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    3531 éléments (4 non lus) dans 55 canaux

    Oslandia (1 non lus)

    • sur GéoDataDays 2024

      Publié: 25 July 2024, 6:49am CEST par Caroline Chanlon

      Oslandia est cette année encore sponsor des GéoDataDays qui se tiendront les 19 et 20 septembre 2024 à Nantes ! Retrouvez-nous sur notre stand et sur l’espace Démo pour un atelier dédié à Piero, l’application Web 3D SIG/BIM open source !

      Venez discuter des dernières avancées de l’open source Geospatial, voir les projets que nous avons réalisés, et découvrir comment nous pouvons répondre à vos problématiques.

      Vous y croiserez notamment Bertrand Parpoil, Vincent Picavet, Florent Fougeres et Vincent Bré !

      Inscription : [https:]]

    • sur [1’Tech by Oslandia] open data

      Publié: 23 July 2024, 6:55am CEST par Caroline Chanlon

      Dans cette minute Tech, nos collaborateurs vous proposent d’expliquer une technologie, une méthodologie, un concept. Après open source, LiDAR, webGL, réversibilité, TCO et même télétravail, on a brainstormé sur GitLab pour donner notre meilleure définition de l’open data

      L’open data ( « Donnée ouverte » ), est la donnée librement accessible. Elle concerne notamment toutes les données publiques accessibles aux usagers : citoyens, entreprises, collectivités, … Elles peuvent être d’origine privée mais sont la plupart du temps mises à disposition par une collectivité ou un établissement public.

      L’Open Knowledge Foundation en 2005 donnent les critères essentiels de l’open data : la disponibilité, la réutilisation et la distribution, et la participation universelle. En France, il existe un cadre légal obligeant à l’ouverture de certaines données.
      Ces ressources ouvertes accessibles dans des catalogues de données, permettent de construire des outils comme des observatoires pour lesquels la représentation cartographique est utilisée.

      Oslandia a travaillé sur de nombreux projets mobilisant de l’open data, c’est le cas de Terristory®, un outil partenarial d’aide au pilotage de la transition des territoires ou sur des projets avec Bruxelles Environnement. Nous avons également une connaissance approfondie de la donnée OpenStreetMap.

      L’open data permet d’alimenter ces outils numériques avec de la donnée de qualité permettant ainsi des services de qualité.

      OpenData et OpenSource forment le combo libre et efficient !

    • sur [Équipe Oslandia] Jean-Marie, développeur C++ / Python

      Publié: 18 July 2024, 7:30am CEST par Caroline Chanlon

      Jean-Marie a toujours aimé l’électronique et tout ce qui touche au traitement du signal. Il rejoint l’INSA Rennes, une école d’ingénieur généraliste en spécialité ESC – Electronique et Systèmes de Communication (aujourd’hui E&T) sur les problématiques télécommunications.

      Il réalise son stage de fin d’étude chez Silicom à Rennes sur le sujet « Modélisation de systèmes de communication » sous Matlab avant d’être embauché par la même entreprise mais pour une toute autre mission …le développement d’une application informatique de simulation de réseaux télécom pour la DGA avec QT en C++ !

      « Je ne connaissais pas trop l’informatique, quelques notions pendant mes études, mais j’aimais bien, ça me plaisait de pouvoir me lancer là dedans. J’ai acquis des connaissances en pratiquant, c’est comme ça qu’on apprend ! »

      Ensuite, Jean-Marie saisit l’opportunité de travailler sur le passage au tout numérique via la TNT. « J’ai travaillé pendant 2 ans et demi au CSA, j’ai réalisé des études sur la planification de fréquences, étudié les couvertures des émetteurs TNT. C’était une super expérience, j’ai travaillé sur un projet qui a impacté les français au quotidien ! »

      De retour à Rennes, il reprend le développement en C++ avec QT, notamment pour un projet d’analyse de signaux sismiques du CEA et découvre QGIS. Une nouvelle compétence qu’il mobilise pour la DGA et le développement d’un outil basé sur QGIS pour l’affichage de données relatives à l’aide à la planification de missions satellites.

      « 14 ans chez Silicom, il était temps de passer à autre chose »

      Jean-Marie rejoint Oslandia en novembre 2021 en tant que développeur C++ / Python où il réalise des missions de développement et DevOps, notamment pour Viamichelin sur la refonte du calcul d’itinéraire de l’outil en ligne ou pour l’IGN pour la mise en place du calcul d’itinéraire sur la nouvelle Géoplateforme.

      Projet emblématique

      Jean-Marie a produit 80% du code d’OpenLog, un outil de visualisation de données de sondage open source porté par Apeiron (filiale d’Oslandia).

      « Ce projet m’a permis de mobiliser mes connaissances sur la représentation de données »

      Technologies de prédilection

      Python et C++

      Ta philosophie

      Le partage ! Ce qu’on produit peut être utilisé par d’autres, nous partageons nos connaissances et notre travail !

      Oslandia en 1 mot

      Ouverture par rapport à l’open source et dans le sens où tout est transparent dans l’entreprise, tout le monde peut donner son avis, les décisions sont prises collectivement.

    • sur TerriSTORY® – Une histoire de territoires OpenSource

      Publié: 16 July 2024, 7:04am CEST par Sylvain Beorchia

      Lorsque nous avons commencé à travailler sur Terristory en 2018, c’était alors un POC (Proof Of Concept) commandé par AURA-EE,  Auvergne Rhône-Alpes Énergie Environnement. Le premier sprint devait convaincre de la faisabilité et projeter les ambitions de l’association. 6 ans plus tard, la plateforme devenue publique est un projet OpenSource maintenu de façon autonome directement par AURA-EE.

      Le développement de la plateforme s’est déroulé sur plusieurs années. Au départ Oslandia était le prestataire chargé de réaliser et conseiller l’AURA-EE sur le projet, mais il était prévu aussi de former petit à petit les équipes côté association et de transmettre le savoir pour un jour permettre une totale autonomie. En parallèle, il y avait une volonté forte de la part d’Oslandia d’arriver à terme à une ouverture du code source de l’application, ce qui était également une volonté d’AURA-EE dès le départ.

      Publier le code source d’une application (ici un site web) n’est pas forcément une tâche difficile en apparence.  On pourrait penser qu’il s’agit juste de créer un répertoire gitlab et d’y déposer le code. Dans les faits, c’est ce qui se passe. Néanmoins, une bonne préparation en amont est nécessaire si on souhaite une ouverture de qualité.

      De nombreuses questions se bousculent alors

      Quand doit-on publier ? Est-ce que la documentation est prête ? Dois-je traduire en anglais ? A-t-on résolu tous les bugs critiques ? Comment va se passer la publicité ? Y-a-t il un formalisme à respecter ? Les aspects juridiques sont-ils couverts ? Est-on prêt à recevoir les retours de la communauté ?

      Les étapes

      La première chose à faire était de choisir la licence. Dans le cas de Terristory c’est la GNU Affero (ou AGPL) version 3 qui a été sélectionnée, après étude des tenants et des aboutissants. Ici il s’agit d’un outil serveur, sur lequel AURA-EE et les différents partenaires impliqués au sein d’un consortium national voulaient que les modifications faites par les utilisateurs soient reversées.

      Un premier travail de documentation et de structuration du code a été entrepris par AURA-EE. Avoir une bonne documentation, des guidelines sont essentiels pour s’assurer que toute personne intéressée par la réutilisation ou par la contribution au code puisse aisément installer, tester et ajouter de nouvelles fonctionnalités.

      Le code de Terristory a également connu de nombreuses phases de refactoring, c’est à dire de réécriture de certaines parties parce qu’obsolète, pas assez efficaces ou suite à des changements de librairies utilisées. Outre les évolutions fonctionnelle d’une telle application, le refactoring constitue une partie importante de la vie du logiciel. D’autant plus sur les applications Web où les avancées technologiques sont rapides. Il faut maintenir le code, et suivre l’évolution des librairies sous-jacentes si on veut pouvoir faire évoluer le site plus facilement et par un maximum de personnes. Côté Oslandia, nous anticipons au mieux ces phases de développement pour éviter le jour J de devoir faire une revue totale et potentiellement complexe du code juste avant la publication.

      Oslandia a accompagné AURA-EE sur toutes ces années, et a réussi à lui transmettre la culture de l’OpenSource, aussi bien techniquement que dans les méthodes de travail. Ainsi, les collaborateurs d’AURA-EE sont vite devenus des utilisateurs experts de Gitlab, des utilisateurs experts de la solution, puis des développeurs de l’application, pour enfin procéder eux-même à la libération publique du code. En tant qu’ancien développeur principal de l’application pendant plusieurs années, je suis personnellement assez fier du travail accompli et de la manière dont les choses se sont déroulées.

      [Témoignage]

      Pierrick Yalamas, Directeur intelligence territoriale et observatoires à Auvergne-Rhône-Alpes Énergie Environnement :
      « Oslandia a su nous accompagner durant les premières années du projet TerriSTORY® : des premiers développements à l’appui juridique (choix de la licence) pour l’ouverture du code. L’équipe est maintenant complètement autonome. L’ouverture du code début 2023 a déjà donné lieu (mi-2024) à plusieurs réutilisations, qui permettent d’enrichir les fonctionnalités de TerriSTORY®. »

      Notre vision

      Le projet TerriSTORY® et la manière dont il s’est déroulé correspond à la vision d’Oslandia de la relation client : notre objectif est de fournir les outils et les méthodes permettant aux organisations que nous accompagnons d’être le plus efficace et le plus autonome possible. Et ce, sur tous les aspects d’un projet logiciel : technique, mais aussi organisationnel, juridique, sur l’infrastructure de développement et les process mis en place. Voir des solutions que nous avons ébauchées prendre leur propre autonomie, dans le respect de l’esprit du logiciel libre est une satisfaction et une fierté pour toute l’équipe, et nous sommes reconnaissants à l’AURA-EE de nous avoir fait confiance pour cela.

    • sur Déplacements dans Paris x JO et Para 2024

      Publié: 4 July 2024, 7:22am CEST par Caroline Chanlon

      L’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques à Paris cet été pose la question des déplacements parisiens. Chez Oslandia, le mot d’ordre est très clair : aucun déplacement dans Paris ! Et si la rencontre « physique » est indispensable, nous pouvons proposer à nos clients et partenaires d’utiliser des locaux dans d’autres villes, Lyon par exemple.

      Ensuite, il s’agit de bien cerner ce qui est indispensable ou pas … Pour rappel, Oslandia fonctionne en full remote et cela depuis près de 15 ans ! L’équipe est répartie dans la France entière, tout comme nos clients, et cela ne nous a jamais empêché de livrer de beaux projets ?

      En parlant d’ailleurs de beau projet et de JO, la plateforme JOPTIMIZ, composée de plusieurs applications, va prochainement permettre de fournir des services de calcul d’itinéraires adaptés aux contraintes réglementaires mises en place par la Préfecture pendant l’été et effervescence des JO et Para JO.

      Oslandia a plus spécifiquement collaboré sur l’outil Itineriz en partenariat avec ALLOHOUSTON, notre partenaire qui a également travaillé sur CirQliz, un outil qui permet aux entreprises de faire valider leurs véhicules avant les JO, délivrant un QR code par véhicule pour faciliter les contrôles de police en zone bleue.

      Itineriz permet de son côté d’adapter son trajet en fonction des restrictions et dérogations liées aux Jeux 2024 et à la ZFE de votre ville.

      Voilà des applications qui seront bien utiles cet été ?

    • sur Oslandia x Open Source Experts

      Publié: 2 July 2024, 6:43am CEST par Caroline Chanlon

      Open Source Experts est un guichet unique fédérant les acteurs de l’open source en France dans un objectif de développement de l’écosystème et d’accès à de nouveaux marchés.

      OSE centralise les experts open source, offrant ainsi un interlocuteur unique pour les donneurs d’ordres.

      Ce regroupement des acteurs open source a déjà montré ses capacités avant même l’officialisation OSE, par exemple pour le marché de support open source de la CNAM

      Oslandia est fière de faire partie des experts « partenaires qualifiés » open source avec OSE, pour accompagner toutes les organisations à leurs usages et migrations vers des SIG libres !

      Bravo pour cette initiative portée par nos confrères Arawa, BlueMind, FactorFX, Inno3 et Worteks

    • sur Comparaison des solutions de collecte de terrain : QField et LandSurveyCodesImport (LSCI)

      Publié: 27 June 2024, 7:11am CEST par Loïc Bartoletti
      Introduction

      Chez Oslandia, nous offrons des services pour la gestion des réseaux, les collectivités et la production de plans de corps de rue simplifiés (PCRS). Parmi ceux-ci, nous proposons des assistances et développements pour les solutions de collecte de terrain. Dans le billet précédent, nous faisions état de ces solutions. Cet article explique les différences entre deux solutions de collecte : QFIELD et LandSurveyCodesImport (LSCI). Nous sommes, en même temps, partenaires d’OpenGIS.ch, éditeur de QField, et les développeurs de LandSurveyCodesImport (LSCI). Pourquoi proposer deux outils ?

      QField : Modification directe des données

      QField est une application mobile développée autour de QGIS. Conçue pour une utilisation intuitive sur le terrain, elle permet aux utilisateurs de :

      • Modifier les données SIG en temps réel : les relevés et modifications peuvent être effectués directement sur le terrain et synchronisés immédiatement avec la base de données principale.
      • Accès facile aux informations : les utilisateurs ont un accès direct aux cartes et aux données géospatiales, ce qui permet une prise de décision rapide et informée.
      Cas d’utilisation de QField
      • Cartographie environnementale : des naturalistes peuvent utiliser QField pour relever des données sur la faune et la flore, mettant à jour instantanément la base de données.
      • Gestion des infrastructures : les techniciens des services publics peuvent enregistrer et modifier les informations sur les infrastructures directement sur le terrain.
      LandSurveyCodesImport (LSCI) : Saisie de points et codes pour topographes

      LandSurveyCodesImport (LSCI) est un plugin QGIS destiné principalement aux topographes. Il permet la saisie de points et de codes à partir de carnets de terrain, suivi d’un traitement et d’une intégration dans QGIS. Ce processus est particulièrement utile pour :

      • La saisie structurée des données : les topographes peuvent enregistrer des points précis et des codes descriptifs, facilitant ainsi le traitement ultérieur des données.
      • Intégration avec les outils de topographie traditionnels : compatible avec les stations totales et les appareils GNSS, LSCI facilite la transition des données de terrain vers le SIG.
      Cas d’utilisation de LSCI
      • Topographie urbaine : les équipes de topographie peuvent collecter des données détaillées sur les structures urbaines et les intégrer facilement dans QGIS pour une analyse approfondie.
      • Géodésie et levés cadastraux : les géomètres et topographes peuvent utiliser LSCI pour traiter les relevés topographiques et produire des cartes précises 3D.
      Intégration avec d’autres outils

      LSCI s’intègre dans une suite d’outils spécialisés :

      • TotalOpenStation : Utilisé pour la conversion des carnets de terrain en données numériques.
      • Topaze : Outil de calcul topométrique pour une analyse détaillée des relevés.

      Leurs utilisations conjointes permettent de créer une chaîne de traitement des données efficaces pour intégrer les données capteur GPS à la base de données.

      Complémentarité des outils

      Bien que QField et LSCI semblent répondre à des besoins différents, ils peuvent être utilisés dans le même service pour une gestion complète des données de terrain. QField permet une mise à jour immédiate et directe des données, tandis que LSCI offre une solution structurée pour les relevés topographiques.

      Contrôle qualité avec QompliGIS

      Enfin, n’oublions pas de vérifier la donnée ! Pour cela, nous poussons QompliGIS qui est un outil pour le contrôle qualité des données SIG. Il permet de s’assurer que les plans produits sont conformes aux normes requises, garantissant ainsi la fiabilité et la précision des informations géospatiales.

      Conclusion

      QField et LandSurveyCodesImport (LSCI) répondent à des besoins spécifiques pour la saisie terrain. Chez Oslandia, nous proposons notre expertise et nos services de développement pour intégrer ces solutions dans vos processus et répondre à vos exigences spécifiques.

      Vous avez envie d’intégrer ces outils à vos SI ? Vous souhaitez co-développer de nouvelles fonctionnalités ? Contactez-nous !

    • sur [Témoignage client] Sylvain Petiteau, géologue expert en contrôle géologique chez Orano

      Publié: 25 June 2024, 7:07am CEST par Caroline Chanlon

      Sylvain Petiteau est géologue de formation et géologue expert en contrôle géologique chez Orano. Après des missions au Kazakhstan, en Mongolie et au Niger, il travaille aujourd’hui sur l’estimation des ressources géologiques et le contrôle qualité des mineurs. Dans ce contexte Sylvain Petiteau collabore avec Oslandia sur le projet CanOP permettant d’identifier la teneur en uranium des minerais sur un site d’extraction au Niger.

      Retour sur la collaboration :

      Il y a quelques années, nous avons initié un projet d’innovation CanOP  qui s’est converti en projet d’industrialisation. Il s’agissait de remplacer une technologie ancienne sur un site minier de plus de 50 ans d’existence par un nouveau concept technologique. L’objectif était de nous aider à améliorer la sélectivité minière (notre capacité à séparer les roches minéralisées chargées en Uranium des roches stériles) notamment en ajoutant la géolocalisation aux mesures.

      Le dispositif technique consiste en une perche métallique équipée de trois composants : deux cristaux qui effectuent des mesures de la radioactivité et un GPS différentiel avec une précision de l’ordre du millimètre.

      Cette canne est connectée à une tablette en bluetooth qui envoie des informations géolocalisées de la mesure de la radioactivité. Les informations reçues par la tablette sont traitées par l’application CtrlCraft développée par Oslandia. Plusieurs cannes peuvent opérer en parallèle à différents endroits. Les données acquises sont ensuite regroupées et enregistrées dans une base de données centrale afin de suivre la production. Le croisement de ces données avec nos prévisions de production nous permet également d’améliorer nos modèles 3D de la teneur.

      CanOP participe à la diminution de la co-activité. Une fois les mesures réalisées par les aides prospecteurs, ils peuvent se mettre en retrait de l’activité d’extraction pour guider à distance le travail de la pelle en suivant l’exploitation sur l’application CtrlCraft. On gagne énormément en sécurité.

      Oslandia est disponible, à l’écoute et s’est bien adapté à nos demandes en conciliant les possibilités de développement, notamment de l’outil QGIS, aux besoins qu’on leur décrit. Le projet s’est monté en mode agile, la solution évoluant avec nos besoins. Nous avons de bonnes interactions avec Jacky notre interlocuteur principal sur le développement.

    • sur Corpo d’été !

      Publié: 24 June 2024, 11:35am CEST par Caroline Chanlon

      Oslandia se veut une structure atypique, avec des valeurs affirmées basées sur l’autonomie, la confiance et l’ouverture.

      Nous avons misé depuis la création d’Oslandia sur un fonctionnement en 100% télétravail avec des collaborateurs répartis dans la France entière. Pour une organisation libre des missions et de la journée de travail !
      On a d’ailleurs évoqué le sujet du télétravail récemment dans un billet.

      Mais nous avons aussi grand plaisir à nous retrouver, c’était le cas en juin pour notre Corpo d’été :

      Les Corpos sont l’occasion de partager des moments privilégiés et d’échanger sur des sujets de fonds. Pendant ces journées où nous avons de nouveau été magnifiquement accueillis à la Tour d’Oncin, nous avons plus spécialement travaillé sur notre offre de formation, fait des ateliers DuckDB, Dagster, PostGIS 3D, discuté de notre utilisation de l’IA ou des participations aux conférences …

      Sans oublier les moments de partage autour d’une dégustation de vin AOC Bugey, une activité Escape Game ou encore le sauna du lieu !

    • sur Question du mois chez Oslandia : Quel est mon intérêt à financer de l’open source ?

      Publié: 21 June 2024, 6:24am CEST par Caroline Chanlon

      Chez Oslandia, nous croyons fermement aux multiples avantages du financement de l’open source. Voici quelques éléments clés qui mettent en lumière les raisons pour lesquelles cela constitue une stratégie judicieuse pour toute organisation :

      Orienter la roadmap

      En finançant des projets open source (développement de fonctionnalités, corrections de bugs…), vous avez la possibilité d’influencer la feuille de route du développement. Vos besoins spécifiques sont mieux pris en compte, assurant ainsi que les évolutions du projet répondent à vos attentes.

      Maintenance optimisée

      L’un des grands avantages de l’open source est que la maintenance et les améliorations futures sont prises en charge par l’ensemble des contributeurs de façon mutualisée. Cela réduit la charge de travail globale, et particulièrement la charge de maintenance interne du code produit par votre financement, et assure ainsi une évolution continue du logiciel en respectant le niveau de qualité attendu.

      Visibilité et communication

      En contribuant financièrement à l’open source, vous bénéficiez d’une visibilité accrue. Les contributions sont relayées au sein des communautés, offrant ainsi une publicité positive et renforçant votre image de marque, tant auprès de la communauté qu’auprès des autres organisations utilisatrices. Cette communication produit également un effet « boule de neige » où d’autres organisations suivront votre exemple, et vous bénéficierez de leurs financements dans le futur.

      Reconnaissance communautaire

      La reconnaissance par la communauté open source est un atout majeur. Être perçu comme un acteur clé et un soutien de l’open source peut renforcer votre crédibilité et votre influence, solidifiant l’écosystème de votre socle technologique. Cette reconnaissance facilite par la suite les échanges avec la communauté et les réponses que celle-ci pourra apporter à vos problématiques.

