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15:08
Intéressez-vous à TJS
sur neogeoActuellement, les relations entre la plupart des IDG actuelles et les données tabulaires dont regorgent les collectivités et autres établissements publics sont assez tristes. Les géomaticiens qui participent à la conception, la réalisation et l’administration de telles infrastructures ont été élevés dans le culte de la donnée topographique, de la précision géodésique et des relations topologiques. Résultat : pas de géolocalisation, pas de publication.
Le constat est plutôt amer : les IDG actuelles ne savent pas valoriser des données tabulaires si elles ne sont pas passées entre les mains d’un géomaticien au préalable pour les géolocaliser. C’est regrettable puisque, quelques facteurs concordants devraient pousser leur publication sur des IDG :
- la majorité des données géographiques produites par les parties prenantes des IDG sont de simples données tabulaires organisées par unités territoriales (dont facilement géolocalisables) ;
- la majorité des utilisateurs des IDG (en collectivité, dans les services de l’Etat et dans bien d’autres administrations publiques) ont besoin d’indicateurs selon des découpages territoriaux et non de données topographiques qu’elles ne savent pas interpréter ;
- la majorité des gens qui aimeraient exploiter des IDG, n’ont pas de compétence en géomatique mais sont tout à fait capables de comprendre des cartes avec des indicateurs territoriaux.
À l’heure où l’Open Data prend le pas sur la mise en œuvre d’INSPIRE, la situation des IDG vis-à-vis des données tabulaires n’est plus tenable. Elle l’est d’autant moins qu’il existe justement un standard dont l’objectif est de fournir des données tabulaires à des outils SIG qui se chargeront d’y adjoindre une géométrie : Table Joining Service (TJS). L’intérêt de ce standard ne réside pas uniquement dans le fait qu’il gère des données tabulaires mais aussi que c’est l’application cliente qui se charge d’attribuer une géométrie et une représentation aux informations qui lui sont transmises. Cela permet de publier des données géographiques sans compétences spécifiques en géomatique (en faisant complètement abstraction de la projection, des problèmes de précision géographique, des règles de représentation cartographique…). On évite donc également de devoir publier les données en 3 versions pour satisfaire les adorateurs du RGE, les fans d’OSM ou ceux de je ne sais quel autre référentiel idéalisé.
C’est parce que nous sommes convaincus que les données tabulaires sont sous-exploitées par les IDG actuelles et que TJS apporte une solution concrète que nous avons développé un serveur sous licence ouverte implémentant ce standard : OneTjs. Aujourd’hui l’implémentation phare de TJS est Géoclip. Preuve de son interopérabilité, OneTjs permet d’alimenter le client cartographique d’un Géoclip distant avec vos propres données.
Illustration : offre hôtelière en Normandie servies par OneTjs et affichée dans Géoclip O3
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8:52
// Look Book N° 8 : TERRACOTTA //
sur GeomatickHello, Le Maroc : L’échappée envoûtante ! Une véritable fête des sens puisqu’au plaisir du nez s’ajoute celui de la vue. Difficile de ne pas succomber à l’appel des effluves exotiques, au foisonnement des couleurs aux clameurs et aux étals […]
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12:28
Blockchain et information géographique
sur neogeoSuite à une série de présentations publiques sur le thème de la blockchain depuis le printemps (FOSS4G-FR, GeoDataDays notamment) il est temps de rendre compte des diverses réflexions qui ont motivé cette démarche et qui ont aussi été alimentées par des échanges nourris avec les participants.
Qu’est-ce que la blockchain ?La blockchain n’est que le dernier avatar d’une longue série de techniques destinées à conserver de l’information de manière durable. Les premiers exemples d’écriture témoignent déjà de ce besoin. Ce sont les comptables qui les premiers ont tracé des symboles dans l’argile, ce sont aussi les comptables qui les premiers ont vu l’intérêt de la technologie blockchain pour inventer les cryptomonnaies. La blockchain n’est rien de plus qu’un registre numérique sécurisé et distribué, permettant de s’affranchir d’une autorité régulatrice, chacun faisant office de tiers de confiance (mais on parle déjà là de gouvernance, nous y reviendrons). Ce registre numérique sécurisé vise à reproduire dans notre monde de fake news et copies illicites la notion d’infalsifiabilité qui fait la valeur des registres papier reliés. Dans ceux-ci, une page sans rature signifie que les informations n’y ont pas été altérées. La présence de toutes les pages, vérifiables par leur numérotation ou l’absence de déchirure, permet de certifier que toutes les informations sont bien présentes. C’est exactement ce que vise à reproduire la blockchain dans le contexte d’un registre numérique.
Comment ça marche ?Si le principe de la blockchain est finalement assez simple, il recourt à des algorithmes très sophistiqués que je serais bien en peine de vous expliquer en détail et que l’on désigne sous le nom de fonctions de hachage (hash en anglais). Ceux-ci sont capables de générer des chaînes de caractères de longueur fixe (32 bits, 64 bits…) uniques (si la longueur est bien choisie évidemment) à partir d’un contenu quelconque (fichier, image, texte, chiffres) servant ainsi d’empreinte numérique compacte à des choses très variées. On s’en sert pour vérifier l’intégrité d’un téléchargement par exemple, car l’altération du moindre bit change radicalement l’empreinte numérique. Par exemple le hachage par SHA256 (un des algorithmes les plus répandus) du terme « géomatique » donne D47A202B297CB6CCD4238CB88BBD49670209447787BE73EA834725A1AB184F6E tandis que pour « geomatique » (sans accent donc) on obtient
3BF2C56948337C47F1E031E2ACE3F4EEFEE62FC2D3AB55625688683FE385274E ! Impossible de les confondre ou de supposer de leur proximité littérale.
