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19:33
Les rencontres nationales de l’ingénierie territoriale, 7 au 9 juillet à Toulouse
sur Évènements – AfigéoLes rencontres nationales de l’ingénierie territoriale, 7 au 9 juillet à Toulouse Les rencontres nationales de l’ingénierie territoriale, 7 au 9 juillet à Toulouse AfigéoDans le cadre du partenariat entre Afigéo et l’Association des Ingénieur.e.s et Ingénieur.e.s en chef Territoriaux de France (AITF) via son GT Topo/SIG, l’Afigéo organise une session aux prochaines Rencontres Nationales des Ingénieurs Territoriaux (RNIT) le 9 juillet à Toulouse. Cette session intitulée « Les plateformes de données territoriales au cœur de la co-construction, de […]
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21:58
Carte du Vendée Globe 2024 en direct : classement et parcours [Partie 1]
sur GEOMATICKLe Vendée Globe 2024 est lancé depuis le 10 novembre. Si vous suivez le blog depuis des années, vous vous souvenez certainement de l’article sur les requêtes spatiales PostGIS du Vendée Globe 2020. Pour cette nouvelle édition de la course à la voile, Geomatick vous propose une série d’articles. On… Continuer à lire →
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14:00
Créer un environnement virtuel Python pour le développement de plugin QGIS avec VS Code sous Windows
sur GeotribuPour le bonheur d'Intellisense
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14:00
Suivre le Vendée Globe 2024 depuis un SIG
sur GeotribuCréer et visualiser les données SIG de l'avancement de la course du Vendée Globe 2024 à partir des tableurs officiels.
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16:48
Festival Printemps des Cartes 2025, du jeudi 22 au dimanche 25 mai à Montmorillon
sur Évènements – AfigéoFestival Printemps des Cartes 2025, du jeudi 22 au dimanche 25 mai à Montmorillon Festival Printemps des Cartes 2025, du jeudi 22 au dimanche 25 mai à Montmorillon AfigéoL’appel à participation à la prochaine édition du Festival de médiation scientifique Printemps des Cartes, qui se tiendra du jeudi 22 au dimanche 25 mai 2025, à Montmorillon, est ouvert. N’hésitez pas à soumettre des activités afin de valoriser vos projets et travaux (conférences, ateliers, projections, sorties terrain, expositions, spectacles…) et diffuser l’information.
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10:56
QGIS: ajouter automatiquement l’attribut d’une autre couche
sur GEOMATICKVous dessinez un point sur une couche SIG et vous voulez connaître la commune associée? Dans QGIS, il est possible d’ajouter automatiquement l’attribut d’une autre couche dans une donnée cible. Dans ce tutoriel SIG, on ne traite pas de jointure par champ attributaire ni de jointure spatiale. Il s’agit d’utiliser… Continuer à lire →
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14:00
QChat
sur GeotribuTchatter en direct avec ses confrères et consœurs, à l'intérieur même de QGIS avec QChat
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16:15
Rencontres QGIS, du 10 au 12 juin à Avignon
sur Évènements – AfigéoRencontres QGIS, du 10 au 12 juin à Avignon Rencontres QGIS, du 10 au 12 juin à Avignon AfigéoL’appel à participation pour les journées QGIS est ouvert ! Faites vos propositions sur le formulaire jusqu’au 19 Janvier 2025. Les prochaines rencontres des utilisateurs francophones de QGIS, organisées par l’OSGeo-fr en partenariat avec l’UMR 7300 ESPACE d’Avignon Université auront lieu les 10, 11 et 12 juin 2025 en Avignon. Cette année les 2 journées habituelles d’ateliers et conférences seront suivies d’une journée dédiée […]
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14:00
Revue de presse du 4 octobre 2024
sur GeotribuAutomne 2024 : carte à base de composants électroniques, un nouveau service gratuit de tuiles OSM, Panoramax continue de se déployer, des nouvelles des conférences QGIS ... et une plaidoirie de défense du format Shapefiles.
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14:00
5 conseils pour bien vivre géométriquement
sur GeotribuNeuvième et dernière partie du tour d'horizon des SIG sur les dessous des calculs géométriques : 5 conseils pour vivre votre meilleure vie géométrique.
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14:00
Algorithmes géométriques et code : comment cela fonctionne-t-il ?
sur GeotribuHuitième partie du tour d'horizon des SIG sur les dessous des calculs géométriques : algorithmes et code
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14:00
Cherchez et contribuez à Geotribu depuis QGIS
sur GeotribuUne nouvelle fenêtre des contenus Geotribu dans le plugin QGIS QTribu, qui permet d'accéder et de contribuer aux contenus du site
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14:00
La gestion propriétaire de la géométrie : ESRI et FME
sur GeotribuSeptième et avant-dernière partie du tour d'horizon des SIG sur les dessous des calculs géométriques : un petit tour chez ESRI et FME.
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14:00
Revue de presse du 23 août 2024
sur GeotribuUne GeoRDP à lire sur le retour des vacances !
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14:00
SFCGAL c'est trop de la balle !
sur GeotribuSixième partie du tour d'horizon des SIG sur les dessous des calculs géométriques : utilisation de SFCGAL pour des calculs plus robustes
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14:00
La topologie à la rescousse du spaghetti
sur GeotribuCinquième partie du tour d'horizon des SIG sur les dessous des calculs géométriques : la topologie à la rescousse du spaghetti !
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14:00
Les opérations géométriques dans PostGIS, Oracle et SQL Server
sur GeotribuQuatrième partie du tour d'horizon des SIG sur les dessous des calculs géométriques : comparons les systèmes de gestion de bases de données relationnelles et spatiales PostGIS, Oracle et Microsoft SQL Server.
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14:00
geOcom 2024
sur GeotribuSynthèse de l'édition 2024 des rencontres annuelles de la communauté geOrchestra qui a eu lieu en juin à Lille
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14:00
Olympiades de géométrie : GRASS et SAGA
sur GeotribuTroisième partie du tour d'horizon des SIG sur les dessous des calculs géométriques : GEOS et QGIS, au tableau !
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14:00
Journée annuelle Prodige 2024
sur GeotribuSynthèse de la journée annuelle Prodige qui s'est tenue en ligne le 3 juin 2024
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14:00
GEOS au cœur de QGIS
sur GeotribuDeuxième partie du tour d'horizon des SIG sur les dessous des calculs géométriques : GEOS et QGIS, au tableau !
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14:00
Le constat : les calculs géométriques ne sont pas bons
sur GeotribuPremier chapitre du tour d'horizon des SIG sur la précision des calculs géométriques : analyse des opérations de superposition et de leurs limites.
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14:00
De la tolérance en SIG
sur GeotribuUn tour d'horizon des SIG sur la précision des calculs géométriques.
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14:00
Revue de presse du 12 juillet 2024
sur GeotribuLe train de la GeoRDP entre en gare !
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22:09
GeoJSON dans QGIS : ouvrir, visualiser et exporter un fichier
sur GEOMATICKLe format GeoJSON est un format d’encodage de données géospatiales basé sur JavaScript Object Notation (JSON). Pour rappel, c’est un format standardisé par l’Internet Engineering Task Force (IETF) qui a publié le référentiel RFC7946. Le GeoJSON est largement utilisé pour représenter des objets géographiques vectoriels avec leurs données attributaires. A… Continuer à lire →
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14:00
LiDAR HD brut - Distinguer sol et sursol avec pdal
sur GeotribuLes données LiDAR HD brut ont été traitées avec PDAL pour coloriser le nuage de points et distinguer le sol et le sursol.
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14:00
Réaliser des cartes avec Blender - Partie 2
sur GeotribuRéaliser des cartes de relief avec le logiciel libre 3D Blender. Partie 2 : Modéliser le relief avec Blender.
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21:49
Data Journaliste : Portrait de Raphaëlle Aubert de la société éditrice Le Monde
sur GEOMATICKLes Données libres (ou Open Data) représentent des sources d’informations importantes dans de nombreuses thématiques comme l’environnement. Les traitements et la valorisation de ces données offrent la possibilité de proposer des applications diverses pour les acteurs publics et privés. Informer sur des sujets à partir de différentes sources de données… Continuer à lire →
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14:00
Réaliser des cartes avec Blender - Partie 1
sur GeotribuRéaliser des cartes de relief avec le logiciel libre 3D Blender. Partie 1 : préparer les données avec GDAL et/ou QGIS.
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14:00
Automatisation de publication des données de qualité de l'air sur Mastodon
sur GeotribuDes cartes automatiques et géopulmonaires, sur le Fédivers, pour avertir des épisodes de pollution et de qualité de l'air en Ile-de-France et pas que
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14:00
Le crowdsourcing avec cocarto
sur GeotribuComment utiliser cocarto pour permettre à des non-sigistes de collecter des données sur le terrain avec uniquement un smartphone
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16:30
Composition de la COVADIS
sur Conseil national de l'information géolocaliséeListe des membres de la COVADIS actualisée au 11 octobre 2018 -
12:10
COVADIS du 13 mai 2009
sur Conseil national de l'information géolocaliséeLe relevé de décisions est en ligne…
Éléments récents
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9:30
Grand Atlas de l’Antiquité romaine, Autrement, 2019
sur MappemondeCet atlas, rédigé par Christophe Badel et Hervé Inglebert avec des cartes de Claire Levasseur, offre un vaste panorama de l’Empire romain : de ses prémices au IIIe siècle av. J.-C. aux conséquences de son effondrement au Ve/VIe siècle.
Cet atlas commence par des cartes anciennes reconstituant la vision des anciens de leur monde. La plus célèbre de ces cartes est celle dite « Table de Peutinger », copie médiévale d’un original du IIe/IVe siècle, qui représente le réseau routier de l’Empire romain. Page 63, l’atlas fait également figurer l’énigmatique carte romaine d’Agrippa. L’hypothèse est qu’il s’agissait d’une carte, située sur le temple du forum d’Auguste, qui aurait été créée pour montrer l’étendue de l’Empire au 1er siècle. Carte ou liste de lieux ou de routes perdue irrémédiablement, mais dont l’existence supposée montre tout l’intérêt des autorités impériales pour leur immense territoire et pour ce moyen très pratique de se l’approprier, tout au moins par le regard, qu’est l’o...
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9:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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9:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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9:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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2:00
Camptocamp: Coopterr, territorial cooperation platform based on Rennes Métropole's digital twin
sur Planet OSGeoPièce jointe: [télécharger]
Coopterr, Rennes Métropole's territorial cooperation platform, is now online. It offers a first service to citizens, enabling them to consult electromagnetic wave exposure measurements and identify radioelectric sites in the city of Rennes. -
2:00
GeoServer Team: GeoServer 2.23.5 Release
sur Planet OSGeoGeoServer 2.23.5 release is now available with downloads (bin, war, windows), along with docs and extensions.
This is the last planned maintenance release of GeoServer 2.23.x, providing existing installations with minor updates and bug fixes. Sites using the 2.23.x series are encouraged to upgrade to GeoServer 2.24.x, or eventually wait next month, for the 2.25.0 release, and upgrade their installation, with the help of the upgrade guide.
GeoServer 2.23.5 is made in conjunction with GeoTools 29.5, and GeoWebCache 1.23.4.
Thanks to Andrea Aime (GeoSolutions) for making this release.
Release notesNew Feature:
- GEOS-11225 AuthKey synchronize the user/group automatically
- GEOS-11279 metadata: allow same field on multiple tabs
Improvement:
- GEOS-11213 Improve REST external upload method unzipping
- GEOS-11246 Schemaless plugin performance for WFS
- GEOS-11260 JNDI tutorial uses outdated syntax
- GEOS-11276 Use style_body to define CSS style for a layer
- GEOS-11288 Improve input validation in ClasspathPublisher
Bug:
- GEOS-11174 GWC rest api returns erroneous truncated response when gzip http encoding is enabled
- GEOS-11205 Layer page: style image fails if it is in isolated workspace
- GEOS-11250 WFS GeoJSON encoder fails with an exception if an infinity number is used in the geometry
- GEOS-11255 Multiple inserts in WPS with different idGen strategies does not work
- GEOS-11256 Cannot retrieve LegendGraphic from a PostGIS datastore with ‘hideEmptyRules’ and ‘Support on the fly geometry simplification’ enabled
- GEOS-11278 metadata: only selected tab is submitted
- GEOS-11285 GWC REST Content-Encoding gzip returns broken response
- GEOS-11291 GeoFence: Cleanup stale log4j references
For the complete list see 2.23.5 release notes.
Community UpdatesCommunity module development:
- GEOS-10933 keycloak logout NPE
- GEOS-11290 With Oauth enabled, anon users get random auth requests
Community modules are shared as source code to encourage collaboration. If a topic being explored is of interest to you, please contact the module developer to offer assistance.
About GeoServer 2.23 SeriesAdditional information on GeoServer 2.23 series:
- GeoServer 2.23 User Manual
- Drop Java 8
- GUI CSS Cleanup
- Add the possibility to use fixed values in Capabilities for Dimension metadata
- State of GeoServer 2.23
- GeoServer Feature Frenzy 2023
- GeoServer used in fun and interesting ways
- GeoServer Orientation
Release notes: ( 2.23.5 | 2.23.4 | 2.23.3 | 2.23.2 | 2.23.1 | 2.23.0 | 2.23-RC1 )
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21:09
QGIS Blog: QGIS Grants #9: Call for Grant Proposals 2024
sur Planet OSGeoDear QGIS Community,
We are very pleased to announce that this year’s round of grants is now available. The call is open to anybody who wants to make a contribution to QGIS funded by our grant fund, subject to the call conditions outlined in the application form.
The deadline for this round is in four weeks, on 14 March 2024.
There are no new procedures in 2024. Please note the following guidelines established in previous years:
- The proposal must be submitted as a ‘QEP’ (QGIS Enhancement Proposal) issue in the repo: [https:]] (tagged as Grant-2024). Following this approach will allow people to ask questions and provide public feedback on individual proposals.
- Proposals must clearly define the expected final result so that we can properly assess if the goal of the proposal has been reached.
- The project budgets should account for PR reviewing expenses to ensure timely handling of the project-related PRs and avoid delays caused by relying on reviewer volunteer time.
- In the week after the QEP discussion period, the proposal authors are expected to write a short summary of the discussion that is suitable for use as a basis on which voting members make their decisions.
The PSC of QGIS.ORG will examine the proposals and has veto power in case a proposal does not follow guidelines or is not in line with project priorities.
For more details, please read the introduction provided in the application form.
We look forward to seeing all your great ideas for improving QGIS!
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9:56
Meetup AFUP Nantes de février : parlons anonymisation avec le DbToolsBundle Symfony
sur Makina CorpusNotre expert Symfony / PHP prend la parole au Meet-up de l’AFUP Nantes le 21 février pour présenter le nouveau bundle Symfony développé par Makina Corpus : le DbToolsBundle?!
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9:30
Du 11 au 13 juin 2024 à Aix-en-Provence: formation "savoir utiliser les Fichiers fonciers"
sur Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)Publié le 06 novembre 2023Une session de formation "Savoir utiliser les Fichiers fonciers" se tiendra du 11 au 13 juin 2024 dans les locaux du Cerema Méditéranée à Aix-en-Provence.Cette session est à destination des bénéficiaires des Fichiers fonciers et des bureaux d'études.Vous trouverez le contenu et le coût de la formation dans la rubrique AccompagnementInscription jusqu'au 1er juin (…)
Lire la suite
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9:00
DbToolsBundle, le bundle Symfony pour anonymiser facilement ses données
sur Makina CorpusC’est une problématique que nous rencontrons tout le temps sur nos projets : comment anonymiser efficacement des données de production quand on souhaite les injecter dans un environnement local??
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8:59
Incident WFS Géoportail (en cours)
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIncident WFS Géoportail (en cours)
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2:00
EOX' blog: Open Science Catalog
sur Planet OSGeoJust like the European Space Agency (ESA), we advocate for and actively support Open Science, as we believe in the significance of collaborative efforts in advancing scientific knowledge and addressing global challenges. We acknowledge the transformative power of Open Science in driving interdiscipl ...
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12:08
Une carte animée des opérations militaires en Europe pendant la 2nde Guerre mondiale
sur Cartographies numériquesCette cartographie animée reconstitue jour par jour les conquêtes territoriales de l'Allemagne hitlérienne puis, à partir de 1943, la poussée des armées alliées jusqu'à l'effondrement du IIIe Reich. Le principal intérêt de cette animation est de donner une représentation visuelle extrêmement précise des conquêtes territoriales en indiquant le nombre de soldats engagés et les faits marquants à chaque instant de la guerre : une sorte de récit visuel du conflit par la carte. La vidéo est agrémentée d'une bande sonore restituant des discours d'époque. Les couleurs tranchées permettent de reconnaître facilement les belligérants regoupés ici en trois camps (Allemagne nazie en noir, Américains en bleu, Soviétiques en rouge), alors que les Etats-Unis et l'URSS étaient encore alliés à l'époque. Ce faisant, la vidéo déroule un certain narratif autour de l'avancée rapide des Soviétiques à l'est par rapport aux Américains à l'ouest : une sorte de course à Berlin préfigurant les rivalités de la Guerre froide.
World War II Every Day with Army Sizes (source : vidéo Youtube de @stoferr)
L'auteur de cette carte animée (@stoferr) dit avoir mis un an pour rassembler toutes les informations et réaliser le montage vidéo. Il est l'auteur d'autres timelapses à vocation informative sur la Seconde guerre mondiale qu'il met à disposition sur Youtube. Le grand nombre d'informations réunies dans cette vidéo n'empêche pas des erreurs ou approximations comme par exemple la Corse qui reste encore allemande en mai 1945 : un oubli certainement de l'auteur qui se dit prêt à faire des modifications si besoin. Cette dataviz animée met bien en évidence les grandes dynamiques, sans négliger certains encerclements que l'on aurait du mal à percevoir sans une carte animée. Il est possible de faire des arrêts sur image à des moments-clés du conflit et de s'interroger sur les pistes d'interprétation possibles générées conjointenement par l'animation graphique, les textes et la bande son (pas toujours convergents, en tout cas source de plusieurs lectures possibles). Ce type de cartographie grand public n'est pas sans poser des questions sur le message qui est délivré.
