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Décryptagéo, l'information géographique
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11:09
L’Afigéo, le think tank de l’information géographique, se renouvelle !
sur Décryptagéo, l'information géographiquewww.afigeo.asso.fr En janvier 2021, l’Afigéo (Association française pour l’information géographique) déploie sa nouvelle identité visuelle et lance son nouveau site Internet ! Fruits d’une réflexion stratégique engagée depuis plusieurs mois, ces nouveaux supports de communication reflètent sa volonté de développer ses actions de façon plus transversale et d’affirmer son rôle de think tank de l’information géographique française.
Une nouvelle identité visuelle déployée
L’Afigéo fédère une communauté de 200 membres issus de différents secteurs : services de l’État et collectivités, institutions publiques et privées, entreprises et grands comptes, organismes de formations et monde de la recherche. Un positionnement au cœur d’usages variés et reflétés dans cette nouvelle identité visuelle ! Site Internet, réseaux sociaux, plaquettes… l’Afigéo fait peau neuve en ce début d’année !
Une vision partagée de l’information géographiqueDerrière cette nouvelle identité, l’Afigéo précise sa vision d’un secteur clé : “A l’Afigéo, nous sommes convaincus que l’information géographique est un puissant outil pour mieux appréhender, gérer et anticiper les enjeux de notre société. Nous croyons à la profonde utilité de l’ensemble des métiers représentés au sein de notre think tank. Leurs expertises complémentaires permettent d’appréhender un enjeu de manière pérenne : ses aspects sociaux, environnementaux et économiques. Nous nous engageons ainsi pour la construction d’une vision commune de l’information géographique française de demain et être force de proposition pour développer une économie numérique inclusive, objective et innovante, au service d’un développement durable des territoires.”
Des missions et des actions stratégiques pour le secteur En 2021, l’Afigéo poursuit ses trois principales missions :- Animer la communauté française des acteurs et des réseaux de l’information géographique
- Promouvoir le secteur de l’information géographique en France et à l’international
- Représenter la filière et ses différents acteurs et réseaux auprès des instances nationales
L’ensemble de ses travaux, présentés au fil du temps sur son site Web et ses réseaux sociaux, s’organise autour :
- de groupes de travail : partage de réflexion, d’expérience et de bonnes pratiques autour de sujets à forts enjeux (Défense, Sécurité, Adresse, PCRS, Open Data, Export…) en vue de la construction de positions communes ;
- d’événements : échange d’expériences entre pairs et convivialité inter-réseaux… notamment avec les GéoDataDays, l’événement national de référence autour de la géographie numérique ;
- de ressources : promotion du secteur à travers la production de supports pédagogiques en lien avec les enjeux de la géomatique : publications, observatoires sectoriels, articles de presse, diaporamas, vidéos ;
- d’annuaire des membres : vitrine sur la pluralité, la diversité et l’expertise des hommes et des femmes membres de l’Afigéo.
- 200 membres
- 20 publications
- 3 observatoires
- 600 participants aux GéoDataDays
A propos de l‘Afigéo Association loi 1901 créée en 1986, l’Afigéo (Association française pour l’information géographique) est une association neutre et indépendante, qui reflète la diversité et la pluralité des acteurs et réseaux du secteur français de l’information géographique.Think thank fédérant 200 membres, espace d’échange et de réflexion ouvert vers l’extérieur, l’Afigéo promeut l’expertise française en la matière en France et à l’International.
Contact presse :
communication@afigeo.asso.fr
Tél. 01 43 98 81 96
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9:29
HERE propose de nouveaux outils pour gérer l’anonymisation des données personnelles et le consentement des utilisateurs
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCette technologie fournit des services de données aux véhicules connectés en conformité avec le RGPD13 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies, plateforme de données et de services de localisation, présente aujourd’hui un ensemble d’outils numériques de gestion de la vie privée, permettant de donner plus de contrôle aux utilisateurs, de protéger leurs données personnelles et d’acquérir une conformité réglementaire dans le cadre de l’Internet des objets. HERE Consent Manager et HERE Anonymizer aident les entreprises à créer et fournir des services de données personnalisés aux utilisateurs du monde entier, en toute confiance.
HERE Consent Manager fournit aux entreprises les moyens de collecter et de traiter les données personnelles, tandis que le prestataire de services conserve un contrôle clair sur l’accès aux données par des tiers. Il s’agit d’un système basé sur de la blockchain, conçu pour que tous les acteurs de la chaîne de valeur des données puissent valider et gérer le consentement de manière transparente.
En Europe, HERE Consent Manager aide les constructeurs automobiles à fournir des services à valeur ajoutée aux conducteurs, conformément au règlement général sur la protection des données de l’UE (RGPD). HERE Consent Manager permet l’autorisation et l’utilisation de données personnelles pour fournir un certain nombre de services centrés sur la route, de l’entretien du véhicule et des alertes de sécurité routière aux services de stationnement à la demande et de recharge des VE.
HERE Anonymizer propose diverses techniques pour protéger la vie privée en contrôlant les caractéristiques des données personnelles tout en préservant leur utilité – par exemple, le traitement des données de capteurs cellulaires pour les services de trafic en temps réel. HERE Anonymizer est disponible sur la plateforme de localisation HERE pour tirer parti de sa puissance de traitement et de son échelle, et il pourra être déployé sur site et dans l’environnement déterminé par le client.
« Le consentement des personnes et l’anonymisation des données deviennent impératifs au niveau commercial, et ce, dans tous les secteurs. Actuellement, ce sont des technologies indispensables pour le développement de la conduite connectée et automatisée, d’applications de télécommunications et, de plus en plus, pour toutes les expériences des consommateurs », a déclaré Jonathan Abon, vice-président de la gestion des produits chez HERE Technologies. « Nous sommes impatients de mettre à profit notre vaste expertise en matière de données de localisation pour aider les entreprises à développer des mécanismes qui assurent la protection de la vie privée et l’utilité des données ».
Avec une gestion du consentement conforme au RGPD et des capacités d’anonymisation avancées, la plateforme de localisation HERE permet de traiter efficacement les données personnelles. L’analyse, la visualisation et la distribution des données personnelles peuvent ensuite être réalisées au sein de la plateforme de localisation HERE et HERE Marketplace. Pour en savoir plus sur la manière dont les entreprises peuvent utiliser la plateforme de localisation HERE et les outils de protection de la vie privée, rendez-vous sur [https:]] .
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
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12:58
Revue de presse du 22 décembre 2020 au 12 janvier 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUne douzaine d’articles repérés ces dernières semaines qui nous présentent de nouvelles entreprises, de nouveaux produits et qui nous rappellent également que les données géographiques et les cartes sont de formidables outils de connaissance…Voici à quoi ressemblerait la tête d’un homme à laquelle on applique la projection de Mercator. Explicite ! (source)
VIRUS DANS LES EGOÛTS : « Covid 19 : nouveau pic du coronavirus détecté dans les eaux usées de Marseille » France 3 détaille la façon dont Marseille cartographie la progression du virus.
LE 18 DE DEMAIN : « NexSis, futur système d’alerte commun aux Sdis, sur la rampe de lancement » Dernières nouvelles de NexSis dont Camptocamp assure la composante information géographique. Le système devrait être testé en mars en Seine-et-Marne avant un déploiement qui durera jusqu’en 2023. via La Gazette des Communes.
DRONE ÉCOLO : « Un drone solaire qui veille sur nos champs et nos infrastructures ». Futura Tech présente la start-up XSun, basée en Loire Atlantique dont le drone solaire réalise des missions de cartographie.
DÉFENSE : « Masa Group, le champion français caché de l’IA militaire » Un article de la revue Challenges sur l’entreprise française et son logiciel de simulation Sword.
THE SKY IS THE LIMIT : « Cette start-up française développe un Flight Radar souverain ». L’Usine Nouvelle part à la découverte d’AltRnativ.radio, le nouvel observatoire astronomique installé par Gaël Musquet près de Vernon, qui écoute les transpondeurs des avions et cartographie le ciel.
VUE D’EN HAUT : « Une année tumultueuse sur Terre vue de l’espace » Futura revient sur les principaux événements de 2020 : feux, ouragans, fonte des glaces… vus par les satellites.
VUE D’EN BAS : « Découvrez UlyX, le robot sous-marin de l’Ifremer qui plonge à 6 000 mètres ». Un reportage de l’Usine Nouvelle sur l’UAV qui cartographie le fond des océans.
NIDS DE POULES : « Cette startup indienne devrait inspirer Waze pour la sécurité routière » Presse-Citron nous fait découvrir Intents, une application qui cartographie les nids-de-poule et fonctionne en arrière-plan… pour l’instant.
QUAND GOOGLE MAPS N’EST PLUS TON AMI : « Quand une erreur de code postal sur Google Maps t’empêche de recevoir ta pizza pendant trois ans ». Hé oui, pas de zip code, pas de pizza ! À lire sur FredZone
NEW SPACE : « L’industrie spatiale mondiale à l’aube d’une décennie de bouleversements majeurs ». Une analyse proposée par Lucien Rapp, directeur scientifique de la Chaire SIRIUS (Space Institute for Research on Innovative Uses of Satellites) co-financée par le CNES, Airbus Defense and Space et Thales Alenia Space dans The Conversation. Remise à plat de la législation, prolifération des Cubesat, importance du marché défense pour l’observation de la Terre, big data… il analyse quelques tendances déjà bien visibles.
VILLE INTELLIGENTE : « Une smart city peut avoir une cinquantaine de types de capteurs » Stéphane Gervais du groupe Lacroix revient sur les tendances récentes en matière d’Internet des objets dans les villes. Qualité de l’air et relevés sans contacts semblent être en développement. (Journal du Net)
CARTOGRAPHIE POLITIQUE : « Élection présidentielle au Burkina Faso : les cartes et le territoire » Christian Bouquet, chercheur au LAM (Sciences-Po Bordeaux) propose dans The Conversation une analyse intéressante des résultats des dernières élections au Burkina Fasso. Il se concentre sur des données peu utilisées, notamment celles des bureaux qui n’ont pas pu ouvrir, qu’il a rapproché des cartes du Quai d’Orsay sur les zones d’instabilité dans le pays (zones grises).
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11:51
2021 sera-t-elle la nouvelle année de l’ouverture des données ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnviron 10 minutes de lecture En ce début d’année 2021, plusieurs initiatives militent pour une plus large ouverture des données, notamment dans le secteur public mais également dans le privé, au service de l’intérêt général. L’heure de la maturité a-t-elle sonné ? Remise du rapport Bothorel au Premier ministre le 23 La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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Email: Password: Remember Me Register.login-sidebar-links, .login-sidebar-buttons{margin-top:10px; clear:both}Cet article 2021 sera-t-elle la nouvelle année de l’ouverture des données ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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9:38
HERE dévoile des modèles de villes en 3D pour la création d’applications et de simulations basées sur la réalité virtuelle
sur Décryptagéo, l'information géographique- Données géospatiales précises utilisées dans le transport, la logistique, l’urbanisme et les opérations gouvernementales, la réalisation de films, le développement de jeux vidéo et les applications AR/VR
12 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies, plateforme de données et de services de localisation, dévoile aujourd’hui des modèles 3D haute-fidélité de 75 centres-villes dans le monde, afin de fournir aux développeurs de logiciels les données géospatiales nécessaires pour une représentation réaliste des villes. Avec HERE Premier 3D Cities, les livreurs du dernier kilomètre peuvent naviguer dans des villes denses grâce à des cartes qui mettent en évidence les dimensions précises des bâtiments et les points d’entrée tout au long de leur parcours de livraison. Pour les jeux vidéo par exemple, l’utilisation de ces modèles 3D permet de créer une immersion virtuelle dans les bâtiments et facilite l’intégration de l’imagerie générée par ordinateur. Dans le secteur des télécoms, ces modèles peuvent aider les opérateurs à modéliser leurs réseaux 5G en 3D. Les urbanistes et les services d’urgence peuvent quant à eux construire des jumeaux numériques, pour une meilleure analyse de l’utilisation des sols et des simulations de préparation aux catastrophes.
Les modèles HERE Premier 3D Cities contiennent de riches couches de données et des attributs qui sont alignés sur la géométrie physique et le terrain. Chaque structure est indexée, adressable et précise en termes d’emplacement physique, de volume, de hauteur et même de couleur de façade.
La plateforme d’info-divertissement modulaire (MIB2+) de la berline de luxe Audi A8 intègre déjà les modèles de villes en 3D de HERE, offrant aux conducteurs l’interface de navigation la plus avancée ainsi qu’une expérience de guidage inégalée, au niveau de la voie.
« HERE a capturé, indexé et cartographié les principaux réseaux routiers et centres urbains du monde en 3D« , déclare Jørgen Behrens, vice-président senior et Chief Product Officer chez HERE Technologies. « Nous avons hâte de voir se concrétiser tout le potentiel et la valeur de ces modèles pour les entreprises. Ils représentent le socle fondateur pour la création d’applications de réalité augmentée au niveau sub-métrique, et promettent de révolutionner les supply chains, les réseaux de transport et de mobilité, et l’expérience des consommateurs« .
Les structures indexées et adressables dans HERE Premier 3D Cities permettent aux développeurs d’isoler des bâtiments pour leur attacher des métadonnées supplémentaires et appliquer des techniques de rendu avancées, comme des applications CGI (Common Gateway Interface).
Les modèles HERE Premier 3D Cities sont disponibles en Cesium/OGC 3D Tiles pour faciliter leur intégration. Chaque kilomètre de données est stocké dans des tuiles de petite taille pour une diffusion et un rendu efficaces. Des échantillons de données de Londres, Berlin et Munich sont actuellement disponibles sur AWS Data Exchange.
HERE a cartographié 196 pays et collecte chaque jour plus de 28 téraoctets de données LiDAR terrestres. Les modèles HERE Premier 3D Cities sont créés à partir de multiples sources – dont le LiDAR, l’imagerie optique et satellitaire – sur la base de décennies d’expertise en cartographie et applications IA/machine learning que la société a développées pour fournir des services de localisation de pointe aux entreprises du monde entier.
Pour en savoir plus sur Premier 3D Cities : [https:]]
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
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9:32
Leia Inc, Continental et HERE Technologies embarquent des cartes 3D à bord des véhicules
sur Décryptagéo, l'information géographique- HERE, Leia et Continental apportent une expérience de navigation inégalée aux équipementiers automobiles
- Le logiciel Lightfield de Leica permet de visualiser des cartes en 3D pendant de longues périodes, sans avoir besoin de lunettes adaptées
12 Janvier 2021
CES 2021 – Leia Inc, fournisseur de matériel et de services Lightfield et gagnant de deux prix de l’innovation au CES 2021 pour son dernier produit Lume Pad, Continental, leader de la mobilité, et HERE Technologies, plateforme de données et de services de localisation, s’associent pour fournir aux équipementiers automobiles des cartes et une navigation en 3D sur écrans Lightfield.
Pour ce faire, le partenariat s’appuie sur HERE Premier 3D Cities, des modèles 3D haute-fidélité de 75 centres-villes du monde entier permettant aux développeurs de logiciels de produire une représentation réaliste des villes. Les modèles HERE Premier 3D Cities contiennent de riches couches de données et des attributs qui sont alignés sur la géométrie physique et le terrain. Chaque structure est indexée, adressable et précise en termes d’emplacement physique, de volume, de hauteur et même de couleur de façade.
Les données 3D des bâtiments et de topographie fournies par HERE s’affichent dans les solutions de Continental à bord des véhicules grâce au logiciel Lightfield de Leia qui permet de visualiser des cartes 3D pendant de longues périodes sans avoir besoin de lunettes adaptées ou d’un capteur de suivi du regard. Grâce à ce partenariat, les cartes 3D deviennent un élément essentiel du kit de développement logiciel (SDK) Lightfield pour automobile de Leia. Ensemble, Leia Inc., Continental et HERE créent une représentation spatiale du monde réel qui aidera les conducteurs à mieux s’orienter et à rester plus vigilants au volant.
« Les cartes constituent la base de tout SDK automobile. Nous sommes ravis de combiner notre logiciel Lightfield avec les modèles de villes 3D de HERE et la solution d’affichage de Continental pour pouvoir offrir à tous les équipementiers une expérience de navigation de pointe », a déclaré David Fattal, co-fondateur et PDG de Leia.
« La technologie d’affichage 3D n’apporte pas seulement de la nouveauté, avec le bon contenu, elle crée également une interaction plus intuitive entre le conducteur et le véhicule et améliore la sécurité de la conduite », a déclaré Ulrich Lueders, responsable de la stratégie au sein de la division Interface Homme-Machine de Continental. « Je suis fier de contribuer à un meilleur design UX et à un environnement de conduite plus sûr en associant le contenu cartographique d’excellente qualité de HERE et le logiciel Lightfield de Leia à notre expertise en matière de solutions d’interface entre l’homme et la machine pour l’automobile ».
« La technologie Lightfield génère des expériences 3D étonnantes pour les conducteurs, sans qu’ils aient besoin de porter des lunettes adaptées. C’est pourquoi nous avons choisi cette technologie pour donner vie à nos données urbaines en 3D. Nous sommes impatients de présenter les résultats de notre collaboration à nos nombreux clients du secteur automobile », a déclaré Adrián Novik, directeur principal de la gestion des produits chez HERE Technologies.
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
À propos de Leia Inc.
Leia, une plateforme d’expérience basée dans la Silicon Valley, crée des produits et des logiciels 3D Lightfield qui repoussent les limites de ce qui peut être créé et montré sur un écran. Des marques de premier plan dans les domaines de l’automobile, de l’éducation, de l’hôtellerie, des jeux et de la médecine adoptent 3D Lightfield comme le moyen de facto de percer et de se connecter avec leurs consommateurs et de définir leurs marchés. Leia combine la nanotechnologie et l’IA pour construire l’avenir de l’expérience. Pour en savoir plus sur Leia Inc., veuillez consulter le site www.leiainc.com.
À propos de Continental
Continental développe des technologies et des services pionniers pour une mobilité durable et connectée des personnes et de leurs biens. Fondée en 1871, la société technologique propose des solutions sûres, efficaces, intelligentes et abordables pour les véhicules, les machines, la circulation et le transport. En 2019, Continental a réalisé un chiffre d’affaires de 44,5 milliards d’euros et emploie actuellement plus de 233 000 personnes dans 59 pays et marchés. En 2021, la société célèbre son 150e anniversaire.
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9:39
HERE Technologies personnalise la conduite des véhicules électriques
sur Décryptagéo, l'information géographique- EV Routing propose le trajet le plus optimal en prenant en compte le temps nécessaire pour recharger son véhicule
- Les trajets et les arrêts sont planifiés en prenant en compte des données statiques et dynamiques
11 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies, plateforme technologique de données de localisation, annonce aujourd’hui le lancement de EV Routing qui vise à optimiser les déplacements des véhicules électriques privés et commerciaux.
À l’heure où de nombreux acteurs de l’industrie du transport se sont engagés à électrifier l’ensemble de leur flotte et où plusieurs pays se sont engagés à interdire la vente de voitures classiques à moteur à essence et diesel, EV Routing permet désormais aux véhicules électriques (VE) de calculer le trajet le plus optimal pour rallier une destination tout en minimisant le nombre d’arrêts de charge et en optimisant les temps de charge des batteries, en fonction du modèle de consommation du véhicule et de sa courbe de charge.
L’itinéraire optimal en tenant compte des données statiques et dynamiques
EV Routing planifie les trajets en tenant compte de la topographie, de la géométrie des routes, des informations en temps réel sur le trafic et des schémas de circulation. La nature dynamique du modèle de consommation du véhicule permet d’adapter EV Routing à différents styles de conduite, charges ou conditions météorologiques. EV Routing utilise une API de calcul d’itinéraires construite sur une carte qui inclut les produits HERE ADAS de haute précision et offre la possibilité d’inclure des arrêts supplémentaires et des itinéraires alternatifs. La base de données des points de charge pour véhicules électriques de HERE comprend la marque du véhicule, la disponibilité en temps réel des stations de charge, le nombre de connecteurs, les informations sur l’abonnement et les prix.
Personnalisation de l’itinéraire des VE
Les caractéristiques de charge de chaque véhicule peuvent être définies de manière unique afin que le temps de charge puisse être calculé avec précision même si la batterie se dégrade avec le temps. EV Routing permet aux utilisateurs de définir des marques d’opérateurs de charge privilégiés afin que la sélection des stations de charge tienne compte des abonnements de l’utilisateur et des modes de paiement préférés. Les clients de HERE peuvent également personnaliser EV Routing en intégrant leurs propres données – de stations de recharge par exemple.
« EV Routing fait plus qu’indiquer le chemin vers une station de recharge. Il fournit l’itinéraire le plus approprié et intègre les temps de charge, tout en tenant compte des données statiques et dynamiques telles que la vitesse de charge ou le trafic en temps réel. EV Routing s’appuie sur un large éventail de paramètres et peut être personnalisé en fonction du profil du véhicule, du style de conduite et des préférences en matière d’opérateurs de stations de recharge. Avec EV Routing, HERE supprime l’angoisse de l’autonomie et fait de la conduite d’un VE une expérience véritablement personnalisée », a déclaré Jussi Koski, VP Produit chez HERE Technologies.
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HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
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9:31
HERE dévoile une nouvelle offre de cartographie privée pour aider les entreprises à créer des cartes personnalisées
sur Décryptagéo, l'information géographique- Une offre unique de cartographie as-a-service destinée aux entreprises qui souhaitent se différencier et améliorer leur efficacité opérationnelle
- Une solution particulièrement adaptée aux acteurs du transport et de la logistique qui souhaitent construire des cartes personnalisées à grande échelle
11 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies, plateforme de données et de services de localisation, annonce aujourd’hui le lancement d’une offre unique de cartographie as-a-service. Cette offre de cartographie privée s’adresse aux entreprises qui souhaitent se différencier et réduire leurs coûts opérationnels en créant et utilisant des ensembles de données cartographiques uniques pour des analyses et des services avancés. L’offre s’appuie sur des fonctionnalités de plateforme couplées à des capacités de création, de traitement et de livraison de cartes à la pointe de l’industrie.
L’offre est disponible dès à présent dans le cadre d’un engagement de services professionnels. Les chantiers industriels figurent parmi les premiers cas d’usage de la cartographie privée, exploitant les données de capteurs de flottes de véhicules privées afin de créer et de mettre à jour leur propre carte. Progressivement en 2021, l’objectif est de permettre aux entreprises d’apporter leurs propres données cartographiques sur la plateforme de localisation HERE et de les utiliser en combinaison avec les données et services cartographiques HERE qui seront de plus en plus disponibles en libre-service. Les entreprises auront la possibilité de le faire de manière autonome ou en co-développement avec l’équipe de services professionnels HERE qui fournit un large portefeuille de services cartographiques à l’échelle mondiale, pour définir une solution et déployer une cartographie privée sur la plateforme de localisation HERE en leur nom.
L’offre de cartographie privée sera également particulièrement utile aux entreprises du secteur du transport et de la logistique (T&L) – plus précisément les acteurs de la gestion de flotte et de la supply chain – qui souhaitent établir des cartes à grande échelle, améliorer leur efficacité opérationnelle et se différencier de leurs principaux concurrents. L’offre leur permettra de construire et de maintenir un ensemble unique de données cartographiques en utilisant diverses sources telles que des capteurs, du contenu cartographique de tiers et, éventuellement, de l’imagerie et du LiDAR. Ces ensembles de données seront stockés de manière privée et sécurisée sur la plateforme de localisation HERE et pourront ensuite être combinés avec la carte HERE et utilisés par ailleurs dans d’autres services ou comme base d’analyses avancées.
« De nombreux acteurs détiennent d’énormes quantités de données de localisation et cherchent à en extraire de la valeur. En utilisant leurs données de localisation pour créer des cartes privées sur la plateforme de localisation HERE, ils peuvent créer une base pour l’amélioration de l’efficacité opérationnelle, la différenciation et la satisfaction clients », a déclaré Jonathan Abon, vice-président de la gestion produit de la plateforme chez HERE Technologies. « Nous mettons nos capacités avancées en matière de cartographie à la disposition des entreprises pour leur permettre de consommer des services de localisation tels que le calcul d’itinéraires, alimentés par les cartes d’HERE ainsi que par les leurs ».
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Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
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9:21
La Deutsche Bahn s’appuie sur la cartographie HD de HERE pour un projet de numérisation du rail
sur Décryptagéo, l'information géographique- Le projet Sensors4Rail est une collaboration entre la Deutsche Bahn, Bosch, Ibeo, HERE et Siemens Mobility
- Ce projet sera présenté au Congrès mondial ITS 2021 à Hambourg
11 janvier 2021
CES 2021 – HERE Technologies fournit une technologie de cartographie HD à la Deutsche Bahn via la plateforme de localisation HERE. La compagnie ferroviaire allemande utilisera cette technologie pour son nouveau projet de rail numérique « Sensors4Rail ». Le but de ce projet pilote est de tester la localisation des trains et la reconnaissance de leur environnement à l’aide de capteurs, afin d’augmenter la capacité du réseau ferroviaire pour plus d’efficacité et de fiabilité. Parmi les autres partenaires du projet figurent Bosch, Ibeo et Siemens Mobility.
Dans le cadre de ce projet pilote, la Deutsche Bahn va équiper un train d’une technologie avancée de capteurs pour détecter et surveiller son environnement ainsi que pour se localiser avec précision en temps réel. À terme, cette technologie permettra à la Deutsche Bahn d’opérer un plus grand nombre de trains simultanément sur les voies.
Un élément essentiel de ce test est la carte HD, une carte numérique en qualité haute définition qui permet au train de se localiser avec précision sur les voies. En outre, en scannant et analysant son environnement, le train peut reconnaître et catégoriser les obstacles qui se présentent sur les rails ou à proximité. L’identification précise de ces obstacles sur la carte HD permet au centre de contrôle de pouvoir réagir encore plus rapidement pendant les opérations.
La Deutsche Bahn construit actuellement cette carte HD basée sur des données LiDAR propriétaires grâce à la plateforme HERE et à la technologie de cartographie HD développée par HERE. Les données comprennent des objets sur le parcours du train tels que bâtiments, poteaux ou rebords de plateformes, qui servent de référence pour détecter les changements dans l’environnement. En réalité, la carte devient le jumeau numérique du chemin de fer et de ses environs immédiats. Grâce à sa plateforme de localisation, HERE fournit à la Deutsche Bahn un environnement de développement privé pour gérer ses données de manière indépendante. Les données restent entièrement sous la propriété et le contrôle de la Deutsche Bahn.
Dr. Kristian Weiland, responsable du programme Digital Rail pour l’Allemagne : « À la Deutsche Bahn, nous allons utiliser les avantages des technologies numériques pour augmenter la capacité et la qualité du système ferroviaire. La carte HD de HERE nous aide à localiser nos trains avec plus de précision. Nous pouvons ainsi faire circuler plus de trains, à des intervalles plus courts, sur notre infrastructure existante ».
« La plateforme de localisation HERE permet à des clients comme la Deutsche Bahn de créer leurs propres cartes à partir de données de capteurs propriétaires, en utilisant les riches capacités techniques et opérationnelles de cartographie que nous avons développées et intégrées », a déclaré Jørgen Behrens, chef de produit chez HERE Technologies. « En tant que pionniers de la cartographie HD, il est particulièrement agréable de voir le concept d’une carte HD apporter une valeur ajoutée dans un nouvel environnement, au-delà de la conduite automatisée ».
Les partenaires présenteront les résultats du projet lors du Congrès mondial des systèmes de transport intelligents (ITS) à Hambourg du 11 au 15 octobre 2021, avec notamment des démonstrations en direct du train pilote.
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
herefr@axicom.comA propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com.
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15:23
COOPITS : une application mobile pour sécuriser les trajets en voiture
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLancée le 5 janvier 2021, l’application COOPITS permet à l’usager de la route de recevoir des informations directement du gestionnaire routier : emplacement et disponibilité des parkings, vitesse optimale pour arriver au feu au vert, panneau à messages variables embarqué, information en temps réel sur les chantiers, …Elle permet également à l’usager de signaler une difficulté (panne, accident…) au gestionnaire routier pour une intervention plus rapide. Elle peut se superposer à un navigateur préinstallé (ex. Waze, Google maps ou toute autre application) ou fonctionner de façon indépendante.
COOPITS favorise l’écoconduite en évitant l’attente au feu et en signalant les voies réservées au covoiturage ou aux transports en commun.
Soutenue par la Délégation à la Sécurité Routière, son ergonomie a été optimisée pour fournir à l’usager l’information utile à sa sécurité sans causer de distraction.
Enfin, COOPITS respecte la vie privée de l’usager : l’information reçue par le gestionnaire routier est strictement anonymisée.
COOPITS est déployée dans un premier temps sur Bordeaux et ses environs, avant d’être étendue à de nouvelles régions.
En savoir plus et télécharger l’application : COOPITSÀ propos de COOPITS :
COOPITS est l’application aux smartphones du concept de systèmes de transports intelligents coopératifs (C-ITS).
Les C-ITS désignent l’échange d’information entre l’infrastructure et le véhicule, et de véhicule à véhicule.
Ils ont donc trois modes de fonctionnement :
- I2V : Descente d’information du gestionnaire vers les véhicules.
- V2I : Remontée des informations du véhicule vers le gestionnaire de la route (centre de gestion de trafic et véhicules d’intervention)
- V2V : Echanges d’information entre deux véhicules soit par émission automatique à partir de capteurs embarqués, soit via un bouton de déclaration manuel.
De nombreuses études ont mis en avant les gains en termes de sécurité routière apportés par les C-ITS.
Les C-ITS ont été testés à grande échelle en France dans le cadre du projet SCOOP avec les constructeurs Renault et PSA, qui s’est achevé fin 2019. Ce projet était basé sur une forme de wifi véhiculaire, l’ITS G5, qui présente une très faible latence mais nécessite un équipement spécifique des véhicules.
Début 2020, Volkswagen a lancé sa nouvelle Golf 8 équipée d’ITS G5 de série. Il faudra néanmoins plusieurs années pour que cette technologie se démocratise dans les véhicules.
C’est pourquoi, dans les suites de SCOOP, le projet C-Roads France, financé à 50% par l’Union européenne, s’est attelé au développement d’une application smartphone (fonctionnant en 3G/4G) permettant à tout véhicule de disposer des avantages des C-ITS : cette application, c’est COOPITS.
COOPITS inclut les services d’information suivants : panneau à messages variables embarqué, vitesse optimale pour arriver au feu au vert, emplacement et disponibilité des parkings, voies réservées aux transports en commun ou au covoiturage, chantiers, route glissante, panne, accident, obstacle/personne sur les voies, véhicule à contresens…
Elle permet à l’usager de déclarer directement au gestionnaire routier des événements : panne, accident… pour une intervention plus rapide.
Elle remonte aussi au gestionnaire routier des données anonymisées sur la vitesse, lui permettant d’appréhender le niveau de congestion y compris dans les zones non équipées de capteurs.
COOPITS a été développée conformément au règlement général de la protection des données et selon les derniers standards en matière de cybersécurité.
Son développement a duré 17 mois et coûté 400 000 euros.
Sa conception s’est appuyée sur les recommandations d’un ergonome et les retours d’expérience d’un groupe de bêta-testeurs qui l’ont testée en environnement réel de conduite. Elle a ainsi fait l’objet de plusieurs cycles d’amélioration continue avant d’être mise sur Google Play Store.
Elle est disponible pour l’instant en version Android, mais prochainement également en version Apple.
Le site de Bordeaux et sa région a été choisi pour déployer l’application en premier compte tenu de l’implication historique de la métropole de Bordeaux et de la Direction interdépartementale des routes Atlantique dans le domaine des C-ITS. Il permet de mettre en évidence la continuité de service entre le milieu urbain et le milieu interurbain, qui est un point fort de COOPITS par rapport aux systèmes antérieurs (SCOOP, C-the-Différence).
Si le succès est au rendez-vous, de nombreux autres gestionnaires routiers (directions interdépartementales des routes, sociétés d’autoroutes, métropoles) sont prêts à s’impliquer dans COOPITS et s’y préparent.
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9:24
1Spatial remporte le marché SIG Eau de Nantes Métropole
sur Décryptagéo, l'information géographiqueNouveau marché remporté par 1Spatial dans le secteur de l’eau et l’assainissement.Usine d’eau de La Roche (c) Patrick Garçon
Arcueil, France, le 05 janvier 2021. 1Spatial, un des leaders mondiaux spécialisé dans la fourniture de logiciels et de solutions métiers pour la gestion des données de localisation et géospatiales, a été choisi par la Métropole de Nantes pour la fourniture de sa solution logicielle SIG métier de gestion et d’exploitation des données Eau et Assainissement.
Le marché remporté porte sur la » fourniture d’un logiciel SIG Métier Eau/Assainissement » ainsi que » les prestations d’installation, de reprise de données, de formation, d’accompagnement, d’assistance et de maintenance » associées.
La solution équipera la Direction du Cycle de l’Eau (DCE) regroupant les fonctions d’autorité organisatrice et de maîtrise d’ouvrage pour l’eau, l’assainissement et les milieux aquatiques et la Direction des Opérateurs Publics de l’Eau et de l’Assainissement (DOPEA) regroupant les fonctions d’opérateurs publics d’eau et d’assainissement.
La solution retenue dans le cadre d’un marché passé selon une procédure adaptée devra permettre d’assurer la gestion des réseaux d’eau et d’assainissement de la ville de Nantes et des 23 autres communes de la Métropole. Outre le fonctionnel métier, les enjeux de gestion sont importants car il s’agit de mettre à la disposition de l’ensemble des agents des Directions métier et des 7 pôles de proximité, c’est à dire une cinquantaine d’agents déportés sur le territoire qui utilisent massivement des données géographiques, des outils de collaboration et de gestion des flux de données métier en temps réel. Une mission qui implique de relever de nombreux défis, notamment la fiabilisation des données par les agents de la collectivité, qui permettra notamment de répondre aux DT-DICT de classe A avec des données précises.
Parmi les critères de sélection figurent la pertinence de l’offre fonctionnelle métier de haut niveau proposée, la garantie de qualité des données grâce aux outils de contrôle et de validation de 1Spatial, l’ergonomie de la solution, l’architecture qui s’intègre à la plateforme ArcGIS d’Esri en place, enfin les possibilités de lien vers les outils métiers déjà installés au sein de la collectivité, tels que les outils de GMAO et autres logiciels métier du domaine de l’eau.
C’est une solution clé en main qui sera installée dans un premier temps. Grâce à la puissance des outils d’administration fournis qui permettent de nombreuses possibilités de personnalisation, Nantes Métropole pourra faire évoluer sa solution au fil du temps.
Avec la signature de ce contrat majeur, 1Spatial confirme le succès de ses solutions dédiées à la gestion des réseaux d’utilité publique, notamment dans le secteur de l’eau, visant aussi bien les gestionnaires publics que les opérateurs privés.
A propos de 1Spatial1Spatial est un fournisseur de produits et solutions logicielles spécialisés dans la gestion des données géospatiales. Nous travaillons avec nos clients pour leur apporter une réelle valeur ajoutée dans leur processus métier exploitant des données géospatiales.
Notre vision est d’être des leaders dans la fourniture de solutions de Location Master Data Management (LMDM). LMDM décrit des logiciels et des services de gestion de données géospatiales qui améliorent la qualité des données, les associent et les intègrent pour une utilisation optimale dans les solutions de gestion et d’exploitation métier.
Notre offre comprend :
- des services de production et de numérisation de données ;
- des solutions automatisées de contrôle et d’amélioration de la qualité des données;
- des solutions SIG d’exploitation métier qui confèrent toutes leurs valeurs aux données.
Nos solutions s’adressent aux organisations publiques et aux sociétés privées dans les secteurs des Administrations locales et nationales, des opérateurs de réseaux d’utilité publique (eau, énergie, télécommunication), du transport, et du bâtiment et de la construction.
Nous aspirons à rendre le monde plus durable, plus sûr et plus intelligent pour l’avenir. Nous pensons que les réponses pour atteindre ces objectifs sont contenues dans les données. Chez 1Spatial, nous nous engageons à travailler avec nos clients, à libérer la valeur de leurs données et à créer un monde meilleur.
Catherine Gauthier, Responsable Marketing
catherine.gauthier@1spatial.com – M +33 (0)6 25 93 72 59
1Spatial France/Belgique – 23-25 avenue Aristide Briand, Immeuble AXEO 2 94110 Arcueil
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11:17
Lancement réussi de CSO-2, le satellite d’observation militaire français réalisé par Airbus
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDeuxième des trois satellites d’observation optique de très haute résolution de nouvelle générationKourou, le 29 décembre 2020 – CSO-2, le satellite d’observation de la Terre de la Composante spatiale optique (CSO) des forces armées françaises construit par Airbus, a été lancé avec succès depuis le port spatial européen de Kourou, en Guyane, à bord d’un lanceur Soyouz.
CSO-2 est le deuxième des trois satellites de la constellation CSO, qui fournira des informations géospatiales à extrêmement haute résolution aux forces armées françaises et à leurs partenaires dans le cadre du programme de coopération MUSIS (Multinational Space-based Imaging System for surveillance, reconnaissance and observation). Les satellites CSO sont équipés d’un système de pointage très agile et sont contrôlés depuis le sol grâce à un centre d’opérations sécurisé. La constellation offrira une capacité d’imagerie 3D et de très haute résolution, dans les domaines du visible et de l’infrarouge, permettant l’acquisition de jour comme de nuit, afin de maximiser l’utilité opérationnelle.
Le satellite CSO-2, identique au CSO-1, sera toutefois placé sur une orbite polaire inférieure, à 480 km d’altitude, pour remplir au mieux la mission d’identification du programme.
Le CNES (Centre national des études spatiales) avait attribué le contrat CSO à Airbus fin 2010 pour le compte de la Direction générale de l’Armement (DGA). Ce dernier comprenait une option pour la livraison d’un troisième satellite, qui a été activée en 2015 lorsque l’Allemagne a rejoint le programme.
Maître d’œuvre du programme, Airbus a fourni la plate-forme agile et l’avionique, et a également réalisé l’intégration, les essais et la livraison des satellites au CNES. Thales Alenia Space a livré à Airbus l’instrument optique de très haute résolution.
Les équipes d’Airbus continueront également à gérer les opérations du segment sol utilisateur, comme pour les programmes précédents (Hélios, Pléiades, SarLupe, Cosmo-Skymed).« Grâce à notre étroite collaboration depuis le début de l’aventure spatiale française avec le ministère des Armées, et notamment le nouveau commandement spatial, le CNES et la DGA, ainsi qu’au soutien de l’industrie et des partenaires, en particulier de Thales Alenia Space, nous avons réussi… une fois de plus ! CSO fournit une capacité d’observation des plus modernes et efficaces pour la sécurité de nos citoyens, pour la souveraineté et l’indépendance de la France et de l’Europe. CSO change vraiment la donne en termes de résolution, de complexité, de sécurité de transmission, de fiabilité et de disponibilité, et très rares sont les nations à pouvoir se targuer d’une telle capacité », a déclaré Jean-Marc Nasr, directeur d’Airbus Space Systems.
Grâce à son agilité et à sa fiabilité exceptionnelles, le satellite est en mesure de fournir rapidement aux utilisateurs des images de très grande qualité recueillies par l’instrument de Thales Alenia Space, même dans des conditions complexes.
Airbus s’est appuyé sur les décennies d’innovations et de succès qui ont conduit à Hélios 1, Pléiades et Hélios 2, et a eu recours à des actionneurs gyroscopiques, des gyromètres à fibre optique, des systèmes électroniques embarqués et des logiciels de contrôle ultra modernes afin d’optimiser la masse et l’inertie tout en augmentant sensiblement la vitesse de pointage.
About AirbusAirbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
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17:06
Dassault Systèmes collabore avec La Philharmonie de Paris pour assurer le retour du public et des orchestres en toute sécurité dans sa plus grande salle de concert
sur Décryptagéo, l'information géographique- Dassault Systèmes a créé un modèle 3D de la Grande salle Pierre Boulez afin d’évaluer les mesures de sécurité prise par La Philharmonie à l’issue du confinement lié à la pandémie de COVID-19
- La simulation des flux d’air à l’intérieur de la salle a démontré les effets positifs qu’ont le port du masque et la réduction de la ventilation sur la propagation des particules virales
- En rendant ces expérimentations possibles, les mondes virtuels permettent de révéler l’inconnu.
VÉLIZY-VILLACOUBLAY, le 16 décembre 2020 — Dassault Systèmes (Euronext Paris : #13065, DSY.PA) a aidé la Philharmonie de Paris, haut lieu de la musique à Paris, à préparer la réouverture de sa plus grande salle de concert en toute sécurité, lorsque les mesures de confinement liées à la pandémie de COVID-19 seront levées. La simulation a permis d’expérimenter et de comprendre comment l’air est amené à circuler dans la salle, d’évaluer l’efficacité des mesures sanitaires préventives prises par la Philharmonie de Paris et, le cas échéant, d’en identifier de nouvelles.
Avec une jauge de 2 400 places, la Grande salle Pierre Boulez se caractérise par une configuration enveloppante qui immerge le public dans la musique, mais aussi par un système de ventilation individuelle de chaque siège qui permet une répartition des flux d’air neuf dans la salle et un bruit de ventilation faible. Grâce aux données fournies par l’établissement, Dassault Systèmes a utilisé son logiciel de simulation pour créer un modèle 3D de la salle de concert à pleine capacité. Grâce à ce logiciel, on peut visualiser la circulation de l’air depuis les deuxièmes balcons jusqu’au parterre et à l’orchestre dans le but d’évaluer l’impact du port du masque et des flux d’air sur la propagation des particules virales.
Plusieurs scénarios ont illustré la concentration des particules émises par un membre du public infecté par le virus toussant avec, puis sans masque. Ces simulations ont également permis de démontrer comment les particules se propagent aux autres spectateurs, aux musiciens et au chef d’orchestre en fonction du système de ventilation intégré à chaque siège et des différentes directions dans lesquelles l’air circule dans les escaliers, entre les sièges et au niveau du sol.
Les simulations ont ainsi révélé que le risque de propagation des particules virales est moins élevé lorsque les spectateurs portent un masque et que la ventilation de chaque siège est réduite de moitié. Porté correctement, le masque joue un rôle majeur dans la baisse du volume de particules émises dans l’air, ainsi que dans la vitesse de propagation, ce qui en fait une première barrière capitale. Les expérimentations ont également montré que la salle présente un comportement similaire à celui d’un lieu de plein air, avec un risque de propagation très limité d’un côté à l’autre.
Le système de ventilation réduit naturellement les risques de contamination en limitant le mouvement latéral de l’air et en le dirigeant derrière le public et l’orchestre.
« La sécurité du public, de nos artistes et de notre personnel n’est pas négociable. C’est pourquoi nous avons décidé de nous associer à Dassault Systèmes. Grâce à leur technologie de simulation de pointe, nous sommes prêts à rouvrir notre salle de concert dans les meilleures conditions», déclare Laurent Bayle, directeur de la Philharmonie de Paris.
Parallèlement, la simulation des flux d’air à l’entrée de la salle de concert a confirmé que les mesures préventives déjà mises en œuvre, telles que le port du masque et la distanciation physique, sont adaptées à cette zone particulière de l’établissement.
« Notre collaboration avec la Philharmonie de Paris s’inscrit dans le cadre des efforts que nous entreprenons quotidiennement pour aider les entreprises à simuler, visualiser et analyser les conditions existantes, pour évaluer l’effet de scénarios hypothétiques, ainsi que pour identifier des solutions permettant de rouvrir et de fonctionner en toute sécurité », déclare Florence Verzelen, directrice générale adjointe, Dassault Systèmes. « Dans la vie, les répétitions n’existent pas. Mais à l’heure où le monde réel met tout en œuvre pour sortir du confinement, les mondes virtuels rendent possibles des expérimentations qui permettent de révéler de nombreuses inconnues. »
Accès à la présentation et aux résultats de cette étude (vidéo disponible sur demande) :
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À propos de Dassault Systèmes
Dassault Systèmes, the 3DEXPERIENCE Company, est un « accélérateur de progrès humain ». Elle propose aux entreprises et aux particuliers des environnements virtuels collaboratifs qui leur permettent d’imaginer des innovations plus durables. En développant un jumeau virtuel du monde réel, grâce à la plateforme 3DEXPERIENCE et à ses applications, Dassault Systèmes donne à ses clients les moyens de repousser les limites de l’innovation, de l’apprentissage et de la production.
Les 20 000 collaborateurs de Dassault Systèmes travaillent à créer de la valeur pour nos 270 000 clients de toutes tailles, dans toutes les industries, dans plus de 140 pays. Pour plus d’informations, visitez notre site www.3ds.com/fr
3DEXPERIENCE®, l’icône Compass, le logo 3DS, CATIA, BIOVIA, GEOVIA, SOLIDWORKS, 3DVIA, ENOVIA, EXALEAD, NETVIBES, MEDIDATA, CENTRIC PLM, 3DEXCITE, SIMULIA, DELMIA et IFWE sont des marques commerciales ou des marques déposées de Dassault Systèmes, une « société européenne » française (registre du commerce de Versailles n° B 322 306 440) ou de l’une de ses filiales aux États-Unis et/ou dans d’autres pays.
Contact presse :
Dassault Systèmes
Arnaud Malherbe
01 61 62 87 73
arnaud.malherbe@3ds.comPhilharmonie de Paris
Philippe Provensal
01 44 84 45 63
pprovensal@cite-musique.frAgence Gen-G:
Félix Deltour / Cédric Derond
07.88.32.11.43 // 07.88.32.70.57
felix.deltour@gen-g.com // cedric.derond@gen-g.comCet article Dassault Systèmes collabore avec La Philharmonie de Paris pour assurer le retour du public et des orchestres en toute sécurité dans sa plus grande salle de concert est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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12:09
Revue de presse du 8 au 22 décembre 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueHumour, 3D, imagerie satellitaire, mobilisation citoyenne en Afrique, open data… quelques lectures pour passer des fêtes carto-inspirées !Un peu d’humour (dans ce monde de cartes) ! Un billet réjouissant de Camille Scheffler qui passe en revue les productions décalées de ©Les Savoirs Ambulants (@SavoirsEnBulles sur Twitter) lors du dernier #30DayMapChallenge.
VIDEO : Sous ce lien, Remise du Grand Prix Syntec Conseil à PwC pour son application FaST au service de l’agriculture de précision, développée pour la commission européenne et déployée en Estonie, en Espagne et en Italie. FaST associe données Sentinel, administratives et environnementales pour l’optimisation des intrants.
VIDÉO : « Quand Dassault Systèmes étudie la circulation de l’air à la Philharmonie de Paris pour lutter contre le Covid-19 ». L’Usine Nouvelle relaye une vidéo qui présente la modélisation en 3D de la salle.
AFRIQUE : « Quand les communautés africaines s’emparent du numérique pour cartographier leurs villes » Publié sur le blog Nasikiliza de la Banque Mondiale, un long article qui relate de nombreux retours d’expérience basés sur OpenStreetMap.
AFRIQUE : « Afrique Avenir : Geomatica met les sciences et technologies spatiales au service des communautés » BBC News propose un reportage audio dans lequel les fondateurs de la jeune entreprise sénégalaise expliquent ce qu’est la géomatique
GÉO-SIGNALEMENT : « Des applications mobiles pour simplifier le signalement de dysfonctionnements aux collectivités ». L’Usine Digitale revient sur le succès des applications de « tranquillité publique » dont la composante cartographie est essentielle.
IGN : Une interview de Sylvain Latarget dans Acteurs publics, au moment il passe la main à Sébastien Soriano à la direction générale de l’Institut : « L’IGN tourne la page de ses activités commerciales pour venir en appui des politiques publiques »
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11:47
Le changement dans la continuité : une nouvelle année s’ouvre à l’IGN
sur Décryptagéo, l'information géographiqueOuverture plus large de ses données, nouveau directeur général, l’année 2021 s’ouvre sur des changements importants à l’Institut de l’information géographie et forestière (IGN).Sébastien Soriano, nouveau directeur général de l’IGN prendra ses fonctions le 4 janvier 2021
Après 6 mois de vacance du poste, nous avons appris mi décembre la nomination de Sébastien Soriano à la tête de l’IGN, qui prendra ses fonctions au moment même ou l’institut franchit un pas de plus dans l’ouverture de ses données.
