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    Dans la presse Dans la presse

    Toile géomatique francophone

     
    • sur Exposition “Inventer l’Indochine. Cartographier l’ailleurs (1873-1936)”

      Publié: 7 March 2022, 8:00am CET par Catherine Hofmann
      Exposition à la bibliothèque de l’Institut de Géographie Du 7 mars au 23 juillet 2022

      De la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, la découverte, la conquête puis l’organisation des terres extrême-orientales colonisées par la France donne lieu à une production de cartes où s’entremêlent science et subjectivité, pouvoir et échanges culturels.

      Le fonds qu’en conserve la bibliothèque de l’Institut de Géographie de Paris permet d’appréhender comment les savoir-faire cartographiques ont été progressivement élaborés et adaptés pour rendre compte de terres jusqu’alors largement inconnues des Européens. À travers cette évolution se dessine celle de la géographie et du regard occidental porté sur l’étranger.

      Le 10 mars, à partir de 18h00, une visite commentée par Marie de Rugy, spécialiste de l’histoire de la cartographie, marquera le début de cette exposition et sera suivie d’un échange entre historiens, géographes et cartographes.

    • sur Cartes et géomatique : les articles 2018 sont en ligne

      Publié: 28 February 2022, 4:23pm CET par Lucile Haguet

      Cartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie.  Les articles de la revue sont mis en ligne un an après leur publication sur support papier.

      Ne sont recensés ici que les articles en histoire de la cartographie

      n° 235-236, mars 2018

      L’œil et la toise : l’objectivité cartographique du XVIIIe à nos jours (Henri Desbois)

      Ambivalence de la carte entre visible et invisible (Jean-Paul Bord et Nancy Meschinet de Richemond)

      Le triple jeu d’un officier-cartographe dans la Régence de Tunis au XIXe siècle (Houda Baïr)

      n° 237, septembre 2018

      L’image de l’espace tunisien dans la cartographie occidentale moderne du XVIe au XVIIIe siècle (Saada Afef)

      La fin d’un rêve : dislocation de l’Empire et restitution des cartes réunies pour sa constitution (Monique Pelletier)

      Le langage de la cartographie statistique, 1820-2015 : continuité ou ruptures ? (Gilles Palsky)

      n° 238, décembre 2018 : “Faire la carte et restituer le paysage” (actes de la journée d’étude du 27 novembre 2017 au Service historique de la Défense, Vincennes)

      Bulletin 238 – Introduction  (Nicolas Jacob et Claude Ponnou)

      Courte histoire d’un échec : le mariage de l’armée et du cadastre dans le premier quart du XIXe siècle (Nicolas Verdier)

      Pierre-Antoine Clerc et la brigade topographique du dépôt des fortifications : premières réalisations des courbes de niveau (Luisa Rossi)

      La carte de Barcelone avec des courbes de niveau (1823-1827) : un tournant vers la cartographie de précision  (Francesc Nadal i Piqué et Carme Montaner i Garcia)

      La carte topographique en courbes de niveau : une difficile genèse au XIXe siècle  (Nicolas Jacob)

      Lever-nivelé de la place de Barcelone, 1823-1827 : comment obtenir un modèle 3 (Blanca Baella, Dolors Barrot et Maria Pla)

      Apports des SIG pour la restitution de quelques éléments du paysage à Paris (Léa Hermenault)

      La ” Carte générale du théâtre de la guerre en Italie et dans les Alpes…” de Bacler d’Albe (1798) et sa numérisation (Nicolas Dion et Nadine Gastaldi)

      La ” Carte très particulière du Haynault ” de Naudain (ca 1709 – 1728) (Jean-Louis Renteux)

    • sur L’atlas nautique ou portulan du Havre

      Publié: 22 February 2022, 3:55pm CET par Lucile Haguet

      [Article initialement publié le 22 octobre 2021 sur le site https://nutrisco-patrimoine.lehavre.fr/]

      Ces cartes manuscrites sur parchemin sillonnées de lignes noires, rouges et vertes jaillissant de roses des vents, sont immédiatement reconnaissables. Ce sont des cartes portulans, mot dérivé de l’italien portolano qui désigne un livre d’instructions nautiques.

      Portugal, Côtes d’Afrique, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 5

      Essentiellement produites entre le XIIIe et le XVIIIe siècle, peu d’entre elles sont parvenues jusqu’à nous. La plupart du temps, elles représentent la Méditerranée. Mais l’atlas nautique du XVIe siècle conservé au Havre consacre au contraire 5 cartes sur 13 au continent américain. Il est à ce titre exceptionnel.

      Qu’est-ce qu’un atlas portulan ?

      Les cartes ou atlas portulan ont à l’origine vocation à être des adjuvants de la navigation. Ils indiquent les ports les plus importants en rouge, les autres en brun, ainsi que les dangers de la navigation, comme les écueils. Le pilote du navire pouvait s’aider des lignes de rhumbs qui indiquent des directions pour tracer son cap. Ce type de carte est principalement utile au cabotage.

      Toutefois, les portulans aujourd’hui conservés dans les bibliothèques et les musées sont presque tous des objets d’apparat, destinés à exhiber la puissance de leur propriétaire ou à signifier l’étendue d’un empire, comme s’il existait une équivalence entre dessiner et s’approprier le monde. Souvent somptueux, ils sont souvent tracés sur les peaux les plus blanches et ornementés par des peintres habiles. Soigneusement conservés, ils n’ont jamais connu le roulis et l’humidité tenace d’un navire.

      Feuilleter l’atlas portulan du Havre

      Sous quelle forme et dans quel ordre étaient originellement organisés les 13 doubles-pages de l’atlas du Havre ? Il est impossible de le savoir, comme d’être certain qu’il soit complet. Aujourd’hui, il se présente aux regards dans une reliure en maroquin bordeaux, ornée de filets et de fleurons à chaud, autrement dit dorés. Cette reliure soignée date du XIXe siècle et a probablement été réalisée à la demande d’un bibliophile.

      Reliure en maroquin bordeaux à la du Seuil, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 2

      C’est un objet maniable, d’une trentaine de centimètre de hauteur. Toutes les pages ne sont pas inscrites. Chaque double-page de carte est suivie d’une double-page vierge, plus foncée, moins uniforme. Le parchemin étant de médiocre qualité, seul le côté chair de la peau, plus blanc et uni, est inscrit.