La carte animée a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux (notamment X-Twitter) et a suscité des avis très divergents, soit pour en célébrer la précision des informations et l'efficacité visuelle, soit pour en dénoncer le message simplificateur voire tendancieux. Elle pose la question des narratifs que l'on met derrière ce type de carte animée. Pour certains, elle permet de montrer l'essentiel de l'effort de résistance puis de reconquête par l'Armée Rouge. Même si le débarquement allié n'avait pas eu lieu, l'Allemagne battait déjà en retraite. Pour d'autres au contraire, la carte ne montre pas tout l'effort industriel américain. Elle occulte le débarquement en Afrique du Nord, l’effort anglo-américain sur l’Atlantique et l’aide matérielle des Etats-Unis à l’égard de l’Armée Rouge notamment au Moyen-Orient. Surtout elle se limite au front européen et ne montre pas le front dans le Pacifique, donnant une vue très partielle des opérations à l'échelle mondiale. Résumer une guerre mondiale par une carte européenne peut sembler un peu dérisoire. D'aucuns soupçonnent la vidéo de nourrir un certain révisionnisme poutinien vis à vis de la Seconde guerre mondiale. Il est probable que cela ne faisait pas partie des intentions de l'auteur, mais en circulant massivement sur Internet, la carte animée se voit accompagnée de nombreux commentaires et faire l'objet de détournements possibles.
Elle fournit en tout cas un bon exemple pour s'interroger sur l'intérêt et les limites de la cartographie animée pour rendre compte d'un conflit. Cela fait écho aujourd'hui au storytelling des cartes de suivi du front en Ukraine qui tentent de résumer le conflit aux pertes ou aux gains territoriaux réalisés chaque jour par les belligérants.Articles connexes
L'histoire par les cartes : les archives du Musée mémorial de l'Holocauste à Washington
L'histoire par les cartes : cartographier la déportation des Juifs de FranceDes images aériennes déclassifiées prises par des avions-espions U2 dans les années 1950
Les ventes d'armes des Etats-Unis et de la Russie (1950-2017)
La carte, objet éminemment politique. L'annexion de quatre territoires de l'Ukraine par la Russie
Ukraine : comment cartographier la guerre à distance ?
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9:24
Protomaps, stockez vos pyramides de tuiles plus simplement
sur Makina CorpusPrésentation d'un nouveau format de stockage de tuiles cartographiques
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6:53
Les stations de montagne face au changement climatique (rapport de la Cour des comptes)
sur Cartographies numériquesSource : Les stations de montagne face au changement climatique (Rapport de la Cour des comptes, février 2024)
Synthèse du rapport
Si la France est une destination majeure pour le tourisme hivernal (2e rang mondial après les Etats-Unis), le modèle économique du ski français s’essouffle. Ce phénomène est accentué par le changement climatique qui se manifeste en montagne de manière plus marquée qu’en plaine, avec une hausse des températures, en accélération depuis les années 2010. Inégalement vulnérables en fonction de leur exposition au risque climatique, du poids de l’activité économique et de la surface financière de l’autorité organisatrice, toutes les stations seront plus ou moins touchées à horizon de 2050. Quelques stations pourraient espérer poursuivre une exploitation au-delà de cette échéance. Celles situées au sud du massif des Alpes seront en revanche plus rapidement touchées que les autres. Avec une gouvernance centrée sur l’échelon communal et des regroupements insuffisants, l’organisation actuelle ne permet pas aux acteurs de la montagne de s’adapter aux réalités du changement climatique à l’échelle d’un territoire pertinent. Afin de permettre l’adaptation dans une approche non concurrentielle, les très fortes inégalités entre stations et le montant important des fonds publics déjà mobilisés justifieraient la mise en place d’une solidarité financière entre collectivités. Ainsi, devrait être mis en place d’un fonds d’adaptation au changement climatique destiné à financer les actions de diversification et de déconstruction des installations obsolètes, alimenté par la taxe locale sur les remontées mécaniques.
Schéma systémique concernant l'altération du moteur de la croissance des stations de ski au début du XXIe siècle
(source : Rapport de la Cour des comptes, février 2024)
Récapitulatif des recommandations- Mettre en place un observatoire national regroupant toutes les données de vulnérabilité en montagne accessibles à tous les acteurs locaux (ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires).
- Faire évoluer le cadre normatif afin que les autorisations de prélèvements d’eau destinés à la production de neige tiennent compte des prospectives climatiques (ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires).
- Formaliser des plans d’adaptation au changement climatique, déclinant les plans de massifs prévus par la loi Climat et résilience (autorités organisatrices, ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires).
- Conditionner tout soutien public à l’investissement dans les stations au contenu des plans d’adaptation au changement climatique (ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, régions, départements).
- Mettre en place une gouvernance des stations de montagne ne relevant plus du seul échelon communal (ministère de l’intérieur et des outremer, collectivités territoriales).
- Mettre en place un fonds d’adaptation au changement climatique destiné à financer les actions de diversification et de déconstruction des installations obsolètes, alimenté par le produit de la taxe sur les remontées mécaniques (ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires, ministère de l’économie et des finances et de la souveraineté industrielle et numérique).
Données disponibles sur les stations de skiS'il n'existe pas encore de véritable observatoire national permettant de regrouper toutes les données, le site du Stationoscope du massif des Alpes permet d'obtenir des informations sur les types de station, leurs altitudes moyennes, leurs remontées mécaniques, leur mode de gestion. Les données téléchargeables sous forme de fichier Excel concernent l'ensemble des massifs montagneux en France.
Aperçu de l'interface de consultation du site du Stationoscope du massif des Alpes
Une base mondiale des stations de ski est disponible sur le site Openskimap, qui reprend les données collaboratives d'OpenStreetMap. Concernant les stations en Europe, l'Agence européenne de l'environnement fournit une cartographie des massifs montagneux en Europe (fichier shp à télécharger).Voir également le site Esquiades.com qui rassemble les cartes de grands domaines skiables dans le monde.
Pour compléter
« Les stations de ski vont-elles disparaître avec le réchauffement climatique ? » (Huffington Post). Une nouvelle étude donne l’alerte sur l’avenir des stations de ski européennes avec le réchauffement climatique. L’étude publiée dans Nature Climate Change n’annonce rien de bon pour celles situées sur le continent européen. Elles représentent la moitié des stations de ski dans le monde et sont toutes menacées par la raréfaction de la neige à cause du réchauffement climatique. Dans un scenario à +4 °C, la quasi-totalité d’entre elles devraient faire face à un manque de neige malgré l’utilisation de la neige artificielle.
« Dans les Alpes, des vacances au ski de plus en plus élitistes » (Le Monde). Des résidences et des commerces plus luxueux, des forfaits de plus en plus chers, des prix de l’immobilier prohibitifs. Avec la « montée en gamme » des grandes stations d’altitude, la clientèle française ne cesse de se réduire.
« Les stations de ski fantômes : mythes et réalité d’un angle mort de la géographie du tourisme » par Pierre-Alexandre Metral (Les Cafés géographiques). La « fin touristique » : normalité ou anomalie ? Pourquoi un domaine skiable ferme-t-il ? Quelle est la géo-histoire du phénomène de fermeture ? Les stations fantômes sont-elles réellement des stations ? Une incarnation de la station fantôme : la friche touristique. Vers la fin des friches touristiques ? La reconversion des anciennes stations de ski.
« Dans les Hautes-Alpes, les stations de ski à l’épreuve du changement climatique » (The Conversation). Une diversification ski-centrée. Une diversification hésitante. Des usages spontanés par les usagers.
« Les stations de ski survivent au changement climatique. Avec plus d'argent et moins de neige » (Bloomberg). Les stations de ski disposant de plus de ressources financières, situées à une altitude plus élevée ou dont la plupart des pistes sont orientées vers le nord sont en principe mieux placées pour résister aux chocs du réchauffement climatique, selon une étude. Le changement climatique n’est donc pas la fin pour l’industrie, mais seuls les plus aptes survivront.
« Production de neige : le piège de la dépendance pour les stations de ski ? » (The Conversation). Dans un article scientifique récemment publié, les auteurs ont décrypté les mécanismes de dépendance présents dans l’industrie des sports d’hiver vis-à-vis de cette production de neige. Voici les principaux enseignements de notre recherche.
« On ne peut pas abandonner le ski" : dans les Pyrénées-Orientales, la station de Font-Romeu à fond sur la neige artificielle » (France Info). Dans un département confronté à une sécheresse historique, la station réalise une de ses meilleures saisons. Et compte sur ses canons pour survivre jusqu'en 2050.
« Les stations de ski, c’est fini ? » (France Culture). "Partir à la neige", c’est peut-être bientôt terminé. Changement climatique, disparition de la neige, sites inadaptés, la période de gloire des stations touche-t-elle à sa fin ? Et pourquoi les politiques de l’après-guerre ont-elles vendu à tout prix le rêve des fameuses vacances à la neige ?
« Avec les JO d’hiver 2030, les Alpes sont sur la mauvaise pente » (Libération). En concentrant les moyens sur une infime partie du massif pour seulement quinze jours de compétition, les Jeux risquent d’aggraver les fractures territoriales et freiner l’adaptation de la région au réchauffement climatique. Un total contresens, estime la présidente de l’ONG Mountain Wilderness France, Fiona Mille.
Du blanc sur beaucoup de vert, l'image des stations avec neige artificielle en hiver (France Inter).
« Dessinateur de pistes : un métier qui sent bon le sapin » (Graphein). Pierre Novat est le dessinateur de plans de pistes de ski français. De l'autre côté de l'Atlantique, même métier pour un seul et unique homme à l'origine des plans des meilleures pistes de ski américaines : James Niehues.
Cartes en 3D des grands domaines skiables dans le monde (Esquiades.com).
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- Mettre en place un observatoire national regroupant toutes les données de vulnérabilité en montagne accessibles à tous les acteurs locaux (ministère de la transition écologique et de la cohésion des territoires).
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17:26
ICHC Map Curators Meeting in Paris, June 29th, 2024
sur Cartes et figures du mondeThe map curators will gather in Paris at the Bibliothèque nationale de France (site Richelieu) for a day long meeting leading up to the International Conference on the History of Cartography, with the support of the Comité français de cartographie.
Program
ICHC-Map-Curators-Meeting-programTélécharger9:00-9:45 9:45-10:00 Registration, coffee Welcome, Eve Netchine, Head of the Maps Department, BnF
Introduction, Marcy Bidney10:00-11:00 Identifying fakes: Presentation and discussion Dr. Thomas Horst, Bayerische Staatsbibliothek 11:00-12:00 Born Digital Maps: Marcy Bidney, American Geographical Society Library – Considerations in Collecting Born Digital Maps. Pierre Bonneau, Bibliothèque Nationale de France – Keeping Pace: Exploring New Methods to Preserve Today’s Digital Maps at the Bibliotheque Nationale de France. 12:00-1:00 Tours of the BnF Richlieu Site 1:00-2:00 Lunch in the BnF cafeteria 2:00-3:00 The Use of AI for Map Collections: Katherine McDounough, Senior Research Fellow, The Alan Turing Institute – Machines Reading Maps – Unlocking Unique Information From Large Collections of Historical Maps Using AI 3:30-5:00 Tours of the cartographic collections held in the Archives Nationales and Service Historique de la Défense About the tours
Everyone will participate in the tour of the BnF as it can be broken up into two groups.For the tours of the Archives Nationales and the Service Historique de la Défense, you will need to choose one, there is not the possibility to do both tours.
The tour of the Archives Nationales at the Pierrefite-sur-Seine site will highlight the facilities dedicated to the conservation of maps.
The tour of the Service historique de la Défense will highlight the military cartographic archives
Registration
Please register for the meeting here: [https:]]Lodging
If you will be staying in Paris, you are urged to make your hotel booking as soon as possible as hotels are booking up quickly due to the Summer Olympics. Here are three suggestions for hotels which are located near Gare de Lyon.
Hotel Cost Website CitizenM Paris Gare de Lyon 165€ https://www.citizenm.com/hotels/europe/paris/paris-gare-de-lyon-hotel Hotel Mercure Paris Bastille Saint Antoine 150€ https://all.accor.com/hotel/8652/index.en.shtml Hotel des Arts-Bastille 145€ [https:]] Transportation
Trains run regularly between Paris and Lyon. The train ride between the cities is approximately 2 hours, with an additional 30 minutes or so to arrive at the BnF in Paris.Venue
Bibliothèque nationale de France, site Richelieu
Département des Cartes et plans
5 rue Vivienne 75002 Paris
See the location map below
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16:14
Itérations vers le DDD et la clean architecture (1/2)
sur Makina CorpusPourquoi et comment avons nous fait le choix de faire évoluer la conception de nos projets Symfony, et quelles erreurs avons-nous faites??
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5:19
XYCarto: Projection Grid
sur Planet OSGeoThere are times when I need a regular grid for an entire projection extent. Meaning, for the extent of an entire projection, I need to create a regular grid of uniform tiles across the projection. In past projects, these grids have been very helpful for data alignment and clipping data into uniform shapes and sizes. This has proved especially helpful in Machine Learning pipelines where I need to ensure pixel to pixel alignments between rasters in a specified location.
Gridding, tiling, and indexing type work has been around forever in geospatial, so there is not much to say about the method. Basically, you take an extent and cut it up into a grid. In this case, the extent is for an entire projection.
I built a repository on Github and a quick method to do this via one command.
make build-grid epsg="EPSG:2193" width=1000 height=1000
For this method, the width and height are the desired grid cell size. The units are the units for the projection. EPSG:2193 (NZTM) is in metre units, so running the command above will make a grid of the NZTM projection populated with 1000m by 1000m cells.
The GitHub repository can be run using the Make/Docker method or users can access the python script directly using:
python3 create-grid.py EPSG:2193 1000 1000
In order to do so, you will need to have installed:
- GDAL
- GeoPandas
- PyProj
- Shapely
Happy mapping!
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4:29
GeoSolutions: GeoNode 4.2 is out + Free GeoNode Webinar
sur Planet OSGeoPièce jointe: [télécharger]
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Rémi Rouault, Patrice Caro, 2022, Éducation et fractures scolaires. Questions de géographes à propos de l’école, Lyon, Chronique Sociale, 161 p.
sur CybergeoC’est parce qu’ils ont questionné l’école en géographes que Rémi Rouault et Patrice Caro ont été en mesure de proposer cet ouvrage, précieux et nécessaire, pour analyser la situation socio-spatiale de l’école française. Et c’est parce qu’ils s’appuient sur un matériau riche de données récentes aux échelles nationale, académique et départementale qu’ils restituent la multiplicité des enjeux posés par les questions scolaires et les inégalités du système éducatif.
Contribuant au renouvellement d’une géographie francophone de l’éducation dynamisée, depuis peu, par la publication d’un livre portant sur les espaces et les systèmes éducatifs dans le monde (Giband, Delage, Mary, Nafaa, 2023), l’étude présentée au fil des 161 pages de l’ouvrage sur le cas français, clairement rédigée par Rémi Rouault et Patrice Caro, est structurée en 8 chapitres. Ceux-ci évoquent les lieux, les espaces quotidiens et locaux de l’éducation (chapitres 1 à 3) puis les leviers et les acteurs clés de l’éducation (...
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10:30
Le cartogramme par points
sur CybergeoLes cartes par points sont un type de représentation des quantités de populations discrètes et de stock agrégées mais présentées sous une forme désagrégée, avec une implantation planimétrique/géométrique et graphique de type point. Si plusieurs de ces cartes ont historiquement pu être mises au point, nous proposons le cartogramme par points (ou Dot cartogram en anglais), une nouvelle carte participant des cartogrammes graphiques et issue d’une articulation entre la carte en signes proportionnels, la carte en densité de points de Montizon (1830) et le cartogramme circulaire de Dorling (1996). Sa particularité est de renouveler l’image cartographique du point dans son rendu (motif perçu), qui révèle des plages ou des surfaces de points juxtaposés et dans son processus de réalisation. Sa définition est accompagnée d’une application empirique menée sur deux jeux de données examinés en parallèle : les effectifs de population et le produit intérieur brut des pays du monde, observés de 195...
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10:30
Les horizons de la géographie : une métaphore pour comprendre les situations problématiques ?
sur CybergeoLe double objectif de cet article exploratoire est de souligner l’intérêt de la métaphore de l’horizon dont la richesse herméneutique aide à appréhender différentes réalités, et de montrer comment la métaphore peut favoriser la compréhension des situations problématiques dans le cadre d’une géographie pragmatiste. Trois sens figurés du mot horizon sont développés. Voir les horizons géologiques invite à questionner la nature des discontinuités paysagères identifiées dans le monde, entre unité de base, ligne de démarcation et point de repère. Se mou-voir dans l’environnement, à l’invitation des horizons phénoménologiques, trouve une application dans l’étude géographique des espaces tels qu’ils sont vécus par leurs usagers. S’é-mou-voir à la faveur de la fusion des horizons proposée par Gadamer (1960) permet de discuter de la possibilité de se rapprocher d’un autre horizon et de souligner que la compréhension dans le dialogue contribue à l’élaboration d’un horizon commun. Pour chacune ...
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10:30
Intercity relationships between 293 Chinese cities quantified based on toponym co-occurrence
sur CybergeoThis dataset presents relationships between 293 Chinese cities, derived using a toponym co-occurrence method. By employing this toponym co-occurrence analysis method, the strength of an intercity relationship is determined by the frequency at which both city names appear on the same webpage. The data was sourced from the Common Crawl web archive's 2019 April Corpus, which contains approximately 2.5 billion web pages. The primary aim of this dataset is to provide a fresh perspective on intercity relationships, thereby facilitating studies on city network analysis. The dataset not only encourages further research into comparing this innovative city relationship with other established networks but is also a showcase that presents a straightforward methodology that can be applied to other archives within Common Crawl. As such, it paves the way for longitudinal studies that probe the evolution of city networks.
