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1:00
GeoServer Team: GeoServer 2.24.2 Release
sur Planet OSGeoGeoServer 2.24.2 release is now available with downloads (bin, war, windows), along with docs and extensions.
This is a stable release of GeoServer recommended for production use. GeoServer 2.24.2 is made in conjunction with GeoTools 30.2, and GeoWebCache 1.24.2.
Thanks to Jody Garnett (GeoCat) for making this release, everyone who contributed, and to Georg Weickelt and Peter Smythe for preflight testing.
Security ConsiderationsThis release addresses security vulnerabilities and is considered an essential upgrade for production systems.
See project security policy for more information on how security vulnerabilities are managed.
Release notesImprovement:
- GEOS-11213 Improve REST external upload method unzipping
- GEOS-11246 Schemaless plugin performance for WFS
- GEOS-11219 Upgraded mail and activation libraries for SMTP compatibility
Bug:
- GEOS-9757 Return a service exception when client provided WMS dimensions are not a match
- GEOS-11051 Env parametrization does not save correctly in AuthKey extension
- GEOS-11223 Layer not visible in preview/capabilities if security closes the workspace, but allows access to the layer
- GEOS-11224 Platform independent binary doesn’t start properly with default data directory
- GEOS-11235 preauthentication filters - session reuse even after having logout
- GEOS-11241 ModificationProxy breaks information hidding on CatalogInfo.accept(CatalogVisitor) exposing the proxied object
- GEOS-11250 WFS GeoJSON encoder fails with an exception if an infinity number is used in the geometry
- GEOS-11255 Multiple inserts in WPS with different idGen strategies does not work
Task:
- GEOS-11220 Upgrade Hazelcast from 5.3.1 to 5.3.6
- GEOS-11245 Update OSHI from 6.2.2 to 6.4.10
For the complete list see 2.24.2 release notes.
Community UpdatesCommunity module development:
- GEOS-10933 keycloak logout NPE
Community modules are shared as source code to encourage collaboration. If a topic being explored is of interest to you, please contact the module developer to offer assistance.
About GeoServer 2.24 SeriesAdditional information on GeoServer 2.24 series:
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18:45
Chercher la petite bête
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueAprès un dernier recensement en 2022, la Ville de Bourges ouvre de nouveau à la saisie son Atlas de la Biodiversité. Cet outil, basé sur un formulaire Survey 123, propose aux Berruyers d’observer des espèces et de signaler celles aperçues ou entendues sur le territoire. Cette opération de science participative sensibilise le grand public et apporte des données de suivi des animaux, grâce à la géolocalisation. Les signalements aident à réaliser une cartographie déterminante pour les opérations de protection et de suivi. Depuis son lancement en 2011, ce recensement a été ouvert trois fois et compte 14 espèces à observer. Le formulaire invite les habitants à indiquer l’état de l’animal (en vol, posé, au sol...), ses caractéristiques (oeuf, jeune, adulte, cadavre...), sa localisation et son emplacement (jardin, sentier, etc.).
+ d'infos :
ville-bourges.fr
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15:02
Guide de visualisation de données (Office des publications de l'Union européenne)
sur Cartographies numériques
L'Office des publications de l'Union européenne a publié en novembre 2023 un Guide de visualisation de données accessible en open data (très pratique avec son format interactif). Le site vous guide à travers 7 sujets importants liés à la visualisation de données :- Principes de conception
- Narration de données
- Pièges
- La Dataviz en pratiques
- Types de graphiques
- Accessibilité
- Grammaire des graphismes
Guide de visualisation de données (source : Office des publications de l'Union européenne, 2023)
Le Guide de visualisation de données contient des pages sur les formats de fichiers de données, le nettoyage des données, les outils de visualisation et la conception de datavisualisations. C'est une ressource utile pour tous, des débutants aux experts. Le guide a été créé par l'Office des publications de l'Union européenne en collaboration avec l'expert en visualisation de données Maarten Lambrechts. L'un des points forts de ce Guide est de pointer les pièges courants que l'on peut rencontrer et de proposer des trucs et astuces pour les éviter.
Et pour mettre en pratique les conseils de ce Guide, on peut aller consulter les cartes et datavisualisations contenues dans la publication Régions de l'UE en 2023 réalisée à partir des données Eurostat. Le site contient des cartes et des graphiques interactifs sur la population, la santé, l'éducation, le marché du travail, la société numérique, les activités économiques, l'environnement et les ressources naturelles...Régions de l'Union européenne en 2023 (source : site interactif Eurostat)
Le site data.europa.eu propose également une rubrique Datastories qui fournit des articles de réflexion et des analyses originales à partir de jeux de données. Les sujets abordés sont nombreux : des compétences numériques par pays aux données de gestion des inondations, du recyclage des déchets aux données de mobilité durable...
Un exemple de datavisualisation publiée dans la rubrique Datastories (source : data.europa.eu)Articles connexes
Image, le générateur de cartes statistiques d'Eurostat
Données de population par mailles de recensement d'1 km² (Eurostat)
Cartes et données sur l'enseignement et la formation en Europe (source Eurostat)
Le vieillissement de la population européenne et ses conséquences
Les régions européennes selon 18 indicateurs d'innovation (RIS)
Comment différencier infographie et data visualisation
Datavisualisation : une population mondiale à 8 milliards d’habitants (Visual Capitalist)
Les cartes et data visualisations de Topi Tjukanov : entre art et cartographie
Les dataviz des journaux vont-elles trop loin dans la manière de représenter le nombre de morts du coronavirus ?
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12:25
GeoSolutions: Partnership with Nordiq Group
sur Planet OSGeoYou must be logged into the site to view this content.
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10:39
Mises à jour janvier 2024
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNTous les nouveaux services web géoservices et toutes les mises à jour de données en téléchargement du mois de janvier 2024.
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7:30
[Equipe Oslandia] Vincent, développeur Full-Stack SIG
sur OslandiaChaque mois, nous avons le plaisir de vous présenter un membre de l’équipe, aujourd’hui c’est Vincent qui a répondu à nos questions
Etudiant en licence Géographie et Aménagement, Vincent découvre les SIG et décide que la tech fera partie de sa vie professionnelle Avec un master pro Système d’Information Géographique et Analyse des Territoires en poche, il enchaîne les expériences avec une préférence pour les missions orientées écologie et développement durable.
Depuis mai 2022, Vincent est développeur SIG back-end et front-end chez Oslandia. Formateur QGIS, conseil et support, il contribue également à la communauté open source, comme tout récemment avec la traduction française de la documentation PostGIS
[Chez Oslandia, 10% du temps de travail est consacré à la contribution open source]Giros 360, un projet développé en partenariat avec Egis et récompensé au BIM World. Le projet : produire des jumeaux numériques pour le développement durable de l’estuaire de la Gironde. Un projet très technique qui a été étendu au Canada sur le fleuve Saint Laurent.
Transitec, un observatoire de la mobilité sur 3 villes indiennes (Kochi, Ahmedabad, Nagpur). Le projet : développer une plateforme WebSIG alliant cartographie et data visualisation (base de données spatiales, une API REST Python, un front-end avec React, OpenLayers, Chart.JS). Un projet versé en open source qui devrait très prochainement équiper la ville de Rabat au Maroc.
Ses technologies de prédilection« Aucune et toutes ! j’aime toucher à tout ! bases de données, API et frontend »
Sa philosophie« Apprendre en permanence, faire de la veille pour pouvoir maitriser toute la chaîne des SIG, un domaine en perpétuel mouvement ! »
Oslandia en 1 motConfiance !
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15:00
Redirection des URLs des géoservices du Géoportail vers celles de la Géoplateforme
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNL’infrastructure Géoportail ne sera plus accessible au-delà du 15 mars 2024.
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11:51
L’Arctique, qu’en est-il dans le contexte géopolitique actuel ? :
sur Veille cartographieCet article L’Arctique, qu’en est-il dans le contexte géopolitique actuel ? : est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Sur environ 21 millions de km2, l’Arctique étend sa géographie sur de vastes territoires aux riches ressources. Mais qui dit ressources, dit engouement de nombreux pays à venir les exploiter. Nous pouvons commencer par un état des lieux des ressources disponibles. Selon des études américaines, 22% des hydrocarbures mondiaux (pétrole et gaz) se trouvent sous […]
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11:43
L’Iran, une puissance en mouvement
sur Les cafés géographiquesThierry COVILLE (1), L’Iran, une puissance en mouvement, Editions Eyrolles, 2022
Ecrit un an avant que le Hamas ne déclenche un conflit majeur en Israël, dans lequel de nombreux politologues mettent en cause le rôle de l’Iran, l’ouvrage de T. Coville analyse les aspirations de l’Etat chiite à être « la » grande puissance régionale du Moyen-Orient. Destiné à un lectorat de non-spécialistes ayant une image souvent manichéenne et simpliste de l’Iran actuel, il a deux mérites principaux : replacer les décisions des dirigeants politiques dans une histoire de long terme – l’influence culturelle de la Perse sur le Moyen-Orient et l’Asie centrale se compte en millénaires – et montrer la complexité et les paradoxes de la société iranienne contemporaine.
L’auteur pose une question qui pourrait sembler superflue à beaucoup d’Occidentaux, tant la réponse leur semble évidente : la République islamiste (instaurée en 1979) est-elle une théocratie ? Pourtant sa réponse n’est pas catégorique ; c’est un « oui, mais ».
Certes le système politique est contrôlé par le « Guide » (docteur en jurisprudence islamique) qui décide de la politique générale de l’Etat, arbitre les conflits entre les pouvoirs, est le chef du pouvoir judiciaire et le directeur de l’audiovisuel. Et le Conseil des Gardiens de la Constitution veille à la compatibilité entre les lois de l’Islam et la Constitution. Mais il a fallu concilier des institutions de nature autoritaire et des institutions de nature démocratique (élection d’un Président de la République et de parlementaires). Et Khomeiny lui-même a déclaré en 1988 qu’on devait faire prévaloir la raison d’Etat sur la loi religieuse si cela était nécessaire. Dans plusieurs domaines le pragmatisme l’emporte, comme dans la Justice où certaines dispositions du Code pénal islamique sont considérées comme inapplicables. On peut donc parler d’un projet hybride politico-religieux.
Les islamistes au pouvoir depuis 1979 ne forment pas un bloc compact. Ils sont divisés en plusieurs courants qui débattent de la place de l’Etat de droit, des relations avec le reste du monde, de l’identité islamique. On peut distinguer une extrême-droite qui ne reconnait que la charia, une droite voulant allier la prééminence de l’ordre moral islamique avec l’ouverture économique au monde extérieur, une droite pragmatique favorable à un ordre moral moins sévère et à une libéralisation de l’économie, et des « réformateurs » privilégiant l’exportation de la révolution et la réduction des inégalités.
Les élections parlementaires de 2020 ont ramené les radicaux au pouvoir et le Président élu en 2021 est un ultraconservateur, Ebrahim Raïssi. Pourquoi cet échec des réformateurs ? Il ne traduit pas un enthousiasme populaire pour l’extrémisme religieux car le pourcentage d’abstentions a été très élevé, mais une déception des classes moyennes à l’égard du gouvernement précédent qui n’a pas su redresser une situation économique désastreuse (l’inflation a été de 36,4% en 2020).
Principaux responsables de cette paupérisation de la population qui est un frein à la démocratisation du régime, les choix politiques américains. Alors que sous la présidence de Rafsandjani, en 1989, l’Iran renouait des contacts avec les républiques d’Asie centrale et l’Arabie saoudite mais aussi normalisait ses relations avec les Européens, les tensions avec les Etats-Unis restaient fortes. Dans les années 2000 (présidence d’Ahmadinejad), le programme militaire iranien faisant une large place à l’enrichissement de l’uranium amène les E.U. et l’U.E. à prendre des sanctions économiques : réduction des exportations pétrolières et gel des avoirs iraniens à l’étranger, ce qui entraine une forte récession économique en 2012. Les négociations reprennent sous la présidence du modéré Rohani. Un Accord international (2) est signé en juillet 2015 à Vienne, qui prévoit la levée des sanctions contre l’Iran en échange de son engagement à réduire le taux d’enrichissement de l’uranium. Mais la décision de D. Trump de sortir de cet accord nucléaire en mai 2018 engendre un traumatisme sur la scène politique iranienne. Elle affaiblit les modérés. Face aux représailles américaines à l’égard de toute entreprise commerçant avec l’Iran, les Européens sont incapables de défendre leur « souveraineté économique ». Les exportations pétrolières s’effondrent. Cette nouvelle crise favorise la mouvance proche du « Guide » et l’élection du radical Ebrahim Raïssi.
Le fossé est croissant entre les dirigeants et la société, mais ce qui soude les Iraniens, c’est leur « nationalisme de résistance », appuyé sur une identité originale nourrie par une langue et une culture très anciennes (3). Au XIXe siècle il s’est manifesté contre les Russes et les Anglais qui imposaient leur domination économique. Aujourd’hui, il est facile de désigner les Etats-Unis et Israël comme les ennemis majeurs de l’Iran. Même si une grande part de la société est opposée au Velayat-e-faqih (primauté du religieux sur le politique), elle ne souhaite pas un affrontement avec le pouvoir qui mènerait au chaos que connaissent les voisins irakien et syrien. Le nationalisme assure la cohésion.
Dans un contexte régional instable, l’Iran cherche à appuyer sa politique de « profondeur stratégique » sur les chiites. La république islamique a favorisé et subventionné la création de milices chiites en Irak (al-Hashd al Shaabi) et au Liban (Hezbollah), soutient les alaouites en Syrie et les Houthis zaïdites au Yémen. Mais le gouvernement des mollahs fait aussi preuve de pragmatisme en entretenant de bonnes relations avec des Etats voisins non chiites, comme l’Arménie chrétienne, le Tadjikistan et a un accord de partenariat avec la Russie contre l’Azerbaïdjan, pays pourtant à majorité chiite. Quant aux relations avec l’Afghanistan, elles sont complexes : faut-il célébrer la victoire des talibans contre les Etats-Unis ou combattre des sunnites radicaux ? Dans son soutien à l’« axe de résistance » contre Israël, l’Iran défend les Palestiniens, ce qui explique le rôle central du Hezbollah dans sa politique régionale. Mais peut-il assumer le rôle de grande puissance régionale alors que son poids économique est bien inférieur à celui des deux poids lourds du Moyen-Orient, l’Arabie saoudite et la Turquie ?
Le pays dispose pourtant d’atouts économiques notables : des réserves pétrolières et gazières considérables, des infrastructures de qualité dans lesquelles l’Etat a beaucoup investi, un positionnement géographique central entre Europe et Asie, une société moderne urbanisée (75% de la population en 2019) et éduquée (4). La situation économique désastreuse a donc des raisons politiques, externes et internes. L’effet des sanctions internationales (5) est primordial, mais aussi le choix d’une économie rentière basée sur le clientélisme dans les années 1990 puis exacerbée sous la présidence d’Ahmadinejad. Peu d’emplois sont créés, ce qui crée la colère des jeunes diplômés et la « fuite des cerveaux ». La crise économique se double d’une crise environnementale profonde (pollution atmosphérique et pénurie d’eau).
Les aspirations de l’Iran à être la grande puissance régionale du Moyen-Orient dépendent donc de facteurs internes (succès des modérés ou des radicaux) et de facteurs externes (l’Iran pourrait remplacer la Russie sanctionnée dans l’approvisionnement de l’Europe en gaz, mais son implication dans le nouveau conflit israélien risque de renforcer son isolement).
Notes :
(1) Thierry Coville est chercheur à l’IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques). Docteur en sciences économiques, il effectue depuis près de 20 ans des recherches sur l’Iran contemporain et a publié de nombreux articles et plusieurs ouvrages sur ce sujet.
(2) Le Plan d’action global commun est signé par l’Iran, le P5+1 (les cinq membres du Conseil de Sécurité et l’Allemagne) et l’Union européenne.
3) Les lecteurs les plus âgés se souviennent sans doute du fastueux Festival des arts de Shiraz-Persépolis organisé par le chah Mohammad Reza Pahlavi en 1971/1972 pour célébrer le 2500e anniversaire de la fondation de l’Empire perse. Les dirigeants du monde entier y furent invités.
4) Paradoxalement le régime islamique a favorisé la scolarisation des filles des milieux traditionnalistes en rassurant les parents.
5) Aux sanctions américaines s’ajoute le placement de l’Iran sur la liste noire du GAFI, organisation mondiale de surveillance du blanchiment de capitaux et du financement du terrorisme. Le refus de transparence financière des Iraniens s’explique par leur souci de ne pas dévoiler leur soutien au Hezbollah et aux groupes palestiniens.
Michèle Vignaux, janvier 2024
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9:30
Le cartogramme par points
sur CybergeoLes cartes par points sont un type de représentation des quantités de populations discrètes et de stock agrégées mais présentées sous une forme désagrégée, avec une implantation planimétrique/géométrique et graphique de type point. Si plusieurs de ces cartes ont historiquement pu être mises au point, nous proposons le cartogramme par points (ou Dot cartogram en anglais), une nouvelle carte participant des cartogrammes graphiques et issue d’une articulation entre la carte en signes proportionnels, la carte en densité de points de Montizon (1830) et le cartogramme circulaire de Dorling (1996). Sa particularité est de renouveler l’image cartographique du point dans son rendu (motif perçu), qui révèle des plages ou des surfaces de points juxtaposés et dans son processus de réalisation. Sa définition est accompagnée d’une application empirique menée sur deux jeux de données examinés en parallèle : les effectifs de population et le produit intérieur brut des pays du monde, observés de 195...
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9:30
Les horizons de la géographie : une métaphore pour comprendre les situations problématiques ?
sur CybergeoLe double objectif de cet article exploratoire est de souligner l’intérêt de la métaphore de l’horizon dont la richesse herméneutique aide à appréhender différentes réalités, et de montrer comment la métaphore peut favoriser la compréhension des situations problématiques dans le cadre d’une géographie pragmatiste. Trois sens figurés du mot horizon sont développés. Voir les horizons géologiques invite à questionner la nature des discontinuités paysagères identifiées dans le monde, entre unité de base, ligne de démarcation et point de repère. Se mou-voir dans l’environnement, à l’invitation des horizons phénoménologiques, trouve une application dans l’étude géographique des espaces tels qu’ils sont vécus par leurs usagers. S’é-mou-voir à la faveur de la fusion des horizons proposée par Gadamer (1960) permet de discuter de la possibilité de se rapprocher d’un autre horizon et de souligner que la compréhension dans le dialogue contribue à l’élaboration d’un horizon commun. Pour chacune ...
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9:30
Intercity relationships between 293 Chinese cities quantified based on toponym co-occurrence
sur CybergeoThis dataset presents relationships between 293 Chinese cities, derived using a toponym co-occurrence method. By employing this toponym co-occurrence analysis method, the strength of an intercity relationship is determined by the frequency at which both city names appear on the same webpage. The data was sourced from the Common Crawl web archive's 2019 April Corpus, which contains approximately 2.5 billion web pages. The primary aim of this dataset is to provide a fresh perspective on intercity relationships, thereby facilitating studies on city network analysis. The dataset not only encourages further research into comparing this innovative city relationship with other established networks but is also a showcase that presents a straightforward methodology that can be applied to other archives within Common Crawl. As such, it paves the way for longitudinal studies that probe the evolution of city networks.
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9:30
Pierre Blanc, 2023, Géopolitique et climat, Paris, SciencesPo Les presses, 248 p.
sur Cybergeo"Après le choc de la pandémie de Covid, la secousse géopolitique de la guerre déclenchée en Ukraine le 24 février 2022 est venue rappeler au vieux continent que les conflits violents n’étaient pas relégués au passé. Puis les vagues de canicule, de sécheresse et d’incendies sans précédent de l’été 2022 ont ouvert les yeux des Européens sur les ruptures climatiques qui s’annoncent, dont les conséquences seront sans commune mesure avec celles du Covid et de la guerre" (p.7). Ainsi commence l’ouvrage écrit par Pierre Blanc, chercheur en géopolitique à l’Institut d’Études Politiques de Bordeaux et à Bordeaux Sciences Agro, rattaché à l’UMR LAM. Dans cette introduction (p.7-12), l’auteur explique que les Européens prennent à peine conscience des effets des changements climatiques, constat jusque-là assez circonscrit à quelques sphères de la société. Il y explique la philosophie de cet ouvrage, une approche par la géopolitique, soit les dimensions du politique (puissance, pouvoir, sécurité...
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9:30
Le détroit de Bab el-Mandeb : frictions littorales et maritimes
sur CybergeoCet article propose une analyse des frictions littorales et maritimes par l’étude du rapport entre les flux maritimes mondialisés et la sûreté maritime (maritime security). Depuis les côtes, des acteurs locaux ou régionaux peuvent influer sur les échanges maritimes d’échelle globale qui passent au large. Le cas du détroit de Bab el-Mandeb et de ses prolongements naturels (Sud de la mer Rouge et golfe d’Aden) en offre une bonne illustration : grand axe de trafic maritime, ce détroit se caractérise par la présence de la piraterie somalienne, principalement entre 1995 et 2015, ainsi que par l’extension en mer de la guerre civile au Yémen, qui s'est transformée en un conflit régional. Cette recherche, fondée sur des données maritimes ainsi que sur une étude approfondie du contexte régional, cherche à identifier les influences des actes de violence sur les différents trafics du détroit de Bab el-Mandeb. L'influence des contextes politiques des États riverains sur les flux maritimes en ha...
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9:30
La trajectoire paysagère d’un bassin versant bocager normand depuis deux siècles : enjeux méthodologiques pour une étude géohistorique
sur CybergeoLe paysage bocager des régions du nord-ouest de la France a subi d'importantes transformations depuis le milieu du XXème siècle, sa structure ayant été altérée par le remembrement, la rationalisation et l'agrandissement des parcelles, ainsi que par l’arasement des haies. Les conséquences environnementales de ces mutations paysagères sont importantes : érosion hydrique, pollution des milieux aquatiques, perte en biodiversité. L’objectif de l’article est d’étudier la trajectoire d’évolution d’un espace agricole représentatif des mutations qui affectent les paysages bocagers depuis deux siècles. À travers l’exemple d’un petit bassin versant historiquement bocager du Calvados (Le Tortillon), la méthodologie repose sur une approche géohistorique, combinant l’utilisation d’archives, notamment cadastrales, et d’images aériennes au sein d’un Système d’Information Géographique (SIG). Bien que les cadastres renseignent précisément sur l’occupation du sol des paysages du XIXème siècle, l’artic...
