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21:34
Divagations à propos du temps
sur Icem7Bonjour, je suis le temps.
Donnée universelle, avec l’implacable régularité du métronome, je passe.
Immuable et inexorable, j’avance de la même manière, partout, toujours.
Je suis la richesse la plus équitablement répartie : 60 secondes par minute, 24 heures par jour, 12 mois par an, c’est pareil pour tout le monde.
Ce qui change, pour vous autres, êtres humains, c’est la perception que vous avez de moi. Dans l’ennui, la peine ou la douleur, je vous semble long. Mais dès que la joie fleurit, vous trouvez que je passe trop vite.
Dans l’époque frénétique et connectée où vous vivez, où les sollicitations pleuvent de toutes parts pour beaucoup d’entre vous, vous êtes nombreux à dépenser beaucoup d’énergie à courir après les aiguilles de la montre. Je suis toujours présent, et pourtant, je vous manque.
Cependant, je reste bien toujours le même. La seule inconnue, pour chacun de vous, c’est de savoir quand cesserez-vous de voir l’horloge tourner. Moi, de toute façon, je continuerai, jusqu’à la fin des temps…
L’horloge ne cesse jamais de tourner
Évidemment, depuis la nuit des temps, on a cherché à me mesurer. De calendriers antiques en cadrans solaires, on a voulu me quantifier avec toujours plus de précision, jusqu’aux plus précises horloges atomiques. Cependant, difficile de savoir exactement quand j’ai commencé. Et, question encore plus vertigineuse, savoir si je finirai un jour.
La statistique, qui se penche sur tous les domaines de la connaissance, n’a pas manqué de s’intéresser à moi. Le moindre indicateur ne fournit aucune information utile s’il n’est pas daté. Dire que la population totale de la ville de Toulouse est de 498 596 habitants ne présente un intérêt qu’en précisant en 2019.
Et cela prend une toute autre dimension si l’on ajoute que cette population était de 466 219 en 2013. Cela permet au statisticien de faire quelque chose dont il raffole : une comparaison ! Et même de calculer une évolution ! Entre 2013 et 2019, la population toulousaine a augmenté de près de 7 %.
Le taux d’évolution est assez simple à calculer : Te = ((Va-Vd) / Vd) * 100 = (Va/Vd – 1) * 100, où Va et Vd sont les valeurs de départ et d’arrivée. Il y a des calculateurs en ligne qui font le calcul tout seuls. Un peu plus compliqué, le taux d’évolution annuel moyen est, comme son nom l’indique, une moyenne par an. Dans cet exemple, il vaut 1,13 %. La formule pour le calculer est assez jolie, même si elle peut intimider les personnes réticentes aux mathématiques : Tem = (((Va/Vd)**(1/n)) – 1) * 100, où n est le nombre de périodes, 6 dans cet exemple.
La boîte à outils du statisticienAvec dans sa trousse à outils, ces 2 formules, ainsi que les calculs d’une moyenne simple et d’un pourcentage, le statisticien dispose de la base indispensable. Ensuite, une grande partie de son art réside dans savoir représenter les données qu’il a calculées, pour pouvoir les interpréter.
Une donnée, pour avoir du sens, doit être datée. Elle en prend davantage s’il est possible de la comparer. Et moi, le temps, je déploie tout mon potentiel lorsque le statisticien dispose de toute une série de données. L’Insee consacre tout une rubrique de son site aux séries chronologiques. Dans la rubrique consacrée à la population, on trouve des séries remontant jusqu’à 1876.
La série chronologique va de pair avec sa représentation la plus naturelle : la courbe d’évolution. Peu importe l’unité de mesure, on me couche sur l’axe des abscisses. Et on mesure la donnée représentée sur l’axe des ordonnées. Par exemple, l’électrocardiogramme mesure l’activité électrique du cœur.
Plutôt qu’une courbe d’évolution, dans les cas où le nombre de périodes de la série n’est pas trop important, un diagramme en barres verticales peut opportunément être utilisé. Et si les intervalles sont d’inégales amplitudes, le statisticien aura recours à l’histogramme, dans lequel la grandeur représentée est proportionnelle à la surface de chaque barre.
Un autre moyen efficace de représenter des données temporelles est de construire une série de petits graphiques, un pour chaque période (sous réserve que le nombre de périodes ne soit pas trop grand). Les outils numériques rendent aussi possible la construction d’animations temporelles, qui peuvent produire des effets visuels éloquents.
La première courbe d’évolution de l’histoire
Cette forme de représentation semble aujourd’hui une évidence tant on la rencontre un peu partout. Cela n’a pas toujours été le cas. On doit ses premières apparitions, dans les années précédant la Révolution française, au génial et inventif William Playfair. Le même a également eu l’idée des diagrammes en barres et circulaires.
Cela s’applique bien en cartographie statistique : créer une série de cartes thématiques et les afficher successivement rend visible l’évolution du phénomène cartographié dans le temps et dans l’espace. Ceci est par exemple mis en œuvre dans l’application Géodes, de Santé Publique France, pour suivre l’évolution hebdomadaire et quotidienne des taux d’incidence, de positivité et de dépistage du Covid-19 (données de laboratoires Si-Dep).
La distance, la vitesse et moiRevenons pour finir sur cette bonne vieille courbe d’évolution. En voici un exemple très éloquent :
Il provient de la thèse de doctorat intitulée « Les transports face au défi de la transition énergétique. Explorations entre passé et avenir, technologie et sobriété, accélération et ralentissement. », soutenue en novembre 2020, par Aurélien Bigo. Il représente l’évolution de la distance parcourue par jour. Il est plus conçu pour les lecteurs experts d’un rapport de thèse que pour le public large d’un journal, par exemple. On imagine bien qu’Éric Mauvière, expert en datavisualisation, aurait quelques petites remarques sur la présentation de ce graphique, sur les titres, les légendes, la typographie, le choix des couleurs… Il est déjà très intéressant tel qu’il est.
Il montre quelle place absolument prépondérante a pris la voiture individuelle dans les modes de déplacement en à peine un siècle. Les progrès technologiques, permis par l’abondance de sources d’énergie, ont considérablement augmenté les vitesses de déplacement. Des vitesses plus élevées permettent d’aller plus loin ou de mettre moins de temps. Visiblement, la priorité a été donnée à aller plus loin plutôt qu’à gagner du temps. Je ne sais pas vous, mais moi, cela me fais réfléchir sur l’importance que l’on m’accorde, ou pas…
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14:20
Revue de presse du 21 octobre 2022
sur GeotribuL'automne est là et bien là et les news tombent aussi régulièrement et nonchallamment que les feuilles des arbres. A vos géorateaux et bon ramassage !
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18:51
Publier des rasters volumineux avec GeoServer
sur GeomatickEn Système d’Informations Géographiques (SIG), la manipulation de données rasters demande souvent des ressources informatiques importantes. Le poids d’une image raster augmente notamment avec sa résolution spatiale et sa couverture géographique. Mais la complexité de gestion de ce type de donnée géographique ne se limite pas aux propriétés des pixels… Continuer à lire →
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12:49
Journée d’étude : L’histoire de la cartographie et son écriture à l’épreuve du renouvellement, Campus Condorcet (Aubervilliers), 25/11/2022
sur Cartes et figures du mondeDepuis les années 1980, l’histoire de la cartographie a vu ses concepts, ses objets, ses méthodes d’investigation et ses manières d’écrire se transformer profondément sous l’influence des analyses de John Brian Harley et de ses émules (D. Woodward, C. Jacob, M. Edney, etc.). Une nouvelle manière d’écrire l’histoire de la cartographie s’est progressivement installée, y compris en France, en lien avec une réflexion plus générale sur les représentations de l’espace.
Quarante ans après, la journée d’étude organisée par la Commission « Histoire » du Comité Français de Cartographie se propose de revenir sur ces évolutions et le tournant « déconstructionniste », mais aussi d’interroger de façon élargie la cartographie et son histoire en la confrontant aux apports récents des sciences humaines (histoire, histoire de l’art, littérature, anthropologie, sociologie, etc.) et à la dématérialisation massive tant des modes de production et usages de la cartographie que des méthodes permettant de l’explorer et de l’analyser.
Nicolas Bion, Globe terrestre dressé sur les observations de Mrs de l’Académie royale des sciences et sur les nouveaux mémoires des plus fameux et expérimentée (sic) voyageurs, Paris, avant 1733 Programme- 9 h : Accueil et introduction
- 9 h 30 -11 h : Table-ronde : Comment écrire aujourd’hui l’histoire de la cartographie ? Débats et perspectives, avec Christian Jacob, Josef Konvitz et Gilles Palsky
Animée par Jean-Marc Besse (CNRS-EHESS)
- 11 h -11 h15 : Pause-café
- 11 h15 -12 h 30 : Première session : l’histoire de la cartographie à la rencontre de la littérature et de l’histoire des savoirs
Sous la présidence d’Emmanuelle Vagnon (CNRS-LAMOP)- Isabelle Ost (Université Saint-Louis, Bruxelles) : Littérature et cartographie : épistémologies croisées
- Zoé Pfister (Université de Bourgogne) : « Lieux, objets et gestes » du savoir cartographique. Approches spatiale, matérielle et pragmatique du projet de Lannoy de Bissy (1873-1889)
- 12 h 30 -14 h : Déjeuner
- 14 h -15 h 30 : Deuxième session : l’histoire de la cartographie et son écriture
Sous la présidence d’Émilie d’Orgeix (EPHE-PSL)- Monika Marczuk (BnF, Dép. des Cartes et plans) : Approche processuelle et approche pragmatique de l’histoire de la cartographie. Convergences et limites
- Carolina Martinez (CONICET, Buenos Aires) : « Ibérisation », « atlantisation », américanisation : l’histoire de la cartographie des « mondes ibériques » au début du XXIe siècle
- Anca Dan (CNRS, Paris) : De l’histoire de la cartographie à l’histoire des représentations spatiales : de l’utilité du postcolonialisme à l’ère numérique
- 15 h 30 -16 h : Pause-café
- 16 h -17 h 30 : Troisième session : les usages de l’histoire de la cartographie dans l’enseignement et dans la construction des savoirs
Sous la présidence d’Isabelle Warmoes (Musée des plans reliefs)- Jordana Dym (Skidmore College, NY, USA) : Leçons de la salle de classe : la pédagogie comme travail de terrain pour l’enseignement de l’histoire de la carte et de la cartographie
- Félix de Montety (Université Grenoble Alpes) : Le langage, des cartographes. Comment écrire l’histoire des méthodes de représentation et approches visuelles en cartographie linguistique
- Fanny Madeline et Alexis Lycas (Université Paris I et EPHE-PSL) : Cartographier l’Europe et la Chine médiévales : productions et usages de la carte chez les médiévistes
- 17 h 30 : Conclusions de la journée.
- 25 novembre 2022
- Campus Condorcet – Centre des colloques – Salle 100 – Aubervilliers (Métro ligne 12, Front Populaire)
- Entrée libre
- Contact : catherine.hofmann@bnf.fr
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14:20
Revue de presse du 7 octobre 2022
sur GeotribuDans le pipeline de l'actualité : le Géotuileur IGN, de la 3D, un fond OSM VTT, un atlas de l'anthropocène, le 30DayMapChallenge qui approche, le SAGEO qui s'annonce, un Podcast géomatique, un livre PostGIS -
10:00
Faire une carte façon Ed Fairburn avec QGIS
sur GeotribuUtiliser les modes de fusion pour produire avec QGIS une carte inspirée des dessins d'Ed Fairburn. -
14:20
Revue de presse du 23 septembre 2022
sur GeotribuGeoRDP du 23 septembre : les GéoDataDays 2022 ont été couronnés de succès, certaines des briques logicielles les plus connues sont mises à jour, des initiatives viennent redonner vie à des illustres cartographes et la géomatique continue de nous donner à voir sa diversité et son intérêt.
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10:41
Recrutement: IE en Télédétection
sur Le blog de GeomatysLa Tour du Valat est un institut de recherche pour la conservation des zones humides méditerranéennes basé en Camargue, sous le statut d’une fondation privée reconnue d’utilité publique. Fondée en 1954 par le Dr Luc Hoffmann, elle est à la pointe dans les domaines de la recherche multidisciplinaire, l’établissement de ponts entre science, gestion et politiques publiques et l’élaboration de plans de gestion. Elle s’est dotée d’une mission ambitieuse : « Les zones humides méditerranéennes sont préservées, restaurées et valorisées par une communauté d’acteurs mobilisés au service de la biodiversité et des sociétés humaines ».