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Pierre Blanc, 2023, Géopolitique et climat, Paris, SciencesPo Les presses, 248 p.
sur Cybergeo"Après le choc de la pandémie de Covid, la secousse géopolitique de la guerre déclenchée en Ukraine le 24 février 2022 est venue rappeler au vieux continent que les conflits violents n’étaient pas relégués au passé. Puis les vagues de canicule, de sécheresse et d’incendies sans précédent de l’été 2022 ont ouvert les yeux des Européens sur les ruptures climatiques qui s’annoncent, dont les conséquences seront sans commune mesure avec celles du Covid et de la guerre" (p.7). Ainsi commence l’ouvrage écrit par Pierre Blanc, chercheur en géopolitique à l’Institut d’Études Politiques de Bordeaux et à Bordeaux Sciences Agro, rattaché à l’UMR LAM. Dans cette introduction (p.7-12), l’auteur explique que les Européens prennent à peine conscience des effets des changements climatiques, constat jusque-là assez circonscrit à quelques sphères de la société. Il y explique la philosophie de cet ouvrage, une approche par la géopolitique, soit les dimensions du politique (puissance, pouvoir, sécurité...
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10:30
Le détroit de Bab el-Mandeb : frictions littorales et maritimes
sur CybergeoCet article propose une analyse des frictions littorales et maritimes par l’étude du rapport entre les flux maritimes mondialisés et la sûreté maritime (maritime security). Depuis les côtes, des acteurs locaux ou régionaux peuvent influer sur les échanges maritimes d’échelle globale qui passent au large. Le cas du détroit de Bab el-Mandeb et de ses prolongements naturels (Sud de la mer Rouge et golfe d’Aden) en offre une bonne illustration : grand axe de trafic maritime, ce détroit se caractérise par la présence de la piraterie somalienne, principalement entre 1995 et 2015, ainsi que par l’extension en mer de la guerre civile au Yémen, qui s'est transformée en un conflit régional. Cette recherche, fondée sur des données maritimes ainsi que sur une étude approfondie du contexte régional, cherche à identifier les influences des actes de violence sur les différents trafics du détroit de Bab el-Mandeb. L'influence des contextes politiques des États riverains sur les flux maritimes en ha...
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10:30
La trajectoire paysagère d’un bassin versant bocager normand depuis deux siècles : enjeux méthodologiques pour une étude géohistorique
sur CybergeoLe paysage bocager des régions du nord-ouest de la France a subi d'importantes transformations depuis le milieu du XXème siècle, sa structure ayant été altérée par le remembrement, la rationalisation et l'agrandissement des parcelles, ainsi que par l’arasement des haies. Les conséquences environnementales de ces mutations paysagères sont importantes : érosion hydrique, pollution des milieux aquatiques, perte en biodiversité. L’objectif de l’article est d’étudier la trajectoire d’évolution d’un espace agricole représentatif des mutations qui affectent les paysages bocagers depuis deux siècles. À travers l’exemple d’un petit bassin versant historiquement bocager du Calvados (Le Tortillon), la méthodologie repose sur une approche géohistorique, combinant l’utilisation d’archives, notamment cadastrales, et d’images aériennes au sein d’un Système d’Information Géographique (SIG). Bien que les cadastres renseignent précisément sur l’occupation du sol des paysages du XIXème siècle, l’artic...
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10:30
Riccardo Ciavolella, 2023, Pétaouchnok(s). Du bout du monde au milieu de nulle part, Paris, La Découverte, 2023, 413 p.
sur CybergeoC’est d’abord une curiosité amusée qui pousse les géographes à feuilleter cet ouvrage. Cet "atlas imparfait", aux dires de son auteur, invite à un tour du monde en 80 lieux, et peut d’abord se comprendre comme une invitation au voyage, exercice que nous pratiquons si souvent dans nos grands et petits livres, récits des voyages d’exploration historiques, ou petits récits de voyage au fil de nos histoires. C’est une cartographie sémantique tout autant que géographique que l’auteur nous propose, en indiquant au début de ses notices des éléments de contexte et d’usage pour situer chaque lieu. Aux antipodes des "non-lieux" scrutés par Marc Augé, l’attention est ici portée sur la singularité de chacun de ces bouts du monde, voire des antimondes comme ceux qu’a étudiés Roger Brunet, ou encore des tiers lieux, qu’évoquent par exemple Armelle Choplin et Olivier Pliez dans leur ouvrage sur "la mondialisation des pauvres".
Pendant plus de 400 pages, l’auteur s’amuse et sait divertir ses lecteur...
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10:30
CybergeoNetworks 2: una robusta aplicación de aprendizaje para publicaciones científicas
sur CybergeoCon motivo del coloquio desarrollado el 26 de mayo del 2016 para celebrar el 20º aniversario de la revista Cybergeo, cuatro jóvenes investigadores unieron fuerzas para desarrollar una aplicación altamente pionera para el análisis geográfico, estadístico y semántico de datos extraídos del conjunto de datos de Cybergeo (texto completo y metadatos) y además datos en línea asociados a la revista entre 1996 y 2015 (motores de búsqueda, Tweets, citas y publicaciones), naciendo así el sitio CybergeoNetworks. Fieles a nuestra política de publicación a acceso abierto, tal aplicación permite localizar visual y estadísticamente datos referentes a los autores de los artículos de la revista, países estudiados y citados, o incluso quien estudia qué. Compuesto por cuatro módulos interactivos, la información proporcionada por sus análisis es remarcable. Por ejemplo, es posible agrupar países por redes semánticas, visualizar y asociar a estos según la procedencia de los autores (información que Lode...
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CybergeoNetworks 2: a deep learning application for scientific publishing
sur CybergeoOn the occasion of the conference held on May 26, 2016 to celebrate the 20th anniversary of Cybergeo magazine, four young researchers joined forces to develop a pioneering application for geographic, statistical and semantic analysis of data extracted from the Cybergeo corpus (full text and metadata), as well as online data associated with the magazine between 1996 and 2015 (search engines, tweets, citations and publications). The CybergeoNetworks website was born. In keeping with our open-access publishing policy, it provides visual and statistical access to data on the location of the authors of the journal's articles, the countries studied and cited, and who is studying whom? Comprising four interactive modules, the information provided by its analyses is impressive. For example, it is possible to group countries by semantic networks, to visualize the states to which authors are affiliated (information that Lodel, OpenEdition's publishing software, does not provide in its current...
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9:30
Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur MappemondeL’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
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9:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur MappemondeLes classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.
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9:30
L’accessibilité dans les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien
sur MappemondeL’analyse des parentés observées entre les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien nous a conduits à mettre en évidence cinq spécificités de l’accessibilité insulaire. À partir de ces traits fonctionnels, le but poursuivi par cette étude est donc de modéliser l’accessibilité insulaire. Pour ce faire, nous examinons la nodalité et la réticularité des ports et aéroports insulaires régionaux.
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9:30
La morphologie de la ligne de flux. Une nouvelle variable visuelle issue du système de Cartes figuratives de Minard
sur MappemondeLes travaux de Charles-Joseph Minard (1781–1870) sur la cartographie des flux et des « mouvements de transports » sont historiquement reconnus. Unanimement salués, ils font l’objet de mentions régulières voire d’anthologies, mais qui s’intéressent davantage à l’image qu’à la méthode mise en œuvre. L’examen de la fabrique de son « système de Cartes figuratives » nous conduit à présenter les apports fondamentaux de Minard sur la sémiologie cartographique des flux/mouvements, à révéler l’ancrage théorique, méthodologique et conceptuel de ces cartes. L’analyse de la forme perçue sur la carte du dessin de la ligne de flux nous pousse à introduire une nouvelle variable visuelle : la morphologie.
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9:30
Atlas des phares du bout du monde, Autrement, 2021
sur Mappemonde« L’Atlas des phares du bout du monde » est l’une des traductions (il y en aurait onze) du Breve Atlas de los Faros del Fin del Mundo paru en 2020 aux éditions Menguantes. L’auteur, graphiste de métier, déclare dans son avant-propos qu’il est « loin d’être un expert en la matière » et que c’est la rencontre fortuite entre son envie de faire un de ces « atlas poétiques (…) capables de vous transporter dans des lieux reculés depuis le confort de votre canapé », ses compétences de graphiste et un travail qu’il a dû faire, au cours duquel il a dessiné des phares qui ont été la source de son inspiration.
L’ouvrage présente 34 phares qui sont, d’abord, tous localisés sur une belle carte du monde, sans limite étatique, réalisée dans des tons bleus et jaunes pâles. Puis, chaque phare est présenté en quatre pages, toujours selon la même structure. D’abord une page de texte accompagnée de quelques informations de localisation et, en vis-à-vis, le dessin, réalisé par l’auteur, du phare dans so...
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9:30
Atlas des grandes découvertes. De l’Antiquité à nos jours, Autrement, 2021
sur MappemondeVoici un atlas pour lequel Stéphane Dugast, pour l’écriture des textes, Xemartin Laborde, pour les cartes, et Audrey Lagadec, pour les illustrations, ont été associés pour le plus grand plaisir de nos connaissances et de notre imagination. Un atlas est un recueil de cartes, celui-ci, comme l’explique l’introduction, est « une ode à la carte » offrant de célébrer les grandes découvertes qui ont rythmé l’histoire de l’humanité.
L’atlas est découpé en cinq grandes parties organisées de manière chronologique. Chaque page comporte une notice présentant un(e) ou plusieurs explorateurs/exploratrices et, le plus souvent, une carte qui décrit les voyages d’exploration effectués. Les cartes sont, en apparence, très simples avec peu de figurés, mais elles permettent une visualisation claire et précisent des faits d’exploration décrits dans la notice. Certaines pages montrent le monde « connu » à des époques plus anciennes avec des mappemondes comme celle de Ptolémée ou d’Al Idrissi. Le texte es...
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Grand Atlas de l’Antiquité romaine, Autrement, 2019
sur MappemondeCet atlas, rédigé par Christophe Badel et Hervé Inglebert avec des cartes de Claire Levasseur, offre un vaste panorama de l’Empire romain : de ses prémices au IIIe siècle av. J.-C. aux conséquences de son effondrement au Ve/VIe siècle.
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9:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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9:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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Processus de traitement d'une requête HTTP par Symfony
sur Makina CorpusVous utilisez Symfony pour vos développements mais vous n'en connaissez pas vraiment le fonctionnement interne?? Suivez le guide, c'est parti pour la visite?!
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2:00
PostGIS Development: PostGIS Patch Releases
sur Planet OSGeoThe PostGIS development team is pleased to provide bug fix releases for 3.4.2, 3.3.6, 3.2.7, 3.1.11, 3.0.11, and 2.5.11. Please refer to the links above for more information about the issues resolved by these releases.
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17:35
[Book] Cartographic communication
sur Carnet (neo)cartographiqueThe ‘Geography and Demography’ section of the SCIENCES ISTE encyclopaedia, directed by Denise PUMAIN, has just published the english version [read a french of the post version here] of the volumes[1] dedicated to thematic cartography, a section coordinated by Prof. Colette CAUVIN-REYMOND (LIVE, CNRS, Université de Strasbourg).
This new volume Cartographic communication is coordinated by Boris MERICSKAY (ESO, Université de Rennes 2). Its focuses on the function of communicating information by and through the contemporary map, which is often referred today as geovisualisation.
Read the foreword on the publisher’s website
This volume is composed of 7 chapters which, according to B. Mericskay, provide “keys to reading and understanding the issues involved in transmitting spatial information using maps in the digital age and on the Web. It deciphers the communicative uses and challenges of today’s maps and offers an overview of the issues of cartographic communication, graphic semiology and geovisualisation, drawing on theoretical, conceptual and methodological contributions from various fields of research“.
Download the Table of contents
Since a picture is worth a thousand words, the different chapters are presented below using a selection of cartographic documents or images, which are not necessarily representative of their entire content, given the richness of information they contain.
Chapitre 1. Christine ZANIN – The Multiple Facets of the Cartographer: Communication between Rules and Attraction
Chapitre 2. Laurent JÉGOU – Cartography as a Communication Tool: Thoughts on Models
Chapitre 3. Nicolas LAMBERT, Timothée GIRAUD et Ronan YSEBAERT – Communication Challenges in Reproducible Multi-representation
Chapitre 4. Françoise BAHOKEN – Mapping Flows and Movements
Chapitre 5. Matthieu NOUCHER – Cartographic Communication on the Geoweb: Between Maps and Data
Chapitre 6. Boris MERICSKAY – Rethinking Cartography on the Geoweb: Principles, Tools and Modes of Representation
Chapitre 7. Sidonie CHRISTOPHE – Geovisualization and Cartographic Communication: Style and Interaction
“May these [four] books help everyone [mapping specialists and non-specialists alike] to be aware of what they are producing and to use all these tools with discernment.”
Prof. Colette Cauvin-Reymond, 2021.____
The illustrations shown are those selected (in the French version) by Boris Mericskay and published on his X/Twitter account here.
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[1] The other three volumes on cartography are devoted to 1) the history of cartography, 2) geographical information and cartography, and 3) the processing and cartography of geographical information.
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Références :
Mericskay B. (coord.), 2021, Communication cartographique : sémiologie graphique, sémiotique et géovisualisation, © ISTE Editions 2021. AccéderMericskay B. (coord.), 2024, Cartographic communication: graphic semiology, semiotics and Geovizualisation, © ISTE Editions 2021. Accéder
Robinson, A.H. (1952). The look of maps. An examination of cartographic design. Thèse de doctorat, Université de Wisconsin, Madison.
Robinson, A.H. (1953). Elements of cartography. Wiley, New York.Tobler, W.R. (1959). Automation and Cartography. The Geographical Review, 49(4), 526–534.
Waldo Tobler (1966). L’automation dans la préparation des cartes thématiques. International Yearbook of Cartography, 6, pp.81-93, 1966.
Géographe et cartographe, Chargée de recherches à l'IFSTTAR et membre-associée de l'UMR 8504 Géographie-Cités.
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Oslandia: Software quality in QGIS
sur Planet OSGeoAccording to the definition of software quality given by french Wikipedia
An overall assessment of quality takes into account external factors, directly observable by the user, as well as internal factors, observable by engineers during code reviews or maintenance work.
I have chosen in this article to only talk about the latter. The quality of software and more precisely QGIS is therefore not limited to what is described here. There is still much to say about:
- Taking user feedback into account,
- the documentation writing process,
- translation management,
- interoperability through the implementation of standards,
- the extensibility using API,
- the reversibility and resilience of the open source model…
These are subjects that we care a lot and deserve their own article.
I will focus here on the following issue: QGIS is free software and allows anyone with the necessary skills to modify the software. But how can we ensure that the multiple proposals for modifications to the software contribute to its improvement and do not harm its future maintenance?
Self-disciplineAll developers contributing to QGIS code doesn’t belong to the same organization. They don’t all live in the same country, don’t necessarily have the same culture and don’t necessarily share the same interests or ambitions for the software. However, they share the awareness of modifying a common good and the desire to take care of it.
This awareness transcends professional awareness, the developer not only has a responsibility towards his employer, but also towards the entire community of users and contributors to the software.
This self-discipline is the foundation of the quality of the contributions of software like QGIS.
However, to err is human and it is essential to carry out checks for each modification proposal.
Automatic checksWith each modification proposal (called Pull Request or Merge Request), the QGIS GitHub platform automatically launches a set of automatic checks.
Example of proposed modification
Result of automatic checks on a modification proposal
The first of these checks is to build QGIS on the different systems on which it is distributed (Linux, Windows, MacOS) by integrating the proposed modification. It is inconceivable to integrate a modification that would prevent the application from being built on one of these systems.
The testsThe first problem posed by a proposed modification is the following “How can we be sure that what is going to be introduced does not break what already exists?”
To validate this assertion, we rely on automatic tests. This is a set of micro-programs called tests, which only purpose is to validate that part of the application behaves as expected. For example, there is a test which validates that when the user adds an entry in a data layer, then this entry is then present in the data layer. If a modification were to break this behavior, then the test would fail and the proposal would be rejected (or more likely corrected).
This makes it possible in particular to avoid regressions (they are very often called non-regression tests) and also to qualify the expected behavior.
There are approximately 1.3 Million lines of code for the QGIS application and 420K lines of test code, a ratio of 1 to 3. The presence of tests is mandatory for adding functionality, therefore the quantity of test code increases with the quantity of application code.
In blue the number of lines of code in QGIS, in red the number of lines of tests
There are currently over 900 groups of automatic tests in QGIS, most of which run in less than 2 seconds, for a total execution time of around 30 minutes.
We also see that certain parts of the QGIS code – the most recent – are better covered by the tests than other older ones. Developers are gradually working to improve this situation to reduce technical debt.
Code checksAnalogous to using a spell checker when writing a document, we carry out a set of quality checks on the source code. We check, for example, that the proposed modification does not contain misspelled words or “banned” words, that the API documentation has been correctly written or that the modified code respects certain formal rules of the programming language.
We recently had the opportunity to add a check based on the clang-tidy tool. The latter relies on the Clang compiler. It is capable of detecting programming errors by carrying out a static analysis of the code.
Clang-tidy is, for example, capable of detecting “narrowing conversions”.
Example of detecting “narrowing conversions”
In the example above, Clang-tidy detects that there has been a “narrowing conversion” and that the value of the port used in the network proxy configuration “may” be corrupted. In this case, this problem was reported on the QGIS issues platform and had to be corrected.
At that time, clang-tidy was not in place. Its use would have made it possible to avoid this anomaly and all the steps which led to its correction (exhaustive description of the issue, multiple exchanges to be able to reproduce it, investigation, correction, review of the modification), meaning a significant amount of human time which could thus have been avoided.
Peer reviewA proposed modification that would validate all of the automatic checks described above would not necessarily be integrated into the QGIS code automatically. In fact, its code may be poorly designed or the modification poorly thought out. The relevance of the functionality may be doubtful, or duplicated with another. The integration of the modification would therefore potentially cause a burden for the people in charge of the corrective or evolutionary maintenance of the software.
It is therefore essential to include a human review in the process of accepting a modification.
This is more of a rereading of the substance of the proposal than of the form. For the latter, we favor the automatic checks described above in order to simplify the review process.
