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Éléments récents
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9:30
Les horizons de la géographie : une métaphore pour comprendre les situations problématiques ?
sur CybergeoLe double objectif de cet article exploratoire est de souligner l’intérêt de la métaphore de l’horizon dont la richesse herméneutique aide à appréhender différentes réalités, et de montrer comment la métaphore peut favoriser la compréhension des situations problématiques dans le cadre d’une géographie pragmatiste. Trois sens figurés du mot horizon sont développés. Voir les horizons géologiques invite à questionner la nature des discontinuités paysagères identifiées dans le monde, entre unité de base, ligne de démarcation et point de repère. Se mou-voir dans l’environnement, à l’invitation des horizons phénoménologiques, trouve une application dans l’étude géographique des espaces tels qu’ils sont vécus par leurs usagers. S’é-mou-voir à la faveur de la fusion des horizons proposée par Gadamer (1960) permet de discuter de la possibilité de se rapprocher d’un autre horizon et de souligner que la compréhension dans le dialogue contribue à l’élaboration d’un horizon commun. Pour chacune ...
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9:30
Intercity relationships between 293 Chinese cities quantified based on toponym co-occurrence
sur CybergeoThis dataset presents relationships between 293 Chinese cities, derived using a toponym co-occurrence method. By employing this toponym co-occurrence analysis method, the strength of an intercity relationship is determined by the frequency at which both city names appear on the same webpage. The data was sourced from the Common Crawl web archive's 2019 April Corpus, which contains approximately 2.5 billion web pages. The primary aim of this dataset is to provide a fresh perspective on intercity relationships, thereby facilitating studies on city network analysis. The dataset not only encourages further research into comparing this innovative city relationship with other established networks but is also a showcase that presents a straightforward methodology that can be applied to other archives within Common Crawl. As such, it paves the way for longitudinal studies that probe the evolution of city networks.
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9:30
Pierre Blanc, 2023, Géopolitique et climat, Paris, SciencesPo Les presses, 248 p.
sur Cybergeo"Après le choc de la pandémie de Covid, la secousse géopolitique de la guerre déclenchée en Ukraine le 24 février 2022 est venue rappeler au vieux continent que les conflits violents n’étaient pas relégués au passé. Puis les vagues de canicule, de sécheresse et d’incendies sans précédent de l’été 2022 ont ouvert les yeux des Européens sur les ruptures climatiques qui s’annoncent, dont les conséquences seront sans commune mesure avec celles du Covid et de la guerre" (p.7). Ainsi commence l’ouvrage écrit par Pierre Blanc, chercheur en géopolitique à l’Institut d’Études Politiques de Bordeaux et à Bordeaux Sciences Agro, rattaché à l’UMR LAM. Dans cette introduction (p.7-12), l’auteur explique que les Européens prennent à peine conscience des effets des changements climatiques, constat jusque-là assez circonscrit à quelques sphères de la société. Il y explique la philosophie de cet ouvrage, une approche par la géopolitique, soit les dimensions du politique (puissance, pouvoir, sécurité...
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9:30
Le détroit de Bab el-Mandeb : frictions littorales et maritimes
sur CybergeoCet article propose une analyse des frictions littorales et maritimes par l’étude du rapport entre les flux maritimes mondialisés et la sûreté maritime (maritime security). Depuis les côtes, des acteurs locaux ou régionaux peuvent influer sur les échanges maritimes d’échelle globale qui passent au large. Le cas du détroit de Bab el-Mandeb et de ses prolongements naturels (Sud de la mer Rouge et golfe d’Aden) en offre une bonne illustration : grand axe de trafic maritime, ce détroit se caractérise par la présence de la piraterie somalienne, principalement entre 1995 et 2015, ainsi que par l’extension en mer de la guerre civile au Yémen, qui s'est transformée en un conflit régional. Cette recherche, fondée sur des données maritimes ainsi que sur une étude approfondie du contexte régional, cherche à identifier les influences des actes de violence sur les différents trafics du détroit de Bab el-Mandeb. L'influence des contextes politiques des États riverains sur les flux maritimes en ha...
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8:30
Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur MappemondeL’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
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8:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur MappemondeLes classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.
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8:30
L’accessibilité dans les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien
sur MappemondeL’analyse des parentés observées entre les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien nous a conduits à mettre en évidence cinq spécificités de l’accessibilité insulaire. À partir de ces traits fonctionnels, le but poursuivi par cette étude est donc de modéliser l’accessibilité insulaire. Pour ce faire, nous examinons la nodalité et la réticularité des ports et aéroports insulaires régionaux.
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8:30
La morphologie de la ligne de flux. Une nouvelle variable visuelle issue du système de Cartes figuratives de Minard
sur MappemondeLes travaux de Charles-Joseph Minard (1781–1870) sur la cartographie des flux et des « mouvements de transports » sont historiquement reconnus. Unanimement salués, ils font l’objet de mentions régulières voire d’anthologies, mais qui s’intéressent davantage à l’image qu’à la méthode mise en œuvre. L’examen de la fabrique de son « système de Cartes figuratives » nous conduit à présenter les apports fondamentaux de Minard sur la sémiologie cartographique des flux/mouvements, à révéler l’ancrage théorique, méthodologique et conceptuel de ces cartes. L’analyse de la forme perçue sur la carte du dessin de la ligne de flux nous pousse à introduire une nouvelle variable visuelle : la morphologie.
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8:30
Atlas des phares du bout du monde, Autrement, 2021
sur Mappemonde« L’Atlas des phares du bout du monde » est l’une des traductions (il y en aurait onze) du Breve Atlas de los Faros del Fin del Mundo paru en 2020 aux éditions Menguantes. L’auteur, graphiste de métier, déclare dans son avant-propos qu’il est « loin d’être un expert en la matière » et que c’est la rencontre fortuite entre son envie de faire un de ces « atlas poétiques (…) capables de vous transporter dans des lieux reculés depuis le confort de votre canapé », ses compétences de graphiste et un travail qu’il a dû faire, au cours duquel il a dessiné des phares qui ont été la source de son inspiration.
L’ouvrage présente 34 phares qui sont, d’abord, tous localisés sur une belle carte du monde, sans limite étatique, réalisée dans des tons bleus et jaunes pâles. Puis, chaque phare est présenté en quatre pages, toujours selon la même structure. D’abord une page de texte accompagnée de quelques informations de localisation et, en vis-à-vis, le dessin, réalisé par l’auteur, du phare dans so...
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8:30
Atlas des grandes découvertes. De l’Antiquité à nos jours, Autrement, 2021
sur MappemondeVoici un atlas pour lequel Stéphane Dugast, pour l’écriture des textes, Xemartin Laborde, pour les cartes, et Audrey Lagadec, pour les illustrations, ont été associés pour le plus grand plaisir de nos connaissances et de notre imagination. Un atlas est un recueil de cartes, celui-ci, comme l’explique l’introduction, est « une ode à la carte » offrant de célébrer les grandes découvertes qui ont rythmé l’histoire de l’humanité.
L’atlas est découpé en cinq grandes parties organisées de manière chronologique. Chaque page comporte une notice présentant un(e) ou plusieurs explorateurs/exploratrices et, le plus souvent, une carte qui décrit les voyages d’exploration effectués. Les cartes sont, en apparence, très simples avec peu de figurés, mais elles permettent une visualisation claire et précisent des faits d’exploration décrits dans la notice. Certaines pages montrent le monde « connu » à des époques plus anciennes avec des mappemondes comme celle de Ptolémée ou d’Al Idrissi. Le texte es...
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8:30
Grand Atlas de l’Antiquité romaine, Autrement, 2019
sur MappemondeCet atlas, rédigé par Christophe Badel et Hervé Inglebert avec des cartes de Claire Levasseur, offre un vaste panorama de l’Empire romain : de ses prémices au IIIe siècle av. J.-C. aux conséquences de son effondrement au Ve/VIe siècle.
Cet atlas commence par des cartes anciennes reconstituant la vision des anciens de leur monde. La plus célèbre de ces cartes est celle dite « Table de Peutinger », copie médiévale d’un original du IIe/IVe siècle, qui représente le réseau routier de l’Empire romain. Page 63, l’atlas fait également figurer l’énigmatique carte romaine d’Agrippa. L’hypothèse est qu’il s’agissait d’une carte, située sur le temple du forum d’Auguste, qui aurait été créée pour montrer l’étendue de l’Empire au 1er siècle. Carte ou liste de lieux ou de routes perdue irrémédiablement, mais dont l’existence supposée montre tout l’intérêt des autorités impériales pour leur immense territoire et pour ce moyen très pratique de se l’approprier, tout au moins par le regard, qu’est l’o...
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8:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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8:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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8:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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8:02
Mise à jour ArcGIS Field Maps - Février 2024
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierArcGIS Field Maps est une application mobile puissante et polyvalente utilisée pour réaliser une variété de processus de travail sur le terrain. Tirant parti de la puissance d'une carte, Field Maps améliore la connaissance de la situation, permet des capacités de capture simples ou avancées et peut enregistrer et partager les déplacements des collaborateurs mobiles, le tout au sein d'une seule application.
Il s’agit de la première mise à jour majeure de 2024. Les mises à jour de Field Maps correspondant à la cadence des versions d'ArcGIS Online, attendez-vous à deux autres mises à jour majeures cette année.
Voici un aperçu des nouveautés de la version de février 2024?:
Élément d’information en lecture seule dans le formulaire
Vous pouvez désormais ajouter des éléments d'information pour fournir des informations supplémentaires et/ou des instructions nécessaires lors de l’utilisation des formulaires. Le contenu d'un élément d'information est formaté en markdown et vous pouvez inclure des informations dynamiques provenant des champs et des expressions du formulaire.
À l'aide de Field Maps Designer, vous glissez le nouvel élément "Info" dans votre formulaire et fournissez des informations en lecture seule à l'aide de l'éditeur de texte.
Avec l'élément "Info", vous pouvez :
- Formater le texte de différentes manières, par exemple avec des titres, des caractères en gras, italiques et barrés, des listes à puces et numérotées.
- Lier le texte à des sources externes.
- Ajouter une expression de visibilité pour afficher ou masquer l'élément d'information de manière conditionnelle.
Vous pouvez inclure autant d'éléments Info dans votre formulaire que vous le souhaitez, mais chaque élément ne doit pas dépasser 1 000 caractères. Le contenu HTML n'est pas pris en charge.
Consulter la rubrique Ajouter des informations en lecture seule pour plus de détails.
Les éléments d'information fournissent des informations et des instructions supplémentaires lors du remplissage des formulaires.
Préparation des cartes pour une utilisation hors connexion
Lorsque vous préparez une carte web pour le téléchargement, il est important de vous assurer que vos données répondent aux exigences en matière de données pour une utilisation hors connexion. La section Contenu de l'onglet Hors connexion dans Field Maps Designer vérifie les couches de la carte et affiche des messages d'erreur lorsque les couches ne répondent pas aux exigences pour un usage hors connexion.
Dans cette mise à jour, Esri a amélioré les vérifications pour l’usage hors connexion en :
- Mettant en évidence des erreurs par couche.
- Proposant de supprimer des couches de la carte et d'accéder aux détails de leurs éléments.
- Vérifiant les services d’imagerie pour vous assurer qu’ils prennent en charge l’exportation des tuiles.
- Vérifiant les vues de couche d'entités pour s’assurer que leur couche parent prenne en charge la synchronisation.
- Vérifiant que plusieurs couches ne font pas référence à la même sous-couche de couche d'entités.
- Marquant les couches de groupe de sous-types et les couches de service d’imagerie.
- Fournissant des messages d’avertissement pour les couches d’annotations et de dimensions.
Pour plus de détails, consultez la section intitulée Rendre le contenu utilisable en mode hors connexion et également la section Activer les couches et les cartes pour l’utilisation hors connexion dans la documentation ArcGIS Online.
ArcGIS Field Maps Designer vérifie que vos couches sont compatibles pour une utilisation hors connexion.
Création de nouvelles couches hébergées
En 2023, Esri a ajouté de nouvelles fonctionnalités qui facilitent la création et la configuration de nouvelles cartes, couches et éléments de formulaire dans Field Maps Designer. Avec la mise à jour de février, Esri introduit des paramètres avancés afin que vous puissiez choisir un système de coordonnées autre que celui du fond de carte par défaut. Esri a également ajouté la possibilité d'activer les valeurs m pour prendre en charge les capacités de référencement linéaire ainsi que des fonctionnalités supplémentaires pour gérer le contenu de vos couches.
Choisir un système de coordonnées
Lors de la création de nouvelles couches pour des cartes nouvelles ou existantes dans Field Maps Designer, vous pouvez désormais choisir un système de coordonnées. Ceci est important pour les projets de collecte de données de haute précision dans lesquels vous devez stocker les entités capturées dans un système de coordonnées projetées locales.
Dans la section des paramètres avancés de la boîte de dialogue des nouvelles couches, cliquez sur « Utiliser un système de coordonnées », parcourez et sélectionnez dans une liste de systèmes de coordonnées.
Définissez un système de coordonnées lors de la création de nouvelles couches.
Activer les valeurs m
En 2022, Esri a ajouté le support du référencement linéaire dans ArcGIS Field Maps. Désormais, Field Maps Designer prend en charge de l’activation des valeurs m lors de la création de nouvelles couches.
Ajoutez la prise en charge du référencement linéaire en activant les valeurs m.
Gérer le contenu de la carte
Les cartes peuvent comporter plusieurs couches et tables. En cliquant sur Gérer le contenu dans la liste déroulante Ajouter des couches, vous pouvez faire glisser et déposer des couches et des tables pour les réorganiser, supprimer des couches, créer de nouveaux groupes de couches et renommer les couches et les tables de la carte. Dans l'expérience de gestion du contenu, les couches affichent une icône représentant leur type de géométrie pour vous aider à prendre des décisions lors de la modification de l'ordre des couches.
Réorganisez les couches et les tables, créez et nommez les groupes de couches et supprimez les couches
directement depuis l'expérience de gestion du contenu.
Gérer les listes
La mise à jour de février inclut une prise en charge supplémentaire pour la gestion des listes dans les formulaires. Avec les listes existantes, vous pouvez utiliser un fichier CSV pour ajouter ou remplacer la liste des valeurs disponibles. De plus, la liste des valeurs affichera les décomptes d’utilisation pour chaque valeur de la liste.
Ajoutez ou remplacez les éléments de la liste à l'aide d'un fichier CSV.
Désactiver l'outil "Notes de carte"
Le regroupement d'ArcGIS Explorer et d'ArcGIS Collector dans une seule application signifie que la fonctionnalité de Notes de carte est disponible pour toutes les cartes et tous les utilisateurs. Cependant, tous les utilisateurs ne souhaitent pas cette fonctionnalité.
Avec cette mise à jour, vous pouvez désactiver ou activer l'utilisation de l'outil Notes de carte à partir de l'onglet Paramètres de l'application dans Field Maps Designer. Si les notes de carte existantes sont stockées sur l'appareil, vous pouvez activer ou désactiver les couches de notes de carte même si l'outil Notes de carte est désactivé.
Désactivez l'utilisation de l'outil de Notes de carte à l'aide de Field Maps Designer.
Longueur cumulée dynamique
Lors de la collecte d'entités linéaires, la longueur cumulée des segments capturés est affichée lors de la collecte de la géométrie. La valeur de mesure inclut donc désormais la longueur du segment en cours de capture (distance du dernier sommet capturé à l'emplacement cible).
La longueur cumulée inclut désormais la longueur du segment proposée à laquelle s’ajoute la longueur
de tous les segments existants.
-
1:00
GeoServer Team: GeoServer 2.25-RC Release
sur Planet OSGeoGeoServer 2.25-RC release is now available with downloads (bin, war, windows), along with docs and extensions.
This is a release candidate intended for public review and feedback. GeoServer 2.25-RC is made in conjunction with GeoTools 31-RC, and GeoWebCache 1.25-RC.
Thanks to Jody Garnett (GeoCat) for making this release.
Why share a release candidate?A sensible question to ask is why a “release candidate” is being produced at all - when we do not recommend running such a thing in production.
GeoServer also follows a “release early, release often” approach which is where the project shares releases so you can test and provide feedback.
This results in a lovely balance:
-
The GeoServer developer has already tested on the data and data sources they got handy.
-
The users of GeoServer have access to a much greater variety in data and and use cases to test with.
Please try out this release candidate and let us know how it works for you.
-
Bonus: By testing with your data directory you are assured that the next GeoServer will work well for you and your team.
This balance of a community sharing and each doing what they can they can do easily, is a nice thing about the open-source approach: the result is software we can trust and works well.
Thank you for being part of the GeoServer community. Testing and feedback is welcome by email and bug reports.
Upgrade NotesWe have a number of configuration changes when updating an existing system:
-
The longstanding
ENTITY_RESOLUTION_ALLOWLIST
setting has been recommended as a way to control the locations available for external entity resolution when parsing XML documents and requests.The default has changed from
*
(allowing any location) to allowing the recommendedwww.w3.org
,schemas.opengis.net
,www.opengis.net
locations used for OGC Web Services, along with theinspire.ec.europa.eu/schemas
location used by our friends in Europe. -
The FreeMarker Template HTML Auto-escaping is now enabled by default.
-
The spring security firewall is now enabled by default.
-
A new configuration setting is available to limit content served from the
geoserver/www
folder.If you have not met the
www
folder before it is used to share content, and there is a tutorial serving static files. -
We do add recommendations to production considerations over time, if you have not checked that page in a while please review.
Thanks to Steve Ikeoka and Jody Garnett for these improvements.
Security ConsiderationsThis a reminder to update to GeoServer 2.24.2 Release (or GeoServer 2.35.5 Release).
Alongside the upcoming GeoServer 2.25.0 release we will “publicly disclose” a list of Common Vulnerabilities and Exposures that have been addressed previously.
- If you are working with a commercial support provider that volunteers with the geoserver-security email list they are already informed.
- If you have updated to GeoServer 2.24.2 Release (or GeoServer 2.23.5 Release) you are already patched.
I hope you enjoy our team’s effort to improve communication. The use of the CVE system allows us to reach a wider audience than reads these blog posts.
See the project security policy for more information on how security vulnerabilities are managed.
Experimental Java 21 supportGeoServer, along with GeoTools and GeoWebCache, are now tested to build and pass tests with Java 21.
This is not yet an endorsement to run GeoServer in production with Java 21. We are looking ahead at the 2024 roadmap, and are making sure the basics are covered for the newer Java releases.
JTS fast polygon intersection enabled by defaultThe JTS Next Generation polygon intersection algorithm has been enabled by default, which will improve performance of a number of operations, including WPS processes and the vector tiles generation. We deem the functionality well tested enough that it should be opened to the majority of users, even if it’s still possible to turn it off by adding the
MapML Extension-Djts.overlay=old
.The MapML extension is receiving a number of updates and improvements, with more to come in the following months. It’s now possible to declare “Tiled CRS” as the CRS for a layer, with the implication not just of the CRS, but also of the gridset that will be used by the MapML viewer:
This portion builds on top of the work done months ago to support astronomical CRSs, which allows GeoServer to support multiple CRS authorities.
The MapML preview links are now using the new MapML output format, while the old dedicated REST controller has been removed. This allows for better integration of the MapML format in the GeoServer ecosystem. The MapML viewer has also been updated to the latest version:
Thanks to Joseph Miller and Andrea Aime (GeoSolutions) for this work, and Natural Resources Canada for sponsoring it.
Community Module UpdatesMuch of the new activity in GeoServer starts as a community module. We’d like to remind you that these modules are not yet supported, and invite you to join the effort by participating in their development, as well as testing them and providing feedback.
Raster attribute Table community moduleDeveloped as part of GEOS-11175, the Raster Attribute Table community module uses the GDAL Raster Attribute Table (RAT) to provide a way to associate attribute information for individual pixel values within the raster, to create styles as well as to provide a richer GetFeatureInfo output.
For more information see the user guide.
We’d like to thank Andrea Aime (GeoSolutions) for the development and NOAA for sponsoring.
Graticules for WMS mapsThe graticules community module, developed as part of GEOS-11216, provides a datastore generating graticules for WMS maps, along with a rendering transformation that can be used to label them. The module can be used to draw a graticule in WMS maps, as well as to download them as part of WFS (or in combination with the WPS download module).
We’d like to thank Ian Turton for development and GeoSolutions for sponsoring the work.
GeoServer monitor Kafka storageThe monitoring Kafka storage module, developed as part of GEOS-11150, allows storing the requests captured by the monitoring extension into a Kafka topic.
We’d like to thank Simon Hofer for sharing his work with the community. To learn more about the module, how to install and use it, see the user-guide.
JWT HeadersThe JWT headers module has been developed as part of GEOS-11317.
The module is a new authentication filter that can read JWT Headers, as well as general JSON payloads and simple strings, to identify a user, as well as to extract their roles. The combination of Apache mod_auth_openidc with geoserver-jwt-headers-plugin provides an alternative to using the geoserver-sec-oauth2-openid-connect-plugin plugin.
We’d like to thank David Blasby (GeoCat) for this work on this module.
