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Éléments récents
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11:08
SWOT Satellite : Un Nouveau Regard sur les Océans de la Terre
sur Veille cartographieCet article SWOT Satellite : Un Nouveau Regard sur les Océans de la Terre est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Le Satellite SWOT (Surface Water and Ocean Topography), une collaboration entre la NASA et le Centre National d’Études Spatiales (CNES) de la France, a été lancé en 2022 avec une mission cruciale : étudier les océans de la Terre avec une précision et une résolution sans précédent. Avec son équipement de pointe et sa technologie […]
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8:12
The Same Size As
sur Google Maps ManiaGibraltar (left) compared to Central Park (right)Same Scales is an interactive map which allows you to compare two different locations side-by-side at the same scale. Comparing locations on the same map can be difficult because of the distortions caused by map projections. Same Scales helps you compare two different locations by showing each at the same scale on two different maps placed
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7:29
Agenda : SIG 2023 sans frontières
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLa conférence francophone Esri 2023 se déroule du 9 au 13 octobre 2023, à nouveau dans un format numérique. Ce déroulement est plébiscité, car il permet à la fois de réunir un plus grand nombre de participants, issus de toute la Francophonie, tout en épargnant l’environnement de l’impact des déplacements. De plus, inwink, la plate-forme technique du géo-événement, évolue constamment pour faciliter les échanges entre les participants. Cette année, une innovation (parmi d’autres !) permettra ainsi de discuter en petits groupes et en direct à la suite de certaines sessions !
Pour vivre des échanges en face à face, comme cela a été le cas début juin à Paris lors des premières Rencontres de la Géo Communauté, Esri France et ses partenaires organisent une journée entière en présentiel à Lyon, Marseille, Nantes, Toulouse et Paris, le mardi 10 octobre, jour de la plénière, et avec un programme spécifique l’après-midi sur chaque étape. Cette année encore, SIG 2023 donnera la parole aux utilisateurs, notamment à travers les communications.
Notre rédaction sera une nouvelle fois mobilisée pour couvrir l’événement avec chaque midi l’émission CLUB SIG. Nous échangerons aussi avec les grands témoins, en compagnie de Christophe Tourret, P-dg d’Esri France : Pierre Haski, journaliste chronique « Géopolitique » dans le 7/9:30, la Matinale de France Inter, par ailleurs Président de « Reporters sans Frontières », et Laurence Devillers, professeure en informatique appliquée aux sciences sociales à l'université de Paris La Sorbonne.
+ d'infos :
geo-evenement.fr
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15:00
OGC Adopts Training Data Markup Language for Artificial Intelligence Conceptual Model as Official Standard
sur Open Geospatial Consortium (OGC)The Open Geospatial Consortium (OGC) is excited to announce that the OGC Membership has approved the OGC Training Data Markup Language for Artificial Intelligence (TrainingDML-AI) Part 1: Conceptual Model for adoption as an official OGC Standard. The Standard defines the conceptual model for standardized geospatial training data for Machine Learning.
Training data plays a fundamental role in Earth Observation (EO) Artificial Intelligence Machine Learning (AI/ML) applications, especially Deep Learning (DL). It is used to train, validate, and test AI/ML models. Understanding the source and applicability of training data allows for better understanding of the results of AI/ML operations.
To maximize the interoperability and re-usability of geospatial training data, the TrainingDML-AI Standard defines a model and encodings consistent with the OGC Standards baseline to exchange and retrieve the training data via the Web. Part 1 of the Standard contains the Conceptual Model, as well as example JSON encodings. Future Parts of the Standard will cover other encodings.
Additionally, the Standard provides detailed metadata for formalizing the information model of training data. This includes but is not limited to the following aspects:
- How the training data is prepared, such as provenance and quality;
- How to specify different metadata used for different ML tasks;
- How to differentiate the high-level training data information model and extended information models specific to various ML applications;
- How to describe the version, license, and training data size;
- How to introduce external classification schemes and flexible means for representing ground-truth labeling.
OGC Members interested in staying up to date on future progress of this standard, or contributing to its development, are encouraged to join the Training Data Markup Language for AI Standards Working Group via the OGC Portal. Non-OGC members who would like to know more about participating in this SWG are encouraged to contact the OGC Standards Program.
As with any OGC standard, the open OGC Training Data Markup Language for Artificial Intelligence (TrainingDML-AI) Part 1: Conceptual Model Standard is free to download and implement.
The post OGC Adopts Training Data Markup Language for Artificial Intelligence Conceptual Model as Official Standard appeared first on Open Geospatial Consortium.
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9:07
The Global Problem of Forever Chemicals
sur Google Maps ManiaForever chemicals are almost everywhere. If you search for PFAS contamination in any country, continent, or wildlife species around the world, the chances are you will find it. This revelation comes after a massive analysis of data by the Environmental Working Group (EWG) has exposed the global scale of the PFAS problem. PFAS or toxic "forever chemicals" are harmful substances that pollute the
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7:00
Fin du support des Network Datasets basés sur des shapefiles dans ArcGIS Pro
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
ArcGIS Pro 3.2 sera la dernière version à prendre en charge les jeux de données réseau basés sur des shapefiles. Bien que ce type de jeu de données de réseaux puisse être affiché dans le catalogue et dans les boîtes de dialogue des outils de "Network Analyst", la possibilité de créer ou de modifier un jeu de données réseau de shapefiles n'a jamais été prise en charge par ArcGIS Pro. De plus, ArcGIS Enterprise n'a jamais pris en charge la publication de services de réseau (NA Services) à partir de jeux de données réseau de shapefiles. Vous pouvez consulter l'avis de dépréciation sur le site de support Esri pour plus de détails.
Esri recommande donc à tous les utilisateurs qui exploitent des jeux de données réseau de shapefiles de se préparer à ce changement en créant leurs jeux de données réseau à partir d'une géodatabase fichier ou une géodatabase d'entreprise. Les modèles et les scripts qui font référence à des jeux de données réseau de shapefiles devront être migrés pour utiliser des jeux de données réseau dans une géodatabase fichier ou dans une géodatabase d'entreprise.
Vous pourrez utiliser l'outil "Classe d'entités vers classe d'entités" pour migrer les sources de données réseau de fichiers de formes vers une géodatabase fichier. Reportez-vous au didacticiel "Créer un jeu de données réseau" pour obtenir des instructions détaillées sur la façon de créer un jeu de données réseau dans une géodatabase fichier.
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0:36
Introduction à la cartographie orbitale (satellites et débris) 1/4
sur Veille cartographieCet article Introduction à la cartographie orbitale (satellites et débris) 1/4 est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Par NICOLX (Nicolas Le Maux) Introduction Après seulement soixante années de conquête spatiale, l’orbite de la Terre est déjà peuplée de constellations de satellites et d’innombrables débris. Ils sont de tous types : satellites devenus désuets et inemployés, morceaux de métaux issus de fusées, de carcasses, etc. Ce sont ainsi plus de cent millions de déchets […]
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21:21
KAN T&IT Blog: Análisis de calidad de información geoespacial. BID Perú.
sur Planet OSGeoEn el marco del convenio con el Banco Interamericano de Desarrollo sede Perú (BID Perú), se llevó a cabo el proyecto de análisis de calidad de información geoespacial generados en el contexto del programa “Apoyo a la Plataforma Nacional de Ciudades Sostenibles y Cambio Climático en Lima” para el Ministerio de Ambiente de la República de Perú (MINAM). Este proyecto consistió en realizar el control de calidad de más de 400 capas de información geoespacial en función de los requerimientos establecidos en la familia de normas ISO 19100 que apuntan a regular y a normalizar la generación de información geoespacial con el objetivo de garantizar su interoperabilidad. El objetivo final de este trabajo fue aportar al proceso de mejora de la calidad e interoperabilidad de los datos al Plan Nacional de Adaptación al Cambio Climático (NAP, por sus siglas en inglés) en Perú.
El NAP consiste en un exhaustivo documento en donde se plasman los principales lineamientos para planificar la implementación de medidas diseñadas específicamente para reducir los riesgos derivados del impacto del cambio climático. A su vez, este documento pretende ser una fuente de información disponible para la toma de decisiones a nivel gubernamental en torno a ésta problemática. En este sentido, entre los objetivos que persigue el NAP, se presentan los siguientes:
1: Integrar y articular diversos instrumentos de gestión: Estrategia Regional de Cambio Climático, NDC y Planes Locales de Adaptación al Cambio Climático.
2: Desarrollar un análisis de riesgos climáticos a nivel nacional y regional para 5 áreas temáticas: Agua, Bosques, Agricultura, Pesca y Acuicultura y Salud; y para 4 amenazas clave: movimientos en masa, inundaciones, cambio en las condiciones de aridez y retroceso glaciar.
3: Actualizar las medidas de adaptación establecidas en cada uno de los instrumentos de gestión, de acuerdo con las necesidades de las poblaciones y los ecosistemas.
Para llevar a cabo el proceso de revisión y control de calidad de la información generada en este contexto, se trabajó en conjunto con las empresas productoras de la información geoespacial y en constante comunicación con representantes del BID Perú. Estas empresas habían sido convocadas por el Ministerio de Ambiente de Perú en convenio con BID y la organización World Wide Fund for Nature (WWF) con el objetivo de analizar y generar información para: el “Plan de Adaptación Costera para el Área Metropolitana de Lima (AML)”, los “Estudios base sobre riesgo de desastres por riesgos naturales y crecimiento urbano en el AML” y los “Estudios de análisis urbanístico, prefactibilidad y diseños constructivos para acciones estratégicas de accesibilidad, multimodalidad y desarrollo orientado al transporte en el Sistema Integrado de Transporte (SIT) de Lima y Callao”. Toda la información geoespacial generada en el marco de estos tres productos fue el objeto de análisis de la consultoría realizada por Kan.
La premisa que guió el desarrollo de este proyecto fue alcanzar un nivel de calidad del dato óptimo que permitiera a los organismos disponibilizar la información producida garantizando el libre acceso, la interoperabilidad, la confiabilidad y la calidad.
En primera instancia se presentaron requisitos para la presentación de la información para asegurar el libre acceso. En este sentido, se solicitó que la información pudiera ser consultada a través de software libres, para que pudieran ser consumidos sin necesidad de pagar una licencia para hacerlo, siendo el formato “geopackage” el indicado para cumplir esta condición.
El análisis de la información se basó en una metodología específica desarrollada por el equipo SIG de Kan, fundamentada en las normas 19115-3, 19139, 19110 y 19157 que hacen referencia a los formatos e implementación de metadatos, a la catalogación de objetos geográficos y a la calidad del dato, respectivamente. Todo el contenido de estas normas se plasmaron en matrices analíticas que luego fueron aplicadas a cada una de las capas de información. Estas matrices permitieron relevar el estado de la información en relación a: la completud de sus metadatos, formatos de interoperabilidad de la información, calidad del dato, referencias sobre su linaje, uso y propósito, su consistencia lógica y topológica, el análisis de sus atributos, entre otros puntos. En total, se establecieron seis categorías de análisis:
A: Compatibilidad del conjunto de datos
B: Interoperabilidad del conjunto de datos
C: Interoperabilidad conjunto de metadatos
D: Interoperabilidad – Metadatos de la capa
E: Compatibilidad de la capa
F: Calidad del dato
Para cada categoría se definieron una serie de elementos de análisis que en total suman 47 ítems. El objetivo final de esta revisión fue cuantificar la usabilidad de la información geográfica producida, estableciendo un rango de usabilidad. Este rango va entre -1 y 1, siendo los valores cercanos a -1 aquellos que incumplen en más de un 50% los elementos establecidos para el análisis y los valores cercanos a 1 aquellos que cumplen en más de un 50% los elementos. De esta forma se obtuvo un resultado parcial de usabilidad por capa y un resultado global de usabilidad para el conjunto de datos. Luego de haber realizado el análisis, se confrontaron los resultados obtenidos con lo establecido por las normas, de esta manera se creó un documento de recomendaciones y sugerencias para la mejora de la calidad e interoperabilidad del dato.
Este proyecto permitió conocer la calidad de la información generada en el proyecto e identificar aquellos aspectos posibles de mejorar para garantizar la interoperabilidad de la información. Luego de este proceso de análisis, las empresas aplicaron las recomendaciones y sugerencias realizadas por el equipo SIG de Kan con el que alcanzaron un nivel óptimo de calidad del dato.
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18:51
L'histoire par les cartes : découvrir la collection Steegh-Teunissen de la Bibliothèque de l'Université de Leiden
sur Cartographies numériques
En 2021, les collectionneurs John Steegh et Harrie Teunissen ont fait don de l'intégralité de leur collection cartographique aux Bibliothèques de l'Université de Leiden (UBL) aux Pays-Bas : pas moins de 19 000 cartes et 2 500 atlas et guides de voyage, qu'ils ont réunis en près de 40 ans.La collection comprend des cartes de tous les continents, du XVIe siècle à nos jours avec un accent particulier sur les XIXe et XXe siècles. Il s'agit probablement de la plus grande collection de cartes privées des Pays-Bas. Les thèmes abordés concernent notamment la gestion de l'eau, le développement urbain, la répartition ethnique, les conflits militaires. On y trouve une grande variété de cartes, y compris des cartes de propagande et des cartes publicitaires. Le fond comprend des cartes ottomanes, des cartes de la Palestine et d'Israël, des cartes de Leiden aux Pays-Bas (environ 140) et quelques cartes concernant l'Holocauste. Le plan secret de la ville allemande de Varsovie de 1939, sur lequel les SS ont dessiné les contours du ghetto juif prévu en novembre 1940, est assez unique.
Extrait du plan du ghetto de Varsovie dessiné à la main par les SS en 1940 (source : Harrie Teunissen)
« L'Holocauste est en grande partie une histoire spatiale » (entretien avec Harrie Teunissen, collectionneur de cartes)
« Topographie de la terreur : cartes du ghetto de Varsovie » (conférence d'Harrie Teunissen)
L'exposition Mapping Modernity qui se déroule jusqu'au 28 janvier 2024 reprend une partie de la collection Steegh-Teunissen. Les deux collectionneurs ont travaillé avec le Design Museum Den Bosch pour sélectionner 250 cartes qui racontent l'histoire de notre monde moderne :
« Un monde dans lequel l’être humain se place au centre et croit pouvoir affirmer son contrôle sur tout. L’histoire de la modernité est celle du contrôle : sur la nature, les populations et les flux commerciaux. Les êtres humains se sont placés au centre de l’univers et ont utilisé des cartes pour tenter de dominer une réalité complexe et insaisissable. Chaque carte offre un aperçu de l'état d'esprit de ceux qui l'ont commandée et de la manière dont ils ont cherché à façonner le monde à leur convenance. Vous pouvez facilement imaginer les personnes qui ont dressé ces cartes : le général SS en 1939 qui a délimité le ghetto juif sur une carte de Varsovie, scellant ainsi le sort de milliers de personnes. Le fonctionnaire néerlandais inquiet du ministère des Travaux publics qui présentait à ses supérieurs une carte montrant une meilleure protection de la Hollande, deux jours avant les inondations catastrophiques de 1953. Les compilateurs de l'atlas des écoles américaines du XIXe siècle, identifiant quelles populations étaient « civilisées » et n'avaient pas encore atteint le « standard blanc » (à supposer, comme ils le sous-entendaient, que cela soit envisageable). La façon dont nous interagissons avec les cartes et l’influence qu’elles ont sur nous ont progressivement changé. Les cartes numériques jouent désormais un rôle majeur dans nos vies, qu'il s'agisse de nous repérer ou de rechercher un logement. Les cartes papier de cette exposition permettent de montrer comment nous en sommes arrivés là » (présentation de l'exposition Mapping Modernity).
A découvrir également :
Une carte allemande de la diffusion de la grippe russe de 1889-90 :
Graphische Darstellung Des Auftretens Der Insluenza-Pandemie (voir cet article pour les explications)L'Ukraine d'après les cartes historiques des collections de l'UBL :
L'exposition BorderlandsUn magnifique atlas de l'Ukraine et des pays limitrophes (1937) :
Atljas Ukrajiny i sumežnich krajiv K.213Extrait de l'atlas de l'Ukraine et pays limitrophes (source : Collection Steegh-Teunissen)
La collection Cartes et Atlas de l'UBL rassemble des documents cartographiques depuis la fondation de la bibliothèque universitaire en 1587. La collection de cartes et d'atlas comprend aujourd'hui environ 100 000 feuilles de cartes (dont 3 000 cartes manuscrites), 3 500 atlas et 25 000 gravures et dessins topographiques. La plus grande partie a été léguée en 1872 comme héritage de l'éditeur Johannes Tiberius Bodel Nijenhuis (1797-1872). Outre la collection Bodel Nijenhuis, la collection de cartes et d'atlas comprend plusieurs autres sous-collections, telles que la collection Van Keulen, la collection de cartes coloniales néerlandaises de l'ancienne bibliothèque de l'Institut royal des tropiques (KIT), la collection de cartes de l'Institut royal néerlandais d'études sur l'Asie du Sud-Est et les Caraïbes (KITLV) et plusieurs autres sous-collections moins importantes. Les cartes datent du XVIe siècle à nos jours. L'accent est mis sur le matériel cartographique des Pays-Bas et de l'Europe occidentale, ainsi que sur les régions exploitées par la Compagnie néerlandaise des Indes orientales et la Compagnie des Indes occidentales (VOC et WIC) et sur les anciennes colonies néerlandaises de l'Indonésie, du Surinam et des Antilles néerlandaises actuelles.