Therefore, human proofreading takes time, and this effort is growing with the quantity of modifications proposed in the QGIS code. The question of its funding arises, and discussions are in progress. The QGIS.org association notably dedicates a significant part of its budget to fund code reviews.
More than 100 modification proposals were reviewed and integrated during the month of December 2023. More than 30 different people contributed. More than 2000 files have been modified.
Therefore the wait for a proofreading can sometimes be long. It is also often the moment when disagreements are expressed. It is therefore a phase which can prove frustrating for contributors, but it is an important and rich moment in the community life of a free project.
To be continued !
As a core QGIS developer, and as a pure player OpenSource company, we believe it is fundamental to be involved in each step of the contribution process.
We are investing in the review process, improving automatic checks, and in the QGIS quality process in general. And we will continue to invest in these topics in order to help make QGIS a long-lasting and stable software.
If you would like to contribute or simply learn more about QGIS, do not hesitate to contact us at infos+qgis@oslandia.com and consult our QGIS support proposal.
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0:22
Le ballet des icebergs autour de l’Antarctique
sur Séries temporelles (CESBIO)Pièce jointe: [télécharger]
Les icebergs de taille significative* sont répertoriés et nommés par l’agence américaine U.S. National Ice Center. Moyennant un peu de web scraping, j’ai récupéré tous les fichiers qui donnent la position hebdomadaire de ces icebergs depuis novembre 2014. Les librairies pandas et matplotlib ont fait le reste (code) ! Voyez comment les icebergs sont d’abord entrainés autour du continent Antarctique d’est en ouest avant d’être embarqués au large par le courant circumpolaire dans le sens inverse.
[https:]]Parmi les icebergs notables, on voit notamment A23A, actuellement le plus gros iceberg au monde (4000 km2), qui prend le large depuis la mer de Weddell, 37 ans après s’être détaché de la plate-forme de glace de Filchner [2].
Animation : A23A (Série d’images Sentinel-3)
On voit aussi B22A s’en aller après quelques années à l’ombre de son géniteur, l’immense glacier Thwaites (je vous en parlais ici).
[https:]]Animation : B22A (Série d’images Sentinel-1)
Enfin, le plus gros de tous est A68, qui a sérieusement amputé la barrière de glace Larsen C lorsqu’il s’est décroché en 2017 (voir aussi ici)…
[https:]]Notes
[1] 20 milles marins carrés soit environ 70 km2 ( [https:]] )
[2] Altendorf, D. ; Gascoin, S. 37 ans plus tard, l’iceberg A23a remet les voiles. La Météorologie, 124, 2-3, 2024. 10.37053/lameteorologie-2024-0002
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18:01
Incident de production GPF
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIncident de production GPF
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18:01
Incident de production GPF (résolu)
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIncident de production GPF (résolu)
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18:00
Paul Ramsey: Building the PgConf.Dev Programme
sur Planet OSGeoUpdate: The programme is now public.
The programme for pgconf.dev in Vancouver (May 28-31) has been selected, the speakers have been notified, and the whole thing should be posted on the web site relatively soon.
I have been on programme committees a number of times, but for regional and international FOSS4G events, never for a PostgreSQL event, and the parameters were notably different.
The parameter that was most important for selecting a programme this year was the over 180 submissions, versus the 33 available speaking slots. For FOSS4G conferences, it has been normal to have between two- and three-times as many submissions as slots. To have almost six-times as many made the process very difficult indeed.
Why only 33 speaking slots? Well, that’s a result of two things:
- Assuming no more than modest growth over the last iteration of PgCon, puts attendence at around 200, which is the size of our plenary room. 200 attendees implies no more than 3 tracks of content.
- Historically, PostgreSQL events use talks of about 50 minutes in length, within a one hour slot. Over three tracks and two days, that gives us around 33 talks (with slight variations depending on how much time is in plenary, keynotes or lightning talks).
The content of those 33 talks falls out from being the successor to PgCon. PgCon has historically been the event attended by all major contributors. There is an invitation-only contributors round-table on the pre-event day, specifically for the valuable face-to-face synch-up.
Given only 33 slots, and a unique audience that contains so many contributors, the question of what pgconf.dev should “be” ends up focussed around making the best use of that audience. pgconf.dev should be a place where users, developers, and community organizers come together to focus on Postgres development and community growth.
That’s why in addition to talks about future development directions there are talks about PostgreSQL coding concepts, and patch review, and extensions. High throughput memory algorithms are good, but so is the best way to write a technical blog entry.
Getting from 180+ submissions to 33 selections (plus some stand-by talks in case of cancellations) was a process that consumed three calls of over 2 hours each and several hours of reading every submitted abstract.
The process was shepherded by the inimitable Jonathan Katz.
- A first phase of just coding talks as either “acceptable” or “not relevant”. Any talks that all the committee members agreed was “not relevant” were dropped from contention.
- A second phase where each member picked 40 talks from the remaining set into a kind of “personal program”. The talks with just one program member selecting them were then reviewed one at a time, and that member would make the case for them being retained, or let them drop.
- A winnow looking for duplicate topic talks and selecting the strongest, or encouraging speakers to collaborate.
- A third “personal program” phase, but this time narrowing the list to 33 talks each.
- A winnow of the most highly ranked talks, to make sure they really fit the goal of the programme and weren’t just a topic we all happened to find “cool”.
- A talk by talk review of all the remaining talks, ensuring we were comfortable with all choices, and with the aggregate make up of the programme.
The programme committee was great to work with, willing to speak up about their opinions, disagree amicably, and come to a consensus.
Since we had to leave 150 talks behind, there’s no doubt lots of speakers who are sad they weren’t selected, and there’s lots of talks that we would have taken if we had more slots.
If you read all the way to here, you must be serious about coming, so you need to register and book your hotel right away. Spaces are, really, no kidding, very limited.
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13:03
Oslandia: (Fr) Rencontres QGIS-fr – Grenoble 27 & 28 mars 2024
sur Planet OSGeoSorry, this entry is only available in French.
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10:17
Découvrez le DbToolsBundle
sur Makina CorpusL'équipe PHP est fière de vous présenter son nouveau bundle à destination des développeurs Symfony : sauvegardez, restaurez et anonymisez simplement vos bases de données?!
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2:00
SourcePole: Designing QGIS Cloud QWC2 with CSS
sur Planet OSGeoIn an earlier post, I showed how it is possible to permanently position a legend in the QGIS Cloud map as part of a QGIS Cloud Pro subscription. To achieve this, the appearance of the map view was changed using CSS. In this post, I will describe exactly what this is and how it works. The appearance of the QGIS Cloud Web Client is controlled via CSS. CSS stands for Cascading Style Sheets.
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15:05
Mises à jour février 2024
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNTous les nouveaux services web géoservices et toutes les mises à jour de données en téléchargement du mois de février 2024.
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13:04
Cartogrammer par points
sur Carnet (neo)cartographiquePour comprendre les ressorts d’une carte, le mieux est probablement de jouer avec les différents paramètres qui sont utilisés pour produire l’image.
L’application ci-dessous vous propose de découvrir des cartographies par points de données bien connues que sont la répartition de population du monde et de sa richesse. Les données statistiques ont été construites et mises librement à disposition par le projet Maddison, de l’Université de Groningen. L’information géographique provient de Natural Earth Data.
Construire un cartogramme par points, consiste à jouer avec différents paramètres en fonction du type de carte.
A vous de jouer !Exemple 1. Cartogramme par points – version initiale.
Population (POP) et du Produit intérieur brut (PIB/GDP)
– Radius = rayon d’un point
– Dots value (pop) = valeur d’un point (1-> n) pour les données de population
– Dots value (GDP) = valeur d’un point (1-> n) pour les données de PIB
– Span = portée spatiale (en km)
– Nb. d’interactions = nombre d’iterationsExemple 2. Cartogramme par points – version initiale combinée à une typologie
– Répartition régionale du Produit intérieur brut (en millions)
– Radius = rayon d’un point
– Dots value (in billion) = valeur d’un point en millions (1-> n) pour les données de PIB
– Span = portée spatiale du semis
– Nb. d’iteractions = nombre d’itérationsBillets liés :
Bahoken F. & Lambert N. 2024, Le cartogramme par points
Lambert N., 2023, Un cartogramme par points interactif sur le PIB et la POP mondiale.Bibliothèques
Geoviz : Let’s design a “dot cartogram”
BertinJS : dotcartogramIngénieur de recherche CNRS en sciences de l'information géographique. Membre de l'UMS RIATE et du réseau MIGREUROP / CNRS research engineer in geographical information sciences. Member of UMS RIATE and the MIGREUROP network.
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10:30
Rémi Rouault, Patrice Caro, 2022, Éducation et fractures scolaires. Questions de géographes à propos de l’école, Lyon, Chronique Sociale, 161 p.
sur CybergeoC’est parce qu’ils ont questionné l’école en géographes que Rémi Rouault et Patrice Caro ont été en mesure de proposer cet ouvrage, précieux et nécessaire, pour analyser la situation socio-spatiale de l’école française. Et c’est parce qu’ils s’appuient sur un matériau riche de données récentes aux échelles nationale, académique et départementale qu’ils restituent la multiplicité des enjeux posés par les questions scolaires et les inégalités du système éducatif.
Contribuant au renouvellement d’une géographie francophone de l’éducation dynamisée, depuis peu, par la publication d’un livre portant sur les espaces et les systèmes éducatifs dans le monde (Giband, Delage, Mary, Nafaa, 2023), l’étude présentée au fil des 161 pages de l’ouvrage sur le cas français, clairement rédigée par Rémi Rouault et Patrice Caro, est structurée en 8 chapitres. Ceux-ci évoquent les lieux, les espaces quotidiens et locaux de l’éducation (chapitres 1 à 3) puis les leviers et les acteurs clés de l’éducation (...
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10:30
Le cartogramme par points
sur CybergeoLes cartes par points sont un type de représentation des quantités de populations discrètes et de stock agrégées mais présentées sous une forme désagrégée, avec une implantation planimétrique/géométrique et graphique de type point. Si plusieurs de ces cartes ont historiquement pu être mises au point, nous proposons le cartogramme par points (ou Dot cartogram en anglais), une nouvelle carte participant des cartogrammes graphiques et issue d’une articulation entre la carte en signes proportionnels, la carte en densité de points de Montizon (1830) et le cartogramme circulaire de Dorling (1996). Sa particularité est de renouveler l’image cartographique du point dans son rendu (motif perçu), qui révèle des plages ou des surfaces de points juxtaposés et dans son processus de réalisation. Sa définition est accompagnée d’une application empirique menée sur deux jeux de données examinés en parallèle : les effectifs de population et le produit intérieur brut des pays du monde, observés de 195...
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10:30
Les horizons de la géographie : une métaphore pour comprendre les situations problématiques ?
sur CybergeoLe double objectif de cet article exploratoire est de souligner l’intérêt de la métaphore de l’horizon dont la richesse herméneutique aide à appréhender différentes réalités, et de montrer comment la métaphore peut favoriser la compréhension des situations problématiques dans le cadre d’une géographie pragmatiste. Trois sens figurés du mot horizon sont développés. Voir les horizons géologiques invite à questionner la nature des discontinuités paysagères identifiées dans le monde, entre unité de base, ligne de démarcation et point de repère. Se mou-voir dans l’environnement, à l’invitation des horizons phénoménologiques, trouve une application dans l’étude géographique des espaces tels qu’ils sont vécus par leurs usagers. S’é-mou-voir à la faveur de la fusion des horizons proposée par Gadamer (1960) permet de discuter de la possibilité de se rapprocher d’un autre horizon et de souligner que la compréhension dans le dialogue contribue à l’élaboration d’un horizon commun. Pour chacune ...
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10:30
Intercity relationships between 293 Chinese cities quantified based on toponym co-occurrence
sur CybergeoThis dataset presents relationships between 293 Chinese cities, derived using a toponym co-occurrence method. By employing this toponym co-occurrence analysis method, the strength of an intercity relationship is determined by the frequency at which both city names appear on the same webpage. The data was sourced from the Common Crawl web archive's 2019 April Corpus, which contains approximately 2.5 billion web pages. The primary aim of this dataset is to provide a fresh perspective on intercity relationships, thereby facilitating studies on city network analysis. The dataset not only encourages further research into comparing this innovative city relationship with other established networks but is also a showcase that presents a straightforward methodology that can be applied to other archives within Common Crawl. As such, it paves the way for longitudinal studies that probe the evolution of city networks.
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10:30
Pierre Blanc, 2023, Géopolitique et climat, Paris, SciencesPo Les presses, 248 p.
sur Cybergeo"Après le choc de la pandémie de Covid, la secousse géopolitique de la guerre déclenchée en Ukraine le 24 février 2022 est venue rappeler au vieux continent que les conflits violents n’étaient pas relégués au passé. Puis les vagues de canicule, de sécheresse et d’incendies sans précédent de l’été 2022 ont ouvert les yeux des Européens sur les ruptures climatiques qui s’annoncent, dont les conséquences seront sans commune mesure avec celles du Covid et de la guerre" (p.7). Ainsi commence l’ouvrage écrit par Pierre Blanc, chercheur en géopolitique à l’Institut d’Études Politiques de Bordeaux et à Bordeaux Sciences Agro, rattaché à l’UMR LAM. Dans cette introduction (p.7-12), l’auteur explique que les Européens prennent à peine conscience des effets des changements climatiques, constat jusque-là assez circonscrit à quelques sphères de la société. Il y explique la philosophie de cet ouvrage, une approche par la géopolitique, soit les dimensions du politique (puissance, pouvoir, sécurité...
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10:30
Le détroit de Bab el-Mandeb : frictions littorales et maritimes
sur CybergeoCet article propose une analyse des frictions littorales et maritimes par l’étude du rapport entre les flux maritimes mondialisés et la sûreté maritime (maritime security). Depuis les côtes, des acteurs locaux ou régionaux peuvent influer sur les échanges maritimes d’échelle globale qui passent au large. Le cas du détroit de Bab el-Mandeb et de ses prolongements naturels (Sud de la mer Rouge et golfe d’Aden) en offre une bonne illustration : grand axe de trafic maritime, ce détroit se caractérise par la présence de la piraterie somalienne, principalement entre 1995 et 2015, ainsi que par l’extension en mer de la guerre civile au Yémen, qui s'est transformée en un conflit régional. Cette recherche, fondée sur des données maritimes ainsi que sur une étude approfondie du contexte régional, cherche à identifier les influences des actes de violence sur les différents trafics du détroit de Bab el-Mandeb. L'influence des contextes politiques des États riverains sur les flux maritimes en ha...
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10:30
La trajectoire paysagère d’un bassin versant bocager normand depuis deux siècles : enjeux méthodologiques pour une étude géohistorique
sur CybergeoLe paysage bocager des régions du nord-ouest de la France a subi d'importantes transformations depuis le milieu du XXème siècle, sa structure ayant été altérée par le remembrement, la rationalisation et l'agrandissement des parcelles, ainsi que par l’arasement des haies. Les conséquences environnementales de ces mutations paysagères sont importantes : érosion hydrique, pollution des milieux aquatiques, perte en biodiversité. L’objectif de l’article est d’étudier la trajectoire d’évolution d’un espace agricole représentatif des mutations qui affectent les paysages bocagers depuis deux siècles. À travers l’exemple d’un petit bassin versant historiquement bocager du Calvados (Le Tortillon), la méthodologie repose sur une approche géohistorique, combinant l’utilisation d’archives, notamment cadastrales, et d’images aériennes au sein d’un Système d’Information Géographique (SIG). Bien que les cadastres renseignent précisément sur l’occupation du sol des paysages du XIXème siècle, l’artic...
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10:30
Riccardo Ciavolella, 2023, Pétaouchnok(s). Du bout du monde au milieu de nulle part, Paris, La Découverte, 2023, 413 p.
sur CybergeoC’est d’abord une curiosité amusée qui pousse les géographes à feuilleter cet ouvrage. Cet "atlas imparfait", aux dires de son auteur, invite à un tour du monde en 80 lieux, et peut d’abord se comprendre comme une invitation au voyage, exercice que nous pratiquons si souvent dans nos grands et petits livres, récits des voyages d’exploration historiques, ou petits récits de voyage au fil de nos histoires. C’est une cartographie sémantique tout autant que géographique que l’auteur nous propose, en indiquant au début de ses notices des éléments de contexte et d’usage pour situer chaque lieu. Aux antipodes des "non-lieux" scrutés par Marc Augé, l’attention est ici portée sur la singularité de chacun de ces bouts du monde, voire des antimondes comme ceux qu’a étudiés Roger Brunet, ou encore des tiers lieux, qu’évoquent par exemple Armelle Choplin et Olivier Pliez dans leur ouvrage sur "la mondialisation des pauvres".
Pendant plus de 400 pages, l’auteur s’amuse et sait divertir ses lecteur...
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10:30
CybergeoNetworks 2: una robusta aplicación de aprendizaje para publicaciones científicas
sur CybergeoCon motivo del coloquio desarrollado el 26 de mayo del 2016 para celebrar el 20º aniversario de la revista Cybergeo, cuatro jóvenes investigadores unieron fuerzas para desarrollar una aplicación altamente pionera para el análisis geográfico, estadístico y semántico de datos extraídos del conjunto de datos de Cybergeo (texto completo y metadatos) y además datos en línea asociados a la revista entre 1996 y 2015 (motores de búsqueda, Tweets, citas y publicaciones), naciendo así el sitio CybergeoNetworks. Fieles a nuestra política de publicación a acceso abierto, tal aplicación permite localizar visual y estadísticamente datos referentes a los autores de los artículos de la revista, países estudiados y citados, o incluso quien estudia qué. Compuesto por cuatro módulos interactivos, la información proporcionada por sus análisis es remarcable. Por ejemplo, es posible agrupar países por redes semánticas, visualizar y asociar a estos según la procedencia de los autores (información que Lode...
