taille le rend idéal pour un transport facile et une configuration rapide.
Outre ses performances exceptionnelles et son nouveau format, le DJI M30 permet aux professionnels de voler et de se produire au-delà de leur environnement immédiat. Il s’intègre en douceur avec le nouveau logiciel cloud de gestion de flotte DJI FlightHub 2 et le DJI Dock pour une collaboration avec des opérations à distance et sans surveillance, apportant une innovation efficace à diverses industries.
La série M30 se décline en deux versions, la M30 et la M30T[1]. Le modèle M30 intègre une caméra zoom à capteur CMOS 48 mégapixels 1/2 » avec zoom optique 5 × ~ 16 × et numérique 200 ×, une caméra grand angle 12 mégapixels, une résolution vidéo 8k photo 4K / 30 fps et un télémètre laser qui peut donner les coordonnées précises d’objets jusqu’à 1200 mètres de distance. Le M30T dispose d’une caméra thermique radiométrique supplémentaire de 640×512 px.
Une plateforme aérienne robuste, sûre et fiable avec une résistance extraordinaire.Avec un indice de protection IP55, le M30 offre des performances exceptionnelles dans des environnements difficiles, sous de fortes pluies, des vents violents, des altitudes élevées, même dans des conditions glaciales et enneigées et des températures extrêmes de -20° C à 50° C.
Le DJI M30 offre également une caméra pilote à vue à la première personne améliorée pour les conditions de faible luminosité, des redondances et des systèmes de secours intégrés, un atterrissage d’urgence à trois hélices, un système de gestion interne et des capteurs d’évitement d’obstacles à six directions permettant au pilote de se concentrer sur la mission. Sa transmission OcuSync 3 Enterprise à quatre antennes assure une forte redondance et prend en charge la connectivité 4G[2] dans des environnements de travail complexes.
A la différence d’autres plateformes de drones taillés pour l’industrie, le DJI M30 adopte une conception légère intégrée pliable (avec un poids de 3,7 kg au décollage) qui est facile à déplier, à ranger et à transporter n’importe où. Sa nouvelle conception de batterie TB30 auto-chauffante peut supporter au moins 400 cycles de charge et permet un temps de vol de 41 minutes. Son boîtier de charge intelligent BS30 permet une charge rapide de la batterie de 20% à 90% en 30 minutes. Le M30 dispose également d’un nouveau système autobloquant et peut être plié en appuyant simplement sur un bouton. Cela en fait le drone DJI Enterprise à hautes performances le plus rapide et le plus simple à configurer.
Protection des données de l’utilisateur sécurisée et privée à tous les niveauxLes clients DJI Enterprise exigent les normes les plus élevées de sécurité et de confidentialité pour leurs données. Le M30 offre les meilleurs protocoles de sécurité des données de sa catégorie basés sur le firmware Matrice 300 V3 de DJI.
- Les mises à jour hors ligne permettent d’effectuer les futures mises à jour du firmware entièrement hors ligne. Les firmwares peuvent être téléchargés à partir du site Web officiel de DJI et enregistrés sur un périphérique de stockage externe tel qu’une carte microSD, avant d’être téléchargés dans le M30 et mis à jour avec DJI Pilot.
- Le mode de données locales agit comme le « mode avion » sur un téléphone en déconnectant complètement le DJI M30 d’Internet, garantissant que TOUTES les données restent uniquement dans le drone.
- Le cryptage AES de la carte SD protège toutes les photos, vidéos et journaux de vol stockés sur la carte microSD par un code de sécurité et un cryptage AES.
La nouvelle radiocommande DJI RC Plus répond aux attentes exigeantes des pilotes professionnels. La DJI RC Plus dispose d’un écran haute définition d’une largeur de 7 pouces permettant aux pilotes de voir plus d’informations visuelles grâce à une luminosité impressionnante. Comme la DJI RC Plus est certifiée IP54, similaire au drone M30, il peut être utilisé sous de fortes pluies.
La DJI RC Plus dispose de six boutons physiques de commande à côté de l’écran. Ils rendent le pilotage beaucoup plus facile, donnant le contrôle des fonctions critiques, comme la commutation entre les vues grand angle, zoom, infrarouge et FPV, sans avoir à retirer les mains des manettes de commande.
La DJI RC Plus offre une autonomie de 6 heures de temps d’écran. Elle dispose d’une batterie interne et d’une batterie externe remplaçable, empêchant l’interruption d’une mission. La DJI RC Plus propose des ports pour carte microSD, USB, HDMI, USB type C et une connectivité 4G (le cas échéant)[3], pour les clients ayant besoin d’une redondance de transmission.
La DJI RC Plus devient naturellement la nouvelle radiocommande de référence de DJI Enterprise.
DJI FlightHub 2 : intégration maximisée de l’intelligence aérienneLe DJI FlightHub 2 est le logiciel de gestion de flotte de DJI Enterprise. Il bénéficie d’améliorations majeures de sa première version synchronisant et coordonnant entre les équipes au sol, les drones, les charges utiles, les pilotes et toutes les données qu’ils collectent. Le DJI FlightHub 2 est désormais entièrement basé sur le cloud. Il permet la gestion des missions de vol et la visualisation opérationnelle non seulement depuis la télécommande du pilote, mais depuis n’importe quel appareil doté d’un navigateur Web, comme les ordinateurs, les tablettes et même les appareils mobiles. Désormais, toutes les personnes impliquées dans une opération de drone, des équipes au sol aux superviseurs à proximité en passant par les responsables dans leurs bureaux, peuvent se connecter à la même mission et voir les données recueillies par les drones et les pilotes.
Le DJI FlightHub 2 prend en charge les fonctionnalités de cartographie permettant aux utilisateurs de réagir rapidement aux situations en développement.
- One-Tap Panorama Sync crée une vue d’ensemble à 360° et la télécharge sur le cloud en un seul clic. Les panoramas partagés et les coordonnées à partir desquelles ils ont été capturés sont placés sur la carte de base 2,5D de votre mission, ce qui permet à tous les membres de l’équipe de prendre rapidement conscience de l’altitude.
- Cloud Mapping permet aux utilisateurs de mettre en évidence une zone d’intérêt, permettant au DJI M30 de cartographier automatiquement la zone en 2D, offrant de grandes perspectives lors de situations de planification d’intervention d’urgence. DJI FlightHub 2 transformera ces images en une carte, qui se superposera au fournisseur de services cartographiques de l’utilisateur. Une fois qu’une carte est capturée, elle peut devenir la base pour construire un plan de mission.
Le DJI FlightHub 2 prend en charge les annotations en direct, qui sont des points, des lignes ou des polygones que les utilisateurs peuvent dessiner sur la carte. Grâce au télémètre laser du DJI M30, dans une mission de recherche et de sauvetage, un pilote peut repérer les coordonnées d’une personne disparue. Ces coordonnées se synchroniseront automatiquement via l’interface de mission DJI FlightHub 2 permettant au centre de commandement et à l’équipe au sol d’avoir des mises à jour en direct des coordonnées et de générer simultanément des itinéraires de sauvetage. Toutes ces cartes, modèles et données d’inspection peuvent être téléchargés sur le cloud, pris en charge par AWS, et accessibles et gérés à distance.
DJI FlightHub 2 devient un logiciel incontournable pour rationaliser la communication entre la salle de commande et l’équipe au sol et gérer les missions en temps réel.
DJI Dock : la station autonome pour les vols programmés dans les régions éloignéesLe DJI Dock est une station d’atterrissage et de charge autonome permettant des vols programmés entièrement automatiques avec la série DJI M30 (version Dock). Il élargit l’horizon pour les missions qui peuvent être supervisées à distance. Après l’installation, le drone M30 entièrement chargé peut décoller dans le ciel depuis le DJI Dock via les missions automatiques programmées sur FlightHub 2 n’importe où dans un rayon de 7 km du DJI Dock.
Opération de rotation rapide – Une fois que le drone atterrit après sa mission, il se rechargera automatiquement. Grâce au système de charge rapide et de refroidissement de la batterie, le drone peut redécoller seulement 25 minutes après son atterrissage.
Excellente adaptabilité environnementale : Sa conception modulaire durable permet des opérations continues jour et nuit, quel que soit le temps. Le DJI Dock a été conçu pour durer et pour nécessiter un minimum d’entretien et de maintenance. Le Dock est classé IP55 et les principaux composants internes sont IP67, ce qui le rend étanche à l’eau et à la poussière même lorsqu’il est ouvert. L’intérieur du DJI Dock est climatisé, pour aider à amener les batteries à la température optimale pour charger le M30 en toute sécurité, même avec des températures extérieures allant de -35 à 50 degrés Celsius.
Sa connectivité peut être étendue, grâce à un port pour un dongle 4G externe[4]. En cas de panne de courant causée par un sinistre, une batterie interne prendra le relais et maintiendra le Dock opérationnel, pour s’assurer que le M30 puisse atterrir en toute sécurité après sa mission.
Facile à installer, facile à déployer : Le DJI Dock ne pèse que 90 kg et couvre une surface de moins de 1 mètre carré, et peut être transporté par ascenseur ; il suffit de le fixer au sol, de l’allumer, de le brancher à l’alimentation électrique et de le connecter à internet. Le DJI Dock intègre des antennes intégrées, une station météo, des caméras de surveillance ultra grand angle et une station de base D-RTK. L’installation se fait en une seule étape et la conception intégrée réduit considérablement la difficulté de déploiement.
Le DJI Dock est également extrêmement facile et pratique à installer et à configurer. Cela peut se faire directement sur place avec la DJI RC Plus permettant un contrôle complet sur le Dock et le M30, les missions et leur programmation, ainsi que les données collectées.
Prêt pour les réglementations avancées : le DJI Dock ouvre de nouvelles possibilités pour de nombreux domaines qui peuvent bénéficier de vols automatisés, tels que l’inspection des infrastructures et la supervision technique. Dans les zones où les drones sont autorisés à voler de manière autonome, sans surveillance ou hors vue du télépilote, le DJI Dock est prêt à permettre ces opérations, avec une supervision à distance depuis un autre emplacement via FlightHub 2[5].
La Zenmuse H20N : un capteur de vision nocturne hybride de qualité Starlight pour le DJI M300 RTKParallèlement au nouvel écosystème de la gamme de produits DJI M30, DJI dévoile également le capteur Zenmuse H20N spécialement conçu pour le drone DJI M300 RTK. La Zenmuse H20N est une solution de capteur hybride qui combine une caméra de vision nocturne de qualité starlight, une caméra d’imagerie thermique à zoom hybride et un télémètre laser à utiliser avec le M300 RTK, apportant une expérience révolutionnaire aux opérations nocturnes. La caméra de vision nocturne de qualité starlight à très faible éclairage peut capturer une scène clairement même dans l’obscurité, établissant une nouvelle norme pour les opérations de recherche et de sauvetage ou les situations d’urgence nécessitant une reconnaissance immédiate. Elle offre une vision nocturne de qualité starlight avec un faible éclairage à 0,0001 Lux, un zoom optique hybride 20x, une caméra d’imagerie thermique de résolution 640×512, un zoom optique 2x \ 8x et un télémètre laser avec une portée de 1200 m.
Disponibilité des nouveaux solutions DJI EnterpriseLe DJI M30 est livré avec la radiocommande RC Plus, un jeu de batteries et un chargeur. Le DJI M30 et le DJI Zenmuse H20N sont disponibles à l’achat via la boutique en ligne DJI et les revendeurs DJI Enterprise. FlightHub 2 aura une période de test gratuite pour tous les utilisateurs à partir d’aujourd’hui jusqu’au 31 octobre 2022. Le DJI Dock est actuellement testé avec des utilisateurs sélectionnés et sera disponible à l’achat à partir du quatrième trimestre 2022.
Trouvez un revendeur DJI Enterprise ici : [https:]]
Pour en savoir plus sur le DJI M30 : [https:]]
Pour en savoir plus sur le DJI Dock : [https:]]
Pour en savoir plus sur le DJI FlightHub 2 : [https:]]
Pour en savoir plus sur le DJI Zenmuse H20N : [https:]]Pour télécharger des photos et des vidéos du DJI M30 et du DJI Dock : cliquez ici
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Olivier Mondon – Responsable Communication DJI Europe (olivier.mondon@dji.com)
DJI est l’un des leaders mondiaux dans le développement et la production de drones civils et de technologies d’images aériennes conçus pour une utilisation de loisir ou professionnelle. DJI a été créée et est dirigée par des passionnés d’aéromodélisme et des experts en technologies de contrôle de vol et en stabilisation d’image. L’entreprise se consacre à rendre plus fiables, plus accessibles et plus faciles la prise de vue et la réalisation aériennes pour tous les créateurs et innovateurs autour du monde. Les activités internationales de DJI s’étendent sur les continents américain, européen et asiatique. Ses produits et solutions révolutionnaires ont été choisis dans plus de 100 pays pour des usages aussi différents que le cinéma, la construction, les inspections, les interventions d’urgence, l’agriculture, la préservation et de nombreux autres secteurs d’activité.
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[2] La disponibilité 4G varie selon les pays et les régions
[3] La disponibilité 4G varie selon les pays et les régions
[4] La disponibilité 4G varie selon les pays et les régions
[5] Le DJI Dock doit être utilisé conformément aux lois et réglementations applicables, et ses fonctions avancées ne peuvent pas encore être utilisées dans les juridictions où un pilote humain doit rester dans la ligne de mire du drone ou maintenir le contrôle physique du drone en tenant une manette.
Cet article DJI permet des vols de nouvelle génération pour les opérateurs de drones professionnels avec une nouvelle génération de systèmes de drones d’entreprise est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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Limit Addict, la suite logicielle qui automatise les projets des Géomètres-Experts complète son module Scanner
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSaint-Pierre-du-Perray, le 16/03/2022 – Limit Addict, la suite logicielle qui automatise la création de plans et de documents administratifs pour les géomètres, complète son module Scanner avec l’extraction automatique de profils en long et en travers, et ajoute l’imagerie pour une identification plus facile des petits objets sur le nuage de points.Thomas Martel est le concepteur de la suite logicielle Limit Addict basée sur le moteur TopStation® réputé pour sa fiabilité. Ingénieur-Géomètre, passionné de programmation informatique et fort d’une expérience de 9 ans au sein d’un cabinet de Géomètre-Expert, Thomas Martel a développé le logiciel métier Limit Addict pour répondre aux problématiques réelles des collaborateurs de cabinet de Géomètre-Expert leur permettant de doper leur productivité en automatisant la plupart des opérations courantes de DAO-CAO et réaliser des plans topographiques et fonciers de qualité en un temps record.
Le module Scanner de la suite logicielle Limit AddictLimit Addict est une suite logicielle basée sur le moteur TopStation® qui propose un workflow puissant de création de plans à partir d’objets permettant de réduire drastiquement les erreurs et d’automatiser les tâches de conception et de génération de documents administratifs. La société complète sa gamme en proposant le module scanner pour accompagner l’utilisateur dans la réalisation de plans à partir de nuage de points. Le logiciel permet de coupler un visualiseur de nuage de points et l’applicatif de dessin DAO-CAO : sur une fenêtre l’utilisateur sélectionne les points sur le nuage de points, sur la 2ème fenêtre, le dessin se construit directement dans l’applicatif DAO-CAO et bénéficiant directement de l’automatisation des tâches. Limit Addict permet de lire tous types de nuage de points LiDAR ou photogrammetrie, qu’ils soient issus de scanner statique, de scanner mobile, de drone.
Nouveau : Limit Addict permet l’extraction automatique des profils en long et en travers, et ajoute l’imagerie au nuage de points pour faciliter l’identification d’objetsLe module Scanner de Limit Addict permet d’extraire automatiquement des profils en long et profils en travers du nuage de points et de dessiner automatiquement dans l’applicatif DAO-CAO. Limit Addict génère automatiquement les rendus paramétrés (par exemple : profils tous les 20 m, avec cartouche société, en pdf).
L’imagerie capturée par les appareils de Mobile Mapping est désormais importée dans le logiciel afin de faciliter la compréhension du nuage du points et permettre d’identifier plus facilement les objets de petite taille. Le module scanner permet également d’importer les données LIDAR Haute Définition issues de campagne de levé réalisée actuellement par l’IGN sur l’ensemble du territoire français.
Plus d’informations :- Vidéo des nouveautés du module Scanner : [https:]]
- Plus d’information sur le produit : [https:]]
- Démonstration et tarifs : [contact@jsinfo.fr]
Créée en 1973, JSInfo est l’éditeur historique de logiciels de topographie en France. Précurseur avec Topojis puis Ascodes et enfin TopStation®, JSInfo met en œuvre toute son expérience et son savoir-faire pour répondre aux exigences du marché des Géomètres mais également aux problématiques des Topographes, bureaux d’études, aux professionnels du BTP et aux collectivités. JSInfo commercialise les applicatifs basés sur le moteur TopStation : les logiciels JSInfo, Limit Addict et l’applicatif HBase.
JSInfo fait partie du groupe ATGT.
Site web : [https:]]
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Sandrine DE MARE-VIVOT
Responsable Marketing & Opérations
Téléphone : +33 1 60 17 34 21
Courriel : contact@jsinfo.fr
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13:34
Geoptis, filiale du groupe La Poste, acquiert la société Global Map Solution, éditeur de plateforme cartographique
sur Décryptagéo, l'information géographiqueGeoptis, filiale à 100 % du groupe La Poste, annonce avoir signé avec la société Global Map Solution un contrat d’acquisition. Celui-ci répond au souhait de Geoptis de renforcer ses actifs en termes de datavisualisation cartographique.
Créée en 2017, Global Map distribue la solution de géointelligence la plus simple d’utilisation, couplée à un écosystème de données territoriales inédit. Grâce à Global Map, chacun transforme ses données territoriales en résultats opérationnels.
Primé à de multiples reprises, Global Map est plébiscité par des milliers d’utilisateurs, décideurs ou data-analystes, dans des grands groupes ou des PME, et dans des secteurs d’activité comme la Banque, l’Assurance, la Distribution, l’Automobile, la Santé, les Services…
L’intégration de Global Map Solution à Geoptis permet de générer de fortes synergies :
- En termes de marché, en combinant secteurs privés adressés par Global Map Solution, et collectivités territoriales, partenaires historiques de Geoptis ;
- En termes de proposition de valeur, avec les capacités de collecte / sourcing de données réalisés par Geoptis, couplées à la plateforme géospatiale de Global Map.
Grâce à la complémentarité des deux entreprises, la future structure se positionne ainsi comme un véritable créateur de données territoriales intelligentes, permettant de révéler les potentiels de la donnée, de la collecte à l’exécution opérationnelle.
Avec l’ambition de s’étendre à l’international, Geoptis prévoit déjà de recruter plus de 20 collaborateurs d’ici fin 2022.
« Cette acquisition marque une nouvelle étape importante dans le développement de notre filiale Geoptis, en vue de développer des solutions véritablement différenciantes sur le marché de la connaissance territoriale. Elle traduit l’ambition forte du groupe La Poste de devenir un partenaire incontournable des collectivités et des entreprises grâce à la fourniture et l’exploitation de la donnée territoriale. » se félicite Jean-Michel Molette, Directeur des nouveaux services de la Branche Services-Courrier-Colis du groupe La Poste.
A propos de Geoptis :
Depuis 2017, Geoptis, filiale à 100 % du Groupe La Poste, accompagne des collectivités de toutes tailles et les aide à optimiser la gestion et l’entretien de leur patrimoine urbain : routes, mobilier urbain, etc. Les véhicules de La Poste sont pour l’occasion équipés de caméras qui filment la route lors des tournées des facteurs. Dès 2018, Geoptis a développé de nouvelles solutions basées sur l’exploitation de vidéos ou la mise en œuvre de nouveaux capteurs, en transposant ses savoir-faire à d’autres usages. Geoptis dispose ainsi de solutions d’audit de la voirie, de géoréférencement, de mesure de la qualité de l’air, de couverture des réseaux mobiles et de mesure de la déperdition thermique des bâtiments et réseaux. Ces solutions sont des outils d’aide à décision au service de l’attractivité des territoires, de l’optimisation des budgets et des politiques publiques.
A propos du Groupe La Poste :
La Poste est une société anonyme à capitaux publics, filiale de la Caisse des Dépôts et de l’État. Le Groupe La Poste est organisé en quatre branches : Services-Courrier-Colis, GeoPost, Grand Public et Numérique, La Banque Postale qui constitue avec sa filiale CNP Assurances un leader européen de la bancassurance et de la finance verte. Neutre en carbone depuis 2012, La Poste distribue 17,9 milliards d’objets par an dans le monde (lettres, imprimés publicitaires et colis), 6 jours par semaine. Attaché à sa présence territoriale, le Groupe compte 17 000 points de contact (bureaux de poste, agences postales communales, relais poste commerçants) et 15 000 points d’accès à un service postal (Pickup, carrés pros, consignes ou encore drive colis). En 2020, le Groupe La Poste a réalisé un chiffre d’affaires de 31,2 milliards d’euros, dont 40% à l’international, et emploie près de 249 000 collaborateurs, dans 48 pays sur 4 continents dont 190 000 en France. Avec son plan stratégique « La Poste 2030, engagée pour vous », l’entreprise publique se fixe l’ambition de devenir la première plateforme européenne du lien et des échanges, humaine et digitale, verte et citoyenne, au service de ses clients dans leurs projets et de la société tout entière dans ses transformations.
Contacts presse Rumeur publique :
- Gilles Senneville – gilles.senneville@rumeurpublique.fr – 06 09 93 03 46
- Christelle Grelou – christelle.grelou@rumeurpublique.fr – 06 46 54 94 51
- Ingrid Jaunet – ingrid.jaunet@rumeurpublique.fr – 06 15 09 17 41
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12:03
La Base Adresse Nationale (BAN) franchit de nouvelles étapes, en poursuivant son action au sein de l’IGN
sur Décryptagéo, l'information géographiqueRéférentiel national partagé des positions géographiques de plus de 25 millions d’adresses sur le territoire français, la Base Adresse Nationale (BAN) est la base de données ouverte d’adresses officiellement reconnue par l’administration. Elle garantit à tous les citoyens la possibilité de détenir une information géographique permettant par exemple que des services d’urgences se rendent au bon endroit ou encore de réaliser une analyse cartographique. Dans une logique de déploiement, la BAN est désormais transférée à l’IGN qui poursuit sa collaboration avec la direction interministérielle du numérique (DINUM) et l’agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) engagées dans le projet depuis 2019.UN SERVICE ESSENTIEL DANS LA VIE QUOTIDIENNE DES FRANÇAIS
La qualité de l’adressage conditionne le fonctionnement de nombreux services aussi bien publics que privés. Au quotidien, les adresses sont des données clés permettant aux services d’urgence (SDIS(1), SAMU, etc.) d’intervenir auprès des personnes qui en ont besoin ; d’assurer le raccordement aux réseaux d’eau et d’énergie ; la distribution du courrier et la livraison de colis ; le déploiement de la fibre optique ; la collecte des déchets ménagers ou encore l’aide aux déplacements par géo-navigation.
Depuis 2019, la BAN est gérée par l’IGN et la DINUM, et la base d’adresse locale (BAL) par l’ANCT, dont le rôle est de faciliter la création des bases d’adresses locales. Aujourd’hui, l’IGN, la DINUM et l’ANCT renforcent leur collaboration pour faire de la BAN un bien commun.
LES COMMUNES AU CENTRE DU DISPOSITIF D’ADRESSAGEDepuis peu, la loi « 3DS »(2) confirme que les communes, responsables de la création des voies et des adresses par l’intermédiaire du conseil municipal qui gère la dénomination des noms de rues, fournissent leurs adresses dans le format standardisé BAL afin qu’elles soient intégrées dans la BAN. Pour répondre à ces obligations règlementaires et alimenter plus facilement et rapidement la BAN, les communes peuvent créer directement sur Mes Adresses leurs bases adresses locales (BAL) contenant toutes les informations liées aux adresses de leur territoire pour ensuite les reverser dans la BAN. La BAN et les BAL ne contiennent aucune donnée nominative, mais renseignent la position géographique des adresses.
RÉORGANISER POUR UNIFIER ET PÉRENNISER LA BANL’IGN, l’ANCT, et la DINUM collaborent pour garantir une phase de convergence douce vers la BAN unique de référence. Parmi les chantiers engagés : l’ANCT est garante de l’animation auprès des collectivités, pour les accompagner dans la mise en œuvre de la loi 3DS et la création de leurs adresses. L’IGN cesse les mises à jour de ses outils et bases historiques – la base de données « BD Adresse » et le site « Guichet Adresse » – et implique ses équipes dans l’administration de la BAN. Le contenu du Guichet Adresse migre progressivement vers la BAN et Mes Adresses sera désormais l’outil de référence de création d’adresses par les communes. Les développeurs de la BAN de la DINUM intègrent l’IGN pour accompagner le transfert des outils et la mise en place des évolutions. Des ateliers « Adresse-lab » de co-construction viennent renforcer ce dispositif dès mars. Enfin le déploiement associera les grands acteurs nationaux en articulation avec le CNIG.
La Base Adresse Nationale est l’une des neuf bases de données du service public des données de référence. Elle est la base de données ouverte d’adresses officiellement reconnue par l’administration. Service numérique d’usage partagé et infrastructure socle sur laquelle sont adossées de nombreuses politiques publiques, elle fait partie du système d’information et de communication de l’État et est à ce titre placée sous la responsabilité du Premier ministre. Le ministère de la Transformation et de la Fonction publiques soutient ce projet à hauteur de 774 K€ dans le cadre de France Relance.
La BAN est disponible en licence ouverte Etalab 2.0 pour toute utilisation depuis le 1er janvier 2020 sur adresse.data.gouv.fr
En savoir plus : [https:]]
(1) Services départementaux d’incendie et de secours
(2) Loi relative à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration et portant diverses mesures de simplification de l’action publique locale
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est un établissement public placé sous la tutelle des ministères chargés de l’écologie et de la forêt. Sa vocation est de produire et diffuser des données (open data) et des représentations (cartes en ligne et papier, géovisualisation) de référence relatives à la connaissance du territoire national et des forêts françaises ainsi que de leur évolution. À travers son école d’ingénieur, ENSG-Géomatique, et à ses équipes de recherche, l’institut cultive un potentiel d’innovation de haut niveau dans de multiples domaines (géodésie, forêt, photogrammétrie, intelligence artificielle, analyse spatiale, visualisation 3D, etc.).
En savoir plus : [https:]]
La direction interministérielle du numérique (DINUM) est en charge de la transformation numérique de l’État au bénéfice du citoyen comme de l’agent, sous tous ses aspects : modernisation du système d’information de l’État, qualité des services publics numériques, création de services innovants pour les citoyens, outils numériques de travail collaboratif pour les agents.
Elle pilote, avec l’appui des ministères, le programme TECH.GOUV d’accélération de la transformation numérique du service public ainsi que la mise en œuvre du volet Transformation numérique de l’État et des territoires du plan France Relance.
La DINUM est un service du Premier ministre qui intervient sous l’autorité de la ministre de la Transformation et de la Fonction publiques.
En savoir plus : [https:]]
Créée au 1er janvier 2020, l’Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) est un nouveau partenaire pour les collectivités locales qu’elle accompagne dans leurs projets de territoire. Elle anime des pactes territoriaux et des programmes nationaux comme France Services, Action cœur de ville, Petites Villes de demain, France Très Haut Débit…
L’ANCT développe également une offre de services sur mesure en matière d’ingénierie de projet, avec une approche « cousue main » pour répondre au plus près de leurs besoins spécifiques et locaux.
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9:20
La TeleScop s’associe au spécialiste de la pollution lumineuse DarkSkyLab
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa startup coopérative montpelliéraine La TeleScop est rentrée en mars 2022 dans le capital de DarkSkyLab, bureau d’étude toulousain spécialisé dans l’expertise scientifique de la pollution lumineuse.Acquisition Jilin-1 de CG Satellite du 4 nov. 2021 sur la Métropole du Grand Paris (dans le coin supérieur droit, l’aéroport Charles De Gaulle) – Distribution La TeleScop – Fond de carte : BD ORTHO® – IGN
Acteur de référence pour l’étude des impacts de l’éclairage sur l’environnement nocturne, DarkSkyLab a proposé à La TeleScop d’entrer à son capital afin de renforcer une collaboration de longue date portée par les deux fondateurs, Sébastien Vauclair et Bastien Nguyen Duy-Bardakji, sur le sujet de la pollution lumineuse. Ce partenariat a notamment permis la production en 2021 de la première cartographie régionale de pollution lumineuse à partir des données satellitaires réalisée pour la Région Occitanie. Une étude similaire est en cours à l’échelle de la Métropole du Grand Paris en collaboration avec TerrOïko, qui fait également son entrée au capital de DarkSkyLab.
Grâce à son partenariat de distribution avec CG Satellite, fournisseur d’images satellitaires de nuit à haute définition, La TeleScop va permettre au moteur de simulation Otus développé par DarkSkyLab de disposer de nouveaux types de données pour produire des cartes de diffusion de la lumière à l’échelle de territoires toujours plus fins. DarkSkyLab et La TeleScop collaboreront également à la recherche et au développement sur les biais de la modélisation de la pollution lumineuse : halo lumineux, effets barrière, lumière bleue…
Produire une cartographie de pollution lumineuse de référence, l’ambition des associés pourrait aller bien au-delà des frontières nationales, le modèle Otus n’ayant pas encore d’équivalent à l’international. Enfin, le ciel semble ne pas être une limite aux rêves des deux associés : l’astrophysicien et l’ingénieur en capteurs satellitaires souhaitent lancer une réflexion avec les agences spatiales et industriels français et européens autour du développement de technologies spatiales dédiées à l’acquisition d’images nocturnes.
Créé en 2014, DarkSkyLab est un bureau d’étude spécialisé dans l’expertise scientifique de la pollution lumineuse et de ses impacts sur les écosystèmes. DarkSkyLab propose des services de diagnostics d’éclairage public et privés pour en optimiser l’usage afin de protéger l’environnement nocturne et réaliser des économies sur les dépenses énergétiques. DarkSkyLab a développé le moteur de simulation de pollution lumineuse Otus et le système de mesure de la pollution lumineuse en continu Ninox.
Créée en 2018, La TeleScop est une société coopérative et participative (SCOP) spécialisée en télédétection, cartographie et appui aux politiques publiques. La TeleScop répond aux besoins des acteurs publics et privés en acquisition, production et exploitation de données spatialisées dans les domaines de l’environnement et l’aménagement du territoire. La TeleScop est partenaire de distribution des principaux fournisseurs internationaux de données satellitaires : Airbus (France), Planet (USA), CG Satellite (Chine).
Créé en 2012, TerrOïko développe des technologies numériques innovantes destinées au traitement, à l’analyse et à la modélisation de données au service de la biodiversité. TerrOïko exploite le logiciel de modélisation SimOïko, destiné à la simulation des dynamiques de populations d’espèces.
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9:33
IGO lance Territoire 3D, un web service pour visualiser et télécharger des territoires modélisés en 3D
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCe 10 mars 2022, IGO, leader de la 3D territoriale et filiale de GEOFIT GROUP, annonce officiellement la sortie de sa solution Territoire 3D, un web service pour visualiser et télécharger des territoires modélisés en 3D.Pour ce faire, quelques clics suffisent. L’utilisateur navigue sur la France en trois dimensions, modélisée à partir des référentiels de données de l’IGN. Il dessine l’emprise du territoire qu’il souhaite télécharger et obtient immédiatement un fichier 3D exploitable dans tous les formats.
Territoire 3D permet aux acteurs privés de l’aménagement et de la gestion des risques de contextualiser, dans leurs propres outils et applications, leurs données multi-sources et projets dans leur territoire : patrimoine, nuages de points, BIM, IoT, couches SIG, etc.
Territoire 3D donne de la valeur aux études techniques, facilite l’aide à la décision, la communication et favorise une compréhension partagée.
Territoire 3D peut être associé aux autres solutions IGO et ainsi bénéficier d’une richesse fonctionnelle unique sur le marché, avec la capacité de publier sur le web ses données, maquettes et projets, le tout avec performance.
Entreprise Nîmoise créée en 2009, IGO propose des solutions d’exploitation en 3D des données massives et multi-sources. Leader français de la 3D territoriale, IGO révèle le territoire de ses clients : maquettes et photomaillages 3D, plateformes cartographiques collaboratives en temps réel et interfaces dans des applications métiers.
IGO propose une expertise forte et des technologies géospatiales 3D pour faciliter l’accès aux données techniques de plus en plus massives, les valoriser et les transformer en outils d’aide à la décision. IGO accompagne ses clients dans leur transformation numérique à répondre aux enjeux majeurs de la Smart City, du changement climatique ou encore de la sécurité.
IGO devient une filiale de GEOFIT GROUP en 2021.
Contact presse : igo@igo.fr
GEOFIT GROUP trouve son cœur de métier dans l’acquisition et l’exploitation de la donnée géospatiale afin d’en assurer sa compréhension et sa valorisation. Société française de géomètres créée en 1968 à Nantes, GEOFIT GROUP rassemble aujourd’hui plus de 1000 collaborateurs à travers ses trois entités : GEOFIT, GEOFIT EXPERT et IGN FI. Avec vingt établissements en France et trois à l’international, GEOFIT GROUP est un acteur majeur de la géomatique qui intervient dans le monde entier. À l’échelle d’un micron comme d’un pays, GEOFIT GROUP apporte ses services d’ingénierie et d’expertises foncières pour répondre aux enjeux d’aménagement du territoire. GEOFIT GROUP innove et contribue chaque jour à donner du pouvoir à vos données.
Contact presse : b.lopez@geofit-group.fr – 07 86 62 41 37
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10:28
Delta Drone et Volatus Aerospace Corp. créent un groupe leader du secteur des drones, présent sur tous les continents
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDelta Drone annonce la signature d’un accord (l’« Accord ») avec Volatus Aerospace Corp. (« Volatus »), société canadienne dont les actions sont cotées sur le marché TSX Venture Exchange à Toronto (TSXV: VOL) et sur le marché OTCQB Venture Market aux Etats-Unis (OTCQB: VLTTF), pour former un groupe de dimension mondiale leader du secteur des drones, le seul présent sur tous les continents. Selon les termes de l’Accord, Volatus prendra à terme une participation de 45% dans le capital de Delta Drone.Emesent Hovermap
En vertu de l’Accord, Volatus investira dans le capital de Delta Drone en deux temps, afin de détenir (i) dans un premier temps environ 20% du capital social et des droits de vote de Delta Drone au plus tard le 30 avril 2022 (le « Premier Investissement ») et (ii) dans un second temps environ 45% du capital social et des droits de vote de la Société au plus tard le 15 mai 2022 (le « Second Investissement » et, avec le Premier Investissement l’« Investissement »).
Afin de marquer l’alliance des deux groupes et sa dimension internationale, une nouvelle gouvernance sera mise en place au sein de Delta Drone à la date de réalisation du Premier Investissement. Deux représentants de Volatus seront ainsi désignés administrateurs de Delta Drone en remplacement de deux administrateurs démissionnaires et les fonctions de Président du Conseil d’administration et de Directeur Général seront dissociées : Glen Lynch, Président Directeur Général de Volatus, sera désigné Président en qualité de « Executive Chairman » tandis que Christian Viguié, actuel Président Directeur Général de Delta Drone, continuera à assurer la Direction Générale.
« Delta Drone, sa filiale Delta Drone International et Volatus Aerospace sont fortement complémentaires et cet accord matérialise mon ambition de créer un acteur véritablement mondial, capable de répondre aux besoins d’une clientèle de grands comptes à travers le monde », a déclaré Christian Viguié, Président Directeur Général de Delta Drone. « Avec des solutions technologiques et des services associés prêts à être déployés, nous allons pouvoir nous concentrer sur leur commercialisation au service d’une accélération de notre croissance. »
« La combinaison des opérations de Delta Drone en Europe, en Australie et en Afrique avec les opérations de Volatus Aerospace au Canada, aux États-Unis et en Amérique latine se traduira par la création d’un groupe mondial d’entreprises avec plus de 500 employés permanents et 1 200 sous-traitants, et créera des services techniques et commerciaux et des synergies sur les cinq continents », a déclaré Glen Lynch, Président Directeur Général de Volatus. « Cet accord offre à Delta Drone et à Volatus Aerospace un accès commun à des technologies et à une expertise qui élargissent les portefeuilles de produits et de services des deux sociétés et créent une organisation capable de servir les principaux intérêts des clients du monde entier. »
Conditions suspensives
La réalisation de l’Investissement est soumise à la réalisation de conditions suspensives usuelles et des conditions suspensives suivantes :
- Le Premier Investissement est soumis à l’autorisation préalable du Ministère de l’Economie et des Finances français au titre du contrôle des investissements étrangers et l’obtention d’un waiver au titre du contrat de financement en ORNANs mis en place par Delta Drone avec Yorkville Advisors le 14 octobre 2020 ;
- Le Second Investissement est soumis à la réalisation du Premier Investissement et à l’autorisation préalable du régulateur Ontario Securities Commission (OSC) et de la bourse de Toronto TSX Inc.
Structure juridique
Afin de permettre la réalisation de l’Investissement en deux temps, Volatus souscrira à la date de réalisation du Premier Investissement les titres suivants à émettre par Delta Drone dans le cadre d’une émission décidée par le Conseil d’administration de Delta Drone le 3 mars 2022 en vertu de la délégation de compétence conférée par l’Assemblée Générale Mixte le 27 décembre 2021 au titre de sa septième résolution :
- Un nombre d’actions nouvelles (les « Actions Nouvelles ») représentant, à la date du Premier Investissement, 20% du capital social et des droits de vote de Delta Drone (soit, à titre indicatif sur la base du capital social au jour de la signature de l’Accord, soit 824 062 171 Actions Nouvelles) ;
- 1 030 202 589 bons de souscription d’actions dont les caractéristiques sont présentées en Annexe 1 (les « BSA Optionnels ») et permettant à Volatus, sur exercice, d’atteindre 45% du capital social et des droits de vote de Delta Drone à la date de réalisation du Second Investissement ;
- Un nombre maximal de 5 000 000 000 bons de souscription d’actions dont les caractéristiques sont présentées en Annexe 2 (les « BSA Anti-Dilutifs») et permettant à Volatus, sur exercice, de maintenir sa participation à 20%, puis à 45%, tant que les instruments dilutifs existants seront en circulation[1].
Prix des Actions Nouvelles : Le prix de souscription des Actions Nouvelles sera égal au cours quotidien moyen pondéré par les volumes (VWAP) des actions ordinaires de Delta Drone sur le marché Euronext Growth Paris sur une période de dix jours de bourse précédant la date de réalisation du Premier Investissement, diminué d’une décote de 35%, étant précisé qu’il ne pourra en aucun cas être supérieur au prix de 0,0007 euro correspondant à la même formule de prix appliquée à la date de signature de l’Accord, soit le 3 mars 2022.
Prix des BSA et des actions nouvelles sur exercice des BSA : Les BSA Optionnels et les BSA Anti-Dilutifs seront attribués gratuitement à Volatus. Le prix de souscription des actions nouvelles émises sur exercice des BSA Optionnels et des BSA Anti-Dilutifs, le cas échéant, sera identique au prix de souscription des Actions Nouvelles.
Actions ordinaires : Les Actions Nouvelles et les actions nouvelles émises sur exercice des BSA Optionnels et des BSA Anti-Dilutifs seront des actions ordinaires portant jouissance courante et seront entièrement assimilables aux actions existantes. Elles seront admises aux négociations sur Euronext Growth Paris au fur et à mesure de leur émission, sur la même ligne de cotation que les actions existantes.
Participation de Volatus : Il est expressément prévu dans l’Accord que les nouveaux titres ne pourront en aucun cas amener Volatus à détenir plus de 45% du capital social et des droits de vote de Delta Drone, sauf en cas de franchissement passif de ce seuil par Volatus.
Dilution
A titre indicatif, l’incidence de l’émission des Actions Nouvelles et de l’exercice des BSA Optionnels (hors BSA Anti-Dilutifs) sur la participation dans le capital d’un actionnaire détenant 1% du capital social de la Société préalablement à l’opération serait la suivante (sur la base du nombre d’actions composant le capital de la Société à la date du présent communiqué, soit 3 296 648 284 actions) :
Participation de l’actionnaire (%) Base non diluée Base diluéea Avant émission des Actions Nouvelles 1,00% 0,25% Après émission des Actions Nouvelles 0,80% 0,23% Après émission des Actions Nouvelles et exercice de l’intégralité des BSA optionnelsb 0,64% 0,22% a En supposant l’exercice et/ou la conversion de l’ensemble des instruments dilutifs existants et pouvant conduire à la création d’un nombre maximum théorique de 10 002 070 479 actions nouvelles.
b Hors exercice de l’intégralité des BSA Anti-Dilutifs, lesquels ne pourront être exercés que pour maintenir la participation de Volatus dans le capital de la Société, en fonction de l’exercice et de la conversion des instruments dilutifs existants.
Annexe 1
Principales caractéristiques des BSA Optionnels
- Prix de souscription : Les BSA Optionnels seront attribués gratuitement à Volatus.
- Période d’exercice : A compter de la date d’émission des BSA Optionnels (correspondant à la date de réalisation du Premier Investissement) jusqu’à la date de réalisation du Second Investissement.
- Parité : Chaque BSA Optionnel donnera droit à Volatus de souscrire à une action ordinaire nouvelle.
- Prix d’exercice : Le prix d’exercice sera égal au cours quotidien moyen pondéré par les volumes (VWAP) des actions ordinaires de Delta Drone sur le marché Euronext Growth Paris sur une période de dix jours de bourse précédant la date de réalisation du Premier Investissement, diminué d’une décote de 35%, étant précisé qu’il ne pourra en aucun cas être supérieur au prix de 0,0007 euro correspondant à la même formule de prix appliquée à la date de signature de l’Accord, soit le 2 mars 2022.
- Conditions d’exercice : Les BSA Optionnels ne pourront être exercés qu’afin de permettre à Volatus d’accroître sa détention directe et indirecte jusqu’à 45% du capital social et des droits de vote de Delta Drone sur une base totalement diluée, étant précisé que l’exercice des BSA Optionnels ne pourra en aucun cas amener Volatus à détenir directement et indirectement plus de 45% du capital social et des droits de vote de Delta Drone.
- Caducité : Les BSA Optionnels expireront automatiquement à l’expiration de la Période d’Exercice ou à la date à laquelle la détention directe et indirecte de Volatus représentera 45% du capital social et des droits de vote de Delta Drone sur une base entièrement diluée.
- Absence de cotation des BSA : Les BSA Optionnels ne seront pas admis aux négociations sur un quelconque marché financier.
- Actions nouvelles : Les actions nouvelles émises sur exercice des BSA Optionnels seront admises aux négociations sur Euronext Growth à compter de leur date d’émission, porteront jouissance courante et seront entièrement assimilées et fongibles avec les actions existantes.