Voir par exemple « La cartographie néerlandaise de Chypre » (catalogue d'exposition)
Articles connexes
Trois anciennes cartes de la Chine au XVIIIe siècle numérisées par l'Université de Leiden
L'histoire par les cartes : les archives du Musée mémorial de l'Holocauste à Washington
L'histoire par les cartes : le Rijksmuseum met à disposition plus de 700 000 œuvres sur le web, notamment des cartes
L'histoire par les cartes : une exposition virtuelle sur les cartes missionnaires (vers 1850 - 1950) par l'Université d'Utrecht
Le peintre hollandais Vermeer et les cartes
Cartes et atlas historiques
L'histoire par les cartes
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16:48
De la carte de Cassini à la carte touristique de l’IGN ; l’histoire de la carte de France racontée par Jean-Luc Arnaud
sur Veille cartographieCet article De la carte de Cassini à la carte touristique de l’IGN ; l’histoire de la carte de France racontée par Jean-Luc Arnaud est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La carte est depuis de nombreux siècles un outil indispensable dans de nombreuses thématiques, notamment pour l’aménagement du territoire, le foncier ou bien encore l’urbanisme. La première carte française est à l’initiative de la famille Cassini, d’origine italienne. Cette famille d’astronomes et de cartographe a réalisé cette fameuse carte du même nom autour des années […]
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14:25
Des cartes de l’ADEME pour localiser les DPE des logements en France
sur Veille cartographieCet article Des cartes de l’ADEME pour localiser les DPE des logements en France est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
L’ADEME, l’Agence de la transition écologique, a récemment mis en ligne plusieurs cartes interactives permettant de localiser à l’échelle du territoire français, l’ensemble des logements ou bâtiments, en fonction de leur performance énergétique. Le diagnostic de performance énergétique (DPE) a été créé en 2006 et depuis la loi “Climat et Résilience” du 22 août 2021, […]
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14:17
L’utilisation de la géomatique en Suisse
sur Veille cartographieCet article L’utilisation de la géomatique en Suisse est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Introduction La Suisse est un pays qui est réputé pour ses différents paysages. Ainsi, de par ses nombreux paysages, elle utilise beaucoup la géomatique. La géomatique est l’ensemble des sciences et des technologies utilisées pour la collecte, l’analyse et la gestion des données géographiques. En Suisse, cette discipline joue un rôle crucial dans divers domaines, […]
Cet article L’utilisation de la géomatique en Suisse est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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13:29
L’intérieur des bâtiments avec Google Maps
sur Veille cartographieCet article L’intérieur des bâtiments avec Google Maps est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Où est ma classe ou mon amphithéâtre ? C’est une question que tous les étudiants se posent en particulier dans une nouvelle université. La présence de panneau d’indication ou de bandes colorées ne suffit pas toujours. Le bouche à l’oreille peut être une solution pour trouver sa destination dans une certaine mesure. Dans le cas […]
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13:28
L’intelligence artificielle, un outil sans limite ?
sur Veille cartographieCet article L’intelligence artificielle, un outil sans limite ? est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La notion par d’elle-même. L’intelligence artificielle que nous allons appeler IA dans cette article, est, en résumé, la capacité à reproduire les compétences cognitives de l’homme par une machine (artificielle). C’est un domaine récent datant des années 1960 environ. Au début, cette « science nouvelle », si nous pouvons l’appeler comme cela, est inégalement détenue géographiquement. C’est principalement […]
Cet article L’intelligence artificielle, un outil sans limite ? est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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13:27
Et si la Terre devenait une personne ?: la rencontre entre les données quantitatives et qualitatives pour une transition durable
sur Veille cartographieCet article Et si la Terre devenait une personne ?: la rencontre entre les données quantitatives et qualitatives pour une transition durable est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Nous sommes aujourd’hui 8 milliards d’êtres humaines sur Terre. Cette dernière pourrait-elle supporter indéfiniment nos quotidiens ? Il est indéniable que la transition écologique doit être portée par chacun dans son quotidien. Pour une personne, une journée sur Terre représente 24 heures. Multipliées par 8 milliards d’individus, le total représenterait 190 milliards d’heures de vie active, […]
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13:26
Demandez Angela
sur Veille cartographieCet article Demandez Angela est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Partant du principe que 8 jeunes femmes sur 10 craignent de sortir seules le soir et que 81% des femmes en France ont déjà été victimes de harcèlement sexuel dans les lieux publics selon Ipsos, la ville de Quimper va mettre en place le dispositif « Demandez Angela ». Ce dispositif, « Ask for Angela », est une initiative […]
Cet article Demandez Angela est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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13:06
La planète sur la réserve
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe « Half-Earth project » est un projet en partenariat avec Esri ayant pour but de sauvegarder la moitié de la Terre et de la mer en protégeant les espèces et la biodiversité.
Cette démarche a pour objectif ultime de réserver cette moitié de la surface de la planète aux écosystèmes menacés. Une carte représente donc les lieux où la conservation des espèces est indispensable.
L’ambition est de cartographier la répartition de ces dernières et de suivre l’évolution de leur préservation pour au final évaluer les zones où les besoins sont forts. À travers trois expériences, l’outil sensibilise autour des espèces emblématiques à travers des récits, permet d’explorer les données mondiales et les fiches de suivi de l’évaluation des index de biodiversité par pays.
Il reprend le taux de pressions humaines causant la perte des habitats naturels et accélérant les extinctions, mais aussi les stocks de carbone terrestre non récupérable dans la nature.
+ d'infos : map.half-earthproject.org
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11:14
Partir pour Israël. Une nouvelle migration des juifs de France ?
sur Les cafés géographiquesCet ouvrage (1) de taille modeste est enrichi d’un lexique, d’une abondante bibliographie et d’annexes présentant des données statistiques. Il traite d’une question d’actualité : l’alya des juifs de France depuis les années 2000, c’est-à-dire leur migration vers Israël depuis deux décennies. Même si ce phénomène est ancien et bien replacé dans son contexte historique par les auteurs, il a connu une recrudescence dans les années 2010. Pourquoi et comment s’effectuent ces flux migratoires ? Les trois auteurs (un historien, une sociologue et un géographe) ont confronté leurs méthodes disciplinaires pour expliquer un mouvement qui pose question à la société française, aux motivations complexes des olim (personnes qui font leur alya) et aux politiques menées par les autorités d’Israël. A l’échelle de la communauté juive mondiale ou de l’Etat israélien, le sujet peut sembler marginal (de 1948 à 2017 les olim venus de France n’ont représenté que 3,5% des immigrants), mais son analyse apporte de nombreux thèmes de réflexion, politiques, culturels et sociologiques que les auteurs exposent avec clarté et nuance.
Qu’est-ce qui amène une personne ou une famille juives à quitter le pays natal, la France, pour s’installer en Israël ?
Une réponse semble s’imposer : l’antisémitisme et le sentiment d’insécurité qu’il entraîne. Le phénomène est ancien mais ce terme recouvre des réalités différentes selon les périodes. Caractérisant l’extrême-droite dans le passé, il a été ravivé ces dernières décennies par le conflit israélo-palestinien et par l’islamisme radical. En fait le niveau d’antisémitisme est bas dans l’ensemble de la population française, mais attaques ciblées et attentats ont créé une nouvelle peur dans la communauté (une interrogation : quitter la France, même la banlieue est de Paris, pour une colonie en Cisjordanie, est-ce gagner en sécurité ?).
Si l’antisémitisme peut être évoqué par tous les olim, l’étude des entretiens que les auteurs ont réalisés montre une diversité de motivations, même si tous adhèrent au discours nationaliste du gouvernement et voient en Israël un avenir protecteur. L’idéologie socialiste qui animait beaucoup de migrants dans les décennies qui ont suivi la création de l’Etat (1948) a peu à peu été remplacée par des mouvements de droite.
Trois groupes se distinguent par leur âge, leur appartenance religieuse, leur style de vie et le lieu de leur implantation en Israël.
Le groupe le plus déterminé, le plus homogène, est celui des religieux, traditionalistes et surtout ultra-orthodoxes pour qui vivre en Israël dans un entre-soi étroit est une « prescription ». La majorité s’installe à Jérusalem. Les ultra-orthodoxes constituent un « monde à part » au sein d’un Etat qui leur accorde des avantages particuliers : ils sont exemptés du service militaire et bénéficient d’allocations mensuelles qui leur permettent de consacrer leurs journées à l’étude des textes religieux dans les yeshivot et les kollels.
Beaucoup de jeunes, étudiants et actifs, sont attirés par l’image de « pays neuf » que présente Israël, un pays qui leur permettrait de changer de milieu, de « changer de vie ». Le néo-libéralisme qui prévaut dans la société israélienne, sa réputation de « start up nation » sont des atouts pour ceux qui ont le « souci d’entreprendre ». Pour cette catégorie d’olim, le lieu d’implantation est le District Centre (2) et surtout Tel Aviv mais certains gardent des liens professionnels avec la France.
L’héliotropisme et les avantages fiscaux (impôts sur les pensions moins lourds en Israël qu’en France) semblent séduire les retraités qui s’installent sur la frange littorale, dans des stations comme Netanya.
Les interviews des nouveaux migrants évoquent aussi des motivations difficiles à classer comme l’échec scolaire en France ou le désir de « vivre près de la mer ».
Le départ de France et l’installation en Israël sont rarement des aventures solitaires. L’Agence juive qui coordonne la politique de l’alya et de la klita (assimilation) joue un rôle considérable auprès des jeunes comme des adultes pour susciter le désir de migrer et faciliter l’installation (elle a pris en charge 70% des olim de France en 2019). Pour promouvoir l’alya, elle dispose de nombreux programmes surtout destinés aux jeunes (voyages offerts, insertions temporaires, accueil de lycéens…) mais aussi organise des Salons où les aspirants au départ trouvent toutes les informations possibles sur les démarches à effectuer, les conditions d’installation, les aides apportées, le soutien donné sur place par les associations francophones, le service national considéré comme intégrateur. Actifs et retraités ont aussi leurs espaces d’information et chaque migrant est en contact avec un chargé de projet en Israël. D’autres associations non étatiques contribuent à cette prise en charge, comme l’association « Alya » qui prône l’idéologie du « Grand Israël » et facilite l’installation dans les territoires palestiniens.
Alors l’alya des juifs de France est-il une réussite ?
La réponse des auteurs est nuancée car la recherche bute contre un obstacle majeur : l’absence de données chiffrées sur les olim qui retournent en France, sujet tabou pour le gouvernement israélien. La confrontation avec une société idéalisée est parfois difficile et plusieurs témoignages décrivent des difficultés d’intégration pour des raisons matérielles et/ou culturelles.
La paupérisation menace une partie des migrants, notamment ceux qui sont munis de diplômes non reconnus en Israël. Un architecte, une dentiste…témoignent de leur déclassement. Leur situation financière est d’autant plus fragile que des services quasiment gratuits en France (santé, éducation…) sont coûteux dans le pays d’accueil.
Même sur le plan religieux, l’ambiance est différente. Les pratiques rigoristes ne correspondent pas exactement à ce qu’un juif de France appelle « judaïsme traditionnel ». L’enseignement en donne un exemple : il est difficile de trouver une école où coexistent enseignement religieux et matières laïques. L’opposition entre orthodoxes et laïcs est totale en Israël.
Les fortes inégalités, la lourdeur du service national, la faiblesse des services publics expliquent aussi les retours d’olim récemment installés. Ce qui caractérise l’alya française aujourd’hui, c’est la forte proportion d’une population mobile qui partage sa vie entre Israël et la France pour conserver son niveau de vie. Ce va-et-vient est source d’inquiétude pour les autorités chargées d’assurer la réussite de l’alya.
Notes :
1) Yann SCIOLDO-ZÜRCHER, Marie-Antoinette HILY, William BERTHOMIERE, Partir pour Israël. Une nouvelle migration des Juifs de France, Presses universitaires François-Rabelais, 2023.
2)District Centre : nom donné à l’un des six districts israéliens, peuplé d’environ 1 800 000 habitants et dont la capitale administrative est Ramla.
Michèle Vignaux, septembre 2023
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A Cool, Shady Spot with a Breeze
sur Google Maps ManiaOne result of global heating is that nearly every summer most of us spend some time thinking about places we can go to avoid the oppressive heat. In recent years a number of interactive maps have been released which can help you find shady places to relax and escape the direct sun. These include popular shade maps such as JveuxDuSoleil, ShadeMap and Shadowmap. Now a new interactive map goes a
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9:30
Is a dense city a healthy city? A preliminary study on the interplay between urban density and air quality in Oran, Algeria
sur CybergeoThe general consensus is that dense cities are more sustainable. However, high urban density or compact urban form may affect the health of city dwellers, more particularly when compactness is not associated with the provision of mass transit systems. This paper analyses the correlation between urban density indicators and air pollution in Oran (Algeria), a city that suffers a lack of public transport. It assesses the density of green space needed to reduce airborne pollutants in cities. The paper also examines the impacts of exposure to air pollution on respiratory mortality using a quantitative health impact assessment methodology. Findings show that population density and building density strongly correlates with air pollution, due to motorized transport and other human activities (e.g. industries, residential heating or lacking green space). Results indicate that for population density greater than 12100 inhabitants/ha with associated values exceeding 100 for building density an...
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9:30
Contribution of maritime surveillance data to French Maritime Spatial Planning: between technical potential and political constraints
sur CybergeoMaritime Spatial Planning (MSP) is widely recognised around the world as a lever for sustainable development at sea. In practice, it is a new form of negotiation for the use of maritime space and its resources. To support shared decision-making, MSP requires information on the spatiotemporal dynamics of existing maritime activities. In this context, maritime surveillance, operated in real-time by the State (defence, fisheries monitoring) is a strategic source of data (AIS, VMS and radar) and information for planning purposes. While these data are growingly used by the scientific community, their contributions to MSP remains marginal. This article identifies the main reasons for this, drawing on 38 semi-directive interviews with French MSP stakeholders. It highlights two obstacles to the use of data for MSP: a) a limited accessibility of data for many actors, especially public ones and; b) a lack of acceptability on the part of historical users of maritime space when faced with their...
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9:30
Le péage urbain de Tromsø, l’urbanisme durable à l’épreuve de la périphéricité arctique
sur CybergeoL’article s’intéresse au processus d’instauration du péage urbain de Tromsø, dont l’adoption très tardive (2021) pose question dans un pays qui a fait de l’exemplarité environnementale un levier d’intégration mondiale. L’article propose une lecture géohistorique du processus d’adoption du péage au prisme des relations centre-périphérie, explorant les racines de la rétivité locale aux principes nationaux de l’urbanisme durable et s’attachant à comprendre l’attachement singulier des habitants à l’automobile. À l’heure où ailleurs en Europe, la reconfiguration des relations centre/périphérie marque une autonomisation des villes face à la tutelle étatique, l’établissement du péage urbain de Tromsø se singularise par le maintien d’une forte dualité entre la centralité méridionale et sa périphérie septentrionale. L’instauration du péage signe la fin d’un régime particulier accordé à la municipalité par l’État, et révèle le changement de statut de la ville, passée, malgré elle, de marge se...
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9:30
Contribution des données de surveillance maritime à la Planification de l’Espace Maritime français : entre potentiels techniques et contraintes politiques
sur CybergeoLa Planification de l’Espace Maritime (PEM), plébiscitée autour du globe comme un levier du développement durable en mer, s’illustre en pratique comme une nouvelle forme de négociation pour l’usage de l’espace maritime et de ses ressources. Pour alimenter et conforter la prise de décisions partagées, la PEM suscite un fort besoin d’information sur les dynamiques spatiotemporelles des activités maritimes existantes. Dans ce contexte, la surveillance maritime opérée en temps réel par l’État (défense, suivi des pêches) s’inscrit comme une source stratégique de données (AIS, VMS et radar) et d’informations au profit de la planification. Si l’exploitation de ces données fait l’objet d’un intérêt croissant de la part de la communauté scientifique, leur contribution effective à la planification en mer demeure marginale. Cet article en identifie les principales raisons à partir d’une enquête par entretiens semi-directifs réalisée auprès de 38 acteurs de la PEM française. Il met en lumière d...
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9:30
La dialectique entre activités informelles et action de l’État dans la construction territoriale des grands espaces : le cas de l’orpaillage dans l’intérieur de la Guyane française
sur CybergeoLes grands espaces, ou régions faiblement peuplées, se distinguent par une série de caractéristiques spécifiques et notamment par un contrôle incomplet de la part des États. Cela ouvre des brèches pour l’exercice de pratiques qui, si elles sont ou illégales ou à la limite de la légalité, apportent des ressources économiques, des connaissances sur les territoires concernés et participent finalement à la domination, voire à la conquête des zones concernées par les États. Bien qu’invisibles ou réprimées, ces activités informelles influencent donc, directement ou indirectement, la construction officielle, symbolique et matérielle du territoire. Cet article analyse la pratique de l’orpaillage en Guyane selon cette perspective. En analysant le jeu dialectique entre contrôle formel du territoire et exploitation informelle des ressources, il met en relief la contribution des activités informelles à l’exploration, à la formation des frontières et à la gouvernance de l’intérieur de ce territo...
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9:30
Alexandre Grondeau, Altermétropolisation : une autre vi(ll)e est possible, Aix-en-Provence, La Lune sur le toit, collection Hic et nunc, 2022, 337 p.
sur CybergeoLa photographie en couverture de l’ouvrage illustre ce qu’Alexandre Grondeau identifie comme une "schizophrénie urbaine" : la dissociation extrême entre deux espaces proches, un immeuble d’apparence luxueuse et des habitations faites de briques et de tôles. Cette opposition iconique entre un quartier aisé et une favela de São Paulo a été immortalisée par le photographe brésilien Tuca Vieira en 2007, comme symbole des inégalités extrêmes induites par la métropolisation contemporaine. Se posant comme "clinicien" de ces villes métropolisées, Alexandre Grondeau se propose alors d’en analyser les causes et symptômes, permettant d’envisager des remèdes à sa question centrale : comment faire advenir une autre ville ?
À la croisée entre l’ouvrage de synthèse et l’essai universitaire, ce livre interroge l’avenir des espaces urbains, partant de ce que l’innovation (tant technologique que sociale) fait (et peut faire) aux territoires. Actuellement maître de conférences habilité à diriger des re...
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9:30
Sergio J. Rey, Rachel S. Franklin (eds), 2022, Handbook of spatial analysis in the social sciences, Cheltenham, Northampton, Edward Elgar publishing, 568 p.
sur CybergeoQuel plaisir constitue la lecture de cet ouvrage pour tout amateur d’analyse spatiale quantitative. C’est l’acception disciplinaire (et non technique) de l’analyse spatiale qui est privilégiée ici, celle des théories, des concepts et des méthodes permettant de mieux comprendre les localisations d’objets et de processus sociaux. Si vous cherchez des algorithmes de géotraitements pour votre SIG, passez votre chemin. À la fois très complet, rigoureux, pédagogique, ce livre, édité par Sergio J. Rey (Professeur à l’Université de Californie et directeur du Center for geospatial sciences) et Rachel S. Franklin (Professeure de géographie à l’Université de Newcastle et éditrice-en-chef de la revue Geographical analysis), compile le travail de synthèse de 51 auteurs (dont Roger Bivand, Luc Anselin, Michael Goodchild, Alan T. Murray, Stewart Fotheringham, et d’autres grands noms de la géographie quantitative) à travers 33 chapitres. Si certains de ces chapitres présentent des concepts ou des m...
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9:30
Géographicité et immersion : La réalité virtuelle pour voyager dans le passé
sur CybergeoLe principe de l’immersion participe depuis le XIXe siècle du succès de nombreuses attractions visuelles, à l’exemple du cinéma, et a atteint une dimension inédite avec les dispositifs de réalité virtuelle à destination du grand public. C’est en particulier parce qu’elle permet d’interagir avec l’environnement simulé, et par le puissant effet de réel de son dispositif, que cette technologie est utilisée en contexte muséal. Outre les perspectives que son usage ouvre en termes de conservation, sa capacité à déplacer le visiteur ailleurs et dans un autre temps invite à l’interroger en termes de géographicité : son caractère immersif relève-t-il d’une "valence organisatrice de l’espace" ? Ou ne relève-t-il que d’un simple effet, aussi spectaculaire soit-il ? Cet article vise à identifier les modalités d’appropriation spectatorielle de cette technologie en contexte patrimonial, à partir d’un travail ethnographique mené sur le site d’une installation de réalité virtuelle présentée au musé...
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9:30
Karl R. Kegler, 2015, Deutsche Raumplanung. Das Modell der "Zentralen Orte" zwischen NS-Staat und Bundesrepublik, Paderborn, Ferdinand Schöningh GmbH, 648 p.
sur CybergeoCe livre est la version révisée d’une thèse soutenue à l’université d’Aix-la-Chapelle le 10 juin 2011 sous la direction de Gerhard Fehl, fondateur de la chaire de théorie de la planification à l’Université technique de Rhénanie-Westphalie d’Aix en 1971. L’ouvrage a fait l’objet de recensions en allemand et en anglais, mais pas encore en français. Karl R. Kegler est depuis 2015 professeur à la faculté d’architecture de l’Université de Munich, où il enseigne l’histoire et la théorie de la ville et de l’architecture. Outre son enseignement, il travaille actuellement sur le lien entre la planification et les crimes commis par l'État nazi dans les territoires occupés d'Europe de l'Est.
