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Nouveautés d'ArcGIS Drone2Map - Novembre 2023
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
ArcGIS Drone2Map est la solution ArcGIS, installée sur des postes de votre organisation, qui permet de transformer les images capturées par drone en produits cartographiques haute-résolution tels que des MNT/MNS, des orthomosaïques (true-ortho), des nuages de points et des photomaillages 3D (3D Textured Mesh).
Les évolutions de l’automne (version 2023.2) apportent des améliorations et de nouvelles fonctionnalités renforçant la synergie entre l’usage de données drone et le système ArcGIS. Dans cet article, je vous liste les principales évolutions de cette nouvelle version.
Nouveau processus d’inspection
Les drones permettent d’atteindre des endroits ou des ouvrages difficiles d’accès pour les équipes sur le terrain ou même inaccessible à pied. Ces nouvelles sources de données ont l’avantage d’être utilisable depuis le bureau pour réaliser des travaux d’inspections. Désormais Drone2Map vous offre la capacité d’inspections que ce soit en 2D ou en 3D.
Que ce soit pour la gestion des réseaux, la construction, la sécurité ou encore l’agriculture vous avez désormais à la capacité de créer un espace de de travail d’inspection. Cet environnement de travail permet d’afficher plusieurs images pour n’importe quelle zone d’intérêt ou objet capturé. Les objets repérés sur les images peuvent être saisies par des points ou des polygones directement sur les images provenant du drone pour créer des entités 3D de chaque observation.Les entités peuvent être superposées à des objets, des couches 2D ou même 3D assurant une référence cohérente tous les points de vue de cette observation.
La génération de rapport d’inspection permet de par partager et afficher les inspections avec les notes et les captures d’écran qui ont été enregistrées pendant l’inspection. Les captures peuvent être stockées en pièce jointe des entités pour apparaître dans les fenêtres contextuelles lors de la publication du service d’entité.
Correction de l'effet Rolling Shutter (obturateur déroulant)
Un nouveau paramètre de correction de l'effet Rolling Shutter a été ajouté aux options de réglage pour les drones utilisant des obturateurs déroulants (capteur CMOS par exemple). Ce paramètre réduira les distorsions et les imprécisions causées par l’effet du volet roulant, ce qui donnera lieu à des produits plus précis et visuellement attrayants.
Nouvelle page de projet
La page "Nouveau projet" a été repensée pour offrir une nouvelle expérience utilisateur. Cette nouvelle page rend plus efficace la création de projets. Les différents types de produits que proposent Drone2Map sont mis en avant à l’ouverture d’un nouveau projet. Désormais les projets sont créés en définissant le modèle de traitement que vous souhaitez utiliser, dans les étapes de paramétrage vous pouvez préciser les types de résultat attendus. La capacité de sélectionner directement plusieurs répertoires, où sont stockées les images capturées, rend la création de projet plus rapide.
Pour compléter cette refonte de la page d’accueil, une nouvelle page Ressources vous donne accès à l’ensemble des rubriques pour apprendre à utiliser Drone2Map et rester informé sur l’actualité du logiciel. Vous pourrez accéder aux didacticiels, la documentation et blogs. Le support technique d’Esri et la communauté d’utilisateurs de Drone2Map sont également référencées dans cette nouvelle page.
Les jeux de données Catalogue
Les jeux de données Catalogue apparus récemment dans ArcGIS Pro (3.1) sont ajoutés dans cette nouvelle version de Drone2Map. Les jeux de données de catalogue peuvent référencer des éléments produits avec Drone2Map ou d’autres sources de données. Le jeu de données de catalogue est stocké dans une Géodatabase. Drone2Map permet de les gérer, pour ajouter les orthomosaiques par exemple, de les visualiser, les filtrer et les interroger dynamiquement dans des cartes et des scènes. Ces opérations sont disponibles par vous ou tous vos collègues qui ajoutent le catalogue dans Drone2Map ou ArcGIS Pro.
Prise en charge améliorée de l’imagerie thermique
La prise en charge des true-ortho a été étendue au traitement de l’imagerie thermique. La valeur par défaut pour les orthomosaïques d’imagerie thermique est désormais un véritable point de vue nadir.
Pour aller plus loin et rester connecté !