En effet, dès le 1er janvier 2021, la BD Topo, la BD Ortho, la BD Forêt et le RGE Alti seront diffusées sous licence Etalab 2.0, dans la poursuite d’un mouvement engagé depuis plusieurs années.
Le choix de Sébastien Soriano à la direction générale de l’Institut va clairement dans le même sens. L’ancien président de l’ARCEP, le « gendarme des télécoms » est un ardent partisan de l’ouverture des données, des communs numériques et de la concertation, comme il l’explique dans son ouvrage « Un avenir pour le service public : Un nouvel État face à la vague écologique, numérique, démocratique » paru en novembre aux éditions Odile Jacob. Sébastien Soriano connaît bien les enjeux de l’information géographique, essentielle dans le déploiement de la fibre et des réseaux mobiles. Les dossiers ne manqueront pas sur son bureau, notamment celui de la construction collaborative de la Géoplateforme.
En route pour une nouvelle destination : l’@IGNFrance !
Hâte de mettre l’information géographique au service de la transition écologique ?
Merci aux ministres @barbarapompili et @J_Denormandie pour leur confiance ????? [https:]] pic.twitter.com/fxJGAButVL
— Sébastien Soriano (@sorianotech) December 16, 2020
C’est avec humour que Sébastien Soriano a annoncé sur Twitter son arrivée à l’IGN
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10:51
À lire dans le dernier bulletin Theia
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAu sommaire du Bulletin n°14 de TheiaAu sommaire
- les nouvelles du réseau : OSS-Nouvelle Calédonie, des ateliers OSO en Nouvelle-Calédonie, une nouvelle IDS en Occitanie, des fiches thématiques GeoDEV, Women in Copernicus, soumettre des sites pour Venus, observation citoyenne des lacs pyrénéens, impact de la tempête Alex…
- des articles sur les CES & produits Theia : Unités paysagères, Irrigation des parcelles agricoles, humidité de la zone racinaire, un CES dédié aux sécheresses, Hauteur de canopée et volume de bois par GEDI, 38 années de données végétation, Les résultats de l’enquête auprès des utilisateurs des données infrarouge thermique…
- I-SEA : un exemple d’expertise privée s’appuyant sur la recherche publique
- deux nouveaux portraits : un responsable d’exploitation & un animateur d’ART impliqués dans Theia.
>>> Télécharger le .pdf en version impression
>>> Lire le Bulletin sur Calaméo
>>> Retrouver les numéros précédents.Cet article À lire dans le dernier bulletin Theia est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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10:39
À lire dans la dernière newsletter de la SFPT
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAu sommaire de la newsletter de la société française de photogrammétrie et de Télédétection :Cliquez sur l’image pour ouvrir la newsletter
- L’IGN fête ses 80 ans
- Présentation du programme « Connect by CNES », du projet ai4geo (intelligence artificielle au service de l’information géopatiale)
- Des nouvelles de Pléiades Neo
- Une communication du Groupe Archéologie et Architecture
- Des notes de lecture sur l’Atlas critique de la Guyane et sur Le Pixel et la Balance
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9:36
Les BAL : stars de cette fin d’année 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueenviron 7 mn de lecture Non, nous ne proposons pas à nos lecteurs de rompre gestes barrières et règles de distanciation physique en cette fin d’année. C’est derrière leur écran qu’ils peuvent participer ou s’intéresser aux BAL, alias Bases d’Adresses Locales. Grâce à elles, la BAN (Base Adresses Nationale) semble La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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18:51
Un dernier petit cadeau carto ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnvie d’offrir un dernier petit cadeau cartographique ? Découvrez les productions des Artisans cartographes, toujours sympas.#Nantes, un jeu de cartes … cartographique pour (re)découvrir la cité des Ducs –> découvrir le jeu
#Paris, une sérigraphie de la capitale 100cm*70cm pour afficher fièrement le dédale des rues Parisiennes –> voir la sérigraphie
#Paris encore, un atlas complet des rues pour ne pas vous perdre lors de votre prochaine sortie vélo –> lien vers l’atlas
#Bruxelles, une gravure sur bois du centre ville, quoi de plus chic qu’une Golden Map pour la capitale Européenne ? –> découvrir la gravure
#Mapzle, pour tous les amoureux de cartes et de puzzles –> voir le puzzleCet article Un dernier petit cadeau carto ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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18:01
IDC et HERE publient un livre blanc : « Utiliser une plateforme de localisation pour tirer le meilleur parti de vos données »
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’institut International Data Corporation (IDC) et HERE Technologies annoncent la parution du livre blanc « utiliser une plate-forme de localisation pour tirer le meilleur parti de vos données »Le présent livre blanc propose un éclairage sur le marché des données à travers ses usages et ses bénéfices.
Les dirigeants ont tout à fait conscience que les données de leurs entreprises ne prennent de la valeur que si elles sont partagées. Cependant, les données spécifiques à un lieu ne sont que rarement exploitées. Les acheteurs et les vendeurs de ce type d’actifs ont encore du mal à se trouver. Les marketplaces permettent non seulement de constituer un lien, mais également de simplifier le processus de mise en relation des données avec les acheteurs. Ce sont les marketplaces de données de localisation qui permettent aux entreprises d’offrir leurs données, leurs algorithmes et leurs API/SDK à un public plus large, créant ainsi de plus grandes opportunités de valeur.
Ces dernières années, l’intérêt pour les données a donné naissance à un grand nombre de ces plateformes. Dans son livre blanc, IDC revient sur les différentes tendances émergentes de ce marché et pour illustrer son propos, met en avant le témoignage de HERE Technologies qui offre un positionnement et une vision unique.
HERE Technologies propose une marketplace complète et centrée sur la localisation et s’illustre comme un leader du marché dans le domaine de la localisation avec plus de 35 ans d’expérience dans le domaine de l’intelligence de localisation.
Parmi ses principaux points forts :
- Sécurité, confidentialité et contrôle de la plateforme. Les ensembles de données de localisation ont tendance à être très volumineux et peuvent divulguer beaucoup d’informations sur les capteurs, les utilisateurs et les contributeurs. Grâce à la vision sophistiquée des propriétés de localisation de HERE Technologies, l’entreprise a intégré la sécurité, la confidentialité et le contrôle au sein de la plateforme et de ses outils. La société offre des fonctions d’anonymisation, des protocoles d’accès spécifiques, la gestion du consentement et des capacités de nettoyage des données.
- Plus que de simples données. La plateforme donne accès à une grande variété de données, mais elle n’est pas seulement une marketplace. Les acheteurs et les vendeurs peuvent également travailler avec du contenu géolocalisé, des API, des SDK et des algorithmes contrairement à d’autres marketplaces qui sont limitées aux données ou aux API.
- Une force de vente mondiale. Rejoindre la plateforme HERE Technologies en tant qu’acheteur ou vendeur signifie rejoindre une organisation ayant une présence et des capacités mondiales dans le domaine de localisation.
La concurrence s’intensifie sur le marché et les vendeurs devront relever le défi de l’expansion. Plus le volume, la variété des données, et le nombre d’algorithmes sont importants, plus il est probable que les vendeurs seront en mesure d’attirer une proportion croissante d’acheteurs. HERE Technologies dispose déjà de données à l’échelle mondiale et de contributeurs du monde entier.
Les atouts initiaux de la plateforme proviennent de l’héritage de HERE Technologies dans les applications pour les véhicules et le transport. Le défi pour HERE consiste à développer des cas d’utilisation pour d’autres secteurs industriels comme les Télécoms ou les assurances.
Le livre blanc est disponible dans le lien ici
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
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9:05
Outsight donne aux opérateurs la vision intégrale de leurs opérations en temps réel
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes opérateurs des espaces publics peuvent désormais assurer un monitoring des flux de personnes avec la solution d’Intelligence Spatiale laser d’OutsightOutsight est le créateur d’une solution de traitement LiDAR unique qui peut simultanément percevoir et comprendre l’environnement en 3D. Sélectionnée par le Groupe ADP (Aéroport de Paris), la technologie est actuellement en test sur l’aéroport Paris-Charles de Gaulle pour fournir, tout en préservant les données privées, un suivi précis des flux de personnes en temps réel.
Grâce à la technologie d’Outsight, le gestionnaire d’aéroports peut obtenir des informations précieuses sur les flux de personnes et l’utilisation des actifs en temps réel à un niveau de détail inégalé auparavant. En effet, la technologie mesure précisément le nombre de personnes en salles de livraison bagages, leurs déplacements et leurs interactions.
Toutes ces observations en temps réel apportent un niveau de connaissance précis pour permettre à l’opérateur de suivre les flux de passagers via son interface de monitoring et pour intervenir en cas de besoin.
Pour Raul Bravo, Président et cofondateur d’Outsight, “ce premier résultat obtenu avec le partenariat noué avec le Groupe ADP, quelques mois à peine après la création de l’entreprise, démontre la pertinence de notre démarche dans la perception 3D dans un contexte d’amélioration des opérations et de la sécurité. Cette première implémentation fait suite à une succession d’annonces pour Outsight qui reçoit de nombreuses sollicitations dans d’autres domaines tels que les centres commerciaux, les gares, les stades, les centres de loisirs et de congrès.”
Un suivi individuel et précis avec un anonymat garantiUn des éléments-clés de cette technologie est le respect de la vie privée : le laser détecte les formes mais aucune donnée sensible n’y est rattachée. Cela permet de suivre un individu en respectant les principes de protection des données et de respect de la vie privée.
Améliorer les espaces publicsLe cœur de métier des opérateurs est d’optimiser les passages des visiteurs. Avoir une meilleure compréhension de leurs déplacements leur permet de fournir un meilleur service et d’adapter les infrastructures aux utilisateurs. Ce qui se traduit instantanément par l’augmentation des revenus et la baisse des coûts. Outsight, leader dans le marché en pleine expansion de l’Intelligence Spatiale, est un partenaire clé pour ses clients qui visent l’excellence opérationnelle.
Une technologie récompenséeEn moins d’un an, Outsight a réussi à développer et industrialiser cette nouvelle génération de traitements de données Lidar[1] qui a fait l’objet de 42 dépôts de brevets.
L’innovation d’Outsight a gagné le prestigieux Best of CES Innovation Awards à Las Vegas ainsi que le Prism Award décerné par les leaders mondiaux de la photonique et des lasers. Outsight a déjà convaincu de nombreuses organisations et fabricants d’équipements dans l’automobile, l’aéronautique, le marché de la sécurité, incluant Faurecia et Safran.
À propos de OutsightOutsight développe des solutions matérielles et logicielles de perception 3D temps réel, à partir de technologies laser de pointe. Nous apportons aux Smart Machines et Smart Cities un niveau de compréhension inédit de leur environnement et des évènements qui s’y produisent. Nous pensons que ces nouvelles capacités contribuent à la construction d’un monde plus sûr et plus économe en ressources. Les équipes internationales de scientifiques et d’ingénieurs d’Outsight s’y consacrent avec passion depuis Paris, Helsinki et San Francisco.
Contacts presse Outsight :Jean-François Kitten, +33 (0)6 11 29 30 28 – jfk@outsight.tech
Sophie Renard, +33 (0)6 82 80 61 97 – s.renard@licencek.com
Ilinca Spita, +33 (0)6 64 75 12 98 (EN) – i.spita@licencek.com (EN)
Sasha Rolland, +33 (0)6 47 77 36 53 – s.rolland@licencek.com (EN)
[1] Light detection and ranging
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19:51
Sébastien Soriano est nommé directeur général de l’IGN
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSébastien Soriano, président de l’Arcep, a été nommé directeur général de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), lors du conseil des ministres du 16/12/2020. Sébastien Soriano prendra ses fonctions le 4/01/2021.Sébastien Soriano (c) DR
Depuis 2015 président de l’Arcep, autorité de régulation des télécoms des postes et de la distribution de la presse, Sébastien Soriano vient d’être nommé directeur général de l‘IGN. Cette nomination intervient dans un contexte de mutation profonde de l’Institut qui vient d’annoncer le 11/12 l’ouverture de ses données sous licence ouverte Etalab 2.0 et dont le COP 2020-2024, qui oriente et matérialise la trajectoire stratégique de l’IGN, vient d’être signé par ses deux tutelles du ministère de la Transition écologique et du ministère de l’Agriculture et de l’alimentation. Un contexte on ne peut plus favorable à l’arrivée de Sébastien Soriano à ce poste, auteur d’« Un Avenir pour le service public » qui vient de paraître aux éditions Odile Jacob et pour lequel l’innovation publique et la posture d’un Etat plus partenarial sont parties prenantes des enjeux environnementaux. Ainsi aura-t-il à confirmer l’IGN dans son rôle d’opérateur de l’Etat dont l’ambition affichée est de porter la nécessaire avance technologique au profit de la transformation des politiques publiques. Parmi les projets de l’IGN, citons la Géoplateforme, la nouvelle plateforme publique pour l’information géographique ; le programme national Lidar Haute Densité, lauréat du FTAP (fonds pour la transformation de l’action publique) 2020 dans le cadre d’action publique 2022, pour la prévention des risques et la gestion des ressources forestières ; la production, par la DGALN, du référentiel d’occupation et usage des sols également lauréat du FTAP 2020, pour la préservation de la biodiversité et la lutte contre l’artificialisation des sols, dont la mise en œuvre a été confiée à l’IGN ; la production d’une cartographie HD pour la circulation du véhicule autonome notamment en Ile-de-France ; la production d’un PCRS (plan corps de rue simplifié) sur les réseaux enterrés.
Ingénieur (corps des mines), Sébastien Soriano est âgé de 45 ans. Il succède à Daniel Bursaux, DG de l’IGN de novembre 2014 à juin 2020.
PARCOURS :- 2015-2020 Président de l’Arcep, autorité de régulation des télécoms et des postes
- 2014 Conseiller spécial de la Ministre de la culture et de la Secrétaire d’Etat au commerce extérieur (Quai d’Orsay) 2012-2014 Directeur de cabinet de la Ministre déléguée chargée des PME, de l’innovation et de l’économie numérique, 2009-2012 Autorité de la concurrence, rapporteur général adjoint,
- 2004-2009 Arcep, chef d’unité (mobile) puis directeur (haut débit et collectivités locales),
- 2001-2004 Conseil de la concurrence, rapporteur. FORMATION :
- 2000-2001 Licence d’administration publique à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne 1999-2001 Ecole Telecom ParisTech, Paris
- 1996-1999 Ecole Polytechnique, Paris (intégration du corps des télécoms, devenu mines)
L’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie vectorielle, de l’optique, de l’électronique, du traitement des images et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint l’Université Gustave Eiffel créée en janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts PresseSophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse –
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12:12
GEOCONCEPT présente Territory Manager Winter 2021, pour une sectorisation géographique optimisée
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes décideurs bénéficient de fonctionnalités de simulation et d’analyse enrichies, pour répartir plus efficacement leur activité, leurs équipes et leurs ressources
Paris, le 15 décembre 2020 – GEOCONCEPT, leader des technologies d’optimisation géographique pour les professionnels, lance la nouvelle version de sa solution cloud de sectorisation géographique : Territory Manager Winter 2021. Cette nouvelle version apporte des fonctionnalités d’analyse et d’optimisation enrichies, telles que la comparaison de deux simulations, et la sectorisation partielle pour affiner pas à pas une simulation. Les utilisateurs bénéficient également de nombreuses améliorations ergonomiques et de nouvelles possibilités d’export.
Territory Manager est la solution web de référence pour répartir équitablement l’activité, les équipes et les ressources. A l’aide de cet outil intuitif, les responsables commerciaux, les planificateurs et les décideurs définissent des stratégies omnicanales orientées vers la performance : objectifs commerciaux équilibrés, couverture de marché optimale et productivité améliorée des équipes terrain.
L’outil permet de construire des secteurs équilibrés en trois étapes : la visualisation de la répartition géographique existante ; l’identification des déséquilibres et dysfonctionnements ; et l’optimisation via l’équilibrage automatique des secteurs. Cette solution s’adresse aux entreprises souhaitant optimiser l’affectation de leurs ressources sur un territoire donné. La sectorisation géographique constitue également une étape préalable à l’optimisation des déplacements des forces mobiles (commerciaux, techniciens ou livreurs).
Nouveautés de la version Winter 2021 :
Simulation et analyse
Outil de simulation par excellence, Territory Manager Winter 2021 franchit un pas de plus dans l’aide à la décision en offrant à ses utilisateurs la possibilité de comparer deux simulations, particulièrement utile pour évaluer par exemple les changements apportés par une sectorisation prévisionnelle. Pour permettre aux utilisateurs de mieux évaluer l’impact des modifications apportées, les données peuvent à présent être représentées en fonction de leur écart à la moyenne, ou de l’atteinte de seuils personnalisés.
Optimisation de la sectorisation
Plusieurs modes d’optimisation sont disponibles pour réaliser une sectorisation idéale, dont une nouvelle méthode : l’optimisation sur la base d’une valeur cible. Au lieu d’optimiser la charge de travail ou le potentiel de vente au sein d’un nombre de secteurs prédéfini, ce nouveau mode permet de calculer le nombre de secteurs nécessaires pour atteindre une valeur cible, comme par exemple un potentiel moyen d’un million d’euro pour chaque secteur. Grâce à la capacité de sectorisation partielle, également nouvelle, les utilisateurs peuvent réaliser une optimisation non plus sur l’ensemble du territoire mais sur une sélection de secteurs. Cette méthode permet notamment d’affiner pas à pas une simulation. En outre, la charge de travail des équipes peut maintenant être évaluée au niveau global, et le transfert de points d’un secteur à un autre peut être effectué directement dans la carte par simple glisser-déposer.
Ergonomie et prise en main de la solution
Avec la version Winter 2021, les utilisateurs bénéficient de nombreuses évolutions ergonomiques et peuvent dorénavant :
- Identifier rapidement la qualité des adresses géocodées grâce à un code couleur sur la carte et dans le tableau
- Définir des préférences d’affichage
- Réattribuer facilement des secteurs
- Annuler ou rétablir une sectorisation automatique
- Sélectionner l’ensemble ou une partie des données en un clic
- Zoomer sur un site spécifique
- Accéder aux commandes depuis le nouveau menu
- Sauvegarder plus facilement les études en cours
- Consulter l’historique des informations de l’éditeur
Partage des résultats
Pour faciliter la diffusion des simulations, les cartes de sectorisation peuvent désormais être exportées sous forme d’images.
Un rééquilibrage facile et rapide : l’expérience de Quadient
La société Quadient aide les entreprises à gérer leurs interactions clients grâce à une communication omnicanale construite autour de quatre catégories de solutions : traitement du courrier, automatisation des processus métier, gestion de l’expérience client, consignes colis automatiques. Avec une force de vente composée d’une centaine de commerciaux en France, Quadient avait besoin d’un outil facile d’utilisation permettant de travailler rapidement le découpage des secteurs géographiques en phase avec la stratégie de l’entreprise.
Samuel Guinet, Responsable Stratégie & CRM au sein de Quadient France, témoigne : « Nous avons été séduits par le degré de réactivité et la qualité de la proposition de GEOCONCEPT. Territory Manager est une solution cloud très ergonomique, qui nous permet d’équilibrer efficacement nos secteurs pour répondre à nos besoins. Réaliser des études est facile et rapide, et nous pouvons partager les résultats avec les directeurs régionaux et les agences de manière très fluide, pour une mise en œuvre concrète de nos plans d’actions ».
Pour en savoir plus sur Territory Manager : [https:]]
A propos du Groupe GEOCONCEPT
Le Groupe GEOCONCEPT, éditeur français de solutions logicielles d’optimisation géographique pour les professionnels, se positionne aujourd’hui parmi les leaders mondiaux de la planification des interventions terrain et de l’optimisation de tournées. Reconnu comme acteur majeur du Field Service Management et du Vehicle Routing & Scheduling par le cabinet Gartner, GEOCONCEPT optimise quotidiennement les déplacements de 155 000 ressources dans le monde.
Livraison du dernier kilomètre, gestion des interventions terrain, performance commerciale, géomarketing, développement de réseaux, SIG, géo-décisionnel… : les domaines d’application de la géoptimisation sont nombreux et les bénéfices engendrés multiples (15 à 30 % de gain de productivité, réduction des coûts opérationnels, satisfaction client, conditions de travail améliorées).
Grâce à ses nombreuses possibilités de déploiement (SaaS, on-premise, mobile, server, API…), l’ouverture de ses technologies, la couverture géographique de ses solutions et son support 24/7, GEOCONCEPT gère des projets d’envergure internationale.
Le Groupe GEOCONCEPT est implanté à Paris, Grenoble et Caen, et dispose de bureaux aux Etats-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse. Des partenaires stratégiques revendent également les solutions du Groupe dans de nombreux pays dont la Grande-Bretagne, le Mexique, le Brésil ou encore le Japon.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller – katherine.haller@axicom.com
Vincent Rosso – vincent.rosso@axicom.com
Contact marketing : GEOCONCEPT
Laura L’hoiry – laura.lhoiry@geoconcept.com
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18:08
Tableau 2020.4 : vous pouvez maintenant préparer vos données dans votre navigateur !
sur Décryptagéo, l'information géographiquePrincipales nouveautés de cette version : Tableau Prep Builder disponible dans votre navigateur pour des déploiements simplifiés en entreprise et dans le cloud, Resource Monitoring Tool maintenant disponible sur Linux et optimisation de l’analyse spatiale.
PARIS – 15 décembre 2020 : Tableau Software, leader de la solution data visualisation, annonce aujourd’hui le lancement de Tableau 2020.4. Cette nouvelle version simplifie la préparation et l’analyse des données en entreprise en apportant toutes les fonctionnalités de Tableau Prep dans le navigateur, via Tableau Server et Tableau Online. Cela permet de réduire les coûts de déploiement globaux, tout en simplifiant le processus de préparation des données. En effet, les analystes peuvent maintenant créer et modifier leurs flux directement dans le navigateur. Tableau 2020.4 apporte d’autres améliorations, comme la possibilité d’ajouter un nombre illimité de couches spatiales aux cartes, la surveillance des ressources (RMT, Resource Monitoring Tool) dans Linux, ou encore de nouveaux connecteurs natifs.« Tableau Prep démocratise la préparation des données en la rendant plus simple, plus visuelle et plus directe », explique François Ajenstat, directeur produit chez Tableau. « Désormais, chacun peut accéder aux flux de données, les créer et les modifier dans un navigateur Web, où qu’il se trouve. Concrètement, cela met la préparation de données à la portée de tous les collaborateurs.»
La préparation de données devient possible partout
Tableau Prep Builder est conçu pour aider les clients à combiner, remanier et nettoyer facilement leurs données avant de les analyser en utilisant de simples glisser-déposer, une convivialité que connaissent bien tous les utilisateurs Tableau. Dans la version 2020.4, tout cela peut être effectué intégralement dans un navigateur, ce qui simplifie les opérations en entreprise et permet aux administrateurs IT de centraliser la gestion du déploiement et le contrôle des versions, sans avoir à mettre à jour chaque machine. Désormais, les analystes peuvent se connecter à une source de données, nettoyer et préparer leurs données, créer des tableaux de bord pour réaliser des analyses et même partager leurs résultats, sans passer par une application sur leur ordinateur.
« Avec Tableau Prep dans le navigateur, l’étape de la préparation devient accessible à ceux qui connaissent le mieux les données », se réjouit Julien Beylat de la société The Information Lab. « Les équipes sont encore plus à même de préparer elles-mêmes leurs données, aussi souvent que nécessaire, afin d’en exploiter tout le potentiel. »
Surveillance des ressources sur Linux
Tableau Server sur Linux est une solution très intéressante pour les clients qui déploient Linux dans leurs environnements IT et qui ne souhaitent pas avoir à gérer une instance Windows pour leur déploiement Tableau. Resource Monitoring Tool (RMT) est maintenant disponible sur Linux. Avec Tableau 2020.4, les clients qui utilisent Server Management Add-On peuvent surveiller et dépanner proactivement leurs déploiements, avec une visibilité optimale sur les performances matérielles et logicielles. Auparavant disponible uniquement sur Windows, l’outil RMT sur Linux permet d’identifier les problèmes à l’origine d’un chargement plus long, les erreurs dans les extraits, ainsi que les autres problèmes critiques susceptibles de dégrader l’expérience utilisateur.
Autres nouveautés de Tableau 2020.4 :
- Fonctionnalités spatiales améliorées. Les clients analysant des données géospatiales peuvent désormais ajouter un nombre illimité de couches de repères d’une même source de données sur leurs cartes, et ainsi combiner plusieurs couches spatiales à des informations contextuelles pour faciliter la compréhension et les analyses. Par ailleurs, les utilisateurs Tableau peuvent désormais se connecter directement à des tables de données spatiales Amazon Redshift, préparer les données dans Tableau Prep, puis créer des cartes hors ligne avec Tableau Server.
- Améliorations apportées à la modélisation prédictive, comme l’ajout de la régression linéaire régularisée et du processus gaussien à la liste des modèles prédictifs. Il est facile de changer le modèle à utiliser dans le champ de calcul et de voir instantanément les effets sur les prédictions.
- Nouveaux connecteurs et améliorations des connecteurs existants, avec notamment une modification de l’API de connecteur Salesforce, qui permet une connexion directe aux derniers objets Salesforce, comme Work.com. Parmi les ajouts, citons notamment Datorama, ainsi que le tout nouveau connecteur de données Web COVID-19 qui permet d’accéder facilement aux données les plus récentes sur les tests COVID.
Pour en savoir plus sur cette nouvelle version ou pour l’essayer gratuitement, rendez-vous sur tableau.com/fr-fr/new-features.
À propos de Tableau
Tableau aide les utilisateurs à voir et comprendre leurs données. Sa plate-forme analytique en libre-service leur permet d’analyser leurs données, quel que soit leur niveau de compétence. De l’utilisateur isolé aux plus grands groupes, en passant par les organismes à but non lucratif et les administrations, des dizaines de milliers de clients partout dans le monde font confiance à Tableau pour faire ressortir des insights plus rapidement et prendre de meilleures décisions en s’appuyant sur les données. Découvrez comment Tableau peut vous aider en téléchargeant la version d’évaluation gratuite sur www.tableau.com/fr-fr/trial.
###Contacts Presse : L’AgenceRP
Lisa Hagen
06 69 30 95 58
lisa@lagencerp.comRaya Rizk
07 85 15 22 40
raya@lagencerp.comCet article Tableau 2020.4 : vous pouvez maintenant préparer vos données dans votre navigateur ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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17:45
MAPublisher 10.7 est désormais disponible !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlain Olivier Géomatique et Avenza Systems Inc. sont heureux d’annoncer la sortie de MAPublisher® 10.7 pour Adobe Illustrator®.Cette version de MAPublisher assure une compatibilité continue avec Adobe Illustrator 2021 et macOS Big Sur. Les améliorations apportées aux types de licence incluent une nouvelle licence flottante Cloud offrant une configuration plus facile à la fois pour les administrateurs et les utilisateurs finaux.
Les améliorations et nouvelles fonctionnalités de MAPublisher 10.7 sont les suivantes :– Compatibilité avec Adobe Illustrator 2021 sur Mac et Windows
– Compatibilité avec macOS 11 Big Sur
– Accès aux licences flottantes depuis le Cloud
– Améliorations de l’interface utilisateur et de l’ergonomie
Pour télécharger cette mise à jour, cliquez ici : [www.mapublisher.fr]
MAPublisher est un puissant logiciel de production cartographique pour la création de cartes de haute qualité à partir de données SIG. MAPublisher est un ensemble de filtres pour Adobe Illustrator qui renforcent ce logiciel d’édition graphique par de très nombreuses fonctionnalités cartographiques incluant notamment l’import/export des principaux formats SIG avec toute l’information attributaire alphanumérique, intacte et utilisable pour de nombreuses opérations (requêtes, créations de cartes thématiques, indexation, jointures, étiquetage sans collision avec MAPublisher Label Pro, etc.). Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.mapublisher.fr] .
Avenza Systems Inc. est une société qui fournit aux cartographes de puissants outils logiciels pour réaliser les meilleures cartes possibles. Outre les logiciels sous Windows, OS X et iOS, la société propose des jeux de données, des sessions de formations et des conseils. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.avenza.com] .
Alain Olivier Géomatique est partenaire de Avenza Systems Inc. en France et distributeur actif d’outils innovateurs pour la géomatique et l’édition cartographique. La combinaison d’une vaste connaissance de la géomatique et d’un haut niveau de services a fait ses preuves auprès de nombreux clients francophones à travers le monde, en particulier dans le support technique et la formation. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.geomatique.fr] .
Alain Olivier Géomatique
04 79 64 34 35
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19:01
Le Groupe Delta Drone fortement engagé dans la formation des télépilotes et opérateurs de drones civils à usage professionnel
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDelta Drone, acteur majeur du secteur des drones civils à usage professionnel, développe son activité « formation » à travers de sa filiale Techni Drone, leader français de la formation des télépilotes avec plus de 2 000 personnes formées depuis 2013. Localisée à Dardilly près de Lyon Techni Drone bénéficie de l’expertise d’anciens instructeurs pilotes professionnels pour prodiguer des formations aux élèves sur des sujets toujours plus spécialisés.Dotée d’un espace flambant neuf composé d’une salle d’instruction de plus de 100m² et de zones extérieures et intérieures pour les travaux pratiques, Techni Drone propose des formations de pointe pour ses clients équipés des solutions professionnelles Delta Drone, mais aussi des sessions « intra-entreprise » pour le compte de grands groupes désireux de former son personnel à l’utilisation de drones de tous types.
Afin d’être au plus près des clients et d’offrir le meilleur service, des centres de formations temporaires sont mis en place à Paris, Nantes, Arcachon, Toulouse, Avignon, Cannes, mais aussi en Guadeloupe et en Suisse.
Depuis le début de la pandémie actuelle, le groupe s’est également adapté et a élargi son offre en proposant des formations en visioconférence.
Avec plus de 213 stagiaires formés et plus de 15 000 heures de formations dispensées en 2019, Techni Drone met un accent particulier et permanent sur la définition précise des formations pratiques et théoriques adaptées au mieux de la demande du client, permettant le développement des compétences et des qualifications des télépilotes. La qualité de l’enseignement permet de maintenir, à chaque instant, un niveau d’exigence élevé. Une fois par an, il est également proposé aux stagiaires un contrôle du maintien des compétences ainsi qu’une remise à niveau, suivant une méthodologie conforme aux usages du secteur aéronautique.
L’activité formation constitue un axe stratégique important pour le groupe au sein de son pôle « services associés ». Il devrait connaître un nouvel élan avec l’ouverture prochaine d’un centre de formation en Afrique du Sud, en étroite collaboration avec l’Université de Pretoria.
En France, Techni Drone prévoit d’accroitre son offre de formation à distance, qui comprendra également des sessions d’assistance de 30 minutes en ligne avec un formateur en fonction des besoins.
En totale cohérence avec la stratégie de « dronifier » des métiers et des secteurs d’activité, Delta Drone et sa filiale Techni Drone ont pour ambition d’intégrer la formation « drone » directement au sein de l’enseignement académique, dans les écoles du bâtiment et des travaux publics par exemple, afin de former les étudiants qui seront les professionnels des drones de demain.
A propos de Delta Drone : Le Groupe Delta Drone est un acteur international reconnu du secteur des drones civils à usage professionnel. Il développe une gamme de solutions professionnelles basées sur la technologie des drones ainsi que tous les services associés qui forment une chaine de valeur complète.
L’action Delta Drone est cotée sur le marché Euronext Growth Paris – Code ISIN : FR0011522168
Sont également cotés sur Euronext Growth des BSA Y – Code ISIN : FR 0013400991
Louise Caetano+33 1 55 02 15 13
Sarah Ousahla
+33 1 55 02 15 31
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18:53
CARL Berger-Levrault lance CARL Source 6 : Une nouvelle version du logiciel GTP et GMAO tournée vers le futur
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCARL Berger-Levrault, expert en solutions de gestion du patrimoine technique, présente la nouvelle version de son logiciel CARL Source. Doté d’évolutions ergonomiques, d’améliorations métiers et d’innovations autour de l’Internet des objets, du BIM ou encore de fonctionnalités étendues dans la mobilité, CARL Source 6 est une version majeure de l’offre de l’éditeur.« CARL Source 6 est le fruit de développements animés en collaboration avec des clients référents, impliqués au quotidien dans la gestion de leurs parcs techniques. Les évolutions fonctionnelles ou ergonomiques ont ainsi été éprouvées in-situ, dans le cadre des chantiers de développement menés selon des processus agiles », indique Tugdual le Bouar, Directeur Général de CARL Berger-Levrault.
« Cette nouvelle version concrétise la transformation de notre offre GMAO / GTP, et intègre une plateforme unifiée et digitale de gestion des équipements. Cette plateforme combine des processus de gestion optimisés du cycle de vie des actifs, la dimension graphique et cartographique (plan, SIG, BIM), le big data et l’intelligence artificielle.
Au travers de ses solutions innovantes, CARL Source 6 accélère, pour nos utilisateurs, l’entrée dans l’univers de l’industrie 4.0, du smart building ou de la smart city. Il répond ainsi aux enjeux de performance économique et technique du pilotage de la maintenance », déclare Tugdual Le Bouar.
Une nouvelle ergonomie et plus de fonctions métiers :Le premier contact avec le progiciel est essentiel pour l’adhésion des acteurs de l’application, ainsi cette version fait peau neuve dès sa page d’accueil. CARL Source 6 étend ses possibilités de contextualisation (couleurs, logos…) selon la charte de l’entreprise qui l’utilise. Le portail d’accueil a été enrichi (nouveaux widgets), et sa manipulation est repensée. Le portail informe, alerte et oriente l’utilisateur dans les actions qu’il doit mener au quotidien.
Un axe clé visait à optimiser la rapidité d’accès aux contenus. Ainsi, une fonction de recherche full texte paramétrable permet de traiter et d’extraire l’information utile à partir d’un grand volume de données (base NoSQL). De plus, des « timeline » (ligne de temps) dédiées aux informations importantes ont été mises en place pour faciliter la compréhension de l’avancement d’un processus ou le cycle de vie d’un équipement.
Les possibilités liées à la publication de contenus à destination d’acteurs externes ont été étendues. Par exemple, l’envoi programmé du rapport d’activité toutes les semaines ou la réception du compte-rendu d’intervention…
Le pilotage de la maintenance simplifiéLa planification des ressources : un casse-tête pour le manager !
CARL Source 6 intègre un nouveau planning graphique des ressources, esthétique, pensé pour la maintenance. L’affectation d’interventions via un panier, le déplacement et la permutation des ressources ou des moyens matériels par drag & drop, ainsi que les possibilités de personnalisation au contexte métier constituent ses principaux atouts.L’interopérabilité avec les outils de gestion de Ressources Humaines a été enrichie. En effet, une partie des informations proviennent de systèmes tiers (ex : congés, RTT…) et leur intégration est maintenant simplifiée.
Une offre en mobilité enrichie
Pionnier en GMAO mobile, CARL Berger-Levrault s’est distingué par la fourniture d’applications mobiles sur mesure répondant aux besoins des utilisateurs. Fort des succès remportés par CARL Touch et CARL Flash, l’éditeur complète sa gamme d’applications mobiles avec CARL Xpress, et renforce les fonctionnalités de sa gamme mobile.CARL Xpress, une nouvelle application pour les techniciens et prestataires : intuitive et simple, CARL Xpress permet, en quelques clics, de réaliser des comptes-rendus express. Son ergonomie épurée exploite les dispositifs favorisant les échanges (Chat) et l’acquisition d’informations (dictée vocale, multimédia, NFC, QrCode…). L’application est destinée à tous les agents, internes ou externes à l’entreprise (équipes de production, organismes de contrôle, techniciens SAV…) amenés à réaliser des actes de maintenance ou des diagnostics élémentaires.
CARL Touch, l’application dédiée aux agents itinérants, aux gestionnaires de stocks, accroit ses capacités fonctionnelles : dotée d’un moteur de synchronisation optimisé (base NoSQL), CARL Touch 6 offre une solution adaptée aux organisations d’envergure (plusieurs milliers d’accès concurrents) en garantissant le transfert de données et de documents dont le volume est souvent corrélé avec l’étendue du patrimoine maintenu. CARL Touch s’enrichit de fonctionnalités pour les acteurs maintenance : le suivi des activités permet de distinguer les temps en cours ou hors interventions, et toutes occupations hors maintenance. Des assistants intelligents simplifient l’enregistrement des actions de pose, dépose ou d’échanges standard d’équipements lors d’une intervention.
Le gestionnaire de stock peut également réaliser les actions de réception d’achats ou de transfert. Le contrôle de réception, l’enregistrement des litiges ou la prise de photos améliorent la couverture de cette activité.
Enfin la technologie NFC est intégrée à l’ensemble des processus de gestion des équipements ou des articles.CARL Flash, l’application de demande de services tout public : elle permet aux utilisateurs d’un bien, d’un équipement ou d’un espace public de solliciter, pour des besoins variés, les services techniques chargés d’en assurer la maintenance.
Le réglementaire sans peine :CARL Source 6 et ses options mobiles apportent à nos clients une réelle facilité et efficacité pour assurer la conformité avec la réglementation RGPD. Cette démarche autour de la conformité réglementaire est en parfaite cohérence avec les fondamentaux du groupe Berger-Levrault.
Des innovations tournées vers l’avenirUn Connecteur IFC BIM assure l’intégration des informations issues des maquettes numériques 3D relatives aux bâtiments et infrastructures. Ainsi, la continuité du BIM construction vers le BIM exploitation maintenance est assurée. Les données de la maquette (locaux, équipements, réseaux) sont récupérées de manière itérative dès la phase de conception et sont intégrées dans CARL Source 6. Le gain de temps est indéniable, le passage en cycle de maintenance est immédiat, pour les travaux de construction ou de rénovation.
Une Plateforme IoT : CARL Berger-Levrault lance sa propre plateforme IoT dédiée à la maintenance. Capable de traiter toutes les composantes de la chaîne IoT, du capteur à la valorisation des données dans la GMAO, elle permet aux services techniques de disposer des données prévisionnelles nécessaires au déclenchement optimal de la maintenance.
À propos de CARL Berger-LevraultCARL Software, expert en solutions de gestion du patrimoine technique et de la maintenance depuis plus de 30 ans a rejoint le groupe Berger-Levrault en mai 2018. Il fait évoluer son nom de marque : CARL Berger-Levrault.
Le groupe Berger-Levrault, éditeur de logiciels international, accompagne les professionnels privés et publics à répondre aux exigences croissantes de performance et de transformation digitale de leurs métiers.
Avec plus de 50 000 clients et 1 800 collaborateurs en France, en Espagne, au Canada et au Maroc, le Groupe adresse, les collectivités et administrations locales, les entreprises privées, les industries, les établissements médico-sociaux, le secteur hospitalier et le monde de l’éducation.?L’ambition de Berger-Levrault est de faire bénéficier ses utilisateurs du formidable potentiel du numérique au travers de plateformes de services à l’heure de l’ouverture massive des données et des interfaces intelligentes.
En 2019, le groupe Berger-Levrault (Siège social à Boulogne Billancourt/Paris) a réalisé un CA de 168 M€ dont 20% réalisés à l’international.Contact Presse : Agence Abrasive?
Aimée Le Goff : 06 24 00 00 18
eMail : aimee@abrasive.frCet article CARL Berger-Levrault lance CARL Source 6 : Une nouvelle version du logiciel GTP et GMAO tournée vers le futur est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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14:38
Bilan 2020 – Claire Milverton, CEO, 1Spatial
sur Décryptagéo, l'information géographiqueInnovation pendant une année où tout a changéClaire Milverton, CEO de 1Spatial dresse le bilan de l’année 2020
14 décembre 2020
Bilan 2020 – Claire Milverton, CEO, 1Spatial
Lorsque je regarde l’année écoulée, je n’arrive pas à croire à quel point et à quelle vitesse nous nous sommes tous adaptés aux nouvelles méthodes de travail en 2020.
L’histoire nous apprend que les entreprises qui continuent d’innover pendant une crise s’en sortent mieux que celles qui ne le font pas. L’innovation étant au cœur de 1Spatial. En 2020, nous avons été en mesure de relever de nouveaux défis et de saisir de nouvelles opportunités, tout en assurant nos prestations de haute qualité pour nos clients.
En effet, quelle année intense ! Avec la signature de nombreux nouveaux contrats et l’extension de projets clés avec nos clients à travers le monde, en passant par le lancement de 1Data Gateway – l’offre de traitement de données de 1Spatial basée sur le cloud – et la poursuite de nos plans de recrutement. Nous avons également lancé un nouveau site web Groupe et un programme d’événements virtuels. Toute notre communauté a fait preuve d’une réelle résilience en ces temps compliqués, tout en permettant à nos équipes de poursuivre leurs activités en télétravail.
Au Nord, au Sud, à l’Est et à l’Ouest – 1Spatial en 2020En mars, nous avons eu le plaisir d’annoncer le lancement de 1Data Gateway : un portail web libre-service intuitif pour la validation, le traitement et l’amélioration des données. Il fait partie de notre gamme de produits de gestion des données de localisation de référence (LMDM) qui assurent la qualité et la cohérence des données spatiales dans toute l’organisation.
1Integrate a également connu un enrichissement significatif de ses fonctionnalités cette année. Suivez son évolution car, en 2021, nous sortirons un équivalent 3D sous le nom de 1Integrate3D, qui fournira les mêmes fonctions de contrôle, de qualité et d’enrichissement des données pour les données vectorielles 3D comme pour la modélisation des villes ou les projets BIM.
Même avant la Covid-19, l’importance des données de localisation était grandissante, et aujourd’hui déjà 80% des données gérées ont une composante de localisation.
Pour les organismes gouvernementaux et le secteur public, elles sont un élément unificateur entre plusieurs domaines, comme le calcul des impôts fonciers, l’agriculture, l’urbanisme et la construction. Par conséquent, au cours des 12 derniers mois, notre expertise principale – la gestion des données – a pris de l’importance dans les programmes gouvernementaux, tant au Royaume-Uni, en Europe qu’à travers le monde.
Principaux contratsLes données de localisation jouent également un rôle déterminant dans le secteur privé. Par exemple, nous sommes un fournisseur majeur du Métro de Londres avec lequel nous collaborons à la constitution d’un référentiel patrimonial des actifs visant à prévenir les pannes accidentelles, un projet précurseur avant la préparation d’un Registre National des Actifs du Métro (NUAR). Aussi, avec UK Power Networks nous préparons une Carte Nationale de l’Energie.
Au Royaume-Uni, notre partenariat avec Black and Veatch sur le projet Datastore Rules and Validation (DRV) utilise les données GeoCOBie dans 1Integrate pour aider à construire des répliques numériques d’infrastructures complexes. Avec le développement rapide des jumeaux numériques, notre marché avec l’Agence de l’Environnement dans un autre projet DRV nous met en bonne position pour contribuer à un monde virtuel où les actifs numériques sont aussi précieux que les actifs physiques.
Nos clients font preuve d’une grande ingéniosité en adoptant différentes méthodes de travail et en refusant de laisser la pandémie mondiale arrêter les activités. Par exemple, Northumbrian Water a continué à innover et à faire progresser son projet révolutionnaire sur la sécurité des réseaux, en mesurant et en modélisant la profondeur de son réseau souterrain de conduites d’eau. Nous avons été ravis de travailler en partenariat avec eux dans le cadre d’ateliers virtuels et de discussions de groupe via des applications mobiles pour éviter que le projet ne soit retardé.
Aux États-Unis, notre contrat de 5 ans pour la mise en place d’une infrastructure de données spatiales pour un montant de 2,6 millions de dollars US avec l’État du Michigan permettra à 1Data Gateway d’être utilisé par des centaines d’organisations. Nous avons également reçu les félicitations de CalTrans pour le succès de notre projet de validation de la gestion des actifs en partenariat avec Gartner. Cette année, nous avons également élargi notre relation et notre contrat avec Google.
En Europe, faisant suite à l’acquisition de Geomap-Imagis en 2019, nous avons maintenant achevé la fusion juridique de nos sociétés françaises. En conséquence, 1Spatial France emploie 90 personnes dans cinq bureaux à travers le pays qui travaillent comme une seule équipe pour offrir à nos clients les meilleurs services autour des données et des solutions métier géospatiales. Notre société belge est également intégrée dans la nouvelle activité, ainsi que notre filiale en Tunisie, qui se consacre à la numérisation et au traitement de données géospatiales.
En Tunisie, nous avons déménagé nos locaux afin d’offrir un lieu de travail plus agréable et proche du centre à nos 42 collaborateurs, spécialisés dans le traitement des données.
Nous poursuivons notre étroite collaboration avec nos nombreux clients existants et sommes heureux d’accueillir tous les nouveaux clients signés cette année en France et en Belgique.
Nous continuons à intégrer les dernières innovations dans nos chaines de traitements de données et nos solutions logicielles telles qu’arcOpole Pro, 1Water et RealWorld4D pour apporter les meilleures capacités métier aux collectivités territoriales, aux secteurs des transports, des réseaux d’utilité publique et du bâtiment/facilities management.
Notre partenariat avec Esri dans toutes nos régions continue d’apporter des opportunités communes passionnantes. Entre autres actions, nous avons lancé cette année plusieurs projets de migration avec des clients communs en France et en Belgique, et à la conférence Esri France nous avons présenté une dizaine d’applications qui utilisent la plateforme ArcGIS.
Dans la région Asie-pacifique, les ventes continuent de croître et, en raison de notre expansion, nous avons déménagé nos bureaux de Sydney dans des locaux plus modernes, semblables à ceux de Melbourne. En Australie, nos consultants couvrent un large éventail de secteurs et réalisent des projets passionnants et stimulants. Nous travaillons notamment à la transition vers GDA2020 (le nouveau système de référence géodésique australien), à la fourniture de solutions innovantes pour des clients tels que Yarra Valley Water pour le Development Industry Translator (DIT), qui valide automatiquement les données fournies par les promoteurs immobiliers, et à la modernisation et au remplacement d’anciens systèmes par des plates-formes basées sur le serveur FME, qui sous-tendent des sites web très fréquentés de nombreuses organisations.
Nous avons été les premiers à vendre des abonnements FME pour les collectivités locales, les services publics et les entreprises sur le marché australien, ainsi que la nouvelle offre Dynamic Engines de Safe Software. L’éditeur de FME a attribué à 1Spatial Australie le titre de revendeur ayant directement contribué à la plus forte augmentation annuelle des ventes de FME dans la région Asie-Pacifique.
Connecter les gens – où qu’ils soientAlors que nous avons tous souffert du manque de réseautage en face à face, nos expériences virtuelles se sont avérées être très positives et ont permis de connecter des personnes du monde entier grâce à un programme complet de webinaires. Le mois dernier, notre conférence Smarter Data Smarter World a réuni plus de 600 participants à travers la planète désireux d’en savoir plus sur les avantages de la gestion des données de localisation de référence, et en mai, notre tournée mondiale FME a attiré un public similaire de plus de 800 délégués du monde entier.
Pour aider les clients, les partenaires et les personnes du secteur à surmonter leurs difficultés en matière de données, nous avons transformé notre site web en un outil interactif doté d’un contenu sur mesure tel que des webinaires à la demande, des vidéos, des liens d’assistance produit et un « appel à l’innovation » permettant aux utilisateurs de nous soumettre directement leurs idées.
L’équipe a continué à travailler avec les clients, les partenaires et les confrères du secteur pour fournir des solutions qui contribuent à libérer la valeur des données de localisation. Je tiens à remercier chacun d’entre eux pour leur engagement et leur professionnalisme.