Full Release notesNew Feature:
- GEOS-11225 [AuthKey] AuthKey synchronize the user/group automatically
MapML:
- GEOS-10438 ENTITY_RESOLUTION_ALLOWLIST property not parsing empty setting
- GEOS-11207 Refactor MapML MVC controller as GetMap-based operation with standard parameter format
- GEOS-11221 mkdocs preflight rst fixes
- GEOS-11289 Enable Spring Security Stric [HttpFirewall] by default
- GEOS-11297 Escape WMS GetFeatureInfo HTML output by default
- GEOS-11300 Centralize access to static web files
Improvement:
- GEOS-11130 Sort parent role dropdown in Add a new role
- GEOS-11142 Add mime type mapping for yaml files
- GEOS-11148 Update response headers for the Resources REST API
- GEOS-11149 Update response headers for the Style Publisher
- GEOS-11152 Improve handling special characters in the Simple SVG Renderer
- GEOS-11153 Improve handling special characters in the WMS OpenLayers Format
- GEOS-11155 Add the X-Content-Type-Options header
- GEOS-11173 Default to using [HttpOnly] session cookies
- GEOS-11176 Add validation to file wrapper resource paths
- GEOS-11213 Improve REST external upload method unzipping
- GEOS-11222 Include Conformance Class for “Search” from OGC API - Features Part 5 proposal
- GEOS-11226 Enable JTS OverlayNG by default
- GEOS-11246 Schemaless plugin performance for WFS
- GEOS-11247 Avoid HTML annotations special status in APIBodyProcessor
- GEOS-11248 Move version header handling from APIBodyMethodProcessor to APIDispatcher
- GEOS-11260 JNDI tutorial uses outdated syntax
- GEOS-11288 Improve input validation in ClasspathPublisher
- GEOS-11289 Enable Spring Security Stric [HttpFirewall] by default
- GEOS-11298 When a Raster Attribute Table is available, expose its attributes in GetFeatureInfo
Bug:
- GEOS-11050 jdbc-store broken by changes to Paths.names
- GEOS-11051 Env parametrization does not save correctly in AuthKey extension
- GEOS-11145 The GUI “wait spinner” is not visible any longer
- GEOS-11182 Avoid legends with duplicated entries
- GEOS-11187 Configuring a raster with NaN as NODATA results in two NaN in the nodata band description
- GEOS-11190 GeoFence: align log4j2 deps
- GEOS-11203 WMS GetFeatureInfo bad WKT exception for label-geometry
- GEOS-11224 Platform independent binary doesn’t start properly with default data directory
- GEOS-11250 WFS GeoJSON encoder fails with an exception if an infinity number is used in the geometry
- GEOS-11278 metadata: only selected tab is submitted
- GEOS-11312 Used memory calculation fix on legend WMS request
Task:
- GEOS-11242 Remove the Xalan library
- GEOS-11315 Revert to CORS commented out
- GEOS-11318 Update postgresql to 42.7.2
- GEOS-11134 Feedback on download bundles: README, RUNNING, GPL html files
- GEOS-11141 production consideration for logging configuration hardening
- GEOS-11159 Update mapfish-print-lib 2.3.0
- GEOS-11180 Update ImageIO-EXT to 1.4.9
- GEOS-11181 Update jai-ext to 1.1.25
- GEOS-11186 Fix maven enforcer failFast
- GEOS-11220 Upgrade Hazelcast from 5.3.1 to 5.3.6
- GEOS-11245 Update OSHI from 6.2.2 to 6.4.10
- GEOS-11316 Update Spring version to 5.3.32
Community module development:
- GEOS-11305 Add layer information in the models backing STAC
- GEOS-11146 Fix MBTiles output format test
- GEOS-11184 ncwms module has a compile dependency on gs-web-core test jar
- GEOS-11209 Open ID Connect Proof Key of Code Exchange (PKCE)
- GEOS-11212 OIDC accessToken verification using only JWKs URI
- GEOS-11219 Upgraded mail and activation libraries for SMTP compatibility
- GEOS-11293 Improve performance of wps-lontigudinal-profile
Additional information on GeoServer 2.25 series:
Release notes: ( 2.25-RC )
-
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17:35
Stefano Costa: Install iosacal with conda
sur Planet OSGeoStarting today, you can install iosacal with conda. This adds to the existing installation procedure with pip. Conda is a good fit for complex projects and has better tooling for reproducibility.
Installing iosacal can be achieved by adding conda-forge to your channels with:
conda config --add channels conda-forge conda config --set channel_priority strict
Once the conda-forge channel has been enabled, iosacal can be installed with conda:
conda install iosacal
or with mamba:
mamba install iosacal
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10:57
Le samedi, c'est Map Story !
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierJusqu'à la fin du XIXe siècle, les universités européennes ont accueilli très peu de femmes, avec seulement 3,3 % des étudiants en 1900 qui étaient des femmes, principalement inscrites en médecine ou en lettres. L'accès des femmes aux métiers de l'ingénierie et de l'architecture a été encore plus tardif, avec les premières étudiantes admises à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Des pionnières telles que Laura Rogers White et Julia Morgan ont étudié l'architecture à Paris, mais la féminisation de la profession n'a vraiment commencé qu'à la fin des années 1970 et au début des années 1980, avec Marion Tournon-Branly devenant la première femme admise à l'Académie d'architecture en 1976.
La féminisation des métiers de l'ingénierie a suivi un schéma similaire, avec quelques pionnières dans les années 1940 et une progression plus significative à partir des années 1970. En 2019, les femmes ne représentaient encore que 23% des ingénieurs et 28% des nouveaux diplômés !
Ainsi, pour rendre hommage à ces femmes pionnières dans les métiers de l'architecture, de l'ingénierie et la construction, la ville de Paris propose des portraits de femmes qui ont oeuvré au patrimoine parisien.
A travers cette StoryMap ArcGIS réalisée par la Direction des affaires culturelles, cet éclairage fait partie de l'exposition réalisée à l'occasion des Journées européennes du patrimoine en septembre 2023 et présentée à l'Hôtel de Ville de Paris.
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9:59
Solar Symbology
sur Google Maps ManiaThe one thing that you are guaranteed to see before a solar eclipse is lots of maps. With just over a month to go before April 8th's total solar eclipse new solar eclipse maps are being released almost daily. The Spanish Language television network Univision has released an interactive map which is very similar to the Bloomberg eclipse map (see below) but is even better. Like Bloomerg's
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9:37
Le SDK ArcGIS Maps for JavaScript 4.29 est disponible
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
La nouvelle version 4.29 du SDK ArcGIS Maps for JavaScript est disponible depuis quelques jours. Comme chaque à mise à jour, l'API JavaScript introduit de nombreuses évolutions dont quelques unes des évolutions sont les suivantes :- Un nouveau package "Charts" a été ajouté à la librairie des web component introduit en version 4.28 pour vous permettre d'ajouter très rapidement des diagrammes à vos applications web ArcGIS.
- Possibilité d'accéder aux attributs stockés dans vos couches de tuiles vectoriels
- Amélioration de l'affichage multiple d'entités dans les fenêtres contextuelles en prenant en compte l'ordre des couches dans la carte
- Améliorations autour des capacités de dessin et de modification de géométrie en 2D et en 3D
- Un nouveau composant d'interface pour faciliter la gestion des versions sur les couches de votre application
- Plusieurs évolutions dans les scènes 3D comme la prise en charge des données au format 3D Tiles, l'ajout de nouveaux effets 3D pour la visualisation, de nouveaux fonds de carte 3D, le support des scènes sur du multi-écran, ...
- Le support des photos 180° et 360° dans le widget de visualisation des couches d'imagerie orientée
- Capacité d'affichage des POIs sur l'ensemble du monde à partir de nouveaux fonds de carte vectoriels 2D
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20:39
Fernando Quadro: Curso de GeoNode com inscrições abertas!
sur Planet OSGeoAprenda a montar a sua própria Infraestrutura de Dados Espaciais com o GeoNode, uma plataforma para gestão e publicação de dados geoespaciais que reúne projetos open-source maduros e estáveis sob uma interface consistente e fácil de usar, permitindo que os usuários, compartilhem seus dados de forma rápida e facil.
Este novo curso visa capacitar os profissionais no uso eficiente da plataforma GeoNode, e tem como objetivos:
Familiarizar os participantes com os conceitos fundamentais do Geonode e suas capacidades.
Explorar o funcionamento de servidores de mapas e seus benefícios.
Apresentar os padrões de dados do Open Geospatial Consortium (OGC), como Web Map Service (WMS) e Web Feature Service (WFS), para interoperabilidade geoespacial.
Demonstrar a publicação eficiente de dados no Geonode usando views de bancos de dados geográficos.
Ensinar a integração do Geonode com o QGIS através de plugins.Quer saber mais?
O Curso é oferecido na modalidade EAD Ao Vivo, com uma carga horária de 18 horas divididos em 6 encontros. Porém, essas aulas são gravadas e ficam disponíveis ao aluno por 12 meses em nosso portal do aluno.
Então, se por acaso você não puder comparecer em alguma das aulas ao vivo, não se preocupe, você poderá rever a aula gravada a qualquer momento.
Em comemoração ao aniversário de 12 anos da Geocursos, estamos disponibilizando pra você R$ 100 de desconto, basta utilizar o cupom GEOCURSOS12ANOS
Ficou interessado?
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17:27
Stefano Costa: IOSACal in Google Colab
sur Planet OSGeoGoogle Colab is a popular notebook service that you can run directly from your browser. Python is natively supported and it’s fairly easy to run a Jupyter notebook, even with custom dependencies like Numpy and Matplotlib.
A screenshot of the demo notebook running IOSACal in Google Colab. Even with a plot!
You can run IOSACal in Google Colab! I have added a new short how-to guide in the official documentation. Find the how-to at [https:]] .
This takes advantage of a demo notebook that was contributed by Jelmer Wind.
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15:26
Mises à jour mars 2024
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNTous les nouveaux services web géoservices et toutes les mises à jour de données en téléchargement du mois de mars 2024.
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12:00
L'Afrique en orbite à la Une de SIGMAG n°40
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe magazine SIGMAG n°40, numéro de mars 2024, vient de paraître. En voici le sommaire.
DOSSIER: «L'Afrique en arbitre». Les sciences spatiales sont vectrices d'indépendance, de croissance économique. Elles s'avèrent indispensables pour gérer l'environnement à l'heure du changement climatique. Les grandes puissances mondiales ont marqué leurs capacités technologiques et économiques à atteindre "l'inatteignable". Si l'usage des données et du positionnement satellitaires est déterminant dans les politiques gouvernementales et dans la gestion des Territories, toutes les zones du monde ne sont pas logées à la même enseigne. L'Afrique en fait partie, mais elle regagne du terrain progressivement. De l'enseignement à la recherche, en passant par la construction de ses propres satellites et l'ouverture d'agences spatiales et jusqu'au déploiement d'usages concrets pour le SIG, c'est tout un continent qui se positionne, la tête dans les étoiles. Dossier réalisé par Kim Janiec avec la participation de l'Union africaine, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche de Djibouti, le Centre d'information géospatiale et numérique de Côte d'Ivoire, le Programme spatial Sénégalais, Esri France, le Centre spatial universitaire de Montpellier et Fondation Van Allen, ,IGN FI, l'IRD, groupe Modelis, arx iT, etc.
ENQUÊTE: «Le SIG au fil des lignes et des voies ». Les opérateurs ferroviaires ne gèrent pas que des trains ou des voyageurs. Leur patrimoine est aussi multiple que varié, maintenu et développé par une foule d'intervenants internes et externes à leur organisation. Une nouvelle fois, la géographie, les cartes et les outils SIG sont au cœur des fonctionnements. Enquête réalisée par Valérie Handweiler avec la participation de SNCF Réseau, SNCF Immobilier, Infrabel, les CFL et les CFF.
PRATIQUE: « Pas-de-Calais : le SIG, utile pour gérer une crise d'ampleur ». Plus de 200 communes ont subi deux inondations majeures à quelques semaines d'écart. Indispensable pour mettre en sécurité les sinistrés ou gérer les réseaux, le SIG sert désormais à coordonner la reconstruction et à réviser certains plans. Enquête réalisée par Xavier Fodor avec la participation du SDIS 62, la CAPSO, Le DM2R du Département 62 et la Communauté Urbaine de Dunkerque Grand Littoral.
Zoom sur l'utilisation du SIG, déployé par 1Spatial, à Seine Grands Lacs.
PRATIQUE : « Lyon Métropole Habitat : un SIG qui joue sur toute la gamme ». Depuis 2009, l'organisme a développé un fort intérêt pour le SIG. Basés sur l'ensemble des solutions ArcGIS, de nombreux outils servent quotidiennement en interne et à l'extérieur de LMH.
PRATIQUE : « SIG et jumeau numérique au service d'un projet de territoire intelligent ». Angers Loire Métropole place le jumeau numérique en continuité du SIG. Après la technologie, l'organisation humaine et la gestion des données se structurent. Et les premiers usages sont là !
GUIDE: «Faites le plein de données ». ArcGIS Data Pipelines est une nouvelle application qui organise l'intégration de données dans son SIG. Elle automatise l'accès, la préparation et l'intégration depuis une ou plusieurs sources de données notamment hébergées sur le Cloud. Dans le pas-à-pas réalisé pour les lecteurs de SIGMAG par notre partenaire arcOrama, découvrez comment intégrer, préparer et héberger des données externes dans son SIG à l'aide d'ArcGIS Data Pipelines.
Découvrez également en page Guide les nouveautés solutions Esri, ainsi que le portrait de la société GEO4I qui facilite l'accès à la donnée géospatiale, tout en évitant la diffusion d'images destinée à de mauvais usages. La géointelligence au cœur de la sécurité et de La Défense.
DÉCOUVERTE: «Mondes disparus : une immersion spatio-temporelle ». Le Museum national d'histoire naturelle de Paris offre, dans la galerie de géologie et de minéralogie du jardin des plantes, une expérience immersive permettant d'arpenter toutes les époques depuis l'Hadéen. Une occasion d'approcher les espèces animales et végétales disparues.
D’autres articles sont à découvrir dans les différentes rubriques de SIGMAG, comme le portrait de Seckou Sadio (Chartes Métropole) et en Perspectives, le premier billet d'une série de Daniel Ribeiro (GeoDataSolutions) qui vous propose de découvrir comment il est possible de rendre plus vert logiciels et SIG.
Ce numéro de 52 pages SIGMAG n°40 est disponible en version numérique à partir du 1er mars 2024. CLIQUEZ POUR UN ACCES DIRECT AU MAGAZINE EN VERSION NUMÉRIQUE À noter : les premières pages de ce magazine sont accessibles gratuitement. Les abonnés à la version papier le recevront à partir du 11 mars 2024.
Pour acheter ce numéro en version numérique
ou vous abonner à SIGMAG,
rendez-vous sur www.sigtv.fr/boutique/
Pour contacter la rédaction : redaction@sigmag.fr
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10:02
Cities Need Trees
sur Google Maps ManiaTree density in TokyoNew York needs 113.9 million more trees in order to become carbon neutral.Picterra has calculated which cities around the world have the most and least trees. Using their own geospatial AI detection platform with tree counting software and forestry monitoring tools Picterra has mapped and counted the number of trees in 26 global cities. It has then calculated how many more
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9:00
Arrêt du service d’autoconfiguration début mars 2024
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNLe service d’autoconfiguration sera définitivement arrêté le 4 mars 2024 (échéance susceptible d’être modifiée).
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8:00
L'Afrique en orbite à la Une de SIGMAG n°40
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe magazine SIGMAG n°40, numéro de mars 2024, vient de paraître. En voici le sommaire.
DOSSIER: «L'Afrique en arbitre». Les sciences spatiales sont vectrices d'indépendance, de croissance économique. Elles s'avèrent indispensables pour gérer l'environnement à l'heure du changement climatique. Les grandes puissances mondiales ont marqué leurs capacités technologiques et économiques à atteindre "l'inatteignable". Si l'usage des données et du positionnement satellitaires est déterminant dans les politiques gouvernementales et dans la gestion des Territories, toutes les zones du monde ne sont pas logées à la même enseigne. L'Afrique en fait partie, mais elle regagne du terrain progressivement. De l'enseignement à la recherche, en passant par la construction de ses propres satellites et l'ouverture d'agences spatiales et jusqu'au déploiement d'usages concrets pour le SIG, c'est tout un continent qui se positionne, la tête dans les étoiles. Dossier réalisé par Kim Janiec avec la participation de l'Union africaine, le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche de Djibouti, le Centre d'information géospatiale et numérique de Côte d'Ivoire, le Programme spatial Sénégalais, Esri France, le Centre spatial universitaire de Montpellier et Fondation Van Allen, ,IGN FI, l'IRD, groupe Modelis, arx iT, etc.
ENQUÊTE: «Le SIG au fil des lignes et des voies ». Les opérateurs ferroviaires ne gèrent pas que des trains ou des voyageurs. Leur patrimoine est aussi multiple que varié, maintenu et développé par une foule d'intervenants internes et externes à leur organisation. Une nouvelle fois, la géographie, les cartes et les outils SIG sont au cœur des fonctionnements. Enquête réalisée par Valérie Handweiler avec la participation de SNCF Réseau, SNCF Immobilier, Infrabel, les CFL et les CFF.
PRATIQUE: « Pas-de-Calais : le SIG, utile pour gérer une crise d'ampleur ». Plus de 200 communes ont subi deux inondations majeures à quelques semaines d'écart. Indispensable pour mettre en sécurité les sinistrés ou gérer les réseaux, le SIG sert désormais à coordonner la reconstruction et à réviser certains plans. Enquête réalisée par Xavier Fodor avec la participation du SDIS 62, la CAPSO, Le DM2R du Département 62 et la Communauté Urbaine de Dunkerque Grand Littoral.
Zoom sur l'utilisation du SIG, déployé par 1Spatial, à Seine Grands Lacs.
PRATIQUE : « Lyon Métropole Habitat : un SIG qui joue sur toute la gamme ». Depuis 2009, l'organisme a développé un fort intérêt pour le SIG. Basés sur l'ensemble des solutions ArcGIS, de nombreux outils servent quotidiennement en interne et à l'extérieur de LMH.
PRATIQUE : « SIG et jumeau numérique au service d'un projet de territoire intelligent ». Angers Loire Métropole place le jumeau numérique en continuité du SIG. Après la technologie, l'organisation humaine et la gestion des données se structurent. Et les premiers usages sont là !
GUIDE: «Faites le plein de données ». ArcGIS Data Pipelines est une nouvelle application qui organise l'intégration de données dans son SIG. Elle automatise l'accès, la préparation et l'intégration depuis une ou plusieurs sources de données notamment hébergées sur le Cloud. Dans le pas-à-pas réalisé pour les lecteurs de SIGMAG par notre partenaire arcOrama, découvrez comment intégrer, préparer et héberger des données externes dans son SIG à l'aide d'ArcGIS Data Pipelines.
Découvrez également en page Guide les nouveautés solutions Esri, ainsi que le portrait de la société GEO4I qui facilite l'accès à la donnée géospatiale, tout en évitant la diffusion d'images destinée à de mauvais usages. La géointelligence au cœur de la sécurité et de La Défense.
DÉCOUVERTE: «Mondes disparus : une immersion spatio-temporelle ». Le Museum national d'histoire naturelle de Paris offre, dans la galerie de géologie et de minéralogie du jardin des plantes, une expérience immersive permettant d'arpenter toutes les époques depuis l'Hadéen. Une occasion d'approcher les espèces animales et végétales disparues.
D’autres articles sont à découvrir dans les différentes rubriques de SIGMAG, comme le portrait de Seckou Sadio (Chartes Métropole) et en Perspectives, le premier billet d'une série de Daniel Ribeiro (GeoDataSolutions) qui vous propose de découvrir comment il est possible de rendre plus vert logiciels et SIG.
Ce numéro de 52 pages SIGMAG n°40 est disponible en version numérique à partir du 1er mars 2024. CLIQUEZ POUR UN ACCES DIRECT AU MAGAZINE EN VERSION NUMÉRIQUE À noter : les premières pages de ce magazine sont accessibles gratuitement. Les abonnés à la version papier le recevront à partir du 11 mars 2024.
Pour acheter ce numéro en version numérique
ou vous abonner à SIGMAG,
rendez-vous sur www.sigtv.fr/boutique/
Pour contacter la rédaction : redaction@sigmag.fr
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8:00
Enquête anniversaire SIGMAG : votre avis compte !
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiquePrenez quelques minutes pour évaluer les contenus de SIGMAG et les faire évoluer selon les souhaits, en précisant par exemple le(s) thème(s) d'article que vous aimeriez lire dans le magazine. Merci pour vos commentaires ! Si vous ne voyez pas le questionnaire ci-dessous, cliquez sur ce lien :
[https:]]
(function(t,e,s,n){var o,a,c;t.SMCX=t.SMCX||[],e.getElementById(n)||(o=e.getElementsByTagName(s),a=o[o.length-1],c=e.createElement(s),c.type="text/javascript",c.async=!0,c.id=n,c.src="https://widget.surveymonkey.com/collect/website/js/tRaiETqnLgj758hTBazgd05c70OMp0CqxZUOdidqd9DlvldTKUrMZ32r3zTeIUCx.js",a.parentNode.insertBefore(c,a))})(window,document,"script","smcx-sdk"); Créez votre propre sondage de satisfaction des utilisateurs
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15:22
Identifiant unique auto-incrémenté dans QGIS
sur GeomatickLa création d’un identifiant unique affecté aux entités d’un vecteur garantit l’indexation de chaque objet géographique. L’attribution d’une numérotation distincte assure le classement des entités vectorielles. Ce tutoriel SIG montre comment ajouter un identifiant unique auto-incrémenté dans QGIS. Par définition, l’incrémentation automatique est l’ajout d’une valeur fixée à une variable.… Continuer à lire →
L’article Identifiant unique auto-incrémenté dans QGIS est apparu en premier sur GEOMATICK.
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10:14
INCIDENT WFS GÉOPORTAIL (Terminé)
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNBonjour,
L'incident [https:] impactant les services WFS du Géoportail depuis lundi 12/02 est maintenant terminé.
Nous vous remercions pour votre patience et votre compréhension.
L'équipe Géoservices.
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10:00
Incident WFS Géoportail (Terminé)
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIncident terminé -
10:00
Incident flux et services Géoportail (Terminé)
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIncident terminé
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9:25
Who Deserves a Monument Anyway?
sur Google Maps ManiaDistribution of Confederate monumentsThanks to Geochicas and the Mapping Diversity project there has been quite a lot of data analysis undertaken over the last few years into the lack of diversity in the street names of cities around the world. According to Mapping Diversity in the 32 cities which they have analyzed "More than 90% of the streets named after individuals are dedicated to white
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8:13
Mise à jour ArcGIS Online - Février 2024
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Déployée la nuit dernière, la première mise à jour d'ArcGIS Online de l'année 2024 est disponible. Vous pouvez dès aujourd'hui profiter des nombreuses améliorations et nouveautés introduites. Dans cet article, je vous propose de parcourir les principales évolution dont vous allez pouvoir profiter...