Annexe 2
Principales caractéristiques des BSA Anti-Dilutifs
- Prix de souscription : Les BSA Anti-Dilutifs seront attribués gratuitement à Volatus.
- Période d’exercice : A compter de la date d’émission des BSA Anti-Dilutifs (correspondant à la date de réalisation du Premier Investissement) jusqu’à la date qui se situe trois mois après l’expiration ou l’échéance de tous les Instruments Dilutifs Existants (tel que définis dans l’Accord), soit en principe trois mois suivant le 28 février 2026.
- Parité : Chaque BSA Anti-Dilutif donnera droit à Volatus de souscrire à une action ordinaire nouvelle.
- Prix d’exercice : Le prix d’exercice sera égal au cours quotidien moyen pondéré par les volumes (VWAP) des actions ordinaires de Delta Drone sur le marché Euronext Growth Paris sur une période de dix jours de bourse précédant la date de réalisation du Premier Investissement, diminué d’une décote de 35%, étant précisé qu’il ne pourra en aucun cas être supérieur au prix de 0,0007 euro correspondant à la même formule de prix appliquée à la date de signature de l’Accord, soit le 2 mars 2022.
- Conditions d’exercice : Les BSA Anti-Dilutifs ne pourront être exercés qu’afin de permettre à Volatus de maintenir sa détention directe et indirecte dans Delta Drone :
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- pour la période allant de la date de signature de l’Accord jusqu’à la date de réalisation du Second Investissement, à hauteur de 20% du capital social et des droits de vote de Delta Drone sur une base entièrement diluée ;
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- pour la période débutant à l’issue de la date de réalisation du Second Investissement, à hauteur de 45% du capital social et des droits de vote de Delta Drone sur une base entièrement diluée ;
étant précisé que l’exercice des BSA Anti-Dilutifs ne pourra en aucun cas amener Volatus à détenir directement et indirectement plus de 20% ou 45% du capital social et des droits de vote de Delta Drone, selon la période concernée, sauf en cas de franchissement passif dudit seuil par ce dernier.
- Caducité : Les BSA Anti-Dilutifs expireront automatiquement à l’expiration de la Période d’Exercice.
- Absence de cotation des BSA : Les BSA Anti-Dilutifs ne seront pas admis aux négociations sur un quelconque marché financier.
- Actions nouvelles : Les actions nouvelles émises sur exercice des BSA Anti-Dilutifs seront admises aux négociations sur Euronext Growth à compter de leur date d’émission, porteront jouissance courante et seront entièrement assimilées et fongibles avec les actions existantes.
A propos de Delta Drone :
Le Groupe Delta Drone est un acteur international reconnu du secteur des drones civils à usage professionnel. Il développe une gamme de solutions professionnelles basées sur la technologie des drones ainsi que tous les services associés qui forment une chaine de valeur complète.
L’action Delta Drone est cotée sur le marché Euronext Growth Paris – Code ISIN : FR0011522168
Sont également cotés sur Euronext Growth des BSA Y – Code ISIN : FR 0013400991
À propos de Volatus Aerospace : Volatus Aerospace Corp. est l’un des principaux fournisseurs de solutions de drones intégrés au Canada, aux États-Unis et en Amérique latine. Exploitant un vaste réseau de pilotes, Volatus dessert les marchés commerciaux et de la défense avec l’imagerie et l’inspection, la sécurité et la surveillance, la vente et l’assistance d’équipements, la formation et la conception, la fabrication et la R&D. Par l’intermédiaire de sa filiale Volatus Aviation, Volatus exerce des activités de gestion d’aéronefs, de vente d’affrètement et de services de fret à l’aide d’aéronefs pilotés, télépilotés et autonomes. La société est cotée en bourse au Canada (TSXV:VOL) et aux États-Unis (OTC:VLTTF).
Contacts investisseurs : Contact presse :
Jérôme Gacoin Marie-Laure Laville +33 1 75 77 54 65 +33 1 55 02 15 13 jgacoin@aelium.fr ml.laville@open2europe.com Sarah Ousahla
+33 1 55 02 15 31
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10:23
Le Groupe STERNE choisit Mapotempo by Woop pour optimiser ses tournées
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSTERNE Express, filiale du Groupe STERNE, fait appel depuis septembre 2021 au savoir-faire de Mapotempo by Woop, spécialiste du numérique et de la logistique, dans l’optimisation de ses tournées.STERNE Express perfectionne ses livraisons et s’ouvre à de nouveaux clients en utilisant le logiciel conçu par Mapotempo pour la planification, la gestion et l’organisation de ses tournées.
La solution déployée pour STERNE Express se base sur le calcul en temps réel d’itinéraires optimisés selon le trafic routier. Ces statistiques transmises instantanément permettent de concilier rapidité de livraison et optimisation du nombre de kilomètres parcourus. Ainsi, depuis la mise en place de ce service, STERNE Express a réduit de 20 à 25% le nombre de kilomètres parcourus par mois. Et a augmenté de 50% le nombre de ses tournées quotidiennes, désormais au nombre de 150 simplement pour l’Île-de-France.
Par ailleurs, ce logiciel permet à STERNE Express de renforcer la traçabilité de ses livraisons grâce à la fonctionnalité du Proof Of Delivery de livraisons transmises aux clients livrés. Ce contrôle numérique qui met à jour toutes les informations liées à la livraison, est un élément fondamental pour accélérer le dernier maillon de la chaîne logistique.
« Stratégiquement, travailler avec cette solution a permis à STERNE Express d’accélérer son développement auprès de clients spécialisés dans le e-commerce. Ainsi, 200 véhicules de notre flotte sont équipés de ce logiciel ce qui nous permet de répondre efficacement aux exigences de rapidité. » – Hervé Frouin, Directeur des Opérations de STERNE Express, filiale du Groupe STERNE.
« Nous sommes très fiers d’accompagner STERNE Express sur l’activité e-commerce où les notions de volume et de rapidité de déploiement nous obligent à de l’excellence en termes de scalabilité et de robustesse » – Mehdi Jabrane, Directeur Général Mapotempo by Woop.
À propos de Mapotempo
Passionnés par la cartographie numérique et la logistique, les fondateurs de Mapotempo, Frédéric Rodrigo et Mehdi Jabrane ont pour ambition de mettre à la disposition de tous, la nouvelle génération des solutions d’optimisation : ouvertes, accessibles, simples à utiliser et performantes. En novembre 2021, Mapotempo intègre l’entreprise Woop dans le but d’accélérer sa croissance dans la livraison du dernier kilomètre. L’intégration de Mapotempo auprès de Woop permet au nouveau regroupement de maîtriser l’orchestration (avec la plateforme Woop) et l’exécution (avec les outils Mapotempo) de la livraison du dernier kilomètre, soit l’amont et l’aval du Last Mile Delivery.
STERNE Express en quelques mots
STERNE EXPRESS est une référence dans la livraison Express en France et à l’international de petits colis, en BtoB mais également BtoC. Pour collecter et livrer les marchandises qui lui sont confiées, STERNE EXPRESS dispose d’un accès direct au réseau SKYNET. Avec 35 ans d’existence, 1100 sites opérationnels et 8 hubs stratégiques situés à Francfort, Dubaï, Hong-Kong, Johannesburg, New York, Miami, Singapour, et Sydney, ce réseau express international permet de couvrir 210 pays dans le monde et de répondre aux demandes les plus variées.
STERNE EXPRESS assiste ses clients dans tous les aspects de la livraison, quel que soit leur secteur d’activité et les accompagne dans la gestion de leurs formalités douanières, à l’import comme à l’export
Contacts Presse
Groupe STERNE : Agence AUVRAY & ASSOCIÉS- 223, bd Pereire – 75017 Paris
Salomé DEBRARD c.morel@auvray-associes.com– s.debrard@auvray-associes.com – Tél : 01 58 22 25 98
Christophe MOREL c.morel@auvray-associes.com– c.morel@auvray-associes.com – Tél : 01 58 22 27 75Charlène GUIDEZ – c.guidez@auvray-associes.com
Mapotempo by Woop : Agence Presse & Cie – 43 Rue de Saint-Amand, 59100 Roubaix
Laetitia MUNOZ – lmunoz@presse-cie.com – Tél : 06 20 49 90 39
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15:41
Les satellites Galileo de deuxième génération prêts à naviguer vers le futur
sur Décryptagéo, l'information géographique– Conception préliminaire des satellites Airbus validée
– Préparation à la production industrialiséeFriedrichshafen, le 08 mars 2022 – Airbus a clôturé avec succès la revue de conception préliminaire (PDR) de son système satellitaire de navigation pour la deuxième génération de Galileo. Au cours de cette étape importante, la conception proposée par Airbus et les spécifications définies par le client ont été entièrement examinées et approuvées.
Ceci ouvre la voie à une validation et une vérification plus poussées des équipements et modules des satellites. La vérification de la charge utile est bien avancée, et la revue critique de conception (CDR) pour la plateforme du satellite est également prévue sous peu.
Parallèlement le site Airbus à Friedrichshafen en Allemagne prépare l’installation d’une chaîne de production industrialisée pour les six satellites Galileo de deuxième génération prévus à ce jour. Le centre d’intégration des satellites est en cours de modernisation complète afin de répondre aux exigences actuelles et futures d’une production efficiente, respectueuse de l’environnement et de la sécurité. La deuxième génération de Galileo est la clé de voûte des services européens de navigation par satellite dont bénéficieront les citoyens européens et les milliards d’utilisateurs dans le monde, soutenue par le savoir-faire d’ environ 200 ingénieurs spatiaux hautement qualifiés d’Airbus. Le lancement des premiers de ces satellites est prévu en 2024.
Le monde de la navigation spatiale doit faire face à l’évolution des exigences des utilisateurs (en termes de disponibilité et fiabilité), à l’augmentation des menaces (brouillage et usurpation) et de l’évolution des autres systèmes de navigation. Cette nouvelle génération de satellites construits par Airbus apporte la réponse à ce contexte en mutation et offrira un service Galileo plus précis, plus sécurisé, plus fiable et adaptable tout au long de sa durée de vie, qui s’étendra sur deux décennies.
D’une masse de 2.3 tonnes environ, chaque satellite est conçu pour une quinzaine d’années en opération. La plate-forme pour orbite terrestre moyenne (MEO), à la pointe de la technologie et entièrement électrique, réutilise des systèmes éprouvés en orbite, issus des programmes de télécommunications et d’observation de la Terre d’Airbus. La charge utile de navigation qui est flexible, modulaire et dotée de capacité d’évolution met également à profit l’expertise en matière de télécommunication spatiale pour la gestion de faisceaux et la génération de signal.
Galileo est géré et financé par l’Union Européenne. La Commission Européenne, l’ESA (Agence Spatiale Européenne) et EUSPA (Agence de l’Union Européenne pour le Programme Spatial) ont signé un accord qui confie à l’ESA la maîtrise d’œuvre pour la conception et le développement du système pour le compte de la Commission Européenne, et à l’EUSPA l’exploitation et la direction des opérations de Galiléo. Les opinions exprimées dans ce communiqué de presse ne peuvent en aucun cas être considérées comme le reflet de l’opinion de l’Union Européenne et/ou de l’ESA.
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9:21
Aux Interconnectés : les territoires au cœur des enjeux du numérique
sur Décryptagéo, l'information géographiquePlus de 700 personnes ont fait le déplacement à Nantes pour participer aux Interconnectés, tandis que 130 écoutaient à distance les grands débats. Parmi ceux-ci, la présentation d’un manifeste « pour réussir la transformation numérique responsable dans les territoires », portées par la Belle Alliance, qui réunit 10 associations d’élus représentatives des collectivités territoriales : AMF, AMRF, APVF, Avicca, FNCCR, France urbaine, Intercommunalités de France, Interconnectés, OpendataFrance et Villes de France. Qu’autant d’associations de représentants de collectivités s’expriment d’une seule voix est une première.Cliquez sur l’image pour ouvrir le manifeste
Avec leurs 20 propositions regroupées en 5 priorités, les auteurs entendent bien interpeler les candidats à l’élection présidentielle afin que soit déployée une politique ambitieuse du numérique, mais pas à n’importe quel prix. En effet, le manifeste insiste sur le besoin de rétablir la confiance dans le numérique, de penser un numérique émancipateur pour tous et partout, de s’engager vers plus de sobriété écologique et de responsabilité économique. Les élus appellent également à la création d’un fonds de péréquation pour garantir la couverture de tous les territoires en infrastructures numériques, l’arrêt des appels à projets qui mettent les territoires en concurrence les uns avec les autres, la création d’un véritable ministère du numérique de plein droit, en lien avec les territoires. Bref, ils attendent du prochain gouvernement une véritable stratégie politique numérique qui reconnaisse la place centrale des territoires.
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9:55
Portes Ouvertes Atol CD : venez découvrir nos équipes, expertises et postes à pourvoir
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAtol Conseils et Développements, entreprise de services numériques basée à Gevrey-Chambertin et Dijon ouvre les portes de son agence dijonnaise le jeudi 24 mars 2022 à partir de 16h. Notre objectif ? permettre aux étudiants et développeurs, chefs de projet, data analystes à la recherche d’un stage, d’une alternance ou d’un emploi, mais aussi à nos partenaires locaux de découvrir notre agence, nos équipes et nos expertises sur nos projets. Une après-midi sous le signe de l’échangeNos équipes, Métier, Data, Agri-Agro, Social, Dématérialisation, RPA, … seront disponibles pour présenter les projets en cours que nous développons pour nos clients, pour échanger sur les technologies mais aussi pour présenter les différentes offres d’emploi, stage et alternance que nous proposons en 2022 : développeur-euses, chef-fes de projet, consultant-es, …
Une action en accord avec nos ambitions RSEAtol CD entretient depuis sa création en 2000 une culture d’entreprise forte basée sur des valeurs essentielles : esprit d’équipe, collaboration, ouverture, open source, autonomie, implication métier, excellence technique …
“En 2022, nous avons fait le choix de mettre en mots nos engagements avec la rédaction d’une charte RSE mettant en lumière nos 4 piliers correspondant à nos 4 grands engagements : la qualité de vie au travail et le bien-être des salariés, l’égalité des chances et la diversité, le numérique responsable et l’ancrage territorial. Cette action Portes Ouvertes est tout à fait en accord avec nos valeurs, notamment notre positionnement géographique qui constitue une véritable force. D’ailleurs, nous prévoyons dans les mois à venir l’ouverture de deux nouvelles agences : une agence supplémentaire à Dijon (en plus de celle du centre ville) et la création d’une agence à Besançon” Jean-Philippe Porcherot, Président d’Atol CD
Venez nous rencontrer le 24 mars !Partenaires, étudiants, demandeurs d’emploi et toutes personnes curieuses ouvertes à de nouvelles opportunités dans le domaine de l’informatique, nous vous accueillons dans nos locaux dijonnais situés 4 bis rue Dr Maret, à deux pas de la place Darcy entre 16h et 19h pour rencontrer nos équipes !
A propos d’Atol CDATOL Conseils et Développements conçoit et développe des applications métier au profit d’acteurs majeurs des secteurs publics et privés en France. Conception, développement, exploitation, Atol CD propose une démarche à 360, de l’expérience utilisateur à l’infogérance avec des expertises fortes pour concevoir et réaliser les projets : développement web et mobile, expertise SIG open source, GED, BPM, RPA, BI, big data, plateforme IOT, API management…https://www.atolcd.com
Contact presse : Caroline Chanlon, responsable communication c.chanlon@atolcd.com / 06 81 38 25 16
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9:37
Planet Labs PBC présente la nouvelle génération de PlanetScope
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSAN FRANCISCO – 1er mars – Planet Labs PBC (NYSE : PL), l’un des principaux fournisseurs de données satellites quotidiennes sur la Terre, présente la nouvelle génération de PlanetScope Monitoring, sa solution de surveillance par satellites. Passant de quatre à huit bandes spectrales, PlanetScope offre également des améliorations dans le but de fournir des données satellites de meilleure qualité et plus cohérentes, permettant une analyse approfondie de l’évolution des changements observés.
Une série de nouvelles améliorations« Planet fournit à ses clients les données les plus actuelles et les plus précises possibles. Nous sommes ravis de cette nouvelle version, car nous savons qu’elle améliore les prises de décision de nos clients, grâce à des données fiables à l’échelle mondiale. Nos clients et partenaires utiliseront les nouvelles fonctionnalités pour affiner leurs analyses et solutions dans de nombreux secteurs », déclare Jim Thomason, Vice-Président Imagerie de Planet.
Les améliorations apportées à la nouvelle génération de PlanetScope Monitoring visent notamment à réduire le temps de traitement des données avant leur analyse. Les données satellites de PlanetScope sont plus nettes et ont moins d’artefacts de capteur, améliorant ainsi la visualisation des changements. Les données analytiques de PlanetScope sont étalonnées par rapport à Sentinel-2. Elles présentent un meilleur alignement des bandes spectrales, assurant une analyse précise des séries chronologiques et des modèles d’apprentissage automatique. De plus, les données de PlanetScope comprennent désormais plus de bandes spectrales (bleue, jaune, un deuxième vert et proche infrarouge), assurant une meilleure compréhension des changements physiques.
Les données PlanetScope fournissent déjà aux clients des informations essentielles pour la gestion des ressources naturelles et de la sécurité. Elles sont utilisées quotidiennement pour surveiller les zones humides, mener des recherches sur le climat, analyser les régions agricoles et apporter une réponse d’urgence aux personnes qui aident les populations victimes de catastrophes naturelles. Avec la nouvelle génération de PlanetScope, les clients de Planet seront désormais en mesure d’accéder à des données encore plus détaillées afin d’aider rapidement les personnes sur le terrain – des agronomes aux fonctionnaires.
Retours des premiers utilisateursSargAssure, un projet financé par l’Agence spatiale britannique, utilise actuellement les données spectrales de la nouvelle génération de PlanetScope Monitoring pour surveiller les grands afflux d’algues marines, connues sous le nom de sargasses, lorsqu’elles s’échouent sur les plages. En se décomposant, ces algues libèrent des substances chimiques nocives qui peuvent provoquer des problèmes respiratoires et cutanés, ce qui a incité les organisations à mettre en place des systèmes de surveillance et d’alerte précoce pour les communautés locales.
« Les images de PlanetScope fournies par les nanosatellites SuperDove atteignent une résolution spatiale, spectrale et temporelle idéales pour la surveillance des sargasses sur les plages et dans les eaux littorales », souligne Geoff Smith, directeur de Specto Natura et partenaire du projet SargAssure. » Les afflux de sargasses dépendent des marées, des courants océaniques et de la direction des vents, ce qui nécessite une cadence élevée pour une surveillance efficace « , ajoute-t-il.
EOMAP, une société de télédétection basée en Allemagne spécialisée dans la protection des milieux aquatiques marins et d’eau douce, utilise également la résolution à huit bandes spectrales de PlanetScope. Elle peut ainsi mesurer la qualité de l’eau afin de préserver la santé humaine et les moyens de subsistance.
« Les nanosatellites SuperDove fournissent des informations spectrales supplémentaires. Cela nous permet de récupérer de meilleures données sur les propriétés atmosphériques et les caractéristiques d’absorption spécifiques de la chlorophylle-a ou des cyanobactéries dans les eaux intérieures », explique Karin Schenk, responsable de la qualité de l’eau à EOMAP. « Nous apprécions la combinaison d’images et d’enregistrements quotidiens actualisés à haute résolution spatiale. En traitant ces données, nous donnons à nos clients – les gestionnaires de l’eau et les autorités publiques – les moyens de surveiller la dynamique des masses d’eau, même très petites. Par exemple, ils peuvent mieux contrôler les eaux de baignade dans les lacs ou les activités d’évacuation dans les installations hydroélectriques sur les rivières. »
Avec l’aérospatiale agile, Planet peut continuellement investir dans ses solutions, en tirant parti des dernières avancées logicielles pour offrir, chaque année, à ses clients et partenaires plus de valeur. À partir d’aujourd’hui, les clients de PlanetScope disposent de données à l’échelle mondiale d’une grande richesse spectrale et d’une utilisation rationalisée de la plateforme pour accéder aux informations dont ils ont besoin.
Pour en savoir plus sur cette nouvelle génération de PlanetScope, participez au webinaire du 24 mars 2022.
A propos de Planet Labs PBCPlanet est l’un des premiers fournisseurs mondiaux d’images satellite quotidiennes et de solutions géospatiales. Planet a pour mission de photographier la Terre chaque jour avec ses satellites pour rendre tout changement visible, accessible et réalisable. Fondée en 2010 par 3 scientifiques de la NASA, Planet conçoit, construit et exploite la plus grande flotte de satellites d’observation de la Terre, avec actuellement 200 satellites en orbite, capturant et compilant les données de plus de 3 millions d’images par jour. Planet fournit des données critiques, des informations avancées et des solutions logicielles à plus de 700 clients, parmi lesquels les plus grandes entreprises et agences gouvernementales du monde dans les domaines de l’agriculture, de la sylviculture, du renseignement, de l’éducation et de la finance, permettant ainsi aux utilisateurs de tirer simplement et efficacement une valeur unique de l’imagerie satellite. Planet est cotée à la Bourse de New York sous le nom de PL. Pour en savoir plus, visitez http://www.planet.com et suivez-nous sur Twitter à @planet.
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17:59
Dans les coulisses de la forêt française avec l’inventaire forestier de l’IGN
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUn dossier de presse proposé par l’IGN à l’occasion de la journée internationale des forêtsLa forêt est une ressource précieuse qui joue un rôle important dans le processus d’atténuation du changement climatique. Mais que sait-on vraiment de l’état de nos forêts ? Comment produit-on les données de référence ? Pour saisir tout le potentiel de la forêt il faut disposer des informations les plus précises sur les écosystèmes. Des données collectées et diffusées par l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) dans le cadre de sa mission d’inventaire forestier. En France métropolitaine, si la surface forestière augmente, la croissance des arbres victimes des conditions climatiques et sanitaires ralentit, et leur taux de mortalité s’accroît. A l’occasion de la Journée internationale des forêts, l’IGN dresse un état des lieux de la forêt française. (…)
Cliquez sur l’image pour accéder au dossier complet
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17:38
La France des cultures vue par satellite et IA : les surfaces de blé en forte hausse en 2021, recul des autres grandes cultures
sur Décryptagéo, l'information géographiqueRennes le 24 février 2022 – Alors que les surfaces en blé ont crû de 22,5% à 5,5 Mha l’an passé, maïs, orge et colza ont connu des replis allant de -4% à -22%. Tels sont les grands enseignements de la cartographie des cultures 2021 réalisée par Kermap grâce à l’analyse des images satellite par intelligence artificielle. La solution Nimbo de la start-up rennaise livre l’information la plus à jour et la plus complète sur les territoires cultivés en France et en Europe. Son offre s’enrichit en 2022 avec le suivi des cultures en quasi temps réel, la délimitation automatique des parcelles, une nomenclature poussée à 34 classes et une couverture étendue à 26 États. La précision et l’envergure de ces données font de Kermap un acteur essentiel des initiatives accompagnant la filière agricole dans sa transition, auprès d’acteurs tels que le ministère de l’Agriculture, Eau de Paris, la Fondation Earthworm ou Farmleap.
Kermap sera présent au Salon international de l’agriculture mercredi 2 mars sur l’espace Hub France IA, et jeudi 3 mars sur l’espace de la Ferme Digitale aux côtés de la Fondation Earthworm pour présenter Sols Vivants. Un programme de développement de l’agriculture régénératrice auquel participe entre autres McDonald’s, qui livrera à cette occasion son retour d’expérience.
La campagne 2020-2021 a fait la part belle au blé, dont les surfaces ont augmenté de 22,6% toutes saisons confondues, selon les données produites par Kermap, basées sur l’observation satellite. Les autres grandes cultures ont vu leur sole diminuer : colza (-4,2%), maïs (-7,2%) et surtout orge (-22,7%). L’effet, notamment, de rattrapage sur la campagne précédente, durant laquelle l’implantation des semis d’hiver avait été perturbée.
D’autres cultures ont accusé des baisses sensibles, comme le tournesol (-7% à 715 000 ha), le soja (-16% à 145 000 ha) et surtout le lin (-63% à 51 000 ha). Betterave (+1,8%, à 458 000 ha) et pomme de terre (+1,6%, à 196 000 ha) enregistrent quant à elles de légères progressions.
Géographiquement, qu’il s’agisse du blé (ci-dessous), du maïs ou de l’orge, les évolutions des surfaces entre 2020 et 2021 reflètent une tendance relativement homogène sur l’ensemble du territoire métropolitain. Ce n’est pas le cas du colza, dont la hausse observée dans les zones ouest et centre ne parvient pas à compenser le recul des surfaces dans le quart nord-est.Au niveau européen, l’évolution des assolements en 2021 se distingue de celle observée en France. Si les surfaces en blé ont globalement progressé sur l’ensemble des pays étudiés, maïs et surtout orge ont eux aussi enregistré de fortes hausses plus à l’est.
Suivi des cultures par satellite : de nouveaux produits disponibles via NimboKermap a du reste étendu sa couverture géographique en portant son périmètre d’études à 26 États (contre 11 sur la cartographie 2020, disponible en accès libre sur agri.nimbo.earth), dont le Royaume-Uni, l’Espagne, l’Italie et la Pologne. Les informations sur ces territoires sont d’ores et déjà disponibles pour la saison culturale 2021 via la solution Nimbo.
Outre ces nouveaux territoires, Kermap étoffe encore son analyse en affinant sa nomenclature, passant de 22 à 34 classes de cultures, avec une distinction entre cultures d’hiver et de printemps.
Le catalogue de produits s’enrichit également en proposant, en plus du suivi dans le temps du type, du taux et de la durée de couverture des sols, de nouveaux indicateurs disponibles de l’échelle parcellaire à l’échelle continentale :
- Identification et suivi des cultures en cours de saison
- Identification des intercultures
- Délimitation automatique des parcelles
- Projections d’assolements
L’accès à l’ensemble de ces produits est assuré via Nimbo, la solution de diffusion développée par Kermap, au moyen d’APIs permettant une intégration simple et rapide aux outils métiers des utilisateurs. Les API NImbo sont disponibles sur abonnement à partir de 50 €/mois.
Kermap sera présent au salon de l’Agriculture mercredi 2 mars sur l’espace Hub France IA, illustrant son ambition de s’inscrire dans l’un des grands axes du projet French AgriTech : simplifier l’accès à la donnée et son exploitation pour accélérer la transition agricole.
L’intelligence artificielle pour suivre les culturesAvec un taux de fiabilité supérieur à 90%, les données produites par Kermap s’imposent comme une référence pour tout connaître des pratiques agricoles d’un territoire, et les suivre dans le temps. Ces informations sont non seulement disponibles très rapidement – en France, avec près d’un an d’avance sur la publication officielle du registre parcellaire graphique (RPG) – mais également plus complètes et objectives, puisque reposant sur l’observation satellitaire, et non sur des données déclaratives.
Les données sont extraites des images satellites Sentinel fournies par le programme européen Copernicus (UE / Agence spatiale européenne). Elles sont produites automatiquement par intelligence artificielle, grâce aux méthodes d’apprentissage profond développées par Kermap.
Au total, près de 8 millions de séries temporelles correspondant aux millésimes 2018, 2019 et 2020 ont été nécessaires pour entraîner le modèle de classification 2021. Pour la France métropolitaine, le volume total de données traitées représente environ 5,5 To, soit plus de 11 000 images Sentinel-2.
Intérêt de cette méthodologie : outre sa rapidité, elle est suffisamment fiable et robuste pour être réplicable sur différents millésimes et différents territoires. En rendant opérationnelles les avancées de la recherche en intelligence artificielle, la start-up rennaise facilite ainsi l’accès aux informations stratégiques issues de l’imagerie satellite. La solution Nimbo permet ensuite de diffuser ces données via API pour une utilisation simple et intuitive auprès de ses utilisateurs.
Des applications multiples au service de la transition agro-écologiqueLa connaissance de l’évolution des parcelles, au cours de la saison et sur plusieurs années, est primordiale pour de nombreux acteurs agricoles, qui souhaitent obtenir ces informations de manière rapide et fiable. Kermap livre cette connaissance inédite en produisant ses propres données de référence sur de vastes ensembles géographiques, tout en conservant un degré d’analyse détaillé à l’échelle des parcelles.
Disponibles à toute maille de territoire, ces informations répondent aux enjeux de l’agriculture de demain, aux initiatives visant à concilier productivité et agroécologie. Elles accompagnent les mesures d’incitation financière à l’adoption de pratiques plus vertueuses, émanant du secteur public ou privé. Elles contribuent aussi à l’optimisation des chaînes d’approvisionnement, à la quantification de l’impact des aléas climatiques et aux actions en faveur de la sécurité alimentaire.
La capacité de Kermap à fournir, à la demande, une information exhaustive sur les cultures agricoles à l’échelle d’une commune, d’une région ou de l’ensemble d’un pays a déjà convaincu des acteurs tels que le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, Eau de Paris, Farmleap ou encore le Centre national d’études spatial (CNES) dans le cadre du plan France Relance. Cette expertise s’incarne aussi dans la contribution au programme Sols Vivants de la Fondation Earthworm, visant à accélérer la régénération des sols en partenariat avec les filières agro-alimentaires.
Kermap et la Fondation Earthworm présenteront les champs d’action de leur partenariat le jeudi 3 mars lors du Salon international de l’Agriculture sur l’espace de la Ferme Digitale, accompagnés de représentants de McDonald’s qui livreront leur retour d’expérience.
À propos de KermapFondée en 2017 et implantée à Rennes, Kermap propose des services de géo-intelligence des territoires à destination des acteurs publics et privés. Son objectif : simplifier l’accès aux données géographiques issues de l’observation de la Terre que la recherche académique sait produire, mais qui restent complexes et coûteuses à valoriser pour les intervenants de terrain. Grâce à son expertise en analyse spatiale et en automatisation du traitement des images par IA, Kermap produit et facilite la visualisation de ces informations pour le suivi territorial et l’aide à la décision. En seulement quatre ans, l’envergure, l’efficacité et la fiabilité de ses solutions SIG ont déjà convaincu des dizaines d’acteurs dans le domaine de l’urbanisme, l’environnement, et l’agriculture : Ministère de l’Agriculture, collectivités (région Grand-Est, Seine-Saint-Denis, Dordogne, Montpellier Méditerranée Métropole, Rennes Métropole, Limoges Métropole…), organismes publics (Eau de Paris, PNR du Morbihan, Bureau de recherches géologiques et minières…), et clients ou partenaires privés.
Pour en savoir plus : www.kermap.com
Contacts presse :
Marjorie Gandon – marjorie.g@oxygen-rp.com / 06 69 18 32 88
Yann Daoulas – yann.daoulas@kermap.com / 06 03 67 42 11
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15:11
Concours carto étudiant 2022 de l’AFNEG – La géographie du feu
sur Décryptagéo, l'information géographiqueMis en place pour la deuxième année consécutive, cet évènement national consiste en un concours de réalisation de cartes où s’affrontent des étudiants en géographie de partout en France.
Le but de ce concours est de rassembler et mobiliser les étudiant.e.s autour de la production de cartes géographiques ou transversales à plusieurs filières, l’occasion d’illustrer la variété de représentations d’un sujet : la géographie du feu.
De nos feux de cheminées aux méga feux de forêts qui brûlent des pans entiers de continents, le feu est une ressource élémentaire que l’on n’apprend jamais assez à craindre. L’enjeu de ce concours est alors de réfléchir à la façon de représenter cet élément éphémère, entre risque ou besoin et échelle domestique ou globale. Au travers de ces quatre variables, l’idée est donc de mettre en évidence les différentes façons de représenter cette géographie du feu.
Le concours à proprement parler comprend 2 épreuves : une de cartographie réaliste et une de cartographie imaginaire. Il sera possible de participer à chacune de ces épreuves soit de façon individuelle -réservée aux étudiant.e.s géographes- soit de façon collective -ouverte à des groupes de 2 à 5 étudiant.e.s dont au moins un non-géographe-. Commun aux deux épreuves et aux deux publics, le thème de cette année sera donc la géographie du feu.
Les étudiant.e.s ont alors jusqu’au 14 mars pour participer au concours en s’inscrivant et en réalisant leur carte, accompagné d’un petit texte explicatif.
A l’issue du passage en jury, une exposition des cartes des candidats aura lieu lors du Printemps des Cartes de Montmorillon du 19 au 22 mai puis la remise des prix aura lieu à Saint-Etienne où seront conviés les lauréats lors du congrès de l’AFNEG du 2 au 5 juin 2022 !
Entièrement gratuit et bénévole, nous aimerions beaucoup que ce projet puisse toucher vos étudiant.e.s. car nous pensons que ce projet culturel est une belle opportunité pour tous et toutes de réfléchir sur les questions de représentation d’un sujet d’actualité en lien avec les questions de risques.
Vous trouverez sur l’évènement facebook éponyme, notre site internet et l’ensemble de nos réseaux toutes les informations au sujet de ce concours
Enfin, vous trouverez sur le lien qui suit le formulaire d’inscription au concours à retourner à concours-carto@afneg.org avant le 28 février (lundi prochain) : [https:]
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12:08
Le Bulletin n°16 de Theia vient de paraître.
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAu sommaire
Les nouvelles du réseau : nomination d’Anne Puissant comme directrice scientifique du pôle, atelier Theia sur les zones irriguées, Trishna Days, lancement de GAIA Data et Terra Forma, prix de la zone critique, journées OSS-NC à ambition régionale, hydroweb.next et HYMOTEP, une thèse sur la modélisation des mouvements des bovins…
Des articles sur les CES, produits & service Theia : calcul de MNS, étude des phénomènes thermiques en ville, suive des forêts tropicales, estimation des réservoirs hydrologiques de surface, propriétés des sols, vitesse d’écoulement et épaisseur de l’ensemble des glaciers de la Terre…
SINTEGRA : un cabinet de géomètres utilise les données neige Theia pour établir ses plans de vol
Deux nouveaux portraits : Annelise Tran, animatrice du CES Risques maladies infectieuses et Arnaud Sellé, responsables interopérabilité CNES-Partenaires pour DINAMIS, Theia & ForM@Terire le nouveau Bulletin
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11:46
Logiciel SIG : la version 23.1 FR de Global Mapper et Global Mapper Pro est disponible
sur Décryptagéo, l'information géographiqueGlobal Mapper 23.1 FR inclut désormais la possibilité de créer un maillage 3D en forme d’hémisphère pour visualiser un champ de vision. Les utilisateurs peuvent également afficher des entités de ligne en volume, c’est-à-dire sous la forme de cylindre. Récemment améliorées et élargies, les transformations spatiales offertes par l’outil d’opérations spatiales en font une fonctionnalité unique pour l’analyse spatiale complexe d’entités vectorielles.
Global Mapper Mobile étant le complément parfait au logiciel de bureau qu’est Global Mapper, Global Mapper 23.1 comprend désormais un nouvel outil qui permet le transfert sans fil de données vers un appareil mobile situé à proximité, rationalisant ainsi l’interaction entre Global Mapper et son application mobile.
Global Mapper Pro contient toutes les mises à jour incluses dans la version « de base » de Global Mapper, mais cette version fait également l’objet de mises à jour spécifiques à l’extension « Pro ». Les utilisateurs découvriront en particulier de nouvelles méthodes de création d’entités ; notamment la création de courbes de niveau directement à partir d’un nuage ??de points 3D, ainsi que de nouvelles méthodes pour générer des entités de maillage 3D. Grâce à une nouvelle option de création d’entités en volume, des entités 3D cylindriques, en « tuyau » ou sphériques peuvent désormais être générées sur la base d’entités vectorielles de point, de ligne, de surface 2D ou 3D. En élargissant les capacités des outils d’analyse LiDAR dans Global Mapper Pro 23.1, la segmentation des nuages ??de points prend désormais en compte les valeurs de couleur RVB associées aux retours de points, ainsi que la courbure, l’intensité et d’autres caractéristiques.
Finalement, abordable et intuitif, Global Mapper 23.1 et son extension « Pro » fournissent une solution SIG complète pour les professionnels de nombreux secteurs !
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À propos de Blue Marble Geographics
Blue Marble Geographics est un développeur et fournisseur de produits logiciels et services pour proposer des solutions géospatiales de conversion de données de haute précision. Blue Marble est connu pour sa conversion de coordonnées et son l’expertise en format de fichiers et est le développeur de Geographic Calculator, GeoCalc SDK, Global Mapper, Global Energy Mapper, et le SDK Global Mapper. La société a écrit des outils logiciels SIG et des solutions depuis plus de vingt ans et fournit actuellement des centaines de milliers d’utilisateurs à travers le monde. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.bluemarblegeo.com
À propos d’Alain Olivier Géomatique
Alain Olivier Géomatique est partenaire de Blue Marble Geographics en France et distributeur actif d’outils innovateurs pour la géomatique et l’édition cartographique. La combinaison d’une vaste connaissance de la géomatique et d’un haut niveau de services a fait ses preuves auprès de nombreux clients francophones à travers le monde, en particulier dans le support technique et la formation. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.geomatique.fr
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18:00
Aerospacelab obtient un financement de série B de 40 millions d’euros
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDirigée par son fondateur et CEO Benoît Deper, Aerospacelab devrait accélérer la production de constellations de satellites et développer des solutions d’analyse géospatiale multicapteurs.L’équipe d’Aerospacelab
BRUXELLES, Belgique, 16 février 2022, 14h30 CET : Le fabricant belge de satellites Aerospacelab a accéléré sa prochaine étape de croissance avec une levée de fonds réussie de 40 millions d’euros. Le tour de table de série B est codirigé par Airbus Ventures et XAnge, un investisseur européen de premier plan dans les startups en phase de démarrage. Parmi les autres investisseurs du tour de table figurent Octave & Miroslaw Klaba, SRIW, Noshaq, BNP Paribas Private Equity, Sambrinvest et Belaero. Depuis sa création en 2018, Aerospacelab a levé un total de 60 millions d’euros.
« Avec son potentiel clair et significatif d’impact positif sur les marchés européens et mondiaux, Aerospacelab a suscité notre intérêt et notre attention immédiats », remarque Mat Costes, partenaire d’Airbus Ventures. « L’entreprise a gagné notre soutien en démontrant qu’elle pouvait améliorer considérablement les processus de prise de décision dans une série de secteurs variés et qu’elle était particulièrement bien placée pour fournir des renseignements géospatiaux aux entreprises privées et aux gouvernements. Nous souhaitons chaleureusement la bienvenue à toute l’équipe d’Aerospacelab, qui devient ainsi le nouveau membre de notre réseau mondial d’entrepreneurs chargés de faire progresser les entreprises du portefeuille de notre fonds à travers le système planétaire ».
Le communiqué de presse intégral en anglais sous ce lienCet article Aerospacelab obtient un financement de série B de 40 millions d’euros est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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12:53
La Banque des Territoires lance, en partenariat avec l’État, Enedis et GRDF, le service data Prioréno pour faciliter la décision des élus quant à la rénovation des bâtiments publics
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLancé par la Banque des Territoires, le service d’intelligence artificielle et d’analyse de données Prioréno met gratuitement à la disposition des collectivités du territoire métropolitain, une vision de leur parc de bâtiments publics et des consommations d’électricité et de gaz associées.Les territoires pourront ainsi identifier en quelques clics les chantiers de rénovation à étudier en priorité. Ce dispositif participe à la démocratisation de l’usage de la donnée pour les collectivités. Prioréno matérialise une approche innovante de portage et de mise en œuvre des politiques publiques. Déjà expérimenté par une soixantaine de territoires, il sera accessible sur la plateforme de la Banque des Territoires au deuxième trimestre 2022. L’ensemble des collectivités peuvent demander dès aujourd’hui à en bénéficier. La convention définissant le déploiement du service et les rôles de chacun des partenaires a été signée ce jour par Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, Joël Giraud, secrétaire d’État auprès de la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, chargé de la Ruralité, Olivier Sichel, directeur de la Banque des Territoires, Jean-François Vaquieri, secrétaire général et membre du Comité exécutif d’Enedis, et Laurence Poirier-Dietz, directrice générale de GRDF.
Pour faire face à l’urgence climatique et encourager la sobriété énergétique, il est aujourd’hui nécessaire d’accélérer la rénovation énergétique des bâtiments tertiaires et des logements, en particulier les bâtiments appartenant aux collectivités. En effet, la dynamique constatée s’avère pour le moment en deçà des ambitions partagées, notamment parce que de nombreux élus ne disposent pas d’une connaissance suffisante de la consommation énergétique de leur parc de bâtiments. L’expertise d’ingénierie et les compétences associées, essentielles à la prise de décision pour réduire la consommation d’énergie et permettre des économies, sont des ressources rares et coûteuses auxquelles les territoires, notamment ruraux, n’ont pas toujours accès. L’objectif de Prioréno est de participer à lever ce frein en apportant gratuitement et en quelques clics aux collectivités une vision globale clé en main de leur parc immobilier public et une priorisation indicative des bâtiments à rénover en premier lieu. Ceci leur permettra de concentrer les ressources sur les bâtiments présentant le plus fort retour global sur investissement.
Un service performant et adaptable, expérimenté par une soixantaine de collectivitésAvec le nouveau service digital Prioréno, chaque collectivité a la possibilité d’obtenir une vision de son parc immobilier, des caractéristiques des bâtiments qui le composent et de leur consommation énergétique, afin de prioriser les chantiers de rénovation à mettre en œuvre. La collectivité a notamment la possibilité de concentrer l’analyse sur des types spécifiques de bâtiments publics, tels que les bâtiments scolaires par exemple. Les collectivités pourront apporter leur propre contribution afin d’affiner les données : localisation, sources d’énergies complémentaires ou encore informations sur les bâtiments.
Le dispositif est expérimenté, depuis plusieurs mois par une soixantaine de collectivités de tous types : Villes du programme Petites villes de demain (Aubignan, Mazan, Longuyon, Chorges et Embrun), villes Action cœur de ville (Angoulême, Bourges, Cholet, Cognac, Grasse, Caromb, Carpentras, Les Mureaux, Manosque et Rambouillet), intercommunalités (comme La CoVe – Communauté d’Agglomération Ventoux Comtat Venaissin-), communes rurales ou encore Syndicats d’Energie (comme le SDESM – Syndicat Des Energies De Seine Et Marne). Des milliers de bâtiments sont étudiés et toutes ces collectivités confirment l’intérêt de Prioréno.
À titre d’exemple, la Ville de Grasse, exemplaire en matière de connaissance et d’innovation pour la rénovation de son parc, avait réalisé antérieurement une étude d’ingénierie de 10 mois pour un budget de 100 000€ cofinancée par la Banque des Territoires, pour analyser son parc scolaire et évaluer les rénovations à prioriser. Le top 10 des bâtiments qui lui avait été proposé à cette occasion est le même que celui qui lui a été récemment suggéré par Prioréno dans le cadre de cette expérimentation. Prioréno permet ainsi de concentrer, sur les bâtiments à plus fort potentiel, les études qui préciseront les gestes techniques de rénovation à engager.