Son ouvrage lie histoire, géographie, aménagement du territoire et architecture. Il témoigne de ses deux domaines de spécialisations, l’histoire d’une part et l’architecture d’autre part. Cette double formation lui permet de formuler son hypothèse de base : le "modèle" christallérien est tellement erroné qu...
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9:30
Mapping the urban climate to address summer comfort management in French urban planning documents
sur CybergeoIn France, the integration of climate and energy issues in the spatial planning tools of local authorities is compulsory for cities with more than 20000 inhabitants. Through the example of Toulouse Metropole, the interdisciplinary work here presented make use of the available geographic and climatic data to perform spatial microclimatic diagnostics and its translation into recommendations to address thermal summer comfort. Analysis maps and strategic maps for daytime and night time are presented for thermal and aeraulic analysis taking advantage of available numerical simulations at 250x250 m, one year of duration and local weather type classifications. A three years long collaboration with the local authority and the urban agency allowed the co-construction of the cartographic protocol and the publication of an Atlas as well as a set of guidelines. Collaboration with a network of French cartographers allowed original propositions on graphic semiology as visual organization, the cho...
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8:31
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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8:31
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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8:31
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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8:31
Augustin J.-P. et Gillon P., 2021, Les jeux du monde. Géopolitique de la flamme olympique
sur MappemondeJean-Pierre Augustin de l’Université Bordeaux-Montaigne, chef de file d’une géographie sociale et culturelle du sport en France depuis presque quatre décennies, et Pascal Gillon, tenant plutôt du courant de l’analyse dite spatiale, inspiré, entre autres, par le travail de Jean Praicheux à l’Université de Franche-Comté et co-auteur notamment de l’Atlas du sport mondial, présentent un ouvrage d’envergure. La quantité d’informations, la qualité du traitement et des fondements théoriques du travail d’analyse, et surtout ce croisement entre deux écoles que parfois tout oppose, mais qui se complètent ici de manière remarquable, offrent un ouvrage majeur sur le sujet.
Le dessin discutable de première de couverture du graphiste pourtant connu Adria Fruitos ne doit pas obérer la teneur des 220 pages au format royal de ce titre de la nouvelle collection « Monde » des éditions Armand Colin, une collection consacrée à des ouvrages d’envergure qui permettent de comprendre les mécanismes de nos so...
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8:31
La ligne de couleur de W.E.B Du Bois. Représenter l’Amérique noire au tournant du XXe siècle
sur MappemondeDepuis 2013, un mouvement politique lutte contre le racisme envers les Noirs d’Amérique : Black Lives Matter. Pourtant, un tel militantisme en faveur de la cause noire ne date pas d’hier. William Edward Burghardt Du Bois en est un précurseur lorsque, en 1900, pendant l’Exposition universelle de Paris, il entend illustrer les progrès accomplis par la communauté afro-américaine depuis l’abolition de l’esclavage. Pour ce faire, ce sociologue et historien américain réalise une soixantaine de représentations : cartes, graphiques et diagrammes colorés, de véritables innovations, pour son époque, dans les domaines statistique et cartographique. Son travail minutieux est à la croisée de plusieurs disciplines : de l’histoire à la géographie, en passant par les statistiques, la sociologie et l’ethnologie. Il entend, à travers cette exposition, mettre en lumière ce qu’il appelle le « très proche », ces structures invisibles du « colonialisme et du capitalisme racial, qui conditionnent l’organi...
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8:31
De l’intérêt des pictogrammes pour figurer les représentations sociocognitives de l’espace résidentiel
sur MappemondeQuel rapport émotionnel un individu entretient-il avec son habitat ? Un jeu de simulation de négociation entre les différents critères d’évaluation de l’environnement résidentiel permet de recueillir un corpus de données. Son analyse implique une réflexion sur la formalisation des résultats obtenus. Deux options sont confrontées : une représentation en graphe polaire et une image composée de pictogrammes symbolisant les multiples dimensions de l’espace résidentiel qui peuvent motiver les choix d’installation. Cette dernière image permet une appréhension plus simple du lien entre les structures spatiales, cognitives et sociales.
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8:31
Saisir la position sémio-spatiale d’un élément géographique dans les cartes cognitives
sur MappemondeL’article propose d’analyser la position sémio-spatiale d’un élément géographique, en l’occurrence une frontière d’État, dans les cartes cognitives d’une ville frontalière. Sur le plan théorique, le recours au concept sémiologique de topos et la notion de position permettent de saisir les significations d’un élément géographique en fonction des positions sociales, afin de cerner leur contribution au positionnement de l’élément dans la carte cognitive. Méthodologiquement, cette analyse requiert une étroite intégration d’une tache discursive aux méthodes plus classiques de la cartographie cognitive.
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8:31
La photographie comme représentation : L’ancrage et l’objectivation iconographique
sur MappemondeCet article aborde l’utilisation de la photographie de lieux comme un outil de recueil des représentations spatiales. Cette approche repose sur la présence des processus d’ancrage et d’objectivation dans l’iconographie qui révèle un rapport de communication tout comme une représentation sociospatiale. 20 habitants de Montreuil-sous-Bois ont réalisé des photos caractéristiques et non caractéristiques de quatre lieux imposés dans leur ville. Les résultats montrent que pour représenter ce qui est caractéristique d’un lieu, les personnes ancrent et objectivent leurs photos dans l’usage et/ou la fréquentation du lieu. À l’inverse, les photos non caractéristiques tentent d’être impersonnelles. La photographie de lieux apparait comme une réelle communication entre individus et comme un outil à développer pour aborder les représentations sociospatiales.
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8:31
Des cartes mentales pour analyser la vulnérabilité au risque d’une ville de l’Arctique russe : Khamagatta
sur MappemondeL’article présente les résultats principaux d’un atelier cartographique conduit à Khamagatta (Sibérie orientale). L’objectif en était double : observer la vulnérabilité aux inondations de débâcle de la ville par les connaissances d’enfants et d’adolescents y vivant ; utiliser la carte comme instrument de dialogue, d’intégration des connaissances et de recueil de données. Récits et cartographies ne s’opposent pas, mais se renforcent. L’atelier cartographique a permis que se côtoient différents registres de connaissances et produit au final des informations précieuses pour l’analyse scientifique.
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8:31
« Self Cartography », une narration autour du monde
sur MappemondeCet article propose une utilisation de la carte géographique comme support à la mise en récit de souffrances psychiques liées à l’expérience de la migration. À partir de la conception d’une méthodologie spécifique — « Self Cartography » — dans le champ de la psychologie clinique, nous reviendrons sur l’élaboration de cette méthode et l’illustrerons par la présentation de cas cliniques.
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2:00
GeoServer Team: GeoServer 2.24-RC Release
sur Planet OSGeoGeoServer 2.24-RC release is now available with downloads (bin, war, windows), along with docs and extensions.
This is a release candidate intended for public review and feedback, made in conjunction with GeoTools 30-RC, GeoWebCache 1.24-RC, mapfish-print-v2 2.3-RC and geofence-3.7-RC.
Thanks to Andrea Aime (GeoSolutions) and Jody Garnett (GeoCat) for working on making this release candidate.
Release candidate public testing and feedbackTesting and providing feedback on releases is part of the open-source social contract. The development team (and their employers and customers) are responsible for sharing this great technology with you.
The collaborative part of open-source happens now - we ask you to test this release candidate in your environment and with your data. Try out the new features, double check if the documentation makes sense, and most importantly let us know!
If you spot something that is incorrect or not working do not assume it is obvious and we will notice. We request and depend on your email and bug reports at this time. If you are working with commercial support your provider is expected to participate on your behalf.
Keeping GeoServer sustainable requires a long term community commitment. If you are unable to contribute time, sponsorship options are available via OSGeo.
IAU authority support and EPSG assumption removalThe new gs-iau extension module provides support for planetary CRSs, sourced from the International Astronomical Union. This allows to manage GIS data over the Moon, Mars, or even the Sun, with well known, officially supported codes.
In addition to that, many bug fixes occurred in the management of CRSs and their text representations (plain codes, URL, URIs) so that the EPSG authority is no longer assumed to be the only possibility, in a variety of places, such as, for example, GML output. The code base has seen this assumption for twenty years long, and while we made a good effort to eliminate the assumption, it could be still lurking in some places. Please test and let us know.
To learn more about this extension please visit the user-guide documentation. Thanks to Andrea Aime (GeoSolutions) for working on this activity.
- GSIP-219 - Multiple CRS authority support, planetary CRS
- GEOS-11075 IAU authority : planetary CRS support
- GEOS-11001 Support other CRS authories in WFS
- GEOS-11002 Support other CRS authorities in WMS
- GEOS-11056 Support other CRS authorities in WCS
- GEOS-11064 Support other CRS authorities in WPS
- GEOS-11066 Support other CRS authorities in importer
- GEOS-11076 SRSList should show authorities other than EPSG, if available
- GEOS-10970 CatalogBuilder cannot handle CRS in authorities other than EPSG
- GEOS-10971 XStreamPersister cannot save CRS references using authorities other than EPSG
- GEOS-10972 Resource page CRS editors would not work with authorities other than EPSG
The printing extension has seen big changes - with a host of new functionality developed by GeoSolutions over the years. With this update the printing module can now be used out-of-the-box by GeoNode and MapStore (no more customization required).
- Max number of columns configuration for multi column legends
- Simple colored box icon in legends
- Explicit support of Geoserver CQL_FILTER parameter (also with layers merge support)
- Legend fitting
- Don’t break legend items
- Reorder legends block in columns
- Images content
- Dynamic images page
- Multipage legends
- Custom intervals in ScalebarBlock
- Clustering Support
- HTML rendering in text blocks
- Extra Pages
- Group Rendering in attribute blocks
- Skip rendering of pages
- Automatic X-Forwarded-For
- Parsing of Base64 encoded images
Thanks to GeoSolutions for adding functionality to mapfish-print for the GeoNode project. Jody Garnett (GeoCat) was responsible for updating the mapfish print-lib for Java 11 and gathering up the functionality from different branches and forks.
- GEOS-11132 mapfish-print-v2 2.3-RC
This release adds a new Check URL facility under the Security menu. This allows administrators to manage OGC Service use of external resources.
For information and examples on how to use the URL Check page, visit user guide documentation.
- GSIP 218 - Control remote HTTP requests sent by GeoTools \ GeoServer
- GEOS-10949 Control remote resources accessed by GeoServer
- GEOS-11048 Improve URL checking
The GeoTools project moved away from using the “org.opengis” package after complaints from OGC GeoAPI working group representatives, using the same package name. Interfaces have been moved to the “org.geotool.api” package, along with some general clean up.
While this does not affect GeoServer users directly, it’s of consequence for those that have installation with custom, home grown plugins that might have to be migrated as a consequence. For those, the GeoTools project offers a migration guide, along with a refactoring script that might perform the migration for you, or else, get you close to a working point. GeoServer itself has been migrated using these scripts, with minimal manual intervention.
For more details, and access to the migration script, please see the GeoTools 30 upgrade guide.
Thanks to Jody Garnett (GeoCat), Andrea Aime (GeoSolutions), and Ian Turton (ASTUN Technologies) for all the hard work on this activity. We would also like to thank the Open Source Geospatial Foundation for setting up a cross-project activity and financial support to address this requested change.
- GEOS-11070 Upgrading to GeoTools 30.x series, refactor to org.geotools.api interfaces
While not strictly part of this release, it’s interesting to know about some community module advances that can be found only in the the 2.24.x series.
Two extensions are no longer actively supported and are now available as community modules:
- GEOS-10960 Downgrade imagemap module to community
- GEOS-10961 Downgrade xslt extension to community
The following community modules have been removed (due to lack of interest):
- GEOS-10962 Remove wms-eo community module
- GEOS-10963 Remove SAML community module
- GEOS-10966 Remove importer-fgdb community module
- GEOS-10967 Remove teradata community module
- GEOS-10977 Remove wmts-styles community module
- GEOS-10978 Remove nsg-wmts community module
- GEOS-10984 Remove ows-simulate community module
The OGC API community module keeps improving. In particular, thanks to the GeoNovum sponsorship, GeoSolutions made the OGC API Features module pass the OGC CITE compliance tests, for the “core” and “CRS by reference” conformance classes. Along with this work, other significant changes occurred:
- Made the API version number appear in the service path, easing future upgrades
- Support for configurable links, required to get INSPIRE download service compliance.
In addition to that, the new “search” experimental conformance class allows to POST complex searches against collections, as a JSON document, in a way similar to the STAC API.
Those interested in this work are encouraged to contact Andrea Aime (GeoSolutions).
- GEOS-10924 Support JSON-FG draft encoding in OGC API - Features
- GEOS-11045 Implement proposal “OGC API - Features - Part n: Query by IDs”
- GEOS-10882 Add an option to remove trailing slash match in OGC APIs
- GEOS-10887 Add angle brackets to OGC API CRS Header
- GEOS-10892 Allow configuring custom links for OGC API “collections” and single collection resources
- GEOS-10895 Make OGC API CITE compliant even if the trailing slash is disabled: landing page exception
- GEOS-11058 Support other CRS authorities in OGC APIs
- GEOS-10909 Don’t link from OGC API Features to WFS 2.0 DescribeFeatureType output, if WFS is disabled
- GEOS-10954 Split ogcapi community module package into single functionality packages
For folks working with very large catalogues some improvement from cloud native geoserver are now available to reduce startup time.
Thanks to Gabriel Roldan for folding this improvement into a community module for the rest of the GeoServer community to enjoy.
- GEOS-11049 Community module “datadir catalog loader”
The GeoServer Access Control List project is an independent application service that manages access rules, and a GeoServer plugin that requests authorization limits on a per-request basis.
Gabriel Roldan is the contact point for anyone interested in this work.
The vector mosaic and FlatGeoBuf modules sport significant performance improvementsFlatGeoBuf is a “A performant binary encoding for geographic data”, a single file format that also manages to be cloud native and include a spatial index. GeoServer provides access to this format thought the WFS FlatGeobuf output format, which not only can write the format, but also read it as a standard data store.
The Vector Mosaic datastore supports creation of mosaics made of single file vector data, useful in situations where the access to data is targeted to sub-pages of a larger data set (e.g., data for a single time, or a single customer, or a single data collect, out of a very large uniform set of vectors) and the database storage for it is become either too slow, or too expensive.
These two modules make a great combo for those in need to handle very large vector datasets, by storing the FlatGeoBuf on cheap storage.
In particular, the FlatGeoBuf module saw speed improvements that made it the new “fastest vector format” for cases where one needs to display a large data set, all at once, on screen (PostGIS remains the king of the hill for anything that needs sophisticated filtering instead).
For reference, we have timed rendering 4 million tiny polygons out of a precision farming collect, using a 7 classes quantile based SLDs. Here is a tiny excerpt of the map:
And here are the timings to render the full set of polygons, putting them all on screen, at the same time, with a single GetMap request:
- PostGIS, 113 seconds
- Shapefile, 41 seconds
- Flatgeobuf, 36 seconds
The tuning is not complete, more optimizations are possible. Interested? Andrea Aime is the contact point for this work.
Release notesNew Feature:
- GEOS-10992 Make GWC UI for disk quota expose HSQLDB, remove H2, automatically update existing installations
- GEOS-11000 WPS process to provide elevation profile for a linestring
Improvement:
- GEOS-10926 Community Module Proxy-Base-Ext
- GEOS-10934 CSW does not show title/abstract on welcome page
- GEOS-10973 DWITHIN delegation to mongoDB
- GEOS-10999 Make GeoServer KML module rely on HSQLDB instead of H2
- GEOS-11005 Make sure H2 dependencies are included in the packages of optional modules that still need it
- GEOS-11059 Map preview should not assume EPSG authority
- GEOS-11081 Add option to disable GetFeatureInfo transforming raster layers
- GEOS-11087 Fix IsolatedCatalogFacade unnecessary performance overhead
- GEOS-11090 Use Catalog streaming API in WorkspacePage
- GEOS-11099 ElasticSearch DataStore Documentation Update for RESPONSE_BUFFER_LIMIT
- GEOS-11100 Add opacity parameter to the layer definitions in WPS-Download download maps
- GEOS-11102 Allow configuration of the CSV date format
- GEOS-11116 GetMap/GetFeatureInfo with groups and view params can with mismatched layers/params
Bug:
- GEOS-8162 CSV Data store does not support relative store paths
- GEOS-10452 Use of Active Directory authorisation seems broken since 2.15.2 (LDAP still works)
- GEOS-10874 Log4J: Windows binary zip release file with log4j-1.2.14.jar
- GEOS-10875 Disk Quota JDBC password shown in plaintext
- GEOS-10899 Features template escapes twice HTML produced outputs
- GEOS-10903 WMS filtering with Filter 2.0 fails
- GEOS-10921 Double escaping of HTML with enabled features-templating
- GEOS-10922 Features templating exception on text/plain format
- GEOS-10928 Draft JSON-FG Implementation for OGC API - Features
- GEOS-10936 YSLD and OGC API modules are incompatible
- GEOS-10937 JSON-FG reprojected output should respect authority axis order
- GEOS-10958 Update Spotbugs to 4.7.3
- GEOS-10981 Slow CSW GetRecords requests with JDBC Configuration
- GEOS-10985 Backup Restore of GeoServer catalog is broken with GeoServer 2.23.0 and StAXSource
- GEOS-10993 Disabled resources can cause incorrect CSW GetRecords response
- GEOS-11015 geopackage wfs output builds up tmp files over time
- GEOS-11016 Docker nightly builds use outdated GeoServer war
- GEOS-11033 WCS DescribeCoverage ReferencedEnvelope with null crs
- GEOS-11060 charts and mssql extension zips are missing the extension
Task:
- GEOS-11091 Upgrade spring-security to 5.7.10
- GEOS-11094 Bump org.hsqldb:hsqldb:2.7.1 to 2.7.2
- GEOS-11103 Upgrade Hazelcast version to 5.3.x
- GEOS-10248 WPSInitializer NPE failure during GeoServer reload
- GEOS-10904 Bump jettison from 1.5.3 to 1.5.4
- GEOS-10907 Update spring.version from 5.3.25 to 5.3.26
- GEOS-10941 Update ErrorProne to 2.18
- GEOS-10987 Bump xalan:xalan and xalan:serializer from 2.7.2 to 2.7.3
- GEOS-10988 Update spring.version from 5.3.26 to 5.3.27 and spring-integration.version from 5.5.17 to 5.5.18
- GEOS-11010 Upgrade guava from 30.1 to 32.0.0
- GEOS-11011 Upgrade postgresql from 42.4.3 to 42.6.0
- GEOS-11012 Upgrade commons-collections4 from 4.2 to 4.4
- GEOS-11018 Upgrade commons-lang3 from 3.8.1 to 3.12.0
- GEOS-11019 Upgrade commons-io from 2.8.0 to 2.12.0
- GEOS-11020 Add test scope to mockito-core dependency
- GEOS-11062 Upgrade [httpclient] from 4.5.13 to 4.5.14
- GEOS-11063 Upgrade [httpcore] from 4.4.10 to 4.4.16
- GEOS-11067 Upgrade wiremock to 2.35.0
- GEOS-11080 Remove ASCII grid output format from WCS
- GEOS-11084 Update text field css styling to look visually distinct
- GEOS-11092 acme-ldap.jar is compiled with Java 8
For the complete list see 2.24-RC release notes.