La Covid-19 nous a montré à quel point il est difficile de prédire l’avenir, et les succès des 12 derniers mois ont été obtenus sur un fond d’incertitude. Nous avons tous beaucoup appris et nous utiliserons ces connaissances pour nous adapter aux défis futurs.
Nous nous réjouissons de travailler sur de nombreux autres projets passionnants au cours de la nouvelle année.
A 2021 et à tout ce que cette nouvelle année apportera !
Contact :
Catherine Gauthier
Responsable Marketing et CommunicationF +33 (0)4 79 25 38 71
M +33 (0)6 25 93 72 59
catherine.gauthier@1spatial.com
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16:21
Cartographie de l’emploi dans la fibre en France
sur Décryptagéo, l'information géographiqueInfraNum, la Banque des territoires, l’Avicca et Régions de France lancent la 1ère cartographie de l’emploi dans la fibre en France. Un outil à enrichir avec les régions. Décembre 2020Paris, le 10 décembre 2020
Alors que les industriels de la fibre se démènent pour tenir les objectifs du plan France THD, ils sont à la peine pour trouver des candidats partout en France. C’est pourquoi la fédération InfraNum, soutenue par la Banque des Territoires et en partenariat avec l’Avicca et Régions de France, présentent un nouvel outil pour sensibiliser les acteurs et prescripteurs de l’emploi dans chaque territoire. Pour cette première cartographie interactive, qui se veut le meilleur reflet de l’emploi dans la fibre en France, les partenaires lancent un appel aux Régions et aux territoires.
Dans un contexte d’aggravation du chômage en France, les partenaires de ce nouvel observatoire n’acceptent pas que la promesse de recruter 7 000 à 8 000 nouveaux entrants par an au cours des 2 prochaines années, dans une filière reconnue comme essentielle, ne se réalise pas.
La méconnaissance de ces métiers, non seulement par le grand public, mais aussi par les acteurs et prescripteurs de l’emploi dans les territoires, reste encore bien trop répandue.Aussi, si InfraNum travaille avec le gouvernement pour mettre en place une campagne nationale d’information du grand public, elle a décidé en parallèle de s’adresser directement aux acteurs de l’emploi.
La fédération a organisé avec succès en Nouvelle-Aquitaine puis, début novembre, en Bourgogne Franche-Comté un événement à destination de ces acteurs, avec le soutien de l’association Régions de France.
Cette fois-ci, Régions de France s’associe à l’ensemble des partenaires de l’observatoire (InfraNum, Avicca et Banque des Territoires) pour lancer la première cartographie de l’emploi et des déploiements de la fibre en France.Basée sur les chiffres recueillis dans le cadre de l’Observatoire national du THD sorti en juin 2020 et synchronisé avec les chiffres du bilan de l’EDEC fibre optique publié en septembre, cette cartographie interactive permet de connaître par région et même par département, le potentiel d’emploi, d’heures d’insertion et de formation, pour chaque zone de déploiement (ZDT, AMII et RIP) en 2019, 2022 et 2025.
Les partenaires souhaitent associer l’ensemble des Régions et acteurs de l’emploi à ce nouvel outil mis à leur disposition sur :
Objectif : actualiser les projections (2022 et 2025) au plus près de la réalité terrain (puisqu’elles sont pour l’instant issues de données modélisées) pour être un outil de référence annualisé pour les prescripteurs de l’emploi sur chaque territoire.
Pour rappel, le site objectif fibre peut venir en complément pour les professionnels, qui y trouveront toute l’information utile sur les profils, description de postes et événements emploi par territoire.
Exemple de la cartographie avec un zoom sur la Région Grand-Est
- Contact presse lnfraNum
Sylvie LE ROUX : 06 28 69 05 24 / sylvie.leroux@pressentiel.fr
- Contact Avicca
Ariel TURPIN – Délégué général : 01 42 81 59 99
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15:38
À compter du 1er janvier 2021, toutes les données publiques (vecteur et ortho-images) de l’IGN seront libres et accessibles gratuitement
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlors que l’ouverture de l’ensemble des données publiques demandée par le Gouvernement était prévue en 2022, l’IGN anticipe et annonce l’ouverture de ses données publiques à compter du 1er janvier 2021. Cet accès gratuit et libre pour tous, en téléchargement ou par flux, contribue au plan national de relance de l’économie.L’ouverture des données IGN sous licence ouverte Etalab 2.0, signifie un accès et un usage gratuit pour tous. Pas de droits de reproduction, ni de diffusion à régler. Seules les données incluant des droits de tiers ou protégées par le droit d’auteur (cartes et SCANs) ne sont pas concernées par cette ouverture. Parmi les données importantes qui seront désormais ouvertes, citons la BD TOPO®, la BD ORTHO®, la BD forêt® et le RGE® Alti.
« Avec la logique d’ouverture des données publiques, l’objectif est d’offrir à tous la possibilité de valoriser les données sans contrainte limitante, de faciliter leur croisement avec d’autres données et de faire émerger de nouveaux services rendus nécessaires par la transformation numérique de la société et de l’Etat. Nous faisons le pari que l’ouverture permettra de construire de nouveaux partenariats et de nouvelles collaborations solides, renforçant ainsi l’adéquation entre les données publiques produites et les attentes exprimées par ceux qui les utiliseront. » déclare Sylvain Latarget, Directeur général par intérim de l’IGN.
Dans la dynamique de la stratégie d’État-plateforme modernisant l’action publique et de la révolution des usages numériques, l’IGN a, ces dernières années, fait évoluer sa mission historique de production-diffusion de données, son organisation, son modèle économique et ses méthodes de travail pour satisfaire un impératif : apporter un appui direct aux politiques publiques.
« Pour tous ceux qui attendaient cette ouverture avec impatience, la mise à disposition de ces données publiques, qui représentent la bagatelle de quelques centaines de téraoctets, se fera progressivement jusqu’à l’ouverture de notre nouvel outil de diffusion massif des données prévue à la fin du 1er trimestre 2021.» complète Sylvain Latarget.
Pour toute question utilisateur : [https:]]
A propos de l’IGNL’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique pour la ville et les territoires durables), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie, de l’opto-électronique, de la photogrammétrie et de la télédétection, du traitement des images, de l’intelligence artificielle, et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint, comme école membre, l’Université Gustave Eiffel créée au 1er janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de la géomatique et de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts Presse
Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse
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16:24
Airbus qualifie un réflecteur dépliable de cinq mètres pour satellites radar, une première en Europe
sur Décryptagéo, l'information géographique
Coûts réduits pour missions ou constellations de petits satellites radarFriedrichshafen, le 10 décembre 2020 – Airbus a complété la qualification d’un réflecteur d’antenne radar dépliable de cinq mètres, le premier en Europe. Ce réflecteur dépliable de 70 kilogrammes permettra d’obtenir d’un instrument radar une meilleure résolution pour l’observation de la Terre. Avec sa conception exceptionnellement légère, sa rigidité et sa grande robustesse, la technologie du réflecteur semi-rigide offre des avantages significatifs par rapport aux réflecteurs à mailles classiques.
Avec son grand diamètre, le réflecteur ne tiendrait dans aucune coiffe de fusée; il doit donc être replié pour le lancement. Une fois la coiffe larguée, le réflecteur se dépliera comme une fleur – de 1,6 à 5 mètres. Le concept du réflecteur parabolique dépliable permet à Airbus de pénétrer le marché des missions ou constellations radar à coûts réduits.
A l’issue d’une campagne de tests de déploiement et d’environnement intensive, le modèle de qualification a été livré au client pour des tests supplémentaires au niveau du système satellitaire complet. Le modèle de vol sera livré en 2021 et son lancement est actuellement prévu pour le client export, en 2022.
About Airbus
Airbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
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16:11
Sogelink acquiert GOTMI.IO et renforce son offre de coordination des travaux grâce à l’Intelligence Artificielle (IA)
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 10 décembre 2020 – Après le lancement il y a quelques semaines de PraDICT.io, le portail unique en France pour réaliser gratuitement les Déclarations Prévisionnelles de Chantier (DPC), Sogelink accélère la déclinaison de sa feuille de route avec l’acquisition de la startup GOTMI.IO, proposant une plateforme cartographique innovante basée sur l’intelligence artificielle.Sogelink s’engage ainsi sur la voie d’une coordination des chantiers dans l’espace public plus collaborative et plus efficace avec pour ambition de devenir la référence de la data liée aux travaux.
Déjà connue pour ses solutions de gestion des chantiers et du domaine public (DICT.fr, Littéralis, DA-DPA, PraDICT.io…) Sogelink ajoute une nouvelle corde à son arc avec l’acquisition de GOTMI.IO. Cette nouvelle étape dans la feuille de route de l’éditeur de logiciels, classé 59ème dans le dernier Syntec Top 2501 et 46ème au Truffle 1002, vient conforter sa stratégie dans le domaine de la coordination des travaux.
L’objectif est double : d’une part systématiser les Déclarations Prévisionnelles de Chantiers (DPC)3 en misant sur des standards ouverts, l’Open Data et la gratuité du portail PraDICT.io (lancé début novembre), d’autre part révolutionner la coordination des travaux par l’utilisation de l’intelligence décisionnelle et multicritère. « Avec GOTMI.IO, c’est l’IA qui va directement identifier les recouvrements spatiaux et temporels, en se concentrant sur les chantiers à fort potentiel de mutualisation. Cette mutualisation apportera un véritable gain de temps, des économies de coût de production pour les différentes parties prenantes, collectivités comme prestataires, et une réduction des nuisances pour les usagers » Jean-Loup Delaveau, Manager Business Development chez Sogelink.
Une nouvelle « pépite » pour accélérer la stratégie globale d’innovation et de développement de SogelinkVéritable « pépite lyonnaise », lauréate du concours DataCity en 2019, sur la thématique « Réduire les temps de travaux en ville de Paris » GOTMI.IO est une startup experte dans le domaine de la cartographie collaborative. Créée en 2018, l’entreprise s’adresse essentiellement aux collectivités et aux usagers de la donnée travaux dans l’espace public comme les concessionnaires, les aménageurs, les bureaux d’études et les promoteurs. Son objectif : permettre à tout maître d’ouvrage de déposer son projet de travaux dans un format ouvert, pour ensuite valoriser cette donnée en réutilisation inspirée par des usages concrets (réglementation de voirie, coordination, informations grand public, mobilités…).
« Avec GOTMI.IO, les utilisateurs définissent leurs critères de coordination avec les autres intervenants, les algorithmes vont analyser en temps réel les chantiers intégrés et les faire matcher. Le rôle de la plateforme est de stimuler la mise en relation et la communication entre les utilisateurs », précise Vincent Robert, le fondateur de GOTMI.IO.
En plus d’avoir été séduit par la dynamique collaborative de GOTMI.IO, cette acquisition permet à Sogelink de renforcer son savoir-faire. Déjà à la pointe sur le sujet de la coordination avec ses solutions Littéralis et PraDICT.io, l’éditeur ajoute avec l’acquisition de GOTMI.IO la carte de l’intelligence artificielle, de l’apprentissage automatique des usages et de l’approfondissement de ses modèles collaboratifs ouverts.
Devenir la référence de la data liée aux travauxSogelink entend avec GOTMI.IO profiter d’une expérience réussie en standardisation concrétisée par un schéma de données ouvert, publié et reconnu par les instances de modernisation du gouvernement. Cela permet à Sogelink de pousser plus loin son offre et d’améliorer son accompagnement des collectivités dans la gestion de l’occupation de leur espace public.
Basé sur un algorithme prédictif qui gagne en efficacité avec la quantité de données qu’il intègre, GOTMI.IO accède, en rejoignant Sogelink, à une quantité massive d’informations qui va lui permettre d’alimenter, d’approfondir et d’améliorer ses modèles d’apprentissage automatique développés jusqu’à présent.
A terme, l’ambition de l’adoption généralisée de GOTMI.IO est de faire réaliser plus d’1,5 milliard d’euros par an d’économie aux collectivités, de diminuer le nombre de jours d’occupation du domaine public de plus de 250 000 jours et d’avoir un impact environnemental, sur le traitement des déchets, de plus 10 millions de tonnes par an, car mieux les travaux sont coordonnés, moins ils contribuent à l’émission de GES et de déchets polluants.
« Aujourd’hui, une des préoccupations des élus est d’évaluer au fil de l’eau la perception des travaux par les usagers. L’acquisition de GOTMI.IO nous ouvre cette possibilité au-delà de la sphère réglementaire, de mettre en place un grand nombre d’indicateurs mesurant l’impact des chantiers (économique, temporel, voire social). En résumé, nous ambitionnons de devenir la référence de la data liée aux travaux. », déclare Fatima Berral, CEO de Sogelink.
Créé en 2000 par Ignace Vantorre, Sogelink accompagne tous les acteurs de l’écosystème des infrastructures, des chantiers et du patrimoine avec des solutions logicielles, cloud et mobiles. Toutes ses solutions s’appuient sur une plateforme technologique de services notamment d’échanges de flux à très grande échelle. Avec
26 000 clients et plus de 100 000 utilisateurs, Sogelink ambitionne d’être l’expert incontournable des solutions numériques, intelligentes et collaboratives de gestion 2D/3D/4D des données pour son écosystème. www.sogelink.fr
GOTMI.IO, plateforme collaborative dédiée à la coordination des travaux sur l’espace public, est née en 2017 d’une expérimentation menée avec les collectivités, concessionnaires, et exploitants afin de de développer un algorithme capable d’identifier les chantiers à haut potentiel de coordination. Startup lauréate du concours Datacity#4 pour le challenge « Mieux coordonner les travaux en Ville de Paris » en 2019, elle s’appuie sur un schéma de données ouvert qui recense plus de 6 000 chantiers en temps réels.
https://gotmi.io/
Contact presse
Maurine CASSIN « La Nouvelle Agence »
+33 (0)1 83 81 71 40
maurine@lanouvelle-agence.com
1 Le Top 250 est le classement des éditeurs et créateurs français par Ernst & Young et Syntec Numérique
2 Le Truffle100 est le classement des éditeurs de logiciel français par Private Equity Truffle Capital, et le cabinet d’études
Teknowlogy
3 Avant de démarrer un chantier sur l’espace public, les maîtres d’ouvrage ont la possibilité de réaliser une Déclaration Prévisionnelle de Chantier (DPC) destinée à prévenir les collectivités des travaux envisagés sur leur territoire conformément au code de la voirie routière (Article L115-1). Les collectivités quant à elle doivent assurer la coordination de l’ensemble des chantiers programmés, avec pour principale difficulté l’anticipation de ces interventions multi-acteurs
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16:04
Avec Karos Territoires, le covoiturage devient un nouveau mode de transport public
sur Décryptagéo, l'information géographique- Désenclaver les zones les moins denses avec le covoiturage
- Optimiser l’offre de transport public
- Augmenter l’attractivité d’un territoire
Seule solution de covoiturage référencée à la Centrale d’achat du transport public (CATP), Karos, via sa solution Karos Territoires, travaille main dans la main avec les collectivités pour offrir notamment aux habitants des zones à faible densité, où les réseaux de transports publics sont souvent moins développés, un moyen de transport économique et une opportunité de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
A PROPOS DE KAROS
Les régions Normandie et Occitanie, le Syndicat Mixte des Transports Artois-Gohelle, le département de l’Aube, le Syndicat Mixte des Mobilités de l’Aire Grenobloise ou encore l’EPCI Caux Vallée de Seine proposent ainsi des offres de mobilité où le covoiturage avec Karos s’intègre directement dans le réseau de transports publics. Les conducteurs des trajets réalisés en covoiturage gagnent en pouvoir d’achat grâce à une rémunération substantielle et les passagers bénéficient de la gratuité ou de tarifs attractifs selon qu’ils possèdent ou non un abonnement à l’offre de transport locale.
Pour les collectivités, travailler avec Karos Territoires, personnalisable en fonction de leurs besoins, permet de déployer une solution de mobilité sur-mesure intégrant le covoiturage domicile-travail dans la tarification de leur offre de transport. La Loi d’Orientation des Mobilités (LOM) donnant désormais la compétence covoiturage aux Autorités organisatrices de la mobilité (AOM) et aux collectivités, ces dernières peuvent en effet financer en partie le covoiturage domicile-travail et s’associer avec un opérateur prépondérant dans ce domaine.Créée en 2014 par Olivier Binet, spécialiste du financement et du développement d’entreprises, et Tristan Croiset, expert Big Data et Machine Learning, Karos invente un nouveau réseau de transport en commun en exploitant les sièges libres des voitures en circulation. Après 2 années de développement technique et forte d’une équipe d’experts en data science, big data, développement mobile et psycho-ergonomie, Karos a inventé le court-voiturage® et lancé son application mobile en 2015. Aujourd’hui l’application compte près de 400 000 utilisateurs actifs, qui réalisent un covoiturage toutes les 6 secondes. Elle a permis plus d’1,5 million de trajets partagés partout en France.
Soutenue par le Ministère de la Recherche et BPI France, ambassadrice de la French Tech à la COP 21, membre de la plateforme Ville-durable de Paris&Co et du consortium Européen EIT Digital, Karos a été primée à 14 reprises pour son innovation de rupture au service de la mobilité durable.Agence Henry Conseil
42 rue Laugier – 75017 Paris
Tel: 01 46 22 76 43
http://www.henryconseil.comCet article Avec Karos Territoires, le covoiturage devient un nouveau mode de transport public est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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15:58
Le partenariat entre Parrot et UgCS renforce la planification de missions et la cartographie par drones
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe logiciel UgCS est désormais compatible avec les drones Parrot ANAFI pour mieux répondre aux attentes des professionnelsParis, 10 décembre 2020 – Parrot, le premier groupe de drones Européen, a annoncé aujourd’hui la compatibilité de ses drones ANAFI avec le logiciel professionnel de planification de missions UgCS, édité par SPH Engineering. Les utilisateurs d’ANAFI ont désormais accès à la vaste gamme de fonctionnalités du programme améliorant les opérations de drones professionnels, ainsi que les processus d’arpentage et de cartographie.
Premier UgCS (Universal Ground Control Software – Logiciel de contrôle au sol universel) au monde, ce logiciel, adapté à l’arpentage et aux inspections industrielles, permet une planification de missions ainsi qu’une collecte de données améliorées. Il s’agit d’un outil d’acquisition de données standard pour les pilotes de drones professionnels travaillant avec une flotte de drones multifournisseurs, dans le cadre de projets d’arpentage à grande échelle. Il permet de planifier des missions de surveillance par drone pour collecter en toute sécurité des données de haute qualité, en fournissant des techniques pratiques pour les inspections aériennes et linéaires, et en permettant le contrôle direct des drones. UgCS propose également des fonctionnalités clés, comme l’importation personnalisée de données d’altitude, le mode de suivi du terrain et la diffusion de vidéos géoréférencées.
« UgCS est l’un des logiciels de planification de missions les plus avancés pour les drones. Ses fonctionnalités uniques en font l’outil idéal pour mener à bien des projets de cartographie complexes et à grande échelle » déclare Jérôme Bouvard, Directeur des Partenariats Stratégiques chez Parrot. « Ce partenariat permettra d’élargir les capacités de cartographie et les options logicielles disponibles pour l’ensemble des utilisateurs professionnels d’ANAFI. »
Par le biais de son programme de partenariat SDK, Parrot s’efforce de créer un écosystème mondial de fournisseurs de logiciels pour drones pour répondre aux besoins uniques et grandissants des entreprises et de ses utilisateurs professionnels.
« Les domaines d’application professionnels de Parrot incluent certains des utilisateurs les plus exigeants, que ce soit dans le domaine de la sécurité publique, de la construction, de l’inspection, des entreprises et du gouvernement. Pour mener à bien leurs missions quotidiennes étendues et parfois complexes, ils ont besoin d’une technologie de drone fiable, sécurisée et à la pointe, expertise détenue et maitrisée par Parrot. Ils ont également besoin de solutions logicielles puissantes qui leur permettent d’étendre leurs utilisations avancées et leurs exigences « , déclare Chris Roberts, Vice-Président et Directeur des Ventes et du Marketing chez Parrot. « En combinant la planification de missions UgCS avec la plate-forme de drones Parrot ANAFI, c’est chose faite. Nous pouvons offrir des capacités approfondies fiables et efficaces avec de puissants outils de planification d’inspections, l’importation personnalisée de données d’altitude et le suivi du terrain. »
Le réseau mondial des utilisateurs d’UgCS rassemble des organismes privés, publics et éducatifs ainsi que des revendeurs dans plus de 150 pays depuis 2013. Le logiciel est régulièrement mis à jour pour prendre en charge de nouveaux types de drones : le support Parrot ANAFI a été ajouté à la nouvelle version 4.0 d’UgCS.
UgCS est proposé sous forme d’abonnement mensuel ou de licence perpétuelle. Les nouveaux clients ont aussi la possibilité de profiter d’un essai gratuit de 14 jours.
« SPH Engineering est ravi de s’associer à Parrot dans la construction de l’écosystème mondial des drones pour les consommateurs et les professionnels, et de soutenir Parrot ANAFI via UgCS avec une planification de missions de drones sûre et polyvalente », commente Alexei Yankelevich, directeur R&D chez SPH Engineering. « C’est une excellente gamme de drones avec des caractéristiques très compétitives pour la construction, l’agriculture, les premiers secours et bien d’autres applications. »
Pour plus d’informations sur Parrot et les drones ANAFI, rendez-vous sur Parrot.com.
Pour en savoir plus sur les logiciels UgCS : ugcs.com.
Parrotthe messengers pour ParrotCecilia HageJohana Gunthercecilia.hage @parrot.comjohana@themessengers.fr
SPH Engineering:
Anastasiya Voronkova
Tel. 06 34 42 62 86
A propos de Parrot
Fondé en 1994 par Henri Seydoux, Parrot est aujourd’hui le premier groupe de drone Européen sur ce marché en pleine expansion. Visionnaire, à la pointe de l’innovation, Parrot est le seul groupe à être positionné sur l’ensemble de la chaîne de valeur, des équipements aux services en passant par les logiciels.
· Parrot, numéro 2 mondial du marché des drones grand public, conçoit des produits et des logiciels grand public et professionnels reconnus pour leurs performances et leur simplicité d’usage.
· Parrot dispose aussi d’un portefeuille de sociétés et de participations de premier plan dans les drones professionnels, couvrant équipements, logiciels et services. Les expertises sont principalement centrées sur 3 verticaux : (i) l’Agriculture, (ii) la Cartographie 3D, la Géomatique et l’Inspection, et (iii) la Défense et la Sécurité.
Le Groupe Parrot, conçoit et développe ses produits en Europe, principalement à Paris où est établi son siège et en Suisse. Il compte aujourd’hui plus 500 collaborateurs dans le monde et réalise la grande majorité de ses ventes à l’international. Parrot est cotée depuis 2006 sur Euronext Paris (FR0004038263 – PARRO). L’information financière est disponible sur http://corporate.parrot.com. Pour plus d’informations consultez : www.parrot.com et ces filiales www.pix4d.com, www.sensefly.com, www.micasense.com.
A propos de SPH Engineering
SPH Engineering (sph-engineering.com) is the world’s premier UgCS software developer and integration services provider for unmanned aerial systems. Founded in 2013 in Latvia, the company has created a rich global customer network while over 45% of customers are located in North America. Its developed UgCS, UgCS CC, UgCS Mapper, ATLAS, Drone Show Software, and Industrial Integration Solutions for UAV with Echo Sounders, Ground Penetrating Radars (GPR), Methane detectors, and Magnetometers, enriched with radar/laser altimeters, are applied across a wide range of industries worldwide.
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12:38
Comment ne pas perdre ses repères en zoomant rapidement dans une carte web ? Guillaume Touya, chercheur IGN-ENSG au LaSTIG, lauréat de la bourse de l’ERC pour LostInZoom
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe 9 décembre, l’ERC (European Research Council), l’agence européenne dédiée à la recherche fondamentale, annonce la liste de ses 327 prestigieuses bourses de recherche allouées pour un montant total de 655 millions d’euros aux lauréats des 23 pays concourants, dont 34 bourses pour la France. Parmi elles, celle de deux millions d’euros, catégorie sciences sociales et humaines, accordée pour cinq ans à Guillaume Touya, chercheur et directeur adjoint du LaSTIG, unité mixte de recherche de l’IGN et de l’Université Gustave Eiffel, pour le projet LostInZoom, un nouveau paradigme de zoom cartographique.Après avoir zoomé à différentes échelles sur une carte numérique, il est fréquent de se retrouver perdu quelques secondes dans sa navigation. En effet, le cerveau humain, peu adapté à l’exercice du changement d’échelle, est susceptible de ne plus pouvoir se repérer sur la carte et d’être confronté à une situation d’échec ou de stress. Le nouveau paradigme de zoom cartographique LostInZoom, développé par Guillaume Touya, chercheur de 39 ans de l’ENSG-Géomatique(1), directeur adjoint du LaSTIG(2), vise à supprimer ces précieuses secondes de désorientation, grâce à une navigation qui privilégie une approche plus cognitive et moins mécanique de la carte. Il s’agit d’utiliser la manière dont le cerveau humain relie les représentations mentales des échelles pour les traduire sous forme d’animations. Ce sont dès lors des points de repères identifiables à plusieurs échelles comme autant d’ancrages forts qui seront utilisés dans la représentation de la carte – par exemple, la Seine et la Tour Eiffel comme ancres pour se repérer dans le sud-ouest parisien – au sein et autour desquels il sera possible de faire progressivement apparaître tous les détails de la carte souhaités.
« Deep learning, généralisation cartographique, analyse et cognition spatiales, IHM (interaction homme machine) sont autant de moyens et de méthodes d’approche qui viennent implanter un vaste et prometteur domaine de recherche pluridisciplinaire exploré par Guillaume Touya, l’un de nos brillants chercheurs, dont le travail reconnu par cette bourse d’excellence vient honorer la recherche IGN- ENSG et confirmer l’IGN dans son rôle d’opérateur cartographique de référence au service des politiques publiques » déclare Nicolas Paparoditis, directeur de l’ENSG-Géomatique.
Si le grand public pourra, à terme, bénéficier d’une lecture facilitée de son environnement grâce à LostInZoom, ce sont les gestionnaires de crises confrontés à la nécessaire rapidité en matière de prises de décision, qui en seront les premiers bénéficiaires face aux situations qui provoquent l’effondrement ou la disparition traumatique d’un environnement : tremblements de terre, submersions marines et inondations.
Plus d’informations sur les bourses 2020 de l’ERC > https://erc.europa.eu/
(1)L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques, pôle d’enseignement supérieur et de recherche de l’IGN, a rejoint l’Université
Gustave Eiffel créée en janvier 2020.
(2)Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique, unité mixte de recherche IGN et Université Gustave Eiffel
A propos de l’IGN
L’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique pour la ville et les territoires durables), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie, de l’opto-électronique, de la photogrammétrie et de la télédétection, du traitement des images, de l’intelligence artificielle, et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint, comme école membre, l’Université Gustave Eiffel créée au 1er janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de la géomatique et de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts Presse
Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
Nous suivre sur >> ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse –
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12:53
Du pixel à la balance : comment mobiliser les images de télédétection en droit foncier ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAvec « Le pixel et la balance », Élisabeth Botrel et Laurent Polidori associent leurs expertises pour faire le point sur un sujet encore peu traité : le potentiel des images de télédétection (acquises par satellite, avion ou drone) pour dire le droit foncier.
Information actualisée, « sans filtre » apparent, base de discussions… l’image de la Terre vue du dessus aide aménageurs, géographes et autorités publiques dans leurs missions. Mais comment est-elle aujourd’hui mobilisée dans le cadre légal et jusqu’où pourrait-elle être exploitée ? Quand et comment sert-elle de preuve ? Compte tenu du droit actuel et des avancées techniques, peut-on envisager un bornage dématérialisé ? Pour creuser ces questions, Élisabeth Botrel, juriste, et Laurent Polidori, spécialiste de la télédétection, mais également ancien directeur de l’École Supérieure des Géomètres Topographes (ESGT) engagent un véritable dialogue. Leur ouvrage commun va aussi bien chercher dans les bases de la télédétection, dans les cas de jurisprudence, dans les travaux de recherche que du côté des enjeux éthiques. À l’aide de nombreux exemples, les auteurs nous proposent une réflexion très détaillée et des outils pratiques pour répondre aux enjeux actuels et futurs de l’utilisation de l’image spatiale dans la propriété foncière.
Le pixel et la balance : les images de télédétection pour le droit foncier, Éditons LexisNexis, 39 €. À commander dans une librairie près de chez vous.Cet article Du pixel à la balance : comment mobiliser les images de télédétection en droit foncier ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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18:59
Mapotempo développe son partenariat avec Cityzen (Groupe Up)
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDepuis 2015 Mapotempo, éditeur de solutions de gestion de tournées et Cityzen (Groupe Up), leader dans l’informatisation des structures d’aide et de soins à domicile, ont noué un partenariat technologique pour la fourniture de plusieurs composants web de :
- Cartographie : Cartographie des clients, tournées, sectorisation…
- Géocodage : Passer d’une adresse aux coordonnées géographiques et inversement
- Calcul d’itinéraires : Calcul de routes, matrices et d’isochrones, gestion de modes de transports variés : véhicule léger, poids lourd, piéton, vélo, transport en commun, triporteur électrique…
Aujourd’hui nous sommes fiers de pouvoir annoncer une nouvelle étape de notre partenariat avec l’intégration de notre module d’optimisation de tournées : optimisation avec ou sans contraintes (coûts, créneaux horaires, véhicules, pauses…)
Ce nouveau module totalement intégré à la Solution Web d’Up Cityzen, permettra à des centaines de structures de bénéficier de tournées optimisées. Ce module augmentera à la fois la qualité de service rendue aux bénéficiaires mais aussi le confort de travail des coordinateurs et des intervenants à domicile, tout en réduisant l’emprunte carbone.
À propos de Mapotempo :Fort de 250 clients et intégrée au groupe international Octime, Mapotempo édite et commercialise des solutions innovantes de gestion de tournées : livraisons, collectes, interventions, commerciaux.
À la fois puissantes et user-friendly, les applications Mapotempo aident les grands comptes, ETI, PME, start-up et éditeurs à faire de leurs tournées un axe de développement stratégique.Site web : www.mapotempo.com
Contact presse : Léa Da Palma, lea@mapotempo.com, 06 73 17 07 46
À propos de Up Cityzen :Spécialiste de l’informatisation des structures de services à la personne depuis plus de 30 ans, Up Cityzen propose des solutions de gestion innovante pour :
- Optimiser la performance de leur organisation,
- Encourager l’engagement des collaborateurs,
- Faciliter la prise en charge des personnes aidées,
- Fidéliser leur clientèle.
Site web : [https:]
Contact presse : Alissia Julien,
alissia.julien@up.coop, 02 99 36 12 34Cet article Mapotempo développe son partenariat avec Cityzen (Groupe Up) est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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11:22
Pays du monde : révision en ligne avec Map Quiz
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSi vous faites partie de celles et ceux qui confondent la Guinée et la République Centrafricaine, l’Azerbaïdjan et l’Irak, ce petit quiz est fait pour vous (ou pour vos enfants, bien sûr).Réalisé par Arun Ganesh en utilisant les données OpenStreetMaps et Mapbox, Map Quiz vous demande d’identifier des pays que l’on situe plus ou moins vaguement sur la mappemonde. Que vous gagniez ou perdiez, vous découvrirez à cette occasion quelques informations récupérées sur Wikidata : drapeau, hymne national notamment.
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19:56
Revue de presse du 24 novembre au 8 décembre 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSignée Ariane Pinel, voici une carte bien vue d’un pays reconfiné !
Covid, confinement, élections, 5G, vélo, piétons, recommandations… tous les sujets d’actualité s’expriment en cartographie. La preuve dans quelques articles parus récemment.COVID : « L’analyse des eaux usées cartographiée pour anticiper l’évolution de la Covid dans la région » Made in Marseille donne des détails sur la campagne menée par les Marins-pompiers en cours d’extension dans la région.
ÉLECTIONS : « S’initier à la cartographie électorale à travers l’exemple des élections présidentielles de novembre 2020 aux Etats-Unis ». Nouveau billet de Sylvain Genevois sur Cartographie(s) numérique(s) pour tout comprendre… Pédagogique, complet, plein de liens intéressants : indispensable lecture non réservée aux professeurs de géographie.
COVID : « Les effets du Covid sur votre région depuis mars. Regard de cartographe #1 » Un article de l’Humanité signé Nicolas Lambert (cartographe encarté) accompagné de cartes interactives.
FONDS DES MERS : « Objectif mer #2 – Les incroyables images de la Méditerranée pendant le confinement ». Retrouvez sur Le Point comment le confinement a permis à la cartographie des fonds proches du littoral méditerranéen d’avancer et de révéler l’ampleur des dégâts causés par certains bateaux.
3D : « Sans cartographie, point de 5G » JDN explique les enjeux de la cartographie 3D détaillée pour le déploiement des antennes, avec des témoignages de HERE et Esri France.
VILLE INTELLIGENTE : « Smart city : où sont les villes intelligentes en France » Le Journal du Net fait une synthèse des projets et réalisations, open data en tête.
VILLE INTELLIGENTE : « Paris se dote d’une plateforme de données pour analyser l’essor du vélo », grâce à Géovélo, qui propose un tableau de bord intégrant les traces des utilisateurs de son application. (Journal du Net)
GÉOMARKETING : « Spécialisée dans l’analyse de flux, Affluences lève 4 millions d’euros et part à la conquête du retail » nous apprend l’Usine Digitale. L’affluence et l’analyse des flux seraient-elles les nouveaux terrains de jeu pour la géolocalisation et l’analyse spatiale ?
IA ET CARTO : Découvrez une bonne dizaine d’entreprises occitanes qui misent sur l’IA dans le domaine géographique à travers cette cartographie originale des compétences régionales dans le domaine. Attention, toutes ne se cachent pas dans la rubrique « Cartographie » !
GOOGLE MAPS : « Avec son nouveau fil d’actualité, Google Maps va faire de l’ombre à Facebook ». l’application de cartographie vous propose désormais de découvrir ce qui se passe pas loin en ce moment (aujourd’hui, pas grand-chose
) (Presse Citron)
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19:34
Zones humides : les inventorier pour mieux les préserver
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDans le cadre de la mise en œuvre des 10 Schémas d’Aménagement et de Gestion des Eaux dont il assure le portage, l’Etablissement public Loire conduit depuis plusieurs années des inventaires de zones humides afin d’améliorer leur connaissance et de les préserver de toute dégradation future.
Les zones humides, de typologies très variées, restent aujourd’hui menacées par les activités anthropiques (50% des surfaces ont disparu en France entre 1950 et 1990) au détriment des fonctions (hydrologique, écologique, physiques et biogéochimiques) et services (approvisionnement, régulation des écoulements, culturels et sociaux) qu’elles peuvent assurer et rendre. Afin d’améliorer la connaissance de ce patrimoine naturel et de le préserver, les Commissions locales de l’eau ont affirmé le caractère prioritaire des inventaires de terrain.Afin d’assurer une certaine homogénéité dans la réalisation de prospections utilisables à l’échelle locale et nationale, de ne pas tarder dans leur mise en œuvre et de faire des économies d’échelle sur le coût associé, l’Etablissement a engagé depuis 2013 plusieurs inventaires avec comme autre objectif d’apporter une information la plus exhaustive sans toutefois aller jusqu’à délimiter ces milieux au sens réglementaire (Arrêtés de juin 2008 et d’octobre 2009).
Ainsi, en termes de méthodologie, le protocole proposé est adapté à la superficie du territoire à inventorier et se base préférentiellement sur la présence d’une végétation hygrophile, les sondages pédologiques s’inscrivant comme un complément à l’analyse floristique et n’intervenant que si cette dernière s’avère insuffisante. Ces inventaires, réalisés en régie ou externalisés, associent largement les acteurs locaux (élus et techniciens communaux, agriculteurs, sylviculteurs, représentants d’associations environnementalistes, etc.) afin de partager les résultats et de faciliter leur appropriation ainsi que leur intégration dans les documents d’urbanisme.
Fin 2020, ce sont près de 550 territoires communaux qui auront été prospectés dans le cadre des initiatives lancées par l’Etablissement, soit un peu plus de 10% des communes du bassin de la Loire et ses affluents. Ce nombre devrait être porté à plus de 700 d’ici un an. Afin de mettre à disposition de tous les acteurs, les limites géographiques et les principales caractéristiques de ces zones humides inventoriées, une cartographie interactive sera développée et mise en ligne à partir du 2 février 2021, date de la journée mondiale des zones humides.
A cette occasion, sur plusieurs périmètres de SAGE, d’autres actions seront menées par l’Etablissement afin de sensibiliser le plus grand nombre aux enjeux liés à la préservation de ces tourbières, queues d’étangs, marais, prairies humides… Vous pourrez les retrouver dans le cadre du programme d’animations de la prochaine journée mondiale des zones humides.
Dans un contexte de changement climatique, préserver, gérer et restaurer les zones humides constituent de vraies solutions fondées sur la nature qui permettent de répondre en partie aux défis d’une gestion durable de l’eau et de la lutte contre la perte de biodiversité inféodée à ces milieux.
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19:28
Airbus livrera l’instrument radar de la nouvelle mission Copernicus ROSE-L
sur Décryptagéo, l'information géographiqueROSE-L sera équipé de la plus grande antenne radar plane jamais construite pour l’espace
Friedrichshafen, le 03 décembre 2020 – Airbus a été sélectionné par Thales Alenia Space pour construire l’instrument radar avancé de la mission « Système d’observatoire radar pour l’Europe en bande L » (ROSE-L). Airbus Defence and Space, à Friedrichshafen (Allemagne), dirigera un consortium industriel pour l’instrument radar impliquant des entreprises de neuf pays pour la réalisation du projet. Le contrat, attribué à Airbus par Thales Alenia Space, maître d’œuvre de cette mission, s’élève à environ 190 millions d’euros.
La mission Copernicus ROSE-L, dont le lancement est prévu en juillet 2027, transportera un instrument radar à synthèse d’ouverture à réseau phasé actif. Depuis son orbite polaire de 690 km, ROSE-L permettra de surveiller jour et nuit les terres, les océans et la glace, en offrant des images plus fréquentes à haute résolution spatiale et à haute sensibilité. Il utilisera des techniques radar avancées, notamment la polarimétrie et l’interférométrie, pour créer ses produits de données. L’antenne radar sera la plus grande antenne plane jamais construite, mesurant un impressionnant 11 mètres sur 3,6 mètres, soit à peu près la taille de 10 tables de ping-pong.
Pendant ses 7,5 ans de vie, la mission ROSE-L répondra aux besoins de nombreux utilisateurs, dont les services de surveillance des terres et de gestion des urgences Copernicus de l’Union Européenne. Elle fournira des données importantes sur l’humidité des sols, l’agriculture de précision, la sécurité alimentaire, la biomasse forestière et les changements d’utilisation des terres. En outre, la mission permettra de surveiller les calottes glaciaires et les glaciers polaires, l’étendue de la glace de mer et la couverture neigeuse.
« Le choix d’Airbus pour la conception de cette charge utile radar complexe est un hommage au leadership mondial d’Airbus dans le domaine de la technologie des radars spatiaux », a déclaré Jean-Marc Nasr, responsable des systèmes spatiaux chez Airbus. « La Terre est certainement la meilleure et probablement la seule option viable pour l’humanité. Nous devons donc en prendre bien soin. Notre radar permettra à la mission ROSE-L de le faire, en aidant à comprendre le changement climatique et à soutenir une transition écologique durable. Ce satellite Copernicus de nouvelle génération est un catalyseur du « Green Deal » européen et Airbus est fier de jouer son rôle ».
Dans l’ensemble, Airbus est responsable de l’engin spatial ou de la charge utile de 3 des 6 missions Copernicus de nouvelle génération dans le domaine de l’environnement et de l’observation de la Terre : LSTM, CRISTAL et ROSE-L, et fournit des équipements essentiels à ces six missions.
À propos de Copernicus
Les satellites Copernicus Sentinel sont une flotte de satellites de l’union européenne (UE), conçus pour fournir la multitude des mesures et images qui sont au cœur du programme environnemental Copernicus de l’Union Européenne. La Commission Européenne dirige et coordonne ce programme, qui vise à améliorer la gestion de l’environnement et à préserver des vies au quotidien. L’Agence Spatiale Européenne (ESA) est responsable de la composante spatiale, chargée de développer la famille des satellites Copernicus Sentinel au nom de l’Union Européenne et d’assurer la circulation des données pour les services Copernicus, tandis que l’exploitation des Copernicus Sentinel a été confiée à l’ESA et à EUMETSAT, l’Organisation européenne pour l’exploitation de satellites météorologiques. Airbus est un contributeur industriel clé à bord de toutes les missions Copernicus – passées et présentes – qui développe et fabrique des satellites, des instruments et des composants, et fournit des services associés.About Airbus
Airbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
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10:48
La technologie Leica Geosystems au service des travaux maritimes : l’exemple du chantier de la digue du Port de Cannes (06)
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLeader mondial des technologies de mesure, Leica Geosystems accompagne la filière des travaux publics et du génie civil sur les opérations les plus complexes qui requièrent rapidité, performance et précision.
Pour le secteur des travaux maritimes, les conditions des chantiers, telles que les contraintes météorologiques et l’absence de visibilité, constituent un défi permanent.
Pour répondre à cette problématique, Leica Geosystems propose des technologies innovantes permettant aux professionnels d’optimiser les chantiers, du terrassement au positionnement et à la réalisation des ouvrages.
Le témoignage complet sous ce lienIllustration avec les solutions pour le guidage d’engins utilisées par TP SPADA et RAZEL-BEC, en partenariat avec ENCO, sur un chantier de grande envergure : le renforcement de la digue protégeant le Vieux port de Cannes (06).
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10:18
Le satellite FalconEye des Émirats arabes unis lancé avec succès
sur Décryptagéo, l'information géographiqueFalconEye offrira une capacité d’observation de la Terre sans précédent au gouvernement et à l’économie des EAUKourou, le 02 Décembre 2020 – Le satellite d’observation de la Terre FalconEye a été lancé avec succès la nuit dernière depuis le port spatial européen (CSG) de Kourou, en Guyane, par une fusée Arianespace Soyouz.
Détenu et exploité par les Émirats arabes unis, FalconEye a été développé par Airbus Defence and Space et Thales Alenia Space en tant que co-prestataires.
Le système satellitaire FalconEye soutiendra les forces armées des EAU. Le satellite de 1190 kg au lancement évoluera sur une orbite héliosynchrone de 611 km. Airbus Defence and Space était chargé de la conception, de l’intégration et des essais du satellite, et a fourni la plate-forme. Thales Alenia Space a conçu et fourni l’instrument optique et la chaîne d’images.
« FalconEye offrira une observation de la Terre de qualité supérieure, en fournissant à notre client le meilleur de ce que l’imagerie spatiale peut offrir. Le système de satellite optique à haute performance représente une étape importante dans la coopération entre les Émirats arabes unis et la France », a déclaré Jean-Marc Nasr, directeur des activités spatiales chez Airbus. « Grâce à la confiance de notre client émirati et au soutien du gouvernement français, nous avons pu réaliser un grand travail d’équipe entre Airbus et Thales Alenia Space ».
About Airbus
Airbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
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10:38
Hyundai facilite la transition vers l’électrique avec un simulateur d’autonomie développé par BeNomad sur la base de données HERE
sur Décryptagéo, l'information géographique- Les conducteurs qui se tournent vers l’électrique partagent souvent une préoccupation commune?: l’angoisse de l’autonomie, ou «?range anxiety?» en anglais, qui fait référence à la crainte de ne pas avoir assez de batterie pour atteindre sa destination.
- À cela s’ajoute un obstacle supplémentaire?: le temps de recharge qui peut parfois faire augmenter la durée d’un trajet de façon significative.
- Pour faciliter la transition vers l’électrique, Hyundai a intégré sur son site web un simulateur qui permet de rassurer les conducteurs quant à l’autonomie de leur futur véhicule électrique en sélectionnant en temps réel les stations qui permettront la recharge la plus rapide.
- Ce simulateur de haute précision a été développé par la société française BeNomad, qui intègre de puissants algorithmes et l’intelligence de localisation de HERE Technologies.
Avec un nouveau plan de relance annoncé fin octobre, le gouvernement français confirme sa volonté d’accélérer la transition vers l’électrique. Progressivement, les bornes de recharge vont se multiplier dans l’Hexagone, avec pour objectif de passer de près de 30 000 à 100 000 stations accessibles au public d’ici 2021.
Pour faciliter cette transition et lever les éventuels freins à l’achat, le constructeur automobile Hyundai, désormais quatrième vendeur de Véhicules Électriques (VE) au monde, propose sur son site web français un simulateur qui permet d’anticiper avec précision l’autonomie des véhicules électriques de la marque sur des itinéraires optimisés, affichant les points de recharge les plus pertinents.
«?En 2020, nos ambitions sur l’électrique étaient élevées et nous n’avions qu’une idée en tête : lever les freins des Français à propos de la motorisation électrique et faire de KONA Electric leur future voiture. Nous avons donc investi au travers de contenus sur le site internet hyundai.fr pour accompagner les prospects dans leur réflexion et répondre à toutes leurs questions. Le simulateur de trajet est une brique essentielle de notre stratégie pour lever les freins à la motorisation électrique. En effet, nos récentes études montrent que la présence de bornes de recharge est une donnée clé pour aider les conducteurs à se tourner vers l’électrique en toute sérénité. Voilà pourquoi il nous a paru important d’investir dans cette solution de cartographie avec BeNomad et HERE?», commente Clémentine Antunes, Head of Brand, Strategy & Communication, Hyundai Motor France.
L’adoption des véhicules électriques reste pour le moment plus rapide que le rythme auquel les stations de recharge compatibles se construisent. A l’heure actuelle, planifier un trajet implique donc de se poser la question de l’autonomie de son véhicule et du temps de recharge éventuel. Ces préoccupations combinent une double question?: Aurais-je assez de batterie pour effectuer mon trajet ? Si non, où trouver une station de recharge rapide, compatible avec mon véhicule et disponible sur mon itinéraire ?
Un simulateur d’autonomie de haute précision pour VEBeNomad, éditeur de logiciels de navigation et de cartographie, et HERE Technologies, plateforme technologique de données de localisation, se sont associés pour proposer à Hyundai un simulateur d’autonomie pour VE ultra précis, permettant de simuler de façon précise des itinéraires en VE avec une estimation du temps de trajet et du temps de recharge.
Simple d’utilisation, ce simulateur combine des données de localisation de haute précision et des algorithmes de consommation énergétique qui prennent en compte de multiples paramètres techniques et contextuels : modèle du véhicule, niveau de charge de la batterie (SoC) et type de prise électrique ainsi que type et disponibilité de la borne de recharge, topographie de la route – puisque les VE peuvent récupérer de l’énergie en descente et en freinant, météo – qui influence la capacité de la batterie, la pénétration de la voiture dans l’air et l’utilisation du chauffage ou de la climatisation, habitudes de conduite et chargement du véhicule.
Concrètement, qui pense acheter un VE va saisir tous les paramètres souhaités dans le simulateur en ligne pour obtenir sur la carte l’affichage de son itinéraire optimisé, indiquant où il devrait s’arrêter pour que la recharge prenne le moins de temps possible. «?Ce simulateur d’autonomie va au-delà d’un simple calcul de distance ou de temps en fonction de la puissance du véhicule. Nos algorithmes couplés à l’intelligence de localisation HERE permettent de proposer un itinéraire optimisé intégrant des paramètres très fins qui vont venir s’ajouter ou se soustraire au calcul de l’autonomie maximale,?» explique Stéfane Maynard, PDG de BeNomad. «?Il s’agit sans nul doute du premier simulateur du marché à proposer un tel degré de précision pour les conducteurs.?»