La Tour du Valat a développé une expertise scientifique reconnue internationalement ; elle apporte des réponses pratiques aux problèmes de conservation et de gestion durable des ressources naturelles. La Tour du Valat emploie environ 80 personnes dont une quinzaine de chercheurs et autant de chefs de projets. Elle accueille également sur son site plusieurs autres structures, ainsi que de nombreux doctorants, post-doctorants, stagiaires et/ou volontaires en saison estivale. Plus de détail sur http://www.tourduvalat.org
La Tour du Valat recrute un/e Ingénieur d’étude en analyse de données pour le suivi des zones humides à l’aide des outils d’Observation de la Terre (OT)
Contexte
Le Bassin Méditerranéen est un des 32 Hotspots mondiaux de biodiversité. Ceci grâce, notamment, à la présence d’une grande diversité de zones humides, considérées comme les écosystèmes les plus riches et les plus productifs de la région. Cependant, malgré leur importance pour l’Homme et la nature, ces milieux sont également les plus menacés par les activités humaines. En effet, selon une étude récente réalisée par l’Observatoire des Zones Humides Méditerranéennes (OZHM), on estime que près de la moitié des habitats humides naturels ont disparus depuis les années 1970 au sein de cette région. Une des principales causes de ce déclin rapide serait leur perte directe, avec leur conversion vers d’autres formes d’usage des sols.
Face à cette situation alarmante, il est donc crucial de rassembler un maximum d’informations pertinentes sur l’état des zones humides méditerranéennes et d’analyser les tendances de leurs habitats naturels ainsi que celles des principales menaces qui pèsent sur eux. C’est dans ce contexte que l’OZHM, coordonné par la Tour du Valat dans le cadre de l’Initiative MedWet, développe depuis une dizaine d’année un ambitieux programme de suivi de ces écosystèmes, basé sur les outils et technologies d’Observation de la Terre (OT). Parallèlement, de nouvelles approches d’analyse des images satellitaires ont prouvé leur capacité à extraire de l’information pertinente. Principalement basées sur des méthodes d’apprentissage profond (Deep Learning) et pour les plus récentes sur le transfert de domaine. Elles permettent, par exemple, d’appliquer des modèles, appris sur une zone donnée, sur d’autres zones pour lesquelles il existe peu ou pas de données d’apprentissage. Ce poste d’Ingénieur d’Étude en Télédétection proposé ici, vient donc répondre à ce besoin d’amélioration des connaissances sur les zones humides à l’aide des outils d’OT. Il s’agit d’une part, de mettre en place une chaine de traitements basée sur des algorithmes développés en collaboration avec divers partenaires scientifiques de la Tour du Valat, tels que le laboratoire ICube de l’Université de Strasbourg ou encore l’UMR Littoral, Environnement, Télédétection, Géomatique (LETG) de l’Université Rennes II et, d’autre part, de valider celles-ci sur des données réelles fournies par l’OZHM. La personne retenue devra donc contribuer à la mise en œuvre de différents projets en cours, notamment le projet AIonWetlands (appuyé par le programme Space Climate Observatory), ainsi qu’un projet de R&D porté par le Ministère de la Transition Ecologique et visant à développer une modélisation nationale des milieux humides en France métropolitaine et de leurs fonctions.
Missions
- Contribuer, avec d’autres partenaires techniques de la Tour du Valat, à la mise en œuvre d’outils d’analyse et de traitement des images satellites (essentiellement optiques), notamment ceux intégrant des algorithmes d’Intelligence Artificielle (Deep Learning et Machine Learning)
- Extraire, à l’aide de ces outils, des informations pertinentes sur l’état et les tendances des zones humides suivies, leurs fonctions, ainsi que les principales pressions qu’elles subissent
- Contribuer au développement et à l’application de protocoles de validation de ces résultats cartographiques
- Automatiser, le plus possible, les chaines de traitement et les intégrer dans les protocoles de suivi de l’OZHM, notamment en lien avec les indicateurs spatialisés
- Contribuer, au développement et à la gestion des bases de données spatialisées de l’OZHM (indicateurs de suivi des zones humides)
- Contribuer à la rédaction des rapports techniques des différents projets dans lesquels il/elle sera impliqué(e), en particulier les deux mentionnés plus haut
- Participer à l’élaboration des différents produits de l’OZHM, notamment les rapports sur l’état et les tendances des zones humides méditerranéennes
Profil et compétences recherchées
Indispensables :
- Bac+5 (M2 ou Ingénieur) en informatique, en télédétection ou en géomatique ou toute autre discipline dans les sciences de l’environnement intégrant une forte composante en traitement d’imagerie satellitaires (géographie, aménagement du territoire/littoral, écologie, etc.)
- Maîtrise des outils SIG et de traitement des données d’Observation de la Terre
- Connaissances en analyse de données et apprentissage. Une bonne pratique des algorithmes d’apprentissage profond, sans être obligatoire, sera un plus indéniable
- Autonomie, esprit d’initiative et bonnes capacités d’analyse, de synthèse et rédactionnelles
- Capacité à travailler en équipe, notamment avec des partenaires externes
- Anglais scientifique et de communication en milieu professionnel fortement souhaité
Constitueraient des atouts :
- Connaissance des indicateurs pour le suivi des écosystèmes (état, tendances et pressions)
- ·Maitrise des outils statistiques pour l’analyse des données
- Connaissance et/ou expérience en méditerranée
Encadrement
L’Ingénieur d’Etude sera intégré(e) au sein de l’équipe du Thème « Dynamiques des Zones Humides et Gestion de l’Eau » et placé(e) sous la supervision du responsable de l’Axe « Dynamique Spatiale des Zones Humides », M. Anis Guelmami guelmami@tourduvalat.org.
Type de contrat : Le poste est à pourvoir en Contrat à Durée Déterminée de 18 mois.
Rémunération : 2300€ à 2600€ brut mensuel, selon expérience professionnelle.
Date de prise de poste : Le poste est à pourvoir dès que possible.
Lieu de travail : Tour du Valat, Le Sambuc, 13200 Arles avec la possibilité de télétravailler 2j/semaine.Comment postuler
Envoi des candidatures à Johanna Perret : perret@tourduvalat.org
(Référence à indiquer : TdV-2022-Suivi Spatialisé ZH) avant le 16 octobre 2022, comportant :- Une lettre de motivation
- Un curriculum vitae
- Deux contacts de référents
Les candidat(es) présélectionné(es) seront convoqué(es) pour un entretien en visio-conférence ou en présentiel en fonction des contraintes géographiques.
Pour toute question sur le processus de soumission de candidatures, merci de vous adresser à Johanna Perret perret@tourduvalat.org.
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14:20
Revue de presse du 9 septembre 2022
sur GeotribuDécouvrez notre sélection de la quinzaine : Géoplateforme, LiDAR, le 30DayMapChallenge qui se prépare, le SotM, des évènements autour de la carte,...
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14:04
Le syndrome de l’empilement
sur Icem7Les graphiques en barres empilées sont notoirement peu lisibles, la presse le sait et les évite. Des alternatives plus efficaces existent. Nous les rencontrons pourtant partout dans la production institutionnelle : pas une étude statistique, pas un rapport d’activité où l’on ne subisse ces guirlandes de bâtons multicolores[1], leurs légendes extensibles et leurs inévitables aides au déchiffrage.
Prenons deux exemples publiés la semaine dernière : à chaque fois la matière est intéressante, mais le traitement graphique la dessert.
Vous avez 5 secondes pour capter une première idée simple qui vous surprenne et vous donne envie d’aller plus loin dans l’exploration (j’aime bien ce test basique, que m’a confié un data-journaliste).
Publication de la Drees : Impact des assurances complémentaires santé et des aides sociofiscales à leur souscription sur les inégalités de niveau de vie (septembre 2022)
Publication de l’Insee : Un habitant sur sept vit dans un territoire exposé à plus de 20 journées anormalement chaudes par été dans les décennies à venir (août 2022)
Un graphique inutile car trop complexe, dans une étude par ailleurs fort intéressanteVous n’y êtes pas arrivés ? Ou vous avez seulement vu dans le 1er exemple que la CMU concerne surtout les plus précaires, ce qui ne vous a rien appris ? Ne stressez pas, c’est normal. Ces graphiques n’offrent pas de point d’entrée évident, et l’absence de titre informatif ne fait rien pour les sauver. Faute de base horizontale ou verticale commune, la plupart des séries (identifiées par une même couleur) ne sont pas signifiantes « dans l’instant minimal de vision », pour reprendre les mots de Jacques Bertin, le grand sémiologue français.
Considérez par exemple la série rose pâle ci-dessus : présente-t-elle ou non des variations significatives ? Cela ne saute pas aux yeux. Seules les séries jaunes et violettes, aux extrémités, sont rapidement évaluables, disposant d’un solide point d’appui à gauche ou à droite.
Souvent, la juxtaposition de couleurs vives complique l’effort de sélection que l’œil doit conduire pour isoler chaque concept. On le constate dans le premier graphique, par ailleurs constellé de chiffres sans grand intérêt. Enfin, qui souffre de déficience visuelle, même légère, sera peu à la fête, compte tenu du nombre de couleurs à distinguer ou de l’emploi abusif de l’opposition rouge / vert.
Le second graphique (Insee) est un peu plus amical : moins de chiffres, des couleurs plus douces, des axes plus explicites. Mais je n’en retiens rien – si je refuse d’y passer plus de 20 secondes – trop de catégories sans contraste évident surchargent ma mémoire de travail.
Désempilez et simplifiez en catégorisantRevenons aux données publiées par la Drees. Comment leur rendre mieux justice ?
Il s’agit de dépenses de santé et des différentes aides soutenant les ménages selon leur niveau de vie : cela concerne et parle – a priori – à tout le monde. Quels sont les principaux contrastes, les lois et les ordres de grandeur à retenir ?
La science de la sémiologie graphique, formalisée par Jacques Bertin et Edward Tufte, pour ne citer que les plus connus, nous donne les règles à suivre, dont voici une mise en musique.
Les variables visuelles les plus efficaces sont la position dans le plan et la longueur rapportée à une base commune. L’organisation du diagramme suivant, en colonnes, et ses barres horizontales alignées à gauche répondent à ces critères.
La loi de proximité issue de la théorie de la Gestalt[2] privilégie le légendage direct de chaque série. Il est naturellement assuré par la disposition tabulaire : plus besoin d’une légende déportée obligeant à des allers et retours visuels fastidieux.
La théorie de la charge cognitive (que Bertin anticipe) encourage les tris logiques et l’extraction de grandes catégories : on oppose ici de gauche à droite les aides ciblant les niveaux de vie modestes à celles concernant les plus aisés. À côté de ces deux grandes catégories, qui dégagent une première image mentale facile à imprimer, le profil du total des aides relève d’un autre niveau de lecture : la distribution est symétrique, elle favorise les extrémités de l’éventail des niveaux de vie.
L’emploi de la couleur, subtil et souriant, souligne ces différents niveaux de lecture. Il laisse de côté le funeste duo rouge-vert rétif aux daltoniens, et n’hésite pas à utiliser le gris.
Quelques chiffres clés sont portés pour saisir l’ordre de grandeur des barres et souligner les maxima ainsi que les oppositions entre les deux principaux groupes d’aides. L’unité € précise ces chiffres pour une appréhension immédiate de ce dont il s’agit (un montant financier).
Avec ces chiffres repères, nul besoin de dessiner une grille ou des axes gradués, qui surchargeraient inutilement le graphique. Précisons que les données de l’étude sont téléchargeables pour qui voudrait les consulter en détail ou, comme moi, faire ses propres graphiques.
L’aide à la lecture sous le graphique – dont on devrait même pouvoir se passer – vient surtout expliciter les notations « D1-D10 ». Pour soulager le lecteur et lui éviter de scanner le diagramme, elle se rapporte au premier chiffre, au premier symbole visuel rencontré dans le sens de la lecture.
Certains sigles sont explicités : CMU-C, ACS. D’autres libellés sont un peu abrégés pour une meilleure homogénéité et un bandeau d’en-tête réduit à 3 lignes seulement. Tous les textes s’affichent à l’horizontale, le lecteur n’a pas à torturer ses cervicales pour comprendre un axe.
La date des données est plus clairement exposée, de fait elle est un peu ancienne. Depuis, CMU-C et ACS ont été fusionnées dans une nouvelle mesure : la « complémentaire santé solidaire » (2019).
Le titre enfin, l’élément le plus important de cette visualisation, expose le message clé. Sur deux lignes, il présente une coupure « logique » en fin de première ligne (règle de lisibilité trop méconnue elle aussi). La nature de l’indicateur présenté apparait en sous-titre, c’est à la fois nécessaire et suffisant.