      Les cartes sont nombreuses pour un atlas portulan et le contenu des cartes, inhabituels. Il s’ouvre sur une représentation du Portugal et de Terre-Neuve et se referme sur l’Amérique du sud, le Brésil jusqu’à l’embouchure de la Plata : loin d’être uniquement méditerranéen, c’est un atlas qui pourrait être qualifié “atlantique” tant il se concentre sur les côtes qui longent à l’est comme à l’ouest cet océan.

      S’il est intéressant par son contenu, il ne s’agit pas d’un atlas luxueux, bien au contraire. La qualité du parchemin est médiocre, les inscriptions maladroites et parfois recouverte par le tracé d’un parallèle, les illustrations, comparées à d’autres cartes marines contemporaines, semblent moins habiles et la représentation des animaux est répétitive, comportant uniquement des chameaux, des éléphants et une gazelle. On trouve même une inscription désignant le prêtre Jean des Indes, qui dépasse du cadre qui lui est, montrant que les noms des souverains ainsi que ceux des continents ont été rajouté après les illustrations.

      Le prêtre Jean des Indes, détail de la carte de l’Afrique méridionale et de Madagascar, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 8

      L’atlas est dédié en majeure partie à l’Amérique ainsi qu’à l’Afrique, les deux grandes découvertes ibériques des XVe et XVIe siècles. Les toponymes sont espagnols, portugais, italiens et catalans. Toutes les cartes sont à la même échelle, et chacune est délimitée par un encadrement brun, avec des légendes pour chaque port ou cap, tracées à l’encre brune ou rouge pour les plus significatives, disposées le long des tracés des côtes, les noms de pays quant à eux figurent dans des encadrements peints.

      32 lignes de rumbs sortent des roses de compas, matérialisant les principales directions par leur tracé en vert, rouge ou brun ; des échelles de latitude sont présentes sur chaque carte. Un utilisateur du portulan a laissé en chiffres arabes quelques notes sur la première carte et une autre main a tracé plusieurs notes en grec sur celle représentant la Mer Egée. Éléments de décor plus pittoresques, on trouve aussi des animaux terrestres et des représentations de souverains régnants, mais aucun bateau ou animal marin.

      Bien que moins soigné que d’autres atlas nautiques, rien n’indique qu’il ait été utilisé en mer et il est plus probable qu’il ait servi d’objet relativement ostentatoire manifestant l’expansion ibérique.

      Une datation et attribution incertaines

      Qui a produit cet atlas portulan et quand a-t-il été tracé ? Bien que conservé au Havre, cet atlas nautique ne possède aucune caractéristique de la cartographie normande. Au contraire, sa toponymie espagnole, portugaise, italienne et catalane, comme l’ornementation ou les couleurs employées sont typiques de l’Europe du sud. Cependant, une attribution plus précise est délicate. De 1889 à 1910, il a été successivement attribué à un cartographe espagnol, à un pilote catalan ou encore à Salvatore de Pilestrina, cartographe à Majorque. Côté datation, un consensus qui reste admis jusqu’en 1950 : l’atlas portulan du Havre daterait du 2e quart du XVIe siècle et serait d’origine catalane ou majorquine.

      En 1951, une note rédigée par Myriem Foncin, conservatrice et directrice du département des cartes et plans de la Bibliothèque nationale de France, indique que l’historien de la cartographie Marcel Destombes date l’atlas plus tardivement, de 1580.

      Aujourd’hui, la numérisation de nombreux atlas portulan à travers le monde permet d’établir des comparaisons hier impossibles, offrant la possibilité de porter un nouveau regard sur ces documents. Selon une étude réalisée en 2018, la décoration de cet atlas est dans le style de Jaume Olives, et dans une moindre mesure, dans celui de Bartomeo Olives. Il pourrait avoir été dessiné ou copié sur les œuvres de ces cartographes.

      Toujours d’après cet article, son iconographie est de fait héritière d’une longue tradition méditerranéenne typique de la carte de Salvatore de Pilestrina (1511) et même, au-delà, de la carte marine de Mecia de Viladestes de 1413 ou de l’atlas catalan de 1375. Néanmoins, l’iconographie de l’atlas portulan du Havre est plus particulièrement proche de celui des cartes des frères Jaume et Bartolomeu Olives par son vocabulaire esthétique comme dans les coloris employés. On retrouve les formes trapézoïdales aux extrémités des encadrements des noms de princes, les montagnes en forme de bonnet phrygien, le même éléphant, le même chameau, et surtout exactement la même gazelle, plus rare dans les autres cartes.

      Iles dites « fantômes » de l’Atlantique nord : Frixland, Mayda, ou Brasil, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, f. 1 Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 1

      Le contenu géographique est d’influence diverses : les cartes de l’Amérique du Sud, l’Amérique centrale et l’Afrique profitent de la cartographie d’État portugaise et espagnole, tandis que les îles de l’Atlantique forgées par hypothèse que sont Frixland, Mayda, ou Brasil, sont typiques de la cartographie d’atelier, dite catalane et majorquine, et ne se retrouve jamais dans la cartographie d’État portugaise et espagnole.

      L’atlas portulan ne saurait être antérieur à 1535, car les traces de l’influence de la carte de Gaspar Viegas (1535) dans les cartes d’Amérique sont trop importantes. En revanche, il ne peut pas être postérieur à 1547, car il représente la péninsule du Yucatan au Mexique comme une île. Or, aucune carte datée connue à ce jour ne représente le Yucatan comme insulaire après cette date. L’atlas du Havre aurait donc été produit entre 1535 et 1547 et réalisé ou copié sur un travail de Jaume Olives.

      Le Yucatan représenté comme une île dans le golfe du Mexique, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 11 Un contenu politique singulier

      Alors qu’il est plutôt d’allure modeste et que son ornementation au premier abord paraît stéréotypée, le contenu de l’atlas du Havre possède des caractéristiques inhabituelles.

      Les cartes portulans se distinguent en général par la stabilité de leur contenu, jusqu’à l’anachronisme. Le prêtre Jean des Indes y figure toujours, alors même que s’il a eu une origine historique, c’est au début du XIVe siècle qu’il aurait régné. Certains souverains d’Europe ne sont pour ainsi dire jamais représentés, comme le roi d’Angleterre, contrairement au roi d’Espagne ou au Grand Turc.