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10:30
CybergeoNetworks 2: a deep learning application for scientific publishing
sur CybergeoOn the occasion of the conference held on May 26, 2016 to celebrate the 20th anniversary of Cybergeo magazine, four young researchers joined forces to develop a pioneering application for geographic, statistical and semantic analysis of data extracted from the Cybergeo corpus (full text and metadata), as well as online data associated with the magazine between 1996 and 2015 (search engines, tweets, citations and publications). The CybergeoNetworks website was born. In keeping with our open-access publishing policy, it provides visual and statistical access to data on the location of the authors of the journal's articles, the countries studied and cited, and who is studying whom? Comprising four interactive modules, the information provided by its analyses is impressive. For example, it is possible to group countries by semantic networks, to visualize the states to which authors are affiliated (information that Lodel, OpenEdition's publishing software, does not provide in its current...
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10:00
Lutra consulting: New point clouds and mesh features in QGIS 3.36
sur Planet OSGeoQGIS 3.36 is round the corner and as usual, there will be several new exciting features with the new release. Below is the list of features our team has added to the new release. This was made possible by generous funding from clients.
Render point clouds as a surface in 2D map viewsPoint clouds are rendered as individual points by default. Depending on the zoom level and density of the points, you might not be able to get a full picture of the map.
Rendering points as surface enables you to have a better understanding of the data before trying to do any analysis or processing. This has been possible in 3D map views for a couple of QGIS releases, now we have added the functionality also in 2D map views.
The feature generates a surface using triangulation on-the-fly from the points using the same symbology. Below you can see the difference between a point cloud rendered as individual points and rendered as a surface:
Point clouds as individual points vs. as a TIN surfaceThe good news is that rendering as a surface also works well with global map shading, allowing users to get a nice hillshade:
Point clouds as surface with hillshadeTo enable this feature, you need to check the option for Render as a Surface (Triangulate) under the Layer Styling panel.
Settings to display point clouds as surfacePro-tip: if the on-the-fly rendering as a surface takes too long to render, try increasing the Maximum error: for example 0.6 mm instead of the default 0.3 mm.
Flexible styling of classesPreviously, point cloud data visualisation in QGIS was limited to rendering all points with a uniform size and opacity. This made it difficult to differentiate between different point classes and highlight specific features of interest. To address this issue, we have introduced a new feature that allows users to customise the point size and opacity for each point cloud data class. This provides a flexible way for visualising point cloud data, allowing users to highlight specific point classes, e.g. by increasing the point size.
Assigning size and opacity to each point cloud class
Point clouds with different sizes and opacity levels Set 3D map view extent in 2D mapEffectively navigating and visualising large-scale 3D datasets can be challenging on PCs with limited resources. To address this issue, we introduced a new feature that allows users to interactively limit the 3D scene, enabling them to focus on specific areas of interest. This new feature, conveniently accessible from the toolbar, eliminates the need for tedious manual entry of coordinates for bounding boxes. Instead, users can simply drag and draw a box around the desired area, instantly restricting the 3D scene to that specific extent. This interactive approach significantly enhances the user experience and streamlines the process of exploring and analysing 3D data:
Interactive selection of 3D map scene from 2D map Python API for 3D viewsCreating and viewing 3D maps in QGIS with the correct camera location and angle, scene tilt, light, and other parameters can be a time-consuming and error-prone process. This is because it requires users to manually adjust these settings, often through trial and error. However, with the introduction of the new 3D map view API in QGIS, Python plugins can now automate this process, making it much easier, consistent and more efficient to create high-quality 3D maps that are visually appealing and informative.
# List all open 3D map canvases iface.mapCanvases3D() # [<qgis._3d.Qgs3DMapCanvas object at 0x7f23491b5e10>] canvas = iface.mapCanvases3D()[0]
Now let’s try something more complicated:
# Let's change some settings! ms = canvas.mapSettings() ms.setEyeDomeLightingEnabled(True) ms.setBackgroundColor(QColor('beige')) ms.setTerrainMapTheme('dtm') ms.setFieldOfView(110) # Move the camera to look at specific map coordinates in layer's CRS cam = canvas.cameraController() mapPoint = QgsVector3D(-498175.92, -1205400.58, 210) worldPoint = ms.mapToWorldCoordinates(mapPoint) cam.setLookingAtPoint(worldPoint, 60, 45, 100) # Create four new 3D map views c1 = iface.createNewMapCanvas3D('South View') c2 = iface.createNewMapCanvas3D('West View') c3 = iface.createNewMapCanvas3D('North View') c4 = iface.createNewMapCanvas3D('East View') # Apply settings to all open 3D map views for canvas in iface.mapCanvases3D(): canvas.mapSettings().setEyeDomeLightingEnabled(True) # Define a camera pose to update the views' cameras pose = QgsCameraPose() pose.setCenterPoint(QgsVector3D(0, 210, 0)) # This is in 3D world coordinates pose.setDistanceFromCenterPoint(100) pose.setPitchAngle(75) # Tilt the camera by 75 degrees pose.setHeadingAngle(0) # Looking towards North c1.cameraController().setCameraPose(pose) pose.setHeadingAngle(90) # Towards East c2.cameraController().setCameraPose(pose) pose.setHeadingAngle(180) # Towards South c3.cameraController().setCameraPose(pose) pose.setHeadingAngle(270) # Towards West c4.cameraController().setCameraPose(pose) # We can set the 3D map views 2D extent to always match the main 2D canvas one # Our 3D views get updated while zooming/panning the main 2D canvas canvas = iface.mapCanvas() canvas.extentsChanged.connect(lambda :c1.mapSettings().setExtent(canvas.extent())) canvas.extentsChanged.connect(lambda :c2.mapSettings().setExtent(canvas.extent())) canvas.extentsChanged.connect(lambda :c3.mapSettings().setExtent(canvas.extent())) canvas.extentsChanged.connect(lambda :c4.mapSettings().setExtent(canvas.extent()))
Changing 3D view settings through Python More point clouds attributesLAS/LAZ/COPC point clouds have a
classificationFlags
attribute that stores four types of information (Synthetic, Keypoint, Withheld, and Overlap) in a single value. This saves space, but it makes it difficult to use the information for styling or filtering, as you need to write complex expressions.To make it easier to use, we are following the approach introduced in PDAL 2.6: the
Performance enhancement for renderingclassificationFlags
attribute gets replaced with four separate attributes: Synthetic, Keypoint, Withheld, and Overlap. This will make it easier to include these attributes in styling and filtering expressions.To improve the performance of point cloud rendering in QGIS, we introduced a new caching system to minimise the need for repeated decompression of LAS node data while panning or zooming. This caching mechanism efficiently stores decompressed points for each unique combination of layer URI, node, requested attributes, filter extent, and filter expression. This enables rapid rendering of previously cached nodes, significantly enhancing the overall rendering performance in 2D and 3D maps.
Performance can vary depending on actual data, but on a local sample COPC file, it renders 7 times faster with this change.
Labels for mesh layerViewing mesh data has been possible through styling, plotting or using the Identify tool. But now you can also create labels on mesh surfaces or vertices similar to vector layers.
To display labels for your mesh data, simply open the styling panel and enable labels for:
- Labels on Vertices
- Labels on Surfaces
Label settings for mesh layersBelow is an example of mesh Z values at vertices (yellow) and mesh areas at cell centre (purple):
Example of labels on a mesh layer Want more changes in QGIS?Do you want to see more improvements and new features in QGIS? Do not hesitate to contact us to discuss your requiremnets.
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9:30
Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur MappemondeL’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
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9:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur MappemondeLes classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.
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9:30
L’accessibilité dans les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien
sur MappemondeL’analyse des parentés observées entre les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien nous a conduits à mettre en évidence cinq spécificités de l’accessibilité insulaire. À partir de ces traits fonctionnels, le but poursuivi par cette étude est donc de modéliser l’accessibilité insulaire. Pour ce faire, nous examinons la nodalité et la réticularité des ports et aéroports insulaires régionaux.
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9:30
La morphologie de la ligne de flux. Une nouvelle variable visuelle issue du système de Cartes figuratives de Minard
sur MappemondeLes travaux de Charles-Joseph Minard (1781–1870) sur la cartographie des flux et des « mouvements de transports » sont historiquement reconnus. Unanimement salués, ils font l’objet de mentions régulières voire d’anthologies, mais qui s’intéressent davantage à l’image qu’à la méthode mise en œuvre. L’examen de la fabrique de son « système de Cartes figuratives » nous conduit à présenter les apports fondamentaux de Minard sur la sémiologie cartographique des flux/mouvements, à révéler l’ancrage théorique, méthodologique et conceptuel de ces cartes. L’analyse de la forme perçue sur la carte du dessin de la ligne de flux nous pousse à introduire une nouvelle variable visuelle : la morphologie.
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9:30
Atlas des phares du bout du monde, Autrement, 2021
sur Mappemonde« L’Atlas des phares du bout du monde » est l’une des traductions (il y en aurait onze) du Breve Atlas de los Faros del Fin del Mundo paru en 2020 aux éditions Menguantes. L’auteur, graphiste de métier, déclare dans son avant-propos qu’il est « loin d’être un expert en la matière » et que c’est la rencontre fortuite entre son envie de faire un de ces « atlas poétiques (…) capables de vous transporter dans des lieux reculés depuis le confort de votre canapé », ses compétences de graphiste et un travail qu’il a dû faire, au cours duquel il a dessiné des phares qui ont été la source de son inspiration.
L’ouvrage présente 34 phares qui sont, d’abord, tous localisés sur une belle carte du monde, sans limite étatique, réalisée dans des tons bleus et jaunes pâles. Puis, chaque phare est présenté en quatre pages, toujours selon la même structure. D’abord une page de texte accompagnée de quelques informations de localisation et, en vis-à-vis, le dessin, réalisé par l’auteur, du phare dans so...
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9:30
Atlas des grandes découvertes. De l’Antiquité à nos jours, Autrement, 2021
sur MappemondeVoici un atlas pour lequel Stéphane Dugast, pour l’écriture des textes, Xemartin Laborde, pour les cartes, et Audrey Lagadec, pour les illustrations, ont été associés pour le plus grand plaisir de nos connaissances et de notre imagination. Un atlas est un recueil de cartes, celui-ci, comme l’explique l’introduction, est « une ode à la carte » offrant de célébrer les grandes découvertes qui ont rythmé l’histoire de l’humanité.
L’atlas est découpé en cinq grandes parties organisées de manière chronologique. Chaque page comporte une notice présentant un(e) ou plusieurs explorateurs/exploratrices et, le plus souvent, une carte qui décrit les voyages d’exploration effectués. Les cartes sont, en apparence, très simples avec peu de figurés, mais elles permettent une visualisation claire et précisent des faits d’exploration décrits dans la notice. Certaines pages montrent le monde « connu » à des époques plus anciennes avec des mappemondes comme celle de Ptolémée ou d’Al Idrissi. Le texte es...
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9:30
Grand Atlas de l’Antiquité romaine, Autrement, 2019
sur MappemondeCet atlas, rédigé par Christophe Badel et Hervé Inglebert avec des cartes de Claire Levasseur, offre un vaste panorama de l’Empire romain : de ses prémices au IIIe siècle av. J.-C. aux conséquences de son effondrement au Ve/VIe siècle.
Cet atlas commence par des cartes anciennes reconstituant la vision des anciens de leur monde. La plus célèbre de ces cartes est celle dite « Table de Peutinger », copie médiévale d’un original du IIe/IVe siècle, qui représente le réseau routier de l’Empire romain. Page 63, l’atlas fait également figurer l’énigmatique carte romaine d’Agrippa. L’hypothèse est qu’il s’agissait d’une carte, située sur le temple du forum d’Auguste, qui aurait été créée pour montrer l’étendue de l’Empire au 1er siècle. Carte ou liste de lieux ou de routes perdue irrémédiablement, mais dont l’existence supposée montre tout l’intérêt des autorités impériales pour leur immense territoire et pour ce moyen très pratique de se l’approprier, tout au moins par le regard, qu’est l’o...
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9:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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9:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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9:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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1:09
Sean Gillies: Preseason running
sur Planet OSGeoMy 32 week running season starts on February 19 and ends on September 29, at Bear Lake if everything goes right. My preseason running has been light on running because of various maladies. I strained my back at the end of December and just as I recovered from that I experienced some knee inflammation that was badly aggravated by running. For the past three weeks I've switched to weight training and chugging on the elliptical machines at a nearby gym. I'm doing 5x5s of squats, deadlifts, etc three times a week and 4-5 x 3 minute hard elliptical intervals once or twice a week. In between I've been walking briskly on the bike path or hiking on trails. I'd hoped to be actually running 6 hours a week by now, but am adjusting and getting some good workouts in. By February 19, I think I'll be able to take my interval workouts outside and switch from hiking to running without beating up on my knee.
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16:42
Markus Neteler: Celebrating 18 Years of the Open Source Geospatial Foundation (OSGeo)
sur Planet OSGeoThe Open Source Geospatial Foundation (OSGeo) today celebrates its 18th anniversary, underscoring its pivotal role in the development of open source geospatial software and its impact on the world. Founded in 2006, OSGeo’s mission is to support and promote the collaborative development of open geospatial technologies and data. Over the years, it has become a cornerstone of the open geospatial community, fostering innovation, education and adoption of open source geospatial software worldwide.
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9:04
Topomine, une application web pour visualiser des données relatives à la toponymie en France
sur Cartographies numériquesTopomine est une application web permettant d'explorer et de visualiser des données relatives à la toponymie en France. Agrégeant plusieurs bases de données issues de différents producteurs, l'outil Topomine allie une recherche avancée par mots-clés qui permet de faire émerger et de révéler des logiques spatiales sous-jacentes à certains phénomènes d'études en histoire, en géographie, en études environnementales, en littérature, en études du genre ou encore en généalogie. Les données exploitables représentent plus de 5 millions de lieux interrogeables (communes, lieux-dits habités et non-habités, arbres singuliers, pics et sommets, grottes, etc...), 2,5 millions de voies nommées et 200 000 hydronymes en France.
Topomine a récemment été mis à jour avec de nouveaux fonds de cartes (cartes de Cassini, cartes d'état major et de l'IGN). Ainsi, il devient possible d’assembler des bases de données entières portant une information toponymique et de les rendre interrogeables pour l’ensemble du territoire français formant ainsi une mine de données à explorer.
Application web Topomine (exemple de requête sur les toponymes ayant un suffixe en -ville)
Aujourd’hui, les bases de données relatives à la toponymie sont éparses et maintenues par différents producteurs de données thématiques, nationaux ou locaux : l’IGN, le Ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, le SANDRE, l’École des Chartes, l’EHESS (voir par exemple l’application DicoTopo). La décentralisation et l’hétérogénéité de ces bases de données ne permet actuellement pas leur interrogation croisée de manière aisée, et de fait, leur comparaison et leur visualisation, en particulier cartographique. Cette interrogation est possible au prix d’une intégration parfois laborieuse et donc chronophage, puisque requérant des compétences multiples en matière de SIG, de programmation et de gestion de bases de données. C’est dans l’idée de pallier à ces multiples problématiques que l’application Topomine a été initialement pensée et conçue.
À ce jour, Topomine intègre 5 bases de données différentes :
- un assemblage des noms de lieux présents dans plusieurs thèmes de l’ensemble des départements de la BDTOPO v3 de l’IGN, à l’exception pour l’instant des DROM-TOM ;
- un assemblage des voies nommées issues également de la même BD TOPO v3 de l’IGN ;
- la base de données Carthage du SANDRE pour l’hydronymie ;
- la base de données FANTOIR qui ne contient initialement pas d’éléments de géométrie mais un code de commune INSEE, qui a été joint avec la base de données GeoFla ;
- la base de données de l’EHESS dite base de données démographiques Cassini : Des chefs-lieux de Cassini aux communes de France (1756-1999).
Pour en savoir plus
Mermet, E, Grosso, E. (2023). Topomine une application web d'exploration itérative de la toponymie française, [https:]]
Articles connexes
L'histoire par les cartes : DicoTopo, un outil pour étudier la toponymie et l’histoire
Les nouvelles perspectives offertes par la cartographie des odonoymes et autres toponymes
Geonames, une base mondiale pour chercher des noms de lieux géographiques
Une carte des suffixes les plus fréquents par région des noms de villes françaises
Rechercher du texte sur les cartes de la collection David Rumsey
La répartition des noms de famille en Allemagne et dans d'autres pays
Répartition géographique et sociologie des prénoms en France
L'histoire par les cartes : recensement des noms de rues en Italie portant des noms de personnes ayant résisté ou combattu contre le fascisme
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1:16
Adam Steer: Route mapping using Strava, OpenStreetMap and QQIS
sur Planet OSGeoTools used: QGIS 3.34.3 Prizren; Inkscape 1.2, a web browser Most of this is reasonably standard ‘get data, make maps’ – you can flick straight to cartographic magic for the un-standard parts if you want! The product Brief and design choices The brief for this map was to visualise a bicycle ride route – and… Read More »Route mapping using Strava, OpenStreetMap and QQIS -
11:54
Free and Open Source GIS Ramblings: Finding geospatial accounts on Mastodon
sur Planet OSGeoBesides following hashtags, such as #GISChat, #QGIS, #OpenStreetMap, #FOSS4G, and #OSGeo, curating good lists is probably the best way to stay up to date with geospatial developments.
To get you started (or to potentially enrich your existing lists), I thought I’d share my Geospatial and SpatialDataScience lists with you. And the best thing: you don’t need to go through all the >150 entries manually! Instead, go to your Mastodon account settings and under “Import and export” you’ll find a tool to import and merge my list.csv with your lists:
And if you are not following the geospatial hashtags yet, you can search or click on the hashtags you’re interested in and start following to get all tagged posts into your timeline:
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20:16
Cartographie des statues de Lénine encore en place ou démontées un siècle plus tard
sur Cartographies numériques
En Union soviétique, ainsi que dans certains pays du bloc de l'Est, de nombreuses villes possédaient des monuments à la mémoire de Lénine. Ces statues, qui se comptent en milliers, s'inscrivent dans un culte de la personnalité voué à Lénine après sa mort. De manière qui peut paraitre surprenante, 80% des 10 000 statues érigées à la gloire de Lénine sont encore en place un siècle plus tard. C'est ce que montre une étude publiée par Kometa. La carte interactive réalisée par Denis Vannier répertorie les monuments actuels et passés et montre une concentration des statues dans l'ancienne URSS. Il s'agit seulement des statues en pied installées en plein air sur des places, et non celles, très nombreuses, présentes dans les institutions d’enseignement, dans les administrations ou dans les usines.On observe que les monuments démontés concernent principalement l'Ukraine et les Pays baltes qui, après la chute de l'URSS, sont devenus indépendants et ont « déboulonné » beaucoup de statues. En Ukraine, on compte deux vagues de retrait des statues de Lénine : après l'indépendance en 1991 et après la révolution orange de 2004. On en compte cependant encore en Crimée, retournée à la Russie en 2014, et dans les territoires de Donetsk et de Lougansk contrôlés par des pro-russes (source : Wikipedia).