La liste exhaustive des nouveautés et améliorations est consultable sur la page Drone2Map de documentation en ligne (en anglais).
Si vous ne disposez pas encore de la solution Drone2Map et que vous souhaitez la tester, vous pouvez demander une version d'évaluation auprès de votre contact commercial habituel chez Esri France.
Si vous avez des questions ou des idées, Les équipes Drone2Map d'Esri seront ravis de vous entendre ! Visitez la page de la communauté Drone2Map et dites ce que vous en pensez. Si vous souhaitez rester informé des dernières nouvelles et annonces concernant le produit Drone2Map, assurez-vous de vous inscrire pour figurer sur cette liste de diffusion.
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19:18
GeoSolutions: DoDIIS 2023 Portland, OR – GeoSolutions USA, Innovation, and Emerging Technology
sur Planet OSGeoYou must be logged into the site to view this content.
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18:15
Poopmap : Redéfinir l’expérience … des toilettes
sur Veille cartographieCet article Poopmap : Redéfinir l’expérience … des toilettes est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Dans le monde moderne, la technologie a pénétré presque tous les aspects de notre vie quotidienne y compris ceux auxquels nous ne pensons pas nécessairement. Un exemple fascinant de la fusion entre la technologie et notre routine quotidienne est l’application PoopMap qui offre une perspective unique sur un sujet parfois tabou ou gênant : nos […]
Cet article Poopmap : Redéfinir l’expérience … des toilettes est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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15:33
Esri dévoile le nouveau site web "ArcGIS Well-Architected Framework and Architecture Center"
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Concevoir, mettre en œuvre et exploiter avec succès des systèmes d'entreprise dans le paysage actuel des technologies de l'information (IT) nécessite souvent des connaissances et une expertise approfondies de la technologie et des objectifs métiers que les systèmes sont censés prendre en charge. Le nouveau site web "ArcGIS Well-Architected Framework and Architecture Center" (en langue anglaise) a pour objectif de vous donner, en tant que professionnels de l'informatique, architectes, membres d'équipe de support et professionnels des SIG, des informations fondamentales sur ArcGIS, et de guider vos organisations dans la prise de décisions éclairées lors de la mise en œuvre de systèmes avec ArcGIS.
Vous pouvez visiter ce site Web dès maintenant à l'adresse : [https:]] .
Le site web "ArcGIS Well-Architected Framework and Architecture Center" propose des ressources aux professionnels
de l'informatique sur la manière de configurer un SIG d'entreprise.
Ce nouveau site web "ArcGIS Well-Architected Framework and Architecture Center" rassemble des années d’expériences collectives, de recommandations et de bonnes pratiques pour la création de systèmes d’entreprise à travers Esri et sa communauté de distributeurs, de partenaires et d’utilisateurs. Vous constaterez que le site web contient quatre sections principales :
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La section "Overview" vous fournira des informations sur ArcGIS : comment il est conçu,
ses capacités fonctionnelles, comment ses produits prennent en
charge différents modèles de déploiement et opérationnels et comment
il participe à votre paysage informatique.
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La section "System Patterns" partage huit modèles système – des exemples courants et
composables de la façon dont vous pouvez créer des systèmes avec
ArcGIS. Les fonctionnalités clés de chaque modèle sont discutées en
détail, ainsi que les différentes options de déploiement, les
considérations relatives au déploiement et les intégrations
potentielles avec d'autres modèles de système.
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La section "Architecture Practices" vous présentera les concepts et les meilleures pratiques centrés
sur six piliers architecturaux clés (automatisation, intégration,
observabilité, performances et scalabilité, fiabilité et sécurité)
que vous trouverez pertinents dans n'importe quel système ArcGIS.
- La section "Library" contient un référentiel de documents, présentations, vidéos, exemples et autres ressources qui peuvent vous aider à concevoir et à mettre en œuvre des systèmes bien architecturés avec ArcGIS.
Le contenu de ce site vous permettra d'explorer des sujets d'intérêt spécifiques ou simplement de parcourir l'intégralité d'un modèle de déploiement ou d'un pilier technique spécifique dans une architecture ArcGIS. Au fur et à mesure que vous vous familiariserez avec le contenu, vous pourrez continuer à lire (en vous plongeant à différents niveaux de détail ou de profondeur) ou acquérir une expérience pratique en concevant ou en prototypant vos propres systèmes basés sur l'un des modèles de système ArcGIS.