      Avantages RH

      Enfin, investir dans l’open source est un levier important pour attirer et retenir les talents. Les développeurs sont attirés par des entreprises engagées dans l’open source, perçues comme innovantes, tournées vers l’avenir et porteuses de sens dans le travail.

      En conclusion, financer l’open source n’est pas seulement une question de philanthropie technologique, c’est aussi une stratégie d’entreprise solide qui apporte de nombreux bénéfices tangibles. Chez Oslandia, nous sommes fiers de promouvoir et de soutenir l’open source, car nous croyons en son potentiel à transformer positivement les pratiques et les technologies. C’est aussi le cas de nos clients et partenaires, et ensemble nous faisons progresser les technologies du libre, le bien commun, le tout avec une raison d’être au travail que nous fournissons.

    • sur [Equipe Oslandia] Gwendoline, développeur QGIS web

      Publié: 20 June 2024, 6:59am CEST par Caroline Chanlon

      Ingénieur à l’INSA de Lyon en bio-informatique, Gwendoline ne souhaite pas aller vers une thèse et s’oriente dans le domaine du séquençage ADN. Une spécialité qui l’amène vers sa première expérience professionnelle au CNRS dans une station marine à Roscoff en Bretagne.

      Elle travaille au service informatique, en appui aux chercheurs et participe au développement d’un logiciel d’interfaçage « clic – bouton » avec les outils lignes de commande, pour proposer un outil aux chercheurs leur permettant de répéter les workflows rapidement sur un autre jeu de données et les rendre accessibles dans le cadre des publications scientifiques.

      « Je devais comprendre les biologistes pour transmettre les besoins aux informaticiens, mes compétences en bio-informatique et en informatique m’ont bien aidées ! « 

      Après 3 ans et demi au CNRS, direction la région PACA et la Société du Canal de Provence au service informatique !

      Pendant 5 ans, Gwendoline travaille sur de nombreux projets : évolution d’un plugin QGIS en Python pour générer des cahiers parcellaires, mise en place d’IDG, de requêtes PostGIS, d’applications de relevés sur le terrain et de plein d’autres plugins !

      « En cherchant des informations sur un logiciel, je suis tombée sur un article d’Oslandia, je me suis plus renseignée et vu que des postes étaient ouverts ! « 

      Gwendoline est développeur QGIS web chez Oslandia depuis 2021. Elle a pour mission le développement de projets autour de QWC comme pour WKN, mais aussi dans le cœur QWC, dans le cadre de missions open source, ainsi que la formation QGIS / PostGIS et QWC.

      Projet emblématique

      La traduction de l’interface d’administration de QWC ! C’est quelquechose que je ne fais jamais ! C’était un travail de fourmi qui apporte une grande satisfaction quand c’est finalisé !
      A retrouver sur : [https:]]
      et la documentation pour l’activer : [https:]]

      Technologie de prédilection

      Python !

      Sa philosophie

      D’un bout à l’autre ! J’aime maîtriser toute la chaîne : du besoin client jusqu’à la documentation !

      Oslandia en 1 mot

      Bienveillance entre collègues et aussi au niveau des clients, on fait toujours au plus juste, avec une volonté de les former, pour les rendre autonomes.

    • sur Bruxelles Environnement / Accompagnement technique pour la mise en œuvre des politiques régionales liées à l’environnement

      Publié: 18 June 2024, 7:05am CEST par Caroline Chanlon

      Bruxelles Environnement est un organisme public de la région de Bruxelles-Capitale chargé de concevoir et de mettre en œuvre les politiques régionales dans toutes les matières liées à l’environnement.

      À ce titre, Bruxelles Environnement publie un certain nombre de données en opendata, notamment en exposant des flux OGC sur sa plateforme.

      Oslandia l’accompagne sur :
      • l’administration et le maintien en condition opérationnelle des bases de données PostGIS. Cela implique notamment les migrations de versions majeures de PostgreSQL et PostGIS
      • la configuration, le déploiement, l’administration et le MCO des serveurs de cartographie : MapServer, QGIS Server, via Docker, GitLab CI/CD et Ansible.

      Oslandia accompagne également Bruxelles Environnement en proposant des sessions de formations sur PostgreSQL / PostGIS depuis plus de 10 ans. Avoir les compétences en interne a toujours été un choix de l’organisme pour garder de l’expertise au sein de l’équipe SIG.

      Les sessions de formations ont lieu annuellement et se divisent en 2 parties.

      La première pour des débutants ayant peu ou jamais touché aux notions de bases de données spatiales. L’enjeu est important ici, comme pour toutes formations débutants, en plus de donner les bases de compréhension, il faut arriver à motiver les utilisateurs et leur démontrer l’intérêt de la chose.
      La seconde, pour des utilisateurs déjà expérimentés, permet d’approfondir leurs connaissances et elle est souvent données à la carte: les participants choisissent le programme et viennent souvent avec des questions très précises.

      Avoir la compétence en interne permet le lien avec notre assistance en parallèle. La bonne communication est primordiale, et parler le même langage est forcément un atout. L’assistance permet aussi à Bruxelles Environnement d’être aidé pour la mise en place en production de points abordés en formation et d’approfondir des utilisations avancées.

    • sur Sortie de QField 3.3 « Darién »

      Publié: 14 June 2024, 3:05pm CEST par Vincent Picavet

      Oslandia est le partenaire principal d’OPENGIS.ch pour QField. Nous sommes fiers aujourd’hui de relayer l’annonce de la nouvelle version 3.3 « Darién » de QField. Cette version introduit un tout nouveau framework de plugins qui permet aux utilisateurs de personnaliser et d’ajouter des fonctionnalités complètement nouvelles à leur application de terrain préférée.

       

      Le framework de plugins est accompagné d’autres nouvelles fonctionnalités et améliorations pour cette version, détaillées ci-dessous.

      Les points marquants

      L’une des plus grandes nouveautés de cette version est un tout nouvel outil de dessin qui permet aux utilisateurs d’annoter des détails importants sur des photos capturées ou de prendre des notes sur des modèles de dessin. Cette fonctionnalité, très demandée, est désormais disponible sur toutes les plateformes prises en charge (Android, iOS, Windows, macOS et, bien sûr, Linux) grâce au soutien financier du groupe d’utilisateurs QGIS suisse.

      Cette version inclut également la prise en charge du copier-coller de features vectorielles dans et depuis le presse-papiers. Cela est utile de plusieurs manières, offrant un moyen rapide et facile de transférer des attributs d’une fonctionnalité à une autre via des noms de champs correspondants ou de coller les détails d’une fonctionnalité capturée sur le terrain dans une application de messagerie tierce, de traitement de texte ou de courrier électronique. Le copier-coller de features peuvent se faire via le menu du formulaire des features, ainsi que par un appui long sur la carte. De plus, un nouveau raccourci de transfert d’attributs de feature à feature a également été ajouté au menu du formulaire de feature. Remerciements au canton Suisse de Lucerne, Environnement et Énergie pour le financement de cette fonctionnalité.

      Also landing in this version is support for copying and pasting vector features into and from the clipboard. This comes in handy in multiple ways, from providing a quick and easy way to transfer attributes from one feature to another through matching field names to pasting the details of a captured feature in the field into a third-party messenger, word editing, or email application. Copying and pasting features can be done through the feature form’s menu as well as long pressed over the map canvas. Moreover, a new feature-to-feature attributes transfer shortcut has also been added to the feature form’s menu. Appreciation to Switzerland, Canton of Lucerne, Environment and Energy for providing the funds for this feature.

      Le formulaire de feature continue de gagner en fonctionnalités ; dans cette version, le widget de l’éditeur de carte de valeurs du formulaire de features a gagné une nouvelle interface de bouton qui peut accélère la saisie des données. L’interface remplace la boîte combo traditionnelle par une série de boutons-bascule, réduisant le nombre de clics nécessaires pour choisir une valeur. L’Institut archéologique allemand – KulturGutRetter a parrainé cette fonctionnalité.

      D’autres améliorations du formulaire de fonctionnalité incluent la prise en charge du regroupement des éléments de relation de valeurs et le respect du paramètre « réutiliser la dernière valeur entrée » des attributs de la couche vectorielle.

       

      Enfin, des fonctionnalités supplémentaires incluent la prise en charge de la superposition de décorations d’images, une nouvelle interface pour basculer entre les caméras (avant, arrière et dispositifs externes) pour la caméra « non native », la possibilité de désactiver le geste de rotation de la carte à trois doigts, et bien plus encore.

      Améliorations d’interface utilisateur

      Les utilisateurs de longue date de QField remarqueront le nouveau style des panneaux d’information tels que le positionnement GNSS, la navigation, le profil d’élévation et les données des capteurs. Les informations sont désormais présentées sous forme de superposition sur la carte, ce qui augmente la visibilité de la carte tout en améliorant la mise en avant et la clarté des détails fournis. Avec cette nouvelle version, tous les détails, y compris l’altitude et la distance jusqu’à la destination, respectent le type d’unité de distance configuré par l’utilisateur dans le projet.

      La légende du tableau de bord a également reçu de l’attention. Vous pouvez désormais basculer la visibilité de n’importe quelle couche via un simple clic sur une nouvelle icône en forme d’œil située dans l’arbre de la légende. De même, les groupes de légendes peuvent être développés et réduits directement dans l’arbre. Cela vous permet également de montrer ou de masquer des couches tout en numérisant une fonctionnalité, ce qui n’était pas possible jusqu’à présent. Le développement de ces améliorations a été soutenu par Gispo et parrainé par le Service national du cadastre de Finlande.

      The dashboard’s legend has also received some attention. You can now toggle the visibility of any layer via a quick tap on a new eye icon sitting in the legend tree itself. Similarly, legend groups can be expanded and collapsed directly for the tree. This also permits you to show or hide layers while digitizing a feature, something which was not possible until now. The development of these improvements was supported by Gispo and sponsored by the National Land Survey of Finland.

      Framework de plugins

      QField 3.3 introduit un tout nouveau framework de plugins utilisant le puissant moteur QML et JavaScript de Qt. Avec quelques lignes de code, des plugins peuvent être écrits pour ajuster le comportement de QField et ajouter de nouvelles fonctionnalités. Deux types de plugins sont possibles : des plugins au niveau de l’application ainsi que des plugins spécifiques au  projet. Pour assurer une facilité maximale de déploiement, la distribution des plugins a été rendue possible via QFieldCloud ! Amsa a fourni la contribution financière qui a permis de réaliser ce projet.

      Notre partenaire OPENGIS.ch proposera bientôt un webinaire pour découvrir comment les plugins QField peuvent améliorer vos workflows de terrain (et votre activité au sens large) en vous permettant d’être encore plus efficace sur le terrain.

      Les utilisateurs intéressés par la création de plugins ou une meilleure compréhension du framework peuvent déjà visiter la page de documentation dédiée et un exemple d’implémentation de plugin intégrant une prévision météorologique.

      Vous avez des questions sur QField ? Intéressés par sa mise en œuvre, n’hésitez pas à contacter Oslandia !

       

    • sur [1’Tech by Oslandia] télétravail

      Publié: 14 June 2024, 6:48am CEST par Caroline Chanlon

      On sort un peu de la minute Tech pour évoquer un « mot » qui nous implique particulièrement chez Oslandia. Alors essayons de donner notre meilleure définition du télétravail !

      Le télétravail est une méthode de travail s’affranchissant de la proximité géographique des collaborateurs.

      Quels avantages au télétravail ?
      • la fin des temps de trajet domicile-travail : un meilleur confort personnel, un bilan carbone fortement réduit
      • une flexibilité accrue dans la gestion de son temps et l’organisation au quotidien
      • des recrutements plus libres et plus faciles
      • une communication et des process organisationnels nécessairement structurés
      • l’efficience du travail asynchrone

      Le télétravail n’est pas un problème en soi, mais c’est souvent un catalyseur de problèmes : chaque difficulté rencontrée peut prendre beaucoup plus d’importance et de criticité en distanciel. Cela oblige à traiter les problèmes à la racine, et ne pas les mettre « sous le tapis » en se disant qu’on les résoudra à la machine à café ! Cela crée un environnement d’entreprise plus sain et plus égalitaire.

      Oslandia baigne dans la culture OpenSource, où le développement logiciel s’effectue par nature de façon distribuée, mondiale, et à distance. Nous avons donc ainsi un fonctionnement interne cohérent avec l’objet de notre activité, et nous nous inspirons des fonctionnements des communautés opensource pour le fonctionnement de l’entreprise.

      Les ingrédients clé d’un télétravail durable, efficient et agréable :
      • un travail qui a du sens, facteur de motivation
      • des postes de travail au domicile adaptés et confortables
      • l’accompagnement RH et psychosocial des collaborateurs
      • des process de fonctionnement et de communication clairs et partagés
      • la culture de l’écrit, et les outils adaptés
      • des rendez-vous réguliers pour se rencontrer de visu

      Oslandia fonctionne en 100% télétravail, et cela depuis sa création il y a 15 ans ! L’équipe est répartie dans la France entière, nos clients aussi, et même à l’international. Nous livrons de beaux projets par nos compétences techniques, mais aussi grâce à notre structure organisationnelle.

    • sur Eurométropole de Strasbourg : une plateforme facilitant le partage et la diffusion interne des données géographiques

      Publié: 13 June 2024, 7:16am CEST par Caroline Chanlon

      L’Eurométropole de Strasbourg a fait appel à Oslandia pour se doter d’une plateforme intranet de nouvelle génération facilitant le partage et la diffusion interne des données géographiques.

      Ce projet bien que porté par un seul service est à destination de l’ensemble de la collectivité.

      De nombreuses données géographiques produites par les géomaticiens n’étaient accessibles que par des clients lourds ayant une interface relativement complexe qui bridait leur utilisation aux personnes initiées.
      De plus la publication des projets QGIS sur la plateforme web nécessitait plusieurs étapes de conversion et vérification.

      Le projet avait donc pour but de simplifier la publication et de populariser l’accès aux données géographiques du SIG au travers de la mise en œuvre d’outils simples d’utilisation, intuitifs, performants et Open Source.

      De plus afin de respecter les normes de sécurité de l’Eurométropole et d’être transparent pour les utilisateurs, la solution recherchée doit être compatible avec le système d’authentification et de gestion de droits de la collectivité.

      Nous avons répondu à cette demande en utilisant et interfaçant plusieurs briques Open Source : QGIS Server, QGIS Web Client 2 (QWC2), Geonetwork, Map proxy et Keycloak.

      Interfaçage des différentes briques OpenSource : QGUS Server, QWC, Geonetwork, Keycloak et PostgreSQL

      Cyle de vie de la donnée

      Le besoin initial de l’Eurométropole était d’avoir un cycle de vie complet allant de la création à la diffusion en passant par le référencement de leurs données géographiques.

      Tout d’abord, les données sont créées depuis le logiciel QGIS Desktop dans une base de données PostgreSQL/PostGIS.

      Pour chaque groupe de données thématique, il est nécessaire de produire une fiche de métadonnée dans le géocataloque de l’EMS (Geonetwork), un fichier .qlr afin de pouvoir charger ces données de manière simple dans QGIS Desktop, un projet qgis pour la diffusion dans la plateforme web (QGIS Server/QWC2).

      creation -> Metadonnée -> publication

      Connexion et sécurité

      Afin de gérer les droits d’accès aux données ainsi qu’aux applications, l’EMS possède un SSO Kerberos basé sur un annuaire AD.

      Durant l’ensemble du projet, la sécurité a été un point majeur afin que ce SSO puisse être intégré dans chaque étapes du cycle de vie de la donnée.

      Tout d’abord l’ensemble des groupes de la base PostgreSQL sont synchronisés avec l’annuaire AD, afin de sécuriser l’accès direct à la donnée.

      Ensuite, pour sécuriser la diffusion, un plugin QGIS Server initialement développé par l’EMS a été repris dans le cadre de ce projet. Les droits définis en base de données (et donc dans l’AD) sont pris en compte pour autoriser ou non la lecture des données et leur affichage sur la plateforme Web selon l’utilisateur connecté.

      Finalement, pour l’accès aux applications, une brique KeyCloak a été installée, elle est moins visuelle mais essentielle. Elle permet de ce connecter au SSO Kerberos et de fournir un protocole OpenIDC compatible nativement avec Geonetwork. Pour la plateforme QWC2, un micro-service spécifique a été développé afin de pouvoir récupérer l’authentification fournie par le module OpenIDC d’Apache.

      La diffusion des projets : QGIS Server / Mapproxy

      Qgis Server permet de diffuser sous forme de flux OGC les projets préalablement créés dans QGIS. Il peut en effet servir les projets avec un rendu de style identique à celui paramétré dans QGIS, ces deux logiciels utilisant le même moteur cartographique. Les projets QGIS déjà existants n’ont eu besoin que de changements mineurs pour pouvoir être servis par QGIS Server et obtenir le même rendu que celui obtenu dans QGIS Desktop.

      Certains fonds de plan sont très utilisés et par définition assez lourd au chargement. Pour une meilleure expérience utilisateur, surtout sur un navigateur web, il ne faut pas que la carte mette trop longtemps à charger. C’est pour cela que MapProxy a été mis en place, pour optimiser le chargement de ces fonds de plan en créant un cache paramétré sur plusieurs niveaux de zoom.

      Le visualisateur cartographique web : QGIS Web Client 2

      QGIS Web Client 2 ou QWC2 est le visualisateur web officiel de QGIS. Il est Open Source et maintenu par la communauté QGIS.

      QWC2 a été installé et personnalisé pour correspondre aux besoins du projet. Plusieurs micro-services ont été utilisés et adaptées, notamment l’extension d’administration permettant ainsi à l’EMS d’être autonome dans la publication de nouveaux thèmes (projet QGIS) ou la modification d’existant en les paramétrant à souhait. En effet on peut pour un thème choisir le nom, la vignette miniature pour repésenter le thème, les fonds de plans disponibles mais également les échelles de zoom ou les échelles d’impression de carte ou le type de recherche qui s’active dans la barre de recherche.

      En effet pour l’EMS nous avons configuré plusieurs recherches :

      • Recherche dans la BAN (Base Nationale Adresse) personnalisée de l’EMS
      • Recherche Cadastral (commune, section, parcelle)
      • Recherche dans le géocatalogue GéoNetwork (pour charger les couches ou consulter le catalogue)

      Cette interface d’administration permet également à l’EMS d’organiser les différents thèmes en groupes pour correspondre aux thématiques des données ou à un classement par équipe de travail; et de rendre accessible de nouveaux fonds de plan.

      Dans certains projets QGIS, des composeurs d’impression sont disponibles. Ces composeurs sont également disponibles dans l’interface Web QWC2 avec des champs personnalisables au moment de l’impression, comme le titre de la carte par exemple.

      Les cartes chargées dans QWC2 ne sont pas figées. En effet l’utilisateur peut personnaliser son visuel de plusieurs manières :

      • Modifier le fond de plan chargé par défaut
      • Cocher et décocher des couches comme dans QGIS
      • Charger quelques couches ou la totalité des couches en provenance d’un autre projet
      • Ajouter des couches en provenance du GeoNetwork EMS grâce à un développement spécifique Oslandia
      • Ajouter des couches en provenance d’un web service externe ou un fichier local de son ordinateur

      Les utilisateurs ont également la possibilité de “dessiner” sur la carte ou d’ajouter des étiquettes pour compléter les informations ou prendre des notes rapidement.

      Toutes ces annotations sont enregistrables via un marque-page et partageables en générant et conservant un permalien.

      Le catalogue de données géographiques : Geonetwork

      Le géocatalogue de l’EMS a été paramétré et modifié afin de répondre à leur besoin. En effet, Geonetwork possède une interface cartographique par défaut. Afin d’intégrer complètement le géocataloque dans le projet, cette interface à été remplacé par la plateforme web QWC2.

      Ce couplage avec QWC2 permet également de faciliter l’ajout des couches du Géocatalogue à une carte déjà ouverte dans la visionneuse.

      Contributions

      Durant cette prestation toutes les évolutions/correctifs qui n’étaient pas spécifiques à l’EMS ont été reversées à la communauté (25 Pull Request et 6 composants modifiés). Travailler avec nous c’est également travailler pour la communauté QGIS.

      L’EMS a même eu envie de participer à l’effort collectif en se lançant dans la contribution opensource et réalisé certaines contributions pendant le projet :

      • Ajout du support XYZ dans l’interface d’admin
      • Ajout de l’option pour paramétrer l’infobulle activé par défaut dans l’ajout de projet depuis l’interface d’administrace.
      • Ajout de l’option dans l’interface d’administration pour choisir si l’on veut que le rendu sur notre projet s’effectue de manière tuilé ou non.
      • Ajout du support de la gestion du type Enum de postgres dans la génération des formulaires

      Si la description de ce projet vous a donné des idées, n’hésitez pas à nous contacter, nous pourrons parler avec vous de vos projets.

    • sur Plugin QGIS French Locator Filter 1.1.0 : API Photon et personnalisation avancée !

      Publié: 31 May 2024, 7:14am CEST par Jean-Marie Kerloch

      Avec près de 50 000 téléchargements depuis sa première version, le plugin QGIS French Locator Filter est utilisé par de nombreux utilisateurs Français. Nous avons dernièrement eu l’occasion de le faire évoluer à l’occasion d’un projet client mais de façon significative et qui profite à tout le monde ! on prend enfin le temps de vous présenter la nouvelle version 1.1.0 !