      Le duc de Savoie, Atlas portulan du Havre, Jaume Olives ( ?), 1535-1547, Le Havre, Bibliothèque municipale, Ms 243, f. 4

      La représentation du duc de Savoie sur la carte dès lors interpelle, d’autant que dans le second quart du XVIe siècle, il n’est pas à la tête d’un royaume puissant. En revanche à cette période, la rivalité entre le royaume de François Ier et l’empire de Charles Quint est à son comble. En s’alliant avec le duc de Savoie, Charles Quint barre la route aux ambitions du roi de France. Ce serait donc en tant qu’important allié qu’il apparaitrait sur la carte. Cette hypothèse encourage à relire le contenu politique de l’atlas, sans a priori sur son éventuel anachronisme. Les drapeaux castillans semés sur le continent américain qui signalent les conquêtes Hernàn Cortez et sans doute la fondation de la Nouvelle Castille (1519-1537) confirment l’importance de la dimension géopolitique de l’atlas : il représente l’emprise ibérique sur le monde.

      Cette conclusion invite à réinterroger l’apparent anachronisme de la représentation des princes sur la carte.

      Une provenance encore incertaine

      Il n’était pas évident que cet atlas nautique méditerranéen, à la gloire de l’empire de Charles Quint et des conquêtes ibériques soit conservé en Normandie, à la bibliothèque municipale du Havre. Ses anciens propriétaires comme les modalités de son entrée dans les fonds sont inconnus. On suppose qu’il serait entré dans les collections au XIXe siècle après avoir appartenu à un collectionneur privé. Il n’est signalé au catalogue qu’en 1888, mais son existence est attestée dès 1860 dans le Guide du voyageur de Joseph Morlent, conservateur de la bibliothèque de 1851 à 1861. En revanche, il ne l’évoque pas dans son précédent guide de 1854, ce qui semble indiquer que le document est entré dans les collections entre 1854 et 1860.

      Consulter le document en ligne.

      Pour en savoir plus :

      Lucile Haguet, L’Atlas nautique du Havre, une archéologie documentaire, Centre havrais de recherches historiques, n°HS 1, 2018, p. 53-90.

      Ernest Grandidier, Histoire physique, naturelle et politique de Madagascar, Paris, 1885, t. I., p. 40, 228.

    • sur Cartes et géomatique: les articles 2019 sont en ligne

      Publié: 31 January 2022, 5:05pm CET par Lucile Haguet

      Cartes & Géomatique précédemment Le Monde des Cartes est une publication trimestrielle du Comité Francais de Cartographie. Les articles sont mis en ligne une année après leur publication sur support papier.

      Ne sont recensés ici que les articles relatifs à l’histoire de la cartographie 

      n° 239-240, mars 2019

      Archives Nationales (Nadine Gastaldi)

      n° 241-242, juin 2019

      Des emprises cartographiques. Restitution de données géohistoriques à partir de la Carte de France de Cassini, 1750 – 1789 (Bertrand Duménieu, Julien Chadeyron, Pascal Cristofolia, Julien Perreta, Laurence Jolivet, Stéphane Baciocchia)

    • sur Modélisation de la distribution des espèces next-level

      Publié: 4 October 2021, 10:16am CEST par user
      Pièce jointe: [télécharger]

      Les modèles de répartition des espèces (MDS) sont des modèles statistiques et mécanistes utilisés pour définir la répartition géospatiale des espèces en fonction de la combinaison de variables écologiques (telles que l’environnement biotique et abiotique) offrant des conditions et des possibilités favorisant leur présence.

      En projetant les MDS sur des environnements futurs, les scientifiques peuvent déterminer où et quand ces conditions seront réunies pour fournir une prédiction de la répartition future des espèces. Ces prédictions sont souvent prévues des mois, des années ou des décennies à l’avance, et sont statiques en ce qui concerne à la fois l’algorithme et les occurrences prédites.

      Cependant, les facteurs qui affectent les espèces et leurs déplacements ne sont pas statiques. Imaginez que vous puissiez appliquer ces modèles à un monde en évolution en temps réel ! C’est précisément l’aide que nous apportons aux scientifiques en utilisant la technologie de traitement géospatial et de science des données à la volée EXAMIND de Geomatys. 

      Lorsque les conditions environnementales changent, ou sont affectées par des perturbations telles qu’un ouragan ou des projets de développement qui perturbent les habitats actuels, des MDS à échelle fine peuvent être appliqués pour prédire comment les animaux se disperseront. En collaboration avec nos partenaires de la recherche et de l’industrie, nous travaillons à l’application de cette technologie en développement pour, par exemple, gérer les populations animales. Cette capacité deviendra essentielle dans presque tous les domaines, y compris la gestion de la biodiversité, car le changement climatique déstabilise les écosystèmes et les habitudes, et ainsi il perturbe les connaissances sur lesquelles nous nous appuyons actuellement pour prendre des décisions.

      Un projet dans lequel la technologie de Geomatys facilite ce travail est celui fait pour l’association française pour la gestion et la conservation du cheval de Przewalski, une espèce menacée (TAKH). L’association a présenté son portail Web alimenté par EXAMIND pour visualiser et analyser les populations de chevaux de Przewalski, appelé Shamane, lors du Congrès mondial de la nature de l’UICN de cette année, le 8 septembre 2021 à Marseille.

      Explorer le platform Shamane ( [https:]] )

      Bien que l’objectif soit de former des algorithmes d’apprentissage automatique qui puissent aider à prédire le comportement des chevaux en réponse à des facteurs environnementaux variant dans le temps, un travail préliminaire que nous ayons effectué pour faciliter ce projet a été de construire la base de données, en rassemblant des sources de données vastes et disparates, en assurant l’interopérabilité et en les rendant accessibles à l’utilisateur dans un seul environnement. 

      Grâce aux nouvelles fonctionnalités disponible sur son socle EXAMIND en réponse aux besoins des chercheurs TAKH, les utilisateurs peuvent suivre des animaux individuels à travers le temps, basculer leur histoire et leur pedigree, explorer leurs habitats en 4D, interroger des ensembles de données connexes et lancer des analyses, le tout dans l’environnement de l’infrastructure de données spatiales de Shamane. L’outil permet donc non seulement d’analyser les données, mais aussi de fournir des renseignements permettant de prendre des décisions en temps réel en matière de surveillance et de gestion des populations.