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9:30
Riccardo Ciavolella, 2023, Pétaouchnok(s). Du bout du monde au milieu de nulle part, Paris, La Découverte, 2023, 413 p.
sur CybergeoC’est d’abord une curiosité amusée qui pousse les géographes à feuilleter cet ouvrage. Cet "atlas imparfait", aux dires de son auteur, invite à un tour du monde en 80 lieux, et peut d’abord se comprendre comme une invitation au voyage, exercice que nous pratiquons si souvent dans nos grands et petits livres, récits des voyages d’exploration historiques, ou petits récits de voyage au fil de nos histoires. C’est une cartographie sémantique tout autant que géographique que l’auteur nous propose, en indiquant au début de ses notices des éléments de contexte et d’usage pour situer chaque lieu. Aux antipodes des "non-lieux" scrutés par Marc Augé, l’attention est ici portée sur la singularité de chacun de ces bouts du monde, voire des antimondes comme ceux qu’a étudiés Roger Brunet, ou encore des tiers lieux, qu’évoquent par exemple Armelle Choplin et Olivier Pliez dans leur ouvrage sur "la mondialisation des pauvres".
Pendant plus de 400 pages, l’auteur s’amuse et sait divertir ses lecteur...
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9:30
CybergeoNetworks 2: una robusta aplicación de aprendizaje para publicaciones científicas
sur CybergeoCon motivo del coloquio desarrollado el 26 de mayo del 2016 para celebrar el 20º aniversario de la revista Cybergeo, cuatro jóvenes investigadores unieron fuerzas para desarrollar una aplicación altamente pionera para el análisis geográfico, estadístico y semántico de datos extraídos del conjunto de datos de Cybergeo (texto completo y metadatos) y además datos en línea asociados a la revista entre 1996 y 2015 (motores de búsqueda, Tweets, citas y publicaciones), naciendo así el sitio CybergeoNetworks. Fieles a nuestra política de publicación a acceso abierto, tal aplicación permite localizar visual y estadísticamente datos referentes a los autores de los artículos de la revista, países estudiados y citados, o incluso quien estudia qué. Compuesto por cuatro módulos interactivos, la información proporcionada por sus análisis es remarcable. Por ejemplo, es posible agrupar países por redes semánticas, visualizar y asociar a estos según la procedencia de los autores (información que Lode...
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9:30
CybergeoNetworks 2: a deep learning application for scientific publishing
sur CybergeoOn the occasion of the conference held on May 26, 2016 to celebrate the 20th anniversary of Cybergeo magazine, four young researchers joined forces to develop a pioneering application for geographic, statistical and semantic analysis of data extracted from the Cybergeo corpus (full text and metadata), as well as online data associated with the magazine between 1996 and 2015 (search engines, tweets, citations and publications). The CybergeoNetworks website was born. In keeping with our open-access publishing policy, it provides visual and statistical access to data on the location of the authors of the journal's articles, the countries studied and cited, and who is studying whom? Comprising four interactive modules, the information provided by its analyses is impressive. For example, it is possible to group countries by semantic networks, to visualize the states to which authors are affiliated (information that Lodel, OpenEdition's publishing software, does not provide in its current...
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9:30
CybergeoNetworks 2 : une application d’apprentissage profond au service de la publication scientifique
sur CybergeoA l’occasion du colloque du 26 mai 2016 pour la célébration des 20 ans de la revue Cybergeo, quatre jeunes chercheurs se sont associés pour développer une application tout à fait pionnière d’analyses géographique, statistique et sémantique des données extraites du corpus de Cybergeo (plein texte et métadonnées), mais aussi des données en ligne associées à la revue entre 1996 et 2015 (moteurs de recherche, tweets, citations et publications). Le site CybergeoNetworks, est né. Fidèle à notre politique de publication en accès ouvert, il permet de situer visuellement et statistiquement des données sur la localisation des auteurs des articles de la revue, les pays étudiés et cités, ou encore qui étudie qui ? Composée de quatre modules interactifs, l’information fournie par ses analyses est impressionnante. A titre d’exemple, il est possible de regrouper des pays par réseaux sémantiques, de visualiser les États auxquels sont affiliés les auteurs (une information que Lodel, le logiciel d’éd...
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9:07
Conseils & Astuces ArcGIS Online - N°184
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierN° 184 - Afficher des horaires d'ouverture dans des fenêtres contextuelles avec Arcade
Dans mon précédent article (Conseils & Astuces ArcGIS Online n°183), je vous ai montré comment présenter dans une fenêtre contextuelle, à l'aide d'une expression Arcade, des informations concernant les heures d'ouverture et de fermeture associés à vos points d'intérêts. En commentaire de l'article, vous m'avez demandé comment prendre en charge le cas où l'on dispose de deux plages d'ouverture par jour (généralement le matin et l'après-midi). Dans cet article je vous propose une adaptation de l'expression Arcade pour ce cas de figure.
Reprenons l'exemple d'une couche de points contenant les déchèteries sur la région Ile-de-France. Cette dernière contient les horaires d'ouverture et de fermeture, pour chaque matinée et chaque après-midi des différents jours de la semaine, stockés dans 28 champs de type "Heure uniquement" (Time only). Par exemple, pour la journée du lundi, les horaires se trouveront dans les champs Ouverture_Lundi_AM et Fermeture_Lundi_AM pour le matin et dans les champs Ouverture_Lundi_PM et Fermeture_Lundi_PM pour l'après-midi.
Dans mon cas, l'absence de valeur sur l'heure d'ouverture le matin ou l'après-midi indique une fermeture le matin ou l'après-midi.
Voici comment vous pouvez préparer les déchèteries ouvertes ou fermées en fonction du jour et de l'heure actuels.- Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous afficherez l'interface de définition des fenêtres contextuelles. Vous supprimerez la liste des champs proposée par défaut et vous ajouterez une expression Arcade.
- Vous donnerez tout d'abord un nom à votre expression, par exemple ici : "Table des horaires d'ouverture".
- Vous saisirez ensuite l'expression Arcade suivante :
Expects($feature,"*") // Fonction permettant de construire la partie horaire du calendrier function GenererPlagesHoraires(HeureMinCalendrier,HeureMaxCalendrier,HeureOuvertureAM, HeureFermetureAM,HeureOuverturePM,HeureFermeturePM){ // Récupération du nombre minutes de la plage horaire du calendrier var MinutesDansLaPlage = DateDiff(HeureMaxCalendrier,HeureMinCalendrier,"minutes") // On initialise la variable du bloc HTML de la cellule du tableau var strTD = "" // Si les heures d'ouverture AM et d'ouverture PM sont bien défines if(!IsEmpty(HeureOuvertureAM) && !IsEmpty(HeureOuverturePM)){ // Position des heures d'ouverture dans la journée var MinutesOuvertureAM = DateDiff(HeureOuvertureAM,HeureMinCalendrier,"minutes") var MinutesFermetureAM = DateDiff(HeureFermetureAM,HeureMinCalendrier,"minutes") var MinutesOuverturePM = DateDiff(HeureOuverturePM,HeureMinCalendrier,"minutes") var MinutesFermeturePM = DateDiff(HeureFermeturePM,HeureMinCalendrier,"minutes") // Calcul du nombre de pixels pour séparer bloc vert pour l'ouverture du matin var pixels_ouvertureAM = Floor((MinutesOuvertureAM/MinutesDansLaPlage)*350) var pixels_fermetureAM = Floor((MinutesFermetureAM/MinutesDansLaPlage)*350) // Calcul du nombre de pixels pour séparer bloc vert pour l'ouverture de l'après-midi var pixels_ouverturePM = Floor((MinutesOuverturePM/MinutesDansLaPlage)*350) var pixels_fermeturePM = Floor((MinutesFermeturePM/MinutesDansLaPlage)*350) // Bloc gris (fermé) strTD += "<td style='width: "+pixels_ouvertureAM+"px;background-color: #cccccc'></td>" // 1er Bloc vert (ouvert le matin) strTD += "<td style='width: "+(pixels_fermetureAM - pixels_ouvertureAM)+ "px;background-color: #00cc00;color: #FFFFFF;font-size: 7pt;text-align: center'>" +Text(HeureOuvertureAM,"H:mm")+" - " + Text(HeureFermetureAM,"H:mm") +"</td>" // Bloc gris (fermé entre matin et après-midi) strTD += "<td style='width: "+(pixels_ouverturePM - pixels_fermetureAM)+ "px;background-color: #cccccc;color: #FFFFFF;font-size: 7pt;text-align: center'></td>" // 2ème Bloc vert (ouvert l'après-midi) strTD += "<td style='width: "+(pixels_fermeturePM - pixels_ouverturePM)+ "px;background-color: #00cc00;color: #FFFFFF;font-size: 7pt;text-align: center'>" +Text(HeureOuverturePM,"H:mm")+" - " + Text(HeureFermeturePM,"H:mm") +"</td>" strTD += "<td style='width: "+ (350 - pixels_fermeturePM) + "px;background-color: #cccccc;font-size: 7pt;'></td>" } // Si l'entité a une plage d'ouverture uniquement le matin else if(!IsEmpty(HeureOuvertureAM) && IsEmpty(HeureOuverturePM)){ // Position des heures d'ouverture dans la journée var MinutesOuvertureAM = DateDiff(HeureOuvertureAM,HeureMinCalendrier,"minutes") var MinutesFermetureAM = DateDiff(HeureFermetureAM,HeureMinCalendrier,"minutes") // Calcul du nombre de pixels pour séparer bloc vert pour l'ouverture du matin var pixels_ouvertureAM = Floor((MinutesOuvertureAM/MinutesDansLaPlage)*350) var pixels_fermetureAM = Floor((MinutesFermetureAM/MinutesDansLaPlage)*350) // Bloc gris (fermé) strTD += "<td style='width: "+pixels_ouvertureAM+"px;background-color: #cccccc'></td>" // Bloc vert (ouvert le matin) strTD += "<td style='width: "+(pixels_fermetureAM - pixels_ouvertureAM)+ "px;background-color: #00cc00;color: #FFFFFF;font-size: 7pt;text-align: center'>" +Text(HeureOuvertureAM,"H:mm")+" - " + Text(HeureFermetureAM,"H:mm") +"</td>" strTD += "<td style='width: "+ (350 - pixels_fermetureAM) + "px;background-color: #cccccc;font-size: 7pt;'></td>" } // Si l'entité a une plage d'ouverture uniquement l'après-midi else if(IsEmpty(HeureOuvertureAM) && !IsEmpty(HeureOuverturePM)){ // Position des heures d'ouverture dans la journée var MinutesOuverturePM = DateDiff(HeureOuverturePM,HeureMinCalendrier,"minutes") var MinutesFermeturePM = DateDiff(HeureFermeturePM,HeureMinCalendrier,"minutes") // Calcul du nombre de pixels pour séparer bloc vert pour l'ouverture de l'après-midi var pixels_ouverturePM = Floor((MinutesOuverturePM/MinutesDansLaPlage)*350) var pixels_fermeturePM = Floor((MinutesFermeturePM/MinutesDansLaPlage)*350) // Bloc gris (fermé) strTD += "<td style='width: "+pixels_ouverturePM+"px;background-color: #cccccc'></td>" // Bloc vert (ouvert l'après-midi) strTD += "<td style='width: "+(pixels_fermeturePM - pixels_ouverturePM)+ "px;background-color: #00cc00;color: #FFFFFF;font-size: 7pt;text-align: center'>" +Text(HeureOuverturePM,"H:mm")+" - " + Text(HeureFermeturePM,"H:mm") +"</td>" strTD += "<td style='width: "+ (350 - pixels_fermeturePM) + "px;background-color: #cccccc;font-size: 7pt;'></td>" } // Si aucune heure d'ouverture ou de fermeture n'est défninie alors c'est fermé toute la journée ! else{ // On créé 2 blocs gris cote à cote pour une largeur totale de 350px strTD += "<td style='width: 175px;background-color: #CCCCCC'></td>" strTD += "<td style='width: 175px;background-color: #CCCCCC'></td>" } return strTD } var ListeJourSemaine=["Lundi","Mardi","Mercredi","Jeudi","Vendredi","Samedi","Dimanche"] // 2 variables pour définir les heures min et max des journées dans le calendrier var HeureMinCalendrier = Time("07:00") var HeureMaxCalendrier = Time("19:00") // On initialise la variable contenant le bloc HTML de la fenêtre contextuelle var strHTML = "" // On commence à construire le paragraphe de texte strHTML += "<p style='font-family: Arial; font-size: 10pt;'>Horaires d'ouverture<br/>" // Varaible pour gérer la bordure supérieure du premier tableau var border_top = "" strHTML += "<table style='border-collapse: collapse;font-family: Arial; font-size: 10pt;'>" strHTML += "<tr style='border: Opx solid;'><td style='width: 80px;'> </td>" strHTML += "<td style='width: 175px;text-align: left;font-size: 7pt;'>"+ Text(HeureMinCalendrier,"H:mm")+"</td>" strHTML += "<td style='width: 175px;text-align: right;font-size: 7pt;'>"+ Text(HeureMaxCalendrier,"H:mm")+"</td>" // Fin du tableau strHTML += "</tr></table>" // On boucle sur chaque jour de la semaine for(var i in ListeJourSemaine) { var NomDuJour = ListeJourSemaine[i] // On démarre un nouveau tableau strHTML += "<table style='border-collapse: collapse;font-family: Arial; font-size: 9pt;'>" // Si la ligne courante (i va de 0 à 6) est égal au jour courant (ISOWeekday de 1 à 7) // alors on met la ligne en gras et su fond gris clair if(i == ISOWeekday(Today())-1){ strHTML += "<tr style='border: 1px solid;" + border_top + ";" strHTML += "background-color: #EEEEEE;font-weight: bold'>" }else{ strHTML += "<tr style='border: 1px solid;" + border_top + ";'>" } // La première cellule contient le nom du jour strHTML += "<td style='width: 80px;padding-left: 5px;'>" + NomDuJour+"</td>" // On récupère les heures d'ouverture et de fermeture correspondant à ce // jour de la semaine var HeureOuvertureAM = $feature["Ouverture_"+NomDuJour+"_AM"] var HeureFermetureAM = $feature["Fermeture_"+NomDuJour+"_AM"] var HeureOuverturePM = $feature["Ouverture_"+NomDuJour+"_PM"] var HeureFermeturePM = $feature["Fermeture_"+NomDuJour+"_PM"] // Appel de la fonction remplissant la partie horaire du calendrier strHTML += GenererPlagesHoraires(HeureMinCalendrier,HeureMaxCalendrier,HeureOuvertureAM, HeureFermetureAM,HeureOuverturePM,HeureFermeturePM) // Fin du tableau strHTML += "</tr></table>" // Pour les autres jours/tableaux, la bordure supérieure sera invisible border_top = "border-top: 0px;" } strHTML += "</p>" // On renvoie le bloc de code HTML de la fenêtre contextuelle return { type : 'text', text : strHTML }
- Votre carte affiche désormais les déchèteries avec des fenêtres contextuelles présentant le tableau des horaires d'ouverture pour le matin et l'après-midi.
Bonne route sur ArcGIS Online ! Pour retrouver l'ensemble des Conseils & Astuces ArcGIS Online, cliquez sur ce lien.
- Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous afficherez l'interface de définition des fenêtres contextuelles. Vous supprimerez la liste des champs proposée par défaut et vous ajouterez une expression Arcade.
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9:00
Notre compilation de cartes électorales
sur Makina CorpusChez Makina Corpus, nous aimons produire des cartes sur le thème des élections et rédiger des articles techniques et retours d'expérience. Voici une rétrospective de nos plus belles réalisations.
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8:30
Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur MappemondeL’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
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8:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur MappemondeLes classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.
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8:30
L’accessibilité dans les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien
sur MappemondeL’analyse des parentés observées entre les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien nous a conduits à mettre en évidence cinq spécificités de l’accessibilité insulaire. À partir de ces traits fonctionnels, le but poursuivi par cette étude est donc de modéliser l’accessibilité insulaire. Pour ce faire, nous examinons la nodalité et la réticularité des ports et aéroports insulaires régionaux.
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8:30
La morphologie de la ligne de flux. Une nouvelle variable visuelle issue du système de Cartes figuratives de Minard
sur MappemondeLes travaux de Charles-Joseph Minard (1781–1870) sur la cartographie des flux et des « mouvements de transports » sont historiquement reconnus. Unanimement salués, ils font l’objet de mentions régulières voire d’anthologies, mais qui s’intéressent davantage à l’image qu’à la méthode mise en œuvre. L’examen de la fabrique de son « système de Cartes figuratives » nous conduit à présenter les apports fondamentaux de Minard sur la sémiologie cartographique des flux/mouvements, à révéler l’ancrage théorique, méthodologique et conceptuel de ces cartes. L’analyse de la forme perçue sur la carte du dessin de la ligne de flux nous pousse à introduire une nouvelle variable visuelle : la morphologie.
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8:30
Atlas des phares du bout du monde, Autrement, 2021
sur Mappemonde« L’Atlas des phares du bout du monde » est l’une des traductions (il y en aurait onze) du Breve Atlas de los Faros del Fin del Mundo paru en 2020 aux éditions Menguantes. L’auteur, graphiste de métier, déclare dans son avant-propos qu’il est « loin d’être un expert en la matière » et que c’est la rencontre fortuite entre son envie de faire un de ces « atlas poétiques (…) capables de vous transporter dans des lieux reculés depuis le confort de votre canapé », ses compétences de graphiste et un travail qu’il a dû faire, au cours duquel il a dessiné des phares qui ont été la source de son inspiration.
L’ouvrage présente 34 phares qui sont, d’abord, tous localisés sur une belle carte du monde, sans limite étatique, réalisée dans des tons bleus et jaunes pâles. Puis, chaque phare est présenté en quatre pages, toujours selon la même structure. D’abord une page de texte accompagnée de quelques informations de localisation et, en vis-à-vis, le dessin, réalisé par l’auteur, du phare dans so...
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8:30
Atlas des grandes découvertes. De l’Antiquité à nos jours, Autrement, 2021
sur MappemondeVoici un atlas pour lequel Stéphane Dugast, pour l’écriture des textes, Xemartin Laborde, pour les cartes, et Audrey Lagadec, pour les illustrations, ont été associés pour le plus grand plaisir de nos connaissances et de notre imagination. Un atlas est un recueil de cartes, celui-ci, comme l’explique l’introduction, est « une ode à la carte » offrant de célébrer les grandes découvertes qui ont rythmé l’histoire de l’humanité.
L’atlas est découpé en cinq grandes parties organisées de manière chronologique. Chaque page comporte une notice présentant un(e) ou plusieurs explorateurs/exploratrices et, le plus souvent, une carte qui décrit les voyages d’exploration effectués. Les cartes sont, en apparence, très simples avec peu de figurés, mais elles permettent une visualisation claire et précisent des faits d’exploration décrits dans la notice. Certaines pages montrent le monde « connu » à des époques plus anciennes avec des mappemondes comme celle de Ptolémée ou d’Al Idrissi. Le texte es...
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8:30
Grand Atlas de l’Antiquité romaine, Autrement, 2019
sur MappemondeCet atlas, rédigé par Christophe Badel et Hervé Inglebert avec des cartes de Claire Levasseur, offre un vaste panorama de l’Empire romain : de ses prémices au IIIe siècle av. J.-C. aux conséquences de son effondrement au Ve/VIe siècle.
Cet atlas commence par des cartes anciennes reconstituant la vision des anciens de leur monde. La plus célèbre de ces cartes est celle dite « Table de Peutinger », copie médiévale d’un original du IIe/IVe siècle, qui représente le réseau routier de l’Empire romain. Page 63, l’atlas fait également figurer l’énigmatique carte romaine d’Agrippa. L’hypothèse est qu’il s’agissait d’une carte, située sur le temple du forum d’Auguste, qui aurait été créée pour montrer l’étendue de l’Empire au 1er siècle. Carte ou liste de lieux ou de routes perdue irrémédiablement, mais dont l’existence supposée montre tout l’intérêt des autorités impériales pour leur immense territoire et pour ce moyen très pratique de se l’approprier, tout au moins par le regard, qu’est l’o...
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8:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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8:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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8:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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10:35
3D: Déambulation Du Dimanche - #50
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Au cours des années 1939-1941, le Département des impôts de la ville de New York et la Works Progress Administration du gouvernement fédéral se sont associés pour photographier chaque bâtiment de la ville de New York. Le but du projet était de rationaliser la détermination de la valeur des propriétés immobilières dans les cinq arrondissements. Il en a résulté une collection unique de plus de 700 000 photographies qui fournissent un témoignage inestimable de l'environnement bâti de la ville de New York juste avant que la ville ne soit radicalement transformée par les grands projets de travaux publics des années 50 et 60.
Dans les années 1980, le ministère des Finances de la ville de New York, ayant décidé que les photos fiscales de 1939 à 1941 étaient trop anciennes pour être utiles, a de nouveau entrepris de produire une série similaire de photographies fiscales au niveau des bâtiments. Cependant, au lieu d'utiliser des caméras 35mm, l'agence a décidé d'utiliser une nouvelle technologie, les disques vidéo laser, qui ont été utilisés pour capturer chaque bâtiment sous la forme d'une seule image vidéo. Les séries de photos produites sont évocatrices de l’époque mais de moindre qualité que les images prises une quarantaine d’années auparavant.
Ce dimanche, c'est l'application Tax Photo Time Warp (TP:TW NYC) que je vous propose pour parler de 3D. Elle a été développé pour offrir une nouvelle façon de découvrir l'histoire de Manhattan (au sud de la 14e rue) à travers ces photos fiscales représentatives de deux époques de l'histoire de la ville, les années 1940 et 1980. Il vous suffira de cliquer sur un bâtiment 3D pour visualiser la photo fiscale et de basculer entre les années 40 et 80 en utilisant le bouton "Time Warp" situé en haut à droite de l'écran. Si vous recherchez une adresse spécifique en cliquant sur "Search".
Techniquement, l'application a été développée avec Vite et Bootstrap, le SDK ArcGIS Maps for Javascript 4.x, l'API Luna Imaging et anime.js. Les modèles de bâtiments 3D de New York 2014 fournis par NYC OTI via le portail de données ouvertes de New York, les bâtiments 3D construits après 2014. ont été créés par l'auteur à l'aide d'ArcGIS CityEngine et les modèles de navires et d'avions ont été créés par l'auteur à l'aide d'Asset Forge.
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7:35
Cartographier les dérives de migrants en mer Égée (Forensic Architecture)
sur Cartographies numériques
Forensic Architecture est une agence de recherche basée à Goldsmiths (Université de Londres), qui enquête sur les violations des droits de l'homme, notamment les violences commises par les États, les forces de police, les militaires ou les entreprises. Elle travaille en partenariat avec des institutions de la société civile, des militants de base aux équipes juridiques, en passant par les ONG internationales et les médias, pour mener des enquêtes avec et au nom des communautés et des individus touchés par les conflits, par la brutalité policière, les problèmes frontaliers et la violence environnementale.Les enquêtes utilisent des techniques de pointe en matière d'analyse spatiale et architecturale, d'investigation open source, de modélisation numérique et de technologies immersives, ainsi que de recherche documentaire, d'entretiens situés et de collaborations scientifiques. Les résultats de ces investigations ont été présentés dans des salles d'audience nationales et internationales, des enquêtes parlementaires et des expositions dans certaines des plus grandes institutions culturelles du monde et dans les médias internationaux, ainsi que devant des tribunaux citoyens et des assemblées communautaires.