Les deux acteurs, par ailleurs partenaires historiques, continuent de collaborer pour améliorer ev-Move, la solution d’électro-mobilité de BeNomad qui simplifie la transition vers le véhicule électrique pour les flottes et les particuliers. Cette solution rassure tout en facilitant et optimisant l’usage du véhicule électrique. Toutes les informations sur la circulation et la topographie des routes sont fournies par HERE Technologies.
«?Nous sommes fiers de nous associer à BeNomad autour de problématiques d’électro-mobilité. Ses algorithmes puissants, validés par des constructeurs d’envergure mondiale comme Hyundai, sont un atout indéniable pour soutenir le développement de ce marché. Les applications intelligentes basées sur des données de géolocalisation dynamiques sont très certainement les moteurs qui faciliteront la transition de notre économie vers l’électrique », conclut Patrick Jean, chargé des partenariats HERE Technologies.
A propos de Hyundai Motor FranceDevenue filiale depuis le 3 janvier 2012, Hyundai Motor France a enregistré 39 970 immatriculations en 2019. Grâce à une large gamme de voitures, fiables, innovantes, économes et respectueuses de l’environnement, répondant parfaitement aux attentes des clients, Hyundai est désormais un constructeur généraliste. Chacun des 16 modèles qui constituent sa gamme, citadines, berlines, ou véhicules de loisirs, se distingue par un confort unique, un niveau d’équipements exceptionnel, des prix compétitifs et une garantie inédite 5 ans kilométrage illimité. Mais Hyundai en France, c’est aussi un important réseau de distribution de plus de 180 points de ventes et services répartis sur tout le territoire. Des équipes de professionnels, passionnés d’automobiles, qui ont compris que le plus important, c’est l’accueil et le service qu’ils doivent apporter à leurs clients. Hyundai Motor France compte aujourd’hui 130 employés et continue de développer sa structure.
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Editeur de logiciels de navigation, de calcul d’itinéraire et de cartographie pour des métiers avec des besoins de mobilité spécifiques : transport et logistique, urgence, collecte de déchets, taxis… BeNomad s’engage depuis 7 ans dans l’électromobilité suite à son implication dans le projet de recherche Greenfeed pour accompagner la transition des entreprises et des particuliers vers une mobilité propre. Pour en savoir plus sur BeNomad : www.benomad.com.
Contact Presse
Presse@benomad.com / +33 (0)4 93 73 04 96
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité. Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur?http://360.here.com?et?www.here.com.
Contacts Presse : AxiCom
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16:14
Grâce à un projet de mise en œuvre des plans de gestion Natura 2000, SPACEBEL se positionne sur le maintien et la gestion de la biodiversité
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSPACEBEL, associée à 4 partenaires, a remporté un marché avec le Service Public Wallon (SPW) pour la mise en œuvre des Plans de Gestion (PGN) Natura 2000.Instauré au sein de l’Union Européenne en 1992, le réseau Natura 2000 vise à protéger la diversité biologique sur le territoire des Etats membres. Ce vaste réseau écologique européen englobe les sites naturels (forêts, tourbières, rivières, grottes, …) ou semi-naturels (landes, prairies fleuries, …) qui représentent une grande valeur patrimoniale en termes de faune et de flore.
La Wallonie compte 240 sites Natura 2000, qui couvrent au total environ 221.000 ha, c.-à-d. 13% du territoire wallon. Pour sa mise en place, la Wallonie a opté pour un système s’appuyant sur la législation, les compensations et les actions volontaires de restauration. Basé sur une sélection de 18 sites pilotes, le projet PGN2000 s’intègre dans le cadre du programme LIFE « Belgian Nature Integrated Project ». Objectif de cet instrument de financement de l’environnement intégré : mettre en place le contexte nécessaire pour assurer la gestion optimale de Natura 2000, notamment par la conception de procédures et d’outils indispensables.
Un plan de gestion rassemble toutes les informations essentielles et indispensables pour planifier et effectuer la gestion future d’un site Natura 2000 dans le cadre de l’amélioration constante de l’état de conservation des espèces et habitats d’intérêt communautaire.
La tâche de SPACEBEL et de ses partenaires consiste à mettre en œuvre le plan de gestion des parties du site Natura 2000 en propriété privée tout en mobilisant les propriétaires dans l’espoir que ceux-ci adhèrent aux actions proposées.
Pour mener à bien le nouveau projet, SPACEBEL s’est entourée de 4 organisations avec des expertises et compétences complémentaires et surtout très pertinentes : Bemelmans SPRL, Ressources Naturelles Développement ASBL, TER-Consult et Capland. Cette équipe multidisciplinaire se distingue en particulier par son ancrage fort dans le monde des propriétaires privés. En outre, ses différents membres bénéficient d’une collaboration de longue date avec le Service Public Wallon (SPW), d’une expertise importante en gestion des milieux naturels, et tous s’y connaissent parfaitement en processus participatifs de sensibilisation.
Interlocuteur principal en charge de la gestion du projet, SPACEBEL apportera également une expertise technique en matière d’outils informatiques, de cartographie et de gestion de bases de données. Par ailleurs, SPACEBEL sera responsable du développement d’une application en ligne basée sur des outils open-source, qui facilitera le fonctionnement du projet, la centralisation des informations et la visualisation des données cartographiques.
Avec PGN Natura 2000, SPACEBEL signe une belle référence en matière de soutien à la gestion de la biodiversité.
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16:06
La plateforme Vianova lève 1,8 million d’euros pour aider les villes à construire leur système de transport post-covid
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCette levée de fonds va permettre à la startup d’accentuer son développement à l’international et de déployer de nouveaux cas d’usage de mobilité servicielle. Cette levée de fonds marque l’arrivée de deux nouveaux investisseurs : le Groupe RATP via RATP Capital innovation, expert en mobilité urbaine avec une présence internationale et Contrarian Ventures, fonds d’investissement d’envergure européenne spécialisé dans l’énergie et la mobilité.La plateforme Vianova
La startup parisienne Vianova a récemment clôturé un tour d’amorçage de 1,8 million d’euros, mené par RATP Capital Innovation et Contrarian Ventures, afin d’améliorer la collaboration entre villes et opérateurs de mobilité partagée, et ainsi promouvoir une meilleure allocation de l’espace public.
Avec l’émergence de nouveaux services de mobilité partagée, les villes et les opérateurs commencent à réaliser l’importance primordiale du partage de données. Créée en 2019, Vianova a construit une solide expertise en tant que tiers de confiance, facilitant le partage de données entre 10 villes et 20 opérateurs de mobilité à travers l’Europe. Les villes s’appuient sur la plateforme Vianova, sa suite d’APIs et sa connaissance RGPD pour prendre de meilleures décisions en matière de politique de mobilité et d’urbanisme grâce aux données.
La plateforme supervise déjà plus de deux millions de trajets par mois, avec des villes partenaires comme Bruxelles, Helsinki, Zurich et Stockholm. Par ailleurs, Vianova a récemment initié avec la Ville de Paris un projet ambitieux de gestion de l’espace public et d’analyse des flux de logistique urbaine. Enfin, les principaux opérateurs de mobilité – dont Bird, BlaBla Ride (Voi) et Bolt – ont également choisi de s’associer à Vianova pour améliorer la conformité et l’efficacité opérationnelle de leurs flottes.
L’émergence de nouveaux services de mobilité urbaine, tels que les trottinettes électriques ou la livraison du dernier kilomètre, représente un défi majeur pour les villes qui doivent gérer un espace public de plus en plus contraint. Afin de favoriser le développement de ces services et offrir une mobilité décarbonée pour tous, les opérateurs et les villes cherchent à collaborer plus étroitement et en toute confiance. “L’évolution rapide de la mobilité urbaine bouscule les villes dans leur manière d’organiser l’espace public. Nos partenaires municipaux considèrent aujourd’hui les données comme un outil essentiel de leur gouvernance, et notre collaboration étroite sur ce sujet a permis de développer des cas d’usage de plus en plus élaborés. Les opérateurs de mobilité comprennent également le rôle majeur que peuvent jouer les villes dans leur développement et leur réussite. Au cours des derniers mois, notre travail de rapprochement de ces deux mondes a été extrêmement passionnant, et nous sommes ravis d’être rejoints par RATP Capital Innovation et Contrarian Ventures dans cette aventure” déclare Thibault Castagne, co-fondateur & CEO de Vianova.
L’engagement dans les nouvelles mobilités et les nouveaux modèles d’affaires de la ville fait partie des axes stratégiques du Groupe RATP, qui a pour objectif de s’imposer comme le partenaire privilégié des villes intelligentes et durables. “C’est dans cette optique que RATP Capital Innovation est fière de co-investir avec le fonds Contrarian Ventures dans Vianova afin d’accompagner la startup dans le développement de solutions de régulation de l’espace public à destination des villes et des décideurs publics”, a commenté Stéphanie Bourgeais, Directrice Générale de RATP Capital Innovation.
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9:00
GéoDataDays 2020 : la transition au cœur des débats
sur Décryptagéo, l'information géographiquePar Françoise de Blomac, pour l’Afigéo
Placés sous le thème de la transition, les GéoDataDays ont fait la preuve de l’utilité de l’information géographique et de ses techniques pour aborder des questionnements aussi variés que la place de la nature en ville, la lutte contre les îlots de chaleur, la prévention et la gestion des risques de submersion marine, la création de pistes cyclables… Outil de connaissance, d’aide à la décision et de mobilisation, la géomatique doit aussi faciliter une compréhension plus globale des enjeux de la transition. Et ce n’est pas toujours facile.@ Matthew J. Thomas pour Adobe Stock
Avec un grand débat et plusieurs sessions dédiées à la transition écologique, climatique et énergétique, les GeoDataDays ont mis l’accent sur des retours d’expérience qui montrent que la géomatique et ses acteurs se mobilisent autour de ce sujet d’importance.
Une meilleure connaissanceAvant d’envisager des mesures de lutte ou d’adaptation au changement climatique et à ses conséquences, il est important de comprendre, de mesurer, d’établir des diagnostics partagés. Les exemples ne manquent pas car les systèmes d’information géographiques sont d’excellents réceptacles pour analyser la complexité des systèmes humains.
Ainsi, quand il est arrivé chez Valorem à la suite d’une reconversion professionnelle, Claudio Rumolino, ancien cartographe et devenu énergéticien a été très surpris d’y trouver autant de spécialistes des SIG. « La cartographie et les données géographiques sont les ingrédients de base pour concevoir un parc d’énergie renouvelable » a-t-il reconnu. Champs de vents, potentiel solaire, réglementation limitant l’installation de parcs éoliens, puis données parcellaires et topographie… toute la vie d’un projet passe par le SIG. Les assureurs sont, eux-aussi, de gros consommateurs de données géographiques et utilisateurs de SIG comme l’a rappelé Christophe Delcamp, Directeur adjoint de la Fédération Française de l’Assurance et membre de la Mission Risques Naturels. Parce qu’ils s’engagent à maîtriser le coût financier de la survenance d’un aléa, les assureurs doivent géolocaliser et analyser les risques des biens qu’ils assurent. Mais l’information géographique leur permet également de fournir de nouveaux services dans la perspective du changement climatique. Ainsi, depuis 4 ans, un produit couvre les risques de sous-production agricole grâce à l’analyse d’images satellitaires, qui vérifie si l’état de développement des plantes cultivées est conforme aux attendus.
Valorem, spécialiste des énergies renouvelables, utilise de nombreuses bases de données géographiques.
Le suivi de l’artificialisation a fait l’objet d’une session qui a montré tout l’apport des bases de données d’occupation du sol, à différentes échelles. Cette imbrication des échelles spatiales et temporelles est l’un des enjeux de la compréhension du changement climatique, qui a besoin de données historiques pour alimenter ses modèles d’évolution et de comprendre les interactions entre de nombreux phénomènes. En travaillant à des échelles de plus en plus fines, une métropole comme Montpellier peut suivre au plus près l’artificialisation des sols ainsi que les actions de renaturation, comme l’a montré Konrad Rolland de SIRS (groupe CLS).
Grâce aux images satellites (qui permettent d’isoler la végétation) et à la thermographie aérienne, les îlots de chaleurs urbains sont bien mieux connus et peuvent être mesurés, comme l’ont par exemple présenté Kermap et Aérodata France. Un nouveau sujet émerge, lui aussi capté par les satellites (en l’occurrence, un satellite chinois), la pollution lumineuse qui devrait faire bientôt l’objet d’une analyse à l’échelle de toute la région Occitanie, grâce aux travaux de La Telescop.
Carte du gradient thermique à Montpellier (Kermap)
La mobilisation de capteurs optiques et lidar sur drones ou sur de petits avions permet d’obtenir régulièrement des données très détaillées sur l’évolution de la végétation (voir la présentation de Hugues Heurtefeux de l’EID Méditerranée) ou du trait de côte, comme l’a montré Benjamin Pradel de l’Avion Jaune, qui a ainsi pu mesurer précisément la dégradation des falaises rocheuses en Aquitaine.
Philippe Abadie, délégué régional Occitanie de l’IGN a annoncé de nouvelles données bien utiles dans la compréhension des changements en cours sur le littoral : la mise en ligne prochaine de l’ortho littoral V3 sur le portail Géolittoral ainsi que la constitution par l’IGN et le SHOM d’une nouvelle base de données de la limite terre-mer, LimTIM, qui hérite, complète et harmonise les travaux menés dans le cadre de Litto3D.
Ces données sur le littoral alimentent plusieurs observatoires (en Occitanie, en Provence-Alpes-Côte d’Azur, en Aquitaine), essentiels dans la gestion du littoral et l’anticipation des risques de submersion marine. Mais ces observatoires ne se contentent pas de présenter le trait de côte et la morpho dynamique du littoral. Ils incluent l’analyse des enjeux socio-économiques, les réglementations, etc.
Des relevés Lidar permettent de quantifier précisément l’érosion littorale (L’Avion Jaune)
Abordant les questions de prospective, Naja Touati de l’université de Toulouse a présenté un travail mené avec l’agence d’urbanisme et la métropole toulousaine pour établir un diagnostic microclimatique et identifier des zones à enjeux en termes de stress thermique : îlots de chaleur et leur évolution possible en fonction de différents scénarios de changement climatique. Pour cela, de nombreuses données ont été assemblées allant de l’occupation du sol aux températures, en passant par l’inventaire des établissements sensibles, la localisation des personnes vulnérables et des enquêtes sur les comportements des ménages. Les cartes climatiques, outils de diagnostic microclimatique peuvent alors être mobilisées par les urbanistes et prises en compte dans le PLUi-H de la métropole, en s’appuyant sur plusieurs types de représentations plus ou moins détaillées.
Après toute une série de cartes détaillées, place aux schémas cartographique pour embarquer les acteurs territoriaux (document Naja Taouti)
Aide à la décisionLes décideurs ont besoin de tableaux de bord et d’indicateurs synthétiques, car, comme l’a rappelé Agnès Langevine, Vice-présidente de la Région Occitanie en charge de la Transition écologique et énergétique, de la biodiversité, de l’économie circulaire et des déchets « en tant qu’élue, ces outils sont compliqués à utiliser… toutes ces cartes et ces couches très utiles aux chargés de mission, ne sont pas simples à interpréter pour l’aide à la décision ».
Elle semble avoir été entendue par TerraNIS qui propose un tableau de bord sur la végétation urbaine, baptisé GreenCity. Sur la base d’un maillage hexagonal, les collectivités découvrent les surfaces végétalisées (obtenues grâce à l’imagerie satellitaire) ainsi que des indicateurs sur la connectivité des espaces verts, la part des espaces privés et publics, sur la surface d’espace vert ou de canopée par habitant, sur leur accessibilité… Elles peuvent même identifier les potentiels de plantation sur certaines parcelles.
Le principe du tableau de bord de Terranis
Vincent Lecamus d’Immergis mise également sur les tableaux de bord, quand il s’agit de concevoir des mobilités douces. Les équipes du spécialiste de l’acquisition à grand rendement d’imagerie à 360° enfourchent désormais leurs vélos pour parcourir les pistes cyclables existantes et en réaliser une cartographie détaillée. Mais les SIG qu’il met en place pour ses clients incluent bien d’autres données sur les flux, le relief, le réseau routier, les services disponibles (où sont les réparateurs par exemple). La vision imagée permet d’identifier des points noirs et nourrit les tableaux de bord web, qui servent à toutes les étapes, depuis les schémas directeurs jusqu’aux travaux de jalonnement des nouveaux équipements.
Dans le domaine de l’énergie, les données agrégées par maille sur les consommations annuelles diffusées par Enedis aident à affiner les politiques publiques de rénovation énergétique. Ainsi, des études ont été menées sur la thermosensibilité des bâtiments, en faisant le lien entre consommation, bâti (BD Topo) et températures.
Aide à la mobilisationL’information géographique doit en outre être capable de mobiliser tous ceux qui doivent l’être dans l’atténuation et l’adaptation au changement climatique. Par leur capacité de « mise en récit », les cartes restent des outils importants, comme l’a bien montré le conseil départemental de l’Hérault. Marie Sarre et Philippe Carbonnel ont produit différentes simulations de submersion marine sur deux sites du département selon les scénarios de référence (2030, 2050 et 2100). Croisées avec les enjeux (patrimoine, habitat, activités socio-économiques, installations sensibles, environnement… 13 thèmes ont été étudiés), elles ont servi à générer des indices de vulnérabilité par mailles hexagonales de 100 mètres de côté qui aident les gestionnaires à repenser leurs activités et nourrissent les réflexions sur les stratégies d’adaptation.
La vulnérabilité de Vendres à la submersion marine en 3 cartes (document CD34)
À Bastia, c’est une maquette 3D réalisée par IGO qui a permis aux élus de se rendre compte que 20 cm d’augmentation du niveau de la mer pouvait avoir beaucoup d’impacts, comme l’a montré Irène Lescure de BRL Ingénierie.
Si Esri a largement fait évoluer ses logiciels afin d’intégrer toujours plus de fonctions d’analyse, il travaille également cette mise en récit, bien visible dans le succès des story maps, qui prouvent, elles aussi, que les représentations cartographiques peuvent jouer un rôle de mobilisation. « Mettez-en plus dans les bulletins municipaux » a ainsi proposé Jean-Yves Garinet de Magellium.
Encore des données à ouvrirLes intervenants et participants au débat sur la transition ont posé la question de l’ouverture plus large des données d’intérêt dans la lutte contre le changement climatique. Ouverture des données de l’IGN en cours, publication des données agrégées de consommation électrique, carte en ligne de l’aléa sécheresse ont été saluées. D’autres données pourraient être ouvertes comme SIOUH sur les ouvrages hydrauliques, qui n’est pas disponible sur toute la France. Certaines données pourraient être très utiles pour l’analyse (production énergétique par exemple) mais relèvent du secret des affaires, ce qui pose la question de modes de diffusion agrégés ou de la création de cercles de partage plus fermés entre acteurs de la transition. Les régies locales de données, les portails thématiques ou territoriaux, de plus en plus co-construits sont des maillons essentiels du partage des données, au-delà de l’open data. « La donnée partagée et reconnue est importante, c’est elle qui nous permet d’établir des diagnostics partagés. C’est un enjeu citoyen et de démocratie, insiste Agnès Langevine. C’est comme cela que nous pouvons élaborer des solutions acceptables ».
Partir des usagesFace au déluge d’informations mobilisables, plusieurs intervenants ont insisté sur la nécessité de partir des besoins et des usages, et d’arrêter la course folle à la captation systématique. « Au début de notre expérience sur la ville intelligente, naïvement, on voulait tout capter » a ainsi rappelé Fabien Blasco, directeur de l’innovation à Montpellier Méditerranée Métropole. Aujourd’hui, la métropole mise plus sur la co-construction de services pensés avec les citoyens et les usagers de la ville au quotidien. Mais c’est un travail long, qui nécessite de mettre autour d’une même table « élus, citoyens, chercheurs, entreprises pour construire des stratégies collectives de lutte contre le changement climatique » comme le souhaite Fabien Blasco, ce qui n’est pas toujours facile. « Je n’ai rien contre les POC (preuves de concepts), a insisté pour sa part Hélène de Boissezon, qui en soutient plusieurs au nom du CNES dans le cadre du Space Climate Observatory, mais ils doivent répondre à de vrais besoins, partir des usages, des métiers et non de nos possibilités technologiques ».
La mobilisation des habitants, usagers et citoyens est également devenue essentielle à toutes les étapes. C’est en équipant plaisanciers et véliplanchistes de petits capteurs bathymétriques qu’Inatysco a pu améliorer la calibration des modèles de submersion marine qui ne se nourrissent de ces données ainsi que de données satellitaires. Dans certaines villes, Immergis organise des carto-parties pour repérer les zones propices à la création de nouvelles pistes cyclables.
Inatysco mobilise satellites et sportifs pour mesurer la bathymétrie
Multi-échelle mais pas toujours en cohérenceAcquise par des drones, des avions, des satellites, des téléphones portables ou via de grandes enquêtes statistiques, l’information géographique se décline à toutes les échelles, mais pas toujours de façon uniforme. « Quand nous avons voulu travailler sur la réduction des déchets en Occitanie, nous n’avions pas de données homogènes sur la région, s’est désolée Agnès Langevine. Idem pour le travail sur la ressource en eau. » Les données détaillées restent trop souvent parcellaires et plusieurs intervenants du débat ont insisté sur la nécessité des décloisonnements entre communautés, de la mise en place de méta-observatoires qui permettent d’avoir une vision à la fois détaillée et générale, capable de transcender les thématiques classiques. Se pose également la question de l’articulation des données disponibles avec les différents niveaux de planification. « Les intercommunalités font leurs plans climat, les régions aussi, la France a sa feuille de route, mais nous n’avons rien pour savoir si nous sommes dans les objectifs » a insisté l’élue régionale.
« Les questions complexes liées à la transition exigent des données géographiques plus évoluées, plus diversifiées, plus actualisées, plus précises et des outils plus adaptés pour en faciliter l’usage effectif » résume Magali Stoll, directrice des programmes et de l’appui des politiques publiques de l’IGN. Encore un bel appel à l’innovation technologique en géomatique, mais qui ne doit pas oublier au passage de prendre en compte sa propre empreinte écologique. Un sujet que l’édition 2020 n’a pas eu le temps d’aborder… Rendez-vous l’an prochain ?
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9:00
Intelligence artificielle ou humaine ? La géomatique mise sur les deux
sur Décryptagéo, l'information géographiquepar Françoise de Blomac pour l’Afigéo
Sujet inévitable, l’intelligence artificielle est de plus en plus utilisée dans le domaine de l’information géographique. Inclure une touche d’IA est même devenu un must pour faire valoir ses solutions. Mais de quoi parle-t-on exactement ? Les GéoDataDays ont soulevé le capot de l’IA et montré, à travers exemples et débat, comment intelligences humaine et artificielle travaillent désormais « main dans la main ».Sous le capot de l’IA ou comment mettre de l’IA dans son SIG ? (document Esri)
Au fait, l’IA, c’est quoi ?Si les origines de l’intelligence artificielle remontent à l’aube de l’informatique et à la machine de Turing, « son développement a été lent et peu médiatisé jusqu’aux années 2000 », comme l’a rappelé Didier Josselin, animateur de la session, directeur de l’UMR Espace à l’Université d’Avignon et ayant lui-même fait une thèse en intelligence artificielle dans les années 90. Pourtant, dès la fin des années 50, le Perceptron de Rosenblatt a été développé, premier algorithme à copier le mode d’apprentissage d’un réseau de neurones humains (voir encadré). D’autres techniques d’apprentissage se développent à partir de 1970. Mais c’est avec le développement des capacités des ordinateurs que l’intelligence artificielle gagne une nouvelle visibilité. Visibilité du grand public en s’attaquant aux joueurs d’échecs puis de Go, mais également chez les professionnels, qui accèdent plus facilement à des algorithmes matures, à des capacités de calcul inégalées et qui doivent trouver les moyens de traiter de plus en plus de données.
L’imagerie en tête de gondoleDans le domaine de l’imagerie, les algorithmes d’apprentissage supervisé existent depuis de nombreuses années, c’est même la base de nombreux outils de classification. Mais les algorithmes génétiques et d’apprentissage profond (deep learning) permettent d’aller plus vite et plus loin dans la reconnaissance de motifs et de formes en prenant en compte de nombreux éléments : les couleurs, leur répartition dans une surface à analyser, les formes à différentes échelles, les rapports de proximité, etc. Les modèles supervisés introduisent une connaissance a priori dans les algorithmes, via des bases d’échantillonnages (des images de chats pour entraîner les modèles à reconnaître un chat). Ainsi l’apprentissage est plus rapide et les prédictions (cette image inconnue représente bien un chat) s’améliorent rapidement. Les modèles non supervisés, eux, travaillent sans connaissance a priori, ils associent des paquets de données qui se ressemblent, puis sont ensuite capables de prévoir que tel ou tel ensemble de données va se classer dans tel ou tel paquet. Pourquoi les réseaux de neurones et autres algorithmes d’apprentissage profond sont-ils plus efficaces que les logiciels traditionnels ? Justement, par leur capacité d’apprentissage itératif, qui leur permet de traiter d’immenses quantités de données. Une fois bien entraînés, ils produisent rapidement des prédictions.
Classification de données, segmentation d’images, représentation d’objets aux limites floues, exploration de relations non évidentes, détection d’objets… Autant de problèmes géographiques auxquels l’IA permet de répondre. Des prédictions en accidentologie à la réalisation de bases d’occupation du sol en passant par l’enrichissement de scènes 3D ou la vectorisation de plans de réseaux, de nombreux thèmes sont aujourd’hui concernés.
Des outils au cœur des SIGUn éditeur comme Esri exploite déjà l’intelligence artificielle pour enrichir les fonctions de ses logiciels (smart mapping dans ArcGIS par exemple, qui propose des styles de représentation adaptés aux jeux de données exploités) et dispose de modules dédiés à la préparation des données d’échantillonnage, à la classification, à l’apprentissage profond, à la cartographie prédictive et à la détection de motifs, comme l’a rappelé David Jonglez, en charge du business développement chez Esri France. Oslandia a créé un plug-in QGIS basé sur son projet de R & D interne Deeposlandia qui facilite la classification sémantique des scènes 2D. Depuis 2019, FME inclut quelques Transformers dédié à la préparation de données pour l’apprentissage profond ainsi qu’un lien vers Picterra, plateforme Web pour faire rapidement de la classification d’image basée sur l’apprentissage profond.
Un module d’apprentissage profond a été développé sous QGIS par Oslandia (Deeposlandia)
Scodify : gagner du temps grâce à l’IAQuand ils ont créé Scodify (aujourd’hui intégré dans Sogelink), Jean-Loup Delaveau et Paul Périé n’envisageaient pas d’utiliser du machine learning pour faciliter la mise en base de données SIG des plans CAO/DAO de récolement des réseaux. Mais c’est un algorithme basé sur un réseau de neurones qui a permis d’atteindre un niveau d’automatisation suffisant pour que leur offre soit compétitive. En effet, chaque producteur de plans a sa manière de coder l’information (« Diam 10, Fonte » chez l’un et « Fte Ø10 » chez l’autre) et chaque opérateur, sa manière de la transcrire en base SIG. Au début, chaque client devait intégralement paramétrer son contexte d’utilisation de l’application. Mais grâce à l’introduction d’un réseau de neurones, ce paramétrage sert à entraîner l’algorithme et associe textes, géométrie, relations de voisinage… L’étape finale de classification manuelle alimente également le modèle, augmentant ainsi sa précision à chaque traitement. Mieux encore, les différents clients peuplent une base commune de données d’apprentissage. Un fonctionnement qui permet à tous de gagner du temps même s’il a ses limites (rien n’empêche deux utilisateurs d’apprendre des codifications contradictoires au modèle). « Nous avons utilisé l’IA pour répondre à un besoin et pas l’inverse, insiste Jean-Loup Delaveau, avec un vrai gain de productivité, de stabilité et une vision collaborative. Cela a été possible car un premier grand compte nous a fait confiance. »
Face à l’hétérogénéité des plans, l’IA a permis à Scodify d’être plus efficace dans leur transformation en bases de données géographiques.
Bâti sur toute la France : passer à l’échelle grâce à l’IAChaque année, 250 scènes SPOT 6/7 sur la France sont reçues, traitées, stockées et diffusées via GEOSUD/DINAMIS. Grâce à un algorithme d’apprentissage profond mis en œuvre via TensorFlow sous Orfeo ToolBox, l’UMR TETIS est aujourd’hui capable d’utiliser ces mêmes images pour en extraire tout le bâti. « Le réseau de neurones attaque l’image à différents niveaux de résolution [panchromatique à 1.5 m et multispectral à 6 m], explique Rémi Cresson, ingénieur de recherche à l’INRAE. Ensuite, on concatène les deux flux d’information pour les transformer en occupation du sol. »
Le fonctionnement du réseau de neurones qui traite l’ensemble des images SPOT 6/7 sur la France métropolitaine (UMR Tetis)
C’est le bâti de la BD Topo qui fait office de « vérité terrain ». 10 millions de petits échantillons ont été constitués (sous forme raster) qui ont permis à l’algorithme d’apprendre à reconnaître le bâti dans les images SPOT. « De façon itérative, on fait lentement converger le réseau de neurones vers le résultat escompté », complète Rémi Cresson. Un tel processus nécessite des ressources informatiques importantes. Grâce au supercalculateur Jean Zay, 30 heures ont été suffisantes pour analyser l’ensemble du territoire métropolitain. Cinq années d’archives ont ainsi été traitées et les cartes qui en résultent sont visibles en ligne sur Lizmap. C’est donc la disponibilité d’un grand nombre d’images (l’archive SPOT 6/7), d’outils de modélisation (TensorFlow), de nombreux échantillons (BD Topo) et d’une grande puissance de calcul qui permet de passer à l’échelle et de traiter la France entière. Les résultats sont satisfaisants même si quelques problèmes subsistent en zone de montagne.
Les traitements par réseau neuronal permettent d’isoler le bâti, les vergers et la vigne de l’ensemble des images SPOT 6/7 couvrant la France.
Adèle : l’IA au service des photo-interprètesPour faire la lumière sur les images ariennes ou satellitaires, il faut parfois en passer par les ombres, comme l’a très bien montré Aurélia Decherf, aujourd’hui chez IGN FI mais rendant compte d’un travail mené chez GeoFit avec Philippe Albert. Afin d’aider les photo-interprètes de l’entreprise, une boîte à outils exploitant des réseaux de neurones a été développée, baptisée Adèle Solutions, facilitant la classification, la segmentation et la détection d’objets dans les images. Elle permet de traiter les ombres, qui peuvent être à la fois les ennemies et les amies des photo-interprètes. Si elles réduisent la luminosité et limitent la capacité d’interprétation, elles peuvent également la faciliter en projetant sur l’image des formes invisibles verticalement (antennes, formes de bateaux, limites de parcelles, etc.). Adèle exploite un réseau de neurones pour produire un masque des ombres sur les images, en exploitant des bases d’apprentissages spécifiques à chaque cas et validées par un expert. Elles peuvent ensuite être éclaircies avec DeshadowNet, facilitant ainsi le travail d’interprétation et de rendu des orthophotographies. Désormais Adèle fait partie intégrante de l’offre de services de GeoFit et a été mobilisée dans différents POC (preuves de concept), montrant par exemple une capacité à déceler beaucoup plus de changements d’occupation du sol que manuellement.
Sur cette image, les ombres du nord du bâtiment ont été traitées par DeshadowNet ce qui permet de reconstituer la bande enherbée et le parking. (Document GeoFit).
Perspectives encourageantesGrâce à leur capacité à traiter de grands volumes de données, les algorithmes d’intelligence artificielle sont promis à un bel avenir dans le domaine de l’information géographique, à l’heure où la course à la numérisation 3D du monde entier est largement lancée. Car, « dans une scène urbaine, la voiture doit voir tout ce à quoi elle est confrontée » rappelle Raphaël Delorme d’Oslandia. Elle doit distinguer rapidement la personne qui traverse du vélo et de la borne incendie, etc. Être capable d’extraire le contexte urbain en combinant l’analyse verticale (images aériennes) et horizontale (images immersives de type StreetView ou Mapillary) sera certainement l’un des enjeux des années à venir et un terrain de jeu de prédilection pour l’intelligence artificielle.
Pour autant, l’IA ne produit pas de miracle. « Au stade de la construction, vous ne gagnez pas de temps par rapport à une méthode plus classique, insiste Aurélia Decherf. Mais une fois que vous avez construit vos bases d’apprentissage, elles sont réutilisables et là, vous gagnez du temps. »
Elle présente également certains biais qui en limitent la portée. Données d’entraînement insuffisantes ou de mauvaise qualité réduisent drastiquement la qualité des modèles. Les difficultés d’interprétation des résultats, surtout quand les couches de neurones s’accumulent produisent un effet « boîte noire » dérangeant. Les algorithmes restent très sensibles aux échelles d’analyse, comme le remarque Didier Josselin, qui y voit un sujet de recherche à explorer. Les algorithmes peuvent même se tromper complètement et confondre quelques lignées colorées avec un pingouin !
Comme l’algorithme n’a aucune idée de ce qu’il cherche à identifier, il peut « rater » des éléments clés qu’un œil humain distinguera sans problème. Ainsi, des chercheurs ont montré que des motifs très abstraits pouvaient être confondus avec des photos de pingouins ou d’étoiles de mer. À l’inverse, il est facile d’insérer dans une image un petit élément perturbateur (quelques pixels incohérents avec l’algorithme), même invisible à l’œil nu, qui mettra en échec la reconnaissance d’objet ou de forme.
Importance de l’expertise humaine
Malgré ces limites, les intervenants reconnaissent tous que l’IA est devenue indispensable et promise à un tel avenir. Pour autant, elle ne remplace pas le travail de l’expert. « Il faut un sachant pour entraîner le réseau de neurones, insiste Paul Périé de Sogelink, un utilisateur qui sait de quoi il parle. L’intérêt du réseau de neurones est d’automatiser les opérations fastidieuses et de les faire passer à l’échelle, pas de remplacer les hommes. »
Il est également fondamental d’avoir une idée claire des attendus, car ils auront un impact pour la mise en place des algorithmes et des chaînes de production. Quand un algorithme d’intelligence artificielle est utilisé pour détecter des signes de cancers sur des radios, qu’est ce qui compte le plus ? Éviter les faux positifs ou les faux négatifs ? Quelles procédures sont mises en place pour remédier aux incertitudes ? « Il faut savoir raison garder, conclut Aurélia Decherf. Et décider ce que l’on utilise en fonction des objectifs à atteindre et des données d’entrée. » Et pour tout cela, il faudra encore longtemps des géomaticiennes et des géomaticiens !
Réseaux de neurones : quand la machine imite le cerveauLes réseaux de neurones permettent un apprentissage profond
« Si je vous lance une balle sans vous avoir prévenu, il y a de fortes chances pour que vous ne la rattrapiez pas. Mais la deuxième fois, vous allez la rattraper. » Didier Josselin a donc commencé la session sur l’intelligence artificielle par cette petite expérience. Que montre-t-elle ? « Quand les neurones sont connectés et activés en même temps, l’information circule mieux. Plus ils sont connectés, plus l’information circule efficacement. » C’est fort de ce constat que l’informatique s’est intéressée aux réseaux de neurones et les utilisent comme une analogie afin de construire des algorithmes imitant les capacités d’apprentissage de nos neurones reliés entre eux par des synapses. D’abord simples, les algorithmes se sont complexifiés et intègrent désormais plusieurs couches cachées de neurones, capables de prendre en compte plus d’information. Les résultats de l’apprentissage permettent de calculer des coefficients qui vont « peser » sur le réseau de neurones et guider le flux d’informations (via les synapses). Une fois qu’il a appris, le réseau de neurones peut analyser l’information d’entrée (une image satellite par exemple) et en déduire une information de sortie (une occupation du sol).
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10:25
Le mobile GNSS temps réel avec positionnement par l’image augmente la sécurité et simplifie les levés
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe nouveau mobile GNSS temps réel Leica GS18 I avec positionnement par l’image peut mesurer ce que vous voyez
(HEERBRUGG, SWITZERLAND, 2020) – Leica Geosystems, une entreprise du groupe Hexagon, dévoile le Leica GS18 I, un mobile GNSS temps réel polyvalent avec positionnement par l’image. Le GS18 I permet aux utilisateurs de capturer des points à distance et de mesurer des points à partir d’images sur le terrain ou au bureau.La technologie de positionnement par l’image (fusion de capteurs combinant un GNSS, l’IMU et une caméra), permet aux utilisateurs d’atteindre des points auparavant inaccessibles ou obstrués de manière sûre et efficace. Le positionnement par l’image est basé sur la technologie photogrammétrique avec un traitement des données en temps quasi réel, permettant aux géomètres de vérifier la qualité de leurs données sur place.
« Le GS18 I, accompagné de l’outil Infinity, nous ouvrent encore plus de nouvelles possibilités pour capturer et mesurer tout ce dont nous avons besoin. Le GS18 I peut aider à combler les données manquantes qui ne peuvent pas être mesurées avec les systèmes GNSS traditionnels, nécessitant souvent de réaliser des relevés complémentaires sur le terrain avec une station totale afin de compléter le relevé. Vous pouvez désormais disposer d’un seul équipement pour effectuer plusieurs travaux sur site avec moins de configurations d’équipement », a déclaré Donald Smith, P.L.S., Chef de projet senior et Directeur chez BL Companies. « Le relevé est effectué plus efficacement car l’équipe GNSS peut capturer tous les détails, même les zones à accès limité. Aucune donnée n’est manquée car les points peuvent être extraits via Infinity plus tard au bureau. »
Le mobile GNSS temps réel le plus rapide au monde désormais doté du positionnement par l’imageLe GS18 I perpétue le succès du Leica GS18 T à compensation d’inclinaison. En plus du positionnement par l’image des points, le GS18 I hérite de toutes les fonctionnalités d’un GS18 T, y compris la possibilité de cartographier et d’implanter des points avec un poteau incliné ou nivelé.
« Nous avons conçu le GS18 I pour les professionnels de la topographie qui ont besoin de mesurer des points qui auparavant ne pouvaient pas être mesurés facilement et précisément avec un GNSS et pour ceux qui veulent capturer l’environnement rapidement et décider plus tard quels points doivent être mesurés », a déclaré Bernhard Richter, vice Président Geomatics chez Leica Geosystems. « Avec le premier mobile GNSS temps réel de ce monde doté de la technologie de positionnement par l’image intégrée, Hexagon apporte également la technologie GNSS à de nouveaux segments d’utilisateurs tout en augmentant la sécurité, la vitesse et la productivité »
Les utilisateurs du GS18 peuvent passer moins de temps sur site et continuer à mesurer des points avec le logiciel Leica Infinity au bureau, ce qui permet de gagner du temps sur site. Si de nouveaux besoins de mesure surviennent, les géomètres peuvent mesurer des points supplémentaires à partir des images capturées. Le GS18 I fonctionne avec le logiciel de terrain Leica Captivate pour la capture d’images, la mesure ponctuelle sur site et l’assurance qualité sur le terrain. Les utilisateurs peuvent aller au-delà des points de mesure et créer un nuage de points 3D automatiquement enregistré et référencé à partir des mêmes images et continuer à travailler dans d’autres logiciels 3D.
Le Leica GS18 I est le mobile GNSS temps réel de qualité topographique le plus polyvalent qui rend la mesure des points obstrués et inaccessibles simple et sûre avec le positionnement par l’image.
Leica Geosystems – when it has to be rightWith more than 200 years of history, Leica Geosystems, part of Hexagon, is the trusted supplier of premium sensors, software and services. Delivering value every day to professionals in surveying, construction, infrastructure, mining, mapping and other geospatial content-dependent industries, Leica Geosystems leads the industry with innovative solutions to empower our autonomous future.
Avec plus de 200 ans d’histoire, Leica Geosystems, une entreprise du groupe Hexagon, est le fournisseur de confiance de capteurs, de logiciels et de services haut de gamme. Offrant de la valeur chaque jour aux professionnels de l’arpentage, de la construction, des infrastructures, de l’exploitation minière, de la cartographie et d’autres industries dépendant du contenu géospatial, Leica Geosystems est le leader du secteur avec des solutions innovantes pour renforcer notre avenir autonome.
Hexagon is a global leader in sensors, software and autonomous solutions. Hexagon (Nasdaq Stockholm: HEXA B) has approximately 20,000 employees in 50 countries and net sales of approximately 3.9bn EUR.
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Contact:
Leica Geosystems AG
Renata Barradas
Communications Manager
+41 41 7278 959
renata.barradas-gutierrez@hexagon.comCet article Le mobile GNSS temps réel avec positionnement par l’image augmente la sécurité et simplifie les levés est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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19:52
Imagerie satellitaires : et maintenant à 15 cm !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueMaxar propose désormais de l’imagerie satellitaire à 15 cm de résolution. Auriez-vous raté le lancement d’un nouveau satellite ? Non, il s’agit d’un rééchantillonnage d’images à 32 cm.L’annonce de Maxar d’images satellites à 15 cm de résolution signe-t-elle la fin des acquisitions aériennes ? L’opérateur des satellites WorldView s’en défend et joue la carte de la complémentarité.
Grâce à son satellite WorldView-3 (WroldView-4 étant tombé en panne en janvier 2019, deux ans après son lancement, laissant quand même une belle archive de quelque 165 millions de km2), Maxar propose aujourd’hui des images à 15 cm de résolution « virtuelle », en appliquant sa nouvelle technologie HD de rééchantillonnage. Cette même technologie servira également à pousser la résolution des images acquises par ses autres satellites WorldView et GeoEye, passant de 50 à 30 cm. Même si seul le canal panchromatique de WorldView-3 permet d’atteindre 32 cm de résolution, le procédé de rééchantillonnage propose des compositions colorées plus facilement exploitables en détection d’objets, comptages et autres outils d’analyse spatiale. Des images qui donnent également un avant-goût de Legion, la prochaine constellation de 6 satellites de Maxar, qui devrait être lancée à partir de 2021. Des images à tester…
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19:48
Revue de presse du 10 au 24 novembre 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEntre ville intelligente, transports intelligents, open data, numérisation 3D et fuite de données de géolocalisation… Découvrez quelques articles parus récemment qui vous concernent.3D : « Réalité augmentée : Niantic veut créer une carte du monde intelligente ». Siècle Digital donne quelques informations complémentaires sur les ambitions de l’éditeur de Pokemon Go dans le domaine de la numérisation du monde.
DATA INTELLIGENCE : « L’armée américaine achète des données de localisation issues d’applications de rencontre, de prière, de météo… ». L’Usine Digitale rend compte d’une enquête menée par Motherboard qui pointe deux fournisseurs principaux : Locate X et X-Mode, qui collectent eux-mêmes des données de géolocalisation via toute une panoplie d’applications, sans que l’utilisateur en soit toujours conscient.
VILLE INTELLIGENCE : « Éclairage, déchets … Le projet smart city d’Angers avance, malgré le coronavirus ». Le Journal du Net fait le point sur les différents projets et la mise en place de l’hyperviseur.
VILLE INTELLIGENTE : « Gorgées de données, les villes cherchent à révéler leurs secrets » ou comment les villes s’organisent pour mieux tirer parti de leurs données et avec quelles limites. (Le Journal du Net)
VILLE INTELLIGENTE : « Autodesk s’offre la start-up Spacemaker, spécialisée dans la conception générative des bâtiments », un atout de plus pour son offre dédiée à la ville intelligente, détaille L’Usine Digitale. Le communiqué de presse en anglais est disponible sous ce lien.
OPEN DATA OU PAS : « Avec son Data Lab, SNCF Réseau façonne ses données pour simplifier leur utilisation » ou comment SNCF Réseau met ses données à la disposition des développeurs et réutilisateurs par L’Usine Digitale
OPEN DATA : « CNRS : un plan ambitieux pour des données accessibles et réutilisables » Interview du directeur délégué à la science du CNRS sur l’ouverture des données de la recherche et le développement nécessaire d’une culture de la donnée.
ÇA POUSSE : « Entrepreneuriat : Adam Mbodou conçoit Carto-Tchad pour faciliter la connaissance du Tchad » Présentation d’une jeune entreprise prometteuse sur Tchad Info
CONCERTATION : « La perception des risques d’érosion côtière et de submersion marine par la population du littoral : les cas de Wissant et Oye-Plage ». Une étude intéressante présentée dans The Conversation qui montre l’intérêt d’associer les populations concernées aux politiques d’aménagement.
MOBILITÉ : « Les bourses de fret : Un atout économique et environnemental » Article intéressant paru sur le blog de PTV Group qui explique comment l’association de technologies de géolocalisation et de mise en relation peut aider à réduire les transports à vide
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10:27
Seeing the seas – le satellite océanique «Sentinel-6 Michael Freilich» est lancé
sur Décryptagéo, l'information géographiqueVandenberg/Californie, le 21 novembre 2020 – Le satellite océanique européen « Copernicus Sentinel-6 Michael Freilich », construit par Airbus, peut commencer sa mission « Seeing-the-Seas ». Le 21 novembre 2020, le satellite a décollé du Space Launch Complex 4E de la base aérienne de Vandenberg en Californie, aux États-Unis. Environ une heure et demie après le lancement, les premiers signaux de l’engin spatial ont été reçus par une station au sol en Alaska.Le Copernicus Sentinel-6 Michael Freilich effectuera des mesures de haute précision de la topographie des océans. Le satellite mesurera sa distance à la surface de l’océan avec une précision de quelques centimètres et utilisera ces données pour la cartographier, en répétant le cycle tous les dix jours, la mission pouvant durer jusqu’à sept ans.
En plus de mesurer l’élévation du niveau de la mer et la circulation océanique à l’échelle mondiale, le satellite enregistrera les profils verticaux de la température et de l’humidité atmosphériques.
« Les résultats de la mission permettront aux gouvernements et aux institutions de mettre en place une protection efficace des régions côtières. Les données seront inestimables non seulement pour l’organisation des secours en cas de catastrophe, mais aussi pour les autorités chargées de la planification urbaine, de la sécurisation des bâtiments ou de la mise en service des digues. Les données aideront également les scientifiques à améliorer encore les prévisions météorologiques et les prévisions d’ouragans », a déclaré Philippe Pham, directeur de l’observation de la Terre, de la navigation et des sciences chez Airbus.
Le satellite évolue à 1336km d’altitude sur une orbite non synchrone avec le soleil inclinée de 66 degrés. Il survole donc un même lieu à différentes heures du jour et de la nuit, ce qui lui permet de mesurer des changements qui peuvent varier sur 24 heures, comme les marées.
Le niveau des mers augmente actuellement en moyenne de 3,3 millimètres par an dans le monde en raison du réchauffement climatique, ce qui pourrait avoir des conséquences dramatiques pour les pays ayant des zones côtières densément peuplées.
La mission Sentinel-6 fait partie du programme Copernicus de l’Union Européenne pour l’environnement. Cette mission comprend deux satellites et a été développée sous la direction industrielle d’Airbus. Bien qu’il s’agisse d’une mission européenne, Sentinel-6 est un véritable exemple de coopération internationale : elle a été développée conjointement par l’ESA, la NASA, EUMETSAT et la NOAA, avec le soutien du CNES.
Chaque satellite est équipé d’un altimètre radar, qui mesure le temps nécessaire aux impulsions radar pour atteindre la surface et revenir au satellite. Combinées aux données précises de localisation des satellites, les mesures altimétriques permettent de connaître la hauteur de la surface de la mer.
L’ensemble des instruments des satellites comprend également un radiomètre à micro-ondes avancé qui tient compte de la quantité de vapeur d’eau dans l’atmosphère, ce qui affecte la vitesse des impulsions radar de l’altimètre.
Pesant environ 1,5 tonne, le satellite Sentinel-6 Michael Freilich commence ainsi à collecter des mesures satellitaires de la surface des océans, poursuivant une tâche qui a débuté en 1992. Le deuxième vaisseau spatial Sentinel-6 devrait le rejoindre en orbite en 2025.