      Vidéo teaser crée pour le TAKH par Les Fées Spéciales

      La vidéo teaser du projet Shamane ci-dessus illustre comment l’utilisateur peut suivre le mouvement de chevaux individuels génétiquement distincts (représentés par des couleurs différentes, souvent regroupés en troupeaux) dans une vue 3D du paysage. À l’aide du curseur situé en bas de la page, il peut suivre les changements de position des animaux ainsi que l’évolution de l’habitat dans le temps. Cela permet aux chercheurs de déterminer, par exemple, quels types de barrières d’habitat peuvent influencer les déplacements. 

      Dans un prochain temps, ils vont pouvoir également superposer d’autres données, telles que des données météorologiques à cette vue et effectuer des analyses dans la barre latérale de gauche à l’aide d’un notebook de datascience. A priori, ces analyses visent à identifier les facteurs écologiques qui déterminent les comportements de déplacement des animaux afin de soutenir les stratégies de gestion des populations et d’autres efforts de conservation.

      Le futur de l’environnement interactif de visualisation de données 4D de Shamane, alimenté par EXAMIND.

      Bien que l’outil soit disponible via un portail web, l’accès est limité aux utilisateurs autorisés, sécurisé avec la même technologie que celle utilisée par Geomatys dans le domaine de la défense. Ceci est important pour traiter des données sensibles, telles que la localisation précise d’espèces menacées. Cet outil fournit donc une plateforme performante et sécurisée pour gérer la conservation de ces populations fragiles.

    • sur Visualisation des conditions météo à la volée en réalité augmenté

      Publié: 1 October 2021, 12:02pm CEST par user

      Depuis quelques mois les équipes R&D de Geomatys travaillent sur l’exploitation de données GHOM (Géographiques, Hydrographiques, Océano et météo ) en réalité augmentée.

      L’enjeu étant de convertir, côté serveur à l’aide d’Examind-Server, des formats complexes tel que GRIB, NetCDF ou encore S-57, pour les servir en 3D sur un client Unity et de visualiser ces données à la volée avec des HolloLens.

      Voici donc un exemple de visualisation de vecteurs de vent issus de fichiers GRIB en réalité augmentée.

      D’autres cas d’usages arrivent en particulier pour le monde maritime, nous vous les présenterons bientôt.

    • sur Dataviz : “voir et donner à voir”

      Publié: 2 July 2021, 2:32pm CEST par user

      Dans le cadre de ses activités Geomatys s’est structuré selon trois axes :

      1.La mise en place et l’exploitation de Datalakes Geospatiaux (basé sur des infrastructure Cloud et exploitant des volumes massifs de donnée)

      2. La (Geo)Datascience

      3.  La visualisation de données incluant la 3D et la réalité augmentée.

      Cet article présente un retour d’expérience sur la mise en place de traitements à la volée sur un DataLake pour les besoins d’une agence spatiale.

      Les masses de données brutes et les résultats de leurs analyses disponibles pour la prise de décision humaine sont un challenge pour les outils de visualisation. Ainsi si les masses de données actuelles permettent l’émergence des Jumeaux Numériques, pour la Dataviz elle peuvent parfois ressembler à Janus :

      • Agréger les données afin de produire un indicateur pour l’aide  à la décision ou un tableau de bord synthétique est une solution pragmatique, mais elle a le défaut de masquer la complexité des données sources.
      • Donner accès en visualisation à toutes les données est transparent mais difficilement analysable pour l’opérateur.

      Autrement dit et pour paraphraser René Char qui s’interroge quand même un peu sur ce qu’il vient faire là, pour les outils de Dataviz conduisant à une prise de décision, “l’essentiel est toujours menacé par l’insignifiant” .

      C’est en cherchant à dépasser cette ambivalence que nous tâchons de concevoir notre environnement d’exploration et de visualisation de la donnée : EXAMIND Playground dont nous faisons ici une petite revue d’inventaire.

      S’appuyant sur les capacités de notre socle logiciel à diffuser de large volume de données géospatiaux, le cas échéant en streaming, EXAMIND Playground est conçu comme un ensemble de modules de visualisation cartographique mobilisable et configurable à façon qui s’appuie sur un moteur de visualisation géographique 4D (3D plus la dimension temporelle) sur lequel viennent se greffer des outils d’exploration de la donnée.

      Ainsi à partir d’une vue d’ensemble contextuelle à son besoin, l’utilisateur va  pouvoir se concentrer et zoomer sur des zones spécifiques et éventuellement en observer la dynamique temporelle (cf infra). L’utilisateur va également pouvoir forer sa donnée et examiner l’évolution de plusieurs variables dernière le long d’une trajectoire ou en un point donné.

      L’outil de visualisation interagit avec le serveur de données ainsi, si le cas d’usage le nécessite, l’utilisateur peut ajouter des objets à l’environnement cartographique et simuler leurs impacts. Comme ici, dans le cas de la simulation de l’impact de la circulation des flamands roses après un ajout de linéaire de haies.

      Enfin, la donnée géographique pouvant venir enrichir notre perception du monde réel, EXAMIND Playground est utilisable avec des casques de réalité augmentée afin de proposer à l’usager de voir directement son univers enrichi.

      EXAMIND Playground propose donc toute une panoplie d’outils de visualisation cartographique mobilisables en fonction du besoin et du cas d’usage traité afin de pouvoir explorer au mieux toute la richesse de ses données. Le seul risque à trop bien voir ses données étant d’ « avoir la surprise de trouver un lion dans un placard là où l’on était sûr [au départ] d’y trouver des chemises. »(Frida Kahlo)

    • sur On our way to quality

      Publié: 18 March 2021, 10:55am CET par René-Luc D'Hont

      Lizmap is almost 10 years old. 10 years of new features, documentation, and numerous version release. Many software libraries updates, many contributors (31 if github is correct) and contributions later we've released version 3.4 at the end of 2020.

      Whilst in the release cycle, we realized that our release process was lacking something. We were unsure of the quality of this release, and we were missing some tools to assess whether the release would contain regressions.

      In order to avoid these issues in future releases and updates, we decided to implement a number of processes and changes in both how we release and build lizmap.

      First : we have decided to not accept code patches without tests. Be these tests unit tests, integration tests or just some lines of text explaining how to test for the bug or regression being fixed by the patch. We are now maintaining a list of tests in our code repository.

      Secondly we changed our release process to be able to test. We now have a dedicated time slot between the time when our code is ready and the time our code is released to the world. This will let us test internally and will let us gather feedback from users testing our release candidates.