Ce n'est pas au lecteur de faire l'effort de déchiffrer, c'est à vous de faire lisible et mémorableOn le voit, cette nouvelle représentation ne prend pas plus de place que l’original. Elle expose autant de données et surtout elle révèle bien davantage, avec plus d’efficacité. Davantage qu’un tableau croisé mis en couleurs, tel quel, dans un « grapheur », elle traduit la démarche analytique du rédacteur-concepteur. Chaque petit ciselage compte et contribue à l’évidence de l’ensemble : confort, équilibre, simplicité, mémorabilité.
Ce n’est pas au lecteur de faire l’effort de déchiffrer vos graphiques, c’est à vous, auteur, statisticien, expert du sujet, pédagogue obstiné, de faire ce qu’il faut pour que le ou les messages principaux « sautent aux yeux ».
Ce travail, la « résolution du problème graphique » comme l’énonçait Bertin, apporte beaucoup de plaisir à celui qui le mène. Des outils intelligents comme DataWrapper – conçus par des sémiologues avertis – le rendent accessible à tout un chacun en offrant de tester en confiance différentes variantes. Ne vous en privez pas, et surtout n’en privez pas vos lecteurs !
« La plus grande qualité d'une image,
John Tukey, Exploratory Data Analysis, 1977
c'est quand elle nous amène à remarquer
ce que l'on ne s'attendait pas à voir. »Voici quelques ressources :
[1] Stacked bars are the worst, Robert Kosara, 2016
[2] Psychologie de la forme, Wikipedia
[3] What to consider when creating stacked column charts, Lisa Charlotte Muth, 2018
PS : Il faudrait conduire un autre genre d’étude pour comprendre l’étrange fascination qu’exerce le diagramme en barres empilées sur le statisticien. J’ai quelques hypothèses en tête. Ce visuel consacre le geste statistique canonique, croiser deux critères. Il permet de “mettre à disposition” dans un petit espace un volume significatif de données. Docile à la mise en couleurs, il ravit le concepteur tout comme le maquettiste. Ne cédant pas à la facilité d’un message trop trivial, il rappelle – discrètement – que l’accès à la connaissance se mérite !
L’article Le syndrome de l’empilement est apparu en premier sur Icem7.
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14:20
Revue de presse du 26 août 2022
sur GeotribuGeotribu prépare sa rentrée, découvrez notre sélection du mois d'Août : OpenLayers, Boule, PostgreSQL, QGIS, OpenStreetMap, open data, exposition,... -
14:00
API Python de FME : comment travailler avec des rasters et GDAL
sur GeotribuComment travailler avec des librairies Python dans FME. Illustration avec GDAL. -
14:20
Revue de presse du 29 juillet 2022
sur GeotribuDécouvrez notre sélection du mois de Juillet : PhilCarto, Bertin.js, de la carte aux terrains de foot, le Tour de France, les Rencontres Géomatiques de La Réunion qui se préparent... -
10:20
Classification automatisée avec le plugin QGIS dzetsaka
sur GeotribuPrésentation de Dzetsaka, un plugin QGIS pour faire de la classification semi-automatisée. -
20:00
Réaliser une carte comme la couverture de l'album Unknow Pleasures de Joy Division
sur GeotribuComment faire des cartes à la mode de Joy Division avec les générateurs de géométrie de QGIS
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18:41
Cartes et géomatique : les articles 2016 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des cartes est une publication trimestrielle du Comité français de cartographie. Les articles de la revue sont publiés sur le site du CFC un an après leur publication sur support papier. Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie.
n° 228, juin 2016 : “Cartographie et traités de paix (XVe-XXe siècle)” (actes du colloque des 19 et 20 novembre 2015, Archives diplomatiques, La Courneuve)Introduction (Isabelle Warmoes, Catherine Hofmann, Isabelle Nathan)
Entre la liste et le terrain, la carte dans les négociations de paix au XVe siècle (Dauphiné et Savoie, France et Bourgogne) (Léonard Dauphant)
Les cartes au service de la diplomatie (Jean-François Moufflet)
La rectification de la frontière du nord en 1779, sur le terrain, à La Flamengrie (Jean-Louis Renteux)
Une frontière pour les Pyrénées : l’épisode trop méconnu de la commission topographique franco-espagnole Caro-Ornano (1784-1792) (Jean-Yves Puyo, Jacobo García Álvarez)
La frontière franco-italienne sous le Consulat et l’Empire (Michel Lechevalier)
Le géographe Kiepert et les Balkans à Berlin (1878) (Goran Sekulovski)
Cartes topographiques et détermination des frontières en zones montagneuses (Nicolas Jacob)
La délimitation des frontières maritimes – Le rôle du cartographe, principes généraux, cas d’école (Eric van Lauwe, Didier Ortolland, Jean-Pierre Pirat)
Les limites de la carte, objet juridique (Françoise Janin)
L’expertise territoriale des vaincus austro-hongrois (Nicolas Ginsburger)
Le plébiscite de Klagenfurt du 10 octobre 1920 (Roseline Salmon)
Cartes et contre-cartes à la conférence de paix de Paris (1919-1920) : débats cartographiques au sein de la délégation britannique (Daniel Foliard)
De l’Empire ottoman au chaos moyen-oriental (Denis Bauchard)
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19:28
Appel à communications : « L’histoire de la cartographie et son écriture à l’épreuve du renouvellement » – Date butoir : 6 juin 2022
sur Cartes et figures du mondeJournée d’études
Le vendredi 25 novembre 2022, salle 100, Centre des colloques, Campus Condorcet, Aubervilliers
Organisateur : Comité Français de Cartographie (commission ‘histoire’)
Argumentaire :
Depuis les années 1980, l’histoire de la cartographie a vu ses concepts, ses objets, ses méthodes d’investigation et ses manières d’écrire se transformer profondément. Sous l’influence des analyses de John Brian Harley et de quelques autres (D. Wood, C. Jacob, M. Monmonier, J. Schulz, J. Black, M. Edney, entre autres), l’intérêt s’est porté vers la dimension symbolique des cartes, leurs modes de présence dans les cultures visuelles modernes, leur valeur politique et sociale (en particulier dans le cadre de l’affirmation des États-nations), leurs implications multiples dans les entreprises impériales et coloniales, etc., dans un effort général pour s’éloigner d’une approche strictement positiviste et « naturaliste » de la cartographie et de son histoire. Une nouvelle manière d’écrire l’histoire de la cartographie s’est progressivement installée, attentive aux contextes sociaux et culturels de la fabrication et de l’usage des cartes, aux jeux d’échelles (du général au particulier), et soucieuse d’envisager désormais la cartographie tout autant du côté des processus et des opérations (techniques, scientifiques, politiques, etc.) dont elle est le théâtre permanent, que du côté des objets, des productions et des acteurs plus ou moins prestigieux sur lesquels la recherche se focalisait naguère encore.
La journée d’étude organisée par la Commission « Histoire » du Comité Français de Cartographie propose de revenir sur les formes et les objets de l’écriture de l’histoire de la cartographie considérée dans un temps long. On insistera surtout sur la période contemporaine, en relation au renouvellement actuel des outils, notamment numériques.
Les contributions attendues peuvent répondre à l’une des trois directions suivantes :
– La première porte sur l’héritage des écrits de John Brian Harley, quarante ans après la publication de ses premiers travaux, et plus généralement sur l’ensemble des propositions qui ont marqué les approches « déconstructionnistes » dans l’histoire récente de la cartographie. Quel bilan peut-on en tirer, du point de vue des enseignements et des expériences en matière d’écriture historiographique ? A quelles négociations ces travaux ont-ils donné lieu pour concilier la tension entre la lecture internaliste et l’approche culturelle et sociale des objets cartographiques ? Comment ont-ils renouvelé l’étude de l’histoire de la cartographie et de ses acteurs ? Quelle place doit-on accorder aujourd’hui, à l’« analyse processuelle » (étude des processus cartographiques ) telle qu’elle est proposée par Matthew Edney par exemple ?
– La seconde direction proposée consiste à envisager la cartographie et son histoire en la confrontant de façon élargie aux apports récents des sciences sociales, de l’histoire des arts et de la littérature, de l’anthropologie visuelle et des médias, ainsi qu’aux perspectives ouvertes dans le champ spécifique des disciplines historiques par la micro-histoire, l’histoire globale, l’histoire matérielle, etc. En quoi l’écriture de l’histoire de la cartographie peut-elle être affectée par ces nouvelles manières d’envisager l’histoire des sociétés et de leurs cultures spatiales ? Comment, et jusqu’où, peut-elle répondre à ces sollicitations et se les approprier ? Qu’a-t-elle, symétriquement, à proposer, à apporter, notamment pour ce qui concerne le renouvellement des paradigmes spatiaux en cours au sein des sciences sociales et de l’histoire ?
– Mais l’histoire de la cartographie a une histoire, à la fois passée et très actuelle. Dans une troisième direction de réflexion, on aimerait alors envisager l’histoire de la cartographie, d’une part du point de vue des récits dont elle a été l’objet depuis au moins le XVIIIe siècle, et d’autre part du point de vue de l’impact, a priori considérable, provoqué par l’introduction des outils numériques, sur la reconfiguration de ces récits. Comment l’histoire de la cartographie a-t-elle été racontée, par les cartographes et par d’autres, du XVIIIe au XXe siècle, avec quelles motivations, quelles visées, scientifiques ou politiques ? Comment, aujourd’hui, à l’époque de la dématérialisation des objets cartographiques, et de leurs mises en relation avec les autres formes de l’économie iconographique, est-il possible de parler encore d’histoire de la cartographie stricto sensu ?
Modalités pratiques
• Les propositions de communication (environ 1500 signes), accompagnées d’une courte bio-bibliographie, sont à envoyer avant le 6 juin 2022 à l’adresse suivante : catherine.hofmann@bnf.fr.
• Le comité de sélection communiquera les résultats de l’appel à communications au plus tard le 30 juin 2022.
• Les communications retenues auront vocation à être publiées dans un numéro de la revue du Comité français de cartographie, Cartes & Géomatique, au courant de l’année 2023.
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18:23
Cartes et géomatique : les articles 2017 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles de la revue sont mis en ligne sur le site du CFC un an après leur publication sur support papier. Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie.
n° 234, décembre 2017 : “A l’échelle du monde – La carte : objet culturel, social et politique, du Moyen Age à nos jours” (actes du colloque d’Albi les 17 et 18 octobre 2016)Bulletin 234 – Introduction (Thibault Courcelle, Emmanuelle Vagnon, Sandrine Victor)
La mappemonde d’Albi – Un pinax chôrographikos (Anca Dan)
La carte comme substitut au voyage (Nathalie Bouloux)
Représenter et décrire l’espace maritime dans le califat fatimide (David Bramoullé)
Quand le cartographe parle de sa carte (Jean-Charles Ducène)
Une cartographie des Lumières (Gilles Palsky)
Penser à l’échelle du monde pour maîtriser le temps en France et en Grande-Bretagne, 1870-1914 (Isabelle Avila)
Un autre monde ? (Clarisse Didelon-Loiseau, Christian Vandermotten, Christian Dessouroux)
Regards croisés sur la création des cartes à l’échelle du monde aujourd’hui (Thibault Courcelle, Emmanuelle Vagnon, Sandrine Victor)
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8:00
Exposition “Inventer l’Indochine. Cartographier l’ailleurs (1873-1936)”
sur Cartes et figures du mondeExposition à la bibliothèque de l’Institut de Géographie Du 7 mars au 23 juillet 2022De la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, la découverte, la conquête puis l’organisation des terres extrême-orientales colonisées par la France donne lieu à une production de cartes où s’entremêlent science et subjectivité, pouvoir et échanges culturels.
Le fonds qu’en conserve la bibliothèque de l’Institut de Géographie de Paris permet d’appréhender comment les savoir-faire cartographiques ont été progressivement élaborés et adaptés pour rendre compte de terres jusqu’alors largement inconnues des Européens. À travers cette évolution se dessine celle de la géographie et du regard occidental porté sur l’étranger.
Le 10 mars, à partir de 18h00, une visite commentée par Marie de Rugy, spécialiste de l’histoire de la cartographie, marquera le début de cette exposition et sera suivie d’un échange entre historiens, géographes et cartographes.
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16:23
Cartes et géomatique : les articles 2018 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles de la revue sont mis en ligne un an après leur publication sur support papier.
Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie
n° 235-236, mars 2018L’œil et la toise : l’objectivité cartographique du XVIIIe à nos jours (Henri Desbois)
Ambivalence de la carte entre visible et invisible (Jean-Paul Bord et Nancy Meschinet de Richemond)
Le triple jeu d’un officier-cartographe dans la Régence de Tunis au XIXe siècle (Houda Baïr)
n° 237, septembre 2018L’image de l’espace tunisien dans la cartographie occidentale moderne du XVIe au XVIIIe siècle (Saada Afef)
La fin d’un rêve : dislocation de l’Empire et restitution des cartes réunies pour sa constitution (Monique Pelletier)
Le langage de la cartographie statistique, 1820-2015 : continuité ou ruptures ? (Gilles Palsky)
n° 238, décembre 2018 : “Faire la carte et restituer le paysage” (actes de la journée d’étude du 27 novembre 2017 au Service historique de la Défense, Vincennes)Bulletin 238 – Introduction (Nicolas Jacob et Claude Ponnou)
Courte histoire d’un échec : le mariage de l’armée et du cadastre dans le premier quart du XIXe siècle (Nicolas Verdier)
Pierre-Antoine Clerc et la brigade topographique du dépôt des fortifications : premières réalisations des courbes de niveau (Luisa Rossi)
La carte de Barcelone avec des courbes de niveau (1823-1827) : un tournant vers la cartographie de précision (Francesc Nadal i Piqué et Carme Montaner i Garcia)
La carte topographique en courbes de niveau : une difficile genèse au XIXe siècle (Nicolas Jacob)
Lever-nivelé de la place de Barcelone, 1823-1827 : comment obtenir un modèle 3 (Blanca Baella, Dolors Barrot et Maria Pla)
Apports des SIG pour la restitution de quelques éléments du paysage à Paris (Léa Hermenault)
La ” Carte générale du théâtre de la guerre en Italie et dans les Alpes…” de Bacler d’Albe (1798) et sa numérisation (Nicolas Dion et Nadine Gastaldi)
La ” Carte très particulière du Haynault ” de Naudain (ca 1709 – 1728) (Jean-Louis Renteux)
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15:55
L’atlas nautique ou portulan du Havre
sur Cartes et figures du monde[Article initialement publié le 22 octobre 2021 sur le site https://nutrisco-patrimoine.lehavre.fr/]
Ces cartes manuscrites sur parchemin sillonnées de lignes noires, rouges et vertes jaillissant de roses des vents, sont immédiatement reconnaissables. Ce sont des cartes portulans, mot dérivé de l’italien portolano qui désigne un livre d’instructions nautiques.
Portugal, Côtes d’Afrique, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 5Essentiellement produites entre le XIIIe et le XVIIIe siècle, peu d’entre elles sont parvenues jusqu’à nous. La plupart du temps, elles représentent la Méditerranée. Mais l’atlas nautique du XVIe siècle conservé au Havre consacre au contraire 5 cartes sur 13 au continent américain. Il est à ce titre exceptionnel.
Qu’est-ce qu’un atlas portulan ?Les cartes ou atlas portulan ont à l’origine vocation à être des adjuvants de la navigation. Ils indiquent les ports les plus importants en rouge, les autres en brun, ainsi que les dangers de la navigation, comme les écueils. Le pilote du navire pouvait s’aider des lignes de rhumbs qui indiquent des directions pour tracer son cap. Ce type de carte est principalement utile au cabotage.
Toutefois, les portulans aujourd’hui conservés dans les bibliothèques et les musées sont presque tous des objets d’apparat, destinés à exhiber la puissance de leur propriétaire ou à signifier l’étendue d’un empire, comme s’il existait une équivalence entre dessiner et s’approprier le monde. Souvent somptueux, ils sont souvent tracés sur les peaux les plus blanches et ornementés par des peintres habiles. Soigneusement conservés, ils n’ont jamais connu le roulis et l’humidité tenace d’un navire.
Feuilleter l’atlas portulan du HavreSous quelle forme et dans quel ordre étaient originellement organisés les 13 doubles-pages de l’atlas du Havre ? Il est impossible de le savoir, comme d’être certain qu’il soit complet. Aujourd’hui, il se présente aux regards dans une reliure en maroquin bordeaux, ornée de filets et de fleurons à chaud, autrement dit dorés. Cette reliure soignée date du XIXe siècle et a probablement été réalisée à la demande d’un bibliophile.
Reliure en maroquin bordeaux à la du Seuil, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 2C’est un objet maniable, d’une trentaine de centimètre de hauteur. Toutes les pages ne sont pas inscrites. Chaque double-page de carte est suivie d’une double-page vierge, plus foncée, moins uniforme. Le parchemin étant de médiocre qualité, seul le côté chair de la peau, plus blanc et uni, est inscrit.
Les cartes sont nombreuses pour un atlas portulan et le contenu des cartes, inhabituels. Il s’ouvre sur une représentation du Portugal et de Terre-Neuve et se referme sur l’Amérique du sud, le Brésil jusqu’à l’embouchure de la Plata : loin d’être uniquement méditerranéen, c’est un atlas qui pourrait être qualifié “atlantique” tant il se concentre sur les côtes qui longent à l’est comme à l’ouest cet océan.
S’il est intéressant par son contenu, il ne s’agit pas d’un atlas luxueux, bien au contraire. La qualité du parchemin est médiocre, les inscriptions maladroites et parfois recouverte par le tracé d’un parallèle, les illustrations, comparées à d’autres cartes marines contemporaines, semblent moins habiles et la représentation des animaux est répétitive, comportant uniquement des chameaux, des éléphants et une gazelle. On trouve même une inscription désignant le prêtre Jean des Indes, qui dépasse du cadre qui lui est, montrant que les noms des souverains ainsi que ceux des continents ont été rajouté après les illustrations.
Le prêtre Jean des Indes, détail de la carte de l’Afrique méridionale et de Madagascar, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 8L’atlas est dédié en majeure partie à l’Amérique ainsi qu’à l’Afrique, les deux grandes découvertes ibériques des XVe et XVIe siècles. Les toponymes sont espagnols, portugais, italiens et catalans. Toutes les cartes sont à la même échelle, et chacune est délimitée par un encadrement brun, avec des légendes pour chaque port ou cap, tracées à l’encre brune ou rouge pour les plus significatives, disposées le long des tracés des côtes, les noms de pays quant à eux figurent dans des encadrements peints.
32 lignes de rumbs sortent des roses de compas, matérialisant les principales directions par leur tracé en vert, rouge ou brun ; des échelles de latitude sont présentes sur chaque carte. Un utilisateur du portulan a laissé en chiffres arabes quelques notes sur la première carte et une autre main a tracé plusieurs notes en grec sur celle représentant la Mer Egée. Éléments de décor plus pittoresques, on trouve aussi des animaux terrestres et des représentations de souverains régnants, mais aucun bateau ou animal marin.
Bien que moins soigné que d’autres atlas nautiques, rien n’indique qu’il ait été utilisé en mer et il est plus probable qu’il ait servi d’objet relativement ostentatoire manifestant l’expansion ibérique.
Une datation et attribution incertainesQui a produit cet atlas portulan et quand a-t-il été tracé ? Bien que conservé au Havre, cet atlas nautique ne possède aucune caractéristique de la cartographie normande. Au contraire, sa toponymie espagnole, portugaise, italienne et catalane, comme l’ornementation ou les couleurs employées sont typiques de l’Europe du sud. Cependant, une attribution plus précise est délicate. De 1889 à 1910, il a été successivement attribué à un cartographe espagnol, à un pilote catalan ou encore à Salvatore de Pilestrina, cartographe à Majorque. Côté datation, un consensus qui reste admis jusqu’en 1950 : l’atlas portulan du Havre daterait du 2e quart du XVIe siècle et serait d’origine catalane ou majorquine.
En 1951, une note rédigée par Myriem Foncin, conservatrice et directrice du département des cartes et plans de la Bibliothèque nationale de France, indique que l’historien de la cartographie Marcel Destombes date l’atlas plus tardivement, de 1580.
Aujourd’hui, la numérisation de nombreux atlas portulan à travers le monde permet d’établir des comparaisons hier impossibles, offrant la possibilité de porter un nouveau regard sur ces documents. Selon une étude réalisée en 2018, la décoration de cet atlas est dans le style de Jaume Olives, et dans une moindre mesure, dans celui de Bartomeo Olives. Il pourrait avoir été dessiné ou copié sur les œuvres de ces cartographes.
Toujours d’après cet article, son iconographie est de fait héritière d’une longue tradition méditerranéenne typique de la carte de Salvatore de Pilestrina (1511) et même, au-delà, de la carte marine de Mecia de Viladestes de 1413 ou de l’atlas catalan de 1375. Néanmoins, l’iconographie de l’atlas portulan du Havre est plus particulièrement proche de celui des cartes des frères Jaume et Bartolomeu Olives par son vocabulaire esthétique comme dans les coloris employés. On retrouve les formes trapézoïdales aux extrémités des encadrements des noms de princes, les montagnes en forme de bonnet phrygien, le même éléphant, le même chameau, et surtout exactement la même gazelle, plus rare dans les autres cartes.
Iles dites « fantômes » de l’Atlantique nord : Frixland, Mayda, ou Brasil, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, f. 1 Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 1Le contenu géographique est d’influence diverses : les cartes de l’Amérique du Sud, l’Amérique centrale et l’Afrique profitent de la cartographie d’État portugaise et espagnole, tandis que les îles de l’Atlantique forgées par hypothèse que sont Frixland, Mayda, ou Brasil, sont typiques de la cartographie d’atelier, dite catalane et majorquine, et ne se retrouve jamais dans la cartographie d’État portugaise et espagnole.
L’atlas portulan ne saurait être antérieur à 1535, car les traces de l’influence de la carte de Gaspar Viegas (1535) dans les cartes d’Amérique sont trop importantes. En revanche, il ne peut pas être postérieur à 1547, car il représente la péninsule du Yucatan au Mexique comme une île. Or, aucune carte datée connue à ce jour ne représente le Yucatan comme insulaire après cette date. L’atlas du Havre aurait donc été produit entre 1535 et 1547 et réalisé ou copié sur un travail de Jaume Olives.
Le Yucatan représenté comme une île dans le golfe du Mexique, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 11 Un contenu politique singulierAlors qu’il est plutôt d’allure modeste et que son ornementation au premier abord paraît stéréotypée, le contenu de l’atlas du Havre possède des caractéristiques inhabituelles.
Les cartes portulans se distinguent en général par la stabilité de leur contenu, jusqu’à l’anachronisme. Le prêtre Jean des Indes y figure toujours, alors même que s’il a eu une origine historique, c’est au début du XIVe siècle qu’il aurait régné. Certains souverains d’Europe ne sont pour ainsi dire jamais représentés, comme le roi d’Angleterre, contrairement au roi d’Espagne ou au Grand Turc.
Le duc de Savoie, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 4La représentation du duc de Savoie sur la carte dès lors interpelle, d’autant que dans le second quart du XVIe siècle, il n’est pas à la tête d’un royaume puissant. En revanche à cette période, la rivalité entre le royaume de François Ier et l’empire de Charles Quint est à son comble. En s’alliant avec le duc de Savoie, Charles Quint barre la route aux ambitions du roi de France. Ce serait donc en tant qu’important allié qu’il apparaitrait sur la carte. Cette hypothèse encourage à relire le contenu politique de l’atlas, sans a priori sur son éventuel anachronisme. Les drapeaux castillans semés sur le continent américain qui signalent les conquêtes Hernàn Cortez et sans doute la fondation de la Nouvelle Castille (1519-1537) confirment l’importance de la dimension géopolitique de l’atlas : il représente l’emprise ibérique sur le monde.
Cette conclusion invite à réinterroger l’apparent anachronisme de la représentation des princes sur la carte.
Une provenance encore incertaineIl n’était pas évident que cet atlas nautique méditerranéen, à la gloire de l’empire de Charles Quint et des conquêtes ibériques soit conservé en Normandie, à la bibliothèque municipale du Havre. Ses anciens propriétaires comme les modalités de son entrée dans les fonds sont inconnus. On suppose qu’il serait entré dans les collections au XIXe siècle après avoir appartenu à un collectionneur privé. Il n’est signalé au catalogue qu’en 1888, mais son existence est attestée dès 1860 dans le Guide du voyageur de Joseph Morlent, conservateur de la bibliothèque de 1851 à 1861. En revanche, il ne l’évoque pas dans son précédent guide de 1854, ce qui semble indiquer que le document est entré dans les collections entre 1854 et 1860.
Consulter le document en ligne.
Pour en savoir plus :Lucile Haguet, L’Atlas nautique du Havre, une archéologie documentaire, Centre havrais de recherches historiques, n°HS 1, 2018, p. 53-90.
Ernest Grandidier, Histoire physique, naturelle et politique de Madagascar, Paris, 1885, t. I., p. 40, 228.
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17:05
Cartes et géomatique: les articles 2019 sont en ligne
sur Cartes et figures du mondeCartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles sont mis en ligne une année après leur publication sur support papier.