Toutes les collectivités du territoire métropolitain peuvent d’ores et déjà demander à la Banque des Territoires de bénéficier gratuitement de ce service qui sera par la suite mis à disposition directement sur la plateforme Banque des Territoires (www.banquedesterritoires.fr) dès le 2ème trimestre 2022.
Un service inédit grâce à des données qualifiées agrégéesLes algorithmes de Prioréno, développés par la Banque des Territoires, croisent et analysent un volume conséquent de données de consommation énergétique fournies par Enedis pour l’électricité et GRDF pour le gaz concernant la quasi-totalité des 500 000 bâtiments publics de France. D’autres données ont été créées spécifiquement pour Prioréno comme le périmètre géographique des opérations de revitalisation des territoires dans les villes Action cœur de ville par exemple. Par ailleurs, l’État met à disposition des données comme les Fichiers Fonciers (Cerema), la BD TOPO (base de données 3D des éléments du territoire et de ses infrastructures, produite par l’Institut national de l’information géographique et forestière français), ou encore les images infrarouges du territoire national (IGN).
Les données permettent :
- d’identifier et de qualifier chaque bâtiment public (parcelle, propriétaire, localisation, forme, surface, nombre d’étages, date de construction, matériaux de construction etc) ;
- de connaître la consommation énergétique exacte de chacun des bâtiments ;
- de consulter les données mises à disposition, en opendata, par l’agence ORE (Opérateurs de Réseaux d’Energie regroupant l’ensemble des acteurs français de la distribution d’électricité et de gaz en France) qui fournissent une vision agrégée et complète de la consommation énergétique en électricité et gaz à l’échelle de la collectivité ; et de proposer des comparaisons des niveaux de consommation par rapport à des collectivités comparables ;
- d’indiquer l’usage des bâtiments ; le choix par les collectivités des rénovations prioritaires portant tout autant sur le niveau de consommation que sur l’usage fait du bâtiment par les citoyens ;
- de disposer d’informations inédites comme le potentiel photovoltaïque ou l’estimation de la pertinence de la rénovation d’une toiture grâce à des données utilisées pour la première fois à une échelle nationale et des technologies innovantes de deeplearning et de computer vision.
La convention de partenariat signée ce jour précise l’apport de chacun des partenaires dans le déploiement de ce nouveau dispositif :
- La Banque des Territoires, qui a créé Prioréno et ses algorithmes, le met gratuitement à disposition sur sa plateforme ;
- Enedis, avec qui les premiers tests ont été conduits, et GRDF fournissent les données globales de consommation énergétiques et travaillent d’ores et déjà à la conception d’innovations uniques qui alimenteront les prochaines versions de Prioréno pour faciliter l’accès aux données ;
- L’État assurera notamment la bonne articulation de Prioréno avec les autres dispositifs numériques existants sur des sujets complémentaires et le portera auprès des collectivités grâce à son réseau de services déconcentrés via les DREAL (directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement) et DDT (directions départementales des territoires).
La convention matérialise l’alliance et la mobilisation d’acteurs publics et privés d’envergure nationale autour d’une approche innovante destinée à accélérer la rénovation énergétique du parc public. La convention définit également les 18 prochains mois de collaboration entre l’ensemble des partenaires afin d’améliorer la performance de Prioréno et d’en étendre les usages et fonctionnalités.
Prochaines étapesAu cours des prochains mois, le dispositif sera proposé aux collectivités par les réseaux régionaux de la Banque des Territoires et de ses partenaires dans le cadre d’un portage concerté et/ou commun, la Banque des Territoires donnant par ailleurs accès au service. Les communes rurales ou encore celles relevant des Programmes nationaux Action cœur de ville, Petites villes de demain seront notamment ciblées.
Au cours des 18 prochains mois, la Banque des Territoires et ses partenaires prévoient notamment d’améliorer la performance ou d’étendre l’usage de Prioréno :
- aux enjeux réglementaires pour les collectivités et notamment les déclarations sur leur parc ;
- à d’autres gestionnaires de réseaux de distribution énergétique qui pourraient compléter la vision à d’autres territoires ou encore d’autres énergies ;
- à l’étude de l’impact sur les niveaux de consommation énergétique des rénovations réalisées sur certains bâtiments ;
- à d’autres champs d’application comme le logement social par exemple.
Pour Emmanuelle Wargon, ministre du Logement : « Prioréno est un formidable outil d’aide à la décision pour les élus ; il permettra d’accélérer la rénovation énergétique des bâtiments des collectivités, un enjeu crucial pour atteindre nos objectifs de réduction d’émissions de gaz à effet de serre. Prioréno démontre l’apport de l’analyse de données en masse pour obtenir rapidement une meilleure connaissance des consommations énergétiques et ainsi cibler les rénovations les plus prioritaires. Au-delà des bâtiments des collectivités, cela montre le potentiel de tels outils pour la rénovation de tous les bâtiments. »
Pour Joël Giraud, secrétaire d’État chargé de la Ruralité : « Prioréno est une réelle chance pour les collectivités locales, particulièrement dans les territoires ruraux où l’ingénierie territoriale y est, naturellement, moins développée. Ce nouveau service apportera des informations essentielles aux élus locaux pour la réalisation des projets de rénovation énergétique des bâtiments publics en leur permettant, en quelques clics, de prioriser les chantiers de rénovation, par exemple pour les bâtiments scolaires. Avec Prioréno, nous mettons le numérique au service des territoires afin, concrètement, d’améliorer la qualité de vie des habitants et d’accélérer la transition écologique des territoires. »
Pour Olivier Sichel, directeur de la Banque des Territoires : « Prioréno est un partenariat fort et innovant avec l’État, Enedis et GRDF au service de l’accélération de la rénovation du parc immobilier public, que nous accompagnons de bout en bout : de l’analyse de données à l’ingénierie, des financements participatifs aux prêts à long terme que nous mettons à la disposition des collectivités. C’est également la démonstration que la plateforme de la Banque des Territoires joue un rôle central, au cœur de notre écosystème, pour faciliter la mise en œuvre des politiques publiques grâce à l’exploitation de données, aujourd’hui pour les collectivités, et pourquoi pas demain pour le secteur HLM par exemple. »
Pour Marianne Laigneau, présidente du directoire d’Enedis : « La rénovation des bâtiments est aujourd’hui l’un des axes prioritaires de lutte contre la précarité énergétique, et au service de la transition écologique. Avec plus de 34 millions de compteurs communicants déployés, Enedis gère le premier parc d’objets connectés en France. En tant que service public, mettre à disposition notre expertise d’opérateur de data, c’est poursuivre notre engagement auprès des territoires. Toute une filière est mobilisée pour co-construire une France plus responsable, plus efficiente et plus juste aux côtés des collectivités. Prioréno en est une belle illustration. »
Pour Laurence Poirier-Dietz, directrice générale de GRDF : « La rénovation est l’un des enjeux majeurs pour atteindre la neutralité carbone à horizon 2050. Le déploiement des compteurs communicants gaz (9,3 millions actuellement sur les 11 millions de clients gaz), contribue à la mise à disposition de données de consommation. Prioréno permet de cibler les actions de rénovation énergétique des bâtiments des collectivités, ce qui en fait un outil à forte valeur ajoutée. Le réseau de distribution de gaz s’inscrit comme un maillon essentiel pour accompagner la transition écologique des territoires par la baisse des consommations et par la distribution de gaz verts. »
La Caisse des Dépôts est engagée depuis 2018 dans une transformation numérique de grande ampleur pour améliorer les services qu’elle propose aux Français. En tant qu’opérateur reconnu de plateformes d’intérêt général, elle se voit régulièrement confier de nouvelles missions qui lui ont permis de concevoir par exemple moncompteformation.gouv.fr dans le secteur de la formation professionnelle, banquedesterritoires.fr pour le développement des territoires, monparcourshandicap.gouv.fr pour les personnes en situation de handicap et leur entourage, ciclade.fr pour la recherche et la restitution de comptes et contrats d’assurance-vie en déshérence. Son ambition est d’être la plateforme de référence sur chacun de ses métiers. La Caisse des Dépôts met par ailleurs son expertise au service de secteurs particulièrement fragilisés par la crise sanitaire comme l’illustre le récent lancement de la plateforme Alentour pour contribuer à la reprise du secteur du tourisme.
A propos de la Banque des Territoires
Créée en 2018, la Banque des Territoires est un des cinq métiers de la Caisse des Dépôts. Elle rassemble dans une même structure les expertises internes à destination des territoires. Porte d’entrée client unique, elle propose des solutions sur mesure de conseil et de financement en prêts et en investissement pour répondre aux besoins des collectivités locales, des organismes de logement social, des entreprises publiques locales et des professions juridiques. Elle s’adresse à tous les territoires, depuis les zones rurales jusqu’aux métropoles, avec l’ambition de lutter contre les inégalités sociales et les fractures territoriales. La Banque des Territoires est déployée dans les 16 directions régionales et les 37 implantations territoriales de la Caisse des Dépôts afin d’être mieux identifiée auprès de ses clients et au plus près d’eux.
Pour des territoires plus attractifs, inclusifs, durables et connectés.
www.banquedesterritoires.fr ½ @BanqueDesTerr
Contact presse – Banque des Territoires – Groupe Caisse des Dépôts :
Marie-Caroline Cardi – marie-caroline.cardi@caissedesdepots.fr – 06 38 53 97 67
À propos du groupe Enedis
Enedis est une entreprise de service public, gestionnaire du réseau de distribution d’électricité qui emploie 38 000 personnes. Au service de 37 millions de clients, elle développe, exploite, modernise 1,4 million de kilomètres de réseau électrique basse et moyenne tension (230 et 20 000 volts) et gère les données associées. Enedis réalise les raccordements des clients, le dépannage 24h/24, 7J/7, le relevé des compteurs et toutes les interventions techniques. Intervenant pour le compte des collectivités locales, propriétaires des réseaux, elle est indépendante des fournisseurs d’énergie qui sont chargés de la vente et de la gestion du contrat de fourniture d’électricité.
Contact presse – Enedis :
Johanna Slama – johanna.slama@enedis.fr – 06 17 96 87 02
À propos de GRDF
Principal gestionnaire de réseau de distribution de gaz en France, GRDF distribue, chaque jour, le gaz à plus de 11 millions de clients pour se chauffer, cuisiner, se déplacer, quel que soit leur fournisseur. Pour cela, conformément à ses missions de service public, GRDF conçoit, construit, exploite, entretient le plus grand réseau de distribution d’Europe (202 759 km) dans plus de 9 500 communes, en garantissant la sécurité des personnes et des biens et la qualité de la distribution.
Le gaz est une énergie moderne, disponible, économique, de plus en plus respectueuse de l’environnement. Avec l’essor du gaz vert, un gaz renouvelable produit localement, le réseau gaz est un maillon essentiel à la transition écologique. GRDF s’inscrit comme un partenaire incontournable auprès des collectivités territoriales pour les accompagner vers la neutralité carbone au travers de leurs choix de politiques énergétiques et de mobilité durable.
Contact presse – GRDF :
grdf-nat-presse@grdf.fr – 01 71 19 18 11
Contact presse – ministère de la Cohésions des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales :
communication.joelgiraud@cohesion-territoires.gouv.fr – 01 44 49 85 29
Contact presse – ministère du Logement :
presse.wargon@logement.gouv.fr – 01 40 81 81 23
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15:32
Crowdsourcing : une station CoastSnap pour surveiller le littoral à Groix
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLorient Agglomération, en partenariat avec l’Université Bretagne Sud (UBS), installe la première station CoastSnap insulaire de l’hexagone sur la plage des Grands Sables à Groix. Ce dispositif innovant va permettre au public de contribuer au suivi d’un site unique en Europe en réalisant des photos.Depuis 2019, Lorient Agglomération, en partenariat avec l’Université Bretagne Sud (UBS), a mis en place un outil numérique collaboratif innovant pour surveiller son littoral. 6 stations CoastSnap sont désormais opérationnelles sur plusieurs plages du territoire.
Après 2 plages à Gâvres, 1 à Ploemeur, Larmor- Plage et Guidel, Lorient Agglomération vient d’installer une 6ème station sur la plage des Grands Sables sur l’île de Groix.
Première station insulaire du réseau national, elle offre la possibilité à chacun de devenir acteur de la protection du littoral en collaborant à la surveillance de l’érosion côtière mais également au suivi de l’une des seules plages convexes d’Europe.
La mise en œuvre est simple. Le public est invité à prendre une photo avec un téléphone en le plaçant sur la station (voir photos ci-dessus) à l’endroit prévu et calculé pour optimiser le cadrage. La prise de vue est ensuite adressée par mail coastsnapgroix@gmail.com ou partagée sur une plateforme gérée par l’UBS via les réseaux sociaux : #CoastSnapGroix facebook.com/coastsnapmorbihan instagram.com/coastsnapmorbihan
Le laboratoire de géosciences marine et géomorphologie du littoral de l’UBS la retravaille ensuite afin d’en tirer une lecture scientifique. La compilation des photos permet d’enregistrer l’évolution des plages à court, moyen et long terme. Diverses informations sont ainsi récoltées : la variation des hauteurs de sable sur l’estran et sur la dune, l’évolution du profil de la plage, du trait de côte, de la végétation fixant la dune et des aménagements (ganivelles, accès à la plage …) ou encore l’échouage d’algues et la présence de laisse de mer.
Le traitement de ces données, à l’appui d’autres indicateurs, permet notamment d’estimer le stock de sable sur chaque plage et les volumes gagnés ou perdus chaque année. Cette interprétation du bilan sédimentaire est une aide précieuse à la gestion au quotidien de ces secteurs littoraux à risque.
L’utilisation maximale de la station a été observée sur les premiers mois de l’année 2019 (pic de 55 clichés comptabilisés en avril) lors du lancement du dispositif. Malgré la période de pandémie de 2020 (2 clichés en moyenne sur période de confinement) les contributions sont globalement stables avec 15 photos mensuelles en moyenne.
Les outils de communication utilisés pour transmettre les photographies du site de Gâvres sont équitablement répartis entre Facebook, le QR code et l’adresse mail du laboratoire (environ 1/3 de chaque).
Les clichés pris sur chacun des sites, agrégés par l’UBS, permettent d’avoir une vision permanente de l’évolution du trait de côte. L’analyse permet de mieux comprendre l’évolution des sites, d’en améliorer la gestion, notamment en cas de phénomènes météorologiques exceptionnels et de suivre les conséquences du changement climatique au travers de l’élévation du niveau de la mer.
Quelques chiffres :- La Grande Plage de Gâvres (393 photos depuis avril 2019),
- Goërem à Gâvres (36 photos depuis juillet 2021),
- Le Stole à Ploemeur (139 photos depuis février 2020),
- La Nourriguel à Larmor-Plage (133 photos depuis février 2020),
- La Falaise à Guidel (26 photos depuis novembre 2021)
Le dispositif vient compléter d’autres outils mis en place par Lorient Agglomération et notamment l’observatoire citoyen du littoral de Gâvres (OCLM) où des bénévoles viennent procéder à des relevés plus précis pour affiner la gestion au quotidien. Ces dispositifs ont vocation à alimenter les réflexions, et améliorer les actions de prévention des risques littoraux mais aussi à court terme de procéder à des réparations, notamment en cas d’événements tempétueux.
Sur Gâvres tout particulièrement, ces relevés combinés des stations CoastSnap et de l’OCLM viennent confirmer la pertinence des aménagements sur la grande plage avec un rechargement notable du sable en haut de dune au droit des travaux réalisés.
Sur La Nourriguel à Larmor-Plage, la station CoastSnap complète le suivi mensuel des niveaux sédimentaires de la plage et permet de mieux ajuster les opérations de mouvements de sable pour protéger la digue et les habitations des grandes houles de Sud.
Contact presse Lorient Agglomération :Myriam Breton-Robin – 02 90 74 73 68 – 06 01 19 30 08 mbretonrobin@agglo–lorient.fr https://www.lorient–agglo.bzh/actualites/espace–presse/
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15:21
« Mon réseau mobile » : L’Arcep ajoute 200 000 nouvelles mesures crowdsourcées sur la qualité des réseaux mobiles
sur Décryptagéo, l'information géographique« Mon réseau mobile », c’est le site cartographique de l’Arcep pour connaître l’opérateur mobile qui vous couvre le mieux chez vous, au travail ou en vacances. L’Arcep complète aujourd’hui ce site de mesures inédites, issues d’applications de crowdsourcing, qui permettent de réaliser soi-même des tests sur la performance des réseaux mobiles : débits montants, ou descendants, latence, vitesse d’affichage des pages web.Résultats de mesures en 2021, autour de Biarritz et Bayonne. A gauche, mesures de la campagne annuelle de l’Arcep ; à droite, résultats de mesures crowdsourcées.
L’Arcep complète « Mon réseau mobile » avec 200 000 mesures issues des applications de crowdsourcing 5Gmark (Mozark) et SpeedChecker.Depuis 2017, « Mon réseau mobile » permet aux consommateurs de comparer les opérateurs mobiles : il permet de visualiser les cartes de couverture théoriques des opérateurs, ainsi que des résultats de tests de qualité de service réalisés par une enquête en conditions réelles : mesures de débit, capacité à regarder des vidéos en ligne, ou à maintenir des appels vocaux. Attentive à l’amélioration de « Mon réseau mobile », pour une représentation au plus proche de l’expérience utilisateur, l’Arcep a souhaité compléter les données disponibles par ces nouvelles données crowdsourcées. Un « code de conduite » a été mis à disposition des acteurs du crowdsourcing afin de partager un ensemble de bonnes pratiques ; puis les échanges menés avec les opérateurs mobiles et les éditeurs d’applications de crowdsourcing ont permis à l’Arcep de s’assurer de la robustesse des protocoles utilisés par ces derniers.
100 fois plus de mesures que dans le cadre de l’enquête annuelle de l’Arcep sur la qualité de service, pour compléter l’information des utilisateurs et des collectivitésLes données crowdsourcées ajoutées à « Mon réseau mobile » représentent au total 100 fois plus de mesures par rapport à l’enquête annuelle de l’Arcep sur la qualité de service dans les lieux de vie (qui porte sur 2 000 points de test), et présentent l’avantage de pouvoir être réalisées en tout point du territoire et à toute heure, y compris de nuit.
Quelques précautions d’interprétation précisées dans un document didactiqueUne précaution toutefois : l’interprétation des mesures crowdsourcées appelle une attention particulière, en raison des conditions variables, non maîtrisées, de réalisation des mesures ; par exemple, impossible de savoir à coup sûr si l’utilisateur a réalisé la mesure à l’intérieur ou à l’extérieur d’un bâtiment. L’Arcep publie également un document didactique afin de préciser ces précautions d’interprétation.
L’Arcep appelle utilisateurs et acteurs du crowdsourcing à alimenter la production de mesures, et à contribuer à sa démarche de « régulation par la donnée »Cette publication s’inscrit dans la démarche de régulation par la donnée de l’Arcep, qui vise à donner du pouvoir aux utilisateurs en leur fournissant une information précise et personnalisée, que celle-ci provienne des utilisateurs eux-mêmes (crowdsourcing) ou qu’elle soit collectée par l’Arcep auprès des opérateurs.
L’Arcep remercie Mozark et SpeedChecker, qui ont accepté de s’inscrire dans cette démarche, et invite les acteurs qui le souhaitent à la rejoindre pour continuer à enrichir « Mon réseau mobile ». Les utilisateurs eux-mêmes peuvent contribuer à cette démarche en réalisant des tests avec ces applications, qui seront ensuite affichés sur « Mon réseau mobile » au gré des mises à jour régulières des données.
Documents associés- https://monreseaumobile.arcep.fr/
- Le code de conduite 2020 de la qualité de service d’internet
- Document « Questionner la qualité de service mobile avec les mesures crowdsourcées »
L’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse, arbitre expert et neutre au statut d’autorité administrative indépendante, est l’architecte et la gardienne des réseaux d’échanges internet, télécoms fixes, mobiles et postaux en France.
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15:54
One Ocean Summit : L’UNESCO s’engage à ce qu’au moins 80% des fonds marins soient cartographiés d’ici 2030
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, jeudi 10 février – A l’occasion du One Ocean Summit, l’UNESCO annonce qu’au moins 80% des fonds marins seront cartographiés d’ici 2030, contre 20% actuellement, avec l’appui de ses Etats membres et du secteur privé.Efforts de cartographie du plancher océanique
« Comment réussir à protéger l’océan quand on le méconnait autant ? Seuls 20% des fonds-marins sont cartographiés. Nous devons aller plus loin et mobiliser la communauté internationale pour qu’au moins 80% des fonds marins soient cartographiés d’ici 2030. », a annoncé jeudi Audrey Azoulay, directrice générale de l’UNESCO, l’agence des Nations unies qui dirige la Décennie des sciences océaniques.
Connaître la profondeur et les reliefs des fonds marins est essentiel pour comprendre l’emplacement des failles océaniques, le fonctionnement des courants océaniques et des marées, comme celui du transport des sédiments. Ces données contribuent à protéger les populations en anticipant les risques sismiques et les tsunamis, à recenser les sites naturels qu’il convient de sauvegarder, à identifier les ressources halieutiques pour une exploitation durable, à planifier la construction des infrastructures en mer, ou encore à réagir efficacement aux catastrophes à l’image des marées noires, des accidents aériens ou des naufrages. Elles ont aussi un rôle majeur pour évaluer les effets futurs du dérèglement climatique, qu’il s’agisse des augmentations de température ou de l’élévation du niveau de la mer.
Des avancées considérables depuis 2017
En 2017, l’UNESCO et la Nippon Foundation, la plus grande fondation privée du Japon, ont uni leurs forces pour lancer le programme « Seabed 2030 ». Il coordonne depuis le déploiement des sonars et rassemble toutes les données recueillies. Ce programme a notamment permis de convaincre de nombreux Etats de partager les données en leur possession portant sur les fonds marins proches de leurs côtes. Les premiers résultats de ce programme sont tangibles : il y a 5 ans, au moment du lancement de Seabed 2030, seuls 6% des fonds marins étaient cartographiés selon les standards modernes, nous en sommes aujourd’hui à 20%.
Il est d’autant plus possible d’accélérer la cartographie des fonds marins que des innovations récentes ont amélioré l’efficacité des outils technologiques. Si les sonars sont utilisés depuis les années 1960 pour balayer les fonds marins, ceux-ci sont désormais multifaisceaux, c’est-à-dire qu’ils peuvent mesurer la hauteur d’eau en plusieurs points et dans plusieurs directions à la fois, ce qui représente un formidable gain de temps. Surtout, alors qu’ils étaient jusqu’à présent fixés sur des navires avec équipage, les scientifiques sont désormais en capacité de les piloter à distance sur des navires autonomes – sur le même principe que les drones aériens. Cette solution ouvre la possibilité de cartographier les fonds bien au-delà des routes habituelles de navigation. Elle a aussi l’avantage d’être plus abordable sur un plan financier.
Un objectif assorti d’un plan d’action
A l’occasion du One Ocean Summit, Audrey Azoulay appelle à amplifier la dynamique, par la mobilisation des 150 Etats membres de la Commission océanographique intergouvernementale (COI) de l’UNESCO mais aussi du secteur privé. Les experts de la COI ont d’ores et déjà évalué les moyens qui sont nécessaires à l’atteinte de cet objectif d’au moins 80% à horizon 2030. Ils reposent sur trois axes :
- La mobilisation d’une flotte de 50 navires spécialement dédiée à la cartographie des fonds marins.
- L’intensification du recours au sonar sur navire autonome.
- La transmission par les gouvernements et par les entreprises des données cartographiques qu’ils ont déjà en main mais qu’ils conservent archivées.
Selon les experts de la COI, le besoin total de financement pour ce projet est de 5 milliards de dollars, soit une moyenne de 625 millions de dollars par an d’ici 2030.
« Nous allons mettre en place d’ici 2023 un outil de suivi mondial, qui permettra de rendre compte chaque année des progrès de la cartographie et d’identifier où se trouvent les lacunes restantes. Cette carte mondiale des fonds marins sera l’un des héritages de la Décennie des océans des Nations Unies », a expliqué Vladimir Ryabinin, adjoint à la Directrice générale de l’UNESCO en charge de la COI.
L’UNESCO et l’océan
L’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture est l’agence des Nations Unies en charge des sciences de l’océan. La Commission océanographique intergouvernementale (IOC) de l’UNESCO, fondée en 1960 et rejointe par 150 pays, coordonne des programmes mondiaux tels que la cartographie de l’océan, le suivi de la santé de l’océan et la prévention des risques de tsunami, ainsi que de nombreux projets de recherche scientifique. L’agence est également la gardienne de lieux océaniques uniques, à travers 232 réserves de biosphère marine et 50 sites marins du patrimoine mondial d’une valeur universelle exceptionnelle.
L’UNESCO dirige la Décennie des Nations Unies pour les sciences océaniques au service du développement durable, de 2021 à 2030, qui se traduit cette année par l’organisation de plusieurs grands sommets internationaux qui participent à amplifier la mobilisation collective dans ce domaine.
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- Dossier de presse « Programmes de l’UNESCO pour l’océan »
- Contact presse : Thomas Mallard, mallard@unesco.org, +33 1 45 68 22 93
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9:03
Création d’une initiative européenne pour les communs numériques
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCOMMUNIQUÉ CONJOINT DU MINISTÈRE DE L’EUROPE ET DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES ET DU SECRÉTARIAT D’ÉTAT CHARGÉ DE LA TRANSITION NUMÉRIQUE ET DES COMMUNICATIONS ÉLECTRONIQUES
A l’occasion de la première journée de la Conférence « Construire la souveraineté numérique de l’Europe », organisée les 7 et 8 février 2022 dans le cadre de la présidence française du Conseil de l’Union européenne, M. Jean-Yves Le Drian, ministre de l’Europe et des affaires étrangères, M. Clément Beaune, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé des affaires européennes, et M. Cédric O, secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des communications électroniques, appellent à la création d’une équipe de travail européenne chargé de proposer une initiative européenne pour les communs numériques.
Basés sur la maîtrise et la valorisation collectives des données et des infrastructures technologiques et sur une démarche ouverte, les communs numériques constituent une alternative à certains outils et services de géants du numérique – participant ainsi au renforcement de la souveraineté des tous les Etats. Au cœur de la chaîne de valeur numérique, ils apportent davantage de sécurité et sont moteurs d’innovation. Le renforcement des communs numériques constitue ainsi un levier essentiel de souveraineté pour l’Union européenne.
La Présidence française du Conseil salue le travail mené par la Commission européenne pour identifier et apporter un soutien remarquable aux communs numériques et logiciels libres constituant les segments stratégiques d’un paysage numérique et en particulier de l’Internet libre, ouvert, neutre, unique et sûr. Les Etats membres doivent aujourd’hui s’appuyer sur les programmes existants et les communautés expertes pour créer une initiative européenne ambitieuse pour les communs numériques.
A terme, cette initiative devrait (i) orienter les efforts vers l’identification des biens communs numériques nationaux existants et des logiciels libres susceptibles de revêtir une dimension européenne voir internationale, (ii) promouvoir l’utilisation des biens communs numériques au sein des institutions européennes et des services publics des États membres, et (iii) mettre en place un cadre pour contribuer aux biens communs numériques en allouant des ressources humaines ou un soutien financier, ou en participant, de manière formelle ou informelle, à leur gouvernance.
La Présidence française du Conseil de l’Union européenne annonce aujourd’hui la mise en place de cette équipe de travail réunissant les États membres participant sur une base volontaire pour discuter : (i) des possibilités de mobiliser les financements disponibles dans l’Union européenne ; (ii) d’un incubateur européen pour les biens communs numériques, virtuel ou hébergé dans un lieu physique ; et (iii) des moyens ou d’une structure permettant de fournir des conseils et une assistance aux États membres en plus du financement des biens communs numériques.
Preuve d’un large consensus européen, l’Allemagne, la Belgique, la Croatie, le Danemark, l’Espagne, l’Estonie, la Finlande, l’Italie, la Lettonie, le Luxembourg, Malte, la Pologne, le Portugal, la République Tchèque, la Slovénie et la Suède – soit 16 Etats membres – ont annoncé participer à l’équipe de travail. Cette dernière rendra ses conclusions à l’Assemblée numérique des 21 et 22 juin 2022.
Contacts presse :
Service de presse du ministère de l’Europe et des affaires étrangères : 01 43 17 57 57 – presse.dcp@diplomatie.gouv.fr
Service de presse du secrétariat d’État chargé de la transition numérique et des communications électroniques : 01 53 18 43 10 – presse@numerique.gouv.fr
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12:27
GEOCONCEPT by Nomadia reconnue dans le “Market Guide for Vehicle Routing and Scheduling and Last-Mile Technologies” 2021 de Gartner®
sur Décryptagéo, l'information géographiqueC’est la cinquième fois consécutive que la société bénéficie de cette reconnaissance pour sa solution d’optimisation et de planification de tournées Opti-Time TourSolver.Paris, le 3 février 2022 : GEOCONCEPT by Nomadia, concepteur leader de technologies d’optimisation géographique pour les professionnels, annonce avoir été reconnue pour la cinquième fois consécutive dans le « Market Guide for Vehicle Routing and Scheduling and Last-Mile Technologies » 2021 de Gartner*, avec sa solution d’optimisation et de planification de tournées Opti-Time TourSolver.
Selon ce guide : « Le secteur de la planification de tournées et des applications du dernier kilomètre poursuit son expansion à mesure que les entreprises cherchent des moyens toujours plus performants pour optimiser les opérations de leur flotte. Les acteurs de la supply chain peuvent s’appuyer sur ce guide pour comprendre les évolutions du marché et évaluer les solutions référencées ».
Parmi les principales conclusions du Market Guide : « l’analyse des émissions de carbone et les capacités de gestion des véhicules électriques commencent à être des exigences pour la sélection des logiciels de planification de tournées. Alors que les opérations du dernier kilomètre ne cessent d’augmenter et qu’il y a de plus en plus de poids lourds sur la route, les organisations sont préoccupées par la durabilité et l’efficacité de leurs opérations. »
Opti-Time TourSolver est une solution hautement personnalisable, offrant de nombreux widgets et options de configuration afin que l’utilisateur final puisse adapter l’interface et la planification à ses besoins spécifiques. En outre, il permet de prendre en compte les caractéristiques des véhicules et les compétences des conducteurs ou des techniciens dans un contexte spécifique, ainsi que leur disponibilité ou proximité.
«?Le COVID-19 a profondément bouleversé notre économie, créant de nouvelles contraintes pour l’organisation des opérations de ressources mobiles. Nous sommes ravis de voir que notre solution Opti-Time est une nouvelle fois reconnue comme référence sur le marché, soulignant nos efforts pour offrir davantage de flexibilité et de performance à nos clients », déclare Fabien Bréget, PDG de Nomadia.
Il s’agit de la deuxième reconnaissance du Gartner en quelques mois, GEOCONCEPT by Nomadia ayant également été mentionnée dans le Magic Quadrant for Field Service Management 2021.
*Le « Market Guide for Vehicle Routing and Scheduling, and Last-Mile Technologies » de Gartner a été publié le 13 décembre 2021, par les analystes Oscar Sanchez Duran, Bart de Muynck et Carly West. Ce rapport s’intitulait : « Market Guide for Vehicle Routing and Scheduling” de 2015 à 2020
Disclaimer
GARTNER et le MAGIC QUADRANT are registered trademarks and service marks of Gartner, Inc. and/or its affiliates in the U.S. and internationally and is used herein with permission. Gartner does not endorse any vendor, product or service depicted in its research publications, and does not advise technology users to select only those vendors with the highest ratings or other designation. Gartner research publications consist of the opinions of Gartner’s research organization and should not be construed as statements of fact. Gartner disclaims all warranties, expressed or implied, with respect to this research, including any warranties of merchantability or fitness for a particular purpose.Nomadia est le 1er éditeur français de solutions SaaS de mobilité intelligente (smart mobility) à destination des professionnels nomades : commerciaux itinérants, techniciens de maintenance et chauffeurs-livreurs.
Créée en 2021, Nomadia réunit trois acteurs français aux savoir-faire complémentaires et leaders sur leurs segments de marché depuis près de 30 ans : [https:] ">GEOCONCEPT (optimisation des tournées et des plannings, Field Service Management, SIG et géomarketing), [https:] ">Danem (applications mobiles pour les commerciaux, chauffeurs livreurs et techniciens de maintenance) et [https:] ">B&B Market (CRM SFA, conseil & data pour la grande consommation et la distribution). Avec 165.000 utilisateurs et 1500 clients, Nomadia a aujourd’hui une couverture internationale dans 27 pays.
Avec un tiers des effectifs à la R&D, son innovation technologique, qui intègre entre autres de l’intelligence artificielle et de l’IoT, lui permet d’intégrer le classement Truffle 100 et le top 100 des éditeurs français du Syntec Numérique.
La société est implantée en France (son siège social est à Paris), et dispose de bureaux aux États-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller et Félix Grand rpnomadia@axicom.com
Contact marketing : Nomadia
Laura L’Hoiry – laura.lhoiry@nomadia-group.com
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12:15
14 et 15 septembre 2022 : Les GéoDataDays au Futuroscope de Poitiers
sur Décryptagéo, l'information géographiqueRendez-vous pour la prochaine édition des GéoDataDays, le 14 et 15 septembre au Futuroscope de Poitiers ! Une nouvelle édition tournée vers le futur des GéodataLes GéoDataDays constituent l’événement national de référence de la géographie numérique en France. La 5è édition est organisée avec le GIP ATGeRI et ses partenaires (Europe, Etat, Région et 5 SDIS) réunis autour de la plateforme PIGMA en Nouvelle-Aquitaine. Elle bénéficie du soutien du Ministère de la Transition écologique.
Devenez sponsor de l’édition 2022 et participez à la programmation?4 offres de sponsoring sont proposées. Le niveau Or (offre limitée) permet de participer au comité de programme du 8 mars 2022.
Revivez l’édition 2021
Pour découvrir les différentes offres et télécharger le dossier de sponsoring, rendez-vous ici [https:]]Retrouvez sur notre chaîne YouTube les images de l’édition 2021 [https:]]
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10:40
La certification Qualiopi vient reconnaître la qualité des formations Articque
sur Décryptagéo, l'information géographiqueFondettes, le 3 février 2022
Articque est éditeur de solutions géodécisionnelles, mais pas seulement : la société tient aussi à accompagner ses clients tout au long de leur projet pour leur permettre de tirer le maximum de ses solutions. Un principe qui passe en particulier par la formation, sur laquelle Articque mise à fond, car quelques jours passés à apprendre avec des experts garantit un gain de temps réel pour les utilisateurs.
Et ce, en ligne comme en présentiel : dans un contexte métier difficile, les équipes de formation ont su s’adapter pour accompagner les clients : 61% des formations ont ainsi été réalisées à distance en 2021.
Dans ce contexte, la certification Qualiopi accordée à Articque au titre de la catégorie actions de formation récompense l’engagement de toutes les équipes : formateurs-cartographes, service informatique, service administratif… qui œuvrent conjointement pour assurer le succès des formations. Une belle réussite collective emblématique des méthodes Articque !
Aurélie Joubert, juriste, responsable RGPD et référente Qualiopi d’Articque, s’exprime sur l’obtention de cette certification : « En tant qu’experte des métiers de formation professionnelle, je suis fière que cette certification vienne couronner les efforts des équipes Articque, passionnées de cartographie décisionnelle, qui s’engagent quotidiennement pour en faire profiter leurs clients. »
C’est un processus d’audit examinant 32 critères de qualité qui a permis à Articque d’obtenir cette certification le 6 janvier 2022. Qualiopi a été créée dans le cadre de la réforme de la formation professionnelle par le Ministère du Travail, afin d’attester de la qualité de l’offre dispensée par un organisme formateur.
Il s’agit donc, dans une période où l’offre de formation se multiplie, d’une référence en matière de qualité. Les responsables de formation des entreprises clientes peuvent ainsi s’assurer que les conditions de réussite sont rassemblées pour leurs salariés. Les clients Articque savent ainsi qu’ils pourront bénéficier de formations de qualité autour du géodécisionnel et des solutions Articque Platform et Cartes & Données Online.
La certification Qualiopi est reconnue par tous les organismes financeurs (OPCO, régions, Pôle Emploi, Agefiph…). Les clients d’Articque pourront ainsi demander des financements dans le cadre de la formation professionnelle.
Parmi les 32 critères d’évaluation examinés par Qualiopi, on peut citer notamment deux éléments, qui correspondent à la méthode Agile, à la base du fonctionnement d’Articque :
- La satisfaction des personnes formées,
- L’amélioration continue des contenus des programmes et des compétences des formateurs.
Mathieu Guitton, responsable de l’équipe Formation d’Articque, conclut : « Nous formons plus de 300 personnes par an, avec une note moyenne de satisfaction de 17,8/20 : nous sommes fiers que cette certification vienne couronner aussi rapidement la qualité de notre processus de formation ! »
Depuis 1989, Articque accompagne les entreprises et les organismes publics désireux de mieux connaître leurs territoires, d’identifier leurs axes de croissance et de piloter efficacement leurs activités.
Les solutions géodécisionnelles d’Articque, comme Cartes & Données Online et Articque Platform conjuguent innovation, efficacité et facilité d’utilisation. Elles s’adaptent aux contraintes métiers pour offrir une visualisation et une analyse optimales des données d’entreprises via des cartes, des tableaux de bord géographiques et des simulations. La dimension géographique reste assurément le meilleur moyen de prendre la bonne décision.
Contacts presse
Georges-Antoine Strauch, Président Fondateur, 06 10 18 61 29
Camille Chiaradia, Coordinatrice du pôle marketing, 02 46 46 60 25
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10:00
Delta Drone : La dynamique de croissance se poursuit avec succès
sur Décryptagéo, l'information géographique- Chiffre d’affaires consolidé 2021 : 16,3 M€ (+22,3%)
- Montée en puissance de la filiale Delta Drone International
- Succès de la stratégie de création d’un écosystème autour de la filiale UDT
- Renforcement du rôle de pivot confié à Delta Drone Human Tech (ex-ATM Group)
- Poursuite des discussions avec le groupe Weesure
- Succès judiciaire déterminant pour le développement commercial des solutions de sécurité ISS Spotter.
Malgré la persistance de la crise sanitaire mondiale qui freine le développement de l’activité (difficultés de déplacements, ruptures d’approvisionnement, disponibilité des salariés, reports de livraison et donc de facturations, annulation d’événements, etc.), Delta Drone a connu une activité en croissance.
Le chiffre d’affaires réalisé hors de France, par le biais de la filiale australo-Sud-Africaine Delta Drone International, s’est élevé à 3,5 M€ en croissance de +81,7% et représente 21,2% du total consolidé. L’activité dans l’hémisphère sud concerne essentiellement le secteur des mines.
En France, l’activité a progressé plus modestement de +17,6% et représente 78,8% du total consolidé. Elle se concentre désormais sur les deux solutions ISS Spotter (sécurité) et Countbot (inventaire en entrepôt), y compris en tenant compte de l’activité du pôle sécurité traditionnelle qui joue d’ores et déjà un rôle essentiel dans le succès de ces deux solutions.
Un an après sa constitution, issue du rapprochement de Delta Drone South Africa et ParaZero Ltd, la filiale Delta Drone International, cotée à la bourse ASX de Sydney, poursuit son expansion, en conformité avec les objectifs assignés :
- La croissance de l’activité en Afrique australe et au Ghana, marchés historiques, s’accélère et de nombreux contrats ont été renouvelés, d’autres gagnés,
- L’acquisition, en août 2021, de la société australienne Arvista Pty Ltd dote Delta Drone International d’une équipe australienne locale composée de personnels expérimentés et qualifiés, disposant d’une parfaite connaissance du marché australien des mines et d’une base de clients existants,
- La cession récente (cf. communiqué du 28 janvier 2022) de la filiale ParaZero Israël pour un montant de 6 MA$ en cash va permettre à Delta Drone International d’autofinancer son développement futur. L’opération permet en outre de clarifier fortement le modèle économique de Delta Drone International, tant sur le plan géographique (concentration du business dans l’hémisphère sud) qu’au niveau sectoriel (secteur minier).
Delta Drone a engagé dès 2017 une politique audacieuse de prises de participations minoritaires dans des sociétés souvent naissantes, mais à fort potentiel de croissance. Ces opérations ont été réalisées via une société filiale spécifique créée à cet effet, DDrone Invest à l’origine, UDT aujourd’hui.
En quelques années, le portefeuille a été constitué de 6 participations (Elistair, Donecle, Aero41, Diodon Drone Technologie, Sightec, Skylinx SLX).
A fin 2021, la valeur cumulée des sociétés du portefeuille est évaluée, suivant analyse officielle d’expert indépendant, à environ 40 M€, ce qui donne à Delta Drone, compte tenu des divers pourcentages de capital détenus, une valeur d’actif égale à 8 M€.
Compte tenu des perspectives de développement des sociétés du portefeuille, il est raisonnable de penser que la valeur du portefeuille pourrait plus que doubler dans les deux ans à venir.
4 – Le pôle « sécurité traditionnelle » constitue un élément-clé de la stratégie du groupeFin juillet 2021, Delta Drone a renforcé sa position dans le capital de ATM Group pour détenir 100% du capital. A la suite de cette opération, ATM Group a été renommé Delta Drone Human Tech, marquant ainsi la pleine intégration du pôle « sécurité privée traditionnelle » au sein du groupe.
En effet, Delta Drone Human Tech est destiné à jouer un rôle de pivot essentiel dans le déploiement de la stratégie du groupe :
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- Forte d’une base installée de plusieurs dizaines de clients dans le cadre de contrats pluriannuels, sa filiale ATM Group Sécurité joue un rôle de « cheval de Troie » pour dronifier le secteur de la sécurité privée, en proposant progressivement à ses clients des équipes mixtes de surveillance, composées d’agents humains et de cyber agents représentés par la solution ISS Spotter,
- Dans le cadre de prestations de sécurité pour des événements, culturels et sportifs, ATM Group Sécurité propose désormais de manière systématique l’insertion dans son dispositif de solutions technologiques, ISS Spotter et SpotterBot.
- Enfin, Delta Drone Human Tech, grâce au vivier important de ressources humaines présent dans ses filiales, délègue des personnels aptes à acquérir une compétence d’opérateurs de solution Countbot.
En avril 2021 (cf. communiqué du 21 avril), Delta Drone avait annoncé un projet d’accord avec le groupe Weesure. Indépendamment de l’intérêt économique et stratégique du projet, l’évolution de la valorisation boursière de Delta Drone n’a pas permis la conclusion de ce projet à des conditions satisfaisantes pour les parties.