Statues de Lénine qui sont encore en place (en rouge) ou démontées (en bleu). Source : Kometa
La carte de Denis Vannier permet d'y avoir accès directement à partir de l'interface interactive. Il est difficile de toutes les dénombrer tant ces statues sont nombreuses. On estime qu'au moins 7 000 monuments et bustes de Lénine ont été érigés en Russie. Il en reste environ 6000 aujourd'hui.
Les deux sources utilisées pour réaliser cette carte sont la base de données des Monuments à Lénine et Wikipedia. Le site des Monuments à Lénine contient 10 588 monuments avec pour chaque monument une photographie et une description. Les monuments sont classés par région. Une page spécifique est consacrée aux monuments qui ont été démontés ou qui sont encore présents en Ukraine (avec une carte interactive réalisée sous Google Maps permettant de télécharger le fichier kmz).
La seule statue de Lénine en France se situe à Montpellier. Inaugurée par George Frêche, elle fait partie d'un groupe de 10 statues d'hommes politiques ayant marqué le XXe siècle. Le 17 septembre 2010, les statues de Jaurès, Churchill, Lénine, Roosevelt et de Gaulle ont été inaugurées à Montpellier. Puis cinq autres statues sont arrivées, deux ans plus tard, celles de Mao Zedong, Gandhi, Golda Meir, Mandela et Nasser.
Pour compléter
« Le sort réservé aux statues de Lénine, révélateur du fossé entre la Russie et l’Ukraine » (The Conversation).
Dominique Colas (2023). Poutine, l'Ukraine et les statues de Lénine, Paris, Les Presses Sciences Po. Le néologisme d’origine ukrainienne Leninopad, maître mot de cette étude, désigne la démolition des statues de Lénine.
« Combien y a-t-il de monuments à Lénine au total ? » (Lenin.tilda.ws). Cette étude assortie de graphiques vise à comparer le nombre de statues en 1991 et en 2021. Le site Lenin.tilda.ws administré par Dmitri Kudinov est une mine d'informations pour savoir quels sont les types de monuments érigés à la gloire de Lénine, quels sont les plus hauts, les projets non réalisés, l'ampleur du phénomène de démolition (Leninopad) selon les régions...
Julie Deschepper (2023). Effritement idéologique, érosion patrimoniale. L'Oukase « Sur la répression des profanations de monuments liés à l'histoire de l'État et à ses symboles » Parlement[s], Revue d'histoire politique 2023/4, n°39, p. 191-197. Comme le démontre l'oukase signé par Mikhaïl Gorbatchev le 13 octobre 1990, les gestes iconoclastes envers les monuments soviétiques débutent avant 1991 et ne sont pas le résultat de la chute de l'URSS, mais en accompagnent plutôt le processus.
« En Ukraine, statues de Lénine et drapeaux soviétiques réapparaissent dans les villes occupées » (Slate). La Russie cherche à réimposer les symboles de l'empire déchu dans les territoires occupés, tout en gommant l'identité nationale ukrainienne.
Lien ajouté le 28 février 2024
Articles connexesMediazona publie les données sur les personnes recherchées par les forces de sécurité russes. Parmi elles, des 10e de responsables politiques européens (dont Kaja Kallas 1ère ministre en Estonie) accusés d'avoir démonté des statues et mémoriaux soviétiques [https:]] pic.twitter.com/bcHbDeSVJS
— Sylvain Genevois (@mirbole01) February 28, 2024
La carte, objet éminemment politique : la guerre en Ukraine
La carte, objet éminemment politique. L'annexion de quatre territoires de l'Ukraine par la Russie
La carte, objet éminemment politique. La vision réciproque de la Russie et de l'Europe à travers la guerre en Ukraine
La cartographie russe et soviétique d'hier à aujourd'hui
L'histoire par les cartes : Biélorussie, histoire d'une nation (BnF-Gallica)
La carte, objet éminemment politique : Poutine exhibe une carte française du XVIIe siècle pour nier l'existence de l'Ukraine
L'histoire par les cartes : la recension des symboles franquistes en Espagne
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0:07
Markus Neteler: Using leafmap with actinia in a Jupyter notebook
sur Planet OSGeoThis blog post gives an overview of how to easily perform a geodata analysis of an online available dataset (here: a GeoTIFF file) with actinia and display the result in Leafmap browser-based.
The post Using leafmap with actinia in a Jupyter notebook appeared first on Markus Neteler Consulting.
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19:45
gvSIG Team: Video on the Spatial Data Infrastructure of Albacete
sur Planet OSGeoWe share an institutional video about the Spatial Data Infrastructure of Albacete, developed with the gvSIG Suite, and that is having a significant impact both at the management level and in public service. A video that, in just over a minute, allows you to understand the scope that projects of this kind have.
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19:41
gvSIG Team: Vídeo sobre la Infraestructura de Datos Espaciales de Albacete
sur Planet OSGeoCompartimos un vídeo institucional sobre la la Infraestructura de Datos Espaciales de Albacete, desarrollada con la Suite gvSIG y que está teniendo un gran impacto tanto a nivel de gestión como a nivel de servicio público.
Un vídeo que en poco más de un minuto permite entender el alcance que tienen este tipo de proyectos:
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17:30
Rendez-vous Datafoncier n°1
sur Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)Publié le 01 février 2024Programme du webinaire FLASH :Présentation d'un outil de suivi du ZAN par la DDT du Pas de Calais10h00 > Actualités sur les données foncières10h10 > Présentation d'un outil de suivi du ZAN par Jérôme Douché Responsable de la Mission connaissance et SIG DDT du Pas de Calais suivi d'un temps d'échange avec les participants.10h50 > Questions/réponses diverses11h00 > Fin et (…)
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17:30
Rendez-vous Datafoncier n°2
sur Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)Publié le 01 février 2024Programme du webinaire FLASH :Présentation de l'application BATISTATO, un outil pour connaître le parc bâti des territoires d'Ile-de-France par la (…)
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17:30
Rendez-vous Datafoncier n°3
sur Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)Publié le 01 février 2024Programme du webinaire FLASH :Présentation des données sur les zones d'activités économiques par le (…)
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16:34
Enhancing capabilities by adopting Standards for emerging technologies
sur Open Geospatial Consortium (OGC)The pace of technological change is increasing as new products are made available, with ground-breaking innovation often resulting in disruptive change. Coupled with this technological change is the explosion of data from new sources relevant to the geospatial domain, including imagery, sensor feeds, and real-time tracking data. Organisations in the public, private, and third sectors must remain agile and resilient to thrive in this emerging landscape.
Adoption of new technological innovations into large, controlled IT enterprises can be challenging, because of associated costs, integration challenges, and processes. The Open Geospatial Consortium (OGC) is a standards body that, for the last 30 years, has been working to innovate and create community driven Standards in the geospatial domain. These Standards are designed to ensure data and services are Findable, Accessible, Interoperable, and Reusable (FAIR), whilst ensuring that the developed Standards are suited to the target domain and straightforward to adopt. FAIR principles can also be applied to the integration of new technologies into large enterprises, to ensure that interaction patterns with new technologies are known, and the components offering the technology are interchangeable.
Standardising AI/ML Training DataAn OGC Standard supporting a decidedly recent phenomenon is the OGC Training Data Markup Language for Artificial Intelligence. Artificial Intelligence (AI), Machine Learning (ML), and associated applications have been the subject of research since the 1990s and earlier. However, it is only recently that the necessary computational power and, importantly, the data to train AI models, have been available. Training data is the lifeblood of AI. As the old axiom goes, “garbage in, garbage out” and AI models are no different. Additionally, AI models and their inner workings can be opaque with the ‘black box’ effect on the inputs and outputs. Therefore, standardising the management of training data is important for scientific endeavours, not least for repeatability but also the FAIR principles.
In addition to utilising AI to do typical geospatial and imagery work, we are also seeing AI used to create simulated data for training – or even nefarious purposes. Recording information about the input data to ML models in a standardised manner assists with the management and authenticity of outputs. By way of example, the image below is a completely fictional landscape created using some training data of a UK city and a Generational Adversarial Network (GAN). Standardising the training dataset metadata enables others to create their own simulated data with the same feel, whilst understanding the input parameters and likely outcomes.
Quantum Computing
While AI/ML is one current technology trend that offers a great example of how the technological landscape can change overnight, like with the 2022 release of ChatGPT, another disruptive technology set that has been on the horizon for the past few decades is Quantum Computing.
Although not likely to be a complete replacement for classical computing, quantum computing potentially offers an exponential speed-up to solving problems that are difficult for classical computing to manage. This is not necessarily because quantum computers are faster in the super computing sense, it is that their approach to solving problems is fundamentally different to classical computing. Classical computing operates by manipulating bits that are either in a 1 or a 0 position, chaining enough of these operations together enables computing machines to do useful work. Quantum computers are different in that their fundamental building block is the qubit that can exist in a superposition of both 1 and 0. There are also different types of quantum computing, circuit-based quantum computers are those that can do the headline-grabbing factoring of large numbers and therefore will be able to crack RSA encryption (which is built on the principle that factoring large numbers is hard). The second type of quantum computing is quantum annealing or adiabatic quantum computing that lends itself to solving optimisation problems.
The geospatial domain is full of optimisation problems, a typical example is the Travelling Salesperson Problem where a salesperson is required to visit several geographically dispersed locations with the constraint that they must visit each location once and only once while completing the route with the lowest cost (shortest distance, fastest drivetime). Another optimisation style problem is the Structural Imbalance Problem where an algorithm attempts to split a social network (often with a geospatial element) into friendly groups where, in a balanced graph, all relationships within the groups are friendly, while all the relationships between the groups are hostile. In the real world it is not usually possible to get a perfect result. This highlights relationships that do not fit the model (strained), which can be a predictor of conflict.
Practical quantum computing is now possible, there are several providers such as Rigetti, D-Wave, and the likes of Amazon, Google, and Microsoft who are starting to make their quantum computing resources available via the cloud. Although none of the quantum computers are sizable enough to provide a quantum advantage in the optimisation space, new quantum computers are planned that will be able to. As a stop gap, there are classical/quantum hybrid approaches that offer advantages of quantum computing but can solve practical problems.
As with many emerging technologies, the interaction patterns for these new quantum computers and hybrid solvers have not yet been standardised and are bespoke down to the hardware. The D-Wave system with the Ocean SDK for quantum computing has patterns and calls that cover many of the optimisation style calls that one could use a quantum solver for. Perhaps the next move for the OGC is to understand the impact of quantum computing through a Domain Working Group to support geospatial optimisation-style problems through a group dedicated to quantum computing and the opportunities it affords.
Where next?Keeping a close eye on emerging technologies and getting ahead of the curve, in terms of adoption, enables Standards to be created that assist with integration and can provide meaningful change to organisations. The technology is the exciting piece and can offer untold opportunities, and the quicker and smoother these technologies can be adopted into the organisations that make use of them, the better the return for businesses, users, and citizens. Good, domain-driven Standards-definition is key to a FAIRer technology landscape.
A quantum computing ad-hoc session will be held at 15:30 CET on March 27 , 2024, as part of the 128th OGC Member Meeting in Delft, Netherlands, to discuss the possibility of Standardisation in the Quantum Computing domain.
The overall theme of the meeting is “Geo-BIM for the Built Environment” and will additionally include a Geo-BIM Summit, a Land Admin Special Session, an Observational Data Special Session, a Built Environment Joint Session, a meeting of the Europe Forum, as well as the usual SWG & DWG meetings and social & networking events. Learn more and register here.Sam Meek is the Chief Technology Officer at Helyx Secure Information Systems Ltd.
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10:00
Publier une documentation VitePress sur Read The Docs
sur Makina CorpusÀ l'origine, le site de documentation Read The Docs n'acceptait que les documentations Sphinx ou MKDocs. Depuis peu, le site laisse les mains libres pour builder sa documentation avec l'outil de son choix. Voici un exemple avec VitePress.
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2:00
GeoServer Team: A Comprehensive Guide to Publishing a Shapefile in GeoServer
sur Planet OSGeoGeoSpatial Techno is a startup focused on geospatial information that is providing e-learning courses to enhance the knowledge of geospatial information users, students, and other startups. The main approach of this startup is providing quality, valid specialized training in the field of geospatial information.
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A Comprehensive Guide to publishing a Shapefile in GeoServerIn this session, we want to talk about “How to Publish Shapefile in GeoServer” comprehensively. If you want to access the complete tutorial, simply click on the link
IntroductionThe Data section contains configuration options for all the different data-related settings that GeoServer uses to access and publish geospatial information. It also describes how to load, manage, and publish data in the GeoServer web interface. Each section contains the specific pages that provide add, view, edit, and delete capabilities.
Note. In this blog post, we used GeoServer version 2.20.0.
WorkspacesA Workspace serves as a means to group and organize similar layers together. It enables you to associate multiple layers and stores with a single workspace. Each workspace can be managed independently, with its own security policies, data administrator, and web services. Generally, a workspace is created for each project, along with its corresponding stores and layers.
Add a workspaceTo create a new workspace, navigate to Data > Workspaces page. Click on the Add new workspace, then you have to enter a
Workspace Name
andNamespace URI
.- Workspace Name: It is an identifier describing your project. It must not exceed ten characters or contain spaces (due to use as an XML “prefix” when downloading content).
- Namespace URI: URI stands for Uniform Resource Identifier, is a formal system for uniquely identifying resources, and consists of two types: URL and URN. A Namespace URI does not need to point to an actual location on the web and only needs to be a unique identifier.
- Default Workspace: This setting is useful when you only have one workspace defined. The setting allows users to communicate with the web service using just the layer name (rather than prefix:layer name required when managing hundreds of workspaces). select the Default Workspace checkbox to assign this as your default workspace.
- Sometimes the same feature type needs to be published multiple times with a different mapping and with the same name. This can be done in GeoServer using Isolated Workspaces functionality.
Press the Submit button to save your new workspace.
Edit a workspaceTo view or edit a workspace, click on the Workspace name, then a workspace configuration page will be displayed.
- For Settings, select the Enabled checkbox to customize the settings and contact details for the workspace level. This allows you to define an introduction to your workspace, and override the global settings for your workspace.
- Use the checkbox located next to each service to override the Global Settings for the associated service. Once enabled, clicking on the Services link will open the settings page for the service, allowing default values for the service title, abstract, and other details to be supplied.
- The Security tab allows to set data access rules at the workspace level. To create/edit the workspace’s data access rules, check/uncheck checkboxes according to the desired role.
To remove a workspace, select it by clicking the checkbox next to the workspace. Multiple workspaces can be selected, or all can be selected by clicking the checkbox in the header. Click the Remove selected workspace(s) link. Now you will be asked to confirm or cancel the removal.
Pressing OK removes the selected workspace(s).
StoresThe Stores manage the connection parameters between GeoServer and the data sources where your spatial data reside. They provide a mechanism for GeoServer to connect to various data repositories, including file systems, databases, and cloud storage services. Each store represents a unique data source and has its configuration settings.
Add a storeTo add a Store, navigate to Data > Stores page. Click on Add new store, then you will be prompted to choose a data source. GeoServer supports several different data formats, but they are classified into three types: “Vector data”, “Raster data”, and “Cascaded Services”.
- Vector data formats include Shapefile, GeoPackage, PostGIS, and Properties. The most common and widely used option is Shapefile.
- Raster data formats include ArcGrid, GeoPackage, GeoTIFF, ImageMosaic, and WorldImage. The most used and well-known are the GeoTIFF and the WorldImage. GeoTIFF is a spatial extension of the “TIFF” format and tags image files with geographic information. A WorldImage is similar, but georeferencing information is saved in an external text file.
- Cascaded Services include WFS, WMS, and WMTS. GeoServer can proxy a remote Web Map Service and Web Map Tile Service and load it as a store in GeoServer.
Other data sources are supplied as GeoServer extensions. Extensions are downloadable modules that add functionality to GeoServer. Click the appropriate data source to configure the store, because the connection parameters vary depending on data format.
To create a Shapefile data store, follow these steps:
- Select the desired workspace from the drop-down menu.
- Enter the
Data Source Name
. Make sure the “Enabled” checkbox is selected. Otherwise, access to the store along with all the datasets defined, will be disabled for it. - In the “Shapefile location”, click on the Browse link to define the location of the shapefile.
- The DBF file format has a field for character encoding, but it doesn’t always accurately indicate the actual encoding used. As a result, it is important to specify the DBF character set correctly when decoding strings to ensure accurate interpretation of the data.
When finished, press the Save button. Now it will automatically redirect to the Add New Layer page, which will be completely described in the Layer section. Next, we will explain how to edit and remove the store.
Edit a storeTo view or edit a store, click on the Store name. A Store configuration page will be displayed. The exact contents of this page depend on the specific format of the Store. After your configuration is modified, press the Save button.
Remove a storeTo remove a Store, click the checkbox next to the store. Multiple stores can be selected, or all can be selected by clicking the checkbox in the header. Click the Remove selected stores. You will be asked to confirm the removal of the configuration for the store(s) and all resources defined under them.
Pressing OK removes the selected Store(s), and returns to the Stores page.
LayersFrom the administration interface, navigate to the Data > Layers page. On this page, you can view and edit existing layers, add a new layer, or remove a layer. It also shows you the type of layers in the Type column, with a different icon for vector and raster layers, according to the geometry shape. The Title, Workspace, and Store values of each layer are shown.