De 2020 à 2023, Forensis et Forensic Architecture ont collecté, vérifié, daté et géolocalisé des milliers d'images, de vidéos et de positions GPS envoyées par les demandeurs d'asile afin de cartographier les preuves de leur dérive en mer Égée. Le résultat est Drift-backs in the Aegean Sea, une carte interactive basée sur le Web qui archive et vérifie plus de 2 000 cas de « drift-backs ». Le « drift-back » est une pratique controversée utilisée par certains services de garde-côtes, notamment en mer Égée, pour dissuader les demandeurs d'asile et les empêcher d'atteindre leur destination. Il s'agit d'intercepter des bateaux transportant des demandeurs d'asile dans les eaux territoriales de l'UE, puis de les refouler vers le pays d'où ils sont partis. Cela se ferait parfois en chargeant des personnes sur des radeaux gonflables ou d'autres petits bateaux sans moteurs ni provisions. Ces navires sont ensuite laissés à la dérive, au gré des vents et des courants pour les ramener vers leur pays de départ.
Cartographier les dérives de migrants en mer Égée (Forensic Architecture)
S'étendant sur une période de trois ans, du 28 février 2020, date à laquelle le premier cas de dérive a été signalé et documenté, jusqu'au 28 février 2023, cette plateforme cartographique interactive héberge des preuves de 2010 cas de dérives en mer Égée, impliquant 55 445 personnes. Sur ces 2010 incidents, 700 se sont produits depuis ou au large des côtes de l'île de Lesbos, 238 au large de l'île de Chios, 424 au large de l'île de Samos, 283 au large de Kos, 212 au large de Rhodes et 123 dans le reste du Dodécanèse. 26 « refoulements » ont été enregistrés, ce qui signifie que les demandeurs d'asile ont été interceptés dans les eaux grecques avant d'être emmenés à la frontière et laissés à la dérive. Un cas a été enregistré dans le nord de la mer Égée, au large de l’île de Samothraki. FRONTEX, l'agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes, s'est révélée avoir été directement impliquée dans 122 de ces cas, alors qu'elle en a connaissance de 417, les ayant enregistrés dans ses propres archives opérationnelles codifiées et masquées comme des « interdictions d'entrée ». Dans 3 cas, le navire de guerre allemand de l'OTAN FGS Berlin était présent sur les lieux. 32 cas ont été enregistrés où des personnes ont été jetées directement à la mer par les garde-côtes helléniques, sans utiliser aucun dispositif de flottaison. Dans 3 de ces cas, les personnes ont été retrouvées menottées. 24 personnes seraient mortes lors d'une opération de refoulement, et au moins 17 autres ont disparu. La plateforme se veut un outil non exhaustif et évolutif, qui sera mis à jour à intervalles réguliers tant que cette pratique se poursuivra.
Autres exemples d'enquêtes conduites par Forensic Architecture :
- Destruction des infrastructures médicales à Gaza
- Le bombardement aérien russe du Théâtre dramatique de Marioupol
- Incendie dans le camp de réfugiés de Moria
- L'explosion du port de Beyrouth
- Génocide et réparations dans la Namibie coloniale allemande
- Extraction d'or et violences dans la forêt amazonienne
- Violation de données privées par NSO Group avec un logiciel de contacts liés à la Covid-19
- Brutalités policières lors des manifestations Black Lives Matter
- Refoulement de migrants à Mélila
- Conquérir et diviser. L'éclatement de l'espace palestinien par Israël
Articles connexesThe map of @TheEconomist seems to be directly inspired from Frontex. But by removing the numbers and indicating the borders and arrows, the message is partly different [https:]] pic.twitter.com/7XdUW2G0HT
— Sylvain Genevois (@mirbole01) March 3, 2024
Cartographier les migrations internationales
Étudier les migrations à l'échelle infranationale pour l'ensemble des pays du monde
Rapport mondial 2023 sur les déplacements internes (Conseil norvégien pour les réfugiés)
S'exercer à cartographier des migrations dès la classe de 4ème
MigrExploreR pour géo-visualiser des migrations internationales
Une datavisualisation sur les migrants décédés dans le monde entre 2014 et 2019
Une data-story sur les flux de migrations en Afrique
La carte, objet éminemment politique : la cartographie du mouvement Black Lives Matter
Des outils d'IA gratuits pour identifer un lieu à partir d'une photographie
OSINT, enquêtes et terrains numériques (revue Hérodote, 2022/3)
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12:46
Stefano Costa: I libri che ho letto nel 2023
sur Planet OSGeoFine anno, tempo di elenchi (bilanci, no). Nel 2023 ho letto pochino.
David Graeber, DebitoQuesto è il libro che mi ha impegnato per più tempo. È un saggio, ed era da tempo che non leggevo un saggio, non sono più abituato allo stile e all’impegno richiesto. È un testo rivoluzionario a livello sociologico e psicologico (smonta il senso di colpa!) ancora più che a livello economico. Ha uno stile abbastanza scorrevole (per me) ma comunque è denso di nozioni, confronti tra fatti e conseguenze scagliate come frecce ad ogni pagina. Non conoscevo David Graeber prima della pubblicazione postuma del libro L’alba di tutto (The dawn of everything), scritto a quattro mani con l’archeologo David Wengrow. Ho pensato che non ci fosse nessuna fretta e fosse invece un bene partire da qui per conoscere il lavoro di Graeber, e sono contento di averlo fatto.
Enzo Barnabà, Morte agli Italiani!Il massacro di Aigues-Mortes, che il 17 agosto 1893 costò la vita a nove operai italiani linciati da una folla inferocita, rappresenta un episodio capitale nella storia dei rapporti tra l’Italia e la Francia.
Questo libro di Enzo Barnabà è breve, preciso e senza orpelli.
Racconta la tragedia del massacro di Aigues-Mortes, le premesse che lo hanno reso possibile, le conseguenze che ebbe in Italia capaci di sconvolgere gli assetti politici sia del governo sia delle giovani formazioni socialiste.
Lucia Tozzi, Dopo il turismoQuesto libro è stato scritto di getto nei mesi del lockdown. Trafigge come una spada convinzioni e luoghi comuni, in modo anche un po’ crudele. Il turismo è insostenibile. Distrugge le comunità delle persone, i luoghi abitati da queste comunità.
Luca Mercalli, Salire in montagna
Sono passati appena 3 anni e sembra la cronaca della rivoluzione mancata di un altro pianeta. Abbiamo già dimenticato tutto quello che è accaduto e quello che avrebbe potuto accadere.
Il libro può essere “acquistato” gratuitamente in formato ePub dal sito dell’editore nottetempo.La cosa che mi fa incazzare di questo libro è che è scritto da una persona di cui avevo una stima incondizionata, frutto di altre letture (non della trasmissione televisiva). Ma questo libro sembra scritto da Paolo Rumiz. Infatti Mercalli ce l’ha con chi abita in montagna, con chi non ci abita più, con chi non ci abita e non ci ha mai abitato. Lo scopo principale del libro è lamentarsi della burocrazia che gli impedisce di costruire la sua seconda casa, dove può trovare riparo dalle zanzare della sua abitazione indipendente di pianura. Salire in montagna sarebbe un antidoto al riscaldamento globale, dice il sottotitolo, ma se va bene dire una fesseria del genere al bar, trovarlo propagandato da un climatologo fa per l’appunto incazzare. Le montagne tutte e in particolare le Alpi sono uno degli ecosistemi più fragili di fronte al cambiamento climatico, e per fortuna questa semplice nozione fa capolino qua e là tra le pagine del libro. Costruire una casa recuperando un edificio storico invece che buttarlo giù è una bella cosa, molto costosa (ma Mercalli alla fine non ci dice quanto) ma ne vale la pena perché potremmo ripopolare la montagna lavorando al computer, secondo la logica deformata di questo libro. Non ne sopporto l’idea di fondo perché è la propaganda di una idea individualista, come se i venti milioni di abitanti della pianura padana potessero trovare spazio per la loro seconda casa sulle montagne e salvarsi così tutti dal riscaldamento globale (che li lascerà comunque a morire di fame). E nelle prime pagine è riportata virgola per virgola una pseudoetimologia sull’idronimo della Dora presa da Wikipedia, che mi ha reso da subito indisposto. E non c’è nemmeno una carta geografica.
Assia Djebar, Bianco d’AlgeriaQuesto libro è sicuramente quello che ho faticato di più a leggere, nonostante non sia molto lungo. Trasuda nella sua componente principale un dolore immenso, il dolore di un popolo intero. Parla dello sradicamento ineludibile di chi deve usare la lingua degli oppressori per esprimersi, anche quando questa espressione raggiunge livelli altissimi e anche quando gli oppressori francesi si manifestano come la più grande sciagura mai accaduta al popolo algerino. Parla di profondissimi legami con le persone che per la libertà hanno messo tutto il proprio corpo e non solo il proprio intelletto, a costo di perdere la vita.
Chinelo Okparanta, Sotto gli alberi di udalaQuesto libro inizia con una carta geografica della Nigeria, e questo potrebbe essere sufficiente a metterlo vicino al mio cuore (perché mi piacciono molto le carte geografiche). Ritrovo il Biafra devastato e dilaniato dalla ferocia della guerra civile di Metà di un sole giallo, con un pesantissimo supplizio in più. La protagonista è costretta a vivere con crescente angoscia la propria omosessualità, perché in Nigeria è un peccato mortale che viene punito in modo sommario, anche con linciaggi. Ma nella seconda parte si riaccende la speranza. È la stessa Africa dove oggi vacilla un po’ il colonialismo europeo.
Beata Umubyeyi Mairesse, I tuoi figli ovunque dispersiAnche questo libro è un racconto di sradicamento, che attraversa più generazioni. Tra Ruanda e Francia, tra nonna, madre, figlio, la protagonista trova un senso, anche linguistico, al proprio passato e al proprio futuro, nonostante il trauma del genocidio, della fuga dal genocidio e dello sradicamento che ne deriva. Bellissimo, straziante e lucido.
Gabriela Wiener, SanguemistoAnche questo libro è un racconto di sradicamento, che attraversa più generazioni (non ho sbagliato a fare copia e incolla). È un libro molto forte che si aggancia quasi chimicamente con letture accademiche che sto facendo in questo periodo, su archeologia e colonialismo (in Italia non esiste il postcolonialismo). Ma è anche un tripudio agrodolce di femminilità.
Inizio il 2024 leggendo L’incendio di Cecilia Sala e Tutta intera di Espérance Hakuzwimana.
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13:14
La cartographie comme outil de lutte et de mobilisation
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La cartographie se trouve à la croisée d’une réinvention remarquable. Que ce soit par des collectifs engagés ou à travers l’open source, elle émerge comme un outil de conscientisation et de mobilisation. Dans cet article, nous allons explorer la transformation de la cartographie en un vecteur d’expression contestataire en étudiant des exemples concrets qui illustrent […]
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Ordinateur portable S410
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10:08
End-to-end learning for land cover classification using irregular and unaligned satellite image time series
sur Séries temporelles (CESBIO)The results presented here are based on published work : V. Bellet, M. Fauvel, J. Inglada and J. Michel, « End-to-end Learning For Land Cover Classification Using Irregular And Unaligned SITS By Combining Attention-Based Interpolation With Sparse Variational Gaussian Processes, » in IEEE Journal of Selected Topics in Applied Earth Observations and Remote Sensing, doi: 10.1109/JSTARS.2023.3343921.
This work is part of the PhD of Valentine Bellet supervised by Mathieu Fauvel and Jordi Inglada. Since 2016, the CESBIO team works on the improvement of the algorithms and the tools (the iota2 processing chain) for the CES OSO land cover map. If you want to learn more about this land cover map, you can refer to the different articles on this blog: validation, contextual classification. Also, a very good article explained how iota2 is now able to perform classification with deep neural networks.
Context and introductionSatellite image time-series (SITS) covering large continental surfaces with a short revisit cycle, such as those provided by Sentinel-2, bring the opportunity of large scale mapping. For example, land use or land cover (LULC) maps provide information about the physical and functional characteristics of the Earth’s surface for a particular period of time. To produce these LULC maps from massive SITS, automatic methods are mandatory. In the last years, Machine Learning (ML) and then Deep Learning (DL) methods have shown outstanding results in terms of performance accuracy.
Currently, most conventional ML and DL classifiers work with a representation of the data as a vector of fixed length. Each pixel is described by a vector of constant size where components represent the same type of information, i.e. the value of a given band on a given date and in the same order. However, in general, SITS are not acquired as regular time series of fixed size. Firstly, not all pixels are acquired on the same dates. In large areas, there are different revisit cycles because of satellite orbits (2 or 3 days difference between 2 adjacent swaths). For example, in our case in the South of France using Sentinel-2 data, five orbits cover the study area, as illustrated in Figure 1.
Figure 1: The study area is located in the south of metropolitan France and is composed of 27 Sentinel-2 tiles (each blue square corresponds to one tile). Five different orbits cover the study area.Secondly, not all the acquisitions in a swath contain the same dates. As such, the time series are irregularly sampled in the temporal domain: observations are not equally spaced in time due to the presence of clouds or cloud shadows. Indeed, if clouds are present in an image, the reflectance corresponds to the one of the clouds and not to the one of the land cover. Therefore, dates for which the image consists essentially of clouds (i.e. images containing more than 90% of clouds are not processed to the level 2A at THEIA) are removed. Figure 2 represents the temporal grids for three tiles (T30TXQ, T31TCH, T31TFL) and shows the misalingment phenomenon.
Figure 2: Temporal grids for three different tiles: T31TFL, T31TCH, T30TXQ.Finally, locally, different meteorological conditions, such as clouds, haze, mist or cloud shadow can cause technical artifacts for one pixel at a given date. This information is considered as corrupted and the pixel is declared as invalid. Therefore, the information at this date can be removed for this pixel leading to irregular temporal sampling. Therefore, the sampling of very close pixels may also be different. Figure 3 represents the NDVI profile for three pixels from these same tiles (T30TXQ, T31TCH, T31TFL). Both valid dates and cloudy / shadow dates are represented in this figure. A valid date corresponds to an acquired observation where no cloud or cloud shadow is detected by the level 2A processor. The pixel from the tile T31TFL has long periods without valid dates. The pixel from the tile T31TCH is the least impacted by the cloudy / shadow dates.
Figure 3: NDVI time series for three pixels from different tiles: T30TXQ, T31TCH, T31TFL. Filled dots correspond to valid observations, transparent dots correspond to observations flagged as clouds or cloud shadows in level 2A masks. Pixels were selected randomly, and the NDVI has been renormalised between -1 and 1, as it is a common practice in machine learning methods. The last example corresponds to a water pixel.To cope with the clouds, cloud shadows and different temporal sampling betweem the tiles, the data can be linearly resampled onto a common set of virtual dates with an interval of ten days, for a total of 37 dates, as it is currently done in iota2. The first date corresponds to the day 1 of the year and the last day corresponds to the day 361 of the year. Figure 4 represents the linear interpolation for the three pixels described previously.
Figure 4: The black circled markers correspond to the linear interpolation of the valid dates with an interval of 10 days for a total of 37 dates.However, linear interpolation is performed independently of the classification task, i.e., the final task. Li et al. [Li and Marlin, 2016] showed that an independent interpolation method directly followed by a classification method performed worse in terms of classification accuracy than methods trained end-to-end. Therefore, in the following, we propose to learn a representation optimized for the classification task.
Data set and experimental set upThe study area covers approximately 200 000 km2 in the south of metropolitan France and it is composed of 27 Sentinel-2 tiles, as displayed in Figure 1. All available acquisitions of level 2A between January and December 2018 were used (the preprocessing of the data is described more in detail in the paper) . Combining the five orbits, 303 unique acquisition dates are available.
Pixels were randomly sampled from polygons over the full study area to create three spatially disjoint data subsets: training, validation and test, as illustrated in Figure 5. The polygons are disjoint between the three data sets. The three data sets are class-balanced: 4 000 pixels per class in the training data set, 1 000 pixels per class in the validation data set and 10 000 pixels per class in the test data set. Therefore, we have 92 000 pixels for the training data set, 23 000 pixels for the validation data test and 230 000 pixels for the test data set.
Figure 5: Example of polygon selection. Red, green and blue polygons correspond to training, validation and testing polygons, respectively.The reference data used in this work is composed of the 23 land cover classes from the OSO land cover map. The nomenclature and the color-code of the classes is given in Figure 6.
Figure 6: OSO nomenclature. MethodWe propose to use end-to-end learning by combining a spatially informed interpolator called Extended multi Time Attention Networks (EmTAN) (first block) with a Stochastic Variational Gaussian Processes (SVGP) classifier, (second block), as illustrated in Figure 7. The model made of the EmTAN combined with the SVGP classifier is called EmTAN-SVGP.
Figure 7 represents the workflow for the classification of one irregular and unaligned pixel time series X* of size D × T through its learned latent representation Z of size D’ × R, with D the number of spectral features, T the total number of observations (in our case 303 unique acquisition dates), D’ the number of latent spectral (we take the liberty of using the term « spectral » as a misnomer, as it does not concern the temporal dimension) features and R the number of latent dates.
The EmTAN is a spatially informed interpolator as the spatial coordinates are integrated in the processing by means of spatial positional encoding. Besides, a spectro-temporal feature reduction is performed. Indeed, by taking R < T , the EmTAN allows to perform feature reduction in the temporal domain. Moreover, with D’ < D, a spectral reduction is performed. The spectro-temporal reduction allows to reduce the complexity of the SVGP classifier. The EmTAN is optimized by maximizing the classification accuracy, not the reconstruction error as it is conventionally done with standard interpolation methods. A more detailed description of the EmTAN and of the SVGP classifiers are provided in our articles: 10.1109/JSTARS.2023.3343921 and 10.1109/TGRS.2023.3234527.
Figure 7: EmTAN-SVGP, end-to-end learning for the classification of one irregular and unaligned pixel time series X* and its associated representation Z. The parameters, ?1 and ?2, of the EmTAN and the SVGP, respectively, are optimized using the loss L. Competitive methodsFour different classification methods are defined as competitive methods:
1. Gapfilled-SVGP: A SVGP classifier feeds with time series linearly interpolated every 10 days, as illustrated in Figure 8.
Figure 8: Gapfilled-SVGP, classification of one pixel series X produced by linear interpolation. The parameters ?1 of the SVGP are optimized using the loss L.2. EmTAN-MLP: A Multi-layer Perceptron (MLP) classifier combined with the EmTAN, as illustrated in Figure 9.
Figure 9: EmTAN-MLP, end-to-end learning for the classification of one irregular and unaligned pixel time series X* and its associated representation Z. The parameters, ?1 and ?2, of the EmTAN and the MLP, respectively, are optimized using the loss L.3. EmTAN-LTAE: A Light Temporal Attention Encoder (LTAE) classifier combined with EmTAN, as illustrated in Figure 10.
Figure 10: EmTAN-LTAE, end-to-end learning for the classification of one irregular and unaligned pixel time series X* and its associated representation Z. The parameters, ?1 and ?2, of the EmTAN and the LTAE, respectively, are optimized using the loss L.4. raw-LTAE: A LTAE classifier without EmTAN. Unlike SVGP or MLP classifiers, the LTAE classifier uses attention mechanisms. It may be redundant to use attention mechanisms both in the EmTAN and in the LTAE classifier. However, the LTAE classifier was not defined to deal with the irregular and unaligned time series pixels. Thus, we provide the mask m as an additional feature, as illustrated in Figure 11.
Figure 11: raw-LTAE, classification of one pixel series X* with the LTAE classifier. The parameters ?1 of the LTAE are optimized using the loss L. The mask m is provided as an additional feature.A more detailed description of these methods are provided in our article (10.1109/JSTARS.2023.3343921).
Results Quantitative resultsFigure 12 represents the overall accuracy (OA) for the five methods (Gapfilled-SVGP, EmTAN-SVGP, EmTAN-MLP, EmTAN-LTAE, raw-LTAE). For information, from previous works, we found that Gapfilled-SVGP is above the baseline, the Gapfilled-RF (Random Forest with linearly interpolated data every 10 days) from CES OSO [https:] Therefore, these results are not represented in Figure 12.
The learned latent representation Z obtained by the EmTAN contains more meaningful information for the classification task for the SVGP classifier compared to the linearly interpolated data. Besides, the SVGP model took greater advantage of the interpolator than the MLP or the LTAE models. Indeed, the OA of the EmTAN-SVGP model is seven points above the EmTAN-MLP model and around four points above the EmTAN-LTAE model. Besides, the EmTAN-SVGP model is the model with the smallest dispersion. On the other hand, the EmTAN-SVGP model is in average two points below the raw-LTAE model. However, to compute the inference on a specific area (e.g. on a specific Sentinel-2 tile), the raw-LTAE requires the whole set of observed dates used during the training step (e.g. observed dates from all tiles) . This is not the case for our proposed model which is able to process pixels with a set of observed dates (e.g. the corresponding dates for one Sentinel-2 tile). See our article (10.1109/JSTARS.2023.3343921) for more details.
Figure 12: Boxplots of the OA for each studied model (computed over 9 runs). Qualitative resultsFigure 13 represents the land cover maps obtained for four methods (EmTAN-SVGP, EmTAN-MLP, EmTAN-LTAE, raw-LTAE) on a agricultural area around Toulouse. In the forest areas, it appears that the raw-LTAE model does not correctly predict the BLF class. In contrast, the predictions are homogeneous for the models using the EmTAN : EmTAN-SVGP, EmTAN-MLP and EmTAN-LTAE. For the mTANe-MLP and mTANe-LTAE models, the majority of the crops are surrounded by the class VIN whereas it would appear to be hedges instead. Finally, the results obtained for the EmTAN-SVGP, EmTAN-MLP and EmTAN-LTAE models showed that the main structures of the map are clearly represented (i.e. crop field borders). Therefore, these models provide the spatial information in the EmTAN without spatial over-smoothing.
Figure 13: Comparison of land cover maps obtained with each model on an agricultural area around Toulouse (tile T31TCJ). Topography information (30-meter STRM, contours are in meters) and Sentinel-2 image (RGB) (acquisition date: 5/05/18) of the specific zone are provided. Some clouds are visible in the Sentinel-2 image. The studied area is relatively flat (min: 180m, max:260m). There are different types of landscape: towns, crop fields, a lake, forests, etc. The OSO nomenclature is represented in Figure 6. ReconstructionFigure 14 represents the comparison of three NDVI time series profiles from one pixel labeled as corn: the raw data, the linearly interpolated data and the learned latent representation obtained by the EmTAN. The latent representation Z clearly does not minimize the reconstruction error of the original time series. For instance, the second minimum of the NDVI observed around the day of the year 280 is not reconstructed. Yet, this is the representation that conducts to minimize the classification loss function of the SVGP. Besides, latent dates do not necessarily correspond to real dates, so time distortion can occur. The aim is to align the data in order to maximize classification performance.