      Our third point is community centered. It's now quite easy to set up a lizmap stack or two using our Docker images. Using these instructions you'll have a docker running lizmap in no time on your computer. Add a project or two to it, test and see if you see anything that doesn't work like your production environment and let us know by opening a ticket. Our aim here is to have more user test our release candidates (we do these for major releases) so we can quickly fix regressions before we officially release.

      Fourth we are setting up internal processes to make our code easier to test (docker is a good example of this) and easier to read. Hence, are growing use of linters. We also added a code analyzer for our backend: PHPstan.

      Finally, we spent a good amount of time updating our demos (see demo.lizmap.com), making sure they work. This makes our demos a reference for most of our testing.

      We had realized in June 2020 some of theses issues around quality. That's why we had an intern refactor lizmap. That refactor had two goals. One was to make it easier to add tests to its code and the second one was to add more tests. All these changes have made it to the 3.4 branch. They aren't in the 3.3 branch because it would have meant too much work. This means 3.3 is a bit less tested than 3.4 (hint upgrading from 3.3 is very easy).

      Now that most of our backend is covered we are focusing our efforts on the front-end. This means we will update some of the libraries we use, we will refactor our code and will add as much test as possible. This is going to be the work of an intern. We have chosen Cypress to build end2end tests.

      All of these automated tests (backend, front-end, end2end) are being run from our githubrepo through github actions.

      All these changes have been made possible by the growth of 3liz during 2020.

    • sur Nos efforts qualité

      Publié: 18 March 2021, 10:39am CET par René-Luc D'Hont

      Lizmap a près de 10 ans. 10 ans de code, d'ajout de nouvelles fonctionnalités, de rédaction de documentation, de sortie de nombreuses versions. Des montées de versions de librairies, de nombreux contributeurs (31 si j'en crois GitHub) et contributions plus tard, nous avons sorti la version 3.4 fin 2020.

      Lors de ce cycle de release entre les differentes versions RC et la version finale, nous nous sommes rendu compte d'un manque dans notre processus de release. Nous n'étions pas sûrs de la qualité de lizmap au moment de cette sortie et nous n'avions pas assez de moyens pour évaluer le risque d'avoir une version qui contiendrait des régressions.

      Afin de rendre le produit plus fiable lors de mise-à-jour et de pouvoir être plus serein lors de nos prochaines sorties de version, nous avons mis en place un certain nombre de points afin d'améliorer la qualité.

      Le premier est de ne plus accepter de contributions sans tests. Des tests automatiques, c'est bien, mais des procédures manuelles de tests, c'est bien aussi. Nous avons donc maintenant une règle qui dit "pas de patch sans test". Nous préférons les tests automatiques qui seront joués lors de l'intégration continue. Mais nous avons aussi conscience que tout n'est pas testable de manière automatique. Et donc qu'un certain nombre de tests devront se jouer de manière manuelle. Nous maintenons donc une liste de tests à jouer. Ces projets de tests sont présents dans les branches 3.4 et pour la prochaine version 3.5 (aka master).

      Le deuxième est de mettre en place un processus de release qui intègre une phase de test. Nous consacrons maintenant un jour ou deux afin de pouvoir jouer tous les tests et de valider qu'aucune régression n'est présente. Pour les versions majeures, nous avons alloué encore plus de temps afin de pouvoir intégrer le retour de nos utilisateurs.

      Troisième point dans lequel nous avons investi, la participation communautaire aux tests. Il est désormais très simple d'avoir un Lizmap avec un ou plusieurs projets. Il suffit d'utiliser notre stack docker, d'ajouter votre projet et de voir si tout fonctionne comme prévu. Si un problème survient, il est alors possible d'ouvrir au plus vite un ticket avec le maximum d'information pour que nous puissions le corriger. Nous souhaiterions que plus de personnes participent aux tests de nos Release Candidates (RC), afin de détecter avant les sorties les régressions sur vos projets.

      Quatrièmement, nous mettons en place des processus internes pour que notre code soit plus facile à tester (cf la stack docker), mais aussi plus lisible par l'utilisation de linters. Nous avons également ajouté un analyseur de code pour le backend, PHP Static Analyser afin de nous prévenir de possibles erreurs côté PHP.

      Cinquièmement, nous venons de passer du temps à mettre à jour la plate-forme de démo [https:]] ; les projets ont été dépoussiérés et mis à jour. Ces mises à jour facilitent l'adoption de nos démos comme un référentiel de tests avec de vraies données.

      Nous avions pris conscience en juin 2020 d'un déficit dans nos processus qualité. Nous avions donc dirigé un stage afin de refactoriser la librairie Lizmap pour qu'elle soit plus facile à tester de manière automatique. De nombreux tests ont été ajoutés lors de cette refactorisation. Ces changements ont été intégrés dans la future branche 3.5 de Lizmap. C'était trop de travail pour l'intégrer dans les branches 3.3 et 3.4 - elles seront donc légèrement moins bien testées de manière automatique par la CI.

      La partie backend PHP étant mieux couverte et mieux testable, nos efforts dans les mois à venir vont se focaliser sur la partie front-end (Javascript, inteface Web...), avec des mises à jour de librairies, de la refactorisation de code et l'ajout de nombreux tests. Une stagiaire en fera le sujet de son stage, on ajoutera grâce à l'outil cypress des tests end2end automatiques.

      Les tests backend PHP ainsi que frontend end2end Javascript, ainsi que les linters PHP et Javascript sont lancés sur le dépôt GitHub avec Actions.

      Tous ces changements n'ont été possibles qu'en allouant plus de ressources au projet Lizmap au sein de 3liz, par l'arrivée de nouvelles personnes dans l'équipe.

    • sur Lizmap Web Client 3.4 RC

      Publié: 26 November 2020, 12:26pm CET par René-Luc D'Hont

      We are pleased to announce the release of Lizmap Web Client 3.4 RC (release candidate). You will find the new features list here:

      This new Lizmap Web Client release comes with Lizmap plugin in 3.3 version:

      There remains work on documentation and translation. Any help is welcome :)

    • sur Lizmap Web Client 3.4 RC

      Publié: 26 November 2020, 12:06pm CET par René-Luc D'Hont

      Nous sommes heureux d’annoncer la sortie de Lizmap Web Client 3.4 RC (release candidate). Vous trouverez la liste des nouvelles fonctionnalités ici :

      Cette nouvelle version de Lizmap Web Client s'accompagne de celle du plugin Lizmap en version 3.3 :

      Il reste du travail concernant la documentation et la traduction. Toute aide est la bienvenue :)

    • sur Evaluate QGIS Expression server side with Lizmap plugin

      Publié: 24 November 2020, 10:15am CET par René-Luc D'Hont

      Since the beginning of Lizmap-Web-Client all the server part was based on PHP code. With Lizmap Web Client 3.4, which will be released very soon, part of the functionality has been developed within the Lizmap plugin to add features to QGIS Server.