Map Viewer
À l’aide de Map Viewer, vous pouvez créer, explorer, modifier et partager des cartes Web. Si vous n'utilisez pas encore le nouveau Map Viewer, Esri vous encourage à le faire en configurant dès aujourd'hui Map Viewer comme visionneuse de carte par défaut de votre portail et de profiter ainsi des nouvelles fonctionnalités et améliorations introduites avec chaque mise à jour d'ArcGIS Online.
Voici un aperçu des nouvelles fonctionnalités et améliorations de Map Viewer fournies dans cette mise à jour.
Améliorations des couches de dessin
Vous pouvez ajouter librement des entités à une carte en créant une couche de dessin. Lorsque vous créez une couche de dessin, vous ajoutez des entités en les dessinant interactivement pour symboliser quelque chose que vous souhaitez afficher sur la carte. Vous pouvez également ajouter des informations descriptives qui apparaissent dans des fenêtres contextuelles lorsque vous cliquez sur les entités dessinées. Les entités d'une couche de dessin sont enregistrées avec la carte et vous pouvez les modifier et les mettre à jour à tout moment.
Les entités d'une couche de dessin peuvent désormais être sélectionnées dans le volet "Propriétés" et peuvent être modifiées, dupliquées ou copiées pour créer une nouvelle couche de dessin, en préservant les propriétés des symboles et les fenêtres contextuelles.
Lorsque vous stylisez des éléments de dessin (tampons, lignes, polygones, rectangles et cercles), vous pouvez choisir des symboles dans la liste "Symboles récents".
Vous pouvez également ajouter des titres et configurer des fenêtres contextuelles pour plusieurs entités à la fois. Voir Créer des couches de dessin pour plus de détails.
Recherche de couches
Lorsque votre carte comporte 10 couches ou plus, un outil de recherche apparaît automatiquement en haut du panneau "Couches". Il vous permettra d'utiliser des mots-clés pour retrouver facilement des couches spécifiques de votre carte. Cette recherche inclut la recherche de couches au sein de groupes de couches.
Seuil d'échelle pour l'agrégation
Vous utilisez des rendus par agrégation lorsque vous disposez d’un grand nombre d’entités ponctuelles dans votre couche et que vous souhaitez les symboliser de manière regroupée. Le rendu par "Agrégation" utilise des symboles de taille proportionnelle qui changent dynamiquement avec l'échelle de la carte. Le par "Regroupement" utilise des cellules prédéfinies, représentant les données ponctuelles sous la forme d'un quadrillage régulier.
Rendu d'une couche de points par agrégation
Rendu d'une couche de points par regroupement
Les deux méthodes vous permettent de visualiser des modèles dans les données qui sont difficiles à visualiser lorsqu'une couche contient un grand nombre de points qui se chevauchent et se recouvrent.
Vous pouvez désormais définir un seuil d'échelle à partir duquel l'emplacement réel des entités s'affichera. Cela vous évitera de dupliquer les couches pour passer du rendu regroupé vers l'affichage individuel des points.
Affichage de la couche lorsque la carte est au-dessus du seuil d'échelle
Affichage de la couche lorsque la carte est en-dessous du seuil d'échelle
Styles web personnalisés
Vous pouvez publier sur votre portail vos propres styles web à l'aide d'ArcGIS Pro et les utiliser dans Map Viewer, en étendant les styles standards pour utiliser vos propres symboles uniques. Les styles web peuvent contenir des symboles 2D pour les points, les lignes et les polygones.
Avec cette mise à jour, vous pouvez désormais rechercher et ajouter des styles web personnalisés dans le contexte de votre carte. Lorsque vous modifiez les styles de symboles, cliquez sur [+] pour ouvrir le volet "Ajouter des styles" et parcourir les styles disponibles.
Une fois qu'un nouveau style est ajouté, vous affichez les symboles en mode "Liste" pour utiliser la recherche et vous aider à localiser les symboles souhaités. La recherche fonctionne sur les chaînes de noms et les balises de symboles.
Enregistrer vos couches multimédias
L'ajout de couches multimédias dans une carte est une nouveauté récente d'ArcGIS Online qui vous permet d'ajouter et de positionner des images, telles que des cartes historiques, des cartes papiers scannées, ... dans l'environnement géographique souhaité à l'aide du fond de carte.
Ajout et géoréférencement d'une couche multimédia dans une carte web
Auparavant, les couches multimédias ne pouvaient être enregistrées que dans la carte web. Les couches multimédias peuvent désormais être enregistrées en tant qu'élément dans les contenus du portail et donc réutilisées dans d'autres cartes web. Le positionnement du média (l'image), les effets de style et les paramètres de visibilité seront enregistrés dans l'élément de couche multimédia et s'ajusteront automatiquement aux autres cartes auxquelles il est ajouté.
Affichage des fenêtres contextuelles
Lors de l'affichage des fenêtres contextuelles, si des entités de plusieurs couches sont interrogées, ces dernières sont désormais affichées dans l'ordre de leur couche dans la carte. Auparavant, les entités étaient affichées dans l’ordre dans lequel elles étaient renvoyées.
Explorateur de collections d'images
Un nouvel explorateur de collection d'images est disponible dans la barre d'outils "Paramètres" pour les couches d'imagerie dynamique. Vous pouvez consulter les différentes images contenus dans la couche, les trier selon n'importe quel attribut et survoler pour afficher leur empreinte sur votre carte. Des filtres peuvent être appliqués pour une zone d'intérêt et des attributs, et un curseur peut être utilisé pour afficher des images correspondant à une plage d'attributs spécifique.
Des outils supplémentaires dans la liste des images peuvent être utilisés pour sélectionner une ou plusieurs images dans la collection, afficher les détails de l'image, zoomer sur l'image ou l'ajouter en tant que couche unique à votre carte.
Améliorations de la visionneuse d'images orientées
Les couches d'imagerie orientée sont des nouveaux types de couche d'entités introduites fin 2023 (Pro 3.2, Enterprise 11.2 et mise à jour d'octobre ArcGIS Online). Elles permettent de visualiser des images orientées (x, y et orientation) dans le contexte d'une carte. Map Viewer prend en charge l'affichage et la gestion des couches d'images orientées à l'aide de sa visionneuse d'images orientées. Lorsqu'une telle couche est ajoutée à la carte, chaque point le couche d'imagerie orientée indique l'emplacement de la prise de vue où une photo a été acquise.
Les améliorations apportées à cette mise à jour élargissent la gamme de types et de sources de données d'imagerie pouvant être utilisées dans Map Viewer et offrent des options plus flexibles pour la collecte et le partage d'images orientées. Les nouvelles fonctionnalités et capacités incluent :
Vous pouvez désormais visualiser des images 360 et des images panoramiques dans le contexte de votre carte Web. Cliquez sur la carte pour trouver la meilleure image à 360° de cet emplacement, voyez la couverture de l'image mise à jour dynamiquement sur la carte lorsque vous effectuez un panoramique et un zoom sur l'image, et utilisez l'outil de navigation pour explorer d'autres images de cet emplacement.
Certains outils de Map Viewer fonctionnent désormais avec les couches d'images orientées, notamment les outils "Modifier", "Filtrer", "Styles", "Fenêtres contextuelles" et "Étiquettes", afin que vous puissiez affiner le rendu de votre couche d'imagerie orientée avant de la partager avec les utilisateurs finaux ou de créer une carte ou une application présentant la couche.
On signalera aussi que vous pouvez créer et partager une application contenant de l'imagerie orientée à l'aide d'ArcGIS Instant Apps. Vous pouvez également utiliser ArcGIS QuickCapture pour collecter des photos depuis votre téléphone ou votre tablette et la diffuser immédiatement et automatiquement en tant que couche d'imagerie orientée. Je reviendrai sur ce sujet dans un prochain article sur arcOrama.
Améliorations sur les diagrammes en boîtes à moustaches
Les boîtes à moustaches vous permettent de visualiser et de comparer la distribution et la tendance centrale des valeurs numériques à travers leurs quartiles. Les quartiles sont une méthode permettant de diviser les valeurs numériques en quatre groupes égaux basés sur cinq valeurs clés : minimum, premier quartile, médiane, troisième quartile et maximum.
Avec cette mise à jour, 6 options de tri sont désormais disponibles :
- Tri croissant sur l’axe X : les catégories sont classées par ordre alphabétique de gauche à droite (ordre de tri par défaut).
- Tri décroissant sur l’axe X: les catégories sont classées par ordre alphabétique inverse.
- Moyenne ascendante : les boîtes sont classées selon la statistique moyenne par ordre croissant.
- Moyenne décroissante : les boîtes sont classées selon la statistique moyenne par ordre décroissant.
- Médiane ascendante : les boîtes es sont classées selon la statistique médiane par ordre croissant.
- Médiane décroissante : les boîtes sont classées selon la statistique médiane par ordre décroissant.
Fonds de carte
De nouveaux fonds de carte et de nouvelles couches d'imagerie sont désormais disponibles dans Map Viewer depuis le Living Atlas ArcGIS.
Les nouveaux fonds de carte sont disponibles dans 4 styles différents qui incluent une nouvelle couche de de base des lieux (POI) assemblée par Esri à partir de plusieurs sources, notamment SafeGraph et Foursquare. Les lieux comprennent des magasins, des services, des restaurants, des parc de loisirs d'attractions et d'autres points d'intérêt. Ils deviennent visibles lorsque vous zoomez sur une zone spécifique.
Les images multispectrales Landsat niveau 2 peuvent également être utilisées dans Map Viewer et peuvent être visualisées dans une nouvelle application Landsat Explorer Living Atlas. L'application permet à quiconque d'accéder et d'analyser facilement plus de 40 ans d'images multispectrales provenant des missions du satellite Landsat.
Grâce à un enregistrement sur une large plage temporelle, l'imagerie multispectrale Landsat prend en charge une large gamme d'applications de surveillance des terres et aide les organisations aux niveaux local, régional et national à prendre des décisions éclairées en faveur de la durabilité.
Analyse
Les outils d'analyse de Map Viewer vous permettent de quantifier et de comprendre les relations entre vos données. Les outils d'analyse d'entités sont disponibles pour tous les membres disposant des privilèges appropriés. L'accès aux outils d'analyse raster nécessite les privilèges appropriés, ainsi qu'une licence ArcGIS Image for ArcGIS Online. Pour plus d'informations, voir Exigences de licence pour l'analyse spatiale. Cette mise à jour d'ArcGIS Online introduit des amélioration et des nouveautés intéressante en terme d'analyse de données.
Mises à jours générales
Les services de carte (Map Services) d'ArcGIS Enterprise sont désormais pris en charge en tant qu'entrées d'entités pour l'analyse. Pour une liste complète des entrées prises en charge, voir Effectuer une analyse (Map Viewer).
Plusieurs outils disposent désormais d'un bouton "Dessiner des entités en entrée" qui peut être utilisé pour créer de manière interactive une couche d'entités pour la source de données en entrée de votre analyse. Dessiner des entités en entrée crée une couche de dessin qui peut être enregistrée dans la carte web.
Nouveau bouton "Dessiner des entités en entrée"
Nouveautés et mise à jour sur les outils d'analyse d'entités
L'analyse d'entités est effectuée sur des sources de données vectorielles; données basées sur des coordonnées représentant des entités géographiques à l'aide de points, de lignes et de polygones.
Rechercher des agrégats de points comprend désormais trois nouveaux paramètres : "Champ de date/heure", "Intervalle temporel de la recherche" et "Unités de temps de la recherche" qui vous permettent d'utiliser le temps, ainsi que la distance, pour identifier les clusters lorsque la méthode de clustering est définie sur Distance définie (DBSCAN) ou Multi-échelle (OPTICS).
L'outil "Calculer un indice composite" combine plusieurs variables numériques pour créer une seule variable d'index, également appelée indicateur composite.
Outils d'analyse raster nouveaux et mis à jour
L'outil "Champ de vision géodésique" comporte deux nouveaux paramètres de paramètres de champ de vision, l'erreur verticale et le coefficient de réfractivité, ainsi que quatre nouveaux paramètres d'observateur, l'angle de départ horizontal, l'angle de fin horizontal, l'angle supérieur vertical et l'angle inférieur vertical.
La fonction raster Statistiques zonales propose quatre nouvelles options pour le paramètre Type de statistiques : Nombre majoritaire, Pourcentage majoritaire, Nombre minoritaire et Pourcentage minoritaire.
L'outil Paramètres de surface calcule les paramètres d'une surface raster, tels que l'orientation de la pente, la pente et la courbure, à l'aide de méthodes géodésiques. Les paramètres de surface comportent un nouveau paramètre : "Raster ou entités de masque d'analyse" en entrée, qui limite l'analyse à des zones d'intérêt spécifiques dans le raster de surface en entrée.
L'outil "Générer des lignes de cours d'eau" génère des entités correspondant aux flux d'écoulement théoriques à partir d’un raster de surface en entrée sans qu’aucun remplissage préalable des puits (ou des dépressions) ne soit requis. Des emplacements spécifiques pour les puits ou les dépressions peuvent être prévus. Un seuil de cumul facultatif peut être spécifié.
L'outil "Générer un raster de cours d'eau" génère un raster des flux d'écoulement théoriques à partir d’un raster de surface en entrée sans qu’aucun remplissage préalable de puits ou de dépression ne soit requis. Des emplacements spécifiques pour les puits ou les dépressions peuvent être prévus. Un seuil de cumul facultatif peut être spécifié.
Liaison d'écoulement attribue des valeurs uniques aux sections d'un réseau linéaire raster entre les intersections.
Fonctions raster
Les fonctions raster fournissent des capacités d'analyse et de visualisation supplémentaires. Les modèles de fonctions raster sont des combinaisons de fonctions raster utilisées pour créer, à la volée, une visualisation ou une analyse spécifique qui peut être répétée et partagée pour différentes couches d'imagerie.
Vous pouvez désormais créer et modifier des fonctions raster directement depuis Map Viewer avec l' éditeur de fonctions raster . Ouvrez les modèles de fonctions raster existants ou créez-en un nouveau pour votre analyse à partir de la carte.
Les fonctions raster suivantes sont désormais disponibles dans Map Viewer :
- La fonction "Dégradé" calcule le dégradé le long de X, Y, XY ou d'une dimension donnée.
- La fonction "Nombre de pixels des régions" identifie les régions connectées avec la même valeur de pixel et renvoie une couche d'image contenant des valeurs pour le nombre de pixels dans les régions.
En plus des fonctions raster disponibles dans Map Viewer, vous pouvez également accéder aux modèles de fonctions raster depuis votre organisation ou à ceux qui ont été partagés en ligne. Les modèles de fonctions raster sont accessibles à l'aide du bouton "Ouvrir un modèle de fonction raster", situé au bas de la liste des fonctions raster.
Scene Viewer
Vous utilisez l'application Scene Viewer dans ArcGIS Online pour créer, visualiser et explorer des scènes web 3D. Avec cette mise à jour, Scene Viewer a été amélioré avec de nouvelles capacités et fonctionnalités, notamment sur les points suivants:
Support des couches au format "3D Tiles"
Vous pouvez désormais intégrer des couches de photomaillage 3D au format "3D Tiles" dans vos scènes. Semblable aux couches de scènes de photomaillages 3D au format I3S d'Esri, une couche de photomaillage de tuiles 3D peut représenter des environnements bâtis et naturels à l'aide de textures et d'informations d'élévation réalistes, et peut être utilisée en combinaison avec d'autres contenus 3D dans une même scène web ArcGIS.
Modification des couches de photomaillage 3D (3D Textured Meshes)
Les couches de scène de photomaillage 3D peuvent également désormais être modifiés directement dans Scene Viewer, vous permettant d'adapter précisément vos données en découpant des zones, en masquant ou en aplatissant des zones pour les combiner avec d'autres couches 3D.
Exemple de découpage à la volée d'une couche de photomaillage 3D
Intervalles d'actualisation des couches
Des intervalles d'actualisation peuvent être dorénavant définis sur les couches qui le prennent en charge (couches d'entités) afin de garantir que la scène affiche toujours le contenu le plus récent de ces couches. Comme dans les cartes web, vous pourrez activer les intervalles d'actualisation sur les couches issues de services web ArcGIS, les couches CSV (en utilisant la latitude/longitude), les couches d'entités hébergées, les couches GeoJSON, les couches d'entités OGC API Feature, OGC WFS, OGC WMS et les couches de tuiles.
Contraintes de mise à jour géométrique
Vous pouvez rendre vos opérations de mise à jour en 3D plus précise en utilisant les contraintes de saisie géométriques. Lors de la création d'entités, vous pouvez contrôler la longueur des segments et les angles entre eux, ainsi que les élévations des points et des sommets. Pour définir les contraintes d'édition, vous activerez les info-bulles et appuyez sur "Tab" pour saisir les valeurs.
Nouveaux fonds de carte 3D
Lors de la mise à jour de juin 2023 d'ArcGIS Online, de nouveaux fonds de carte 3D ont été introduits en version beta. Ceux-ci ne sont plus en version beta et peuvent être ajoutés à votre scène directement à partir de la galerie de fonds de carte dans des contextes de production.
Autres améliorations dans Scene Viewer
- Une plage d'échelle de visibilité peut désormais être appliquée aux couches de scènes de voxels.
- Vous pouvez désormais ajouter des paramètres de requête personnalisés sur toutes les URL des couches de scènes.
- Le mode "Présentation" a été mis à jour avec des améliorations pour la navigation dans les diapositives et dans la gestion des fenêtres contextuelles sur les appareils mobiles.
- Le contraste a été augmenté pour améliorer l'accessibilité de l'application Scene Viewer.
ArcGIS Instant Apps
ArcGIS Instant Apps est la nouvelle génération d'applications de cartographie web prêtes à l'emploi et ciblées, offrant une expérience simplifiée qui vous permet de créer des applications rapidement et facilement à l'aide des modes de configuration express ou complète. Tous les modèles d'Instant Apps sont disponibles sur la page d'accueil consultable d'Instant Apps.
Les modèles des Instant Apps ArCGIS incluent plusieurs applications nouvelles et mises à jour. Vous pouvez tout d'abord passer la souris sur les badges des fiches d'application pour découvrir rapidement les applications nouvelles, mises à jour ou arrivant en beta.
Sélecteur de langue
À l'aide du sélecteur de langue, vous pouvez permettre aux utilisateurs de l'application web de choisir une langue dans une liste déroulante et d'afficher le texte dans cette langue dans votre application. Les auteurs d'applications peuvent saisir des chaînes traduites pour les textes définis par l'auteur, tel que l'en-tête de l'application, les détails et le panneau d'informations, dans une ou plusieurs langues. Cela permet de changer de langue en restant dans une seule et même application, éliminant ainsi le besoin de configurer plusieurs applications pour prendre en charge différentes langues.
Dans la mise à jour précédente, le sélecteur de langue était introduit dans les modèles d'application "Media Map", "À proximité", "Recherche de zone", "Légende interactive" et "Barre latérale". Avec cette mise à jour, le sélecteur de langue est désormais également disponible dans "3D Viewer", "Atlas", "Visionneuse de pièces-jointes", "Basique" et "Curseur". On notera également la possibilité, pour les auteurs d'applications, d'exporter le texte de l'éditeur de traduction vers Microsoft Excel, de mettre à jour les traductions et d'importer le texte mis à jour.
Nouveaux modèles d'applications instantanées
"Manager" est un nouveau modèle disponible. Il permet aux utilisateurs de localiser, d'afficher et de filtrer les enregistrements sur une carte ou un tableau, puis de modifier les données dans des couches d'entités modifiables. Par exemple, une fois les données collectées à l'aide d'applications telles qu'ArcGIS Survey123 ou ArcGIS Field Maps, Manager peut être utilisé pour simplifier le processus de vérification des données pour une ou plusieurs cartes. Manager comprend également un ensemble d'outils de pour l'exploration de cartes pour parcourir les cartes et prend désormais en charge les cartes tenant compte des étages.
Mises à jour des modèles existants
Le modèle "Curseur" permet aux utilisateurs d'animer des données en fonction de valeurs numériques ou de modifications au fil du temps, en affichant des données historiques, en direct ou futures sur n'importe quel intervalle de temps. Les utilisateurs peuvent déplacer le curseur pour interagir avec les données. "Curseur" ajoute désormais un filtrage par attribut et la possibilité de lire automatiquement le curseur à l'ouverture de l'application.
Le modèle "Encarts" vous permet d'afficher des emplacements géographiques non contigus dans une seule interface de présentation. Vous pouvez choisir parmi une liste de dispositions géographiques prédéfinies ou personnaliser les emplacements des encarts à l'aide de signets de la carte ou en plaçant de manière interactive des encarts personnalisés. De plus, vous pouvez appliquer une thématique et positionner les encarts dans la mise en page. Les mises en page prédéfinies proposent de nouveaux choix de fonds de carte et la possibilité de désactiver la couleur de l'océan. Un support a été ajouté pour le Canada, l'Irlande et les Pays-Bas.
Les mises en page prédéfinies dans les encarts proposent désormais de nouveaux choix de fond de carte et la possibilité de désactiver la couleur de l'océan. De nouvelles mises en page ont été ajoutées pour prendre en charge le Canada, l'Irlande et les Pays-Bas.
Autres mises à jour
- Le modèle "Barre latérale" prend désormais en charge l'affichage de d'imagerie orientée, permettant aux utilisateurs d'interagir avec et de visualiser des images prises sous n'importe quel angle, y compris des images obliques, des vues immersives terrestres, des photos d'inspection et à 360°.
- Les utilisateurs peuvent visualiser les données des cartes prenant en compte les étages dans "3D Viewer", "Manager" et "Media Map", en activant le nouvel outil de filtre d'étage pour permettre aux utilisateurs de filtrer les données étage par étage.