      Pour rappel ce plugin permet simplement une recherche sur la BAN (Base Nationale des Adresses) depuis la barre de recherche de QGIS (en bas à gauche de l’interface principale).

      French Locator Filter dans le gestionnaire d’extensions de QGIS 3.34 LTR

      Mais pourquoi une nouvelle version pour un plugin qui semble déjà répondre aux besoins des utilisateurs (on n’a quasiment aucune demande entrante) ? Tout simplement parce qu’un de nos clients avait besoin d’un autre service de géocodage et qu’on s’est dit qu’il était bien mieux de le partager avec tous plutôt que de garder ça pour nous/eux.

      Encore une bonne raison pour tous d’adhérer aux principes de l’OpenSource !

      • Le client : la Métropole du Grand Lyon
      • Le projet : refonte de l’application Dryade (outil de gestion du patrimoine arboré) pour un passage sur QGIS
      • Le besoin : permettre l’utilisation d’un outil de recherche d’adresse adossé à un service internalisé et basé sur Photon
      Photon ? késako ?

      Il s’agit d’une API de recherche d’adresse (géocodage) basée sur les données OpenStreetMap (OSM). Développé par Komoot, le service utilise ElasticSearch pour les recherches et se présente comme une alternative au vénérable Nominatim. Si vous voulez essayer, une instance publique est à disposition et disponible sur le site officiel de la solution : [https:]] .

      document.createElement('video'); [https:]]

      L’API se rapproche de celle d’Addok, brique logicielle de géocodage développée pour les besoins de la BAN et désormais bien connue et intégrée un peu partout (notamment sur adresse.gouv.fr et la Géoplateforme de l’IGN). La Métropole du Grand Lyon a déployé une instance en interne dont on peut consulter la documentation parmi les autres services liés à Data Grand Lyon.

      Plutôt que de faire un autre plugin de géocodage, nous avons décidé de mutualiser un maximum de code et d’intégrer le géocodage Photon dans les fonctionnalités du plugin QGIS French Locator Filter. Certes, un travail plus long mais plus pérenne et profitable à beaucoup plus d’utilisateur/ices.

      Fonctionnellement, cet ajout permet d’avoir un service indépendant avec des résultats complémentaires.

      Une personnalisation plus poussée

      En plus de l’enrichissement fonctionnel, nous avons également fait en sorte de rendre le plugin davantage configurable de façon à permettre à un organisme de configurer l’instance de l’API Addok ou Photon à utiliser. Accoutumés à travailler sur les problématiques de déploiement et de configuration de QGIS sur les parcs informatiques, nous en avons profité pour rendre ces différents paramètres réglables via des variables d’environnement.

      French Locator Filter 1.1.0 – Variables d’environnement

      Aidez vous à mieux géocoder dans QGIS

      Nous souhaiterions aller encore plus loin avec le French Locator Filter et nous cherchons des partenaires pour :

      N’hésitez pas à nous contacter sur infos@oslandia.com

      Encore merci à nos partenaires SmartOrigin et Métropole du Grand Lyon qui nous ont fait confiance pour cette prestation.

      Capture d'écran de la fenêtre des paramètres du plugin

      Les paramètres du plugin

    • sur Topographie et topologie dans et autour de QGIS

      Publié: 30 May 2024, 7:04am CEST par Caroline Chanlon

      La réflexion sur la topographie et la topologie dans et autour de QGIS s’est accélérée chez Oslandia depuis 2018 et l’arrivée de Loïc Bartoletti.

      Deux questions ont alimenté cette réflexion :

      • Comment dessiner directement dans le SIG en intégrant des outils de dessin inspirés du monde de la DAO dans QGIS ;
      • Comment intégrer des plugins pour les calculs topographiques directement dans QGIS.

      Pour cela, Oslandia a travaillé sur plusieurs axes : formation, développement de plugins open source et améliorations dans QGIS.

      1- Les plugins

      Les plugins ci-dessous ont été développés par Oslandia ou par des partenaires, avec des contributions Oslandia :

      • landsurveycodesimport : [https:]]
        Un plugin pour les topographes qui travaillent avec la méthodologie de codification des points de topographie.
      • QompliGIS : [https:]]
        Un outil pour conformer son jeu de données, son plan par rapport à un cahier des charges.
      • Total Open Station : [https:]]
        Projet open source né à l’initiative d’archéologues italiens et français, c’est un outil pour convertir les différents formats de carnets de terrain des appareils des topographes.
      • Topaze : [https:]]
        Un outil de calcul topométrique développé avec Jean-Marie Arsac (Azimut). Il s’agissait d’une preuve de concept que ce genre de calculs peut se faire dans un SIG.

      Ces plugins peuvent être utilisés à différents moments d’un projet. On peut les utiliser tous ensemble ou seulement ceux dont on a besoin et les intégrer dans des traitements.

      2- Les améliorations sur QGIS

      Oslandia se mobilise également pour apporter des améliorations dans le cœur QGIS. Ces dernières années, nos équipes ont notamment travaillé sur :

      — intégration d’outils de forme : cercles, ellipses, rectangles, polygones réguliers, … ;
      — amélioration des outils d’accrochage ;
      — amélioration du support des coordonnées Z et M ;
      — amélioration des outils topologiques (relations entre les géométries).

      À venir, la possibilité d’utiliser les plugins de vérification et de correction de la géométrie et de la topologie directement dans les outils de traitements de QGIS développé par Jacky Volpès et Loïc Bartoletti.

      3- Les formations

      Oslandia est certifié QUALIOPI et propose un programme de formations autour de QGIS et QField :

      • Dessin : passer de la DAO au SIG avec QGIS : [https:]]
      • La topographie avec QGIS (LSCI, Topaze, QompliGIS, Total Open Station)
      • Formation à QField
      • Déploiement de QField Cloud

      « En 2023, 89 personnes ont été formées par Oslandia, qui recommandent nos formations à 90,9% »

      4- Et QField ?

      Depuis la mise en œuvre du partenariat avec OPENGIS.ch, Oslandia propose des prestations de déploiement de serveurs QField Cloud, des formations et de l’assistance QField.

      5- À venir !

      Plusieurs billets techniques sont en cours de préparation : comment ouvrir les fichiers DAO dans un SIG ? Quelles différences entre QField et LSCI ? Vous pourrez les retrouver sur notre site dans les prochaines semaines. ?

      Par ailleurs, nous préparons un livre blanc sur le thème de la migration de la DAO vers QGIS que nous devrions sortir en septembre.

      Restez connectés !

    • sur [Equipe Oslandia] Jacky, ingénieur SIG / développeur Python C++

      Publié: 23 May 2024, 6:56am CEST par Caroline Chanlon

      Chaque mois, nous avons le plaisir de vous présenter un membre de l’équipe, aujourd’hui c’est Jacky qui a répondu à nos questions ?

      Jacky a effectué 7 ans de sa scolarité à la maison lui permettant de consacrer du temps à des activités plus « libres » que le cadre strict de l’enseignement traditionnel. Il découvre très jeune l’informatique, la programmation mais apprend aussi le braille, s’adonne à la pêche, à l’astronomie, à la danse ou à la musique. C’est en candidat libre qu’il obtient son Bac Scientifique. Il poursuit ses études avec un DUT Mesures Physiques, en alternance chez Schneider Electric, et un diplôme d’Ingénieur Électronique et Informatique industrielle à Polytech Grenoble en alternance chez STMicroelectronics.

      Il passe 3 ans chez ST au sein du service R&D avant de rejoindre en tant qu’ingénieur / chercheur le CEA Leti et plus précisément le service lithographie à faisceau d’électrons où il travaille à anticiper la déformation sur le silicium (EBPC – Electron Beam Proximity Correction). Il reste 3 ans au CEA.

      « Je voulais sortir du côté grosse entreprise, j’ai été embauché chez Unistellar, une start-up qui préparait son Kickstarter. J’ai travaillé sur son téléscope intelligent (avec traitement d’images en direct) connecté piloté par le smartphone et plus précisément sur la stabilisation du code embarqué, afin de créer le prototype assez avancé pour trouver des investisseurs »

      Pour des raisons familiales, Jacky rejoint Aix en Provence et commence à travailler pour la société du Canal de Provence pour renforcer l’équipe de développeurs QGIS. Il découvre les SIG et QGIS !

      « Au CEA, je travaillais dans le traitement géométrique et chez Unistellar également, je suis passé de l’infiniment petit à l’infiniment grand, pour être à l’échelle terrestre aujourd’hui. Je retrouve des traitements similaires au final. »

      C’est sa collègue du Canal de Provence qui lui fait connaitre Oslandia à travers des contributions QGIS. Jacky est embauché chez Oslandia en 2021 au poste d’ingénieur SIG / développeur Python C++.

      « On peut dire que je suis parti en éclaireur, Gwendoline, ma collègue nous a rejoint 6 mois après mon arrivée. »

      Jacky travaille au développement de modules Python pour QGIS et depuis 6 mois, sur le développement QGIS cœur en C++.

      Ses projets emblématiques
      • Avec L’INRAE : plugin QGIS Python d’aide à la décision pour la création de réseaux d’assainissement – [Plus d’infos]
      • Avec l’agence spatiale canadienne : plugin GQIS python pour le suivi de vols de ballons stratosphériques – [Plus d’infos]
      Technologies de prédilection

      Python et C++

      Sa philosophie

      Tout est relatif !

      Oslandia en 1 mot

      Partage !

    • sur Direction de la Sûreté SNCF x accompagnement QGIS et QGIS Server

      Publié: 21 May 2024, 7:19am CEST par Caroline Chanlon

      La Direction de la Sûreté, rattachée à la Direction Générale, est transverse au groupe SNCF et opère des missions de sécurisation des biens et des personnes. En appui de ses missions, la Direction de la Sûreté s’est dotée d’un système d’hypervision qui comporte une visualisation cartographique des équipements, personnels et évènements.

      Afin de garantir le bon fonctionnement du système d’hypervision, la Direction a choisi de se doter d’outils et serveurs cartographiques indépendants de l’hyperviseur lui-même, et pour ce faire a choisi notre accompagnement autour de QGIS Server.

      Oslandia propose en effet une maintenance forfaitaire qui garantit à la SNCF un fonctionnement inaltéré de son hyperviseur.

      Contributeur essentiel de la solution open source QGIS, Oslandia dispose de la plus grande équipe française de développeurs experts QGIS et propose une offre de support unique en France [https:]] !

    • sur [1’Tech by Oslandia] TCO

      Publié: 7 May 2024, 7:07am CEST par Caroline Chanlon

      Le TCO = Total Cost of Ownership = Coût Total de Possession

      Dans l’analyse des investissements logiciels, le TCO est un élément clé à prendre en compte. Il s’agit en effet de considérer tous les coûts rattachés à la possession d’un logiciel, qu’ils soient directs ou indirects. Cela va bien au delà du simple prix d’achat en licences du produit ou du service.

      Si l’industrie s’est particulièrement emparée du concept de TCO pour réaliser ses choix stratégiques, il est indispensable de l’évaluer également dans le cadre de projets informatiques. On comptabilise dans le TCO l’achat initial du logiciel mais aussi la maintenance des composants, les coûts d’utilisation et de gestion, d’évolution, la formation, et également les coûts de sortie, souvent négligés !

      On constate qu’une infrastructure informatique basée sur des logiciels OpenSource se distingue généralement par un TCO plus réduit qu’avec ses équivalents propriétaires. Ou plutôt que pour un TCO équivalent, les services rendus par une infrastructure OpenSource sont de meilleure qualité, car on y inclut les services à haute valeur ajoutée comme l’adaptation fine aux cas d’utilisation spécifiques, la formation ou la garantie de maintenance.

    • sur Transitec, observatoire de la mobilité

      Publié: 30 April 2024, 6:41am CEST par Caroline Chanlon

      Transitec, bureau d’étude indépendant spécialisé dans les problématiques de mobilité depuis 1954, a souhaité mettre en place un outil interne, baptisé Primo, pour construire automatiquement des cartographies types sur des territoires correspondant à des regroupements de communes, en France Métropolitaine. Cet outil couvre les thématiques du transport et des déplacements. Il est basé sur une base de données PostgreSQL et sur un plugin QGIS, connecté à la base.

      L’utilisateur choisit un territoire, par exemple un ensemble de départements, d’Établissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI) ou de communes.

      Le plugin construit alors automatiquement des indicateurs et les cartographies. Ils portent sur les thématiques suivantes :

      • la population ;
      • l’emploi ;
      • le logement ;
      • les mobilités professionnelles ;
      • les mobilités scolaires ;
      • le réseau routier et les équipements cyclables.

      Primo est utilisé par Transitec France, par une dizaine de salariés. Il permet de gagner du temps sur la production des cartes nécessaires pour alimenter les diagnostics territoriaux, utilisés dans des travaux de planification urbaine, dont la nature varie peu d’un projet à l’autre.

      Il est basé sur des données ouvertes, librement accessibles sur Internet :

      • données de périmètres administratifs ;
      • données de population carroyées d’origine fiscale, mises en forme par l’Insee ;
      • données du recensement de la population de l’Insee ;
      • données du répertoire Sirene des entreprises et établissements ;
      • données OpenStreetMap (OSM).

      Un ensemble de scripts Python permet l’import automatisé de ces données mises en forme dans la base de données PostgreSQL – PostGIS.

      Le développement a commencé à l’été 2023, pour une utilisation effective en février 2024.

    • sur Oslandia sur le Sustainable High City Tech 2024 // SusHi-Tech à Tokyo !

      Publié: 29 April 2024, 7:48am CEST par Caroline Chanlon

      La candidature d’Oslandia pour exposer sur l’espace Île-de-France du Pavillon French Tech sur le salon Sustainable High City Tech 2024 (SusHi-Tech) à Tokyo les 15 et 16 mai 2024 a été retenue !

      Oslandia fait partie des 5 entreprises retenues pour représenter la France sur le SusHi-Tech, un événement international qui pour objectif de créer de « nouvelles rencontres » avec des écosystèmes nationaux et internationaux afin de résoudre les problèmes urbains mondiaux.

      Sébastien Guimmara sera au Japon sur cet évènement de grande ampleur qui accueillera plus de 40 000 personnes.

      C’est une formidable opportunité de mettre en lumière nos expertises et expériences sur les technologies BIM/SIG et de présenter Piero, l’application Web 3D BIM/SIG open source

      Photos à venir … restez connectés ?

      Programme porté par SusHi Tech Tokyo 2024 Global Startup Program Official Account et Business France.

    • sur Contributing, not only code : Oslandia @ Journées QGIS-Fr 2024

      Publié: 26 April 2024, 7:23am CEST par Caroline Chanlon

      Éditeur open source QGIS depuis 2011, Oslandia contribue aussi activement à la communauté qui l’entoure !
      Cette année encore, Oslandia était présent aux Rencontres utilisateurs QGIS francophone 2024 qui avaient lieu à Grenoble fin mars, avec notamment la participation d’une belle partie de l’équipe.

      Certains membres de l’équipe comme Loïc Bartoletti ou Sylvain Beorchia étaient sur le pont en amont de ces deux jours pour l’organisation. Loïc a notamment organisé la journée de la veille avec les contributeurs ; de son côté Sylvain produit l’ensemble des visuels (affiches, logos, etc.).

      Sur les 2 jours, nous étions 10 membres de l’équipe présents tant à animer des ateliers en mode solo, en duo, avec nos clients et nos partenaires, qu’à participer au programme de conférences mais aussi présents pour faciliter des échanges entre les utilisateurs, les mettre en relation, animer la communauté !

      Ce que nous avons envie de partager à travers cette petite brève : l’engagement open source d’Oslandia ne se mesure pas seulement en nombre de lignes de code mais aussi en temps, en idées et en participation à des événements comme les Journées QGIS-Fr !
      Nous serons bien sûr présents l’année prochaine et sur de nombreuses autres événements OSGeo ?

      Restez connectés, inscrivez-vous à notre newsletter ! [Voir la Newsletter Avril 2024] N’oubliez pas que vous aussi pouvez contribuer, l’OSGeo-FR cherche toujours des bonnes volontés !

    • sur [Equipe Oslandia] Quy Thy, ingénieur SIG

      Publié: 23 April 2024, 7:00am CEST par Caroline Chanlon

      Chaque mois, nous avons le plaisir de vous présenter un membre de l’équipe, aujourd’hui c’est Quy Thy qui a répondu à nos questions ?

      Ingénieur de l’ENSG -Ecole Nationale des Sciences Géographiques, une école qui forme les géomaticiens, Quy Thy poursuit son cursus avec une thèse au laboratoire LASTIG de l’IGN sur la détection du vandalisme cartographique. Elle a pour objectif de réaliser une étude des jeux de données collaboratives sur OSM et d’identifier des potentielles erreurs volontaires, notamment grâce au machine learning, une technologie encore peu utilisée dans le domaine cartographique.

      [Lire son article de vulgarisation sur Geotribu]

      Après sa thèse, elle effectue 1 an de post-doc dans le laboratoire IFSTTAR – Institut français des sciences et technologies des transports, de l’aménagement et des réseaux où elle développe un plugin QGIS pour aider au déblaiement des déchets suite à un ouragan à Saint-Martin et aux Antilles.

      « J’ai connu Oslandia pendant ma thèse sur le carto-vandalisme, j’étudiais les données mais également les contributeurs OSM, et Oslandia avait publié des travaux sur la classification automatique de ces derniers. J’ai gardé l’entreprise dans ma tête et comme je n’avais pas envie de continuer dans le monde de la recherche, j’ai postulé ! »

      Quy Thy est ingénieur SIG chez Oslandia depuis 2021 ?

      Ses projets emblématiques

      Quy Thy a contribué à la mise en place de la Géoplateforme de l’IGN, une infrastructure publique qui permet aux utilisateurs de s’échanger des données, les partager, les héberger et d’accéder aux services de l’IGN comme « Remonter le temps » jusqu’ici accessible sur Géoportail. L’objectif est de migrer ces services sur la Géoplateforme. « J’ai développé des script permettant de vérifier les données qui entrent et de les traiter pour les mettre en base de données »

      Quy Thy a également travaillé sur le Projet STC – Suivi des Trains Commerciaux pour la SNCF dont l’objectif est de détecter les déformations sur les rails, à partir de capteurs placés sur les trains.
      « Les capteurs remontent beaucoup de données, nous avons intégré un programme développé en Python avec les librairies Pandas et Numpy qui permettent d’identifier les anomalies et de préconiser des actions de maintenance « .

      Ses technologies de prédilection

      Python, SQL

      Sa philosophie

      Plus que le côté technique, j’aime me dire que les projets réalisés servent un objectif utile et pertinent pour l’humain. Ce que je fais répond à un besoin, je me sens utile.

      Oslandia en 1 mot

      Ouverture au sens open source mais aussi ouverture à d’autres valeurs notamment sur le fonctionnement de l’entreprise !

    • sur [Témoignage client] Émilie Bigorne, géomaticienne EPTB Loire

      Publié: 16 April 2024, 7:00am CEST par Caroline Chanlon

      Émilie Bigorne est géomaticienne au sein de l’EPTB Loire, syndicat mixte qui couvre le bassin de la Loire et ses affluents.

      L’EPTB Loire emploie environ 70 agents et fédère 50 collectivités adhérentes (Région, Départements et EPCI). L’organisme a en charge plusieurs missions : la gestion des ouvrages de protection contre les inondations, la gestion des digues des collectivités territoriales, la mise en oeuvre de programmes de prévention des inondations et le suivi et la gestion de la ressource en eau.

      Administratrice de la base de données PostgreSQL / PostGIS, Émilie Bigorne garantit l’intégrité des données et fournit des outils aux agents dans le cadre de leurs missions.

       » J’ai travaillé avec Oslandia sur deux projets. En 2019, je me suis fait accompagner avec un audit de la base de donnée mise en place. Oslandia a pu me fournir des recommandations pour l’amélioration de la fluidité, des accès et de la configuration générale. Ils m’ont également donné des conseils dans le cadre du changement de version de PostgreSQL.

      En 2023, nous avons collaboré pour mettre en place l’outil « QGIS Deployment Toolbet« . Au vu de l’augmentation des effectifs, je n’arrivais plus à maintenir QGIS sur les postes de travail. La mise en place de cet outil me permet aujourd’hui l’installation automatisée de QGIS ainsi que l’installation de raccourcis personnalisés en fonction du périmètre d’action géographique et des missions de chaque agent. Le paramétrage se fait automatiquement, y compris sur les postes de travail des agents qui ne sont pas présents sur le site d’Orléans.

      QGIS Deployment Toolbet simplifie mon quotidien et celui des utilisateurs, c’est un gain de temps et d’énergie. Nous avons par ailleurs une meilleure utilisation de la base de données avec des outils plus maintenables.

      Je ne passe plus mon temps à installer QGIS sur les postes des utilisateurs !

      La collaboration avec Oslandia s’est vraiment très bien passée. A chaque étape, les personnes en face de moi étaient disponibles. J’ai appris énormément de choses sur QGIS et sa configuration, des petites choses annexes à ce qui était demandé initialement.