Si vous êtes prêts à commencer, rendez-vous sur l'ArcGIS Architecture Center pour découvrir toutes ces nouvelles ressources pour concevoir, déployer et exploiter votre système d'entreprise ArcGIS ! Prenez ensuite l'habitude de visiter cette page régulièrement pour suivre les ajouts, mises à jour et modifications clés.
Bonne architecture à tous !
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La section "Overview" vous fournira des informations sur ArcGIS : comment il est conçu,
ses capacités fonctionnelles, comment ses produits prennent en
charge différents modèles de déploiement et opérationnels et comment
il participe à votre paysage informatique.
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11:25
Is Light Pollution Getting Better?
sur Google Maps ManiaDavid J. Lorenz's Light Pollution Atlas 2006, 2016, 2020 includes global light pollution layers for three different years. It also includes a layer which shows where light pollution around the world has become better or worse during 2014-2020.This 2014-2020 light pollution trend layer shows that light pollution in most of the UK and France and in the eastern U.S. significantly reduced from
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3:58
BostonGIS: PostGIS Day 2023 Summary
sur Planet OSGeoPostGIS Day 2023 videos came out recently. PostGIS Day conference is always my favorite conference of the year because you get to see what people are doing all over the world, and it always has many many new tricks for using PostgreSQL and PostGIS family of extensions you had never thought of. Most importantly it's virtual, which makes it much easier for people to fit in their schedules than an on site conference. We really need more virtual conferences in the PostgreSQL community. Many many thanks to Crunchy Data for putting this together again, in particular to Elizabeth Christensen who did the hard behind the scenes work of corraling all the presenters and stepping in to give a talk herself, and my PostGIS partner in development Paul Ramsey who did the MC'ing probably with very little sleep, but still managed to be very energetic. Check out Elizabeth's summary of the event. Many of her highlights would have been mine too, so I'm going to skip those.
Continue reading "PostGIS Day 2023 Summary" -
19:50
GeoTools Team: State of GeoTools 30.1
sur Planet OSGeoJody Garnett here to share a presentation from FOSS4G Asia 2023 on the State of GeoTools 30.1. It has been nine years since our last "State of GeoTools" presentation in FOSS4G 2014 Portland; however this was just a lighting talk and is devoted to recent updates. I would like to the event organizers, and my employer GeoCat for the opportunity to speak on behalf of the GeoTools project.
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18:16
La carte, objet éminemment politique. Maduro modifie la carte officielle du Venezuela pour y inclure l’Essequibo
sur Cartographies numériques
Suite au référendum du 3 décembre 2023 qui a remporté 95% de « oui », le Venezuela a partagé une nouvelle carte officielle qui intègre le territoire de l'Essequibo. Ainsi le président chaviste Nicolás Maduro officialise l'annexion des 2/3 du Guyana voisin. Le territoire de l'Essequibo, riche en pétrole et en minerais, est convoité de longue date par le Venezuela. Cette annexion intervient dans un contexte de fragilité politique du régime de Maduro qui trouve là un exutoire au mécontentement grandissant dans un pays rongé par l'inflation et la corruption.
Le président du Venezuela, Nicolás Maduro, montre une carte de son pays incluant la région guyanaise de l'Essequibo, lors d'une réunion à Caracas, le 5 décembre 2023 (source : ©AFP)Maduro brandit la nouvelle carte du Vénézuéla avec l'Essequibo annexé dans un acte du Conseil fédéral du gouvernement et du Conseil de défense le mardi 5 décembre 2023. « J'ai immédiatement ordonné de publier la nouvelle carte du Venezuela avec notre Guayana Esequiba et de l'apporter dans toutes les écoles, lycées, conseils communautaires, établissements publics, universités et dans tous les foyers du pays. C'est notre carte bien-aimée ! »
1) Un conflit frontalier qui remonte à plus de 150 ans
Le Guyana affirme que la frontière entre les deux pays a été fixée en 1899 par un tribunal d'arbitrage. Pour le Venezuela, le fleuve Essequibo est la frontière naturelle entre les deux pays depuis 1777. Le Venezuela affirme que la frontière « naturelle » avec le Guyana est formée par le fleuve Essequibo, et non par la ligne Schomburgk, tracée en 1844 et présentée en 1886 par le Royaume-Uni comme la frontière internationale. En 1899, l’arbitrage des Etats-Unis aboutit à des concessions bilatérales permettant une démarcation, mais aussi à la perte pour le Venezuela d'un territoire d'environ 160 000 km², et de plus de 200 kilomètres de côtes ouvertes sur l'Océan Atlantique, ce qui n’allait pas être sans conséquence par la suite du point de vue du droit maritime et de l’exploitation des ressources.