Ne sont recensés ici que les articles relatifs à l’histoire de la cartographie
n° 239-240, mars 2019Archives Nationales (Nadine Gastaldi)
n° 241-242, juin 2019Des emprises cartographiques. Restitution de données géohistoriques à partir de la Carte de France de Cassini, 1750 – 1789 (Bertrand Duménieu, Julien Chadeyron, Pascal Cristofolia, Julien Perreta, Laurence Jolivet, Stéphane Baciocchia)
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Utilisation de WebGL pour le rendu de cartes dans OpenLayers, partie 1
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Plus que jamais, les cartes interactives doivent être vectorielles. Pour cette raison, nous travaillons inlassablement à améliorer OpenLayers dans un but unique : dessiner des formes géométriques toujours plus rapidement. -
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Plus que jamais, les cartes interactives doivent être vectorielles. Pour cette raison, nous travaillons inlassablement à améliorer OpenLayers dans un but unique : dessiner des formes géométriques toujours plus rapidement. -
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Implémentation du Chinese Postman Problem au sein du moteur de routage Valhalla
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Nous implémentons un algorithme pour résoudre le Chinese Postman Problem au sein du moteur de routage Valhalla. C'est un projet avec Armasuisse pour calculer une route de patrouille. -
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Journée romande de la géoinformation 2021
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Camptocamp sera présent pour présenter ses projets innovants au cours de la journée romande de la géoinformation le 23 novembre. Venez découvrir nos projets -
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Journée romande de la géoinformation 2021
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Camptocamp sera présent pour présenter ses projets innovants au cours de la journée romande de la géoinformation le 23 novembre. Venez découvrir nos projets
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10:16
Modélisation de la distribution des espèces next-level
sur Le blog de GeomatysPièce jointe: [télécharger]
Les modèles de répartition des espèces (MDS) sont des modèles statistiques et mécanistes utilisés pour définir la répartition géospatiale des espèces en fonction de la combinaison de variables écologiques (telles que l’environnement biotique et abiotique) offrant des conditions et des possibilités favorisant leur présence.
En projetant les MDS sur des environnements futurs, les scientifiques peuvent déterminer où et quand ces conditions seront réunies pour fournir une prédiction de la répartition future des espèces. Ces prédictions sont souvent prévues des mois, des années ou des décennies à l’avance, et sont statiques en ce qui concerne à la fois l’algorithme et les occurrences prédites.
Cependant, les facteurs qui affectent les espèces et leurs déplacements ne sont pas statiques. Imaginez que vous puissiez appliquer ces modèles à un monde en évolution en temps réel ! C’est précisément l’aide que nous apportons aux scientifiques en utilisant la technologie de traitement géospatial et de science des données à la volée EXAMIND de Geomatys.
Lorsque les conditions environnementales changent, ou sont affectées par des perturbations telles qu’un ouragan ou des projets de développement qui perturbent les habitats actuels, des MDS à échelle fine peuvent être appliqués pour prédire comment les animaux se disperseront. En collaboration avec nos partenaires de la recherche et de l’industrie, nous travaillons à l’application de cette technologie en développement pour, par exemple, gérer les populations animales. Cette capacité deviendra essentielle dans presque tous les domaines, y compris la gestion de la biodiversité, car le changement climatique déstabilise les écosystèmes et les habitudes, et ainsi il perturbe les connaissances sur lesquelles nous nous appuyons actuellement pour prendre des décisions.
Un projet dans lequel la technologie de Geomatys facilite ce travail est celui fait pour l’association française pour la gestion et la conservation du cheval de Przewalski, une espèce menacée (TAKH). L’association a présenté son portail Web alimenté par EXAMIND pour visualiser et analyser les populations de chevaux de Przewalski, appelé Shamane, lors du Congrès mondial de la nature de l’UICN de cette année, le 8 septembre 2021 à Marseille.
Explorer le platform Shamane ( [https:]] )
Bien que l’objectif soit de former des algorithmes d’apprentissage automatique qui puissent aider à prédire le comportement des chevaux en réponse à des facteurs environnementaux variant dans le temps, un travail préliminaire que nous ayons effectué pour faciliter ce projet a été de construire la base de données, en rassemblant des sources de données vastes et disparates, en assurant l’interopérabilité et en les rendant accessibles à l’utilisateur dans un seul environnement.
Grâce aux nouvelles fonctionnalités disponible sur son socle EXAMIND en réponse aux besoins des chercheurs TAKH, les utilisateurs peuvent suivre des animaux individuels à travers le temps, basculer leur histoire et leur pedigree, explorer leurs habitats en 4D, interroger des ensembles de données connexes et lancer des analyses, le tout dans l’environnement de l’infrastructure de données spatiales de Shamane. L’outil permet donc non seulement d’analyser les données, mais aussi de fournir des renseignements permettant de prendre des décisions en temps réel en matière de surveillance et de gestion des populations.
Vidéo teaser crée pour le TAKH par Les Fées Spéciales
La vidéo teaser du projet Shamane ci-dessus illustre comment l’utilisateur peut suivre le mouvement de chevaux individuels génétiquement distincts (représentés par des couleurs différentes, souvent regroupés en troupeaux) dans une vue 3D du paysage. À l’aide du curseur situé en bas de la page, il peut suivre les changements de position des animaux ainsi que l’évolution de l’habitat dans le temps. Cela permet aux chercheurs de déterminer, par exemple, quels types de barrières d’habitat peuvent influencer les déplacements.
Dans un prochain temps, ils vont pouvoir également superposer d’autres données, telles que des données météorologiques à cette vue et effectuer des analyses dans la barre latérale de gauche à l’aide d’un notebook de datascience. A priori, ces analyses visent à identifier les facteurs écologiques qui déterminent les comportements de déplacement des animaux afin de soutenir les stratégies de gestion des populations et d’autres efforts de conservation.
Le futur de l’environnement interactif de visualisation de données 4D de Shamane, alimenté par EXAMIND.Bien que l’outil soit disponible via un portail web, l’accès est limité aux utilisateurs autorisés, sécurisé avec la même technologie que celle utilisée par Geomatys dans le domaine de la défense. Ceci est important pour traiter des données sensibles, telles que la localisation précise d’espèces menacées. Cet outil fournit donc une plateforme performante et sécurisée pour gérer la conservation de ces populations fragiles.
The post Modélisation de la distribution des espèces next-level first appeared on Geomatys.
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12:02
Visualisation des conditions météo à la volée en réalité augmenté
sur Le blog de GeomatysDepuis quelques mois les équipes R&D de Geomatys travaillent sur l’exploitation de données GHOM (Géographiques, Hydrographiques, Océano et météo ) en réalité augmentée.
L’enjeu étant de convertir, côté serveur à l’aide d’Examind-Server, des formats complexes tel que GRIB, NetCDF ou encore S-57, pour les servir en 3D sur un client Unity et de visualiser ces données à la volée avec des HolloLens.
Voici donc un exemple de visualisation de vecteurs de vent issus de fichiers GRIB en réalité augmentée.D’autres cas d’usages arrivent en particulier pour le monde maritime, nous vous les présenterons bientôt.
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10:39
FOSS4G 2021 - Les présentations que je souhaiterais suivre
sur ReLucBlogLe FOSS4G 2021 a commencé hier, lundi 27 september 2021, avec les premiers workshops. Les présentations commenceront demain, mercredi 29 Septembre 2021.
3Liz a 3 présentations plus 1 faîtes par ONF International :
- Lizmap to create a Web Map Application with QGIS Desktop and Server
- How to use OpenStreetMap data in QGIS Desktop
- PgMetadata - A QGIS plugin to store the metadata of PostgreSQL layers inside the database, and use them inside QGIS
- How Open Source solution help to build an scalable and adaptable environmental decision platform tools
Le programme de cette année est très complet et j'ai du mal à choisir parmi la longue liste de présentations. Voici donc ma liste des présentations que j'aimerais suivre, mais que je ne pourrais pas suivre en entier :
- Printing maps in the browser with InkMap
- OSGeo in the browser: Advances in client-side WebAssembly-based Geospatial Analysis and frontend visualization using jsgeoda and Vis.gl
- Solving Spatial Problems with PostGIS
- 3D geo-applications with CesiumJS - data, possible use-cases and specifications
- Browser-side geoprocessing with Turf.js and Leaflet
- Watching after your PostGIS herd
- Geostyler Mapfile Parser
- A fast web 3D viewer for 11 million buildings
- Graph algorithms on the database with pgRouting
- pygeoapi: what's new in the Python OGC API Reference Implementation
- FOSS4GPU: Faster GIS via GPU and cuSpatial
- OpenStreetMap and the neglected pedestrian
- OGC APIs: background, current state, what's next
- Geospatial analysis using python 101
- OGC API - Deeper Dive into OGC API Features, Records and EDR
- QGIS and OGC APIs - how do they work together?
- Practical Geospatial Data Versioning with Kart
- Processing Massive-Scale Geospatial Data with Apache Sedona
- PMTiles: An open, cloud-optimized archive format for serverless map data
- MapLibre project: community driven Mapbox GL fork
- Modular OGC API Workflows for Processing and Visualization
- Cloud optimized formats for rasters and vectors explained
- Demystifing OGC APIs with GeoServer: introduction and status of implementation
- Deploying and operating GeoServer: a DevOps perspective
- QField Features Frenzy
- Seamless fieldwork thanks to QFieldCloud
- Deployment of open source vector tile technology with UN Vector Tile Toolkit
- The Very Best New Features of QGIS 3.x
- QGIS Plugin Development Is Not Scary: Lessons Learned from Literature Mapper
- QGIS MetaSearch: lowering the barrier to geospatial data discovery in the desktop
- Input, Mergin & QGIS: collect data, sync, and collaborate with ease
- GeoRasterLayer for Leaflet: Truly Server-Free GeoTIFF Visualization
- Versioning in 2021: when and how you should do it
- Using point clouds in QGIS
- GeoHealthCheck - QoS Monitor for Geospatial Web Services
- Wegue - Webmapping with OpenLayers and Vue.js
- GeoMapFish und QGIS Server
- Algorithm Talk: JSON-to-Code Compression
- Vector tile basemaps for your QGIS project
- OpenLayers Feature Frenzy
- Easily publish your QGIS projects on the web with QWC2
- MapStore, a year in review
- Deploying QGIS using command line options.
- Large scale QGIS deployments : feedback and lessons learned
- Fast, Robust Arithmetics for Geometric Algorithms and Applications to GIS
- WAPLUGIN: Water Accounting and Productivity Plugin for QGIS
- FOSS4G software developments for Water Utilities Management in Eastern Africa by using Vector Tiles
- G3W-SUITE: in OS framework for publishing and managing QGIS projects on the Web
- Giswater : open source management tool for water networks
- An implementation of FOSS4G - QGIS, QField and Vector Tiles for rural water supply management in Rwanda
- Geospatial programming with Rust
- QGIS, Football, what else ?
-
10:30
FOSS4G 2021 - Presentations I would like to follow
sur ReLucBlogFOSS4G 2021 began yesterday, Monday September 27 2021, with the first workshops. The presentations will begin tomorrow, Wednesday Septembre 29 2021.
3Liz has 3 presentations plus 1 made by ONF International :
- Lizmap to create a Web Map Application with QGIS Desktop and Server
- How to use OpenStreetMap data in QGIS Desktop
- PgMetadata - A QGIS plugin to store the metadata of PostgreSQL layers inside the database, and use them inside QGIS
- How Open Source solution help to build an scalable and adaptable environmental decision platform tools
This years's schedule is very complete and I find it hard to choose from the long list of presentations. So here is my list of presentations that I would like to attend, but that I will not be able to follow in full:
- Printing maps in the browser with InkMap
- OSGeo in the browser: Advances in client-side WebAssembly-based Geospatial Analysis and frontend visualization using jsgeoda and Vis.gl
- Solving Spatial Problems with PostGIS
- 3D geo-applications with CesiumJS - data, possible use-cases and specifications
- Browser-side geoprocessing with Turf.js and Leaflet
- Watching after your PostGIS herd
- Geostyler Mapfile Parser
- A fast web 3D viewer for 11 million buildings
- Graph algorithms on the database with pgRouting
- pygeoapi: what's new in the Python OGC API Reference Implementation
- FOSS4GPU: Faster GIS via GPU and cuSpatial
- OpenStreetMap and the neglected pedestrian
- OGC APIs: background, current state, what's next
- Geospatial analysis using python 101
- OGC API - Deeper Dive into OGC API Features, Records and EDR
- QGIS and OGC APIs - how do they work together?