      Les équipes ont su m’écouter pour répondre à mes besoins et être forces de proposition. Oslandia consacre du temps à la communauté libre, je trouve que c’est hyper intéressant, on sent un vrai intérêt pour le libre. Je suis également dans cet état d’esprit de partage de connaissances !  »

      Plus d’informations sur QGIS Deployment Toolbet :
    • sur Les nouveautés Giro3D 0.35

      Publié: 12 April 2024, 2:37pm CEST par Sébastien Guimmara

      Giro3D est une bibliothèque Javascript de visualisation de données géospatiales sur le Web. Notamment utilisée par l’application Piero, elle est compatible avec de nombreuses sources de données rasters et vecteurs, ainsi que 3D comme les nuages de points.

      La version 0.35 apporte de nombreuses évolutions, et notamment d’importantes améliorations de performance utiles pour les scènes complexes combinant de nombreuses sources de données.

      Améliorations de performances

      Ces améliorations touchent principalement à l’affichage des données rasters (couleur ou élevation) sur l’entité Map:

      • Réduction de l’usage mémoire des tuiles de Map
      • Réduction de la latence d’affichage des images sur la Map
      • Réduction du nombres de requêtes HTTP nécessaires
      • Augmentation de la vitesse de traitement des tuiles
      Nouvelles fonctionnalités Support du brouillard THREE.js

      ? Voir l’exemple interactif

      Les entités Map et les nuages de points supportent maintenant le brouillard THREE.js, permettant de donner des effets atmosphériques à vos scènes.

      Brouillard dans Giro3D

      Brouillard dans Giro3D

      Le graticule géographique

      ? Voir l’exemple dédié

      L’entité Map permet désormais d’afficher un graticule géographique entièrement paramétrable sur sa surface:

      • réglage du pas en X et en Y
      • origine du repère
      • couleur
      • opacité
      • épaisseur des traits
      graticule giro3d

      Le graticule avec un pas de 500 mètres.

      GeoTIFF YCbCr et masques de transparence

      ? Voir l’exemple interactif

      Les images GeoTIFF peuvent embarquer des masques de transparence. Ils sont désormais supportés dans Giro3D.

      Il est maintenant possible d’afficher des images GeoTIFF dans l’espace colorimétrique YCbCr. Cet espace colorimétrique, couplé à la compression JPEG, permet de réduire considérablement la taille des images couleur GeoTIFF (par rapport à des compressions comme LZW ou DEFLATE).

      Une image GeoTIFF compressée en JPEG, utilisant l'espace colorimétrique YCbCr et un masque de transparence. La bordure verte indique la limite de l'image.

      Une image GeoTIFF compressée en JPEG, utilisant l’espace colorimétrique YCbCr et un masque de transparence. La bordure verte indique la limite de l’image, et n’est pas visible par défaut.

       

    • sur Étude EDF Indoor – déplacements & guidage en intérieur et réalisation d’un prototype

      Publié: 11 April 2024, 7:00am CEST par Caroline Chanlon

      EDF a sollicité les équipes d’Oslandia pour la réalisation d’une étude puis une preuve de concept sous forme de logiciel prototype. L’étude comprend un rapport et des préconisations sur la cartographie indoor, l’analyse des déplacements et le guidage à l’intérieur de bâtiments et plus spécifiquement de centrales nucléaires. Le prototype concerne le calcul d’itinéraires.

      Contexte

      Les centrales nucléaires sont des bâtiments complexes comprenant des zones pouvant être temporairement fermées à la circulation et / ou présentant une dangerosité pour le personnel. Les déplacements à l’intérieur de ces bâtiments nécessitent donc des calculs d’itinéraires, réalisés actuellement avant l’intervention. EDF R&D souhaite disposer d’une application mobile pour optimiser les déplacements de ses personnels de façon dynamique, et garantir leur sécurité.

      L’étude Oslandia

      Cette étude a permis de définir une architecture globale de la solution ainsi que différentes préconisations et scénarii concernant la technologie utilisée pour développer l’application mobile.

      Oslandia a proposé un modèle relationnel de données correspondant au besoin fonctionnel et compatible avec le standard IndoorGML, puis une proposition d’architecture logicielle globale de la solution, des différents flux applicatifs et les considérations de sécurité des données.

      Enfin, plusieurs scénarii basés sur des technologies différentes sont envisagés pour le développement de l’application mobile (QFIELD, OSMAND, application spécifique), avec pour chacun les avantages et inconvénients de la solution.

      Le prototype : calcul d’itinéraires

      Suite à l’étude, une demande de réalisation de POC (Proof Of Concept) a été commandée par EDF. Ce prototype concerne le calcul du graphe de déplacement et des itinéraires. Pour le calcul du graphe, les technologies PostgreSQL et PostGIS ont été utilisées. Concernant les calculs d’itinéraires, l’extension pgRouting de PostgreSQL a été mise en œuvre.

      Les étapes :
      • Nettoyage des données (topologie)
      • Extraction des sols et des murs par niveau
      • Découpage des sols en cellules à l’aide de l’algorithme de Voronoï
      • Ajout des ascenseurs, escaliers et crinolines pour la navigation entre les niveaux
      • Calcul du graphe de déplacement
      • Calcul des itinéraires avec pgRouting
      Certaines fonctionnalités ont aussi été ajoutées :
      • Fermeture des zones à forte radioactivité
      • Navigation entre différents équipements
      • Ajout de barrières infranchissables (zone de chantiers,…)
      • Possibilité d’utiliser des sols à des altitudes différentes dans un même étage (passerelles, escalier vers une plateforme surélevée).
      Voilà une vidéo de démo du prototype :

      Conclusion

      Ce travail a permis de valider la faisabilité d’une application mobile permettant d’optimiser les déplacements dans les environnements contraints et dangereux gérés par EDF. Le travail d’Oslandia sur un traitement de la donnée intelligent et des algorithmes adaptés ont levé les verrous sur la faisabilité fonctionnelle de l’optimisation des déplacements pour la sécurité des personnes.

      Le travail réalisé avec une modalité étude et le prototype ont montré une forte efficacité et une concrétisation des préconisations.

      Le chemin est désormais libre et optimisé pour la réalisation d’une application complète.

    • sur [1’Tech by Oslandia] Réversibilité

      Publié: 2 April 2024, 7:00am CEST par Caroline Chanlon

      Dans cette minute Tech, nos collaborateurs vous proposent d’expliquer une technologie, une méthodologie, un concept. Après open source, LiDAR et webGL, on a brainstormé sur GitLab pour donner notre meilleure définition de la réversibilité.

      La réversibilité désigne l’opération de retour de responsabilité technique, par lequel le client reprend les prestations qu’il avait confiées à un prestataire à l’issue du projet. Elle comprend la fourniture de l’ensemble des éléments permettant de retrouver une autonomie avec la solution déployée initialement : logiciels exécutables, codes sources, documentation, paramétrage, supports de formation, données dans des formats ouverts.

      Les caractéristiques intrinsèques de l’open source offrent à l’utilisateur ces garanties : l’interopérabilité, le standard et la réversibilité, et ce à des coûts optimaux.

      La réversibilité, les prestations et les coûts associés sont souvent les grands oubliés lors d’un démarrage projet, alors qu’une analyse de TCO ( Total Cost of Ownership ) ne devrait pas les occulter. Elle est également un élément clé de la souveraineté du système d’information.

      Pensez à l’intégrer dès le démarrage de vos projets !

    • sur En direct des Journées Utilisateurs QGIS-fr !

      Publié: 28 March 2024, 2:52pm CET par Caroline Chanlon

      Une belle partie de l’équipe est présente pendant les Journées Utilisateurs QGIS-fr les 27 et 28 mars à Grenoble pour animer 5 ateliers et 2 conférences avec des clients : nouveautés QGIS 3D, créer et publier un joli projet sur QWC, cartographie avancée avec QGIS, initiation au déploiement rationalisé de QGIS avec PowerShell et QDT, collecter vos données sur le terrain avec QField, …

      Oslandia est Mécène Or des Rencontres utilisateurs QGIS-fr 2024. Au fil des projets réalisés et des expériences, Oslandia a acquis un statut d’acteur majeur français sur QGIS.

      Editeur open source QGIS depuis 2011, Oslandia contribue activement à la communauté, comme pendant ces deux jours ?

    • sur [Equipe Oslandia] Jean, ingénieur SIG

      Publié: 26 March 2024, 7:00am CET par Caroline Chanlon

      Après un diplôme d’ingénieur obtenu à Centrale Lille, Jean s’engage dans une thèse en Morphologie mathématique, orientée sur le traitement d’images numériques, aux Mines de Paris. Après sa thèse, il poursuit pendant 12 ans sa collaboration avec son entreprise d’accueil. Il travaille sur de nombreux projets de R&D et sur l’écriture d’algorithmes de traitements d’images ou sur des algorithmes de données SIG géolocalisées.

      Il découvre les SIG, QGIS, et … Oslandia, identifié comme un acteur majeur dans la communauté QGIS !

      « La culture open source m’intéresse, j’ai toujours utilisé des outils et logiciels OS et je faisais d’ailleurs de la contribution à titre perso. J’avais par ailleurs envie de travailler dans une société dans laquelle je pouvais être davantage partie prenante des décisions et des actions »

      Jean est ingénieur SIG chez Oslandia depuis 2022 et dispose d’une solide expérience en C++, le langage de programmation sur lequel est basé QGIS et sur le visualisateur QT. Il met à disposition ses compétences sur des projets variés comme le visualiseur de données 3D pour le CEA, de nouvelles fonctionnalités pour améliorer le chargement et la visualisation de nuages de points sur QGIS pour EDF,… ou encore la visualisation de données de l’IFREMER qui repose sur QGIS server.

      Projet emblématique

      Jean a développé avec son collègue Florent un plugin pour l’IFREMER « QDuckDB » permettant de lire des bases de données DuckDB, qui stockent des infos spatiales (points, polygones, lignes, …), dans QGIS.
      Ce plugin permet aujourd’hui de partager des fichiers « parquet » utilisés de plus en plus notamment par l’INSEE.
      « Comme tout est en open source, d’autres utilisateurs peuvent proposer de nouvelles fonctionnalités, on peut imaginer plein d’évolutions possibles ! »

      Technologies de prédilection

      Langages C, C++ et Python

      Philosophie

      Tout ce que je développe peut servir à la communauté, j’aime l’idée de contribuer à un bien commun.

      Oslandia en 1 mot

      Transparence !

    • sur Py3dtiles v7.0.0 est de sortie ! Des fonctionnalités, et une communauté qui se développe

      Publié: 25 March 2024, 9:51am CET par Augustin Trancart

      var spector; var captureOnLoad = false; var captureOffScreen = false; window.__SPECTOR_Canvases = [];

      (function() { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = HTMLCanvasElement.prototype.getContext; HTMLCanvasElement.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext;

      if (typeof OffscreenCanvas !== 'undefined') { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = OffscreenCanvas.prototype.getContext; OffscreenCanvas.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext;

      OffscreenCanvas.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }

      if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }

      var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { // context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent); this.id = "Offscreen"; window.__SPECTOR_Canvases.push(this);

      if (captureOnLoad) { // Ensures canvas is in the dom to capture the one we are currently tracking. if (false) { spector.captureContext(context, 500, false); captureOnLoad = false; } } }

      return context; } }

      HTMLCanvasElement.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }

      if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }

      var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent);

      if (captureOffScreen) { var found = false; for (var i = 0; i

      var spector; var captureOnLoad = false; var captureOffScreen = false; window.__SPECTOR_Canvases = [];

      (function() { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = HTMLCanvasElement.prototype.getContext; HTMLCanvasElement.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext;

      if (typeof OffscreenCanvas !== 'undefined') { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = OffscreenCanvas.prototype.getContext; OffscreenCanvas.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext;

      OffscreenCanvas.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }

      if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }

      var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { // context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent); this.id = "Offscreen"; window.__SPECTOR_Canvases.push(this);

      if (captureOnLoad) { // Ensures canvas is in the dom to capture the one we are currently tracking. if (false) { spector.captureContext(context, 500, false); captureOnLoad = false; } } }

      return context; } }

      HTMLCanvasElement.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }

      if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }

      var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent);

      if (captureOffScreen) { var found = false; for (var i = 0; i

      var spector; var captureOnLoad = false; var captureOffScreen = false; window.__SPECTOR_Canvases = [];

      (function() { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = HTMLCanvasElement.prototype.getContext; HTMLCanvasElement.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext;

      if (typeof OffscreenCanvas !== 'undefined') { var __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = OffscreenCanvas.prototype.getContext; OffscreenCanvas.prototype.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext = __SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext;

      OffscreenCanvas.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }

      if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_OffscreenGetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }

      var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { // context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent); this.id = "Offscreen"; window.__SPECTOR_Canvases.push(this);

      if (captureOnLoad) { // Ensures canvas is in the dom to capture the one we are currently tracking. if (false) { spector.captureContext(context, 500, false); captureOnLoad = false; } } }

      return context; } }

      HTMLCanvasElement.prototype.getContext = function () { var context = null; if (!arguments.length) { return context; }

      if (arguments.length === 1) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0]); if (context === null) { return context; } } else if (arguments.length === 2) { context = this.__SPECTOR_Origin_EXTENSION_GetContext(arguments[0], arguments[1]); if (context === null) { return context; } }

      var contextNames = ["webgl", "experimental-webgl", "webgl2", "experimental-webgl2"]; if (contextNames.indexOf(arguments[0]) !== -1) { context.canvas.setAttribute("__spector_context_type", arguments[0]); // Notify the page a canvas is available. var myEvent = new CustomEvent("SpectorWebGLCanvasAvailableEvent"); document.dispatchEvent(myEvent);

      if (captureOffScreen) { var found = false; for (var i = 0; i

      Py3dtiles est une librairie et un outil Python en ligne de commande pour générer, lire et modifier des 3D Tiles. On peut l'utiliser seul ou l'intégrer dans sa propre application Python.

      La version 7.0.0 vient de sortir, il est temps de faire une petite rétrospective sur les dernières années !

      La communauté et un nouveau mainteneur

      Nous accueillons un nouveau mainteneur : Lorenzo Marnat (Liris). Le Liris a très significativement contribué à py3dtiles et a mené un travail de R&D conséquent sur leur fork et via l'application py3dtilers. Lorenzo réalise depuis quelques mois le travail d'intégration dans le tronc commun, véritable travail de fourmi ô combien nécessaire. L'intégrer à l'équipe était donc l'étape logique dans  ce processus.

      Cela signifie que py3dtiles n'est plus un projet uniquement Oslandien ! Ceci constitue une étape très importante dans le développement d'un projet réellement communautaire et nous sommes très heureux de l'avoir dans l'équipe.

      En conséquence, certains changements ont été adoptés afin que py3dtiles soit plus indépendant d'Oslandia. Nous espérons ainsi favoriser les contributions externes et l'implication d'autres entitées qu'Oslandia et le Liris:

      • Le dépôt de code a été déplacé vers sa propre organisation: [https:]] . Nous en avons profité pour renommer la branche principale en main à la place de master (afin de s'approcher du défaut de GitLab).
      • Le site web est maintenant hébergé sur [https:]] . Une redirection de l'ancien site a été mise en place, mais nous conseillons tout de même de mettre à jour vos signets web.
      • Nous avons maintenant un document décrivant la gouvernance: GOVERNANCE.md, qui décrit le fonctionnement de la communauté.
      • Et nous avons un canal de discussion instantané sur matrix.org !

      Lidar HD de l'ign converti en 3dtiles avec py3dtiles et visualisé avec giro3d

      Les évolutions fonctionnelles Améliorations du support de la spécification

      En version 2, py3dtiles souffrait encore de l'absence de ces quelques classes décrivant les concepts 3Dtiles, et qui sont maintenant présentes en version 7 :

      • BoundingVolumeBox
      • TileSet
      • Tile
      • Extension

      Les feature tables sont maintenant supportées pour les b3dm en plus des pnts.

      Nouveaux formats

      Py3dtiles supporte maintenant les fichiers PLY (en nuage de points uniquement) et LAZ.

      Le support XYZ et CSV a été amélioré, avec une auto-détection du format du CSV.

      py3dtiles merge

      Il s'agit d'une nouvelle commande permettant de générer un tileset à partir de 2 autres tilesets. Pour l'instant la génération des tuiles racines est assez naïve, mais devrait très bien fonctionner avec les nuages de points.

      Autres fonctionnalités

      Il est maintenant possible d'exporter les classifications des nuages de points dans les pnts.

      Le support des batch tables a été ajouté.

      Les évolutions techniques Des évolutions de packaging Les dépendances optionnelles

      Avec le support de formats additionnels, le nombre de dépendances de py3dtiles augmente de façon significative. Nous avons créé des sections de dépendances optionnelles, afin d'éviter de demander aux utilisateurs d'installer des librairies pour des formats qu'ils n'utilisent pas.

      Image Docker

      Nous publions maintenant des images docker sur le gitlab registry et docker hub.

      Support Windows

      Un premier travail pour supporter Windows a été effectué, mais du travail reste à accomplir pour produire un .exe facilitant le déploiement.

      La qualité du code

      De gros efforts ont été effectués pour rendre la contribution plus agréable et améliorer globalement la qualité du code. Des analyseurs automatiques de code ont été mis en place, notamment des linters et un SonarCloud.

      Nous avons fait un effort spécifique pour typer nos déclarations de fonctions et variables avec les nouvelles possibilités qu'offre les versions modernes de Python.

      À venir

      Le point principal sera le support des géométries dans le processus de conversion multiprocessus lancé par py3dtiles convert. Cela permettra ensuite d'avoir un support des formats géométriques, en particulier l'IFC ! (Mais également, l'amélioration du support PLY, des tables PostGIS, des OBJ, etc.).

      D'autres améliorations sont bien sûr dans les cartons.

      Impliquez-vous !

      Py3dtiles est un logiciel communautaire et se portera mieux si vous participez ! Tester, ouvrir des tickets, voire contribuer ou financer sont des actions qui sont très utiles pour le projet. Le guide de contribution de la communauté est ici. Alternativement, n'hésitez pas à nous contacter pour en discuter !

    • sur CityBuilder : faciliter la reconstruction 3D

      Publié: 19 March 2024, 2:43pm CET par Bertrand Parpoil
      Contexte

      Oslandia participe aux côtés d’Eviden au projet CP4SC, mené dans le cadre de l’AMI Cloud lancé en 2021 par la Banque Publique d’Investissement.

      Le sigle CP4SC signifie Cloud Platform for Sustainable Cities et son objectif est d’aider les gouvernements à mettre en œuvre des politiques ambitieuses vers l’atteinte de la neutralité carbone par ingestion des données issues de différentes sources comme la mobilité, la gestion de l’énergie ou l’observation de la terre et de l’environnement

      LOD - level of detail Nuage de points De quoi s’agit-il ?

      La visualisation 3D de bâtiments est un attendu de nombreux acteurs de la planification urbaine, attendu qui se heurte à deux écueils :

      • les données 3D structurées à grande échelle sont peu nombreuses
      • il n’existe pas de solution logicielle mature permettant de travailler à grande échelle, même si certains éditeurs proposent des outils propriétaires capables de travailler à l’échelle des bâtiments

      Cependant, la disponibilité et la diffusion de nuages de points de grande taille, prend beaucoup d’ampleur ces dernières années : les méthodes et outils de levés terrain ont beaucoup évolué et de nombreux acteurs en ont profité pour acquérir des nuages de points (y compris à l’échelle nationale comme c’est le cas en France avec la couverture Lidar en cours de constitution par l’IGN).

      Mais si les nuages de points peuvent être acquis rapidement, ils ne sont pas immédiatement exploitables pour tous les types d’analyse.

      L’objectif d’Oslandia à travers le projet est donc de proposer une chaine industrielle de traitement permettant de créer des données structurées depuis des nuages de points, ainsi que des logiciels permettant d’exploiter ces informations, l’ensemble sous licence opensource à gouvernance ouverte bien entendu !

      Nous avons déja présenté ici les outils Giro3D et Piero qui permettent la visualisation des données spatiales 3D. Nous allons maintenant parler génération de CityJSON !

      Piero - application web de visualisation de données cartographiques et 3D CityBuilder

      Parmi les différentes actions menées par Oslandia dans le cadre du projet, CityBuilder simplifie la reconstruction de données 3D géoréférencées. Notre objectif dans un premier temps est de proposer un plugin QGIS pour faciliter l’accès des utilisateurs aux fonctionnalités des outils sous-jacents.

      En effet CityBuilder exploite :

      • la bibliothèque opensource geoflow, développée par l’université de Delft et la société 3DGI. Geoflow a notamment été utilisé pour générer le bâti 3D de l’ensemble des Pays-Bas
      • la cartographie du sol et sursol LIDAR produite par l’IGN
      • les fonctionnalités de visualisation 3D de QGIS

      Concernant la démarche projet, nous avons travaillé initialement sur la première version prototypale de CityBuilder conjointement à un projet de développement informatique (PDI), séquence des cycles Master1 Géomatique et Ingénieur (2e année) de l’ENSG mené en partenariat avec Oslandia.

      En 2024 les travaux ont constitué en amélioration du plugin afin d’utiliser au maximum les outils natifs à QGIS, optimiser ses performances et réduire sa dette technique. Nous avons également intégré une version du code utilisable en ligne de commande.

      processing QGIS pour geoflow

      Geoflow a donc été intégré dans un processing QGIS intégré à la barre d’outils de processing QGIS.