Le territoire tient son nom du fleuve Essequibo qui dérive du nom de Juan de Esquivel, un officier de Diego Colomb, fils aîné de Christophe Colomb et héritier de la couronne de vice-roi, qui explora la région pendant les premières décennies du XVIe siècle. L'Essequibo fait partie intégrante du Venezuela depuis son indépendance en 1811. Mais en 1840, profitant des difficultés du jeune État à contrôler ses frontières, le Royaume-Uni s’approprie la région et l'annexe à sa colonie guyanaise. Une annexion jamais reconnue par le Venezuela (source : Wikipedia).
Le conflit frontalier s'est réactivé au moment de l'indépendance de la Guyane britannique en 1966. Malgré des tentatives d'arbitrages successifs (signature de l’Accord de Genève, dont le contenu favorise la recherche de solutions mutuellement satisfaisantes pour le règlement pratique du différend), aucune solution n'a pas être trouvée au niveau international. Si la question de l'Essequibo fait aujourd'hui l'objet d'un large consensus au Venezuela, elle rencontre une vive opposition de la part du Guyana anglais qui a déposé une motion auprès de la Cour internationale de justice de La Haye pour essayer d'empêcher le référendum d'annexion du 3 décembre 2023.
Le territoire de l'Essequibo revendiqué par le Venezuela (source : Wikipedia)
2) L'Essequibo, une région riche en ressources naturelles
Le territoire de 159 500 kilomètres carrés situé à l’ouest du fleuve Essequibo représente les deux tiers de la Guyane britannique et est également frontalier avec le Brésil. Il est riche en or, diamants, bois et pétrole : un désert vert au sous-sol chargé de ressources naturelles (gaz et pétrole, or, diamants, cuivre, bauxite, fer et aluminium). Il donne accès à une zone de l'Atlantique où du pétrole a été découvert en grande quantité, attirant l'attention du gouvernement du président vénézuélien Nicolás Maduro. En 2015, la compagnie ExxonMobil découvre un important gisement de brut au large des côtes de l’Essequibo. L’entreprise américaine préfère traiter avec le petit Guyana qu’avec le Venezuela socialiste. Le litige territorial resurgit. Il est à vif depuis qu’en août 2023, le Guyana a lancé un appel d’offres pour l’exploitation de plusieurs secteurs pétroliers dans l’Essequibo. En octobre 2023, la découverte d’un nouveau gisement de pétrole porte les réserves du Guyana à près de 11 milliards de barils.
Les observateurs évoquent « un nouvel émirat ». Après avoir augmenté en 2022 de 57,8 % – un record mondial –, le produit intérieur brut du Guyana devrait encore progresser de 38 % en 2023, selon le Fonds monétaire international. L'entreprise ExxonMobil, l’opérateur principal du projet d’extraction, prévoit qu’elle atteindra 0,8 million de barils par jour d’ici fin 2025. Le petit État d’Amérique latine extraira en 2025 près de 1 % de la demande mondiale (soit plus que le Koweit). Un pactole vers lequel se tourne Caracas. Le gouvernement vénézuélien affirme que le Guyana n'a pas compétence pour accorder des concessions dans les zones maritimes au large de l'Essequibo. Parmi les premières mesures, Maduro a autorisé la Petroleos de Venezuela Sociedad Anónima (PDVSA) et la Corporation vénézuélienne de Guyane (CVG) à créer les divisions PDVSA Essequibo et CVG Essequibo. Il a également ordonné l'octroi de licences d'exploitation pour l'exploration et l'exploitation du pétrole, du gaz et des minéraux dans le territoire annexé. En s'emparant de la région d'Essequibo, le Venezuela prend le contrôle d'une grande partie du champ pétrolifère appelé bloc Stabroek.