Nouveaux modèles en version beta
Le modèle "Reporter" est fait pour configurer une nouvelle application instantanée, introduite en version bêta à accès anticipé, qui permet aux utilisateurs de visualiser et de soumettre des problèmes ou des observations sur un domaine spécifique. Les rapports sont ensuite ajoutés à la carte utilisée dans l'application. L'application est conçue de manière réactive pour fonctionner sur tous les appareils.
"Reporter" est conçu comme une application de remplacement pour les (très) anciennes applications configurables "Crowdsource Reporter", "Crowdsource Polling" et "GeoForm".
Gestion de contenu
On notera tout d'abord que la page "Contenu" a été améliorée et propose une nouvelle ergonomie avec l'affichage, dans la partie gauche de l'interface, d'un premier niveau de détails sur l'élément sélectionné.
Au-delà des évolution d'ergonomie, on pourra également noter les éléments suivants :- Le filtre, la chaîne de recherche et la vue que vous appliquez à un onglet de la page "Contenu" (tel que "Mon contenu") persistent lorsque vous passez à un autre onglet.
- Vous pouvez désormais afficher les détails des articles affichés dans un panneau à partir de la page "Contenu" pour vous aider à déterminer quels articles répondent à vos besoins. Vous pouvez également voir quelles couches et quels champs se trouvent dans les couches d’entités et de tables à partir du panneau de détails.
- L'option permettant d'ajouter un élément à votre liste de favoris est disponible sur le panneau de détails ainsi que dans le menu "Plus d'options Options pour chaque élément.
Vous pouvez dorénavant ajouter des packages de tuiles 3D (.3tz) à votre organisation et publier des couches de tuiles 3D à partir de ces paquetages. Ces couches peuvent être ajoutées à ArcGIS Pro 3.2 ou version ultérieure ou, si les couches sont des couches de photomaillages 3D, vous pouvez les ajouter à Scene Viewer.
Gestion des utilisateurs et administration
Les administrateurs par défaut ou les membres disposant de privilèges d'administration peuvent désormais supprimer des membres en masse, tout en transférant ou supprimant le contenu de plusieurs membres à la fois. Après avoir sélectionné les membres que vous souhaitez supprimer, vous avez la possibilité de transférer ou de supprimer leur contenu.
Si vous choisissez de transférer du contenu, vous pouvez choisir quels membres deviendront les nouveaux propriétaires du contenu et pourront créer un nouveau dossier ou utiliser un dossier existant. Toutes les licences de membre supprimées seront automatiquement révoquées, les groupes non transférés seront supprimés et tout le contenu sera transféré ou supprimé.
ArcGIS Notebooks
ArcGIS Notebooks offre une expérience de notebook Jupyter optimisée pour l'analyse spatiale. Avec ArcGIS Notebooks, vous pouvez combiner des algorithmes d'analyse spatiale avec des bibliothèques Python open source pour créer des modèles scientifiques de données spatiales précis. Vous réduisez le temps consacré à la gestion des dépendances dans les écosystèmes de science des données et augmentez la collaboration et la transparence entre les équipes.
Les membres peuvent désormais gérer les fichiers à partir de la page "Gérer les fichiers" située sur leur onglet "Notebook" via le menu déroulant "Gérer" sans avoir à démarrer l'environnement d'exécution de leur Notebook.
Les administrateurs (ou ceux disposant de privilèges d'administration) ainsi que les propriétaires de Notebooks peuvent ainsi transférer des fichiers dans un espace de travail des Notebooks des utilisateurs à l'aide de cette page "Gérer les fichiers".
ArcGIS Dashboards
Des évolutions ont également été apportées à l'application ArcGIS Dashboards avec la prise en charge des fuseaux horaires, la disponibilité d'une nouvelle fenêtre d'informations dans l'en-tête du tableau de bord et la possibilité d'afficher un panneau d'accueil lors de l'ouverture de votre tableau de bord. Je reviendrais en détails sur ces évolutions via un article arcOrama dédié.
ArcGIS Data Pipelines
ArcGIS Data Pipelines est une nouvelle application permettant l'intégration de données dans ArcGIS Online. offrant un moyen rapide et efficace d'ingérer, de préparer et de conserver des données. Grâce à l'interface intuitive glisser-déposer de Data Pipelines, les créateurs et les professionnels SIG peuvent se connecter à diverses sources de données, notamment des bases de données cloud externes et le stockage cloud, effectuer des opérations de préparation de données et créer des couches d'entités hébergées qui peuvent être utilisées dans le système ArcGIS.
Les pipelines de données ArcGIS peuvent être exécutés de manière interactive ou selon une planification récurrente, ce qui vous permet de garantir que les données sont maintenues à jour même lorsque les données sources changent. Avec cette mise à jour, ArcGIS Data Pipelines n'est plus en version beta et donc disponible pour un usage général en production.
Parmi les nouveautés de cette mise à jour, on pourra évoquer le support des flux/fichiers JSON depuis des plateforme Cloud comme Amazon S3, des stockages Microsoft Azure Blog et des URL publiques qui peuvent désormais être utilisés comme entrée dans un pipeline de données.
Le support de données JSON s'accompagne également de deux nouveaux outils- L'outil "Apparier les champs" peut être utilisé pour mettre à jour rapidement le schéma d'un ensemble de données.
- L'outil "Désimbriquer le champ" peut être utilisé pour aplatir le modèle des champs d'un tableau ayant un structure de champs imbriqués (très courant avec le format JSON notamment).
ArcGIS Experience Builder
Vous utilisez ArcGIS Experience Builder pour créer des applications et des pages web cartographiques (ou non cartographiques) modernes sans écrire de code. Vous commencez à créer des expériences web à partir de zéro ou vous choisissez parmi une vaste bibliothèque de modèles que vous pouvez personnaliser.
- 19:42
Quel est l’angle solaire zénithal maximum dans les produits Sentinel-2 ?
sur Séries temporelles (CESBIO)Pour certaines applications il est utile de connaître l’angle solaire au moment de l’acquisition d’un produit Sentinel-2. Par exemple pour notre chaine de détection de la neige LIS nous avons besoin de pré-calculer les ombres créées par le relief à partir d’un MNT. Cela nous permet d’améliorer la détection de la neige dans les zones à l’ombre. Pour savoir si un pixel est à l’ombre, il faut tester si des pixels placés dans la direction du soleil ont une altitude assez élevée pour masquer le soleil. L’algorithme va devoir parcourir un nombre de pixels de plus en plus grands plus le soleil est bas à l’horizon, ce qui peut entrer en conflit avec la fenêtre du MNT chargée en mémoire. Comme notre chaîne tourne en contexte opérationnel nous devons être vigilants vis à vis des cas limites.
_____ x| | ^ x | | | Height x __ | | | ____p_______| |___| |__v____________ <--------------> Distance
Extrait de la docstring de la classe hillshade du logiciel rastertools.
Nous avons ainsi été amenés à nous demander quel est l’angle solaire zénithal maximal possible dans les produits Sentinel-2 ? Je n’ai pas trouvé cette information dans la documentation de la mission Sentinel-2. Les utilisateurs de Sentinel-2 savent sans doute qu’il n’y a pas d’images en hiver dans les régions proches des pôles, car l’angle solaire zénithal est trop élevé à l’heure d’acquisition (~10:30 heure locale) si bien que la lumière est insuffisante pour éclairer la scène.
Heureusement, la valeur de l’angle solaire zénithal est fournie dans les métadonnées de chaque produit (notamment la valeur moyenne dans la tuile). Il est donc possible d’évaluer empiriquement la distribution des angles solaires. Sur la période 01-Jan-2022 au 31-Dec-2022 la valeur maximale dans tous les produits L1 disponibles dans le catalogue de Google Earth Engine est 86,2°, soit une élévation solaire de 3,8° ! Autant dire un soleil déjà très rasant… On voit sur la carte ci-dessous que l’ESA pousse les acquisitions le plus tard possible en Europe du Nord
Bien sûr la majorité des acquisitions est faite lorsque le soleil est plus proche du zénith, comme le montre l’histogramme ci-dessous également calculé à partir de tous les produits L1C de l’année 2022.
Le code suivant permet de générer les résultats ci-dessus dans Earth Engine.
// Earth Engine code var s2 = ee.ImageCollection("COPERNICUS/S2_HARMONIZED") .filterDate('2022-01-01','2022-12-31')//.limit(10000); var p = 'MEAN_SOLAR_ZENITH_ANGLE'; var szamax = s2.aggregate_max(p); var get_sza = function(im){ var sza = im.metadata(p).clip(im.geometry()); return sza; }; var s2sza = s2.map(get_sza); var im_szamax = s2sza.select(p).max(); print('Max SZA of all products',szamax); print(ui.Chart.feature.histogram(s2, p, null, 1)); Export.image.toDrive(im_szamax, 'SZA', 'GEE', 'SZA', null, null, 10000);
Parc National Børgefjell (Norvège) le 2022-11-18 – Sentinel-2, composition colorée des bandes 8/4/3Photo en tête : © Steinar Johannesen, Børgefjell National Park (conseil : ne pas visiter leur site web ..)
-
18:00
OTB Team: OTB Release 9.0.0
sur Planet OSGeoDear OTB community, We are happy to announce that OTB version 9.0.0 has been released! Ready to use binary packages are available on the package page of the website: The Docker image is available :docker pull orfeotoolbox/otb:9.0.0 It is also possible to checkout the branch with git: git clone [https:] OTB -b release-9.0 The documentation […]
-
16:26
SapienSapienS et le CNES nous expliquent l’observation de la terre
sur Séries temporelles (CESBIO)Le CNES a confié à la société SapienSapienS la réalisation de belles vidéos pour le grand public, qui expliquent de manière très didactique, et en moins de 5 minutes, différentes thématiques d’observation de la terre. Trois d’entre-elles font la part belle aux travaux du CESBIO, et je suis très fier d’avoir contribué à la première (mais la créativité vient de SapienSapienS). Thierry Koleck et Stephane Mermoz (Globeo) ont contribué à la seconde, et Philippe Maisongrande (un ancien du CESBIO, maintenant au CNES) a suivi la réalisation de la cinquième. Vous trouverez les liens d’accès ci-dessous (ou sur la chaine Youtube du CNES) :
- L’observation solaire en optique (spectre solaire réfléchi) : « Quand la maison brûle », avec Sentinel-2 et Pleiades (et je ne suis pour rien dans le choix de démarrer avec Jacques Chirac).
- L’observation radar, avec Sentinel1 et TropiSCO: « Quand il fait noir »
- L’altimétrie marine avec SWOT : « Quand la mer monte »
- L’hydrologie continentale avec SWOT (et un peu de SMOS) : « Quand les plantes sèchent et les rivières débordent »
- L’imagerie thermique (TRISHNA) et l’eau dans les plantes (un peu de SMOS, et les cartes OSO) : « Quand les plantes souffrent »
-
9:00
Générer un fichier PMTiles avec Tippecanoe
sur Makina CorpusExemple de génération et d’affichage d’un jeu de tuiles vectorielles en PMTiles à partir de données publiques.
-
7:46
Incident en cours flux et services Géoportail
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIncident en cours flux et services Géoportail -
7:46
Incident en cours flux et services (résolu)
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNIncident en cours flux et services Géoportail
-
3:30
Online GeoJSON Editors
sur Google Maps ManiaPlacemark Playgeojson.ioVector GeoJSONGeoman Geojson Editor I use online geojson editors very regularly to create and edit geographical data. I find online editors particularly useful for tidying up and minimizing third-party data which I have downloaded from elsewhere. For example an editor can be very useful for previewing data exported from overpass turbo, and then manipulating that data -
10:21
The Supply Chain of Deforestation
sur Google Maps ManiaPalm oil production is a major contributor to deforestation, particularly in Southeast Asia. To meet the growing demand for palm oil, every year vast areas of rainforests and other ecosystems are cleared and converted into large-scale oil palm plantations. Palm oil is the most widely used vegetable oil globally and it is found in around half of the products in your local supermarket,
-
9:00
IRP AUTO Solidarité-Prévention : application de gestion des demandes clients
sur Makina CorpusLa prévention est l’un des métiers du groupe IRP AUTO ayant comme objectifs de prévenir les risques professionnels, de promouvoir la santé et de soutenir les personnes en situation de fragilité.
-
8:25
Arrêt de la création et modification des clés Géoservices
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNArrêt de la création et modification des clés Géoservices -
8:25
Arrêt de la création et modification des clés Géoservices
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNArrêt de la création et modification des clés Géoservices
-
23:32
Le dessin du géographe n°97. Visions d’Orient
sur Les cafés géographiquesEn 1978 Edward Saïd, alors professeur de littérature anglaise et comparée à Columbia University, publie « Orientalism » dont la traduction française « L’Orientalisme : l’Orient créé par l’Occident » paraît en 1990 aux éditions du Seuil. Cet ouvrage constitue un point de passage obligé pour qui s’intéresse à l’Orient. Il démontre comment une image détournée de l’Orient est devenue en Occident « son double, son contraire, l’incarnation de ses craintes et de son sentiment de supériorité tout à la fois ». E. Saïd s’appuie sur de nombreux ouvrages d’histoire et de sciences sociales. Il analyse par nécessité tous les ouvrages parus sur le sujet depuis le XVIIIe siècle, sa réflexion est celle d’un historien.
Notre propos est plus modeste. On souhaite ici apporter un complément en évoquant non pas des ouvrages théoriques mais des illustrations moins ambitieuses, mises à jour par le remarquable travail de l’historienne Francine Saint-Ramond, « Les désorientés. Expériences des soldats français aux Dardanelles et à Salonique, 1915-1918 » (Presses de l’INALCO, 2020).
L’expédition des Dardanelles puis celle de Salonique furent l’occasion de recycler un Orient imaginaire à l’usage des soldats du contingent intégrés dans « l’Armée d’Orient ». Cette dénomination, d’origine militaire, est en elle-même tout un programme. Dans cette perspective, la presse, les journaux satiriques et même les éditeurs de cartes postales jouèrent leur rôle quand il s’agissait de donner aux familles des nouvelles des mobilisés sur le front d’Orient. Le tout en utilisant des sources d’origine variée dont on ne vérifiait pas l’exactitude. C’était … « bon pour l’Orient » ! Tout cela reposait sur une imagerie qui sous-tend l’abondante littérature du « voyage en Orient » dans les multiples récits de voyage du XIXe siècle. Voir à ce sujet « Le voyage en Orient » de Jean-Claude Berchet (Robert Laffont, collection Bouquins, 1985).
Le but est alors de conforter une imagerie exotique propre à remonter le moral de la troupe en insistant sur des traits à l’opposé de ce qu’on savait sur la bataille de Verdun qui se déroulait au même moment sur le front de l’Ouest.
Par exemple, les militaires chargés de mettre en œuvre des jardins à Salonique pour nourrir la troupe étaient nommés « les jardiniers de Sarrail », lequel était le commandant en chef de « l’armée d’Orient ». Ceci s’inscrivait dans la volonté de créer une image à l’inverse des souffrances subies dans les tranchées.
Le premier thème de l’imagerie « orientale » est celui d’un érotisme que les soldats français sont censés trouver en Orient et plus spécifiquement à Constantinople.
Ci-dessous une image de 1915 parue dans un journal satirique au moment de l’expédition des Dardanelles. Celle-ci se traduisit par un échec militaire et le repli sur Thessalonique. Et naturellement, la désillusion des soldats face à l’érotisme garanti fut grande.
D’une autre nature sont les cartes postales détournées comme celles de l’imprimerie Grimaud fils et Cie (54 Rue Mazenod, Marseille).
La carte postale ci-dessus appelle plusieurs remarques à propos de ces « voûtes d’un monastère en marbre blanc et noir près de Monastir » (Monastir était en Serbie, son nom actuel est Bitola). Il s’agit en réalité de la cathédrale de Cordoue, mosquée bâtie en Andalousie par les Arabes et transformée après l’éviction de ces derniers en cathédrale catholique par les Espagnols.
Les détournements de photos intéressent aussi les populations.
Impossible de prouver l’origine de cette photo, mais il y a toutes les chances qu’il s’agisse d’une photo d’Afrique du Nord et non pas de jeunes filles grecques de Salonique. Peu importe, cela conviendra pour la « Campagne d’Orient 1914-1918 ». Les soldats et leurs destinataires s’en contenteront.
Michel Sivignon, janvier 2024
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14:34
Le Référentiel National des Bâtiments, la plaque d’immatriculation des bâtiments
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNun service réalisé à la fabrique des Géocommuns
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11:32
La carte, objet éminemment politique. Carte-caricature et dispositif narratif
sur Cartographies numériquesCe billet est consacré à la présentation et l'analyse d'une carte humoristique extraite de la vidéo « Bienvenue en 2027 ». Produite par les Marioles (Blast), cette animation à caractère satirique met en scène Emmanuel Macron et Vincent Bolloré dans un bunker en 2027. L'occasion de mettre en évidence la place centrale des cartes dans le dispositif narratif.
Extrait de l'animation vidéo « Bienvenue en 2027 » (source : Les Marioles - Blast)
La vidéo repose sur une vision dystopique et parodique de la France à la veille des prochaines élections présidentielles :
"Nous sommes en 2027, la France est à feu et à sang et tous les cauchemars d’aujourd’hui se réalisent. La température grimpe, les révoltes fracturent la France, l’économie chute. Emmanuel Macron se réfugie dans son bunker de l’Élysée où Vincent Bolloré l’a rejoint. Les deux hommes communiquent avec l’extérieur grâce à des moyens rudimentaires."
La carte de France apparaît une première fois subrepticement au début de la séquence après un monologue du président invitant tous les Français à le rejoindre dans une Union sacrée. Comme il est réfugié dans un bunker, il leur demande de le suivre à distance sur Radio 49.3.
Extrait de l'animation vidéo « Bienvenue en 2027 » (source : Les Marioles - Blast, 2mn 10s)
Cette carte de France en noir & blanc (plutôt prosaïque) contraste avec le planisphère en couleurs qui dans un plan précédent, montrait l'emprise mondiale de la Macronie depuis son bunker sous le palais de l'Elysée. Le planisphère est titré comme s'il s'agissait d'un jeu vidéo virtuel "Projet PC Jupiter 2024". Extrait de l'animation vidéo « Bienvenue en 2027 » (source : Les Marioles - Blast, 1mn 38s)
Une troisème représentation cartographique intervient dans l'animation vidéo. Il s'agit d'un plan de Paris représenté sous la forme d'un plan de bataille, une sorte de jeu de plateau avec des troupes concentrées autour du palais de l'Élysée. Le plan est accompagné du dialogue suivant : - « La vraie France, la nôtre, ne se résume plus qu'au 8e et au 16e arrondissement de Paris" (Macron)
- « Comme toujours non ?" (Bolloré)
- « Bien sûr" (Macron)Extrait de l'animation vidéo « Bienvenue en 2027 » (source : Les Marioles - Blast, 7mn 56s)
Puis la vidéo revient sur la carte de l'Hexagone qui est montrée cette fois en gros plan. La carte joue un rôle central dans le dispositif narratif au moment où Vincent Bolloré essaie de convaincre Emmanuel Macron (desespéré de ne plus arriver à se maintenir au pouvoir) d'une stratégie politique pour reconquérir le pays :- « Là et là, pas d'intérêt...»
- « Ici 4 millions d'islamo-gauchistes, écolos, communistes enragés, irrécupérables...»
- « Là 6 millions de bons chrétiens, ton coeur de cible...»Extrait de l'animation vidéo « Bienvenue en 2027 » (source : Les Marioles - Blast, 8mn 40s)
Cette carte-caricature très réductrice est censée représenter la France d'en bas ("Les Ploucs", "Crétins des Alpes"), mais aussi les enjeux politiques et environnementaux qui menancent la France. Apparaissent pêle-mêle sur la carte "Le Pen" "Méluchon" "Les Chouans" "Sahara", mais aussi "terra incognita" (?) pour la Bretagne.
Présentée comme "de loin le meilleur épisode depuis le début de la série des Marioles", la vidéo de Blast est l'objet de commentaires mitigés sur Youtube. Émission satirique basée sur des marionnettes, elle constituerait un timide remake des Guignols de l'info. Concernant l'authenticité des personnages, l'utilisation de l'IA peine parfois à convaincre, malgré des voix assez ressemblantes. Le scénario est un peu poussif avec une vidéo qui dure tout de même 14 minutes. La chute finale avec l'irruption de Sandrine Rousseau et les discours aux connotations contradictoires sur le plan idéologique viennent un peu obscurcir le message. D'aucuns apprécient malgré tout le ton corrosif conforme à l'engagement militant de Blast qui se réclame d'un journalisme critique et indépendant, « accessible au plus grand nombre pour aiguiser l’esprit critique et donner envie de résister et d’agir ».
Dans cette animation, on peut remarquer le rôle central joué par les représentations cartographiques. Au delà de son côté humoristique, cette carte de France vient inverser le référent en disant le réel, celui du monde "du dessus", par opposition à la vision "du dessous" à l'intérieur du bunker où sont reclus les décideurs coupés du monde réel. Une belle inversion des rôles par rapport à l'opposition classique entre la "France d'en haut" et la "France d'en bas".
Cette vidéo de Blast fournit un bon exemple de l'utilisation des cartes à des fins politiques et témoigne de leur place souvent centrale dans le dispositif narratif. Les cartes satiriques sont utilisées depuis longtemps pour critiquer le pouvoir politique en place. En cela, l'exemple n'a rien de véritablement original. Il semble cependant que le genre se renouvelle avec le pouvoir de l'IA qui rend le dispositif narratif plus efficace et avec les réseaux sociaux qui participent à la diffusion massive de ces cartes animées. A l'heure de la désaffection pour les médias traditionnels, la satire politique serait-elle devenue, en France comme aux Etats-Unis, l'infodivertissement dont raffolent les milléniaux ?