A l’aide de ces puissants algorithmes, la blockchain reproduit les deux preuves de non altération du registre qu’offre la version papier broché :- La page devient le bloc. Il est composé de lignes d’écriture (transactions, opérations diverses). Dans l’en-tête du bloc (le haut de page en quelque sorte), on écrit l’empreinte numérique des opérations, de telle sorte que si une d’entre elles venait à être modifiée, l’empreinte ne correspondrait plus au contenu. Le registre ayant vocation à être public et distribué, chacun peut faire ce genre de vérification.
- Chaque bloc est relié au bloc précédent, en reprenant également son empreinte numérique dans son en-tête. Ainsi, si tout le bloc venait à être modifié (opération + en-tête), c’est dans le bloc suivant qu’on verrait l’incohérence. La falsification n’est pas impossible, mais imposerait de réécrire toute la chaîne, de régénérer tous les hash, en suffisamment peu de temps pour que ça passe inaperçu. C’est donc de facto irréalisable.
Ça donne alors à peu près ça :
On a ici le bloc n° 3 référençant le bloc précédent (previous) par son hash, contenant une charge utile composée de transactions, dont l’empreinte numérique et l’horodatée sont également inscrits. Toute altération de ce contenu serait détectable très rapidement, car le hash se calcule en quelques centièmes de seconde et peut donc être vérifié par tout utilisateur, voire automatiquement par des programmes spécialisés.
Pour quoi faire ?Belle technologie donc, mais on n’est pas des comptables non plus, et on n’a pas forcément envie de se convertir aux cryptomonnaies, qui recourent largement à ces technologies. Donc que va-t-on pouvoir bien faire d’un registre infalsifiable ? Mais ce qu’on veut, c’est ça qui est extrêmement séduisant ! On va pouvoir y écrire absolument ce qu’on veut, des positions de véhicules, des valeurs de capteurs, des noms de fichiers, des empreintes numériques de documents, mélanger le tout, secouer, la blockchain est agnostique. Dès lors qu’on doit pouvoir prouver l’enregistrement d’une information à un moment donné (la patrouille de police était devant la mairie, le document d’arpentage a été publié, le taux de CO2 dépassait la norme) sans avoir à douter de celui qui tient le registre, le serveur, la base de données, tous ces intermédiaires qui peuvent, avec les systèmes de bases de données traditionnels (fichiers ou SGBD), falsifier un contenu numérique, sans avoir à se reposer sur un tiers de confiance, la blockchain fait des merveilles.
Et l’information géographique là-dedans ?Comme indiqué précédemment, on peut enregistrer ce qu’on veut dans la blockchain, de l’information géographique ou autre. On peut donc très bien avoir des geoblockchains dédiées et optimisées à cet usage, dans lesquelles on peut imaginer des conditions de validation supplémentaires (vérification de cohérence géographique, de topologie, tout ce qui fait le miel du géomaticien au quotidien). Mais on peut aussi en faire le déclencheur de la validation du bloc. C’est une notion que nous n’avons pas encore abordée, mais s’il peut sembler clair que tout un chacun (les utilisateurs de la blockchain au moins) vont être en mesure d’enregistrer des opérations, qui valide les blocs ? Pour le Bitcoin il s’agit également des utilisateurs eux-mêmes, suscitant des courses de vitesse très énergivores pour calculer le premier le Proof of Work, autre empreinte numérique obéissant à des contraintes fortes, afin de ne pas être calculable trop vite, car dans le monde des cryptomonnaies les validateurs de blocs sont rétribués et il ne faut pas trop stimuler la création monétaire. Tout est donc fait pour qu’un bloc mette 10 minutes en moyenne pour être validé. Dans un monde géomatique, les choses n’ont pas la même criticité, et surtout nous ne créons pas de monnaie. Donc qui valide le bloc, c’est tout l’enjeu de la gouvernance.
Qui c’est qui commande ?On voit déjà s’indigner le burelain, le rond-de-cuir, appliqué à soigner les pleins et les déliés de son registre jalousement gardé dans son tiroir fermé à clé… « Ne seriez-vous pas un peu des anarchistes vous autres ? », « que vais-je devenir ? « . Mais comme pour ce qu’on met DANS la blockchain, la manière de piloter la blockchain, d’assurer sa gouvernance, est très libre. Au modèle égalitaire et horizontal revendiqué des cryptomonnaies, il existe des approches plus intégrées, des blockchains de consortium ou même privées, dans lesquelles les droits à l’écriture des opérations et à la validation des blocs sont réservés à certains utilisateurs, comme du temps des registres papier. La distribution du registre pour lecture peut ainsi être ouverte à certains utilisateurs, et les modifications à d’autres. Rien de très original donc, si ce n’est que même si vous déléguez la saisie des opérations à un tiers, il n’aura néanmoins pas la possibilité d’en falsifier le contenu. Ou s’il le fait ça se verra… L’information géographique peut elle-même servir de preuve. Parce que je suis à tel endroit je suis en mesure de certifier que : la voiture de location s’y trouve aussi, la borne cadastrale est bien positionnée, le bureau de l’AFIGEO est toujours au bistrot…
Alors on se lance ?De nombreux secteurs d’activités s’intéressent de près à cette technologie. C’est évidemment le cas des banques, qui disposent déjà de blockchains de consortium en interbancaire, des assurances, de l’aviation… du foncier évidemment avec quelques programmes pilotes en Afrique. La totale liberté du contenu de la blockchain et de sa gouvernance devrait en séduire d’autres, dès lors que la réticence due à la proximité encore marquée avec les sulfureuses cryptomonnaies se sera dissipée et que la blockchain sera ramenée à la place qui est la sienne, un bon vieux registre.