About GeoServer 2.24 SeriesAdditional information on GeoServer 2.24 series:
- Control remote HTTP requests sent by GeoTools/GeoServer
- Multiple CRS authority support, planetary CRS
Release notes: ( 2.24-RC )
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23:06
Sean Gillies: Bear 100 race week
sur Planet OSGeoThis is it, race week. Wednesday I'm flying to Salt Lake City and driving to Logan. Friday before dawn I'm headed up the trail to Bear Lake.
Week ~5 was a rest week at the end of a big training block. I biked and ran for less than 4 hours. Week ~4 I ran for 12 hours, 53 miles, and 8,500 feet of elevation gain. Much of that was above 10,000 feet in Rocky Mountain National Park, my go-to for accessible high country. I ran up to Granite Pass, 12,100 feet, just below the Longs Peak boulder field, and test drove the gels that will be served at the Bear 100. Spring Energy's Awesome Sauce is good! I could eat them all day. Spring's Speednut product is a bit harder for me to stomach. One of those every few hours might be all I can take.
At the end of week ~4 I did some volunteering at the Black Squirrel Trail Half-Marathon, a race I've run several times. I helped park cars in the pre-race darkness and get first-timers pointed toward registration and the starting line. I saw the Milky Way in the clear, dark early morning sky. I caught up with the race directors, Nick and Brad, and saw other friends in the first mile of the course. Volunteering at events is always needed and fun. I recommend it.
In week ~3, I ran for 9.5 hours, 42 miles, and 5,700 feet. In the interest of fine tuning, I went out in the heat of the day and took my poles. In week ~2, last week, I got the new COVID vaccination and did less running and more yoga and body-weight strength and mobility exercise. Split squats with dumbbells made me sore, but I am over it now.
Where am I at now, in week ~1? I think I have enough experience and adequate training this year to finish. Three events of 40 miles, including one overnight, and one at very high elevation. The heart palpitations that were troubling me last year almost never occur now. I'm well over my most recent sinus infection. I've got all the gear I need and am physically and psychologically prepared for hot weather, cold weather, and rain or snow. The race will have more food than I can eat along the way and will deliver my five drop bags to aid stations and the finish line. I don't have a crew or pacer for the run, but think I'll be fine without. Reality is that it's harder to have these as you get older. Your family is busy and your friends are busy with their own families. I'm shy, but not shy about forming small ad-hoc teams on the trail, so I expect to be fine on that front.
The Bear 100 Endurance Run starts with 5,000 feet of climbing in the first 10 miles. I can do this. At least it's at the beginning and not the end. That leaves only 17,000 feet for the last 90 miles. I'm joking about this to keep my spirits up. This will be super hard, a big bump up from my hardest week of training, and I'll need to go even deeper into the unknown than I've done at the Never Summer 100K. I'm ready to see what happens out there.
The one thing that's concerning me is that I have a persistent ache in my right foot. Yesterday I went out for an hour in my Nike Terra Kiger's to see if I might want to bring them along as a shoe option. The answer is no: they don't have enough padding for my foot in its current condition. I feel worse today than yesterday. There's at least a small chance that I have a bone stress problem. The pain and swelling is right on the "N-spot". I'm not going to let this stop me from starting and will see how it goes on Friday. I've got a pretty high pain threshold and will be stashing some ibuprofen in my later drop bags. Cold rain and cold, numb feet, if the forecast holds, might help, too. How is that for positive thinking?
If you want to follow along on Friday and Saturday, the live tracking should be at [https:]] . My bib number is 314. That website currently shows last year's race. I expect that this year's progress will be shown on Friday morning.
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18:10
Sean Gillies: Status update
sur Planet OSGeoI'm pausing my job search and open source work to focus on next weekend's adventure. Forgive me if I don't respond before October 5-6. After I'm back I'll be prioritizing the job search over open source. Not for long, I hope!
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9:39
Restricting the Right to Protest
sur Google Maps ManiaThe right to protest is being restricted in countries around the world. Amnesty International's new interactive map, called Protect the Protest, highlights the growing numbers of human rights violations which are being committed by countries around the world aimed at removing the rights of citizens to legally protest. The Protect the Protest map sheds light on the types of repression that are
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21:13
Chronoscope World, une machine à remonter le temps avec des cartes
sur Cartographies numériques
Chronoscope World est une machine à remonter le temps avec laquelle on peut revenir plusieurs siècles en arrière en voyageant à travers des cartes. Plus de 6700 cartes historiques sont consultables à partir de la même interface cartographique. Le site comprend environ 1 200 cartes de l'Institut de géographie régionale de Leibniz et du projet ChronoAtlas, auxquelles s'ajoutent les collections de 35 grandes bibliothèques qui ont ouvert leurs cartes en open data à l'échelle mondiale.
Interface de navigation du site Chronoscope World
Le site peut être utilisé à partir de la barre chronologique qui permet de sélectionner des cartes par dates ou bien en définissant une zone géographique à l'aide de l'outil de sélection. La recherche se fait ensuite à partir de ces choix initiaux auxquels on peut encore ajouter des filtres. Les résultats apparaissent sous la forme d'un mur de vignettes : en cliquant sur celles-ci, les cartes choisies s'affichent automatiquement sur un planisphère ou sur un globe grâce à leur géoréférencement. On peut saisir des coordonnées ou des liens provenant d'autres applications cartographiques. On peut également y ajouter des géo-liens à partir de liens manifeste Wikipédia ou IIIF. Le format IIIF fournit un cadre international d'interopérabilité pour toutes les images. Il s'agit d'un format ouvert permettant de fournir des images haute résolution provenant de bibliothèques et d'archives du monde entier.
ChronoAlex, un récit cartographique à partir des expéditions d'Alexandre Humboldt
Des récits sont proposés à partir de séries de cartes commentées, par exemple sur les expéditions de Humboldt ou sur un tour du monde à partir de cartes. Un Atlas des cartographes permt de faire un voyage des premiers atlas à aujourd'hui. Quasiment toutes les cartes de Chronoscope sont fournies sous licence gratuite. Le site propose également des podcasts, des diffusions vidéo, des parcours à 360° et une webcam en direct.
Chronoscope World dérive d'un projet antérieur, Chronoscope Hambourg qui réunissait déjà plus de 650 cartes sur la ville d'Hambourg.
Le site du Chronoscope a été conçu par le Chrono Research Lab dont l'objectif est de faire partager le patrimoine culturel à un large public afin de « donner du sens à notre présent et donner une cause à notre avenir ». Il repose sur des données culturelles ouvertes, collectées dans le cadre du mouvement d'ouverture des données openGLAM (Galleries, Libraries, Archives, Museums). Matthias Mueller-Prove, co-fondateur du site, est concepteur informatique d'expériences utilisateurs créatives, spécialisé en UX et IIIF.
Matthias Müller-Prove, Geo-Spatial Interaction Design for Old Maps Geo-Spatial Interaction Design Using Chronoscope World to browse and study digitized maps and cultural heritage documents
Suivre Chronoscope sur Twitter ou sur Mastodonte.
En complément
Le site de la David Rumsey Map Collection propose un moteur géographique qui permet de rechercher des cartes à partir d'une zone et d'une période choisie. L'utilisateur peut en outre raffiner les résultats en y ajoutant des mots-clés. Ce moteur est très pratique pour sélectionner des cartes historiques selon différents critères.
En France, l'IGN met à disposition le site Internet Remonter le temps afin de pouvoir comparer sur une même zone des cartes anciennes et actuelles de la France. Cela concerne essentiellement, pour les cartes historiques, la carte de Cassini (XVIIIe siècle), les cartes d'état-major (XIXe siècle), les cartes et les photographies aériennes des années 1950.
Le site Gallica de la Bibliothèque nationale de France ne dispose pas d'interface cartographique permettant de superposer toutes les cartes contenues sur le site. Mais le moteur de recherche interne donne accès à plus de 4 000 cartes anciennes par continent et par siècle. Une page d'accueil donne un accès direct aux portulans, globes et cartes du monde entier classés par région (Europe, France, Afrique, Amériques, Japon). Utiliser ce tutoriel pour télécharger les cartes en haute résolution sur le site de Gallica. Voici un autre tutoriel pour apprendre à géoréférencer une carte disponible dans Gallicarte. La BNF a en outre numérisé 55 globes en 3D.
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Cartes et atlas historiques
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10:04
The Royal Parks of London
sur Google Maps ManiaThere are eight Royal Parks in London. The parks are owned by the Crown and managed by the Royal Parks charity. The parks originated from land that the royal family once used for recreation and hunting. Over time, these lands were enclosed and became known as the Royal Parks. The public can enter and use the parks for free but public access to the parks remains at the grace and favor of the
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10:00
Dossier SIG et éolien offshore : un duo dans le vent - Observatoire du SIG : focus sur les Départements - ArcGIS Urban - The Sea People - AG-Carto... Découvrez le sommaire du SIGMAG 38 d'octobre 2023
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe magazine SIGMAG n°38, numéro d'octobre 2023, vient de paraître. En voici le sommaire.
DOSSIER : « SIG et éolien offshore : un duo dans le vent ». Dernier arrivé sur le segment des énergies renouvelables, l'éolien en mer s'installe dans le mix énergétique français. En retard par rapport à ses voisins, la France multiplie les projets. Chargés de lancer les appels d'offres, l'état s'est fixé l'objectif ambitieux de neutralité carbone d'ici 2050. L'éolien offshore semble une énergie verte indispensable pour y parvenir. Le gouvernement vient d'ailleurs d'annoncer son souhait de multiplier par quatre son potentiel. Ancrés dans leur territoire, les projets ont besoin d'outils cartographiques tout au long du cycle de vie des fermes éoliennes. Les SIG sont indispensables pour massifiés l'implantation de ces usines à vent. Dossier réalisé avec la participation de l'association France Énergie Éolienne, du Syndicat des Énergies Renouvelables, EDF Renouvelables, RWE France, Esri France, Blue Float Energy, Nortek, SEE, etc.
PRATIQUE : « The Sea People : la mer en dénominateur commun ». Zoom sur cette association portée depuis quatre ans par Arnaud Brival et sa compagne. Elle œuvre pour sensibiliser et unir les acteurs d'un vaste territoire papou autour d'un joyau de la mer : les récifs coralliens de l'archipel des Raja Ampat.
ENQUÊTE PRATIQUE : « Observatoire du SIG : focus sur les Départements » ! Initiative lancée par la rédaction de SIGMAG SIGTV.FR en 2020, l’observatoire du SIG vise à présenter chaque année une photographie relativement précise d’une thématique. Pour cette quatrième édition, nous avons choisi de nous arrêter à l’échelle du département. Malgré les réformes, les 101 Conseils Départementaux et leurs 4.108 conseillers ont toujours la responsabilité de trois grands domaines de compétences, à commencer par celui de l’action sociale, solidarité, santé. Les Départements ont en charge l’aménagement durable du territoire, avec les missions de protection des espaces naturels, les SDIS et l’immense sujet du réseau de la voirie départementale. Enfin les Départements ont un rôle majeur sur l’éducation à travers les collèges, ils gèrent les infrastructures sportives et de la culture en s’occupant des bibliothèques de prêt, des musées et de la sauvegarde du patrimoine. Autant de thématiques pour lesquelles le SIG est un outil majeur. L'Observatoire du SIG 2023 est réalisé aec le soutien de l'Afigéo et de GéoRézo.
GUIDE : « Pour un urbanisme éclairé ». Cette nouvelle solution d'Esri se destine pas aux géomaticiens, mais à ceux qui façonnent nos territoires, nos villes et nos quartiers. Avec elle, ils vont pouvoir imaginer intelligemment les aménagements à réaliser en tenant compte de multiples contraintes, notamment en terme de PLUI. Dans le pas-à-pas réalisé pour les lecteurs de SIGMAG par notre partenaire arcOrama, découvrez comment créer un modèle ArcGIS Urban et intégrer ses données pour concevoir plans et projets.
Découvrez également en page Guide e portrait AG-Carto qui, depuis 1998, propose un véritable service SIG externe aux petites et moyennes collectivités territoriales du Sud-Ouest.
DÉCOUVERTE : « L'urgence climatique en lumière ». Plus qu'un état des lieux, cette exposition visible à la cité des Sciences et de l'Industrie veut sensibiliser son public, le guider et le conseiller pour qu'il prenne part à la mutation écologique de nos territoires. Il est encore temps d'agir, à condition que cette mobilisation soit immédiate, collective et pérenne.
D’autres articles sont à découvrir dans les différentes rubriques de SIGMAG, comme le portrait de Bruno Iratchet (Realia, ONF), le billet Perspectives de Daniel Ribeiro (GeoDataSolutions) ur l'UX-Design au service de la Data, où comment atténuer les approches trop techniques d'un projet data-driver en ajoutant ergonomie et sympathie.
En page Formation, vous pourrez lire le troisième volet de notre série autour de la formation réalisée avec arx iT formations.com. Il porte sur la valorisation de la formation, à travers l'attestation de formation. Des organisations réfléchissent à lui donner plus d'impact, comme à l'étranger, sur le CV ou les réseaux sociaux.
Ce numéro de 52 pages est accompagné du supplément poster SIGMAG Junior sur le développement des énergies vertes. Il détaille le cycle de vie d'une ferme photovoltaïque avec Valeco.
SIGMAG n°38 est disponible en version numérique à partir du 22 septembrei 2023
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9:46
The Global Migration Explorer
sur Google Maps ManiaIn both American and European politics immigration has become one of the most centrally contested issues. However, according to the authors of World’s human migration patterns in 2000–2019 "a global-scale, high-resolution quantification of migration and its major drivers for the recent decades (has) remained missing" from this political debate. They have therefore created their own global
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20:29
QGIS Blog: QGIS Grant Programme 2023 Update
sur Planet OSGeoThanks to our generous donors and sustaining members, we are in the wonderful position to be able to further extend our 2023 Grant Programme and to fund two additional projects that came in very close 5th and 6th in the voting results:
- QEP#261 Cachable provider metadata API — or how to the QGIS loading times
- QEP#236 Unification of all geometric and topological verification methods
On behalf of the QGIS.ORG project, I would like to thank everyone who helped with the fund raising and everyone who stepped up and joined our donor and sustaining membership programme.
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19:47
La carte, objet éminemment politique : la carte officielle de l'Arabie saoudite
sur Cartographies numériques
Carte officielle du Royaume d'Arabie saoudite (source : GASGI)
L'Autorité générale des levés et de l'information géospatiale (GASGI) a publié le 11 septembre 2023 la nouvelle carte officielle du Royaume d'Arabie saoudite, complétée par les frontières approuvées au niveau international. Israël n'étant pas reconnu par l'Arabie saoudite, l’ensemble de l’État juif est toujours appelé « Palestine ». Cette publication intervient alors que le Royaume saoudien fait savoir aux États-Unis que la résolution des problèmes palestiniens est essentielle à tout accord de normalisation avec Israël.
L'Autorité générale des levés et de l'information géospatiale d'Arabie saoudite (GASGI) a appelé les autorités gouvernementales à ce que cette nouvelle carte officielle devienne la source unique pour les sites Internet, les médias, les livres ou les brochures. La carte est présentée comme étant une « référence nationale fiable pour des applications générales et destinée à être utilisée pour la planification stratégique, la localisation et l'identification des lieux ».
L'Arabie Saoudite a en outre ajouté les îles de Tiran et Sanafir à sa carte officielle de la mer Rouge. Le président égyptien Sissi a décidé de céder ces îles à Riyad en 2016, provoquant des protestations publiques contre cette perte de souveraineté. Le roi saoudien Salman bin Abdulaziz Al Saud s'est rendu au Caire en avril 2023, annonçant un ensemble d'investissements de plusieurs milliards de dollars pour l'Égypte. Cet accord entre les deux pays n'est pas sans susciter des controverses. Après l'approbation de l'accord par le Parlement égyptien, de vastes manifestations ont éclaté dans tout le pays, les manifestants scandant « Aux Égyptiens ! Aux Égyptiens ! » en référence à la souveraineté de ces îles.
Le détroit de Tiran, passage stratégique entre l'Égypte et l'Arabie saoudite (source : Wikipédia)
Tiran et Sanafir, deux îles inhabitées situées à environ quatre kilomètres l'une de l'autre dans la mer Rouge, revêtent une importance stratégique en raison de leur contrôle sur l'entrée du golfe d'Aqaba, qui sert de principale voie d'accès au trafic maritime vers les ports d'Aqaba en Jordanie et d'Eilat en Israël. Les deux pays revendiquent ces territoires depuis le milieu du XXe siècle.
Extrait de la carte officielle de l'Arabie saoudite montrant les îles de Tiran et de Sanafir
passées sous souveraineté saoudienne (source : GASGI)
Administrées pour la plupart par l'Égypte, les îles ont été occupées par Israël en 1967, avant d'être restituées à l'Égypte en 1982 lorsque les deux parties ont signé les accords de paix de Camp David. Les deux îles constituent la base d'une petite force multinationale de maintien de la paix depuis 1979, à la suite d'un accord de paix entre l'Égypte et Israël. Tiran, d'une superficie de 61 kilomètres carrés, abrite également un aéroport utilisé par les troupes. Pendant des mois, les États-Unis auraient négocié un accord pour transférer Tiran et Sanafir de l’Égypte vers l’Arabie saoudite. En juillet 2022, le président américain Joe Biden a déclaré que les soldats internationaux de maintien de la paix, y compris les troupes américaines, quitteraient Tiran d'ici la fin de l'année. Le même mois, des responsables israéliens ont déclaré qu’ils avaient donné leur feu vert pour approuver le transfert des îles stratégiques à l’Arabie saoudite, levant un des obstacles qui pourrait ouvrir la voie à une formalisation des liens entre Riyad et Tel Aviv. Les deux îles étaient censées être transférées de l'Égypte à l'Arabie saoudite en 2018. Mais l'accord exigeait l'autorisation d'Israël pour tout changement du statut des forces internationales sur le territoire, en raison du traité de paix israélo-égyptien de 1979 qui exigeait que des observateurs internationaux soient présents sur les îles. Bien que les autorités saoudiennes aient donné aux deux îles des noms légèrement différents en arabe, il est probable qu'elles continueront à s'appeler Sanafir et Tiran dans les versions anglicisées des noms.
Au moment où l'Égypte a cédé la souveraineté de ces îles à l'Arabie saoudite en 2017, une vidéo virale a circulé sur les réseaux sociaux. Celle-ci présentait une série de cartes anciennes des îles de Tiran et de Sanafir dans le but de montrer qu'elles relevaient de la souveraineté saoudienne. Ces extraits de cartes historiques peuvent être consultés sur le site Sada-Elbalad. Parmi elles, on trouve notamment une carte de 1947 des États arabes et une carte de 1955 représentant les pays du Moyen-Orient. Les frontières maritimes entre l'Égypte et l'Arabie Saoudite sont mises en évidence ; les deux îles y apparaissent comme appartenant au Royaume d'Arabie Saoudite. La vidéo fait également référence à des documents égyptiens détenus par les ministères de la Défense et de l'Arabie Saoudite.