Prenant acte de cette situation, un nouveau schéma de partenariat est en cours de finalisation. Il pourrait se formaliser en deux volets :
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- Un accord de partenariat stratégique en France entre Delta Drone et le groupe Weesure, sans lien capitalistique,
- Une prise de participation minoritaire de Delta Drone dans Weesure Afrique, holding de contrôle de quatre sociétés opérationnelles dans le secteur de la sécurité au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Bénin et au Togo.
Il faut préciser que les équipes de Delta Drone et Weesure Afrique ont démarré depuis plusieurs mois une étroite collaboration, conduisant à l’établissement de nombreuses propositions commerciales, essentiellement relevant de la solution ISS Spotter.
6 – Le Tribunal de Justice de Paris confirme la propriété du brevet relatif aux systèmes de drones automatiquesLe 2 avril 2019, la société Azur Drones avait fait délivrer une assignation en revendication du brevet français déposé par DPS (groupe Delta Drone) sous le N° FR1755160 ainsi que de la demande d’extension N° XO 2018/224578.
Près de 3 ans après, le 21 janvier 2022, le Tribunal Judiciaire de Paris a rendu sa décision, aux termes de laquelle :
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- DPS (groupe Delta Drone) est l’unique titulaire de l’intégralité du brevet et des demandes d’extension internationales,
- La demande d’Azur Drones visant à condamner DPS à lui restituer les fruits qu’elle aurait pu tirer de l’exploitation du brevet, ainsi que toutes ses autres demandes d’indemnités sont rejetées,
- La décision est exécutoire (en dépit de tout appel).
Ce jugement de première instance constitue une étape très importante dans l’ensemble des procédures judiciaires engagées entre le groupe Delta Drone et la société Azur Drones. Il ne présage pas de l’issue des autres affaires en cours, mais il devrait néanmoins permettre un début de clarification par rapport à l’appréciation du marché quant à la position réelle des différents intervenants sur le segment des systèmes de drones de sécurité.
A propos de Delta Drone : Le Groupe Delta Drone est un acteur international reconnu du secteur des drones civils à usage professionnel. Il développe une gamme de solutions professionnelles basées sur la technologie des drones ainsi que tous les services associés qui forment une chaine de valeur complète.
L’action Delta Drone est cotée sur le marché Euronext Growth Paris – Code ISIN : FR0011522168 Sont également cotés sur Euronext Growth des BSA Y – Code ISIN : FR 0013400991 www.deltadrone.com
Contact investisseurs : Jérôme Gacoin
Contacts presse : Marie-Laure Laville
+33 1 75 77 54 65 +33 1 55 02 15 13 jgacoin@aelium.fr ml.laville@open2europe.com Sarah Ousahla
+33 1 55 02 15 31
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11:33
Transsion et HERE s’associent pour améliorer la précision de la localisation sur smartphone pour les marchés émergents
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes entreprises et utilisateurs de smartphones dans les marchés émergents vont pouvoir bénéficier d’une localisation de haute précision, y compris dans les environnements indoor et outdoor complexes.Paris, France – HERE Technologies, plateforme mondiale de données et de services de localisation, annonce aujourd’hui que Transsion">[https:] , principal fournisseur d’appareils intelligents et de services mobiles sur les marchés émergents, a choisi HERE Network Positioning pour améliorer ses capacités de localisation sur les marchés émergents tels que le Kenya, le Nigeria, le Ghana, le Bangladesh, l’Inde, le Pakistan, l’Indonésie et la Thaïlande.
Le nombre d’utilisateurs de l’internet mobile dans le monde devrait atteindre cinq milliards d’ici 2025, soit une augmentation de 25 % par rapport à 2020. Ce chiffre représente 60 % de la population mondiale, une grande partie de la croissance prévue provenant des marchés numériques émergents d’Asie-Pacifique, d’Afrique subsaharienne, du Moyen-Orient, d’Afrique du Nord (MENA) et d’Amérique latine[1].
En déployant HERE Network Positioning, Transsion sera en mesure d’identifier le positionnement précis de ses appareils à l’intérieur comme à l’extérieur. Ce système de positionnement fonctionne même lorsque les signaux satellites du système de positionnement global (GPS) ne sont pas disponibles, par exemple lorsque l’appareil est situé à l’intérieur ou que les signaux GPS sont bloqués par des objets. Transsion permettra ainsi aux utilisateurs de smartphones de localiser des appareils, des personnes et des objets plus rapidement, avec plus de précision et de confiance.
Robin Wang, président adjoint de Transsion, a déclaré : « En tant que société technologique axée sur les marchés émergents mondiaux, nous nous sommes engagés depuis longtemps à soutenir les communautés locales sur place. La solution de positionement de HERE est idéale pour les marchés qui manquent d’infrastructures avancées comme l’Afrique et l’Inde. »
HERE Network Positioning permettra notamment de fiabiliser les applications de covoiturage ou de ride-sharing. En Afrique, le covoiturage est devenu de plus en plus populaire au fil des ans, et le nombre d’utilisateurs devrait augmenter de 16 %, passant de 50,3 millions en 2021 à 58,4 millions en 2025[2]. Les compagnies de taxi traditionnelles font également pivoter leur modèle économique pour inclure des services qui peuvent être réservés via des applications mobiles, ce qui rend la situation plus transparente pour les clients qu’auparavant.
Pour que ces services de mobilité urbaine se démarquent de la concurrence, une bonne expérience utilisateur est essentielle. HERE Network Positioning permet à Transsion de prendre l’avantage sur ses concurrents en fournissant à ses utilisateurs des calculs plus précis des heures d’arrivée estimées (ETA) et des lieux précis de prise en charge et de dépose. Les utilisateurs finaux de Transsion bénéficieront également de positionnements plus précis qui, autrement, pourraient être affectés par la présence de bâtiments, d’arbres, de tunnels, de ponts et de conditions atmosphériques pouvant désorienter les conducteurs.
« Pour les services de covoiturage, être capable d’identifier l’emplacement exact de prise en charge – bon côté de la rue, bonne entrée/sortie dans les aéroports ou les stades – est essentiel et c’est un service que Transsion est maintenant en mesure de proposer à ses utilisateurs », a ajouté Robin Wang.
Sammie Xi, directeur et responsable des affaires pour la Chine chez HERE Technologies, a déclaré : « Transsion améliore quotidiennement la qualité des données dans les économies émergentes. Nous avons vu comment la pandémie a eu un impact profond sur nos vies, nos économies et le paysage numérique mondial. Nous sommes fiers de soutenir avec Transsion un monde connecté plus inclusif. «
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd
Katherine Haller
À propos de HERE Technologies
HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
À propos de Transsion
TRANSSION Holdings s’engage à devenir le fournisseur le plus populaire d’appareils intelligents et de services mobiles pour les consommateurs des marchés émergents mondiaux. La société est surtout connue pour ses appareils intelligents multimarques de haute qualité. Les téléphones mobiles sont ses principaux produits, tandis qu’elle offre également des services Internet mobiles basés sur son propre système d’exploitation. Pour en savoir plus sur TRANSSION, veuillez consulter le site www.transsion.com.
[1] The">[https:] Mobile Economy 2021, GSM Association
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11:28
Azur Drones consolide son leadership et lève 8 millions d’euros pour accélérer son développement
sur Décryptagéo, l'information géographiqueMérignac (33), le 27 janvier 2022 – Après une année 2021 marquée par une forte croissance, notamment à l’international, Azur Drones annonce une nouvelle levée de fonds de près de 8 millions d’euros afin de soutenir son développement sur l’année 2022. Cette levée de fonds, menée auprès d’un investisseur privé français, porte le total levé depuis 2016 à près de 38 millions d’euros. Elle doit permettre à la PME française, leader du drone autonome résident (ou « drone-in-a-box »), de consolider son leadership.SKEYETECH, le système de drone autonome d’Azur Drone
Diversifier les usages du drone autonomeInitialement développée et déployée pour des applications de surveillance, la solution Skeyetech est de plus en plus sollicitée par les industriels pour réaliser des missions diverses d’appui aux opérations. Elle est aujourd’hui déployée depuis plus de 2 ans sur des sites critiques de grands industriels tels que TotalEnergies, Orano, le Port de Dunkerque, Oiltanking et de grands acteurs du monde de la chimie.
Avec plus de 20 000 vols réalisés en autonomie et comptant près de 200 utilisateurs quotidiens, la technologie est aujourd’hui mature et éprouvée des côtes scandinaves au désert des Emirats arabes unis.
Pour répondre aux nouveaux besoins clients, Azur Drones élargit désormais les applications de sa solution Skeyetech. En 2021, les équipes R&D de la société ont développé une nouvelle fonctionnalité de photogrammétrie mise à la disposition d’un acteur majeur du secteur minier ainsi que la première solution aérienne autonome de détection de radioactivité. Baptisée Skeyetech-DIZI, cette solution, exclusivité mondiale développée en collaboration avec Avnir Energy, a d’ailleurs été récompensée fin 2021 aux World Nuclear Exhibition Awards, une référence dans l’industrie nucléaire.
En 2022, Azur Drones entend bien continuer cette diversification au profit des secteurs de l’industrie, de l’énergie et du portuaire, avec notamment le lancement de nouvelles solutions dédiées à l’inspection industrielle et à la détection – quantification de gaz.
Au-delà de nos frontières, Azur Drones déploie aujourd’hui des systèmes Skeyetech au Danemark, aux Pays-Bas, en Allemagne, aux Emirats arabes unis et en Arabie Saoudite. La société entend poursuivre ses déploiements à international grâce à de nouvelles autorisations réglementaires en cours d’obtention.
Enfin, en 2022, la croissance devrait notamment être tirée par les contrats structurants mis en place en fin d’année 2021, comme l’accord-cadre avec le géant TotalEnergies et le contrat de distribution pour 24 pays conclu avec le leader de la sécurité G4S.
La levée de fonds permettra également à l’entreprise de poursuivre sa structuration afin de faire face à la montée en puissance attendue des déploiements. Côté production, Azur Drones développe depuis 2 ans un outil industriel basé sur des process de qualité aéronautique inégalés dans le secteur du drone résident. Côté support client, la société innove constamment grâce notamment à son investissement dans les technologies IoT et à son partenariat avec Microsoft. L’ensemble des équipes, des processus et des technologies de l’entreprise sont tournées vers la satisfaction de ses clients.
Avec près de 15 recrutements effectués en 2021, Azur Drones compte aujourd’hui plus de 65 salariés répartis sur ses sites de Bordeaux-Mérignac (siège de l’entreprise, centre de R&D et de production), Paris et Dubaï. Afin de soutenir ses ambitions 2022, la société poursuivra ses recrutements afin d’étoffer ses équipes commerciales, R&D, support et opérations.
A propos d’Azur DronesAzur Drones est l’un des leaders mondiaux du drone autonome de surveillance et d’inspection.
La société développe et produit le système SKEYETECH, une solution brevetée de drone sans télépilote conçue pour renforcer la sécurité et soutenir les opérations sur les sites sensibles.
Totalement intégré aux systèmes de sécurité existants, SKEYETECH est opérationnel 24h/24 7j/7 pour réaliser des missions de levées de doutes, des rondes périmétriques, des missions d’inspection ou encore pour assister les équipes en cas de crises. SKEYETECH est aujourd’hui l’un des systèmes de drones autonomes les plus déployés au monde avec plus de 200 utilisateurs et 20 000 vols opérationnels.
Basé à Bordeaux, Paris et Dubaï, Azur Drones collabore avec les plus grands donneurs d’ordres en Europe et au Moyen-Orient (TotalEnergies, Orano, Engie, Oiltanking, G4S, Port de Dunkerque…).
CONTACT PRESSE
Maïssa Berjaoui / Alice Abenin
+ 33 1 46 34 60 60
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11:18
L’IGN finalise son choix de partenaires techniques pour le développement et l’exploitation de la Géoplateforme
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEn s’associant à Worldline, leader du marché européen dans le secteur des services de paiement et de transaction, et un groupe de PME reconnues, en complément d’OVHcloud retenu il y a quelques mois, l’IGN boucle la constitution de l’équipe technique qui va aider l’institut et ses partenaires à co-construire la Géoplateforme, l’infrastructure publique de géodonnées collaborative, mutualisée et open source. Avec une ambition : permettre aux porteurs de politiques publiques et aux collectivités locales qui le souhaitent de bénéficier très simplement de fonctionnalités avancées pour diffuser leurs géodonnées, construire des services et s’ouvrir à des communautés contributives.À l’heure où l’IGN veut « changer d’échelle », la Géoplateforme s’inscrit pleinement dans la dynamique des géo-communs qu’elle soutient. La Géoplateforme est en particulier l’outil qui va permettre de développer le guichet « cartographe du service public », le dispositif d’appui à toutes les administrations locales ou nationales désireuses d’utiliser la carte dans leurs travaux et leur modernisation ; pour développer la médiation par la carte, à partir de la diffusion simplifiée de cartes dynamiques, ou de la capacité de croisement d’informations. Mais également le travail entre administrations sur référentiel commun, à partir de fonctions d’édition collaborative. Avec cette volonté d’en faire en premier lieu un outil commun au monde public, c’est la mobilisation progressive de partenaires, producteurs et usagers de données géographiques qui doit permettre d’atteindre cet objectif.
Au cours de l’année 2021, le projet Géoplateforme a franchi d’importantes étapes : avis conforme de la Direction interministérielle du numérique (DINUM), financement par le fonds de transformation de l’action publique (FTAP), choix de l’hébergeur OVHCloud. En associant Worldline, qui s’appuie sur un groupe de PME reconnues, au projet de la Géoplateforme, le projet entre dès le premier trimestre 2022 dans la phase opérationnelle de co-construction avec les nombreux partenaires déjà fédérés. L’objectif : mettre à disposition les fonctionnalités jugées les plus prioritaires par l’IGN et ses partenaires, accueillir les premiers services ouverts, intégrer certains communs développés dans la ‘’Fabrique des géo-communs’’ de l’IGN. Les partenaires seront régulièrement associés et consultés pour consolider les besoins, tester les premiers livrables, enrichir les briques de services disponibles.
Pour mettre en place le socle technique, Worldline va s’appuyer sur les compétences de cinq sous-traitants experts dans les domaines de l’infogérance d’infrastructures déployées dans OVHCloud (grâce à l’association de Worldline avec LINKBYNET), des systèmes d’information géographiques OpenSource et de la gestion 3D (Oslandia), de l’expertise SIG et de la réalisation d’API (Living Data), de la stratégie de co-développement en modèles ouverts et de l’expérience digitale (INNO3 et Contact Moderne).Parmi les premiers cas d’usage qui vont être couverts, citons la diffusion autonome de cartes dynamiques et de données, avec des applications à la prévision des crues des principaux cours d’eau ; la mise à jour et la diffusion à l’échelle nationale de nouvelles données, avec une application aux données Lidar Haute Définition et au Plan Corps de Rue Simplifié (PCRS) notamment ; ou encore l’accès à un large panel de données via une interopérabilité avec les plateformes territoriales et nationales existantes.
Ils suivent et soutiennent la Géoplateforme
Le programme Géoplateforme est un projet structurant suivi et soutenu par des sponsors stratégiques : le ministère de la Transition écologique (MTE), la direction interministérielle de la transformation publique (DITP) et la direction interministérielle du numérique (DINUM) et co-construit avec des partenaires associés tels que : DGPR, SCHAPI, ASP, ADEME, INSEE, ONF, Shom, CRIGE PACA, CRAIG AURA, OpenIG, PIGMA, Géopal, GRIGE Normandie, etc.
Le coût de construction de la Géoplateforme est estimé à 14,4 M€ dont 3,6 M€ financés par le Fonds pour la transformation de l’action publique (FTAP).
Plus d’informations ici : https://www.ign.fr/geoplateforme
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11:10
Nouvelle direction et refonte logicielle pour la société historique JSInfo
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSaint-Pierre-du-Perray, le 27 janvier 2022 – JSInfo explique son nouvel actionnariat, la refonte de son moteur logiciel, et présente le renforcement de son équipe par la nomination d’Hélène LEPLOMB au poste de Directrice Générale et de Thierry LEBRUN en tant que Directeur Technique.JSInfo est l’éditeur historique de logiciels de topographie en France dont TopStation®, un moteur logiciel sur lequel sont développés les applicatifs et qui propose une approche unique de dessin couplée à une base de données puissante assurant un traitement dynamique de la donnée réduisant ainsi les erreurs, un historique illimité et une sauvegarde automatique à chaque étape de travail. TopStation® dispose également de son propre langage de programmation permettant ainsi de créer ses propres applicatifs ou de personnaliser ceux existants.
Un nouvel actionnariat pour soutenir la croissance de JSInfoDébut 2021, JSInfo a vu son actionnariat évoluer avec la majorité des parts désormais détenues par le groupe ATGT. « L’ATGT était actionnaire de JSInfo depuis 2003 ; elle devient majoritaire en 2021 pour soutenir le développement de JSInfo » précise Hélène Leplomb, nouvelle Directrice de JSInfo. Thomas Martel, concepteur de la suite logicielle Limit Addict basée sur le moteur TopStation® devient actionnaire et consolide ainsi sa position de partenaire privilégié. « Ce nouvel actionnariat nous donne les moyens de notre croissance. Il consolide le socle sur lequel nous bâtissons le développement de JSInfo à travers la modernisation de la société, et de TopStation®, son moteur historique » explique Hélène.
La modernisation du moteur historique TopStation®TopStation® est un moteur de calcul graphique sur lequel sont basés les applicatifs de JSInfo (PIC, Topo-Codification, DANumérique…), mais également le logiciel Limit Addict dédié aux Géomètres-Experts conçu par Thomas Martel, ou l’applicatif de division en volumes HBase développé par François Bellanger. Un travail de fond est en cours sur le moteur TopStation® pour le transposer sur les technologies les plus modernes et ainsi booster la puissance et rapidité du logiciel, tout en offrant un environnement graphique plus moderne et intuitif. Ce développement majeur sera accessible dans l’année, sans surcoût, à nos utilisateurs et aux développeurs d’applicatifs sous maintenance.
Nouvelle direction et renforcement de l’équipe JSInfo : Hélène Leplomb nommée DG de JSInfoHélène Leplomb nommée DG de JSInfo
Diplômée de l’ESSEC, et avec une expérience de plus de 15 ans dans le positionnement, Hélène LEPLOMB reprend la direction de JSInfo. Hélène a d’abord intégré Leica Geosystems pour adresser le marché français de la topographie pour ensuite basculer sur les marchés internationaux de l’hydrographie, du mobile mapping, et de la robotique à travers son expérience chez SBG Systems, une société spécialisée dans la fabrication de centrales inertielles et logiciels de post-processing où elle a participé à la transformation de cette TPE en PME à forte croissance. «Cette année 2022 marque le début d’une nouvelle aventure pour l’équipe JSI et nous sommes mobilisés pour ajouter modernité et simplicité à un TopStation® reconnu pour sa fiabilité et puissance» explique la nouvelle Directrice.
Thierry LEBRUN nommé Directeur Technique
Thierry Lebrun devient le Directeur Technique de JSInfo et apporte sa solide expérience en développement CAO pour logiciels d’ingénierie. Après 10 ans comme gérant de la société CALLuna, il a pris la présidence du Groupe CADAlliance, l’un des leaders de la revente des solutions et services Autodesk durant les années 2000. Expert CAO, il a analysé et développé des applications métiers dans des entreprises de renommée (SNCF, Vinci, Bachy Soletanche Ltd, EDF, Oracle …). « Je désirais me consacrer à temps complet dans la création de ce nouveau TopStation® en utilisant des outils plus compétitifs, plus modernes, plus ouverts vers l’extérieur. Piloter l’équipe de développement actuelle et future dans la réalisation et la maintenance de ce nouveau noyau est une mission qui me tient à cœur» déclare Thierry.
Créée en 1973, JSInfo est l’éditeur historique de logiciels de topographie en France. Précurseur avec Topojis puis Ascodes et enfin TopStation®, JSInfo met en œuvre toute son expérience et son savoir-faire pour répondre aux exigences du marché des Géomètres mais également aux problématiques des Topographes, bureaux d’études, aux professionnels du BTP et aux collectivités. JSInfo fait partie du groupe ATGT.
Site web : [https:]]
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Sandrine DE MARE-VIVOT
Responsable Marketing & Opérations
Téléphone : +33 1 60 17 34 21
Courriel : contact@jsinfo.fr
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19:42
Une œuvre éphémère immortalisée grâce à la technologie Leica Geosystems
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’essor de la numérisation 3D a révolutionné ces dernières années la conservation du patrimoine, en permettant de modéliser des sites remarquables, que ce soit en vue d’une restauration ou pour les immortaliser. Cette technologie, qui permet de collecter des millions de points de données de haute précision et de créer des représentations exactes de la réalité, est l’un des savoir-faire de Leica Geosystems et du groupe Hexagon qui proposent une large palette de solutions matérielles et logicielles.L’entreprise a mis cette année sa technologie au service du street-art en prenant part à un projet d’exception, initié par son partenaire Station Lasers Systems : la création d’une visite virtuelle de la “Sainte-Manu”, ancienne manufacture des tabacs à Riom, qui avait été investie depuis 4 ans par Rino et un collectif de graffeurs, avant la requalification du bâtiment.
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10:56
Suivre les impacts du changement climatique dans les parcs naturels régionaux grâce aux satellites
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe 14 janvier 2022 a eu lieu le lancement du projet ADOPT (Applications des Données d’Observation de la Terre pour les Parcs Naturels Régionaux et leurs Territoires) par SpatialistESS et soutenu par 7 PNR * de la région Occitanie.Carte des anomalies de durée d’enneigement dans les Pyrénées (différence par pixel entre la durée d’enneigement de 2021 et la durée d’enneigement moyenne observée entre 2001 et 2019)
© Simon Gascoin / CesbioLe projet ADOPT vise à développer un service de fourniture de cartes pluriannuelles d’occupation du sol et d’indicateurs du fonctionnement des écosystèmes pour contribuer, à l’échelle des territoires des PNR occitans, à l’identification des impacts du changement climatique, l’anticipation de ces impacts et l’adaptation. Il vient en appui au suivi et à l’évaluation des actions menées dans le cadre des Chartes des PNR pour anticiper les effets du changement climatique sur leurs territoires qui représentent 25% de la superficie de la région Occitanie.
Les experts en technologie spatiale de 3 sociétés coopératives de la région Occitanie – E2L, Idgeo et La TeleScop réunis sous le collectif SpatialistESS – proposent d’exploiter les données de satellites d’observation de la Terre afin d’établir un diagnostic partagé et servir de support aux discussions et aux analyses. Dans une démarche Living-lab, SpatialistESS va coconstruire avec les PNR et les acteurs de leurs territoires des indicateurs concernant la vulnérabilité des écosystèmes terrestres ou aquatiques aux diverses pressions exercées : climat, évènements extrêmes, activités humaines, espèces envahissantes.
Financé par le CNES, l’Office français de la biodiversité et la région Occitanie, ADOPT a été labelisé en janvier 2021 par le Space Climate Observatory qui soutient les projets proposant aux acteurs locaux des outils opérationnels permettant de comprendre et modéliser les conséquences du dérèglement climatique sur leur territoire. Le service auquel ADOPT doit aboutir, développé sous la forme de Système d’Information Géographique (SIG) et de WebSIG, pourra être dupliqué sur d’autres PNR et potentiellement sur tout territoire intéressé par les indicateurs des impacts du changement climatique.
* Parcs naturels régionaux d’Occitanie : PNR de l’Aubrac, PNR des Causses du Quercy, PNR des Grands Causses, PNR du Haut-Languedoc, PNR de la Narbonnaise en Méditerranée, PNR des Pyrénées Catalanes, PNR Corbières-Fenouillèdes
SpatialistESS, le spatial coopératif par E2L, Idgeo et La TeleScop
CONTACT PRESSE • Sophie AYOUBI • sophie.ayoubi@latelescop.fr • 04 94 21 32 79 • latelescop.fr/presse
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10:16
GEOFIT GROUP entre au capital du Groupe CIVITAS et affirme son positionnement sur le marché canadien
sur Décryptagéo, l'information géographique2022 marque le début d’une nouvelle association pour GEOFIT GROUP qui devient actionnaire du Groupe CIVITAS avec 21% du capital.Groupe CIVITAS, dont les origines remontent à plus de 60 ans, se positionne favorablement dans le marché de l’ingénierie et de l’arpentage avec ses 140 employés et 10 bureaux répartis sur l’ensemble du territoire québécois.
Par l’absorption de sa filiale GEOFIT AMERIQUES créée en 2013, Groupe CIVITAS devient le nouveau représentant canadien et américain de GEOFIT GROUP.
Le transfert technologique comme stratégie de développementLes avantages découlant de ce regroupement comportent la possibilité pour le Groupe CIVITAS d’offrir des services plus larges à la fine pointe de la technologie, de diversifier son offre et d’améliorer les techniques de ses équipes.
Pour GEOFIT GROUP, c’est l’opportunité de développer son activité au Canada et en Amérique du Nord en s’appuyant sur l’expérience et la force de frappe du Groupe CIVITAS.
En combinant l’apport technique et technologique de GEOFIT GROUP avec la notoriété et le maillage local du Groupe CIVITAS, ce jumelage s’annonce prometteur pour l’avenir des deux groupes et de leurs salariés.
« GEOFIT AMERIQUES et CIVITAS répondent à des offres communes depuis plusieurs années. Nous avons mutuellement pensé que d’associer les deux entités permettrait d’accélérer des activités comme la photogrammétrie, le lidar aérien, le Mobile Mapping System (MMS), la mise en œuvre de Système d’Information Géographique (SIG) ou encore les relevés d’infrastructures et de bâtiments en 3D (BIM). Groupe CIVITAS nous apporte la connaissance du marché local et les moyens humains nécessaires pour porter de beaux projets au Canada. C’est une belle aventure qui commence aujourd’hui. » Régis TESSON, Directeur Général Délégué – GEOFIT EXPERT
« Nos projets communs ont toujours bénéficié d’une grande synergie, nous avons développé une vraie relation de confiance avec GEOFIT GROUP. Ce rapprochement va nous permettre d’explorer d’autres univers et d’apporter une plus-value à nos services. Les technicités nouvelles apportées par GEOFIT GROUP sont également un vecteur de recrutement et de diversification, nos équipes mutuelles en ressortiront enrichies. » Robert MARCIL, Associé / Administration et Développement – Groupe CIVITAS
GEOFIT GROUP apporte son savoir-faire dans l’acquisition et l’exploitation de la donnée géospatiale afin d’en assurer sa compréhension et sa valorisation. Société française de géomètres créée en 1968 à Nantes, GEOFIT GROUP rassemble aujourd’hui plus de 1000 collaborateurs à travers ses trois entités : GEOFIT, GEOFIT EXPERT et IGN FI. Avec vingt établissements en France et trois à l’international, GEOFIT GROUP est un acteur majeur de la géomatique qui intervient dans le monde entier. A l’échelle d’un micron comme d’un pays, GEOFIT GROUP apporte ses services d’ingénierie et d’expertises foncières pour répondre aux enjeux d’aménagement du territoire. GEOFIT GROUP innove et contribue chaque jour à donner du pouvoir à vos données.
A propos de Groupe CIVITAS
Groupe CIVITAS, dont les origines remontent à plus de 60 ans, se positionne favorablement dans le marché de l’ingénierie et de l’arpentage avec ses 140 employés et 10 bureaux répartis sur l’ensemble du territoire québécois : 1 dans la ville de Québec, 3 dans la région de Cantons de l’Est et 6 autour de Montréal.
Groupe CIVITAS compte sur l’expertise d’une équipe multidisciplinaire chevronnée qui se démarque grâce à son professionnalisme et à son esprit d’innovation.
https://www.groupecivitas.com
Contact presse : GEOFIT GROUP
Bonnie LOPEZ – Responsable Marketing et Communication b.lopez@geofit-group.fr
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11:53
Topographie : Le cabinet de géomètre Jean-Christophe Clerget détaille son utilisation des produits Leica Geosystems
sur Décryptagéo, l'information géographiqueTOPOGRAPHIE – TÉMOIGNAGE CLIENT :
GAGNER EN PRODUCTIVITÉ ET ACCROÎTRE LA SÉCURITÉ SUR LE TERRAIN GRÂCE AUX ANTENNES INTELLIGENTES DE LEICA GEOSYSTEMS
Le témoignage client complet sous ce lienLeica Geosystems confirme son leadership dans le monde de la topographie grâce à une très large palette d’outils et de services conçus pour accompagner au quotidien les professionnels de la mesure. Au fil des innovations, l’objectif est de leur permettre d’accroître la rapidité, la simplicité d’utilisation et le confort sur le terrain, des priorités lorsque l’on est soumis aux conditions extérieures et à des délais restreints. Illustrant sa capacité à fusionner les technologies, Leica Geosystems offre désormais des solutions polyvalentes uniques en matière de GNSS : le Leica GS18 T première antenne GNSS avec une unité de mesure inertielle intégrée (IMU) et le Leica GS18 I, première antenne GNSS avec IMU et caméra intégrés. À la clé : un gain de temps, de simplicité et un accès à des points jusque là inaccessibles avec une solution GNSS classique. Le témoignage d’un géomètre expert, Jean-Christophe Clerget.
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10:16
Whympr acquiert iPhiGéNie : Tout l’univers de la montagne sur le mobile
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes fondateurs d’iPhiGéNie, créée en 2010, et la société Whympr, jeune société française implantée dans le monde de l’outdoor depuis 2017, ont signé un accord le 30 décembre 2021 afin de développer en synergie leurs deux applications.Whympr, l’app communautaire des pratiquants d’activités de montagne et iPhiGéNie, la plateforme cartographique de référence en France, vont regrouper leurs capacités de développement, de communication et d’innovation. Tout en restant indépendants, et grâce à leur complémentarité, ces deux acteurs majeurs numériques destinés aux pratiquants d’activités de pleine nature, vont désormais travailler main dans la main. Arrivés en fin de carrière, les fondateurs d’iPhiGéNie ont initié cette vente. Ils accompagneront Whympr pour garantir une continuité dans le projet.
Chacune des applications préservera son autonomie, tout en associant et développant des services communs comme par exemple lier l’accès aux cartes IGN entre les deux plateformes ou encore simplifier le design de l’application iPhiGéNie.
Ce rapprochement va permettre de créer le groupe applicatif outdoor leader et de référence en France avant la prochaine étape de l’internationalisation. La Holding Pahada qui signifie montagne en népalais regroupera Whympr et iPhiGéNie.
DES APPLIS QUI RENDENT LES ACTIVITES OUTDOOR ACCESSIBLES POUR TOUSQuel que soit le niveau d’expérience ou le niveau de pratique, amateur ou non, il est souvent difficile de connaître parfaitement le terrain, les conditions, l’équipement adapté pour une pratique optimale. Une sortie n’est jamais sans risques, il est donc primordial d’avoir un maximum d’informations complètes et fiables.
Aujourd’hui, le développement des applications encourage les activités outdoor. Elles sont les compagnes de chaque sortie ! Max Barel, fondateur d’iPhiGéNie confie : « Je suis soulagé de transmettre notre outil à une société française avec qui nous partageons les mêmes valeurs. C’est essentiel pour nous, de savoir que notre ADN sera préservé tout en continuant à développer nos services. C’est aussi très important pour mon équipe de savoir que nous allons participer à cette transmission durant les mois à venir avec Antoine et Clément qui restent dans l’aventure pour emmener iPhiGéNie toujours plus haut et partager ensemble la vision du nouvel élan d’’iPhiGéNie ».
« J’ai iPhiGéNie sur mon téléphone depuis l’apparition de l’application. Elle m’a évité de gros soucis comme par exemple lors d’une descente sur un itinéraire hors-piste en hiver, où coincé dans les nuages et ne voyant pas plus loin que le bout de mes spatules, elle m’a guidé avec plus de sécurité et d’assurance. C’est très motivant pour toute l’équipe Whympr d’imaginer les synergies possibles entre les deux applis, d’apporter nos compétences pour simplifier l’utilisation de l’app et permettre aux utilisateurs de tirer parti au maximum des grandes capacités techniques d’iPhiGéNie » confirme Tim MacLean, co- fondateur de Whympr. (photo)
IPhiGéNie, le début d’une grande évolution dans la pratiqueLe nom iPhiGéNie est un mix entre les mots iPhone, iGN, et le terme génie informatique. On peut clairement le distinguer en prêtant attention au logo.
La première version a été publiée en avril 2010 par Max Barel, ingénieur informatique et fervent amateur de randonnée. Elle a été primée plusieurs fois aux concours API Géoportail et demeure l’application de référence pour l’accès aux ressources Géoportail.
Au fil des années, la collaboration entre iPhiGéNie et l’IGN s’est maintenue et renforcée. iPhiGéNie est partenaire du portail d’activités nature IGNrando’ et permet de synchroniser automatiquement les parcours et points d’intérêts entre ce site et l’application.
Elle permet d’accéder à une multitude de fonds de carte sur téléphone, sur watch et sur ordinateur, même sans réseau. Plus de 40 autres fonds de carte sont accessibles. Les plus populaires, outre IGN France, sont le cadastre, Open Cycyle Map (vélo), les cartes OACI (vol aérien), SwissTopo ou encore IGN Belgique et IGN Espagne.
Whympr, une application communautaire pour parcourir la montagne- Préparer et trouver le bon itinéraire (150 000 descriptions) selon son niveau et les conditions en montagne,
- Découvrir de nouveaux itinéraires,
- Étudier les bulletins météos, les BERA (Bulletin Estimation Risque d’Avalanche), les inclinaisons de pentes,
- Parcourir avec les cartes et se localiser,
- Partager ses impressions, ses photos, les conditions avec la communauté montagne.
Née en 2017, Whympr est une application montagne et outdoor réunissant un maximum d’informations et de services nécessaires à la bonne pratique des activités en montagne : itinéraires, conditions météorologiques, partage d’expériences, cartographies, bulletin estimation risques avalanches, suivi GPS, topos…
Whympr est la réponse numérique, facile d’utilisation et ergonomique qui offre une solution globale. L’application est disponible en français et en anglais et est téléchargeable dans le monde entier.
Gratuite sur son format de base, elle propose des services payants pour l’enrichir en quantité et en qualité. Premium : 1 an 29,99 €, 3 mois 19,99 €
Elle a été téléchargée plus de 150 000 fois depuis sa création. La société chamoniarde emploie aujourd’hui 3 personnes.
Lancée en 2010, iPhiGéNie est l’application cartographique (relevés topographiques de la France) de référence sur le marché français. Elle permet d’accéder aux fonds de carte IGN* (partenaire officiel IGN) sur téléphone, sur Apple Watch et sur ordinateur, même sans réseau ainsi que de créer ses traces d’itinéraires en amont de ses sorties.
La version de base d’iPhiGéNie est en téléchargement gratuit (accès à plus de 40 fonds cartes). L’abonnement Géoportail à 14,99€ /an
Elle compte aujourd’hui plus d’un million de visiteurs uniques par an. La société basée à Grenoble est constituée de 5 personnes
Contacts
Tim MacLean : tim@whympr.com +33(0)7 83 47 15 79
Relations Presse – Infocimes
Anne Gery : annegery@infocimes.com +33 (0)6 12 03 68 95
Photos libres de droits ici (merci de respecter obligatoirement tous les crédits photos) whympr.com/fr/press
- Whympr Sur iPhone : [https:] Sur Android : [https:]
- iPhiGéNie Sur iPhone : [https:] Sur Android : [https:]
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14:52
HERE et le premier retailer suisse Migros offrent CO? Insights aux opérateurs de flotte
sur Décryptagéo, l'information géographique- L’outil CO? Insights prédit la quantité de CO? produite par une flotte de camions pour un itinéraire donné.
- CO? Insights intègre la mesure des émissions de CO? produites par la propre flotte de Migros pendant 4 ans.
- La réduction des émissions des opérateurs de flotte est essentielle pour atteindre le Net Zero et respecter les engagements réglementaires en matière de changement climatique.
HERE Technologies, plateforme mondiale de données et de services de localisation, dévoile aujourd’hui CO? Insights, un outil d’analyse qui prédit la quantité d’émissions de dioxyde de carbone (CO?) d’une flotte commerciale par itinéraire, en tenant compte de facteurs tels que le type de véhicule et de carburant, les conditions de circulation et les attributs physiques des réseaux routiers, notamment la topographie, la courbure, la pente et l’élévation. CO? Insights recommande également le véhicule le plus approprié avec le moteur le plus adapté (diesel, électrique, biogaz ou hydrogène) pour produire le moins de CO? possible sur un itinéraire donné. CO? Insights soutient ainsi la transition des flottes commerciales vers la neutralité en CO? et contribue à réduire la pollution.
CO? Insights a été développé par le principal retailer suisse Migros – sous le nom de M Opex Tower – et son partenaire Empa, un institut de recherche de renommée mondiale en science et technologie des matériaux de l’ETH (École polytechnique fédérale de Zurich), en s’appuyant sur les données et services de localisation HERE. Migros a utilisé cet outil pour étudier l’impact environnemental de sa propre flotte et favoriser la transition des véhicules diesel vers des options de carburants alternatifs comme le biogaz, l’électricité et l’hydrogène. Le détaillant a construit son outil analytique CO? avec l’API HERE Routing, qui permet aux gestionnaires de flotte de fournir des itinéraires de navigation optimisés intégrant les attributs de la route, les restrictions légales et physiques, la hiérarchie et la topologie routières ajustées via l’API HERE Map Attributes.
CO? Insights est certifié par myclimate, une organisation qui aide à calculer et à compenser les émissions. Le calcul du CO? prend en compte l’énergie consommée pour le transport (du réservoir à la roue) et les émissions liées à la production de carburant (du puits au réservoir). Les émissions indirectes liées à l’entretien, à la fabrication et à la destruction des véhicules ainsi que les émissions produites pour la construction de l’infrastructure utilisée par le véhicule sont également prises en compte. Le calcul du CO? est certifié selon les normes DIN EN 16258 et ISO 14040.
« La durabilité a toujours joué un rôle majeur pour Migros. L’outil innovant que nous avons récemment développé nous aide à atteindre notre objectif de réduction des émissions de CO? dans le transport routier de 70% d’ici 2030 et à consolider ainsi notre position parmi les retailers les plus durables au monde », a déclaré Rainer Deutschmann, directeur Security & Traffic, Fédération des coopératives Migros. « Grâce à son vaste réseau dans le secteur du transport et de la logistique, HERE Technologies est le partenaire idéal pour faire bénéficier d’autres entreprises de notre innovation. »
« En plus d’offrir à nos clients les itinéraires les plus rapides et les plus courts, nous sommes désormais en mesure de prédire la quantité de CO? produite par tout type de camion commercial sur un itinéraire donné. Nous pouvons même identifier quelle combinaison de modèle de camion et de carburant est la moins polluante. Nous sommes fiers de voir nos attributs routiers alimenter CO? Insights et ainsi aider à construire des flottes neutres en CO?. Il s’agit là d’une contribution importante pour aider l’UE à atteindre ses objectifs de neutralité climatique d’ici 2050 « , a déclaré Jørgen Behrens, Chief Product Officer chez HERE Technologies.
CO? Insights sera gratuit à des fins d’évaluation jusqu’au 31 mars 2022 pour les clients HERE.
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd,
Katherine Haller,
À propos de HERE Technologies
HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
À propos de Migros
Avec un chiffre d’affaires de 29,95 milliards de francs suisses en 2018, le groupe Migros est le plus grand détaillant de Suisse. Fort de plus de 99’200 collaborateurs, le géant orange est aussi le principal employeur privé du pays. Migros est la propriété de plus de deux millions de coopératrices et coopérateurs qui, au sein de dix coopératives régionales, œuvrent à l’activité essentielle du groupe : le commerce de détail. Outre ses 32 exploitations industrielles, le groupe compte différentes entreprises commerciales et agences de voyage, ainsi que la Banque Migros.Cet article HERE et le premier retailer suisse Migros offrent CO? Insights aux opérateurs de flotte est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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10:22
Opendatasoft lève 21 millions d’euros pour démocratiser l’accès à la donnée dans toutes les organisations
sur Décryptagéo, l'information géographique« D’ici 10 ans, chaque individu consommera au quotidien un service data auquel Opendatasoft a contribué »
Paris, le 11 janvier 2022 – Opendatasoft, leader européen des plateformes de démocratisation de la donnée, annonce la finalisation d’un tour de table de 21 millions d’euros conduit par Demeter via son fonds Paris Fonds Vert, et réunissant ses investisseurs historiques dont la Banque des Territoires et deux autres nouveaux entrants, Odyssée Ventures et Eiffel Investment Group.Cette nouvelle levée de fonds a pour objectif d’amorcer une nouvelle ère pour Opendatasoft, celle de la massification : simplifier l’accès et l’usage de la donnée pour tous. Elle permettra également à l’éditeur de conquérir de nouveaux secteurs et d’accélérer son internationalisation.
Massifier l’accès et l’utilisation des donnéesLes données sont au cœur de nos économies digitales et de nos sociétés. Produites et stockées en masse par les organisations, elles sont encore trop souvent disponibles dans des formats et modalités qui restreignent leur utilisation aux seuls experts.
Opendatasoft, présent depuis 10 ans sur la valorisation de la data, se donne pour mission d’équiper de sa plateforme SaaS toutes les organisations où la donnée reste stockée sans être pleinement accessible et utilisée à grande échelle par toutes les équipes.
Démocratiser l’accès à la data permettra aux organisations d’exploiter tout le potentiel de cette ressource pour améliorer leurs opérations, créer de nouvelles sources de revenus, construire des relations de confiance avec leurs parties prenantes et répondre aux défis économiques, sociétaux et environnementaux auxquels elles sont confrontées.
« Nous sommes convaincus que le rôle de la donnée change fondamentalement au sein des organisations et de la société tout entière, et qu’elle devient l’affaire de tous. Grâce à une solution comme Opendatasoft, nous pouvons tous devenir des data people : des femmes et des hommes qui consomment la donnée sans effort dans leur quotidien personnel et professionnel, comme n’importe quelle autre information, et sur n’importe quel support.» explique Jean-Marc Lazard, CEO et co-fondateur d’Opendatasoft.
“Nous sommes très heureux d’accompagner Opendatasoft et ses fondateurs dans l’enrichissement de leur solution et leur croissance internationale. Nous sommes convaincus que l’utilisation de la donnée pour de larges audiences à des fins économiques, environnementales et de transparence jouera un rôle majeur dans la croissance et le succès des entreprises et dans l’efficacité des collectivités publiques. A travers cet investissement de Paris Fonds Vert, Demeter entend apporter toute son expertise et son réseau pour contribuer à développer un champion mondial au service de la transition énergétique et écologique. » souligne Jean-Charles Scatena, Partner, Demeter.