Figure 14: NDVI time series profiles for a pixel labeled as corn. The blue points correspond to the raw data X* (before the EmTAN) (observations flagged as clouds or cloud shadows have been removed). The red points correspond to the values obtained with a linear interpolation (10 days interval). The green points correspond to the latent representation Z obtained with the EmTAN. Conclusion and perspectivesIn this work, we have developed an end-to-end model that combines a time and space informed kernel interpolator (EmTAN) with the SVGP classifier. We were able to process irregular and unaligned SITS without any temporal re-sampling preprocessing. This method outperformed the simple SVGP classifier with linearly preprocessed interpolated data. Therefore, from previous works, it also outperformed the CES OSO based approach (RF classifier with linearly preprocessed interpolated data and spatial stratification) in our study area. A perspective could be to apply the model over all metropolitan France, as it is done for OSO and to compare with the CES OSO based approach.
Another perspective could be to use pluriannual time series instead of a one-year time series (i.e. multitemporal data fusion). The EmTAN could learn periodic patterns over the years. Besides, another perspective could be to combine multi-modal time series. Adding a radar sensor (i.e. Sentinel-1) or other type of optical sensors (i.e. Landsat 8 with its thermal bands) could improve the representation for the classification task. The ability of the EmTAN to process unaligned time series would make the fusion of multi-sensor data straightforward.
AcknowledgementsOur warmest thanks go to Benjamin Tardy, from CS Group – France, for his support and help during the generation of the different data sets and the production of land cover classification maps with the iota2 software. We would also like to thank CNES for the provision of its high performance computing (HPC) infrastructure to run the experiments presented in this paper and the associated help.
This work was supported by the Natural Intelligence Toulouse Institute (ANITI) from Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées under grant agreement ANITI ANR-19-PI3A-0004 (this PhD is co-founded by CS-Group and by Centre National d’Études Spatiales (CNES)).
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15:04
gvSIG Team: IDE del Ayuntamiento de Albacete, optimizando la gestión de la información
sur Planet OSGeoOs traemos una presentación de la Infraestructura de Datos Espaciales (IDE) de Albacete, proyecto estratégico destinado a proporcionar un marco tecnológico y organizativo para la gestión, acceso y uso de la información geoespacial en el ámbito del municipio de Albacete. Este proyecto ha tenido como objetivo principal mejorar la toma de decisiones, impulsar el desarrollo urbano sostenible y fomentar la colaboración entre los diferentes actores involucrados en la planificación y gestión del territorio.
La ponencia presenta los trabajos principales y avances de la implantación de la IDE de Albacete. Durante el proyecto se ha llevado a cabo tanto la recopilación, integración y homogeneización de una amplia variedad de datos geoespaciales como el desarrollo de herramientas orientadas a ampliar la funcionalidad de la IDE y a fomentar la participación de los distintos departamentos municipales.
En cuanto a los avances logrados, se ha implementado una plataforma tecnológica robusta y escalable, con base tecnológica en la Suite gvSIG, que permite la gestión eficiente de la información geoespacial y su difusión a través de un conjunto de geoportales y servicios web interoperables. Además de los geoportales de uso interno,se ha publicado un visor cartográfico principal y un número creciente de geoportales temáticos (turismo, urbanismo, movilidad, etc.).
Además, se han desarrollado herramientas específicas que facilitan el acceso y uso de los datos geoespaciales por parte de los diferentes usuarios del Ayuntamiento de Albacete, destacando integraciones con otros sistemas informáticos como el gestor de expedientes SEDIPUALBA / SEGEX, el Catastro con acceso a datos protegidos o el Padrón. Integrada con la IDE desarrollada con gvSIG Online, también se cuenta con la app móvil gvSIG Mapps para la toma de datos en campo, tanto en modo online como offline, y un catálogo de metadatos basado en Geonetwork.
Por último, hay que reseñar que el proyecto también ha implicado un esfuerzo en formación y divulgación entre el personal técnico del Ayuntamiento de Albacete.
En conclusión, la implantación de la Infraestructura de Datos Espaciales de Albacete representa un paso significativo hacia una gestión territorial más eficiente y sostenible. Un proyecto que puede servir de referencia para otros municipios con necesidades similares.
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15:00
OGC forms new GeoZarr Standards Working Group to establish a Zarr encoding for geospatial data
sur Open Geospatial Consortium (OGC)The Open Geospatial Consortium (OGC) is excited to announce the formation of the OGC GeoZarr Standards Working Group (SWG). The new SWG will develop a Zarr encoding for geospatial gridded data in the form of Zarr conventions.
Zarr is a cloud-native data format for n-dimensional arrays that enables access to data in compressed chunks of the original array. Zarr facilitates portability and interoperability on both object stores and hard disks.
As a generic data format, Zarr has increasingly become popular to use for geospatial purposes. As such, in June 2022, OGC endorsed Zarr V2.0 as an OGC Community Standard. The purpose of the GeoZarr SWG is to have an explicitly geospatial Zarr Standard (GeoZarr) adopted by OGC that establishes flexible and inclusive conventions for the Zarr cloud-native format that meet the diverse requirements of the geospatial domain. These conventions aim to provide a clear and standardized framework for organizing and describing data that ensures unambiguous representation.
The objectives of GeoZarr conventions include:
- Compatibility: Ensuring easy compatibility with popular mapping and data analysis tools such as GDAL, Xarray, ArcGIS, QGIS, and other visualization tools, enabling seamless integration into existing workflows.
- Dimensions: Supporting multi-dimensional data, such as hyperspectral and altitude information, to address diverse geospatial data requirements.
- Data Discovery: Providing metadata for discovering, accessing, and retrieving the data, including composite products made of multiple data arrays.
- Mixing Data: Facilitating the combination of different types of geospatial data, including satellite images, elevation maps, and weather models, to create comprehensive and informative datasets.
- Flexibility: Allowing scientists and researchers to work with diverse data types and projections in their preferred software and programming languages, promoting flexibility and adaptability in geospatial data processing and analysis.
In addition to the encoding of geospatial data and metadata, the GeoZarr Standard will provide a multi-dimensional alternative to the two-dimensional Cloud-Optimized GeoTiff format (COG – adopted by OGC in May 2023), which has lately gained popularity due to its serverless capabilities. These capabilities will allow for inherent support of traditionally server-based functions, such as visualization (similar to OGC API – Maps), data subset access (analogous to OGC API – Coverages), and symbology (equivalent to OGC API – Styles). These aspects are planned to be incorporated as optional profiles (e.g. conformance classes).
OGC Members interested in staying up to date on the progress of this standard, or contributing to its development, are encouraged to join the GeoZarr Standards Working Group via the OGC Portal. Non-OGC members who would like to know more about participating in this SWG are encouraged to contact the OGC Standards Program.
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12:24
GeoSolutions: GeoSolutions is now a Cesium Certified Developer – 3D Tiles
sur Planet OSGeoYou must be logged into the site to view this content.
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9:15
Oslandia: (Fr) [En image] Giros 360 : un jumeau numérique pour la Garonne
sur Planet OSGeoSorry, this entry is only available in French.
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7:30
[En image] Giros 360 : un jumeau numérique pour la Garonne
sur OslandiaOslandia a collaboré avec EGIS dans le cadre du développement de l’application GIROS 360 pour le Grand Port Maritime de Bordeaux : un outil cartographique d’aide à la décision pour la préservation et l’exploitation de l’estuaire de la Garonne.
Les équipes d’Oslandia sont fières d’avoir participé à ce projet collaboratif, open source, permettant d’accélérer la résilience des acteurs du territoire face aux défis climatiques.
Un exemple de notre capacité à intégrer des problématique scientifiques complexes au sein de projets IT
Plus d’informations Le projet Giros360 en 1 image :
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20:21
Les cartes maritimes et le SIG
sur Veille cartographieCet article Les cartes maritimes et le SIG est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Qu’est-ce qu’une carte maritime ? La carte maritime, également appelée carte nautique, est une « carte destinée à la navigation en mer ou dans la partie maritime des fleuves » (La langue française, s. d.). En d’autres termes, il s’agit de représentations graphiques de l’environnement marin, incluant les océans, les mers, les côtes, les îles, […]
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18:19
gvSIG Batoví: NUEVO GRUPO TELEGRAM PARA URUGUAY (PERO ABIERTO A OTROS…)
sur Planet OSGeoHay un nuevo grupo en Telegram para los «geoinquietos»; de Uruguay pero abierto a todo aquel que quiera sumarse. Para compartir información, oportunidades de formación, becas, inquietudes, consultas, y todo aquello vinculado de algún modo a lo geoespacial. Siempre con respeto y buena onda:
Los invitamos a unirse.
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16:32
Dev Full Stack
sur Le blog de GeomatysDéveloppeur(se) Full Stack17/01/2024 Isabelle Pelissier
Venez nous rejoindre..?Société en pointe sur le développement de solutions logicielles dans les domaines du Spatial, du Maritime et de la Défense, nous recherchons un(e) développeur(euse) Full Stack (Bac+5 ou Ecole d’ingénieur.) capable d’évoluer sur plusieurs langages, principalement Java et python ou C++, , et maîtrisant au moins un framework front-end ou mobile tel qu’Angular ou Flutter.
Ce que nous cherchons chez vous :
- Une personne passionnée par le code et la conception logicielle,
- Une bonne maîtrise de la programmation,
- De la rigueur. La lisibilité du code/des Api est fondamentale. Les tests font partie intégrante de votre process de dev,
- Une capacité et un plaisir à travailler en équipe,
- De la curiosité. En veille sur l’évolution des technologies,
- Autonomie et pragmatisme dans vos prises de décisions.
Si vous avez de l’expérience ou une appétence pour les systèmes d’information géographiques, leur application au monde du Spatial et de la Geointelligence, envoyez-nous votre CV (recrutement@geomatys.com).
Poste à pourvoir sur Montpellier
Salaire selon expérience
Qui sommes-nous ?
GEOMATYS est une société qui développe depuis 15 ans des Systèmes d’information Géographiques et élabore des solutions métiers pour des acteurs dans les secteurs du Spatial, de la Défense et de l’Environnement. Notre activité d’édition logicielle nous conduit à développer des bibliothèques dédiées au traitement de gros volume d’information géographique, des Geo-Webservices et des frameworks cartographiques, que nous intégrons ensuite pour les besoins de nos clients.
Nous sommes une société influencée par la forte culture technique de ses dirigeants, développant des projets innovants au service d’industriels et de scientifiques dans des domaines aussi variés que l’Environnement, le Spatial ou la Défense.
Grâce à un travail reconnu en recherche et développement, notre société, GEOMATYS, a gagné une expertise lui permettant de travailler désormais auprès de grands comptes (Naval Group, Airbus, Thalès, CNES, ESA …).
Vous intégrerez une équipe dédiée au développement d’applications à fortes dominante géospatiale, constituée de développeurs fullstack évoluant sur des problématiques diverses tel que l’élaboration de solution cloud-natives pour du traitement massif de données, la réalisation de traitements de données satellitaires et l’élaboration de solution de GeoIntelligence, mais aussi l’intégration de solutions d’Intelligence Artificielle pour l’identification, et le traitement en flux de sources d’information géospatiales (Images satellitaires, données de capteurs et objets connectés) .
Menu Linkedin Twitter YoutubeThe post Dev Full Stack first appeared on Geomatys.
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16:25
Intervention sur la Géoplateforme le 18/01 à partir de 17h (1h environ)
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIntervention sur la Géoplateforme le 18/01 à partir de 17h (1h environ)
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11:44
Insights from Innovation Days 2023
sur Open Geospatial Consortium (OGC)At the end of another year of prototyping software, experimenting with data access, and debating how to overcome geospatial technology’s many challenges, teams from OGC member organizations gathered in Washington DC to share 2023’s work and help OGC decide what challenges we should address in 2024.
Representatives of government agencies and industry – from FEMA and Natural Resources Canada, to Intact, Canada’s largest insurer – highlighted their successes, current needs, and aspirations. Through panel discussions, demos, and conversations over coffee, teams from startups, like FloodMapp and Navteca, to established industry players, like Bentley Systems and GDIT, shared what they could do to meet today’s needs and shape the tools and systems we’ll be using next.
Here are three key takeaways learned from listening in:
- While looking at maps is the obvious way to interact with spatial data, advances in Artificial Intelligence (AI) mean that a conversation with a map may become normal. Though what this change implies is less clear.
- Sensors, surveys, and citizens continue to produce data at scale. Different approaches – from indexing and cataloging to tagging and the semantic web – help us navigate this endless sea of data, yet too often unable to find the right data when we need it.
- If we were to add another ‘A’ to the FAIR Principles, it might stand for ‘Actionable.’ Even when you can find the data you need, access it, and combine it with other data, robust methods for transforming all that data into actionable intelligence remain limited. The push for organizations to report on how their data supports their decisions may, in 2024, drive collaboration on Standards for describing chains of modeling, inference, and reasoning.
Following the late 2022 public launch of ChatGPT, “AI” became mainstream in 2023 – and its applications in geospatial broadened. This was clear at Innovation Days 2023.
In the early 2020s, excitement around AI in the geospatial tech community centered around automating the laborious process of identifying the important objects in satellite images and pulling out key data points from large datasets. This transformed the work of many geospatial analysts and developers, as noted by AI Panel chair Rich Frazier (USGS), but had limited impact on how most people interact with maps and spatial data. The panel’s conversation on AI centered on the potential consequences of our newfound ability to speak to an AI tool and ask it to create a map or run a spatial analysis.
Many of us are already doing this in specific contexts, such as asking your phone for driving directions, but advanced spatial analysis still requires mice and menus. This is why Natural Language Processing (NLP) felt like such a breakthrough in 2023. First, it has the potential to bypass specialized software and technical language and almost remove the barrier to entry for harnessing geospatial data. It’s therefore no surprise that NLP featured in several presentations, including those by Navteca co-founder Shayna Solis and Voyager Search’s founder Brian Goldin. Additionally, it might let developers and analysts operate more efficiently and create better products. As highlighted by Matt Webster of Barbaricum, who paraphrased economist Richard Baldwin from his presentation at the May 2023 World Economic Forum’s Growth Summit, “AI won’t take your job, but someone using AI will.” The specialist using NLP AI technology has another tool to deploy and they’re likely to use it to their advantage.
Shayna Solis, CEO & Co-founder of Navteca demonstrated using Conversational AI to interact with geospatial data for disaster response.The takeaway is that the current stage of AI not only democratizes access to geospatial information but also enhances user experience and engagement – if we can learn to ask the right questions with the right words. This is the sticky part of the problem. If geospatial really is in everything, there’s a diverse set of questions (aka prompt engineering) for us to teach the NLP AIs to understand. The organizations who gathered at Innovation Days 2023 might start building lots of one-task NLP tools, proliferating the “driving directions” application, or aim for more general ways of describing our mapmaking aims when we speak with an AI tool. Either way, this area looks set for a busy 2024.
Finding the right data when we need it is still too hard“When it comes to asset-scale climate resilience planning, most people don’t want data, they want data-based answers to key questions. Our challenge is helping them extract actionable intelligence from our data in the form of plain-language answers to their questions.”
David Herring, Communication, Education and Engagement Division Chief – NOAA Climate Program Office.A common refrain at Innovation Days 2023 was the ongoing difficulty surfacing the ‘right data’ when it’s needed. Scott Kaplan (USGS, Civil Air Patrol) spoke about the critical need for the ‘right data’ to support crews fighting wildfires. Kasie Richards (American Red Cross) called out the need for the ‘right data’ for planning for future patterns of extreme weather events that will look different from the past. Tom Landry (Intact) pointed to the need to enable public-private partnerships that could make the ‘right data’ held by private entities discoverable and usable for applications that benefit the public.
Catalogs, indexes, semantic knowledge organization systems, and machine-readable metadata systems have proliferated as organizations attempt to keep pace with the growth in data, but the conversations among panelists suggest that these approaches haven’t solved the problem – and it’s worsening as more data is generated.
Alan Lediner (NYC GISMO) characterized the inability to ask for and find what we need in all this data as a “communication problem.” This framing links what we’re stuck on (finding the right data) to where we’re moving toward (using natural language prompts) but requires (again) that we figure out how to describe what we mean when we say ‘the right data.’
Discussions about how to find the right data were threaded throughout the panels at Innovation Days 2023, highlighted by Alan Leidner speaking about data for emergency response.There’s another factor that makes addressing the findability problem particularly urgent for 2024: spiraling costs due to duplication. People often make local copies of data they think they’ll need so that they can later access it quickly and reprocess it on their own infrastructure. Dave Borges (CEOS, NASA) pointed to the unintended consequences of this widespread practice: spiraling financial (and environmental) costs, and, perversely, greater difficulty finding the ‘right’ version of a dataset, as multiple organizations make their own versions of datasets cloud-accessible. It’s hard to see us breaking this habit without creating confidence that other organization’s datasets will be findable (and generally FAIR) when they’re needed. Designs that account for people’s behavior and attitudes toward their data sources may push forward Findability as the organizations gathered at Innovation Days 2023 build the next cloud-native geospatial systems.
Data is actionable when it is accountableResponding to emergencies, preparing for future extreme events, and redesigning infrastructures for resilience in a changing climate are all high-stakes uses of geospatial data and technologies that impact lives and communities. Craig Fugate (FEMA), in his keynote at Innovation Days 2023, emphasized these impacts.
Craig Fugate, Former Administrator, Federal Emergency Management Agency (FEMA), during his keynote address.Craig encouraged us to think differently about our challenges, suggesting specific changes like taking a “maximum of maximums approach” when formulating an emergency response plan that can quickly scale up the response as an emergency is unfolding. Equally important, in his judgment, were proposed changes to longer term planning and response, such as explicitly considering equity and equality when planning how to deploy resources to prevent disasters or rebuild after they occur. This push for innovation, many years in the making and challenging in its own right, is facing new complications as it intersects with a growing drive for accountability.
Accountability, and the ability to demonstrate that decisions were backed by sound data and reasoning, is emerging as an essential part of decision-making processes – particularly for government and public sector organizations. It’s also supporting new, effective practices because it can allow people and organizations to confidently back the changes made. Synthesizing comments from Shanna McClain (NASA), Norman Speicher (DHS), and Ryan Ahola (NRCan), this in practice means the geospatial community needs to develop methods and systems that allow audits of the complex chains of data, models, tools, and people that inform decisions.
Building these methods and systems will require organizations to grapple with how we express uncertainty, which is only compounded by the growing use of AI tools. One example of how this challenge may play out came from the AI Panel’s discussion on visually representing results in ways that won’t impart false confidence. Juliette Murphy’s (FloodMapp) presentation provided another, highlighting the challenges of getting people to think in terms of probabilities when buying a home in a flood-prone area. Looking to 2024, expect to see considerations of uncertainty and accountability continue to intersect as new geospatial approaches to climate & disaster resilience are developed.
Juliette Murphy (FloodMapp) discusses the challenges of conveying uncertainty, probability and risk. What comes next?The tendency for geospatial organizations to operate as “Silos of Excellence” was a common theme brought up by several speakers at Innovation Days 2023. The collaborative, consensus-driven approach that underpins all activities at OGC is a proven method for overcoming this challenge. Progress in 2024 will require more collaboration across the community, including between those who use geospatial tools and those affected by the decisions they’re informing. Indeed, how we interact with location data, how we find the geospatial information we need, and how we make data-driven decisions accountable are all issues being tackled by our community through OGC COSI Initiatives, Working Groups, and events. A few to look out for in 2024:
- The OGC Artificial Intelligence in Geoinformatics Domain Working Group (GeoAI DWG) is exploring the implications of natural language processing (NLP) integration with GIS. This public group is broadly focused on fostering collaboration among diverse stakeholders to address gaps and impacts of AI on OGC standards, and is launching a monthly speaker series in early 2024.
- SpatioTemporal Asset Catalog (STAC) is a proposed OGC Community Standard that conforms to OGC APIs and provides an interoperable metadata framework that simplifies the process of finding and using geospatial assets from different providers. In 2024, multiple OGC Code Sprints will continue to give our community a platform to collaborate on emerging OGC and Community Standards and implementations.
- Trust is an essential component of producing actionable geospatial intelligence. As the push continues towards interoperable tool chains for modeling, inference, and reasoning, Standards such as OGC Training Data Markup Language for Artificial Intelligence (TrainingDML-AI) can improve trustworthiness by formalizing how modeling training data is prepared, including data provenance and quality. The Training Data Markup Language for AI Standards Working Group will continue this important work in 2024.
- The Climate and Disaster Resilience Pilot will kick off in Spring 2024, continuing to prototype new Standards-based tools, models, and methods for critical applications – from building warning systems that support natural disaster response to integrating Climate models into emergency management planning. There’s still time to apply to participate and receive funding to address these critical challenges.
By necessity, this blog is only able to cover a small snapshot of the many discussions, insights, and conversations resulting from OGC Innovation Days 2023. A big thank you goes out to all the presenters, panelists, attendees, and other OGC community members that helped make it such a success.
We look forward to seeing many of our community members at the 128th OGC Member Meeting in Delft, Netherlands, March 25-29, and later at OGC Innovation Days 2024.
Want to join the conversation around collaboration and innovation across geospatial data and technologies? Contact OGC or sign up to the OGC Newsletter to hear about upcoming events, funding opportunities, and the latest geospatial Standards.
The post Insights from Innovation Days 2023 appeared first on Open Geospatial Consortium.
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9:51
Fabriquer un raster de densité à partir d'un nuage de points avec PostGIS
sur Makina CorpusCet article présente une procédure de manipulation de données SIG avec PostGIS afin de fabriquer une couche raster de densité.
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8:55
Cartographier le parcellaire des campagnes européennes d’Ancien Régime
sur Cartographies numériquesAntoine Annie, Landais Benjamin (dir), Cartographier le parcellaire des campagnes européennes d’Ancien Régime, Presses universitaires de Rennes, 2023. Avec le soutien du centre Norbert Elias (UMR 8562) et du laboratoire CReAAH (UMR 6566). Voir le site de l'éditeur.
Résumé
Comment cartographiait-on les parcellaires ruraux avant la généralisation des cadastres géométriques d’État ? Si certaines représentations datant du XVe au XVIIIe siècle relèvent indéniablement d’une approche scientifique, la plus grande part se rattache à une époque où les cartes n’ont pas le degré d’abstraction qui triomphera ensuite. Utilisant le langage des artistes peintres, elles servent à montrer et à expliquer. Et elles n’en sont que plus significatives. Trois questions sous-tendent l’analyse de nombreux corpus spécifiques au sein de l’Europe moderne : celle de la genèse de ces cartes (contexte de leur création, commanditaires, réalisateurs, utilisateurs) ; celle de leur transmission et de leur classement par les archivistes ; celle enfin de leurs exploitations par les chercheurs, avec ce que permettent aujourd’hui les méthodes des disciplines historiques, géographiques et archéologiques. Plus d’une centaine de cartes en couleur ont été reproduites à l’appui de cette étude.