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15:17
// 1200 m2 de Bonheur //
sur GeomatickHello, Et voilà, après quelque mois de recherches ( 1 an ) de questions, d’écritures, de rendez vous, de déceptions, de visites, de nuits blanches, d’excitation et de belles surprises … Nous y voilà enfin : Un nouveau visage pour Ô […]
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12:12
SLD est-il mort ?
sur neogeoSi vous êtes intéressés par les standards de l’OGC vous avez sans doute déjà entendu parler de SLD (Styled Layer Descriptor) et peut-être l’avez-vous même déjà manipulé (au travers d’un QGIS, GeoServer, Mapserver ou que sais-je). En général, ce que l’on retient de SLD c’est quelque chose du genre :
« un langage compliqué pour écrire des styles simples en vue de publier des données vecteur en WMS ».En vrai, c’est un peu plus compliqué :
- SLD est avant tout une extension/un profil de WMS proposant des opérations/paramètres supplémentaires permettant aux applications clientes de manipuler les styles des couches d’un service WMS
- SLD n’est plus aujourd’hui un langage de description de styles. Cette partie de SLD 1.0 a été externalisée dans un standard à part entière intitulé Symbology Encoding (SE) au moment du passage à SLD 1.1 (en 2005)
- SLD se limite bien aux services WMS mais la partie consacrée au langage de description des styles (que ce soit dans SLD 1.0 ou SE) peut très bien s’appliquer à n’importe quels logiciels capables de produire des cartes
- Ce langage n’est pas limité aux données vecteur. En effet, une de ses parties est consacrée aux styles appliqués aux rasters.
Sur le papier, SLD/SE se présente donc comme une bonne initiative pour favoriser l’interopérabilité graphique entre systèmes qui ont besoin d’échanger des styles :
- déployer des couches avec des rendus graphiques identiques sur des systèmes hétérogènes ;
- permettre aux applications clientes de fournir aux services WMS un style à appliquer à une couche ;
- écrire des styles avec un outil et les déployer avec d’autres.
Si j’écris cet article avec ce titre vous vous doutez bien que ce n’est pas pour dresser un tableau tout rose de SLD/SE, n’est-ce pas ? Vous avez peut-être/sans doute (rayez la mention inutile) noté dans la description synthétique de SLD du premier paragraphe ce « un langage compliqué pour décrire des styles simples ». L’adoption de SLD aurait été plus facile et générale si cette phrase ressemblait plutôt à ceci : « un langage simple pour décrire des styles compliqués » [vous aviez sans doute déjà noté que l’informatique et la standardisation ne font pas toujours des miracles]. Cette dualité complexité/simplicité aboutit sans surprise à :
- rares sont les outils dont toute la richesse graphique peut être décrite au travers de SLD/SE ;
- rares sont les solutions techniques qui mettent en avant le support de SLD/SE ;
- la réelle interopérabilité entre solutions autour de SLD n’est pas toujours au rendez-vous : publier dans GeoServer un style SLD écrit avec QGIS nécessite des retouches manuelles (entre autres sur les paramètres correspondant à des longueurs tels que les épaisseurs de trait par exemple) (corrigé depuis peu – cf. commentaire de René-Luc D’Hont) ;
- la complexité de SLD/SE pousse certains éditeurs à proposer des alternatives pas forcément interopérables dans le domaine de l’information géographique : CSS par exemple au niveau de TileMill et de GeoServer. CSS est plus compact et plus facile à lire que le langage XML utilisé par SE mais n’est pas une solution pour décrire des styles complexes ;
- pour prendre en compte des besoins graphiques non pris en compte par SE certaines solutions ont été enrichies avec des extensions de SLD/SE qui leurs sont propres (donc non interopérables) : cf ici [docs.geoserver.org] pour GeoServer.
En fait d’interopérabilité, nous nous retrouvons avec des initiatives qui délitent l’intérêt de SLD/SE et une communauté géospatiale pas franchement dynamique ni unie autour de ces standards. Que se passe-t-il depuis 2005 à l’OGC sur ce sujet ? Peut-on encore espérer que SE s’impose réellement ? Lors du geoCom 2016 à Bordeaux, Erwan Bocher a présenté les derniers travaux menés par le groupe chargé de produire une nouvelle version de SE. Elle permettrait de produire des styles plus complexes (donc plus adaptés aux besoins des utilisateurs) et elle s’abstrairait des lourdeur d’XML (que de bonnes choses donc). J’apprécie la tentative de redynamiser la communauté autour de ces problématiques. Malheureusement, nous sentons bien que les contributeurs de cette nouvelle version luttent pour imposer leurs idées sans réel support des éditeurs ou des communautés des principales solutions du marché (les standards de l’OGC qui n’ont été publiés que par l’énergie et la conviction d’une poignée de personnes ne sont pas rares).