      QGIS Server is an open source implementation of the WMS 1.3.0, 1.1.1 and 1.0.0, WFS 1.1.0 and 1.0.0 and WCS 1.0.0 standards defined by the Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server uses QGIS as a backend for GIS layer logic and map rendering. As QGIS desktop and QGIS Server use the same visualization libraries, the maps that are published on the web look the same as in desktop GIS.

      To learn more about QGIS Server

      Just like QGIS Desktop, QGIS Server is extensible using Python plugins. It is for example possible to create and add new services to QGIS Server. Documentation

      The second QGIS Server feature we have implemented in the Lizmap plugin is a QGIS expression evaluation service.

      • SERVICE=EXPRESSION
        • REQUEST=Evaluate
          • EXPRESSION: a QGIS expression
          • EXPRESSIONS: List of QGIS expressions
          • FEATURE: Option a GeoJSON Feature
          • FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
          • FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
        • REQUEST=replaceExpressionText
          • STRING: A string with expression between [% and %]
          • STRINGS: A list of strings with expression between [% and %]
          • FEATURE: Option a GeoJSON Feature
          • FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
          • FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
        • REQUEST=GetFeatureWithFormScope
          • LAYER: a WMS Layer Name to be filtered
          • FILTER: a QGIS expression to filter the layer
          • FORM_FEATURE: a GeoJSON Feature
          • FIELDS: Option a list of fields to return
          • WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
        • REQUEST=VirtualFields
          • LAYER: a WMS Layer Name to get virtual fields
          • VIRTUALS: a list of key QGIS expression
          • FILTER: Option a QGIS expression to filter layer
          • FIELDS: Option a list of fields to return
          • WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry

      These new queries are used in Lizmap Web Client 3.4 to exploit expressions from QGIS forms. These expressions can be used for :

      • Set default values
      • Set constraints
      • Do drill down
      • Manage field group visibility

      Example of using QGIS expression as a form constraint: lizmap-3_4-exp-constraint.png, nov. 2020

      Example of use of QGIS expression to manage the visibility of groups of fields Use QGIS Expression to control group visibility

      In the case of drill down in forms, it is possible to use geometry to filter the list, for example to select a municipality, a parcel or the nearest street. It is of course possible to use all other values during form entry.

      Finally we also added a lizmap service with a GetServerSettings query to retrieve information about QGIS Server and available services.

    • sur Evaluer les Expresions QGIS côté serveur avec le Plugin Lizmap

      Publié: 24 November 2020, 10:00am CET par René-Luc D'Hont

      Depuis le début de Lizmap-Web-Client toute la partie serveur reposait sur du code PHP. Avec Lizmap Web Client 3.4, qui sera publié très prochainement, une partie des fonctionnalités ont été développées au sein du plugin Lizmap pour ajouter des fonctionnalités à QGIS Server.

      QGIS Server est une implémentation open source des normes WMS 1.3.0, 1.1.1 et 1.0.0, WFS 1.1.0 et 1.0.0 et WCS 1.0.0 défini par l'Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server utilise QGIS comme backend pour la logique des couches SIG et le rendu cartographique. Étant donné que QGIS Bureautique et QGIS Server utilisent les mêmes bibliothèques de visualisation, les cartes publiées sur le web ont le même aspect que sous le SIG Bureautique.

      Pour en savoir plus sur QGIS Server

      Tout comme QGIS Bureautique, QGIS Server est extensible à l'aide de plugins Python. Il est par exemple possible de créer, d'ajouter de nouveaux services à QGIS Server. Documentation

      La seconde fonctionnalité QGIS Server que nous avons implémentée dans le plugin Lizmap est un service d'évaluation des expressions QGIS.

      • SERVICE=EXPRESSION
        • REQUEST=Evaluate
          • EXPRESSION: a QGIS expression
          • EXPRESSIONS: List of QGIS expressions
          • FEATURE: Option a GeoJSON Feature
          • FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
          • FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
        • REQUEST=replaceExpressionText
          • STRING: A string with expression between [% and %]
          • STRINGS: A list of strings with expression between [% and %]
          • FEATURE: Option a GeoJSON Feature
          • FEATURES: Option a list of GeoJSON Features
          • FORM_SCOPE: Option boolean to add formScope based on provided features
        • REQUEST=GetFeatureWithFormScope
          • LAYER: a WMS Layer Name to be filtered
          • FILTER: a QGIS expression to filter the layer
          • FORM_FEATURE: a GeoJSON Feature
          • FIELDS: Option a list of fields to return
          • WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry
        • REQUEST=VirtualFields
          • LAYER: a WMS Layer Name to get virtual fields
          • VIRTUALS: a list of key QGIS expression
          • FILTER: Option a QGIS expression to filter layer
          • FIELDS: Option a list of fields to return
          • WITH_GEOMETRY: Option boolean to return geometry

      Ces nouvelles requêtes servent dans Lizmap Web Client 3.4 à exploiter les expressions des formulaires QGIS. Ces expressions peuvent servir à :

      • Définir des valeurs par défaut
      • Définir des contraintes
      • Faire des listes en cascade
      • Gérer la visibilité de groupes de champs

      Exemple d'utilisation d'expression QGIS comme contrainte de formulaire: lizmap-3_4-exp-constraint.png, nov. 2020

      Exemple d'utilisation d'expression QGIS afin de gérer la visibilité des groupes de champs Use QGIS Expression to control group visibility

      Dans le cas des listes en cascades dans les formulaires, il est possible d'utiliser la géométrie pour filtrer la liste, par exemple pour sélectionner une commune, une parcelle ou la rue la plus proche. Il est bien sûr possible d'utiliser toutes les autres valeurs en cours de saisie du formulaire.

      Enfin nous avons aussi ajouter un service lizmap avec une requête GetServerSettings pour récupérer des informations sur QGIS Server et les services disponibles.