Beaucoup se demandent pourquoi le Venezuela, déjà riche en pétrole, veut aussi celui de son voisin. Le Venezuela possède les plus grandes réserves de la planète, mais son industrie pétrolère est à genoux, conséquence de la mauvaise gestion, du sous-investissement, de la corruption et des sanctions économiques en vigueur depuis 2019 (après la réélection frauduleuse de Nicolas Maduro). Sa production a chuté de 3 millions de barils par jour jusqu'à moins de 400 000. Elle se maintient aujourd'hui péniblement à 750 000 barils quotidiens. La raison est liée aussi à la nature du pétrole du Guyana : plus facile à raffiner, il est rentable dès 35 $ le baril. Le projet s'inscrit dans le cadre plus large d'un nouveau front pionnier contrôlé par les pouvoirs publics dans le grand Est vénézuélien. Il pose la question des litiges transfrontaliers sur le plateau des Guyanes, enjeux géopolitiques à l’interface des mondes amazoniens et caribéens. Dans un article consacré aux Opérations offshore à proximité de frontières arbitraires, Ricardo Salvador De Toma Garcia met en évidence l'influence des acteurs de la géopolitique du pétrole dans les processus de négociation et de résolution des controverses sur la délimitation des frontières. Le cas de l'Essequibo est un bon exemple pour montrer les effets échelonnés de la distribution des concessions offshore dans des espaces maritimes non délimités, ces pratiques contribuant à reconfigurer les dimensions géopolitiques des controverses.
Identification des secteurs de concessions offshore autorisés unilatéralement par le Guyana
(source : Ricardo Salvador De Toma Garcia, 2023)
Pour appréhender le différend frontalier Venezuela-Guyana dans un contexte plus large, voir la carte des limites de ZEE au large des Guyanes proposée par le site Géoconfluences.
3) Le référendum d'annexion et ses conséquencesLe référendum organisé le 3 décembre 2023 a plusieurs finalités : réaffirmer les revendications du Vénézuela sur cette région, mais aussi renforcer le pouvoir de Maduro à un an des prochaines élections présidentielles. D'un point de vue géopolitique, la décision d'annexer l'Essequibo a une incidence sur tout le continent sud-américain, voire au delà. Le Venezuela entend profiter du soutien de la Russie à l'échelle internationale et desserrer la pression exercée par le groupe de Lima, hostile au régime socialiste de Maduro. Le Royaume-Uni pourrait lui-même réagir en soutenant la Guyanne britannique, tandis que la France pourrait à terme voir des répercussions sur le territoire de la Guyane française située à proximité. Le Brésil veut quant à lui éviter un conflit à sa frontière et la déstabilisation de la région. Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva dit « ne pas vouloir de guerre en Amérique du Sud ». Les membres du Mercosur (Brésil, Argentine, Paraguay, Uruguay) ainsi que le Chili, la Colombie, l’Equateur et le Pérou ont exhorté « les deux parties à dialoguer et à rechercher une solution pacifique afin d’éviter des initiatives unilatérales qui pourraient aggraver la situation ». La Chine, qui se fait rembourser ses crédits directement en pétrole par le Vénezuela, a demandé aux deux pays de résoudre leur différend « de manière correcte ».
De fait, le référendum de décembre 2023 vient entériner des revendications territoriales de longue date. Depuis 1999, le Venezuela affirme dans l'article 10 de sa constitution que « le territoire et les autres espaces géographiques de la République sont ceux qui correspondent à la Capitainerie Générale du Venezuela avant sa transformation politique initiée le 19 avril 1810, incluant les modifications résultant des traités et arbitrages non frappés de nullité ». Il s'appuie notamment sur une carte de la Capitainerie générale du Venezuela de 1777 ainsi qu'une carte de la Grande Colombie de 1890 incluant l'Essequibo.