Consolider l’écosystème international d’OpendatasoftAvec cette nouvelle levée de fonds, Opendatasoft compte accélérer son déploiement à l’international. Si l’entreprise est déjà présente en Australie et en Amérique du Nord avec notamment un bureau à Boston, elle souhaite y renforcer sa présence et consolider son leadership sur la scène européenne.
Pour ce faire, Opendatasoft s’attaque à de nouveaux secteurs d’activité (retail, services, santé, etc.) et consolide ceux déjà acquis pour atteindre d’ici 2031 une présence globale.
« La donnée est aujourd’hui au cœur de la transformation numérique. Opendatasoft est en première ligne de cette révolution et compte aujourd’hui de nombreuses références à la fois dans le secteur public et le secteur privé. L’éditeur s’attaque aux besoins de valorisation de la donnée des entreprises, et en particulier de leurs considérations ESG, dont le partage est désormais un moyen efficace de répondre à la demande grandissante de transparence des actionnaires, employés, clients et organismes réglementaires, mais aussi de rester sur le devant de la discussion en matière d’égalité et d’inclusion. Eiffel a fait de l’ESG une composante capitale de son métier d’investisseur, et contribue activement à orienter l’épargne vers des investissements d’impact, c’est pourquoi nous sommes naturellement ravis de pouvoir accompagner le développement d’une société d’avenir comme Opendatasoft.» explique Franck Halley, Directeur de participations chez Eiffel Investment Group.
Conseil juridique : Ava Avocats Conseil financier : Avolta Partners
A propos d’OpendatasoftOpendatasoft est le leader européen en matière de démocratisation de l’accès et des usages de la donnée. L’entreprise propose une plateforme SaaS all-in-one qui permet à toutes les équipes de créer et diffuser rapidement des expériences data sur le digital pour nourrir leurs écosystèmes internes et/ou externes de l’expert-technique au consommateur-citoyen. Cela permet à ses clients d’accélérer leur transformation digitale et leur développement, de transformer positivement leurs opérations et d’établir des relations plus transparentes avec leurs parties prenantes. Plus de 350 organisations dans le monde ont ainsi adopté Opendatasoft. Parmi elles, figurent de grandes entreprises telles Schneider Electric, le Groupe BPCE, SFR, Veolia, Enedis ou encore Saint-Gobain, des ministères ainsi que des villes telles que Paris, Vancouver, Lille, Bristol, Namur ou Eindhoven
DEMETER (demeter-im.com) est un acteur européen majeur du capital investissement pour la transition écologique. Ses fonds investissent entre 1 et 30 millions d’euros pour accompagner les entreprises du secteur à tous les stades de leur développement : startups innovantes, PME et ETI en forte croissance et projets d’infrastructures. L’équipe Demeter compte 37 personnes basées à Paris, Lyon, Bordeaux, Grenoble, Metz, Madrid et Düsseldorf, gère 1 milliard d’euros et a réalisé 180 investissements depuis 2005.
Paris Fonds Vert est un fonds de capital croissance à impact territorial créé à l’initiative de la Ville de Paris pour accélérer la transition énergétique et écologique des grandes métropoles.
Contacts presse L’AgenceRP
opendatasoft@lagencerp.com Justine Boiramier – 06 50 31 86 24 Camille Bernisson – 07 64 44 14 49
Lucille Lavigne – 06 98 62 07 92
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15:37
Accélérateur de start-up : le groupe RATP lance sa saison #3
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe groupe RATP lance la 3ème édition de son accélérateur de start-up dédié aux nouvelles mobilités et au mieux vivre en ville. 5 start-ups sélectionnées pourront bénéficier d’une accélération business durant 6 mois, pour tester et déployer leurs solutions et services sur les réseaux opérés par le groupe RATP. 5 start-ups, 5 thématiquesLes candidats sont invités à postuler jusqu’au 5 mars 2022 via la plateforme dédiée. À l’issue d’une première phase de pré-sélection, les start-ups retenues devront pitcher devant les experts métier du Groupe, en fonction des 5 thématiques suivantes :
- Nouvelles technologies au service de l’industrie : faciliter la vie en ville et optimiser les déplacements
- Attractivité et digitalisation des métiers : penser l’entreprise de demain pour une meilleure expérience collaborateur
- Nouvelles technologies au service d’une industrie connectée : accélérer la transformation technologique du Groupe pour répondre aux enjeux industriels de demain.
- Agir pour la transition écologique des villes : s’engager pour une meilleure qualité de ville en développant des programmes d’insertion urbaine.
- Mobilité pour tous : promouvoir l’accès aux transports pour tous et renforcer la cohésion sociale.
Le jury dévoilera en avril prochain les 5 start-ups sélectionnées. Ces dernières bénéficieront de 6 mois d’accompagnement afin de tester et déployer leurs solutions à l’ensemble des réseaux opérés par le groupe RATP.
Par ailleurs, du 15 au 18 juin 2022, ces 5 thématiques composeront le stand du groupe RATP à l’occasion du salon Viva Technology ; événement durant lequel le Groupe présentera ses solutions de mobilités innovantes, connectées et partagées en tant que partenaire privilégié des villes intelligentes, humaines et durables.Dès mai prochain, les start-ups lauréates auront accès aux conseils des experts métiers de la RATP, et à l’accompagnement sur-mesure du Startup Leadership Program, une communauté d’entrepreneurs.
En dates
Le programme permettra aux start-ups sélectionnées de pitcher prioritairement devant RATP Capital Innovation, le fond d’investissement du Groupe, en cas de levée de fonds. Les expérimentations sur le terrain nécessaires au développement des solutions proposées seront financées par le Groupe.
La RATP offrira également l’accès à Urbanopolis, son réseau de lieux d’innovation.
Enfin, les start-ups lauréates profiteront de la visibilité offerte par le stand du groupe RATP à VivaTech 2022 (15 au 18 juin), et d’une campagne de communication d’une semaine dans toutes les stations du métro parisien.- 10 janvier 2022 : ouverture de l’appel à candidature
- 5 mars 2022 : clôture des candidatures
- Mars à avril 2022 : session de pitch devant le jury RATP
- Mi-avril 2022 : Annonce des start-ups lauréates Saison#3 et lancement de l’accélération
- Fieldbox.ai optimise en temps réel la gestion du matériel roulant du RER B grâce à l’intelligence artificielle. Cette solution aide quotidiennement les chefs de régulation dans leurs décisions d’affectation des trains impactant la fluidité du trafic, et la maintenance du matériel.
- Bubble VR / Wedo développe une nouvelle solution permettant de créer facilement des tutoriels vidéo sur les savoir-faire stratégiques et de les partager entre pairs. Cette solution est en phase d’expérimentation sur le tramway de Casablanca.
- Jungle Bus cartographie au plus juste les réseaux de transport formels et informels, partout dans le monde.
- BulldozAir permet de simplifier la gestion et le suivi des chantiers du Groupe grâce à l’industrialisation d’une plateforme de pilotage collaborative. Cette solution est en cours de déploiement auprès des collaborateurs RATP, notamment sur les chantiers de rénovation des lignes 4 et 6 du métro, et 1 du tramway.
- Geovelo participe à l’intermodalité et propose un système de guidage sécurisé pour les voyageurs cyclistes. Le calculateur développé par la start-up a fait ses preuves et a déjà été intégré dans les réseaux RATP Dev en France.
- Bioxegy s’inspire des nageoires de baleines à bosse pour repenser les pales de ventilateur installées dans les métros et ainsi améliorer le renouvellement de l’air des espaces souterrains. Cette innovation participe au plan d’actions ambitieux proposé par la RATP à Île-de-France Mobilités sur la qualité de l’air intérieur
- M-CADOR propose l’automatisation des tâches visuelles grâce à l’intelligence artificielle ; une maintenance prédictive proposée par la start-up qui permet de détecter en amont les avaries, et éviter ainsi une mise en indisponibilité.
- Uppli, la communauté de partage de trajets multimodaux entre voyageurs avec « Jaamme ».
- Team Stories accélère et renforce l’engagement des collaborateurs, quelle que soit la distance, grâce au format « stories » ; utilisée actuellement par 1000 agents de maintenance RATP pour faciliter le partage de bonnes pratiques.
- Isybot, les robots collaboratifs pour faciliter des tâches manuelles ;
- Viibe, la plateforme de vidéo assistance collaborative pour le support technique et les opérations de maintenance des agents RATP.
- Nano-Désinfection, un traitement de surface nanotechnologique pour assurer une désinfection continue 24h24 et 7j/7, sans usage de produit chimique, actuellement en test avec le laboratoire d’essais et de mesures du groupe RATP.
Contact presse
Léa Commeau
06 49 60 72 23
lea.commeau@ratp.frCet article Accélérateur de start-up : le groupe RATP lance sa saison #3 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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10:34
FUTURMAP crée Tmap, la première visionneuse Qgis en ligne
sur Décryptagéo, l'information géographiquePour répondre à vos besoins et problématiques liés à la visualisation et au partage de vos projets QGIS en ligne, nous avons développé une nouvelle plateforme, Tmap.Ce nouveau service, 100% gratuit et unique en France vous permet désormais de déposer, partager et visualiser l’ensemble de vos projets QGIS sur le Web en quelques secondes ! Cette plateforme de partage est simple d’utilisation et rapide.
Tmap est accessible sans logiciel ni application tierce et à partir de n’importe quel navigateur WEB. Il vous suffira d’archiver votre projet (.zip) avec ses couches associées puis de glisser et déposer votre dossier sur Tmap avant de le partager. Vous pourrez ensuite visualiser et exploiter votre projet en ligne.
Le nombre de partages est illimité, la durée de stockage en ligne de vos fichiers est de 7 jours. Vos données sont entièrement sécurisées sur un serveur et grâce à des chiffrements.
Partagez dès à présent vos projets QGIS sur Tmap !
A propos de Futurmap :
Futurmap est une entreprise spécialisée dans le traitement et l’exploitation de données géographiques à partir d’acquisition 3D. Elle possède un département WEBSIG qui développe des solutions open source pour automatiser et digitaliser des données et développe des outils de diffusion sur mesure.
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11:52
HERE s’associe à Ericsson pour proposer des services de localisation privés à l’industrie minière
sur Décryptagéo, l'information géographique- À travers ce partenariat avec Ericcson, HERE permet aux sociétés d’exploitation minière de concevoir des cartes privées des mines à ciel ouvert.
- Ces cartes aident à améliorer la sécurité, l’efficacité et la durabilité des opérations minières, en permettant notamment un suivi des ressources et une gestion de flottes sur le terrain.
Le 6 janvier 2022
CES 2022 – HERE Technologies, plateforme mondiale de données et de services de localisation, et Ericsson, l’un des premiers fournisseurs de technologies et de services de communication 5G, se sont associés pour fournir des services de localisation à l’industrie minière. Les services de localisation de HERE sont désormais disponibles pour aider les clients d’Ericsson à créer des cartes personnalisées et privées.L’industrie minière accélère sa modernisation, les opérations de « smart mining » devant être multipliées par trois d’ici 2025. Les réseaux cellulaires privés, qui permettent des opérations minières plus sûres, plus productives et plus durables, sont un élément clé de cette transformation. Alors que les mines sont souvent situées sous terre et dans des zones reculées où les réseaux cellulaires publics ne sont pas accessibles, Ericsson aide les acteurs de cette industrie à déployer des réseaux cellulaires privés sur site.
La combinaison de la connectivité d’Ericsson et des services de localisation HERE offre de véritables capacités de « smart mining », qu’il s’agisse de cartographier un terrain privé ou de localiser et de diriger des actifs en temps réel. En construisant des cartes privées mises à jour en continu sur la plateforme HERE, les sociétés minières améliorent l’efficacité et la sécurité de leurs opérations. A partir de ces cartes dynamiques, elles peuvent notamment effectuer des recherches ou des suivis de ressources, optimiser les déplacements des véhicules sur les sites et déployer des applications et des services personnalisés.
« Nous avons choisi HERE comme partenaire de localisation pour la qualité et le large évantail de ses services – de la cartographie au calcul d’itinéraire, en passant par le positionnement et le suivi des actifs. La combinaison de nos solutions avancées de réseau privé avec les services HERE donnera aux entreprises minières une longueur d’avance dans leur transformation numérique », déclare Thomas Norén, responsable réseau et vice-président chez Ericsson.
« Nous sommes impatients d’accroître la productivité et la sécurité de l’industrie minière en apportant des services de localisation aux clients d’Ericsson. Les entreprises minières peuvent désormais libérer la puissance de leurs données de localisation dans de nombreux cas d’utilisation stratégiques », déclare Gino Ferru, directeur général EMEAR et vice-président senior de HERE Technologies.
Contacts Presse : AxiCom- Constance Falourd,
- Katherine Haller,
- herefr@axicom.com
HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
Ericsson permet aux fournisseurs de services de communication de tirer pleinement parti de la connectivité. Le portefeuille de l’entreprise couvre les réseaux, les services numériques et les activités émergentes. Il est conçu pour aider nos clients à passer au numérique, à accroître leur efficacité et à trouver de nouvelles sources de revenus. Les investissements d’Ericsson dans l’innovation ont permis à des milliards de personnes dans le monde de bénéficier des avantages de la téléphonie et du haut débit mobile. L’action Ericsson est cotée au Nasdaq de Stockholm et au Nasdaq de New York. www.ericsson.com
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11:46
Développer des traqueurs de géolocalisation complexes : un projet qui ne s’improvise pas
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUne tribune de Thomas Duroyon CEO de Traak
La géolocalisation est un enjeu stratégique dans de nombreux secteurs œuvrant en milieu contraint comme la défense, la sécurité ou certains milieux industriels.. Dans ce contexte, équiper ses équipes de capteurs permettant de les localiser et de faire remonter des données biométriques et physiologiques est primordial. Pour autant, un tel projet nécessite de s’appuyer sur des compétences étendues et pointues pour être mené à bien. Il s’agit en effet de maitriser un ensemble d’expertises complémentaires. Voici un tour d’horizon des fondamentaux nécessaires à prendre en compte.
L’importance de bénéficier d’un bureau d’études et de R&DNous nous appuyons sur nos équipes R&D expertes dans la génération, la communication en temps réel et l’analyse de données de localisation et de données biométriques. Ce choix d’internaliser intégralement la recherche et développement nous permet d’adapter au mieux la solution en fonction des contraintes de nos clients. On en retrouve 3 types : opérationnelles (besoin en données et fréquence de communication de celle-ci, taille et autonomie du capteur, type de géolocalisation et données biométriques, utilisation d’une infrastructure existante), de contraintes environnementale (résistance, étanchéité, etc.) et normatives.
Du prototypage à l’industrialisationSur ce point, il est fondamental de pouvoir maîtriser l’ensemble des aspects liés à la fabrication (modélisation plastique et l’assemblage, etc.) afin de produire rapidement sans sous-traitance des prototypes et moyennes séries, en toute discrétion afin de préserver la confidentialité et les coûts des projets à l’étude. Cette expertise facilite le transfert industriel vers un réseau établi et permet d’avancer rapidement vers de premiers livrables fiables et sécurisés et à nos clients d’avoir un prix de revient unitaire juste.
Analyser et exploiter les donnéesGénérer des données brutes est une chose, mais leur donner du sens en est un autre. Une alerte critique ne se gère pas de la même façon qu’une donnée de routine donc pour pouvoir prendre en compte toute la chaine de traitement et d’exploitation de la donnée, il faut nécessairement couvrir la gestion de la performance, l’aide à la prise de décision, les représentations graphiques ou encore l’intelligence artificielle.
Gérer l’interopérabilité et maîtriser l’intégrationEn concevant les systèmes, il est possible/obligatoire de réutiliser une infrastructure client existante (communication, hyperviseur, etc.), il faut donc maîtriser l’ensemble du travail d’intégration. Les utilisateurs des solutions peuvent alors accéder à l’information souhaitée dans le format désiré et dans leur écosystème validé existant. De plus, au regard de la nature critique des projets et de leur confidentialité, il est parfois utile de travailler uniquement sur certaines briques technologiques ou de faciliter des déploiements par des tiers.
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11:31
CS GROUP recrute 600 nouveaux collaborateurs
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAprès avoir recruté 500 collaborateurs en 2021, CS GROUP poursuit son développement et annonce 600 recrutements en 2022 dans le monde dont 520 en France.Le Plessis, le 6 janvier 2022 – Dans le cadre de la mise en œuvre de son plan de développement stratégique Vision 2024, CS GROUP annonce le recrutement d’environ 600 collaborateurs dans le monde dont 520 en France. Très implanté en région, le groupe recrute 260 nouveaux talents en Ile-de-France, 160 en Occitanie et 100 en PACA.
Entreprise de Taille Intermédiaire de 2200 collaborateurs présente en Europe (France, Allemagne, Pays-Bas, Roumanie) et en Amérique du Nord, CS GROUP conçoit, développe, opère et maintien des systèmes critiques au profit de secteurs souverains tels que la Défense, la Sécurité, le Spatial, l’Aéronautique et le Nucléaire.
De nombreux métiers concernésPour répondre aux enjeux opérationnels de ses clients, CS GROUP déploie ses compétences dans les domaines des systèmes de commandement et de contrôle, des systèmes sûrs, de la digitalisation des processus industriels, de la Data Intelligence et de la cybersécurité.
Ce plan de recrutement d’envergure concerne l’ensemble des métiers du groupe. « CS GROUP est une entreprise reconnue sur son secteur, engagée aux côtés de ses clients au service de leurs enjeux critiques. Le groupe propose des projets techniques passionnants et inédits sur le marché (lutte anti-drones, systèmes d’entraînement collaboratif, sécurisation de systèmes industriels, intelligence artificielle embarquée, traitement automatique d’images satellitaires…). Sécurité et performance des systèmes conçus et exploités sont des enjeux permanents. Nous sommes donc amenés à recruter des talents, experts des nouvelles technologies mais aussi passionnés par les métiers de nos clients. » déclare Olivier Sonneville, Directeur des Ressources Humaines de CS GROUP.
Les profils recherchés sont des consultants et experts en systèmes d’information, techniques et scientifiques :
- Développeurs
- Architectes Système d’Information
- Directeurs de projets
- Consultants et ingénieurs en cybersécurité
- Data Analysts & Scientists
Afin de parvenir à ses objectifs de recrutement, CS GROUP a misé sur un système de recrutement innovant et collaboratif aligné sur ses enjeux de croissance et d’excellence. Toutes les ressources RH et opérationnelles du groupe sont mobilisées avec une équipe de recruteurs à travers le monde qui propose un parcours et une expérience améliorés aux candidats : tests, entretiens, séminaires d’intégration pour découvrir la culture, les valeurs, la diversité des métiers, suivi personnalisé… La croissance de CS GROUP permet d’offrir de réelles perspectives d’évolution professionnelle en France comme à l’international.
CS GROUP est un acteur majeur de la conception, de l’intégration et de l’exploitation de systèmes critiques, au profit des secteurs de la défense, de la sécurité, du spatial, de l’aéronautique ou encore du nucléaire. En tant que ETI française, CS GROUP propose à ses clients qui opèrent dans ces secteurs d’importance vitale des solutions souveraines. Dans le domaine de la valorisation et de la sécurisation des données, CS GROUP est particulièrement impliqué dans des initiatives nationales et européennes et auprès de grands clients pour contribuer à garantir la souveraineté numérique européenne. CS GROUP est coté sur le marché Euronext Paris – Compartiment C (Actions : Euroclear 7896 / ISIN FR 0007317813). Pour en savoir plus : www.csgroup.eu
Relations presse
Barbara GOARANT – Tél : +33 (0)1 41 28 46 94
Agence Red Lorry Yellow Lorry – CSGROUP@rlyl.com
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11:30
HERE et Goodyear permettent la maintenance prédictive des pneus
sur Décryptagéo, l'information géographique- Goodyear intègre les services de localisation HERE dans sa solution de gestion de flotte.
- Ensemble, Goodyear et HERE contribuent à minimiser les temps d’immobilisation des véhicules et à rendre les flottes plus efficaces.
6 janvier 2022
CES 2022 – HERE Technologies, plateforme mondiale de données et de services de localisation, annonce aujourd’hui l’intégration de ses services de localisation dans la solution de gestion de flotte Goodyear Total Mobility.Cette solution de gestion de flotte combine les données du système de contrôle de la pression des pneus de Goodyear (TPMS) avec les services de localisation HERE. Le système TPMS de Goodyear s’appuie sur les donnés des capteurs et un algorithme prédictif pour aider les flottes à éviter jusqu’à 90 % des pannes liées aux pneus. Grâce aux services de localisation HERE, les opérateurs de flottes et les prestataires de services Goodyear en Europe peuvent localiser un véhicule nécessitant une intervention et le diriger vers le garage le plus proche. En outre, Goodyear utilise HERE SDK (Software Development Kit) pour fournir une application mobile aux conducteurs professionnels.
HERE SDK est un ensemble d’interfaces de programmation qui donne accès aux principaux services HERE comme la navigation embarquée, les alertes trafic ou les fonctions de gestion de flotte. HERE SDK fournit des cartes vectorielles dans plus de 190 pays et en 60 langues, avec une taille de données cartographiques optimisée pour minimiser la latence de téléchargement et fournir des temps de réponse rapides tout en assurant un haut degré de fidélité. Les outils de personnalisation des cartes permettent divers ajustements tels que la mise en évidence d’objets en changeant les couleurs et les icônes, ainsi que la modification des propriétés dynamiques des bâtiments ou des routes. Les fonctions de cartographie, de calcul d’itinéraires et de recherche d’adresse de HERE SDK intègrent des informations spécifiques aux poids lourds tel que les réglementations relatives aux véhicules et les points d’intérêt. HERE Routing permet également aux gestionnaires de flotte de fournir des itinéraires de navigation optimisés intégrant les attributs de la route, les restrictions légales et physiques ainsi que la hiérarchie et la topologie des routes.
« La technologie de localisation HERE apporte une valeur indéniable aux utilisateurs de Goodyear Total Mobility. Dans les opérations quotidiennes de gestion de flotte, chaque minute compte et le fait de pouvoir localiser rapidement et précisément un véhicule est essentiel pour minimiser les temps d’arrêt. En cas de besoin, la maintenance est gérée de manière simple et intuitive – via une application mobile – pour les conducteurs et les opérateurs. La collaboration avec HERE nous permet d’exploiter toute l’intelligence des données pour des résultats efficaces et durables », a déclaré Grégory Boucharlat, vice-président Commercial Europe chez Goodyear.
« Nous sommes fiers de travailler avec l’un des principaux fabricants de pneus et fournisseurs de mobilité au monde. En intégrant nos données avancées et nos services de localisation dans les solutions Goodyear, nous contribuons à construire un monde plus sûr, plus efficace et plus propre », a déclaré Gino Ferru, directeur général EMEAR et vice-président senior de HERE Technologies.
Contacts Presse : AxiCom
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HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
Goodyear est l’une des plus grandes entreprises de pneus au monde. Elle emploie environ 72 000 personnes et fabrique ses produits sur 55 sites répartis dans 23 pays à travers le monde. Ses deux centres d’innovation d’Akron, dans l’Ohio, et de Colmar-Berg, au Luxembourg, s’efforcent de développer des produits et des services de pointe qui établissent la norme technologique et de performance de l’industrie. La gamme de pneus de Goodyear Dunlop Europe pour les véhicules commerciaux, les bus et les autocars comprend plus de 400 pneus différents couvrant plus de 55 dimensions. De nombreux grands constructeurs mondiaux de véhicules commerciaux montent des pneus Goodyear en série, notamment DAF, Iveco, MAN, Mercedes-Benz, Renault Trucks, Scania et Volvo Trucks. Goodyear fournit également des pneus à tous les grands fabricants de remorques. Avec FleetFirst, qui comprend le réseau de services TruckForce, l’assistance routière ServiceLine24h, FleetOnlineSolutions (un système de gestion des pneus et des flottes basé sur Internet) et les services de rechapage Goodyear, Goodyear offre l’une des plus larges gammes de services d’efficacité des flottes du secteur. Pour plus d’informations sur Goodyear et ses produits, visitez www.truck.goodyear.eu
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15:20
Conseil plénier du CNIG du 1er décembre 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe 1er décembre 2021 s’est tenu le premier conseil plénier du CNIG sous la présidence de Bertrand Monthubert. Inauguré par Barbara Pompili en vidéo enregistré, ce conseil plénier a permis au nouveau président de présenter sa feuille de route, ses projets et d’accueillir de nouveaux membres.Toutes les présentations sont en ligne sur le site du CNIG.
Parmi les principaux points à noter :
- la création d’un pôle innovation et prospective qui s’intéressera entre autres aux nouveaux usages et aux modèles économiques, auquel participera Eric Thalgott de l’Afigéo
- la création d’un pôle coordination avec les territoires dont la présidence est assurée par Jean-Marie Seité, président de l’Afigéo
- Recentrage de la commission données sur la standardisation et nomination de Christine Archias en tant que présidente de la commission des standards
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10:31
HERE Technologies publie une bibliothèque mondiale de données Lidar pour modéliser le monde réel en 3D
sur Décryptagéo, l'information géographique- La mesure laser est le socle de la technologie de « jumeaux numériques » et des applications de cartographie haute définition.
- HERE Lidar Data est disponible dans plus de 50 pays dans les formats de données LAS et LAZ.
Le 4 janvier 2022
CES 2022 – HERE Technologies, plateforme mondiale de données et de services de localisation, annonce aujourd’hui la disponibilité de HERE Lidar Data, sa bibliothèque mondiale de données Lidar (Light Detection and Ranging) 3D, sur la plateforme HERE.Les données Lidar offrent de puissantes capacités de modélisation 3D qui permettent de créer des « jumeaux numériques ». Grâce à HERE Lidar Data, il est désormais possible de créer un jumeau numérique de la réalité en capturant des millions de kilomètres de route à travers plus de 50 pays, avec une précision de +/- 2 centimètres.
HERE Lidar Data offre de nombreuses applications dans les secteurs public et privé :- Les organisations et agences du transport public peuvent accéder à des données géospatiales de haute précision pour la gestion de leur infrastructure, la planification du réseau routier ou encore l’analyse du trafic.
- Les cabinets d’ingénierie, d’architecture et de design peuvent bénéficier de données complémentaires pour effectuer des analyses de sélection de sites et des simulations d’impact, HERE Lidar Data s’intégrant facilement aux logiciels de modélisation des informations du bâtiment (BIM).
- Les entreprises du secteur de l’énergie et des télécoms peuvent gérer de manière centralisée leur inventaire de poteaux, antennes et câbles. Les données Lidar permettent également d’optimiser la planification et la conception des réseaux 5G.
« HERE se réjouit de pouvoir désormais offrir aux clients des secteurs public et privé un accès simplifié à ce riche ensemble de données », a déclaré Jørgen Behrens, Chief Product Officer chez HERE Technologies. « Les utilisateurs peuvent utiliser HERE Lidar Data en tant que service, et peuvent accéder à la bibliothèque mondiale de nuages de points 3D via la plateforme HERE. Notre objectif est de contribuer à réduire le temps et les coûts associés à la mise en service de relevés traditionnels de collecte de données. »
HERE capture les réseaux routiers et les environnements urbains du monde entier à partir de centaines de sources de données, y compris sa flotte de véhicules équipés de capteurs Lidar et de caméras à 360°. HERE utilise les nuages de points 3D lidar comme source de données de référence pour ses différentes solutions cartographiques 3D et HD.
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À propos de HERE Technologies
HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
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14:42
HERE ajoute 400 parkings intérieurs à sa plateforme pour améliorer l’expérience de conduite des véhicules électriques (VE)
sur Décryptagéo, l'information géographique- HERE ajoute 400 parkings à sa carte indoor en Europe et en Amérique du Nord grâce à des partenariats avec APCOA et Propark Mobility.
- La carte HERE affiche les stations de recharge de VE en intérieur pour un guidage plus fluide.
- Les opérateurs de parking peuvent désormais intégrer des cartes indoor de leurs parkings dans les produits et services HERE
4 janvier 2022
CES 2022 – HERE Technologies, plateforme mondiale de données et de services de localisation, a conclu un partenariat mondial avec APCOA et Propark Mobility pour ajouter plus de 400 parkings à sa carte indoor. Cette expansion a commencé en Amérique du Nord avec Propark Mobility, l’une des plus grandes sociétés privées de stationnement de la région.Les cartes indoor de HERE permettent de visualiser les éléments clés des parkings – places de stationnement individuelles, voies, rampes et allées piétonnes. Ainsi, la navigation est optimisée depuis l’entrée du parking, que le conducteur soit encore dans son véhicule ou à pied. Grâce à HERE, la navigation entre carte outdoor et carte indoor se fait de manière fluide, offrant une expérience de guidage complète et ouvrant de nouvelles possibilités pour le stationnement intelligent (Automated Valet Parking). En outre, les conducteurs de véhicules électriques pourront identifier sur les cartes les places de stationnement où ils pourront recharger leur batterie pour un maximum de commodité.
« La plupart des systèmes de navigation actuels fournissent un guidage qui s’arrête à l’entrée du parking. La navigation peut désormais se poursuivre jusqu’aux places de stationnement dans les parkings souterrains. Et une fois le véhicule garé, nos capacités de guidage piéton permettent aux voyageurs de rallier facilement leur destination finale », déclare Victor van Dinten, responsable parking indoor et recharge chez HERE Technologies.
« Depuis le début de notre collaboration, nous ne cessons d’être impressionnés par la capacité de HERE à créer un écosystème d’experts capables de stimuler l’innovation », déclare Frank van der Sant, Chief Commercial Officer chez APCOA. « Nous sommes fiers d’unir nos forces à HERE pour créer une expérience de navigation de bout en bout».
« Le leadership de HERE dans le secteur automobile et la qualité de ses cartes indoor ouvrent de nouvelles possibilités pour notre offre de services de stationnement haut de gamme », a déclaré John Schmid, PDG de Propark Mobility. « Chez Propark, nous nous efforçons d’offrir aux conducteurs la meilleure expérience possible. Grâce à notre partenariat avec HERE, nous sommes désormais en mesure d’inclure nos parkings dans les solutions automobiles de HERE, ce qui nous aide à fournir un service complet et transparent à des millions de conducteurs ».
Contacts Presse : AxiCom
- Constance Falourd,
- Katherine Haller,
- herefr@axicom.com
HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com
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14:35
HERE dévoile Indoor Map as a service, avec SBB AG comme premier client
sur Décryptagéo, l'information géographique- Cette offre inclut des services personnalisés de cartographie, de calcul d’itinéraire indoor 2D/3D et de positionnement, pour développer des applications de réalité augmentée et de suivi de ressources.
- Le positionnement indoor HERE est optimisé par Navenio et NavVis pour une couverture complète.
- L’opérateur ferroviaire suisse Schweizerische Bundesbahnen SBB AG est l’un des tous premiers utilisateurs d’Indoor Map as a service.
CES 2022 – HERE, plateforme mondiale de données et services de localisation, dévoile aujourd’hui Indoor Map as a service : une gamme complète et unique de solutions de cartographie indoor. Alors que les individus passent près de 90 % de leur temps à l’intérieur de bâtiments[1], les entreprises se tournent de plus en plus vers les technologies de localisation indoor pour faciliter l’orientation, le suivi de ressources et l’optimisation de l’utilisation de l’espace. Pourtant à ce jour, seule une petit nombre de bâtiments a été cartographié. HERE Indoor Map as a service vient changer la donne.
Une carte indoor de qualité professionnelle peut être générée par HERE en quelques jours. Les informations sur les bâtiments peuvent être soumises dans une variété de formats de données, y compris PDF, CAD ou encore en nuages de points lidar 3D. Une fois que la carte indoor est produite, elle peut être mise à jour par HERE ou par les propriétaires de bâtiments directement via un outil web de gestion de contenu. La carte peut également être utilisée dans le SDK HERE (Software Development Kit), pour une intégration fluide avec HERE Routing, permettant de créer des solutions de navigation de bout en bout qui relient les environnements extérieurs et intérieurs.
HERE s’associe à Navenio et NavVis pour proposer des technologies innovantes de localisation, de positionnement et de « jumeau numérique »HERE a conclu un partenariat avec Navenio pour optimiser les performances de son positionnement indoor. Là où le GPS ne fonctionne pas, Navenio propose un positionnement alternatif basé sur un algoritme qui s’appuie sur les capteurs de smartphones et de l’infrastructure Bluetooth Low Energy/WiFi existante. La configuration initiale peut être effectuée rapidement, en s’appuyant sur la technologie de crowdsourcing pour construire et maintenir la carte des signaux du bâtiment en continu.
Des cartes indoor 3D en haute définition peuvent aussi être créées pour servir de base à des jumeaux numériques. Cette nouvelle fonctionnalité de HERE Indoor Positioning est alimentée par NavVis. Le système de cartographie mobile NavVis s’appuie sur le LiDAR (Laser Imaging, Detection, and Ranging) pour générer des données en nuages de points haute définition et capturer des images panoramiques à 360 degrés. Ces capacités permettent d’envisager des applications d’inspection, de mesure ou encore de tagging d’objets individuels dans n’importe quel bâtiment, avec une précision millimétrique. Les nuages de points peuvent également permettre des services de localisation visuelle et des expériences de réalité augmentée qui ne nécessitent pas l’installation d’une infrastructure dédiée, comme des balises Bluetooth, WiFi ou des QR codes.
L’opérateur ferroviaire suisse Schweizerische Bundesbahnen SBB AG crée un jumeau numérique de la gare centrale de Zurich avec HEREL’opérateur ferroviaire suisse Schweizerische Bundesbahnen (SBB AG) a déployé une navigation basée sur la réalité augmentée pour aider les utilisateurs à se déplacer dans les gares et à trouver les correspondances les plus efficaces. HERE a fourni son SDK, qui inclut la capacité de positionnement visuel de NavVis et a permis de créer un jumeau numérique de la gare centrale de Zurich.
« C’est un scénario courant : nous descendons de notre train dans une gare que nous ne connaissons pas et devons chercher un tram, un bus ou la station de taxi la plus proche. Grâce à des solutions de cartographie indoor précises comme celles proposées par HERE et NavVis, ce problème appartient au passé », a déclaré Bruno Mario Lochbrunner, Mobility Intrapreneur, chez SBB AG. « La cartographie indoor est également d’une grande aide pour nos équipes qui utilisent le positionnement visuel pour gérer leurs actifs – tels que les escaliers mécaniques, les lampes, les poubelles – aussi efficacement que possible. Nous sommes très impressionnés par la précision et la fiabilité de cette technologie. »
« Avec Indoor Map as a service, nous avons lancé une offre unique de cartographie indoor qui comprend la carte, le calcul d’intinéraire et le positionnement, tous disponibles via le SDK HERE, et connectés de manière transparente à la carte HERE. Nous sommes impatients de faciliter la navigation, le suivi des ressources et l’optimisation de l’utilisation de l’espace grâce à cette solution facile à utiliser », a déclaré Victor van Dinten, responsable du stationnement et de la recharge en intérieur chez HERE Technologies.
Le partenariat entre HERE et NavVis a été reconnu par Gartner dans son rapport 2021 « Competitive Landscape : Indoor Mapping ».
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HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
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[1] The National Human Activity Pattern Survey (NHAPS): A Resource for Assessing Exposure to Environmental Pollutants, par Neil E. Klepeis, publié par le Lawrence Berkeley National Laboratory en 2001.
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10:45
Géographie du politique par Jacques Lévy
sur Décryptagéo, l'information géographiqueJacques Lévy, l’un des grands témoins des GéoDataDays, publie début janvier un nouvel ouvrage chez Odile Jacob : Géographie du politique. L’occasion de découvrir des représentations cartographiques originales.
Domaine en pleine expansion, la géographie du politique appréhende le politique à travers les lieux, les territoires, les réseaux.
La mondialisation, la construction européenne, la conscience écologique, les conflits géopolitiques ou les débats publics mettant en scène les «?territoires?» contre les «?métropoles?» consacrent la centralité de l’espace dans l’analyse des questions politiques.
Entre le manuel et l’essai, ce livre éclaire les nouvelles géographies du politique. Il montre qu’elles sont une ressource décisive pour penser les mutations des sociétés contemporaines, des nouvelles cartes électorales à la gouvernance mondiale en passant par la justice spatiale et les aspirations démocratiques. Car, en devenant des acteurs, les individus se sont mués en citoyens aguerris et déterminés, et ils ne se privent pas de le faire savoir. C’est aussi cela que la géographie du politique permet de saisir.
Un glossaire des notions clés et une vingtaine de cartes complètent cette synthèse, qui s’adresse aussi bien aux étudiants en géographie qu’à un public curieux.
Jacques Lévy est géographe, directeur de la chaire Intelligence spatiale de l’Université polytechnique Hauts-de-France et membre du rhizome de recherche Chôros. Il a reçu en 2018 le prix international Vautrin-Lud, considéré comme la plus haute distinction dans le domaine de la géographie. Il a enseigné la géographie du politique à l’École polytechnique fédérale de Lausanne et à l’université de Reims.
-> Géographie du politique, Jacques Lévy, éditions Odile Jacob, 24.90 € dans une librairie près de chez vous, également disponible en format numérique.Cet article Géographie du politique par Jacques Lévy est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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10:34
Padam Mobility, Orléans Métropole et Keolis Métropole Orléans étendent leur service de TAD, Résa’Tao
sur Décryptagéo, l'information géographiquePadam Mobility, Orléans Métropole et Keolis Métropole Orléans étendent leur service de Transport à la Demande, Résa’Tao. Avec 4 nouvelles zones redessinées et une flotte de 39 véhicules, TAO Orléans Métropole se positionne comme l’un des réseaux les plus innovants et les plus avancés de France en matière de Transport à la Demande.Partenaires depuis 2018, Padam Mobility et Orléans Métropole assurent près de 10.000 trajets de Transport à la Demande (TàD) par mois avec le service Résa’Tao, opéré par Keolis Métropole Orléans. La Métropole et l’opérateur s’appuient sur les algorithmes du fournisseur de solutions digitales de mobilité partagée pour optimiser l’exploitation et les coûts de leur offre de transport à la demande.
Avec une fréquentation et une satisfaction au rendez-vous depuis trois ans d’exploitation, Orléans Métropole a décidé ce lundi 3 janvier 2022 d’étendre le service sur quatre nouvelles zones redessinées et de faire évoluer sa flotte d’une vingtaine à une quarantaine de véhicules pour partie électrique.
Un objectif de 250 000 trajets réalisés en Transport à la Demande en 2022Lancé en 2018, le service de TàD d’Orléans Métropole, Resa’Tao, s’est progressivement étendu à d’autres zones du territoire métropolitain pour couvrir 9 zones avec une flotte de plus de 19 véhicules en 2021. Des ajustements techniques conduits par Padam Mobility, tels que l’optimisation des trajets, l’extension des horaires de service et l’assouplissement des réservations de dernière minute, ont progressivement permis de multiplier le taux de fréquentation du service par 3 entre 2018 et 2021.
Forte de cette expérience concluante tant du point de vue de la fréquentation (plus de 250.000 réservations effectuées depuis le lancement) que des usagers (note moyenne de satisfaction du service de 4,7/5), Orléans Métropole a décidé d’étendre le service au 3 janvier 2022 sur 4 nouvelles zones redessinées, avec une quarantaine de véhicules en service 7j/7. Grâce à cette extension, la plupart des habitants en zones urbaines peu denses de la Métropole pourra se déplacer à partir du point d’arrêt situé à quelques mètres de leur domicile au même prix que sur le reste du réseau Tao. Orléans Métropole espère ainsi augmenter la fréquentation du service et atteindre 250.000 trajets réalisés en TàD en 2022, contre plus de 100.000 en 2021.
Un service destiné à connecter 100% des usagers à l’offre de transport conventionnelleLe service de TàD Résa’Tao d’Orléans Métropole s’étend désormais sur 4 nouvelles grandes zones redessinées (contre 9 plus petites auparavant). Ces zones Nord, Sud, Est et Ouest ont été délimitées pour répondre de manière pertinente aux enjeux de mobilité des communes au-delà du cœur urbain de la Métropole. Aussi, pour faciliter tous les déplacements, la disponibilité du service a été augmentée et les correspondances avec les lignes structurantes du transport public orléanais (tramway et bus) ont été facilitées.
Le service continue de contribuer activement à la réinsertion professionnelle. Keolis Métropole Orléans fait appel à une entreprise d’insertion pour l’exploitation du service de transport à la demande.
Les usagers du service RésaTao peuvent réserver leur trajet gratuitement par téléphone, en ligne, ou depuis une application dédiée de plusieurs semaines à l’avance jusqu’à cinq minutes avant leur départ. Un minibus les récupère à un point d’arrêt prédéfini pour les amener vers leur destination 7 jours sur 7 et de 6h00 à 21h00.
« Nous avons la sensation de mieux investir l’argent du contribuable, d’autant plus que la stratégie d’Orléans Métropole n’est pas de faire une économie d’échelle, mais d’offrir un meilleur service. Le Transport à la Demande, solution innovante qui n’exclut personne, ne fait pas que compléter l’offre classique, mais va plus loin en connectant 100% des métropolitains à l’offre de transport… » Romain Roy, vice-président en charge des transports et des déplacements d’Orléans Métropole
Les algorithmes de Padam Mobility au service d’une mobilité partagée et optimiséeÉvolution du service de Transport à la Demande Resa’Tao de la Métropole d’Orléans entre 2018 et 2022
Padam Mobility fournit des solutions de Transport à la Demande basés sur des algorithmes d’optimisation des itinéraires et du remplissage des véhicules. L’offre de mobilité est plus intelligente, plus souple, plus dynamique. Elle ne repose plus sur des itinéraires et des horaires fixes, mais se construit à la demande et est optimisée en permanence en fonction des réservations. Au fil du parcours, plusieurs usagers sont mutualisés au sein d’un même véhicule, le conducteur adapte son itinéraire en fonction des réservations. L’horaire choisi par l’usager est quant à lui toujours garanti.
À propos de Padam Mobility, une entreprise Siemens MobilityDepuis 2014, Padam Mobility développe des solutions digitales de transport public à la demande dynamiques (TàD et TPMR), pour transformer les territoires périurbains et ruraux et rapprocher les communautés. Pour ce faire, l’entreprise propose une suite logicielle de solutions intelligentes et flexibles qui améliorent, auprès de tous les publics, l’impact des politiques de mobilité là où la demande est peu dense et pour mettre en mouvement les usagers, les opérateurs et les collectivités. Cette suite logicielle repose sur des algorithmes puissants et l’intelligence artificielle.
En 2021, Padam Mobility rejoint le groupe Siemens et vient compléter son portefeuille de solutions digitales transport et mobilité.