    • sur The Lizmap plugin as an access control plugin for QGIS Server

      Publié: 16 November 2020, 9:30am CET par René-Luc D'Hont

      Since the beginning of Lizmap-Web-Client all the server part was based on PHP code. With Lizmap Web Client 3.4, which will be released very soon, part of the functionality has been developed within the Lizmap plugin to add features to QGIS Server.

      QGIS Server is an open source implementation of the WMS 1.3.0, 1.1.1 and 1.0.0, WFS 1.1.0 and 1.0.0 and WCS 1.0.0 standards defined by the Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server uses QGIS as a backend for GIS layer logic and map rendering. As QGIS desktop and QGIS Server use the same visualization libraries, the maps that are published on the web look the same as in desktop GIS.

      To learn more about QGIS Server

      Just like QGIS Desktop, QGIS Server is extensible using Python plugins. For example, it is possible to add a data access control system to QGIS Server Documentation.

      The first QGIS Server feature we implemented in the Lizmap plugin is an access control system.

      We have implemented 3 access controls:

      • access to the project
      • filter by user
      • access to project layers

      The first 2 controls were already present. In the Lizmap configuration, it is possible to restrict access to a project for a list of user groups. It is also possible to define filtering rules according to the user logged in or not.

      The implementation in QGIS Server of the filter by user, thanks to the Lizmap plugin, allows to filter layers even if they are hidden in a layer group. In Lizmap Web Client version 3.3 and previous versions, filtering layers by user only works if the layer is displayed alone, because Lizmap Web Client adds filters to the requests sent to QGIS server. In Lizmap, it is possible to transform a group of QGIS layers into a single layer for the web client. This results in requests where the layer to be filtered does not appear. With the Lizmap plugin for Lizmap Web Client 3.4 all layers will be filtered correctly.

      By making the Lizmap plugin, an access control plugin for QGIS Server, we were able to add the possibility to restrict access to the layers of a project for a list of user groups.

      The ability to restrict access to the layers of a project for a list of user groups makes it possible to distribute a QGIS project, a Lizmap webmap, with a content that can vary depending on the user.

    • sur Le plugin Lizmap comme plugin de contrôle d'accès pour QGIS Server

      Publié: 16 November 2020, 8:30am CET par René-Luc D'Hont

      Depuis le début de Lizmap-Web-Client toute la partie serveur reposait sur du code PHP. Avec Lizmap Web Client 3.4, qui sera publié très prochainement, une partie des fonctionnalités ont été développées au sein du plugin Lizmap pour ajouter des fonctionnalités à QGIS Server.

      QGIS Server est une implémentation open source des normes WMS 1.3.0, 1.1.1 et 1.0.0, WFS 1.1.0 et 1.0.0 et WCS 1.0.0 défini par l'Open Geospatial Consortium (OGC). QGIS Server utilise QGIS comme backend pour la logique des couches SIG et le rendu cartographique. Étant donné que QGIS Bureautique et QGIS Server utilisent les mêmes bibliothèques de visualisation, les cartes publiées sur le web ont le même aspect que sous le SIG Bureautique.

      Pour en savoir plus sur QGIS Server

      Tout comme QGIS Bureautique, QGIS Server est extensible à l'aide de plugins Python. Il est par exemple possible d'ajouter un système de contrôle d'accès aux données dans QGIS Server Documentation.

      La première fonctionnalité QGIS Server que nous avons implémentée dans le plugin Lizmap est un système de contrôle d'accès.

      Nous avons implémenté 3 contrôles d'accès :

      • l'accès au projet
      • le filtre par utilisateur
      • l'accès aux couches du projet

      Les 2 premiers contrôles étaient déjà présent. Dans la configuration Lizmap, il est possible de restreindre l'accès à un projet pour une liste de groupes d'utilisateur. Il est aussi possible de définir des règles de filtrage en fonction de l'utilisateur connecté ou non.

      Le portage dans QGIS Server du filtre par utilisateur, grâce au plugin Lizmap, permet de filtrer des couches même si elles sont cachées dans un groupe de couche. Dans la version 3.3 de Lizmap Web Client et les précédentes, le filtrage par utilisateur des couches ne fonctionne que si la couche est affichée seule, car Lizmap Web Client ajoute des filtres aux requêtes envoyées à QGIS server. Dans Lizmap, il est possible de transformer un groupe de couche QGIS en une seule couche pour le client web. Il en découle des requêtes où n'apparaissent pas la couche à filtrer. Avec le plugin Lizmap pour Lizmap Web Client 3.4 toutes les couches seront filtrées correctement.

      En faisant du plugin Lizmap, un plugin de contrôle d'accès pour QGIS Server, nous avons pu ajouter la possibilité de restreindre l'accès des couches d'un projet pour une liste de groupes d'utilisateur.

      La possibilité de restreindre l'accès des couches d'un projet pour une liste de groupes d'utilisateurs permet de diffuser un projet QGIS, une carte Lizmap, avec un contenu qui peut varier en fonction de l'utilisateur.

    • sur Geonetwork-ui

      Publié: 13 November 2020, 12:00am CET
      Pièce jointe: [télécharger]
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    • sur Lizmap Web Client and QGIS 3 : enfin compatible

      Publié: 30 September 2019, 8:30am CEST par René-Luc D'Hont

      Nous sommes heureux d’annoncer la sortie de lizmap Web Client 3.3 - 1 - et lizmap plugin 3.1 - 2 - 3

      Ces versions proposent de nouvelles fonctionnalités:

      • Ajout de la recherche dans la base de données d'adresses français BAN
      • Créer une info-bulle HTML à partir du formulaire par glisser-déposer de QGIS
      • Amélioration de l'info-bulle HTML: utilisation de la valeur à afficher
      • Ajout de la possibilité de construire un formulaire de filtrage pour les couches PostgreSQL / PostGIS

      Mais la fonctionnalité principale est la prise en charge de QGIS Server 3 4.