En octobre 2020, le Ministère de la Planification du Venezuela a publié un manifeste qui rappelle l'argumentaire justifiant cette annexion. Intitulé "La Guyane et l'identité nationale", le texte expose tous les arguments en faveur des droits légitimes historiques du Venezuela et le résume en une phrase : « le soleil du Vénézuela se lève dans l'Essequibo » (sic). Le « Venezuela né dans l'Essequibo » y est présenté comme une vérité historico-géographique. L'implantation de compagnies pétrolières transnationales est considérée comme « un plan de provocation soutenu et financé par Washington et les agences gouvernementales de la puissance américaine, notamment le Pentagone ». Les Amerindiens y font figure de peuple libertarien luttant contre le colonialisme. Le référendum prévoit d'ailleurs de leur accorder la citoyenneté vénézuelienne (pas plus de 125 000 personnes y vivent, soit 1/5 de la population guyanienne). Autant de propositions déjà mises en avant par l'ouvrage Un siècle de dépossession : l'histoire d'une revendication publié en 2003 par Pompeyo Torrealba, coordinateur du Mouvement National de Sauvetage de l'Essequibo, et que l'on retrouve également sur le blog La Guyana Esequiba.
Revendication souveraine de la République bolivarienne du Venezuela. Essai de la Chaire Penser le socialisme
(source : Guyana e identidad nacional, octobre 2020)La carte qui accompagne le manifeste du Ministère de la Planification d'octobre 2020 est quasiment la même que la nouvelle carte officielle exhibée par Maduro en décembre 2023. Les hachures ont été enlevées pour entériner l'annexion de l'Essequibo au Vénézuela.
Nouvelle carte de la République bolivarienne du Venezuela à l'issue du référendum du 3 décembre 2023
Selon les juristes guyaniens, le Venezuela n’a pas le droit de proclamer sa souveraineté sur les territoires de l'ancienne colonie du Guyana britannique, tels que définis par la Décision du tribunal arbitral de 1899. Les pays membres de la Communauté Caribéenne (CARICOM) et de l’Organisation des États des Amériques (OEA) ont rejeté le référendum vénézuélien. Selon ces organisations, la loi internationale est formelle : un état n'a pas le droit de saisir, d’annexer ou d’incorporer le territoire d’un autre état. Ce principe d'auto-détermination des peuples défendu par l'ONU n'a aucunement été respecté puisque le référendum ne visait qu'à consulter la population vénézuélienne sous la forme d'un quasi plébiscite pour justifier l'annexion.
4) Quand la carte fait le territoire
La carte officielle consacrant l'intégration de l'Essequibo comme 24e État de la République bolivarienne du Venezuela est disponible sur le site de l'Institut Géographique du Venezuela Simon Bolivar (IGVSB). On y trouve également la carte à l'origine de la réclamation "Notre Essequibo" ainsi qu'une nouvelle carte physique et politique du Venezuela.
Une carte du Venezuela « sans hachures » avait été publiée en 2012 par l'Instituto Geographico de Venezuela avant même l'annexion officielle de décembre 2023, après une pétition présentée par les militants de l'époque devant les autorités de l'IGVSB et avec le soutien des réseaux sociaux. Déjà en 1999, il existait une version officielle dont plusieurs exemplaires avaient été imprimés, qui incluaient également l'extension du Venezuela sur le plateau continental. En septembre 2023, le président Maduro s'est également livré à un exercice de communication à partir de cartes historiques pour démontrer la légitimité des revendications territoriales du Venezuela sur l'Essequibo. La première carte officielle du Venezuela avec le territoire annexé à l'ouest du fleuve Essequibo semble remonter à une carte de 1965 publiée à l'échelle 1:4 000 000 par le quotidien El Nacional (3 février 1965). A l'époque, il s'agissait déjà d'annexer ce territoire comme zone de bonification (voir le texte du "Rapport des experts vénézuéliens sur la question des frontières avec la Guyane britannique", 18 mars 1965)
En 2015, le gouvernement du Guyana a protesté contre les noms de rues espagnols donnés par Google Maps, notamment en référence au héros de l’indépendance latino-américaine Simon Bolivar, idolâtré par le gouvernement vénézuélien. Depuis certains noms de rues semblent avoir été modifiés. De manière générale, le service de cartographie de la société américaine ne souhaite pas se mêler du conflit concernant l'Essequibo. Le territoire est indiqué en lignes pointillées pour ne pas froisser les susceptibilités de part et d'autre. Comme dans d'autres conflits territoriaux à travers le monde, Google Maps prend parti en ne prenant pas parti. Une manière de laisser le territoire Essequibo comme à part des deux pays.