      Geoflow permet de générer un fichier de sortie JSON à partir d’un fichier de données de nuage de point et un autre de données d’emprise de bâtiments. Nous utilisons la dernière version de geoflow permettant d’avoir un niveau de detail (LOD Level of Detail) allant jusqu’au LOD2.2.

      Pour la version ubuntu l’image docker de geoflow utilisé est celle de l’IGN.

      Des données 3D, et maintenant ?

      La visualisation des données générées peut se faire directement dans QGIS. Ceci est notamment possible grâce aux travaux menés sur le sujet par Oslandia depuis deux ans, qui consistent en une reprise de la dette technique embarquée, l’ajout de tests, des correctifs d’anomalies et le développement de nombreuses fonctionnalités bas niveau qui permettent aujourd’hui de disposer d’une version bien plus stable de QGIS 3D.

      Le projet CP4SC étant cloud native, il s’appuie sur Giro3D et son application de visualisation, Piero pour afficher l’ensemble des données spatiales y compris 3D : les données urbaines reconstruites peuvent donc être aussi consultées sur le web.

      Visualisation de données 3D avec QGIS Démonstration Contactez-nous !

      Le sujet vous intéresse ? Vous souhaitez mutualiser les efforts de développement sur ces sujets ? Vous voudriez incorporer ces fonctionnalités sur vos plateformes IT ? N’hésitez pas à nous contacter pour en discuter : infos+3d@oslandia.com

      france relance france 2030

      Financé par l’Union européenne – Next Generation EU dans le cadre du plan France Relance

    • sur [Témoignage Client] Pierrick Yalamas, Auvergne-Rhône-Alpes Énergie Environnement – TerriSTORY®

      Publié: 19 March 2024, 7:00am CET par Caroline Chanlon

      Pierrick Yalamas est Directeur intelligence territoriale et observatoires à Auvergne-Rhône-Alpes Énergie Environnement. Initiateur et coordinateur au niveau national du consortium TerriSTORY®, portant l’outil d’aide au pilotage de la transition écologique et énergétique du même nom, il pilote l’équipe de l’agence régionale AURA-EE qui travaille sur le projet. Il revient sur les enjeux du projet ainsi que la collaboration avec les équipes d’Oslandia qui ont travaillé sur les volets techniques et fonctionnels dès 2018.

      A quels enjeux répond ce projet ?

      En tant qu’Agence régionale, nous sommes opérateurs depuis une vingtaine d’années d’Observatoires copilotés par l’Etat et la Région. Notre mission : collecter, produire, traiter et diffuser des données sur le climat, l’énergie, les déchets, les ressources, … afin de les mettre à disposition des territoires pour les accompagner sur les enjeux écologiques.
      Avant TerriSTORY®, nous disposions de tableaux et documents mis en forme qui s’avéraient insuffisants pour aider les territoires à passer à l’action.

      Avec TerriSTORY®, nous disposons aujourd’hui d’un véritable outil d’aide à la décision qui permet de :

      • Rendre les données plus appropriables, grâce aux technologies de datavisualisation, à des personnes non initiées aux enjeux énergies / climat, notamment les élus et décideurs du territoire.
      • Repositionner la transition écologique dans des enjeux de transition territoriale plus globale grâce au croisement de données sur l’énergie avec des données sur les mobilités, les ressources, les bâtiments, … Nous proposons aujourd’hui une approche systémique.
      • Donner les clés permettant de construire une trajectoire et établir des scénarios pour mesurer les différents impacts en termes énergétique, carbone, mais aussi économique ou sur la qualité de l’air.
      • Proposer des outils de pilotage des trajectoires et permettre un pilotage coordonné, dans une logique d’articulation entre les différents territoires.
      TerriSTORY® aujourd’hui ?

      L’outil a été initié en Auvergne-Rhône-Alpes et nous avons proposé à d’autres Régions de mutualiser les développements. Il est aujourd’hui mis à disposition de tous dans 6 régions qui ont accès au module dataviz mais aussi au module « Stratégie territoriale » pour aider au pilotage de la trajectoire.

      Comment s’est passée la collaboration avec les équipes d’Oslandia ?

      La collaboration s’est très bien passée. Nous avons travaillé en mode très agile avec la contrainte d’un budget limité au départ. Nous avons instauré une relation de confiance au cours de laquelle Oslandia a initié les développements et a formé nos équipes en interne pour qu’elles s’approprient les technologies. J’ai apprécié que cela se passe en totale coopération. Oslandia nous a également fait bénéficier de son expérience pour préparer le passage en open-source qui a eu lieu début 2023.

    • sur Piero, l’application Web 3D SIG/BIM open source !

      Publié: 14 March 2024, 7:02am CET par Thomas Muguet
      Piero : une nouvelle application web 3D SIG/BIM OpenSource

      Oslandia annonce la sortie de Piero, une application opensource dédiée aux jumeaux numériques. Piero est une application web basée sur Giro3D et offrant des fonctionnalités de visualisation 3D de données géoréférencées, qu’elles viennent du monde BIM ou du monde SIG, de façon intégrée et ergonomique.

      Prête à l’emploi, Piero est disponible en démonstration à l’adresse suivante :

      [https:]]

      Des exemples de données sont pré-chargés, libres à vous de glisser-déposer vos données pour démarrer sans une seule ligne de code !

      Historique

      Giro3D est une bibliothèque logicielle permettant la visualisation et manipulation de données 2D, 2.5D et 3D cartographiques, directement dans le navigateur. Cette bibliothèque peut être intégrée dans n’importe quelle application web, ce qui la rend très versatile. On vous a notamment récemment parlé de LiDAR et de WebGL, deux technologies mises à profit dans Giro3D.

      Giro3D, en tant que bibliothèque, est dédiée aux développeurs et nécessite en contrepartie des efforts d’intégration. Afin de proposer d’adresser des cas d’utilisation plus larges, et également de montrer les fonctionnalités de Giro3D, Oslandia a développé une application complète mettant à profit les fonctionnalités de Giro3D, avec une interface utilisateur ergonomique, et proposant également des fonctionnalités avancées en terme de visualisation et d’analyse.

      Cette application, baptisée Piero, est aujourd’hui assez mature pour servir d’application Web clé en main. Tirant profit de Giro3D et du moteur 3D THREE.js pour fusionner les mondes SIG et BIM, Piero fournit une application complète reposant sur Vue.js. De la même façon que Giro3D, Piero est libre et open-source, et son code source est disponible sur la plateforme GitLab sous license MIT.

      Formats de données

      En plus des types nativement supportés par Giro3D, Piero couvre un large éventail de formats, allant du plus basique nuage de points CSV au très détaillé modèle IFC, en passant par CityJSON, GeoPackage, Shapefile, etc. Elle supporte également les webservices OGC.

      La liste complète est disponible sur la page du projet. Nous ajoutons le support de nouveaux formats en continu selon les besoins : si votre format préféré n’est pas encore supporté, n’hésitez pas à nous en faire part. Piero étant opensource et communautaire, il est également possible de contribuer pour ajouter des implémentations de formats de données.

      Fonctionnalités

      Piero va au-delà de la visualisation. De la simple identification, telle qu’on la retrouve dans QGIS, aux annotations et mesures, en passant par les plans de coupes ou la boîte de détourage, l’application fournit les outils pour exploiter facilement vos données 3D. La liste grandit au fil du temps, n’hésitez pas à faire un tour sur la page GitLab pour une information plus détaillée.

      Quelques fonctionnalités marquantes :

      • La mesure entre plans, avec une détection automatique des plans ( e.g. de mur à mur dans un bâtiment )
      • La « clipping box » permettant de découper l’intérieur d’une boîte, ou son extérieur pour mieux visualiser les éléments 3D. Très utiles pour les bâtiments.
      • L’interrogation des objets IFC avec tous leurs attributs
      • Les annotations et les geo-signets 3D

      Personnalisation

      Si la simple utilisation en glisser-déposer de données ne vous suffit pas, ou si vous avez des données situées en dehors de la France métropolitaine, vous pouvez héberger votre propre instance de Piero. Très simplement, en éditant la configuration via un simple fichier, vous pourrez modifier l’emprise et les sources de données. L’application étant statique (JavaScript et CSS), il suffira de regénérer l’application et déployer les fichiers sur un simple serveur web. En quelques lignes de commande, vous pouvez mettre à disposition votre propre Piero sans modifier une seule ligne de code source.

      Piero étant open-source et libre, vous pouvez également modifier le code source de l’application plus en profondeur si besoin ! Piero peut servir de base à des applications dédiées avec des fonctionnalités propres, ou des cas d’utilisation spécifiques.

      Plus d’information

      N’hésitez pas à nous contacter en créant un ticket sur le projet GitLab ! Par ailleurs, la gouvernance de Piero est communautaire et nous accueillons toutes les contributions ! Vous pouvez également contacter Oslandia si vous souhaitez de l’accompagnement en formation, développement, maintenance, intégration de données, ou si vous souhaitez établir un partenariat sur ces sujets : infos+3d@oslandia.com.

    • sur Un plugin QGIS pour QWC

      Publié: 12 March 2024, 5:03pm CET par Florent Fougères
      Etat des lieux

      QGIS Web Client (QWC) est un client web responsive modulaire de nouvelle génération pour QGIS Server, construit avec ReactJS et OpenLayers et qui fonctionne avec un système de service. Il permet donc de visualiser dans une application cartographique web des projets QGIS.

      Actuellement pour publier un projet QGIS il faut passer par l’interface d’administration web pour uploader le projet, ou bien le sauvegarder au bon endroit dans l’arborescence de l’instance QWC.

      L’objectif du travail qui a été réalisé est donc d’améliorer l’intégration entre QGIS et son client web en permettant de publier un projet dans une instance QWC directement depuis l’interface de QGIS. Ce développement a été financé par la Direction des Systèmes d’Information et des Usages Numériques des Agences de l’eau

      Pour atteindre cet objectif il a fallu développer deux choses.

      Premièrement un nouveau service de publication pour assurer l’interaction entre le client QGIS et son client web QWC.

      Et ensuite, un plugin QGIS pour interagir avec ce service de manière simple et intuitive.

      Côté QWC : Le service de publication

      Ce service de publication est nommé qwc-publish-service et est disponible sur notre GitLab.

      Il s’agit d’une API REST permettant une gestion des projets avec des opérations de type CRUD (Create Read Update Delete). Le service est donc constitué de toutes les routes API nécessaires à la gestion de l’arborescence (créer/supprimer et déplacer des dossiers) et également à la gestion des projets (publier/mettre à jour/supprimer des projets). Ces routes sont détaillées dans le readme du projet.

      Une option du service qwc-publish-service permet de générer automatiquement la configuration de l’application lors de chaque action. En cas d’échec de la génération, le service restaure l’état précédent (application d’un Rollback sur l’action). Il n’est par exemple pas possible de supprimer un projet qui est utilisé dans un thème ou bien de publier un projet vide.

      Côté QGIS : Le plugin QWC2 Tools

      Pour accompagner le service et rendre ces routes API utilisables de manière plus transparente nous avons développé un plugin QGIS nommé QWC2 Tools.

       Pour fonctionner, ce plugin nécessite obligatoirement que l’instance QWC soit associée au service qwc-publish-service. Si le service peut fonctionner sans le plugin, l’inverse n’est pas possible.

      Ce plugin fournit donc une interface intuitive et intégrée à QGIS. On y retrouve un explorateur dédié à QWC, dans lequel on retrouve l’arborescence des projets de l’instance.

      Cet arbre est surplombé d’un bandeau contenant toutes Les actions possibles :

      • Publier un projet
      • Mettre à jour un projet
      • Supprimer un projet ou un dossier
      • Créer un dossier
      • Rafraîchir l’arbre
      • Ouvrir tous les dossiers
      • Fermer tous les dossiers
      • Accéder à la fenêtre des paramètres de l’instance

      Certaines de ces actions sont également possibles par clic droit et double clic, directement dans l’arborescence. Pour déplacer un projet ou un dossier le drag and drop peut être utilisé.

      Toutes les actions disponibles sont visibles dans la documentation.

      Enfin ce plugin gère également la gestion de l’authentification aux instances QWC via le gestionnaire d’authentification natif de QGIS. Deux types d’authentification sont gérés, l’authentification simple avec utilisateur et mot de passe et l’authentification OIDC (OpenID Connect).

      Démonstration
    • sur [1’Tech by Oslandia] WebGL

      Publié: 7 March 2024, 7:00am CET par Caroline Chanlon

      Dans cette minute Tech, nos collaborateurs vous proposent d’expliquer une technologie, une méthodologie, un concept. Après « open source » et « LiDAR« , on a brainstormé sur GitLab pour donner notre meilleure définition de WebGL.

      Déf : WebGL est une interface de programmation graphique permettant l’affichage de scènes 2D et 3D interactives dans le navigateur. C’est le pont qui permet aux pages web d’utiliser la carte graphique des ordinateurs, ce qui est synonyme de multiplication des usages 3D !

      Par exemple, OpenLayers, librairie JavaScript, utilise WebGL pour dessiner des cartes en 2D. Three.js est une libraire javascript implémentant un moteur 3D complet: [https:]] .

      WebGL x Oslandia

      Oslandia travaille régulièrement sur des projets alliant cartographie et 3D. Giro3D est une librairie WebGL SIG ( [https:]] ) qui a été développée par nos équipes et permettant de visualiser des geodata dans son navigateur.

    • sur TerriSTORY®, un outil partenarial d’aide au pilotage de la transition des territoires

      Publié: 5 March 2024, 7:00am CET par Caroline Chanlon

      Co-construit avec les territoires et présent dans 6 régions (Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne, Corse, Nouvelle-Aquitaine, Occitanie et Pays de la Loire), TerriSTORY® est un outil d’aide à la décision et de visualisation de données énergie-climat territoriales. TerriSTORY® est une plateforme multi thématiques avec de nombreuses fonctionnalités, qui permet d’élaborer le diagnostic du territoire, de définir la stratégie, et de suivre la trajectoire de transition.

      Origine du projet

      Le projet TerriSTORY® est né en 2017, à l’initiative d’Auvergne-Rhône-Alpes Énergie Environnement dans le cadre de ses missions : collecter, produire, traiter et diffuser des données sur le climat, l’énergie, les déchets, les ressources, … afin de les mettre à disposition des territoires pour les accompagner sur les enjeux écologiques.

      Les acteurs du projet

      Le consortium TerriSTORY®, aujourd’hui en charge de la gestion et des choix d’évolution du projet, rassemble une vingtaine d’acteurs nationaux et régionaux ayant une mission de service public ou d’intérêt général.

      Le volet technique a été assuré entièrement par Oslandia en 2018 et 2019 puis partiellement de 2020 à de 2022, dans une logique de transfert de compétences. Les équipes d’Auvergne-Rhône-Alpes Energie Environnement assurent aujourd’hui elles-même l’ensemble des développements et opérations de maintenance.

      « Nous avons réalisé un POC au départ puis avons assuré les développements avec les équipes projets pendant quelques années. En parallèle et tout au long du projet, nous avons formé deux de leurs développeurs en interne. L’objectif était de leur permettre d’être complètement autonomes, et c’est le cas aujourd’hui ! » Vincent Picavet, co-fondateur et CEO d’Oslandia.

      Les technologies mobilisées

      Côté client, le choix s’est porté vers ReactJS, accompagné d’OpenLayers et ChartJS. L’API backend a été développée en Sanic (Python). Les données sont stockées et exploitées au sein d’une base de données PostgreSQL/PostGIS.

      Une application open source

      Le code TerriSTORY® est rendu disponible sous la licence publique générale GNU Affero (ou aGPL) version 3.

      Plus d’informations
    • sur Je soutiens le logiciel libre, je suis membre de l’APRIL !

      Publié: 26 February 2024, 7:00am CET par Caroline Chanlon

      Créée en 1996, l’April est la principale association de promotion et de défense du logiciel libre dans l’espace francophone. Depuis plusieurs années maintenant et du fait de son engagement dans la communauté open source, Oslandia soutient l’April en faisant partie des entreprises adhérentes.

      Par cette adhésion, nous apportons tout notre soutien aux actions de l’association et invitons les acteurs du Libre, entreprises, associations, collectivités, … à rejoindre le mouvement et soutenir la promotion du Libre en France !

      [https:]]

    • sur [Equipe Oslandia] Augustin, développeur sénior

      Publié: 22 February 2024, 7:00am CET par Caroline Chanlon

      Chaque mois, nous avons le plaisir de vous présenter un membre de l’équipe, aujourd’hui c’est Augustin qui a répondu à nos questions ?

      Diplômé d’un double cursus ingénieur Supelec à Gif-sur-Yvette et d’un Master of Science « Advanced Computing » à Londres, Augustin commence en régie en tant que développeur Java avant de partir dans une agence web parisienne dans laquelle il découvre le front, à une époque où « JavaScript montait très fort ». C’est aussi l’occasion d’acquérir des compétences DevOps via des missions de gestion de la production, mise en production.

      En 2015, il quitte son emploi en même temps que la sortie de Firefox OS pour travailler avec une start-up spécialisée dans la personnalisation de l’OS et du roam cooking pour les opérateurs … dont l’aventure se termine prématurément avec l’abandon par Mozilla de Firefox OS … En 2016, il rejoint Oslandia, sans connaitre les SIG mais « convaincu par les choix open source » de l’entreprise.

      Augustin travaille beaucoup sur les projets Javascript pour la 3D avec WebGL et maintient deux librairies pour lequelles Oslandia est très impliqué : Py3dtiles (librairie Python) et Giro3D (librairie webGL).
      Adepte également du PostgreSQL et PostGIS, il est un soutien pour ses collègues sur les problématiques DevOps ou l’optimisation de requêtes PostGIS, un volet DevOps qu’il a également mis à contribution avec Ansible, pour l’infra Oslandia.

      Ses projets emblématiques
      • Projet avec le Shom (Service hydrographique et océanographique de la Marine) : conception de la base de données et des routines d’exploitation d’un référentiel des profondeurs sous marines (mesures batimétriques).
      • Développement d’un visualisateur 3D web pour un leader du transport en France avec des données de bâtiment, d’imagerie, des nuages de point, …
      Ses technologies de prédilection

      Ansible / Javascript / Typescript / webGL / PostGIS / univers Rust / Python

      Sa philosophie

      « Se questionner sans cesse pour produire du code pérenne, du code propre pour rendre service aux autres… et à moi-même. J’aime aussi beaucoup aider mes collègues et venir en soutien. »

      Oslandia en 1 mot

      Liberté dans le sens d‘autonomie et d’esprit d’initiative et d’action mais aussi liberté en lien avec le logiciel libre : la liberté de construire sur ce qu’on produit !

    • sur Oslandia recrute : H/F Assistant(e) administratif et comptable

      Publié: 13 February 2024, 11:31am CET par Vincent Picavet
      OSL2402A – H/F Assistant(e) administratif et comptable Oslandia

      Oslandia est une société de service en informatique spécialisée dans les logiciels de système d’information géographique opensource. SAS générant un chiffre d’affaires d’environ 2M€, Oslandia organise son activité autour de 4 types de prestations : conseil, développement, support et formation. Forte de 15 années d’existence, la société compte aujourd’hui 26 collaborateurs, dont 23 de profil ingénieurs-développeurs, répartis en télétravail sur toute la France. L’organisation interne et le modèle managérial de l’entreprise reposent à la fois sur une forte autonomie des collaborateurs et un modèle collaboratif à distance approfondi induisant une implication individuelle forte dans le projet d’entreprise. Valeurs de l’open source, excellence technique, transparence, entraide et cohésion d’équipe font partie des ingrédients forts de la culture d’entreprise.

      Oslandia dispose de plusieurs fonctions supports dont un directeur, une directrice administrative, financière et RH. Ces fonctions support sont complétées par plusieurs rôles contribuant au pilotage et à l’organisation de l’activité : responsable de production ou membres du comité RH.

      Nous recherchons

      Oslandia recherche un(e) assistant(e) administratif et comptable à temps plein basé(e) sur la région IDF, en télétravail.

      Missions confiées

      Vous serez amené.e à travailler en étroite collaboration avec la directrice administrative et financière basée sur la région Parisienne, sur les missions décrites ci-dessous. Le poste est en 100 % télétravail avec possibilité de coworking ponctuellement.

      Comptabilité
      • Banque (état de rapprochement, cession créance BPI, réglements, …) ;
      • Facturation client (établir les factures, déposer les factures sur les plateformes appropriées, relance, encaissements) ;
      • Factures/NDF (saisie des factures, vérification des ndf, préparation des OD paie et tva) ;
      • Vérifications comptables (lettrage, aide à l’élaboration de la situation semestrielles et clôture comptable annuelle) ;
      • Déclarations (DES, CMIE, préparation TVA) ;
      • Matériel (suivi du matériel Oslandia et collaborateur sur l’ERP, commandes du matériel).
      Gestion administrative du personnel
      • Paie (transmission au cabinet comptable, vérification, classement…) ;
      • Gestion admin des entrées et sorties des colloborateurs (DPAE, affiliation mutuelle et prévoyance, maj dossiers individuels, visites médicales, conformité électriques, …) ;
      • Saisie des éléments de tableau indicateurs RH (absences, salaires, données du contrat de travail …).
      Gestion des services généraux
      • Qualification et affectation des appels et mails entrants ;
      • Gestion du courrier (scan, transfert, …) ;
      • Classement des documents comptables ;
      • Gestion administrative : location de salle, achats et gestion des stocks ;
      • Organisation logistique de séminaires et événements ;
      • Relations clients et fournisseurs ;
      • Gestion administrative de l’activité formation d’Oslandia (définition du besoin, courriers, …).
      Compétences recherchées

      Au-delà de votre formation (Niveau BAC ou BAC+2 Comptabilité/Gestion/Administratif), nous serons davantage attentifs aux compétences acquises par l’expérience dans des fonctions proches ou similaires.