Pourquoi la communauté se mobiliserait-elle autour de ces sujets ? Il faut bien constater que la situation actuelle a bien changé depuis la première publication de SLD (2002). A l’époque la seule manière réaliste d’appliquer des styles riches avec des services en ligne se trouvait plutôt du côté serveur (là où les données étaient stockées) surtout si les données étaient très volumineuses. Ce n’est plus le cas aujourd’hui, on transmet de plus en plus de données vecteur au navigateur en lui demandant de faire le boulot graphique. Depuis quelques années, les tuiles vecteurs optimisées pour la diffusion sur le web (notez au passage que l’OGC a loupé le passage aux tuiles vecteur) remplacent les tuiles raster. Le besoin pour les applications clientes d’envoyer les styles aux serveurs chargés de produire les images se réduit donc progressivement. Sans oublier que les technologies évoluent nettement plus vite que les standards de l’OGC : à grand regret vous aviez mis de côté SE au profit de CartoCSS et on vous apprend que ce dernier est mort. Comment pourriez-vous encore croire en un sursaut de SE ?
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17:25
// Fanny & James : Mariage Ô Naturel //
sur GeomatickHello à tous, Je suis tellement contente de vous partager un de mes précieux moment 2017 : le mariage de mes amis -> Fanny et James METCALF ! C’était une très belle aventure que de travailler avec ces deux là […]
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11:16
// Love Etc. 2019 //
sur GeomatickHello à tous Je partage avec vous un de mes RDV préférés de l’année : La Love Etc organisé par la talentueuse Nessa aka La Mariée Aux Pieds Nus. Je suis conviée à participer à ce sublime évènement pour la […]
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12:29
WFS 3.0 et autres petites nouvelles de l’OGC
sur neogeoWFS 3.0En parcourant rapidement un appel à participation au prochain testbed de l’OpenGeospatialConsortium, en vue de mieux savoir ce sur quoi cet organisme travaille actuellement, je me suis rendu compte qu’une version 3.0 de WFS était en cours de gestation.
Très peu d’informations semblent circuler sur ce sujet sur internet. J’ai essentiellement trouvé 2 choses intéressantes (en plus des informations présentes dans l’appel à participation) :
- le projet Github qui constitue l’espace de travail de l’OGC pour cette nouvelle version du standard;
- un article de Chris Holmes.
Ce que je retiens de ces sources d’information :
- WFS 3.0 sera vraiment REST et, en cela, présente une vraie rupture ou sacrée évolution de WFS : utilisation d’OpenAPI, JSON et codes d’erreur HTTP standards au programme.
- jusqu’ici, les standards de l’OGC mettaient en œuvre des schémas XML auxquels les requêtes et les réponses HTTP devaient se conformer. L’utilisation de tels schémas, ni même d’XML, ne semble pas requise pour mettre en œuvre WFS 3.0.
- la question de l’authentification et de la sécurité des accès aux données est prise en compte par l’OGC : l’utilisation d’OAuth2 est citée à la fois au niveau du projet Github et du testbed.
Un projet « Maps for HTML » visant à disposer d’éléments permettant d’intégrer facilement une carte dans le contenu de pages HTML comme on peut déjà le faire avec d’autres contenus multimédia (vidéos, sons…). Je suis plutôt content de cette évolution car pour tout vous dire, lors d’une réunion plénière de l’OGC à Bruxelles en 2011 portant sur HTML5 et la géolocalisation (cf. ici), j’avais demandé à un représentant du W3C et d’Opera si le W3C avait l’intention d’intégrer ce genre de chose au standard HTML. La réaction de l’assistance m’a fait comprendre que ma demande devait être complètement déplacée. Je vois que je ne suis plus seul à espérer un élément <(geo)map> dans HTML et cela ne devrait plus tarder à voir le jour. Quelques liens sur ce sujet : The HTML <map> Element proposal, Customized Built-In <map> Element et Maps for HTML Community Group.
Orléans en marsLes prochaines réunions du comité technique de l’OGC se tiendront à Orléans au cours de la semaine du 19 mars 2018 (cf. ici).
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11:31
// Charlène & Geoffrey, Mariage Canadien //
sur GeomatickHello tout le monde, Je vais vous faire découvrir un joli mariage que j'ai eu la chance de réaliser au mois de mai dernier. J'ai donc organisé et décoré le grand " OUI " de Charlène et Geoffrey : un […]
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14:14
Geosource fusionne avec Geonetwork
sur GéosourceGeosource a été fusionné avec Geonetwork, qui reprend et améliore l'ensemble des fonctionnalités qui étaient présentes dans Geosource.
Pour plus d'informations, consulter le site de Geonetwork.
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12:23
Envoyer des SMS en Python avec l’API OVH
sur neogeoUn petit post technique pour partager une expérience récente et servir aussi d’aide-mémoire tant il n’a pas été simple de trouver la configuration adéquate. Il s’agit d’envoyer des SMS depuis un script python, dans un contexte d’envoi d’alertes dans mon cas, mais ça peut aussi être utile dans d’autres cas (Nouvel an, Saint-Valentin…). On dispose pour cela de l’API OVH, pour peu qu’on y ait souscrit une offre SMS (c’est la partie la plus simple).
Charger l’API OVH en pythonPremière étape ensuite, disposer depuis Python d’un accès à l’API. Si comme moi vous commencez par la page « Premiers pas avec l’API » d’OVH, vous trouverez en bas de celle-ci le lien vers la « surcouche » de l’API en Python. Première erreur. Je ne sais pas si c’est déprécié ou n’a jamais bien fonctionné, mais il suffit en fait de passer par pip et d’installer la librairie ovh !