About Airbus
Airbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
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17:05
Une vingtaine de candidats pour le dernier appel à projet IGNfab
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLancé en septembre, le sixième appel à projets d’IGNfab, le programme d’accélération de l’IGN, porte sur l’énergie et le climat. Une vingtaine de réponses vont maintenant être analysées.Avec pour thème l’énergie et le climat, cette sixième édition d’IGNfab a bénéficié de nombreux soutiens tels que l’ADEME, le CEA, ALLENVI, l’ANCRE, l’agence ORÉ, l’IFP Énergies Nouvelles, GRDF, ENEDIS, l’Établissement public territorial Paris Est Marne & Bois. Autant de partenaires qui apporteront eux aussi leurs données et leur expertise aux prochains lauréats.
Les candidats avaient jusqu’au 2 novembre pour envoyer leurs dossiers. « Nous avons reçu une vingtaine de dossiers, détaille David Di Marco, chargé du développement d’IGNfab. Comme nous ne sommes pas sur un thématique grand public, c’est une bonne moisson. Nous avons des projets sur l’identification des bâtiments en perte d’énergie, sur la précarité de l’habitat, sur le potentiel énergétique des territoires, sur l’aide à la décision dans le cadre du changement climatique… Dans l’ensemble, ils sont portés par des PME et des startups qui connaissent déjà bien l’information géographique et ont un bon niveau d’expertise. »
Après une première sélection, le jury entendra les impétrants en décembre. « Malgré le contexte qui a obligé tout le monde à fonctionner en mode dématérialisé, c’est une édition enthousiasmante » se félicite David Di Marco. Rendez-vous en janvier pour l’annonce des résultats.
Pour en savoir plus sur cette édition d’IGNfab, suivez ce lien
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11:10
Le ministère des Armées soutient la start-up Earthcube, qui devient Preligens, dans sa levée de fonds de 20 millions d’euros pour consolider son leadership européen.
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCette levée de fonds menées par Ace Management, aux côtés de Definvest, fonds du ministère des Armées, opéré par Bpifrance, avec 360 Capital, investisseur historique. Elle va permettre à Earthcube de poursuivre et d’accélérer sa phase d’hyper croissance :- En poursuivant ses développements dans les technologies de rupture pour répondre à de nouveaux cas d’usage dans le secteur de la défense et du renseignement ;
- En intensifiant son développement à l’international.
Florence Parly en personne est venue annoncer le soutien à Earthcube qui devient Preligens
La levée de fonds a été réalisée auprès d’Ace Management, fonds de référence dans le secteur des industries stratégiques et de la cybersécurité, Definvest, fonds dédié aux entreprises stratégiques de la Défense, et 360 Capital, fonds reconnu en Europe pour son expertise dans la « deep tech » et investisseur historique d’Earthcube (seed).
Ces trois fonds sont également rejoints par des investisseurs privés reconnus pour leurs expertises, dont Octave Klaba, fondateur et président du conseil d’administration du groupe OVH.
Fondée en 2016 par Arnaud Guérin (CEO) et Renaud Allioux (CTO), Earthcube développe des solutions d’analyse automatique de données (notamment d’informations géospatiales) au moyen de techniques d’intelligence artificielle. Implantée en France, elle est leader européen dans son secteur.
Cette levée de fonds est aussi l’occasion pour Earthcube d’annoncer son changement de nom. La société devient Preligens, un nouveau nom qui reflète davantage la réalité de son activité : mettre à la disposition des analystes des technologies révolutionnaires qui les accompagnent dans une prise de décision rapide et les aident à anticiper des menaces éventuelles.
Cette levée va permettre à Preligens de piloter de manière optimale sa phase d’hyper croissance – la société a multiplié par 4 son chiffre d’affaires en 2019 et en 2020 – et de maintenir ainsi son avance technologique sur les sujets d’intelligence artificielle appliquéau secteur de la Défense et du Renseignement. L’entreprise, basée à Paris et implantée également à Washington D.C. et à Londres, emploie 80 personnes et concentre le plus important centre de recherche en Intelligence Artificielle en Europe dans son domaine.
Pour Arnaud Guérin, Co-fondateur et CEO de Preligens « Notre modèle, qui repose avant tout sur les succès commerciaux remportés par nos produits et la reconnaissance de l’excellence de nos technologies, trouve dans cette levée de fonds un formidable accélérateur pour développer encore plus vite nos innovations technologiques et intensifier le rythme de notre conquête géographique. »
Pour Florence Parly, ministre des Armées, « Nous sommes aux côtés de Preligens – Earthcube à l’époque – depuis leurs débuts ! Les applications de cette pépite nationale sont primordiales pour le domaine de la défense. Elles nous apportent un vrai gain opérationnel pour l’exploitation de nos informations géospatiales : sans Preligens nous ne verrions pas certaines choses. Je suis fière que le ministère des armées participe à cette levée de fonds via Definvest. C’est une vraie success-story à la française, la start-up d’hier est désormais un leader européen employant 80 personnes et réunissant des compétences très complexes, participant directement à notre souveraineté nationale. »
Investir dans la technologie et développer de nouveaux produitsAujourd’hui très avancée dans l’analyse par l’intelligence artificielle de données géospatiales, Preligens étend celle-ci sur d’autres sources cruciales pour le secteur de la défense et du renseignement. Ses développements technologiques permettront d’élargir le champ des possibles pour ses algorithmes pour d’une part anticiper au mieux les besoins évolutifs de ses clients historiques ou naturels et d’autre part répondre à de nouveaux cas d’usage et à de nouveaux clients.
Poursuivre et intensifier le développement à l’internationalPreligens a également la volonté d’accélérer son développement à l’international. Les technologies développées par Preligens lui confèrent en effet un avantage compétitif et un potentiel significatif dans de nombreux pays alliés et auprès d’organisations internationales. Hors de France, la société est déjà présente au Royaume-Uni, dans plusieurs pays de l’Union européenne et aux États-Unis. Preligens entend renforcer sa présence sur ces marchés et en ouvrir de nouveaux.
Selon Augustin Blanchard, Partner chez Ace Management « L’équipe de Preligens nous a séduits par la pertinence et la puissance de sa technologie qui se traduit très concrètement par des contrats importants en Europe et à l’international. Cette avance technologique lui permet de se différencier nettement sur son marché. »
Nicolas Berdou, investisseur expert défense chez Bpifrance renchérit : « En tant qu’acteur ayant pour vocation de soutenir les entreprises innovantes, développant des technologies disruptives et stratégiques pour notre pays, c’est une fierté de participer à la levée de fonds de Preligens et d’accompagner le développement de cette pépite française en France et à l’international. »
Alexandre Mordacq, General Partner chez 360 Capital conclut : « Nous soutenons Earthcube, devenue Preligens, depuis ses débuts et nous avons été très impressionnés par la capacité de cette société à croître et à se développer sur les dernières années. Les fondateurs et leur équipe ont réussi à démontrer que le secteur de la défense et du renseignement peut offrir de superbes opportunités pour des start-ups particulièrement agiles et innovantes. »
Enfin, à l’occasion de cette levée de fonds, Preligens annonce deux nouveaux membres indépendants au sein de son Comité stratégique :
· Fabrice Aubert, secrétaire général groupe de Nexity, a notamment occupé auparavant (entre 2017 et 2019) le poste de conseiller institutions, action publique et transition numérique au cabinet d’Emmanuel Macron, Président de la République ; et
· Marc Fontaine, ancien responsable de la transformation digitale d’Airbus entre 2016 et 2020, a également occupé divers postes de direction, notamment en tant que directeur de cabinet de Tom Enders puis de Fabrice Brégier entre 2007 et 2016.
Intervenants :· Ace Management : Augustin Blanchard, François Lavaste, Nathan Le Clanche
· Bpifrance : Nicolas Berdou, Maud Henrotte, Marie-Laetitia Vassort
· Banque d’investissement : Clipperton Finance (Thibaut Revel, Eloi Verspieren)
· Conseils société : Dechert LLP (Xavier Leroux, Johann Gandilhon)
· Conseils investisseurs : Orrick Rambaud Martel (Benjamin Cichostepski, Vincent Babin), Gide Loyrette Nouel (Pierre Karpik)
· Audit financier : Grant Thornton (Nicolas Tixier, Stéphany Brevost)
· Audit juridique : Orrick Rambaud Martel
À propos de PreligensFondée en 2016 par Arnaud Guérin et Renaud Allioux, Preligens développe des technologies d’analyse, par l’Intelligence Artificielle, de données en masse issues de différentes sources, notamment géospatiales. Basée à Paris, cette société française leader européen dans son domaine et implantée à l’international (Londres, Washington, DC), emploie actuellement 80 personnes dont une majorité de scientifiques qui constituent, au niveau mondial, une des plus grandes équipes en Intelligence Artificielle dans le secteur de la Défense et du Renseignement.
Grâce à ses technologies innovantes, reconnues internationalement, qui aident les analystes à prendre des décisions éclairées, l’entreprise entend contribuer à la construction d’un monde plus sûr.
Pour en savoir plus : https://www.preligens.com
À propos d’Ace ManagementAce Management, filiale de Tikehau Capital, est une société de capital-investissement spécialisée dans les secteurs industriels et technologiques, avec plus d’un milliard d’euros d’actifs sous gestion.
Fondé en 2000, Ace Management investit via des stratégies sectorielles, comme les industries stratégiques, la cybersécurité et les technologies de confiance. Ace a construit son modèle sur des partenariats avec de grands groupes investisseurs dans ses fonds (notamment Airbus, Safran, Dassault Aviation, Thales, EDF, Naval Group, Sopra Steria). Expert de ces secteurs et doté d’une forte culture entrepreneuriale et industrielle, Ace Management accompagne le développement de ses participations dans la durée avec une stratégie différenciée.
Ace Management est présent à Paris, Toulouse, Bordeaux et Montréal, et bénéficie de la présence mondiale de Tikehau Capital.
Pour en savoir plus : https://www.acemanagement.fr/
À propos 360 Capital360 Capital : Investisseur early stage européen
360 Capital est une société de capital-risque, qui investit en early stage dans l’innovation digitale et la deep tech en Europe. Depuis 20 ans, elle accompagne des entrepreneurs talentueux dans la création d’entreprises technologiques à forte croissance. Dirigée par une équipe expérimentée basée à Paris et à Milan, 360 Capital Partners gère 400M€ d’actifs et un portefeuille de plus de 50 participations.
Pour en savoir plus : www.360cap.vc
À propos de Definvest, de Bpifrance et de la Direction générale de l’armementDoté initialement de 50 millions d’euros apportés par le ministère des Armées, le montant du fonds Definvest a été doublé à la demande de la ministre des Armées, Florence Parly, afin d’accompagner les entreprises stratégiques de la base industrielle et technologique de défense dans le contexte de crise COVID-19. Definvest allie les expertises complémentaires de la Direction générale de l’armement (DGA) et de Bpifrance. Le fonds vise, dans le prolongement des dispositifs de soutien aux PME déjà déployés par la DGA, à prendre des participations au capital des pépites technologiques du secteur de la Défense, aux côtés d’investisseurs financiers et industriels, pour leur permettre de se développer en toute autonomie. La souveraineté de notre système de défense repose sur une industrie forte et compétitive. L’industrie de défense française représente 200.000 emplois et compte plus de 4.000 PME technologiques aux côtés d’une dizaine de grands groupes.
Bpifrance finance les entreprises – à chaque étape de leur développement – en crédit, en garantie et en fonds propres. Bpifrance les accompagne dans leurs projets d’innovation et à l’international. Bpifrance assure aussi leur activité export à travers une large gamme de produits. Conseil, université, mise en réseau et programme d’accélération à destination des startups, des PME et des ETI font également partie de l’offre proposée aux entrepreneurs. Grâce à Bpifrance et ses 50 implantations régionales, les entrepreneurs bénéficient d’un interlocuteur proche, unique et efficace pour les accompagner et faire face à leurs défis.
Plus d’information sur : www.Bpifrance.fr – Suivez-nous sur Twitter : @Bpifrance – @BpifrancePresse
Force d’expertise, d’essais et d’ingénierie au sein du ministère des Armées, la Direction générale de l’armement (DGA) a pour missions d’équiper les armées de façon souveraine, de préparer le futur des systèmes de défense, de promouvoir la coopération européenne et de soutenir les exportations. Premier acheteur de l’État, en 2019 la DGA a passé 13,4 milliards d’euros de commandes à l’industrie et investi 890 millions d’euros au profit de l’innovation et des projets de technologie de défense. Avec 18 sites en France, ses 10 000 hommes et femmes civils ou militaires, dont près de 60 % de cadres, ingénieurs ou experts, et son réseau de collaborateurs à l’international, la DGA intervient dans tous les domaines de la défense (combat terrestre, naval, aérien, systèmes électroniques de communication et d’information, dissuasion, espace, cyber-sécurité, robotique, etc.).
Plus d’information sur : www.defense.gouv.fr/dga et www.ixarm.com – Suivez-nous sur Twitter : @DGA
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10:45
Spatial Computing : Science-fiction spatiale au petit-déjeuner
sur Décryptagéo, l'information géographiqueJe ne sais pas si vous êtes comme moi, mais j’ai le petit matin douloureux ! Je me cogne dans les portes pas assez ouvertes, je bute contre les pieds des fauteuils que des lutins ont subrepticement déplacés pendant la nuit, et j’attends dix minutes devant la bouilloire qui ne fait rien alors que j’avais bien appuyé sur le bouton… Bref, les objets et moi, on n’est pas amis amis aux premières heures de ma journée (et ça s’arrange à peine ensuite).
Pourquoi je vous raconte tout ça ? C’est que mes problèmes vont sans doute se régler dans la prochaine décennie grâce au « Spatial Computing », qui fait partie des 10 technologies émergentes du dernier rapport du Forum Économique Mondial, sélectionné avec l’aide des expertes de la revue Scientific American parmi 75 propositions.
L’avenir en Spatial ComputingIllustration : Vanessa Branchi
Qu’est-ce que le spatial computing ? C’est le pont entre les jumeaux numériques (des objets qui nous entourent, de nos lieux de vie, de nos infrastructures, de nos villes, mais également de nous-mêmes), les capteurs, l’Internet des objets et la robotisation. Ainsi, mon univers quotidien étant totalement digitalisé et doté de capteurs, étant moi-même équipée de capteurs, qui communiquent tous entre eux et avec leur environnement (Internet ambiant), capables de déclencher des actions (robotisation), les portes s’ouvriront à mon approche, les fauteuils s’écarteront et la bouilloire cessera de me prendre pour une quiche !
Bien sûr, pour que ce monde merveilleux devienne notre réalité quotidienne, il va falloir constituer beaucoup de bases de données géographiques, de plus en plus détaillées et ajouter une composante géolocalisation à quasiment tous les capteurs. Les géomaticiennes et les géomaticiens devraient donc avoir du boulot dans les prochaines années. Ainsi, les services de secours gagneront quelques précieuses minutes lors de leurs interventions, déclenchant des vagues vertes, ouvrant les portes et guidant les intervenants…
En associant étroitement nos avatars numériques à des capteurs de plus en plus discrets, l’informatique ambiante, basée sur une description 3D, permettra au monde physique de se comporter comme un univers virtuel. Pressés d’y arriver ? Personnellement, je crois que je préfère encore m’engueuler avec ma bouilloire !
PS : Sinon, pour celles et ceux qui aiment la science-fiction, les éditions Gallimard viennent de sortir deux tomes de nouvelles de Philip K. Dick dans la collection Quadro. Voilà ce quoi nous confronter à de nombreuses visions dystopiques, où la réalité n’est jamais ce qu’elle paraît.
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14:23
Au sujet de la « Vérité Terrain », par Benoît Ségala
sur Décryptagéo, l'information géographiqueConsultant indépendant depuis 1996, Benoît Ségala se considère comme un « artisan » dans les domaines de la télédétection et de la géomatique. Il s’intéresse à toutes sortes de problématiques comme l’eau, les risques, l’occupation du sol. Notre billet sur la Vérité Terrain l’a inspiré… voici ses réflexions.
Un ouvrage de La Documentation Française* nous fournit une définition… de la « réalité de terrain » : « connaissance des caractéristiques de la scène étudiée à partir d’observations et de mesures (enregistrées ou non) réalisées in situ », tout en ajoutant que l’emploi de la formulation “vérité de terrain“ ou “vérité-terrain“ est à éviter « en raison de jugements de valeur contenus dans ces expressions »…
Rappelons toutefois que les anglophones parlent aussi de “ground truth“…
Et pour ne pas entrer dans le débat philosophique sur la notion de vérité, comme dit Françoise, nous dirons que quand nous parlons de “vérité-terrain“, on sous-entend qu’il s’agit de la “réalité de terrain“, et qu’elle correspond effectivement à « la mise en correspondance entre une proposition et la réalité ». Mais, comme évoqué, cette réalité est-elle, et doit-elle être, interprétée par l’enquêteur sur le terrain ?
Historiquement, c’est très tôt, dans le cadre du développement des premières applications de la photographie aérienne qu’est apparue la nécessité de vérifier sur le terrain les hypothèses découlant du travail de photo-interprétation d’une vue aérienne et, a posteriori, de contrôler in situ la qualité de la cartographie issue de ce travail.
Également, il s’est très vite révélé évident qu’un travail de photo-interprétation devait se nourrir à la fois de la réalité de terrain (ou vérité-terrain), mais aussi des multiples autres sources de documentation (dénommées aujourd’hui données exogènes) qui peuvent être disponibles pour appréhender le “monde réel“ : en ce sens, une base de données peut constituer une donnée exogène. Par contre, elle ne peut a priori pas être considérée comme étant une vérité-terrain, sauf bien sûr si elle a été spécialement constituée pour remplir ce rôle de base de connaissance de la réalité de terrain (en particulier, pour deux phases essentielles de la production d’une carte : l’initialisation du processus d’interprétation et la validation des résultats).
La question posée dans l’article concerne plus particulièrement la validation de la qualité des résultats issus de la production d’une base de données géographiques, et interroge sur la nature de la donnée qui fait office de vérité-terrain dans ces processus de validation (sous-entendue thématique).
Occupation du sol : la vérité terrain dans les années 90
Vérité-terrain et validation d’une interprétationDans l’absolu, c’est effectivement la réalité de terrain (ou vérité-terrain) qui devrait permettre la validation d’une cartographie ou d’une base de données géographiques.
Mais il faut considérer que ces dernières ont vocation, par définition, à constituer des représentations de la réalité et qu’elles ont été produites au moyen de processus d’interprétation (caractérisation des objets à représenter, identification, généralisation, …) pouvant être mis en œuvre selon des approches très variées (photo-interprétation, PIAO, analyse et traitement d’images, classification, segmentation, analyse spatiale, modélisation, intelligence artificielle…). En conséquence, pour valider l’information géographique ainsi générée, il est impossible de faire abstraction de cette notion d’interprétation : un même objet, ou espace donné, peut être qualifié et représenté différemment (selon l’objectif poursuivi, la thématique privilégiée, les moyens employés pour générer cette information géographique, l’échelle de travail, les spécifications en quelque sorte…). D’ailleurs, il faut bien prendre en considération que dans la production d’une base de données géographiques, l’information réellement issue d’un processus d’interprétation ne représente pas forcément l’ensemble de l’information générée, une partie pouvant découler d’autres bases de données pré-existantes (référentiel, extraction ou croisement de données thématiques, millésime antérieur, …).
Donc, avec quelle donnée de “vérité-terrain“ peut-on valider une base de données géographiques ?
(1) Si la validation s’effectue sur le terrain (oui, cela existe encore), l’enquêteur (notamment quand celui-ci n’est pas un·e photo-interprète ou un·e géomaticien·ne) doit se mettre dans la peau de l’opérateur qui a réalisé la cartographie. Pour établir un lien entre le regard (perspicace bien sûr) de l’enquêteur sur le terrain et l’information géographique produite, le travail de cet enquêteur consiste en l’analyse in situ du “monde réel“ au travers de l’objectif cartographique. Et, effectivement, cela consiste encore en un processus d’interprétation, en prenant en compte d’une part toutes les spécifications définies pour la production de cette cartographie, et d’autre part la nature des différents processus d’interprétation mis en œuvre dans le cadre de cette production.
Cette quête de la réalité de terrain au travers de l’objectif cartographique est primordiale : elle permet que les deux visions, du géomaticien et du thématicien, se rejoignent. Et la tâche n’est pas forcément facile, que ce soit pour celui dont l’œil reste d’ordinaire rivé sur la carte ou son écran, ou pour celui qui a du mal à prendre du recul par rapport à l’échelle 1:1.
Incontestablement, les deux principaux obstacles qui perturbent souvent le regard de l’enquêteur sur le terrain sont, d’une part la difficulté de faire le lien entre la vision au sol et la vue verticale procurée par la donnée “image“, et d’autre part l’exercice de changement d’échelle que représente la relation entre les objets vus in situ et les éléments cartographiés obtenus suite un processus de généralisation en rapport avec l’échelle de restitution.
Par ailleurs, il apparaît parfois difficile de valider sur le terrain quand l’information cartographiée est liée plus ou moins directement à une donnée exogène : quid de la qualification de l’usage d’un espace donné, de celle d’un état transitoire sans avoir l’historique, de prise en compte de limites virtuelles qui n’apparaissent pas sur le terrain, etc…
Tout cela pour dire que, autant le travail de terrain apparaît très constructif lors de l’initialisation du processus d’interprétation, avant et en début de production, autant la démarche de validation des résultats sur le terrain ne constitue pas systématiquement la meilleure solution.
(2) Ainsi, à la fois pour des raisons évidentes de coût, mais aussi par souci d’efficacité, il apparaît désormais difficile de réaliser une validation uniquement sur le terrain. Ainsi, classiquement, le contrôle d’une base de données géographique est entrepris devant un ordinateur, au travers d’un échantillonnage, celui-ci permettant d’analyser des éléments représentatifs de la base de données, au regard de l’ensemble des données disponibles : une vérité-terrain en distanciel…
Cette analyse est généralement effectuée par PIAO, la donnée géographique de référence étant habituellement une ortho-image (soit la même donnée source de référence, quand celle-ci est à haute résolution, qui sert de base à la fois pour la production et pour la validation, soit une donnée image plus fine pour la validation, quand cela est nécessaire). Avec la prise en compte des données exogènes, des spécifications qui ont été imposées au producteur, et de la connaissance de l’ensemble des traitements mis en œuvre lors de la production, il apparaît que la validation est encore effectuée au travers d’un processus d’interprétation.
Il semble pour cela important que le producteur soit distinct de l’opérateur chargé de la validation (dénommée pour cela CQE, contrôle qualité externe), la vision interprétative de chacun pouvant alors rester indépendante l’une de l’autre. Dans une démarche de validation, il s’agit d’être ainsi en mesure d’approfondir l’analyse par PIAO sur ces points d’échantillonnage pour tenter d’approcher au plus près …la réalité de terrain, quitte à conserver la possibilité d’effectuer ponctuellement des contrôles sur le terrain : ceci permettant ainsi de répondre à des interrogations ou des doutes exprimés sur les interprétations initialement proposées.
La matrice de confusion, un outil pour mesurer le niveau de fiabilité d’une classification
(3) Enfin, est-ce-que la validation peut être produite à partir d’une base de données ? La réponse a déjà été donnée en introduction : seulement si celle-ci a été conçue de façon spécifique comme une base de connaissance de la réalité de terrain afin d’alimenter le processus de validation. Ne pouvant disposer de ce type de base de données sur étagères, la création en amont de celle-ci – répondant à des spécifications bien précises, et nécessairement actualisée au regard de la donnée source de référence – représente une lourde tâche. Par ailleurs, ce travail de création relève des deux premiers points explicités ci-avant (couplage PIAO, données exogènes, et terrain), la difficulté étant dans ce cas qu’il faut estimer par avance la distribution des éléments cartographiés pour définir un échantillonnage représentatif…
En guise de conclusionPour justifier de l’intérêt de la vérité-terrain recueillie in situ (la véritable vérité-terrain qu’il convient de ne pas “enterrer“), il ressort de l’expérience que le travail de terrain peut représenter un atout à ne pas négliger : quand il est possible d’y réunir les différents acteurs, c’est l’occasion de rapprocher la vision de chacun, et de se forger une culture commune sur les objectifs et le concept même de la cartographie en projet. Ceci est primordial pour établir un lien fort entre réalité du terrain, données “source“ de référence, et informations géographiques générées. Et quoi de mieux qu’une confrontation avec la réalité du terrain, que devant un ordinateur …ou en visio-conférence.
Encourageons les utilisateurs à appréhender – et prendre en compte – la fiabilité d’une base de données, en leur facilitant la lecture de la mesure de la qualité
Certes, d’une façon générale, une mission sur le terrain représente un investissement conséquent, mais il est désormais possible d’en limiter grandement son usage. En effet, un travail approfondi par PIAO sur des images à la résolution décimétrique permet aujourd’hui d’approcher au mieux la réalité, une quantité phénoménale d’informations pouvant être recueillie en complément par ailleurs : cf. par exemple parmi toutes les données exogènes, l’exploitation de l’imagerie à haute répétitivité temporelle ou simplement celle des images d’archive (en complément d’une image source de référence, pour comprendre les évolutions), ou l’usage de StreetView le long de certains axes routiers (pour s’immerger dans le monde réel, comme si on y était). Sachant que les contrôles ponctuels sur le terrain, qui s’avèrent parfois nécessaires, restent toujours envisageables.
Pour espérer disposer d’un processus efficace de validation thématique, il convient donc en premier lieu d’éviter de reposer le contrôle sur des données pré-existantes. La conduite d’un travail spécifique de validation (CQE, contrôle qualité externe), en parallèle avec celui conduit par le producteur mais indépendamment de lui, et basé sur l’analyse décrite ci-avant (couplage échantillonnage PIAO + données exogènes + terrain), apporte une vision interprétative indépendante, ayant vocation à s’approcher de la réalité et à être comparée à celle du producteur pour juger de la conformité thématique.
En définitive, ajoutons que quand il est question de qualité thématique d’une base de données géographiques, il apparaît la plupart du temps que celle-ci se joue principalement dans les phases préparatoire et d’initialisation de la production : l’étroite collaboration entre les acteurs (commanditaire, producteur, validateur ou contrôle qualité externe, thématicien, utilisateur final de la base de données), dès le début du projet, doit permettre d’établir un équilibre entre ce qui est souhaité ou attendu, ce qui est demandé, ce qui est faisable, et ce qui représente au mieux la réalité.
La validation des résultats n’en est alors que plus facile.
* – Introduction à l’étude de la télédétection aérospatiale et de son vocabulaire, La Documentation Française, 1991
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11:35
Rony Gal, fondateur d’Esri France : 33 ans de passion en vidéo
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDurant l’été 2020, Rony Gal, fondateur d’Esri France a passé le flambeau à Christophe Tourret, nouveau PDG de l’entreprise.N’ayant pu dire au revoir à ses clients, partenaires, collaborateurs et amis pour cause de crise sanitaire, il revient sur sa carrière dans cette vidéo. Un peu d’histoire et beaucoup de passion… en attendant de retrouver Rony désormais à la tête d’une fondation de promotion de l’information géographique, Geo J’aime !
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18:54
Échec du lancement de deux satellites d’Observation de la Terre
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLundi 16 novembre à 2 h 52, la fusée Vega d’Arianespace devait larguer en orbite deux satellites d’observation de la Terre depuis le centre spatial guyanais : SEOSAT-Ingenio et TARANIS.L’échec du dernier lancement de la fusée Vega est sans doute lié à une erreur humaine, comme l’a analysé Arianespace (voir article de Space News sous ce lien). Malheureusement, ce sont deux satellites dédiés à l’observation de la terre qui ont été perdus quelques minutes après le lancement.
Lumières et imagesSylphes rouges, jets bleus, elfes et halos : autant de phénomènes lumineux transitoires que TARANIS devait nous aider à mieux comprendre.
TARANIS, satellite expérimental français du CNES devait mesurer les phénomènes électromagnétiques radiatifs et lumineux dans la haute atmosphère, au-dessus des orages.
Vue d’artiste de SEOSAT-Ingenio
SEOSAT-Ingenio était pour sa part un satellite espagnol, faisant partie du programme national d’observation de la terre. Équipé d’un capteur optique et multispectral, il devait fournir des images de 2.5 à 10 m de résolution, sur une fauchée de 28 km, avec une capacité de revisite de 3 jours. Il avait été construit et instrumenté par un consortium d’entreprises espagnoles sous la direction d’Airbus Defence and Space. Thales Alenia Space y avait également participé. Le satellite appartenait à l’INTA (institut national des technologies aérospatiales).
Vue d’artiste de SEOSAT-Ingenio
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11:04
Issy-les-Moulineaux lance son tableau de bord de l’open data
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa ville d’Issy-les-Moulineaux a mis en ligne cette semaine son tableau de bord permettant de visualiser rapidement les données clés de son portail open data, en lien avec OpenDataSoft. L’aspect interservices des indicateurs regroupant l’ensemble des activités municipales au sein d’un même outil est inédit dans le monde de la data des collectivités locales.
La multiplication des data visualisations au service des habitantsLe tableau de bord développé par la Ville d’Issy-les-Moulineaux avec Datactivist et OpenDataSoft est en ligne ! Alimenté en temps réel par le portail data.issy.com, il offre une vision synthétique des principaux indicateurs-clés du territoire en couvrant la quasi-totalité des services avec plusieurs visualisations pour chacun d’entre eux. Près d’une douzaine de catégories sont répertoriées sur ce tableau de bord parmi lesquelles les démarches administratives, les finances ou l’environnement. Sur ce sujet, on peut, par exemple, suivre les tonnes de déchets électriques et électroniques récoltées lors des collectes mensuelles organisées avec ecosystem, le nombre de parcelles de jardins partagés ou encore les emplacements et le nombre de composteurs collectifs de quartiers. Fin 2019, ce projet de tableau de bord, dont la Métropole du Grand Paris a contribué à hauteur de 30 000 €, avait reçu un prix dans le cadre des 4èmes Trophées open data pour les territoires organisés par La Gazette des Communes et Open Data France dans la catégorie Amélioration des process internes.
Cette initiative s’intègre plus globalement dans la démarche de la ville, depuis près de 10 ans, de démocratiser l’open data en l’éditorialisant. Le portail data.issy.com a ainsi été pensé et scénarisé avec des cartes, graphiques, chiffres clés, galeries photo et vidéos afin de rendre plus lisibles les données qui y sont hébergées.
C’est notamment le cas pour le rapport financier, alimenté par l’open data et qui permet, depuis 2012, de comprendre plus facilement le budget et les mécanismes afférents. C’est aujourd’hui un véritable outil pour scénariser et diffuser une « culture de la donnée » auprès des agents municipaux et sensibiliser concrètement les habitants à l’open data. Le site Issy Sports est lui aussi conçu à partir des données en open data : il référence l’ensemble des clubs et les équipements sportifs de la ville. La Ville a également décliné les visualisations, avec le concours de l’agence Wedodata, autour des questions de la gestion des déchets. Ainsi, le site trier.issy.com permet aux habitants d’avoir les bonnes informations pratiques en quelques clics. Dans le même esprit, pour faciliter le retour à la nature, la Ville a développé l’été dernier le site balades.issy.com. Il permet d’identifier rapidement les parcs et jardins les plus proches, des promenades à faire, à pied ou à vélo, de localiser sur une cartes les arbres remarquables présents sur le territoire.
Bientôt une déclinaison autour du budget climat
Depuis plusieurs mois, la Ville d’Issy-les-Moulineaux recentre sa stratégie smart city sur la lutte contre le changement climatique. Un budget climat ainsi que des objectifs annuels de réduction des émissions de gaz à effet de serre seront fixés tout prochainement. Un tableau de bord dédié, basé sur le portail open data, résumera la progression de ces efforts et sera bien entendu rendu public. « Dès 2021, cet indicateur carbone sera suivi année après année, de manière à m’assurer de l’impact positif des politiques publiques conduites, que ce soit en matière d’aménagement, de mobilité (bornes pour les véhicules électriques, pistes cyclables), d’énergies vertes et propres ou de réduction des déchets. Issy-les-Moulineaux a réussi sa transformation numérique, bien avant la plupart des autres. Nous pouvons réussir de la même manière notre transition énergétique grâce aux actions individuelles de chacun et à nos engagements en faveur d’une Ville exemplaire, capable de répondre aux obligations zéro carbone » déclare André Santini, maire d’Issy-les-Moulineaux.
http://data.issy.com
En chiffres | #LaDataNotreDadaPrès de 300 jeux de données publiés sur le portail open data
Près de 70 000 visiteurs du portail en 2019Cet article Issy-les-Moulineaux lance son tableau de bord de l’open data est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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11:00
4 annonces à l’occasion d’Autodesk University
sur Décryptagéo, l'information géographiqueA l’occasion de AUTODESK UNIVERSITY 2020, grand évènement numérique mondial dédié à toutes les industries AUTODESK partage sa vision sur les nouvelles technologies et sur sa stratégie.Après avoir annoncé le rachat de la pépite norvégienne Spacemaker spécialisée dans la conception générative des bâtiments, AUTODESK a dévoilé quatre annonces fortes dans le secteur du BTP/ Architecture avec toujours la même ambition : celle de construire mieux, de façon plus « intelligente » et plus durable.
Voici 4 annonces : Schneider Electric : un partenariat qui s’inscrit dans l’optimisation de l’efficacité énergétique des bâtiments et qui vise aussi à lutter contre le changement climatiqueA l’heure de la 5G et de la domotique, notre manière de produire, de distribuer, de consommer et de stocker l’énergie est en train d’évoluer. En 2040, 40 % de l’énergie consommée proviendrait alors de sources renouvelables et la plupart des bâtiments seraient autonomes. La conception des systèmes électriques telle que nous la connaissons n’aurait plus lieu d’être. Le BIM s’inscrit désormais dans l’industrie électrique !
Ce partenariat entre Autodesk & Schneider Electric promet une meilleure convergence et automatisation des flux de travail, qui sont à l’heure actuelle totalement déconnectés les uns des autres, ce qui permettra de construire des bâtiments nouvelle génération à haute efficacité énergétique et plus durable, afin de mieux lutter contre le changement climatique.
Communiqué de presse france : [https:]]
Si l’année dernière Autodesk avait annoncé le lancement d’une plateforme qui permettait de réunir des solutions de construction de référence (Assemble, BuildingConnected, BIM 360 et PlanGrid) au sein d’un seul et unique système, aujourd’hui la plateforme évolue. Grâce à l’intégration d’une nouvelle gamme de produits qui permet de relier encore plus les données, les flux de travail et les équipes tout au long du cycle de vie du bâtiment, de la conception aux opérations.
Communiqué de presse france : [https:]]
Tout projet de création d’un jumeau numérique passe forcément par la modélisation BIM des sites existant (bâtiment, réseau, machines). Autodesk Tandem établit un lien entre les mondes physique et numérique pour offrir un aperçu opérationnel en temps réel sur les performances des bâtiments, des installations ou des systèmes.
Communiqué de presse france : [https:]]
La crise sanitaire de la Covid-19 a mis davantage l’accent sur le télétravail et le besoin de former et valider les compétences de ses salariés. Autodesk a développé un programme composé de huit nouveaux parcours d’apprentissage et certifications correspondant au secteur afin de permettre aux équipes d’atteindre leurs objectifs d’apprentissage et de carrière. Autodesk propose des certifications orientées à la fois vers des produits spécifiques, comme la certification « Revit Structure », et vers des rôles du secteur et des flux de travail spécifiques, comme la certification « Fusion 360 Mechanical Design » pour les ingénieurs en mécanique et les machinistes. Ces nouvelles offres fondées sur les rôles évolueront constamment pour tenir compte des tendances émergentes et des besoins changeants du secteur de sorte que les travailleurs peuvent avoir la certitude de ne jamais être dépassés.
Communiqué de presse france : [https:]]
Aujourd’hui plus que jamais nos priorités changent ! Comment l’innovation et la conception de nouvelles technologies renforcent la résilience et ouvrent vers de nouvelles perspectives possibles ?
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9:35
Google Maps, guide anti-Covid ou de vacances ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa nouvelle version de Google Maps sur iOS et Android a été annoncée officiellement le 17 novembre par Dane Glasgow. Une version qui insiste sur le guidage des déplacements en temps de pandémie, mais pas que…Quelques nouveautés de la dernière version de Google Maps
Par un billet sur le blog officiel, Dane Glasgow, le vice-président Google en charge de Google Maps annonce une nouvelle « couche Covid » qui prend plus d’informations en compte, notamment le nombre de cas détectés dans la zone de recherche ainsi que des liens vers d’autres informations officielles. Autre amélioration en lien avec la crise sanitaire : le niveau de charge des réseaux de transports en commun. Désormais, cette information sera plus précise car basée sur les retours en temps réel des autres utilisateurs de l’application.
Sécurité et ponctualitéDeux autres nouveautés sont annoncées. La capacité à suivre ses livraisons de repas en temps réel dans quelques pays (pas la France pour l’instant, mais 70 pays seront bientôt couverts) si vous avez passé votre commande via l’application. Enfin, le déploiement du « driving mode » commence sur Android aux États-Unis. Ce mode enrichit l’interface de navigation en permettant de recevoir et d’envoyer des textos, de lancer de la musique, etc. via une interface purement vocale.
– Pour en savoir plus, article officiel du blog Google sous ce lienCet article Google Maps, guide anti-Covid ou de vacances ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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12:34
HERE Tracking et Actility proposent une solution à guichet unique pour la gestion des actifs industriels sur les réseaux LoRaWAN®
sur Décryptagéo, l'information géographiqueHERE Technologies, plateforme technologique de données de localisation, et Actility, le leader mondial de la connectivité IoT, s’associent pour fournir un service innovant de traçage IoT pour la cartographie et la gestion des données de localisation basée sur les réseaux LoRaWAN®.Présentation de l’offre Actility
Les grands sites industriels et entrepôts sont régulièrement le théâtre de perte ou de vol de marchandises. En outre, lorsque les inventaires reposent sur une saisie manuelle, les actifs ne sont pas toujours stockés efficacement. Trouver un actif dans un entrepôt et optimiser le stock est déjà difficile ; le suivre à travers le monde est une toute autre affaire. Ce sont des défis auxquels répondent HERE Tracking, et ThingPark, la plateforme de gestion de réseau IoT d’Actility. Ces deux outils combinés forment une solution de bout en bout personnalisable pour suivre les actifs et optimiser la chaîne logistique de toute installation industrielle. La nouvelle solution se concentre sur les actifs critiques pour les opérations des clients, tels que les actifs d’expédition consignés ou les emballages industriels consignés, notamment les palettes, les caisses, les bacs, les conteneurs, les chariots élévateurs, les outils industriels et les machines mobiles lourdes.
La solution de gestion des actifs HERE Tracking est basée sur LoRaWAN®, un protocole sans fil à faible consommation d’énergie pour les réseaux étendus. L’un des avantages principaux du LoRaWAN est qu’il permet aux batteries de durer plus longtemps, ce qui réduit considérablement le coût total de possession. Plus de 50 opérateurs de télécommunications dans le monde utilisent déjà la connectivité LoRaWAN grâce à Actility. Son serveur de réseau LoRaWAN pour entreprises, ThingPark Enterprise, exploite plus de 35 000 stations de base de réseau dans le monde entier. Ce partenariat avec Actility bénéficie également des dispositifs de traçage Abeeway qui fonctionnent aussi bien dans les environnements indoor qu’outdoor, grâce à un système de géolocalisation multiple, qui combine le GPS, le GPS à faible consommation d’énergie breveté d’Abeeway, le sniffing WiFi et la technologie Bluetooth Low Energy.
HERE Tracking fait progresser les capacités de positionnement indoor des dispositifs de traçage Abeeway avec HERE Venue Maps et l’application de cartographie radio HERE. Les cartes HERE Venue Maps peuvent être utilisées pour cartographier avec précision l’intérieur et l’extérieur de toute installation industrielle, qu’il s’agisse d’un entrepôt ou d’une usine. L’application HERE Indoor Radio Mapper permet de développer une carte radio personnalisée de n’importe quel site donné pour les technologies WiFi et Bluetooth Low Energy. Grâce à la solution HERE Tracking, les actifs peuvent être suivis non seulement sur les routes publiques, les voies ferrées ou les navires dans le monde entier, mais aussi sur les sols des entrepôts et dans les dépôts privés avec une précision accrue.
HERE peut aussi personnaliser toute solution de traçage pour répondre aux exigences d’un client, d’un produit ou d’un secteur spécifique, y compris le développement d’applications sur mesure. HERE Tracking peut être connectée à des systèmes Enterprise Resource Planning (ERP) et à des Transport Management System (TMS) pour permettre des fonctionnalités étendues. Des tableaux de bord personnalisés peuvent également être créés pour fournir des indicateurs de performance clés adéquats. Les utilisateurs disposent ainsi d’un cadre complet à partir duquel ils peuvent développer leurs applications de suivi et de gestion des actifs. Grâce aux solutions de géolocalisation multi-pays d’Actility, avec son roaming hub LoRaWAN, et à la capacité de HERE à transformer des informations de localisation en données commerciales exploitables, la gestion des actifs industriels n’a jamais été aussi simple.
« Avec HERE Tracking comme base, nous pouvons maintenant offrir à nos clients une interface unique pour gérer tous leurs appareils. Cela améliorera considérablement leur gestion du cycle de vie, car tous les coûts liés au remplacement des objets perdus ou à la recherche d’objets égarés sont désormais obsolètes. Ensemble, HERE et Actility proposent un traçage des actifs en intérieur et en extérieur de manière transparente », déclare Olivier Hersent, PDG d’Actility.
« En nous associant à Actility, nous avons trouvé un partenaire de confiance avec lequel nous pouvons offrir une solution de traçage complète de bout en bout qui peut également être personnalisée pour répondre aux besoins spécifiques des clients. Nous sommes fiers de proposer cette solution avec un leader du secteur LoRaWAN et nous sommes impatients d’aider les clients à obtenir une meilleure visibilité de leurs chaînes logistiques », affirme Ajatshatru Kotwal, directeur de la gestion des produits chez HERE Technologies.
A propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com
A propos d’Actility
Actility est un leader mondial des solutions de connectivité Low-Power Wide-Area Networks (LPWAN), de niveau industriel pour l’IoT. Actility fournit sa plateforme ThingPark™ et sa technologie réseau pour déployer, exploiter et maintenir des réseaux IoT sans fil publics et privés au sein d’une infrastructure réseau unifiée, évolutive et polyvalente. La grande majorité des fournisseurs de services réseau LoRaWAN® à l’échelle nationale (plus de 50) et des centaines d’entreprises font confiance à ThingPark™ dans le monde entier. Par l’intermédiaire de sa filiale Abeeway, Actility fournit également des solutions brevetées de suivi à très faible consommation d’énergie. ThingPark Market offre le plus grand choix de passerelles, de dispositifs et d’applications IoT interopérables pour simplifier et accélérer le déploiement à travers des cas d’utilisation.
Contactez-nous ici : [https:]]
Contacts Presse : AxiCom
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
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12:08
Satellites : la visualisation bluffante de LeoLabs
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa prolifération des débris spatiaux amène les sociétés spécialisées et agences à mettre en place des systèmes de surveillance (voir notre article ici). Ainsi, LeoLabs, start-up de la Silicon Valley s’appuie sur un réseau de stations radar pour suivre tout ce qui se passe en orbite basse… et offre au grand public un outil de visualisation impressionnant.Fondé en 2015, LeoLabs s’appuie sur des stations radar situées en Alaska, au Texas et en Nouvelle-Zélande pour suivre les constellations de satellites en orbite basse (donc ceux de télécommunication et d’observation de la Terre tels que SPOT, Sentinel ou Pléiades). Elle propose ses services de suivi et de détection de conflits potentiels sous forme d’abonnements par le biais d’une interface Web : LeoView. Bonne nouvelle pour les simples curieux que nous sommes, cette interface, avec des fonctions réduites, est également accessible au grand public sans inscription.
Ainsi, sur LeoView, chacun peut suivre en temps réel l’ensemble des satellites en orbite, effectuer des recherches par nom de satellite, pays d’origine, altitude, etc., et afficher une couche de plus de 15 000 débris. À terme, l’entreprise va multiplier ses radars (un quatrième est en construction au Costa Rica) afin d’amplifier et d’affiner ses mesures.
Certes, les échelles de représentation des satellites ne sont pas respectées, ce qui donne une fausse impression d’encombrement de l’espace, mais la visualisation du globe virtuel reste très fluide et impressionnante. À tester, ne serait-ce que pour s’amuser.
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15:24
Bientôt tous contributeurs de Google StreetView ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCaleb Potts a remarqué une nouvelle fonction dans la version mobile de Google StretView. Elle pourrait permettre à n’importe quel téléphone d’acquérir des vues immersives.Google cherche-t-il de nouveaux contributeurs à Google StreetView ? C’est en tout cas ce que semble penser Caleb Potts, journaliste à Android Police, quand il a découvert le « driving Mode » chez certains utilisateurs de la version mobile. En activant l’appareil photo du smartphone, quel qu’il soit, ce mode permettrait d’acquérir des vues de la rue, qui pourraient alimenter la base de données, avec des fonctions automatiques de floutage des visages et des plaques d’immatriculation. La firme de Mountain View aurait-elle été inspirée par Mapillary, racheté depuis peu par Facebook ? À suivre…
Source : Google tests letting anyone add Street View imagery with just their phone sur Android Police
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12:55
Neo4j lance le nouveau connecteur Apache Spark
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCe connecteur ouvre le vaste écosystème Spark à la technologie des graphes de Neo4jSAN MATEO, Californie – le 12 novembre 2020 – Neo4j?, le leader de la technologie des graphes, annonce la disponibilité du connecteur Neo4j pour Apache Spark, un outil d’intégration qui permet de déplacer les données dans les deux sens entre la plateforme de données de graphes de Neo4j et Apache Spark™.
Apache Spark est la couche d’orchestration des données de prédilection pour les entreprises, en particulier dans les circuits de données complexes caractéristiques des applications d’apprentissage automatique et d’analytique prédictive. Le connecteur Neo4j pour Apache Spark permet un accès facile et bidirectionnel entre les ensembles de données de graphes de Neo4j et de nombreuses autres sources de données, notamment les bases de données relationnelles et les référentiels semi-structurés et non-structurés (NoSQL). Il convertit les tableaux de données en graphes et fait la conversion inverse selon les besoins. Ce nouveau connecteur disponible gratuitement est entièrement pris en charge pour les clients de Neo4j.
grâce au connecteur Neo4j pour Apache Spark, les utilisateurs peuvent fusionner des données Spark avec des données de graphes Neo4j pour répondre à davantage de questions, obtenir de nouvelles perspectives et créer de nouvelles solutions.
Le connecteur Neo4j pour Apache Spark apporte une réponse à la demande des communautés Spark et Neo4j d’intégrer les graphes aux systèmes d’apprentissage automatique, pour unifier les silos de données et pour tirer une plus grande valeur ajoutée des bases de données existantes. Selon l’étude indépendante, « Graphes de connaissances : les priorités des directeurs IT » récemment menée par Pulse, les trois principales raisons qui motivent les décideurs informatiques des entreprises à étendre leur utilisation des graphes de connaissance sont l’amélioration des systèmes d’apprentissage automatique et d’intelligence artificielle (60%), la création de nouvelles sources de revenus (50%) et la connexion données cloisonnées pour que l’information devienne plus accessible (50%).
Pour les clients de Neo4j : le connecteur Neo4j pour Apache Spark connecte les données de graphes Neo4j à un ensemble plus large de données dans l’écosystème Spark. Le connecteur Spark convertit les sources de données tabulaires en données de graphes afin de mettre en évidence davantage de contexte et de perspectives dans Neo4j. Grâce à l’intégration bidirectionnelle, Spark peut nettoyer et convertir les données avec lesquelles fonctionnent les applications basées sur les graphes Neo4j et réinjecter ces données de graphes dans tout workflow Spark.