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sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueL’application mobile « Mi senti ? » vient mesurer la qualité du réseau mobile sur le territoire corse. Chaque habitant peut tester la couverture de son réseau mobile en se géolocalisant. L’outil est aussi utile à la collectivité de Corse, puisqu’elle a l’ambition de mener des projets d’infrastructures de réseau mobile pour limiter les zones blanches. Il va l’aider à connaître la réalité des zones desservies. Basée sur une dynamique participative, l’application est simple d’utilisation, intuitive et accessible au plus grand nombre, dans le but de collecter suffisamment de données. Ces dernières sont remontées au sein d’un portail cartographique et synthétisées de façon anonyme. Elles sont aussi publiées sur le portail open data de la Collectivité et comparables avec les données des opérateurs.
+ d'infos :
ambizionedigitale.isula.corsica
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9:30
Georges Courade, 2023, "Comme le fleuve, la vérité se perd dans le désert". Faire de la recherche dans les Afriques en décolonisation, Paris, Les Indes savantes, 151 p.
sur CybergeoDans ce petit livre interrogeant sur un mode personnel les modalités de la recherche en Afrique subsaharienne entre les décennies 1960 et 2010, Georges Courade mène un projet devenu assez commun dans le monde de la géographie, l’égohistoire. Mais c’est un projet exigeant, visant à reconstituer la vérité d’un parcours scientifique, vérité pour soi, par rapport aux enjeux successivement formulés par l’institution de recherche "pour le développement" et en termes d’effets sur les sociétés étudiées. Ce récit de vie vise aussi à retracer une "aventure collective" menée par une "génération 1962-1968" dans le cadre d’une recherche finalisée au sein de l’ORSTOM puis de l’IRD. Mais surtout, il s’agit d’une autofiction, une analyse réflexive menée en fin de carrière sous le truchement du personnage de Basile Costal.
Le récit se déroule en dix chapitres. Les six premiers portent sur les débuts et sur le background du chercheur, encadrés par son "baptême" dans un coin peu connu de l’Afrique, le ...
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9:30
La compensation écologique permet-elle vraiment de tendre vers l’absence de perte nette de biodiversité ?
sur CybergeoDepuis 2016, le droit français poursuit un objectif de non perte nette de biodiversité en imposant aux projets ayant des incidences sur la biodiversité d’éviter, de réduire, puis de compenser ces incidences. Les mesures compensatoires doivent générer des gains écologiques suffisants, ce qui suppose qu’elles soient réalisées sur des sites en mauvais état écologique. Cet article analyse le contexte écologique dans lequel ont été réalisées 1153 mesures compensatoires, entre 2017 et 2021, sur le territoire hexagonal français. En utilisant des données de la "naturalité potentielle de France métropolitaine", nous comparons d’une part les scores d’intégrité biophysique des sites choisis et d’autre part les scores de qualité écologique incluant un indice de connectivité du paysage autour des sites, par rapport aux scores nationaux. Nos résultats montrent que 64 % de la surface des sites de compensation se situe sur des espaces où le score d’intégrité biophysique est supérieur à la médiane f...
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Rémi Rouault, Patrice Caro, 2022, Éducation et fractures scolaires. Questions de géographes à propos de l’école, Lyon, Chronique Sociale, 161 p.
sur CybergeoC’est parce qu’ils ont questionné l’école en géographes que Rémi Rouault et Patrice Caro ont été en mesure de proposer cet ouvrage, précieux et nécessaire, pour analyser la situation socio-spatiale de l’école française. Et c’est parce qu’ils s’appuient sur un matériau riche de données récentes aux échelles nationale, académique et départementale qu’ils restituent la multiplicité des enjeux posés par les questions scolaires et les inégalités du système éducatif.
Contribuant au renouvellement d’une géographie francophone de l’éducation dynamisée, depuis peu, par la publication d’un livre portant sur les espaces et les systèmes éducatifs dans le monde (Giband, Delage, Mary, Nafaa, 2023), l’étude présentée au fil des 161 pages de l’ouvrage sur le cas français, clairement rédigée par Rémi Rouault et Patrice Caro, est structurée en 8 chapitres. Ceux-ci évoquent les lieux, les espaces quotidiens et locaux de l’éducation (chapitres 1 à 3) puis les leviers et les acteurs clés de l’éducation (...
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Le cartogramme par points
sur CybergeoLes cartes par points sont un type de représentation des quantités de populations discrètes et de stock agrégées mais présentées sous une forme désagrégée, avec une implantation planimétrique/géométrique et graphique de type point. Si plusieurs de ces cartes ont historiquement pu être mises au point, nous proposons le cartogramme par points (ou Dot cartogram en anglais), une nouvelle carte participant des cartogrammes graphiques et issue d’une articulation entre la carte en signes proportionnels, la carte en densité de points de Montizon (1830) et le cartogramme circulaire de Dorling (1996). Sa particularité est de renouveler l’image cartographique du point dans son rendu (motif perçu), qui révèle des plages ou des surfaces de points juxtaposés et dans son processus de réalisation. Sa définition est accompagnée d’une application empirique menée sur deux jeux de données examinés en parallèle : les effectifs de population et le produit intérieur brut des pays du monde, observés de 195...
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9:30
Les horizons de la géographie : une métaphore pour comprendre les situations problématiques ?
sur CybergeoLe double objectif de cet article exploratoire est de souligner l’intérêt de la métaphore de l’horizon dont la richesse herméneutique aide à appréhender différentes réalités, et de montrer comment la métaphore peut favoriser la compréhension des situations problématiques dans le cadre d’une géographie pragmatiste. Trois sens figurés du mot horizon sont développés. Voir les horizons géologiques invite à questionner la nature des discontinuités paysagères identifiées dans le monde, entre unité de base, ligne de démarcation et point de repère. Se mou-voir dans l’environnement, à l’invitation des horizons phénoménologiques, trouve une application dans l’étude géographique des espaces tels qu’ils sont vécus par leurs usagers. S’é-mou-voir à la faveur de la fusion des horizons proposée par Gadamer (1960) permet de discuter de la possibilité de se rapprocher d’un autre horizon et de souligner que la compréhension dans le dialogue contribue à l’élaboration d’un horizon commun. Pour chacune ...
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9:30
Intercity relationships between 293 Chinese cities quantified based on toponym co-occurrence
sur CybergeoThis dataset presents relationships between 293 Chinese cities, derived using a toponym co-occurrence method. By employing this toponym co-occurrence analysis method, the strength of an intercity relationship is determined by the frequency at which both city names appear on the same webpage. The data was sourced from the Common Crawl web archive's 2019 April Corpus, which contains approximately 2.5 billion web pages. The primary aim of this dataset is to provide a fresh perspective on intercity relationships, thereby facilitating studies on city network analysis. The dataset not only encourages further research into comparing this innovative city relationship with other established networks but is also a showcase that presents a straightforward methodology that can be applied to other archives within Common Crawl. As such, it paves the way for longitudinal studies that probe the evolution of city networks.
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9:30
Pierre Blanc, 2023, Géopolitique et climat, Paris, SciencesPo Les presses, 248 p.
sur Cybergeo"Après le choc de la pandémie de Covid, la secousse géopolitique de la guerre déclenchée en Ukraine le 24 février 2022 est venue rappeler au vieux continent que les conflits violents n’étaient pas relégués au passé. Puis les vagues de canicule, de sécheresse et d’incendies sans précédent de l’été 2022 ont ouvert les yeux des Européens sur les ruptures climatiques qui s’annoncent, dont les conséquences seront sans commune mesure avec celles du Covid et de la guerre" (p.7). Ainsi commence l’ouvrage écrit par Pierre Blanc, chercheur en géopolitique à l’Institut d’Études Politiques de Bordeaux et à Bordeaux Sciences Agro, rattaché à l’UMR LAM. Dans cette introduction (p.7-12), l’auteur explique que les Européens prennent à peine conscience des effets des changements climatiques, constat jusque-là assez circonscrit à quelques sphères de la société. Il y explique la philosophie de cet ouvrage, une approche par la géopolitique, soit les dimensions du politique (puissance, pouvoir, sécurité...
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9:30
Le détroit de Bab el-Mandeb : frictions littorales et maritimes
sur CybergeoCet article propose une analyse des frictions littorales et maritimes par l’étude du rapport entre les flux maritimes mondialisés et la sûreté maritime (maritime security). Depuis les côtes, des acteurs locaux ou régionaux peuvent influer sur les échanges maritimes d’échelle globale qui passent au large. Le cas du détroit de Bab el-Mandeb et de ses prolongements naturels (Sud de la mer Rouge et golfe d’Aden) en offre une bonne illustration : grand axe de trafic maritime, ce détroit se caractérise par la présence de la piraterie somalienne, principalement entre 1995 et 2015, ainsi que par l’extension en mer de la guerre civile au Yémen, qui s'est transformée en un conflit régional. Cette recherche, fondée sur des données maritimes ainsi que sur une étude approfondie du contexte régional, cherche à identifier les influences des actes de violence sur les différents trafics du détroit de Bab el-Mandeb. L'influence des contextes politiques des États riverains sur les flux maritimes en ha...
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9:30
La trajectoire paysagère d’un bassin versant bocager normand depuis deux siècles : enjeux méthodologiques pour une étude géohistorique
sur CybergeoLe paysage bocager des régions du nord-ouest de la France a subi d'importantes transformations depuis le milieu du XXème siècle, sa structure ayant été altérée par le remembrement, la rationalisation et l'agrandissement des parcelles, ainsi que par l’arasement des haies. Les conséquences environnementales de ces mutations paysagères sont importantes : érosion hydrique, pollution des milieux aquatiques, perte en biodiversité. L’objectif de l’article est d’étudier la trajectoire d’évolution d’un espace agricole représentatif des mutations qui affectent les paysages bocagers depuis deux siècles. À travers l’exemple d’un petit bassin versant historiquement bocager du Calvados (Le Tortillon), la méthodologie repose sur une approche géohistorique, combinant l’utilisation d’archives, notamment cadastrales, et d’images aériennes au sein d’un Système d’Information Géographique (SIG). Bien que les cadastres renseignent précisément sur l’occupation du sol des paysages du XIXème siècle, l’artic...
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9:30
Riccardo Ciavolella, 2023, Pétaouchnok(s). Du bout du monde au milieu de nulle part, Paris, La Découverte, 2023, 413 p.
sur CybergeoC’est d’abord une curiosité amusée qui pousse les géographes à feuilleter cet ouvrage. Cet "atlas imparfait", aux dires de son auteur, invite à un tour du monde en 80 lieux, et peut d’abord se comprendre comme une invitation au voyage, exercice que nous pratiquons si souvent dans nos grands et petits livres, récits des voyages d’exploration historiques, ou petits récits de voyage au fil de nos histoires. C’est une cartographie sémantique tout autant que géographique que l’auteur nous propose, en indiquant au début de ses notices des éléments de contexte et d’usage pour situer chaque lieu. Aux antipodes des "non-lieux" scrutés par Marc Augé, l’attention est ici portée sur la singularité de chacun de ces bouts du monde, voire des antimondes comme ceux qu’a étudiés Roger Brunet, ou encore des tiers lieux, qu’évoquent par exemple Armelle Choplin et Olivier Pliez dans leur ouvrage sur "la mondialisation des pauvres".
Pendant plus de 400 pages, l’auteur s’amuse et sait divertir ses lecteur...
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9:10
Street View Surveillance
sur Google Maps ManiaThe Electronic Frontier Foundation's Spot the Surveillance game is a virtual reality game which requires players to identify surveillance equipment in a panoramic image of a San Francisco street scene. Panning around this 360 degree view players are required to detect the every day surveillance equipment which is now routinely used on America's streets, such as body-worn cameras, automated
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8:30
Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur MappemondeL’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
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8:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur MappemondeLes classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.
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8:30
L’accessibilité dans les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien
sur MappemondeL’analyse des parentés observées entre les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien nous a conduits à mettre en évidence cinq spécificités de l’accessibilité insulaire. À partir de ces traits fonctionnels, le but poursuivi par cette étude est donc de modéliser l’accessibilité insulaire. Pour ce faire, nous examinons la nodalité et la réticularité des ports et aéroports insulaires régionaux.
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8:30
La morphologie de la ligne de flux. Une nouvelle variable visuelle issue du système de Cartes figuratives de Minard
sur MappemondeLes travaux de Charles-Joseph Minard (1781–1870) sur la cartographie des flux et des « mouvements de transports » sont historiquement reconnus. Unanimement salués, ils font l’objet de mentions régulières voire d’anthologies, mais qui s’intéressent davantage à l’image qu’à la méthode mise en œuvre. L’examen de la fabrique de son « système de Cartes figuratives » nous conduit à présenter les apports fondamentaux de Minard sur la sémiologie cartographique des flux/mouvements, à révéler l’ancrage théorique, méthodologique et conceptuel de ces cartes. L’analyse de la forme perçue sur la carte du dessin de la ligne de flux nous pousse à introduire une nouvelle variable visuelle : la morphologie.
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8:30
Atlas des phares du bout du monde, Autrement, 2021
sur Mappemonde« L’Atlas des phares du bout du monde » est l’une des traductions (il y en aurait onze) du Breve Atlas de los Faros del Fin del Mundo paru en 2020 aux éditions Menguantes. L’auteur, graphiste de métier, déclare dans son avant-propos qu’il est « loin d’être un expert en la matière » et que c’est la rencontre fortuite entre son envie de faire un de ces « atlas poétiques (…) capables de vous transporter dans des lieux reculés depuis le confort de votre canapé », ses compétences de graphiste et un travail qu’il a dû faire, au cours duquel il a dessiné des phares qui ont été la source de son inspiration.
L’ouvrage présente 34 phares qui sont, d’abord, tous localisés sur une belle carte du monde, sans limite étatique, réalisée dans des tons bleus et jaunes pâles. Puis, chaque phare est présenté en quatre pages, toujours selon la même structure. D’abord une page de texte accompagnée de quelques informations de localisation et, en vis-à-vis, le dessin, réalisé par l’auteur, du phare dans so...
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8:30
Atlas des grandes découvertes. De l’Antiquité à nos jours, Autrement, 2021
sur MappemondeVoici un atlas pour lequel Stéphane Dugast, pour l’écriture des textes, Xemartin Laborde, pour les cartes, et Audrey Lagadec, pour les illustrations, ont été associés pour le plus grand plaisir de nos connaissances et de notre imagination. Un atlas est un recueil de cartes, celui-ci, comme l’explique l’introduction, est « une ode à la carte » offrant de célébrer les grandes découvertes qui ont rythmé l’histoire de l’humanité.
L’atlas est découpé en cinq grandes parties organisées de manière chronologique. Chaque page comporte une notice présentant un(e) ou plusieurs explorateurs/exploratrices et, le plus souvent, une carte qui décrit les voyages d’exploration effectués. Les cartes sont, en apparence, très simples avec peu de figurés, mais elles permettent une visualisation claire et précisent des faits d’exploration décrits dans la notice. Certaines pages montrent le monde « connu » à des époques plus anciennes avec des mappemondes comme celle de Ptolémée ou d’Al Idrissi. Le texte es...
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8:30
Grand Atlas de l’Antiquité romaine, Autrement, 2019
sur MappemondeCet atlas, rédigé par Christophe Badel et Hervé Inglebert avec des cartes de Claire Levasseur, offre un vaste panorama de l’Empire romain : de ses prémices au IIIe siècle av. J.-C. aux conséquences de son effondrement au Ve/VIe siècle.
Cet atlas commence par des cartes anciennes reconstituant la vision des anciens de leur monde. La plus célèbre de ces cartes est celle dite « Table de Peutinger », copie médiévale d’un original du IIe/IVe siècle, qui représente le réseau routier de l’Empire romain. Page 63, l’atlas fait également figurer l’énigmatique carte romaine d’Agrippa. L’hypothèse est qu’il s’agissait d’une carte, située sur le temple du forum d’Auguste, qui aurait été créée pour montrer l’étendue de l’Empire au 1er siècle. Carte ou liste de lieux ou de routes perdue irrémédiablement, mais dont l’existence supposée montre tout l’intérêt des autorités impériales pour leur immense territoire et pour ce moyen très pratique de se l’approprier, tout au moins par le regard, qu’est l’o...
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8:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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8:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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8:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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7:00
Je soutiens le logiciel libre, je suis membre de l’APRIL !
sur OslandiaCréée en 1996, l’April est la principale association de promotion et de défense du logiciel libre dans l’espace francophone. Depuis plusieurs années maintenant et du fait de son engagement dans la communauté open source, Oslandia soutient l’April en faisant partie des entreprises adhérentes.
Par cette adhésion, nous apportons tout notre soutien aux actions de l’association et invitons les acteurs du Libre, entreprises, associations, collectivités, … à rejoindre le mouvement et soutenir la promotion du Libre en France !
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16:48
Volga, l’héritage de la modernité
sur Les cafés géographiquesLa Volga, chère aux romanciers russes, a été transformée par les Bolcheviks au XXe siècle. Rêve ou cauchemar ? Au XXIe siècle, un nouveau destin s’ouvre devant elle, celui de devenir un fleuve d’Asie.
Pascal Marchand, Volga. L’héritage de la modernité, CNRS Editions, 2023
A tous les romantiques attachés à la « Petite Mère Volga » et à ses bateliers (en fait des haleurs) chantés par Ivan Rebrov, l’ouvrage du géographe Pascal Marchand provoquera un difficile retour à la réalité. Le majestueux fleuve de 3700 km est aujourd’hui une succession de barrages en béton et de lacs de retenue ; ses rives sont creusées par l’érosion ; son delta avance dans une mer Caspienne dont le niveau baisse ; et la pollution est un souci majeur. Qui est responsable de ce bilan ? C’est en grande partie l’homo sovieticus dont l’hubris a cru dompter les éléments naturels pour apporter en même temps et de façon massive électricité, irrigation, ressources halieutiques et voie de circulation.
Carte de localisation du fleuve Volga [https:]
Son axe Nord-Sud et sa faible pente (sa source est à 228 m) rendent difficile la gestion du fleuve. Les eaux d’amont sont retenues pendant les mois d’hiver dans une épaisse couche de glace sur laquelle la neige s’accumule. A partir de mars, les eaux peu à peu libérées s’écoulent lentement, inondant de vastes surfaces (les crues peuvent atteindre de 10 à 15 m) tandis qu’à la fin de l’été, la basse Volga, au sud de Volgograd, affectée d’un climat aride, peut connaître de sévères étiages. Quelques rares travaux ont été envisagés au XIXe siècle, mais ce sont les bolcheviks qui ont voulu faire de la Volga un instrument majeur du développement du pays.
Le plan Grande Volga, après plusieurs années d’études, est mis en œuvre à partir de 1937. Son objectif : utiliser l’eau de la crue majeure de printemps pour alimenter de gigantesques lacs de retenue barrés de centrales électriques et pour remplir des canaux d’irrigation dans les régions steppiques du sud. Il devait aussi développer la pêche (de nombreuses espèces anadromes remontaient le fleuve), particulièrement celle des légendaires esturgeons, fournisseurs du précieux caviar, et bien sûr réaliser une voie de transport fluvial entre la Baltique, la mer Blanche et la mer Caspienne grâce à des canaux de jonction. Lorsque le régime soviétique s’effondre en 1989, les travaux sont inachevés mais le paysage est transformé.
Tous les objectifs du plan étaient-ils compatibles ? La gestion bureaucratique a rendu leur coordination impossible. Chaque activité dépendait d’un ministère sectoriel (Energie, Transports, Pêche…) soucieux de dépasser les chiffres du plan pour obtenir primes et promotions. Le ministère de l’Energie exerce le poids le plus lourd grâce aux 11 barrages hydroélectriques qui fournissent le courant pendant les pointes de consommation hivernale (1). 17 948 km2 de terres sont submergées et 500 000 personnes déplacées.
Le développement de la pêche dans les retenues artificielles a impliqué une refonte de la faune aquatique (le remplacement des espèces adaptées aux eaux courantes par des espèces adaptées aux biotopes lacustres). Cette expérience s’est soldée par une succession d’échecs, en grande partie dus à la pollution des eaux engendrée par les grands combinats industriels installés sur les rives. Equipements médiocres, braconnage…la situation s’est dégradée jusqu’à ce que la chute de l’URSS mette fin à la pêche industrielle sur la Volga.
Mais le Plan a-t-il au moins sauvé les prestigieux esturgeons qui quittent les eaux de la Caspienne pour frayer dans le fleuve ? Comment leur faire franchir les barrages ? Les ascenseurs à poissons ont été dédaignés par les esturgeons et les frayères artificielles en aval du barrage de Volgograd inutilisées. Aujourd’hui malgré l’interdiction de la pêche intentionnelle de l’esturgeon en Russie, les prises « accidentelles » sont nombreuses dans la Caspienne d’autant qu’elles sont orchestrées par des groupes mafieux. Peu d’esturgeons remontent donc le fleuve pour se reproduire. On peut ainsi évoquer leur quasi-extinction.
Les besoins de la pêche en basse Volga étaient incompatibles avec un autre objectif du Plan : l’irrigation des steppes transvolgiennes. Au sud de Kazan un apport d’eau est indispensable à l’agriculture. Le Plan de 1969 prévoyait l’utilisation de la crue pour irriguer 6,3 millions d’ha de terres cultivables et équiper en abreuvoirs 13,4 millions d’ha de pâturages. La priorité a été donnée à la céréaliculture autant pour des raisons idéologiques qu’économiques. Mais les bureaux accumulèrent les erreurs d’appréciation. Main-d’œuvre insuffisante et incompétente, sols châtains (forme dégradée des sols noirs par la sécheresse), remontées salines favorisées par l’irrigation…tous ces éléments expliquent la médiocrité des rendements (10 q/ha dans les années 1970/1980). Après la chute du régime soviétique, 90% des surfaces irriguées des steppes transvolgiennes sont abandonnées. C’est donc un échec cuisant.