Donc :
pip install ovh
Et la meilleure doc est finalement là : [https:]]
Comprendre les différentes clés.Comme l’indique la première page de la doc de la librairie Python sur Pypi, l’instanciation d’un objet Client de l’API nécessite de transmettre trois paramètres liés à votre compte : une « application key », une « application secret » et une « consumer key » ! Pour les deux premières, c’est assez simple, il suffit d’aller à la page dédiée sur le site OVH : on y créé son « application » et en retour on obtient les clé applicative et son mot de passe. Pour la troisième ça se corse… Il faut faire un script permettant de la générer. Il est indiqué sur la page github, mais mérite qu’on s’y arrête :
# -*- encoding: utf-8 -*- import ovh # create a client using configuration client = ovh.Client() # Request RO, /me API access ck = client.new_consumer_key_request() ck.add_rules(ovh.API_READ_ONLY, "/me") # Request token validation = ck.request() print "Please visit %s to authenticate" % validation['validationUrl'] raw_input("and press Enter to continue...") # Print nice welcome message print "Welcome", client.get('/me')['firstname'] print "Btw, your 'consumerKey' is '%s'" % validation['consumerKey']
Déjà la partie de création de l’objet client suppose que vous appliquiez ce qui a été fait dans les paragraphes précédents de la doc (ce qui n’est pas forcément le cas). Donc on fait plutôt ça :
client = ovh.Client('ovh-eu', application_key='your_application_key', application_secret='your_application_secret, consumer_key='' )
Ensuite, modifiez aussi le script pour activer les droits nécessaires à l’envoi des SMS et à l’accès à votre compte :
# Request RW, /me and /sms API access ck = client.new_consumer_key_request() ck.add_recursive_rules(ovh.API_READ_ONLY, "/me") ck.add_recursive_rules(ovh.API_READ_WRITE, "/sms")
et lancez le script en ligne de commande.
Envoyer un SMS pour de vrai
Celui-ci va générer un lien, et vous demander d’appuyer sur Entrée pour continuer. Mais visitez bien le lien d’abord ! Sur la page web correspondante, validez les droits indiqués, choisissez leur limite de validité et seulement alors terminez l’exécution du script en appuyant sur Entrée en ligne de commande. Normalement vous obtenez alors votre précieuse « consumer key » qui va vous permettre d’instancier dans de nouveaux scripts des objets ovh.Client dotés des droits qui leur ont été associés. On va donc pouvoir envoyer des SMS via les méthodes de l’API OVH.On trouve vite dans la doc de l’API les URL à utiliser pour manipuler des SMS, qui recourrent toutes à une dimension « serviceName » référencée nulle part (non, ce n’est pas « sms »). Il faut récupérer cette dernière par une première requête à l’API, de la forme :
res = client.get('/sms')
qui renvoie un tableau avec une seule valeur, celle du nom interne de votre service, avec lequel on peut alors construire l’URL de base pour la suite :
url = '/sms/' + res[0] + '/jobs/'
On voit ensuite dans la doc de l’API qu’il suffit de faire un POST sur /jobs pour envoyer des SMS, mais la liste des paramètres obligatoires ou optionnels est longue et pas forcément juste… Si vous aurez sans doute des idées quant au contenu du message, il vous faudra obligatoirement un paramètre « sender » correspondant à l’expéditeur du SMS. C’est une string, mais qui doit correspondre à un compte expéditeur créé dans la console d’administation de votre compte OVH-Télécom. Il faut le savoir, d’autant que le paramètre est marqué comme facultatif dans la doc (mais l’API elle-même vous rappelle vitre à l’ordre lors de vos essais infructueux). Par défaut vous en avez un qui correspond à votre compte général OVH, mais vous pouvez aussi en créer de nouveaux, avec des noms plus adaptés à l’application. Une fois le nom du Sender récupéré dans l’admin, ça devient plus simple :
result_send = client.post(url, charset='UTF-8', coding='7bit', message="Votre message", noStopClause=False, priority='high', receivers= ["+336xxxxxxxx","+336xxxxxxxx"], senderForResponse=False, validityPeriod=2880, sender="Le nom du sender tel que proposé dans l'admin" ) print json.dumps(result_send, indent=4) # pour l'affichage du résultat de la transaction.
Remarquez néanmoins l’utilisation de la numérotation internationale et quelques paramètres dont la description est proposée dans la doc de l’API.
Normalement c’est bon, vos destinataires devraient recevoir leurs messages.A bientôt.
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12:25
De la complexité
sur neogeoComplexité est le mot qui m’a le plus marqué lors de la dernière conférence européenne INSPIRE (qui s’est tenue il y deux semaines à Strasbourg). Il a été prononcé de manière très fréquente que ce soit en séance plénière par des techniciens de la chose, par des responsables de grandes administrations publiques, par des élus ou que ce soit lors de présentations plus restreintes.
Je retiens 2 interventions totalement différentes et frappantes. La première par Bruce McCormack devant un relativement petit auditoire. Il présentait le résultat d’une petite enquête (à laquelle j’ai participé) lancée très peu de temps avant la conférence auprès d’un nombre très limité de personnes portant sur une analyse SWOT (forces, faiblesses, opportunités, menaces) de la directive européenne INSPIRE. Le terme qui ressort le plus de cette analyse est complexité (à ranger dans la catégorie faiblesses pour ceux d’entre vous qui auraient un doute). Une autre faiblesse récurrente accompagnait cette complexité : le manque de cas d’usage concrets. Situation classique d’un projet pour lequel des choix techniques ont été faits avant de connaître les besoins concrets (les besoins abstraits étaient plutôt clairs et sont toujours parfaitement d’actualité).