Carte du Moyen-Orient de 1955 utilisée pour légitimer l'appartenance des îles de Tiran et Sanafir à l'Arabie saoudite
(source : Library of Congress)
La carte officielle de l'Arabie saoudite est disponible en arabe et en anglais dans plusieurs formats numériques sur le site de la GASGI.
Cartes à télécharger en haute résolution :- Carte routière
- Carte des sites sacrés
- Carte générale de l'Arabie saoudite (1: 10 000 000)
- Carte générale du relief
- Carte des frontières internationales
- Accès aux données de la plateforme nationale
Sources utilisées- L’Autorité générale saoudienne des levés et de l’information géospatiale publie la carte officielle de l’Arabie saoudite (Arab News)
- Israel is still 'Palestine' on Saudi Arabia's new map despite peace talks (The Jerusalem Post)
- Saudi Arabia officially adds Red Sea islands of Tiran and Sanafir to its map (Middle East Eye)
- Ancient maps confirm Saudi sovereignty over islands (Egypt Today)
- Tiran and Sanafir in the historic documents (vidéo)
- Geopolitics of Small Islands : The Stalemate of Tiran and Sanafir’s Transfer Impacts Egypt-Saudi Relations (Arab Center Washington DC)
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17:39
GeoSolutions: FREE Webinar: MapStore for Local Governments – Cleveland Metroparks Case Study
sur Planet OSGeoYou must be logged into the site to view this content.
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15:47
Quelle stratification des forêts du Bassin du Congo ?
sur Carnet (neo)cartographiqueVue la déforestation en cours dans les pays du Bassin du Congo, les paysages forestiers ne sont plus considérés comme intacts et leur diminution est hélas actée.
On peut néanmoins s’intéresser à la structure des forêts rémanente pour en proposer une typologie spatiale, ce que les spécialistes appellent une « stratification ». Pour en savoir plus, j’ai mobilisé les données du GLAD (2021) qui sont disponibles sur l’ensemble du monde, mais je les ai limitées à l’Afrique, focalisant mon attention sur le Bassin du Congo.
J’ai mobilisé ces données et les analyses publiées associées, en les traduisant en français et en les adaptant pour les besoins de ce billet. Voir la liste des sources et références consultées.La stratification du couvert forestier a pour objectif de délimiter des régions forestières – en l’occurrence « des strates » – qui sont associées à différentes valeurs de référence du stock de carbone.
L’estimation de la perte de carbone aérien, due aux dommages des forêts tropicales, s’appuie en effet sur la mesure de la diminution ou de la perte de couvert forestier. L’une des manières de s’en rendre compte est d’en faire la cartographie à l’aide d’images satellites. Hansen et al. (2013) ont ainsi réalisé une telle cartographie des pertes du couvert forestier à 30 m de résolution spatiale, que les spécialistes considèrent comme une référence en la matière.
Cependant, le fait que les autres cartographies cohérentes des différents types de forêts (tropicales et pan-tropicales) ne soient pas disponibles à 30 m près impose de caractériser autrement le couvert forestier, à mobiliser en l’occurence plusieurs paramètres pour aboutir à des définitions complexes des différents strates.
La classification des forêts réalisée par Potapov et al. (2012) à l’échelle nationale, conduit à une typologie identifiant des « forêts primaires », des « forêts secondaires », des « zones boisées », qu’il est difficile de reproduire à l’échelle d’un biome puisque les niveaux d’observation diffèrent fondamentalement.A noter que cette stratification n’est pas sans lien avec l’estimation des paysages forestiers intacts (PFI) dont on a déjà parlé ici, puisque les PFI correspondent aux strates de forêts denses et hautes, denses
La classification des forêts réalisées par Potapov et al. (2012) n’étant pas applicables au niveau local, les stratifications de forêts pan tropicales qui existent – telles celles du GLAD (2021) utilisées ici – ont été définies en utilisant les caractéristiques structurelles des forêts estimées à partir d’analyses statistiques d’images satellites de la canopée. Ont ainsi été mobilisées la méthode de Hansen et al (2013) qui permet d’estimer le pourcentage de couverture de la canopée en 2000, ainsi que celle de Potapov et al (2008) mesurant la hauteur des arbres et le degré d’intégrité de la forêt.
Des seuils de stratification minimisant la variance intra strate sont définis, grâce à une régression fondée sur des estimations ponctuelles du carbone GLAS, comme variable dépendante (Baccini et al., 2012), pour aboutir à la cartographie suivante.
Cette carte permettant de caractériser plus finement la structure du couvert forestier intact.
Sources :
Global land analysis and discovery (GLAD), University of Maryland, Department of Geographical Sciences, 2021.
Fonds de carte : NaturalEarth data, 2023.Références :
Baccini A. et al. 2012, Estimated carbon dioxide emissions from tropical deforestation improved by carbon-density maps Nature Climate Change 2 182-5.
Hansen M.C. et al. 2013, High-resolution global maps of 21-st century forest cover change Science 342 850-3. Potapov P.V. et al. 2008, Mapping the world’s Intact Forest Landscapes by remote sensing. Ecology and Society 13 51.
Potapov P.V. et al. 2012, Quantifying forest cover loss in Democratic Republic of the Congo, 2000-2010, with Landsat ETM+ data Remote Sensing of Environment 122 106-16.
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– Contribution des pays du Bassin du Congo à la déforestationGéographe et cartographe, Chargée de recherches à l'IFSTTAR et membre-associée de l'UMR 8504 Géographie-Cités.
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10:59
Live 2 Years Longer with Better Air Quality
sur Google Maps ManiaAround the world life expectancy could be raised on average by 2 years and 3 months if air quality was improved to meet the World Health Organization guideline. In countries with really high levels of fine particulate pollution (such as India & Bangladesh) life expectancy could be increased by over 5 years. The Air Quality Life Index looks at air quality levels around the world and calculates
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17:00
QGIS pour afficher des données télémétriques géospatiales
sur OslandiaContexteNous en avions déjà parlé dans un précédent article : l’Agence Spatiale Canadienne (ASC) supporte les vols de ballons stratosphériques ouverts (BSO), opérés en sol canadien, par le CNES. Certains de ces ballons volent à environ 40 km d’altitude dans des conditions proches de l’environnement spatial, d’autres volent plus bas dans l’atmosphère, et tous embarquent un grand nombre d’instruments de mesures et d’observation pouvant atteindre une masse de 800 kg. Une multitude d’organisations (laboratoires, établissements scolaires, industriels, etc), à travers le monde, utilisent de plus petits ballons (du type sondage météo) pour effectuer des expériences. La réglementation des vols de ballons non habité étant différente au Canada, l’ASC a entrepris, en 2018, de développer une plateforme rencontrant les exigences de leurs vols domestiques. Pour suivre ces ballons, leurs données sont transmises à un satellite Iridium, qui les envoie à un serveur sur Terre, où on les récupère.
Ce serveur reçoit donc une trentaine de variables comme la localisation (lat, long), l’altitude, la vitesse, la pression atmosphérique, la température, la tension des batteries etc.
Lors de nos précédents travaux, nous avions construit une preuve de concept, et en concertation avec l’ASC avons décidé d’une autre modalité de représentation de l’information en repartant d’une interface déjà développée par leurs soins. Nous avons transformé l’interface permettant de consulter la télémétrie sans dimension cartographique, en plugin QGIS et l’avons fait évoluer pour visualiser au même endroit les données télémétriques, la position en temps réel et des courbes retraçant l’évolution temporelle de certaines données.
FonctionnalitésLe plugin effectue donc la collecte des données de télémétrie. Il faut dans un premier temps récupérer la donnée et la parser : il s’agit de chaînes de caractères à séparer selon un délimiteur et des longueurs spécifiques.
Deux modes d’acquisition des données sont possibles :- Un mode réel où il faut renseigner l’adresse IP et le port du serveur où récupérer les données
- Un mode simulation où il faut renseigner un fichier CSV contenant des données simulant un vol, ou reprenant des vols précédents
Il est possible de mettre l’acquisition en pause et de réinitialiser l’interface.
Enfin, dans les paramètres, il est possible de saisir un seuil d’alerte pour le voltage de la batterie, en-dessous duquel l’utilisateur sera alerté :
Les données acquises sont présentées dans 3 zones différentes dans l’interface de QGIS :- Une colonne (à droite) qui liste toutes les données recueillies
- Un bloc (en bas) dans lequel on trouve différentes courbes (tension de la batterie, altitude, pression et température)
- Et la carte sur laquelle s’affiche le parcours du ballon, avec deux options de zoom possibles :
- Zoom sur la dernière position du ballon
- Zoom sur l’intégralité de la trace
Une fois l’acquisition terminée, les données sont enregistrées dans le dossier précisé dans les paramètres du plugin, partagées dans un fichier CSV pour les données brutes, et dans un Shapefile pour les données géographiques.
Démonstration vidéo
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13:57
Inscrivez-vous à la conférence "Noms de lieux étrangers : enjeux culturels pour les uns, politiques pour les autres" le 4 octobre 2023
sur Conseil national de l'information géolocaliséeLe CNIG vous invite à participer le 4 octobre de 11h00 à 12h00 à la conférence en ligne
"Introduction à l'exonymie : entre enjeux culturels et souveraineté"
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13:49
GEO.be : la plateforme open data Belge
sur Veille cartographieCet article GEO.be : la plateforme open data Belge est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La France possède une base de données accessible par tout le monde et qui regroupe des données approuvées par le gouvernement: datagouv, qui se divise en plusieurs catégories selon les domaines: urbanisme, environnement, écologie… Cependant, cela existe également dans les autres pays comme en Belgique, un pays francophone. Ce dernier met à disposition de ses […]
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8:07
Olympic Stadia Travel Times
sur Google Maps ManiaBrisbane has been awarded the 2032 Olympic and Paralympic Games. One of Brisbane's goals in hosting the games is to be “more equal and accessible”. In order to analyze how accessible the Brisbane games will actually be the data consulting firm Smash Delta has been visualizing current travel times to two of the Brisbane games stadia and exploring how those travel times will be improved thanks to
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15:51
GeoSolutions: GeoSolutions USA at National States Geographic Information Council (NSGIC) 25-28 SEP
sur Planet OSGeoYou must be logged into the site to view this content.
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14:44
Cartes et données sur les inondations en Libye (catastrophe de Derna)
sur Cartographies numériques
La tempête Daniel, qui a frappé dans la nuit du 10 au 11 septembre 2023 la ville de Derna (100 000 habitants) au nord-est de la Lybie, a entraîné la rupture de deux barrages en amont provoquant une crue de l’ampleur d’un « tsunami » le long de l’oued qui traverse la cité. Le bilan provisoire s'établit à plus de 11 300 morts au 18 septembre 2023. Selon les experts, la situation sociale, économique et politique difficile du pays a contribué à ce lourd bilan humain. Une situation de chaos qui limite les capacités de prévision des services météorologiques locaux et des systèmes d'alerte et d'évacuation.
Inondations en Libye - EMSR696 (Situational reporting Copernicus Emergency Management Service)
1) Traitement médiatique de la catastrophe« Libye : des inondations dans l'est provoquent des milliers de morts » (RFI). Le gouvernement de l'est libyen, désigné par le Parlement et non reconnu par la communauté internationale, a décrété un deuil national de trois jours, suite à la tempête Daniel qui, après la Grèce, la Turquie et la Bulgarie, a fortement affecté la Libye (voir l'animation de cette tempête).
« Avant/Après : les images impressionnantes des inondations en Libye » (Le Figaro). Vue du ciel, la catastrophe naturelle est impressionnante. Une très large partie de Derna est sous les eaux. Le wadi Derna, un simple petit cours d’eau, s’est transformé en une vague semblable à un « tsunami » d’après plusieurs témoins. La cité a été submergée par des vagues de 7 mètres de haut qui ont tout détruit sur leur passage en emportant les voitures et les maisons. « Avant / Après Inondations en Libye : découvrez l’ampleur des dégâts vus du ciel » (Ouest France).
« Inondations en Libye : à Derna, le nombre de morts est toujours incertain » (Le Monde). Selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), au moins 30 000 personnes qui vivaient dans cette cité de 100 000 habitants ont été déplacées. Une partie des 10 000 disparus après les inondations à Derna pourraient se trouver en mer, ils ont été emportés vers la mer pendant les inondations. La mer rejette leurs corps vers les plages.
« Comment expliquer les inondations monstres qui touchent le pays ? » (BFM-TV). La tempête Daniel s'est transformée en un cyclone subtropical méditerranéen. Ce sont deux facteurs qui semblent s'être combinés pour recharger le système à bloc. La hausse des températures de l'air sous l'effet du réchauffement climatique qui rend l'air plus humide. Et la hausse des températures des océans. Une mer Méditerranée plus chaude et qui s'évapore plus a donc alimenté la puissance du medicane Daniel. « Pourquoi la tempête Daniel a été aussi dévastatrice en Libye ? » (Futura Science).
« Qu’est-ce qu’un medicane, ce phénomène météo responsable des inondations meurtrières en Libye ? » (Le Parisien) Les météorologues appellent ce phénomène un medicane (contraction de "hurricane" et "Méditerranée"). Ce phénomène hybride présente certaines caractéristiques d'un cyclone tropical et d'autres d'une tempête des latitudes moyennes.
« Inondations en Libye : les deux barrages de Derna étaient fissurés » (Euronews). Dans une étude publiée en novembre 2022, l'ingénieur et universitaire libyen Abdel-Wanis Ashour a mis en garde contre une "catastrophe" menaçant Derna si les autorités ne procèdent pas à l'entretien des deux barrages. Malgré cet avertissement, aucuns travaux n'ont été menés.
« Dans une Libye corrompue, les alertes concernant le délabrement des barrages de Derna restées lettre morte » (Le Monde). Un rapport du groupe d’experts de l’ONU avait déjà dénoncé le comportement « prédateur » des groupes et milices qui se disputent le pouvoir depuis plus de dix ans et ont entraîné « le détournement des fonds de l’Etat libyen et la détérioration des institutions et des infrastructures ». Des militants de la société civile demandent une enquête internationale, craignant que les investigations locales ne puissent être fructueuses dans un pays largement gouverné par des groupes armés et des milices.
« Inondations en Libye : des barrages fragilisés par des années de négligences » (Libération). Les deux barrages avaient été construits dans les années 70 par une entreprise yougoslave non pas pour collecter de l’eau mais pour protéger Derna des inondations. Nonobstant les moyens financiers dont dispose le premier pays pétrolier d’Afrique, les travaux n’ont pas été entrepris.
« L'ONU et l'OMS préoccupées par les risques de maladies » (RFI). À Derna, dans l'est de la Libye, une semaine après les inondations dévastatrices provoquées par la tempête Daniel, un très grand nombre de corps se trouve encore sous les décombres. Cette situation représente une menace pour l'hygiène. Sur place, les agences de l'ONU tentent de prévenir la propagation de maladies.
« Les enfants de Libye sont confrontés à une nouvelle tragédie après plus d’une décennie de conflit » (UNICEF). On estime que près de 300 000 enfants ont été exposés à la puissante tempête. Au-delà des risques immédiats de morts et de blessés, les inondations en Libye présentent un risque grave pour la santé et la sécurité des enfants. Avec des approvisionnements en eau potable compromis, les risques d’épidémies de diarrhée et de choléra, ainsi que de déshydratation et de malnutrition, augmentent considérablement. Parallèlement, les enfants qui perdent leurs parents ou sont séparés de leur famille sont plus exposés aux risques de protection, notamment à la violence et à l’exploitation.
« Les inondations en Libye laissent l'ancienne Cyrène meurtrie et menacée de pillage » (Middle East Eye). Des eaux torrentielles et des glissements de terrain ont emporté certaines antiquités du site du patrimoine mondial de l'UNESCO tout en en exposant d'autres pour la première fois.
2) Pistes d'analyse en termes d'aléa / risque / vulnérabilité et enjeux
« Inondations en Libye : un désastre humanitaire sur fond de crise politique » (France Culture). C’est dans la province agricole de Cyrénaïque, située à l’est du pays, que les inondations ont été les plus meurtrières. La municipalité de Derna, qui souffrait déjà d'un manque d'infrastructures, a vu disparaître dans la mer un quart de son territoire en quelques heures. Jalel Harchaoui, spécialiste de la Libye et chercheur au Royal United Service Institute, rappelle la situation difficile que connaît cette ville depuis une dizaine d’années : « c’est une ville qui a un historique politique tout à fait particulier, qui est marginalisée par rapport au reste de la Cyrénaïque. Elle a été le lieu d’un siège imposé par le maréchal Haftar de 2015 à 2019 et qui s'est achevé par une guerre civile. Depuis 2019, il n'y a pas d’infrastructures comme des hôpitaux ou des transports et les reconstructions ont été négligées. »
« L’interaction entre les précipitations, l’exposition et la vulnérabilité exacerbées par le changement climatique a entraîné des impacts généralisés dans la région méditerranéenne » (World Weather Attribution). Un événement aussi extrême que celui observé en Libye est devenu jusqu’à 50 fois plus probable et jusqu’à 50 % plus intense par rapport unréchauffement qui serait inférieur à 1,2°C. Outre le manque d’entretien, les barrages d’Al-Bilad et d’Abu Mansour ont été construits dans les années 1970, sur la base de précipitations relativement courtes, et n’ont peut-être pas été conçus pour résister à un épisode de pluie sur 300 à 600 ans. Un examen complet portant sur les critères de conception des barrages sera nécessaire pour comprendre dans quelle mesure la conception des barrages et le manque d'entretien ultérieur ont contribué à la catastrophe.
« Les inondations en Libye montrent la nécessité d’alertes multirisques précoces et d’une réponse unifiée » (déclaration du Secrétaire général de l'Organisation Météorologique Mondiale). Le patron de l’OMM qui dépend de l’ONU, Petteri Taalas, a estimé que « la plupart des victimes auraient pu être évitées » pointant du doigt la désorganisation liée à l’instabilité politique dans le pays. L'agence météorologique libyenne a émis des avis d'alerte trois jours avant et l'état d'urgence a été déclaré dans certaines parties de l'est de la Libye.
« Les faits sont clairs. Les alertes précoces sauvent des vies et génèrent d’énormes avantages financiers. J’exhorte tous les gouvernements, institutions financières et société civile à soutenir cet effort » (secrétaire général de l’ONU, António Guterres). Voir le plan publié par l'ONU Alertes précoces pour tous. Plan d'action exécutif 2023-2027. Qu’il concerne les crues, les sécheresses, les vagues de chaleur, ou les tempêtes, un système d’alerte précoce est un système intégré qui permet d’être prévenu de l’approche de conditions météorologiques dangereuses et éclaire sur ce que les pouvoirs publics, la collectivité et les individus peuvent faire pour atténuer le choc de leurs effets imminents.