Les légendes et chansons célébrant les « bateliers de la Volga » relèvent-elles du pur imaginaire ? Avec son gel hivernal, ses crues de printemps et ses étiages d’été, le fleuve ne se prête guère naturellement à la navigation. Aussi pendant longtemps les voyageurs, à l’exception des Varègues, utilisèrent-ils les berges plutôt que le cours d’eau. Au XIXe siècle, les bateaux à voile qui s’aventurent sur le fleuve ont besoin de haleurs (bourlaki) lorsqu’ils remontent le courant, surtout à l’amont de Rybinsk. Les vapeurs ne fournirent pas de solution de remplacement car empêchés de naviguer par les glaces d’hiver et les basses eaux d’été. C’est le chemin de fer, à la fin du siècle, qui fit disparaitre le halage.
Ce sont les soviétiques, dans le schéma Grande Volga, qui décidèrent la réalisation d’un grand axe de navigation reliant les cinq mers (mer Blanche, Baltique, mer d’Azov et mer Noire, Caspienne) (2). Il a fallu creuser plusieurs canaux barrés d’écluses et maintenir une profondeur minimale de 4m sur tout le parcours. Au début des années 1980, le trafic, intense dans l’ensemble, a atteint 232 millions/tonnes par an. En 2019 il n’était plus que de 39,5 millions/tonnes. L’effondrement du trafic a suivi celui du régime communiste. Dégradation de l’état de la flotte, manque de main-d’œuvre spécialisée, absence d’investissements des armateurs privés…
La Volga va-t-elle reprendre son cours naturel ? Ce n’est pas sûr car aujourd’hui deux bouleversements risquent de l’affecter, le premier environnemental, le second géopolitique.
La raréfaction de la neige dans la partie amont du fleuve et de ses affluents risque d’entraîner la disparition de la crue de printemps et donc de modifier toutes les activités qui y sont liées.
Les sanctions occidentales provoquées par l’invasion de l’Ukraine en 2022 ont amené Moscou à se tourner vers l’Asie et le Sud. Le grand projet de corridor sud-nord de transport international (Inde-mer du Nord) retrouve alors toute son acuité. Il comporterait une double composante ferroviaire et navale : bateau de Bombay à Bandar Abbas dans le détroit d’Ormuz, chemin de fer de Bandar Abbas à la Caspienne et pour son contournement, bateau sur la Volga et sur les canaux Volga-Don et Volga-Baltique. Déjà un accord a été signé en 2017 avec l’Iran. L’intérêt de ce projet pour les Russes est d’attirer les flux internationaux pour faire pendant à la Route de la soie et à celle du canal de Suez. Mais son coût est considérable et les polémiques environnementales nombreuses. Néanmoins il est suffisamment marquant pour que l’auteur se pose la question : si la Volga devient une voie majeure du commerce russe vers l’Asie, ne pourrait-elle être qualifiée de limite entre l’Europe et l’Asie à la place de l’Oural ?
Cet ouvrage est très riche en informations précises (sur toutes les espèces de poisson, par exemple), notamment en données chiffrées. Il est dommage que la cartographie ait la portion congrue : une seule carte, très générale, oblige le lecteur à de longues recherches pour localiser les lieux cités. Le livre s’achève sur cette question fondamentale : la Volga est-elle d’Europe ou d’Asie ?
Notes :
1) Cf la déclaration de Lénine : « Le communisme, c’est le gouvernement des soviets plus l’électrification de tout le pays » dans Notre situation intérieure et extérieure et les tâches du parti, 1920.
2) Les Russes appellent l’ensemble de ces voies d’eau EGS (Système Unifié à Grande profondeur).Michèle Vignaux, février 2024
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20:26
Free and Open Source GIS Ramblings: Trajectools 2.0 released ?
sur Planet OSGeoIt’s my pleasure to share with you that Trajectools 2.0 just landed in the official QGIS Plugin Repository.
This is the first version without the “experimental” flag. If you look at the plugin release history, you will see that the previous release was from 2020. That’s quite a while ago and a lot has happened since, including the development of MovingPandas.
Let’s have a look what’s new!The old “Trajectories from point layer”, “Add heading to points”, and “Add speed (m/s) to points” algorithms have been superseded by the new “Create trajectories” algorithm which automatically computes speeds and headings when creating the trajectory outputs.
“Day trajectories from point layer” is covered by the new “Split trajectories at time intervals” which supports splitting by hour, day, month, and year.
“Clip trajectories by extent” still exists but, additionally, we can now also “Clip trajectories by polygon layer”
There are two new event extraction algorithms to “Extract OD points” and “Extract OD points”, as well as the related “Split trajectories at stops”. Additionally, we can also “Split trajectories at observation gaps”.
Trajectory outputs, by default, come as a pair of a point layer and a line layer. Depending on your use case, you can use both or pick just one of them. By default, the line layer is styled with a gradient line that makes it easy to see the movement direction:
while the default point layer style shows the movement speed:
How to use TrajectoolsTrajectools 2.0 is powered by MovingPandas. You will need to install MovingPandas in your QGIS Python environment. I recommend installing both QGIS and MovingPandas from conda-forge:
(base) conda create -n qgis -c conda-forge python=3.9 (base) conda activate qgis (qgis) mamba install -c conda-forge qgis movingpandas
The plugin download includes small trajectory sample datasets so you can get started immediately.
OutlookThere is still some work to do to reach feature parity with MovingPandas. Stay tuned for more trajectory algorithms, including but not limited to down-sampling, smoothing, and outlier cleaning.
I’m also reviewing other existing QGIS plugins to see how they can complement each other. If you know a plugin I should look into, please leave a note in the comments.
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11:11
The Street Names of Budapest
sur Google Maps ManiaOver 2,600 locations in Budapest have place-names which derive from people. Names and Spaces - Budapest is a fantastic mapped analysis of who Budapest's streets and public spaces were named after and what this reveals about the city's history.The map is in Hungarian but works fairly seamlessly with Google Translate in Chrome. If you don't have access to Google Translate then you can still enjoy
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7:49
Carte des travaux et oeuvres d'art réalisés par le New Deal (Living New Deal)
sur Cartographies numériquesLiving New Deal a pour objectif de faire connaître le New Deal et son vaste programme de lutte contre les effets de la Grande Dépression aux États-Unis dans les années 1930. Le site propose beaucoup d'informations (textes, images, chronologies, programmes, acteurs...) avec également des ressources pédagogiques disponibles de la maternelle au niveau K12 (Terminale).
Le New Deal reposait sur des dizaines de programmes et d’agences créés par l’administration Roosevelt et le Congrès américain. Certains de ces projets ont été créés par la loi, d’autres par décret ; certains sont bien connus, d’autres non ; certains ont changé de nom ou ont été modifiés en cours de route ; certains n’ont duré que quelques années, d’autres existent encore. Le site recense une liste complète des programmes, avec pour chacun un résumé de la loi, son agence, ses objectifs et ses réalisations, ainsi que ses acteurs clés et son héritage. Cette recension s'appuie en grande partie sur des sources primaires qui sont citées.
Une carte interactive montre les travaux publics et les œuvres d'art du New Deal. Chaque site est signalé par un point, ce qui donne une idée de l'ampleur des travaux lancés à l'époque (avec une concentration plus grande dans les villes).
Cartographie des travaux et oeuvres d'art réalisés par le New Deal (source : Living New Deal)
Les sites sont classés par catégorie et par agence. Un clic sur la légende permet de sélectionner une catégorie :
- Archéologie et histoire
- Oeuvres d'art
- Installations civiques
- Éducation et santé
- Établissements fédéraux
- Foresterie et agriculture
- Infrastructures et services publics
- Sécurité militaire et civile
- Parcs et loisirs
Pour compléter
En complément, voici une carte de 1935 qui faisait déjà à l'époque la promotion des travaux du New Deal. Intitulée P.W.A in Action, la carte est à découvrir dans la collection Persuasive Maps de la Bibliothèque de l'Université de Cornell (également téléchargeable sur le site du Leventhal Map & Education Center Map). La Public Works Administration ou PWA (Agence des Travaux publics) était un organe gouvernemental créé en juin 1933 dans le cadre du National Industrial Recovery Act de la politique de New Deal, instituée par le président Roosevelt. Remplie d'images colorées, cette carte picturale met en avant les projets financés par l'Administration fédérale. Dans le cadre du New Deal, l'Administration des Travaux Publics a dépensé plus de 6 milliards de dollars en projets entre 1933 et 1938. Le texte qui figure au bas de la carte vaut en soi programme politique :Off relief rolls on to pay rollsA map showing how the Public Works program is Building a Greater Nation - Making jobs for Men and Factories - How it Conserves Resources and Harnesses Rivers - How Finer Transportation is being Created and Land Saved for Better Use
["Des listes d'aide aux listes de travail. Une carte montrant comment le programme de travaux publics construit une nation plus grande, crée des emplois pour les hommes et les usines, comment il préserve les ressources et exploite les rivières, comment des transports plus performants sont créés et des terres préservées pour une meilleure utilisation"]
Le titre de cette notice "Off relief rolls on to pay rolls" renvoie à l'idée qu'il est préférable de gagner de l'argent par son travail que de voir son nom inscrit sur des listes pour obtenir de l'aide. La carte elle-même montre un large éventail de projets dans presque tous les États de l'Union, avec la construction de barrages, de ponts, de systèmes d'égouts, d'écoles, de musées, d'autoroutes, d'hôpitaux, etc. Des étiquettes apparaissent à côté de chaque projet, certaines ayant valeur de slogans :
« LOGEMENT – Autrefois bidonvilles sordides d'Atlanta, maintenant appartements modernes à loyer modique »
« SANTÉ – ??Le plus grand chantier d'ingénierie sanitaire jamais réalisé – les égouts et les usines de traitement de Chicago »,
« ÉCOLES – Pas d'école buissonnière ici : les jeunes de l'Utah étudient dans de nouvelles salles de classe joyeuses ».Une rose des vents portant les initiales « PWA » apparaît en haut à droite, un soleil souriant surgit derrière les nuages ????au large des côtes de Californie et des illustrations des scènes de quelques grands projets sont placées aux coins de la carte.
Voir également cette affiche américaine de la campagne électorale de Roosevelt de 1940 montrant les réalisations du New Deal. Publiée par le Parti travailliste américain (ALP), l'affiche met en comparaison les scènes de misère de l'Amérique de Hoover en 1932 avec les scènes pleines d'espoir des réformes du New Deal, grâce à des salaires plus élevés, des loyers bas et une sécurité sociale.
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20:01
SIGMAG a dix ans, donnez-nous votre avis...
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiquePrenez quelques minutes pour évaluer les contenus de SIGMAG et les faire évoluer selon les souhaits, en précisant par exemple le(s) thème(s) d'article que vous aimeriez lire dans le magazine. Merci pour vos commentaires ! Si vous ne voyez pas le questionnaire ci-dessous, cliquez sur ce lien :
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18:34
ArcMap entre en phase de support mature en mars 2024
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Cette année, l'application ArcMap va fêter ses 25 ans, un âge très honorable dans le monde des logiciels. Lors de la sortie de la version 10.8.1 il y a 4 ans, dans cet article arcOrama, je vous précisais l'avenir et le cycle de vie de la dernière version d'ArcGIS Desktop (ArcMap, ArcCatalog, ArcScene, ...). Depuis, Esri et ses distributeurs ont régulièrement communiqué sur les phases de support d'ArcGIS Desktop d'ici la fin de support de la version 10.8.2 en 2026.
Dans cet article, je vous propose un récapitulatifs de ces différentes phases qui vont marquer la fin de vie d'ArcGIS Desktop et donc d'ArcMap afin de vous aider à migrer vos flux de travail ArcMap vers ArcGIS Pro si cela est encore d'actualité pour vous.
Points clés concernant les jalons de support mature d'ArcMap
Tout d'abord les 3 points suivants sont à retenir :- Les licences perpétuelles (fixes ou flottantes) d'ArcGIS Desktop continueront de fonctionner au delà de la date de fin de support du logiciel. Vous ne serez évidement pas coupé de votre logiciel. Les licences par abonnement d'ArcGIS Desktop seront converties en tant que types d'utilisateurs nommés ArcGIS incluant ArcGIS Pro à partir du renouvellement le 1er juillet 2024. Ces types d'utilisateurs nommés n'incluent pas ArcGIS Desktop.
- Il convient de rappeler que durant une phase de support mature, vous avez uniquement accès au support technique pour ArcGIS Desktop et qu'il n'y plus de mises à jour logicielles, de correctifs logiciels et les correctifs ne sont plus. Le cycle de vie d'ArcMap est une ressource importante à connaître et à partager avec vos collègues au sein de votre organisation.
- Aucune licence ArcGIS Desktop supplémentaire ne sera vendue à partir du 1er juillet 2024. Si vous avez besoin de licences supplémentaires, vous devez demander un devis avant le 1er juillet. Après cette date, vous pourrez acheter l'accès à ArcGIS Pro via un type d'utilisateur ou avec une licence autonome ArcGIS Pro.
Que signifie Support Mature ?
Les licences perpétuelles ArcGIS Desktop continueront de fonctionner. Vous ne serez pas coupé du logiciel. Les licences d'abonnement à ArcGIS Desktop seront indiquées en tant que types d'utilisateurs incluant ArcGIS Pro à partir du renouvellement le 1er juillet. Les types d'utilisateurs n'incluent pas ArcGIS Desktop.
Vous devez donc retenir qu'à partir du 1er mars 2024 vous aurez uniquement accès au support technique pour ArcGIS Desktop et que les mises à jour logicielles et correctifs logiciels cesseront. Le cycle de vie du produit ArcMap est une ressource importante à étudier et à partager avec vos collaborateurs si ArcGIS Desktop est encore utilisé dans votre organisation.Aucune licence ArcGIS Desktop supplémentaire ne sera vendue à partir du 1er juillet 2024. Si vous avez besoin de licences supplémentaires, vous devez demander un devis avant le 1er juillet. Après cette date, vous pourrez acheter l'accès à ArcGIS Pro via un type d'utilisateur ou avec une licence autonome ArcGIS Pro.
Depuis 2020, vous pouvez disposer de toute les informations sur la continuité du support d'ArcMap. Cette page fournit d'excellentes ressources disponibles pour vous aider à passer d'ArcMap à ArcGIS Pro et si vous fréquentez les pages d'aide d'ArcGIS Desktop, vous avez peut-être remarqué qu'en février 2023, Esri a commencé à inclure une bannière d'informations guidant les utilisateurs d'ArcMap vers le cycle de vie du produit et les ressources de migration d'ArcGIS Pro. Ces bannières seront mises à jour en mars pour refléter l'état de maturité du support d'ArcGIS Desktop.
L'année dernière, deux e-mails ont été envoyés aux principaux contacts de maintenance des clients ArcGIS Desktop disposant de licences d'abonnement pour les informer que les devis de renouvellement concerneront le type d'utilisateur qui inclut ArcGIS Pro à un niveau correspondant à leur licence ArcGIS Desktop (Basique, Standard ou Avancé). ).L'année dernière, deux e-mails ont été envoyés aux contacts principaux de maintenance des clients ArcGIS Desktop disposant de licences d'abonnement pour les informer que les devis de renouvellement concerneront le type d'utilisateur qui inclut ArcGIS Pro à un niveau correspondant à leur licence ArcGIS Desktop (Basique, Standard ou Avancé).
Un e-mail est envoyé aux contacts principaux de maintenance des clients ArcGIS Desktop disposant de licences perpétuelles en cours de maintenance, comprenant les informations ci-dessous sur l'arrêt des ventes d'ArcGIS Desktop.
Arrêt des ventes d'ArcGIS Desktop
Comme indiqué dans les points clés ci-dessus, en raison du passage à un support mature et du fait qu'il n'y aura plus de versions d'ArcGIS Desktop, les devis pour des licences ArcGIS Desktop supplémentaires seront interrompus le 1er juillet 2024.
ArcGIS Pro a été lancé il y a 9 ans et est devenu l'application SIG de bureau la plus riche et la plus performante du marché, loin devant nombre d'applications SIG y compris ArcMap. Depuis des années déjà, nous avons déjà vu de nombreux utilisateurs d'ArcGIS Desktop migrer leurs flux de travail vers ArcGIS Pro, en intégrant au passage tous les avantages d'être totalement intégré avec ArcGIS Online et ArcGIS Enterprise dans leur travail.
La maintenance de vos licences ArcGIS Desktop vous donne un accès continu à ArcGIS Pro et à ArcGIS Online ou ArcGIS Enterprise via le type d'utilisateur "Creator" que vous obtenez dans le cadre de la maintenance de votre bureau. À mesure que nous nous rapprochons du retrait d'ArcGIS Desktop, vous pourrez choisir d'aller de l'avant avec des types d'utilisateurs qui incluent ArcGIS Pro (et accéder ainsi au système ArcGIS complet, y compris ArcGIS Online/ArcGIS Enterprise, avec tout une suite d'applications web ArcGIS pour mieux collaborer) ou bien une licence perpétuelle ArcGIS Pro Standalone (qui n'inclut pas d'utilisateur "Creator").
Accompagner votre transition
Il est compréhensible pour Esri que ce changement, bien qu'annoncé depuis plus 4 ans maintenant, puisse soulever des questions. Sachez que pour vous accompagner à chaque étape de ce processus de migration, vous pouvez soumettre vos questions à l'équipe du succès client d'Esri France ou à votre interlocuteur commercial ou technique Esri France habituel.
Ressources
La page intitulée "Migrer d'ArcMap vers ArcGIS Pro" fait partie de l'aide d'ArcGIS Pro et sert de point d'entrée pour accéder à l'ensemble des ressources incontournables pour guider votre transition.
Comme de nombreux utilisateurs avant vous, vous connaître peut-être une période de chevauchement pendant laquelle vous travaillerez à la fois dans ArcMap et ArcGIS Pro. Si vous faites partie de ces utilisateurs, assurez-vous de consulter les ressources d'apprentissage disponibles directement depuis la page d'accueil de l'application ArcGIS Pro.
En résumé, le passage en phase de support mature constitue une étape clé dans la longue vie d'ArcMap et il est important de comprendre comment cela peut (ou non) affecter votre activité SIG professionnelle. Si vous avez des questions sur les licences et leur commercialisation alors que nous approchons de cette date clé, vous devez rapidement vous rapprocher des équipes Esri qui sont là pour vous aider.
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14:50
Découvrir le Paris de la Révolution française en arpentant la ville
sur Cartographies numériques
Le « Parcours Révolution » proposé par la Ville de Paris se présente comme un parcours physique, reconnaissable à ses 16 lutrins positionnés dans divers quartiers de la capitale ainsi qu’à sa centaine de clous à bonnet phrygien, fichés dans le sol. Il est également conçu comme un parcours numérique, accessible via une application nomade téléchargeable sur Google Play et Apple Store. Ces dispositifs s’accompagnent de dépliants en papier destinés aux publics éloignés des cultures numériques. En tout, le Parcours propose 123 points d’intérêt répartis dans la ville. Situé à proximité d’une trace plus ou moins visible de la Révolution française, chacun d’entre eux propose de raconter l’histoire du lieu grâce à un petit texte, mais aussi à des images du XVIIIe siècle, toutes issues des collections du Musée Carnavalet-Histoire de Paris. Des photographies permettent, quant à elles, d’entrer dans les lieux inaccessibles au public ou de grossir des détails éloignés.Sur les traces de la Révolution à Paris (Parcours Révolution - Ville de Paris)
À la demande d'Entre-Temps, Guillaume Mazeau, maître de conférences en histoire moderne à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, présente comment a été élaboré et développé cet ensemble de promenades qui dépaysent Paris, qui dépaysent la Révolution.
« La Révolution française dans la rue, une expérience entre enquête et médiation » par Guillaume Mazeau :
- Épisode 1. Aux origines du parcours : ne pas refuser de jouer
Dans un premier épisode, il revient sur les origines du projet. L'occasion de réfléchir à la place de l'historien·ne vis à vis des politiques de mémoire, de s'arrêter sur notre rapport aux lieux, à leur histoire et aux émotions qu'ils peuvent susciter. - Épisode 2. Réécrire l'histoire de la Révolution française entre historiographie et médiation numérique
Il analyse dans ce 2e épisode comment il a été nécessaire de repenser les façons d'écrire cette histoire, au prisme de la crise de l'histoire "révolutionnaire" et des formats numériques du Parcours. - Épisode 3. Rouvrir l'histoire, à la recherche de nouveaux récits
Au programme de ce 3e épisode, la mise en place et en texte des 120 points d'intérêt du Parcours. Quels lieux montrer ? Sur quelles figures insister ? D'un impact de boulet reconstitué place de la Bastille aux ossements de prêtres conservés à l'Institut catholique de Paris, de la citoyenne Lausanne du faubourg Saint-Antoine aux actions des libres de couleur sur la place Dauphine, le Parcours retrace un tableau tout en contrastes, dans l'espace et dans le temps. - Épisode 4. – Continuer à se déplacer
Pour clore ce parcours réflexif, Guillaume Mazeau évoque les publics touchés par l'application, le site et les visites. Comment s'approprient-ils le récit qui leur est proposé ? Quels usages scolaires peuvent être faits du Parcours ? Et en quoi les participant·e·s aux visites guidées relancent et ravivent les questions que se pose l'historien sur la Révolution française ?
Pour compléter
Ce parcours est l'occasion de signaler une ancienne carte murale de l'historien Jean-Paul Bertaud qui décrit Paris pendant la Révolution. Le centre de Paris densément bâti (en rose) y est opposé au Paris des faubourgs peu construits (en jaune) et aux villages et aux champs tout autour (en vert). Cette carte murale à usage scolaire éditée chez Armand Colin est sans doute largement inspirée de cartes de l'époque comme par exemple le Plan de Paris (1789) de M. Pichon, ingénieur géographe. On voit aussi nettement apparaître ce Paris intra muros de l'époque révolutionnaire sur un Plan de la Ville de Paris (1791) "avec sa nouvelle enceinte, levé géométriquement sur la Méridienne de l'Observatoire".
En 1989, au moment de la commémoration du Bicentenaire de la Révolution, François Jarraud à l'époque professeur d'histoire-géographie, avait conçu un logiciel sur le Paris révolutionnaire. Ce ludiciel en noir-et-blanc qui fonctionnait sous DOS appartient aujourd'hui à l'histoire de l'outil informatique. Pour les amateurs de oldies, on le trouve encore sur le site Abandonware (le logiciel nécessite Dosbox pour tourner sous Windows).