La seconde intervention a eu lieu en séance plénière au cours de présentations de retours d’expérience sur des projets réalisés en régions. La fin de séance a été l’occasion pour chaque intervenant de donner sa vision de l’évolution de la directive INSPIRE. Mário Caetano est revenu brièvement sur la complexité d’INSPIRE en saisissant une perche tendue par Fabrice Phung. Grosso modo, sa vision des choses était que le monde que nous décrivons, nous géomaticiens, et les problèmes que nous cherchons à résoudre sont complexes par nature et que les prendre en main nécessite de manipuler des données et des outils complexes. La complexité serait donc inéluctable. De quoi faire sérieusement réfléchir.
On trouve la complexité un peu partout. La vie, l’univers et langage par exemple sont complexes. Appréhender de manière frontale des problèmes complexes est une mauvaise idée. En général, pour résoudre des problèmes l’homme utilise des abstractions. Deux d’entre elles sont intéressantes : la simplification et la généralisation. La simplification consiste à ne retenir que certaines caractéristiques du phénomène observé en supposant que les perturbations non prises en compte dans ce modèle simple sont négligeables dans le cadre de l’étude. Exemple : tous les corps en chute libre tombent à la même vitesse… si l’on suppose que le champ gravitationnel est uniforme, si l’on fait abstraction de toutes les autres forces et si les corps en question sont lâchés en même temps et à la même vitesse… C’est simple et efficace : on gère la majorité des cas de la sorte tant que les besoins et les capacités de mesure ne deviennent pas incompatibles avec la précision du modèle.
Le problème en sciences c’est qu’il arrive toujours un moment où l’on constate que le modèle adopté jusqu’ici n’est plus adapté. Souvent, maintenir un modèle simple ne permet pas de prendre en compte tous les paramètres dont l’on a besoin. Lorsque l’on souhaite intégrer un plus grand nombre de phénomènes apparemment distincts dans un même modèle on procède à une généralisation. C’est le cas par exemple de la théorie de la gravitation universelle de Newton qui couvre à la fois les phénomènes de chute des corps décrits par Galilée et les déplacements des planètes. C’est aussi le cas de la théorie des cordes, chère à Sheldon Cooper, qui s’attache à prendre en compte dans un même modèle la mécanique quantique et la relativité générale. Ces généralisations ne procèdent pas du tout d’une simplification (sauf dans le cas de la généralisation cartographique mais c’est hors sujet ici). Elles visent à définir un modèle plus général capable de prendre en compte des phénomènes jusque là considérés comme étant à la marge par les outils préalablement disponibles. La généralisation apporte un niveau de complexité égal à tous les phénomènes qu’elle englobe avec cet effet de bord qui consiste à ajouter de la complexité là où il n’y en avait pas, peu ou moins. À force de généralisations on arrive donc à une complexité de plus en plus importante pour une plus-value qui ne s’exprimera, la plupart du temps, que dans des cas de plus en plus marginaux. Excellent article scientifique dénonçant la généralisation à outrance : la montre à moutarde (désolé si mon sarcasme a touché ceux parmi vous qui en ont acheté une).
La complexité n’est pas une mauvaise chose en soit. En particulier, elle permet de faire des avancées majeures en recherches théoriques qui pourront ensuite déboucher sur des applications plus courantes. Elle est simplement déplacée lorsqu’on nous l’impose, lorsqu’elle ne répond pas à l’un de nos besoins majeurs et lorsque nous ne sommes pas armés pour y faire face. Fixer quelque chose avec un clou est une opération relativement complexe en soi. Mais voilà, on peut acheter toute sorte de clous pour toute sorte de matériaux, choisir le marteau adapté et n’importe quel voisin digne de ce nom vous expliquera comment faire si vous avez des doutes. De surcroît, en général, vous ne devez pas fabriquer vos propres clous, ni votre marteau, vous ne devez pas lire 200 pages de spécifications avant de vous lancer, vous êtes la plupart du temps certains de l’utilité de planter un clou et dans le pire des cas, si vous avez affreusement mal aux doigts après le premier coup de marteau, vous savez pourquoi et êtes suffisamment malin pour comprendre d’où cela vient et comment ne pas le refaire au prochain coup.
Mais alors, qu’est-ce qui nous a pris avec GML, ISO19115/19139 et d’autres trucs dans le genre ? Pourquoi nous imposons-nous autant de souffrance ? Nous n’avons pas les outils pour écrire de tels fichiers ni, parfois, pour les lire ; nous avons toujours des doutes sur les informations censées être obligatoires à mettre dedans ; notre gentil voisin (celui avec les lunettes, qui est toujours plongé dans des livres bizarres et que l’on n’invite pas à nos fêtes) en a de plus en plus ras le bol de venir nous dépanner pour finir nos fiches de métadonnées (il faut dire qu’au bout de 10 ans nous n’avons toujours pas compris qu’il ne faut pas mettre à la fois une résolution et une échelle dans vos fiches) ; nous ne sommes même pas convaincus de la plus-value de ces formats par rapport à ce que nous utilisions avant. Je suis amer et sévère ? Parlons un peu des outils, tiens : un logiciel qui nécessite d’avoir le même niveau de compétence pour l’utiliser (pas pour le réparer, hein) que celui qui l’a conçu n’est pas vraiment un outil de mon point de vue.