- Practical Geospatial Data Versioning with Kart
- Processing Massive-Scale Geospatial Data with Apache Sedona
- PMTiles: An open, cloud-optimized archive format for serverless map data
- MapLibre project: community driven Mapbox GL fork
- Modular OGC API Workflows for Processing and Visualization
- Cloud optimized formats for rasters and vectors explained
- Demystifing OGC APIs with GeoServer: introduction and status of implementation
- Deploying and operating GeoServer: a DevOps perspective
- QField Features Frenzy
- Seamless fieldwork thanks to QFieldCloud
- Deployment of open source vector tile technology with UN Vector Tile Toolkit
- The Very Best New Features of QGIS 3.x
- QGIS Plugin Development Is Not Scary: Lessons Learned from Literature Mapper
- QGIS MetaSearch: lowering the barrier to geospatial data discovery in the desktop
- Input, Mergin & QGIS: collect data, sync, and collaborate with ease
- GeoRasterLayer for Leaflet: Truly Server-Free GeoTIFF Visualization
- Versioning in 2021: when and how you should do it
- Using point clouds in QGIS
- GeoHealthCheck - QoS Monitor for Geospatial Web Services
- Wegue - Webmapping with OpenLayers and Vue.js
- GeoMapFish und QGIS Server
- Algorithm Talk: JSON-to-Code Compression
- Vector tile basemaps for your QGIS project
- OpenLayers Feature Frenzy
- Easily publish your QGIS projects on the web with QWC2
- MapStore, a year in review
- Deploying QGIS using command line options.
- Large scale QGIS deployments : feedback and lessons learned
- Fast, Robust Arithmetics for Geometric Algorithms and Applications to GIS
- WAPLUGIN: Water Accounting and Productivity Plugin for QGIS
- FOSS4G software developments for Water Utilities Management in Eastern Africa by using Vector Tiles
- G3W-SUITE: in OS framework for publishing and managing QGIS projects on the Web
- Giswater : open source management tool for water networks
- An implementation of FOSS4G - QGIS, QField and Vector Tiles for rural water supply management in Rwanda
- Geospatial programming with Rust
- QGIS, Football, what else ?
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Conférence DINAcon
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Le 29.10.2021, la conférence DINAcon se tiendra pour la première fois dans le parc de la Bâloise à Bâle. -
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Conférence DINAcon
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Le 29.10.2021, la conférence DINAcon se tiendra pour la première fois dans le parc de la Bâloise à Bâle. -
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Camptocamp présent au 127ème congrès national des sapeurs pompiers
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Annulé l’année dernière du fait de la crise sanitaire, le 127ème congrès national des sapeurs pompiers aura bien lieu cette année du 13 au 16 octobre à Marseille. -
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Camptocamp présent au 127ème congrès national des sapeurs pompiers
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Annulé l’année dernière du fait de la crise sanitaire, le 127ème congrès national des sapeurs pompiers aura bien lieu cette année du 13 au 16 octobre à Marseille. -
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Le projet MADD
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Ce projet MADD avait comme objectif d’automatiser tant que possible le processus de commande et d ’offrir un accès standardisé aux données issues du RegBL pour les utilisateurs. -
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Le projet MADD
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Ce projet MADD avait comme objectif d’automatiser tant que possible le processus de commande et d ’offrir un accès standardisé aux données issues du RegBL pour les utilisateurs. -
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Camptocamp est sponsor de la conférence FOSS4G de Buenos Aires 2021
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Du 27 septembre au 2 octobre, la conférence FOSS4G 2021 aura lieu en ligne. Jetez un coup d'œil à nos conférences. -
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GeoDatadays : à la rencontre de la communauté geospatial en France
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Les GeoDatadays, événement autour de la geodata, auront lieues les 15 et 16 septembre à Grenoble, et sont co-organisées par l'AFIGéo et Décryptagéo. -
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GeoDatadays : à la rencontre de la communauté geospatial en France
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Les GeoDatadays, événement autour de la geodata, auront lieues les 15 et 16 septembre à Grenoble, et sont co-organisées par l'AFIGéo et Décryptagéo. -
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MapFish Print - sous le capot
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MapFish Print est une solution complète permettant d’imprimer des cartes et des rapports, et pouvant être facilement intégrée dans un SIG. Nous présentons ici l'état actuel de ce projet open-source toujours aussi vivant. -
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MapFish Print - sous le capot
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MapFish Print est une solution complète permettant d’imprimer des cartes et des rapports, et pouvant être facilement intégrée dans un SIG. Nous présentons ici l'état actuel de ce projet open-source toujours aussi vivant. -
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La version 2.6 GeoMapFish
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GeoMapFish est une application SIG web, extensible et flexible, incluant de nombreuses fonctionnalités. La version 2.6 vient de sortir. -
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La version 2.6 GeoMapFish
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GeoMapFish est une application SIG web, extensible et flexible, incluant de nombreuses fonctionnalités. La version 2.6 vient de sortir.
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14:32
Dataviz : “voir et donner à voir”
sur Le blog de GeomatysDans le cadre de ses activités Geomatys s’est structuré selon trois axes :
1.La mise en place et l’exploitation de Datalakes Geospatiaux (basé sur des infrastructure Cloud et exploitant des volumes massifs de donnée)
2. La (Geo)Datascience
3. La visualisation de données incluant la 3D et la réalité augmentée.
Cet article présente un retour d’expérience sur la mise en place de traitements à la volée sur un DataLake pour les besoins d’une agence spatiale.
Les masses de données brutes et les résultats de leurs analyses disponibles pour la prise de décision humaine sont un challenge pour les outils de visualisation. Ainsi si les masses de données actuelles permettent l’émergence des Jumeaux Numériques, pour la Dataviz elle peuvent parfois ressembler à Janus :
- Agréger les données afin de produire un indicateur pour l’aide à la décision ou un tableau de bord synthétique est une solution pragmatique, mais elle a le défaut de masquer la complexité des données sources.
- Donner accès en visualisation à toutes les données est transparent mais difficilement analysable pour l’opérateur.
Autrement dit et pour paraphraser René Char qui s’interroge quand même un peu sur ce qu’il vient faire là, pour les outils de Dataviz conduisant à une prise de décision, “l’essentiel est toujours menacé par l’insignifiant” .
C’est en cherchant à dépasser cette ambivalence que nous tâchons de concevoir notre environnement d’exploration et de visualisation de la donnée : EXAMIND Playground dont nous faisons ici une petite revue d’inventaire.
S’appuyant sur les capacités de notre socle logiciel à diffuser de large volume de données géospatiaux, le cas échéant en streaming, EXAMIND Playground est conçu comme un ensemble de modules de visualisation cartographique mobilisable et configurable à façon qui s’appuie sur un moteur de visualisation géographique 4D (3D plus la dimension temporelle) sur lequel viennent se greffer des outils d’exploration de la donnée.
Ainsi à partir d’une vue d’ensemble contextuelle à son besoin, l’utilisateur va pouvoir se concentrer et zoomer sur des zones spécifiques et éventuellement en observer la dynamique temporelle (cf infra). L’utilisateur va également pouvoir forer sa donnée et examiner l’évolution de plusieurs variables dernière le long d’une trajectoire ou en un point donné.
L’outil de visualisation interagit avec le serveur de données ainsi, si le cas d’usage le nécessite, l’utilisateur peut ajouter des objets à l’environnement cartographique et simuler leurs impacts. Comme ici, dans le cas de la simulation de l’impact de la circulation des flamands roses après un ajout de linéaire de haies.
Enfin, la donnée géographique pouvant venir enrichir notre perception du monde réel, EXAMIND Playground est utilisable avec des casques de réalité augmentée afin de proposer à l’usager de voir directement son univers enrichi.
EXAMIND Playground propose donc toute une panoplie d’outils de visualisation cartographique mobilisables en fonction du besoin et du cas d’usage traité afin de pouvoir explorer au mieux toute la richesse de ses données. Le seul risque à trop bien voir ses données étant d’ « avoir la surprise de trouver un lion dans un placard là où l’on était sûr [au départ] d’y trouver des chemises. »(Frida Kahlo)
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Pièges courants lors de l'impression de cartes sur le web
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
La production de cartes de qualité professionnelle affichées dans une application Web ne se limite pas à une simple capture d'écran. Nous vous présentons ici quelques-uns des défis et problèmes les plus fréquents à résoudre pour réussir l’impression de cartes en ligne. -
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Pièges courants lors de l'impression de cartes sur le web
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La production de cartes de qualité professionnelle affichées dans une application Web ne se limite pas à une simple capture d'écran. Nous vous présentons ici quelques-uns des défis et problèmes les plus fréquents à résoudre pour réussir l’impression de cartes en ligne. -
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Nouvelles de la communauté GeoNetwork - Été 21
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Data hub, Opendata, Dataviz : plein de nouveaux concepts évoqués lors du sprint de code GeoNetwork, du 14 au 18 juin 2021 à la Tite Ferme. -
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Nouvelles de la communauté GeoNetwork - Été 21
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Data hub, Opendata, Dataviz : plein de nouveaux concepts évoqués lors du sprint de code GeoNetwork, du 14 au 18 juin 2021 à la Tite Ferme. -
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pgRouting comme aide à la décision des Services d'Incendie et de Secours
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Les Services d'Incendie et de Secours cherchent à identifier les camions qui mettront le moins de temps à se rendre sur une intervention. PostGIS et pgRouting leur offrent flexibilité et gain de temps. -
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pgRouting comme aide à la décision des Services d'Incendie et de Secours
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Les Services d'Incendie et de Secours cherchent à identifier les camions qui mettront le moins de temps à se rendre sur une intervention. PostGIS et pgRouting leur offrent flexibilité et gain de temps. -
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Camptocamp participe au geOcom 2021
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Du 8 au 10 juin se tiendra en visioconférence la réunion annuelle des utilisateurs et développeurs de l'Infrastructure de Données Spatiales geOrchestra. -
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Simplifier le point d’entrée de votre IDG - Du fun pour les métadonnées !
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Comment convaincre les utilisateurs de référencer leurs données dans une infrastructure de données géographiques s'ils doivent passer leur précieux temps à remplir d'obscurs champs de métadonnées ? -
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Comment convaincre les utilisateurs de référencer leurs données dans une infrastructure de données géographiques s'ils doivent passer leur précieux temps à remplir d'obscurs champs de métadonnées ? -
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FOSSGIS 2021: Nos présentations
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Rejoignez-nous pour la première édition entièrement numérique de FOSSGIS 2021 et jetez un coup d'œil aux conférences de Camptocamp. -
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MapFish Print - la solution d'impression cartographique open-source la plus avancée
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Dans ce premier article, nous donnons un aperçu de la solution d'impression MapFish Print et nous vous présentons ses divers cas d'utilisation. -
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MapFish Print - la solution d'impression cartographique open-source la plus avancée
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La plateforme de documentation FttH du Tyrol
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Pour l'agence de services haut débit Breitbandserviceagentur Tirol GmbH, une plateforme de documentation a été développée sous forme de géoportail pour l'infrastructure FttH des municipalités du Tyrol. -
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Pour l'agence de services haut débit Breitbandserviceagentur Tirol GmbH, une plateforme de documentation a été développée sous forme de géoportail pour l'infrastructure FttH des municipalités du Tyrol. -
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Vers une meilleure intégration de GeoServer dans une infrastructure cloud
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Comment améliorer GeoServer pour une meilleure intégration dans une infrastructure “cloud” et dans un contexte de Haute-Disponibilité ? -
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Comment améliorer GeoServer pour une meilleure intégration dans une infrastructure “cloud” et dans un contexte de Haute-Disponibilité ? -
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Rebuilding from the ground up with IFREMER
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
How Camptocamp went through and made a data visualization application more performant and reliable. -
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ArcGIS Pro vers GeoServer
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
La compatibilité entre la suite d'outils ESRI et les logiciels open source est un défi permanent. Des solutions existent pour ArcMap, mais pas pour son successeur ArcGIS Pro. -
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ArcGIS Pro vers GeoServer
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10:55
On our way to quality
sur ReLucBlogLizmap is almost 10 years old. 10 years of new features, documentation, and numerous version release. Many software libraries updates, many contributors (31 if github is correct) and contributions later we've released version 3.4 at the end of 2020.
Whilst in the release cycle, we realized that our release process was lacking something. We were unsure of the quality of this release, and we were missing some tools to assess whether the release would contain regressions.
In order to avoid these issues in future releases and updates, we decided to implement a number of processes and changes in both how we release and build lizmap.
First : we have decided to not accept code patches without tests. Be these tests unit tests, integration tests or just some lines of text explaining how to test for the bug or regression being fixed by the patch. We are now maintaining a list of tests in our code repository.
Secondly we changed our release process to be able to test. We now have a dedicated time slot between the time when our code is ready and the time our code is released to the world. This will let us test internally and will let us gather feedback from users testing our release candidates.
Our third point is community centered. It's now quite easy to set up a lizmap stack or two using our Docker images. Using these instructions you'll have a docker running lizmap in no time on your computer. Add a project or two to it, test and see if you see anything that doesn't work like your production environment and let us know by opening a ticket. Our aim here is to have more user test our release candidates (we do these for major releases) so we can quickly fix regressions before we officially release.