Ksenia Chmutina & Jason von Meding (2019). A Dilemma of Language : “Natural Disasters”. International Journal of Disaster Risk Science. A propos des catastrophes dites "naturelles" : même si les dangers sont naturels, les catastrophes ne le sont pas. Cet article soutient qu’en rejetant continuellement la faute sur la « nature » et en imputant la responsabilité des échecs du développement à des phénomènes naturels « exceptionnels » ou à des « cas de force majeure », on accepte de ceux qui sont à l'origine des catastrophes qu'ils se satisfassent d'une mauvaise planification urbaine, d'inégalités socio-économiques, de politiques mal réglementées, d'un manque d’adaptation et d’atténuation proactives, autant de facteurs qui augmentent la vulnérabilité.
Introduire le chapitre « Les sociétés face aux risques » en Seconde par les inondations en Libye (académie de Normandie). Les notions de « catastrophe naturelle » (tempête) et « technologique » (rupture de barrage) sont abordées, ainsi que celle d’« aléa ». Aussi, la notion de « prévention » peut être approchée en évoquant le rôle des barrages qui étaient censés protéger la ville, mais trop vétustes et mal entretenus.Ici, les notions qui peuvent être approchées sont celles de « pays en développement », « crise », « résilience », « culture du risque »…3) Cartes et données SIG à visualiser en ligne ou à télécharger
Libye : les dégâts dans la ville de Derna et le barrage détruit vus par le satellite Pléiades Neo (Un autre regard sur la Terre). « J’ai vu beaucoup d’images de catastrophes. Celle de Derna est vraiment sidérante. J’ai ressenti la même sidération pour des désastres comme le tsunami de l’océan indien en 2004, l'ouragan Katrina en 2005 ou le tremblement de Terre d’Haïti en 2010 » (@RegardSurTerre). Voir ce fil twitter de @MagaliReghezza qui montre que le séismé d'Haïti était encore d'une autre ampleur.
Images satellites Maxar et Planet des inondations (Geospatial World). Segmentation automatique des images satellite du programme Maxar Open Data (Samgeo).
Cartes et données SIG élaborées par le Service de gestion des urgences CopernicusEMS (dégâts estimés à partir de l'observation d'images satellites). Voir également les zones impactées par la tempête Daniel en Grèce avec l'animation satellite.
Atlas de la mortalité et des pertes économiques dues à des phénomènes météorologiques, climatiques et hydrologiques extrêmes 1970-2019 (Organisation météorologique mondiale) à télécharger en pdf.
4) Utilisation de la cartographie pour organiser l'aide humanitaire
Inondations en Libye en 2023 - Aperçu de la situation d'urgence (Reliefweb). La tempête Daniel a provoqué des inondations à grande échelle dans le nord-est de la Libye, entraînant des pertes de vies humaines et des dégâts aux infrastructures dans plusieurs villes côtières et le long des rivières, notamment Benghazi, Al-Jabal Al-Akhder, Al-Marj, Batah, Bayada, Albayda, Shahat et Sousse. La ville de Derna semble être durement touchée après la rupture de deux barrages en amont, libérant plus de 30 millions de mètres cubes d'eau dans la ville de Derna. Les premiers rapports suggèrent d'importants dégâts aux logements et aux infrastructures critiques. La tempête a exacerbé les problèmes d'accès à l'eau potable et aux soins de santé. Les zones touchées sont désormais confrontées à des risques plus élevés de maladies infectieuses en raison de services de santé perturbés, des réseaux d'égouts endommagés, de la persistance des eaux de crue et de la boue.
Empreinte des bâtiments de la zone touchée par les inondations à Derna (Google Buildings). Les empreintes des bâtiments sont utiles pour toute une une gamme d’applications, depuis l’estimation de la population, la planification urbaine et la réponse humanitaire, jusqu’aux sciences du climat et de l’environnement. Cet ensemble de données ouvertes à grande échelle contient les contours des bâtiments dérivés de données en haute résolution. Fichiers geojson ou csv à télécharger directement.
Données SIG sur la Libye mises à disposition par Humanitarian Data Exchange (HDX), site dédié au partage de données humanitaires.
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Restauration et soclage de la fameuse dalle de Saint-Bélec
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La dalle ainsi restaurée sera exposée et accessible au public à partir de 2025 au musée d’Archéologie nationale.
Découverte en 1900 par Paul du Châtellier en Bretagne, cette dalle en schiste datant de l’âge de bronze est conservée depuis 1924 au sein d’Archéologie nationale. Suite à de nombreuses recherches, il a été découvert que ses gravures correspondent à environ 80% à la topographie de Saint-Bélec à l’âge de Bronze, zone située dans la haute vallée de l’Odet en Bretagne. Cela en fait donc la plus vieille carte jamais découverte d’Europe.
« Je suis à la fois très heureux et particulièrement fier qu’Esri France puisse contribuer à la restauration de cette exceptionnelle première représentation cartographique sur notre continent et de ce qu’elle nous enseigne » précise Christophe Tourret, Président-directeur général d’Esri France. « Ces travaux vont permettre de faire découvrir au grand public cette pièce remarquable qui illustre l’importance politique et symbolique de la représentation cartographique du territoire, depuis le début de l’âge du bronze jusqu’à aujourd’hui, à l’âge de la Géographie numérique« .
« Nous aurons l’occasion lors de la session plénière de la conférence francophone [Live+] SIG 2023, le Géo évènement (le mardi 10 octobre à 9h30) de revenir plus en détail sur ce passionnant sujet« .
A propos d’Esri France
Chez Esri France, nous croyons que la Géo est primordiale pour permettre aux organisations de concevoir un futur durable, et plus globalement, faire face aux défis d’un monde aux équilibres fragiles.
Comprendre, analyser en toute connaissance de cause et décider de façon pertinente sont plus que jamais des actes essentiels pour répondre aux enjeux auxquels nous devons faire face dans un monde de plus en plus complexe et interconnecté.
A propos du Musée d’Archéologie nationale Domaine national de Saint-Germain-en-Laye
Un des plus grands musées d’archéologie en Europe. Un site riche de son histoire.
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www.musee-archeologienationale.fr
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Informations Presse
Jean Michel Cabon
Esri France
Tél : 01 46 23 60 66
Mob : 06 64 08 85 76
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Son ouvrage lie histoire, géographie, aménagement du territoire et architecture. Il témoigne de ses deux domaines de spécialisations, l’histoire d’une part et l’architecture d’autre part. Cette double formation lui permet de formuler son hypothèse de base : le "modèle" christallérien est tellement erroné qu...
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9:30
Mapping the urban climate to address summer comfort management in French urban planning documents
sur CybergeoIn France, the integration of climate and energy issues in the spatial planning tools of local authorities is compulsory for cities with more than 20000 inhabitants. Through the example of Toulouse Metropole, the interdisciplinary work here presented make use of the available geographic and climatic data to perform spatial microclimatic diagnostics and its translation into recommendations to address thermal summer comfort. Analysis maps and strategic maps for daytime and night time are presented for thermal and aeraulic analysis taking advantage of available numerical simulations at 250x250 m, one year of duration and local weather type classifications. A three years long collaboration with the local authority and the urban agency allowed the co-construction of the cartographic protocol and the publication of an Atlas as well as a set of guidelines. Collaboration with a network of French cartographers allowed original propositions on graphic semiology as visual organization, the cho...
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8:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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8:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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8:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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8:30
Augustin J.-P. et Gillon P., 2021, Les jeux du monde. Géopolitique de la flamme olympique
sur MappemondeJean-Pierre Augustin de l’Université Bordeaux-Montaigne, chef de file d’une géographie sociale et culturelle du sport en France depuis presque quatre décennies, et Pascal Gillon, tenant plutôt du courant de l’analyse dite spatiale, inspiré, entre autres, par le travail de Jean Praicheux à l’Université de Franche-Comté et co-auteur notamment de l’Atlas du sport mondial, présentent un ouvrage d’envergure. La quantité d’informations, la qualité du traitement et des fondements théoriques du travail d’analyse, et surtout ce croisement entre deux écoles que parfois tout oppose, mais qui se complètent ici de manière remarquable, offrent un ouvrage majeur sur le sujet.
Le dessin discutable de première de couverture du graphiste pourtant connu Adria Fruitos ne doit pas obérer la teneur des 220 pages au format royal de ce titre de la nouvelle collection « Monde » des éditions Armand Colin, une collection consacrée à des ouvrages d’envergure qui permettent de comprendre les mécanismes de nos so...
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8:30
La ligne de couleur de W.E.B Du Bois. Représenter l’Amérique noire au tournant du XXe siècle
sur MappemondeDepuis 2013, un mouvement politique lutte contre le racisme envers les Noirs d’Amérique : Black Lives Matter. Pourtant, un tel militantisme en faveur de la cause noire ne date pas d’hier. William Edward Burghardt Du Bois en est un précurseur lorsque, en 1900, pendant l’Exposition universelle de Paris, il entend illustrer les progrès accomplis par la communauté afro-américaine depuis l’abolition de l’esclavage. Pour ce faire, ce sociologue et historien américain réalise une soixantaine de représentations : cartes, graphiques et diagrammes colorés, de véritables innovations, pour son époque, dans les domaines statistique et cartographique. Son travail minutieux est à la croisée de plusieurs disciplines : de l’histoire à la géographie, en passant par les statistiques, la sociologie et l’ethnologie. Il entend, à travers cette exposition, mettre en lumière ce qu’il appelle le « très proche », ces structures invisibles du « colonialisme et du capitalisme racial, qui conditionnent l’organi...
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8:30
De l’intérêt des pictogrammes pour figurer les représentations sociocognitives de l’espace résidentiel
sur MappemondeQuel rapport émotionnel un individu entretient-il avec son habitat ? Un jeu de simulation de négociation entre les différents critères d’évaluation de l’environnement résidentiel permet de recueillir un corpus de données. Son analyse implique une réflexion sur la formalisation des résultats obtenus. Deux options sont confrontées : une représentation en graphe polaire et une image composée de pictogrammes symbolisant les multiples dimensions de l’espace résidentiel qui peuvent motiver les choix d’installation. Cette dernière image permet une appréhension plus simple du lien entre les structures spatiales, cognitives et sociales.
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8:30
Saisir la position sémio-spatiale d’un élément géographique dans les cartes cognitives
sur MappemondeL’article propose d’analyser la position sémio-spatiale d’un élément géographique, en l’occurrence une frontière d’État, dans les cartes cognitives d’une ville frontalière. Sur le plan théorique, le recours au concept sémiologique de topos et la notion de position permettent de saisir les significations d’un élément géographique en fonction des positions sociales, afin de cerner leur contribution au positionnement de l’élément dans la carte cognitive. Méthodologiquement, cette analyse requiert une étroite intégration d’une tache discursive aux méthodes plus classiques de la cartographie cognitive.
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8:30
La photographie comme représentation : L’ancrage et l’objectivation iconographique
sur MappemondeCet article aborde l’utilisation de la photographie de lieux comme un outil de recueil des représentations spatiales. Cette approche repose sur la présence des processus d’ancrage et d’objectivation dans l’iconographie qui révèle un rapport de communication tout comme une représentation sociospatiale. 20 habitants de Montreuil-sous-Bois ont réalisé des photos caractéristiques et non caractéristiques de quatre lieux imposés dans leur ville. Les résultats montrent que pour représenter ce qui est caractéristique d’un lieu, les personnes ancrent et objectivent leurs photos dans l’usage et/ou la fréquentation du lieu. À l’inverse, les photos non caractéristiques tentent d’être impersonnelles. La photographie de lieux apparait comme une réelle communication entre individus et comme un outil à développer pour aborder les représentations sociospatiales.
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8:30
Des cartes mentales pour analyser la vulnérabilité au risque d’une ville de l’Arctique russe : Khamagatta
sur MappemondeL’article présente les résultats principaux d’un atelier cartographique conduit à Khamagatta (Sibérie orientale). L’objectif en était double : observer la vulnérabilité aux inondations de débâcle de la ville par les connaissances d’enfants et d’adolescents y vivant ; utiliser la carte comme instrument de dialogue, d’intégration des connaissances et de recueil de données. Récits et cartographies ne s’opposent pas, mais se renforcent. L’atelier cartographique a permis que se côtoient différents registres de connaissances et produit au final des informations précieuses pour l’analyse scientifique.
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8:30
« Self Cartography », une narration autour du monde
sur MappemondeCet article propose une utilisation de la carte géographique comme support à la mise en récit de souffrances psychiques liées à l’expérience de la migration. À partir de la conception d’une méthodologie spécifique — « Self Cartography » — dans le champ de la psychologie clinique, nous reviendrons sur l’élaboration de cette méthode et l’illustrerons par la présentation de cas cliniques.
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9:28
Étudier l'expansion de la Chine en Asie du Sud-Est à travers les caricatures de presse
sur Cartographies numériques
Les cartes humoristiques sont devenues assez courantes dans les médias et sur Internet. Le fil twitter ci-dessous donne des pistes de lecture concernant ces cartes-caricatures, que l'on retrouve souvent en illustrations dans les manuels scolaires. L'objectif est d'en décrypter les symboles et d'en donner une approche critique en confrontant les visions. A l'ère d'Internet et des réseaux sociaux, ces dessins humoristiques circulent de plus en plus. Ils renvoient souvent les uns aux autres dans un jeu de miroir complexe, de sorte qu'il n'est plus possible de les prendre isolément comme on le ferait dans un commentaire classique de document. L'expansion de la Chine en Asie du Sud-Est fournit un bon exemple pour étudier ces représentations et en dégager des visions géopolitiques.Les dessins de Nath Paresh reviennent souvent dans la presse. Il est caricaturiste au National Herald en Inde et ses dessins sont distribués aux États-Unis par Cagle Cartoons (vision indo-américaine) [https:]] pic.twitter.com/0Z5oFEfwrB
— Sylvain Genevois (@mirbole01) May 22, 2023
Les parties du corps émergées du dragon correspondent aux îlots convoités par la Chine. Assez intéressant de voir ici Taiwan assimilé aux îles de la mer de Chine méridionale. La caricature de Nath Paresh est reprise par un journal japonais [https:]]
— Sylvain Genevois (@mirbole01) May 22, 2023
Evolution de la situation géopolitique et de la réprésentation des menaces : l'enjeu n'est pas seulement militaire, il concerne aussi les activités de pêche (allusion ici à la rivalité sino-vietnamienne + incapacité de l'ASEAN à réguler les conflits) [https:]] pic.twitter.com/IAUxyJamyN
— Sylvain Genevois (@mirbole01) May 22, 2023
A confronter avec des dessins humoristiques permettant de jouer sur d'autres stéréotypes que le dragon : la muraille de Chine ou encore le panda... [https:]] [https:]] pic.twitter.com/8t4G1P83Nm
— Sylvain Genevois (@mirbole01) May 22, 2023
Les visions géopolitiques peuvent être intéressantes à décrypter à travers ces dessins humoristiques dès lors qu'on s'emploie à les contextualiser et en dégager des pistes d'interprétation en les confrontant [https:]] [https:]] pic.twitter.com/NW7KpEX1Uy
— Sylvain Genevois (@mirbole01) May 22, 2023
L'occasion de rappeler ce dessin satirique diffusé lors du G7 de 2021 où le sommet international était déjà accusé de vouloir réprimer la Chine. Voir la caricature et ses symboles décryptés sur ce site [https:]]
— Sylvain Genevois (@mirbole01) May 22, 2023
Tse Tsan-Tai a représenté chaque pays occidental par un animal pour en montrer la brutalité. Voir la lecture des symboles proposée par @Propagandopolis [https:]]
— Sylvain Genevois (@mirbole01) September 17, 2023
L'artiste hongkongais exilé Ah To a mis à jour cette carte « Situation en Extrême-Orient » pour refléter les réalités de 2022. Il peut être intéressant de comparer les symboles pour montrer le renversement de la situation géopolitique un siècle après [https:]] pic.twitter.com/mggBTjOdDE
— Sylvain Genevois (@mirbole01) September 17, 2023
La carte, objet éminemment politique. Les tensions géopolitiques entre Taïwan et la Chine
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Cartes anciennes sur l'Asie du Sud-Est (Yale-Nus College de Singapour)
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Etudier les conflits maritimes en Asie en utilisant le site AMTI
Cartes et caricatures. Recension de cartes satiriques et de cartes de propagande
Les nouvelles façons de « faire mentir les cartes » à l’ère numérique
Jouer avec les stéréotypes en géographie, est-ce les renforcer ou aider à comprendre le monde ?
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17:28
Free and Open Source GIS Ramblings: Data engineering for Mobility Data Science (with Python and DVC)
sur Planet OSGeoThis summer, I had the honor to — once again — speak at the OpenGeoHub Summer School. This time, I wanted to challenge the students and myself by not just doing MovingPandas but by introducing both MovingPandas and DVC for Mobility Data Science.
I’ve previously written about DVC and how it may be used to track geoprocessing workflows with QGIS & DVC. In my summer school session, we go into details on how to use DVC to keep track of MovingPandas movement data analytics workflow.
Here is the recording of the session live stream and you can find the materials at [https:]]
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10:15
Appel à commentaires pour le standard Sites Économiques juqu'au 16 octobre 2023
sur Conseil national de l'information géolocaliséeAppel à commentaires pour le standard Sites Économiques juqu'au 16 octobre 2023
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10:14
How Families Live Around the World.
sur Google Maps ManiaGapminder's Dollar Street is an amazing project which has photographed and documented 264 family homes in 50 countries around the world. The resulting pictures provide a truly fascinating insight into the everyday lives of people around the world. Around six years years ago Anna Rosling Rönnlund began sending photographers to visit families in all corners of the world. In each visit to a
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10:11
Cartes et caricatures. Recension de cartes satiriques et de cartes de propagande
sur Cartographies numériquesVous cherchez des images de propagande à base de cartes ? Cette page vous propose une recension de ressources sur Internet qui peuvent vous intéresser.
Le compte twitter @propagandopolis sélectionne et commente chaque semaine des images et des cartes historiques. Voir le site de l'auteur qui propose des cartes de propagande américaine et du monde entier : PropagandopolisLe site commercial Barron Maps propose une impressionnante série de cartes satiriques et de cartes de propagande. Roderick Barron (@barronmaps) est spécialisé dans le domaine des cartes de propagande et des cartes imaginaires. Il alimente un blog associé au site qui contient des articles de fond. Il y explore notamment le phénomène des cartes « sério-comiques » de la fin du XIXe et du début du XXe siècle (voir cette présentation vidéo en anglais). On y trouve les oeuvres de Fred W. Rose qui s'est rendu célèbre par ses cartes caricaturales de l’époque victorienne (avec des pieuvres).
La British Library propose également une belle recension de cartes satiriques du monde entier. La page d'accueil retrace la longue histoire des cartes satiriques depuis le XVIIe siècle jusqu'à nos jours, avec de nombreux exemples empruntés à différents pays et différentes époques.
Le site de la célèbre collection David Rumsey constitue une source de premier ordre. On peut y trouver toutes sortes de cartes satiriques, en utilisant son moteur de recherche interne (par exemple avec les mot-clés "propaganda" ou "satirical").