      • Travail à distance
      • Comptabilité
      • Administration du personnel
      • Maîtrise des logiciels bureautiques
      • Adaptabilité aux outils numériques
      Qualités humaines recherchées
      • Organisation
      • Rigueur
      • Autonomie
      • Sens du service
      • Capacité à gérer plusieurs projets en même temps
      • Réactivité et gestion des priorités
      Conditions
      • CDI en 100 % télétravail avec possibilité de coworking
      • Localisation en Île de France
      • 37h hebdomadaire, non-cadre avec accord collectif ( 1RTT / mois )
      • Temps plein, possibilité de temps partiel 80 %
      • Rémunération entre 27 et 30 K€ annuels en fonction du profil et de l’expérience
      • Poste à pourvoir rapidement
      Nous offrons

      Oslandia est une société au modèle organisationnel atypique, avec des valeurs affirmées et une cohérence forte entre son objectif de développement des outils OpenSource et son mode de fonctionnement interne.

      Nous offrons un pack de rémunération composé notamment des aspects suivants :

      • Salaire en fonction de l’expérience
      • Transparence salariale interne
      • Accord d’intéressement collectif avec répartition égalitaire
      • Mutuelle d’entreprise fortement couvrante intégrant les ayant-droits
        prise en charge à 75% par l’entreprise
      Candidater

      Effectuez votre candidature par l’intermédiaire de notre formulaire dédié. La référence de l’annonce est OSL2402A

      Nous vous demandons notamment :

      • Un CV détaillé et à jour
      • Un texte présentant votre motivation à nous rejoindre

      Nous reviendrons vers vous sous peu si votre candidature retient notre attention.

      Notre processus de recrutement est présenté sur notre page web et vous sera explicité lors des premiers entretiens. Il comporte plusieurs entretiens individuels avec différents collaborateurs de notre équipe, sur des aspects techniques ainsi que de savoir-être. À l’issue de processus, nous mettons en place un plan d’intégration personnalisé qui vous permet une arrivée la meilleure possible parmi nous.

      Nous avons hâte de vous rencontrer, alors n’hésitez pas !

    • sur ZFE.green, faciliter la logistique urbaine durable

      Publié: 13 February 2024, 7:00am CET par Caroline Chanlon

      Une loi d’août 2021 rend la mise en place obligatoire des ZFE (Zone à Faibles Émissions) dans toutes les agglomérations de plus de 150 000 habitants avant le 31 décembre 2024. A l’initiative du groupement d’acteurs privés et publics InTerLUD (Innovations Territoriales et Logistique Urbaine Durable),  l’application ZFE.green permet aux professionnels de disposer d’informations précises et de visualiser rapidement les contraintes de circulation des ZFE-m (-mobilité) spécifiques à chaque territoire.

      En entrant les caractéristiques de son véhicule, le type de vignette Crit’Air mais aussi la nature de son activité, le professionnel accèdera aux ZFE-m actives et en projet et identifiera très rapidement les zones à circulation autorisées ou interdites.

      L’application permet par ailleurs de visualiser son itinéraire de circulation avec les ZFE-m traversées et un itinéraire bis sans ZFE-m.

      Itinéraire de circulation :

      Itinéraire bis sans ZFE-m :

      Origine du projet

      Le projet ZFE.green s’inscrit dans le cadre d’un programme CEE – Certificat d’Economie d’Energie incitant les entreprises de certains secteurs tels que celui de l’énergie, à compenser leur impact en finançant des projets générant des économies d’énergie. InTerLUD a souhaité mettre en œuvre un outil pour faciliter la logistique urbaine durable et s’est pour cela entretenu avec les collectivités et les fédérations de professionnels (logisticiens mais aussi artisans) afin de signer une charte pour une logistique plus douce. InTerLUD souhaitant privilégier les technologies open source et open data, s’est entouré d’ALLOHOUSTON et d’Oslandia pour la mise en œuvre technique du projet.

      Les acteurs du projet
      • ALLOHOUSTON est venu en conseil pour proposer un outil sur mesure à InTerLUD : interview des utilisateurs, ateliers, conception fonctionnelle, …
      • Oslandia a apporté son expertise sur les volets cartographiques et calcul d’itinéraires.
      Les technologies mobilisées
      • ALLOHOUSTON : framework MeteorJS, front en ReactJS, OpenLayers, Mongo DB
        Oslandia : fonds de carte IGN, PG routing pour le calcul d’itinéraires, PostgreSQL

      Aurélien Debacq, Co-fondateur ALLOHOUSTON « Oslandia a apporté son expertise technique à la fois dans la conception technique de l’ensemble, dans le choix des data, des référentiels, le choix des librairies à utiliser. Oslandia travaille sur la nouvelle géoplateforme de l’IGN et c’est une voie envisagée pour une évolution future »

      Le développement technique a débuté le 1er semestre 2022 pour une utilisation effective en septembre 2022.

      La deuxième phase du programme CEE InTerLUD, co-porté par le Cerema, Logistic Low Carbon et Rozo a été lancée fin 2022 sous l’appellation CEE LUD+. ALLOHOUSTON et Oslandia poursuivent leur collaboration sur ce programme ?

      A terme, l’application ZFE.green devrait être versée en open source à la communauté.

      Plus d’infos
    • sur La qualité logicielle dans QGIS

      Publié: 9 February 2024, 7:00am CET par Julien Cabieces

      Selon la définition de la qualité logicielle qu’en donne Wikipédia

      Une appréciation globale de la qualité tient autant compte des facteurs extérieurs, directement observables par l’utilisateur, que des facteurs intérieurs, observables par les ingénieurs lors des revues de code ou des travaux de maintenance.

      J’ai fait le choix dans cet article de ne parler brièvement que des seconds. La qualité d’un logiciel et plus précisément QGIS ne se limite donc pas à ce qui est décrit ici. Il y aurait encore beaucoup à dire sur:

      • La prise en compte des retours utilisateurs,
      • le processus de rédaction de la documentation,
      • la gestion de la traduction,
      • l’interopérabilité via l’implémentation des standards,
      • l’extensibilité permise par une API toujours plus riche,
      • la réversibilité et la résilience du modèle open source…

      Ce sont des sujets qui nous tiennent à coeur, mais qui mériteraient chacun leur propre article.

      Je me concentrerai ici sur la problématique suivante : QGIS est un logiciel libre et permet à quiconque doté des compétences nécessaires de modifier le logiciel. Mais comment s’assurer alors que les multiples propositions de modifications du logiciel contribuent bien à son amélioration et ne portent pas préjudice à sa maintenance future?

      L’auto-discipline

      Les développeurs contribuant au code de QGIS n’appartiennent pas tous à la même organisation. Ils ne vivent pas tous dans le même pays, n’ont pas forcément la même culture et ne partagent pas forcément les mêmes intérêts ou ambitions pour le logiciel. Ils partagent cependant la conscience de modifier un bien commun et l’envie d’en prendre soin.

      Cette conscience transcende la conscience professionnelle, le développeur n’a pas seulement une responsabilité vis à vis de son employeur, mais aussi envers l’ensemble de la communauté d’utilisateurs et de contributeurs du logiciel.

      Cette auto-discipline est le fondement de la qualité des contributions d’un logiciel comme QGIS.

      Cependant, l’erreur est humaine et il est indispensable de procéder à des vérifications lors de chaque proposition de modification.

      Les vérifications automatiques

      À chaque proposition de modification (appelées Pull Request ou Merge Request ), la plateforme GitHub de QGIS lance automatiquement un ensemble de vérifications automatiques.


      Exemple de proposition de modification


      Résultat des vérifications automatiques sur une proposition de modification

      La première de ces vérifications est de construire QGIS sur les différents systèmes sur lesquels il est distribué (Linux, Windows, MacOS) en intégrant la modification proposée. Il est inconcevable d’intégrer une modification qui empêcherait de construire l’application sur l’un de ces systèmes.

      Les tests

      La première problématique posée par une proposition de modification est la suivante « Comment être sur que ce qui va être introduit ne casse pas ce qui existe déjà ? ».

      Pour valider cette assertion, on s’appuie sur des tests automatiques. Il s’agit d’un ensemble de micro-programmes que l’on nomme tests, dont le seul but est de valider qu’une partie de l’application se comporte comme attendue. Par exemple, il existe un test qui valide que lorsque l’utilisateur ajoute une entrée dans une couche de donnée, alors cette entrée est ensuite bien présente dans la couche de donnée. Si une modification venait à casser ce comportement, alors le test échouerait et la proposition serait refusée (ou plus vraisemblablement corrigée).

      Cela permet notamment d’éviter les régressions (on les appelle très souvent tests de non régression) et aussi de qualifier le comportement attendu.

      Il y a approximativement 1,3 Millions de lignes de code pour l’application QGIS et 420K de lignes de codes de tests, soit un rapport de 1 à 3. La présence de tests est obligatoire pour l’ajout de fonctionnalité, par conséquent la quantité de code tests augmente avec la quantité de code applicatif.

       

      En bleu le nombre de lignes de code dans QGIS, en rouge le nombre de lignes de tests

      On compte à l’heure actuelle dans QGIS plus de 900 groupes de tests automatiques qui s’exécutent pour la plupart en moins de 2 secondes, pour un temps d’exécution total d’environ 30 minutes.

      On constate par ailleurs que certaines parties du code de QGIS – les plus récentes – sont mieux couvertes par les tests que d’autres plus anciennes. Les développeurs s’efforcent au fur et à mesure d’améliorer cette situation pour résorber la dette technique.

      Les vérifications de forme

      De manière analogue à l’utilisation d’un correcteur orthographique lors de la rédaction d’un document, on procède à un ensemble de vérifications de forme sur le code source. On vérifie par exemple que la proposition de modification ne contient pas de mots mal orthographiés ni de mots « bannis », que la documentation de l’API a bien été rédigée ou encore que le code modifié respecte certaines règles de forme du langage de programmation.

      Nous avons eu l’occasion récémment d’ajouter une vérification basé sur l’outil clang-tidy. Ce dernier s’appui sur le compilateur Clang. Il est capable de détecter des erreurs de programmation en procédent à une analyse statique du code.

      Clang-tidy est par exemple capable de détecter les « narrowing conversions ».

      Exemple de détection de « narrowing conversions »

      Dans l’exemple ci-dessus, Clang-tidy détecte qu’il y a eu « narrowing conversion » et que la valeur du port utilisé dans la configuration du proxy réseau « peut » être altérée. En l’occurence, ce problème a bien été reporté sur la plateforme d’anomalies de QGIS et a dû être corrigé.

      A l’époque, clang-tidy n’était pas en place. Son utilisation aurait permis d’éviter cette anomalie et toutes les étapes qui ont menées à sa correction (description exhaustive de l’anomalie, multiples échanges pour permettre sa reproduction, investigation, correction, revue de la modification), soit une quantité conséquente de temps humain qui aurait ainsi pu être évité.

      La revue par les pairs

      Une proposition de modification qui validerait l’ensemble des vérifications automatiques décrites ci-dessus ne serait pas forcément intégrée dans le code de QGIS de façon automatique. De fait, son code est peut-etre mal conçu ou la modification mal pensée. La pertinence de la fonctionnalité est peut être douteuse, ou fait doublon avec une autre. L’intégration de la modification entrainerait donc potentiellement un fardeau pour les personnes responsables de la maintenance corrective ou évolutive du logicielle.

      Il est donc indispensable d’inclure une revue humaine dans le processus d’acceptation d’une modification.

      Il s’agit plus d’une relecture de fond de la proposition que de forme. Pour ces dernières, on priviligie les vérifications automatiques décrites précédemment en vue d’alléger le processus de revue.

      Par conséquent, la relecture humaine prends du temps, et cet effort est grandissant avec la quantité de modifications proposées dans le code de QGIS. La question de son financement se pose, et des discussions sont en cours. L’association QGIS.org dédie notamment une partie conséquente de son budget pour financer les revues de code.

      Plus de 100 propositions de modification ont été revues et intégrées sur le mois de décembre 2023. Plus de 30 personnes différentes ont contribué. Plus de 2000 fichiers ont été modifiés.

      Par conséquent l’attente d’une relecture peut parfois être longue. C’est aussi souvent le moment où s’exprime les désaccords. C’est donc une phase qui peut s’avérer frustrante pour les contributeurs, mais c’est un moment important et riche de la vie communautaire d’un projet libre.

      A suivre !

      En tant que développeur cœur QGIS, et en tant que société pure player OpenSource, nous pensons qu’il est fondamental de nous impliquer dans chacune des étapes du processus de contribution.

      Nous nous investissons dans le processus de relecture, l’amélioration des vérifications automatiques, et dans le processus qualité de QGIS de façon générale. Et nous continuerons à nous investir dans ces problématiques afin de contribuer à faire de QGIS un logiciel pérenne et stable.

      Si vous souhaitez contribuer ou simplement en savoir plus sur QGIS, n’hésitez pas à nous contacter à infos+qgis@oslandia.com et consulter notre proposition de support à QGIS.

    • sur [1’Tech by Oslandia] LiDAR

      Publié: 7 February 2024, 7:00am CET par Caroline Chanlon

      Dans cette minute Tech, nos collaborateurs vous proposent d’expliquer une technologie, une méthodologie, un concept. Après « open source« , on a brainstormé sur GitLab pour donner notre meilleure définition du LiDAR (Light Detection And Ranging).

      Déf : Un LiDAR est un capteur permettant grâce à un laser d’extraire des informations géophysiques de l’environnement, notamment des coordonnées X, Y, Z, et une intensité lumineuse. On dispose en sortie d’un nuage de points 3D que l’on peut exploiter pour la visualisation ou de nombreux autres usages.
      L’IGN, via le programme LiDAR HD, met à disposition une cartographie 3D de l’intégralité du sol et du sursol de la France en données LIDAR.

      LiDAR x Oslandia

      Nous avons utilisé la technologie LiDAR sur plusieurs projets et notamment dans Giro3D qui dispose d’une visualisation de LiDAR avec un pre-processing via py3dtiles, un module Python développé pour les formats 3DTiles.

      Nos équipes ont également travaillé sur des projets liés à la reconstruction de bâtiments à partir de LiDAR : par exemple dans Giro3D via notre plugin QGIS CityBuilder visualisable dans QGIS 3D.

    • sur Rencontres QGIS-fr – Grenoble 27 & 28 mars 2024

      Publié: 6 February 2024, 12:02pm CET par Caroline Chanlon

      Oslandia sera présent aux prochaines rencontres des utilisateurs francophones de QGIS qui auront lieu les 27 et 28 mars 2024 à Grenoble. A cette occasion et dans le cadre de l’appel à conférences et ateliers, vous pourrez nous retrouvez sur plusieurs sujets ?

      Nouveautés QGIS 3D par Jean Felder et Benoit De Mezzo

      QGIS intègre un visualiseur 3D prenant en charge une variété de formats de données 2D et 3D. Cet atelier vous présentera les fonctionnalités bases (vues, caméra, chargement de données) ainsi que des avancées. Vous y découvrirez la manipulation des données 3D : chargement, configuration des vues et caméra ainsi que le chargement de données tels que les modèle numérique de terrain, les tuiles 3D (3dtiles), les nuages de points et PostGIS 3D. Vous pourrez exploiter des outils comme la boundingbox ou l’élévation de profils et des méthodes d’analyse adaptées à cet environnement tridimensionnel.

      Créer et publier un joli projet sur QWC par Gwendoline Andres et Florent Fougeres

      Durant cet atelier vous découvrirez comment publier une jolie carte web sur QWC à partir de votre projet QGIS. Vous verrez ce qu’il est possible de réaliser au niveau visuel (sur la carte), comment mettre en valeur ses attributs et le paramétrage de l’impression de cartes.
      Ensuite nous aborderons la publication de vos projets QGIS depuis l’interface d’administration de QWC. Pour finir, nous découvrirons le nouveau plugin QGIS pour publier confortablement depuis QGIS.

      Cartographie avancée avec QGIS par Julien Cabièces et Jacky Volpes

      Après un bref rappel sur les concepts de base de la réalisation de symbologie dans QGIS, cet atelier vous propose d’explorer les fonctionnalités de symbologies avancées sur des données vectorielles ou images. Nous aborderons entre autres : le rendu par catégorie ou via un ensemble de règles, les masques sélectifs, l’utilisation du générateur de géométrie, comment intégrer la dimension temporelle dans vos cartes. Enfin, nous présenterons quelques notions à connaître pour réussir l’intégration de ces cartes dans vos mises en pages et rapport.

      Initiation au déploiement rationalisé de QGIS avec PowerShell et QDT par Julien Moura et Florent Fougeres

      Automatisez vos installations de QGIS avec PowerShell et rationalisez le déploiement des profils QGIS plus efficacement avec QGIS Deployment Toolbelt (QDT). Apprenez à : 1) installer, désinstaller et mettre à jour QGIS en mode silencieux, 2) rationaliser, stocker et versionner vos profils QGIS avec un fichier profile.json et Git, 3) concevoir un scénario de déploiement pour automatiser le déploiement des profils avec QDT.  Bref une bonne occasion de mettre le pied à l’étrier pour optimiser votre flux de travail d’administrateur/ice QGIS !

      Collecter vos données sur le terrain avec QField par Loïc Bartoletti

      QField permet une intégration transparente avec QGIS, propose des fonctionnalités essentielles pour capturer, éditer et synchroniser aisément des données géographiques en temps réel sur vos appareils mobiles. L’atelier explorera comment importer des couches cartographiques de QGIS vers QField, ainsi que les méthodes de travail hors ligne et synchronisé sur les données collectées. Vous découvrirez comment QField optimise la saisie précise des données terrain, améliorant ainsi la productivité et la qualité des données recueillies. Cette présentation conjointe entre Oslandia, promoteur QField France et OpenGIS, développeur suisse de QField, sera l’occasion de partager astuces et bonnes pratiques ainsi que des retours d’expérience pour optimiser l’utilisation de QField dans votre SIG.

      Les conférences de nos clients
      • Notre client, Les Agences de l’eau, animera un atelier sur le sujet : Un plugin QGIS et un service de publication pour QGIS Web Client (QWC)
      • Orange animera une conférence sur QGIS Server : composant principal du SIG d’Orange
      Oslandia x QGIS

      Oslandia est Mécène Or des Rencontres utilisateurs QGIS-fr 2024.
      Au fil des projets réalisés et des expériences, Oslandia a acquis un statut d’acteur majeur français sur QGIS. Depuis 2011, Oslandia est éditeur open source QGIS et contribue activement à la communauté.

      Plus d’infos

      RDV les 27 et 28 mars à Grenoble !

       

    • sur Contractions hiérarchiques pour le routing

      Publié: 31 January 2024, 7:00am CET par Raphaël Delhome

      Avec le temps, Oslandia a pu appliquer son expertise SIG de nombreuses fois dans le domaine des transports, et plus particulièrement, celui des calculs d’itinéraires. Si le développement logiciel et les bases de données sont nos portes d’entrée naturelles dans la thématique, nous ne perdons pas de vue les questions algorithmiques !

      Ainsi, nous nous intéressons depuis peu à l’algorithme-roi dans la discipline, permettant d’atteindre des performances en temps de calcul parmi les plus intéressantes : les Contractions Hiérarchiques.

      Les Contractions Hiérarchiques, qu’est-ce que c’est ?

      L’algorithme des Contractions Hiérarchiques repose sur une phase de pré-traitement permettant d’accélérer drastiquement les requêtes de plus court chemin.

      Les caractéristiques principales de cet algorithme sont les suivantes :

      • Des arcs virtuels, dits « raccourcis », sont définis pour compacter l’information contenue dans le graphe. Les noeuds court-circuités par ces raccourcis sont dits « contractés ».
      • Les noeuds sont classés par ordre d’importance pendant le pré-traitement, de telle façon que les noeuds les plus hauts dans la hiérarchie seront les plus susceptibles d’être empruntés par les meilleurs chemins (typiquement, des grands carrefours urbains ou des sections autoroutières fréquentées), et les moins susceptibles d’être contractés.
      Séquences de noeuds et besoin de raccourcis

      Mécanisme de création de raccourcis : on contracte un noeud intermédiaire « u » uniquement s’il est plus bas que la source « s » et la destination « d » dans la hiérarchie « l », et s’il n’existe pas de meilleur chemin alternatif « P » (cas (c) et (g)).

      • La recherche de plus court chemin exploite la hiérarchie des noeuds et les raccourcis définis pendant le pré-traitement, et se découpe en deux composantes : une recherche en avant à partir de la source, et une recherche à rebours à partir de la destination. Ces deux composantes convergent au plus haut niveau dans la hiérarchie des noeuds.
      Chemins et hiérarchie

      Type de chemin mis en valeur par la procédure des contractions hiérarchiques, entre une source « s » et une destination « d »

      Est-ce utilisable dans une base de données PostgreSQL ?

      Il existe des implémentations des Contractions Hiérarchiques dans plusieurs projets Open Source. Citons par exemple RoutingKit, un projet initié par l’équipe de recherche à l’origine des Contractions Hiérarchiques, ou encore le projet OSRM.