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CONTACT PRESSE
Padam Mobility (Wordcom Consulting)
Tél. 01 45 44 82 65
Églantine de Cossé Brissac : eglantine@wordcom.fr
Apolline Privat : rp@wordcom.frOrléans Métropole
Germain Fournier : germain.fournier@orleans-metropole.frCet article Padam Mobility, Orléans Métropole et Keolis Métropole Orléans étendent leur service de TAD, Résa’Tao est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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9:33
Scania embarque HERE au sein de sa solution de navigation connectée pour poids lourds
sur Décryptagéo, l'information géographique- Les conducteurs bénéficient d’itinéraires spécifiques poids lourds, d’un guidage basé sur les attributs routiers et d’informations sur les règles de circulation locales.
- Scania va utiliser HERE ISA Map pour développer sa propre solution d’adaptation intelligence de la vitesse (ISA), conformément à la nouvelle législation européenne.
La solution de navigation connectée embarquant l’intelligence HERE sera disponible pour la flotte de poids lourds de Scania dans le monde entier, y compris en Chine, au Japon et en Corée du Sud. Les fonctions de HERE SDK exploitées par Scania (cartographie, calcul d’itinéraires et recherche) intègrent des informations routières spécifiques aux poids lourds, les réglementations en vigueur et les points d’intérêt. Scania prévoit également de s’appuyer sur HERE SDK pour développer une application mobile et offrir aux conducteurs une expérience fluide à l’intérieur comme à l’extérieur du véhicule.
Au-delà de la navigation, Scania va s’appuyer sur les données de limitation de vitesse de HERE (HERE Speed Limit Data) pour développer une solution d’adaptation intelligente de la vitesse (ISA), conformément à la législation européenne. La solution ISA est une fonction embarquée qui aide les conducteurs à reconnaître et à respecter les limitations de vitesse légales sur une route donnée. La carte ISA de HERE (HERE ISA Map) contient les limites de vitesse explicites visibles sur les panneaux de signalisation ainsi que les limites de vitesse implicites dérivées des panneaux de signalisation sans valeur numérique.
Les services et données de HERE (qui incluent les réglementations relatives aux poids lourds) sont utilisés pour améliorer diverses fonctions ADAS, comme par exemple la gestion prédictive du carburant, soutenant la stratégie de Scania de développer des systèmes de transport plus durables. L’électrification des camions Scania sera par ailleurs facilitée par l’accès aux services de localisation HERE, qui intègrent des fonctions d’optimisation et de calcul d’itinéraires dédiées aux véhicules électriques (VE).
» Nous avons choisi HERE pour la qualité de ses données et de ses services de localisation, ainsi que la facilité d’intégration dans nos systèmes embarqués et dans le cloud « , a déclaré Peter Vincent, responsable des systèmes connectés chez Scania. « L’intégration de cartes connectées dans le véhicule réduit la consommation de carburant et permet de nouvelles fonctions pour les véhicules électriques et autonomes. »
» Nous sommes honorés de la confiance que Scania accorde à notre plateforme pour permettre de nombreux cas d’usages, notamment la navigation, les systèmes avancés d’aide à la conduite, la gestion de flotte et l’électrification. Avec Scania, nous rendons la conduite des poids lourds plus efficace et contribuons à une évolution majeure vers le transport durable », a déclaré Gino Ferru, Senior Vice President, General Manager of EMEAR chez HERE Technologies.
Contacts Presse : AxiCom- Constance Falourd
- Katherine Haller
- herefr@axicom.com
HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
A propos de ScaniaScania est l’un des principaux fournisseurs au monde de solutions de transport. Avec nos partenaires et nos clients, nous construisons un système de transport durable. En 2020, nous avons livré à nos clients 66 900 camions, 5 200 bus ainsi que 11 000 moteurs industriels et marins. Les ventes nettes se sont élevées à plus de 125 milliards de couronnes suédoises, dont plus de 20 % étaient liées aux services. Fondée en 1891, Scania est aujourd’hui présente dans plus de 100 pays et compte 50 000 employés. La recherche et le développement sont principalement concentrés en Suède. La production est basée en Europe et en Amérique latine, avec des centres de produits régionaux en Afrique, en Asie et en Eurasie. Scania fait partie du groupe TRATON. Pour plus d’informations, visitez le site www.scania.com.
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10:21
Nouveau Récepteur Catalyst DA2 : Un concept unique de précision à la demande
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUnique sur le marché et particulièrement économique (10€ de l’heure) Trimble Catalyst se distingue des récepteurs GNSS traditionnels par sa flexibilité et son coût dérisoire, tout en assurant un très au niveau de performance.
Flexible et économiqueElle est de fait la solution de premier choix pour équiper un grand nombre d’utilisateurs tels que les chefs de chantiers ou les utilisateurs aux besoins ponctuels ou aux besoins de précision variables, d’un outil de levé simple, efficace et précis : levés complémentaires, implantation, etc.
La solution nécessite l’acquisition du récepteur Trimble Catalyst au coût dérisoire et la souscription d’abonnements au fl du besoin de l’utilisateur. Pour répondre au besoin de chaque mission, les abonnements sont flexibles que ce soit en terme de précision (1cm, 10cm, 30cm, 60m) que de durée (à l’heure, au mois, à l’année) et surtout ils sont ÉVOLUTIFS ET SANS ENGAGEMENT. Vous activez celui dont vous avez besoin, au moment où vous en avez besoin !
Économique mais surtout performanteUn cout attractif oui, mais certainement pas au détriment de l’efficacité ! L’antenne Catalyst DA2 est extrêmement performante y compris dans des environnements difficiles (urbain, arboré) grâce à la technologie ProPoint et permet même la réception des corrections en zone blanche par satellite (Trimble RTX) grâce à la technologie L-band.
Facile à utiliser et compatible avec de nombreux workflowLégère, compacte, le récepteur Trimble Catalyst DA2 se connecte en bluetooth à un terminal (smartphone ou tablette) avec logiciel d’acquisition de données terrain. La solution, très facile à utiliser est compatible Android et iOs et peut ainsi être intégrée à de nombreux workfows comme les solutions de mobilité ESRI, la solution de cartographie ArpentGIS ou autres solutions tierces.
Le 13 janvier à 16h, WEBINAIRETout savoir sur le nouveau récepteur GNSS Trimble Catalyst DA2
- Concept unique de précision à la demande
- Les caractéristiques du nouveau récepteur Catalyst DA2
- Une solution de levé clé en main sous Android ou iOs
Depuis plus de 25 ans, D3E Geospatial propose les solutions matérielles (GPS/GNSS) et logicielles d’acquisition & mise à jour de données géospatiales et attributaires de précision centimétrique à métrique, dédiées aux métiers de la cartographie SIG et de la TOPOGRAPHIE : récepteurs GPS, terminaux durcis, systèmes de mobile mapping, drones, détecteurs de réseaux, etc.
Réputée pour la valeur ajoutée technique et le service apporté à ses clients : CONSEIL / FORMATION / SUPPORT TECHNIQUE / MAINTENANCE, D3E distribue les marques référentes sur le marché : Trimble, GeoMax (via la société I3MAP), Radiodetection, senseFly, …
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10:59
L’autorité portuaire de Hambourg et HERE améliorent la gestion du trafic des poids lourds dans le port de Hambourg
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis – L’autorité portuaire de Hambourg (HPA) annonce sa collaboration avec HERE Technologies, plateforme mondiale de données et de services de localisation, pour mieux gérer le trafic de poids lourds dans le port de Hambourg.Les temps de trajet sont affichés sur les panneaux DIVA dans le port. En cas de retard, les temps de parcours sont précisés en jaune.
Dans le port, des panneaux d’information numériques ( » Dynamic Information on traffic Volumes in the Area of the port « , DIVA) fournissent aux chauffeurs de poids lourds des informations relatives au trafic pour les guider. La solution de HERE Corridor Travel Time-as-a-Service permet d’afficher les temps de parcours estimés vers des destinations clés telles que les points de transfert de marchandises – le tout sans avoir besoin de matériel supplémentaire.
La solution HERE utilise les données des capteurs de véhicules et HERE Real-Time Traffic et HERE Routing pour mettre à jour les temps de parcours. Elle se configure facilement via une API et se déploie rapidement, ce qui minimise les efforts de développement et d’intégration pour les clients.
Rando Schade, en charge de la gestion du trafic pour HPA a déclaré : « Pour la première fois, nous pouvons afficher les temps de parcours exacts dans le port, ce qui aide les chauffeurs de camions à planifier leur arrivée jusqu’à leur terminal d’embarquement. Des comparaisons permanentes avec des parcours alternatifs permettent de recommander les meilleurs itinéraires et d’éviter les embouteillages ou de prendre en compte les horaires ouvertures des ponts mobiles. Grâce aux informations fournies par les centres de contrôle des ponts, les recommandations d’itinéraires s’adaptent de telle sorte qu’il n’y a plus d’embouteillage devant les ponts mobiles. »
« Dans le contexte actuel de crise de la chaîne d’approvisionnement, la gestion du trafic au sein des plateformes logistiques majeures comme les ports est plus critique que jamais. Avec notre solution Corridor Travel Time-as-a-Service, nous fournissons à l’autorité portuaire de Hambourg un moyen rentable de surveiller le trafic en temps réel et d’informer les chauffeurs routiers sur les temps de trajet jusqu’à leur destination », a déclaré Patrick Götze, responsable Transport & Logistique chez HERE Technologies.
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HERE, plateforme de données et services de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
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10:49
Changement climatique : bilan 2021 dans 24 métropoles mondiales
sur Décryptagéo, l'information géographiqueÀ quelques jours de la fin d’un millésime qui fera date en termes d’intempéries et de catastrophes naturelles, retour sur les évolutions climatiques notables de l’année 2021 dans 24 métropoles aux quatre coins du monde. Un bilan réalisé grâce à l’observatoire en ligne Klover, dédié à l’adaptation climatique des villes. Cette plateforme publiée par Kermap automatise la reconnaissance de la végétation urbaine sur les images satellites Sentinel-2, du programme Copernicus de l’UE et l’Agence spatiale européenne, et Pléiades, d’Airbus, mises à disposition par le CNES (Centre national d’études spatiales). Klover y associe les données d’évolution des températures, des précipitations et des épisodes de froid ou de chaleur depuis 1981 fournies par le POWER Project de la NASA, pour livrer un état des lieux inégalé de la résilience au réchauffement climatique de 24 métropoles mondiales.
Des signes du réchauffement climatique en 2021 ?Quelles villes du panel Klover ont affiché les températures les plus inhabituelles en 2021? Comparé à la période de référence 1981-2010, Montréal affiche l’écart le plus important avec +1,5°C en moyenne sur l’année. Suivent Shanghai, Tel Aviv, New York et Tokyo (+1°C)
Au 13/12/2021, Top 5 des écarts de température en 2021 (écart entre la moyenne des températures journalières en 2021 et la moyenne de la période de référence 1981-2010). Voir tout le classement sur klover.city
Montréal et la plupart des villes du top 10 affichent une courbe d’évolution similaire à la période de référence de 1981 à 2010, mais avec des températures plus élevées quasiment toute l’année. Toutes enregistrent en outre un nombre de jours de chaleur normale très supérieur à la période de référence.
D’autres, comme Mexico ou de nombreuses villes d’Europe, se sont écartées de l’évolution de la courbe, parfois à la hausse, parfois à la baisse. À l’instar de Paris, les métropoles européennes affichent presque toutes un écart de température négatif en 2021. Des chiffres qui semblent atypiques, mais peu significatifs pour une seule année sur 30 ans. D’autant que l’épisode La Niña induit un refroidissement du climat dans certaines parties du monde.
Un autre indicateur de Klover suggère bel et bien une propension au réchauffement climatique cependant. Il s’agit de l’évolution, sur 40 ans, des écarts annuels de température par rapport à la période de référence, en hausse dans presque toutes les villes :
Climat 2021 : des températures exceptionnelles
Les 12 derniers mois ont été riches en événements climatiques exceptionnels dont l’installation d’un “dôme de chaleur” d’une vigueur inédite sur la partie ouest de l’Amérique du Nord. Épisode ayant entraîné un incendie et la destruction quasi intégrale du village de Lytton, où venait d’être constatée la température la plus élevée jamais enregistrée au Canada, un invraisemblable 49,6°C !
A Vancouver, capitale de la Colombie-Britannique, l’épisode s’est aussi révélé historique :
- record de température : 38,7°C le 28 juin 2021, pulvérisant de 5°C celui enregistré ces 40 dernières années,
- température moyenne en juin supérieure de plus de 3°C à celle de la période de référence 1981-2010,
- 10 jours de chaleur anormale en juin (au moins +5°C comparé à la moyenne des maximales 1981-2010), contre 4 lors des 40 dernières années.
D’autres phénomènes inédits en 2021 contribuent à ancrer encore plus l’évidence du dérèglement climatique et son imminence :
- En février, un vortex polaire a saisi le sud des Etats-Unis, où les températures ont approché les -20°C.
- En août, une vague de chaleur s’est abattue sur l’Europe du sud et un record absolu de température sur le Vieux Continent a été battu (48,8°C en Sicile), tandis que des feux de forêt d’une envergure inédite ont ravagé l’île d’Eubée en Grèce.
- Tout au long de l’année, le cercle arctique a connu des pics de chaleur historiques avec des températures supérieures de 10 à 20°C aux normales, et un record absolu de 38°C enregistré à Verkhoyansk (Russie) le 19 mai 2021.
- Un été exceptionnellement chaud à Moscou, avec un record de chaleur absolu en juin et des températures moyennes de juin à août 2021 supérieures de 2°C aux moyennes de référence.
- Un nouvel incendie géant en Californie, le Dixie Fire, deuxième plus important qu’ait connu cet Etat en proie à une sécheresse chronique. En 2021, Los Angeles n’a connu que 24 jours de précipitations représentant un cumul de seulement 150 mm soit 2,5 fois moins que la moyenne de référence.
Moins de six mois après le dôme de chaleur, une nouvelle calamité s’est abattue cet automne sur la Colombie-Britannique : des inondations monstres, provoquées par une rivière atmosphérique d’une ampleur exceptionnelle avec un cumul de pluies record entre septembre et novembre 2021.
Les chiffres relevés sur Vancouver montrent qu’en seulement trois mois, la ville a reçu l’équivalent de toute une année de précipitations par rapport à la moyenne de référence 1981-2010 (cumul en mm).
Mi-juillet, l’Ouest de l’Europe a connu des pluies torrentielles et meurtrières : Allemagne, Belgique, Luxembourg et Pays-Bas.
Dix jours plus tard, scénario identique en Chine, dans la province du Henan et sa capitale Zhengzhou, mais aussi en Inde, où Delhi a été noyée sous des pluies diluviennes en juillet puis en août.
Outre ces inondations d’une ampleur inédite, à Bangkok, Shanghai ou Mexico, l’observatoire Klover relève des anomalies assez significatives en matière de précipitations au cours des 12 derniers mois :
- 28 à 38 jours de précipitations de plus comparés à la moyenne de référence
- des cumuls mensuels de précipitations exceptionnels au second semestre (3 à 5 fois la moyenne des 40 dernières années)
- des records de précipitations journaliers pulvérisés
À noter au passage qu’à Paris aussi, le record de précipitations journalier a été battu en 2021, selon les relevés établis par Nasa Power.
Épisodes extrêmes, anomalies persistantes… Cette pluviométrie exceptionnelle est-elle liée au réchauffement climatique ? Bien que le faisceau de présomptions s’étoffe de jour en jour, les climatologues préfèrent, en l’état des connaissances, parler d’événements amplifiés par le dérèglement. Et sans nul doute aggravés par l’artificialisation des sols, dont le rôle ne fait plus débat, l’imperméabilisation des surfaces par les constructions humaines empêchent l’infiltration des eaux pluviales.
Changement climatique : les villes en première ligneLes années 2020 et plus encore 2021 feront-elles figure de tournants ? Il est encore trop tôt pour l’affirmer. Mais les villes sont désormais en première ligne de ce dérèglement climatique. D’abord parce qu’elles n’ont pas été pensées pour ces aléas, ensuite parce qu’elles concentreront deux tiers de la population mondiale à l’horizon 2050 selon les projections de l’ONU.
Pour s’adapter, elles disposent de plusieurs leviers dont la végétalisation avec des arbres, plus efficaces et plus accessibles pour lutter contre les îlots de chaleur urbains selon le GIEC. Face aux risques accrus d’inondation, ils ont aussi l’avantage de contribuer à un modèle de “ville-éponge”, facilitant l’infiltration des eaux pluviales dans les sols. Sans compter les autres services écosystémiques : préservation de la biodiversité, amélioration de la qualité de l’air, séquestration du carbone et plus globalement bien-être des populations.
Sans surprise, en matière de place accordée aux arbres et aux espaces verts, il existe de grandes disparités entre les 24 métropoles analysées par Klover. Grâce aux images satellites Pléiades d’Airbus, mises à disposition par le Centre national d’études spatiales (CNES), face aux verdoyantes Zurich, Berlin, Varsovie ou Washington, d’autres villes semblent cruellement manquer de vert : Shanghai, Tel Aviv, Le Cap, Paris ou Tokyo.
À propos de KermapToutes, bien sûr, ne sont pas logées à la même enseigne. Géographie, démographie, histoire, économie…, différents facteurs ont façonné ces cités. Pour ne prendre que l’exemple de Paris : il s’agit de la 7e métropole la plus densément peuplée au monde. Avec plus de 20 000 habitants au km², elle est ainsi 25 fois plus dense que Montréal, à population équivalente, ou que Zurich, à superficie équivalente. Une illustration parmi tant d’autres des obstacles rencontrés par les grandes métropoles à l’heure de renaturer la ville pour s’adapter au changement climatique.
Fondée en 2017 et implantée à Rennes, Kermap propose des services de géo-intelligence des territoires à destination des acteurs publics et privés. Son objectif : simplifier l’accès aux données géographiques issues de l’observation de la Terre que la recherche académique sait produire, mais qui restent complexes et coûteuses à valoriser pour les intervenants de terrain. Grâce à son expertise en analyse spatiale et en automatisation du traitement des images par IA, Kermap produit et facilite la visualisation de ces informations pour le suivi territorial et l’aide à la décision. En seulement quatre ans, l’envergure, l’efficacité et la fiabilité de ses solutions SIG ont déjà convaincu des dizaines d’acteurs dans le domaine de l’urbanisme, l’environnement, et l’agriculture : Ministère de l’Agriculture, collectivités (région Grand-Est, Seine-Saint-Denis, Dordogne, Montpellier Méditerranée Métropole, Rennes Métropole, Limoges Métropole…), organismes publics (Eau de Paris, PNR du Morbihan, Bureau de recherches géologiques et minières…), et clients ou partenaires privés.
Pour en savoir plus : www.kermap.com
Contacts presse :
Christelle Roignant – christelle@oxygen-rp.com – 06 83 81 61 61
Marjorie Gandon – marjorie.g@oxygen-rp.com – 06 69 18 32 88
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10:47
La Société de Géographie fête son bicentenaire
sur Décryptagéo, l'information géographiqueGrand amphi de la Sorbonne, visite princière, musique et mini conférences… la Société de Géographie a fêté son bicentenaire en grande pompe le 15 décembre. Les interventions se sont intéressées aux 5 sens et aux enjeux de l’enseignement d’une discipline mal aimée des écoliers.La Société de Géographie a fêté son bicentenaire le 15 décembre 2021
Si 81 % des Français pensent que la géographie les aide à comprendre le monde, plus de la moitié reconnaît que son enseignement n’est pas des plus palpitants. Pourtant, comme le montre l’enquête menée par l’Ifop à l’occasion du bicentenaire de la Société de Géographie, les Français aiment les cartes, et estiment que la géographie mène à des métiers intéressants.
Partant de ce constat, la société de géographie milite pour un renouvellement de son enseignement. La présentation du concours Carto par Olivier Godard a bien montré que les plus jeunes sont prêts à s’investir sur un exercice souvent jugé fastidieux, et à produire des documents qui pourraient tous nous inspirer.
Les intervenants du colloque ont également insisté sur le rôle de nos 5 sens dans nos différentes manières d’appréhender le monde. Et c’est à Christophe Tourret, PDG d’Esri France, qu’est revenu le privilège de parler de la vue, offerte par la carte et ses outils numériques, afin de mieux décrypter le monde qui nous entoure.
- Retrouver sous ce lien le dossier de presse complet de l’événement.
- La cérémonie complète en vidéo ci dessous
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14:50
SFPT : une newsletter anniversaire
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa Société Française de Photogrammétrie et de Télédétection a fêté ses 60 ans, l’occasion d’un numéro anniversaire qui revient sur le colloque qui s’est tenu le 29 novembre 2021 à l’IGN.Cliquez sur l’image pour accéder à la newsletter
Au Sommaire
1. Congrès de l’ISPRS
2. Soixantenaire de la SFPT
3. Les membres donateurs présentent
4. Les membres bienfaiteurs présentent
5. Les membres de soutien présentent
6. La SFPT accueille un nouveau membre (Kermap)
7. Ils soutiennent la SFPT
8. Membres du Conseil d’Administration de la SFPT
9. Membres du Comité de Rédaction de la RFPT
10. Tarifs d’adhésion
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10:19
Images aériennes et satellites sous Photoshop : sortie de Geographic Imager 6.5
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlain Olivier Géomatique et Avenza Systems Inc. sont heureux d’annoncer la sortie de Geographic Imager® 6.5 pour Adobe Photoshop®.Cette dernière version offre une compatibilité totale avec la dernière version d’Adobe Photoshop 2022 (23.0.x), ainsi qu’avec Windows 11 et macOS 12, la prise en charge de l’importation et de l’exportation des GeoPackages vectoriels et des améliorations sur l’outil Terrain Shader, sans compter un nouveau Document Blending Mode pour superposer des images sur des données d’altitude. Voici les principales nouveautés de Geographic Imager 6.5 !
Une entière compatibilité avec Adobe Photoshop 2022 (23.0.x), Windows 11 et macOS 12
Geographic Imager pour Adobe Photoshop offre une solution complète pour importer, éditer et exporter des images géospatiales telles que des images aériennes et satellites. L’outil permet de travailler avec des modèles numériques de terrain, des GeoTIFF et d’autres formats d’images SIG communs, y compris désormais les GeoPackages, tout en utilisant les fonctionnalités d’Adobe Photoshop (telles que les transparences, les filtres, le recadrage et les ajustements d’image) ainsi qu’en maintenant le géoréférencement et la prise en charge de centaines de systèmes de coordonnées et de projections.L’objectif étant que les utilisateurs de Geographic Imager bénéficient toujours d’une intégration transparente avec l’espace de travail d’Adobe Photoshop, nous sommes heureux d’annoncer que Geographic Imager 6.5 est désormais entièrement compatible avec Adobe Photoshop 2022 (23.0.x). Geographic Imager 6.5 est également entièrement compatible avec le nouveau Windows 11 et macOS 12 Monterey.
Plusieurs améliorations du Terrain ShaderL’outil Terrain Shader permet aux utilisateurs de créer des visualisations spectaculaires en relief ombré avec des données d’altitude. La combinaison de jeux de données d’altitude ombragés avec des superpositions d’images permet de créer des représentations topographiques saisissantes. Dans cette dernière version de Geographic Imager, l’outil Terrain Shader se voit significativement amélioré avec une option de mode de fusion de documents. Lorsque l’option Apply Overlay Image est sélectionnée en tant que schéma de colorisation, les utilisateurs peuvent désormais choisir parmi une gamme de modes de fusion Photoshop natifs améliorant la superposition des couches d’imagerie avec les données d’altitude.
Prise en charge à l’import et l’export des données vectorielles en GeoPackagePlusieurs utilisateurs ont demandé la possibilité d’importer et d’exporter des données vectorielles au format GeoPackage. Nous sommes heureux d’annoncer que la prise en charge complète des GeoPackages vectoriels est désormais proposée par Geographic Imager 6.5. Les GeoPackages vectoriels sont basés sur des bases de données SQLite et offrent un format de données open source, compact, léger et flexible pour un stockage ou un géotraitement facile et efficace des données spatiales.
? Pour télécharger Geographic Imager 6.5, c’est ici.
? Pour obtenir sans délai la licence, c’est là.
À propos de Geographic Imager
Geographic Imager pour Adobe Photoshop exploite les capacités très supérieures dans le domaine de l’édition de l’imagerie du premier logiciel au monde de retouche des formats rasters le transformant en un puissant outil de productions géospatiales. Travaillez ainsi avec des images satellitaires, des photos aériennes, des MNT au format GeoTIFF et bien d’autres formats d’images S.I.G. en utilisant les fonctions d’Adobe Photoshop (ex. : transparences, filtres, etc.) tout en maintenant le géoréférencement et en conservant la prise en charge de centaines de systèmes de coordonnées. Pour plus d’information, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.mapublisher.fr]
À propos d’Avenza Systems Inc.
Avenza Systems Inc. est une société qui fournit aux cartographes de puissants outils logiciels pour réaliser les meilleures cartes possibles. Outre les logiciels sous Windows, OS X et iOS, la société propose des jeux de données, des sessions de formations et des conseils. Pour plus d’information, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.avenza.com
À propos d’Alain Olivier Géomatique
Alain Olivier Géomatique est partenaire de Avenza Systems Inc. en France et distributeur actif d’outils innovateurs pour la géomatique et l’édition cartographique. La combinaison d’une vaste connaissance de la géomatique et d’un haut niveau de services a fait ses preuves auprès de nombreux clients francophones à travers le monde, en particulier dans le support technique et la formation. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : http://www.geomatique.fr
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Alain Olivier Géomatique
04 79 64 34 35
info@geomatique.frCet article Images aériennes et satellites sous Photoshop : sortie de Geographic Imager 6.5 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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14:24
Cloud4Wi change la façon dont les entreprises se connectent avec leurs propres clients grâce au rachat de GeoUniq
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnsemble, les deux entreprises sont prêtes pour une phase de croissance rapide, en aidant leurs clients à réduire le fossé entre le parcours physique et numérique du client.GeoUniq Tracking Engine
New York – 16 décembre 2021 – Cloud4Wi, leader du secteur des solutions de marketing géolocalisé, a annoncé aujourd’hui le rachat de GeoUniq, société française, fournisseur de technologies et de données de localisation de pointe. Grâce à cette acquisition, Cloud4Wi et ses clients bénéficient d’un accès immédiat à l’un des moteurs de localisation les plus innovants au monde.
Cloud4Wi est connu pour sa plateforme complète de marketing géolocalisé, qui utilise les données hors ligne des clients. Elle seule donne aux entreprises la possibilité de révéler les comportements des clients à l’intérieur de leurs emplacements physiques avec une approche basée à 100% sur le consentement. Elle offre également aux entreprises la possibilité d’envoyer des messages parfaitement ciblés aux clients au bon moment – au bon endroit. En combinant cette technologie avec le kit de développement logiciel de GeoUniq – un kit de développement logiciel axé sur la protection de la vie privée qui aide les entreprises en fournissant une intelligence de localisation sophistiquée à leurs applications – les clients de Cloud4Wi pourront obtenir une visibilité sur les comportements des clients également en dehors de leurs emplacements physiques. Au final, cette acquisition représentera donc une occasion unique pour les clients d’obtenir un avantage concurrentiel pour fidéliser leurs clients et augmenter leurs revenus, en leur donnant la possibilité de créer des parcours clients totalement nouveaux.
Antonino Famulari, PDG de GeoUniq, commente : « La fusion avec Cloud4Wi est opportune pour GeoUniq, qui souhaitait rejoindre une organisation profondément ancrée dans le marketing géolocalisé. La fusion des compétences, des technologies, des analyses et des données intérieures et extérieures permettra enfin aux entreprises de gérer les parcours physiques des clients, ce qui est souvent théorisé mais difficilement réalisable. Je suis convaincu que Cloud4Wi et GeoUniq trouveront un avantage commun en élargissant nos perspectives. Par exemple, nous pourrions nous concentrer sur une plus grande pénétration dans des secteurs verticaux tels que le commerce de détail, où nous pourrions cibler les marques purement numériques qui ont des applications mobiles et qui veulent mieux comprendre le comportement de leurs clients dans le monde physique. Nous sommes enthousiastes à l’idée de co-développer des solutions offrant encore plus de valeur grâce à une plus grande intégration tout au long du parcours client. »
Selon un récent rapport de MarketsandMarkets, la taille du marché mondial du marketing géolocalisé devrait passer de 10,7 milliards de dollars en 2020 à 32,5 milliards de dollars en 2025, à un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 25,0 % au cours de la période de prévision. En conséquence, Cloud4Wi sera prêt pour une croissance rapide qui sera alimentée par la combinaison de deux équipes de recherche et de développement de premier ordre qui conduiront une innovation continue.
Andrea Calcagno, PDG et Co-fondateur de Cloud4Wi, conclut : « Nous sommes ravis d’accueillir toute l’équipe de GeoUniq dans la famille Cloud4Wi. En regardant vers l’avenir, nous avons identifié la capacité à combler le fossé entre le parcours physique et numérique du client comme notre principale opportunité de croissance, et nous avons activement recherché GeoUniq avec son offre de pointe. Nous sommes convaincus que l’amélioration de notre proposition de valeur apportera un avantage distinct au marché, permettant aux marques d’unifier l’expérience client hors ligne et en ligne. »
Notes aux rédactions :
? Les modalités et le prix d’acquisition ne seront pas divulgués.
? Aucun membre du personnel de l’une ou l’autre des entreprises ne sera licencié ou ne perdra son emploi du fait de ce rachat.À propos de Cloud4Wi
Cloud4Wi change la façon dont les entreprises se connectent avec leurs clients.
Notre plateforme complète de marketing géolocalisé est l’outil ultime pour combler le fossé hors ligne du parcours client numérique, permettant aux entreprises de fidéliser leurs clients et de générer des revenus. En utilisant les données hors ligne des clients, notre plateforme propriétaire envoie des messages parfaitement ciblés aux bons clients au bon moment – au bon endroit et au bon moment.
Des entreprises innovantes de premier plan, telles que Burger King, Campari Group, Carmila (Groupe Carrefour), Guess, The Cordish Companies, Valentino, et bien d’autres, font confiance à Cloud4Wi pour stimuler leurs performances, constatant des résultats probants tels que des taux de clics de +30% et un retour sur investissement de +30x.
Cloud4Wi a son siège social à New York et des bureaux à San Francisco, Pise et Milan.Contact presse
Georges-Antoine Gary – gagparis@gmail.com – 06 12 13 86 88Cet article Cloud4Wi change la façon dont les entreprises se connectent avec leurs propres clients grâce au rachat de GeoUniq est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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11:21
Fin d’année : il est temps de prendre de bonnes résolutions, mais ce ne sera pas facile !
sur Décryptagéo, l'information géographiquePar Thierry Rousselin, Tmcftn
A quelques jours de distance, Microsoft annonce les nouvelles capacités d’interprétation offertes dans Microsoft Azure via les algorithmes du Projet Turing et la NOAA accorde la première licence commerciale à un satellite d’observation à 10 cm de résolution. Ces deux événements différents rendent néanmoins compte du terrible bazar qui règne désormais tant dans la résolution des images que dans les capacités d’interprétation. Analyse.Satellites d‘observation de la Terre en orbite un jeudi matin vers 11h [https:]
Au commencement le monde était simple, la résolution spatiale des images disponibles commercialement correspondait à ce que permettait l’instrument de prise de vue à l’altitude où on l’avait placé. L’instrument HRV de Spot 1 acquérait des données à 10 m de résolution et Spot Image vous fournissait des images avec des pixels de 10 m de côté. Et quand vous vouliez connaître le potentiel d’interprétation, les grilles NIIRS (National Imagery Interpretability Rating Scale), basées sur 60 ans d’expérience en photo-interprétation, vous disaient ce que vous pouviez détecter, reconnaître ou identifier sur ces images. C’était le bon temps…
Années 90 : premiers bricolagesCela se compliqua un peu à partir de la fin des années 90. À cette période les États-Unis donnaient le La sur les résolutions commerciales autorisées. S’ils disaient que la limite pour les capteurs optiques était à 5 m, personne ne se risquait à descendre plus bas (d’autant que les composants d’origine américaine inclus dans les satellites européens, canadiens ou japonais fournissaient un efficace moyen de pression). La pagaille vint du fait que l’administration américaine changea plusieurs fois d’avis dans les années 90, en autorisant successivement la résolution spatiale de 3 m puis celle de 1 m puis celle de 70 cm. Pour ne pas se laisser distancer, certains compétiteurs, à commencer par Spot Image pour Spot 5, durent « bricoler ». Alors que les deux instruments HRG à bord n’avaient qu’une résolution de 5 m, le « super mode » permettait de créer une image à 2,5 m de résolution à partir de deux images à 5 mètres acquises simultanément avec un demi-pixel de décalage. Il y avait donc déjà pas mal de traitement d’images avancé dans le produit livré au client. Cette situation a perduré jusqu’au début des années 2010 dans un relatif gentlemen’s agreement dû au faible nombre d’acteurs mondiaux. Il y avait bien quelques bidouilleurs effrontés, mais tout le monde les connaissait et ça n’impactait pas le marché.
Il est à noter que dans le domaine radar (où la résolution commerciale de l’image est partiellement un choix réalisé dans le processeur SAR au sol), le même genre de gentlemen’s agreement existait également. Les différents opérateurs canadiens, italiens, allemands et japonais convergeant même sur des dénominations communes : SpotLight pour les données à 1 m, StripMap pour les données à 3 m et ScanSAR pour les données basse résolution.
Alors que s’est-il passé en moins de 10 ans pour qu’aujourd’hui toutes les frontières se brouillent ?
Sept facteurs peuvent expliquer la situation actuelle.
#1 : La multiplication des acteursDepuis 2012, les projets se sont multipliés dans le monde entier (il y a une centaine de projets actifs de constellations d’observation actuellement et la NGA estime que 500 satellites d’observation seront lancés chaque année d’ici 2026). Dans la course aux financements et à la reconnaissance, tous les coups sont permis, y compris l’intoxication et les mensonges les plus éhontés. Face à ces discours, il faut prendre en compte la part d’espoirs irréalistes (quand un porteur de projet au stade PowerPoint vous expliquait en 2015 qu’en 2 ans sa constellation serait en orbite, il y croyait vraiment). Mais il faut également intégrer que beaucoup de nouveaux entrants viennent d’une culture beaucoup plus compétitive et agressive que notre ancien monde très traditionnel où l’on discutait « entre spécialistes ».
Croissance du nombre de satellites d’observation commerciaux selon la NGA (© NGA – Présentation DGI 2021 – septembre 2021)
#2 : La montée en puissance de la ChineEn 15 ans, la Chine est passée du statut de second client (après la défense américaine) des opérateurs commerciaux occidentaux à celui de potentiel principal compétiteur. Utilisons le terme « potentiel » car les parts de marché des principaux opérateurs commerciaux chinois sont encore négligeables comparées à Maxar, Airbus DS et même Planet. Mais l’activisme en termes de développement de nouveaux capteurs et constellations, son rythme effréné de lancements, ont permis à la Chine de réduire l’énorme retard qu’elle avait au début des années 2010. Cette progression est désormais reconnue (et vue comme une menace) par les autorités américaines, comme en témoigne ce classement des capacités présenté par la NGA en avril 2021.
Classement « Olympique » des capacités d’observation mondiales selon David Gauthier, Director, Commercial and Business Operations NGA (© NGA – Présenté à la réunion ACCRES – 27 avril 2021 [https:]
Sur les 11 premiers mois de 2021, pas moins d’une soixantaine de satellites d’observation, de météorologie ou de détection de navires ont été lancés. Et ce n’est qu’un début. À côté des constellations institutionnelles bien établies (différents satellites Gaofen, HY, FY, TH…) et de leurs acteurs commerciaux dérivés (5 Jilin lancés avec succès sur la période), de multiples acteurs régionaux ou privés chinois lancent des projets et investiguent les domaines plus « prospectifs » (radar, hyperspectral, atténuation du signal GPS, SIGINT) et ont désormais la possibilité de lancer leurs satellites. Cette mise en compétition, orchestrée par les autorités chinoises, a pour but de faire émerger des capacités nouvelles, si possible disruptives. L’annonce en fin d’année de la constellation radar Tiangang de 36 satellites illustre ce phénomène. Zhuhai, le constructeur et opérateur privé du sud de la Chine, qui s’était manifesté en 2018-2019 par des POC vidéo et hyperspectral, a obtenu d’être impliqué dans un programme clé de l’administration chinoise. Il faut rappeler que le manque de capacités radar, limitées au seul Gaofen 3, a été une leçon clé tirée à la suite des inondations catastrophiques qui ont touché divers fleuves chinois l’été dernier. Cette montée en puissance de la Chine ne s’encombre évidemment d’aucune des règles traditionnelles des Occidentaux et sera disponible pour tous les clients du « Space Information Corridor » Chinois.
Le Space Information Corridor Chinois tel qu’il est proposé aux partenaires (© CSNA – novembre 2021)
#3 : Le rééquilibrage bienvenu entre résolution spatiale et résolution temporelleIl s’agit de l’apport essentiel des porteurs de nouveaux projets depuis Skybox Imaging au début des années 2010 jusqu’à Planet, Satellogic ou BlackSky aujourd’hui. Dans un univers dans lequel la plupart des acteurs privilégiaient la qualité image et la résolution spatiale, les nouveaux entrants ont fait comprendre et démontré à tous que la résolution temporelle permet de répondre à de multiples questions à fort impact économique et social. Quand BlackSky, avec ses 12 satellites actuels, peut proposer jusqu’à 15 créneaux d’observation dans une seule journée sur certaines cibles (cette capacité est pour l’instant limitée à quelques lieux), la résolution spatiale de 1 m de ses satellites importe peu. Et l’opérateur annonce qu’il ne passera à 50 cm qu’à partir de 2023 au plus tôt, ce qui confirme que ce n’est pas l’enjeu.
Le port de Freemantle vu le même jour par différents satellites BlackSky (© BlackSky – décembre 2021)
C’était l’arlésienne depuis 30 ans. Toujours annoncées, les capacités Infra Rouge Moyen, Infra Rouge Thermique ou Hyper-spectrales restaient pour la plupart à l’état de projets lointains et l’utilisateur devait continuer à se servir de données Landsat ou Aster. Il y a désormais de multiples projets quasiment opérationnels dans le monde entier et l’accès à des ressources dans ces domaines sera une des grandes améliorations des années 2022-2024. Et ce, malgré le traumatisme des opérateurs à la suite du lancement de WorldView 3 en 2014. En effet, ce dernier propose 8 bandes spectrales SWIR (entre 1,195 et 2,365 nm) avec une résolution spatiale de 3,7 m. L’administration américaine a mis plus de deux ans à statuer pour savoir si les images commercialisées devaient être vendues à cette résolution ou rééchantillonnées. Pendant tout ce temps, le satellite était opérationnel mais Digital Globe était coincé et perdait des ventes potentielles.
Exemple d’amélioration attendue en 2023 dans le domaine infrarouge thermique (©ConstellIR – décembre 2021)
#5 : Tous les chemins mènent à RomePour une même résolution spatiale du produit, l’image peut être acquise au moyen d’un satellite très performant à 600 km d’altitude ou d’un satellite beaucoup plus rustique à 170 km.
Certaines innovations sont difficiles à évaluer avant que les satellites soient en orbite et fournissent des données. Rappelons ici qu’en 2016 la plupart des experts radars européens qu’ils soient institutionnels ou industriels contestaient la faisabilité même de ce qu’annonçaient les nouveaux entrants radar (Capella, Trident ou Iceye).
Les nouvelles possibilités du traitement à bord des images vont également changer la donne en termes de capacités opérationnelles. La Chine a d’ailleurs lancé dès 2018-2019 plusieurs missions d’observation centrées sur cet enjeu.
Voler très bas (en dessous de 250 km) n’est plus un tabou réservé aux satellites militaires dans un monde de satellites commerciaux à durée de vie courte et faible coût.
#6 : Les nouvelles possibilités offertes par l’intelligence artificielle et le traitement des donnéesBooster la résolution spatiale des images n’est donc pas nouveau et Pléiades en était un bon exemple, passant d’une résolution native de 70 cm à des images distribuées à 50 cm. Ce qui change est la disponibilité large de techniques permettant soit d’augmenter la résolution, soit d’améliorer la lisibilité des images à résolution identique. Là où il y a 10 ou 20 ans, seuls des labos pointus maîtrisaient ce type de processus, ces techniques sont aujourd’hui répandues dans de multiples applications grand public. Ce sont elles qui transforment par exemple un utilisateur de smartphone tremblotant en as de la photographie. Combinées à une archive d’images satellites mondiale et à jour ainsi qu’à des bases de tags référençant à peu près tous les types d’objets de la planète, les possibilités sont infinies.
Lorsque Planet distribue des images homogénéisées à 3 m de résolution à partir d’une constellation de satellites aux caractéristiques hétérogènes (différentes générations de capteurs, différentes altitudes de vol), il procède déjà à un énorme travail algorithmique invisible de l’utilisateur.
Pour s’aligner sur le standard du marché à 50 cm, le même Planet a abaissé l’orbite de ses Skysat en 2019. Comme cela ne suffisait pas, c’est par un traitement algorithmique que les Skysat atteignent désormais la résolution souhaitée.
Maxar, en retard sur son projet de constellation Legion, a essayé de couper l’herbe sous les pieds d’Airbus DS, en proposant en décembre 2020 une offre rééchantillonnée à 15 cm des données WorldView 2 ou 3, quelques mois avant le lancement du premier satellite Pléiades Néo. L’utilisateur va donc se retrouver à une même résolution spatiale avec de multiples offres de qualité variable et au potentiel d’interprétation différent.
Exemple de données Maxar 15 cm HD (©Maxar – décembre 2020)
#7 : Les opérateurs vont se retrouver concurrencés par les plateformesL’annonce de Microsoft qui propose un nettoyage et une amélioration de la lisibilité (et du potentiel d’interprétation humaine ou algorithmique) dans le cadre du projet Turing n’est que le début d’un mouvement qui va placer les opérateurs de Cloud (Amazon, Google et Microsoft en premier lieu) en concurrence avec les opérateurs satellitaires sur le marché de l’Analytics Ready. En effet, depuis trois ans, tous les opérateurs proposent des données « Analytics Ready » garantissant aux acteurs de l’analytique l’absence des problèmes de géométrie ou de radiométrie qui peuvent polluer le fonctionnement de leurs algorithmes. Les opérateurs avaient pourtant un atout pour assurer cette mise en forme des données, lié à leur connaissance fine de la prise de vue, permettant certains types de traitements pointus. Mais les plateformes ont énormément progressé en traitant des Péta de données dans le cadre de la mise à disposition de collections entières type Sentinel ou Landsat. Elles disposent en outre d’une force de frappe algorithmique sans commune mesure avec celle des opérateurs de satellites, en particulier dans la capacité à généraliser ces résultats sur des millions de km². Quant aux nouveaux acteurs qui avaient commencé à se positionner sur le marché de la « raffinerie de données », ils risquent de jouer le rôle de la tranche de jambon dans un sandwich SNCF.