Pour les utilisateurs de Spark : le connecteur Neo4j pour Apache Spark introduit des capacités avancées des graphes dans l’écosystème Spark afin que les entreprises puissent utiliser des informations contextuelles pour améliorer les projections, l’analytique et les prévisions. Grâce à ce connecteur, les équipes peuvent ajouter facilement des données de graphes à des tâches à forte valeur ajoutée telles que l’apprentissage automatique, sans avoir à retravailler les circuits existants.
Amy E. Hodler, Director of Graph Analytics and AI Programs chez Neo4j, explique les raisons de l’engouement des clients pour une connexion entre Neo4j et Spark.
« Dans leur grande majorité, les entreprises clientes de Neo4j disposent d’Apache Stark dans leur environnement de données, » indique Amy E. Holder. « Avec le connecteur Neo4j pour Apache Spark, nos clients consolident leurs circuits de données et étoffent leurs données de graphes Neo4j en accédant au vaste écosystème de Spark. Ce connecteur permet aux data scientists et aux développeurs d’applications de fusionner facilement les données de graphes de Neo4j avec les données Spark pour répondre à davantage de questions, obtenir de nouvelles perspectives et créer de nouvelles solutions. »
En janvier, Gartner a publié An Introduction to and Evaluation of Apache Spark for Modern Data Architectures*, rapport qui présente et évalue Apache Spark dans les architectures modernes de données. Selon ce rapport, « Spark est devenu une plateforme de production viable pour répondre aux attentes des entreprises. Pour les développeurs, elle est facile à comprendre et à utiliser pour développer des solutions. Spark a aussi développé une communauté dynamique de contributeurs et de solutions. L’architecture de Spark et la facilité avec laquelle elle peut être utilisée pour ingérer, traiter et analyser des workloads opérationnels ou des analytiques lui permettent de réduire les délais entre l’entrée de données et la production de perspectives. »
*Gartner, An Introduction to and Evaluation of Apache Spark for Modern Data Architectures, Sanjeev Mohan & Sumit Pal, 14 janvier 2020.
Pour en savoir plus à propos du connecteur Neo4j pour Apache SparkLe connecteur Neo4j pour Apache Spark est disponible en téléchargement ici. Pour plus d’informations, consultez l’article de blog The Great Hookup: Announcing Neo4j Connector for Apache Spark.
Le 17 novembre, le prochain événement virtuel de Noe4j, Connections: Graph Architecture and Integrations, présentera les principaux cas d’usage et les meilleures pratiques d’intégration de la base de données de graphes de Neo4j à des technologies populaires, dont Apache Spark.
Ressources
Guide Neo4j du développeur Apache Spark
Guide Neo4j pour les développeurs Apache Spark
Centre des téléchargements Neo4j
À propos de Neo4j
Neo4j est le leader de la technologie des bases de données de graphes. Avec le plus grand nombre de déploiements au monde, Neo4j aide des entreprises mondiales – comme Airbus, Michelin, NASA, Crédit Agricole et Volvo – à prédire et identifier la façon dont les personnes, les processus, les lieux et les systèmes sont interconnectés. Grâce à cette approche par les relations, les applications mises au point en utilisant Neo4j relèvent les défis associés aux données connectées, tels que l’analytique et l’intelligence artificielle, la détection de fraude, les recommandations en temps réel et les graphes de connaissance. Pour en savoir plus, merci de consulter Neo4j.com et @Neo4jFr.
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Contacts presse :
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Bruno Sanvoisin
Tel : 06 82 52 62 39
Mail : bruno@bs-communication.com
© 2020 Neo4j, Inc., Neo Technology®, Neo4j®, Cypher®, Neo4j® Bloom™ et Neo4j® Aura™ sont des marques déposées ou une marque de commerce de Neo4j, Inc. Apache Spark™ est une marque commerciale de l’Apache Software Foundation. Toutes les autres marques sont la propriété de leurs sociétés respectives.
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13:11
Revue de presse du 27 octobre au 10 novembre 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSuivez le Vendée Globe et l’évolution des commerces. Découvrez des villages amérindiens et la musique des planisphères. Interrogez-vous sur les enjeux du rachat de Mappy par la RATP, sur l’avenir du spatial, sur le pilotage par les données et l’impact de la 5G sur les données géographiques… Bonnes lectures.NAVIGATION : Plusieurs cartographies interactives permettent de suivre le Vendée Globe en direct et sont reprises dans différents médias. Nous en avons repéré deux pour nos lecteurs : La carte « officielle », publiée sur le site de la course et celle de Ouest France en partenariat avec Voiles et voiliers. Toutes deux très complètes.
WORLD MUSIC ou carte du monde en musique ? C’est en tout cas possible au piano comme l’a révélé Joaquim Campa sur Twitter. Vous allez être surpris, c’est même audible ! Bientôt des tests pour savoir quelle projection sonne le mieux à nos oreilles averties ?
ARCHÉOLOGIE : « Douze nouveaux sites précolombiens découverts dans le secteur de Saül » ou comment le Lidar révèle les traces de sites à fossés dans la forêt guyanaise. Un reportage de Guyane Première.
COMMERCE : « Exclusif : survolez la France des enseignes… et remontez dans le temps ». Le Journal du Net propose une carte interactive (sous Mapbox) des enseignes commerciales en 3 dates : 2010, 2015 et 2020. À explorer…
COVID-19 : « Confinement : l’échec du pilotage des données localisées » et même géolocalisées. La Gazette des Communes se fait l’écho des maires qui dénoncent des indicateurs non stabilisés et un manque de transparence.
5G : « Sans cartographie, point de 5G » : Le Journal du Net revient sur l’utilisation des données 3D et des SIG dans la course à la 5G.
ESPACE : « Pour la première fois, la NASA s’oppose publiquement à une constellation de satellites ». L’orbite du projet d’AST & Science de 240 satellites de communication serait trop proche du A Train qui comprend plusieurs satellites d’observation de la Terre. À lire sur Presse-Citron
MAAS : « Avec le rachat de Mappy, la RATP s’offre un navigateur numérique à la française ». Le Monde détaille les enjeux de ce rachat qui propulsent la RATP dans la bataille du MaaS.
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12:47
Guyane : un voyage au pays des cartes
sur Décryptagéo, l'information géographiquePuisque l’heure est au sur-place, voici une proposition de voyage que vous n’êtes pas près d’oublier. L’Atlas critique de la Guyane paru récemment aux éditions du CNRS sous la direction de Matthieu Noucher et Laurent Polidori vous embarquera à plus d’un titre.Interroger la carte, tant dans sa production que dans son usage, est au cœur de la démarche de ce volumineux Atlas Critique de la Guyane. Interrogations techniques sur un territoire qui résiste aux méthodes cartographiques les plus modernes, mais également interrogations politiques, sociales et culturelles, tant ce territoire est encore aujourd’hui mal connu et reconnu. Ce sont donc près de 80 contributeurs qui ont été mobilisés, pour sortir les vieilles cartes des tiroirs (mais également les photos, les schémas, les récits), les déconstruire, les critiquer et proposer de nouvelles représentations sur des sujets aussi variés que les circulations, l’orpaillage, les cultures sur brûlis, l’habitat informel, la biodiversité, le littoral… (et je suis loin d’avoir achevé ma lecture). Parce que l’approche est chaque fois originale, ces 330 pages vous embarqueront de surprise en surprise, aux plus près de celles et ceux qui vivent en Guyane, malgré les « blancs sur la carte ». C’est une somme, que dis-je une multiplication de points de vue qui construit une nouvelle vision de ce petit bout d’Europe en Amérique, de son histoire et de son immense richesse culturelle. Nous lui devons bien cela !
La Guyane dans la BD, dans l’imaginaire des enfants… l’atlas critique rebondit sur toutes sortes de représentations.
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18:48
Mesure du changement climatique : le lancement de Sentinel 6 retardé au 21 novembre
sur Décryptagéo, l'information géographiqueIl devait décoller de la base aérienne de Vandenberg en Californie le 10 novembre à bord d’une fusée Falcon 9 de SpaceX, mais c’est avec 11 jours de retard que Sentinel 6 (aussi baptisé Michael Freilich) sera mis en orbite.Le satellite Sentinel-6 au moment de l’insertion dans sa capsule de lancement
Le satellite d’observation du niveau des mers et de l’épaisseur des glaces du programme Copernicus, est victime du retard pris par la fusée d’Elon Musk dans le lancement des satellites GPS de nouvelle génération début octobre. Rappelons que Sentinel 6 est équipé d’un radar altimétrique, couplé à un radar à synthèse d’ouverture plus classique, afin de fiabiliser les différences de mesures entre deux dates. Il dispose également d’un radiomètre à micro-ondes, afin de prendre en compte la vapeur d’eau qui pourrait fausser les mesures. Fruit d’une collaboration entre l’ESA, la NASA, Eumetsat et la NOAA avec l’aide du CNES, Sentinel 6 devrait acquérir des mesures tous les dix jours sur 95 % des océans.
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17:21
Vérité Terrain, mais il est où le terrain ? Et elle est où la vérité ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa vérité terrain n’est plus ce qu’elle était. Et vous, qu’en pensez-vous ?©serikbaib pour AdobeStock
De plus en plus de techniques d’analyse spatiale s’appuient sur « la vérité terrain » pour valider la qualité des résultats. Votre intelligence artificielle ou votre photo interprète préféré disent que ces parcelles sont des espaces enherbés, et la vérité terrain vous le confirme, permettant au passage de constituer une couche dédiée à la fiabilité des interprétations proposées, mesurée par écart à la vérité terrain. Les géomaticiennes et géomaticiens courent-ils les champs pour vérifier leurs analyses ? Que nenni. La plupart du temps aujourd’hui, la vérité terrain s’avère être… une autre base de données, déjà constituée et reconnue, parfois bien antérieure. La BD Topo, un plan cadastral, une autre base d’occupation du sol… généralement plus détaillée. Dans certains domaines, cette vérité terrain peut même être produite automatiquement (voir cet article, ou cet article par exemple).
Sans entrer dans un débat philosophique sur la notion de vérité, le bon sens nous dit que la vérité est la mise en correspondance entre une proposition et la réalité à laquelle elle se réfère. Quant au terrain cher aux géographes, disons, pour faire court, qu’il fait référence à la surface terrestre. Bref, la validation d’une interprétation par la « vérité terrain » nous indique clairement que cette interprétation devrait être confrontée à une réalité observable, en dehors de tout processus d’interprétation. Bien sûr, me direz-vous, tout n’est qu’interprétation puisque nous sommes, nous, pauvres humains, soumis aux filtres de nos sens, de nos sentiments, de nos humeurs, de notre culture… Alors, finalement, une base de données déjà reconnue ne fera-t-elle pas aussi bien l’affaire qu’un enquêteur de terrain ? D’autant plus que le terrain coûte cher et qu’il est donc souhaitable de le limiter (sans parler des contraintes sanitaires !).
Mais, au fur et à mesure que nous mettons le monde en bases de données et en chiffres, en nous appuyant sur d’autres bases de données pour vérifier qu’on fait toujours aussi bien, voire mieux, ne risquons-nous pas de figer nos représentations du monde ? De dériver doucement vers une seule vision interprétative, qui se nourrit d’elle-même, de plus en plus éloignée de la réalité (des réalités) ? Alors, ne faudrait-il pas trouver d’autres termes pour décrire les processus de validation des bases de données ? Amis géographes, philosophes et promeneurs, je vous pose la question…
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10:55
GEOCONCEPT présente Opti-Time TourSolver Winter 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAjouter facilement de nouveaux contacts depuis Microsoft 365 ou directement depuis le terrain, concentrer les visites autour du point de départ des livreurs ou encore améliorer les performances de calcul de la solution : Opti-Time TourSolver Winter 2021 fait gagner du temps à ses utilisateurs et maximise l’efficacité des activités de terrain.Paris, le 05 novembre 2020 – GEOCONCEPT, leader des technologies d’optimisation géographique pour les professionnels, annonce la nouvelle version de sa solution SaaS d’optimisation de tournées Opti-Time TourSolver. La version Winter 2021 apporte l’intégration native à Microsoft 365 via le calendrier et les contacts Outlook, des fonctionnalités de sectorisation enrichies telles que l’équilibrage des secteurs autour des sites, la possibilité de gérer les opportunités depuis le terrain ainsi que des améliorations pour la vitesse de calcul et l’ergonomie.
Opti-Time TourSolver est une solution SaaS d’optimisation et de suivi des tournées conçue pour permettre aux spécialistes de la logistique et de la planification ainsi qu’aux équipes de terrain de concevoir et d’exécuter facilement des plans de tournées optimaux, pour des visites, des interventions techniques, des livraisons et des collectes.
Grâce à ses puissants algorithmes d’optimisation, à son interface intuitive et à la prise en compte des spécificités et des complexités de chaque métier, Opti-Time TourSolver augmente la performance opérationnelle de toutes les équipes. Les fonctions de suivi en temps réel permettent de valider la qualité des tournées et de gérer les aléas qui peuvent se présenter tout en conservant une organisation optimale.
Nouvelles fonctionnalités de la version Winter 2021 :Intégration Microsoft 365
Nativement connectée à la suite Microsoft 365, la version Winter 2021 permet aux utilisateurs d’importer rapidement leurs contacts Outlook dans Opti-Time TourSolver. Ils sont alors disponibles pour le processus d’optimisation de tournées. Les utilisateurs peuvent aussi exporter simplement les rendez-vous optimisés dans leur calendrier Outlook et disposer d’un agenda synchronisé en permanence.
Sectorisation
- Équilibrer le nombre de points de visite en fonction d’un ou plusieurs indicateurs. Les utilisateurs pouvaient déjà équilibrer leurs secteurs en fonction du nombre de points de visite. Ils peuvent désormais prendre en considération un ou plusieurs critères d’équilibrage supplémentaires, comme la quantité à livrer ou la durée de visite, afin de répartir de manière plus équitable la charge de travail entre les équipes.
- Équilibrer les points de visite autour des ressources. Cette fonctionnalité permet de créer des secteurs optimisés autour de points centraux, tels que le point de départ des tournées (domicile des livreurs par exemple).
- Équilibrer les secteurs avec les points de visite les plus proches. Cette méthode permet de générer des secteurs en se basant sur la proximité géographique entre les chauffeurs et les points de visite. D’autres critères d’affectation peuvent être appliqués, tels que la compatibilité (par exemple les livraisons de frais ne peuvent être affectées qu’à des chauffeurs disposant de camions frigorifiques).
Gestion des opportunités depuis le terrain
Les utilisateurs peuvent désormais créer des fiches client directement depuis l’application mobile, ce qui permet d’enregistrer automatiquement la localisation et les informations associées à de nouveaux points de visites. Ces opportunités identifiées directement depuis le terrain sont synchronisées en temps réel dans le référentiel clients d’Opti-Time TourSolver. Elles pourront ainsi être intégrées aux prochains plans de tournées.
Amélioration des performances
Les utilisateurs qui le souhaitent peuvent accélérer les performances d’Opti-Time TourSolver grâce à la mise en place d’un serveur de calcul à haute performance. Cette option est spécialement adaptée au traitement d’importants volumes de données.
Ergonomie
Les utilisateurs d’Opti-Time TourSolver Winter 2021 bénéficient de nombreuses améliorations ergonomiques qui facilitent la prise en main et l’adoption de la solution :
- L’administrateur peut désormais consulter les statistiques d’utilisation par utilisateur afin de mesurer le taux d’adoption et envisager les actions nécessaires (formation, ateliers…) ;
- Des trucs et astuces sur l’utilisation et sur l’actualité métier sont présentés aux utilisateurs pendant les calculs d’optimisation des tournées ;
- Pour faciliter la consultation des informations présentées dans le diagramme de Gantt, chaque tournée revêt à présent la même couleur et le même numéro que ceux affectés dans la carte.
L’application mobile est disponible pour toutes les ressources mobiles sur le terrain, sans coût supplémentaire. Rendez-vous sur Google Play ou l’App Store.
Alors que de nombreuses entreprises sont encore à l’œuvre pour assurer leur mission sur le terrain pendant le confinement, GEOCONCEPT offre un accès gratuit et sans engagement à Opti-Time TourSolver Winter 2021, pour toutes les entreprises de livraison, de services à domicile et organisations disposant d’équipes sur le terrain : [https:]]
Le Groupe GEOCONCEPT, éditeur français de solutions logicielles d’optimisation géographique pour les professionnels, se positionne aujourd’hui parmi les leaders mondiaux de la planification des interventions terrain et de l’optimisation de tournées. Reconnu comme acteur majeur du Field Service Management et du Vehicle Routing & Scheduling par le cabinet Gartner, GEOCONCEPT optimise quotidiennement les déplacements de 155 000 ressources dans le monde.
Livraison du dernier kilomètre, gestion des interventions terrain, performance commerciale, géomarketing, développement de réseaux, SIG, géo-décisionnel… : les domaines d’application de la géoptimisation sont nombreux et les bénéfices engendrés multiples (15 à 30 % de gain de productivité, réduction des coûts opérationnels, satisfaction client, conditions de travail améliorées).
Grâce à ses nombreuses possibilités de déploiement (SaaS, on-premise, mobile, server, API…), l’ouverture de ses technologies, la couverture géographique de ses solutions et son support 24/7, GEOCONCEPT gère des projets d’envergure internationale.
Le Groupe GEOCONCEPT est implanté à Paris, Grenoble et Caen, et dispose de bureaux aux Etats-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse. Des partenaires stratégiques revendent également les solutions du Groupe dans de nombreux pays dont la Grande-Bretagne, le Mexique, le Brésil ou encore le Japon.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller – katherine.haller@axicom.com
Vincent Rosso – vincent.rosso@axicom.com
Contact marketing : GEOCONCEPT
Laura L’hoiry – laura.lhoiry@geoconcept.com
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10:53
Accélérateur de start-up : le groupe RATP lance sa saison #2
sur Décryptagéo, l'information géographiqueÀ l’occasion du salon Autonomy, le groupe RATP lance la seconde édition de son accélérateur de start-up dédié aux nouvelles mobilités et au mieux vivre en ville. 6 start- ups sélectionnées pourront bénéficier d’une accélération business durant 6 mois, pour tester et déployer leurs solutions et services sur le réseau RATP.Jungle Bus, l’un des lauréats de la saison 1 de l’accélérateur de startups du groupe RATP
6 start-ups, 6 thématiquesLes candidats sont invités à postuler jusqu’au 26 novembre 2020 via la plateforme dédiée. A l’issue d’une première phase de pré-sélection, réalisée par SPARK, le programme start-up du Groupe, les start-ups retenues devront pitcher devant les experts métier du Groupe, en fonction des six thématiques suivantes :
- Réseaux de surface de demain : imaginer le futur des transports en bus et tramway, les services voyageurs en gare routière, l’accessibilité voyageurs et le partage de la circulation avec les nouvelles mobilités.
- Voyage simplifié : réinventer et simplifier le quotidien des voyageurs sur l’ensemble du réseau, rapprocher les voyageurs des services utiles en ville grâce à un accueil personnalisé et agréable.
- Attractivité des talents : attirer les talents de demain, valoriser les collaborateurs et développer les formations.
- Nouvelles technologies d’assistance physique : soulager les collaborateurs dans les réalisations des tâches les plus répétitives tout en améliorant l’efficience et la productivité.
- Digitalisation des métiers : digitaliser et rendre plus agiles les processus, fluidifier l’accès à l’information, la remontée des situations en temps réel et faciliter les interactions entre agents RATP.
- Résilience Covid : déployer des solutions innovantes et efficaces répondant aux enjeux sanitaires actuels.
Le jury dévoilera début 2021 les 6 start-ups sélectionnées. Ces dernières bénéficieront de 6 mois d’accompagnement (janvier à juin 2021) afin de tester et déployer leurs solutions à l’ensemble du réseau RATP
Un programme d’accompagnement de 6 moisDès 2021, les start-ups lauréates auront accès aux conseils des experts métiers de la RATP, mais aussi du Startup Leadership Program (programme de formation de 6 mois à but non-lucratif pour entrepreneurs, partenaire de la RATP) grâce à des crédits de mentoring à utiliser en fonction de leurs besoins.
Le programme permettra aux start-ups de pitcher prioritairement devant RATP Capital Innovation, le fond d’investissement du Groupe, en cas de levée de fonds. Les expérimentations sur le terrain nécessaires au développement des solutions proposées seront financées par le Groupe.
La RATP offrira également l’accès à Urbanopolis, son réseau de lieux d’innovation.
Enfin, les start-ups lauréates se verront offrir un coup de pouce en termes de communication, grâce à leur présence sur le stand RATP de Vivatech 2021, mais également une campagne de communication d’une semaine dans toutes les stations du métro parisien.
En dates- 5 novembre 2020 : ouverture de l’appel à candidature
- 26 novembre 2020 : clôture des candidatures
- Décembre 2020 : session de pitch devant le jury RATP
- Début 2021 : Annonce des start-ups Saison #2 et lancement de l’accélération
Pour sa première saison, le groupe RATP a accéléré le business de 6 start-ups : Geovelo, Bubble VR, Jungle Bus, BulldozAir, FieldBox.ai et Bioxegy. Malgré les impacts de la crise sanitaire, le Groupe n’a cessé d’accompagner les lauréats, actuellement en cours de développement sur le réseau RATP.
- Geovelo participe à l’intermodalité et propose un système de guidage sécurisé pour les voyageurs cyclistes. Le calculateur développé par la start-up a fait ses preuves et a déjà été intégré dans les réseaux RATP Dev en France.?
- Bubble VR / Wedo développe une nouvelle solution permettant de créer facilement des tutoriels vidéo sur les savoir-faire stratégiques et de les partager entre pairs. Cette solution est en phase d’expérimentation sur le tramway de Casablanca.
- Jungle Bus cartographie au plus juste les réseaux de transport formels et informels, partout dans le monde. Ce service est en cours de contractualisation pour auditer le référentiel cartographique des arrêts de bus en Île-de-France.
- BulldozAir permet de simplifier la gestion et le suivi des chantiers du Groupe grâce à l’industrialisation d’une plateforme de pilotage collaborative. Cette solution est en cours de déploiement auprès des collaborateurs RATP, notamment sur les chantiers de rénovation ligne 4 et ligne 6.
- Fieldbox.ai optimise en temps réel la gestion du matériel roulant. Le Groupe finalise l’intégration de cette application métier, capable de générer des scénarios d’optimisation par IA. Après avoir formé les chef.fe.s de régulation et aiguilleur.se.s, cette solution permettra de les aider quotidiennement dans leurs décisions d’affectation du matériel roulant (RER) impactant la fluidité du trafic, et la maintenance du matériel.
- Bioxegy s’inspire des nageoires de baleines à bosse pour repenser les pales de ventilateur installées dans les métros et ainsi améliorer le renouvellement de l’air des espaces souterrains. Cette innovation participe au plan d’actions ambitieux proposé par la RATP à Île-de-France Mobilités sur la qualité de l’air intérieur.
Contact presse
Léa Commeau
06 49 60 72 23 lea.commeau@ratp.fr
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10:50
Sogelink lance PraDICT.io, première plateforme de communication entre collectivités, maîtres d’ouvrages et exécutants de travaux
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 05 novembre 2020 – Pour permettre aux collectivités d’optimiser la gestion des chantiers se déroulant sur l’espace public et renforcer la collaboration entre les différentes parties prenantes (maîtres d’ouvrage, entreprises de travaux…), Sogelink lance la plateforme PraDICT.ioUn portail unique en France pour réaliser gratuitement les déclarations prévisionnelles de chantier
Avant de démarrer un chantier sur l’espace public, les maîtres d’ouvrage ont la possibilité de réaliser une déclaration prévisionnelle de chantier (DPC) destinée à prévenir les collectivités des travaux envisagés sur leur territoire, conformément au code de la voirie routière (Article L115-1). Les collectivités quant à elles doivent assurer la coordination de l’ensemble des chantiers programmés, avec pour principale difficulté l’anticipation de ces interventions multi-acteurs. Sogelink propose désormais un portail unique en France assurant la centralisation et l’échange d’informations entre ces différentes parties prenantes.
« Lorsque les maîtres d’ouvrage prévoient des travaux sur le domaine public, ils doivent réaliser un certain nombre de démarches à l’instar des DPC. Cependant il n’est pas toujours évident d’identifier le bon interlocuteur ni de connaître le process pour lequel a opté la collectivité, qui de son côté se retrouve à traiter des demandes hétérogènes. Aussi, en favorisant la collaboration entre les différents intervenants, nous permettons d’une part aux maîtres d’ouvrage de bénéficier d’un point d’entrée unique, gratuit et standardisé pour transmettre leurs DPC et d’autre part, aux collectivités de disposer d’une vision globale des travaux devant se dérouler sur leur territoire. Elles sont alors en mesure de prendre les dispositions nécessaires afin de limiter la gêne occasionnée aux usagers.
Grâce à la mutualisation de ces informations, les exécutants de travaux sont guidés dans les démarches administratives obligatoires liées à la réalisation des chantiers (DT1, DICT2, DA3, DPS4…). » Jean-Marc Ledez, Manager Gestion du domaine public et production chez Sogelink.
Une expérience éprouvée de plus de 20 ans auprès des collectivités
Déjà présent auprès des collectivités depuis plus de 20 ans, notamment avec ses solutions Littéralis (rédaction des actes réglementaires, recensement et coordination des travaux et évènements, cartographie de l’ensemble des interventions) déployées dans plus de 400 villes et EPCI et 35% des Conseils départementaux, Sogelink ajoute une corde à son arc avec PraDICT.io
« Grâce à notre base de clients déjà installés et à notre référentiel constamment mis à jour, nous avons l’ambition de devenir l’agora de référence où se rencontrent et échangent tous les acteurs impliqués dans l’occupation de l’espace public », ajoute Jean-Marc Ledez.
En France, plus de 35 000 communes et plus de 1 200 établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), sans oublier les 101 départements, sont susceptibles de recevoir les DPC sur PraDICT.io, d’y répondre, et de suivre les chantiers via nos solutions Littéralis.
« Le seul fait de savoir à qui s’adresser, lorsqu’on est porteur d’un projet de chantier est déjà une gageure. Nous y remédions de manière très concrète et efficace », conclut Jean-Marc Ledez.
À propos de Sogelink
Créé en 2000 par Ignace Vantorre, Sogelink accompagne tous les acteurs de l’écosystème des infrastructures, des chantiers et du patrimoine avec des solutions logicielles, cloud et mobiles. Toutes ses solutions s’appuient sur une plateforme technologique de services notamment d’échanges de flux à très grande échelle. Avec
18 000 clients et plus de 100 000 utilisateurs, Sogelink ambitionne d’être l’expert incontournable des solutions numériques, intelligentes et collaboratives de gestion 2D/3D/4D des données pour son écosystème. www.sogelink.fr
Contact presse
Maurine CASSIN « La Nouvelle Agence »
+33 (0)1 83 81 71 40
maurine@lanouvelle-agence.com
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17:53
Broderies paysagères
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDécouvrez les broderies paysagères de Victoria Rose Richards qui subliment les vues aériennes.Si certains de nos lecteurs (ou certaines de nos lectrices) sont à la recherche d’occupations pendant le confinement, Victoria Rose Richard peut sans doute vous inspirer. Ses broderies de paysages vus d’avion sont un vrai régal, et peuvent être achetées directement en ligne pour celles et ceux qui sont plus à l’aise avec un clavier qu’avec une aiguille.
L’artiste Victoria Rose Richards, diplômée de biologie et amoureuse de la nature vit avec le syndrome d’Asperger. Depuis 2018, ce sont les paysages anglais qui l’inspirent. En associant points classiques et nœuds, elle nous embarque dans un voyage coloré et sensuel…
Son compte Instagram sous ce lienCet article Broderies paysagères est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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16:34
Sogelink s’engage pour l’écologie avec ses collaborateurs et soutient Time for The Planet
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 19 octobre 2020 – En s’engageant auprès de Time for The Planet, Sogelink vient confirmer son fort engagement en matière de RSE, un sujet qui tient à cœur de l’entreprise et de tous ses collaborateurs depuis 20 ans.De la parole aux actes, Sogelink prouve son engagement par des actions fortes comme il y a déjà 10 ans avec la Fondation Sogelink
En 2010, alors que Sogelink s’apprête à célébrer ses 10 ans, la catastrophe en Haïti fait la une des médias. Face à ce drame, l’entreprise décide de s’engager aux côtés d’associations à but humanitaire et concrétise cet engagement en créant la Fondation d’entreprise Sogelink, une Fondation ayant pour objet d’améliorer les conditions de vie humaine (favoriser l’accès à la culture, l’éducation, la santé) et matérielles (favoriser l’accès aux réseaux d’eau, d’assainissement, rénover des écoles) des individus à travers le monde et dotée dès la création d’un budget de 30 000 euros par an. A l’époque, peu d’entreprises de moins de 50 collaborateurs comptent une Fondation et Sogelink se positionne comme précurseur sur la prise en compte de ces questions sociétales et environnementales.
10 ans plus tard, la Fondation s’est pérennisée et permet à Sogelink de soutenir chaque année entre deux et trois associations, pour un budget total qui atteint 43 000 euros cette année. Dons, mécénat de compétences, collectes de matériel informatique ou sensibilisation des collaborateurs font partie des actions mises en place par la Fondation pour soutenir les associations sélectionnées. Aujourd’hui, après avoir accompagné beaucoup de projets internationaux, Sogelink voit plus local et sélectionne des associations plus proches. L’objectif : dépasser le simple don financier pour apporter un accompagnement plus complet et durable tout en pouvant associer tous les collaborateurs aux initiatives des associations soutenues
Au sein de l’entreprise, de nombreuses initiatives RSE ont déjà été menées et un plan d’actions bien établi guide l’entreprise : prise en compte des questions liées au climat et à l’environnement, au traitement des minorités, à l’égalité Femmes-Hommes, à l’art et la culture, etc. Aujourd’hui, Sogelink, qui a jusqu’à présent beaucoup œuvré sur la partie sociétale de la RSE, souhaite pousser plus loin son engagement sur l’aspect environnemental et marque ce tournant en soutenant Time for The Planet.
L’engagement de Sogelink et de ses collaborateurs auprès de Time for The Planet pour construire un monde durable
Aujourd’hui, le secteur de la construction représente en France 6 % des émissions totales de gaz à effet de serre quand l’empreinte écologique du numérique, elle, augmente de 5 % par an. Selon un rapport du Sénat, en 2019, le numérique a même produit à lui tout seul 3,7 % des gaz à effet de serre dans le monde et 2 % du total des émissions françaises. Face à ce constat alarmant, Sogelink, qui se trouve à la croisée des secteurs de la construction et du numérique, a senti la nécessité de faire passer son engagement écologique au niveau supérieur. De là est né sa volonté de s’associer à Time for The Planet.
Time for The Planet est l’une des premières sociétés à mission de France. Son objectif est simple : construire une société plus résiliente, durable et inclusive. Pour ce faire, Time for The Planet rassemble en ce moment même 1 milliard d’euros qui serviront à créer 100 entreprises dans le monde visant à lutter contre le dérèglement climatique. Pour créer ces entreprises, Time for The Planet identifie des scientifiques et des inventeurs porteurs d’innovations à fort potentiel, les met en relation avec un entrepreneur aguerri du secteur, puis finance l’entreprise avec l’argent levé par le fonds Time for The Planet. Chaque innovation est ensuite disponible en open source et peut être déclinée, commercialisée, améliorée par d’autres individus partout dans le monde. Le but de ce modèle ouvert est de répondre rapidement à l’urgence climatique, plus pressante que jamais. Citoyens, entreprises ou même associations sont invités à rejoindre le mouvement en devenant associé dès 1€ d’investissement.
Au-delà de l’aspect environnemental, Time for The Planet défend des valeurs chères à Sogelink telles que l’innovation, l’open source et l’entrepreneuriat. Le petit plus : l’initiative est lyonnaise et permet à Sogelink de s’impliquer avec ses collaborateurs. Ils sont nombreux à s’être engagés auprès de Time for The Planet, associés comme Sogelink au projet.
En s’associant ensemble (collaborateurs à titre individuel comme l’entreprise a titre de personne morale), Sogelink fait la preuve de son engagement écologique, tout en impliquant et en faisant levier sur la puissance du collectif de ses collaborateurs dans sa politique RSE. Cet engagement dans Time for the Planet a vocation à s’inscrire dans la durée car l’investissement combiné de Sogelink et de la majorité de ses collaborateurs leur a permis d’accéder au club des « gros bras » des associés de Time for the Planet, qui donneront lieu à de nombreuses actions communes dans les prochains mois.
Aujourd’hui, le secteur du bâtiment et des travaux publics, relativement en retard sur les questions environnementales, opère une prise de conscience et certaines grandes entreprises s’engagent. Il était important pour Sogelink, précurseur depuis toujours sur son marché, de montrer l’exemple et d’aider à une prise de conscience généralisée du secteur.
“Ces dernières années, de grandes entreprises du secteur, pour certaines clientes de Sogelink, ont commencé à prendre conscience de leur rôle à jouer dans la lutte contre le réchauffement climatique. Il était primordial pour nous, de montrer l’exemple, comme nous le faisons depuis déjà 10 ans avec la Fondation”, commente Emily Renaux, Manager Marketing chez Sogelink et associée de la première heure de Time For the Planet.
Au-delà des actions déjà en cours, comme l’alimentation à 100% de leurs serveurs par de l’énergie décarbonée ou l’association à Time for the Planet, Sogelink ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et réfléchit déjà à de nouvelles manières d’agir sur son empreinte carbone : revoir la politique de déplacement, mesurer voire compenser son empreinte carbone ou établir une charte fournisseurs sont autant de pistes en cours d’exploration.
À propos de SogelinkCréé en 2000, Sogelink accompagne tous les acteurs de l’écosystème des infrastructures, des chantiers et du patrimoine avec des solutions logicielles, cloud et mobiles. Toutes ses solutions s’appuient sur une plateforme technologique de services notamment d’échanges de flux à très grande échelle. Avec 26 000 clients et plus de 93?000 utilisateurs, Sogelink ambitionne d’être l’expert incontournable des solutions numériques, intelligentes et collaboratives de gestion 2D/3D/4D des données pour son écosystème.
Entreprise lyonnaise à but non lucratif, Time for the Planet agit à grande échelle contre le dérèglement climatique. Son objectif est de lever 1 milliard d’euros pour créer et financer 100 start-ups, dimensionnées pour lutter contre le réchauffement de la planète. Citoyens, entreprises, scientifiques, entrepreneurs, financiers, ambassadeurs… les investisseurs de Time For The Planet sont multiples et pourront mesurer le succès de leur placement en fonction des tonnes de CO2 économisées. Time for The Planet intervient dans le sourcing des inventions, le recrutement d’entrepreneurs aguerris et l’injection d’argent pour leur déploiement. Grâce à l’open source, chaque technologie sera à disposition de tous afin de pouvoir être dupliquée et améliorée partout dans le monde. Depuis sa création en janvier 2020, Time for The Planet a déjà réuni près de 700k€ et compte déjà plus de 3 000 actionnaires dont Jean Jouzel, Climatogue français, ancien Vice-Président du GIEC qui a reçu le Prix Nobel de la Paix ou encore Jean-Michel Aulas, Président de l’Olympique lyonnais. https://www.time–planet.com/fr
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16:16
Airbus remporte l’étude de la mission TRUTHS de l’Agence spatiale européenne pour la traçabilité métrologique des données d’observation de la Terre
sur Décryptagéo, l'information géographiqueTraduction automatique réalisée sous Google Trad et révisée manuellement
TRUTHS fournira une référence du bilan de rayonnement de la Terre par un étalonnage cohérent relié à une référence métrologique
Cet étalonnage cohérent améliorera également les missions satellites existantes
Stevenage, 3 novembre 2020 – Airbus a obtenu la direction du contrat de l’Agence spatiale européenne (ESA) pour les TRUTHS A / B1 (études de faisabilité et pré-développement du système) dans le cadre du programme d’observation de la Terre de l’ESA.La mission satellite TRUTHS collectera des mesures du rayonnement solaire et de la lumière du soleil réfléchie sur la surface de la Terre selon une référence métrologique absolue, qui seront ensuite utilisées pour améliorer l’ensemble des données climatologiques et calibrer les observations d’autres satellites. Ce système spatial d’observation du climat et d’étalonnage permettra de comparer plus facilement les données d’autres satellites, fournissant des normes plus strictes d’harmonisation des données pour des prévisions encore plus précises du changement climatique.
L’étude définira le concept de mise en œuvre du système de mission TRUTHS et se concentrera sur la préparation de technologies critiques avant la mise en œuvre de la mission en 2023.
TRUTHS portera un radiomètre absolu solaire cryogénique (CSAR) pour fournir une norme d’étalonnage principale afin de comparer les mesures du rayonnement solaire entrant et du rayonnement réfléchi sortant – mesurées avec un capteur d’imagerie hyperspectrale (HIS) également inclus dans la charge utile – avec une précision sans précédent. Ces mesures permettront d’estimer le déséquilibre radiatif sous-jacent au changement climatique et, surtout, plus rapidement que ce qui est actuellement possible. TRUTHS servira à calibrer d’autres capteurs satellitaires, tels que ceux transportés dans les missions Copernicus, à travers des opérations de co-imagerie.
Richard Franklin, directeur général d’Airbus Defence and Space au Royaume-Uni, a déclaré : « La validation des données sur le changement climatique de la Terre est au cœur de cette mission passionnante – qui aura un impact profond sur les études futures. Il fournira l’étalon-or de l’étalonnage pour l’observation de la Terre depuis l’espace – une sorte de laboratoire d’étalonnage dans l’espace ». Pour la première fois, la communauté scientifique internationale pourra croiser ses mesures et données permettant des prévisions et des analyses beaucoup plus précises, notamment à partir du programme européen Copernicus.
L’intégralité du communiqué de presse en anglais sous ce lien
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15:48
Vendée Globe 2020 : explosion de la tech et des datas sur les bateaux de course au départ
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLe Vendée Globe 2020 signe l’avènement des capteurs, algorithmes, de l’IA et des IOT embarqués mis au point par les entreprises bretonnes de l’écosystème de laSailingValley. Concentrée en Bretagne, cette filière unique au monde mise sur l’innovation collective pour produire des bateaux et des skippers d’exception scrutés d’Auckland à San Diego.Dix-huit bateaux sur trente-troisalignés sur la ligne de départ ont été conçus en Bretagne et équipés de briques technologiques innovantes.L’avènement des foils, ces appendices qui font voler les voiliers à très haute vitesse a été la révolution de la dernière édition du Vendée Globe. Une évolution de rupture entrainant une multitude de contraintes autres que la force du vent, des courants ou les caprices de la météo.
Tout d’abord, un suivi de la résistance des matériaux est plus que jamais nécessaire.
À très haute vitesse, la stabilité du vol nécessite une précision et une réactivité de pilotage essentielle en course en solitaire pour éviter le chavirement ou la collision avec un obstacle.
“Un bateau « simple » génère une trentaine de données, un IMOCA (classe du Vendée Globe) près de 500 et un Ultim, qui embarque environ 120 points de mesure grâce à la fibre optique, produit 750 datas différentes. Sur un tour du monde, cela représente 37 milliards de données!” explique Olivier Douillard, fondateur de l’entreprise bretonne AIM45. Basée à Fouesnant, elle transforme les flux de data en informations objectives, immédiatement accessibles et exploitables par le skipper.« Pour les concurrents du Vendée Globe, avoir précisément l’historique des charges sur leurs foils pour régler les alarmes » poursuit l’ancien coureur qui traite aussi les datas de tous les engins nécessitant du contrôle et de l’optimisation : cargos, éoliennes, ponts, etc.
Les foils permettant de voler et de décupler la vitesse des bateaux avec très peu d’intensité de vent, augmentent aussi inversement la charge sur la barre d’où la nécessité de mettre au point des pilotes automatiques spécifiques.
« Avec l’arrivée des foils, nous avons dû réécrire de A à Z toute la conception des pilotes automatiques, qui sont devenus ultrasophistiqués, indique Henry de Mallet ingénieur recherche chez NKE spécialiste d’électronique marine. Nous sommes passés dans une nouvelle ère, nécessitant l’assemblage de briques technologiques ». A tel point que le fabriquant les conçoit en opensource pour interconnecter à d’autres technologies.
Cette évolution entraine d’autres problématique. « A commencer par la vulnérabilité des connexions des capteurs ou la consommation d’énergie à bord qui a été multipliée par deux, explique Jean François Cuzon, PDG de PIXEL SUR MER qui conçoit des outils de traitement des données transmises au pilote.Tant que les algorithmes ne sont pas trop lourds, les consommations restent raisonnables. Sur une course autour du monde on reste cependant limité par les débits réseaux satellites Inmersat ou IrridiumCertus ».
Créée en 2018 et basée à Port La Forêt, BSB Marine a de son côté lancé le premier système d’aide à la navigation basé sur la vision et l’IA. Baptisé OSCAR, il s’inspire des capteurs développés pour les voitures autonomes pour détecter les objets flottants, identifiés ou non (OFNI) et réduire les risques de collision. « L’intelligence artificielle d’OSCAR repose sur le deep-learning pour améliorer en continu ses performances de détection », précise Gaëtan Gouerou président de BSB Marine. Placé en tête de mât OSCAR équipe déjà 60 % des bateaux du Vendée Globe.
Images sublimes de foilers fonçant au reaching dans l’écume ? La voile vit une nouvelle ère sportive et technologique. Mais derrière l’avènement des voiliers de compétition volants, se cache un autre bigbang, l’explosion de la tech et des datas.
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15:50
GEOCONCEPT dévoile sa nouvelle gamme de solutions SIG : Geoconcept GIS 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueChef de file de l’optimisation géographique made in France, GEOCONCEPT repense sa gamme SIG autour de la simplicité de l’expérience utilisateur : simplicité d’utilisation, d’accès, de collecte et de partage.Paris, France, 03 novembre 2020 : GEOCONCEPT, concepteur leader de technologies d’optimisation géographique pour les professionnels, annonce la refonte de sa gamme de logiciels SIG, portant désormais le nom : Geoconcept GIS. Principal objectif de cette refonte : aider les organisations à exploiter tout le potentiel de leur territoire tout en répondant aux nouvelles exigences des utilisateurs en matière d’ergonomie, d’accès aux outils, de collecte et de partage de données.
A l’occasion de cette refonte, GEOCONCEPT dévoile les nouveautés de l’édition 2021 de sa nouvelle gamme, résolument centrée sur la simplicité. Les organisations ont pris conscience de la nécessité de maîtriser leur territoire pour optimiser leur prise de décision. Elles ont aujourd’hui besoin de solutions clés en main, plus simples d’utilisation et plus flexibles. C’est dans cet esprit que cette gamme SIG a été entièrement repensée, autour de nouvelles fonctionnalités métiers, d’une approche plus collaborative et d’un modèle de commercialisation par souscription (modèle Software as a Service – SaaS).
Pour résumer son offre, GEOCONCEPT concentre désormais son expertise autour de deux grandes gammes de solutions : Geoconcept GIS (analyse cartographique, géomarketing, SIG dédié à la défense, portails cartographiques web) et OPTI-TIME (optimisation des déplacements de ressources sur le terrain), auxquelles vient s’ajouter une offre complète d’APIs de géoptimisation (géocodage, sectorisation, planification, etc.).
Une approche plus collaborative
Toujours en quête de solutions plus ergonomiques, les utilisateurs apprécieront les nouvelles fonctionnalités proposées au sein de Geoconceppt GIS 2021, notamment en matière d’amélioration de l’expérience utilisateur (UX) : mise en page, aide à la recherche, onglets masqués, raccourcis fonctionnels, personnalisation des commandes…
Collaboration et partage font également partie de l’ADN de cette nouvelle gamme. De nouvelles capacités d’interaction avec la carte permettent notamment des allers-retours sans fermer ou enregistrer la conception. Un intérêt particulier a également été porté à la gestion de la centralisation des ressources d’une carte, permettant de partager un référentiel commun avec plusieurs collaborateurs.
En outre, Geoconcept GIS 2021 intègre des fonctionnalités avancées de diffusion web permettant de partager facilement des études et des données sur Internet. L’utilisation en mode web des API de géoptimisation, des Webmaps et des requêtes topographiques offrent à l’utilisateur la possibilité d’enrichir les études existantes de fonctionnalités innovantes (calcul d’itinéraires, recherche à proximité…) et de disposer de données continuellement à jour. L’enrichissement des fonctions de création et d’administration des portails permet également de simplifier la gestion des sites web cartographiques.
Une offre simplifiée avec des fonctionnalités désormais standard
Avec sa nouvelle gamme, GEOCONCEPT simplifie son offre : moins de versions différentes des produits, et des fonctionnalités initialement accessibles depuis des modules additionnels désormais intégrées en standard dans les solutions. Des fonctionnalités comme le reporting, l’affichage intelligent des éléments de la carte ou encore la centralisation et le partage des données entre utilisateurs se retrouvent ainsi disponibles nativement dans les solutions, sans surcoût, permettant de garantir une couverture fonctionnelle étendue à l’ensemble des utilisateurs et de les accompagner au mieux dans leurs études.
Un nouveau modèle de souscription (SaaS)
A l’écoute de l’évolution du marché et des besoins de ses clients, GEOCONCEPT confirme la migration progressive de l’ensemble de ses solutions vers le cloud computing.
D’un modèle de commercialisation par licences, GEOCONCEPT passe en mode souscription (SaaS), pour offrir plus de flexibilité à ses clients. Les utilisateurs peuvent ainsi ajuster plus facilement et rapidement leur consommation en fonction de leurs besoins (à la hausse ou à la baisse), tout en bénéficiant des nouvelles fonctionnalités désormais disponibles en standard.
« Nous avions à cœur de bâtir une offre résolument plus mature, performante et collaborative. La nouvelle gamme de solutions Geoconcept GIS en est l’aboutissement » explique Eric Lanzi, PDG de GEOCONCEPT.
En savoir plus sur Geoconcept GIS : [https:]
A l’occasion du lancement de Geoconcept GIS 2021, GEOCONCEPT propose à ses clients des conditions préférentielles de migration jusqu’à la fin de l’année : [https:]
A propos du Groupe GEOCONCEPT
Le Groupe GEOCONCEPT, éditeur français de solutions logicielles d’optimisation géographique pour les professionnels, se positionne aujourd’hui parmi les leaders mondiaux de la planification des interventions terrain et de l’optimisation de tournées. Reconnu comme acteur majeur du Field Service Management et du Vehicle Routing & Scheduling par le cabinet Gartner, GEOCONCEPT optimise quotidiennement les déplacements de 155 000 ressources dans le monde.
Livraison du dernier kilomètre, gestion des interventions terrain, performance commerciale, géomarketing, développement de réseaux, SIG, géo-décisionnel… : les domaines d’application de la géoptimisation sont nombreux et les bénéfices engendrés multiples (15 à 30 % de gain de productivité, réduction des coûts opérationnels, satisfaction client, conditions de travail améliorées).
Grâce à ses nombreuses possibilités de déploiement (SaaS, on-premise, mobile, server, API…), l’ouverture de ses technologies, la couverture géographique de ses solutions et son support 24/7, GEOCONCEPT gère des projets d’envergure internationale.