Fourth we are setting up internal processes to make our code easier to test (docker is a good example of this) and easier to read. Hence, are growing use of linters. We also added a code analyzer for our backend: PHPstan.
Finally, we spent a good amount of time updating our demos (see demo.lizmap.com), making sure they work. This makes our demos a reference for most of our testing.
We had realized in June 2020 some of theses issues around quality. That's why we had an intern refactor lizmap. That refactor had two goals. One was to make it easier to add tests to its code and the second one was to add more tests. All these changes have made it to the 3.4 branch. They aren't in the 3.3 branch because it would have meant too much work. This means 3.3 is a bit less tested than 3.4 (hint upgrading from 3.3 is very easy).
Now that most of our backend is covered we are focusing our efforts on the front-end. This means we will update some of the libraries we use, we will refactor our code and will add as much test as possible. This is going to be the work of an intern. We have chosen Cypress to build end2end tests.
All of these automated tests (backend, front-end, end2end) are being run from our githubrepo through github actions.
All these changes have been made possible by the growth of 3liz during 2020.
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10:39
Nos efforts qualité
sur ReLucBlogLizmap a près de 10 ans. 10 ans de code, d'ajout de nouvelles fonctionnalités, de rédaction de documentation, de sortie de nombreuses versions. Des montées de versions de librairies, de nombreux contributeurs (31 si j'en crois GitHub) et contributions plus tard, nous avons sorti la version 3.4 fin 2020.
Lors de ce cycle de release entre les differentes versions RC et la version finale, nous nous sommes rendu compte d'un manque dans notre processus de release. Nous n'étions pas sûrs de la qualité de lizmap au moment de cette sortie et nous n'avions pas assez de moyens pour évaluer le risque d'avoir une version qui contiendrait des régressions.
Afin de rendre le produit plus fiable lors de mise-à-jour et de pouvoir être plus serein lors de nos prochaines sorties de version, nous avons mis en place un certain nombre de points afin d'améliorer la qualité.
Le premier est de ne plus accepter de contributions sans tests. Des tests automatiques, c'est bien, mais des procédures manuelles de tests, c'est bien aussi. Nous avons donc maintenant une règle qui dit "pas de patch sans test". Nous préférons les tests automatiques qui seront joués lors de l'intégration continue. Mais nous avons aussi conscience que tout n'est pas testable de manière automatique. Et donc qu'un certain nombre de tests devront se jouer de manière manuelle. Nous maintenons donc une liste de tests à jouer. Ces projets de tests sont présents dans les branches 3.4 et pour la prochaine version 3.5 (aka master).
Le deuxième est de mettre en place un processus de release qui intègre une phase de test. Nous consacrons maintenant un jour ou deux afin de pouvoir jouer tous les tests et de valider qu'aucune régression n'est présente. Pour les versions majeures, nous avons alloué encore plus de temps afin de pouvoir intégrer le retour de nos utilisateurs.
Troisième point dans lequel nous avons investi, la participation communautaire aux tests. Il est désormais très simple d'avoir un Lizmap avec un ou plusieurs projets. Il suffit d'utiliser notre stack docker, d'ajouter votre projet et de voir si tout fonctionne comme prévu. Si un problème survient, il est alors possible d'ouvrir au plus vite un ticket avec le maximum d'information pour que nous puissions le corriger. Nous souhaiterions que plus de personnes participent aux tests de nos Release Candidates (RC), afin de détecter avant les sorties les régressions sur vos projets.
Quatrièmement, nous mettons en place des processus internes pour que notre code soit plus facile à tester (cf la stack docker), mais aussi plus lisible par l'utilisation de linters. Nous avons également ajouté un analyseur de code pour le backend, PHP Static Analyser afin de nous prévenir de possibles erreurs côté PHP.
Cinquièmement, nous venons de passer du temps à mettre à jour la plate-forme de démo [https:]] ; les projets ont été dépoussiérés et mis à jour. Ces mises à jour facilitent l'adoption de nos démos comme un référentiel de tests avec de vraies données.
Nous avions pris conscience en juin 2020 d'un déficit dans nos processus qualité. Nous avions donc dirigé un stage afin de refactoriser la librairie Lizmap pour qu'elle soit plus facile à tester de manière automatique. De nombreux tests ont été ajoutés lors de cette refactorisation. Ces changements ont été intégrés dans la future branche 3.5 de Lizmap. C'était trop de travail pour l'intégrer dans les branches 3.3 et 3.4 - elles seront donc légèrement moins bien testées de manière automatique par la CI.
La partie backend PHP étant mieux couverte et mieux testable, nos efforts dans les mois à venir vont se focaliser sur la partie front-end (Javascript, inteface Web...), avec des mises à jour de librairies, de la refactorisation de code et l'ajout de nombreux tests. Une stagiaire en fera le sujet de son stage, on ajoutera grâce à l'outil cypress des tests end2end automatiques.
Les tests backend PHP ainsi que frontend end2end Javascript, ainsi que les linters PHP et Javascript sont lancés sur le dépôt GitHub avec Actions.
Tous ces changements n'ont été possibles qu'en allouant plus de ressources au projet Lizmap au sein de 3liz, par l'arrivée de nouvelles personnes dans l'équipe.
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Première release pour Inkmap 1.0
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Nous sommes fiers d'annoncer la toute première version d'InkMap, une technologie web moderne permettant d'intégrer des services d'impression dans des applications cartographiques web. -
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Première release pour Inkmap 1.0
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Nous sommes fiers d'annoncer la toute première version d'InkMap, une technologie web moderne permettant d'intégrer des services d'impression dans des applications cartographiques web. -
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Calcul d’itinéraires avec édition du graphe en ligne
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
L’application Plan, basée sur GeoMapFish, permet aux visiteurs de l’EPFL d’afficher des itinéraires piétons. Le calcul utilise un réseau édité en ligne. -
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Calcul d’itinéraires avec édition du graphe en ligne
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L’application Plan, basée sur GeoMapFish, permet aux visiteurs de l’EPFL d’afficher des itinéraires piétons. Le calcul utilise un réseau édité en ligne. -
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Ouverture du code de GetItFixed!
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
GetItFixed! est un projet open source et public pour aider à la remontée d’informations par les usagers. -
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Ouverture du code de GetItFixed!
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GetItFixed! est un projet open source et public pour aider à la remontée d’informations par les usagers. -
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KADAS Routing – a routing plugin for offline navigation
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Learn more about the offline routing plugin that we have developed for KADAS Albirero. -
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KADAS Routing – a routing plugin for offline navigation
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Learn more about the offline routing plugin that we have developed for KADAS Albirero.
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13:45
2021, Lizmap will be 10 years old
sur ReLucBlogThe year 2020 was marked by the growth of the 3Liz team (now we are 8) and the release of version 3.4 of Lizmap Web Client (Liste des nouvelles fonctionnalités)
This new version marks a change in the way Lizmap Web Client works, as some features now depend on the installation of the Lizmap plugin for QGIS Server. The Lizmap plugin extend QGIS Server API.
In 2011, when Michaël imagined Lizmap, he wanted to take advantage of QGIS Server to facilitate the creation of Web maps, by offering a solution that integrates with QGIS so that the geographic data manager doesn't have to change tools when he wants to make a Web publication of his work.
In 10 years, Lizmap has become a true tool for creating and publishing Web mapping applications ranging from simple maps for consulting geographic data to collaborative geographic data management applications (addresses, water networks, naturalist observations, etc.), including the creation of dashboards with graphs or data mining tools.
Consulting data with LizmapPoints of interest in the Lake Geneva Watershed
Selecting and export data with LizmapFaunistic observations in Polynesia
Collaborative Data Editing with LizmapEvolution of COVID-19 in France from march to may 2020
Dashboards Lizmap Data mining with LizmapIn 2021, we want to continue to improve the quality and stability of Lizmap (code refactoring, adding new tests), release 2 new versions of Lizmap Web Client with a version 3.5 at the end of May 2021, and maybe a new major version at the end of the year.
All the 3Liz team wishes you a very happy new year 2021 with Lizmap.
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13:30
2021, Lizmap aura 10 ans
sur ReLucBlogL'année 2020 a été marqué par une croissance de l'équipe de 3Liz (nous sommes maintenant 8) et par la publication de la version 3.4 de Lizmap Web Client (Liste des nouvelles fonctionnalités)
Cette nouvelle version marque un changement dans le fonctionnement de Lizmap Web Client, car certaines fonctionnalités dépendent maintenant de l'installation du extension Lizmap pour QGIS Serveur. Le plugin Lizmap étend l'API standard de QGIS Serveur.
En 2011, quand Michaël imagine Lizmap, il souhaite profiter de QGIS Serveur pour faciliter la création de cartes Web, en proposant une solution qui s'intègre à QGIS afin que le gestionnaire de données géographiques n'ait pas à changer d'outil lorsqu'il souhaite faire une publication Web de son travail.
En 10 ans, Lizmap est devenu un vrai outil de création et de publication d'applications Web cartographiques allant de la simple carte de consultation de données géographiques à l'application de gestion de données géographiques collaboratives (adresses, réseaux d'eau, observations naturalistes, etc) en passant par la création de tableaux de bord avec graphiques ou d'outils d'exploration de données.
Risques de crues à Montpellier
Consultation de données avec LizmapPoints d'intérêts dans le bassin versant du lac Léman
Sélection de données et export avec LizmapObservations faunistiques en Polynésie
Édition collaborative de données avec LizmapÉvolution du COVID-19 en France de mars à mai 2020
Tableaux de bords avec LizmapSuivi des déplacements de chats
Exploration de données avec LizmapEn 2021, nous souhaitons continuer à améliorer la qualité et la stabilité de Lizmap (refactorisation du code, ajout de nouveaux tests), publier 2 nouvelles versions de Lizmap Web Client avec une version 3.5 fin mai 2021, et peut-être une nouvelle version majeure en fin d'année.
Toute l'équipe 3Liz vous souhaite donc une très bonne année 2021 avec Lizmap.
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16:52
Refactoring and tests about the PHP code in Lizmap
sur ReLucBlogAdrien Lagroy de Croutte from the École 42 joined 3Liz 6 months ago for an internship.
His main goal was to lead a refactoring on the PHP code of Lizmap, to make it easier to write unit tests.
His second goal was writing unittests. Approximately 200 unit tests have been added. These tests are executed by the continuous integration platform on each commit to avoid regressions and bugs.
Thanks to this work, we will avoid regressions for any next versions of Lizmap by having more tests on our continuous integration platform.
Thanks to you Adrien ;)
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11:03
Refactoring et tests du code PHP de Lizmap
sur ReLucBlogAdrien Lagroy de Croutte de l'École 42 a rejoint 3Liz il y a 6 mois dans le cadre d'un stage.
Sa mission principale a été de faire un refactoring du code PHP de Lizmap, ceci dans le but de pouvoir plus facilement le tester unitairement.
Sa seconde mission a été d'ajouter plus de 200 tests unitaires. Ceci sont exécutés par nos outils d'intégration continue sur chaque modification du code, nous évitant de possible bugs et régressions.
Grâce à ce travail, nous limitons les régressions sur les prochaines versions de Lizmap en rendant le code plus testable par des outils d'intégration continue.
Merci à toi Adrien ;)
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FOSSGIS 2021 in Rapperswil: Camptocamp is Platinsponsor!
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Camptocamp is happy to be on-site again from June 06 - 09 as a platin sponsor and exhibitor at the FOSSGIS 2021 conference. -
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FOSSGIS 2021 in Rapperswil: Camptocamp is Platinsponsor!
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Camptocamp, sponsor des 8èmes Rencontres Utilisateurs de QGIS
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Pour la 8ème année consécutive, Camptocamp a été sponsor, au niveau Mécène, de la conférence des Rencontres des Utilisateurs Francophone de QGIS. -
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Camptocamp, sponsor des 8èmes Rencontres Utilisateurs de QGIS
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Pour la 8ème année consécutive, Camptocamp a été sponsor, au niveau Mécène, de la conférence des Rencontres des Utilisateurs Francophone de QGIS. -
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InkMap
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Pour nous, il est temps de profiter des innovations récentes dans le monde du Web pour embarquer ces outils d’impression directement dans le navigateur. -
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InkMap
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Pour nous, il est temps de profiter des innovations récentes dans le monde du Web pour embarquer ces outils d’impression directement dans le navigateur. -
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Plugins QGIS pour le Schapi
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Le Schapi a confié à Camptocamp au travers d'un accord-cadre le développement et la maintenance de plusieurs Plugin QGIS. -
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Plugins QGIS pour le Schapi
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Le Schapi a confié à Camptocamp au travers d'un accord-cadre le développement et la maintenance de plusieurs Plugin QGIS.