Illustration des corrections proposées par Microsoft Azure (© Microsoft – décembre 2021)
Quelques conséquences déjà constatées sur la régulationComme cela a été indiqué antérieurement, l’ancien système de régulation américain était essentiellement basé sur la résolution spatiale des images et leur capacité de photo-interprétation humaine (classe NIIRS). Il donnait le ton de la régulation mondiale.
Il a été remplacé par un nouveau système toujours géré par la NOAA pour le Département du Commerce. Il repose sur un principe en trois « Tiers » : Dans chaque tiers l’originalité et l’exclusivité des capacités offertes (quelles qu’elles soient, spatiales, spectrales, temporelles ou radiométriques) sont analysées afin d’en déduire un degré d’ouverture de la commercialisation.
Définition des 3 Tiers de la réglementation américaine (© NESDIS NOAA – Tiering Threshold Document Q3 2021)
Et les règles pour chaque « Tier » sont revues chaque trimestre pour tenir compte de l’évolution de l’offre mondiale.
C’est ainsi que la première licence pour une constellation proposant des images à 10 cm de résolution vient d’être accordée à Albedo. Il s’agit clairement d’une capacité satellitaire unique au monde dans le domaine commercial. Albedo a donc reçu une licence Tier 3. Celle-ci comporte donc de multiples restrictions. En cas d’urgence nationale pour les États-Unis (décision à la discrétion du département de la Défense et du Directeur du Renseignement), l’activité de l’opérateur commercial peut basculer exclusivement au profit de la défense. De plus, dans le même contexte, les données en archive ne peuvent être distribuées à des tiers. Albedo espère lancer le premier satellite en 2023 ce qui laisse aux acteurs actuels le temps de verrouiller leur activité… et de proposer des offres HD de retraitement à 10 cm de leurs données 25 ou 30 cm.
Quelques conséquences pour les utilisateursLes différents facteurs présentés plus haut peuvent et vont se combiner : Comment comparer les résultats d’un instrument à la pointe de l’art type Pléiades Neo ou WorldView 3 avec les résultats d’un instrument médiocre… amélioré par l’IA ?
De plus, la même image acquise par un capteur un jour donné pourra avoir de multiples niveaux de lisibilité selon la plateforme sur laquelle elle sera exploitée : une situation qui ouvre vers des disputes infinies entre celles et ceux qui regarderont une situation à la même date sans en tirer les mêmes conclusions.
Enfin, les débats légitimes sur l’ouverture du capot des algorithmes vont se déplacer : ils se focalisaient sur les algorithmes de détection et d’interprétation, il va falloir se préoccuper tout autant de la matière image.
L’utilisateur va donc devoir être sioux, non pas pour séparer le bon grain de l’ivraie (ce n’est pas un concours de beauté), mais pour constamment choisir ce qui correspond vraiment à son besoin. De plus en plus de cas d’usages pertinents utilisent des images qu’un expert, assis sur ses certitudes scientifiques, classerait « images de merde ». Mais il y aura à l’inverse des cas où il ne faudra faire aucune concession sur la qualité native des images (et sa sainte trilogie Ground Sampling Distance, Modulation Transfer Function, Signal Noise Ratio). Cela ouvre à la fois des perspectives enthousiasmantes sur la disponibilité de tous les types et qualité de données pouvant servir le plus grand nombre de besoins et de budgets clients. Mais cela prélude aussi de vrais enjeux de formation et d’éducation de tous les acteurs. Mais ces réflexions paraissent bien éloignées du mot d’ordre entendu durant toute l’année 2021 d’interviews en conférences (aux États-Unis comme en Europe): « Simplify, Simplify, Simplify ». Pas certains que les deux démarches puissent se combiner : à trop simplifier pour les utilisateurs, ils risquent de perdre confiance dans les données. Non, ce n’est pas la fin des bonnes résolutions !
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10:54
CARTO, spécialiste de la Location Intelligence, lève 61 millions de dollars
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa jeune entreprise madrilène CARTO, spécialiste de la Location Intelligence, a annoncé le 14 décembre une nouvelle capitalisation (tour de table série C) qui associe de nouveaux fonds d’investissement à ses financeurs historiques.Parmi les clients de CARTO : le groupe Renault
Opération réussie pour CARTO qui a levé pas moins de 61 millions de dollars (environ 54 M€) lors de son troisième tour de table mené par Insight Partners, société internationale de capital-risque et de capital-investissement basée à New York, avec la participation du Fonds du Conseil Européen de l’Innovation (EIC), ainsi que de ses investisseurs historiques, à savoir Accel, Salesforce Ventures, Hearst Ventures, Earlybird et Kibo.
Aujourd’hui, CARTO mise sur le Cloud pour proposer des fonctions de gestion, d’analyse et de représentation de données géographiques, destinées avant tout à des publics non experts en technologies SIG. Ses briques technologiques s’insèrent au plus près des entrepôts de données des entreprises qui sont ses principaux clients dans des domaines comme le commerce de détail, la logistique, l’industrie pharmaceutique, les télécommunications… Afin d’enrichir les analyses de ses clients, CARTO s’appuie sur un réseau de partenaires fournisseurs de données. Officiellement domiciliée à New York, CARTO a des bureaux en Espagne et à Londres et comprend 150 employés.
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11:33
Revue de presse du 10 novembre au 14 décembre 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDessous ou dessus politique des cartes ? Plusieurs articles rappellent la dimension politique des cartes. Retrouvez également quelques articles qui mettent les usages des SIG à l’honneur. Bonne lecture !DATAVIZ : Suivi de courses nautiques en temps réel grâce à une carte dynamique ? Les Échos vous proposent de suivre la régate de la présidentielle
DATA STRATEGY : Le Parlement européen et les États membres s’accordent sur le futur espace européen de données. On notera le rôle des « services d’intermédiation », qui rappellent les Infrastructures de Données Géographiques. (Source : L’Usine Digitale)
LIVRE : Le dessous politique des cartes : Présentation de Cartographie radicale, le dernier livre de Philippe Rekacewicz et Nephtys Zwer sur France Culture
LE DESSOUS DES CARTES : Futura Science propose un reportage « L’Exploratorium : les secrets de fabrication des cartes IGN ». Tout est dans le titre !
VILLES INTELLIGENTES : un bon exemple de l’essor des capteurs connectés en milieu urbain avec GreenCityZen qui utilise le réseau Sigfox pour connecter le réseau pluvial de Marseille (Source : L’Usine Digitale)
RISQUES : Les services de géomatique sortent de l’ombre : Gendarmerie de l’Hérault. Gestion des crises : focus sur la cellule de cartographie
GUIDAGE : Pourquoi Waze envoie certains utilisateurs dans des culs-de-sac ? That is the question. Algorithme ou mauvais codage des hiérarchies des routes ? Prese-Citron penche plutôt pour les algos.
AGRICULTURE : Hervé Quénol : « Nous aidons les viticulteurs à s’adapter pas à pas » où comment la géomatique permet des analyses locales des impacts prévisibles du changement climatique. (Source : Futura Science)
BIG DATA : L’opération séduction de Palantir auprès des start-up françaises de Station F. Le spécialiste de l’analyse des données, chouchou des services de renseignements, ouvre sa plateforme Foundry aux startups qui pourront ainsi développer des algorithmes et méthodes d’analyse.
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18:13
Communications spatiales : l’Europe veut sa propre constellation
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa commission européenne vient d’octroyer un contrat d’un montant de 1,4 million d’euros au consortium New Symphonie, pour l’étude d’une constellation de satellites de communications haut débit.Thierry Breton présentant le nouveau programme spatial européen le 22 juin 2021, avec sa composante télécommunications (Photo UE)
Après Galileo et Copernicus, l’Europe semble bien décidée à continuer à assurer son indépendance en matière de technologies spatiales, cette fois-ci, concernant les télécommunications.
Le sujet n’est pas simple car le « marché » (encore largement en devenir) est déjà bien encombré avec des initiatives telles que Starlink (SpaceX) ou Kuiper (Amazon), sans parler de OneWeb, pourtant initié en Europe (Airbus) mais reprise par le Royaume-Uni avec l’aide d’un investisseur indien à la suite de ses déboires financiers, ni des projets chinois. Que peut l’Europe dans ce contexte ? Et que veut-elle ? Nous vous recommandons à ce sujet de lire l’article très approfondi de Xavier Pasco de la Fondation pour la recherche stratégique qui a déjà quelques mois (Faire converger Spatial et Numérique : quels enseignements pour la constellation satellitaire européenne ?).
Des sujets à l’étude depuis plusieurs moisBien consciente des difficultés à la fois techniques (quelle constellation sécurisée construire ? Avec quels acteurs ?) et économiques (pour monter un projet pérenne, il faudra lui trouver un modèle économique, et donc des usages), l’Europe mise pour l’instant sur les études. Après un premier contrat d’étude de faisabilité technique auprès des « grands » (Airbus, Thales Alenia Space, Orange, Arianespace…) pour un montant de 7,10 M€ lancé fin 2020, c’est au tour des jeunes acteurs du New Space de se pencher sur la question.
Ainsi, le consortium New Symphonie, qui comprend pas moins de 22 entreprises regroupées autour d’Unseenlabs et d’Euroconsult, vient de se voir octroyer une mission d’étude sur 6 mois. Il s’agit ici de comprendre les besoins en connectivité et de proposer des solutions de sécurisation des applications, d’imaginer le modèle économique à développer (tout cela en mode « disruptif »), afin de permettre aux acteurs publics et privés européens d’accéder à une infrastructure de communications sécurisée.
Le consortium, monté pour répondre à l’appel d’offres de la Commission Européenne, est piloté par Unseenlabs, une entreprise bretonne spécialisée dans la surveillance maritime qui exploite déjà 4 satellites de communication et prévoit de déployer une constellation de 25 satellites, ainsi que par Euroconsult, spécialisé sur l’analyse du marché du New Space. Parmi les membres du consortium, se trouvent plusieurs entreprises françaises : Anywaves, Cailabs, Exotrail, Fresnel Alliance, Greenwave, Loft orbital, Satconsult, Secure-IC et Transatel.
Désormais vu comme une infrastructure, ce type de constellation en orbite basse peut servir de nombreux usages : couvrir les zones blanches en accès à Internet, sécuriser les communications dans les grands projets de défense, renforcer les services Cloud (objectif principal d’Amazon Kuiper), assurer les communications des autres programmes satellitaires (tels que l’observation de la Terre)…
Quels seront les usages mis en avant par cette constellation européenne ? Quel mix entre usages commerciaux, publics et de défense ? Au-delà du soutien politique de l’Union Européenne, quelle stratégie industrielle permettra d’assurer une infrastructure de services pérenne ? Quels acteurs économiques impliquer ? Éviterons-nous les errances et les années de retard de Galileo ? Encombrerons-nous l’espace inutilement ? Un dossier à suivre…
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14:35
Noël 2021 : quelques livres à glisser sous le sapin
sur Décryptagéo, l'information géographiquePar Thierry Rousselin, Tmcftn
Dans les cadeaux qui donnent l’air intelligent ou qui présentent bien sur la table du salon, les livres de cartes sont devenus des classiques. Coup d’œil sur trois ouvrages de la production automne-hiver 2021, largement mis en avant dans les librairies, aux styles très différents.Au-delà de la thématique cartographique commune, il n’y a pas de comparaison possible entre un ouvrage historique, un atlas géopolitique et un « coffee table book » de datavisualisation. Pourtant, chacun illustre une approche différente.
Coup de cœur : 300 ans de cartes marines autour du monde300 ans de cartes marines autour du monde, publié à l’occasion des 300 ans du Service Hydrographique (ancêtre du SHOM) est un bonheur absolu : pédagogique, didactique, précis mais laissant aussi le lecteur s’immerger dans des reproductions pleine page. On attend déjà le tome 2 prévu (malheureusement) pour 2321.
Plan de l’Embouchure de la Seine (Environs du Havre) n°3633 – Publication 1878 © Editions Gallimard Loisirs, 2021 ; ©SHOM, 2021
Coup de blues : Le Nouvel Atlas Géopolitique du Dessous des CartesLe Nouvel Atlas Géopolitique du Dessous des Cartes est, une nouvelle fois, une déception pour les amateurs de cartographie. Dans les émissions récentes sur Arte, la cartographie se limite déjà le plus souvent à du PowerPoint animé. Mais dans cette version papier, le propos est clairement de vulgariser des analyses géopolitiques en utilisant des représentations cartographiques classiques, voire pauvres. Ce choix assumé peut se défendre pour toucher le plus grand nombre (et assurer les ventes avec le label « vu à la télé »). Mais on peut regretter que le Dessous des Cartes reste figé dans la vision de Jean-Christophe Victor, qui, très novatrice en 1992, est désormais datée.
Face à l’évolution accélérée des représentations cartographiques proposées par les médias (journaux, sites webs), face à l’émergence de nouveaux acteurs (comme en témoigne le Prix Pulitzer 2021 attribué à une équipe de journalistes, géographes et data scientists de Buzzfeed), n’est-il pas temps pour le Dessous des Cartes de réfléchir à mieux justifier son nom ?
Coup d’essai ou coup de maître : Atlas of the InvisibleUnanimement salué par la presse anglo-saxonne* et récompensé de multiples prix**, l’Atlas of The Invisible s’avère plus complexe à analyser.
Le travail de James Cheshire (professeur de géographie et de cartographie à l’University College de Londres) et Oliver Uberti (ancien senior design editor de la revue National Geographic) rend compte d’un véritable « work in progress » couplant data science, data visualisation et réflexions sur la cartographie en les appliquant à la réanalyse d’événements passés ou à la compréhension de phénomènes en cours. Chaque lecteur trouvera donc à quelques pages de distance des cartes qu’il considèrera comme des réussites ou des ratages tout aussi absolus. Car la variété des sujets traités permet à chacun d’aborder ces nouvelles formes de représentations au plus près de ses sujets d’intérêt personnels.
Imaginons que vous ayez grandi en écoutant les comptes rendus de la guerre du Vietnam et que vous ayez bossé quelques années dans la géographie militaire, vous passerez des heures sur la réanalyse proposée des bombardements américains de 1970 à 1973, basée sur les données désormais déclassifiées.
Ou si vous préférez, au vu des débats actuels franco-français, vous pourrez vous plonger dans l’analyse du grand mythe anglais sur l’identité des bâtisseurs de Stonehenge. La cartographie est ici basée sur les analyses ADN des Yamnaya venus du Caucase.
Ce beau livre, trop vite classé en « coffee table book », donne peu d’explications sur le processus de réflexion cartographique à l’œuvre pour chaque visualisation produite, mais les auteurs les ont largement commentés lors d’interviews et sur leur blog.
Ainsi, dans le chapitre sur les bombardements du Vietnam déjà cité, les auteurs ont croulé sous la masse d’informations disponibles. Devaient-ils représenter par année, par opération, par type de munitions, par type d’avion, par base aérienne d’origine ? Devaient-ils tenir compte de la qualité des informations géographiques disponibles pour guider les bombardements (qualité qui a changé au fil des années) ? Ils ont donc choisi d’une part de grouper et simplifier et d’autre part de faire évoluer les fonds cartographiques en fonction des connaissances de l’année des opérations dont ils cartographient les dégâts.
Dans un autre chapitre, les auteurs veulent donner à voir la pollution liée au trafic aérien. Le point de départ est classique et déjà vu cent fois dans des data visualisations du trafic aérien. Mais les auteurs souhaitent illustrer la différence en termes de bilan carbone entre les émissions à basse et à haute altitude. Soudain, ça devient beaucoup plus compliqué. Alors ils testent de multiples solutions (multiples palettes de couleurs et épaisseurs de traits) pour finalement conclure que la meilleure représentation est une palette en noir et blanc.
Au total un livre stimulant, à mettre en perspective avec certaines publications récentes comme l’Atlas critique de la Guyane (CNRS Editions).
- Atlas of the invisible, par James Cheshore et Olivier Uberti, existe en 2 versions (UK et US), environ 40 $
* Quelques critiques d’Atlas of the Invisible :
** Parmi les nombreuses récompenses de l‘Atlas of the invisible : British Cartographic Society Award 2021, John C Bartholomew Award for Thematic Mapping 2021, Stanford’s Award for Printed Mapping 2021
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15:10
Nicolas Berthelot est nommé responsable de la Fabrique des géo-communs de l’IGN
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAprès l’ouverture de ses données au 1er janvier 2021, l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) souhaite développer la co-construction de référentiels ouverts de données, de services et d’outils numériques dans le domaine de la cartographie.Nicolas Berthelot (photo E.Maumon)
Lors de la présentation de sa démarche « géo-communs » le 24 novembre dernier*, l’Institut a annoncé le principe d’une « place à communs », équivalent d’une place de marché pour favoriser l’émergence de « communs » en mobilisant un large écosystème d’acteurs. Dans ce cadre, la Fabrique des géo-communs vise à construire, dans des principes de gouvernance partagée, des données, des outils et services numériques ouverts. La consultation publique menée dans le cadre de la démarche « géo-communs » a permis d’identifier certains défis, parmi lesquels un « street view » ouvert, qui feront l’objet d’« appels à communs » lancés prochainement pour rassembler les acteurs intéressés autour de ces défis collectifs à relever au sein de la Fabrique.
Cofondateur de la société namR, en charge du Département Data Intelligence, puis responsable produit de transport.data.gouv.fr, le Point d’Accès National aux données de mobilité, Nicolas Berthelot devient responsable de la Fabrique des géo-communs. Il est en charge du lancement et de l’installation de la Fabrique des géo-communs ainsi que de son pilotage opérationnel. Il est ainsi notamment en charge de mobiliser l’écosystème et de rassembler les acteurs intéressés autour de défis collectifs à relever.
Plus d’informations sur la démarche des géo-communs :
* Plus d’informations sur l’évènement du 24/11/2021 « IGN. Changer d’échelle » :
A propos de l’IGN
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est un établissement public placé sous la tutelle des ministères chargés de l’écologie et de la forêt. Sa vocation est de produire, représenter et diffuser des données de référence relatives à la connaissance du territoire national ainsi qu’aux forêts françaises et leur évolution. Les principales données de l’Institut sont disponibles en ligne sur le site Géoportail et depuis 2021 en accès libre et gratuit. Les productions de l’IGN sont tournées vers l’appui aux politiques publiques : environnement, aménagement du territoire, ville durable, prévention des risques, agriculture, armées. Dans un nombre croissant de domaines, l’IGN développe des productions collaboratives avec des collectivités locales et des communautés d’acteurs publics, privés ou citoyens. Grâce à son école d’ingénieur, ENSG-Géomatique, et à ses équipes de recherche pluridisciplinaires, l’institut dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans de multiples domaines (géodésie, forêt, photogrammétrie, intelligence artificielle, analyse spatiale, visualisation 3D, etc.). L’IGN s’appuie sur près de 1400 agents actifs dans l’ensemble des régions.
Contacts Presse
Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
Nous suivre sur >> ign.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse –
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10:02
Thérèse Saint Julien : une grande dame de la géographie disparaît
sur Décryptagéo, l'information géographiqueTriste nouvelle que celle du décès de Thérèse Saint Julien, ce 24 novembre 2021. Elle a enseigné l’analyse spatiale et la statistique à plusieurs générations de géomaticiennes et de géomaticiens, dont j’ai fait partie. Nous lui devons tous beaucoup et je garde un souvenir ému de nos échanges.Nous reprenons ici le message publié par ses collègues de l’UFR de géographie de Paris I et du laboratoire Géographie-cités :
« Originaire du Béarn, agrégée de géographie, Thérèse a enseigné de 1966 à 1969 au lycée Jean Dautet à La Rochelle. Docteur d’État ès Lettres et Sciences Humaines en 1980 avec une thèse sur la diffusion spatiale des entreprises dans l’ouest de la France, Thérèse Saint-Julien a été dès 1969 assistante, maître de conférences puis professeure à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne où elle a formé plusieurs générations d’étudiants et de doctorants. Co-fondatrice en 1984 de l’équipe P.A.R.I.S. qu’elle a dirigée de 1984 à 1992, Thérèse Saint-Julien a animé des recherches comparatives en géographie urbaine, en France et en Europe, analysant les structures économiques et les mobilités dans l’espace des villes à toutes les échelles, du quartier à l’Europe, en soulignant l’importance du polycentrisme pour l’aménagement du territoire. Co-auteur de manuels d’analyse spatiale, elle a pris la suite de Roger Brunet pour assurer la coordination de la publication d’un Atlas de France en 14 volumes à la Documentation française, en apportant un soin particulier aux méthodes d’analyse des sources statistiques et à la représentation cartographique. Elle fait partie des comités de rédaction de L’Espace géographique et de L’Information géographique.
Thérèse Saint-Julien a œuvré dans de nombreuses institutions pour l’enseignement et pour la recherche. Entre autres responsabilités, elle a été Directrice-Adjointe du département des Sciences de l’Homme et de la Société du CNRS (1991 -1994), Directrice du GDR Libergéo, (2000-2002), Directrice adjointe de l’UMR Géographie-cités (2001-2006). Auteur d’un rapport remarqué au Conseil National de l’Enseignement, elle a aussi été membre du Conseil d’Administration de l’IRD, du Conseil d’Administration et du Conseil Scientifique de l’IGN, du Conseil Scientifique de la Maison des Sciences de l’Homme et du jury du Prix Vautrin Lud. Elle a reçu la médaille de bronze du CNRS et le prix de la DATAR.
Beaucoup de ses travaux se sont inscrits dans des projets ou collectifs dont les références sont accessibles sur HAL [https:]] .
Présente parmi nous par ses publications, par la force d’engagement des formations qu’elle a dispensées, par tant de souvenirs de son activité discrète et chaleureuse, de sa bienveillance souriante, Thérèse restera comme une des grandes figures de ces femmes créatrices en géographie. Et une amie que nous n’oublierons pas. »
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9:56
Parrot ANAFI Ai, le premier drone professionnel compatible avec la 4G arrive
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes envois des premiers modèles du Parrot ANAFI Ai débuteront en janvier 2022 Paris – Jeudi 9 Décembre, 2021: Parrot, leader Européen sur le marché des drones professionnels, est heureux d’annoncer aujourd’hui la prochaine disponibilité de l’ANAFI Ai.Ce nouveau modèle de Parrot, dont le prix débutera à 4,000 € HT, sera disponible à partir de janvier 2022 chez ses principaux revendeurs hexagonaux (www.parrot.com/fr/reseller#ANAFI%20Ai).
L’objectif du Parrot ANAFI Ai est d’apporter un gain de temps et une praticité aux professionnels pour leurs missions de photogrammétrie, de mapping, d’inspection ou de surveillance avec un appareil conçu et dédié à ces usages.
La cybersécurité est bien entendue au cœur de cet outil dédié aux professionnels. Ainsi, le lien entre l’ANAFI Ai et l’utilisateur est protégé par un « Secure Element » offrant une identité unique à chaque appareil. Celui-ci assure également la protection des données transférées et garantit l’intégrité des softwares utilisés par le drone.
ANAFI Ai intègre un système d’évitement d’obstacle multi-direction exclusif, un appareil photo 48 MP, une camera 4K 60fps, propose des temps de vols jusqu’à 32 minutes et pèse moins de 900 grammes.
Grace à sa 7ème génération de l’application FreeFlight iOS, Parrot rend la photogrammétrie accessible.
Les pilotes peuvent créer leur plan de vol par un simple clic sur le cadastre de l’édifice à “mapper”. L’ANAFI Ai pourra ensuite mener sa mission de façon autonome en évitant les obstacles dans les environnements complexes. Lors de la mission, les images prises en vol sont directement transférées en 4G à Pix4Dcloud qui proposera, 2 heures après l’opération, aux utilisateurs de Pix4D le modèle 3D complet de l’édifice inspecté.Le noyau de l’application FreeFlight 7 iOS est en open-source. Les développeurs pourront également adapter les codes sur l’ANAFI Ai. Le SDK permet l’accès à tous les appareils de mesure en vol tels que ceux impliqués dans les capteurs du système d’évitement d’obstacle, de la grille d’occupation et de l’accès à internet.
Pour plus d’information sur l’ANAFI Ai, rendez-vous sur : [https:]]
Contacts Presse the messengers pour Parrot Mélanie Gallet
Tel. 06 77 34 19 38
Parrot Jean Miflin
A propos de Parrot Fondé en 1994 par Henri Seydoux, Parrot est aujourd’hui le premier groupe de drone Européen sur ce marché en pleine expansion. Visionnaire, à la pointe de l’innovation, Parrot est le seul groupe à être positionné sur l’ensemble de la chaîne de valeur, des équipements aux services en passant par les logiciels.
• Parrot, leader européen sur le marché du drone s’est spécialisé, après une très belle réussite dans les drones grand public, dans la conception et la production de produits et de logiciels professionnels reconnus pour leurs performances.
• Parrot dispose aussi d’un portefeuille de sociétés et de participations de premier plan dans les drones professionnels, couvrant équipements, logiciels et services. Les expertises sont principalement centrées sur 3 axes : (i) l’Agriculture, (ii) la Cartographie 3D, la Géomatique et l’Inspection, et (iii) la Défense et la Sécurité.
Le Groupe Parrot, conçoit et développe ses produits en Europe, principalement à Paris où est établi son siège et en Suisse. Il compte aujourd’hui plus 500 collaborateurs dans le monde et réalise la grande majorité de ses ventes à l’international. Parrot est cotée depuis 2006 sur Euronext Paris (FR0004038263 – PARRO). L’information financière est disponible sur [corporate.parrot.com] . Pour plus d’informations consultez : www.parrot.com et ses filiales www.pix4d.com.
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15:50
Airbus met ses images satellites ainsi que son MNE dans Microsoft Azure Maps
sur Décryptagéo, l'information géographique(Traduction semi-automatique)
Toulouse, France 09 décembre 2021 – Airbus est fier d’annoncer la disponibilité générale de ses images satellite et données d’altitude dans Microsoft Azure Maps. Les clients d’Azure Maps peuvent désormais accéder à une nouvelle couche de référence mondiale constituée d’images Airbus de haute qualité ainsi qu’à un ensemble de données d’altitude homogène couvrant l’ensemble du globe.
Azure Maps est une collection de services géospatiaux et de kits de développement logiciel (SDK) qui utilisent de nouvelles données cartographiques pour fournir un contexte géographique aux applications Web et mobiles. Dans le cadre de l’accord entre Airbus et Microsoft, Airbus alimentera Azure Maps avec ses images satellite SPOT, Pléiades et Pléiades Neo et les données d’élévation WorldDEM4Ortho. Ces services de données permettront aux utilisateurs d’Azure Maps de créer des solutions de géolocalisation intelligentes pour l’Internet des objets et l’intelligence artificielle et de créer des visualisations de données pour les applications Web et mobiles.Le service Azure Maps Imagery comprend une nouvelle version du produit OneAtlas Basemap d’Airbus, qui regroupe aujourd’hui une couche d’imagerie mondiale de 1,5 m, ainsi que des orthomosaïques de 50 cm sur les principales villes du monde. Il comprendra bientôt des données à 30 cm d’Airbus grâce aux satellites Pléiades Neo récemment lancés. Le service Elevation s’appuie sur WorldDEM4Ortho, un produit dérivé de l’ensemble de données WorldDEM d’Airbus, qui fournit un MNE cohérent, homogène et précis permettant une orthorectification d’images de haute qualité à l’échelle mondiale.
« Nous sommes ravis de faire partie de la communauté Microsoft Azure », a déclaré François Lombard, directeur de l’activité Intelligence chez Airbus Defence and Space. « La vaste base d’utilisateurs d’Azure Maps, avide d’images précises et de qualité supérieure, pourra s’appuyer sur les services de données d’Airbus pour développer de nouvelles applications et concrétiser ses idées innovantes. »
« Azure Maps est l’un des services de localisation par défaut de l’écosystème de services, de plateformes et d’applications de Microsoft dans le cloud Azure », a déclaré Donna Liu, vice-présidente Maps chez Microsoft. « Avec les données d’imagerie d’Airbus, nos clients, partenaires et développeurs peuvent s’attendre à une offre de grande qualité, avec des informations très précises et plus récentes que celles actuellement proposées sur le marché. »
Plus d’information sur OneAtlas sous ce lien
Plus d’information sur Azure Maps sous ce lien
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9:16
Les Franciliens, Territoires et modes de vie
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes Franciliens – Territoires et Modes de vie, est un document de référence sur les grandes évolutions démographiques, économiques et sociales intervenues en Île-de-France entre la crise financière de 2008 et la crise sanitaire.Abondamment illustré de cartes et infographies, mais aussi de témoignages, cet ouvrage atteste à la fois des atouts considérables de la métropole mondiale – son dynamisme démographique, sa puissance économique…. – mais aussi des tensions, découlant pour partie de son attractivité et constituant autant de facteurs de sa vulnérabilité, notamment en matière de logement et d’inégalités socio-spatiales.
«?Au moment où le conseil régional engage la révision du cadre stratégique de l’aménagement du territoire incarné par le schéma directeur de la région Île-de-France (Sdrif), cet ouvrage apporte une contribution essentielle, celle de rappeler qu’un Sdrif-E (E pour « environnement ») pour une Île-de-France durable ne saurait se concevoir sans la lettre S pour « socialement acceptable ». » Fouad Awada, directeur général de L’Institut Paris Region
150 pages pour comprendre les grands enjeux franciliens.
Au sommaire?:
DYNAMIQUES URBAINES
- Paris, Londres, New York : regards croisés sur la démographie de trois métropoles mondiales
- L’attractivité des franges de l’Île-de-France se confirme
- Portraits – Si loin, si proche… Ils ont quitté l’Île-de-France, mais y ont gardé leur emploi
- Baisse des naissances et de la fécondité : l’Île-de-France, région la moins touchée
- L’espérance de vie en Île-de-France : des progrès importants, mais inégalement répartis sur le territoire
- Covid-19 et mortalité : les Franciliens fortement affectés, mais de façon inégale
- Excédent naturel : l’exception francilienne confirmée en 2020
- Un recentrage de la croissance démographique francilienne confirmé entre 2007 et 2017
- Quel impact des locations saisonnières à l’année au cœur de l’agglomération parisienne ?
- Quatre illustrations de la diversité du développement urbain francilien
- Des locataires moins mobiles en Île-de-France qu’en France
- Les Franciliens privilégient les déménagements de proximité au sein de leur région
EMPLOI ET ACCESSIBILITÉ
- D’une crise à l’autre, une décennie de croissance de l’emploi en Île-de-France
- Davantage d’emplois dans les fonctions métropolitaines que dans les présentielles en IdF
- Navettes domicile-travail : les cadres grands bénéficiaires du recentrage des emplois
SOCIÉTÉ
- L’espace social francilien à la croisée des origines et positions professionnelles
- Portraits – Pantin à l’heure de la mixité sociale : portraits de cadres résidents
- Les ménages franciliens inégaux face à la précarité et à la pauvreté
- Déménager en ÎdF : les ménages aux revenus modestes s’éloignent davantage de Paris
- Les jeunes Franciliens quittent de plus en plus tard le domicile parental
- Portraits – Entre petits boulots et recherche d’appartement : un parcours semé d’embûches pour les jeunes en quête d’autonomie
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17:21
Résultats 2021 de l’Inventaire forestier national : Une croissance forestière sous surveillance
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlors que l’observation des changements rapides du territoire et des conséquences sur notre environnement – en particulier forestier – est plus essentielle que jamais, l’IGN publie, comme chaque année, les données de l’Inventaire forestier national. Avec environ 190 espèces d’arbres recensées regroupées en 70 essences et plus de 200 000 relevés floristiques, rappelons que l’inventaire est le seul outil à décrire l’ensemble des écosystèmes forestiers et la ressource en bois des forêts publiques et privées. Ces dernières années, même si la surface forestière augmente, la croissance des arbres victimes de conditions climatiques et sanitaires de plus en plus agressives ralentit, et leur taux de mortalité s’accroît.
Carte sylvoécorégions © IGN
Surface, volume de bois, essences, prélèvements, mortalité, etc. des forêts publiques et privées de métropole, l’Inventaire forestier national est l’outil public mis en œuvre sous la tutelle du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation pour connaître la forêt de manière experte et neutre, indépendamment de la gestion des forêts, et sur l’ensemble du territoire national. Il est produit à partir de mesures collectées sur 14 000 placettes d’observation pour les données annuelles d’inventaire, et à partir de 70 000 placettes d’observation, pour celles du Mémento de l’inventaire forestier, synthèse des campagnes menées sur 5 ans.
Résultats de l’inventaire forestier 2021, les points à retenirUne superficie en augmentation : depuis plus d’un siècle, la superficie forestière métropolitaine augmente d’environ 80 000 ha par an (soit huit fois la superficie de Paris); une extension qui se produit notamment en Bretagne et dans la zone méditerranéenne. En 1908, la forêt française couvrait 19% de la métropole, avec près de 10 millions d’hectares. Elle en couvre désormais 31% avec 17,0 millions d’hectares. C’est l’occupation du sol la plus importante après l’agriculture qui couvre plus de la moitié de la France métropolitaine. Mais cette moyenne masque de fortes disparités. Sept départements ont un taux de boisement inférieur à 10% : la Manche, la Vendée, la Mayenne, le Calvados, le Pas-de-Calais, la Loire Atlantique et les Deux-Sèvres. Quant aux vastes zones géographiques où la forêt domine, elles sont six sylvoécorégions (sur un total de quatre-vingt-six) avec un taux de boisement supérieur à 70% : la Corse occidentale, l’Ardenne primaire, les Cévennes, les Alpes externes du sud, le Massif vosgien central, et les Landes de Gascogne.
Des forêts au trois quarts privées : les trois quarts de la forêt française métropolitaine (12,7 millions d’hectares) appartiennent à des propriétaires privés. La forêt publique représente l’autre quart. Elle se répartit entre les forêts domaniales (1,5 million d’hectares) et les autres forêts publiques essentiellement communales (2,8 millions d’hectares). Dans l’ouest de la France la part de la forêt privée est nettement plus élevée que la moyenne nationale, elle dépasse même 90% dans les régions Pays de la Loire, Nouvelle Aquitaine et Bretagne.
Le 3ème stock de bois européen : la forêt française constitue une importante ressource renouvelable composée à 64% de feuillus, dont 44% de chênes (pédonculés, rouvre, pubescent et vert). Elle représente le 3ème stock de bois européen derrière l’Allemagne et la Suède. Un stock de bois sur pied qui a connu une très forte progression sur une trentaine d’années, passant de 1,8 milliard de mètres cubes en 1985 à 2,8 milliards de mètres cubes aujourd’hui, soit une croissance de presque 50%. Aujourd’hui, les résultats de la campagne 2020 confirment un ralentissement récent de l’augmentation de ce volume de bois sur pied.
Une mortalité des arbres en forêt en hausse : pour dresser le bilan de santé des forêts françaises, les experts de l’inventaire forestier de l’IGN et du Département de la santé des forêts (DSF) du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation observent en continu et produisent divers indicateurs dont le stock d’arbres morts (de moins de cinq ans) et la mortalité des branches dans le houppier des arbres (branches situées autour de la cime). En moins de dix ans, la mortalité des arbres a augmenté de 35%. Sur la période 2005-2013, 7,4 millions de m3 sont morts en moyenne chaque année. Sur la période 2011-2019, cette mortalité annuelle moyenne s’élève à 10,0 millions de m3, notamment à cause de crises sanitaires liées à des conditions climatiques difficiles pour les arbres (succession de sécheresses) propices à l’expansion géographique de bioagresseurs, en particulier les insectes xylophages comme les scolytes ou les champignons comme la chalarose. Ainsi, le châtaignier (principalement dans le Sud-Ouest et sur le pourtour du Massif central), le frêne (dans le grand quart Nord-Est), le pin sylvestre et l’épicéa commun (dans les régions Grand Est, Bourgogne-Franche-Comté et, dans une moindre mesure, en Auvergne-Rhône Alpes) sont les essences qui présentent les plus forts taux annuels moyens d’arbres morts de moins de cinq ans.
Une croissance des arbres en baisse : le stress hydrique a également une forte influence sur la croissance des arbres qui s’en trouve diminuée. Ainsi, en moins de dix ans, la croissance des arbres affiche une baisse de 3 % : sur la période 2005-2013, la production biologique était de 91,5 millions de m3 en moyenne par an, alors que sur la période 2011-2019, la production atteignait en moyenne 88,8 millions de m3 par an.
Prélèvement de bois en hausse : ces dernières années, si davantage de coupes ont été réalisées pour des raisons sanitaires (hausse des maladies), il n’est cependant pas possible, pour l’Inventaire, d’en quantifier la part chiffrée. Le constat global est qu’en moins de dix ans, le volume de bois coupé en forêt a augmenté de 18%. Sur la période 2005-2013, 42,4 millions de m3 étaient coupés en moyenne chaque année. Sur la période 2011-2019, les prélèvements annuels moyens sont de 50,1 millions de m3.
Focus sur les essences secondaires : les acteurs de la filière forêt/bois s’intéressent de plus en plus aux essences secondaires qui représentent une part non négligeable de la ressource forestière (15%). Pour mieux les mettre en valeur, le Mémento produit cette année un focus sur la répartition cartographique de ces essences comme par exemple le merisier recherché par les ébénistes et le pin d’Alep particulièrement présent sur le pourtour méditerranéen.
Amélioration de l’accessibilité de l’Inventaire forestier
« DataIFN », pour une accessibilité plus simple aux données de l’Inventaire forestier avec possibilité de visualisation et de téléchargement personnalisable, sera disponible sur le site de l’inventaire forestier dès le 8 décembre.
Les évolutions mises en évidence par ces résultats peuvent participer à un diagnostic utile à l’ensemble des pouvoirs publics et de la filière, notamment dans le cadre des travaux des Assises de la forêt et du bois conduits par Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Emmanuelle Wargon, ministre déléguée auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée du Logement, Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargée de l’Industrie et Bérangère Abba, secrétaire d’État auprès de la ministre de la Transition écologique, chargée de la Biodiversité.
Mémento de l’inventaire forestier ; Résultats d’inventaire ; L’IF n°47 sur la santé des forêts
disponibles sur > [https:]]
À propos de l’IGN
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est un établissement public placé sous la tutelle des ministères chargés de l’écologie et de la forêt. Sa vocation est de produire, représenter et diffuser des données de référence relatives à la connaissance du territoire national ainsi qu’aux forêts françaises et leur évolution. Les principales données de l’Institut sont disponibles en ligne sur le site Géoportail et depuis 2021 en accès libre et gratuit. Les productions de l’IGN sont tournées vers l’appui aux politiques publiques : environnement, aménagement du territoire, ville durable, prévention des risques, forêt, agriculture, armées. Dans un nombre croissant de domaines, l’IGN développe des productions collaboratives avec des collectivités locales et des communautés d’acteurs publics, privés ou citoyens. Grâce à son école d’ingénieur, ENSG-Géomatique, et à ses équipes de recherche pluridisciplinaires, l’institut dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans de multiples domaines (géodésie, forêt, photogrammétrie, intelligence artificielle, analyse spatiale, visualisation 3D, etc.). L’IGN s’appuie sur près de 1400 agents actifs dans l’ensemble des régions.
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12:06
Une nouvelle limite entre la terre et la mer qui réunit terriens et marins : la Limite terre-mer
sur Décryptagéo, l'information géographiqueImpulsée par le groupe de travail « géo-Informations pour la mer et le littoral » (GIMeL) au sein du Conseil national de l’information géographique (CNIG), et après trois enquêtes nationales auprès des acteurs de la mer et du littoral, la production de la Limite terre-mer (LimTM), débutée en 2020, vient de s’achever en cette fin d’année 2021. Cette limite est une nouvelle composante du référentiel géographique du littoral (RGL) qui inclut en particulier le programme Litto3D.
La direction de l’eau et de la biodiversité du ministère de la Transition écologique (MTE/DGALN/DEB), l’OFB (Office français de la biodiversité), le Shom (service hydrographique national) et l’IGN (Institut national de l’information géographique et forestière) se sont réunis pour cofinancer le projet, et sa réalisation a été assurée par le Shom et l’IGN.
Le Shom et l’IGN avaient déjà co-produit au début des années 2000 le trait de côte « Histolitt » (TCH) qui permettait de disposer d’une limite terre-mer commune. Cette limite, devenue obsolète et incomplète, ne répondait plus aux besoins des acteurs et usagers du littoral, que ce soit en termes de précision, de résolution et de description.
Issue de l’intersection d’un modèle numérique de terrain haute résolution (métrique), avec la surface des plus hautes mers astronomiques (PHMA) correspondant au coefficient 120 de la marée dans des conditions atmosphériques normales (1015 hPa, sans vague, sans vent), la nouvelle Limite terre-mer (LimTM) est plus résolue et plus précise que l’ancien TCH. Elle représente, avec une incertitude horizontale absolue comprise entre 0,2 m et 7 m, toutes les entités (éléments naturels ou artificiels) détectées et identifiées ainsi que leur nature (sable, roche, quai, enrochements, cales, etc.). La table attributaire associée fournit notamment les incertitudes planimétriques et altimétriques de chaque tronçon ainsi que la date et le type de la donnée source utilisée.
La Limite terre-mer est par ailleurs interopérable avec les limites administratives maritimes, composées de la limite transversale de la mer (LTM), la limite de salure des eaux (LSE) et la limite des affaires maritimes (LAM).
Le produit est diffusé par départements, par façades et en un lot global pour la France métropolitaine. Il est utilisable librement et gratuitement sous licence ouverte par téléchargement (format Shapefile ligne et polygone) ou par flux (WMSVecteur, WFS et WMTS), sur les portails du Shom (data.shom.fr et diffusion.shom.fr) et de l’IGN (geoportail.gouv.fr et geoservices.ign.fr).
Dans la sphère publique, la Limite terre-mer permet de répondre principalement à des besoins administratifs, tels que la délimitation d’espaces réglementés ou protégés, la prise d’arrêtés, les rapportages pour la directive-cadre stratégie pour le milieu marin et pour la directive-cadre sur l’eau, etc.
Pour aller plus loin : [https:]]
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9:20
Lancement de PiloterMaCommune.fr, la première plateforme de pilotage de la commune et de travail collaboratif pour les élus locaux
sur Décryptagéo, l'information géographiqueVéritables responsables « d’entreprises sociétales », les élus locaux ont beaucoup à faire : ils doivent définir la stratégie communale, collaborer avec les agents, développer la relation citoyenne, se former, mener des projets pour faire évoluer leur commune ou encore réaliser des économies budgétaires.PiloterMaCommune, la nouvelle solution de Viatic, leur permet de répondre à ces enjeux en leur offrant un outil de pilotage et de gouvernance qui les aide à prendre les meilleures décisions pour leur commune.
Créé par Patrick Baillot, un consultant et formateur en management qui a été élu local pendant 19 ans, PiloterMaCommune.fr est le couteau suisse numérique des élus locaux.