      Côté PostgreSQL, le moyen le plus rapide pour bénéficier des algorithmes de routing est l’extension pgRouting. Malheureusement, cette extension n’inclut aujourd’hui pas les Contractions Hiérarchiques.

      PgRouting propose toutefois des algorithmes de contraction plus légers, qui permettent de gérer les impasses ainsi que les corridors (enchaînement de tronçons consécutifs sans carrefour).

      Graphe exemple pour les contractions dans PGRouting

      Dans cet exemple tiré de la documentation de pgRouting, le noeud 1 sera par exemple contracté en temps qu’impasse, et le noeud 8 en temps que corridor.

      Pour l’illustration, un test grandeur nature sur les données de la BDCarto pour la France métropolitaine peut être effectué. Le graphe de départ contient environ 1.12M noeuds et 1.65M arcs. Après application de ces deux types de contraction, le graphe résultat comporte environ 0.86M noeuds et 1.48M arcs, soit des réductions de respectivement 22.9 % et 10.2 %.

      Exemples de contraction sur la BDTopo

      Exemples de résultat des contractions sur la BD Carto, en rouge le réseau avant traitement et en noir après

      Les gains de temps de calcul à attendre sont donc limités avec un algorithme de type Dijkstra, au maximum de l’ordre de 30 %. Les contractions hiérarchiques, elles, permettent des améliorations bien plus importantes, et constituent donc une contribution de choix dans pgRouting.

      Oslandia, Open source et Contractions Hiérarchiques

      Comme évoqué dans un précédent article, Oslandia consacre des jours de développement aux projets Open Source de l’écosystème SIG. pgRouting entre pleinement dans ce cadre, et l’intégration des Contractions Hiérarchiques dans cette extension PostgreSQL nous apparaît comme un challenge particulièrement attrayant !

      Si vous êtes intéressés par le sujet, et que vous souhaitez nous accompagner dans cette aventure, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse [info@oslandia.com] !

    • sur BIM World les 3 et 4 avril 2024

      Publié: 29 January 2024, 12:00pm CET par Caroline Chanlon

      Oslandia vous donne RDV au BIM World les 3 et 4 avril 2024 à Paris Expo, Porte de Versailles sur le Hub open source Systematic.

      Ce salon, dédié à la construction numérique et digital building, est l’occasion pour Oslandia de présenter des projets et des compétences des équipes dans ce domaine.

      A noter qu’en 2023, Oslandia avait remporté les Trophées des Jumeaux Numériques pour le projet Giros360 réalisé avec EGIS pour le Grand Port Maritime de Bordeaux.

      Ces Trophées, décernés par un jury d’experts, valorisent les développements remarquables dans les secteurs de la construction, de l’immobilier et de l’aménagement urbain.

    • sur Corpo Oslandia – 24 & 25 janvier 2024

      Publié: 25 January 2024, 12:08pm CET par Caroline Chanlon

      Oslandia se veut une structure atypique, avec des valeurs affirmées basées sur l’autonomie, la confiance et l’ouverture. Des valeurs que nous retrouvons dans notre organisation : nous avons depuis la création de l’entreprise, misé sur un fonctionnement en télétravail avec des collaborateurs répartis dans la France entière.

      Un fonctionnement qui permet à toutes et tous une organisation libre des missions et de la journée de travail ! Mais nous avons aussi grand plaisir à nous retrouver, c’est le cas pendant 2 jours à Lyon pour notre Corpo d’hiver les 24 et 25 janvier 2024.

      Ces journées sont l’occasion de partager des moments privilégiés et d’échanger sur des sujets de fonds. Pendant ces deux jours à Lyon, on a plus spécialement abordé la mise en place de Superset chez Oslandia et la définition d’indicateurs.

    • sur [Equipe Oslandia] Vincent, développeur Full-Stack SIG

      Publié: 23 January 2024, 7:30am CET par Caroline Chanlon

      Chaque mois, nous avons le plaisir de vous présenter un membre de l’équipe, aujourd’hui c’est Vincent qui a répondu à nos questions ?

      Etudiant en licence Géographie et Aménagement, Vincent découvre les SIG et décide que la tech fera partie de sa vie professionnelle ? Avec un master pro Système d’Information Géographique et Analyse des Territoires en poche, il enchaîne les expériences avec une préférence pour les missions orientées écologie et développement durable.

      Depuis mai 2022, Vincent est développeur SIG back-end et front-end chez Oslandia. Formateur QGIS, conseil et support, il contribue également à la communauté open source, comme tout récemment avec la traduction française de la documentation PostGIS ?

      [Chez Oslandia, 10% du temps de travail est consacré à la contribution open source]

       

      Ses projets emblématiques

      Giros 360, un projet développé en partenariat avec Egis et récompensé au BIM World. Le projet : produire des jumeaux numériques pour le développement durable de l’estuaire de la Gironde. Un projet très technique qui a été étendu au Canada sur le fleuve Saint Laurent.

      Transitec, un observatoire de la mobilité sur 3 villes indiennes (Kochi, Ahmedabad, Nagpur). Le projet : développer une plateforme WebSIG alliant cartographie et data visualisation (base de données spatiales, une API REST Python, un front-end avec React, OpenLayers, Chart.JS). Un projet versé en open source qui devrait très prochainement équiper la ville de Rabat au Maroc.

      Ses technologies de prédilection

      « Aucune et toutes ! j’aime toucher à tout ! bases de données, API et frontend ? »

      Sa philosophie

      « Apprendre en permanence, faire de la veille pour pouvoir maitriser toute la chaîne des SIG, un domaine en perpétuel mouvement ! »

      Oslandia en 1 mot

      Confiance !

    • sur [En image] Giros 360 : un jumeau numérique pour la Garonne

      Publié: 18 January 2024, 7:30am CET par Caroline Chanlon

      Oslandia a collaboré avec EGIS dans le cadre du développement de l’application GIROS 360 pour le Grand Port Maritime de Bordeaux : un outil cartographique d’aide à la décision pour la préservation et l’exploitation de l’estuaire de la Garonne.

      Les équipes d’Oslandia sont fières d’avoir participé à ce projet collaboratif, open source, permettant d’accélérer la résilience des acteurs du territoire face aux défis climatiques.

      Un exemple de notre capacité à intégrer des problématique scientifiques complexes au sein de projets IT ?

      Plus d’informations Le projet Giros360 en 1 image :

    • sur Meilleurs vœux 2024 !

      Publié: 15 January 2024, 10:35am CET par Caroline Chanlon

      ? Oslandia vous présente ses vœux pour 2024, une année qui verra le 15ème anniversaire de l’entreprise. Nous prévoyons un évènement dédié en fin d’année et espérons que vous serez nombreux à nous y rejoindre.

      ? Stay tuned !

      ? Au moment de passer ce cap, nous sommes plus que jamais impliqués et moteurs dans la production de code géomatique open source de qualité industrielle. Notre objectif principal reste de fournir aux utilisateurs les meilleures solutions à leurs besoins tout en garantissant leur souveraineté numérique.

      Parmi d’autres réalisations et évènements marquants, cette volonté s’est traduite en 2023 par :

      Ces actions menées au sein des communautés open source sont rendues possibles grâce à nos clients qui les financent directement et indirectement, ainsi que par notre programme volontariste d’investissement. Nous sommes fiers d’apporter ces contributions significatives au bien commun !

      Nous espérons que nous aurons l’opportunité de travailler ensemble durant cette année qui s’amorce, et vous souhaitons de nouveau au nom de toute l’équipe, une bonne année 2024 !

      Vincent Picavet et l’équipe Oslandia

    • sur [1’Tech by Oslandia] open source

      Publié: 15 January 2024, 7:30am CET par Caroline Chanlon

      Dans cette minute Tech, nos collaborateurs vous proposent d’expliquer une technologie, une méthodologie, un concept. Pour commencer cette série et car il pouvait difficilement en être autrement, on a brainstormé sur GitLab pour donner notre meilleure définition de l’open source.

      Notre définition de l’open source

      open source, dans le sens équivalent à logiciel libre, désigne un logiciel ou un composant logiciel dont le code source est mis à disposition, et peut être modifié et redistribué librement. La notion de logiciel libre inclut en supplément des éléments de gouvernance sur les projets.

      L’open source chez Oslandia

      « OS » dans « Oslandia » c’est « Open Source » ! L’open source est au cœur de la culture Oslandia, aujourd’hui éditeur du SIG open source QGIS notamment. Oslandia est un « pure player » open source qui intègre, édite, maintient et développe des composants logiciels FOSS4G (Free Software for Geomatics), en collaboration forte avec la communauté de développeurs et d’utilisateurs.

    • sur Oslandia rejoint la Fédération des Pros d’OSM

      Publié: 20 December 2023, 7:00am CET par Caroline Chanlon

      En octobre 2023, Oslandia est devenu membre de la Fédération des Pros d’OSM, la fédération représentant les intérêts des entreprises françaises proposant des prestations liées à OpenStreetMap. [https://fposm.fr/\]

      Utilisateurs des données OSM depuis 15 ans, les équipes d’Oslandia disposent aujourd’hui d’une connaissance approfondie des données et du modèle et contribuent sur certains outils de la stack (e.g. PostGIS)

      Des clients d’Oslandia, comme Orange par exemple, déploient aujourd’hui des projets avec les fonds de carte OSM.

      « Grâce au support de nos clients, nous allons continuer à investir dans les outils OSM, notamment pour la maintenance et l’évolution » Vincent Picavet, Co-Founder et CEO Oslandia

    • sur Un plugin DuckDB dans QGIS !

      Publié: 16 November 2023, 2:33pm CET par Florent Fougères
      DuckDB c’est quoi ?

      DuckDB est un système de base de données relationnel et open source (sous licence MIT). Les bases DuckDB sont portables (à l’instar de SQLite ou GeoPackage par exemple) ce qui rend leur utilisation assez simple : pas besoin d’installation « lourde », il faut seulement installer une bibliothèque dans votre langage préféré (Python, Rust, R, C++). Une CLI est également disponible.

      Enfin, pour terminer cette brève introduction de la solution, il faut noter que DuckDB a la particularité d’utiliser un système de traitement par colonne (et non par ligne comme dans les SGBD classiques) ce qui diminue les temps de calcul sur certaines opérations. Un autre des atouts de cette solution est d’être capable de lire et convertir des données au format Parquet ou GeoParquet.

      Les fonctions spatiales

      DuckDB possède une extension pour utiliser des données spatiales qui n’est pas activée par défaut. L’inconvénient de cette extension spatiale est que pour le moment, elle ne gère pas les systèmes de projection. Pour la plupart, ces fonctions spatiales sont issues de la librairie GEOS. On y trouve toutes les fonctions spatiales classiques et le support de beaucoup de formats de données spatiales comme le Shapefile, GeoJSON ou KML par exemple.

      Grâce à un financement de l‘IFREMER, nous avons développé un plugin QGIS qui permet d’afficher des données spatiales contenues dans une base DuckDB.

      Fonctionnalités de QDuckDB

      À l’heure ou DuckDB fait beaucoup parler de lui sur les différents réseaux, il est important qu’un logiciel SIG open source aussi important que QGIS soit en capacité de lire des données géographiques provenant de cette source.

      Arrivés au terme de la première phase de développement de QDuckDB, nous sommes fiers d’annoncer la disponibilité de QDuckDB qui permet de charger dans QGIS une couche de données géographiques issue d’une base DuckDB.

      Les principaux développements réalisés dans QDuckDB sont donc :

      • Ajout d’un provider (ou fournisseur) de données permettant de lire une base de données DuckDB
      • Création d’une interface utilisateur pour utiliser le provider
      • Création d’un package pour Windows qui permet d’inclure les dépendances de DuckDB dans le plugin
      Démonstration Vidéo

       

      Sous le capot Un fournisseur de données spécifiques intégré dans QGIS

      Pour ajouter le support d’une nouvelle source de données dans QGIS il faut créer un nouveau provider (fournisseur).

      Par défaut, le cœur de QGIS comporte un certain nombre de providers, comme PostgreSQL ou GeoPackage par exemple, tandis que d’autres peuvent être implémentés dans des plugins. Un provider dans le contexte QGIS est l’implémentation des interfaces définissant un fournisseur de données, interfaces qui permettront à QGIS d’obtenir les informations nécessaires pour constituer un layer (colonnes, geometry, structure, métadonnées, projection, clé primaire etc). La création du provider est donc de loin la partie la plus importante et volumineuse du projet.

      Nous avons décidé d’implémenter ce nouveau provider via un plugin QGIS (et non dans le cœur). Tout d’abord parce que la technologie DuckDB est nouvelle et évolue encore rapidement et aussi parce que dans un premier temps, il est plus facile de maintenir un plugin qu’un développement cœur. Il s’agit donc d’un bon moyen de tester la connexion entre QGIS et DuckDB, avant d’envisager un portage vers le cœur.

      À venir

      Le provider ne permet pas encore d’éditer les données, il fonctionne en « read only » et seulement sur des tables contenant un seul type de géométrie (Point, Ligne ou Polygon). En fonction des financements disponibles, nous imaginons entre autres les améliorations suivantes :

      • Modification d’une couche (modifier les données, ajouter/supprimer des colonnes, créer/supprimer des entités, etc)
      • Import d’une couche spatiale depuis QGIS directement dans une base DuckDB
      • Meilleure intégration de DuckDB dans QGIS
      • Prise en compte des tables avec plusieurs types de géométrie

      Pour toute demande d’évolution, n’hésitez pas à nous contacter : contact@oslandia.com

      Liens importants
    • sur SFCGAL 1.5.0 est arrivé !

      Publié: 6 November 2023, 9:00am CET par Loïc Bartoletti

      SFCGAL est une bibliothèque C++ qui enveloppe CGAL, dans le but de prendre en charge les normes ISO 19107:2013 et OGC Simple Features Access 1.2 pour les opérations en 3D et de 2D avancées.
      Elle fournit des types de géométries et des opérations conformes aux normes, accessibles via ses interfaces en C ou en C++.

      Elle est utilisée aujourd’hui dans un large éventail d’applications, y compris au sein de PostGIS pour des opérations en 2D avancées et 3D, dans GDAL, ainsi que dans certaines bibliothèques de calculs complexes.
      Avec la sortie de SFCGAL 1.5.0, nous continuons d’étendre ses fonctionnalités et de proposer de nouvelles possibilités aux développeurs.

      Algorithmes de visibilité

      SFCGAL 1.5.0 intègre deux nouveaux algorithmes de visibilité issus de la bibliothèque CGAL.

      Ces algorithmes améliorent la capacité d’analyser la visibilité entre des objets géométriques, ce qui est essentiel dans un large éventail d’applications, de la planification urbaine à la robotique.

      Ces algorithmes permettent de déterminer les zones visibles depuis un point ou depuis une arête, comme l’illustre l’exemple ci-après.

      Visibilité depuis un point, dans un quartier dense : on part d’un polygone arbitraire (en rouge) dans le voisinage du point, auquel on retranche le bâti. Et on obtient un polygone des zones visibles.

      Nouvelles variantes de partitionnement

      Cette version apporte des améliorations significatives dans les algorithmes de partitionnement de polygones.

      SFCGAL possède déjà plusieurs algorithmes de triangulation pouvant partitionner un polygone. Nous venons d’ajouter 4 nouveaux algorithmes, répondant ainsi aux besoins de diverses applications géospatiales et de conception.

      partitions dans SFCGAL

      En haut à gauche, Y Monotone Partition ; en haut à droite, Approximal Convex Partition ; en bas à gauche, Greene Approximal Convex Partition ; en bas à droite : Optimal Convex Partition

      Extrusion de squelette droit

      L’une des fonctionnalités les plus attendues dans SFCGAL 1.5.0 est la possibilité de générer des « fausses » toitures en extrudant le squelette d’un polygone (straight skeleton).

      Des méthodes de conversion de la 2D vers la 3D (les fameux bâtiments !) existaient auparavant. Cependant, la qualité et l’efficacité de l’algorithme fourni par CGAL permet d’atteindre une solution significativement plus performante pour ce cas d’usage, en garantissant une conception de toit précise et fonctionnelle.

      Extrusion de toits dans QGIS 3D

      Cela ouvre la voie à une généralisation du LoD2 pour la tâche de reconstruction de bâtiments. Une représentation architecturale détaillée reste essentielle pour la visualisation, la simulation et la planification urbaine, en cette période où les jumeaux numériques 3D s’intéressent de plus en plus à la ville !

      Support du WKB et EWKB

      Nous avons également ajouté à SFCGAL 1.5.0 des fonctionnalités de lecture et d’écriture des formats binaires WKB et EWKB, pour offrir une plus grande interopérabilité avec d’autres systèmes et formats géospatiaux.

      Cette mise à jour renforce la facilité d’intégration de SFCGAL dans des workflows existants. Elle démontre notre engagement continu à améliorer SFCGAL pour répondre aux besoins diversifiés de nos utilisateurs.

      Résolution des problèmes de déploiement

      SFCGAL est un logiciel complexe, reposant sur des outils tout aussi complexes. Dans ce contexte, les problèmes de compilation, d’intégration et de packaging représentent un écueil notable (dont la bibliothèque a pu être victime par le passé !).

      Nous avons travaillé dur pour apporter des solutions à ces problèmes. Des processus de test rigoureux ont ainsi été mis en place sur les différentes plateformes majeures (Linux Debian/Ubuntu, BSD, Windows, MacOS) pour garantir que SFCGAL fonctionne de manière fiable et cohérente (oui, nous pensons à vous, les erreurs de flottants…).

      De plus, nous sommes engagés dans le développement d’une intégration à vcpkg, une solution de gestion de paquets C++ multiplateforme. Cette intégration facilitera davantage l’installation et l’utilisation de SFCGAL dans divers environnements.

      L’écosystème autour de SFCGAL

      Cette version représente l’avancée la plus importante de SFCGAL depuis des années, autant en diffuser les nouveautés !

      Notre objectif est de rendre SFCGAL accessible et fonctionnel pour un large éventail d’utilisateurs, quels que soient leurs besoins et leurs plates-formes. Trois possibilités additionnelles existent pour qui voudra tester ces nouveautés :

      • Les fonctionnalités présentées ici devraient être disponibles dans la prochaine version de PostGIS.
      • La bibliothèque est accompagnée par le binding Python pySFCGAL, qui inclut d’ores-et-déjà ces évolutions.
      • En outre, nous sommes heureux de vous informer que nous allons travailler sur un plugin QGIS pour faciliter leur intégration dans ce puissant système d’information géographique.

      Restez à l’écoute pour davantage de mises à jour sur SFCGAL. Nous travaillons déjà sur l’intégration de nouveaux algorithmes !

      Si vous souhaitez en discuter avec nous, ou si vous avez des cas d’usage qui pourraient bénéficier de ces nouveautés, contactez-nous à : info@oslandia.com !

    • sur Sortie de QField 3.0, la solution terrain basée sur QGIS

      Publié: 30 October 2023, 12:45pm CET par Vincent Picavet

      Nous sommes très heureux et enthousiastes à Oslandia de relayer l’annonce de sortie de QField 3.0, la nouvelle version majeure de l’application mobile de SIG basée sur QGIS.

      Oslandia est partenaire stratégique de OPENGIS.ch, la société au cœur du développement de QField et de la solution SaaS associée QFieldCloud. Nous nous joignons à OPENGIS.ch pour vous annoncer les nouvelles fonctionnalités de QField 3.0.

      Téléchargez QField 3.0 sans attendre !QField 3.0 screenshots

       

      Dotée de nombreuses nouvelles fonctionnalités et développée avec la dernière génération du framework multiplateforme Qt, ce nouveau chapitre marque une étape importante pour la plus performante des solutions OpenSource de SIG terrain.

      Les nouveautés

      La liste de projets récents a été repensée, avec des aperçus des projets en cours. Au delà de cette améliorations de l’interface utilisateur, de nombreuses autres modifications et harmonisations d’interface ont été apportées. Thème sombre rafraîchi, meilleure finition de l’interface, QField n’a jamais été aussi ergonomique et agréable visuellement.

      La barre de recherche supérieure permet désormais aux utilisateurs de rechercher des éléments dans les attributs de la couche active. Il est également possible de spécifier l’attribut concerné. La nouvelle fonctionnalité peut être déclenchée en tapant le préfixe « f » dans la barre de recherche suivi d’une chaîne ou d’un nombre pour obtenir une liste d’éléments correspondants. Une nouvelle liste de fonctionnalités apparaît alors avec tous les outils disponibles dans la barre de recherche.

      La fonctionnalité de tracking a également été améliorée. Un nouveau paramètre de correction d’erreur a été ajouté. Lorsqu’il est activé, il indique de ne pas ajouter de nouveau sommet si la distance avec le sommet précédent est supérieure à une valeur donnée. Cela évite les « pics » d’erreur de localisation pendant un enregistrement.

      QField est désormais également capable de reprendre une session de tracking après avoir été arrêté. Le tracking réutilisera alors la dernière entité enregistrée, permettant de poursuivre des sessions interrompues par une perte de batterie ou une pause momentanée sur une ligne ou géométrie polygonale.

      Pour les formulaires, QField prend désormais en charge les widgets de texte, un nouveau type en lecture seule introduit dans QGIS 3.30, qui permet aux utilisateurs de créer des étiquettes textuelles basées sur des expressions. De plus, les widgets de formulaire pour les relations permettent maintenant de zoomer vers les entités enfants/parent au sein du formulaire lui-même.