Le Groupe GEOCONCEPT est implanté à Paris, Grenoble et Caen, et dispose de bureaux aux Etats-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse. Des partenaires stratégiques revendent également les solutions du Groupe dans de nombreux pays dont la Grande-Bretagne, le Mexique, le Brésil ou encore le Japon.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller – 06 52 03 24 58 — katherine.haller@axicom.com
Vincent Rosso – 06 59 40 74 79 – vincent.rosso@axicom.com
Contact marketing : GEOCONCEPT
Laura L’hoiry – laura.lhoiry@geoconcept.com
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12:44
Géodata : sur la corde raide de l’éthique
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’un des deux grands débats des GéoDataDays 2020 portait sur l’éthique. Un sujet complexe et à tiroirs comme l’ont bien montré les intervenants. Un sujet qui doit amener à inventer de nouvelles solutions.Le débat sur l’éthique organisé pendant les GéoDataDays 2020 a évoqué de nombreuses pistes de réflexion grâce à la participation (de gauche à droite) de : Éric Mauvière (icem7), Shéhérazade Abboub (Parme Avocats), Michaël Delafosse (maire de Montpellier et président de la métropole), Bertrand Monthubert (conseiller régional Occitanie, président d’Occitanie Data et d’OpenIG), Françoise de Blomac (DécryptaGéo et animatrice) et Gaël Musquet (hacker éthique, fondateur de Hand et OSM France)
« Si nous avions eu des cartes précises des populations touchées par la Covid-19, de leur vulnérabilité sanitaire et sociale, nous aurions pu adapter notre réponse et installer des centres de dépistage dans les quartiers concernés, insister sur les messages de prévention » se désole Michaël Delafosse, le nouveau maire de Montpellier et président de la métropole, géographe de formation. Son interpellation n’est technique qu’en apparence, car les données existent, au niveau le plus fin. Mais s’il est techniquement possible de croiser les données géographiques, sanitaires et socio-économiques, un tel ciblage peut engendrer une stigmatisation, un risque refusé par le préfet au nom de principes éthiques. De plus, certaines données pertinentes ne peuvent pas être mobilisées, car elles sont aux mains d’opérateurs commerciaux ayant leur propre logique de fonctionnement. Ainsi, plus de personnes ont déclaré être positives au Covid-19 sur Facebook que sur STOP COVID.
L’éthique des données, un sujet encore top peu penséSujet philosophique mais également politique, l’éthique renvoie ainsi chacun à la légitimité de ses pratiques (d’où l’importance des codes de déontologie, voir encadré ci-dessous), dans un monde dont les lignes bougent rapidement, qui génèrent de nombreuses contradictions. Comment respecter les données personnelles quand les moyens de captation se multiplient via nos smartphones ? Le décalage entre les informations accumulées par Facebook, Google et autres géants et celles péniblement collectées par les services publics (ARS dans la crise sanitaire, INSEE…) est-il condamné à croître, alimentant un monde à deux vitesses ? Est-il légitime de ne pas utiliser les données les plus précises en notre possession afin de mieux gérer une crise sanitaire et sauver des vies ? Entre droit à la vie privée et droit à la sécurité, faut-il et comment choisir ? La fin justifie-t-elle les moyens ?
En complément des données d’intérêt général définies par la loi Lemaire, Shéhérazade Abboub propose aux collectivités qui veulent se doter de chartes éthiques de définir des données d’intérêt métropolitain ou local.
Ces injonctions contradictoires ont de quoi désarmer élus, techniciens et décideurs. « La question de l’éthique de la data n’est quasiment pas creusée, en tout cas, pas dans la manière dont elle se pose aujourd’hui, avec l’explosion des données et des acteurs privés » s’inquiète Bertrand Monthubert. Et le conseiller régional, président d’Occitanie Data et d’OpenIG d’insister sur l’importance de définir collectivement de nouveaux cadres d’action, sans se limiter aux questions techniques : « Si on se pose la question de la protection des données personnelles, une première approche peut consister à bloquer, à contrôler la manière dont ces données sont captées. On arrive vite à un débat très technique sur l’anonymisation en oubliant de se poser les bonnes questions : qu’est-ce que je veux réellement protéger ? »
Les collectivités édictent leurs propres règlesLes intervenants en appellent au pragmatisme et à la mise en place de cadres de discussions collectifs, agiles et adaptables à chaque situation, car il est impossible de tout anticiper. « Le droit doit être au service du projet, de notre capacité à agir, souhaite Michaël Delafosse. « Le droit doit être faiseur, malgré un contexte juridique complexe, renchérit l’avocate Shéhérazade Abboub. Avec Data Publica, nous essayons de trouver des solutions. Nous aidons les collectivités à trouver leur place dans le monde des données ». L’alliance qui regroupe Parme Avocats, Civiteo, Datactivist et Innopublica, accompagne les collectivités dans la rédaction de chartes éthiques sur les données (comme Nantes), qui prennent en compte de nombreux aspects tels que l’open data, la propriété des données, le RGPD. Deux principes les guident : la souveraineté et la confiance.
Signée en juin 2019, la charte métropolitaine de la donnée de Nantes comprend 4 engagements : garantir la souveraineté sur les données du service public, protéger les données, garantir la transparence et favoriser les nouveaux usages, qui se déclinent en 13 principes. (Cliquez sur l’image pour accéder à la charte)
Ces chartes (plusieurs sont en cours d’élaboration) vont plus loin que la Loi Lemaire dont le concept de données d’intérêt général a été vidé d’une partie de son contenu. Elles devraient les aider à négocier avec Waze, Airbnb, Uber et autres opérateurs de free-floating qui agissent sur l’espace public sans autorisation, comme New-York ou Los Angeles essayent de le faire avec Uber. Si les collectivités sont certainement bien placées pour créer un cadre de confiance, pour rassurer sur la façon dont les données peuvent être gérées et utilisées (bien mieux que l’État !), les infrastructures de données géographiques régionales (IDG) ont sans doute un rôle à jouer en permettant à de plus petites structures de se rapprocher de ces acteurs.
GAFAM versus services publics : bonne ou mauvaise alternative ?L’opposition entre géants du numérique et services publics doit pourtant être dépassée, même si elle est toujours tentante, comme l’ont bien montré les échanges du débat. Il est facile d’opposer des acteurs commerciaux hyper-agiles aux dents longues capteurs de données personnelles et services publics trop lents et mal organisés. Le traitement de la crise sanitaire, objet d’une autre session, a bien illustré les décalages dans l’accès et le traitement des informations liées à l’épidémie de Covid-19. Mais Orange a également mis ses données à la disposition de l’INSERM, données qui ont entre autres mis en évidence la mise au vert d’une proportion non négligeable de parisiens lors du premier confinement. « L’INSEE collabore depuis déjà plusieurs années avec les grands opérateurs de réseaux », rappelle Éric Mauvière, ancien de l’INSEE, créateur de Géoclip et fondateur de icem7, ce qui a permis à l’institut de statistiques de fournir des données carroyées détaillées. « Je ne veux plus entendre toujours parler des GAFAM », tempête Gaël Musquet, hacker d’intérêt général, qui se félicite du savoir-faire français, mais regrette qu’il soit sous-utilisé. Ainsi du cell broadcast pour l’alerte aux populations, qui aura mis 30 ans à être adopté par la France alors qu’il a été inventé à Sophia-Antipolis ou des valves communicantes qui équipent tous les pneus de véhicules depuis 2012 qui pourraient nous fournir des données très détaillées sur les déplacements. C’est aussi en continuant à soutenir (et financer) les services de l’État et les établissements publics comme l’IGN ou l’INSEE, que la France pourra faire valoir sa souveraineté numérique car « on n’a pas à rougir de ce que l’on sait faire » insiste Gaël Musquet.
Cette petite valve, obligatoire sur tous les pneus de voitures depuis 2012, transmet par radio des données sur la pression des pneus. Elle est déjà utilisée pour indiquer qu’une place est occupée ou pas dans certains parkings. Dotée d’un identifiant unique, elle pourrait être plus utilisée, explique Gaël Musquet, qui s’est déjà fait un plaisir de tester quelques usages détournés.
Miser sur la pluralitéAfin de définir un cadre de valeurs communes qui sera respecté, la pluralité des acteurs mobilisés est donc essentielle. « Dans le cadre de confiance que nous essayons de mettre en place avec Occitanie Data, rappelle Bertrand Monthubert, nous impliquons les chercheurs, les collectivités, les acteurs publics mais également les entreprises privées. » La prochaine version de la charte éthique de l’association fera en outre l’objet d’une concertation avec les citoyens et pourquoi pas avec des hackers. Car « un hacker, c’est le système immunitaire de l’Internet et donc de la ville, défend Gaël Musquet. C‘est quelqu’un qui doute, qui ne fait confiance ni aux machines, ni au code… du coup, il l’étudie pour le comprendre ou le détourne pour avoir d’autres résultats. » Une position bien comprise par Etalab, au moins à ses débuts, qui a fait appel à des équipes de Hackers pour apporter de l’agilité dans la façon d’aborder les nouveaux usages possibles du numérique au service des populations.
S’asseoir autour d’une même table en multipliant les points de vue, définir ensemble des cadres de valeurs partagées (transparence, probité, traçabilité…), s’appuyer sur des tiers de confiance que peuvent être les collectivités ou les IDG, devrait permettre de disposer d’une grille d’interrogation solide au moment d’arbitrer sur telle ou telle situation. Reste également à développer une culture de la donnée, dans l’ensemble de la société, dès le plus jeune âge. Un programme ambitieux pour des géodata éthiques au service de tous !
Encadré : de l’éthique à la déontologieEn tant que partie de la philosophie qui s’intéresse à la mise en œuvre des principes moraux, l’éthique nous concerne tous. Nous suivons tous des principes éthiques, plus ou moins implicites. Le sujet a été pensé assez tôt par diverses professions comme les médecins, les avocats, les journalistes et les statisticiens, comme l’a détaillé Éric Mauvière. Cette réflexion a amené la mise noir sur blanc d’un certain nombre de règles, qui sont autant de codes de déontologie, destinés à cadrer leurs pratiques. Ainsi les notions de probité (honnêteté intellectuelle et scientifique), de non-complaisance (résister aux pressions, notamment de l’État pour un établissement comme l’INSEE), de confidentialité (afin de ne jamais porter préjudice aux enquêtés), ainsi que de transparence sur les méthodes et les données collectées ou traitées guident les statisticiens. Les agents de l’État et des collectivités suivent, eux aussi, des codes de déontologie, comme l’a rappelé Gaël Musquet, aujourd’hui « hacker éthique » mais auparavant chargé de mission au CETE Méditerranée (aujourd’hui Cerema). Aussi valables soient-ils, ces codes de bonne conduite s’avèrent aujourd’hui insuffisants pour aborder les nouvelles questions posées par les données géographiques et leurs traitements.
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14:07
Solocal annonce la cession de Mappy au groupe RATP
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSolocal annonce aujourd’hui la cession de sa filiale Mappy, 3ème acteur en France de la mobilité du quotidien, au groupe RATP. Les expertises de Mappy viendront ainsi compléter et renforcer, dès le 1er novembre 2020, celles de RATP Smart Systems.Cette cession intervient dans le cadre du plan stratégique Solocal 2020, et permet à Solocal de se concentrer sur ses activités stratégiques et sa nouvelle offre de services digitaux à destination des PMEs et des grands comptes en France.
Mappy faisait partie du groupe Solocal depuis 2005. Les talents de Mappy viendront dès aujourd’hui renforcer ceux de RATP Smart Systems, formant ainsi une équipe dédiée au MaaS1. Elles créeront ensemble une offre digitale « MaaS1 » innovante et centrée sur le client.
En plus d’importants besoins d’investissements pour développer l’offre Maas, la contribution d’EBITDA récurrent de Mappy était significativement inférieure à celle de Solocal Group. Le produit de la vente n’aura pas d’impact significatif sur la position de trésorerie et le niveau d’endettement de Solocal.
Avec cet accord, le Groupe RATP devient un partenaire stratégique de long terme de Solocal. Mappy continuera à être la solution cartographique et le calculateur d’itinéraires du site PagesJaunes.fr et les clients de Solocal pourront continuer à bénéficier de la visibilité préférentielle sur le média Mappy.
Solocal est le partenaire digital de toutes les entreprises locales en France, que ce soit des ETI, TPE, PME ou grandes enseignes à réseaux. Notre mission : dynamiser la vie locale. Nous travaillons chaque jour à révéler le potentiel de toutes les entreprises en les connectant à leurs clients grâce à des services digitaux innovants. Nous conseillons 330 000 entreprises clientes présentes partout en France et les accompagnons pour booster leur activité grâce à nos services digitaux (Présence relationnelle, Site Internet, Publicité digitale). Nous sommes également aux côtés des utilisateurs pour leur faire vivre la meilleure expérience digitale avec PagesJaunes, Mappy et Ooreka, et nos partenaires Gafam*. Nous mettons ainsi à la disposition des professionnels et du grand public des services à très fortes audiences sur nos propres médias, notre data géolocalisée, nos plateformes technologiques évolutives, notre couverture commerciale unique en France, nos partenariats privilégiés avec les acteurs du numérique et nos talents en matière de data, de développement et de marketing digital. Solocal est par ailleurs labellisé Digital Ad Trust. Pour tout savoir sur Solocal (Euronext Paris « LOCAL ») : restons en contact @solocal
* GAFAM : Google, Microsoft/Bing Facebook, , Apple, Amazon.
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17:05
Carte interactive 1km : un outil pour calculer le rayon de 1km autour de votre domicile, par le français GEOCONCEPT
sur Décryptagéo, l'information géographiqueNouveau confinement oblige, les Français doivent désormais se munir d’une attestation de déplacement dérogatoire pour sortir. Pour faire de l’activité physique, se promener, et sortir les animaux de compagnie, les déplacements sont limitées à un rayon maximal d’un kilomètre autour du domicile.
GEOCONCEPT, chef de file de l’optimisation géographique made in France, propose gratuitement une carte interactive pour calculer et afficher votre périmètre de confinement à 1km autour de votre domicile : [https:]]
La carte vous permet de visualiser non seulement l’ensemble des rues accessibles à 1 km autour de votre lieu de confinement, mais aussi le périmètre à vol d’oiseau, représenté par un cercle superposé.
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16:53
LE SHOM ET LA MARINE NATIONALE EXPÉRIMENTENT UN DRONE DE SURFACE HYDROGRAPHIQUE DANS LE CADRE D’UN PROGRAMME D’ARMEMENT DE LA DGA
sur Décryptagéo, l'information géographique©iXblue USV devant le bâtiment hydro-océanographique Beautemps-Beaupré
Les eaux sous juridiction française couvrant un total de près de 11 millions de km² (avec les extensions du plateau continental en vigueur), la France dispose du 2ème domaine maritime mondial. Afin d’affirmer sa souveraineté sur ses eaux, respecter ses engagements au titre de la convention Safety Of Life At Sea (SOLAS), protéger et gérer l’activité économique dans ses eaux, l’Etat confie la mission de cartographie maritime de ces étendues au Shom (Service hydrographique et océanographique de la marine). Il assume, en outre, la mission de soutien environnemental marin au profit des forces françaises, dans une potentielle zone d’intérêt couvrant plusieurs dizaines de millions de km².
La capacité à assumer ces responsabilités repose en grande partie sur la flotte de bâtiments hydrographiques et océanographiques de la Marine nationale, composée du bâtiment hydro-océanographique (BHO) Beautemps- Beaupré (admis au service actif en 2003) et des trois bâtiments hydrographiques de seconde classe (BH2) La Pérouse, Borda, et Laplace, mis en service en 1988 et 1989.
Le renouvellement des BH2 est planifié dans le cadre de l’opération d’armement relative à la « Capacité hydrographique et océanographique future (CHOF) » conduite par la Direction générale de l’armement avec l’appui du Shom, en concertation avec l’état-major des armées et l’état-major de la marine. Ce programme ne doit pas seulement renouveler les navires anciens mais doit aussi adapter les capacités hydrographiques aux nouvelles technologies disponibles, dont l’utilisation de drones, afin de disposer de nouveaux moyens de description fine de l’environnement sous-marin pour répondre à des besoins émergents dans l’extension des domaines de lutte.
Cette évolution opèrera une transformation significative des moyens du Shom et de la Marine ainsi que des savoir-faire hydrographiques.
En préparation de ce programme et en exécution d’un marché passé par la DGA avec la société iXblue, le Shom a conduit en mer d’Iroise, durant tout le mois de septembre, à bord du BHO Beautemps-Beaupré, des essais d’évaluation du « DriX», drone hydrographique de surface supervisé (USV), et de son système de mise à l’eau et de récupération. Il s’agit de qualifier les performances hydrographiques de ce type de porteur, d’en appréhender le concept d’emploi potentiel et d’évaluer les gains apportés par ces systèmes innovants.
Ces essais consistent en des levés bathymétriques à différentes profondeurs, atteignant près de 200 m dans la fosse d’Ouessant, avec pour objectif de qualifier les performances globales de l’engin en termes d’endurance et de qualité des données, et d’évaluer sa plus-value par rapport aux systèmes actuellement en service (vedettes et navires hydrographiques).
Epave en baie de Douarnenez – Sondage au sondeur multifaisceau par USV
L’objectif visé par de tels engins est d’augmenter la productivité des levés hydrographiques tout en améliorant la qualité des données recueillies. Un Drix puis deux Drix ont ainsi été successivement déployés en mode collaboratif pour vérifier leur complémentarité, leur comportement et pour appréhender les nécessités induites par le doublement de cette capacité.
D’autres expérimentations de drones, de surface ou sous-marins, seront réalisées durant les deux prochaines années au titre de la phase de préparation du programme CHOF. In fine, ces expérimentations permettront de définir les moyens de relevés les plus appropriés et les plus performants pour répondre à des besoins croissants de relevés hydrographiques.
De tels déploiements à la mer ont également pour objectif de tirer des enseignements en termes de conception et de spécification des bâtiments hydrographiques de nouvelle génération (BH NG) destinés à remplacer les BH2 : capacités de manutention et de mise en œuvre, de maintenance embarquée, dimensionnement et compétences de l’équipage…
Le retour d’expérience capitalisé sur ces essais servira à enrichir les réflexions entamées sur le dimensionnement de la capacité hydrographique et océanographique future de la Marine dont le premier BH NG est envisagé en 2026.
Contacts presse
Hélène Lecornu
Responsable communication helene.lecornu@shom.fr
Claire Favot
Assistante communication claire.favot@shom.fr
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9:59
Revue de presse du 13 au 27 octobre 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueFlux piétons et distribution de vaccins, optimisation des cultures et suivi des ressources, émissions de méthane… les géodata sont partout. Vous pouvez d’ailleurs en collecter sur Pokemon Go et bénéficier d’une nouvelle app dans votre téléphone Huawei. La presse revient également sur les débris spatiaux à l’heure des grandes constellations de satellites.FLUX PIÉTONS : « Quand la géolocalisation redynamise des commerces de centre-ville » présentation de MyTraffic qui analyse les traces GPS recueillies par nos applications pour mesurer les flux piétons.
GÉOSTRATÉGIE : « Covid-19 : Le spécialiste du renseignement Palantir va superviser le déploiement des vaccins aux Etats-Unis » grâce à l’analyse de nombreuses données géographiques, rapporte L’Usine Digitale.
ANONYMOUS : « Les bonnes pratiques d’anonymisation des données personnelles selon la CNIL », une tribune parue dans l’Usine Digitale, rédigée par deux avocats, Me Isabelle Cantero et Me Eric A. Caprioli, qui expliquent notamment la différence entre pseudo-anonymisation et anonymisation.
GOOGLE : « Avec Mineral, Alphabet développe des outils à base d’intelligence artificielle pour optimiser les cultures » ou comment Google se met à l’agriculture de précision. L’usine Digitale
ASSETS : « Localiser les ressources en temps réel sur chantier », témoignage de Bouygues Construction sur son couplage des technologies Mapwize (carto indoor) et Omniscient (géolocalisation) pour suivre ses chantiers en France et à Singapour sur Construction Cayola.
GAMERS CONTRIBUTEURS : Ça y est : « les joueurs de Pokémon Go aident Niantic à créer une carte 3D du monde réel ». Annoncée en mai, la fonction est désormais disponible. Joueurs de niveau 20 et plus, à vos smartphones.
DANS NOS TÉLÉPHONES : « Huawei Petal Maps : l’alter ego de Google Maps se concrétise enfin en bêta ». Présentation de Petal Maps sur France Android. Calcul d’itinéraire, trafic temps réel, visualisation 2D et 3D, assistant navigation… avec l’aide de TomTom et HERE.
CARTO : « Nouvelle donne pour les cartes ». Le journal du CNRS revient sur SymCore, le nouveau standard de l’OGC pour la description cartographique. Un standard initié par Erwan Bocher et Olivier Ertz qui formalise la représentation cartographique.
SATELLITES : « Émission de méthane : le satellite Iris transmet ses premières données de surveillance » et elles semblent pertinentes car capables de détecter des sources d’émissions ponctuelles (puits de pétrole ou de gaz). Rassurez-vous, elles ne sont pas assez précises pour suivre la vache Marguerite ! Futura sciences
DÉBRIS : « Un satellite mort et un morceau de fusée ont 1 chance sur 10 d’entrer en collision cette nuit ». À l’occasion d’un nouvel incident, le sujet des débris spatiaux abordé récemment dans nos colonnes, refait l’actualité. Voir par exemple « Internet à l’assaut de l’espace » dans Le Monde.
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9:33
Atlas mondial de la santé par Gérard Salem et Florence Fourmet
sur Décryptagéo, l'information géographiqueFace à l’émergence de nouvelles maladies – impact du changement climatique, antibiorésistances… –, et alors que la planète affronte une pandémie inédite, cet atlas, richement illustré par plus de 110 cartes et documents, fait le point sur un sujet brûlant.
Au-delà des définitions médicales, la santé se joue d’abord dans les populations et sur les territoires. La géographie de la santé permet ainsi d’appréhender les dynamiques sanitaires et leurs enjeux à toutes les échelles, mondiale autant que locale.
• Comprendre les concepts et méthodes mobilisés : vulnérabilité des populations, viabilité des systèmes de soins, définition des politiques publiques…
• Définir les grandes fractures et inégalités territoriales face à l’offre de soins ou à l’accès aux traitements.
• Déterminer les défis sanitaires actuels, de la malbouffe aux épidémies.Cet atlas dresse une géographie de l’état de santé dans le monde.
Après un rappel des bases de l’approche géographique de la santé, il expose:
– l’évolution des espérances de vie, de l’état nutritionnel, des maladies
– les inégalités d’offre et d’accès aux soins, de couverture sanitaire
– les interactions entre santé humaine, santé animale et environnement
– quelques-unes des grandes menaces à venir : réchauffement climatique, pollution, zoonoses, antibio-résistances
Une centaine de cartes et documents à différentes échelles –mondiale, nationale et locale – révèlent les inégalités spatiales et territoriales de santé.- Gérard Salem, Professeur émérite de géographie de la santé à l’université Paris-Nanterre, et secrétaire de l’International Society of Urban Health est un spécialiste des questions de santé urbaine.
- Florence Fournet, chercheuse en entomologie médicale à l’IRD, est une spécialiste des questions de santé environnementale.
Atlas Mondial de la Santé, éditions Autrement, 96 pages – 173 x 251 mm, 24 € dans une librairie indépendante près de chez vous !
Interview des auteurs à France Culture sous ce lienCet article Atlas mondial de la santé par Gérard Salem et Florence Fourmet est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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9:21
Filière forêt-bois et atténuation du changement climatique : INRAE et l’IGN publient un ouvrage de synthèse pour éclairer le débat
sur Décryptagéo, l'information géographiquePréservation de la biodiversité, qualité des sols, production de bois…, les forêts sont essentielles pour la société par les multiples services qu’elles rendent, et ce d’autant plus dans le contexte du défi climatique actuel. À la fois « puits de carbone » et levier d’une économie « décarbonée » par l’utilisation du bois, les forêts sont au cœur d’un débat tant sociétal que scientifique. À la demande du ministère chargé de l’agriculture et de la forêt, INRAE et l’IGN ont conjointement engagé une expertise scientifique1 visant à éclairer ce débat pour les forêts et les filières forêt-bois de la France métropolitaine. Ce sont les résultats de ce travail qui sont publiés dans « Filière forêt-bois et atténuation du changement climatique – Entre séquestration du carbone en forêt et développement de la bioéconomie » paru aux éditions Quae.
Si l’enjeu principal consiste, dans les régions intertropicales et boréales, à lutter contre la déforestation et la dégradation des ressources forestières, les forêts et les forestiers des régions tempérées sont soumis à des objectifs qui peuvent paraître antagonistes : accroître la séquestration du carbone atmosphérique dans la biomasse et dans les sols tout en fournissant une part croissante des ressources nécessaires à la production des biens matériels et de l’énergie dont les sociétés humaines ont besoin, et renouveler progressivement les forêts pour leur permettre de s’adapter aux conditions climatiques de demain.
Établir le bilan carbone de la filière aujourd’hui et le projeter à l’horizon 2050Renseigner les divers compartiments de la filière forêt-bois à explorer, mettre en lumière les zones d’incertitude du bilan actuel, c’est sur ces bases que des projections du bilan carbone complet de la filière française à l’horizon 2050 ont pu être dressées afin d’examiner notamment les impacts que pourraient avoir trois stratégies de gestion durable des ressources forestières, en tenant compte de l’aggravation du changement climatique et de crises majeures liées aux risques d’incendies après sécheresse, aux tempêtes et aux invasions biologiques à large échelle. Les trois axes envisagés se caractérisent par une stratégie d’extensification des prélèvements, se traduisant par le maintien des volumes de récolte actuels ; une stratégie moyenne pour laquelle les taux de prélèvement actuels seraient conservés, ce qui augmenterait les volumes de bois récoltés ; et une stratégie d’intensification des prélèvements combinée à une politique volontariste de reboisement visant à remplacer les peuplements peu productifs ou en impasse sylvicole par des nouvelles plantations plus productives.
Un rôle majeur confirmé de la filière forêt-bois pour l’atténuation du changement climatiqueCes projections mettent en évidence que, quelle que soit l’option choisie, le bilan carbone annuel de la filière forêt-bois française demeurera largement positif et pourrait même continuer à progresser. Cela confirme le rôle majeur de ce secteur dans l’atténuation du changement climatique. Néanmoins, aux incertitudes déjà relevées pour l’établissement du bilan carbone actuel, s’ajoutent celles sur le devenir de certains coefficients et paramètres techniques dont les valeurs influent sur les résultats de projection. Au rang de ces incertitudes, on peut citer l’évolution du rythme de croissance de la forêt française à mesure du vieillissement des peuplements, l’évolution des émissions de gaz à effet de serre évitées par la mobilisation de produits forestiers, ou encore l’impact de crises biotiques et abiotiques que la forêt sera probablement amenée à traverser plus régulièrement au cours des décennies à venir. Le cumul de ces incertitudes empêche d’identifier clairement si l’une des trois stratégies de gestion forestière envisagée serait plus nettement gagnante que les deux autres, les résultats globaux obtenus étant le plus souvent relativement proches.
Un éclairage pour les politiques publiquesSi les incertitudes compliquent l’identification de « la » stratégie de gestion dégageant les bilans carbone les plus favorables, leur exploration permet cependant de proposer une première approche de la résilience, tant biologique, technique qu’économique, de la filière et de guider la réflexion sur les usages des bois qu’il faudrait favoriser pour améliorer le bilan carbone des stratégies soutenant le développement de la bioéconomie. L’objectif de cet ouvrage n’est donc pas de trancher entre des positions présentées parfois sous des formes caricaturales. Il est d’apporter un éclairage aux acteurs (professionnels, publics, associatifs), aux décideurs et aux citoyens qui se sentent concernés par un tel enjeu, afin de mieux comprendre toute la complexité et les incertitudes qui entourent l’arbitrage entre séquestration du carbone en forêt et développement de la bioéconomie.
En savoir plus Filière forêt-bois et atténuation du changement climatique – Entre séquestration du carbone en forêt et développement de la bioéconomie – Editions Quae – coll. Matière à débattre et décider – 152 pages, juillet 2020.Version papier en vente sur https://www.quae.com/produit/1615/9782759231225/filiere-foret-bois-et- attenuation-du-changement-climatique
En libre accès en version numérique : https://www.quae-open.com/produit/150/9782759231218/filiere-foret-bois-et-attenuation-du-changement-climatique
1 INRA, 2017. Quel rôle pour les forêts et la filière forêt-bois françaises dans l’atténuation du changement climatique ? Une étude des freins et des leviers forestiers à l’horizon 2050. Paris : INRA-DEPE https://www.inrae.fr/actualites/quel-role-forets-filiere-foret-bois-francaises-lattenuation-du-changement- climatique
Contacts scientifiques :INRAE : Jean-Charles Bastien – jean-charles.bastien@inrae.fr
- Unité Biologie intégrée pour la valorisation de la diversité des Arbres et de la Forêt
- Département scientifique écologie et biodiversité des milieux forestiers, prairiaux et aquatiques (ECODIV)
- Centre INRAE Centre-Val de Loire
IGN : Antoine Colin – antoine.colin@ign.fr
- Chef du pôle national d’expertise sur les ressources forestières et le carbone – IGN
Contacts presse :
Service de presse INRAE : 01 42 75 91 86 – presse@inrae.fr
Service de presse IGN : Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 sophie.couturier@ign.fr / presse@ign.fr
INRAE, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, est un acteur majeur de la recherche et de l’innovation créé le 1er janvier 2020. Institut de recherche finalisé issu de la fusion entre l’Inra et Irstea, INRAE rassemble une communauté de 12 000 personnes, avec 268 unités de recherche, service et expérimentales implantées dans 18 centres sur toute la France. L’institut se positionne parmi les tout premiers organismes de recherche au monde en sciences agricoles et alimentaires, en sciences du végétal et de l’animal, et se classe 11ème mondial en écologie- environnement. Il est le premier organisme de recherche mondial spécialisé sur l’ensemble « agriculture-alimentation- environnement ». INRAE a pour ambition d’être un acteur clé des transitions nécessaires pour répondre aux grands enjeux mondiaux. Face à l’augmentation de la population, au changement climatique, à la raréfaction des ressources et au déclin de la biodiversité, l’institut construit des solutions pour des agricultures multi-performantes, une alimentation de qualité et une gestion durable des ressources et des écosystèmes.
L’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques comme la prévention des risques et l’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie vectorielle, de l’optique, de l’électronique, du traitement des images et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint l’Université Gustave Eiffel créée en janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
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9:11
Huawei lance Petal Search, Petal Maps, Huawei Docs et bien plus encore
sur Décryptagéo, l'information géographiqueHuawei annonce de nouveaux développements pour l’écosystème Huawei Mobile Services (HMS) à l’occasion du lancement de la gamme HUAWEI Mate 40. Petal Search, Petal Maps ou encore HUAWEI Docs, autant de nouveautés qui viennent enrichir l’expérience des utilisateurs Huawei. Une intégration matérielle et logicielle pour une meilleure expérience au quotidienPetal Search offre des capacités de recherche dans plus de 20 catégories : applications, actualités, vidéos, images, shopping, et bien plus encore.
Petal Search, devient ainsi le moteur de recherche officiel de Huawei, il est maintenant disponible dans plus de 170 pays et régions et prend en charge plus de 50 langues, permettant ainsi aux utilisateurs de trouver facilement et instantanément les informations et les services dont ils ont besoin.
Petal Search développe et intègre également divers outils, tels que la météo, une calculatrice, les taux de change et même la demande d’articles de presse pour permettre aux utilisateurs d’obtenir facilement des informations utilisées au quotidien. Grâce à la nouvelle mise à jour, l’expérience de recherche est désormais beaucoup plus riche. Les résultats de recherche se présentent sous la forme de cartes d’informations, au lieu de simples liens ; ainsi, les utilisateurs ont accès à une multitude d’informations utiles instantanément en seulement quelques clics.
Tirant parti des capacités de l’intelligence artificielle (IA) des appareils Huawei, Petal Search permet aux utilisateurs d’effectuer des recherches à partir de photos ou d’images grâce à sa fonction de recherche visuelle. Cette dernière reconnait un large éventail d’éléments, tels que des personnes, des animaux et des monuments, et introduira de nouvelles capacités telles que l’identification des plantes. Par exemple, l’utilisateur peut simplement prendre la photo d’un plat et Petal Search lui présentera la recette. L’application propose également une fonction de recherche vocale, qui prend en charge plusieurs langues dont l’anglais, l’espagnol, le français et l’arabe. Grâce à ces fonctionnalités, Petal Search répond aux besoins des utilisateurs habitués à un mode de vie actif où le smartphone occupe une place centrale.
Petal Maps est l’outil de cartographie et de navigation de Huawei et propose des services de positionnement, des représentations cartographiques immersives, des recherches de lieux, la navigation en conduite et des listes de lieux favoris à ses utilisateurs. Disponible dans plus de 140 pays et régions, Petal Maps prend en charge l’affichage de cartes dans de nombreuses langues différentes avec des notifications vocales en anglais, français, espagnol, allemand, italien et mandarin.
Petal Maps est également doté de fonctionnalités de pointe qui lui permettent de proposer une mise à jour en temps réel des transports en commun dans 129 grandes villes du monde, offrant ainsi aux usagers des transports la possibilité de mieux planifier leurs itinéraires et de voyager en toute sérénité. En s’appuyant sur des technologies pionnières telles que Super GNSS et des algorithmes de reconnaissance d’images, Petal Maps pousse encore plus loin la précision et présente aux utilisateurs les trajets les plus efficaces et les moins embouteillés.
Grâce à la fonction Contrôle gestuel disponible sur les smartphones de la gamme HUAWEI Mate 40, les conducteurs peuvent passer de la vue navigation à l’affichage des cartes en approchant simplement la paume de leur main vers l’écran. Ces interactions intelligentes aident à voyager l’esprit plus léger tout en contribuant à la sécurité au volant.
Disponible pour la gamme HUAWEI Mate 40 dans plus de 100 pays et régions, Huawei Docs prend en charge la lecture et la modification de documents dans plus de 50 formats, dont .PDF, .PPT et .DOC. Grâce à la synchronisation en temps réel facilitée par des capacités cloud, HUAWEI Docs permet aux utilisateurs de travailler facilement sur un même document sur des appareils différents connectés au même ID HUAWEI, pour une expérience de bureau encore plus intelligente.
Une suite complète d’applications Huawei Mobile Services pour compléter son mode de vieGrâce à la mise à jour de Find Device, les utilisateurs peuvent localiser leurs appareils Huawei, qu’il s’agisse d’un smartphone, d’une montre, d’écouteurs ou de lunettes. Les utilisateurs ont la possibilité soit de déclencher une sonnerie à distance pour localiser leurs appareils, soit de verrouiller et d’effacer les données des appareils pour ainsi protéger leur vie privée.
HUAWEI Themes introduit des packs de thèmes exclusifs pour personnaliser davantage les appareils. Le premier lot de packs contient des thèmes d’artistes célèbres, de la littérature classique et les séries Ingenuity sélectionnées par Huawei.
Bénéficiant du soutien de 2 millions de développeurs dans le monde, l’écosystème Huawei Mobile Services poursuit sa croissance fulgurante. L’AppGallery, qui fait partie des 3 principales plateformes d’applications mondiales, continue de proposer des applications mondiales et locales populaires à 500 millions d’utilisateurs mensuels actifs.
HUAWEI Quick App a également vu le nombre de ses utilisateurs mensuels actifs augmenter de 260 % d’une année à l’autre, pour son expérience « tap-to-use » et sans installation.De plus, avec l’aide de grands partenaires mondiaux comme locaux, Petal Search développe activement des services de recherche sur la vie locale, dans le but d’offrir aux utilisateurs une expérience de recherche riche et ce quels que soient les scénarios. Lorsqu’un utilisateur recherche du contenu, Petal Search lui propose les informations localisées les plus populaires et les plus pertinentes, telles que l’adresse des restaurants situés à proximité, les lieux intéressants à visiter et les dernières promotions en magasin, ainsi que des recommandations personnalisées.
À propos de Huawei Consumer BGLes produits et services de HUAWEI sont disponibles dans plus de 170 pays et sont utilisés par un tiers de la population mondiale. HUAWEI est arrivé à la deuxième place mondiale en matière de livraisons de téléphones portables en 2018. Quatorze centres R&D ont été établis aux États-Unis, en Allemagne, en Suède, en Russie, en Inde et en Chine. HUAWEI Consumer BG, qui est l’une des trois unités opérationnelles de HUAWEI, se consacre aux smartphones, aux ordinateurs et aux tablettes, aux technologies mettables et aux services cloud, etc. Le réseau international de HUAWEI, qui se fonde sur presque 32 ans de savoir-faire dans le secteur des télécommunications, a pour vocation de mettre à la disposition des consommateurs du monde entier les toutes dernières technologies.
Pour de plus amples informations, veuillez consulter le site : http://consumer.HUAWEI.com/fr
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Julien Verdier : julien.verdier@huawei.comCet article Huawei lance Petal Search, Petal Maps, Huawei Docs et bien plus encore est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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14:16
Quoi de neuf du côté de SIG 2020 ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnviron 3 mn de lecture SIG 2020, la conférence des utilisateurs Esri francophone a rassemblé plus de 4 000 participants du 12 au 16 octobre, preuve que le format virtuel n’a pas que des inconvénients. Panorama de quelques nouveautés. 280 sessions dont plus de la moitié consacrée aux retours d’expérience des La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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14:39
La DARPA attribue un contrat au PARC pour développer la connaissance des océans
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa prochaine phase du projet Ocean of Things va déployer des capteurs pour collecter des données océanographiquesPalo Alto, Californie, 22 octobre 2020 – Le PARC, une société de Xerox, vient de signer un contrat avec la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) pour la prochaine phase de développement du projet Ocean of Things, visant à élargir les connaissances scientifiques sur l’écosystème marin.
Annoncé initialement par la DARPA en 2017, le projet Ocean of Things déploie de petites bouées dérivantes à faible coût dans la baie de Californie du Sud et le golfe du Mexique pour collecter des données sur l’environnement marin et l’impact humain. Ces données comprennent la température de surface de l’eau, l’état de la mer, les activités maritimes, et même des informations sur la vie marine qui se déplace dans la région.
« Les océans couvrent plus de 70 % de la surface du globe, mais nous en savons très peu sur eux », a déclaré Ersin Uzun, vice-président et directeur général de l’équipe Internet des objets chez Xerox. « Les capteurs recueillent des données que nous n’aurions jamais pu suivre auparavant, ce qui permet une connaissance continue de la situation maritime ».
Chaque bouée dérivante à énergie solaire possède environ 20 capteurs à bord, dont un appareil photo, un GPS, un microphone, un hydrophone et un accéléromètre. Les différents capteurs fournissent des données dans de nombreux domaines, comme la pollution des océans, l’aquaculture et les voies de transport.
Le PARC a mis à profit plus de cinquante ans d’expérience dans le développement d’innovations technologiques pour concevoir une bouée dérivante qui réponde aux exigences du programme de la DARPA. Comme par exemple : la fabrication du flotteur dans des matériaux respectueux de l’environnement, la survie dans des conditions maritimes difficiles pendant au moins un an avant de couler en toute sécurité ou l’utilisation de techniques analytiques avancées pour traiter et partager les données recueillies.
Le PARC a construit 1 500 bouées pour la première phase du projet et en livrera jusqu’à 10 000 plus compactes et moins coûteuses pour la suite. Les données obtenues au cours de cette phase permettront d’optimiser la conception finale et la DARPA prévoit alors de déployer de grands volumes de ces bouées dérivantes pour fournir des informations en continu afin d’obtenir une meilleure compréhension des océans, qui fait défaut aujourd’hui.
À propos de Xerox
Xerox améliore chaque jour l’environnement de travail. Nous sommes une entreprise de technologie pour l’environnement de travail qui développe et intègre des logiciels et des matériels à l’intention des entreprises de toutes tailles. Alors que les clients doivent gérer leurs informations sur des plateformes physiques et digitales, Xerox propose une expérience fluide, sécurisée, et durable. Avec l’invention du copieur, de l’Ethernet, de l’imprimante laser, Xerox a toujours défini l’expérience de travail moderne. Découvrez comment cette innovation se poursuit sur xerox.com.
À propos du PARC
Le Palo Alto Research Center Incorporated (PARC), une société de Xerox, est dans le Business of Breakthroughs® (innovation de rupture). Pratiquant l’innovation ouverte, il fournit des services de R&D sur mesure, des technologies, de l’expertise, des meilleures pratiques et de la propriété intellectuelle aux entreprises du Fortune 500 et du Global 1000, mais aussi aux startups, aux agences gouvernementales et à leurs partenaires. L’entreprise crée de nouvelles opportunités commerciales, réduit le délai de commercialisation, augmente les capacités internes et réduit les risques pour les clients. Depuis sa création, PARC a été le pionnier de nombreuses plateformes technologiques – de l’Ethernet et de l’impression laser à l’interface graphique et à l’informatique omniprésente – et a permis la création de nombreuses industries. Créée en 2002 en tant que filiale indépendante à part entière de Xerox, PARC poursuit aujourd’hui les recherches qui permettent aux entreprises de faire des avancées technologiques.
Contact presse
Philippe Caillet
JUST WE
T : 06 13 01 59 86
Xerox® est une marque déposée de Xerox aux États-Unis et/ou dans d’autres pays.
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12:54
Un Mooc sur les applications géospatiales dans la gestion des risques majeurs
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’UNOOSA, agence des Nations-Unies dédiée au spatial et l’agence spatiale indienne (ISRO) mettent en ligne un cours sur l’utilisation des applications satellitaires dans la gestion des catastrophes majeures.
Plus d’informations sous ce lienSix partenaires (agences spatiales, industriels) ont fourni du matériel pour ce MOOC en anglais qui se décline en deux niveaux de 12 heures. Essentiellement composé de témoignages d’utilisateurs, il donnera aux participants une vue globale sur l’état de l’art dans le domaine.
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12:24
HERE intègre what3words dans sa navigation embarquée
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes conducteurs peuvent désormais saisir les adresses what3words directement dans leur système de navigation embarqué pour rallier n’importe quelle destination dans le monde en 3 mots seulement. HERE et what3words s’associent pour offrir une nouvelle génération de navigation embarquée de haute précision.Les constructeurs utilisant HERE Technologies peuvent désormais inclure what3words comme fonction de navigation dans leurs systèmes embarqués et permettre aux conducteurs de rallier n’importe quelle destination caractérisée par une zone précise de 3 mètres carrés, représentant une adresse what3words.
Avec plus de 150 millions de véhicules intégrant ses services de données cartographiques, HERE est aujourd’hui la première plateforme de navigation au monde. Sa plateforme intègre des solutions avancées alimentées par les données de localisation mises à jour en temps réel telles que des informations sur les réseaux routiers, les bâtiments et la circulation. L’ajout de la fonction de géolocalisation what3words permet d’enrichir encore davantage l’expérience de navigation des conducteurs avec un système d’adresses très innovant.
what3words propose en effet de diviser le monde en une grille de carrés de 3 mètres sur 3, attribuant à chaque carré une combinaison unique de trois mots : une adresse what3words. Par exemple, le bureau de HERE à Paris se trouve à ///jupe.tourisme.gomme. what3words permet ainsi de communiquer facilement des lieux aussi spécifiques que des entrées d’immeubles ou des places de parking et fournit des références de localisation simples pour les lieux sans adresse classique, comme les plages, les parcs et les sentiers de randonnée. Des millions d’adresses what3words sont utilisées dans le monde entier et les conducteurs peuvent les trouver dans les confirmations de réservation, les guides, les pages de contact des sites web ou dans les messages envoyés par leurs proches.
Les conducteurs peuvent entrer une adresse what3words directement dans l’interface du tableau de bord ou dans l’application connectée à leur voiture, tout comme ils le feraient pour une adresse classique. Les conducteurs peuvent également découvrir les adresses what3words sur l’application gratuite what3words ou sur la carte en ligne. La technologie « what3words » a déjà été adoptée par de nombreux acteurs du secteur automobile, des prestataires logistiques et des applications de mobilité, notamment Mercedes-Benz, Tata Motors, DB Schenker, Hermes et Cabify.
Chris Sheldrick, PDG et co-fondateur de what3words, déclare : « HERE est le système de cartographie le plus riche, le plus précis et le plus à jour du marché et il est désormais enrichi du moyen le plus simple de communiquer un emplacement. L’utilisation d’une adresse traditionnelle dans un véhicule n’est pas toujours fiable : les adresses parfois mal indexées et longues à taper. Une fois l’adresse enfin identifiée, il est rare de trouver l’endroit précis visé comme une entrée d’immeuble par exemple. Souvent, l’itinéraire nous dirige là où le lieu est épinglé, à savoir au centre du bâtiment.
En utilisant what3words, les conducteurs doivent simplement entrer trois mots pour s’assurer d’arriver à destination, dans un carré précis de 3 mètres de côté. Nous constatons une demande croissante de la part des constructeurs automobiles et des services de mobilité. Maintenant que nous sommes intégrés à HERE, nous pouvons activer notre système d’adresses simplement et facilement dans les véhicules neufs et anciens ».
« Notre partenariat avec what3words est un exemple fort de la façon dont HERE continue d’innover dans le domaine de la navigation », déclare Jørgen Behrens, vice-président senior et chef de produit chez HERE Technologies. « Les équipementiers automobiles peuvent désormais proposer le service what3words à leurs clients grâce à l’API de recherche HERE au lieu de devoir l’intégrer eux-mêmes. Cela permettra aux conducteurs de naviguer facilement dans des environnements urbains denses avec des systèmes d’adresse non standard ou de se rendre sans problème à n’importe quel endroit, qu’il s’agisse d’un café ou du point de départ d’un sentier par exemple ».
L’intégration de cette nouvelle fonctionnalité pour les clients nouveaux et existants se fait très facilement, avec what3words disponible en tant que complément aux solutions de navigation HERE.
A propos de what3words
Trouvez votre adresse what3words ici.
Cofondée à Londres en 2013 par Chris Sheldrick, what3words est le moyen le plus simple de parler de localisation. Ce système, qui couvre le monde entier, n’a jamais besoin d’être mis à jour et fonctionne hors ligne. Une adresse what3words est un moyen de partager des lieux très précis avec d’autres personnes ou de les intégrer dans des plateformes, ou des applications. Elle est optimisée pour la saisie vocale et contient un système de prévention d’erreur pour identifier et corriger immédiatement les erreurs de saisie.
L’application gratuite what3words, disponible pour iOS et Android, et la carte en ligne permettent aux gens de trouver, de partager et de naviguer vers des adresses what3words dans plus de 45 langues à ce jour. Des millions d’adresses what3words sont utilisées dans le monde entier, et des milliers d’entreprises les utilisent pour économiser de l’argent, être plus efficaces et offrir une meilleure expérience client. what3words est intégrée dans des applications, des plateformes et des sites web, avec seulement quelques lignes de code. Les produits sont disponibles gratuitement ou pour un prix symbolique pour les ONG qui remplissent les conditions requises. Parmi ses partenaires figurent Mercedes-Benz, Triumph Motorcycles, Premier Inn, l’AA et de nombreux services d’urgence dans le monde entier.
A propos de HERE Technologies
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com
Contacts Presse : AxiComConstance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
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16:57
Syntec 2020 : Sogelink gagne 6 places et atteint la 59e position des éditeurs de logiciels français
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 21 octobre 2020 – Sogelink, leader du secteur de l’édition de solutions numériques pour les professionnels du BTP, se hisse à la 59e place du Syntec 2020, classement qui présente les 250 meilleurs éditeurs de logiciels français.Forte de ces 20 années d’expérience et d’expertise dans l’édition de solutions numériques à destination des professionnels du BTP, Sogelink ne cesse de développer de nouvelles solutions et accompagne entreprises et collectivités sur le chemin de la digitalisation.
“Pour Sogelink la digitalisation du secteur de la construction est une vraie opportunité. Nous mettons en oeuvre un fort investissement pour mettre à disposition de nos clients, le meilleur des technologies et répondre à leurs attentes avec un haut niveau d’expertise.” explique Fatima Berral, CEO de Sogelink.
Proposant actuellement près de 30 solutions simples, collaboratives et intelligentes, pour répondre aux besoins du terrain et de la réglementation, Sogelink compte environ 30 000 clients parmi lesquels les majors français du BTP et près de 100 000 utilisateurs. Aujourd’hui leader sur son secteur, Sogelink ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et, sur les 43 millions d’euros de chiffre d’affaires réalisé en 2019, plus de 10 % ont été investis en R&D.
Aujourd’hui, Sogelink accompagne l’écosystème du BTP sur l’ensemble de la chaîne de valeurs :
- Etudes et ingénierie (détection des réseaux, déclaration de projets de travaux, repérage amiante, etc.)
- Travaux et construction (déclaration d’intention de commencement de travaux, demandes d’arrêtés de circulation, gestion des travaux, etc.)