Cela me fait penser au petit voisin qui a bravement surmonté l’épreuve des additions, puis celle des multiplications, et à qui il faut expliquer comment faire manuellement une division. Cela peut être un vrai calvaire pour certains, surtout quand il a conscience que n’importe quelle calculette fait le travail sans râler. C’est plus facile pour ceux qui ont le cerveau adapté aux maths, ceux qui ont des lunettes et qui voient l’intérêt de la chose (pas évident à cet âge). Voilà, la complexité est un facteur d’échec, voire d’abandon. Par voie de conséquence, c’est aussi une cause de sélection, volontaire ou non. Alors, dans la cadre d’un texte réglementaire qui doit être mis en œuvre de manière généralisée la complexité me semble être un excellent moyen de ne pas atteindre des objectifs et donc un bon moyen de programmer son propre échec (avec une admirable dose d’enthousiasme au départ ceci dit).
GML et ISO 19115 sont pour moi des exercices de style de généralisation des données et métadonnées pour prendre en compte n’importe quel besoin. Quelle est la plus-value d’utiliser un format qui permet de décrire un simple carré de plus d’une vingtaine de manières différentes (cf. GML Madness) ? Pourquoi codifier les informations de qualité et de généalogie dans des métadonnées en XML alors que ces informations ne sont pas exploitées de manière automatique par les moteurs de recherche, que ces informations sont difficilement exploitables par un humain normalement constitué ? La plus-value est-elle à la hauteur des efforts sans cesse renouvelés de développement, sensibilisation, formation, support technique sur ces formats, outils de saisie et de contrôle ? L’investissement réalisé par tous (les animateurs des démarches d’INSPIRE, les développeurs, les administrateurs, les producteurs et les utilisateurs) sur ces sujets techniques me paraît démesuré au regard de pratiques pragmatiques alternatives plus efficaces et appréciées : pour les métadonnées par exemple, un bon vieux Dublin Core avec quelques références à des documents lisibles par des humains pour les informations les plus complexes.
Oui, la complexité est partout dans notre monde. Elle est présente aussi en géomatique. Mais on n’est pas obligé de la subir et le meilleur moyen de la traiter est de la reporter soit dans des outils éprouvés qui savent la gérer (ce qui n’est pas franchement le cas dans la panoplie d’outils que nous utilisons) soit en la reportant dans des documents annexes en langage naturel que la plupart des géomaticiens savent lire et interpréter.
La complexité fait partie des mots que l’on utilise facilement sans trop savoir comment le définir. D’ailleurs, je ne m’y suis pas risqué. Je préfère rester dans le domaine de la perception. Personnellement, je situe la complexité dans le giron de la douleur. En général, la complexité est subie. Certains pervers la font subir aux autres ; ça arrive. Mais arrêtons de nous l’infliger nous-mêmes à grande échelle et par voie réglementaire qui plus est !
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12:24
Voyage en Inspirie
sur neogeoLa semaine dernière j’ai posé mes valises en Inspirie. Un court séjour.
Préparation
L’Inspirie est le fruit d’une utopie géniale : un mélange de libre échange, de partage, d’harmonisation. L’idée qui se cache derrière : sans produire plus, en limitant le gâchis, devenir collectivement plus riches et devenir plus efficace. L’évolution ultime de notre civilisation pour certains ou un projet de méga secte pour d’autres. Le voyage était tentant.Je m’étais préparé de longue date : téléchargement de guides, téléchargement d’applications, de données, consultation de la réglementation locale, nombreux échanges avec sa diaspora. Bref, cela faisait plus de dix ans que je préparais ce voyage (l’Inspirie fête ses dix ans). J’étais prêt. Il faut dire que j’avais l’impression de maitriser la langue et les pratiques locales. Néanmoins, j’appréhendais. Il faut bien dire que la variabilité des retours sur cette contrée mythique étaient très déroutants. Vous comprendrez bien que le commercial de votre agence de voyage spécialisée en activités extrêmes et le touriste rapatrié en urgence n’utilisent pas le même vocabulaire pour décrire cette contrée. Pas facile de se faire une idée précise de ce pays. Une chose étais sûre : il ne laissait pas indifférent ses visiteurs.
Toujours est-il que j’y ai mis les pieds, mon guide du routard en poche (ses annexes et ses « technical guidances » dans le sac à dos). Curieux, avide de découvrir des cultures et paysages étranges, et cherchant à relever de nouveaux défis cette destination était inévitable.
DevisePremière étape : les devises. Mieux vaut être prévenu : l’Inspirie n’est pas en zone Shapefile, ni en zone GeoJSON. Vous devez vous rendre dans un bureau de change (en général c’est une enseigne HALE) pour convertir vos fichiers à plat et vos tables en GML. Attention, prévoyez un gros porte-monnaie car la monnaie locale est plus encombrante.