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12:26
Lizmap Web Client 3.4 RC
sur ReLucBlogWe are pleased to announce the release of Lizmap Web Client 3.4 RC (release candidate). You will find the new features list here:
This new Lizmap Web Client release comes with Lizmap plugin in 3.3 version:
There remains work on documentation and translation. Any help is welcome :)
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12:06
Lizmap Web Client 3.4 RC
sur ReLucBlogNous sommes heureux d’annoncer la sortie de Lizmap Web Client 3.4 RC (release candidate). Vous trouverez la liste des nouvelles fonctionnalités ici :
Cette nouvelle version de Lizmap Web Client s'accompagne de celle du plugin Lizmap en version 3.3 :
Il reste du travail concernant la documentation et la traduction. Toute aide est la bienvenue :)
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10:15
Evaluate QGIS Expression server side with Lizmap plugin
sur ReLucBlogSince the beginning of Lizmap-Web-Client all the server part was based on PHP code. With Lizmap Web Client 3.4, which will be released very soon, part of the functionality has been developed within the Lizmap plugin to add features to QGIS Server.
QGIS Server is an open source implementation of the WMS 1.3.0, 1.1.1 and 1.0.0, WFS 1.1.0 and 1.0.0 and WCS 1.0.0 standards defined by the Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server uses QGIS as a backend for GIS layer logic and map rendering. As QGIS desktop and QGIS Server use the same visualization libraries, the maps that are published on the web look the same as in desktop GIS.
To learn more about QGIS Server
Just like QGIS Desktop, QGIS Server is extensible using Python plugins. It is for example possible to create and add new services to QGIS Server. Documentation
The second QGIS Server feature we have implemented in the Lizmap plugin is a QGIS expression evaluation service.
- SERVICE=EXPRESSION
- REQUEST=Evaluate
- EXPRESSION: a QGIS expression
- EXPRESSIONS: List of QGIS expressions
- FEATURE: Option a GeoJSON Feature
- FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
- FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
- REQUEST=replaceExpressionText
- STRING: A string with expression between [% and %]
- STRINGS: A list of strings with expression between [% and %]
- FEATURE: Option a GeoJSON Feature
- FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
- FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
- REQUEST=GetFeatureWithFormScope
- LAYER: a WMS Layer Name to be filtered
- FILTER: a QGIS expression to filter the layer
- FORM_FEATURE: a GeoJSON Feature
- FIELDS: Option a list of fields to return
- WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
- REQUEST=VirtualFields
- LAYER: a WMS Layer Name to get virtual fields
- VIRTUALS: a list of key QGIS expression
- FILTER: Option a QGIS expression to filter layer
- FIELDS: Option a list of fields to return
- WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
- REQUEST=Evaluate
These new queries are used in Lizmap Web Client 3.4 to exploit expressions from QGIS forms. These expressions can be used for :
- Set default values
- Set constraints
- Do drill down
- Manage field group visibility
Example of using QGIS expression as a form constraint:
Example of use of QGIS expression to manage the visibility of groups of fields
In the case of drill down in forms, it is possible to use geometry to filter the list, for example to select a municipality, a parcel or the nearest street. It is of course possible to use all other values during form entry.
Finally we also added a lizmap service with a GetServerSettings query to retrieve information about QGIS Server and available services.
- SERVICE=EXPRESSION
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10:00
Evaluer les Expresions QGIS côté serveur avec le Plugin Lizmap
sur ReLucBlogDepuis le début de Lizmap-Web-Client toute la partie serveur reposait sur du code PHP. Avec Lizmap Web Client 3.4, qui sera publié très prochainement, une partie des fonctionnalités ont été développées au sein du plugin Lizmap pour ajouter des fonctionnalités à QGIS Server.
QGIS Server est une implémentation open source des normes WMS 1.3.0, 1.1.1 et 1.0.0, WFS 1.1.0 et 1.0.0 et WCS 1.0.0 défini par l'Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server utilise QGIS comme backend pour la logique des couches SIG et le rendu cartographique. Étant donné que QGIS Bureautique et QGIS Server utilisent les mêmes bibliothèques de visualisation, les cartes publiées sur le web ont le même aspect que sous le SIG Bureautique.
Pour en savoir plus sur QGIS Server
Tout comme QGIS Bureautique, QGIS Server est extensible à l'aide de plugins Python. Il est par exemple possible de créer, d'ajouter de nouveaux services à QGIS Server. Documentation
La seconde fonctionnalité QGIS Server que nous avons implémentée dans le plugin Lizmap est un service d'évaluation des expressions QGIS.
- SERVICE=EXPRESSION
- REQUEST=Evaluate
- EXPRESSION: a QGIS expression
- EXPRESSIONS: List of QGIS expressions
- FEATURE: Option a GeoJSON Feature
- FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
- FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
- REQUEST=replaceExpressionText
- STRING: A string with expression between [% and %]
- STRINGS: A list of strings with expression between [% and %]
- FEATURE: Option a GeoJSON Feature
- FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
- FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
- REQUEST=GetFeatureWithFormScope
- LAYER: a WMS Layer Name to be filtered
- FILTER: a QGIS expression to filter the layer
- FORM_FEATURE: a GeoJSON Feature
- FIELDS: Option a list of fields to return
- WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
- REQUEST=VirtualFields
- LAYER: a WMS Layer Name to get virtual fields
- VIRTUALS: a list of key QGIS expression
- FILTER: Option a QGIS expression to filter layer
- FIELDS: Option a list of fields to return
- WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
- REQUEST=Evaluate
Ces nouvelles requêtes servent dans Lizmap Web Client 3.4 à exploiter les expressions des formulaires QGIS. Ces expressions peuvent servir à :
- Définir des valeurs par défaut
- Définir des contraintes
- Faire des listes en cascade
- Gérer la visibilité de groupes de champs
Exemple d'utilisation d'expression QGIS comme contrainte de formulaire:
Exemple d'utilisation d'expression QGIS afin de gérer la visibilité des groupes de champs
Dans le cas des listes en cascades dans les formulaires, il est possible d'utiliser la géométrie pour filtrer la liste, par exemple pour sélectionner une commune, une parcelle ou la rue la plus proche. Il est bien sûr possible d'utiliser toutes les autres valeurs en cours de saisie du formulaire.
Enfin nous avons aussi ajouter un service lizmap avec une requête GetServerSettings pour récupérer des informations sur QGIS Server et les services disponibles.
- SERVICE=EXPRESSION
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9:30
The Lizmap plugin as an access control plugin for QGIS Server
sur ReLucBlogSince the beginning of Lizmap-Web-Client all the server part was based on PHP code. With Lizmap Web Client 3.4, which will be released very soon, part of the functionality has been developed within the Lizmap plugin to add features to QGIS Server.
QGIS Server is an open source implementation of the WMS 1.3.0, 1.1.1 and 1.0.0, WFS 1.1.0 and 1.0.0 and WCS 1.0.0 standards defined by the Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server uses QGIS as a backend for GIS layer logic and map rendering. As QGIS desktop and QGIS Server use the same visualization libraries, the maps that are published on the web look the same as in desktop GIS.
To learn more about QGIS Server
Just like QGIS Desktop, QGIS Server is extensible using Python plugins. For example, it is possible to add a data access control system to QGIS Server Documentation.
The first QGIS Server feature we implemented in the Lizmap plugin is an access control system.
We have implemented 3 access controls:
- access to the project
- filter by user
- access to project layers
The first 2 controls were already present. In the Lizmap configuration, it is possible to restrict access to a project for a list of user groups. It is also possible to define filtering rules according to the user logged in or not.
The implementation in QGIS Server of the filter by user, thanks to the Lizmap plugin, allows to filter layers even if they are hidden in a layer group. In Lizmap Web Client version 3.3 and previous versions, filtering layers by user only works if the layer is displayed alone, because Lizmap Web Client adds filters to the requests sent to QGIS server. In Lizmap, it is possible to transform a group of QGIS layers into a single layer for the web client. This results in requests where the layer to be filtered does not appear. With the Lizmap plugin for Lizmap Web Client 3.4 all layers will be filtered correctly.
By making the Lizmap plugin, an access control plugin for QGIS Server, we were able to add the possibility to restrict access to the layers of a project for a list of user groups.
The ability to restrict access to the layers of a project for a list of user groups makes it possible to distribute a QGIS project, a Lizmap webmap, with a content that can vary depending on the user.
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8:30
Le plugin Lizmap comme plugin de contrôle d'accès pour QGIS Server
sur ReLucBlogDepuis le début de Lizmap-Web-Client toute la partie serveur reposait sur du code PHP. Avec Lizmap Web Client 3.4, qui sera publié très prochainement, une partie des fonctionnalités ont été développées au sein du plugin Lizmap pour ajouter des fonctionnalités à QGIS Server.
QGIS Server est une implémentation open source des normes WMS 1.3.0, 1.1.1 et 1.0.0, WFS 1.1.0 et 1.0.0 et WCS 1.0.0 défini par l'Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server utilise QGIS comme backend pour la logique des couches SIG et le rendu cartographique. Étant donné que QGIS Bureautique et QGIS Server utilisent les mêmes bibliothèques de visualisation, les cartes publiées sur le web ont le même aspect que sous le SIG Bureautique.
Pour en savoir plus sur QGIS Server
Tout comme QGIS Bureautique, QGIS Server est extensible à l'aide de plugins Python. Il est par exemple possible d'ajouter un système de contrôle d'accès aux données dans QGIS Server Documentation.
La première fonctionnalité QGIS Server que nous avons implémentée dans le plugin Lizmap est un système de contrôle d'accès.
Nous avons implémenté 3 contrôles d'accès :
- l'accès au projet
- le filtre par utilisateur
- l'accès aux couches du projet
Les 2 premiers contrôles étaient déjà présent. Dans la configuration Lizmap, il est possible de restreindre l'accès à un projet pour une liste de groupes d'utilisateur. Il est aussi possible de définir des règles de filtrage en fonction de l'utilisateur connecté ou non.
Le portage dans QGIS Server du filtre par utilisateur, grâce au plugin Lizmap, permet de filtrer des couches même si elles sont cachées dans un groupe de couche. Dans la version 3.3 de Lizmap Web Client et les précédentes, le filtrage par utilisateur des couches ne fonctionne que si la couche est affichée seule, car Lizmap Web Client ajoute des filtres aux requêtes envoyées à QGIS server. Dans Lizmap, il est possible de transformer un groupe de couche QGIS en une seule couche pour le client web. Il en découle des requêtes où n'apparaissent pas la couche à filtrer. Avec le plugin Lizmap pour Lizmap Web Client 3.4 toutes les couches seront filtrées correctement.
En faisant du plugin Lizmap, un plugin de contrôle d'accès pour QGIS Server, nous avons pu ajouter la possibilité de restreindre l'accès des couches d'un projet pour une liste de groupes d'utilisateur.
La possibilité de restreindre l'accès des couches d'un projet pour une liste de groupes d'utilisateurs permet de diffuser un projet QGIS, une carte Lizmap, avec un contenu qui peut varier en fonction de l'utilisateur.
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Geonetwork-ui
sur CamptocampPièce jointe: [télécharger]
Basées sur des designs simples et intuitifs, centrées sur les cas d'usages, découvrez les futures interfaces de GeoNetwork: Web Component, SEO, accessibilité, Storybook, UX.. geonetwork-ui tente sa révolution dans le monde de la métadonnée et des SDI. -
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12:02
Plugin Cadastre pour QGIS : version 1.10.0, support QGIS 3.16 et autres
sur ReLucBlogNous sommes fière de vous annoncer la publication d'une nouvelle version du plugin Cadastre pour QGIS, la version 1.10.0
Cette version est déjà disponible sur le dépôt des plugins officiels de QGIS [https:]] et donc dans votre QGIS.
Cette version intègre les améliorations suivantes :
- Compatibilité avec QGIS 3.16 tout en restant compatible 3.4
- Import - Optimisation de l'import Spatialite et de l'affichage du temps passé
- Ajout de l'extraction de détails sur les propriétaires (indivisions)
- Widget "Outils de Recherche" : Ajout du bouton Infos parcelle
- Dialogue "infos parcelle" : Ajout des actions imprimer / copier /sauvegarder des infos des onglets
- Révision barre d'outils (position actions) et réécriture code menu / barre d'outils
- Fix - bug connexion (relevé parcellaire, première instanciation)
Cette version ainsi que la précédente, la version 1.9.0, a été possible grâce au soutient de :
- Le Ministère de la Transition Écologie
- L'association ASA de France
- La Communauté d'Agglomération du Grand-Narbonne
- Les Agences d'Urbanisme de Bretagne et autres : AGAM, AUSB, ADUGA, AUDAT, AUD Clermont Métropole, AGAPE Lorraine Nord, Boulogne Développement
- Le Conseil Départemental de Meurthe et Moselle
Et elle intègre les contributions de :