Le site Vividmaps a sélectionné des cartes satiriques de l'Europe, principalement du XIXe et du début XXe siècle (l'âge d'or des nationalismes ayant donné lieu à beaucoup de cartes de propagande). « L’Europe était le siège d’États puissants souvent en concurrence. Ils ont pris part à des guerres sanglantes et ont tissé des intrigues diplomatiques en coulisses. Dans cette confrontation, la satire était non seulement une forme d'art mais aussi une arme dangereuse, dont le but était de montrer à la population et à celle des autres pays qui est qui dans l'arène politique.»
Last but not the least. La formidable série de "cartes persuasives" de l'Université Cornell. « Plus de 800 ?cartes destinées avant tout à influer sur des opinions ou des croyances - à faire passer un message - plutôt qu'à communiquer une information géographique. La collection contient une grande variété de "cartes pour convaincre" : qu'il s'agisse de la cartographie allégorique, satirique ou picturale, de choix sélectifs de l'information, de l'utilisation inhabituelle de projections, de couleurs, de graphiques et de textes, ou encore d'images ou d'affiches de propagande destinées à tromper intentionnellement, ces cartes véhiculent un large éventail de messages religieux, politiques, militaires, commerciaux, moraux et sociaux. »
En complément
Un fil twitter de @GoncharenkoUA sur "la propagande douce" véhiculée par les cartes qui représentent la Crimée comme séparée de l'Ukraine et comme une partie de la Russie.
Un fil twitter de @mirbole01 sur les cartes et dessins humoristiques concernant l'expansion de la Chine en mer de Chine méridionale.
Série d'images et de cartes utilisant la pieuvre comme élément de caricature. Cette sélection de @WryCritic permet de mettre en évidence des points communs et des spécificités d'une caricature à l'autre.Articles connexes
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8:40
Le samedi, c'est Map Story !
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierLa StoryMap que j'ai retenue aujourd'hui concerne la planification urbaine dans la métropole d'Orléans. Je la trouve assez exemplaire car elle démontre tout d'abord une réflexion aboutie sur l'organisation actuelle et future du territoire au service des citoyens et en arrière-plan les travaux réalisés à l'aide du SIG pour l'élaboration et la diffusion du Plan Local d'Urbanisme Métropolitain (PLUM) et des autres documents stratégiques associés (SCOT, PLH, PDU, PCAET, DAAC...). Elle est également particulièrement remarquable par la qualité pédagogique qui permet à quiconque de comprendre la démarche et les enjeux de planifier le développement des territoires de la métropole Loirétaine.
Après une introduction sur ce qu'est la démarche de planification urbaine, le PLUM et les différents aspects d'une métropole de proximité, le récit explique les différentes facettes de la planification urbain que sont le logement, les transports, la qualité de vie, la préservation des paysages et des écosystèmes, l'attractivité et le développement résilient dans ses territoires.
Un autre point remarquable dans cette Story Map, c'est la richesse et la variété des contenus présentés. De nombreux schémas, cartes et illustrations sont présentées en tant qu'images statiques décrites par des compartiments latéraux. Pas mal de cartes statiques, qui n'ont pas vocation à être navigable, sont ainsi intégrées simplement de montrer une image du territoire illustrant les propos du panneau latéral.
On notera aussi l'usage très approprié d'un élément de type Map Tour pour présenter 13 projets notables d'aménagement urbain et de développement économique, pour permettre de les décrire et de les parcourir en même temps via la carte.
D'un point de vue technique, l'application a été configurée à l'aide de la solution ArcGIS StoryMaps. L'application et la majorité de ses contenus sont hébergés sur ArcGIS Online la plateforme Cloud d'Esri.
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19:00
Journée d’études CFC : Arts(s) et Cartographie(s), 25 novembre 2023, INHA (Paris)
sur Cartes et figures du mondeAvec le soutien de l’EPHE-PSL (Histara), du CNRS (Lamop) et de la Bibliothèque nationale de France
Entrée libre
On dispose aujourd’hui de nombreuses études sur la place de la cartographie dans l’histoire des savoirs scientifiques, et sur les engagements de la cartographie dans les entreprises politiques. Mais il est nécessaire d’envisager aussi les relations de la cartographie avec les arts et les artistes ainsi que les formes d’implication de la cartographie dans les mondes de l’art et dans les cultures visuelles des sociétés modernes et contemporaines. C’est dans cette optique que la Commission Histoire du Comité Français de Cartographie organise une Journée d’études intitulée « Art(s) et cartographie(s) », avec l’ambition de rassembler et de confronter quelques-unes des pistes principales de la recherche actuelle.
Programme
8h45 Accueil – café Ouverture 9h15 Introduction à la journée par Jean-Marc Besse (CNRS-EHESS) et Catherine Hofmann (BnF, département des Cartes et plans) 9h30 Anca Dan, Professeur attachée en sciences de l’Antiquité, ENS-PSL Cartes sur mosaïque : quelques chorographies antiques 10h Pause-café Première session Artistes-cartographes en Europe au XVIe siècle Sous la présidence de Gilles Palsky (Université Paris I) 10h15 Juliette Dumasy-Rabineau, maîtresse de conférences en histoire médiévale à l’université d’Orléans et Camille Serchuk,professeure d’histoire de l’art à la South Connecticut State University Les artistes cartographes français aux XVe et XVIe siècles 10h45 Jan Trachet, chercheur postdoctoral au département d’archéologie de l’Université de Gand et Bram Vannieuwenhuyze, professeur associé en histoire de la cartographie à l’Université d’Amsterdam Les cartes des artistes-cartographes à Bruges, 1557-1572 : des œuvres isolées ou collaboratives ? 11h15 Ulrike Gehring,professeur à l’Universität Trier Fb III – Art History, Coastal Profiles. The Interface between mimetic and cartographic representation 11h45 Présentation des œuvres exposées par les artistes Annie Lunardi et Marcoleptique 12h15 Pause déjeuner Seconde session Art et cartographie en France aux XVIIe et XVIIIe siècles Sous la présidence de Lucile Haguet (Bibliothèque municipale du Havre) 13h30 Pierre-Olivier Marchal, doctorant à l’EHESS – Centre Alexandre Koyré Représenter le territoire : une circulation des savoirs cartographiques dans l’œuvre de Jean-Baptiste et Pierre-Denis Martin (1659-1742) 14h Geoffrey Phelippot, doctorant à l’EHESS – Centre Alexandre Koyré Cartographie et bricolage ornemental : Nicolas Guérard à la Sphère Royale 14h30 Pause Troisième session 15h Art contemporain et cartographie Mathieu Pernot, photographe, et Monika Marczuk, chargée de collections à la BnF-CPL Cartes en mouvement 15h30-17h Table ronde « Art contemporain et cartographie : rencontres, échanges, déplacements » Animée par Jean-Marc Besse, avec : Ann Valérie Epoudry, artiste plasticienne, diplômée de Sciences-Po Paris, doctorante à l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Toulouse (LRA) Guillaume Monsaingeon, philosophe, chercheur et commissaire d’exposition indépendant Florence Troin, géographe-cartographe CITERES-EMAM, CNRS & Université de Tours Pauline Guinard, maître de conférences HDR en géographie, ENS Contact : catherine.hofmann@bnf.fr Fichier pdf. du programme :
Programme-JE-CFC-histoire-INHA-25-novembre-2023Télécharger
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10:00
Découvrez nos cartes dédiées aux Journées européennes du patrimoine 2023 - #1Jour1Carte
sur Makina CorpusCette année à l'occasion des Journées du patrimoine, nous vous avons concocté une collection de cartographies dédiées aux thèmes de la culture et du patrimoine. Au programme : les journées du patrimoines, les plus grands labels des villes et les jardins remarquables !
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8:06
The Unknown Pleasures of Population Density
sur Google Maps ManiaThis ridgeline plot map visualizes the population density of Germany. The map was made using Baryon's Population Density Ridgeline Plots for Every Country in the World. Type your county name into this app and you can see your country's population density visualized as a ridgeline plot. The most famous Ridgeline plot (or joy-plot - as they are sometimes called) appears on Joy Division's famous
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7:00
Marco Bernasocchi: OPENGIS.ch and Oslandia: A Strategic Partnership to Advance QField and QFieldCloud
sur Planet OSGeoWe are extremely happy to announce that we have partnered strategically with Oslandia to push the leading #fieldwork app #QField even further.
In the world of fieldwork, accuracy and efficiency are paramount. As GIS specialists, we understand the importance of reliable tools that streamline data collection and analysis processes. That’s why we are thrilled to join forces with Oslandia, a company that shares our passion for open-source development and innovation.
Embracing Open Source DevelopmentAt OPENGIS.ch, we have always been committed to the principles of true open-source development. We firmly believe collaboration and shared knowledge drive progress in the GIS community. With Oslandia, we have found a partner who shares our values and cares as much as we do about the QGIS ecosystem.
QGIS, the world’s most popular open-source geographic information system software, has already significantly impacted the GIS industry, providing users with versatile mapping tools and capabilities and is the base upon which QField is built. As main contributors to #QGIS, both OPENGIS.ch and Oslandia are dedicated to driving its growth and ensuring its availability to all.
Advancing QField and QFieldCloud TogetherQField, with almost 1 million downloads, is the leading app for fieldwork tasks. It empowers professionals in various sectors, such as environmental research, agriculture, urban planning, and disaster management, to efficiently collect data and conduct analyses in the field. With our strategic partnership with Oslandia, we are committed to pushing the boundaries of QField even further.
Our joint efforts will ensure that QField will keep setting trends in the industry, surpassing the evolving needs of GIS specialists and empowering them to excel in their fieldwork tasks.
A Synergy of ExpertiseThe collaboration between OPENGIS.ch and Oslandia represents a true synergy of expertise. Our combined capabilities will enable us to tackle complex challenges quickly and deliver cutting-edge solutions that address the unique requirements for seamless #fielwork.
ConclusionAt OPENGIS.ch, we are excited about the opportunities our partnership with Oslandia brings. Together, we will continue championing open-source development, empowering GIS specialists in each sector to perform their fieldwork tasks more effectively and efficiently.
With QField as our flagship app, we are confident that this strategic collaboration will result in even greater advancements, benefiting our target audience of surveying professionals, fieldwork experts, and GIS specialists, as well as casual users who need a user-friendly solution for their projects.
Join us in celebrating this exciting new chapter as we embark on a shared journey towards innovation and excellence in fieldwork applications.
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6:36
Bascule des géoservices de l'IGN vers une Géoplateforme
sur Cartographies numériques
Le programme Géoplateforme vise à doter la puissance publique d’une infrastructure collaborative et mutualisée pour la production et la diffusion des géodonnées. Son ambition est de permettre aux porteurs de politiques publiques et aux collectivités locales qui le souhaitent de bénéficier très simplement de fonctionnalités avancées pour diffuser leurs propres données et s’ouvrir à des communautés contributives. Cet espace, composante géographique de l'État-plateforme reconnue grand projet numérique de l'État, répond notamment aux enjeux de souveraineté des données de l’État face aux géants de l’Internet.La Géoplateforme s'inscrit pleinement dans la dynamique des Géo-communs soutenue par l'IGN. En effet, si l'institut a bien vocation à porter ses propres services sur la Géoplateforme, celle-ci se veut en premier lieu un outil commun au monde public. C'est la mobilisation progressive de partenaires, producteurs et usagers de données géographiques qui doit permettre d'atteindre cet objectif.
L'IGN informe les utilisateurs des géoservices du Géoportail d'une bascule vers sa nouvelle Géoplateforme. La date d’arrêt de l’infrastructure du Géoportail est fixée au 31 décembre 2023. Pour les internautes des sites web portés par l’IGN (Géoportail, Remonter le temps, Géoportail de l’Urbanisme…), c’est transparent.Pour découvrir les nouvelles fonctionnalités de la Géoplateforme
Les principaux changements pour tous les géoservices inhérents au passage à la Géoplateforme sont :
- Changements d’URL
L’usage du protocole [HTTPS] / TLS 1.2 est imposé pour accéder aux géoservices, sans exception possible.
Les géoservices ne sont plus accessibles via le Réseau Interministériel de l’État (RIE)- Changements du contrôle d’accès
Les actuelles « clés » Géoportail (personnelles et publiques) disparaissent, elles sont remplacées par un nouveau mécanisme de contrôle des accès sur les données non libres.
Pour les données à accès restreint (par exemple pour les SCAN 25®, SCAN 100® et SCAN OACI de l’IGN), un nouveau mécanisme de diffusion sera mis en place.
Par défaut, tout devient open source et accessible librement.- Principaux changements de certains géoservices
Les géoservices exposant des standards OGC n'exposent plus que la dernière version :
WMS 1.1 n’est plus supporté (seulement le 1.3)
WFS 1.0 n’est plus supporté (seulement le 2.0)
Le service d’auto-configuration disparaît (l’API JavaScript est adaptée en conséquence) (lien vers article ici)
Les flux INSPIRE intègrent les flux génériques de la Géoplateforme
Les services de téléchargement (via le site Géoservices) et de diffusion de données anciennes (via le site Remonter Le Temps) évoluent sans conservation des interfaces API actuellesLien ajouté le 27 septembre 2023
Le replay et le support de présentation du temps d'info #Géoplateforme consacré à la première version de [https:]] , le futur service public des cartes et données du territoire, sont disponibles ! #Géocommuns
— IGN France (@IGNFrance) September 27, 2023Articles connexes
Depuis le 1er janvier 2021, l'IGN rend ses données libres et gratuites
Les anciens millésimes de la BD Topo disponibles en téléchargement sur le site de l'IGN
Lidar HD : vers une nouvelle cartographie 3D du territoire français (IGN)
Zoom sur le service Edugéo (IGN) proposé à travers le portail de ressources Eduthèque
Chercher une carte IGN par thème d'études
Mise à disposition de la base Demandes de valeurs foncières (DVF) en open data
Carte lithologique de la France au 1/50 000e sur InfoTerre (BRGM)
DataFrance, une plateforme de visualisation de données en open data
Recension de liens pour se procurer des fonds de cartes SIG
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20:01
Plateforme de cartes en ligne du Patrimoine mondial de l'UNESCO
sur Cartographies numériques
L'UNESCO lance une Plateforme de cartes en ligne du patrimoine mondial. Cet outil de suivi, lié aux bases de données existantes de l'UNESCO, affiche les sites géoréférencés du patrimoine mondial avec leurs zones tampons, et permet d'effectuer des opérations cartographiques de base. La plateforme est destinée aux États adhérents à la Convention du patrimoine mondial, aux gestionnaires de sites, aux organisations consultatives, à l'UNESCO et à bien d'autres acteurs.
Accès à la Plateforme de cartes en ligne du patrimoine mondial (source : UNESCO)
La plateforme SIG de l'UNESCO est destinée à :- Renforcer la protection de la valeur universelle exceptionnelle des biens du patrimoine mondial en fournissant aux États membres un système d’information géographique en ligne pour améliorer le suivi de leur état de conservation.
- Améliorer la qualité et la cohérence des cartes des biens du patrimoine mondial, pour faciliter l’accès et l’analyse des données géographiques du patrimoine mondial, afin de développer des systèmes de gestion adéquats.
- Faciliter la planification et la préparation d’évaluations d’impact sur le patrimoine, d’évaluations d’impact environnemental, ainsi que d’autres documents pertinents et complexes sur la base de cartes accessibles et précises des limites des biens du patrimoine mondial et de leurs zones tampons.
- Aider les développeurs de projets (y compris du secteur privé) à mieux comprendre les différentes limites de protection du patrimoine mondial et les guider dans l’évaluation de projets situés dans les limites ou à proximité d’un bien du patrimoine mondial. Il s’agit d’un outil directement pertinent pour la mise en œuvre de l’engagement à respecter des zones d’exclusion ou des projets relatifs à l’énergie éolienne.
Avec la mobilisation de ressources additionnelles, d’autres couches de données pourraient être ajoutées au système, à commencer par les facteurs affectant les biens tels qu’ils sont répertoriés dans le Système d’information sur l’état de conservation.
L’inscription d’un bien sur la liste du Patrimoine mondial est une reconnaissance de sa « valeur universelle exceptionnelle », qui le rend digne d’être préservé comme patrimoine de l’humanité. Les données sur le patrimoine mondial de l'UNESCO sont téléchargeables à partir d'une carte interactive. Les fichiers proposés sur cette page (format kml et xls) intègrent la géolocalisation des sites et permettent une réutilisation des données dans un globe virtuel ou un SIG. La base de données permet de distinguer les sites naturels, culturels ou mixtes (avec leur date d'inscription à la liste de l'UNESCO) ainsi que les sites en danger. Une recherche en plein texte permet, à partir de mots-clés, de raffiner la recherche à partir de certains critères. Il est possible par exemple de choisir en fonction des critères de sélection ayant présidé à leur inscription comme sites naturels, culturels ou mixtes.
Carte interactive avec accès aux données géolocalisées (source : UNESCO)
La carte du patrimoine mondial 2023 est disponible en haute résolution et dans différentes langues. Cette carte murale est disponible en téléchargement (avec la possibilité de comparer avec d'anciennes cartes depuis 2002).
Carte des sites du patrimoine mondial au format affiche murale (source : UNESCO)
Données disponibles sur la France :- Plate-forme de données ouvertes du ministère de la Culture (Data.culture.gouv.fr)
- Base des lieux et équipements culturels en France - Basilic (Data.gouv.fr)
- Base de données des Journées Européennes du Patrimoine en France (Data.gouv.fr)
- Liste et localisation des Musées de France (Data.gouv.fr)
Pour aller plus loin
Lionel Prigent (2013). L'inscription au patrimoine mondial de l'Unesco, les promesses d'un label ? Revue internationale et stratégique 2013/2 (n° 90), p.127-135
Mélanie Duval, Ana Brancelj et Christophe Gauchon, Élasticité des normes et stratégies d’acteurs : analyse critique de l’inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO, Géoconfluences, juin 2021.
Bernard Debarbieux (2020). Imaginaires et rhétoriques de la mondialité au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. L’Espace géographique 2020/4 (Tome 49), p. 354-370.
Jean-Christophe Fichet (2020). Le patrimoine mondial de l’UNESCO en cartes. Carto-lycée.Articles connexes
Carte des événements des Journées européennes du patrimoine en France (2019)
L'histoire par les cartes : les cartes de la Société de documentation industrielle, un inventaire du patrimoine industriel de la France de l'entre-deux-guerres
Mise à disposition de la Base de données nationale des bâtiments (BDNB) en open data
France Pixel Bâti. Naviguer dans la structure du patrimoine bâti français en haute définitionEtudier les formes urbaines à partir de plans cadastraux
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19:30
Oslandia: Strategic partnership agreement between Oslandia and OpenGIS.ch on QField
sur Planet OSGeoWho are we?For those unfamiliar with Oslandia, OpenGIS.ch, or even QGIS, let’s refresh your memory:
Oslandia is a French company specializing in open-source Geographic Information Systems (GIS). Since our establishment in 2009, we have been providing consulting, development, and training services in GIS, with reknown expertise. Oslandia is a dedicated open-source player and the largest contributor to the QGIS solution in France.
As for OPENGIS.ch, they are a Swiss company specializing in the development of open-source GIS software. Founded in 2011, OPENGIS.ch is the largest Swiss contributor to QGIS. OPENGIS.ch is the creator of QField, the most widely used open-source mobile GIS solution for geomatics professionals.
OPENGIS.ch also offers QFieldCloud as a SaaS or on-premise solution for collaborative field project management.