      Pour améliorer le travail de saisie sur le terrain, QField permet désormais d’activer et de désactiver le snapping grâce à un nouveau bouton situé en haut de la carte lors du mode de numérisation. Lorsqu’un projet a activé le snapping avancé, on peut activer ou de désactiver le snapping chaque couche vectorielle.

      De plus, la saisie de lignes et de polygones en utilisant les touches de volume haut/bas des appareils tels que les smartphones est désormais possible. Cela peut s’avérer utile lors de la numérisation de données dans des conditions difficiles où les gants rendent plus complexe l’utilisation d’un écran tactile.

      Ce résumé effleure juste la surface de cette version riche en fonctionnalités. D’autres ajouts majeurs incluent la prise en charge des balises NFC et un outil gomme pour l’éditeur de géométrie, permettant de supprimer une partie des lignes et des polygones comme vous le feriez avec un dessin au crayon en utilisant une gomme.

      Deutsches Archäologisches Institut, Groupements forestiers Québec, Amsa et Kanton Luzern ont sponsorisé ces améliorations.

      D’autres améliorations

      La barre d’échelle respecte désormais les unités de mesure de distance des projets, permettant l’affichage en unités impériales et nautiques.

      QField offre désormais un paramètre de qualité de rendu qui, moyennant une légère réduction de la qualité visuelle, permet d’obtenir des vitesses de rendu plus rapides et une utilisation moindre de la mémoire. Cela peut être un véritable atout pour les anciens appareils ayant du mal à gérer de grands projets et contribue à économiser la durée de vie de la batterie.

      La prise en charge des couches de tuiles vectorielles a été améliorée grâce au téléchargement automatisé des polices manquantes et à la possibilité de masquer les étiquettes. Ces deux modifications rendent ce type de couche indépendant de la résolution bien plus attrayant.

      Sur iOS, les mises en page sont désormais imprimées par QField sous forme de documents PDF au lieu d’images. Cela n’est devenu possible sur iOS que récemment, après le travail effectué par l’un de nos experts au sein de QGIS lui-même.

      DB Fahrwgdienste a sponsorisé les efforts de stabilisation et les corrections apportées au cours de ce cycle de développement.

      Qt 6 sous le capot

      Enfin, QField 3.0 est désormais construit sur Qt 6. Il s’agit d’une étape technologique importante pour le projet, car cela signifie que nous pouvons pleinement exploiter les dernières innovations technologiques dans ce framework multiplateforme qui alimente QField depuis le premier jour.

      Outre les nouvelles possibilités, QField a bénéficié de nombreuses corrections et améliorations au fil des années, notamment une meilleure intégration avec les plateformes Android et iOS. De plus, le framework de géolocalisation de Qt 6 a été amélioré pour prendre en compte les nouvelles constellations GNSS apparues au cours de la dernière décennie.

      Forêts

      Les forêts jouent un rôle crucial dans la régulation du climat, la préservation de la biodiversité et la durabilité économique. À partir de QField 3.0 « Amazonia » et tout au long du cycle de vie de la version 3.X, nous choisirons des noms de forêts pour chaque version afin de souligner l’importance de la conservation des forêts à l’échelle mondiale.

      Service disponible !

      OPENGIS.ch et Oslandia peuvent vous accompagner sur vos projets autour de QField, sur toute la gamme de service, en Anglais ou en Français  : formation, conseil, adaptation, développement spécifique et développement cœur, assistance et maintenance. N’hésitez pas à nous contacter : infos+qfield@oslandia.com

      Bonne cartographie sur le terrain !

    • sur ELAN : Plugin QGIS pour optimiser l’hydrologie urbaine

      Publié: 24 October 2023, 9:35am CEST par Jacky Volpes

       

       

      Dans le cadre du projet TONIC, l’INRAE a fait appel à Oslandia pour développer l’outil ELAN.

      Les participants au projet : INRAE, INSA Lyon, UGA, eau Grand Sud-Ouest, agence de l’eau Rhône Méditérannée Corse, H2O’Lyon, OFB

      TONIC s’inscrit dans le changement de paradigme sur la gestion des eaux usées et des eaux de pluie en milieu urbain et étudie différentes pratiques  :

      • développement d’infrastructures vertes (murs végétalisés, toits-jardins, arbres de rue, etc.) pour améliorer la qualité de l’air,
      • soutenir le traitement des eaux usées,
      • réduire le ruissellement des eaux pluviales,
      • réduire la pollution de l’eau et améliorer la qualité de vie pour les résidents.

      L’objectif de l’outil est d’accompagner les collectivités dans une gestion durable des eaux urbaines en leur proposant une méthodologie objective et opérationnelle pour aborder les questions de gestion décentralisée des eaux urbaines.

      ELAN proposera plusieurs modules intervenant dans la création de différents scénarii permettant de qualifier la pertinence technico-économique des solutions envisagées.

      Le premier volet de cet outil consiste, pour le traitement des eaux usées d’un nouveau quartier, à qualifier le choix d’un traitement local, ou de connexion au réseau voisin.

      Le deuxième volet vise à répondre à la problématique des déversements (eaux de pluie et eaux usées) en milieu naturel lorsque les stations de traitement saturent.

      Use case du volet 1 : comment connecter un nouveau quartier ?

      Un nouveau quartier n’a pas de réseau d’eaux usées.

      ELAN permet de simuler les 2 scénarii suivants :

      • raccordement du quartier au réseau centralisé
      • création d’une station locale de traitement des eaux usées

      Il sera possible pour chaque scénario d’évaluer l’impact sur les déversements, d’en chiffrer les coûts et les impacts environnementaux.

      Le module Réseau, actuellement implémenté, permet de relier des sources à une station de traitement.

      Plusieurs contraintes peuvent être spécifiées, le tracé utilisera les routes, le relief, le réseau existant…

      L’optimisation se fait avec PgRouting, et permet d’attribuer à chaque pas vers la station de traitement un coût dépendant du terrain (est-ce qu’il faut monter, est-ce que l’on suit une route, etc.).

      Le module Économique permettra de donner des ordres de grandeur du coût d’installation du réseau.

      Use case volet 2 : comment limiter les déversements ?

      Le module réseau, actuellement implémenté, permet de détecter les bassins versants topologiques.

      Une liste de points permet de définir ensuite des sous-bassins versants : la zone sur laquelle toute pluie tombée s’écoulera jusqu’au point défini.

      Chacun de ces sous-bassins versants doit être caractérisé (longueur du réseau d’eau de pluie, pourcentage d’imperméabilité, etc.) via différentes métriques manuelles et automatiques.

      Le module Réseau permet de simuler le réseau d’évacuation d’eau de pluie lorsque la donnée n’est pas disponible, afin d’en extraire les métriques de caractérisation des sous bassins versants.

      Voici un exemple sur la commune de Ecully, après avoir caractérisé l’ensemble des sous bassins versants, et simulé la circulation d’eaux usées et d’eau de pluie sur une année.

      La déconnexion d’un sous bassin versant du réseau centralisé d’eaux usées et de pluie peut alors être envisagé.

      Les modules Réutilisation et Procédé de ELAN permettront alors de trouver un emplacement de traitement local des eaux, et de lui associer une filière adaptée. Ces modules sont liés au projet CARIBSAN.

      Volume d’eau, par sous bassin versant, déversé par le déversoir d’orages

    • sur QGIS pour afficher des données télémétriques géospatiales

      Publié: 19 September 2023, 5:00pm CEST par Florent Fougères
      Contexte

      Nous en avions déjà parlé dans un précédent article : l’Agence Spatiale Canadienne (ASC) supporte les vols de ballons stratosphériques ouverts (BSO), opérés en sol canadien, par le CNES. Certains de ces ballons volent à environ 40 km d’altitude dans des conditions proches de l’environnement spatial, d’autres volent plus bas dans l’atmosphère, et tous embarquent un grand nombre d’instruments de mesures et d’observation pouvant atteindre une masse de 800 kg. Une multitude d’organisations (laboratoires, établissements scolaires, industriels, etc), à travers le monde, utilisent de plus petits ballons (du type sondage météo) pour effectuer des expériences. La réglementation des vols de ballons non habité étant différente au Canada, l’ASC a entrepris, en 2018, de développer une plateforme rencontrant les exigences de leurs vols domestiques. Pour suivre ces ballons, leurs données sont transmises à un satellite Iridium, qui les envoie à un serveur sur Terre, où on les récupère.

      Ce serveur reçoit donc une trentaine de variables comme la localisation (lat, long), l’altitude, la vitesse, la pression atmosphérique, la température, la tension des batteries etc.

      Lors de nos précédents travaux, nous avions construit une preuve de concept, et en concertation avec l’ASC avons décidé d’une autre modalité de représentation de l’information en repartant d’une interface déjà développée par leurs soins. Nous avons transformé l’interface permettant de consulter la télémétrie sans dimension cartographique, en plugin QGIS et l’avons fait évoluer pour visualiser au même endroit les données télémétriques, la position en temps réel et des courbes retraçant l’évolution temporelle de certaines données.

      Fonctionnalités

      Le plugin effectue donc la collecte des données de télémétrie. Il faut dans un premier temps récupérer la donnée et la parser : il s’agit de chaînes de caractères à séparer selon un délimiteur et des longueurs spécifiques.

      Deux modes d’acquisition des données sont possibles :
      • Un mode réel où il faut renseigner l’adresse IP et le port du serveur où récupérer les données
      • Un mode simulation où il faut renseigner un fichier CSV contenant des données simulant un vol, ou reprenant des vols précédents

      Il est possible de mettre l’acquisition en pause et de réinitialiser l’interface.

      Enfin, dans les paramètres, il est possible de saisir un seuil d’alerte pour le voltage de la batterie, en-dessous duquel l’utilisateur sera alerté :

      Les données acquises sont présentées dans 3 zones différentes dans l’interface de QGIS :
      • Une colonne (à droite) qui liste toutes les données recueillies
      • Un bloc (en bas) dans lequel on trouve différentes courbes (tension de la batterie, altitude, pression et température)
      • Et la carte sur laquelle s’affiche le parcours du ballon, avec deux options de zoom possibles :
        • Zoom sur la dernière position du ballon
        • Zoom sur l’intégralité de la trace

      Une fois l’acquisition terminée, les données sont enregistrées dans le dossier précisé dans les paramètres du plugin, partagées dans un fichier CSV pour les données brutes, et dans un Shapefile pour les données géographiques.

      Démonstration vidéo
    • sur Oslandia signe un partenariat avec OPENGIS.ch sur QField

      Publié: 14 September 2023, 9:00am CEST par Vincent Picavet
      Qui sommes nous ?

      ? Pour ceux qui ne connaissent pas Oslandia, ou OpenGIS.ch, ou même QGIS, rafraichissons les mémoires :

      ? Oslandia est une entreprise française spécialisée dans les systèmes d’information géographique opensource (SIG). Depuis notre création en 2009, nous proposons des services de conseil, de développement et de formation en SIG, avec une expertise reconnue. Oslandia est un « pure-player » opensource, et le plus grand contributeur français à la solution QGIS.

      ? Quant à OPENGIS.ch , il s’agit d’une entreprise Suisse spécialisée dans le développement de logiciels SIG open-source. Fondée en 2011, OPENGIS.ch est de son côté le plus grand contributeur suisse à la solution QGIS. OPENGIS.ch est le créateur de QField, la solution de SIG mobile open-source la plus utilisée par les professionnels de la géomatique.

      OPENGIS.ch propose également QFieldCloud en tant que solution SaaS ou on-premise pour la gestion collaborative des projets de saisie terrain.

      ? Certains ne connaissent pas encore #QGIS ?

      Il s’agit d’un système d’information géographique libre et opensource qui permet de créer, éditer, visualiser, analyser et publier des données géospatiales. Multiplateforme, QGIS est utilisable sur ordinateur, serveur, en application web ou comme bibliothèque de développement.

      QGIS est un logiciel libre développé par de multiples contributeurs dans le monde entier. C’est un projet officiel de la fondation OpenSource Geospatial OSGeo et soutenu par l’association QGIS.org. cf [https:]]

      Un partenariat ?

      ? Nous sommes aujourd’hui heureux d’annoncer notre partenariat stratégique visant à renforcer et à promouvoir QField, l’application mobile de la solution SIG opensource QGIS.

      ? Ce partenariat entre Oslandia et OPENGIS.ch est une étape importante pour QField et les solutions SIG mobiles opensource, qui permettra de consolider la plateforme, en offrant aux utilisateurs du monde entier un accès simplifié à des outils efficaces pour la collecte, la gestion et l’analyse des données géospatiales sur le terrain.

      ? QField, développé par OPENGIS.ch, est une application mobile opensource de pointe qui permet aux professionnels des SIG de travailler en toute efficacité sur le terrain, en utilisant des cartes interactives, en collectant des données en temps réel et en gérant des projets géospatiaux complexes sur des appareils mobiles Android, IOS ou Windows.

      ? QField est multiplateforme, basée sur le moteur QGIS, et permet donc un partage des projets de manière fluide entre les applications bureautiques, mobiles et web.

      ? QFieldCloud ( [https:]] ), la plateforme web collaborative de gestion de projets QField, bénéficiera également du partenariat, et pourra être enrichie pour compléter la gamme d’outils de la solution QGIS.

      On en dit quoi ?

      ? Côté Oslandia, nous sommes très heureux de collaborer avec OPENGIS.ch sur les technologies QGIS. Oslandia partage avec OPENGIS.ch une vision commune du développement de logiciel libre et opensource : une implication forte dans les communautés de développement, un travail dans le respect de l’écosystème, une très grande expertise, et une optique de développement logiciel de qualité industrielle, robuste et pérenne.

      ??? Avec ce partenariat, nous souhaitons proposer à nos clients la plus grande expertise possible sur l’ensemble des composants logiciels de la plateforme QGIS, depuis la captation de la donnée jusqu’à sa diffusion.

      ? Côté OpenGIS.ch, Marco Bernasocchi ajoute :

      Le partenariat avec Oslandia représente une étape cruciale dans notre mission visant à fournir des outils SIG mobiles de premier plan avec un réel crédo OpenSource. La complémentarité de nos compétences permettra d’accélérer le développement de QField ainsi que de QFieldCloud, et de répondre aux besoins croissants de nos utilisateurs .

      L’engagement pour l’opensource

      ? Nos deux entreprises s’engagent à continuer à soutenir et à améliorer QField et QFieldCloud en tant que projets opensource, garantissant ainsi un accès universel à cette solution de SIG mobile de haute qualité sans aucune dépendance à un fournisseur.

      Prêts pour le terrain ?

      ? Et vous, êtes vous prêts pour le terrain ?

      Alors téléchargez QField ( [https:]] ) , créez des projets sur QGIS, partagez-les sur QFieldCloud !

      ? Si vous avez besoin de formation, support, maintenance, déploiement ou développement de fonctionnalités spécifiques sur ces plateforme, n’hésitez pas à nous contacter, vous aurez les meilleurs experts disponibles : infos+mobile@oslandia.com

       

    • sur QGIS rencontre AWS S3

      Publié: 4 September 2023, 10:50am CEST par Jacky Volpes

      Depuis QGIS 3.22 Bia?owie?a, il est possible de lier des documents externes (documents stockés sur des plateformes utilisant le protocole WebDAV, telles que Nextcloud, Pydio, etc.) à des données géographiques. Cette fonctionnalité permet d’introduire une composante de Gestion Électronique de Documents (GED) dans les SIG.

      La livraison de cette fonctionnalité auprès de la communauté QGIS s’est faite grâce au financement de la Métropole de Lille, et elle se voit aujourd’hui enrichie grâce à l’implication et au financement de la Métropole de Lyon qui utilise une infrastructure de GED basée sur le stockage d’objets dans le cloud, qu’elle souhaite pouvoir exploiter à travers son SIG.

      C’est un bel exemple de cercle vertueux où des utilisateurs mutualisent des financements afin d’enrichir les fonctionnalités de QGIS au bénéfice du plus grand nombre : les contributions se sont enchainées pour améliorer les jalons posés par d’autres utilisateurs.

      Amazon Simple Storage Service (AWS S3)

      Depuis QGIS 3.30 ‘s-Hertogenbosch, il est donc possible d’utiliser le type de stockage AWS S3 lors de la configuration du widget Pièce jointe, ainsi que le nouveau type d’authentification dédié :

      Nouveau type d’authentification AWS S3

      Notre article précédent présente un guide sur la configuration du formulaire de la couche géographique, afin de disposer d’une interface ergonomique permettant de visualiser les documents, et les envoyer sur le système de stockage directement via le formulaire de l’entité géographique.

      Aperçu d’un fichier joint

      Il suffit à présent de sélectionner AWS S3 comme type de stockage et d’authentification :

      Nouveau type de stockage AWS S3

      Stockage d’objet cloud compatible

      MinIO est un système de stockage d’objet cloud compatible AWS S3, opensource, et facilement mis en place via Docker par exemple, pour stocker des documents et y accéder via QGIS.

      A venir

      Nous cherchons à améliorer cette fonctionnalité pour les prochaines version de QGIS : nous aimerions par exemple :

      • ajouter de nouveaux types de stockage,
      • améliorer le rendu des photos dans les fonds de carte,
      • charger un projet directement à partir d’un stockage externe,
      • etc ! on peut imaginer de nombreux usages complémentaires. N’hésitez pas à nous faire part de vos besoins

      Si vous souhaitez contribuer ou simplement en savoir plus sur QGIS, n’hésitez pas à nous contacter à infos@oslandia.com et consulter notre proposition de support à QGIS.

    • sur Les dernières nouveautés Giro3D

      Publié: 28 August 2023, 2:57pm CEST par Sébastien Guimmara

      Dans un précédent article, nous vous présentions les dernières évolutions et la roadmap de Giro3D. Dans cet article, nous vous présentons les dernières nouveautés du projet.

      Quoi de neuf dans Giro3D ?

      La dernière version de Giro3D  ajoute de nombreuses fonctionnalités, améliorations et correctifs. Voici un aperçu des principales additions.

      Effets de nuages de points (? Essayer en ligne) Un élément important de la roadmap concerne l’amélioration du rendu des nuages de points. L’ajout d’effets comme l’Eye Dome Lighting (EDL) et inpainting améliore grandement la lisibilité et l’aspect visuel des nuages de points. Ces effets font désormais partie du coeur de Giro3D et peuvent être activés à la demande au runtime. Eye dome lighting on a point cloud

      Eye dome lighting sur un nuage de points

      Reprojection des couches images (? Essayer en ligne) L’entité Map  peut désormais contenir des couches  dont la projection diffère de celle de la scène. Dans ce cas, les images produites par les couches sont automatiquement reprojetées pour correspondre au système de coordonnées de la scène. C’est particulièrement utile dans le cas où vous ne pouvez pas changer le système de coordonnées de la scène, (par exemple si la scène contient d’autres entités non reprojetables), ou pour mélanger des couches de fournisseurs différents (et de projections différentes). Nouvelle entité: FeatureCollection (?Essayer en ligne) FeatureCollection permet d’afficher des données vectorielles directement sous forme 3D, sans passer par un drapage sur la Map. Les types de vecteurs supportés sont : points, polylignes et (multi-)polygones. Nous travaillons actuellement au support des polygones extrudés pour l’affichage de bâtiments en 3D.

      2 couches WFS (arrêts de bus et lignes de bus)  affichés sous forme de meshes 3D.

      Support des plans de coupes (? Essayer en ligne) Les entités supportent désormais nativement les plans de coupes (clipping planes) de three.js. Vous pouvez activer les plans de coupe pour la scène entière, ou bien par entité, grâce à la nouvelle propriété clippingPlanes. Un nombre illimité de plans de coupes peuvent être ajoutés, par exemple pour définir un volume.

      A box volume made of 6 clipping planes

      Côté technique Migration vers TypeScript

      La codebase de Giro3D migre vers TypeScript pour une meilleure gestion de la complexité du projet et réduire les erreurs de typages qui représentent une part importante de bugs dans les librairies web.

      TypeScript offre de nombreux avantages, comme la migration progressive: pas besoin de migrer tous les fichiers d’un coup, il est possible de mélanger Javascript et Typescript dans le même projet sans problème. Cela nous permet de cibler en priorité les fichiers et modules critiques, tels que ceux qui exposent une API.

      Les paquets publiés par Giro3D sur npm.js ne changent pas de contenu: ils resent en Javascript (accompagnés de déclaration de type). De fait, aucun changement n’est nécessaire du côté des utilisateurs de Giro3D et cette migration devrait être transparente.

      Une meilleure intégration three.js Giro3D est construit sur le moteur three.js. Notre objectif est une intégration maximale du moteur, afin de bénéficier automatiquement des fonctionnalités de three.js (comme les plans de coupe). Nous souhaitons également laisser les utilisateurs modifier ou adapter Giro3D en accédant directement au moteur sous-jacent et à la scène. Concrètement, cela signifie que les shaders et materials spécifiques à Giro3D sont maintenant bien mieux intégrés aux mécanismes de three.js afin de bénéficier autant que possible des fonctionnalités three.js et éviter la duplication de code. Nouveau document de gouvernance

      La gouvernance de Giro3D est désormais formalisée via un document et une page dédiée. Notre objectif est d’être aussi inclusif que possible et d’accueillir toutes sortes de contributeurs.

    • sur (En) Why Oslandia is not (physically) attending FOSS4G 2023

      Publié: 28 June 2023, 9:00am CEST par Vincent Picavet

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