- Patrimoine et infrastructures (gestion de l’occupation de l’espace public, gestion des réseaux et du patrimoine urbain, etc.)
À propos de Sogelink
Créé en 2000 par Ignace Vantorre, Sogelink accompagne tous les acteurs de l’écosystème des infrastructures, des chantiers et du patrimoine avec des solutions logicielles, cloud et mobiles. Toutes ses solutions s’appuient sur une plateforme technologique de services notamment d’échanges de flux à très grande échelle. Avec 30 000 clients et près de 100 000 utilisateurs, Sogelink ambitionne d’être l’expert incontournable des solutions numériques, intelligentes et collaboratives de gestion 2D/3D/4D des données pour son écosystème.
www.sogelink.frContact presse
La Nouvelle Agence – Maurine Cassin
maurine@lanouvelle-agence.com
01 83 81 71 40Cet article Syntec 2020 : Sogelink gagne 6 places et atteint la 59e position des éditeurs de logiciels français est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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16:32
Thibaut Sardier : infatigable géopasseur
sur Décryptagéo, l'information géographiqueThibaut Sardier, 32 ans, agrégé de géographie, youtubeur, entendu sur les ondes de France Culture et d’Arte, aujourd’hui journaliste à Libération, est ce qu’il est convenu d’appeler un passeur. Très engagé dans l’organisation du Festival International de Géographie de Saint-Dié, il vient de publier un ouvrage « Quand la géo explique le monde » aux éditions Autrement qui porte un regard géographique sur le monde d’aujourd’hui à travers 30 questions d’actualité. Portrait.Thibaut Sardier au Festival International de la Géographie de Saint-Dié 2020
Petit, Thibaut se rêvait journaliste car curieux de tout, mais c’est la géographie qui le happe en premier. Où l’avait-il rencontré ? « Même si je me revendique comme un parisien convaincu, je passais toutes mes vacances chez mes grands-parents dans le Puy de Dôme, explique-t-il. J’y ai découvert les volcans, les balades, l’observation des paysages. »
De la géo au journalisme et bilatéralementBon élève, il suit ce qu’il est convenu d’appeler un parcours sans faute : Hypokhâgne et Khâgne au Lycée Henri IV à Paris, École Normale Supérieure à Lyon, Agrégation de géographie… un rêve. « J’ai beaucoup aimé mes cours de géographie en classes prépa, j’adorais les cartes et les croquis géographiques. » Pourtant, il ne renonce pas au journalisme. À Lyon, il lance la radio étudiante de l’ENS et imagine une émission sur les grands espaces, qui lui donne l’occasion de partir « sur le terrain » avec d’autres géographes.
Généraliste ou spécialiste ? Porté par l’institution, le jeune normalien hésite à se lancer dans une thèse sur la façon dont nos smartphones changent nos pratiques spatiales. Et opte finalement pour un poste de professeur d’histoire-géographie, qu’il occupe à mi-temps, afin de continuer à faire des piges. C’est ainsi qu’il intervient régulièrement sur les ondes de France Culture. « Je sentais qu’il y avait quelque chose à faire pour que les géographes aient plus de place dans le débat public et les médias. J’apprécie de me situer entre le monde universitaire et le grand public. C’est un plaisir que j’ai éprouvé en tant qu’enseignant, en transmettant mon goût pour la géographie aux plus jeunes. »
(FIG2020)
Ennuyeuse la géographie ? Outre ses cours, Thibaut Sardier lance sa chaîne YouTube, baptisée « Point G » (G comme géographie bien sûr !). Le ton est donné : papier, carton, crayons, anecdotes et concepts, humour et engagement… Le jeune géographe s’approprie sans peine les codes des youtubeurs pour parler d’Europe, de frontières, de géographie électorale, de mobilité, de révolutions, d’engagement… Repéré par Arte en 2017, il met la géo à l’honneur et remplace Xavier Mauduit le temps d’un été dans 28 minutes. « L’expérience m’a beaucoup plu et m’a permis de montrer des cartes ». Contacté par Libération, il commence par un remplacement avant de devenir journaliste à plein temps dans la rubrique Idées. « Je continue à y parler de géographie quand c’est justifié, mais j’aborde de nombreux autres sujets, en lien avec l’ensemble des sciences humaines et sociales ».
« Point G » la chaîne YouTube de Thibaut Sardier – 14 épisodes à déguster sans modération, et peut-être de nouveaux à venir…
La géo, ça sert à expliquer le mondeDans ses articles, Thibaut Sardier met souvent la géographie sur la table des débats d’actualité, résumant thèses et articles scientifiques qu’il dévore inlassablement. « Les sujets géographiques sont de plus en plus présents dans l’actualité. Le changement climatique, les méga-feux, les nouvelles mobilités, les canicules urbaines… les géographes ont beaucoup à dire. » Il leur donne également la parole dans l’ouvrage qu’il vient de publier aux éditions Autrement « Quand la géo explique le monde, 30 phénomènes que vous ne connaissez pas encore ». Avec son style enlevé, il rend compte de questions éminemment géographiques à travers textes, cartes et schémas crayonnés : les feux de forêts, la ZAD de Notre-Dame des Landes, les JO, Le Louvre et ses déclinaisons, la déforestation, la vie nocturne, la biodiversité, les quartiers gays, le harcèlement des femmes dans les transports en commun, les poubelles et les décharges…
« Quand la géo explique le monde, 30 phénomènes que vous ne connaissez pas encore » de Thibaut Sardier, Éditions Autrement, 19.90 € dans une bonne librairie près de chez vous.
« Je voulais que ce soit un ouvrage tout public, accessible aux lycéens, aux étudiants mais également à de simples curieux. Que ceux qui travaillent dans la géographie puissent l’offrir à leurs amis à Noël afin de leur faire comprendre l’intérêt de la géographie, ce qu’elle dit du monde d’aujourd’hui, en la mobilisant sur des sujets qui ne sont pas perçus a priori comme des sujets géographiques ».
Le nez en l’air et le crayon à la mainMême s’il est un grand consommateur d’outils géonumériques et qu’il utilise souvent Google Maps dont il a hâte de tester la nouvelle interface en réalité augmentée, Thibaut Sardier appelle à la vigilance. « Nous ne devons pas perdre de vue les espaces dans lesquels nous nous déplaçons en suivant la petite punaise bleue. Beaucoup de personnes sont limitées dans leurs déplacements, soit parce qu’elles sont handicapées, soit parce qu’elles n’ont pas accès aux codes spatiaux. Il ne faut pas oublier les autres repaires de la mobilité, qui nous permettent de maîtriser nos itinéraires. C’est pour cela que j’aime beaucoup l’application Dérive, qui ne propose qu’une boussole. Ainsi, on continue à faire des choix, à lever le nez. »
Chapitre sur les feux de forêt
Quand il s’agit de cartes, Thibaut fait également preuve de distance. « J’aime l’exercice du croquis, il permet de s’approprier la logique des problématiques territoriales et spatiales. Je suis peu parti sur le terrain car je voyage peu. Le croquis est une façon de surmonter cette difficulté. » Même en étant conscient que les recherches dont il fait part s’appuient souvent sur des analyses de données spatiales, il choisit de faire ses cartes à la main, ce qui est également une façon de démystifier la cartographie en tant que pratique de spécialistes. « La géographie ne se résume pas à la carte. C’est un outil puissant mais certains changements sont difficiles à illustrer. Il faut mobilier plusieurs types de représentations. » Le thème du Corps, qu’il a choisi pour le Festival International de la Géographie de Saint-Dié, en tant que nouveau président de l’association de développement du FIG (ADFIG) donnera certainement lieu à de nombreuses représentations originales. « Montrer comment les pratiques de l’espace sont liées à nos corps, à travers les notions de genre, mais également d’âge, de façon d’habiter, de groupe social… Ça va être passionnant. » Rendez-vous du 1er au 3 octobre 2021 !
- Thibaut Sardier sur Twitter : @tsardier
- « Quand la géo explique le monde, 30 phénomènes que vous ne connaissez pas encore » de Thibaut Sardier, Éditions Autrement, 19.90 € dans une bonne librairie près de chez vous.
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14:20
GEOCONCEPT dévoile Opti-Time for Salesforce Winter 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAnticiper les pics d’activités saisonniers est essentiel pour garder la maîtrise de sa stratégie commerciale et l’adapter en conséquence. Parmi ses nouveautés, l’application de gestion de plannings de forces de ventes propose ainsi une prise en charge de la saisonnalité. Elle embarque également le nouveau moteur d’optimisation en standard.Paris, le 21 octobre 2020 : GEOCONCEPT, annonce Opti-Time for Salesforce Winter 2021, une nouvelle version majeure de son application de field sales management. Cette mise à jour apporte une prise en compte de la saisonnalité dans la géoplanification, une prise de rendez-vous en temps réel améliorée, une recherche de proximité enrichie, une plateforme d’adoption digitale et un moteur d’optimisation plus efficace, au service de la performance commerciale des équipes de terrain.
Opti-Time for Salesforce s’intègre au cœur du leader du CRM et propose aux utilisateurs de puissantes fonctionnalités de géoptimisation telles que l’optimisation des tournées, l’équilibrage du portefeuille clients ou encore la géoplanification des rendez-vous commerciaux. Les équipes mobiles qui l’utilisent sont assurées de réaliser un maximum de rendez-vous en minimisant le nombre de kilomètres parcourus.
Opti-Time for Salesforce Winter 2021 ajoute les fonctions suivantes :
Prise en compte de la saisonnalité
Opti-Time for Salesforce permet désormais de prendre en compte les variations saisonnières de la charge de travail propres à certaines activités et d’adapter les stratégies de visites commerciales en fonction des augmentations et des baisses prévisibles. Cela se traduit dans l’outil par l’attribution de fréquences de visites propres à chacune des périodes définies par l’utilisateur.
Prise de rendez-vous en temps réel améliorée
La proposition de créneaux de rendez-vous optimisés en temps réel s’enrichit de nouvelles fonctionnalités. La recherche automatique des prochains créneaux de rendez-vous disponibles est désormais accessible directement depuis la fiche d’un contact ou d’un compte, y compris dans l’application mobile. Pour faciliter la sélection du rendez-vous optimal, l’interface a été enrichie d’un calendrier hebdomadaire et journalier. Enfin, une invitation au format .ical est envoyée automatiquement à l’adresse e-mail renseignée pour le contact
Recherche à proximité améliorée
La fonctionnalité de recherche à proximité permet d’identifier facilement les contacts et comptes situés dans un périmètre choisi. Il est désormais possible de définir un critère de priorité afin de ne sélectionner que les contacts les plus stratégiques dans un périmètre donné. C’est un gain de temps pour l’utilisateur qui n’a plus besoin de créer des vues spécifiques en amont d’une recherche à proximité.
Nouveau moteur d’optimisation
Le nouveau moteur d’optimisation d’Opti-Time for Salesforce sort de la version bêta et est disponible en standard afin de permettre aux utilisateurs de profiter de performances accrues sur de nombreux points tels que la vitesse de calcul, l’optimisation des trajets, la gestion des grands volumes de données ou encore la définition d’une stratégie d’optimisation personnalisée par pondération de certains paramètres.
Plateforme d’adoption digitale
Opti-Time for Salesforce embarque dans cette nouvelle version une application de guidage pas à pas destinée à accompagner les utilisateurs dans la découverte de la solution et de ses nouveautés.
Harmonisation de l’interface avec Salesforce
Avec la version Winter 2021, GEOCONCEPT harmonise les pages Intervenants et Evènements. Ces fonctionnalités, qui permettent respectivement de paramétrer les contraintes de travail des commerciaux et de gérer les rendez-vous et indisponibilités de l’agenda, arborent désormais le même design et le même fonctionnement que l’interface Salesforce native. L’objectif est de faire évoluer l’utilisateur en terrain connu, avec des repères et des interactions qu’il maîtrise déjà.
Pour tester gratuitement Opti-Time for Salesforce Winter 2021, rendez-vous sur l’Appexchange.
A propos du Groupe GEOCONCEPT
Le Groupe GEOCONCEPT, éditeur français de solutions logicielles d’optimisation géographique pour les professionnels, se positionne aujourd’hui parmi les leaders mondiaux de la planification des interventions terrain et de l’optimisation de tournées. Reconnu comme acteur majeur du Field Service Management et du Vehicle Routing & Scheduling par le cabinet Gartner, GEOCONCEPT optimise quotidiennement les déplacements de 155 000 ressources dans le monde.
Livraison du dernier kilomètre, gestion des interventions terrain, performance commerciale, géomarketing, développement de réseaux, SIG, géo-décisionnel… : les domaines d’application de la géoptimisation sont nombreux et les bénéfices engendrés multiples (15 à 30 % de gain de productivité, réduction des coûts opérationnels, satisfaction client, conditions de travail améliorées).
Grâce à ses nombreuses possibilités de déploiement (SaaS, on-premise, mobile, server, API…), l’ouverture de ses technologies, la couverture géographique de ses solutions et son support 24/7, GEOCONCEPT gère des projets d’envergure internationale.
Le Groupe GEOCONCEPT est implanté à Paris, Grenoble et Caen, et dispose de bureaux aux Etats-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse. Des partenaires stratégiques revendent également les solutions du Groupe dans de nombreux pays dont la Grande-Bretagne, le Mexique, le Brésil ou encore le Japon
Contacts presse : AxiCom France
Elise Koenig – 01 56 02 68 38 – elise.koenig@axicom.com
Contact marketing : GEOCONCEPT
Laura L’hoiry – laura.lhoiry@geoconcept.com
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12:00
Le nouveau zonage en aires d’attraction des villes
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’aire d’attraction d’une ville définit l’étendue de son influence sur les communes environnantes. Ce zonage succède au zonage en aires urbaines de 2010. Une aire est composée d’un pôle, défini à partir de critères de population et d’emploi, et d’une couronne, constituée des communes dont au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle. Au sein du pôle, la commune la plus peuplée est appelée commune-centre.- En France, les 699 aires d’attraction des villes regroupent neuf personnes sur dix. 51% de la population habite dans les pôles et 43% dans les couronnes.
- Une personne sur cinq vit dans l’aire d’attraction de Paris.
- L’Insee publie un ensemble d’études nationale et régionales qui analysent le nouveau zonage en aires d’attraction des villes.
Aires d’attraction des villes selon le nombre d’habitants en 2017 (document INSEE)
L’Insee Focus est à retrouver en pièce-jointe et sur ce lien : « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville ».
9 publications régionales sur le nouveau zonage en aires d’attraction des villes ont également été réalisées.
Consultez les études régionales
Auvergne-Rhône-Alpes :
92 % de la population de la région vit dans une aire d’attraction des villes – Insee Analyses Auvergne-Rhône-Alpes n° 105
Contact : Nathalie Camus – 04.78.63.26.96 – nathalie-r.camus@insee.fr
Bretagne :
En Bretagne, 87 % des habitants résident dans une des 45 aires d’attraction des villes – Insee Flash Bretagne n° 64
Contact : Christelle Marcault – 02.99.29.34.90 – communication-bretagne@insee.fr
Corse :
En Corse, 86 % de la population vit dans l’aire d’attraction d’une ville – Insee Flash Corse n° 54
Contact : Olga Natali-Santoni – 04.95.23.54.63 – communication-corse@insee.fr
Grand Est :
Les aires d’attraction des villes dans le Grand Est : 87 aires qui regroupent 92 % de la population régionale – Insee Flash Grand Est n° 40
Contact : Véronique Heili – 03.88.52.40.77 – dr67-communication-externe@insee.fr
Hauts-de-France :
Plus de neuf habitants des Hauts-de-France sur dix vivent dans une aire d’attraction des villes – Insee Analyses Hauts-de-France n° 113
Contact : Marie Albert – 06.60.51.86.50– communication-hdf@insee.fr
Nouvelle-Aquitaine :
En Nouvelle-Aquitaine, un habitant sur sept réside hors de l’influence d’une ville – Insee Flash Nouvelle-Aquitaine n° 57
Contact : Violette Filipowski – 05.57.95.03.89 / 06.73.64.22.91 – medias-nouvelle-aquitaine@insee.fr
Occitanie :
Nouveau regard sur l’attraction des villes – Insee Flash Occitanie n° 100
Contact : Sophie Coufort – 05.61.36.62.85 – medias-occitanie@insee.fr
Pays de la Loire :
La moitié des Ligériens dans les aires de Nantes, Angers, Le Mans et Saint-Nazaire – Insee Flash Pays-de-la-Loire n° 104
Contact : Bureau de Presse – 02.40.41.75.89 – bureau-presse-pays-de-loire@insee.fr
Provence-Alpes-Côte d’Azur :
48 « aires d’attraction des villes » en Provence-Alpes-Côte d’Azur – Insee Flash Provence-Alpes-Côte d’Azur n° 66
Contact : Fernande Ponzio – 04.91.17.59.11 / 06.61.35.63.73 – dr13-relations-avec-la-presse@insee.fr
Contact presse : Bureau de presse de l’Insee
bureau-de-presse@insee.fr / 01.87.69.57.57
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Belle récolte pour l’information géographie au dernier FTAP
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnviron 6 mn de lecture Dans le cadre d’action publique 2022, 112 millions d’euros ont été engagés par l’État au titre du Fonds pour la Transformation de l’Action Publique (FTAP) le 6 octobre dernier. Parmi les dix-neuf projets lauréats, deux concernent directement l’information géographique avec près de 33 millions d’euros à la La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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L’ASSISTANT SNCF S’ENRICHIT AVEC DE NOUVEAUX PARTENAIRES DE MOBILITÉS DOUCES ET PARTAGÉES PARTOUT EN FRANCE
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’Assistant SNCF, premie?re application franc?aise de Mobility as a Service (MaaS) développée par e.Voyageurs SNCF, filiale digitale de SNCF Voyageurs, se renforce en proposant dès aujourd’hui à ses clients de nouveaux modes de mobilités douces et partagées, la trottinette et le vélo libre-service, dans 5 villes françaises : Paris, Lyon, Marseille, Grenoble et Bordeaux. L’application accélèrera aussi la digitalisation de l’information voyageurs et des tickets de transports publics en régions fin novembre.
Pour l’intégration de ces nouveautés, e.Voyageurs SNCF collaborent avec les start-ups Fluctuo, agrégateur de données de la mobilité partagée et Airweb, leader de la vente dématérialisée des titres de transport. Elles viennent toutes les deux de rejoindre la 8ème promotion de l’Accélérateur d’e.Voyageurs SNCF.
Dans un monde où le voyageur a besoin de services ultra-rapides et personnalisables en fonction de ses besoins et de ses choix de mobilité, e.Voyageurs SNCF met sa dynamique d’innovation au service de l’Assistant SNCF afin d’en faire un acteur national toujours plus incontournable des mobilités, responsables et accessibles à tous les Français, dans les grandes mais également les petites et moyennes villes de France.
« Avec l’intégration de ces nouvelles offres de trottinettes et vélos en libre-service, nous franchissons une étape importante pour faire de notre application l’Assistant SNCF la référence de la mobilité au quotidien. En proposant une expérience toujours plus fluide et naturelle entre les modes, nous agissons pour simplifier la vie de nos voyageurs » indique Christophe Fanichet, Président directeur général de SNCF Voyageurs.
« Aujourd’hui, 23% des trajets en trottinette sont combinés aux transports en commun ou à la marche principalement pour des trajets domicile-travail. Grâce à nos collaborations et l’accélération de Fluctuo et Airweb, nous pouvons enrichir l’Assistant SNCF et ainsi proposer de nouvelles fonctionnalités qui répondent aux usages des Français de se déplacer en toute sécurité et facilement avec un large choix de mobilités. Cette nouvelle offre vient compléter celles du train, bus, VTC, taxi, métro et covoiturage avec des mobilités douces qui sont plébiscitées en cette période de crise sanitaire, » souligne Julien Nicolas, Directeur général d’e.Voyageurs SNCF.
Avec Fluctuo, l’arrivée de nouveaux modes de mobilités douces (trottinettes et vélo libre-service partagés) est effective dès aujourd’hui dans l’Assistant SNCF
L’Assistant SNCF propose à ses utilisateurs de 5 villes françaises (Paris, Marseille, Lyon, Grenoble et Bordeaux) plusieurs offres de trottinettes (Blablaride, Dott, Lime, Pony, Tier et Wind) et de vélos libre-service sans stations (Pony, Zoov et Jump via Lime). Les utilisateurs peuvent retrouver ces nouvelles mobilités douces soit dans la carte “autour de moi” ou en faisant une recherche d’itinéraires. Ils pourront voir en temps réel la position géolocalisée des trottinettes et/ou vélos en libre-service ainsi que leur état de charge. Au clic, le client sera redirigé vers l’écran de déverrouillage de la trottinette s’il possède déjà un compte client de l’application partenaire ou vers le store pour télécharger l’application. Cela est rendu possible via l’API Data Flow développée par Fluctuo.
Avec Airweb, la digitalisation à 100% des tickets de transport
La collaboration avec Airweb permettra quant à elle d’accélérer la digitalisation de l’information voyageurs et des tickets de transports publics de plusieurs villes françaises à partir de fin novembre. Les utilisateurs pourront retrouver directement depuis l’Assistant SNCF leurs tickets de train mais également de métro, de bus dans de nombreuses villes de France. Grâce à ce partenariat l’Assistant SNCF va renforcer son offre dans les petites et moyennes villes de France pour une expérience plus fluide et naturelle.
L’application permet d’ores et déjà d’acheter et recharger ses titres de transport en NFC1 en Ile-de-France2 (passe Navigo et Ticket T+ directement dans son smartphone) et dans l’agglomération strasbourgeoise.
L’Assistant SNCF : le saviez-vous ?
L’Assistant SNCF est la première plateforme française de MaaS à portée nationale, partenaire des acteurs de la mobilité de tous les territoires, visant à regrouper dans une seule application l’ensemble des modes de transports disponibles pour optimiser un trajet donné de la recherche au paiement. Parmi ses fonctionnalités les plus utilisées : la recherche d’itinéraires multimodaux, l’aide contextuelle pour optimiser son trajet, les informations/alertes voyageurs en temps réel en cas de perturbation ou encore, les suggestions personnalisées grâce à un algorithme précis auto-apprenant.
L’Assistant SNCF ne cesse de s’enrichir de partenaires et services depuis son lancement en juin 2019 pour proposer une offre de mobilité nationale et locale, ouverte à tous les opérateurs de mobilité, publics comme privés.
L’application propose aujourd’hui :- Une offre de taxis et de VTC en Ile-de France avec l’offre VTC d’Uber et les taxis via Karhoo, et dans plus de 90 villes partout en France également via Karhoo ;
- Les trottinettes et vélos libre-service de 5 grandes villes : Paris, Lyon, Marseille, Grenoble et Bordeaux ;
- Le covoiturage du quotidien domicile-travail avec BlaBlaLines et Karos ;
- Le trafic temps re?el de Transilien et RATP ainsi que l’affichage d’autres mobilités en Ile-de-France comme Ve?lib’ ou CityScoot, ou les stations de vélos libre-service de plusieurs villes (Vélo’v à Lyon, V3 à Bordeaux et Le Vélo à Marseille) ;
- L’achat et la recharge des titres de métro, bus, RER, Train, Tramway (ticket T+ et passe Navigo) compatibles NFC[i] sur Android en Ile-de-France[ii] et dans l’agglomération strasbourgeoise avec la Compagnie des Transports Strasbourgeois ;
- Toutes les offres SNCF longue distance (TGV INOUI, OUIGO, Intercités, etc.) et tous les billets TER, y compris en NFC dans toutes les régions (hors Auvergne-Rhône-Alpes).
En quelques chiffres :
- L’Assistant SNCF est aujourd’hui dans la poche d’un Français sur quatre.
- Plus d’1 million de recherches d’itinéraires multimodaux par jour en moyenne dans 500 villes de France.
- 16 millions de téléchargements uniques.
- N°1 de l’info voyageurs en temps réel avec 80% des grandes agglomérations françaises couvertes.
- 6,2 millions de consultations d’alertes et info trafic par mois en moyenne.
À PROPOS D’E.VOYAGEURS SNCF :
e.Voyageurs SNCF, filiale digitale de SNCF Voyageurs, est une entité qui rassemble les compétences digitales client du groupe SNCF. Créé en octobre 2018, ce nouvel ensemble s’appuie sur l’excellence technologique de son usine digitale et sur ses trois marques : OUI.sncf, leader du e-commerce français ; Rail Europe et son réseau international, ainsi que l’Assistant SNCF, l’offre de services de l’application SNCF et son programme MaaS (Mobility as a Service), qui permet à chacun de s’informer, réserver, payer et valider tous ses choix de mobilités depuis une seule et même application. e.Voyageurs SNCF a réalisé un volume d’affaires de 5 milliards d’euros et vendu 122 millions de billets en 2019.
À PROPOS DE SNCF VOYAGEURS :
SNCF Voyageurs est la société du groupe SNCF consacrée au transport ferroviaire de voyageurs. Elle propose des solutions de mobilité partagée et de porte à porte afin de répondre aux besoins des voyageurs en termes d’offre, de coût, de qualité de service et de respect de l’environnement. Elle opère aussi bien pour la mobilité du quotidien que pour les longues distances, en France et en Europe, avec : Transilien en Ile-de-France ; TER dans les régions ; et Voyages (TGV INOUI, OUIGO, Intercités, Eurostar, Thalys, Alleo, TGV Lyria). Son agence en ligne OUI.sncf est aujourd’hui le premier site marchand français. Les plus de 70 000 collaborateurs de SNCF Voyageurs transportent chaque jour environ 5 millions de voyageurs en France. Créée depuis le 1er janvier 2020, SNCF Voyageurs est une société anonyme 100% publique, intégralement détenue par le groupe SNCF.
CONTACTS PRESSE E.VOYAGEURS SNCF :
Service de presse : contactpresse@oui.sncf
Publicis Sprint : Clément BOROWCZYK – clement.borowczyk@publicissprint.com – 06 48 50 48 88
Charlotte MARINÉ – charlotte.marine@publicissprint.com – 01 44 82 46 05[i] Pour pouvoir utiliser la technologie NFC (Near Field Communication), les utilisateurs doivent être clients Orange ou Sosh avec un smartphone Android compatible NFC, ou être équipés d’un téléphone Samsung compatible quel que soit l’opérateur téléphonique (Galaxy Fold, Note10 / Note10+, S10e / S10 / S10+, Galaxy S9 / S9+, Galaxy S8 / S8+, Galaxy S7 / S7 Edge, Galaxy Note9, Galaxy Note8, Galaxy A5 (2017), Galaxy A8, Galaxy A70, Galaxy A80).
Si l’utilisateur est client Orange ou Sosh avec un smartphone Android compatible NFC, il devra s’assurer qu’il a installé l’extension « Ticket sans contact » de notre partenaire Wizway Solutions depuis Google Play. Les titres sans contacts sont ainsi stockés sur un élément sécurisé du téléphone (carte SIM ou eSE selon le type de téléphone ou d’opérateur).
[ii] .Le paiement sans contact en Ile-de-France est un service développé par Ile-de-France Mobilités.
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9:27
DJI dévoile la première solution de drones avec technologie Lidar intégrée ainsi qu’une caméra-nacelle plein format puissante pour la topographie aérienne
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes nouvelles nacelles-caméras Zenmuse P1 et Lidar Zenmuse L1 se placent en tête des solutions performantes dans l’industrie des drones pour les professionnels du secteur géospatial, de la topographie et de la constructionDJI Zenmuse L1 M300 RTK
14 oct. 2020 – DJI, le leader mondial des drones civils et de la technologie d’imagerie aérienne, dévoile aujourd’hui INTERGEO, deux nouvelles solutions de nacelles-caméras pour le Matrice 300 RTK, plateforme commerciale phare de drones, destinées aux missions de topographie aérienne. Les Zenmuse P1 et Zenmuse L1 de DJI révolutionnent l’industrie, proposant plus d’efficacité, de nouvelles perspectives à un prix abordable sans compromettre la qualité et la précision des données collectées, pour des missions de collecte de données et d’inspections aériennes précises.
« Grâce à ces deux nouvelles nacelles-caméras, nous proposons une solution complète entièrement intégrée à nos clients professionnels intervenants dans le domaine de l’acquisition de données géospatiales, déclare Arjun Menon, Responsable ingénierie chez DJI USA. L’intégration parfaite d’un Lidar puissant et abordable avec notre meilleur drone commercial est un rêve devenu réalité pour les professionnels de la topographie, de la cartographie et de l’industrie de construction. Ils pourront voir, parcourir et comprendre le contexte géospatial d’un point de vue inédit grâce au haut niveau de précision et de qualité des données collectées de ces outils depuis le ciel. »
DJI Zenmuse L1 – La première solution DJI Lidar de topographie aérienne
Dans l’industrie de la topographie aérienne, la technologie Lidar jour un rôle essentiel en termes de création de modèles de réalité précis. En conditions de faible éclairage ou dans des zones à végétation dense où les méthodes de photogrammétrie traditionnelles par drone seraient limitées, Lidar fournit des modèles de nuages de points rapides, précis et en couleurs réelles de structures complexes. La Zenmuse L1 est la première solution Lidar de DJI en termes de topographie aérienne, et représente une avancée majeure en termes de généralisation de la technologie Lidar, de par sa facilité d’utilisation et d’accès.
La Zenmuse L1 comprend un module Lidar Livox ultraléger et puissant avec un FOV de 70°, un IMU de haute précision et une caméra 20MP avec un capteur CMOS et obturateur mécanique sur une nacelle stabilisée à trois axes. Elle peut générer des modèles de nuages de points en couleurs réelles en temps réel, ou peut récupérer un large périmètre (jusqu’à 2 km2) de données de nuages de points en un seul vol. Avec un taux de 240 000 points par seconde et une portée de détection de 450 mètres, les données Lidar sont faciles à obtenir et d’une qualité sans précédent. Le module prend en charge le mode de balayage linéaire non-répétitif, une technologie unique développée par Livox qui permet un traitement complet de la zone d’intérêt en peu de temps, et au capteur de rassembler des données dans toutes les directions plutôt que de suivre un plan défini.
Combinée avec la plateforme commerciale de drones phare de DJI, la Matrice 300 RTK et au logiciel de topographie DJI Terra, elle fournit une solution complète et polyvalente à l’utilisateur en termes de données 3D en temps réel, d’efficacité dans les détails de structures complexes et de reconstruction précise de modèles. Grâce à son indice de protection IP44, la Zenmuse L1 fonctionne par temps pluvieux ou brumeux, et la méthode de balayage active du module Lidar permet des vols en conditions de faible luminosité.
Le mode de balayage non-répétitif unique Lidar de Livox permet au capteur de capturer des données dans toutes les directions, point essentiel des applications de cartographie. La solution Lidar Zenmuse L1 passe facilement au travers de la végétation et les feuillages. Cela représente un avantage pour les agriculteurs et responsables forestiers, en termes d’étendue, de densité, notamment pour étudier les volumes et courbes de croissance de la végétation. Les équipes d’intervention d’urgence peuvent récupérer des informations essentielles grâce aux nuages de points en couleur réelles, prendre connaissance du terrain et obtenir des informations scientifiques en temps réel pour des prises de décision éclairée. La Zenmuse L1 peut aussi être utilisée en environnements industriels à haut risque, comme les secteurs du pétrole et gaz, minier, infrastructures, de la télécommunication et de l’énergie.
DJI Zenmuse P1 – La photogrammétrie plein format – La nouvelle référence en topographie aérienne
Au cours des dernières années, DJI Enterprise a déployé des efforts significatifs et un engagement envers les professionnels de l’industrie agricole, de l’ingénierie, de la construction et de la topographie. Les experts ont adopté la technologie de drone et se sont naturellement orientés vers les capacités du DJI P4 RTK pour la collection de plans et modèles précis au centimètre près, applicables aux modèles de recensement cadastral et aux modèles de sites de patrimoine naturel.
Aujourd’hui, DJI repousse les limites de sa vision pour l’industrie en donnant une toute autre dimension à la photogrammétrie aérienne, avec un niveau de précision, de performances et de travail de haute précision sans précédent. La nouvelle DJI Zenmuse P1 est la nacelle-caméra la plus puissante de DJI, dédiée à l’acquisition de données géospatiales. Elle est équipée d’un capteur haute sensibilité silencieux plein format de 45 mégapixels, permettant un visionnage flexible avec des objectifs à mise au point fixe 24/35/50 mm sur une nacelle stabilisées à trois axes.
La DJI Zenmuse P1 fournit une haute précision sans points de contrôle au sol (3 cm horizontalement / 5 cm verticalement) et une haute efficacité de couverture (3 km2) en un seul vol.
Équipé d’un obturateur mécanique et du tout nouveau système TimeSync 2.0, synchronisant les temps des différents modules à la microseconde, la DJI Zenmuse P1 permet à l’utilisateur de capturer des données au centimètre près combinées à la technologie de compensation d’orientation et de position en temps réel.
La fonction de capture oblique intelligente améliore de manière significative l’efficacité, à l’image d’une caméra oblique multi capteurs, capturant seulement les photos nécessaires à la reconstruction de pointe des zones cartographiées.
L’adoption de la DJI Zenmuse P1 ouvre une nouvelle dimension aux professionnels de la photogrammétrie, leur permettant de travailler plus vite grâce à ses fonctionnalités uniques. Ils auront la possibilité de mener des missions complexes nécessitant des orthomosaïques 2D, des images obliques pour une modélisation 3D précise au centimètre près et d’obtenir une résolution ultra élevée des données d’images de surface verticale ou inclinée ; ceci dans le but de reproduire fidèlement les textures, structures et caractéristiques à une distance de sécurité, pour des reconstructions détaillées, topographies géologiques, conservation de sites patrimoines, ingénierie hydraulique et bien plus. Les équipes auront aussi la possibilité de travailler sur des missions de cartographie en temps réel, rassemblant des informations géographiques via DJI Terra.
Prix et disponibilité
Les DJI Zenmuse L1 et DJI Zenmuse P1 sont disponibles en pré-commande sur le site officiel DJI Enterprise et les livraisons débuteront début 2021. Référez-vous à votre revendeur officiel local DJI Enterprise pour connaître les tarifs et la disponibilité en magasin.
Carte des revendeurs agréés DJI Enterprise : [https:]]
Pour plus d’informations sur la DJI Zenmuse L1 : cliquez ici
Pour plus d’informations sur la DJI Zenmuse P1 : cliquez iciVidéo de présentation de la DJI Zenmuse P1: cliquez ici
Vidéo de présentation de la DJI Zenmuse P1: cliquez iciPour regarder la présentation des DJI Zenmuse L1 et DJI Zenmuse P1, cliquez sur le lien suivant.
Pour plus d’informations sur le DJI Matrice RTK, cliquez ici.
Pour en savoir plus, merci de contacter :
Olivier Mondon, Responsable Communication, DJI Europe (olivier.mondon@dji.com)
À propos de DJI
DJI est le leader mondial dans le développement et la production de drones civils et de technologies d’imagerie aérienne. DJI a été créé et est dirigé par des passionnés d’aéromodélisme et des experts en technologies de contrôle de vol et en stabilisation d’image. L’entreprise se consacre à rendre les équipements et plateformes de photographie aérienne et de réalisation de films plus accessibles, plus fiables et plus faciles à utiliser pour tous les créateurs et les innovateurs du monde entier. Les activités internationales de DJI couvrent actuellement l’Amérique, l’Europe et l’Asie, et ses produits et solutions révolutionnaires sont exploités dans plus de 100 pays pour des applications diverses dans le cinéma, la construction, l’inspection, l’intervention d’urgence, l’agriculture, la préservation et bien d’autres secteurs d’activité.
Pour plus d’informations, rendez-vous sur :
Site web : www.dji.com
Boutique en ligne : store.dji.com/
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Twitter : www.twitter.com/DJIGlobal
LinkedIn : www.linkedin.com/company/dji
Abonnez-vous à notre chaîne YouTube : www.youtube.com/DJICet article DJI dévoile la première solution de drones avec technologie Lidar intégrée ainsi qu’une caméra-nacelle plein format puissante pour la topographie aérienne est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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14:40
Planon signe un partenariat avec MazeMap
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, 14 octobre 2020 – Planon et MazeMap créent un partenariat qui prévoit l’intégration du logiciel de gestion du real estate, des espaces et des assets de Planon aux solutions numériques d’orientation de MazeMap. Cette collaboration va permettre aux entreprises d’offrir aux visiteurs d’un campus ou d’un bâtiment étendu une meilleure expérience utilisateur en temps réel.MazeMap est une entreprise spécialisée dans l’orientation numérique intérieure et extérieure pour de vastes sites tels que les universités, les hôpitaux, les bureaux étendus et les salles de conférence. L’association de la technologie de MazeMap aux solutions de gestion intégrée de l’environnement de travail (IWMS) de Planon assure aux occupants une navigation efficace sur site.
Thomas Jelle, PDG de MazeMap explique : « Nous sommes ravis de collaborer avec Planon et d’intégrer notre solution d’orientation numérique à la plateforme. Cette solution commune permet aux occupants des bâtiments de savoir comment se rendre d’un point A à un point B en temps réel ».
« Regrouper l’expertise de MazeMap aux solutions de gestion intégrée de l’environnement de travail de Planon nous permet de répondre à la demande croissante en matière de solution intégrée d’orientation », déclare Pierre Guelen, PDG de Planon. Iwan van Eldijk, Vice-président Partnering & Alliances chez Planon, ajoute que « les entreprises bénéficieront de l’intégration de MazeMap, solution conviviale, dans leur plateforme logicielle Planon et pourront ainsi offrir une meilleure expérience d’accueil aux utilisateurs des bâtiments ».
À propos de Planon
Leader mondial disposant de plus de 35 ans d’expérience, Planon édite des logiciels innovants qui aident les entreprises propriétaires et les occupants de biens immobiliers à optimiser la performance de leur environnement de travail en simplifiant les processus métier et en rationalisant les coûts. Planon a de manière constante été désigné comme un leader mondial dans son domaine par plusieurs cabinets d’études indépendants et sociétés de conseils. Planon compte plus de 2 500 entreprises clientes dans le monde.Contactez-nous
Maike Theunisse
maike.theunisse@planonsoftware.comÀ propos de MazeMap
MazeMap est un fournisseur mondial de solutions d’orientation numérique intérieure et extérieure conçues pour de vastes sites tels que les universités, les hôpitaux, les bureaux étendus et les salles de conférence. MazeMap ouvre la voie à l’innovation via ses capacités d’intégration de pointe dans les domaines de la visualisation des données, du facility management et de la gestion technique des bâtiments.Contactez MazeMap
Laura Hodge
laura@mazemap.comCet article Planon signe un partenariat avec MazeMap est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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11:56
« Privatopia » une exposition très géographique à Marseille
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDu 8 au 24 octobre 2020, venez découvrir l’Exposition art-science de la plasticienne Anke Doberauer et des géographes Élisabeth Dorier et Julien Dario (Aix Marseille Université) qui travaillent depuis plus de dix ans sur les résidences fermées à Marseille.
- VERNISSAGE Jeudi 08 Octobre 2020 à 18h et lever d’embargo sur la thèse de J.Dario
- FINISSAGE Vendredi 23 octobre à 18h30 avec projections de films
- VISITES COMMENTEES sur demande. Inscription: marseilleprivatopia@free.fr
« Privatopia », terme inventé par le politiste Mc Kenzie pour le contexte nord américain, qualifie ici l’utopie (ou la dystopie) du gouvernement privé des villes : le rêve d’un monde urbain produit, organisé et rentabilisé par des investisseurs pour une société de copropriétaires et de clients de services payants, face au retrait de l’action publique. Aux antipodes du concept de « droit à la ville », Privatopia définit des cadres de vie urbains « sur mesure » et de qualité proportionnelle aux moyens financiers de chacun.
Depuis 2007 une équipe d’universitaires géographes explore Marseille sous la direction de la Pr. Élisabeth Dorier, en y cartographiant l’emprise croissante des « résidences fermées ». Ces enclosures sécurisées révèlent une ville produite et gérée par promoteurs et copropriétaires, tournant le dos à la rue et aux espaces publics : ce que E. Mc Kenzie appelait « Privatopia ». Fragmentation des espaces et replis sociaux accompagnent la banalisation de ce phénomène.En 2014, l’artiste Anke Doberauer s’est jointe à cette exploration. Ses peintures réalisées « en plein air » dans les résidences fermées soulignent l’omniprésence des murs et jardins clos. Ils délimitent des réserves de qualité de vie, face à des espaces publics délaissés. La résidence fermée pourrait ainsi être assimilée au paradis terrestre : un espace très sélectif.
VERNISSAGE jeudi 8 octobre 18h-20h et « lever d’embargo » sur la thèse de Julien Dario « Géographie d’une ville fragmentée : morphogenèse, gouvernance des voies et impacts de la fermeture résidentielle à Marseille »
FINISSAGE vendredi 23 octobre 18 – 21h : Projections – débats « filmer les résidences fermées », avec Elisabeth Dorier, Anke Doberauer, Julien Dario, et les cinéastes Marie-Noëlle Battaglia (film « En remontant les murs », 2019), Gaspard Hirschi (film « Ô châteaux », tournage 2020) et Fatima Sissani (film sur Plan d’Aou, tournage 2020)
ADRESSE : Espace Fernand Pouillon, Campus Saint Charles, Aix-Marseille Université, 3 place Victor Hugo, 13003 Marseille. Accès gratuit, sur inscription dans le cadre des précautions sanitaires COVID: marseilleprivatopia@free.fr
Horaires
Mercredi 14 oct à samedi 17 oct de 14 à 19 hMercredi 21 oct à jeudi 22 oct de 14 à 19 h
Vendredi 23 oct de 14 à 21 h
Samedi 24 octobre 11-14h
petits groupes sur rendez-vous.Réservation: marseilleprivatopia@free.fr
Compléments d’informations sur le projet de recherche : www.urbanicites.hypotheses.org/688
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14:46
Enedis déploie une plateforme d’intelligence artificielle avec Alteia, société spin-off des activités logicielles de Delair
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnedis déploie une plateforme d’intelligence artificielle avec Alteia pour un réseau public de distribution d’électricité toujours plus résilient et plus digital- Ce partenariat permet à Enedis d’accélérer sa transformation digitale grâce à l’usage systématique des données visuelles et de l’Intelligence Artificielle (IA) au service des opérations de vérification de son réseau aérien moyenne tension.
- Déployé sur 6.500 kilomètres de lignes en première année, ce passage à l’échelle de l’IA est une première mondiale dans le secteur de la gestion des réseaux électriques.
Enedis, premier distributeur europe?en d’électricité?, et Alteia (www.alteia.com), l’un des leaders mondiaux des solutions de gestion des données visuelles pour les entreprises, ont signé? un contrat pour la transformation digitale d’une partie des opérations de maintenance des installations du réseau. Ce partenariat confirme la volonté d’Enedis de mettre l’intelligence artificielle au cœur de sa performance industrielle.
Face à la relance économique verte, et dans le cadre du nouveau projet industriel et humain 2020-2025 d’Enedis, les investissements de l’entreprise et les programmes de maintenance prédictive contribuent à la transition écologique au service d’un réseau public de distribution d’électricité toujours plus résilient et innovant.
Si la plateforme Alteia propose des modules d’inventaire de végétation, de contrôle de l’élagage, de collecte de données pour l’inspection de transformateurs, c’est celui de l’inspection prédictive qui sera déployé à l’échelle nationale en 2021. Appliquée à un périmètre initial de 6500 kilomètres de lignes, représentant près d’un demi-million d’images collectées par drones, hélicoptères ou smartphones, et analysées par des algorithmes d’intelligence artificielle, ce programme d’IA sera une première mondiale pour le secteur. Pour Enedis, l’objectif est d’anticiper et d’identifier les travaux à mener sur ses installations en France.
Benjamin Benharrosh, directeur commercial et co-fondateur d’Alteia : « Nous sommes extrêmement fiers d’accompagner Enedis dans ce projet ambitieux, première opération d’une telle envergure destinée à optimiser la gestion d’un réseau électrique grâce à l’intelligence artificielle. Nous connaissons bien Enedis et collaborons depuis 2013 sur des projets de digitalisation des lignes électriques et d’optimisation des opérations d’élagage de végétation grâce aux données visuelles. Chaque étape de ce nouveau projet sera accompagnée par une équipe d’experts Alteia en IA, qui développeront et affineront continuellement les performances des algorithmes de la plateforme, pour améliorer in fine le service de fourniture de l’électricité. »
La plateforme Alteia – spin-off de l’activité logicielle de Delair, le leader mondial des solutions drones pour l’industrie – permet à Enedis de déployer l’usage de l’IA sur des données visuelles, composante essentielle de son programme Smart Grids.
Antoine JOURDAIN, Directeur Technique d’Enedis : « Enedis a lancé en 2018 des travaux autour de la reconnaissance d’images afin d’identifier automatiquement les équipements et les anomalies du réseau moyenne tension aérien. L’utilisation de la plateforme Alteia correspond à une nouvelle étape inédite dans l’industrialisation des méthodes liées à l’intelligence artificielle : centralisation de l’ensemble de nos données photographiques, gestion des besoins relatifs à l’inspection du réseau, … Ce partenariat vient renforcer notre conviction que le réseau public de distribution d’électricité sera encore plus résilient, plus moderne et plus digital. Cela contribuera à anticiper les mutations de demain, et ainsi d’être au service des territoires pour accélérer la transition écologique. ”
A propos d’Alteia : Alteia est une plateforme de gestion des actifs industriels basée sur l’intelligence artificielle. L’entreprise capitalise sur une décennie d’expérience dans la capture et l’analyse d’images. Son offre d’Intelligence Visuelle combine ainsi le meilleur de la vision par ordinateur et des technologies d’IA.
La plateforme ingère et structure de très grandes quantités de données terrain en une source unique de vérité, qui permet d’élaborer des modèles prédictifs pour les infrastructures industrielles. Elle optimise l’ensemble du cycle de vie d’une opération, simplifie la gestion des risques et fournit des informations en temps réel sur ces infrastructures. Pour plus d’informations, visitez www.alteia.com
A propos d’Enedis : Enedis est une entreprise de service public, gestionnaire du réseau de distribution d’électricité qui emploie 38 000 personnes. Au service de 36 millions de clients, elle développe, exploite, modernise 1,4 million de kilomètres de réseau électrique basse et moyenne tension (230 et 20.000 Volts) et gère les données associées.
Enedis réalise les raccordements des clients, le dépannage 24h/24, 7J/7, le relevé des compteurs et toutes les interventions techniques. Elle est indépendante des fournisseurs d’énergie qui sont chargés de la vente et de la gestion du contrat de fourniture d’électricité. www.enedis.fr
Vos contacts presse:
Alteia : press@alteia.com I Laurence Collet – 07 86 27 36 43
Enedis : service-presse@enedis.fr – Johanna Slama 06 17 96 87 02
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12:47
Revue de presse du 29 septembre au 13 octobre 2020
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDes nanosatellites pour prévenir les épisodes cévenols, apprendre les bases de la cartographie en s’amusant grâce à Madmaps, se laisser guider en réalité augmentée… Bonnes lectures.RÉALITÉ AUGMENTÉE : « Google Maps : Live View intègre de nouveaux repères pour mieux s’orienter en réalité augmentée » 01Net résume les nouveautés proposées par Google pour utiliser la réalité augmentée dans l’aide au déplacement piéton : POI, précision, partage de localisation…
À SAVOIR : La localisation, la cartographie et la mobilité sont au programme pour les Secondes. Connaissez-vous le seriousgame Madmaps destiné à revoir les notions principales de la carto, créé par le consortium ImaGEO et @synakene ? madmaps.huma-num.fr
RISQUES : « Des nanosatellites pour améliorer la prévention d’épisodes cévenols ? » Un projet mis au point par le Centre spatial universitaire de Montpellier, l’IGN, l’ENSTA Bretagne, le port de Sète et Météo France avec le soutien de la fondation Van Allen et du CNES (Objectif Languedoc-Roussillon)
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