Introduction (disponible en ligne)
« Rares au Moyen Âge, fréquents aux XVIe et XVIIe siècles, produits en quantité au XVIIIe siècle, les plans du parcellaire rural n’ont pas attendu les cadastres géométriques d’État du XIXe siècle pour s’imposer comme un genre cartographique majeur en Europe. Fierté des archives locales, ces documents sont depuis longtemps le clou d’expositions retraçant le passé d’un village ou d’un terroir. Grâce à leur numérisation et leur mise en ligne massive, ils ornent désormais les sites internet des collectivités et deviennent accessibles à tous, satisfaisant tout autant la curiosité des habitants que les besoins des chercheurs. La place d’honneur réservée à ces plans tient principalement à leurs qualités esthétiques et à leur capacité à évoquer un lieu, à la manière d’un tableau ou d’une estampe.
Malgré leur visibilité institutionnelle, ces cartes restent le plus souvent considérées comme des sources de second rang, subordonnées à un corpus écrit qui fournirait, seul, la matière légitime d’une étude historique. Les ruralistes ont pourtant très tôt compris le profit que l’on pouvait tirer de ces témoignages sur l’organisation spatiale, économique et sociale des campagnes d’Ancien Régime. L’article que leur consacra Marc Bloch il y a presque 100 ans, dans le tout premier numéro des Annales, l’atteste (Bloch, 1929). Le recensement systématique de ces documents, dispersés à travers les archives européennes, ainsi que la mise en commun des travaux produits par des traditions historiographiques locales et nationales semblaient alors à portée de main. Un siècle plus tard et ce, en dépit des indéniables progrès de la recherche sur le sujet, du développement des outils informatiques et de la multiplication des projets internationaux, nous restons encore loin du compte (Benedetti, 2016)... »
Table des matières
Annie Antoine et Benjamin Landais, Introduction. Cartographier le parcellaire des campagnes européennes d’Ancien Régime : de la production aux usages.
Première partie : LE POINT DE VUE DE L’ARCHIVISTE
Introduction.
Thomas Horst, Cartographier le parcellaire en Bavière : de la Renaissance au siècle des Lumières
Nadine Gastaldi, L’un et le multiple. Les plans parcellaires aux Archives nationales (France), le cas des registres de la série N, XVIe-XVIIIe siècles.
Cyril Daydé et Christine Mary, L’Atlas du marquisat de Château-Gontier : analyse archivistique d’un parcellaire en Haut-Anjou à la veille de la Révolution.
Grégoire Binois, Les militaires et la cartographie parcellaire au XVIIIe siècle.
Deuxième partie : L’EUROPE DES MUTATIONS PRÉCOCESIntroduction.
William D . Shannon, La cartographie contentieuse dans l’Angleterre des Tudor.
Pieter De Reu, Les pratiques cadastrales dans les Pays-Bas méridionaux et en Belgique, XVIIe-XIXe siècle.
Tim Soens, Maïka de Keyzer et Iason Jongepier, La cartographie et les droits de propriété privée dans la Flandre rurale, du XVIe au XVIIIIe siècle.
Camillo Berti, Massimiliano Grava et Anna Guarducci, La cartographie parcellaire à l’époque moderne en Toscane et sa valorisation digitale.
Chiara Devoti, Les plans terriers (cabrés) de l’ordre mauricien : l’arpentage du territoire et la construction d’images d’un statut social.Troisième partie : L’EUROPE DES SEIGNEURIES RURALES
Introduction.
Juliette Dumasy-Rabineau, Cartes et plans parcellaires en France avant 1550.
Florent Hautefeuille, Plans parcellaires pré-révolutionnaires et analyse des paysages ruraux dans le sud-ouest de la France.
Alexandre Verdier, Xavier Rochel et Jean-Pierre Husson, La place du saltus en Lorraine d’après le plan terrier de l’abbaye de Gorze (1746-1751).
Clément Venco, Les cartes des possessions du duc d’Antin en Comminges par l’arpenteur Hippolyte Matis (1716-1717). Une source pour l’histoire des terroirs pyrénéens sur la longue durée.
François Chancerel, Le plan au service de la réorganisation des forêts poitevines à la fin de l’Ancien Régime : « Juger en jetant un coup d’œil par ce plan ».Quatrième partie : L’EUROPE DES ESPACES À CONQUÉRIR OU À RÉORGANISER
Articles connexes
Introduction.
Olof Karsvall, La cartographie à grande échelle des terres agricoles dans la Suède du XVIIe siècle.
Tomas ?elkis, Les cartes parcellaires, de « nouveaux documents » dans le grand-duché de Lituanie du XVIe au XVIIIe siècle.
Enik? Török, Le relevé urbarial du domaine royal d’Óbuda.
Benjamin Landais, Des plans pour fixer le parcellaire : cartographie seigneuriale et planification agraire dans le Banat du XVIIIe siècle.
Michal Vokurka, De la cartographie des forêts à la cartographie de la société dans la Bohême du XVIIIe siècle.
Boris Deschanel, Plans parcellaires de Saint-Domingue au XVIIIe siècle : quelques pistes pour une analyse des inégalités foncières.
Gérard Chouquer, Conclusion. La difficile genèse de la carte parcellaire dans la longue durée
Bibliographie générale.
Les auteurs.
Parcellaires agraires et dynamiques d'exploitation du sol dans la longue durée (projet Parcedes)
La parcelle dans tous ses états (ouvrage en open access)
Atlas archéologique de la France
L'histoire par les cartes : la carte archéologique de Paris
L'histoire par les cartes : le mouvement des enclosures en Grande Bretagne aux XVIIIe et XIXe siècles
La grille de Jefferson ou comment arpenter le territoire américain
Des images Lidar pour rendre visible l'invisible. L'exemple de l'archéologie
Humanités numériques spatialisées (revue Humanités numériques, n°3, 2021)
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8:03
(Re)découvrir Lyon
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueEntièrement repensé, le Musée d’Histoire de Lyon inaugurait ce 2 décembre 2023, sa 4e exposition permanente intitulée « Lyonnaises, Lyonnais ! Pouvoirs et engagements dans la Cité ». Quelque 1100 m² répartis sur trois niveaux sont ainsi dédiés à la ville de Lyon et valent vraiment plus d’un coup d’oeil.
Le musée d’histoire de Lyon (MHL) est abrité depuis 1921 dans l’Hôtel de Gadagne, un bâtiment datant de la Renaissance. En 2018, il entamait une grande mue. « L’exposition existante était essentiellement chronologique. Nous voulions renouer avec sa vocation initiale, à savoir celle d’être un musée de ville qui raconte la ville d’hier et d’aujourd’hui aux habitants et aux touristes de passage pour qu’ils appréhendent et entrevoient toutes ses facettes », expose Xavier de la Selle, directeur du Musée d’Histoire de Lyon – Gadagne. Bénéficiant d’une enveloppe de 1,5 million d’euros, ce lifting intégral a donné lieu à cinq ans de chantier, sans jamais fermer l’accès au public.
Retrouvez la suite de cet article dans le magazine SIGMAG N°39
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14:12
Maintenance du 16/01 sur les services Géoplateforme terminée
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNMaintenance du 16/01 sur les services Géoplateforme terminée
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11:20
Cartographie et valorisation des ressources naturelles
sur Veille cartographieCet article Cartographie et valorisation des ressources naturelles est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Depuis quelques années, le gouvernement met en place des objectifs de prévention et de réduction de l’usage des ressources naturelles, une logique basée sur la notion d’économie circulaire. La preuve est en constatant les nombreux plans de planifications territoriales mis en place : Plan National de Prévention des Déchets, Plan National de Gestion des Déchets, […]
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11:20
Un outil cartographique pour la Métropole de Lille
sur Veille cartographieCet article Un outil cartographique pour la Métropole de Lille est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La métropole de Lille (MEL) est la deuxième intercommunalité la plus dense de France, comptant près de 2 millions d’habitants. Elle a été créée pour permettre une gestion collective des politiques de la ville (environnement, citoyenneté, urbanisme…), et c’est ici que l’outil cartographique peut aider dans la prise de décision. C’est dans ce contexte qu’à […]
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10:19
Géolocaliser avec PIGEON… et non pas avec l’oiseau
sur Veille cartographieCet article Géolocaliser avec PIGEON… et non pas avec l’oiseau est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Trois étudiants diplômés de Stanford ont développé « Predicting Image Geolocations » (PIGEON), une intelligence artificielle (IA) révolutionnaire capable de géolocaliser des photos avec une haute précision, même pour celles jamais vues auparavant par le programme. Conçu initialement pour identifier des lieux sur Google Street View, PIGEON peut désormais deviner l’emplacement d’une image Street View n’importe où […]
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9:38
Retour sur le #30DayMapChallenge 2023
sur Makina CorpusLa récente clôture de la 5e édition du #30DayMapChallenge en novembre 2023 nous a donnée envie de revenir sur cet évènement où la cartographie est à l'honneur pendant un mois.
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7:56
Esri annonce la disponibilité d'ArcGIS Indoors for AutoCAD
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierDepuis de nombreuses années vous pouvez utiliser ArcGIS for AutoCAD, une extension gratuite pour ajouter à votre environnement AutoCAD, une série d'outils permettant d'accéder à des données du SIG dans l'outil de conception de plan d'Autodesk et, surtout, d'organiser et de structurer les données de votre fichier de CAO/DAO pour une intégration plus simple et directe dans ArcGIS. Désormais, ArcGIS est également un système puissant pour mettre en oeuvre un SIG Indoors pour gérer l'intérieur des infrastructures et des bâtiments. Il est donc important de pouvoir, lorsque les plans d'étage sont issues d'AutoCAD, de disposer d'outils aidant à les organiser et à les structurer en amont. C'est l'objectif d'ArcGIS Indoors for AutoCAD
Création et gestion de données avec un SIG indoors
ArcGIS Indoors est un ensemble d'outils du SIG ArcGIS pour la gestion de l'intérieur (et de l'extérieur) de vos infrastructures et bâtiments. ArcGIS Indoors permet la création de cartes d'intérieur 2D et 3D en tenant compte des étages, la planification et la gestion des espaces intérieurs et de leurs occupants, ainsi que leur guidage à travers ces espaces. Un SIG indoors permet de prendre des décisions éclairées par la localisation des espaces, des équipements et des occupants. Il aide à accroître l'efficacité des opérations quotidiennes à l'intérieur de ses locaux et à améliorer l'expérience sur site en fournissant des instructions de guidage étape par étape sur une carte digitale.
La carte, qui constitue la base d'un SIG indoors, visualise l'environnement intérieur : bureaux, portes, fenêtres, espaces techniques, équipements, personnes, points d'intérêt importants,... fournissant ainsi un jumeau numérique opérationnel d'un site à tous les utilisateurs.
La carte peut être créée à l’aide de l’application Web ArcGIS Indoors Floor Plan Editor ou en important des données de plan d’étage existantes provenant de diverses sources dans le modèle d’information ArcGIS Indoors.
Lors de l'importa des données de plan d'étage dans ArcGIS Indoors, une des sources de données très courantes sont les fichiers CAO/DAO (en majorité DWG/DXF).
Cependant, les plans d'étage issus d'outils CAO/DAO créés à des fins d'architecture, d'ingénierie ou de construction (AEC) présentent souvent de petits écarts dans les dessins au trait, du texte mal placé et d'autres conditions qui peuvent compliquer le processus d'import des données et affecter la qualité des données. Ces conditions sont souvent difficiles à détecter avant l'importation, et leur prise en compte est coûteuse par la suite.
Détecter en amont les erreurs sur les données avec ArcGIS Indoors pour AutoCAD
Esri propose une solution pour éviter cette dégradation potentielle de la qualité des données en recherchant les erreurs dans les données CAO/DAO avant qu'elles ne soient ingérées dans Indoors : ArcGIS Indoors pour AutoCAD.
ArcGIS Indoors for AutoCAD est une nouvelle extension de la solution gratuite ArcGIS for AutoCAD d'Esri. Il propose des contrôles de diagnostic pour aider les utilisateurs de CAO/DAO à détecter et à localiser les conditions problématiques courantes, notamment :
- Dessin contenant des limites d'espaces non fermées ou avec des extrémités "pendantes"
- Polylignes auto-croisées
- Noms d'espaces manquants ou mal positionnés
- Texte en double ou non standard
Grâce à cette extension, les utilisateurs peuvent rapidement identifier ces problèmes directement dans les plans d'étage CAO et les résoudre avant l'importation, économisant ainsi du temps et des coûts sur le contrôle qualité après l'importation des données.
Vous pouvez regarder la vidéo suivante pour une démonstration rapide sur la façon d'utiliser ArcGIS Indoors for AutoCAD.
ArcGIS Indoors for AutoCAD est configurable afin de pouvoir s'adapter aux différents noms de couches et types d'entités utilisés dans les plans d'étage CAO/DAO. La configuration est stockée de manière transparente en interne dans le fichier CAO/DAO (en utilisant la même technologie qu'ArcGIS for AutoCAD), éliminant ainsi le besoin de suivre et de conserver un fichier de configuration distinct. De plus, vous pouvez importer et réutiliser une configuration existante pour gagner du temps et assurer la cohérence lors de la vérification de plusieurs dessins AutoCAD.
L'extension ArcGIS Indoors for AutoCAD peut analyser un dessin AutoCAD de plan d'étage et afficher les résultats sous forme de tableau interactif et de collection d'annotations graphiques indiquant l'emplacement de chaque résultat sur le plan. Chaque résultat peut être visualisé d'un simple clic, permettant à l'utilisateur d'AutoCAD de se concentrer sur l'investigation et la résolution de ces problèmes.
ArcGIS Indoors for AutoCAD est installé automatiquement avec ArcGIS for AutoCAD version 430 et ultérieure et peut être utilisé sans aucune licence ArcGIS Indoors.
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18:59
Le dessin du géographe n°96. Croquer le terrain au tournant du siècle : un carnet de Vidal de la Blache
sur Les cafés géographiquesLe terrain… un mot mythique pour des générations de géographes qui, ne se contentant pas d’une recherche livresque, sortent de leur bureau, munis d’un appareil photos et d’un carnet de notes. Mais ces carnets ont le plus souvent disparu. On en retrouve parfois, tels ceux d’Albert Demangeon en Limousin au début du XXe siècle, que nous avons dénichés dans les archives de la Bibliothèque Mazarine.
Auparavant, à la fin des années 1970, on découvre par hasard les 33 carnets de terrain de Vidal de la Blache dans un tiroir de l’Institut de géographie de Paris. Un travail de transcription et d’étude commence alors. Symboliquement, les Cafés géographiques inaugurent en 2010 la série des Dessins du géographe par un dessin de Vidal de la Blache !
En 2019, on publie le carnet n°9 qui rapporte les notes prises par Vidal [1] lors d’un voyage en Allemagne en 1885. Pour notre part, nous nous sommes intéressé au carnet 22 [2] qui correspond à des déplacements postérieurs, effectués en 1899 et 1900 : deux brèves escapades à Saint-Gobain (Aisne) et à Lille (mai-juin 1899), puis des voyages dans le Jura (août 1899), en Corse (avril 1900) pour terminer par un périple dans les Vosges, le Jura et en Suisse romande (juillet 1900).
Au cours de ces voyages, Vidal écrit sur ses carnets, mais il dessine également. Nous voudrions ici évoquer les croquis qu’il a esquissés. Ce sont, le plus souvent, de petits dessins, dans les limites de la taille du carnet (en l’occurrence, 95 x 142 mm). Avec seulement une brève indication sur la localisation, certains feraient plutôt penser à une photographie, telle cette représentation du Monte d’Oro. Il en est de même pour un second sur une vue de l’ouest de ladite montagne corse.Dessin n° 1 [3] Vue de face Monte d’Oro . Vidal de la Blache
Mais, le plus souvent, texte et dessins sont intimement liés : c’est particulièrement frappant sur cette double page qui en comporte en fait trois : lac des Rousses, Dent de Vaulion et la Dôle (deux sommets du Jura suisse).
Dessin n°2. Trois croquis. Vidal de la Blache
Les indications sont parfois purement factuelles, comme sur cet autre dessin de la Dôle.
Dessin 3. La Dôle [Route de la vallée des Dappes. Dôle – Arête de roches séparant 2 croupes de pâturages à gentianes (gentianes centaurées) ; ciel couvert sur le Jura (cirro-cumuli) – Gde échancrure de ciel bleu sur le lac – Barre de cumuli sur les Alpes]. Vidal de la Blache
Cela dit, le plus souvent, Vidal ne se limite pas aux informations factuelles, : il donne des explications et pose des problèmes. Ainsi, en face du croquis de la Dent de Vaulion (Dessin n°2), : « Forme des roches, polies (…) produites probablement par le passage des glaciers venant de la désaltération de la Dent de Vaulion, donc en sens inverse du drainage actuel. » Il esquisse même des coupes géologiques : on distingue ici aisément un superbe anticlinal. Au-dessous, Vidal donne l’altitude de quelques lieux (Morez, Morbier, St-Laurent…) ; ces indications sont-elles en rapport avec la coupe ?
Dessin n°4. Coupe géologique. [Décomposition de la roche – roches calcaires jaunes, bleuâtres aux cassures – tranchée haute (gare de Morez). Sol végétal très mince, cailloux et blocs – Strates légèrement émincées]. Vidal de la Blache
Vidal travaille aussi à grande échelle et s’intéresse à l’habitat rural. Il livre ici le croquis d’une maison en précisant où se trouve la grange, les écuries, le jardin… Et, à Saint-Cergue (station suisse), il dessine une maison, mais aussi la place du village avec prés et forêt en arrière-plan.
Dessin n°5. Une maison rurale. Vidal de la Blache
Dessin n°6. Saint-Cergue (Suisse). [Pignon – Revêtement en bois par devant la façade. Sur le côté, large porte cintrée en pierre]. Vidal de la Blache
Quoiqu’extraits d’un seul carnet (sur une trentaine), ces dessins sont révélateurs de la manière de faire de Vidal : croquer sur le vif, apposer les indications nécessaires, qu’il s’agisse de localisation, de végétation, de relief, de nature de roche, de maison… et éventuellement donner une explication. Dans d’autres cas non représentés ici, il fait des comparaisons avec d’autres lieux parcourus auparavant : les réminiscences sont fréquentes. Vidal a un goût et une maîtrise du dessin qui en dit souvent plus qu’un long discours. N’est-ce pas non plus ce que les Cafés géo cherchent à démontrer au fil de la série des Dessins du géographe ?
Denis Wolff, janvier 2024
P.S. Si l’on s’intéresse aux carnets de Vidal de la Blache, commencer par « visiter » trois expositions en ligne : la première sur le site de l’ ENS (Ecole normale supérieure, rue d’Ulm), la seconde sur le portail du CNRS (Centre national de la recherche scientifique) et la dernière, spécifiquement dédiée à ses carnets sur celui de la BIS (Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne).
[1] Les crochets au-dessous des dessins encadrent la transcription du texte ; celle-ci n’est pas systématique. Les abréviations de Vidal de la Blache ont été conservées.
[2] Paul VIDAL DE LA BLACHE, Carnet 9, Allemagne et Varia, Présentation par Marie-Claire ROBIC et Jean-Louis TISSIER, Paris, Macula, 2019, 200 p.
[3] Vidal n’a pas numéroté ses carnets. Leur numérotation a quelque peu fluctué au fil de leur découverte.
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13:24
Maintenance sur les services Geoplateforme le 16/01 au matin
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNMaintenance sur les services Geoplateforme le 16/01 au matin -
13:24
Maintenance sur les services Geoplateforme le 16/01 au matin (terminée)
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNMaintenance sur les services Geoplateforme le 16/01 au matin (terminée)
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11:11
Présentation du Projet de Planification Urbaine de Stockholm en 3D
sur Veille cartographieCet article Présentation du Projet de Planification Urbaine de Stockholm en 3D est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La Municipalité de Stockholm a mis en place une méthode innovante et attrayante pour communiquer ses futurs projets urbains. Au Culture House de la ville de Stockholm, un grand écran tactile est disponible, permettant aux citoyens de ‘voler’ à travers un modèle 3D photoréaliste pour explorer les divers projets urbains prévus à Stockholm. Ce modèle […]
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10:35
Meilleurs vœux 2024 !
sur OslandiaOslandia vous présente ses vœux pour 2024, une année qui verra le 15ème anniversaire de l’entreprise. Nous prévoyons un évènement dédié en fin d’année et espérons que vous serez nombreux à nous y rejoindre.
Stay tuned !
Au moment de passer ce cap, nous sommes plus que jamais impliqués et moteurs dans la production de code géomatique open source de qualité industrielle. Notre objectif principal reste de fournir aux utilisateurs les meilleures solutions à leurs besoins tout en garantissant leur souveraineté numérique.
Parmi d’autres réalisations et évènements marquants, cette volonté s’est traduite en 2023 par :- Un partenariat avec la société OpenGIS pour faire connaître, diffuser et apporter du support sur QField, la solution mobile de l’écosystème QGIS
- L‘intégration d’Oslandia au sein de la fédération des professionnels d’OSM
- Des évolutions structurantes de composants existants
- QGIS 3D, largement stabilisé par une campagne de correctifs d’anomalie et de révision de la dette technique, mais aussi amélioré par l’ajout de fonctionnalités
- SFCGAL, une bibliothèque de calcul 3D notamment utilisée dans PostGIS et GDAL
- Giro3d, le framework de visualisation web de données 3D qui est en évolution rapide
- ROAD2, le composant pour la Géoplateforme de l’IGN dédié au calcul d’itinéraire
- QDT, l’outil d’industrialisation des déploiements QGIS
- L’arrivée de nouveaux composants open source
Ces actions menées au sein des communautés open source sont rendues possibles grâce à nos clients qui les financent directement et indirectement, ainsi que par notre programme volontariste d’investissement. Nous sommes fiers d’apporter ces contributions significatives au bien commun !
Nous espérons que nous aurons l’opportunité de travailler ensemble durant cette année qui s’amorce, et vous souhaitons de nouveau au nom de toute l’équipe, une bonne année 2024 !
Vincent Picavet et l’équipe Oslandia
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10:04
ArcGIS for AutoCAD version 430 est disponible
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
ArcGIS for AutoCAD intègre les flux de travail CAO/DAO avec le SIG en permettant des échanges de données de manière simple et bidirectionnelle entre les processus de CAO/DAO et les processus SIG. ArcGIS for AutoCAD permet aux ingénieurs et aux techniciens qui travaillent sur les tâches de conception, de collaborer avec des professionnels SIG tout en consommant, créant et partageant des données de projet centralisées. En tant qu'extension gratuite pour Autodesk AutoCAD® et Civil 3D®, ArcGIS for AutoCAD exploite les services web du SIG pour travailler avec des couches d'entités, des cartes et des images directement dans les applications de CAO/DAO. Cela permet aux professionnels de l'architecture et de l'ingénierie d'enrichir et de contextualiser les géométries de leurs dessins avec des informations spatiales, conduisant ainsi à des décisions de conception plus éclairées.