On voit ainsi que la notion de parcours pédagogique dans le Paris révolutionnaire peut emprunter différentes voies et que celles-ci peuvent venir considérablement enrichir les "pédagogies de l'histoire".
Articles connexes
Parcours guidé dans le plan routier de la ville et des faubourgs de Paris en 1789 (Gallica - BnF)
L'histoire par les cartes : Gens de la Seine, un parcours sonore dans le Paris du XVIIIe siècle
L'histoire par les cartes : une cartographie historique du Paris populaire de 1830 à 1980
Les plans historiques de Paris de 1728 à nos jours (APUR - Cassini Grand Paris)
Plans et rues de Paris d'hier à aujourd'hui
Découvrir Paris à travers les grands classiques de la littérature
L'histoire par les cartes : cartes et ressources sur la Commune de Paris
L'histoire par les cartes : la carte archéologique de Paris
L'histoire par les cartes : les photographies de la Commission du Vieux Paris
Le projet JADIS pour ajouter des données sur des cartes historiques géolocalisées. L'exemple des plans de Paris
Les story maps : un outil de narration cartographique innovant ?
- Épisode 1. Aux origines du parcours : ne pas refuser de jouer
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14:17
geomatico: Desarrollo de un gemelo digital para la gestión del agua
sur Planet OSGeoLa escasez de agua en la agricultura, agravada por el cambio climático, amenaza la seguridad alimentaria. Los sistemas de riego eficientes son clave para mitigar estos desafíos, optimizando el uso del agua y fortaleciendo la resiliencia agrícola.
Entre 2022 y 2023 hemos desarrollado un gemelo digital de gestión del agua en agricultura junto al IRTA (Instituto de Investigación y Tecnología Agroalimentaria). En la aplicación web se pueden monitorizar y analizar casi 300 mil parcelas simbolizadas semanalmente por 17 indicadores (unos 250 millones de registros por año) que permiten optimizar la irrigación.
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9:25
Four Seasons in One Map
sur Google Maps ManiaChronolog is an interactive map of timelapse photographs designed to help monitor the environment. It is a citizen science project which encourages organizations and individuals to engage with nature while recording and monitoring the changing environment.The Chronolog map allows you to explore timelapse photos of nature which have been captured around the USA (and one or two in other countries
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21:00
QGIS España: Publicación del libro Introducción a los Sistemas de Información Geográfica con QGIS
sur Planet OSGeoPublicada la Segunda Edición del Libro “Introducción a los Sistemas de Información Geográfica con QGIS” de Federico GazabaUna pregunta recurrente en redes sociales es ¿Dónde puedo encontrar un manual para aprender a usar QGIS? o ¿Cómo puedo iniciarme en el uso de los Sistemas de Información Geográfica (SIG)? Hace aproximadamente 3 años Federico Gazaba publicaba la pimera versión de su libro “Introducción a los Sistemas de Información Geográfica con QGIS” un manual que en su momento fue de referencia obligada para las personas usuarias de QGIS en habla hispana pero que con el paso del tiempo había quedado desactualizado debido a la aparición de nuevas versiones de QGIS.
Recientemente el autor nos comentaba que se estaba preparando una actualización de libro y no nos ha hecho esperar mucho, el 22 de Febrero nos anunciaba en el canal de Telegram de QGIS en español que la versión 2.0 había sido publicada: _“Hola amigos #geoinquietos !. Lo prometido es deuda, les traigo la versión 2.0 de mi libro libre “Introducción a los Sistemas de Información Geográfica con QGIS”. Esta versión actualiza los contenidos de la versión anterior a QGIS 3.34 Prizren.".
El libro ha sido publicado bajo la licencia CC BY-SA 4.0 lo que permite que sea compartido o modificado, para cualquier proposito, con libertad mientras se respete la atribución al autor y se comparta con la misma licencia. Se puede descargar aquí o aquí el repositorio del libro se puede encontrar en GitHub
Este libro es otro ejemplo que demuestra que los proyectos de software libre y open source permiten compartir y colaborar en este tipo de iniciativas donde podemos participar de forma activa y generar grandes sinergias en sus aplicaciones y desarrollos en beneficio, tanto de las comunidades que las desarrollan como las que las usan.
Federico Gazaba es profesor de Matemáticas y Técnico Maestro Mayor de Obras y actualmente es docente en el Instituto de Formación Docente y Técnica 122 “Presidente Illia” de Pergamino (Provincia de Buenos Aires, Argentina) y Director de Sistemas de Información Georreferenciada de la Municipalidad de Pergamino. Desde el año de 2013 es usuario de QGIS y es un entusiasta del las tecnologías libres y de los datos espaciales abiertos. La creación del manual nace de la necesidad de impartir cursos de QGIS a sus colegas de municipalidad y es el resultado de la sistematización de esas enseñanzas. Desde 2016, de forma ininterrumpida, imparte cursos introductorios a los SIG para diferentes instituciones.
Puedes seguir a Federico en la siguientes redes sociales:
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11:13
Geo-BIM for the Built Environment
sur Open Geospatial Consortium (OGC)OGC holds three Member Meetings each year – one each in Europe, the Americas, and Asia Pacific – where OGC’s Standards Working Groups (SWGs), Domain Working Groups (DWGs), Members, and other geospatial experts meet to progress Standards, provide feedback on initiatives being run by the OGC Collaborative Solutions and Innovation (COSI) Program, hear about the latest happenings at OGC, network with the leaders of the geospatial community, and see what’s coming next. The meetings are open to the public, though there are some closed sessions, and provide a great way to start to get to know – and get involved with – the OGC Community.
The next OGC Member Meeting, OGC’s 128th, will be held at TU Delft on March 25-28, 2024. Fitting for TU Delft and the Netherlands, the theme of the meeting will be ‘Geo-BIM For the Built Environment.’ Meeting sponsorship is generously provided by TU Delft and Geonovum, with support from GeoCAT and digiGO. In the lead up to the event, Geonovum produced a short video highlighting what to expect in Delft.
“In many respects, the Netherlands is the world leader in the use of advanced integration of building data and detailed urban mapping, as well as the use of Open Standards and Open APIs to interface with those data to provide citizen services,” commented Scott Simmons, OGC’s Chief Standards Officer.
“More specifically, TU Delft is a world-leading research institute in Geo-BIM integration, while Geonovum, another meeting sponsor, has done so much to promote the effective use of Open Standards in government & e-government, including documenting proof that Open Standards make things work better, faster, and cheaper.”
Under the theme, the OGC Member Meeting will include several sessions related to the built environment and the integration of Geospatial and Building Information Models (BIM). Such sessions will include: a Geo-BIM Summit that non-members are encouraged to attend; a Built Environment Joint Session; and a Land Administration Special Session.
On top of these, there will be a meeting of the OGC Europe Forum, sessions on Geospatial Reporting Indicators, Observational Data, the ‘Today’s Innovations, Tomorrow’s Technologies’ Future Directions Session, networking opportunities, and the usual host of OGC Working Group meetings on topics ranging from APIs to agriculture, and the sea-floor to space. Most sessions are open to the public, with special encouragement for non-OGC-members to attend the Geo-BIM Summit and any of the Domain Working Group meetings. As always, the opening session will consist of presentations from local organizations that showcase the world-leading geospatial technologies seen in The Netherlands.
Dr. Rune Floberghagen, Head of the Science, Applications and Climate Department in the Directorate for Earth Observation Programmes, ESA, was one of the local experts that presented at the opening session of the 125th Member Meeting in Frascati, Italy. Geo-BIM SummitThe Geo-BIM Summit will run on Wednesday afternoon and will focus on the integration of geographic data and Building Information Models (BIM).
“In the Building Information Modeling (BIM) world, geographical data about the environment of the construction is becoming increasingly important,” said Prof. Dr. Jantien Stoter, Chair of the OGC 3D Information Management DWG, and part of the organizing committee for the Geo-BIM session. “Similarly, in the Geospatial domain, the need for detailed information about buildings is also growing. There are many initiatives to develop solutions that better facilitate this integration, including projects that realize this integration for a specific use case; automated conversion of data between the two domains; methods to georeference BIM files in a standardized and straightforward way; and profiles for standards that establish the integration for specific use-cases. The Geo-BIM session will present such initiatives in order to address the question of “what more is needed to improve the integration?” This will further shape the OGC & buildingSMART Road Map on integration of both domains, and contribute to the best practices currently under development.”
Built Environment Joint SessionTwo sessions on the Built Environment will run on Wednesday morning. The first is entitled “The Future of Land Infra” and will discuss what more we need to do in the standardization of built infrastructure data, in terms of updating, improving or adding to the OGC Standards Portfolio, and will include input from several OGC activities: the Integrated Digital Built Environment (IDBE) subcommittee, LandAdmin DWG, Model for Underground Data Definition and Integration (MUDDI) SWG; and the Geotech Interoperability Experiment, as well as the wider OGC Collaborative Solutions and Innovation (COSI) Program.
The next session is entitled “What Urban Digital Twins mean to OGC” and will focus on the wider work that OGC is doing in the space and how the Digital Twins DWG can help harmonize it. The session will also include a cross-working-group discussion on the in-progress OGC Urban Digital Twins Position Paper, as well as a presentation by Binyu Lei, researcher at the Urban Analytics Lab at the National University of Singapore, entitled “Humans as Sensors in Urban Digital Twins.”
Attendees at the 123rd Member Meeting in Madrid, Spain. Land Admin Special SessionFollowing the opening session and keynotes on Monday is a Land Admin special session run by the OGC Land Administration (Land Admin) DWG.
“Worldwide, effective, and efficient land administration is an ongoing concern, inhibiting economic growth and property tenure,” commented Eva-Maria Unger, co-chair of the OGC Land Admin DWG. “Only a limited number of countries globally have a mature land information system.”
The Land Admin Special Session will also be the first meeting of the soon-to-be-formed OGC Land Administration Domain Model (LADM) SWG.
“This is a fairly significant session as we’re going to use it to kick off an effort to create an encoding Standard for Land Administration data that’s globally relevant,” said Scott Simmons. “It’s great to be holding it in Delft because Kadaster, the Netherlands’ Cadaster, Land Registry and Mapping Agency, is one of the world leaders in providing expertise on use of Land Administration and Land Administration modernization across not just Europe but for developing nations around the world. So it’s an opportunity to bring together their expertise along with representatives from all levels of sophistication of land management around the world.”
Peter van Oosterom continued: “The new SWG will work on the Land Administration Domain Model (LADM) Implementation Standard in OGC, which will be included as part 6 of the existing ISO 19152 series of Standards. This sounds modest, but is actually a big step forward. The LADM Standards today are only Conceptual Models, which means that countries implementing them have to find their own solutions for developing their country file, technical encodings, code list values, processes/workflows, etc.
“An open LADM Implementation Standard will not only reduce implementation costs by providing free, proven technical encodings, but would also enable solution vendors to provide commercial off-the-shelf software that works across multiple countries/jurisdictions, rather than having to adapt it to each unique approach.”
Networking, social, and other sessionsIn addition to these sessions, the 128th OGC Member Meeting will also see meetings of over 50 different working groups or committees covering almost the full breadth of geospatial applications and domains, as well as several social and networking events.
Registration remains open, as do sponsorship opportunities. Non-members are encouraged to attend. To see the full agenda, visit ogcmeet.org.
As well as the host of technical content and informative presentations, OGC Member Meetings also include networking events, such as the Wednesday night dinner.The post Geo-BIM for the Built Environment appeared first on Open Geospatial Consortium.
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9:32
The Cyclotron
sur Google Maps ManiaThe West Midlands Cyclotron uses cycle counters installed on the roads in the West Midlands to provide a near real-time data visualization of the number of cyclists using individual roads in areas of Birmingham, Coventry and Wolverhampton (and many roads in between). The most striking aspect of the Cyclotron is the design of the LED themed data dashboard. This dashboard takes its cue from the
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7:00
[Equipe Oslandia] Augustin, développeur sénior
sur OslandiaChaque mois, nous avons le plaisir de vous présenter un membre de l’équipe, aujourd’hui c’est Augustin qui a répondu à nos questions
Diplômé d’un double cursus ingénieur Supelec à Gif-sur-Yvette et d’un Master of Science « Advanced Computing » à Londres, Augustin commence en régie en tant que développeur Java avant de partir dans une agence web parisienne dans laquelle il découvre le front, à une époque où « JavaScript montait très fort ». C’est aussi l’occasion d’acquérir des compétences DevOps via des missions de gestion de la production, mise en production.
En 2015, il quitte son emploi en même temps que la sortie de Firefox OS pour travailler avec une start-up spécialisée dans la personnalisation de l’OS et du roam cooking pour les opérateurs … dont l’aventure se termine prématurément avec l’abandon par Mozilla de Firefox OS … En 2016, il rejoint Oslandia, sans connaitre les SIG mais « convaincu par les choix open source » de l’entreprise.
Augustin travaille beaucoup sur les projets Javascript pour la 3D avec WebGL et maintient deux librairies pour lequelles Oslandia est très impliqué : Py3dtiles (librairie Python) et Giro3D (librairie webGL).
Ses projets emblématiques
Adepte également du PostgreSQL et PostGIS, il est un soutien pour ses collègues sur les problématiques DevOps ou l’optimisation de requêtes PostGIS, un volet DevOps qu’il a également mis à contribution avec Ansible, pour l’infra Oslandia.- Projet avec le Shom (Service hydrographique et océanographique de la Marine) : conception de la base de données et des routines d’exploitation d’un référentiel des profondeurs sous marines (mesures batimétriques).
- Développement d’un visualisateur 3D web pour un leader du transport en France avec des données de bâtiment, d’imagerie, des nuages de point, …
Ansible / Javascript / Typescript / webGL / PostGIS / univers Rust / Python
Sa philosophie« Se questionner sans cesse pour produire du code pérenne, du code propre pour rendre service aux autres… et à moi-même. J’aime aussi beaucoup aider mes collègues et venir en soutien. »
Oslandia en 1 motLiberté dans le sens d‘autonomie et d’esprit d’initiative et d’action mais aussi liberté en lien avec le logiciel libre : la liberté de construire sur ce qu’on produit !
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1:54
A sneak peak at the first SWOT hydrology products
sur Séries temporelles (CESBIO)Pièce jointe: [télécharger]
SWOT, the Surface Water and Ocean Topography mission was successfully launched more than a year ago (Dec 16, 2022). Hydrologists are eagerly awaiting the release of SWOT products, which will allow them to study for the first time the water levels variations of more than a million lakes and rivers around the globe!
A first batch of products from the SWOT mission has been released by NASA and CNES. As explained in the release note, these SWOT products are « at a very early stage, with known limitations ». The hydrology products span only two weeks in April 2023. However, I could not resist to have a look at the data… Hence I downloaded some level 2 hydrology products via the CNES Hydroweb.next portal ( [https:]] ). The datasets are distributed as shapefile and convenient to use. The Level 2 High Rate River Single Pass Vector Product provides river data – including water surface elevation of the river. Here is an example of the surface water elevation of the Oranje river in southern Africa.
Water surface elevation of the Oranje river on April 07, 2023 from SWOTIt is quite amazing to be able to map a river’s elevation profile from satellite measurements. Such data is key to estimate the river discharge [Durand et al] and therefore should enable us to make considerable progress in our understanding of the terrestrial water cycle. SWOT is expected to measure river surface elevation with an accuracy of approximately 10 cm at 100–200 m along-stream resolution [Langhorst et al.]. Several teams are already working to evaluate the actual accuracy depending on the river morphology.
Similarly, the High Rate Lake Single Pass Vector Product provides the surface elevation of lakes. To begin with, I picked four artificial lakes in northern India near Varanasi (Benares). In this case, the lake polygons match well the water surfaces that can be seen in a Sentinel-2 image acquired four days earlier.
Selected lakes in northern India. Background image is a Sentinel-2 false color image captured on 2023 April 05. White lines indicate the lake polygons provided in the SWOT lake product of 2023 April 09.In SWOT products, each lake has an ID. A lake’s attributes including its mean water surface elevation (wse) and uncertainty (wse_u) can be retrieved in a terminal using ogrinfo from a level 2 file:
file="SWOT_L2_HR_LakeSP_(...).zip" id="4520103033" # lake ID
ogrinfo /vsizip/$file -nomd -al -geom=NO -where "lake_id='${id}'"
This is the output from all available preliminary SWOT products at these four Indian reservoirs.
The top panel corresponds to the largest lake (Pipari dam): the data indicate that the water level dropped by 2 meters between April 21 and April 26 (from 168.5 to 166.5 m). This agrees well with the time series of Sentinel-2 images below, which show a reduction of the surface water area from April 20 to May 05 after a period of constant lake area. document.createElement('video'); [https:]]I am a bit more familiar with lakes in the French Pyrenees. There are many cases where SWOT lake polygons (red polygons in the map below) are off the actual lake position, both in the « obs » and « prior » products. Be careful if you use SWOT data in mountain regions!
Some lakes in the north of the map (Bassiès) are correctly geolocated, especially this one (Etang Majeur de Bassiès, 21 hectares): Here, we see a quick increase of the water level after April 21, which is consistent with the snowmelt that happened over the same period as shown below from Sentinel-2 imagery. [https:]]Below is another example in western France near Pressac, where there are many small lakes and ponds. From the SWOT product, I selected 23 lakes with areas ranging from 3 to 19 hectares, all well located.
All lakes follow the same decreasing trend. This may reflect the evolution of the regional water table but a 2 meters drop in two weeks only? Its seems really big for natural lakes. In conclusion, it is really exciting to have access to some SWOT products – even preliminary. Hydrology products are easy to obtain and to work with. This first release has indeed some limitations in lake geolocation but NASA and CNES engineers are probably working hard to improve the data. I look forward to the next release! __Top picture: Oranje river by yakovlev.alexey, CC BY-SA 2.0 [https:]] , via Wikimedia Commons
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12:30
GeoTools Team: GeoTools 29.5 released
sur Planet OSGeo GeoTools 29.5 releasedThe GeoTools team is pleased to announce the release of the latest maintenance version of GeoTools 29.5:geotools-29.5-bin.zipgeotools-29.5-doc.zipgeotools-29.5-userguide.zipgeotools-29.5-project.zipThis release is also available from the OSGeo Maven Repository and is made in conjunction with GeoServer 2.23.5 and GeoWebCache 1.23.4. We are
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10:22
The World's First OpenStreetMap
sur Google Maps ManiaThe only thing I love more than exploring historical vintage maps of the world is exploring annotated, interactive versions of ancient world maps. Now thanks to the Museo Galileo I can browse an annotated version of the world's greatest medieval map - the Fra Mauro World Map.The Annotated Fra Mauro World Map is an interactive zoomable version of the famous 1450 Venetian map of the world. The
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20:17
QGIS Blog: Save the date & call for contributions: QGIS user conference and contributor meeting in Bratislava
sur Planet OSGeoWe are happy to announce that QGIS User Conference will take place on 9-10 September 2024 in Bratislava, Slovakia.
The traditional Contributor Meeting will be held right after the conference on 11-13 September 2024 at the same venue.
Learn more about the user conference and the contributor meeting at the event’s web site: [https:]]
The call for papers for the user conference is now open – you can submit proposals for talks and workshops by 31 March 2024:
[https:]]
We have also started call for sponsors, with sponsorship opportunities at various levels. More details here:
[https:]]
User Conference
The QGIS User Conference is an annual event that brings together users and developers of QGIS. The conference provides an opportunity for attendees to learn about the latest developments in QGIS, share their experiences with others, and network with other QGIS users and
developers.
Contributor Meeting
QGIS Contributor Meetings are volunteer-driven events where contributors to the QGIS project from around the world get together in a common space – usually a university campus. During these events, contributors to the QGIS project take the opportunity to plan their work, hold face-to-face discussions and present new improvements to the QGIS project that they have been working on. Everybody attending the event donates their time to the project for the days of the event.
As a project that is built primarily through online collaboration, these meetings provide a crucial ingredient to the future development of the QGIS project. The event is planned largely as an ‘unconference’ with minimal structured programme planning.For more details and to sign up, please visit the corresponding wiki page [https:]]
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19:10
Paysans français, paysans indiens : mêmes combats ?
sur Les cafés géographiquesA quelques jours du Salon de l’Agriculture, le monde agricole français (et même européen) n’en finit pas de manifester son mécontentement. Au même moment, à des milliers de kilomètres de là, des dizaines de milliers de paysans entendent profiter de la tenue prochaine des élections générales en Inde pour converger vers New Delhi afin de protester contre leur situation actuelle. Les contextes sont certes différents mais néanmoins il existe des aspects communs aux deux événements, des aspects relatifs aux raisons de la colère et aux méthodes utilisées pour faire pression sur les autorités.
En France comme en Inde, la méthode choisie pour inciter les pouvoirs publics à tenir compte des revendications du monde agricole vise l’efficacité et le symbole. L’efficacité en bloquant les routes en France, en organisant une nouvelle marche (après celle de 2020-2021) vers New Delhi en Inde. Le symbole avec les tentatives de bloquer les lieux du pouvoir (Paris d’un côté, New Delhi de l’autre). La prise en compte rapide des revendications paysannes en France comme en Inde a empêché la coagulation des mécontentements provenant d’autres secteurs d’activité et des oppositions politiques.
En ce qui concerne les raisons de la colère il y a de nombreuses différences parmi lesquelles l’importance économique et sociale des deux mondes agricoles. En Inde, ce sont « les deux tiers de la population (qui) dépendent directement ou indirectement des revenus agricoles pour leur subsistance » (Le Monde, 20 février 2024). En France, l’agriculture représente certes le troisième excédent commercial après l’aéronautique et les cosmétiques mais sa part dans le PIB français n’était que de 3,4% en 2019 et le nombre d’agriculteurs exploitants est désormais inférieur à 400 000.