Add a layerClicking the Add a new layer, brings up a New Layer Chooser panel. The menu displays all currently enabled stores. If you want to add a new layer for a published resource, click on Publish Again. Note that when republishing the name of the new layer may have to be modified to avoid conflict with an existing layer.
The beginning sections (Basic Resource Info, Keywords, and Metadata link) provide metadata, specifically textual information that makes the layer data easier to understand and work with. The metadata information will appear in the capabilities documents which refer to the layer. These options are:
- Name: The identifier used to reference the layer in WMS requests that are filled automatically. Note that for a new layer for an already-published resource, the name must be changed to avoid conflict.
- Enabled: A layer that is not enabled won’t be available to any kind of request, it will just show up in the configuration and in REST config.
- Advertised: A layer is advertised by default. A non-advertised layer will be available in all data access requests (for example, WMS GetMap, WMS GetFeature) but won’t appear in any capabilities document or the layer preview.
- Title: The human-readable description to briefly identify the layer to clients that filled automatically. GeoServer provides an item for the title and abstract and describes how to specify metadata in different languages. By default, it’s disabled and can be enabled from the i18n checkbox.
- Abstract: It describes the layer in detail.
- Keywords: List of short words associated with the layer to assist catalog searching. To add a new keyword, enter your keyword, then press the Add Keyword button to add it.
- Metadata & Data Links: It allows linking to external documents that describe the data layer. The
Type
input provides a few example types, like FGDC or ISO19115, but allows any other type to be declared.Format
provides its mime type, whileURL
points to the actual metadata.
A Coordinate Reference System (CRS) defines how georeferenced spatial data relates to real locations on the Earth’s surface. GeoServer needs to know the CRS of your data. This information is used for computing the latitude/longitude bounding box and reprojecting the data during both WMS and WFS requests.
- Native SRS: Specifies the coordinate system the layer is stored in. Clicking the projection link displays a description of the SRS.
- Declared SRS: Specifies the coordinate system GeoServer publishes to clients.
- SRS Handling: Determines how GeoServer should handle projection when the two SRSes differ. Possible values are:
- Force declared: This is the default option and normally the best course of action. Use this option when the source has no native CRS, has a wrong one, or has one matching the EPSG code.
- Reproject from native: This setting should be used when the native data set has a CRS that does not match any official EPSG. E.g.
Lambert Conformal Conic to WGS84
. - Keep native: This is a setting that should be used in very rare cases. Keeping native means using the declared one in the capabilities documents, but then using the native CRS in all other requests.
The Bounding Box determines the extent of the data within a layer. It includes two items: “Native Bounding Box” and “Lat/Lon Bounding Box”. Generate the bounds for the layer by pressing the Compute from data and Compute from native bounds button in the Bounding Boxes section.
Vector layers have a list of the “Feature Type Details”. These include the
Property
andType
of a data source. Remember that, if you want to change your data by ArcGIS or QGIS, like add or remove features or fields, or edit the attribute table contents, there is no need to create a layer again in the GeoServer, just press the Reload feature type, so your layer will be updated.Remember that GeoServer, by default, publishes all the features that are currently available in the layer. However, if you wish to limit the features to a specific subset, you can achieve this by specifying a CQL filter in the configuration. Upon completing the layer configuration, finalize the process by pressing the Save button. This action will create the layer based on the specifications you have provided.
Edit a layerTo view or edit a layer, click on the Layer Name from the Layer page. A layer configuration page will be displayed. After your configuration is modified, press the Save button.
Remove a layerTo remove a layer, select the checkbox next to the layer. Multiple layers can be selected, or all can be selected by clicking the checkbox in the header. By clicking the Remove selected layers link, you will be asked to confirm the removal of the configuration for the layer(s) and all resources defined under them.
Press OK removes the selected layer(s), and returns to the Layers page.
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20:27
Le Cartogramme par points/The Dot Cartogram
sur Carnet (neo)cartographiqueDes petits points, des petits points, encore des petits points … Souvenez-vous, on vous l’avait dit qu’on travaillait sur des points, des petits points, encore des petits points. Quelques années plus tard, l’article qui présente l’intégralité de ce travail est enfin paru, dans la revue Cybergéo [ici] et décliné en plusieurs formats. Il est disponible dans l’environnement Rstats [là] permettant de reproduire l’ensemble des cartes publiées dans l’article, ainsi qu’en Javascript dans Observable : un cartogramme par points interactif et animé pour simplement jouer avec les paramètres est accessible sur un notebook [par ici] ; il est également implémenté dans les bibliothèques BertinJS [par là] et GeoViz [là] …
Le cartogramme par points, c’est une nouvelle carte qui appartient à la famille des “cartes par points” (dotmap) et à celle des “cartogrammes graphiques”. L’article dans Cybergéo présente la construction de la carte initiale : ses fondements théoriques, artistiques et ses héritages cartographiques, aussi celle de ses variantes qui conduisent à des cartes par points plus ou moins complexes, comme celle présentée en tête de billet. La version initiale de la carte avait été testée avec les données de la Covid-19 (voir), et présentée dans l’article Cartographier la covid-19 : quelles narrations ?.
Données d’illustrationLa mise en œuvre de ces différentes versions du cartogramme par points est proposée sur deux jeux de données libres : la population mondiale et le Produit intérieur brut mondial du Maddison Project Database (2018).
Programmes reproductiblesDifférents programmes informatiques sont également fournis pour faciliter la prise en main et l’appropriation de la carte :
> un programme R pour reproduire l’ensemble des cartes de l’article
> une entrée Bertin.JS/dot-cartograms dans la bibliothèque JavaScriptbertin
> une entrée dans Geoviz/dot-cartogram dans la bibliothèque JavaScript
> une carte interactive pour jouer à cartogrammer des points (notebook Observable)
Références académiques :Françoise Bahoken et Nicolas Lambert, « Le cartogramme par points », Cybergeo: European Journal of Geography [En ligne], Cartography, Images, GIS, document 1059, Online since 18 January 2024, connection on 23 January 2024. URL : [https:] DOI : [https:]
Article
Lambert Nicolas, 2021, “Cartographier la Covid-19 : quelles narrations ?”, RFST, Revue Francophone sur la Santé et les Territoires, [en ligne]. URL : [https:]]
Billets liés :
Lambert N., 2020, Cartographie(s) d’un débordement, Carnet de recherches Néocartographiques
Bahoken F., Lambert N., 2021 programme R transformant des quantités aréales en densité de points
Bahoken F. 2023, Le pointillisme dans l’art pictural et cartographiqueBibliothèques
Geoviz : Let’s design a “dot cartogram”
BertinJS : dotcartogramProgrammes informatiques et notebooks :
Lambert N., Bahoken F., 2023, Le cartogramme par points – The Dot Cartogram
Lambert N., 2023, Un cartogramme par points interactif sur le PIB mondial.
Bahoken F., Lambert N., 2021, Un point c’est tout !
Lambert N., 2021, Dot density map from countries (maillage irrégulier)
Lambert N., 2021, Dotdensity-map (maillage régulier)
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12:24
R4RE, une plateforme cartographique d'analyse de résilience pour les bâtiments (Observatoire de l'immobilier durable)
sur Cartographies numériquesL'Observatoire de l'immobilier durable (OID) propose R4RE, une plateforme cartographique d'analyse de résilience (Resilience for real estate). L'outil peut être utile pour tester des scénarios concernant l'exposition des bâtiments aux risques climatiques et à la biodiversité à l'échelle de la France et de l'Europe. Il est possible de l'utiliser en saisissant une adresse précise ou en naviguant directement à travers l'interface cartographique.
Pour le modèle Bat-ADAPT, les indicateurs proposés concernent les chaleurs, sécheresses, précipitations et inondations, dynamiques littorales, tempêtes et vents violents, feux de forêt, grands froids et mouvements de terrain. Pour le modèle BIODI-Bat sont pris en compte l'état de la biodiversité et la pression exercée sur elle. Le niveau de risque dépend de l'exposition et de la vulnérabilité des bâtiments en fonction de leurs profils.
R4RE, une plateforme cartographique d'analyse de résilience pour les bâtiments (source : OID)
La liste des indicateurs est mise à disposition sur le site qui classe en fonction des indicateurs prospectifs ou non prospectifs. Parmi les indicateurs prospectifs (les plus intéressants), on trouve le nombre de jours avec une température supérieure à 35°C, le nombre de nuits anormalement chaudes, le nombre de vague de chaleurs, l'écart de précipitations, le temps passé en sécheresse des sols, le nombre de jours de gel ou de vague de froid. Ces estimations varient en fonction des scénarios (ambitieux, intermédiaire, business as usual)
Les deux principales sources de données sont l'Atlas interactif du GIEC et la plateforme DRIAS Les futurs du climat du Ministère de la Transition énergétique. Le modèle d'analyse reprend les 3 scénarios du GIEC avec trois horizons : court terme (2030), moyen terme (2050) et long terme (2090) :
- le scénario ambitieux (scénarios RCP2.6 ou SSP1-2.6)
- le scénario intermédiaire (scénarios RCP 4.5 ou SSP1-4.5)
- le scénario Business-as-Usual (scénarios RCP 8.5 ou SSP1-8.5)
Le site peut être utilisé en complément du site Géorisques qui permet déjà de s'informer en fonction de l'exposition de son logement aux risques. A la différence de la plateforme R4RE, Géorisque ne permet cependant pas d'envisager des scénarios prospectifs.
Articles annexes
Dynmark : un outil de suivi des prix de l'immobilier à différentes échelles de territoire (Cerema)
Quand la crise du Covid-19 bouleverse le marché de l'immobilier aux Etats-Unis
Surmortalité attribuée à la chaleur et au froid : étude d'impact sur la santé dans 854 villes européennes
Les villes face au changement climatique et à la croissance démographique
Le rôle des arbres urbains dans la réduction de la température de surface des villes européennes
Comment la canopée urbaine de Los Angeles rend les inégalités visibles
Renforcer l'atténuation, engager l'adaptation (3e rapport du Haut Conseil pour le climat - 2021)
Comment le changement climatique a déjà commencé à affecter certaines régions du monde
Comment la cartographie animée et l'infographie donnent à voir le changement climatique
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12:23
gvSIG Team: Manual gvSIG Desktop 2.6
sur Planet OSGeoLa última versión de gvSIG Desktop además de considerables mejoras ha traído un cambio en la interfaz del programa, modernizando el aspecto de los iconos utilizados.
Hoy os compartimos el manual completo en PDF de gvSIG Desktop 2.6, que es una guía estupenda para los nuevos usuarios y a los que lleváis tiempo trabajando con gvSIG Desktop os puede ser útil para familiarizaros con los nuevos iconos.
Y aunque seréis los menos, para los que queráis seguir utilizando el juego de iconos «clásico» podéis instalarlo desde el Administrador de Complementos.
El manual de gvSIG Desktop 2.6 se puede descargar en este enlace.
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9:01
Atlas du nucléaire et cartographie engagée. L'exemple de l'Atlas populaire du Colorado nucléaire
sur Cartographies numériquesA People's Atlas of Nuclear Colorado invite les utilisateurs à explorer les géographies du nucléaire, les questions politiques, les réponses artistiques et les réflexions personnelles et universitaires sur le complexe nucléaire américain. Le Colorado constitue un microcosme pour étudier l’appareil nucléaire des États-Unis. A partir des années 1940 et pendant la guerre froide, cet État a connu l’exploitation minière de l’uranium, le traitement du plutonium, l'implantation de postes et laboratoires de défense souterrains, de bases aériennes, de bases d'essais et d'entraînements nucléaires, ainsi que le déversement puis l'oubli des déchets. L'Atlas utilise le cycle du combustible nucléaire comme cadre conceptuel et principe organisateur. Il documente les sites et développe les problèmes soulevés par l'extraction et le traitement du minerai, le raffinage et la fabrication de composants nucléaires, l'assemblage et le déploiement d'armes, ainsi que le stockage, la dépollution et la surveillance des déchets.
Cet Atlas engagé se propose d’explorer le côté obscur de ces activités : les travailleurs malades, les rivières polluées, les économies en expansion et en récession et le problème insoluble des déchets nucléaires. Les radiations demeurent un risque omniprésent et le danger intrinsèque du cycle nucléaire jette une ombre sur les promesses optimistes d’une énergie illimitée. Là où il y a de l'exploitation minière et du broyage, il y a des morts-terrains et des expositions au risque ; là où il y a production, il y a friction ; là où il y a la glorification de grands projets, il y a des déchets avec de nombreux impacts sur la santé environnementale.
Un Atlas de réflexion critique sur le nucléaire à explorer à partir du cycle du combustible(source : A People's Atlas of Nuclear Colorado)
Édité par Sarah Kanouse et Shiloh Krupar et comptant plus de quarante contributeurs à ce jour, cet Atlas en ligne cherche à rassembler diverses manières de percevoir, de comprendre et de réagir à l’héritage nucléaire. Il restitue le contexte géographique des sites nucléaires avec des images d'archives, des illustrations, assorties de nombreuses références et études scientifiques. Les dossiers thématiques abordent l’histoire, la politique, la gouvernance et les facteurs géologiques et environnementaux liés au nucléaire. Il offre un aperçu scientifique de ces héritages, faisant ressortir la complexité et éclairant les controverses qui persistent encore aujourd'hui. S'opposant à la tendance des politiques et de la recherche universitaire à l'abstraction, l'Atlas comprend des récits personnels et des réponses artistiques qui situent le nucléaire dans l'expérience vécue, matérielle et sensorielle. Presque chaque élément de contenu réapparaît au cours du chemin proposé, offrant à l’utilisateur de multiples points d’entrée dans le réseau de complexité, de controverse et de connexion qui est une caractéristique déterminante de la condition nucléaire.Accès direct à la carte interactive de l'Atlas documentant chaque site nucléaire
(source : A People's Atlas of Nuclear Colorado)L'Atlas populaire du Colorado nucléaire se veut être une ressource numérique vivante. Il souhaite s'associer à des éducateurs, des musées et des organisations locales pour compléter le nombre de sites et élargir les perspectives qu'il contient. En tant que document évolutif, il peut insuffler au débat souvent abstrait sur la politique nucléaire et son héritage environnemental des formes humanistes d’enquête et d’engagement du public. En fin de compte, l'Atlas entend être une plate-forme engageante et inclusive permettant aux membres de la communauté, aux universitaires, aux anciens combattants, aux travailleurs, aux artistes et aux activistes de façonner l'héritage des armes nucléaires au Colorado grâce à une interprétation continue et active.
Pour compléter
« Three Nuclear Atlases and their Worlds : A Response to A People’s Atlas of Nuclear Colorado » (Society and Space). "Les atlas populaires peuvent être déroutants ou illisibles si vous commencez par chercher la carte du monde". L'article replace l'Atlas populaire du Colorado nucléaire dans le double héritage de la cartographie populaire comme par exemple l'Atlas de stratégie mondiale. Guerre et paix à l'ère du nucléaire de Lawrence Freedman paru en 1985 et dans celui de la cartographie radicale telle que représentée par l'Atlas de la guerre nucléaire de William Bunge publié en 1988.
« The Nuclear War Atlas » de William Bunge (American Geographical Society Library Digital Map). La carte a été publiée pour la première fois sous forme d'affiche recto-verso en 1982 par la Society for Human Exploration et a été réédité sous forme de livre en 1988. L' Atlas de la guerre nucléaire reste « l'un des exemples les plus célèbres de lutte sociale radicale et de cartographie engagée de l’après-guerre » (Barnes, 2021).
« The Cold War. Defence and Deterrence » (OTAN). Sur les représentations de la course aux armes nucléaires et "l'équilibre de la terreur", voir les documents déclassifiés sur le site de l'OTAN.
« Bending Lines : Maps and Data from Distortion to Deception » (Leventhal Map & Education Center at the Boston Public Library, 2020).
« Cartographier la guerre nucléaire avec William Bunge » par Alexandre Chollier (Visionscarto, 2017).
« Atlas mondial de l’uranium. Faits et données relatifs à la matière première de l'ère atomique » publié en 2022 par la fondation Rosa-Luxemburg, la fondation Nuclear-Free-Future et le Réseau "Sortir du nucléaire" (à télécharger en pdf).
Articles connexes
L'histoire par les cartes : les essais nucléaires français en Polynésie et au Sahara
Bomb Blast, un outil pour cartographier l'impact d’une explosion nucléaire
La carte, objet éminemment politique. Cartographie radicale par Nepthys Zwer et Philippe Rekacewicz
L'histoire par les cartes : une géohistoire populaire de Nantes
La carte, objet éminemment politique. Vous avez dit « géoactivisme » ?
Bouger les lignes de la carte. Une exposition du Leventhal Map & Education Center de Boston
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18:09
Iota2 can also do regression
sur Séries temporelles (CESBIO)Iota2 is constantly evolving, as you can check at the gitlab repository. Bugs fix, documentation updates and dependency version upgrade are done regularly. Also, new features are introduced such as the support of Landsat 8 & 9 images, including thermal images, or for what concerns us in this post, the support of regression models.
In machine learning, regression algorithms are supervised methods1 used to estimate a continuous variable from some observations (see more here: [https:]] ). In remote sensing, regression is used to recover biophysical or agronomic variables from satellite images. For instance, it is used in SNAP ( [https:]] ) to estimate LAI from Sentinel-2 surface reflectance.
At the beginning, iota2 was designed to perform classification (estimation of categorical values) whose framework shares a lot with regression but has also some significant differences. To cite the main ones: the loss function as well as how the data are split differ between classification and regression. Some other differences may exist depending on the algorithm. Fortunately, since the end of 2023, iota2 is also able to perform regression with satellite image time series.
In this post, we are going to illustrate the workflow of the regression builder on a simple case: estimate the red band value of one Sentinel-2 date having observed other Sentinel-2 dates. Full information can be found in the online documentation: [https:]] .
1. Iota2 configuration 1.1. Data setTo illustrate iota2 capability, we set-up the following data set: One year of Sentinel2 data over the tile T31TCJ, starting on the 2018-02-10 until the 2018-12-10, from which we try to infer the red band of 2018-12-17. Yes, it is not a real problem but since Sentinel2 data are free and open-source, we can put online this toy data to let you reproduce the simulation: [https:]] .