Some may still be unfamiliar with #QGIS ?
It is a free and open-source Geographic Information System that allows creating, editing, visualizing, analyzing, and publicating geospatial data. QGIS is a cross-platform software that can be used on desktops, servers, as a web application, or as a development library.
QGIS is open-source software developed by multiple contributors worldwide. It is an official project of the OpenSource Geospatial Foundation (OSGeo) and is supported by the QGIS.org association. See [https:]]
A Partnership?Today, we are delighted to announce our strategic partnership aimed at strengthening and promoting QField, the mobile application companion of QGIS Desktop.
This partnership between Oslandia and OPENGIS.ch is a significant step for QField and open-source mobile GIS solutions. It will consolidate the platform, providing users worldwide with simplified access to effective tools for collecting, managing, and analyzing geospatial data in the field.
QField, developed by OPENGIS.ch, is an advanced open-source mobile application that enables GIS professionals to work efficiently in the field, using interactive maps, collecting real-time data, and managing complex geospatial projects on Android, iOS, or Windows mobile devices.
QField is cross-platform, based on the QGIS engine, facilitating seamless project sharing between desktop, mobile, and web applications.
QFieldCloud ( [https:]] ), the collaborative web platform for QField project management, will also benefit from this partnership and will be enhanced to complement the range of tools within the QGIS platform.
ReactionsAt Oslandia, we are thrilled to collaborate with OPENGIS.ch on QGIS technologies. Oslandia shares with OPENGIS.ch a common vision of open-source software development: a strong involvement in development communities, work in respect with the ecosystem, an highly skilled expertise, and a commitment to industrial-quality, robust, and sustainable software development.
With this partnership, we aim to offer our clients the highest expertise across all software components of the QGIS platform, from data capture to dissemination.
On the OpenGIS.ch side, Marco Bernasocchi adds:
The partnership with Oslandia represents a crucial step in our mission to provide leading mobile GIS tools with a genuine OpenSource credo. The complementarity of our skills will accelerate the development of QField and QFieldCloud and meet the growing needs of our users.
Both companies are committed to continue supporting and improving QField and QFieldCloud as open-source projects, ensuring universal access to this high-quality mobile GIS solution without vendor dependencies.
Ready for field mapping ?And now, are you ready for the field?
So, download QField ( [https:]] ), create projects in QGIS, and share them on QFieldCloud!
If you need training, support, maintenance, deployment, or specific feature development on these platforms, don’t hesitate to contact us. You will have access to the best experts available: infos+mobile@oslandia.com.
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16:05
Colloque : “Cartographies et représentations des îles en Méditerranée (XVe- XXe siècles)”, Corte, 3-4-5 octobre 2023
sur Cartes et figures du mondeArgumentaire scientifique
Au cours des trente dernières années le Musée de la Corse a constitué une collection de cartes et plans anciens exclusivement consacrés à l’île ainsi que plusieurs livres attachés à sa géographie historique. Ce fonds rassemble des figures cartographiques qui couvrent la période de 1520 à 1900. L’enrichissement progressif par acquisitions et la mise en œuvre d’un inventaire en ligne incitaient à mettre en lumière cet ensemble patrimonial sous trois formes complémentaires : sa publication sous forme d’un beau livre, sa présentation au public sous la forme d’une exposition, et enfin un colloque scientifique.
L’objet de ce colloque, au regard de l’exposition, est de replacer la cartographie de la Corse dans la perspective plus large de la représentation des îles en Méditerranée depuis le Moyen âge jusqu’à l’époque contemporaine, tant dans les techniques cartographiques utilisées que dans ses différents contextes politiques et intellectuels, aussi bien dans le monde arabe que dans la chrétienté occidentale. Il s’agira d’analyser la spécificité de la représentation de l’espace insulaire méditerranéen, et de ses enjeux territoriaux.
Le colloque dont les sessions sont prévues à Corte, dans les locaux de l’Université de Corse, les 3 et 4 octobre 2023, seront complétées le 5 octobre par une visite de l’exposition Cartografià. La Corse en cartes, au Musée et celle, ensuite, d’une présentation d’ouvrages anciens à la Bibliothèque patrimoniale Tommaso Prelà à Bastia.
Comité scientifique
Vannina Marchi van Cauvelaert, Maître de conférences en histoire du Moyen Âge (UMR 6240 LISA – Université de Corse)
Emmanuelle Vagnon-Chureau, Chargée de recherche CNRS en histoire du Moyen Âge (UMR 8589 LAMOP)
Pierre-Jean Campocasso (Direction du Patrimoine)
Direction scientifique
Maurice Aymard (EHESS)
Henri Bresc (Paris X Nanterre -Institut Européen en Sciences des Religions, Paris)
Coordination
Dominique Gresle, Commissaire de l’exposition, à l’initiative du colloque
Organismes partenaires
UMR 6240 Lieux Identités eSpaces Activités – Université de Corse
UMR 8589 Laboratoire de Médiévistique Occidentale de Paris – CNRS
Musée de la Corse – Collectivité de Corse
Participants
Christophe Austruy (EHESS)
Emiliano Beri (Univ. Genova)
Nathalie Bouloux (Université de Tours)
Lorenzo Brocada (Univ. Genova)
Philippe Colombani (Université de Corse)
Antoine Franzini (Univ. Gustave Eiffel, Marne -La- Vallée)
Catherine Hofmann (BNF – Cartes et plans)
Jean Charles Ducène (EPHE)
Frank Lestringant (Paris Sorbonne)
Joseph Martinetti (Univ. Côte d’Azur)
Paolo Militello (Univ. Catane)
Marie-Vic Ozouf-Marignier (Directeur d’études EHESS)
Pierre Portet (Conservateur général du Patrimoine. Archives de Corse)
Giampaolo Salice (Univ. Cagliari)
Georges Tolias (EPHE Paris – FNRS Athènes)
Programme
(Les exposés de 25 minutes seront suivis de 5 mn de discussion)
Mardi 3 octobre (Université de Corse, amphi à préciser)
9h Discours d’accueil et introduction scientifique des travaux
Maurice Aymard et Henri Bresc
10h- 13h première session : Les îles dans la cartographie médiévale arabe et latine
Henri Bresc
Edrisi au service de Roger II de Sicile
Jean Charles Ducène
La Corse dans la cartographie arabe
Vannina Marchi van Cauvelaert (MCF Hdr, Université de Corse)
Insularité et iléité : les représentations médiévales de la Corse et de la Sardaigne (XIIIe-XVe)
Emmanuelle Vagnon
Grandes et petites îles de Méditerranée occidentale dans les premières cartes marines
Nathalie Bouloux
Les îles de la Méditerranée occidentale (Corse, Sardaigne, Sicile) dans les manuscrits et les éditions de la Géographie de Ptolémée
Déjeuner (buffet)
15h-18h deuxième session : Cartes d’îles et insulaires au XVIe siècle
Antoine Franzini
La carte manuscrite de la Corse présente dans l’Atlas hydrographique de Vesconte Maggiolo (1512)
Georges Tolias
L’avènement de l’insulaire : hypothèses sur la genèse d’un genre.
Frank Lestringant (Sorbonne Université)
La Corse dans le Grand Insulaire d’André Thevet.
PH Colombani
La route des îles de la Couronne d’Aragon : dominer, unir, partager, une histoire méditerranéenne.
Dîner
Mercredi 4 octobre (Université de Corse)
9h30-12h30 troisième session : géopolitique des îles méditerranéennes à l’époque moderne
Maurice Aymard
Architectes militaires et/ou cartographes : la Sicile après Lépante. Représentation et défense du territoire.
Catherine Hofmann
La représentation des îles dans la cartographie marine à Marseille au XVIIe siècle. Le cas de l’Atlas Boyer (1648)
Christophe Austruy
Coronelli et l’Arsenal de Venise. Vraies légendes et fausses cartes.
Giampaolo Salice
Geopolitica e rivoluzione sociale nella conquista delle isole intermedie
tra Sardegna e Corsica.Emiliano Beri et Lorenzo Brocada
La Corsica di Accinelli: una missione strategica in chiave cartografica.
Déjeuner (buffet)
14h30-17h30 quatrième session : La Corse et les îles jusqu’à aujourd’hui
Marie -Vic Ozouf Marignier
Les représentations de la Corse dans les géographies illustrées (1880-1910).
Paolo Militello
James Boswell, Pasquale Paoli et Thomas Phinn dans l’ “Account of Corsica […] illustrated with a new and Accurate Map of Corsica” (1768).
Joseph Martinetti (MCF en géographie, Université Nice Côte d’Azur)Dans la continuité des isolarii, une nouvelle cartographie géopolitique des îles méditerranéennes est-elle possible ?
Dîner de clôture
Jeudi 5 octobre
Matinée : visite de l’exposition Cartografià. La Corse en cartes (Dominique Gresles, commissaire de l’exposition)
Puis transfert à Bastia pour la présentation d’ouvrages issus du fonds Tommaso Prelà
Affiche et programme pdf du colloque :
Colloque-Corte-3-5-octobre-2023-programmeTélécharger Affiche-du-colloqueTélécharger
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16:05
Making The Data Count, Not Just Counting The Data
sur Open Geospatial Consortium (OGC)After three years of collaborative development, the release of the first iteration of the IGIF-(M)SDI Maturity Roadmap is a milestone moment in exploiting geospatial data for the inclusive socio-economic development of nations. This Maturity Roadmap – involving the UK Hydrographic Office (UKHO) as lead sponsor, as well as the Open Geospatial Consortium (OGC), the World Bank Group, and the US National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) – complements existing resources by providing a quantitative toolkit for nations, ministries, departments, agencies, regions, municipalities, and even individual cities or ports, to benchmark their geospatial development against the United Nations’ Integrated Geospatial Information Framework (IGIF) principles. This independent initiative aligns with, and supports, the mission, vision, and goals of the UN-GGIM initiative (Global Geospatial Information Management), who developed the IGIF core principles for all geospatial data considerations.
(Marine) Spatial Data InfrastructureIGIF provides a vision for developing and strengthening geospatial information management, to assist countries in bridging the geospatial digital divide, secure socio-economic prosperity, and leave no community behind. Marine Spatial Data Infrastructure ((M)SDI) is the International Hydrographic Organization (IHO)’s concept for a future ecosystem of marine data services that can enable the IGIF vision to become a reality. Empowered by OGC standards, the interoperable (M)SDI data services can “make it real through technology.” Bringing these elements together in a straightforward and accessible document, the intent of the Maturity Roadmap is to provide a quantitative “quick start” or “stepping stone” for nations beginning an IGIF-aligned (M)SDI implementation.
With its terrestrial heritage, the World Bank SDI Diagnostic Toolkit is augmented with IHO and OGC contributions to maximise its benefits to the marine community, while remaining aligned with the IGIF principles and, therefore, the UN Sustainable Development Goals (SDGs). As a guiding simplification, the involvement of the World Bank is crucial in providing answers for questions around financing (including business cases), alongside the ‘why’ (UN), ‘what’ (IHO), and ‘how’ (OGC). This aspect of measuring socio-economic return is commonly a key hurdle that prevents real-world progress beyond concepts and ideas. The modular IHO and OGC additions ensure interoperability with the World Bank IGIF methodology, which can lead to the financing of approved (M)SDI development projects. Even as an independent tool, undertaking an (M)SDI assessment provides a clear reference point aligned with international best practice. Without such a starting point, progress towards any (M)SDI end-state will be difficult to govern and manage.
Fully interoperable across all geospatial domainsAs part of the OGC’s Federated Marine SDI (FMSDI) initiative, the Maturity Roadmap seeks to promote the inclusive development of an IGIF-Aligned (M)SDI as the marine and maritime community’s contribution to an all-domain National Spatial Data Infrastructure (NSDI) across air, land, sea, space, and cyberspace. Although initially adapted for marine considerations, the Maturity Roadmap is fully interoperable across all geospatial domains and scalable from the national level to regions, municipalities, cities, ports, and government departments or agencies.
Within the Maturity Roadmap, the concept of an IGIF-(M)SDI Balanced Pathway of Development seeks to promote inclusive geospatial development via two key messages: ‘driving technology, not being driven by technology’ and ‘making the data count, not just counting the data.’
These twin ideas promote the effective governance of technology & standards to meet sovereign national requirements, however expansive or constrained, over the acquisition and possession of the latest technological solutions independent of cost-benefit considerations. OGC contributes to this by providing best practice around the implementation of standards, alongside an active cross-sector global forum to share applied knowledge, cooperate on emerging technologies, and collaborate on standards development. The engagement of the OGC membership at all levels of socio-economic development is vital for realising the cost benefits stemming from the common implementation of technologies across different countries, regions, sectors, and communities, regardless of economic spend.
The benefits of benchmarking IGIF-MSDI maturityWhen objectively and independently applied, the benchmarking provided by the IGIF-(M)SDI Maturity Roadmap offers a useful planning and comparison baseline for countries undertaking a public geospatial development programme. The example here is a radar chart output across nine assessment categories corresponding to the IGIF Nine Pathways, for an initial baseline – and a subsequent baseline two years later. The underlying data is from real-world assessments taken under World Bank and partner oversight, which was openly published by the Agency for Land Relations and Cadastre of the Republic of Moldova. Such benchmarking exercises can be executed across different scales (from whole nations to cities or ports) and across different domains (from space to cyberspace), sometimes yielding deep insights into potential opportunities around discovered disparities.
Also included with the Maturity Roadmap is a practically orientated appendix that covers best practice for multi-agency governance, where, during a national geospatial development programme, multiple agencies or departments may have to work closely to operationally deliver joint geospatial outcomes. This may be useful in situations where long-standing traditions and conventions could have created a culture that is not conducive to the tight-knit cooperation needed to develop complex IGIF-(M)SDI solutions. Such solutions require the pooling of expertise, resources, and capabilities that one or even two agencies can not provide alone.
Positive approach to improve ineffective practices is essential to joint IGIF-(M)SDI successOne crucial characteristic for joint IGIF-(M)SDI success is a healthy scepticism and a drive to improve ineffective practices, especially when they have become entrenched as tradition, convention, or “how things have always been done.” I like to counter such perceptions, particularly amongst those that genuinely want to evolve, with the view that “if you always do what you’ve always done, you’ll always get what you’ve always gotten.” Long-term existing practices may have been fine because they met some requirement in a particular environment and once satisfied a need effectively. However, maintaining those same practices now, when society’s expectations and technology have moved forward, can lead to stagnation.
Departments and agencies should foster a keen interest in human behaviour around the use (and misuse) of data or information. Traditional or conventional “hard governance” centres around the assumption that people only make the wrong decisions because they have the wrong information or not enough of it. This traditional view of data governance then coalesces into hard compliance measures and management surveillance, which includes formal audits, regular in-depth reporting, restrictive checklists, and a focus on top-down, non-negotiable command & control. This approach was suited to traditional mass manufacturing of standardised products, but is insufficient by itself for modern data services that are digital-first by design and characterised by near real-time changes.
Soft governance works with the grain of human behaviour to achieve better results by enablement and empowerment, rather than by command and control alone. Principles take precedent over prescription, thus allowing an organisation to leverage the deep insights and frontline experiences of their entire workforce. Shortcut thinking, lack of active engagement and wrong assumptions are some of the key targets for a soft governance approach, which still requires the ultimate backstop of hard governance – but meaningfully targeted and monitored using a risk-based approach. Combining the two approaches can yield outsized and transformative results, which is essential for joint IGIF-(M)SDI success that leaves no community behind.
The IGIF-(M)SDI Maturity Roadmap and related resources are available for free on OGC’s IGIF-(M)SDI Maturity Roadmap webpage.
To best inform future revisions, iterations, and the optimization of the Roadmap, feedback and applied experiences from the geospatial community are sought via OGC Member Meetings, Forums, or directly.
The IGIF-(M)SDI Maturity Roadmap is an independent initiative not endorsed by or officially connected to, but in alignment and support of, the mission, vision, and goals of the United Nations Initiative on Global Geospatial Information Management (UN-GGIM).
Dr. Gerald J Wong is the Data Governance Lead at the United Kingdom Hydrographic Office (UKHO), which is a world-leading centre for hydrography and an executive agency of the Ministry of Defence (MoD). Dr Wong is the Lead Author of the IGIF-(M)SDI Maturity Roadmap, being a specialist in synergising traditional rules-based hard governance with modern and empowering soft governance, which works with the grain of human behaviour to achieve better outcomes.
As an OGC Strategic Member and a sponsor of OGC’s FMSDI initiative, the United Kingdom Hydrographic Office (UKHO) is the UK’s agency for providing hydrographic and marine geospatial data to mariners and maritime organisations across the world. The UKHO is responsible for operational support to the Royal Navy and other defence customers. Supplying defence and the commercial shipping industry, the organisation helps ensure Safety of Life at Sea (SOLAS), protect the marine environment, and support the efficiency of global trade.
Together with other national hydrographic offices and the International Hydrographic Organization (IHO), the UKHO works to develop and raise global standards of hydrography, cartography, and navigation. The UKHO also produces a commercial portfolio of ADMIRALTY Maritime Data Solutions, providing SOLAS-compliant charts, publications, and digital services for ships trading internationally.
The post Making The Data Count, Not Just Counting The Data appeared first on Open Geospatial Consortium.
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11:18
geomatico: HOT-OSM para el seísmo de Marruecos
sur Planet OSGeoGeomatico dedica un día al mes a colaborar en aquellos proyectos que más nos llaman la atención tecnológica o socialmente. Es lo que llamamos el día del imasdé (I+D), que empieza con todos los trabajadores votando a qué dedicaremos las siguientes horas de trabajo.
Votaciones poco tecnológicas para decidir el día del I+DComo no podía ser de otra manera, esta jornada del 13 de septiembre la dedicamos al precioso proyecto HOT-OSM (Humanitarian OpenStreetMap Team) que había hecho un llamamiento urgente para ayudar a mapear las zonas afectadas por el dramático terremoto del sur de Marruecos.
Primero hicimos una pequeña introducción a OpenStreetMap (OSM) para profanos para aquella parte del equipo que no tenía experiencia anterior con el proyecto. Vimos los diferentes editores, iD, JOSM y estudiamos un poco las primitivas geométricas que caracterizan el proyecto y por supuesto las Map Features. Ya en HOT, decidimos en que proyecto íbamos a colaborar y nos pusimos a ello.
Seleccionando zona de trabajo en HOT-OSMHabía que que cartografiar los edificios dentro de las rejillas que seleccionábamos. En el mismo proyecto de HOT, se explicaba claramente como realizar la tarea a partir de JOSM. Así, mediante el plugin de crear edificios, pudimos aportar nuestro granito de arena a la zona.
Puede ser complejo definir distinguir exactamente los contornos de los edificios en MarruecosFue muy gratificante, tanto por la tarea, como por la dinámica del trabajo, el compartir una jornada completa con las compañeras realizando un trabajo “sencillo“ en el que a la vez podíamos estar comentando otros aspectos de nuestro día a día. ¡Viva el día del imasdé y HOT-OSM!
Micho, Marta y Alex trabajando en HOT-OSM pero posando disimuladamente para la foto
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11:00
Makina Corpus sponsorise la DrupalCon Lille 2023
sur Makina CorpusLa DrupalCon 2023 revient en France du 17 au 20 octobre et notre équipe y participe