Une plateforme web simple et intuitivePiloterMaCommune.fr est une plateforme de travail collaboratif en ligne destinée aux maires, adjoints et conseillers de petites et moyennes communes de France. Elle est accessible sans téléchargement et réunit dans un espace convivial de nombreux outils conçus pour aider les élus à réussir leur mission :
- Un tableau de bord de la commune, qui permet de suivre, en un coup d’œil, toutes les priorités en cours, passées et futures, ainsi que l’impact des actions réalisées.
- Un référentiel « métier de l’élu local », qui permet aux élus d’identifier l’ensemble des thématiques à traiter, et de s’impliquer dans les projets du mandat en fonction de leurs compétences et intérêts.
- Un outil d’autodiagnostic, qui présente les points forts et les points faibles de la commune en s’appuyant sur la règlementation, les demandes des citoyens et des comparaisons avec d’autres communes.
- Un outil de gestion des projets, qui permet à tous les élus et aux agents de participer aux projets et actions selon leur mandat, de collaborer à distance et d’avoir une traçabilité des actions effectuées.
- Une liste de tâches et un planning, accessibles par chaque membre de l’équipe.
- L’application PiloterMaCommune, en cours de développement, donnera également accès à une messagerie instantanée, pour discuter en direct ou de façon asynchrone avec chaque membre des équipes projets.
Grâce à PiloterMaCommune, les élus peuvent accéder à tout moment, et où qu’ils soient, à leurs projets, documents et processus, et communiquer facilement avec l’ensemble de leurs partenaires. L’outil facilite donc l’implication de l’ensemble des élus et agents dans les projets du mandat, permettant un pilotage collaboratif de la commune.
PiloterMaCommune est également un outil de formation des élus à l’ensemble des aspects de leur mandat ; la plateforme intègre le Campus des Élus, une plateforme de formation agréée par le Ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales.
Un outil pour créer un nouvel engagement citoyenLes élus peuvent également engager des citoyens et d’autres représentants de la société civile dans les projets de la commune via une application. Cet espace dédié leur permet de transmettre et de recevoir des informations en fonction de leur sujets d’intérêts: propositions, photographies, besoins locaux. Ils peuvent également participer à des sondages et à des votes en ligne pour sélectionner des solutions proposées dans le cadre des projets de la commune.
PiloterMaCommune permet ainsi d’impliquer les citoyens dans l’évolution des destinées de leur territoire et de leur donner la parole. Les élus peuvent créer une nouvelle relation citoyenne, dans une démarche participative : les citoyens sont impliqués dans les commissions et le diagnostic communal, et deviennent acteurs de l’évolution de leur commune.
Focus sur les autres plateformes de Viatic Le Campus des élusLe Campus des élus est la plateforme de formation continue de Viatic. Elle a pour objectif d’aider les élus à développer les compétences nécessaires pour piloter leur commune. Plusieurs types de formation sont proposés : en e-learning, en présentiel, et sur mesure.
La Viatic AcadémieLa Viatic Académie est un espace collaboratif de travail, d’information, de partage et de veille dédié à tous les membres de l’équipe communale. Les élus peuvent y retrouver des témoignages sur les expériences inspirantes réalisées par des élus dans leur commune, des paroles d’experts, des forums de partage où ils peuvent échanger avec des élus de la France entière, et une veille technique et technologique, dans un espace dédié aux partenaires professionnels.
Portrait de Patrick Baillot, fondateur de ViaticDepuis 40 ans, Patrick Baillot accompagne les entreprises et organisations dans leurs projets, en tant que consultant et formateur en management. Parallèlement, il a été pendant près de vingt ans en charge du pilotage de la commune rurale de Faux-Villecerf, dans l’Aube, avec un mandat d’adjoint et deux mandats de maire.
Lorsqu’il est devenu maire, en 2001, Patrick Baillot s’est demandé comment il pourrait piloter le destin de sa commune sans avoir d’outil permettant de déterminer les priorités. Son souhait, c’était de trouver une solution qui l’aiderait à savoir quels étaient les points faibles et les points forts de sa commune, tout en impliquant l’ensemble de l’équipe municipale. Cette solution, malheureusement, n’existait pas.
Patrick Baillot remarque également que les élus locaux sont très peu accompagnés, sur les plans administratif et informatif, en dehors du travail mené par les associations d’élus.
Il décide alors de recueillir les expériences de ses collègues élus, mais aussi des professionnels en lien avec la vie municipale, comme les fonctionnaires, associations, et professionnels d’entreprises privées.
En s’appuyant sur ses ressources de consultant, Patrick Baillot développe pour son propre usage des outils d’auto-diagnostic de la commune ainsi que des tableaux de bord transverses. Devant l’intérêt manifesté par ses pairs pour cet outil « fait maison », l’élu commence à réfléchir à une façon de le transmettre aux élus des petites et moyennes communes.
À propos de ViaticEn 2014, Patrick Baillot profite des progrès des technologies web pour commencer à développer un outil de management collaboratif en ligne pour les élus. En septembre 2016, deux ans après avoir quitté ses fonctions de maire, il crée la société Viatic.
En 2018, Viatic sort son premier outil, la « Viatic Académie », un espace d’échange et de collaboration en ligne dédié aux élus locaux et à leurs collaborateurs territoriaux. L’année suivante, Patrick Baillot développe PiloterMaCommune.fr, en collaboration avec des élus locaux et DGS de communes de l’Aube. L’expérimentation prévue en 2020, suite aux élections municipales, a dû être décalée en raison de la pandémie et la plateforme est dans sa phase de lancement en 2021.
Le projet PiloterMaCommune a valu à Viatic d’être sélectionné comme lauréat national de la catégorie Gov Tech pour l’année 2020, dans le cadre du concours French IoT du groupe La Poste.
Pour en savoir plus- Site web : [https:]] et [https:]]
- Facebook : [https:]]
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- LinkedIn : [https:]]
- Vimeo : [https:]]
- Youtube : [https:]]
Patrick BAILLOT
Email : p.baillot@viatic.net
Tél. : 09 82 59 15 24
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12:18
Geoselec, une offre articulée autour de l’accessibilité à l’imagerie aérienne
sur Décryptagéo, l'information géographiqueQUÉBEC – 2021-12-06 | Geoselec, anciennement La Géomathèque, lance sa gamme complète de services spécialisés et de solutions technologiques. Geoselec se positionne comme le seul joueur canadien dédié à la numérisation d’archives de photographies aériennes historiques et à la diffusion d’images numériques en ligne.Patrimoine géographique et historique
Les agences gouvernementales de cartographie et tout autre grand gestionnaire de territoire cumulent des images aériennes depuis les années 1930. Toutes ces images, riches en histoire sur l’état, l’évolution et le développement du territoire, ne sont malheureusement pas encore complètement en format numérique.
Au Canada seulement, des millions d’images historiques n’existent que sur rouleau de film. Il est important d’agir avant leur dégradation ou pire, leur perte. C’est un devoir de conservation, de valorisation et d’accès à ces archives qui incite les agences de cartographie et grands propriétaires d’images aériennes historiques à procéder à leur numérisation.
Numériser ces imagesEntre en jeu Geoselec, spécialisée dans la numérisation photogrammétrique de photographies aériennes contenues sur rouleau de film.
C’est en opérant le plus large parc de numériseurs hautement spécialisés au Canada que Geoselec crée des données, passant d’images n’existant que sur médias physiques à une copie numérique. La numérisation (disponible à plusieurs résolutions) rend possible un archivage sécuritaire, la valorisation et l’accessibilité Web à ces données.
Diffuser et rendre accessibles ces images numériquesUne fois la numérisation complétée, les propriétaires de ces images peuvent choisir de gérer eux-mêmes ces millions de fichiers et téraoctets ou de confier la suite à Geoselec. La suite logique pour ce portfolio d’images aériennes numériques est d’en faciliter la découverte et la distribution en ligne.
Au cœur de sa raison d’être, Geoselec diffuse déjà en ligne depuis près de 20 ans. La toute dernière version de sa plateforme en ligne, lancée en 2020, se distingue par sa simplicité pour les utilisateurs et sa puissance pour ses gestionnaires.
Chaque semaine, des centaines de professionnels du territoire, de l’environnement et de l’ingénierie se procurent des images aériennes de leur zone d’intérêt ainsi que des services à valeur ajoutée (ex : géoréférence, orthomosaïque) sur la boutique en ligne de Geoselec.
Geoselec souhaite maximiser sa plateforme technologique ainsi que la popularité de sa boutique en ligne. Ainsi, l’invitation est lancée à tout propriétaire d’images aériennes et autres données géospatiales : il est maintenant possible d’ajouter Geoselec comme partenaire de diffusion. Plusieurs modes de distribution sont possibles incluant la notion de prix (gratuite ou payante) et la notion d’accès (public, privé, extranet).
Geoselec, anciennement connue sous le nom de La Géomathèque au Québec, se distingue par une offre articulée autour de sa raison d’être, soit l’accessibilité à vos données d’imagerie. Offerts à travers le Canada, nos services et solutions couvrent :
- la numérisation de précision de photographies aériennes grâce au plus important parc d’équipements spécialisés et à une expertise unique au Canada;
- la gestion d’archives de films analogiques incluant le transport sécurisé, l’entreposage dans nos voûtes, la réparation, la création et gestion des index et métadonnées ainsi que les services de reproduction et valeur ajoutée (géoréférence, orthomosaïque, etc.);
- une plateforme technologique permettant d’allier la numérisation, le volet transactionnel, un module de recherches, la gestion des commandes et l’hébergement infonuagique des images (disponibles selon plusieurs formes d’intégration);
- une populaire boutique en ligne regroupant plus de deux millions de photographies aériennes du Québec et du Canada, permettant de rechercher et de commander facilement, ouverte à l’intégration des données de différents propriétaires et types d’information géographique.
Visitez www.geoselec.com !
Source : geoselec.com
Information : Geneviève Grenier | Directrice générale
genevieve.grenier@geoselec.com | C : 418 928-7948
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12:31
La constellation Galileo s’agrandit après la réussite du « lancement 11 »
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDeux nouveaux satellites Galileo ont été lancés avec succès le 4 décembre 2021 depuis le centre spatial européen de Kourou, en Guyane française, portant le nombre de satellites Galileo déjà lancés à un total de 28 et permettant ainsi la mise à disposition de services encore plus fiables et de signaux plus précis dans toute une série de secteurs.Lancement de 2 satellites Galileo à bord de la fusée Soyouz
Plus tôt dans la journée, le lanceur Soyouz VS-26 a décollé avec succès de Kourou, en Guyane française, pour un trajet de près de quatre heures jusqu’à la séparation des satellites Galileo 27-28 de la fusée. Le « lancement 11 » de Galileo est le premier d’une série de six lancements (avec une charge de deux satellites par lancement), qui permettra à Galileo d’apporter une plus grande précision aux utilisateurs et ouvrira de nouveaux débouchés commerciaux.
Les satellites Galileo ont été éjectés de l’étage supérieur du lanceur tôt ce matin. Ils sont actuellement sous le contrôle de l’Agence de l’Union européenne pour le programme spatial (EUSPA) et de son équipe industrielle chargée des opérations satellitaires à compter de la séparation du véhicule de lancement, dans le cadre de la phase de lancement et d’orbite initiale (LEOP).
La LEOP constitue l’une des phases cruciales d’une mission spatiale, lors de laquelle le véhicule spatial est lancé et placé sur orbite, et où les premiers éléments des satellites sont progressivement mis en marche et testés. Au cours des prochains jours, l’équipe EUSPA chargée des opérations satellitaires suivant la séparation du véhicule de lancement manœuvrera pour la première fois les satellites depuis le centre de contrôle dédié à Galileo situé à Oberpfaffenhofen, en Allemagne, jusqu’à ce que ceux-ci soient placés avec précision sur leur orbite de croisière, à 23 220 km d’altitude. Après leur mise en service et à la suite de tests rigoureux effectués en orbite, les satellites deviendront opérationnels dans le cadre des services Galileo.
Grâce à un partenariat européen, la Commission européenne gère Galileo, EUSPA se chargeant de superviser les opérations et la fourniture des services Galileo, et l’ESA assurant, en sa qualité d’autorité de conception, la gestion du développement, de l’acquisition de satellites et du segment terrestre.
« Aujourd’hui, nous pouvons célébrer avec fierté la nouvelle étape franchie par le projet industriel le plus ambitieux et le plus important de l’Union européenne, Galileo », déclare M. Rodrigo da Costa, directeur exécutif de l’EUSPA. « L’ajout réussi des satellites 27-28 au système de positionnement le plus précis du monde représente une étape très importante pour nos utilisateurs, qui sont plus de 2 milliards aux quatre coins du monde. C’est le résultat d’une collaboration solide entre notre agence, la Commission européenne, l’Agence spatiale européenne (ESA), et nos partenaires industriels. Je tiens à exprimer ma plus profonde gratitude à toutes les parties concernées, qui travaillent sans relâche pour assurer le succès de la mission.»
L’Agence de l’Union européenne pour le programme spatial (EUSPA) fournit des services de navigation par satellite sûrs et sécurisés à l’échelle européenne, encourage la commercialisation des données et services de Galileo, EGNOS et Copernicus, et coordonne le prochain programme de communications gouvernementales par satellite (Govsatcom). L’EUSPA est aussi responsable de l’homologation de sécurité de toutes les composantes du programme spatial de l’UE. En favorisant le développement d’un secteur spatial innovant et compétitif en pleine coopération avec l’ensemble de la communauté spatiale de l’UE, l’EUSPA contribue au pacte vert pour l’Europe et à la transition numérique, à la sûreté et à la sécurité de l’Union et de ses citoyens, tout en renforçant son autonomie et sa résilience.
Pour en savoir plus:
Marie Ménard – Communication Officer EUSPA : Marie.Menard@euspa.europa.eu Tél.: + 420 237 766 627 // Mobile: +420 602 619 776
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12:43
Airbus termine le deuxième satellite océanique Sentinel-6B
sur Décryptagéo, l'information géographiqueFriedrichshafen, le 03 décembre 2021 – Airbus a achevé Sentinel-6B, le deuxième satellite de surveillance des océans du programme européen Copernicus, et le teste désormais de manière approfondie au cours des six prochains mois en préparation à sa vie spatiale.Sentinel-6B en transfert à Friedrichshafen
La mission “Copernicus Sentinel-6″ fournit déjà des mesures topographiques de haute précision des surfaces océaniques grâce au premier des deux satellites, » Sentinel-6A « , lancé en novembre 2020. Les deux satellites de la mission sont construits pour mesurer la distance à la surface de la mer avec une précision de quelques centimètres et la cartographier tous les 10 jours sur une durée de mission pouvant aller jusqu’à sept ans. Leur objectif est d’enregistrer les changements de la hauteur des surfaces de la mer, les variations du niveau de la mer et d’analyser et d’étudier les courants océaniques. L’observation précise des variations de la hauteur de la surface des mers fournit des informations sur le niveau global des mers, la vitesse et la direction des courants océaniques et la chaleur stockée dans les océans. Les mesures – obtenues depuis 1336 km au-dessus de la Terre – sont cruciales pour la modélisation des océans et la prévision de l’élévation du niveau de la mer.
Ces informations aident les gouvernements et les institutions à mettre en place une protection efficace des régions côtières. Les données sont également précieuses pour les organisations de gestion des catastrophes et pour les autorités chargées de la planification urbaine, des programmes de protection contre les inondations ou de la construction de digues.
En raison du réchauffement climatique, le niveau des mers augmente actuellement en moyenne de 3,3 millimètres par an, ce qui peut avoir des conséquences dramatiques pour les pays dont les côtes sont densément peuplées.
Sentinel-6, qui fait partie du programme européen Copernicus, est également le fruit d’une collaboration internationale entre l’ESA, la NASA, la NOAA et Eumetsat.
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12:39
Potager City optimise ses livraisons de paniers de fruits et légumes avec GEOCONCEPT by Nomadia
sur Décryptagéo, l'information géographiquePotager City, une entreprise française de services de préparation et livraison de paniers de fruits et légumes, a choisi la solution Opti-Time TourSolver de GEOCONCEPT by Nomadia afin d’optimiser les tournées de ses livreurs pour plus de 100 000 clients à travers la France. Le challenge de Potager City : replanifier et optimiser en continu les tournées des livreursPotager City est une entreprise lyonnaise qui prépare et livre des paniers de fruits et légumes aux particuliers en recherche de qualité et de praticité. En s’associant à des maraîchers et arboriculteurs responsables, l’acteur français privilégie l’agriculture locale et le plus possible les producteurs bio. Les paniers sont distribués du lundi au vendredi sur deux types de points de livraison : chez des commerçants points relais de proximité et dans des entreprises partenaires.
Depuis la création de l’entreprise en 2007, sa réputation et l’intérêt des Français pour manger sainement et consommer localement contribuent à la forte croissance de son activité. Portée par ce développement, l’entreprise déploie ses services dans de nouvelles villes, en même temps que de nouveaux points relais ouvrent régulièrement sur le territoire national. Afin de soutenir cette expansion, les équipes de Potager City ont dû à plusieurs reprises redéfinir manuellement l’organisation des plannings de tournées des livreurs. Un véritable casse-tête, notamment lorsque l’on sait que chaque tournée doit prendre en compte à la fois la localisation des points de livraison et les créneaux d’ouverture et de fermeture des commerces et entreprises du réseau.
Les clients, quant à eux, ont besoin de recevoir des notifications fiables qui les informent en temps réel de la disponibilité de leur panier en points relais. Sans équipement de suivi spécifique, il est cependant compliqué pour les équipes de Potager City de fournir cette visibilité aux clients de manière fiable.
La société a donc décidé de rechercher un outil qui permette non seulement d’optimiser sa logistique interne, mais aussi de faciliter la réalisation et le suivi de ses livraisons.
Le service de préparation et de livraison de fruits et légumes lance un appel d’offres en 2020 pour trouver un prestataire d’optimisation de tournées, processus à l’issue duquel il sélectionne GEOCONCEPT by Nomadia et sa solution Opti-Time TourSolver.
Grâce à Opti-Time TourSolver, solution SaaS d’optimisation et de suivi des tournées logistiques, les équipes d’exploitation de Potager City peuvent désormais concevoir et exécuter facilement des plans de tournées optimaux, en prenant en compte l’ensemble de ses contraintes métiers. Une fois optimisées, les tournées et les différentes fiches de livraison associées sont directement envoyées aux livreurs via l’application mobile de la solution.
De par ses nombreuses fonctionnalités, l’application mobile Opti-Time est rapidement devenue un outil indispensable pour les livreurs sur le terrain. En plus d’accéder aux informations relatives aux livraisons du jour, le livreur peut par exemple géolocaliser facilement le point d’accès d’un site de livraison et le sauvegarder depuis l’application. Cette fonctionnalité est particulièrement utile pour des sites de livraison complexes, tels que les quartiers d’affaires comme celui de La Défense, et permet de fiabiliser les livraisons futures.
« La solution Opti-Time TourSolver correspond tout à fait à ce que nous recherchions », témoigne Jérémy Colas, Directeur général de Potager City. « Les contraintes horaires de chaque point de livraison sont prises en compte dans la solution. Nos livreurs sont accompagnés à chaque étape du parcours grâce à l’application mobile, ce qui assure une chaine d’approvisionnement sans faille. Avec le suivi en temps réel, nous pouvons valider la qualité de chaque tournée. Si des imprévus se présentent, nos équipes peuvent facilement les gérer et communiquer avec nos livreurs comme nos clients. »
GEOCONCEPT by Nomadia accompagne ainsi Potager City dans sa croissance. Avec l’expansion rapide de son activité, tant sur le plan géographique, avec l’ouverture de nouvelles zones de livraison, qu’en termes de nouveaux clients, l’entreprise ne pouvait plus se permettre de conserver des tournées figées. En adaptant en continu les tournées et en optimisant les trajets des livreurs, Potager City a d’ores et déjà pu réduire le nombre de camions sur la route et diminuer les coûts. Outre les importants gains de productivité réalisés par les livreurs sur le terrain, l’outil Opti-Time TourSolver a rapidement permis aux équipes d’exploitation de gagner un temps précieux lors de l’organisation de tournées. Selon Guillaume Sénard, Responsable d’exploitation Bretagne et Pays de la Loire chez Potager City, « Opti-Time TourSolver simplifie la préparation des tournées en facilitant l’intégration des nouveaux points de livraison ayant chacun ses propres contraintes en matière d’horaires d’ouverture ou d’implantation géographique. Grâce à la solution, toutes ces contraintes sont automatiquement prises en compte dans le calcul des tournées, peu importe le nombre de livraisons à effectuer. Pour nous, c’est un vrai gain en tranquillité. »
L’expansion de la région parisienne, densément peuplée, permet de rendre compte de l’impact particulièrement positif de l’adoption de la solution Opti-Time TourSolver. « Nous avons pu lancer 500 nouveaux points de retrait en 6 mois en Ile-de-France. Il s’agit d’un important travail de réorganisation, car les équipes logistiques ont dû recomposer toute l’architecture logistique des tournées, chacune avec des points d’optimisation », explique Jérémy Colas.
Les clients de Potager City récoltent également de nombreux bénéfices. Grâce aux fonctionnalités de suivi de l’application mobile, le client est tenu informé en temps réel de l’état de sa livraison. La cellule administration des ventes est elle aussi connectée en permanence à l’activité. Si un retard est détecté, elle peut ainsi communiquer facilement avec les livreurs et anticiper les échanges avec les clients.
En pleine crise sanitaire, une solution SaaS qui permet de gérer la logistique de n’importe quel poste s’est avérée cruciale. Grâce à la mise en œuvre d’Opti-Time TourSolver à l’automne 2020, les équipes de Potager City ont pu gérer les aléas du deuxième confinement plus facilement et plus rapidement, une vraie différence par rapport au premier confinement où elles n’étaient pas encore équipées de la solution. En cas de difficulté sur une région, les tournées des livreurs ont pu être gérées à distance par une autre région : une réactivité particulièrement décisive qui a permis d’assurer un service continu aux clients malgré la crise.
L’impact de l’optimisation des tournées chez Potager City est non seulement financier mais aussi écologique. En diminuant le nombre de kilomètres parcourus, l’entreprise a pu réduire les émissions de CO2 de ses véhicules et ainsi son empreinte environnementale. Soucieuse de la RSE, la société prévoit également de sensibiliser ses clients sur ces thématiques, en leur communiquant le pourcentage de réduction d’émissions réalisée grâce à la consommation locale ainsi qu’à l’optimisation géographique des tournées. En outre, la solution 100% logicielle et mobile a supprimé le recours à l’usage du papier, accélérant ainsi la dématérialisation chez Potager City, un vrai bénéfice pour l’environnement et les collaborateurs en télétravail.
Selon Jérémy Colas, « Avec l’explosion du e-commerce alimentaire, Potager City poursuit sa croissance. La livraison à domicile et le samedi sont d’ores et déjà à l’étude. Opti-Time TourSolver représente un outil solide sur lequel s’appuyer pour répondre à ces nouveaux défis. »
- Création en 2007 à Lyon
- Plus de 5 500 points de retrait disponibles
- Paniers livrés à 350 villes en France
- 100 000 clients lui font confiance
- Plus de 1 000 000 paniers préparés en 2021
- Un réseau de plus de 750 producteurs locaux, maraîchers et arboriculteurs partenaires
- 200 collaborateurs chez Potager City
Pour en savoir plus : [https:]]
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12:49
La Ville de Paris lance un concours de réaménagement paysager avec le soutien d’Autodesk afin de réimaginer les abords de Notre-Dame de Paris
sur Décryptagéo, l'information géographiqueQuatre équipes internationales sont invitées à soumettre leurs propositions de projet pour le réaménagement du contexte urbain entourant la cathédrale.Paris, le 2 décembre 2021 – Parallèlement à la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris, la Ville de Paris a lancé un concours international pour réimaginer les alentours de la cathédrale. Autodesk, leader mondial des technologies numériques de conception, de construction et de fabrication accompagne la Ville de Paris en mettant à disposition son expertise technologique et son savoir-faire tout au long du concours. En effet, Autodesk a créé un modèle 3D de la zone existante entourant la cathédrale Notre-Dame, qui permettra aux équipes en lice de mieux comprendre les contraintes du site et les aidera ainsi à donner vie à leurs idées et à créer leurs propositions d’aménagement.
En créant leurs projets à partir de cet environnement existant, réalisé à l’aide des solutions de modélisation 3D d’Autodesk, et de processus BIM (Building Information Modeling) les quatre équipes en compétition donneront vie à de futurs et nouveaux espaces, permettant ainsi aux Parisiennes et Parisiens, ainsi qu’aux touristes d’apprécier la richesse de l’histoire et du patrimoine de Notre-Dame de Paris et de ses abords proches. Autodesk était déjà partenaire d’un concours similaire pour repenser les abords de la Tour Eiffel en 2018 avec la Ville de Paris. A travers ce nouveau projet, la capitale poursuit ainsi sa transformation numérique et se positionne désormais comme l’une des premières » Villes du futur » plaçant le numérique au cœur de sa stratégie d’accélération de modernisation urbaine.
Notre-Dame de Paris : La renaissance d’un site exceptionnelLes quatre équipes finalistes – sélectionnées sur un total de 39 participants – devront prendre en compte les espaces suivants :
- Le parvis de la cathédrale et ses espaces souterrains comprenant la crypte archéologique et un parking sur deux niveaux;
- Les squares Jean XXIII et de l’Île-de-France (situés derrière la cathédrale) jusqu’à la pointe de l’Ile de la Cité;
- Les quais de Seine, haut et bas;
- Les rues adjacentes: rue du Cloître-Notre-Dame, rue de la Cité, quai de l’Archevêché
Autodesk a de très fortes racines en France et soutient les projets les plus emblématiques à Paris et partout en France. Après s’être associé à la Ville de Paris en 2018 pour réimaginer le paysage de la Tour Eiffel, Autodesk collabore à nouveau avec la capitale française pour ce nouveau concours d’urbanisme. En plus de mettre à disposition le modèle numérique 3D de la zone existante entourant la cathédrale Notre-Dame, Autodesk développera également à la demande, des visites virtuelles pour chacun des projets – qui seront partagées avec le jury – ainsi qu’un modèle interactif final et une visite virtuelle du projet gagnant.
Découvrez le modèle vidéo 3D du site – https://www.youtube.com/watch?v=Jk4O_4YvpaA&ab_channel=AutodeskFrance]
Tout au long du concours, toutes les équipes et la ville s’appuieront sur des normes ouvertes comme l’openBIM et le standard IFC, et collaboreront à l’aide de la plateforme collaborative Autodesk Docs, un environnement de données commun (CDE) basé sur le cloud pour la gestion des documents de projets et la communication.
« Grâce à ce partenariat avec Autodesk, nous pourrons visualiser en 3D les projets des candidats et améliorer leur insertion sur le site exceptionnel de la cathédrale Notre-Dame. Les Parisiennes et Parisiens, mais aussi toutes les amoureuses et les amoureux de la cathédrale pourront s’immerger sur la transformation de cet écrin » explique Emmanuel Grégoire, Premier adjoint à la Maire de Paris en charge de l’urbanisme, de l’architecture, du Grand Paris, des relations avec les arrondissements et de la transformation des politiques publiques.
« Autodesk est fier de poursuivre sa collaboration avec la Ville de Paris en apportant son expertise technologique pour le réaménagement des abords de la cathédrale Notre-Dame. En utilisant des technologies de conception et d’ingénierie 3D de pointe, la ville se positionne comme la ville du futur, préservant son héritage historique au format numérique et libérant également l’imagination et la créativité des équipes projet pour le plaisir des générations futures. » a déclaré Nicolas Mangon, vice-président en charge de la stratégie pour les secteurs de l’architecture, de l’ingénierie et de la construction chez Autodesk.
Les participants au concours sont constitués d’équipes pluridisciplinaires dirigées par des architectes, des urbanistes et des architectes paysagistes et accompagnées de spécialistes du patrimoine et des monuments historiques, de la sociologie, du territoire, de l’environnement, de la programmation des espaces publics et des bureaux d’études techniques :
- L’équipe menée par le paysagiste Michel Desvignes, avec les agences Grafton Architectes (agence d’architecture Irlandaise lauréate des prestigieux prix Pritzker 2020 et Equerre d’Argent 2020) et h2o, ainsi que l’urbaniste Urban Eco;
- L’équipe menée par l’agence d’architecture d’Aymeric Antoine et Pierre Dufour (architecte en chef des Monuments historiques) ayant reçu le prix de la première œuvre en 2019 et une nomination aux Ajap en 2016, avec le paysagiste Ateliers jours et l’urbaniste Auxilia ;
- L’équipe menée par l’urbaniste-paysagiste Jacqueline Osty & associés (grand prix de l’urbanisme 2020), avec l’architecte Bernard Desmoulin et l’agence Orma Architettura, architectes du patrimoine ;
- L’équipe menée par le paysagiste bureau Bas Smets, avec l’agence d’architecte – urbaniste GRAU, et pour le volet patrimoine l’agence d’architecture Neufville-Gayet.
La construction devrait commencer en 2024 et s’achever en 2028.
Contact presse :
Agence Etycom – Aelya NOIRET – a.noiret@etycom.fr – 06 52 03 13 47
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14:28
Lettre d’information Theia n°21 – novembre 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueRetrouvez À la une, un compte-rendu des deux ateliers Theia qui se sont déroulés à Montpellier en octobre 2021.Retrouvez dans nos Zooms les dernières actualités des produits à valeur ajoutée et algorithmes mis à disposition par Theia avec l’appui des Infrastructures de données et de services (IDS), des Centres d’expertise scientifique (CES) et des réseaux d’Animation régionale Theia (ART).
Découvrez les Vidéos de captation de l’atelier Forêt du 11 octobre et de l’atelier Qualité des eaux du 12 octobre.
Une section Agenda propose des bilans d’événements récents ainsi que des annonces d’événements à venir.
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14:19
Geomod rejoint le groupe Coexya
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLyon, le 30 novembre 2021 – Geomod, éditeur et distributeur de logiciels en géomatique marine, terrestre et modélisation hydro, rejoint le groupe Coexya, leader indépendant en IT/Digital et Software. Cette opération vise un rapprochement stratégique des deux entreprises afin de poursuivre leurs développements dans le domaine de la géomatique.MithraREM : Logiciel de simulation de l’exposition aux champs électromagnétiques de Geomod
Ce rapprochement permet au groupe de renforcer son positionnement dans des domaines géographiques complémentaires aux activités SIG de Coexya et de favoriser le développement de ses activités en France et à l’international.
Après avoir changé récemment ce nom, Sword France est devenu Coexya en septembre 2021, le groupe Coexya poursuit sa stratégie de croissance initiée il y a un an. Cette première acquisition par le groupe Coexya marque une étape importante.
Geomod est un éditeur reconnu depuis plus de 20 ans dans la géomatique et propose des solutions innovantes en France et à l’international autour de 3 grands axes métiers :
- La géomatique terrestre et notamment la cartographie des bruits en milieu extérieur et la cartographie des rayonnements électromagnétiques ;
- La géomatique marine avec une expertise en prestations de service et une activité d’éditeur de logiciels dédiés aux services portuaires et aux pilotes ainsi qu’à la production de cartes marines et bathymétriques normalisées ;
- La distribution et l’intégration de solutions cartographiques pour la gestion de l’eau.
Coexya est un intégrateur multi-spécialiste développant une expertise dans le domaine du SIG depuis plus de 20 ans et reconnu comme un des leaders en France sur cette spécialité. Coexya accompagne les acteurs de la ville et des territoires dans la compréhension des enjeux territoriaux et dans l’optimisation des processus métiers du transport, de la gestion patrimoniale de réseaux, de la Smart City et du Facility Management.
Notre valeur ajoutée est de comprendre les métiers de nos clients et de les accompagner dans leur transition digitale avec des solutions sur mesure pour les processus opérationnels et d’aide à la décision.
Pour Claude Yvon, dirigeant actuel de Geomod, « cette opération de rapprochement permet d’accélérer le développement et le déploiement de nos produits en France et à l’international dans la continuité de nos engagements clients, partenaires et collaborateurs. »
« Nous sommes ravis et fiers de réaliser cette première acquisition avec la société Geomod dans le domaine des Systèmes d’Information Géographique ; domaine d’excellence depuis de nombreuses années. Les synergies entre les deux sociétés sont très importantes tant au niveau des valeurs humaines, des domaines métiers et techniques, que de la présence sur le territoire français. » conclut Philippe Le Calvé, Président de Coexya.
À propos de GeomodDepuis plus de 25 ans, Geomod édite, distribue et intègre des logiciels cartographiques et scientifiques à haute valeur ajoutée, que ce soit dans le domaine maritime avec des solutions de production et d’exploitation de produits hydrographiques et océanographiques normalisés, ou que ce soit dans le domaine de la géomatique terrestre avec des applications dédiées à la gestion de l’eau, du bruit et du rayonnement électromagnétique.
Geomod compte près de 20 collaborateurs, basés à Lyon et Brest, pour un chiffre d’affaires de 3 millions d’euros en 2021.
- Plus d’informations sur www.geomod.fr
Coexya est une Entreprise de Services du Numérique de plus de 20 ans d’expérience exerçant des activités de Conseil, Intégration et d’Édition de logiciel. Le 1er octobre 2020, le groupe Coexya a changé d’actionnaire et pris son indépendance vis-à-vis de Sword Group, en s’appuyant sur son équipe de direction, son management opérationnel et le fonds d’investissement européen Argos Wityu. La mission de Coexya est d’accompagner des organisations par le développement de solutions répondant aux nouveaux usages pour leurs collaborateurs et leurs clients. Coexya intervient dans 6 domaines de compétence : Customer Experience, Content & Modern Workplace, Health, Legal, Location intelligence et Smart data.
Coexya sert plus de 370 clients. En 2020, l’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 61,5 millions d’euros. Coexya emploie actuellement près de 680 collaborateurs basés à Lyon, Paris et Rennes.
- Plus d’informations sur www.coexya.eu
Contact Presse
Coexya – Service communication communication@coexya.eu
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11:25
IGN : le changement dans la continuité
sur Décryptagéo, l'information géographiqueGéo-communs, cartographie de l’anthropocène, modernisation de l’action publique… l’IGN a exposé ses « nouvelles ambitions » le 24 novembre au cours d’une soirée rassemblant une centaine de partenaires, grands utilisateurs, journalistes, représentants des ministères ainsi qu’une bonne cinquantaine de salariés.Sébastien Soriano explique les nouvelles ambitions de l’IGN
Le style a bien changé. Depuis l’arrivée de Sébastien Soriano à la direction générale de l’institut, il faut reconnaître qu’un sacré vent de fraîcheur souffle sur un établissement qui a fêté ses 80 ans en 2020. Ainsi, c’est au Ground Control, lieu branché de la capitale, entre longues tablées d’étudiants et vieux bus RATP qu’ont été présentées les grandes lignes de la nouvelle stratégie de l’IGN, fruit d’une dizaine de mois de réflexions, de concertations et de discussions.
Mais qu’on ne s’y trompe pas ! Derrière le nouveau vocabulaire et la nouvelle signature « IGN, changer d’échelle », ce sont bien des tendances déjà engagées depuis plusieurs années qui sont remises en perspective et bénéficient d’une nouvelle « boussole ».
Proposer un contre modèle face aux géants de la techLes géo-communs par exemple, qui ont fait l’objet d’une large concertation publique avec 165 contributions, marquent avant tout la volonté de l’IGN de consolider sa politique de coopération et de partenariats. Après avoir fait sauter le verrou de la commercialisation des données, l’établissement peut désormais renforcer la coproduction, devenue indispensable à l’heure où collectivités, associations, collectifs professionnels ou amateurs, produisent les données géographiques au service de leurs communautés d’usages. S’insérer dans une démarche de « communs » (et un vrai débat sur la définition du mot devra avoir lieu) ne sera cependant facile pour personne, car les organisations ont besoin de se montrer pour assurer leur existence, ce qui peut être antinomique avec la modestie d’un commun numérique (qui connaît les grands contributeurs de Wikipedia ?). D’autre part, au-delà de l’élan sincère suscité par la démarche, se posera la question du choix des projets (par qui ?) et de l’effort que l’IGN pourra y apporter. Pour l’instant, l’idée d’un StreetView libre à la française semble émerger, lié à une discussion avec OpenStreetMap. On attend la feuille de route avec impatience.
Changer d’échelle… spatiale mais également temporelleL’anthropocène ensuite, ou la mobilisation de l’IGN pour documenter les changements en cours sous l’action de l’homme : forêt, artificialisation, littoraux… là encore, les sujets ne sont pas nouveaux, mais la nouvelle ambition met la pression sur la rapidité des mises à jour et donc sur les traitements automatiques via des algorithmes d’intelligence artificielle. Un « observatoire de la forêt » serait ainsi en préparation, avec tous les acteurs du secteur, ce qui ne sera pas facile car tous n’ont pas des intérêts convergents.
Extrait de l’occupation du sol grande échelle
Assurer la souverainetéLa description fine du territoire via un programme comme le Lidar HD, enfin. Si le projet est nouveau, il hérite des leçons apprises avec Litto3D et matérialise le nouveau modèle économique de l’IGN. Désormais, pour assurer une diffusion en open data de ses productions, l’IGN doit assurer un financement amont des projets, sur la base des besoins des ministères pour servir les grandes politiques publiques. Ce sont d’ailleurs ces financements qui permettront de participer à des projets moins « rentables » tels que les géo-communs.
Lidar HD sur Paris
Ainsi, comme l’a résumé Emmanuelle Prada-Bordenave, conseillère d’État et présidente du conseil d’administration « l’IGN engage sa mue ». Ce changement de peau est devenu nécessaire sous l’effet de la transformation progressive du corps de l’institut. Cette mue dans les mots donne une nouvelle « vision » qui est d’autant plus pertinente qu’elle prolonge des tendances déjà bien établies, « réconcilie l’envie de service public des agents » et installe l’IGN dans l’air du temps. Maintenant, « action » !
Les 10 chantiers emblématiques du nouveau positionnement de l’IGN :- Des cartes de l’anthropocène
- Un modèle 3D France entière
- Un plan de recrutement et de formation
- Une « place à communs »
- Un système de labels pour des partenaires publics
- Le forum IGNfab
- Un plan pour smartphones
- De nouvelles cartes papier
- Le guichet « cartographe du service public »
- Des programmes de partage autour de la cartographie
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9:39
Lancement du logiciel de référence en Viticulture de Précision : MyEasyViti
sur Décryptagéo, l'information géographiqueFondée en 2017, MyEasyFarm est une startup française qui a pour vocation d’accompagner les agriculteurs dans leur transition agroécologique grâce à des logiciels à la pointe des nouvelles technologies :
- MyEasyFarm permet de pratiquer l’Agriculture de Précision sur une exploitation en Grandes Cultures.
- MyEasyCarbon, lancé en septembre dernier, permet d’évaluer et générer des crédits carbone sur une exploitation Grandes Cultures et accompagne de A à Z les Porteurs de Projet Bas Carbone (coopératives, négociants…) et agriculteurs.
En tant que plateforme certifiée ISOBUS, notre expertise réside dans l’échange et l’agrégation de données avec le matériel agricole et sources de données diverses (images satellite, scanners de sol…).
MyEasyFarm lance MyEasyVItiDans le cadre du Sitevi, salon international des équipements et savoir-faire pour les productions viti-vinicoles, oléicoles, arboricoles et maraîchères qui a lieu du 30 novembre au 2 décembre 2021, MyEasyFarm lance en avant-première son nouveau service à destination des viticulteurs : MyEasyViti.
S’appuyant sur sa forte expertise en Grandes Cultures en matière d’agrégations et d’échanges de données, MyEasyFarm continue sa mission d’accompagner les Hommes du monde agricole dans leur transition agroécologique : à travers les viticulteurs.
Les servicesMyEasyViti est le logiciel qui permet un éventail complet de services pour pratiquer la Viticulture de Précision:
- Le logiciel permet de PILOTER sa STRATÉGIE de Viticulture de Précision et sa modulation intra-parcellaire.
- Il autorise l’ÉCHANGE de cartes sur le matériel agricole – quelque soit la marque – depuis l’ordinateur.
- Il facilite la réalisation de la TRAÇABILITÉ du vignoble.
Fort de son expérience en Grandes Cultures, MyEasyFarm a adapté sa technologie à la viticulture.
Rendre accessible la Viticulture de Précision, c’est sa promesse grâce aux fonctionnalités suivantes :
- COLLECTER LES DONNÉES DU VIGNOBLE : Le logiciel a pour but de collecter tout ce qui est nécessaire au viticulteur pour préparer, réaliser et conclure son travail. On peut retrouver toutes les cartes de préconisation que le viticulteur ou son conseiller a renseigné, fournies à partir d’images satellites, de drones ou de cartes de sol. L’utilisateur peut accéder à des cartes d’indicateurs agronomiques, issues d’images satellitaires comme les cartes de vigueur.
- GÉRER SES CARTES DE PRÉCONISATION : Le logiciel permet de créer ou modifier des cartes de préconisation. Le viticulteur peut, ensuite, envoyer ses données vers la console du tracteur par clé USB ou de manière connectée via un système d’APIs. La plateforme adapte automatiquement le bon format de la carte de préconisation en fonction de la console.
- RÉCUPÉRER LES CARTES D’APPLICATION : Le logiciel permet, également, la remontée de la donnée du champ : par le transfert des données entre la console du tracteur et l’ordinateur du viticulteur. Cette remontée se fait par des cartes d’application comprenant le détail des doses réellement appliquées par le matériel sur la parcelle et par des données “papier” sur un rapport ISOBUS (temps passé sur la parcelle, surfaces travaillées, vitesse, quantités d’intrants, débits, etc…).
D’autres fonctionnalités sont à découvrir comme la planification des ordres de travail ou la gestion du temps de travail des salariés.
Partenaires de confianceLa compatibilité sans fil de MyEasyViti est applicable avec de nombreux constructeurs de matériels : John Deere, Kubota, Claas, AGCO, CNH et notamment les fabricants du consortium Agrirouter (Exel Industries, SDF Group, Kuhn, Krone, Amazone…).
MyEasyViti est intéropérable avec différentes sources de données incontournables en viticulture comme en témoigne la nouvelle collaboration avec Oenoview®, éditeur de cartes de vigueur basée sur les données satellitaires et l’expertise agronomique.
Partenaires institutionnels & technologiquesMyEasyViti s’appuie sur un réseau solide de solutions technologiques, de partenaires reconnus dans l’Agtech et de soutiens institutionnels.
Télécharger le Dossier de Presse
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Plus d’informations : Adeline DE VRIENDT, Responsable Marketing et Communication
adevriendt@myeasyfarm.com +33 6 09 88 26 43Cet article Lancement du logiciel de référence en Viticulture de Précision : MyEasyViti est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.