Relevons cependant quelques traits communs aux deux situations agricoles et donc à la nature des revendications paysannes en France et en Inde. Cela n’est pas chose aisée car la situation agricole dans chacun des deux pays est marquée par une forte hétérogénéité. Comme en témoigne la diversité du syndicalisme agricole français malgré la prédominance de la FNSEA qui « tient les campagnes » en participant à une sorte de « cogestion » du système agricole national dominé par l’agriculture intensive. Comme en témoigne également la réponse du gouvernement indien qui propose de soutenir la diversification agricole, ce dont devraient profiter le Penjab et l’Haryana, deux riches régions agricoles, productrices de riz et de blé, d’où est partie la nouvelle marche vers la capitale.
Deux traits communs principaux sont observables dans les crises « paysannes » en Inde et en France : la question du revenu des agriculteurs et la question environnementale. A l’évidence, le cœur de la colère paysanne réside, ici et là, dans le niveau du revenu et la volatilité des cours. En Inde, la crise de 2020-2021 avait pour objectif le retrait de trois lois de libéralisation des marchés agricoles. Toutes les promesses n’ayant pas été tenues, la crise agraire actuelle s’inscrit dans le même sillon que la crise précédente avec la revendication de tarifs minimum pour toutes les productions agricoles. Du côté français, la demande d’un revenu « décent » pour l’ensemble des agriculteurs constitue la priorité n°1 de la panoplie des revendications. Pour cela, la dérogation aux 4% de terres non cultivées ainsi que le respect de la loi EGalim (Loi « pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et une alimentation saine et durable », promulguée en 2018) apparaissent comme des réponses favorables tout en étant insuffisantes.
Deuxième trait commun à l’origine, au moins partielle, de la crise agraire dans les deux pays : la question environnementale. En Inde, les difficultés de la grande majorité des paysans se sont intensifiées avec le changement climatique et notamment le caractère de plus en plus erratique des précipitations et de la mousson. « Le modèle issu de de la révolution verte instaurée dans les années 1960 n’est plus tenable » (Le Monde, 20 février 2024). Le mode de production intensif a eu des conséquences environnementales catastrophiques : pollutions durables des sols, assèchement des nappes phréatiques, etc. D’où des solutions envisagées comme le soutien financier à la diversification de la production. Mais c’est tout un mode de production qui est à repenser. En France, la question environnementale se déploie largement à l’échelle européenne avec le Green Deal (Pacte vert), cet ensemble législatif qui doit permettre à l’Union européenne de respecter l’accord de Paris et donc de limiter les effets du réchauffement climatique. Aujourd’hui, le vent est devenu favorable à la « pause réglementaire ». La flambée des prix de l’énergie, la hausse des taux d’intérêt et la fin du gaz russe bon marché ont donné le signal des contestations du Pacte vert européen. En accédant aux demandes de la FNSEA, en reculant sur la protection de la santé et de la biodiversité, le gouvernement favorise d’une certaine façon les critiques sur la transition agroécologique d’autant plus que les sondages sur les élections européennes de juin 2024 semblent conforter les appels à une pause écologique et à la « souveraineté alimentaire ».
Daniel Oster, février 2024
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17:55
Atlas climatique interactif Copernicus
sur Cartographies numériques
L'Atlas climatique interactif Copernicus (Atlas C3S) est une application web sur le changement climatique qui permet une exploration des tendances passées et des changements projetés du climat à l'échelle mondiale. L'Atlas C3S est organisé en trois panneaux principaux (information, sélection et affichage) :- le panneau d'information (a) affiche les informations (titre et description complète) de la sélection
- le panneau de sélection (b) permet de sélectionner l'ensemble de données, la variable/l'indice et la dimension d'analyse
- Le panneau d'affichage (c) affiche différents produits climatiques interactifs associés à la sélection, tels que des cartes montrant des informations spatiales ou des séries chronologiques, des bandes et d'autres produits affichant des informations régionales pour des périodes prédéfinies.
Le principal intérêt de cet Atlas est de faciliter l'évaluation changement climatique à l'échelle mondiale et par grandes zones régionales à partir d'indicateurs simples et pour différents périodes. L'Atlas C3S comprend des informations sur 30 variables et indices (extrêmes) organisés en différentes catégories (chaleur et froid, humidité et sécheresse, vent et rayonnement, neige et glace, océan et circulation). Il est possible d'envisager différents scénarios de réchauffement climatique (à +1,5°, 2°, 3° et 4°). Le choix « Tendances » permet de sélectionner deux périodes (1950-2020 et 1991-2020) comme références pour analyser des tendances à long ou moyen terme.
Pour les jeux de données de projection climatique, outre les périodes historiques communes aux observations et aux réanalyses, la dimension « climatologie et changements » permet d'explorer les périodes futures (long, moyen et long terme, définies comme 2021-40, 2041-60 et 2081-2100) dans différents scénarios d'émissions (RCP ou SSP selon l'ensemble de données), avec des mois ou des saisons d'intérêt spécifique. Une dimension supplémentaire de l’analyse concerne les « niveaux de réchauffement planétaire » (GWL) pertinents pour les politiques, largement utilisés dans le rapport AR6 du GIEC.
L'Atlas C3S s'inspire de l' Atlas interactif du GIEC (GIEC-WGI) et peut être considéré comme son héritier direct.
Il est prévu que l’ensemble des données de l’Atlas climatique soit bientôt publié dans le Copernicus Climate Data Store. Voir en attendant les données déjà mises à disposition sur Github par l'Atlas du GIEC
Voir le Guide de l'utilisateur pour une prise en main plus approfondie.
La France est-elle préparée aux dérèglements climatiques à l'horizon 2050 ?
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FABDEM, un nouveau modèle d'élévation dérivé des données Copernicus (GLO-30 DEM)
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14:28
Appel à communications – Journée d’étude CFC 2024 : “Cartographie et cinéma” – date butoir : 1er mai 2024
sur Cartes et figures du mondeJOURNÉE D’ÉTUDES DE LA COMMISSION D’HISTOIRE DU COMITÉ FRANÇAIS
DE CARTOGRAPHIE
Vendredi 6 DÉCEMBRE 2024
INHA – SALLE VASARI
Dans le prolongement de la rencontre organisée le 25 novembre 2023 autour des croisements entre art et cartographie, la Commission Histoire du Comité Français de Cartographie organise le 6 décembre 2024 une Journée d’études intitulée « Cartographie et cinéma ».
Comme chacun le sait, le cinéma, principal média de fiction développé au cours du XXe siècle, a été dès son origine tourné vers la représentation des espaces et des paysages les plus divers à la surface de la planète. La cartographie, sous toutes ses formes, a été mobilisée dans les multiples tentatives pour transformer les lieux et les espaces géographiques en un ensemble de supports et de foyers narratifs. La Journée d’études proposée par la Commission Histoire du Comité Français de Cartographie a pour ambition d’explorer quelques-unes des modalités de la présence de la cartographie dans l’histoire du cinéma de fiction ainsi que dans les opérations cinématographiques.
1/ Une première piste de travail sera celle, classique, de l’analyse des formes de la présence et de l’utilisation des cartes elles-mêmes (et des autres objets cartographiques, comme par exemple les globes) dans les films. Les objets cartographiques comme éléments de décor, comme images du territoire dans lequel l’action va se dérouler, ou encore comme outils de navigation, instruments de conquête militaire, ou embrayeurs d’opérations de mémorisation, etc., apparaissent à des moments stratégiques du déroulement de la narration cinématographique. Le sens et la portée de ces apparitions, parfois furtives d’ailleurs, peuvent faire l’objet d’investigations spécifiques, à partir d’études de cas.
2/ On peut envisager également un second type de contributions, au sein desquelles c’est le cinéma lui-même, dans la diversité de ses dispositifs matériels de production et de diffusion, qui ferait l’objet d’investigations et d’analyses cartographiques. Par exemple : la cartographie des lieux de tournage, la cartographie des salles de projection, ou celle des festivals, etc. Le cinéma étant envisagé ici comme une industrie culturelle obéissant à une géographie spécifique. Mais aussi, dans une perspective voisine, il est possible de s’intéresser aux lieux, réels et imaginaires, représentés dans les films, et d’en interroger la cartographie.
3/ Une troisième piste de contributions possibles est plus théorique. Il s’agit, dans cette perspective, d’interroger la cartographie, dans ses différentes formes et opérations, comme un modèle possible pour la fabrication des narrations cinématographiques, et pour la compréhension des opérations filmiques. On connaît, par exemple, l’importance de la réflexion sur les atlas pour la définition des opérations de montage chez Eisenstein. La cartographie peut-elle, de manière générale, servir de modèle aux cinéastes ?
4/ Enfin une quatrième piste de contributions, dans le prolongement de la précédente, pourrait considérer la carte (et les objets cartographiques) comme l’objet même de la fiction cinématographique, et pas seulement comme un support ou un outil à l’intérieur des stratégies narratives du cinéma.
Cette Journée d’études, qui sera également l’occasion d’inviter quelques spécialistes de la question, est ouverte à toutes et tous.
Bibliographie
- Teresa Castro, La pensée cartographique des images. Cinéma et culture visuelle, Aléas 2011.
- Tom Conley, Cartographic Cinema, The University of Minnesota Press, 2007.
- The Cartographic Journal, n° special “Cinematic Cartography”, Vol. 46, 2001, 2009.
- Cinétrens, n° spécial “Cartographie”, n° 2, 2016.
Modalités pratiques
Les propositions de communication (environ 1500 signes), accompagnées d’une courte bio-bibliographie, sont à envoyer avant le 1er mai 2024 à l’adresse suivante: catherine.hofmann@bnf.fr.
Le comité de sélection se réunira en début juin et communiquera les résultats de l’appel à communication courant juin. Les communications retenues auront vocation à être publiées dans un numéro de la revue du Comité français de cartographie, Cartes & Géomatique, au courant de l’année 2025.
Appel-a-communications-pour-la-JE-CFC-2024-Cartographie-et-cinemaTélécharger
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12:58
Enterprise Products: A Collaborative Journey with OGC
sur Open Geospatial Consortium (OGC)In the ever-evolving realm of energy infrastructure, the success of an organization is often determined by its ability to adapt, innovate, and collaborate effectively. Enterprise Products Partners, L.P. has exemplified these qualities through their ongoing relationship with the Open Geospatial Consortium (OGC).
Under the leadership of Gary Hoover, Enterprise Products’ team of geospatial technology experts has helped develop an open, international geospatial Standard for the pipeline industry, PipelineML, and deployed disruptive open-source geospatial technology.
Doing so helped Enterprise Products optimize the management of their extensive 50,000-mile pipeline network, and supports the larger goal of safe and sustainable energy infrastructure within the oil and gas sector.
Pioneering the PipelineML StandardEnterprise Products became a voting member of OGC in 2013. Shortly after, Data Architect John Tisdale rolled up his sleeves and got to work, learning OGC’s consensus-based Standards process and serving as a charter member and co-chair of the PipelineML Standards Working Group (SWG). In 2019, the PipelineML Conceptual and Encoding Model Standard was approved by the OGC Membership, making it an official OGC Standard.
The PipelineML Standard – collaboratively developed by Enterprise Products and contributors from across the US, Canada, Belgium, Norway, Netherlands, UK, Germany, Australia, Brazil, and Korea – defines concepts that support the interoperable interchange of data related to oil and gas pipeline systems. PipelineML addresses two critical business use cases specific to the pipeline industry: new construction surveys and pipeline rehabilitation.
The Standard defines individual pipeline components, provides support for lightweight data aggregation, and provides a mechanism for extensions focused on safety and sustainability through effective data management practices. By working with OGC’s Land and Infrastructure Domain Working Group, PipelineML was aligned with related Standards that ensure compatibility with future land management requirements.
Three use-cases addressed by the OGC PipelineML Standard. A Step Towards ModernizationJune 26, 2023, marked a significant milestone in Enterprise Products’ technical history: in partnership with select technology vendors, the company implemented open-source technology to revamp their existing Asset Information Management (AIM) Program.
To move off the legacy PODS data model and a dependence on proprietary software, the Enterprise Products team spent years developing, prototyping, and refining the Pipeline Component Data Model (PCDM). Instead of utilizing an ageing linear referencing methodology, PCDM leverages modern geospatial technologies to gather GPS coordinates in the field that accurately mark the real-world location of pipeline components. This “Digital Twin” approach makes PCDM more adaptable to evolving business requirements.
Emerging from this initiative, the AIM Data Architecture Platform and Development Framework now provides data and services that serve as the lifeblood of the organisation.
The Pillars of Value-addingEnterprise Products’s Asset Data Management group has played a vital role in elevating the company’s performance with contributions that have rippled across the organization to deliver tangible value in several areas:
Standards & GovernanceTo facilitate seamless information exchange across business units and external service providers, Enterprise Products has established stringent data standards and governance protocols that ensure consistent and accurate data for decision-making. By aligning their asset data with OGC Standards, Enterprise Products has established a universal language for geospatial data that simplifies communication and interoperability.
Data IntegrationIncorporating integrated inline inspection data has been pivotal in maintaining the integrity of Enterprise Products’ extensive pipeline network. The AIM Data Architecture Platform functions as a nexus for data integration that enables a seamless flow of information across departments that promotes collaboration and efficiency.
Spatio-temporal AnalyticsThe integration of spatio-temporal analytics has introduced a new dimension to Enterprise Products’ pipeline management. Real-time geospatial insights have not only improved operational efficiency but have also fostered proactive problem solving. By incorporating database-native geoprocessing, Enterprise Products has streamlined analytical workflows and enhanced the speed and accuracy of decision-making.
Data DeliverabilityEnterprise Products has democratized data access within the organization by creating a map-based interface that provides intuitive visualisations and reports that empower stakeholders to make informed decisions. This map-based interface supports over 1200 individual users across various departments, including Asset Integrity, Business Development, Field Operations, and Public Awareness.
Safety and SustainabilitySpanning the pipeline asset life-cycle from new construction to divestitures, the AIM Data Architecture supports several Safety and Sustainability programs that ensure safe, reliable operations. Programs such as Public Awareness, OneCall (aka 811 “Call Before You Dig”), Inline Inspections, Pipeline Rehabilitation, Regulatory Compliance, Integrity Assessments, and Field Operations all depend on highly available asset information.
Rather than linear referencing, Enterprise Products uses GPS coordinates to accurately mark the real-world location of pipeline components. Scaling for the FutureThe volume, variety, and velocity of data required to manage and optimize large pipeline networks presents substantial challenges. However, Enterprise Products’ open architecture effortlessly manages the scale of their installation and provides ample room for growth. To put this into perspective, consider the following statistics:
- 50,000 Miles of Pipeline
- 2,500 Facilities
- 5.6 million Pipe Components
- 45 million rows of inline inspection data – 30 years’ worth
- 80 million Rows of geospatially referenced data, with 10x better lossless compression over the legacy proprietary system
One of the most striking aspects of Enterprise Products’ journey is their embrace of Open Standards and Open Source technology. The AIM Data Architecture Platform represents a complete departure from proprietary systems. Key standards and technologies used by Enterprise Products include PipelineML, GeoServer, QGIS, PostgreSQL, PostGIS Spatial Extender, Python & other open libraries, and XML, GML, JSON, & GeoJSON encoded schemas.
This strategic shift not only reduced dependence on commercial vendors and licensing costs, but also established Enterprise Products as an industry pioneer that set a new standard for innovation and interoperability.
OGC Membership: A Driving ForceEnterprise Products’ journey is a compelling story of innovation and progress, with the OGC Community playing a pivotal role. Through collaborative efforts and a steadfast commitment to OGC’s consensus-based process, Enterprise Products led the development of the PipelineML Standard that has proven vital to optimizing the management of Enterprise Products’ extensive pipeline network.
Working with OGC has provided Enterprise Products with a significant competitive advantage, allowing them to leverage the collective knowledge and resources of the international geospatial community. Their journey underscores the transformative potential when industry leaders partner with organizations like OGC to drive positive change. As the world continues to seek sustainable and efficient energy infrastructure, Enterprise Products serves as a prime example of what is achievable when technology, data, and partnerships come together.
The post Enterprise Products: A Collaborative Journey with OGC appeared first on Open Geospatial Consortium.
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10:48
Itérations vers le DDD et la clean architecture (2/2)
sur Makina CorpusQuels virages avons-nous pris après un premier projet expérimental pour stabiliser notre conception logicielle, et que ferons-nous plus tard??
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The Chain Restaurants of America
sur Google Maps ManiaMap of McDonald's outlets in the USAThe Georgia Institute of Technology's Friendly Cities Lab has released a new interactive map which reveals which chain restaurants dominate which areas of the United States. The U.S. Chain and Independent Restaurants map shows the locations of over 700,000 restaurants across the country, organized by restaurant chain and by frequency. The map reveals that -
9:33
AI Your Home on Street View
sur Google Maps ManiaHave you ever wanted to radically alter the ambiance of your neighborhood? Perhaps you've always dreamed of turning your sleepy suburban road into a bustling inner-city street. Or maybe you've always wanted to dig up your nearby traffic heavy roads and replace them with green fields and trees. Well now you can - at least virtually.Panoramai is a new fun tool which allows you to grab Google Maps
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9:30
La compensation écologique permet-elle vraiment de tendre vers l’absence de perte nette de biodiversité ?
sur CybergeoDepuis 2016, le droit français poursuit un objectif de non perte nette de biodiversité en imposant aux projets ayant des incidences sur la biodiversité d’éviter, de réduire, puis de compenser ces incidences. Les mesures compensatoires doivent générer des gains écologiques suffisants, ce qui suppose qu’elles soient réalisées sur des sites en mauvais état écologique. Cet article analyse le contexte écologique dans lequel ont été réalisées 1153 mesures compensatoires, entre 2017 et 2021, sur le territoire hexagonal français. En utilisant des données de la "naturalité potentielle de France métropolitaine", nous comparons d’une part les scores d’intégrité biophysique des sites choisis et d’autre part les scores de qualité écologique incluant un indice de connectivité du paysage autour des sites, par rapport aux scores nationaux. Nos résultats montrent que 64 % de la surface des sites de compensation se situe sur des espaces où le score d’intégrité biophysique est supérieur à la médiane f...
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9:30
Rémi Rouault, Patrice Caro, 2022, Éducation et fractures scolaires. Questions de géographes à propos de l’école, Lyon, Chronique Sociale, 161 p.
sur CybergeoC’est parce qu’ils ont questionné l’école en géographes que Rémi Rouault et Patrice Caro ont été en mesure de proposer cet ouvrage, précieux et nécessaire, pour analyser la situation socio-spatiale de l’école française. Et c’est parce qu’ils s’appuient sur un matériau riche de données récentes aux échelles nationale, académique et départementale qu’ils restituent la multiplicité des enjeux posés par les questions scolaires et les inégalités du système éducatif.
Contribuant au renouvellement d’une géographie francophone de l’éducation dynamisée, depuis peu, par la publication d’un livre portant sur les espaces et les systèmes éducatifs dans le monde (Giband, Delage, Mary, Nafaa, 2023), l’étude présentée au fil des 161 pages de l’ouvrage sur le cas français, clairement rédigée par Rémi Rouault et Patrice Caro, est structurée en 8 chapitres. Ceux-ci évoquent les lieux, les espaces quotidiens et locaux de l’éducation (chapitres 1 à 3) puis les leviers et les acteurs clés de l’éducation (...
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9:30
Le cartogramme par points
sur CybergeoLes cartes par points sont un type de représentation des quantités de populations discrètes et de stock agrégées mais présentées sous une forme désagrégée, avec une implantation planimétrique/géométrique et graphique de type point. Si plusieurs de ces cartes ont historiquement pu être mises au point, nous proposons le cartogramme par points (ou Dot cartogram en anglais), une nouvelle carte participant des cartogrammes graphiques et issue d’une articulation entre la carte en signes proportionnels, la carte en densité de points de Montizon (1830) et le cartogramme circulaire de Dorling (1996). Sa particularité est de renouveler l’image cartographique du point dans son rendu (motif perçu), qui révèle des plages ou des surfaces de points juxtaposés et dans son processus de réalisation. Sa définition est accompagnée d’une application empirique menée sur deux jeux de données examinés en parallèle : les effectifs de population et le produit intérieur brut des pays du monde, observés de 195...
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9:30
Les horizons de la géographie : une métaphore pour comprendre les situations problématiques ?
sur CybergeoLe double objectif de cet article exploratoire est de souligner l’intérêt de la métaphore de l’horizon dont la richesse herméneutique aide à appréhender différentes réalités, et de montrer comment la métaphore peut favoriser la compréhension des situations problématiques dans le cadre d’une géographie pragmatiste. Trois sens figurés du mot horizon sont développés. Voir les horizons géologiques invite à questionner la nature des discontinuités paysagères identifiées dans le monde, entre unité de base, ligne de démarcation et point de repère. Se mou-voir dans l’environnement, à l’invitation des horizons phénoménologiques, trouve une application dans l’étude géographique des espaces tels qu’ils sont vécus par leurs usagers. S’é-mou-voir à la faveur de la fusion des horizons proposée par Gadamer (1960) permet de discuter de la possibilité de se rapprocher d’un autre horizon et de souligner que la compréhension dans le dialogue contribue à l’élaboration d’un horizon commun. Pour chacune ...
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Intercity relationships between 293 Chinese cities quantified based on toponym co-occurrence
sur CybergeoThis dataset presents relationships between 293 Chinese cities, derived using a toponym co-occurrence method. By employing this toponym co-occurrence analysis method, the strength of an intercity relationship is determined by the frequency at which both city names appear on the same webpage. The data was sourced from the Common Crawl web archive's 2019 April Corpus, which contains approximately 2.5 billion web pages. The primary aim of this dataset is to provide a fresh perspective on intercity relationships, thereby facilitating studies on city network analysis. The dataset not only encourages further research into comparing this innovative city relationship with other established networks but is also a showcase that presents a straightforward methodology that can be applied to other archives within Common Crawl. As such, it paves the way for longitudinal studies that probe the evolution of city networks.