The area in pixel size is 909*807, see figure below. We have randomly extracted pixel values from the red band for training and validation and put everything in a shapefile.
Figure 1: Area of interest (background image © OpenStreetMap contributors)
1.2. Configuration fileAs usual with iota2, the configuration file contains all the necessary information and it is very similar to what is required for classification (see [https:]] for a more detailed discussion on the configuration file). We use the following one
chain: { s2_path: "<<path_dir>>/src/sensor_data" output_path: "<<path_dir>>/Iota2Outputs/" remove_output_path: True list_tile: "T31TCJ" ground_truth: "<<path_dir>>/src/vector_data/ref_small.shp" data_field: "code" spatial_resolution: 10 proj: "EPSG:2154" first_step: "init" last_step: "validation" } arg_train: { runs: 1 ratio : 0.75 sample_selection: { "sampler": "periodic", "strategy": "all", } } scikit_models_parameters: { model_type:"RandomForestRegressor" keyword_arguments: { n_estimators : 200 n_jobs : -1 } } python_data_managing: { number_of_chunks: 10 } builders: { builders_class_name: ["i2_regression"] } sentinel_2: { temporal_resolution:10 }
1.3. Results146,579 pixels were used to train the random forest with 200 trees, and 48,860 pixels were used as test samples to compute the prediction accuracy. Iota2 returns the following accuracy results for the test set (we normalize the data to have reflectance and not digital number):
max error mean absolute error mean squared error median absolute error r2 score 0.200 0.005 6.383e-5 0.003 0.894 Well, the results are good
Given one year of data, it is possible to infer most of the pixel values 7 days later. Congrats iota2 !
If we look at the map, we can see that most of the errors are made over areas with light clouds. It would have been the case also for areas with rapid changes since we have done nothing particular to deal with changes in the regression set-up. Figures below show the true red band, the estimated one and the prediction error, computed as the normalized absolute error.
Figure 2: True Sentinel-2 red band.
Figure 3: Predicted Sentinel-2 red band.
Figure 4: Prediction error in percentage; \(\frac{|true-pred|}{true}\).
2. DiscussionIota2 offers many more possibilties, as for the classification framework: multi-run, data augmentation or spatial stratification for instance. The online documentation ( [https:]] ) provides all the relevant information: please check it if needed.
In this short post, we have used random forest, but other methods are available, in particular deep learning based methods. For now, it is possible to regress only one parameter at time. A possible extension would be to regress several variables simultaneously.
This new feature has been used to map moving date of permanent grasslands at the national scale for year 2022. This work is in progress, but you can see current results on zenodo (draft map: [https:]] ). Iota2 has simplified greatly the production of such large scale map.
3. AcknowledgementIota2 development team is composed of Arthur Vincent and Benjamin Tardy, from CS Group. Hugo Trentesaux spent 10 months (October 2021 – July 2022) in the team and started the development of the regression. Then, Hélène Touchais continued the IT developments since November 2022 and has concluded this work at the end of 2023.
Developments are coordinated by Jordi Inglada, CNES & CESBIO-lab. Promotion and training are ensured by Mathieu Fauvel, INRAe & CESBIO-lab and Vincent Thierion, INRAe & CESBIO-lab.
The development was funded by several projects: CNES-PARCELLE, CNES-SWOT Aval, ANR-MAESTRIA and ANR-3IA-ANITI with the support of CESBIO-lab and Theia Data Center. Iota2 has a steering committee which is described here.
We thank the Theia Data Center for making the Sentinel-2 time series available and ready to use.
Footnotes:Need some ground truth.
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13:00
3liz: Sortie de Lizmap Web Client 3.7
sur Planet OSGeoLizmap Web Client 3.7Nous sommes heureux d'annoncer la sortie de Lizmap Web Client 3.7, la nouvelle version majeure de l'application.
Financeurs- Geolab.re
- Parc naturel régional du Haut-Jura
- Portes du Soleil
- SDEC Energie
- Tenergie
- Terre de Provence Agglomération
- Vaucluse province in France
- WPD
Il est désormais requis d'avoir un QGIS serveur minimum 3.22. Cependant, nous recommandons fortement d'utiliser une version LTR plus récente, comme la version 3.28 ou bien même la prochaine version LTR 3.34. Consultez la feuille de route QGIS.
Pour utiliser pleinement de cette version 3.7, n'oubliez pas de mettre à jour votre extension Lizmap dans QGIS bureautique. Nous avons écrit un article dédié sur cette nouvelle version.
Fonctionnalités Refonte du thème par défautUn nouveau thème est disponible, apportant une interface utilisateur plus à jour. Il est désormais également plus facile de mettre à jour ces couleurs, car cela a été centralisé en utilisant seulement quelques variables CSS.
DatavizDans l'extension, vous pouvez trouver de nouveaux paramètres pour chaque graphique. Par exemple, il est possible de définir deux titres différents, selon l'endroit où le graphique est affiché : soit dans le panneau principal de visualisation de données, soit dans une popup.
La principale nouvelle fonctionnalité est la mise en page par Glisser&Déposer. Nous nous sommes inspirés de la fonctionnalité native de QGIS concernant la Mise en page du formulaire Glisser-Déposer. Dans Lizmap, lorsque vous avez de nombreux graphiques à afficher, vous pouvez les organiser en onglets ou conteneurs.
Dans QGIS, voici un exemple de mise en page des graphiques :
et voici le résultat dans Lizmap Web Client :
Ces nouvelles fonctionnalités ont été financées par DDTM 34.
LégendeC'est l'une des fonctionnalités les plus visibles et attendues de Lizmap, il est possible de cocher/décocher les éléments de la légende individuellement.
Nous avons également revu la façon dont Lizmap gérait les couches de base dans le projet (fonds de carte). Les utilisateurs sont désormais invités à utiliser le groupe
baselayers
dans la légende pour définir les couches de base. À l'aide d'une version à jour de l'extension, vous pouvez utiliser l'onglet "Fonds" pour vous aider.Nous avons également décidé d'utiliser le même comportement que dans QGIS Bureautique concernant la manière dont les utilisateurs manipulent la légende. Désormais, lors de l'activation d'un groupe, toutes les couches incluses dans ce groupe ne seront pas activées automatiquement.
Pour inclure ces nouvelles fonctionnalités, beaucoup de re-factorisation du code Javascript ont été réalisées sous le capot, financées par le département du Calvados et Le Grand Narbonne.
Mise en pageDans l'extension, un nouveau panneau sur les mises en page a été ajouté. Vous êtes invités à jeter un œil à ces nouveaux paramètres. Il est possible de :
- définir par mise en page si nous l'activons ou non sur l'interface Web. Avant, il était seulement possible de choisir d'activer ou non l'impression à l'échelle des propriétés du projet
- définir les groupes Lizmap qui sont autorisés à accéder à chaque mise en page
- définir une icône personnalisée lorsque la mise en page est basée sur un atlas.
- réduire le nombre de formats disponibles. Plus besoin de Javascript pour avoir une interface simplifiée
- ...
Ces nouvelles fonctionnalités ont été financées par DDTM 34.
Au cours de ce travail, nous avons déprécié l'extension QGIS serveur AtlasPrint. Lizmap utilise désormais la fonctionnalité native de QGIS Serveur pour exporter en PDF un élément de l'atlas.
Edition WebDAVFaunalia a contribué directement au code source de Lizmap en ajoutant le support WebDAV dans le formulaire d'édition lorsque l'outil d'édition a été défini sur stockage WebDAV. Vous pouvez consulter la documentation en ligne. Cela fonctionne également lors de l'affichage de la popup.
Relations entre les tablesLe support des relations 1-n entre tables a été amélioré lors de l'édition de ces couches :
- Ajout d'une nouvelle entité "enfant" depuis la popup d'un parent
- Affichage du tableau des entités "enfants" depuis le formulaire d'édition d'un parent
Ces améliorations des relations 1-n ont été financées à la fois par la ville d'Avignon et Valabre.
Dessin Texte et mesureIl est possible d'annoter la carte avec du texte dans l'outil de dessin. Les mesures ont également été améliorées.
Ces fonctionnalités ont été financées par le Territoire de Belfort et Lons-le-Saunier.
ContraintesLors du dessin de certaines géométries sur Lizmap, vous pouvez désormais définir une contrainte de longueur et/ou d'angle.
ActionDe nouveaux "contextes" ont été ajoutés à la fonctionnalité Actions. Avant, les actions n'étaient disponibles que pour le contexte d'entité. Avec la version 3.7, les actions peuvent être définies dans le contexte couche (similaire à la fonctionnalité native de QGIS) ou même au niveau duprojet.
Ces nouveautés ont été financées par Porte du Soleil.
JavascriptEn raison du travail qui a été effectué lors de la légende ou d'autres fonctionnalités de Lizmap, certains scripts Javascript précédents pourraient ne plus fonctionner et devront être adaptés.
Bonne nouvelle, certains de ces anciens scripts pourraient ne plus être nécessaires. Par exemple, à propos de la légende, vous êtes invités à passer au thème QGIS natif.
TéléchargementVous pouvez télécharger le dernier zip sur notre page des sorties.
Vous pouvez également consulter la liste des modifications complètes ("changelog") de la version 3.7.0, en anglais.
ModulesÀ la date du 29 janvier 2024, voici la liste des modules qui ont été mis à jour pour 3.7 :
Les autres modules sont en cours.
Nous espérons que vous allez apprécier cette nouvelle version ?
L'équipe 3Liz
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13:00
3liz: Release of Lizmap Web Client 3.7
sur Planet OSGeoLizmap Web Client 3.73Liz is pleased to announce the release of Lizmap Web Client 3.7, the new major version of the application.
Funders- Geolab.re
- Parc naturel régional du Haut-Jura
- Portes du Soleil
- SDEC Energie
- Tenergie
- Terre de Provence Agglomération
- Vaucluse province in France
- WPD
It is now required to have a minimum QGIS server 3.22. However, we highly recommend using the latest LTR version, i.e. version 3.28 or even soon the next LTR version 3.34. Check the QGIS roadmap.
To take full advantage of this version 3.7, don't forget to update your Lizmap plugin in QGIS desktop. We've written an article dedicated to this new version.
Features Overhaul of the default themeA new theme is available, bringing a more up-to-date UI. It's now also easier to update these colors, because it has been centralized using just a few CSS variables.
DatavizIn the plugin, you can find new settings about each plot. For instance, it's possible to set two different titles, depending on where the plot is displayed : either in the main dataviz panel or within a popup.
The main new feature is the Drag&Drop layout. We have been inspired by the native feature in QGIS about the Drag&Drop form layout. In Lizmap, when you have many plots to display, you can organize them in tabs or containers.
In QGIS, this is an example of the layout :
and the result in Lizmap Web Client :
These new features have been funded by DDTM 34.
LegendThis is one of the most visible and expected feature in Lizmap, it's possible to check/uncheck the legend items individually.
We also reviewed the way Lizmap was managing base layers in the project. Users are now invited to use the
baselayers
group in the legend to define your base layers. With an updated version of the plugin, use the "Baselayers" tab to help you.We also decided to stick to the same behavior as in QGIS Desktop on how users are manipulating the legend. Now, when enabling a group, it will not toggle "ON" all layers included within this group.
To include these new features, a lot of Javascript refactoring has been done under the hood, funded by both Calvados province and Le Grand Narbonne.
LayoutsIn the plugin, a new panel about layouts landed. You are invited to have a look to these new settings. It's possible to :
- set per layout if we enable it or not on the web interface. Before, it was only possible to choose to enable or not printing capabilities at the project level.
- define Lizmap groups which are allowed to access this layout
- define a custom icon when the layout is based on an atlas.
- reduce the number of formats available. No more Javascript needed to have a simplified interface
- ...
These new features have been funded by DDTM 34.
During this work, we deprecated the QGIS server plugin AtlasPrint. Lizmap now uses the native feature from QGIS Server for printing an atlas feature.
Editing WebDAVFaunalia contributed directly on the Lizmap source code by adding WebDAV support in form when the editing widget has been set to WebDAV storage, check the online documentation. It works as well when displaying the popup.
Relations between tablesThe support of relations 1-n between tables has been improved when editing these layers :
- Adding new "child" features from the popup of a parent
- Displaying the table of "child" features from the editing form of a parent
These improvements about relations 1-n were funded by both Avignon city and Valabre.
Drawing Text and measuresIt's possible to annotate the map with some text in the drawing tool. Measures have been improved as well.
These features were funded by Territoire de Belfort and Lons-le-Saunier.
ConstraintsWhen digitizing some geometries on Lizmap, you can now set some length and/or angle constraints.
ActionsSome new scopes have been added the Actions feature. Before, it was only the feature scope. With 3.7, Actions can be defined in the layer scope or (similar to QGIS native actions feature) or even in the project scope.
These new features have been funded by Porte du Soleil.
JavascriptDue to the work which have been done during the legend or other features in Lizmap, some previous Javascript script might not work anymore and need to be adapted.
Good news, some of these legacy scripts might not be needed anymore. For instance, about the legend, you are invited to switch to the native QGIS theme feature.
DownloadYou can download the latest zip on our releases page.
You can also check the full changelog of version 3.7.0.
ModulesAs of January 29rd 2024, this is the list of modules which have been released for 3.7 :
Other modules are work-in-progress.
We hope you will enjoy this new version ?
The 3Liz team
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10:30
Le cartogramme par points
sur CybergeoLes cartes par points sont un type de représentation des quantités de populations discrètes et de stock agrégées mais présentées sous une forme désagrégée, avec une implantation planimétrique/géométrique et graphique de type point. Si plusieurs de ces cartes ont historiquement pu être mises au point, nous proposons le cartogramme par points (ou Dot cartogram en anglais), une nouvelle carte participant des cartogrammes graphiques et issue d’une articulation entre la carte en signes proportionnels, la carte en densité de points de Montizon (1830) et le cartogramme circulaire de Dorling (1996). Sa particularité est de renouveler l’image cartographique du point dans son rendu (motif perçu), qui révèle des plages ou des surfaces de points juxtaposés et dans son processus de réalisation. Sa définition est accompagnée d’une application empirique menée sur deux jeux de données examinés en parallèle : les effectifs de population et le produit intérieur brut des pays du monde, observés de 195...
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10:30
Les horizons de la géographie : une métaphore pour comprendre les situations problématiques ?
sur CybergeoLe double objectif de cet article exploratoire est de souligner l’intérêt de la métaphore de l’horizon dont la richesse herméneutique aide à appréhender différentes réalités, et de montrer comment la métaphore peut favoriser la compréhension des situations problématiques dans le cadre d’une géographie pragmatiste. Trois sens figurés du mot horizon sont développés. Voir les horizons géologiques invite à questionner la nature des discontinuités paysagères identifiées dans le monde, entre unité de base, ligne de démarcation et point de repère. Se mou-voir dans l’environnement, à l’invitation des horizons phénoménologiques, trouve une application dans l’étude géographique des espaces tels qu’ils sont vécus par leurs usagers. S’é-mou-voir à la faveur de la fusion des horizons proposée par Gadamer (1960) permet de discuter de la possibilité de se rapprocher d’un autre horizon et de souligner que la compréhension dans le dialogue contribue à l’élaboration d’un horizon commun. Pour chacune ...
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10:30
Intercity relationships between 293 Chinese cities quantified based on toponym co-occurrence
sur CybergeoThis dataset presents relationships between 293 Chinese cities, derived using a toponym co-occurrence method. By employing this toponym co-occurrence analysis method, the strength of an intercity relationship is determined by the frequency at which both city names appear on the same webpage. The data was sourced from the Common Crawl web archive's 2019 April Corpus, which contains approximately 2.5 billion web pages. The primary aim of this dataset is to provide a fresh perspective on intercity relationships, thereby facilitating studies on city network analysis. The dataset not only encourages further research into comparing this innovative city relationship with other established networks but is also a showcase that presents a straightforward methodology that can be applied to other archives within Common Crawl. As such, it paves the way for longitudinal studies that probe the evolution of city networks.
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10:30
Pierre Blanc, 2023, Géopolitique et climat, Paris, SciencesPo Les presses, 248 p.
sur Cybergeo"Après le choc de la pandémie de Covid, la secousse géopolitique de la guerre déclenchée en Ukraine le 24 février 2022 est venue rappeler au vieux continent que les conflits violents n’étaient pas relégués au passé. Puis les vagues de canicule, de sécheresse et d’incendies sans précédent de l’été 2022 ont ouvert les yeux des Européens sur les ruptures climatiques qui s’annoncent, dont les conséquences seront sans commune mesure avec celles du Covid et de la guerre" (p.7). Ainsi commence l’ouvrage écrit par Pierre Blanc, chercheur en géopolitique à l’Institut d’Études Politiques de Bordeaux et à Bordeaux Sciences Agro, rattaché à l’UMR LAM. Dans cette introduction (p.7-12), l’auteur explique que les Européens prennent à peine conscience des effets des changements climatiques, constat jusque-là assez circonscrit à quelques sphères de la société. Il y explique la philosophie de cet ouvrage, une approche par la géopolitique, soit les dimensions du politique (puissance, pouvoir, sécurité...
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10:30
Le détroit de Bab el-Mandeb : frictions littorales et maritimes
sur CybergeoCet article propose une analyse des frictions littorales et maritimes par l’étude du rapport entre les flux maritimes mondialisés et la sûreté maritime (maritime security). Depuis les côtes, des acteurs locaux ou régionaux peuvent influer sur les échanges maritimes d’échelle globale qui passent au large. Le cas du détroit de Bab el-Mandeb et de ses prolongements naturels (Sud de la mer Rouge et golfe d’Aden) en offre une bonne illustration : grand axe de trafic maritime, ce détroit se caractérise par la présence de la piraterie somalienne, principalement entre 1995 et 2015, ainsi que par l’extension en mer de la guerre civile au Yémen, qui s'est transformée en un conflit régional. Cette recherche, fondée sur des données maritimes ainsi que sur une étude approfondie du contexte régional, cherche à identifier les influences des actes de violence sur les différents trafics du détroit de Bab el-Mandeb. L'influence des contextes politiques des États riverains sur les flux maritimes en ha...