La version 430 d'ArcGIS for AutoCAD apporte de nouvelles fonctionnalités et des améliorations qui renforcent les collaborations entre les équipes CAO/DAO et SIG. Par exemple, la nouvelle prise en charge du versionnement par branche permet à plusieurs utilisateurs Autodesk de travailler simultanément sur des couches d'entités web pendant que les équipes SIG suivent les modifications au fil du temps. Cette version inclut également une extension qui facilite les flux de travail SIG pour la cartographie de l'intérieur des infrastructures et des bâtiments, et qui facilite ainsi la préparation des contenus de type "plan d'étage" pour une utilisation ultérieure dans ArcGIS Pro.
Principales évolutions de cette version
Les principales fonctionnalités incluses dans la version 430 d'ArcGIS pour AutoCAD sont mises en évidence ci-dessous. Vous pouvez accéder également aux notes de version pour trouver une documentation détaillée sur les nouvelles fonctionnalités et d'autres ressources produit utiles.
Versionnement par branche
Une amélioration significative de cette version inclut la prise en charge supplémentaire de la gestion des versions de branche sur les couches de fonctionnalités Web avec la prise en charge des modifications de l'interface utilisateur, des routines et des commandes AutoLISP. Cette amélioration permet aux professionnels et aux administrateurs SIG de partager des workflow communs à toutes les étapes des flux de travail de gestion des versions des succursales. Les professionnels de la CAO travaillant avec des couches d'entités Web affectées à une version de branche peuvent afficher les données des couches, modifier les couches modifiables et synchroniser les modifications de la manière habituelle depuis leur environnement CAO. Ils peuvent également utiliser la fonctionnalité de gestion des versions de branche définie dans ArcGIS pour AutoCAD pour :
- Créer de nouvelles versions de branche des couches d'entités. Pour les couches d'entités qui prennent en charge la gestion des versions de branche, attribuez un nom de branche, vous fournirez une description, définirez les autorisations d'accès et passerez à la nouvelle version.
- Basculer entre les versions de branche des couches d'entité. Vous sélectionnerez une couche d'entités qui prend en charge la gestion des versions de branche, consulterez la version de branche actuellement attribuée et les informations associées, puis sélectionnerez dans une liste déroulante d'autres versions de branche disponibles.
Vous accéderez de manière interactive à la fonctionnalité de gestion des versions de branche à partir du menu contextuel d'une couche d'entités sélectionnée dans le volet "Contenu Esri" ou vous pourrez créer des personnalisations via les outils AutoLISP fournis.
Extension pour les flux de travail "indoors" : ArcGIS Indoors for AutoCAD
ArcGIS Indoors transforme les données CAO/DAO (ou BIM) en cartes intérieures pour la gestion des espaces et des équipements, la location des occupants et leur guidage sur le site. L'extension ArcGIS Indoors for AutoCAD permet de préparer des dessins de plans d'étage CAO/DAO à utiliser dans les flux de travail ArcGIS Indoors. Vous pourrez concevoir des workflows de contrôle qualité et analyserez les problèmes de données CAO/DAO tels que les géométries non fermées, les polylignes qui d'auto-croisent et les erreurs d'étiquetage. La résolution de ces problèmes depuis l’environnement AutoCAD permet de gagner du temps sur le contrôle qualité après importation dans ArcGIS Pro. Cela réduit également les retouches inutiles lors des projets de rénovation de bâtiments. L'extension est installée automatiquement lorsque vous installez ArcGIS for AutoCAD version 430. Un prochain article arcOrama décrira plus spécifiquement cette nouvelle capacité autour d'ArcGIS Indoors.
Fonctions AutoLISP pour les transformations de données
Lorsqu'une définition de système de coordonnées Esri est attribuée à un dessin, les couches ajoutées ultérieurement via les services d'entités seront correctement positionnées sur ce système de coordonnées attribué, quel que soit le système de coordonnées des données sources. Pour ceux qui automatisent des flux de travail CAO/DAO personnalisés à l'aide d'AutoLISP, des fonctions de transformation de données ont été ajoutées pour rendre les transformations explicites. À savoir, trois nouvelles fonctions sont disponibles dans l'API ArcGIS for AutoCAD :
- esri_coordsys_DatumTransformations_set : définit la transformation d'un système de coordonnées vers un autre système de coordonnées et la ou les étapes de transformation, toutes basées sur les WKID spécifiés.
- esri_coordsys_DatumTransformations_remove : supprime une transformation de données, avec les WKID spécifiés pour les systèmes de coordonnées « de » et « vers ».
- esri_coordsys_DatumTransformations : renvoie toutes les définitions de transformation de référence dans le dessin
Demandez à nos experts ArcGIS
N'hésitez pas à nous poser vos questions et à suggérer des moyens d'améliorer encore ArcGIS for AutoCAD. Pour cela, vous pouvez visiter la communauté Esri dédié à ArcGIS for AutoCAD pour poser des questions et participer aux discussions sur le produit. Vous pourrez ainsi aider les équipes d'Esri à développer de nouvelles fonctionnalités et améliorer l'extension pour les versions futures en publiant vos idées pour qu'elles soient examinées.
Le téléchargement de l'extension ArcGIS for AutoCAD peut se faire depuis cette page.
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Intercity relationships between 293 Chinese cities quantified based on toponym co-occurrence
sur CybergeoThis dataset presents relationships between 293 Chinese cities, derived using a toponym co-occurrence method. By employing this toponym co-occurrence analysis method, the strength of an intercity relationship is determined by the frequency at which both city names appear on the same webpage. The data was sourced from the Common Crawl web archive's 2019 April Corpus, which contains approximately 2.5 billion web pages. The primary aim of this dataset is to provide a fresh perspective on intercity relationships, thereby facilitating studies on city network analysis. The dataset not only encourages further research into comparing this innovative city relationship with other established networks but is also a showcase that presents a straightforward methodology that can be applied to other archives within Common Crawl. As such, it paves the way for longitudinal studies that probe the evolution of city networks.
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Pierre Blanc, 2023, Géopolitique et climat, Paris, SciencesPo Les presses, 248 p.
sur Cybergeo"Après le choc de la pandémie de Covid, la secousse géopolitique de la guerre déclenchée en Ukraine le 24 février 2022 est venue rappeler au vieux continent que les conflits violents n’étaient pas relégués au passé. Puis les vagues de canicule, de sécheresse et d’incendies sans précédent de l’été 2022 ont ouvert les yeux des Européens sur les ruptures climatiques qui s’annoncent, dont les conséquences seront sans commune mesure avec celles du Covid et de la guerre" (p.7). Ainsi commence l’ouvrage écrit par Pierre Blanc, chercheur en géopolitique à l’Institut d’Études Politiques de Bordeaux et à Bordeaux Sciences Agro, rattaché à l’UMR LAM. Dans cette introduction (p.7-12), l’auteur explique que les Européens prennent à peine conscience des effets des changements climatiques, constat jusque-là assez circonscrit à quelques sphères de la société. Il y explique la philosophie de cet ouvrage, une approche par la géopolitique, soit les dimensions du politique (puissance, pouvoir, sécurité...
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Le détroit de Bab el-Mandeb : frictions littorales et maritimes
sur CybergeoCet article propose une analyse des frictions littorales et maritimes par l’étude du rapport entre les flux maritimes mondialisés et la sûreté maritime (maritime security). Depuis les côtes, des acteurs locaux ou régionaux peuvent influer sur les échanges maritimes d’échelle globale qui passent au large. Le cas du détroit de Bab el-Mandeb et de ses prolongements naturels (Sud de la mer Rouge et golfe d’Aden) en offre une bonne illustration : grand axe de trafic maritime, ce détroit se caractérise par la présence de la piraterie somalienne, principalement entre 1995 et 2015, ainsi que par l’extension en mer de la guerre civile au Yémen, qui s'est transformée en un conflit régional. Cette recherche, fondée sur des données maritimes ainsi que sur une étude approfondie du contexte régional, cherche à identifier les influences des actes de violence sur les différents trafics du détroit de Bab el-Mandeb. L'influence des contextes politiques des États riverains sur les flux maritimes en ha...
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La trajectoire paysagère d’un bassin versant bocager normand depuis deux siècles : enjeux méthodologiques pour une étude géohistorique
sur CybergeoLe paysage bocager des régions du nord-ouest de la France a subi d'importantes transformations depuis le milieu du XXème siècle, sa structure ayant été altérée par le remembrement, la rationalisation et l'agrandissement des parcelles, ainsi que par l’arasement des haies. Les conséquences environnementales de ces mutations paysagères sont importantes : érosion hydrique, pollution des milieux aquatiques, perte en biodiversité. L’objectif de l’article est d’étudier la trajectoire d’évolution d’un espace agricole représentatif des mutations qui affectent les paysages bocagers depuis deux siècles. À travers l’exemple d’un petit bassin versant historiquement bocager du Calvados (Le Tortillon), la méthodologie repose sur une approche géohistorique, combinant l’utilisation d’archives, notamment cadastrales, et d’images aériennes au sein d’un Système d’Information Géographique (SIG). Bien que les cadastres renseignent précisément sur l’occupation du sol des paysages du XIXème siècle, l’artic...
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Riccardo Ciavolella, 2023, Pétaouchnok(s). Du bout du monde au milieu de nulle part, Paris, La Découverte, 2023, 413 p.
sur CybergeoC’est d’abord une curiosité amusée qui pousse les géographes à feuilleter cet ouvrage. Cet "atlas imparfait", aux dires de son auteur, invite à un tour du monde en 80 lieux, et peut d’abord se comprendre comme une invitation au voyage, exercice que nous pratiquons si souvent dans nos grands et petits livres, récits des voyages d’exploration historiques, ou petits récits de voyage au fil de nos histoires. C’est une cartographie sémantique tout autant que géographique que l’auteur nous propose, en indiquant au début de ses notices des éléments de contexte et d’usage pour situer chaque lieu. Aux antipodes des "non-lieux" scrutés par Marc Augé, l’attention est ici portée sur la singularité de chacun de ces bouts du monde, voire des antimondes comme ceux qu’a étudiés Roger Brunet, ou encore des tiers lieux, qu’évoquent par exemple Armelle Choplin et Olivier Pliez dans leur ouvrage sur "la mondialisation des pauvres".
Pendant plus de 400 pages, l’auteur s’amuse et sait divertir ses lecteur...
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CybergeoNetworks 2: una robusta aplicación de aprendizaje para publicaciones científicas
sur CybergeoCon motivo del coloquio desarrollado el 26 de mayo del 2016 para celebrar el 20º aniversario de la revista Cybergeo, cuatro jóvenes investigadores unieron fuerzas para desarrollar una aplicación altamente pionera para el análisis geográfico, estadístico y semántico de datos extraídos del conjunto de datos de Cybergeo (texto completo y metadatos) y además datos en línea asociados a la revista entre 1996 y 2015 (motores de búsqueda, Tweets, citas y publicaciones), naciendo así el sitio CybergeoNetworks. Fieles a nuestra política de publicación a acceso abierto, tal aplicación permite localizar visual y estadísticamente datos referentes a los autores de los artículos de la revista, países estudiados y citados, o incluso quien estudia qué. Compuesto por cuatro módulos interactivos, la información proporcionada por sus análisis es remarcable. Por ejemplo, es posible agrupar países por redes semánticas, visualizar y asociar a estos según la procedencia de los autores (información que Lode...
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CybergeoNetworks 2: a deep learning application for scientific publishing
sur CybergeoOn the occasion of the conference held on May 26, 2016 to celebrate the 20th anniversary of Cybergeo magazine, four young researchers joined forces to develop a pioneering application for geographic, statistical and semantic analysis of data extracted from the Cybergeo corpus (full text and metadata), as well as online data associated with the magazine between 1996 and 2015 (search engines, tweets, citations and publications). The CybergeoNetworks website was born. In keeping with our open-access publishing policy, it provides visual and statistical access to data on the location of the authors of the journal's articles, the countries studied and cited, and who is studying whom? Comprising four interactive modules, the information provided by its analyses is impressive. For example, it is possible to group countries by semantic networks, to visualize the states to which authors are affiliated (information that Lodel, OpenEdition's publishing software, does not provide in its current...
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CybergeoNetworks 2 : une application d’apprentissage profond au service de la publication scientifique
sur CybergeoA l’occasion du colloque du 26 mai 2016 pour la célébration des 20 ans de la revue Cybergeo, quatre jeunes chercheurs se sont associés pour développer une application tout à fait pionnière d’analyses géographique, statistique et sémantique des données extraites du corpus de Cybergeo (plein texte et métadonnées), mais aussi des données en ligne associées à la revue entre 1996 et 2015 (moteurs de recherche, tweets, citations et publications). Le site CybergeoNetworks, est né. Fidèle à notre politique de publication en accès ouvert, il permet de situer visuellement et statistiquement des données sur la localisation des auteurs des articles de la revue, les pays étudiés et cités, ou encore qui étudie qui ? Composée de quatre modules interactifs, l’information fournie par ses analyses est impressionnante. A titre d’exemple, il est possible de regrouper des pays par réseaux sémantiques, de visualiser les États auxquels sont affiliés les auteurs (une information que Lodel, le logiciel d’éd...
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Philipp Ther, 2023, How the West Lost the Peace: The Great Transformation Since the Cold War, Polity, 304 p.
sur CybergeoÀ toutes les époques, il y eut des voix pour espérer faire une seule nation de l'humanité entière, mais à chaque génération le rêve recule un peu plus. La chute du mur de Berlin, en 1989, a soulevé de nouveaux espoirs, qui ont amené Habermas (1994) à préparer comme objectif à long terme "de surmonter progressivement la division et la stratification sociale de la société mondiale, sans porter atteinte aux singularités culturelles". Dans ce contexte idéalisé, développé par les médias occidentaux, la population a subi une surprise brutale lors de l’agression russe en Ukraine en 2022. Finis les rêves, il semblait qu’on avait perdu la paix, comme en d’autres temps on avait perdu la guerre.
Dans la dernière édition de son livre, paru en 2023 chez Polity (How the West Lost the Peace: The Great Transformation Since the Cold War), l’historien Philipp Ther cherche à comprendre comment cette défaite est arrivée. Gagner la paix, comme gagner la guerre, suppose des sacrifices et la prise de risqu...
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9:30
Is a dense city a healthy city? A preliminary study on the interplay between urban density and air quality in Oran, Algeria
sur CybergeoThe general consensus is that dense cities are more sustainable. However, high urban density or compact urban form may affect the health of city dwellers, more particularly when compactness is not associated with the provision of mass transit systems. This paper analyses the correlation between urban density indicators and air pollution in Oran (Algeria), a city that suffers a lack of public transport. It assesses the density of green space needed to reduce airborne pollutants in cities. The paper also examines the impacts of exposure to air pollution on respiratory mortality using a quantitative health impact assessment methodology. Findings show that population density and building density strongly correlates with air pollution, due to motorized transport and other human activities (e.g. industries, residential heating or lacking green space). Results indicate that for population density greater than 12100 inhabitants/ha with associated values exceeding 100 for building density an...
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Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur MappemondeL’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
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8:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur MappemondeLes classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.
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8:30
L’accessibilité dans les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien
sur MappemondeL’analyse des parentés observées entre les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien nous a conduits à mettre en évidence cinq spécificités de l’accessibilité insulaire. À partir de ces traits fonctionnels, le but poursuivi par cette étude est donc de modéliser l’accessibilité insulaire. Pour ce faire, nous examinons la nodalité et la réticularité des ports et aéroports insulaires régionaux.
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8:30
La morphologie de la ligne de flux. Une nouvelle variable visuelle issue du système de Cartes figuratives de Minard
sur MappemondeLes travaux de Charles-Joseph Minard (1781–1870) sur la cartographie des flux et des « mouvements de transports » sont historiquement reconnus. Unanimement salués, ils font l’objet de mentions régulières voire d’anthologies, mais qui s’intéressent davantage à l’image qu’à la méthode mise en œuvre. L’examen de la fabrique de son « système de Cartes figuratives » nous conduit à présenter les apports fondamentaux de Minard sur la sémiologie cartographique des flux/mouvements, à révéler l’ancrage théorique, méthodologique et conceptuel de ces cartes. L’analyse de la forme perçue sur la carte du dessin de la ligne de flux nous pousse à introduire une nouvelle variable visuelle : la morphologie.
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8:30
Atlas des phares du bout du monde, Autrement, 2021
sur Mappemonde« L’Atlas des phares du bout du monde » est l’une des traductions (il y en aurait onze) du Breve Atlas de los Faros del Fin del Mundo paru en 2020 aux éditions Menguantes. L’auteur, graphiste de métier, déclare dans son avant-propos qu’il est « loin d’être un expert en la matière » et que c’est la rencontre fortuite entre son envie de faire un de ces « atlas poétiques (…) capables de vous transporter dans des lieux reculés depuis le confort de votre canapé », ses compétences de graphiste et un travail qu’il a dû faire, au cours duquel il a dessiné des phares qui ont été la source de son inspiration.
L’ouvrage présente 34 phares qui sont, d’abord, tous localisés sur une belle carte du monde, sans limite étatique, réalisée dans des tons bleus et jaunes pâles. Puis, chaque phare est présenté en quatre pages, toujours selon la même structure. D’abord une page de texte accompagnée de quelques informations de localisation et, en vis-à-vis, le dessin, réalisé par l’auteur, du phare dans so...
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8:30
Atlas des grandes découvertes. De l’Antiquité à nos jours, Autrement, 2021
sur MappemondeVoici un atlas pour lequel Stéphane Dugast, pour l’écriture des textes, Xemartin Laborde, pour les cartes, et Audrey Lagadec, pour les illustrations, ont été associés pour le plus grand plaisir de nos connaissances et de notre imagination. Un atlas est un recueil de cartes, celui-ci, comme l’explique l’introduction, est « une ode à la carte » offrant de célébrer les grandes découvertes qui ont rythmé l’histoire de l’humanité.
L’atlas est découpé en cinq grandes parties organisées de manière chronologique. Chaque page comporte une notice présentant un(e) ou plusieurs explorateurs/exploratrices et, le plus souvent, une carte qui décrit les voyages d’exploration effectués. Les cartes sont, en apparence, très simples avec peu de figurés, mais elles permettent une visualisation claire et précisent des faits d’exploration décrits dans la notice. Certaines pages montrent le monde « connu » à des époques plus anciennes avec des mappemondes comme celle de Ptolémée ou d’Al Idrissi. Le texte es...
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8:30
Grand Atlas de l’Antiquité romaine, Autrement, 2019
sur MappemondeCet atlas, rédigé par Christophe Badel et Hervé Inglebert avec des cartes de Claire Levasseur, offre un vaste panorama de l’Empire romain : de ses prémices au IIIe siècle av. J.-C. aux conséquences de son effondrement au Ve/VIe siècle.
Cet atlas commence par des cartes anciennes reconstituant la vision des anciens de leur monde. La plus célèbre de ces cartes est celle dite « Table de Peutinger », copie médiévale d’un original du IIe/IVe siècle, qui représente le réseau routier de l’Empire romain. Page 63, l’atlas fait également figurer l’énigmatique carte romaine d’Agrippa. L’hypothèse est qu’il s’agissait d’une carte, située sur le temple du forum d’Auguste, qui aurait été créée pour montrer l’étendue de l’Empire au 1er siècle. Carte ou liste de lieux ou de routes perdue irrémédiablement, mais dont l’existence supposée montre tout l’intérêt des autorités impériales pour leur immense territoire et pour ce moyen très pratique de se l’approprier, tout au moins par le regard, qu’est l’o...
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8:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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8:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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8:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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7:30
[1’Tech by Oslandia] open source
sur OslandiaDans cette minute Tech, nos collaborateurs vous proposent d’expliquer une technologie, une méthodologie, un concept. Pour commencer cette série et car il pouvait difficilement en être autrement, on a brainstormé sur GitLab pour donner notre meilleure définition de l’open source.
Notre définition de l’open sourceopen source, dans le sens équivalent à logiciel libre, désigne un logiciel ou un composant logiciel dont le code source est mis à disposition, et peut être modifié et redistribué librement. La notion de logiciel libre inclut en supplément des éléments de gouvernance sur les projets.
L’open source chez Oslandia« OS » dans « Oslandia » c’est « Open Source » ! L’open source est au cœur de la culture Oslandia, aujourd’hui éditeur du SIG open source QGIS notamment. Oslandia est un « pure player » open source qui intègre, édite, maintient et développe des composants logiciels FOSS4G (Free Software for Geomatics), en collaboration forte avec la communauté de développeurs et d’utilisateurs.
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12:57
Géographie des datacenters dans le monde
sur Cartographies numériquesLe site VisualCapitalist propose une carte des 50 plus grands datacenters dans le monde d'après leur consommation énergétique. La carte met en évidence une répartition très inégale selon les continents. La concentration est forte aux Etats-Unis, en Europe et en Asie du sud et de l'est, tandis que l'Afrique et l'Amérique du Sud sont peu représentées.
Répartition des 50 plus grands datacenters en 2023 (source : VisualCapitalist)
Les données proviennent de la société Cushman & Wakefield qui a publié en 2023 un rapport destiné à mettre en lumière, dans un but économique et financier, les plus grands marchés des centres de données. Il s'agit de données très évolutives tant le nombre de datacenters évoluent rapidement chaque année. On estime qu’il existe plus de 8 000 datacenters dans le monde. L'équipe de Brightlio a compilé une liste complète de statistiques sur les centres de données. On peut se référer également à la DataCenter Map qui recence les centres de données depuis 2007.
Répartition des datacenters dans le monde (source : DataCenter Map)
A titre de comparaison, on peut comparer avec la carte des datacenters de l'Atlas Espace mondial publié par SciencesPo en 2018.
Pour compléter
Qu'est-ce qu'un data center ? (Numérama)
L’expansion des data centers dans le monde (Veille Carto 2.0)
Data-centers : les ogres énergivores d'Internet (France Culture)Articles connexes
Les investissements de la Chine dans les secteurs de l'Intelligence artificielle et de la surveillance
Telegeography met à jour sa carte des câbles sous-marins (version 2020 à 2023)
Les câbles sous-marins, enjeu majeur de la mondialisation de l'information
Le monde de l'Internet en 2021 représenté comme un planisphère par Martin Vargic
Une vidéo sur l'évolution du réseau Internet (1997-2021) à partir des données du projet Opte
Une cartographie mondiale des points de connexion Wi-Fi réalisée dans le cadre du projet WiGLE -
10:54
Bruitparif, la plateforme cartographique du bruit en Île-de-France
sur Cartographies numériquesLa plateforme carto.bruitparif.fr est produite par Bruitparif, l'observatoire du bruit en Île-de-France. Bruitparif est une association à but non lucratif qui réalise différentes missions d'intérêt général :
- Caractériser le bruit en Île-de-France par la réalisation de mesures et de modélisation du bruit sur le territoire régional, la conduite d'études et d'enquêtes ;
- Faire progresser les connaissances relatives aux impacts sanitaires et socio-économiques du bruit ;
- Accompagner les acteurs institutionnels dans l'élaboration et la mise en oeuvre de politiques efficaces de lutte contre le bruit, notamment pour établir des Plans de Prévention du Bruit dans l’Environnement (PPBE) ;
- Informer et sensibiliser le grand public en ce qui concerne les problèmes de nuisances sonores de manière à les réduire.