      Pour cela, nous devions adapter le client Web lizmap aux changements apportés à QGIS Server et corriger QGIS Server 3.4 afin de proposer une expérience utilisateur identique :

      • Fix regression server print selection pdf
      • JPEG output for WMS GetPrint request has gone
      • In WMS GetFeatureInfo CRS param not mandatory when FILTER param
      • Add unit test for WFS GetFeature with BBOX param without EPSG
      • SLD : Support escapeChar attribute of PropertyIsLike
      • Null field value in GML has to be empty string
      • Use Project selection color in GetPrint
      • Unit-test: To avoid regression in Server printing to PDF output format
      • Keeps empty parts for not empty styles parameters

      Nous avions également besoin de mettre à jour des plugins QGIS Server utiles pour Lizmap :

      • Atlas print 5
      • WFS output Extension 6

      Si vous utilisez déjà Lizmap Web Client, vous pouvez :

      • mettre à jour Lizmap Web Client vers la version 3.3
      • mettre à jour QGIS Server vers la version 3.4
      • mettre à jour les plugins QGIS Server que vous utilisez
      • rendez-vous sur le backoffice de Lizmap Web Client pour mettre à jour la version de QGIS Server dans la configuration
      • mettez à jour votre plugin Lizmap vers la version 3.1 dans votre QGIS bureautique 3.4
      • et mettez à jour vos projets QGIS.

      Si vous souhaitez tester lizmap, installez la dernière version avec QGIS Server LTR.

      Dernière information, une liste de diffusion pour le projet Lizmap a été créée : https://lists.osgeo.org/mailman/listinfo/lizmap

    • sur 2019 OpenLayers Codesprint Lausanne

      Publié: 21 May 2019, 12:00am CEST
      Pièce jointe: [télécharger]
      From the 13th to the 17th of May, Camptocamp Lausanne offices welcomed Openlayers contributors and the federal office of topography swisstopo development team to mark the end of a journey started more than one year ago.
    • sur Une première plongée dans le réseau Tor

      Publié: 25 June 2017, 6:27pm CEST par ateliercartographie
      Le journal Le Monde a publié il y a quelques jours un article sur les dernières recherches consacrées au fameux «dark web», et plus particulièrement le réseau Tor (The Onion Router). L’article fait référence à une étude que nous avons menée régulièrement depuis quelques mois (F.Ghitalla, F. Boisselier, J. Decayeux, E. Bartholmé, V. Déhaye), en […]
    • sur Le 5e et dernier chapitre des Carnets Cartographiques

      Publié: 3 February 2017, 4:03pm CET par ateliercartographie
      Voici le dernier chapitre des Carnets Cartographiques intitulé Les écosystèmes d’Innovation. J’ai essayé d’y synthétiser quelques pistes de réflexion déjà présentes dans différents posts de ce blog. Ce chapitre pourra paraître moins construit que certains chapitres des Chroniques du Web. Cependant, le thème des écosystèmes d’innovation, des méthodes et des instruments pour les définir, les […]
    • sur Cartographier la science, chapitre 4 des Carnets Cartographiques

      Publié: 22 December 2016, 4:49pm CET par ateliercartographie
      Je profite de la période des fêtes pour achever de publier les deux derniers chapitres des Carnets Cartographiques, la partie additionnelle aux Chroniques du Web. Cet avant-dernier chapitre est consacré à l’une des expéditions consacrées à l’exploration des données formalisées de l’Information Scientifique et Techniques (I.S.T.). Le domaine de l’I.S.T. recouvre des types variés de […]
    • sur Chapitre 3 des Carnets, la cartographie d’information

      Publié: 10 November 2016, 5:54pm CET par ateliercartographie
      Voici le chapitre 3 des Carnets Cartographiques. Une partie des idées de ce chapitre sont empruntées à l’un des white papers disponibles dans ce blog . Je les ai remaniées et intégrées dans ce chapitre, La Cartographie d’Information – ou l’alchimie quali-quantitative. Le titre complet est important: sans vouloir trop entrer dans les détails, il […]
    • sur Révélations, le second chapitre des Carnets Cartographiques

      Publié: 4 November 2016, 11:13am CET par ateliercartographie
      Voici le second volet des Carnet Cartographiques, l’appendice des Chroniques du Web qui regroupe quelques-uns des textes dont j’avais le projet depuis parfois longtemps. C’est le cas de celui-ci intitulé Révélations. Il est consacré à quelques-uns des exploits qu’ont réalisés certains jeunes ingénieurs (à l’époque!) en matière d’accompagnement d’enquêtes ou d’analyses issues du data journalisme. […]
    • sur Les Carnet Cartographiques

      Publié: 20 October 2016, 11:54pm CEST par ateliercartographie
      Avec les Carnets Cartographiques, j’entame la seconde partie de mon projet d’ouvrage. Cet appendice des Chroniques du Web contient 5 chapitres: 1) Archéologie des connaissances 2) Révélations 3) La Cartographie d’Information (ou l’alchimie quali-quantitative) 4) Cartographier la Science 5) Les écosystèmes d’innovation L’exploration du web et de ses propriétés fascinantes a constitué notre expédition principale […]
    • sur Le chapitre 10 des Chroniques

      Publié: 14 October 2016, 10:52pm CEST par ateliercartographie
      Voici le dernier chapitre des Chroniques du Web, « La Prochaine Etape… » en attendant les 6 chapitres supplémentaires qui figurent dans l’appendice Les Carnets Cartographiques. Ce chapitre 10 est aussi consacré aux questions de cartographie d’organisations criminelles (jihadistes) et il a été rédigé avant les attentats de Paris et Bruxelles. Il s’agit cette fois de tirer […]
    • sur Le chapitre 9 des Chroniques, L’Information en n Dimensions

      Publié: 13 October 2016, 8:30am CEST par ateliercartographie
      Ce chapitre est une large reprise d’un premier post sur ce blog, Les Lignes du Destin. Ce dernier, publié fin janvier 2015, a été écrit dans les circonstances particulières des attentats qui ont frappé notre pays. A l’époque, je ne pensais pas que ce détour méthodologique du côté de la cartographie des organisations criminelles allait […]
    • sur Broadcast ou viralité? Le chapitre 8 des Chroniques

      Publié: 9 October 2016, 8:06pm CEST par ateliercartographie
      Un livre entier ne suffirait pas à parcourir toutes la facettes de la notion de « temps » dans un réseau. La question de la temporalité dans les data réseau est d’autant plus délicate à aborder que les problématiques théoriques, méthodologiques et techniques s’accumulent et s’enchevêtrent. Les méthodes de web mining avaient démontré toute la difficulté de […]
    • sur UV-Web ou naviguer dans les enseignements

      Publié: 2 October 2016, 8:58pm CEST par ateliercartographie
      Chacun des étudiants de nos universités rêverait d’avoir une application, accessible en ligne et sur n’importe quel support, où il pourrait projeter dans une carte son parcours entre les enseignements suivis semestre après semestre, contempler le point où il en est et ce qui lui reste à parcourir, comparer son parcours à d’autres similaires ou […]