Les Inspiriens ont une relation très étrange avec cette monnaie. Les échanges commerciaux doivent utiliser le GML. Rien de vous empêche de posséder des devises (Shapefile, GeoJSON, TAB…). Mais uniquement pour votre usage personnel. Autant dire qu’elles n’ont aucune valeur dans ces conditions (à part les contempler et les montrer à vos proches). Plus étonnant encore, vous avez le droit de faire des copies parfaites de GML. Vous pouvez aussi les diviser ou les coller ensemble. En fait, chaque coupure de GML est numérotée et c’est uniquement ce numéro qui compte. Photocopier des GML ne vous rend donc pas plus riche (contrairement à ce que l’on connaît chez nous avec les Shapefiles). C’est aussi pour cette raison que les Inspiriens les laissent en permanence à la banque alors que chez nous on les accumule sous des matelas. Cela se comprend. Une faillite de nos banques est vite arrivée faute d’échanges financiers entre banques. En Inspirie, les banques se soutiennent les unes et les autres. On peut changer de banque sans formalité et nos biens sont disponibles dans n’importe quelle banque en toute transparence et sans frais.
FauneMais bon, si l’on va en Inspirie, ce n’est pas pour sa monnaie. C’est plutôt pour sa faune. Le pays entier est une sorte de parc naturel dans lequel on peut facilement observer des ouebservices. Animaux grégaires, sociables et capricieux. Certains sont très spectaculaires et se laissent approchés alors que d’autres se cachent. Certains peuvent se domestiquer. Certains peuvent être effrayants sans pour autant être dangereux.
La plupart d’entre eux ont une utilité pour l’homme (même s’ils se montrent pas toujours au grand jour). Il faut dire qu’ils sont le fruit d’expériences de généticiens. Certaines d’entre elles semblent avoir mal tourné. [On raconte qu’au départ les premiers ouebservices wéhaifesse avaient tendances à produire des KKML. Un généticien fou aurait réussi à faire en sorte qu’il en sorte du GML à la place. Difficile d’y croire. Sans doute une blague pour se moquer de ces savants fous.] L’utilité des ouebservices dans l’ensemble ne fait pas de doute. Néanmoins, les spécialistes ne sont pas d’accord sur la manière de les nourrir, de les faire se reproduire ou de les exploiter. Ce sont des animaux complexes et très récents. Il est donc légitime que les connaissances qui les concernent fassent débat (même chez leurs créateurs). L’utilité de certains est encore inconnue ou spéculative (la branche des ouebservices invokus). D’autres auraient une utilité évidente dans nos contrées et pourtant sont complètement délaissés en Inspirie : les ouebservices téjihaisse. Ces derniers sont trop rares par chez nous. On se demande si cette espèce n’est pas en train de disparaitre. Il faudrait sans doute qu’elle évolue pour survivre. [Il semblerait que des généticiens soient sur l’affaire]
Beaucoup de touristes veulent adopter un ou plusieurs ouebservices à la suite d’une visite en Inspirie. Malheureusement, s’en occuper nécessite bien souvent des compétences très pointues. De plus leur adaptation à un nouveau régime alimentaire est difficile. Sans parler de leur caractère ; ils ne sont jamais violents mais leurs caprices nécessitent beaucoup de patience. Il n’est pas rare que leurs propriétaires peu expérimentés les abandonnent. Il faut savoir qu’il est aussi possible de mettre ses ouebservices en pension. Ainsi vous pouvez en profiter tout en confiant leurs soins quotidiens à des spécialistes.
Ambiance localeLa population locale, ses mœurs et coutumes laissent une impression étrange :
– un enthousiasme phénoménal de la population dans une ambiance de messages positivistes placardés sur tous les murs par le gouvernement local. Étonnant ce pays où les autochtones donnent l’impression d’être plus heureux que les touristes. Réalité ou subversion ?
– un mélange de liberté totale et de règles de bonnes conduites très complexes. Comment expliquer que l’on a l’impression permanente que la police locale risque de vous tomber dessus (alors que l’on ne la voie jamais) ? Un exemple que presque tous les touristes dans ce pays ont connu au moins une fois : on sort machinalement de son porte-monnaie un billet de Shapefile (que l’on a oublié de convertir au bureau de change) pour se payer un petit souvenir ; le commerçant nous regarde gentiment, hésite un peu avant de le prendre et pendant cette hésitation on se demande s’il va l’accepter ou s’il va appeler la police pour fabrication, recel et usage de fausse-monnaie. La recette pour régler ce moment de gêne bilatéral : on lui explique avec une dose assumée de mauvaise foi que l’on est nouveau et que l’on n’a pas encore assimilé toutes les usages du pays.
– une population locale très peu nombreuse (comparée à celle des touristes qui traversent sans cesse le pays). Elle semble vouloir accueillir le reste du monde à bras ouverts. De fait, on croise plus touristes que d’autochtones. Les premiers demandant en permanence aux seconds de leur expliquer, réexpliquer, réexpliquer, réexpliquer les bons usages locaux (on croit les avoir compris la première fois mais dès qu’on essaie de les mettre en œuvre le doute vous submerge inévitablement). Effectivement, quand on est chez soi on a facilement l’impression que les choses simples sont faites partout de la même manière. Les choses simples devraient être universelles en somme. Mais cette vision des choses n’est plus aussi évidente dès que l’on traverse la frontière (ou même simplement en lisant les guides touristiques).
EvolutionDe l’avis général des touristes, le pays a besoin d’être réformé s’il veut continuer à exister (pas uniquement dans le domaine touristique). La complexité des usages et pratiques locales est un défi souvent bien trop important pour ceux qui n’y sont pas nés. Visiblement, ses dirigeants en ont conscience et promettent des changements.
Nous verrons si cette destination tiendra ses promesses.
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