Interface de la plateforme cartographique Bruitparif (source : carto.bruitparif.fr)
Cette plateforme permet de consulter les cartes stratégiques de bruit (CSB) élaborées au sein de la région Île-de-France, dans le cadre de la mise en œuvre de la directive européenne 2002/49/CE. Il s’agit d’un outil de référence en matière d’information du public. Trois sources de bruit sont cartographiées (routes, voies ferrées, trafic aérien) avec la possibilité de les cumuler. Accès aux statistiques d'exposition des populations pour les différents échelons territoriaux, téléchargement des cartes, module de localisation par saisie d'adresse... les fonctionnalités de la plateforme sont nombreuses. Un tutoriel permet de découvrir les différentes fonctionnalités de la plateforme :
Tutoriel de présentation de la plateforme cartographique du bruit en Île-de-France Bruitparif
L'objectif des cartes de bruit est d'aider à la décision pour prévenir et réduire les expositions au bruit, l'objectif final étant d'améliorer le cadre de vie et la santé des riverains. Les cartes sont réalisées non par prélèvement direct du bruit, mais par modélisation informatique à partir de différentes sources (données de topographie, de trafic à différents horaires, de révêtement de chaussées ou de nature des voies ferrées, de composition du parc automobile...). Pour chaque zone, on peut obtenir des statistiques sur le niveau d'exposition de la population. Il est possible d’accéder aux données de la 4ème échéance, les plus récentes (produites en 2023), mais aussi aux données relatives à la période 2017-2022 (3ème échéance), et à la période 2007-2012 (1ère et 2ème échéances).
D'après les données 2023, ce sont plus de huit millions et demi de Franciliens (soit 80% des habitants de la région) qui sont exposés à des niveaux de bruit supérieurs à 53 décibels, objectif recommandé par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), en raison du trafic routier. Plus d'un million se situent au-delà de la limite réglementaire française, moins stricte. Si le nombre de personnes exposées au bruit ferroviaire a tendance à diminuer, les nuisances sonores aériennes, elles, se sont aggravées en raison de la densification de certaines communes survolées par les avions et de la hausse du trafic aérien.
II) Les indicateurs utilisés pour élaborer des cartes de bruit
Le niveau sonore sur une carte de bruit est représenté à partir d'indicateurs de bruit. L’intensité sonore d’une source donnée varie au cours du temps sur une journée et la perception de l’intensité sonore par l’être humain est différente le jour, le soir et pendant la nuit. C’est la raison pour laquelle on décompose une journée de 24h en trois périodes : le jour entre 6h et 18h, le soir entre 18h et 22h et la nuit entre 22h et 6h et que l’on exprime les niveaux sonores à l’aide de moyennes énergétiques sur ces périodes de temps considérées :- Ld (pour Level day) correspond à la moyenne de bruit sur la période 6h-18h
- Le (pour Level evening) correspond à la moyenne de bruit sur la période 18h-22h
- Ln (pour Level night) correspond à la moyenne de bruit sur la période 22h-6h
- Lden (pour Level day evening night) qui correspond à un indicateur de bruit global perçu au cours de la journée qui tient compte de la sensibilité plus forte des individus au bruit sur les périodes de soirée et de nuit. Ainsi, l’indicateur Lden est calculé à partir des indicateurs Ld, Le et Ln en appliquant des pondérations de +5 dB(A) et de +10 dB(A) respectivement aux niveaux de bruit de soirée et de nuit.
- Ln ou Lnight qui correspond à la moyenne énergétique de bruit sur la période 22-6h.
Les cartes de bruit représentent les valeurs de ces indicateurs évalués pour une journée moyenne annuelle sous la forme d’aplats de couleur par tranche de 5 en 5 dB(A). Afin de faciliter la lecture des cartes, une échelle de couleurs est appliquée aux différents niveaux de bruit. Sur l’échelle réglementaire, établie selon la norme NF S 31 130, les zones les plus bruyantes apparaissent en violet alors que le vert fait ressortir les secteurs plus calmes.
Des cartes de dépassement de seuil sont également produites. Elles permettent de représenter les zones susceptibles de contenir des bâtiments dont les façades sont exposées à un niveau sonore moyen qui excède les valeurs limites réglementaires définies par la France. Ces valeurs limites dépendent de la source de bruit et de l’indicateur.
Carte des zones de dépassement de la valeur limite réglementaire de 68 dB(A) pour l’indicateur Lden.
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Signaler les enfants bruyants dans sa rue : Dorozoku, un site cartographique controversé au Japon
Drive & Listen, un site web pour s'immerger en voiture dans les rues des grandes villes mondiales
Radio Garden : un globe terrestre pour écouter des stations de radio du monde entier
L'histoire par les cartes : Gens de la Seine, un parcours sonore dans le Paris du XVIIIe siècle
The arrogance of space : un outil cartographique pour montrer la place allouée à l'automobile en milieu urbain
Une cartographie du niveau de pollution de l'air à Paris
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15:00
Announcing the 2024 Joint OGC ASF OSGeo Code Sprint
sur Open Geospatial Consortium (OGC)The Open Geospatial Consortium (OGC), Apache Software Foundation (ASF), and Open Source Geospatial Foundation (OSGeo) are pleased to announce the date of the 4th annual Joint OGC ASF OSGeo Code Sprint as February 26-28, 2024.
As a hybrid event, the face-to-face component will be held in Casa Cordovil-Universidade de Évora (Évora, Portugal), while the virtual component will be held via the OGC Events Discord server. Registration for the code sprint is free and open to the general public here.
The code sprint will be hosted by Universidade de Évora, NaturalGIS and Geobeyond. Catering will be sponsored by NaturalGIS, Geobeyond and the European Union-funded GEOE3 project. Further sponsorship opportunities remain available: see below for more information.
The code sprint will engage with multiple ASF and OSGeo projects, supported by OGC Standards – including OGC API Standards, the building blocks for location on the web. All OGC, Apache, and OSGeo projects, working groups, and members, as well as the wider public, are encouraged to participate. In addition to developers, technical writers are also encouraged to participate to help the various projects and working groups with their documentation.
A code sprint is a collaborative and inclusive event driven by innovative and rapid programming with minimal process and organization constraints to support the development of new applications and candidate Standards.
The goal of the 2024 Joint OGC ASF OSGeo Code Sprint is to advance support of open geospatial Standards within the developer community, while also advancing the Standards themselves. The code sprint will provide software developers a period of three days in which to focus on projects that implement open geospatial Standards.
There will be an opportunity for joint discussion with other participants, as well as daily briefings from each project and working group. However, the majority of the time will be spent in collaboration between participants in active coding and related activities such as testing, reporting issues, and working on documentation.
The sprint will also provide a mentor stream that’s aimed at developers who are not yet familiar with the software projects and Standards. Through tutorials and 1:1 mentoring, the mentor stream aims to support developers in taking the first steps in their journey toward mastery of open geospatial Standards and projects.
For more information on the code sprint, including registration, the projects and Standards involved, and FAQ, visit the 2024 Joint OGC-ASF-OSGeo Code Sprint website. Registration for in-person participation closes at 9:00am WET on the 19th of February, 2024. Registration for remote participation will remain open throughout the code sprint.
To set the context of the code sprint, and to help participants prepare, there will be a one-hour pre-event webinar on Discord at 14:00 WET/UTC/GMT, on February 20.
The agenda and other logistical information about the code sprint can be found on the 2024 Joint OGC – OSGeo – ASF Code Sprint GitHub Wiki. Information on other OGC Sprints or events for developers can be found on the OGC Developer Events wiki on GitHub.
Event SponsorshipOpportunities to sponsor the code sprint remain available. A range of packages are available that offer different opportunities for organizations to support the geospatial development community while promoting their products or services. Visit the OGC Code Sprint sponsorship page for more information. Organizations interested in sponsoring the Code Sprint should contact the OGC Standards Program and OSGeo point of contact.
About OSGeo
OSGeo is a not-for-profit organization whose mission is to foster global adoption of open geospatial technology by being an inclusive software foundation devoted to an open philosophy and participatory community driven development.About the Apache Software Foundation
Since 1999, The Apache Software Foundation has been shepherding, developing, and incubating Open Source innovations “The Apache Way”. The ASF’s all-volunteer community comprising 816 individual Members and 8,500 Committers on six continents steward 227M+ lines of code, oversee 350+ Apache projects and their communities, and provide $22B+ worth of software to the public at 100% no cost.The post Announcing the 2024 Joint OGC ASF OSGeo Code Sprint appeared first on Open Geospatial Consortium.
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12:35
Conseils & Astuces ArcGIS Online - N°183
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierN° 183 - Afficher des horaires d'ouverture dans des fenêtres contextuelles avec Arcade
Dans mon précédent article (Conseils & Astuces ArcGIS Online n°182), je vous ai montré comment représenter, via la symbologie de la couche et une expression Arcade, des informations concernant les heures d'ouverture et de fermeture associés à vos points d'intérêts. Lorsque vous disposez d'informations relatives aux heures d'ouverture et de fermeture, il est également possible de réaliser des cartes plus dynamiques en utilisant des expressions Arcade.
Dans cet article, je vous propose de voir deux exemples d'expression Arcade pour afficher les heures d'ouvertures de chacun de vos points d'intérêt dans des fenêtres contextuelles.
Reprenons l'exemple d'une couche de points contenant les déchèteries sur la région Ile-de-France. Cette dernière contient les horaires d'ouverture et de fermeture, pour chaque jour de la semaine, stockés dans 14 champs de type "Heure uniquement" (Time only). Par exemple, pour la journée du lundi, les horaires se trouveront dans les champs Ouverture_Lundi et Fermeture_Lundi. Dans mon cas, l'absence de valeur indique une fermeture durant toute la journée.
Voici comment vous pouvez préparer les déchèteries ouvertes ou fermées en fonction du jour et de l'heure actuels.- Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous afficherez l'interface de définition des fenêtres contextuelles. Vous supprimerez la liste des champs proposée par défaut et vous ajouterez une expression Arcade.
- Vous donnerez tout d'abord un nom à votre expression, par exemple ici : "Table des horaires d'ouverture".
- Vous saisirez ensuite l'expression Arcade suivante :
Expects($feature,"*") var ListeJourSemaine=["Lundi","Mardi","Mercredi","Jeudi","Vendredi","Samedi","Dimanche"] // On initialise la variable contenant le bloc HTML de la fenêtre contextuelle var strHTML = "" // On commence à construire le paragraphe de texte strHTML += "<p style='font-family: Arial; font-size: 10pt;'>Horaires d'ouverture<br/>" // Varaible pour gérer la bordure supérieure du premier tableau var border_top = "" // On boucle sur chaque jour de la semaine for(var i in ListeJourSemaine) { // On récupère le nom du jour var NomDuJour = ListeJourSemaine[i] // On démarre un nouveau tableau strHTML += "<table style='border-collapse: collapse;font-family: Arial; font-size: 9pt;'>" // La première cellule contient le nom du jour // Si la ligne courante (i va de 0 à 6) est égal au jour courant (ISOWeekday de 1 à 7) // alors on met la ligne en gras et su fond gris clair if(i == ISOWeekday(Today())-1){ strHTML += "<tr style='border: 1px solid;" + border_top + ";" strHTML += "background-color: #EEEEEE;font-weight: bold'>" }else{ strHTML += "<tr style='border: 1px solid;" + border_top + ";'>" } // On affiche le nom du jour strHTML += "<td style='width: 80px;padding-left: 5px;'>" + NomDuJour + " :</td>" // On récupère les heures d'ouverture et de fermeture correspondant // à ce jour de la semaine var HeureOuverture = $feature["Ouverture_"+NomDuJour] var HeureFermeture = $feature["Fermeture_"+NomDuJour] // Si le lieu a bien une heure d'ouverture et de fermeture, on affiche // ces deux informations dans le tableau if(!IsEmpty(HeureOuverture) && !IsEmpty(HeureFermeture)){ strHTML += "<td style='width: 100px;color: #00CC00;'>" +Text(HeureOuverture,"H:mm")+" - " + Text(HeureFermeture,"H:mm") +"</td>" } // Sinon on affiche qu'il est fermé else{ strHTML += "<td style='width: 100px;color: #CC0000;'>Fermé</td>" } // Fin du tableau strHTML += "</tr></table>" // Pour les autres jours/tableaux, la bordure supérieure sera invisible border_top = "border-top: 0px;" } strHTML += "</p>" // On renvoie le bloc de code HTML de la fenêtre contextuelle return { type : 'text', text : strHTML }
- Votre carte affiche désormais les déchèteries avec des fenêtres contextuelles présentant le tableau des horaires d'ouverture.
- Vous pouvez améliorer encore l'exploitation des heures en proposant une fenêtre contextuelle plus graphique. Par exemple, vous pouvez utiliser Arcade pour construire un tableau HTML affichant les plages d'ouverture à l'aide de zones colorisées.
L'expression Arcade ressemblera alors à ceci :
Voici un exemple de rendu de la nouvelle fenêtre contextuelle :Expects($feature,"*") /// Fonction permettant de construire la partie horaire du calendrier function GenererPlagesHoraires(HeureMinCalendrier,HeureMaxCalendrier,HeureOuverture,HeureFermeture){ Console(HeureOuverture + " " + HeureFermeture) // Récupération du nombre minutes de la plage horaire du calendrier var MinutesDansLaPlage = DateDiff(HeureMaxCalendrier,HeureMinCalendrier,"minutes") // On initialise la variable du bloc HTML de la cellule du tableau var strTD = "" // Si les heures d'ouverture et de fermetur sont bien défines if(!IsEmpty(HeureOuverture) && !IsEmpty(HeureFermeture)){ // Position du jour d'ouverture dans le mois var MinutesOuverture = DateDiff(HeureOuverture,HeureMinCalendrier,"minutes") var MinutesFermeture = DateDiff(HeureFermeture,HeureMinCalendrier,"minutes") // Calcul du nombre de pixels pour séparer les 2 blocs de couleur var pixels_ouverture = Floor((MinutesOuverture/MinutesDansLaPlage)*250) var pixels_fermeture = Floor((MinutesFermeture/MinutesDansLaPlage)*250) // Bloc gris (fermé) strTD += "<td style='width: "+pixels_ouverture+"px;background-color: #cccccc'></td>" // Bloc vert (ouvert) strTD += "<td style='width: "+(pixels_fermeture - pixels_ouverture)+ "px;background-color: #00cc00;color: #FFFFFF;font-size: 8pt;text-align: center'>" +Text(HeureOuverture,"H:mm")+" - " + Text(HeureFermeture,"H:mm") +"</td>" strTD += "<td style='width: "+ (250 - pixels_fermeture) + "px;background-color: #cccccc;font-size: 8pt;'></td>" } // Si aucun heure d'ouverture ou de fermeture n'est défninie alors c'est fermé ! else{ // On créé 2 blocs gris cote à cote pour une largeur totale de 300px strTD += "<td style='width: 125px;background-color: #CCCCCC'></td>" strTD += "<td style='width: 125px;background-color: #CCCCCC'></td>" } return strTD } var ListeJourSemaine=["Lundi","Mardi","Mercredi","Jeudi","Vendredi","Samedi","Dimanche"] // 2 variables pour définir les heures min et max des journées dans le calendrier var HeureMinCalendrier = Time("07:00") var HeureMaxCalendrier = Time("20:00") // On initialise la variable contenant le bloc HTML de la fenêtre contextuelle var strHTML = "" // On commence à construire le paragraphe de texte strHTML += "<p style='font-family: Arial; font-size: 10pt;'>Horaires d'ouverture<br/>" // Varaible pour gérer la bordure supérieure du premier tableau var border_top = "" strHTML += "<table style='border-collapse: collapse;font-family: Arial; font-size: 10pt;'>" strHTML += "<tr style='border: Opx solid;'><td style='width: 80px;'> </td>" strHTML += "<td style='width: 125px;text-align: left;font-size: 8pt;'>"+ Text(HeureMinCalendrier,"H:mm")+"</td>" strHTML += "<td style='width: 125px;text-align: right;font-size: 8pt;'>"+ Text(HeureMaxCalendrier,"H:mm")+"</td>" // Fin du tableau strHTML += "</tr></table>" // On boucle sur chaque jour de la semaine for(var i in ListeJourSemaine) { var NomDuJour = ListeJourSemaine[i] // On démarre un nouveau tableau strHTML += "<table style='border-collapse: collapse;font-family: Arial; font-size: 9pt;'>" // Si la ligne courante (i va de 0 à 6) est égal au jour courant (ISOWeekday de 1 à 7) // alors on met la ligne en gras et su fond gris clair if(i == ISOWeekday(Today())-1){ strHTML += "<tr style='border: 1px solid;" + border_top + ";" strHTML += "background-color: #EEEEEE;font-weight: bold'>" }else{ strHTML += "<tr style='border: 1px solid;" + border_top + ";'>" } // La première cellule contient le nom du jour strHTML += "<td style='width: 80px;padding-left: 5px;'>" + NomDuJour+"</td>" // On récupère les heures d'ouverture et de fermeture correspondant à ce // jour de la semaine var HeureOuverture = $feature["Ouverture_"+NomDuJour] var HeureFermeture = $feature["Fermeture_"+NomDuJour] // Appel de la fonction remplissant la partie horaire du calendrier strHTML += GenererPlagesHoraires(HeureMinCalendrier,HeureMaxCalendrier,HeureOuverture,HeureFermeture) // Fin du tableau strHTML += "</tr></table>" // Pour les autres jours/tableaux, la bordure supérieure sera invisible border_top = "border-top: 0px;" } strHTML += "</p>" // On renvoie le bloc de code HTML de la fenêtre contextuelle return { type : 'text', text : strHTML }
Bonne route sur ArcGIS Online ! Pour retrouver l'ensemble des Conseils & Astuces ArcGIS Online, cliquez sur ce lien.
- Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous afficherez l'interface de définition des fenêtres contextuelles. Vous supprimerez la liste des champs proposée par défaut et vous ajouterez une expression Arcade.
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19:26
Conseils & Astuces ArcGIS Online - N°182
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierN° 182 - Cartographier des horaires d'ouverture avec Arcade
Dans les deux précédents articles (Conseils & Astuces ArcGIS Online n°180 et n°181), je vous ai montré comment représenter, via la symbologie de la couche ou les fenêtres contextuelles, les informations sur les jours et les dates d'ouverture associés à vos points d'intérêts. Tout cela, grâce à des expressions Arcade. Lorsque vous disposez d'informations relatives aux heures d'ouverture et de fermeture, il est également possible de réaliser des cartes plus dynamiques en utilisant des expressions Arcade.
Dans cet article, je vous propose de voir un exemple d'expression Arcade pour représenter les heures d'ouvertures de vos points d'intérêt.
Reprenons l'exemple d'une couche de points contenant les déchèteries sur la région Ile-de-France. Cette dernière contient les horaires d'ouverture et de fermeture, pour chaque jour de la semaine, stockés dans 14 champs de type "Heure uniquement" (Time only). Par exemple, pour la journée du lundi, les horaires se trouveront dans les champs Ouverture_Lundi et Fermeture_Lundi. Dans mon cas, l'absence de valeur indique une fermeture durant toute la journée.
Voici comment vous pouvez représenter les déchèteries ouvertes ou fermées en fonction du jour et de l'heure actuels.-
Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous
afficherez l'interface de définition des styles. Vous cliquerez ensuite
sur le bouton "Expression" pour créer une nouvelle expression
Arcade.
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Vous donnerez tout d'abord un nom à votre expression, par exemple ici :
"Ouvert/Fermé en ce moment"
Vous saisirez ensuite l'expression Arcade suivante :Expects($feature, "*") // Récupération de l'index du jour courant // (Lundi = 1 et Dimanche = 7) var IndexJourCourant = ISOWeekday(Now()) // Récupération de l'heure courante var HeureCourante = Time() // On crée une liste des noms des jours var ListeJourSemaine=["Lundi","Mardi","Mercredi","Jeudi","Vendredi","Samedi","Dimanche"] // On récupère le nom du jour courant // Note: Dans une liste l'index démarre à 0, on retire donc 1 à l'index du jour courant var NomJourCourant = ListeJourSemaine[IndexJourCourant-1] // Si les heures d'ouverture ou de fermeture ne sont pas renseignées dans la table // alors la déchèterie est fermée toute la journée if (!IsEmpty($feature["Ouverture_"+NomJourCourant]) || !IsEmpty($feature["Fermeture_"+NomJourCourant])){ var HeureOuverture = $feature["Ouverture_"+NomJourCourant] var HeureFermeture = $feature["Fermeture_"+NomJourCourant] // Si l'heure courante est entre l'heure d'ouverture et de fermeture if (HeureCourante>=HeureOuverture && HeureCourante<=HeureFermeture){ return "Actuellement ouvert" } else { return "Actuellement fermé" } } else { return "Fermé toute la journée" }
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Il ne reste plus qu'à définir la symbologie que vous souhaitez appliquer
aux déchèteries pour indiquer qu'elles sont ouvertes et fermées.
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Votre carte affiche désormais les déchèteries en fonction de leur
ouverture/fermeture pour le jour courant.
Voici la carte lorsque le jour courant est un vendredi à 8:15 :
Voici la carte lorsque le jour courant est un vendredi à 17:05 :
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Vous pouvez améliorer encore l'exploitation des heures en proposant
une légende plus évoluée pour votre carte. En effet, celle-ci pourra
par exemple informer l'utilisateur des déchèterie qui vont ouvrir ou
fermer dans un certains délais (15 prochaines minutes dans mon
exemple).
L'expression Arcade ressemblera alors à ceci :
Voici un exemple de rendu de la carte un mercredi à 8:20 :Expects($feature, "*") // Récupération de l'index du jour courant // (Lundi = 1 et Dimanche = 7) var IndexJourCourant = ISOWeekday(Now()) // Récupération de l'heure courante var HeureCourante = Time("8:15") // On crée une liste des noms des jours var ListeJourSemaine=["Lundi","Mardi","Mercredi","Jeudi","Vendredi","Samedi","Dimanche"] // On récupère le nom du jour courant // Dans une liste l'index démarre à 0, on retire donc 1 à l'index du jour courant var NomJourCourant = ListeJourSemaine[IndexJourCourant-1] // Si les heures d'ouverture ou de fermeture ne sont pas renseignées dans la table // alors le POI est fermé toute la journée if (!IsEmpty($feature["Ouverture_"+NomJourCourant]) || !IsEmpty($feature["Fermeture_"+NomJourCourant])){ var HeureOuverture = $feature["Ouverture_"+NomJourCourant] var HeureFermeture = $feature["Fermeture_"+NomJourCourant] // Si l'heure courante est entre l'heure d'ouverture et de fermeture if (HeureCourante>=HeureOuverture && HeureCourante<=HeureFermeture){ return "Actuellement ouvert" } else { if(DateDiff(HeureOuverture,HeureCourante,"minutes")<=15){ return "Bientôt ouvert (moins de 15 min)" }else if(DateDiff(HeureFermeture,HeureCourante,"minutes")<=15){ return "Bientôt fermé (moins de 15 min)" }else{ return "Actuellement fermé" } } }else{ return "Fermé toute la journée" }
Dans le prochain article, nous verrons comment présenter ces informations sur les horaires d'ouverture dans les fenêtres contextuelles de la couche.
Bonne route sur ArcGIS Online ! Pour retrouver l'ensemble des Conseils & Astuces ArcGIS Online, cliquez sur ce lien.
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Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous
afficherez l'interface de définition des styles. Vous cliquerez ensuite
sur le bouton "Expression" pour créer une nouvelle expression
Arcade.
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19:17
Bertrand Monthubert et l'équipe du CNIG vous souhaitent une bonne année 2024
sur Conseil national de l'information géolocaliséeBertrand Monthubert et l'équipe du CNIG vous souhaitent une bonne année 2024
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11:32
Des outils d'IA gratuits pour identifer un lieu à partir d'une photographie
sur Cartographies numériques
I) GeoSpy, un outil récent mais déjà prometteur
L'application GeoSpy est sortie fin décembre 2023 dans une version beta. La version 0.1 montre des résultats prometteurs, notamment en milieu urbain. L'utilisation est assez simple : il suffit de déposer une photographie d'un lieu et l'application en recherche les coordonnées géographiques. Les résultats ne sont pas toujours précis, mais le taux d'erreur reste acceptable. Il est conseillé d'utiliser des plans un peu larges prenant en compte plusieurs bâtiments, sinon l'application a tendance à se focaliser sur tel ou tel détail architectural. Malgré quelques imperfections, l'outil est en train de gagner en popularité auprès de la communauté du renseignement open source. Le site Bellingcat, qui s'intéresse également à la géolocalisation d'images par des chatbots, est en train de le tester pour l'intégrer à sa panoplie d'outils. L'application peut s'avérer très pratique pour lancer des défis ou accompagner des enquêtes OSINT. Cyber-Détective donne un exemple d'utilisation de GeoSpy avec Openstreetmap pour géolocaliser des panneaux routiers.
Contrairement aux méthodes traditionnelles, GeoSpy ne nécessite aucune interrogation par écrit. Son efficacité est liée à la méthode CLIP de lecture d'image par clustering d'OPenAI décrite dans cet article "PIGEON : Predicting Image Geolocations". Le système utilise une combinaison de modèles : CLIP pour comprendre les images dans le contexte du langage naturel, OCR (Optical Character Recognition) pour extraire le texte des images et LLM (Large Language Models) pour comprendre et générer du texte. Dans les prochaines versions, Geospy utilisera des graphes de connaissances, ce qui devrait constituer une avancée significative.
Interface de l'application GeoSpy version 0.1 (source : GeoSpy)
II) Picarta, un service de base gratuit
Picarta, qui vend des services de géolocalisation aux entreprises, offre un service de base pour géolocaliser des images. Il faut cependant s'inscrire pour afficher les résultats sur une carte. Dans l'exemple pris ici, l'application a bien reconnu qu'il s'agissait d'une image de favela au Brésil. Elle a même réussi à indentifier la ville, Rio de Janeiro. Les coordonnées géograhiques restent toutefois un peu imprécises par rapport à la localisation exacte de la favela de Rocinha (écart d'environ 500m).
Interface de l'application Picarta (source : Picarta)
III) Geolocation Estimation, un outil adapté également aux paysages naturels
Alors que la plupart des outils d'IA sont plutôt adaptés au milieu urbain où les batiments sont plus facilement reconnaissables, Geolocation Estimation procède par détection automatique de scènes selon une méthode décrite dans cet article. Ce qui permet de l'utiliser pour des paysages ruraux ou naturels peu denses. L'application propose plusieurs lieux possibles selon les degrés de probabilité indiqués sur une heatmap. Elle permet aussi de récupérer les données EXIF de l'image, si elles sont disponibles. Comme dans les cas précédents, on relève quelques approximations dans la géolocalisation même si l'île de la Réunion a bien été identifiée pour la photographie choisie.
Interface de l'application Geolocation Estimation (source : Geolocation Estimation)
IV) Kosmos-2, une application utile pour commenter une image
Kosmos-2 ne permet pas de récupérer les coordonnées géographiques d'un lieu. Mais l'application peut s'avérer utile pour en obtenir une description sommaire. Une fois la photographie téléchargée et analysée, on obtient un commentaire de l'image où chaque élément du descriptif renvoie à une partie de l'image avec un code couleurs permettant d'associer les deux.
Interface de l'application Kosmos-2 (source : Kosmos-2)
Pour compléter
« A partir d'une simple photo, cette intelligence artificielle peut vous géolocaliser instantanément » (BFM-TV)
« PIGEON : Predicting Image Geolocations » (arXiv:2307.05845)
Férus de Géographie (@FerusdeGeo) propose de reconnaître des lieux géographiques à partir de photographies, avec le hashtag #geofinding. Il devient si facile d'utiliser des outils de géolocalisation pour résoudre les énigmes qu'il est bien préciser : "N’oubliez pas de justifier le mode opératoire qui vous a permis de trouver le lieu, c’est cela qui détermine la Victory".
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13:46
Conseils & Astuces ArcGIS Online - N°181
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierN° 181 - Afficher des jours d'ouverture dans des fenêtres contextuelles avec Arcade
Dans mon précédent Conseils & Astuces ArcGIS Online n°180, je vous proposais 2 cas d'usage dans lesquels l'utilisation d'expressions Arcade permet de cartographier les informations sur le jour ou la date d'ouverture d'un établissement ou d'un lieu.
Dans cet article, je vous propose de voir 2 cas d'usage d'expressions Arcade pour représenter les jours d'ouverture de vos points d'intérêt.
Exemple 1:
Le premier exemple est une couche de points contenant les déchèteries sur la région Ile-de-France. Cette dernière contient la liste des jours d'ouverture stockés dans un champ de type "Chaîne de caractères" et séparés par une virgule.
Voici comment vous pouvez représenter les déchèteries ouvertes ou fermées en fonction du jour actuel- Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous afficherez l'interface de définition des fenêtres contextuelles. Vous supprimerez la liste des champs proposée par défaut et vous ajouterez une expression Arcade.
- Vous donnerez tout d'abord un nom à votre expression, par exemple ici : "Table des jours d'ouverture"
Vous saisirez ensuite l'expression Arcade suivante :
L'expression génère un bloc de code HTML correspondant à un paragraphe de texte et un tableau. Pour remplir le tableau, on boucle sur les 7 jours de la semaine et on teste si ce jour est dans la liste de jours d'ouverture. On modifie le style des cellule en fonction du statut "Ouvert" ou "Fermé" et on affiche en gras sur fond gris le jour correspond au jour courant.// Récupération de l'index du jour courant // (Lundi = 1 et Dimanche = 7) var IndexJourCourant = ISOWeekday(Now()) // On crée une liste des noms des jours var ListeJourSemaine=["Lundi","Mardi","Mercredi","Jeudi","Vendredi","Samedi","Dimanche"] // On récupère le nom du jour courant // Note: Dans une liste l'index démarre à 0, on retire donc 1 à l'index du jour courant var NomJourCourant = ListeJourSemaine[IndexJourCourant-1] // On initialise une variable contenant le bloc de code HTML pour la fenêtre contextuelle var strHTML = "<p style='font-family: Arial'>Jours d'ouverture :<br/>" strHTML += "<table style='border-collapse: collapse;'>" // On boucle sur chaque jour de la semaine pour créer chaque ligne du tableau for(var index in ListeJourSemaine) { var NomJour = ListeJourSemaine[index] var strTD = "<td style='width: 100px;'>" // Si la ligne actuelle correspond au jour courant, on applique un fond grisé à la cellule if (NomJour==NomJourCourant){ strTD = "<td style='witdh: 100px; font-weight: bold;background-color: #CCCCCC'>" } // On teste si le jour est bien dans la liste des jours d'ouverture. Si c'est le cas // on affiche "Ouvert" sur un fond vert, sinon on affiche "Fermé" sur un fond rouge. // Il est préférable de comparer les chaînes en les mettant en minuscule if(Find(Lower(NomJour),Lower($Feature.Jours_Ouverture)) > -1){ strHTML += "<tr style='border: 1px solid black;'>" + strTD + NomJour + "</td><td style='width: 100px; text-align: center; color: white; background-color: #00AA00'>Ouvert</td></tr>" }else { strHTML += "<tr style='border: 1px solid black;'>" + strTD + NomJour + "</td><td style='width: 100px; text-align: center; color: white; background-color: #AA0000'>Fermé</td></tr>" } } // On referme le tableau et le paragraphe HTML strHTML += "</table></p>" // On renvoie la chaîne de code HTML return { type : 'text', text : strHTML }
- Votre carte affiche désormais les fenêtres contextuelles de la couche des déchèteries comme ceci (ici le jour courant est un jeudi) :
Exemple 2:
Dans ce second exemple, nous disposons d'une couche des stations de ski en France contenant cette fois-ci des dates d'ouverture et la dates de fermeture de leur domaine skiable. L'objectif est d'afficher une carte qui indique les stations ouvertes ou fermées à la date courante ainsi que celles-qui vont prochainement ouvrir (dans 15 jours ou moins).- La couche possède deux champs de type "Date uniquement" (DateOnly) permettent de stocker les dates d'ouverture et de fermeture de chaque station.
- De la même manière que dans le premier exemple, vous allez créer une expression spécifique pour définir le contenu de la fenêtre contextuelle. Vous saisirez ensuite l'expression Arcade suivante :
/// Fonction permettant de construire les lignes du calendrier function CalendrierDuMois(DebutMois,DateOuverture,DateFermeture){ // Récupération du nombre de jours dans le mois var NombreJourDansMois = DateDiff(DateAdd(DebutMois,1,"months"),DebutMois,"days") // Calcul de la date du dernier jour du mois var FinMois = DateAdd(DebutMois,NombreJourDansMois-1,"days") var strTD = "" // Si la date d'ouverture se trouve dans ce mois (sauf premier jour) if(DateOuverture > DebutMois && DateOuverture <= FinMois){ // Position du jour d'ouverture dans le mois var indexJourDansMois = Day(DateOuverture) // Calcul du nombre de pixels pour séparer les 2 blocs de couleur var pixels = Floor((indexJourDansMois/NombreJourDansMois)*200) // Bloc gris (fermé) strTD += "<td style='width: "+pixels+"px;background-color: #cccccc'></td>" // Bloc vert (ouvert) strTD += "<td style='width: "+(200-pixels)+"px;background-color: #00cc00'></td>" } // Si la date d'ouverture est le premier jour ou si le mois est complémtement // dans la période d'ouverture else if (DateOuverture<=DebutMois && FinMois<=DateFermeture) { strTD += "<td style='width: 100px;background-color: #00CC00'></td>" strTD += "<td style='width: 100px;background-color: #00CC00'></td>" } // Si ma date de fermeture se trove dans le mois else if(DateFermeture >= DebutMois && DateFermeture <= FinMois){ var indexJourDansMois = Day(DateFermeture) var pixels = Ceil((indexJourDansMois/NombreJourDansMois)*200) strTD += "<td style='width: "+pixels+"px;background-color: #00cc00'></td>" strTD += "<td style='width: "+(200-pixels)+"px;background-color: #cccccc'></td>" } return strTD } var ListeDesMois = ["Janvier","Février","Mars","Avril","Mai","Juin","Juillet","Aout", "Septembre","Octobre","Novembre","Décembre"] var DateOuverture = $feature.DateOuverture var DateFermeture = $feature.DateFermeture // On initialise la variable contenant le bloc HTML de la fenêtre contextuelle var strHTML = "" // On commence à construire le paragraphe de texte strHTML += "<p style='font-family: Arial; font-size: 10pt;'>Période d'ouverture :" + Text(DateOuverture,"DD/MM/YYYY") + " au " + Text(DateFermeture,"DD/MM/YYYY") + "<br/>"
var DebutMois = DateOnly("01/"+ (Month(DateOuverture)+1) + "/"+Year(DateOuverture),"DD/M/YYYY") // Varaible pour gérer la bordure supérieure du premier tableau var border_top = "" // On boucle sur chaque mois de la période d'ouverture while (DebutMois <= DateFermeture) { // On démarre un nouveau tableau strHTML += "<table style='border-collapse: collapse;font-family: Arial; font-size: 10pt;'>" // La première cellule contient le mois et l'année strHTML += "<tr style='border: 1px solid;"+border_top+"'><td style='width: 150px;'>" + ListeDesMois[Month(DebutMois)] + " " + Year(DebutMois)+"</td>" // Appel de la fonction remplissant la partie calendrier strHTML += CalendrierDuMois(DebutMois,DateOuverture,DateFermeture) // Fin du tableau strHTML += "</tr></table>" DebutMois=DateAdd(DebutMois,1,"months") // Pour les autres mois/tableaux, la bordure supérieure sera invisible border_top = "border-top: 0px;" } strHTML += "</p>" // On renvoie le bloc de code HTML de la fenêtre contextuelle return { type : 'text', text : strHTML }
- La fenêtre contextuelle de la couche ressemble désormais à ceci pour la station de Tignes :
Et à ceci pour la station du Grand Tourmalet :
Bonne route sur ArcGIS Online ! Pour retrouver l'ensemble des Conseils & Astuces ArcGIS Online, cliquez sur ce lien.
- Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous afficherez l'interface de définition des fenêtres contextuelles. Vous supprimerez la liste des champs proposée par défaut et vous ajouterez une expression Arcade.
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9:38
Mise à jour sur les avancées d’Ariane 6 en Prévision de son Premier Vol
sur Veille cartographieCet article Mise à jour sur les avancées d’Ariane 6 en Prévision de son Premier Vol est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Un récent article du Centre national d’études spatiales (CNES) détaille les récentes étapes franchies par le lanceur Ariane 6 dans la perspective de son vol inaugural. La Task Force, composée de représentants de l’ESA, du CNES, d’ArianeGroup et d’Arianespace, surveille attentivement ces développements. Deux essais clés ont récemment été réalisés. Le premier, le 15 décembre […]
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9:00
Connaissez-vous la "Prospective" ?
sur Makina CorpusLors de l'Assemblée Générale du réseau MFQM au mois de juin dernier, nous avons eu la chance d'assister à une intervention de Pamela Bellier et Emmanuel Turbé sur la définition même de la Prospective et de ses enjeux.
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15:55
A la bonne heure Rennes: connaître la fréquentation pour adapter ses trajets domicile-travail
sur Veille cartographieCet article A la bonne heure Rennes: connaître la fréquentation pour adapter ses trajets domicile-travail est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La métropole de Rennes a mis en place en 2021, une application collaborative visant à connaître la saturation à différentes heures et selon différents modes de transports pour adapter ses déplacements ou sa pratique du télétravail. Ainsi la consultation de la répartition des arrivées et des départs sur la journée peut se faire par une […]
Cet article A la bonne heure Rennes: connaître la fréquentation pour adapter ses trajets domicile-travail est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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14:58
Atlas interactif du GIEC WGI: carte interactive du réchauffement climatique
sur Veille cartographieCet article Atlas interactif du GIEC WGI: carte interactive du réchauffement climatique est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
L’inquiétude face au réchauffement climatique s’est solidement ancrée dans la conscience collective. L’augmentation des événements climatiques, les bouleversements environnementaux et un ensemble de recherches et résultats scientifiques ont largement participé à cette prise de conscience. Hausse des températures, fonte des glaces, élévation du niveau de la mer, sont tous des signes de ce changement climatique […]
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11:49
Conseils & Astuces ArcGIS Online - N°180
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierN° 180 - Cartographier les jours d'ouverture avec Arcade
Il est assez fréquent d'avoir à gérer, dans sa base de données SIG, des informations liées aux jours et aux heures d'ouverture de points d'intérêt (bibliothèques, mairies, musées, magasins, déchèteries, offices du tourisme, parcs de loisirs, jardins, ...). Cartographier de manière efficace ce type de données nécessite de pouvoir afficher directement l'information utile à l'utilisateur, c'est à dire savoir si le lieu est ouvert/fermé au moment où il consulte la carte. Grâce aux expressions Arcade, vous pouvez proposer ce type de dynamisme dans vos cartes web.
Dans cet article, je vous propose de voir 2 cas d'usage d'expression Arcade pour représenter les jours d'ouverture de vos points d'intérêt.
Exemple 1:
Prenons l'exemple d'une couche de points contenant les déchèteries sur la région Ile-de-France. Cette dernière contient la liste des jours d'ouverture stockés dans un champ de type "Chaîne de caractères" et séparés par une virgule.
Voici comment vous pouvez représenter les déchèteries ouvertes ou fermées en fonction du jour actuel-
Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous
afficherez l'interface de définition des styles. Vous cliquerez ensuite
sur le bouton "Expression" pour créer une nouvelle expression
Arcade.
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Vous donnerez tout d'abord un nom à votre expression, par exemple ici :
"Ouvert/Fermé aujourd'hui"
Vous saisirez ensuite l'expression Arcade suivante :
L'expression récupère l'index du jour courant puis le convertit en un nom de jour (Lundi, Mardi, ...) pour pouvoir rechercher cette chaîne dans la liste des jours d'ouverture stockés en tant qu'attribut pour chaque déchèterie. Si on retrouve le nom du jour courant dans les jours d'ouverture de l'entité alors on renvoie une information "Ouvert" sinon on renvoie une information "Fermé".// Récupération de l'index du jour courant // (Lundi = 1 et Dimanche = 7) var IndexJourCourant = ISOWeekday(Now()) // On crée une liste des noms des jours var JoursSemaine=["Lundi","Mardi","Mercredi","Jeudi","Vendredi","Samedi","Dimanche"] // On récupère le nom du jour courant // Dans une liste l'index démarre à 0, on retire donc 1 à l'index du jour courant var NomJourCourant = JoursSemaine[IndexJourCourant-1] // Si on retrouve le nom jour courant dans la valeur du champ "Jours_Ouverture" alors // on renvoie la valeur "Ouvert Aujourd'hui", sinon on renvoie "Fermé aujourd'hui". // Il est préférable de mettre les chaînes en minuscule lors des comparaisons if (Find(Lower(NomJourCourant),Lower($feature.Jours_Ouverture)) > -1){ return "Ouvert aujourd'hui" } else { return "Fermé aujourd'hui" }
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Il ne reste plus qu'à définir la symbologie que vous souhaitez appliquer
aux déchèteries pour indiquer qu'elles sont ouvertes et fermées.
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Votre carte affiche désormais les déchèteries en fonction de leur
ouverture/fermeture pour le jour courant.
Voici la carte lorsque le jour courant est un mercredi :
Voici la carte lorsque le jour courant est un dimanche :
Dans ce second exemple, nous disposons d'une couche des stations de ski en France contenant cette fois-ci des dates d'ouverture et la dates de fermeture de leur domaine skiable. L'objectif est d'afficher une carte qui indique les stations ouvertes ou fermées à la date courante ainsi que celles-qui vont prochainement ouvrir (dans 15 jours ou moins).
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Vous commencerez par ajouter la couche des stations de ski dans votre
carte. Dans notre cas, deux champs de type "Date uniquement"
(DateOnly) permettent de stocker les dates d'ouverture et de fermeture
de chaque station.
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De la même manière que dans le premier exemple, vous allez créer une
expression spécifique pour définir la source du style de la couche.
Vous saisirez ensuite l'expression Arcade suivante :
// Variables contenant les dates d'ouverture et de fermeture // de la station de ski var DateOuverture = $feature.DateOuverture var DateFermeture = $feature.DateFermeture // Variable contenant la date du jour au format DateOnly var DateDuJour = DateOnly() DateDuJour = DateOnly(Date("01/12/2023","DD/MM/YYYY")) // Calcul du nombre de jours entre la date d'ouverture et la date du jour var DiffJours = DateDiff(DateOuverture, DateDuJour, 'days') // On renvoie le statut en fonction de ce nombre de jours // A plus de 15 jours de l'ouverture, le staut est "Fermé" // A moins de 15 jours de l'ouverture, le statut est "Bientôt ouvert" // Sinon, le nombre de jours est négatif et le statut est donc "Ouvert" When( DiffJours >= 15 || DateDuJour > DateFermeture, 'Fermé', DiffJours < 15 && DiffJours > 0,'Bientôt ouvert', 'Ouvert' );
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Après avoir défini les symboles correspondant aux 3 valeurs, voici la
carte qui s'affiche au 01/12/2023 :
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Voici la même carte affichée le 15/12/2023 :
Dans le prochain article, je reprendrai et compléterai ces deux exemples en vous montrant comment utiliser Arcade pour représenter ces informations de jours ou de dates d'ouverture dans la fenêtre contextuelle de la couche.
Bonne route sur ArcGIS Online ! Pour retrouver l'ensemble des Conseils & Astuces ArcGIS Online, cliquez sur ce lien.
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Après avoir ajouté la couche des déchèteries dans la carte, vous
afficherez l'interface de définition des styles. Vous cliquerez ensuite
sur le bouton "Expression" pour créer une nouvelle expression
Arcade.
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11:30
Du 19 au 21 mars 2024 à Lille : formation "savoir utiliser les Fichiers fonciers"
sur Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)Publié le 09 novembre 2023Une session de formation "Savoir utiliser les Fichiers fonciers" se tiendra du 19 au 21 mars 2024 dans les locaux du Cerema Hauts-de-France à Lille.Cette session est à destination des bénéficiaires des Fichiers fonciers et des bureaux d'études.Vous trouverez le contenu et le coût de la formation dans la rubrique AccompagnementInscription jusqu'au 15 février (…)
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10:41
Quelle place pour le blanc des cartes aujourd’hui ?
sur Veille cartographieCet article Quelle place pour le blanc des cartes aujourd’hui ? est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Pendant très longtemps, les zonages laissés en blanc dans les cartographies étaient synonymes de la non connaissances du lieu menant alors à une course à la connaissance, à une colonisation du territoire. Ces blancs étaient parfois décrits par des légendes et mythes. Ces zones blanches étaient et sont encore aujourd’hui des ressources d’informations importantes. Aujourd’hui, […]
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