Le territoire de l'Essequibo représenté en pointillé (source : Google Maps)Liens ajoutés le 15 février 2024
Alors qu'il s'était engagé à trouver une issue pacifique au différend concernant l'Essequibo, le Venezuela est en train de concentrer des troupes près de la frontière avec le Guyana. C'est ce que montrent les images MAXAR analysées par le CSIS [https:]]
— Sylvain Genevois (@mirbole01) February 14, 2024
8/n
Avec une carte ayant valeur de slogan "Venezuela Toda" qui inclut le territoire annexé de l'Essequibo et rappelle que « le soleil du Vénézuela se lève dans l'Essequibo »
— Sylvain Genevois (@mirbole01) February 15, 2024
On retrouve cette carte schématique sous de nombreuses déclinaisons (drapeau, affiche, mosaïque...)
10/ pic.twitter.com/Ygc3cf5Q3f
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Une story map pour découvrir le voyage d'Albert Kahn en Amérique du sud (1909)
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15:51
Ingénieur Qualité
sur Le blog de GeomatysIngénieur Qualité- 06/12/2023
- Isabelle Pelissier
Nous recherchons dans le cadre de l’amélioration de notre processus “qualité logiciel”, un ingénieur tests et recette / QA : assurance qualité.
Il ou elle vient renforcer les activités déjà existantes dans les 2 volets ci-dessous et a une connaissance des méthodes d’assurance qualité dans l’informatique.
Qui sommes-nous ?
GEOMATYS est un éditeur de logiciel qui développe depuis 18 ans des produits et des nouveaux systèmes d’informations permettant de traiter l’information géographique.
Notre activité d’édition logicielle nous conduit à développer des bibliothèques dédiées au traitement de gros volume d’information géographique, des Geo-Webservices et des frameworks cartographiques, que nous intégrons ensuite pour les besoins de nos clients.
Nous sommes une société influencée par la forte culture technique de ses dirigeants, développant des projets innovants au service d’industriels et de scientifiques dans des domaines aussi variés que l’Environnement, le Spatial ou la Défense.
Grâce à un travail reconnu en recherche et développement, notre société, GEOMATYS, a gagné une expertise qui lui permet de travailler de manière récurrente avec de grands comptes (Naval Group, Airbus, Le CNES ….).
Activités
1/ Tests
- La surveillance de l’exploitation et de la qualité de la production via des métriques.
- Participation au choix des outils pour l’automatisation des tests et analyse de code,
- Organisation des tests (UX/design, navigation, End To End, nouvelles fonctionnalités techniques, tests d’intégration et de charge, tests fonctionnels…).
- Maintien de la base de tests
- Être force de proposition auprès des différents interlocuteurs sur les tests à mener.
- Devenir le référent de l’équipe sur la mise en place des tests.
- Rédaction et suivi de l’application des procédures de tests (cahier de recette) pour les projets et produits de l’entreprise
2/ Participation à l’activité Devops de l’entreprise
- Automatisation des déploiements, scripting,
- Garant du niveau de service de l’infrastructure et des activités de CI
- Mise en place de plateforme préproduction et production (CI/CD)
Formation de niveau Bac +5 avec 1ère expérience
- Master en informatique
- Diplôme d’école d’ingénieurs
Compétences souhaitées :
- Connaissance des outils de test et d’analyse statique et dynamique
- Maîtrise d’outils pour des tests de charge
- Maîtrise du langage Java et idéalement en C++
- Maîtrise d’outils de script type Shell & LUA, notamment pour des tests techniques
- Maîtrise de Docker,
- GitOps (Git, Gitlab),
- Maîtrise de l’anglais indispensable
- Connaissance Bases de données
- Esprit d’analyse / Rigueur / Esprit méthodique / Capacité à travailler en équipe et sens de la communication
- Sens du service
Si vous avez de l’enthousiasme, une appétence pour la cartographie / les problématiques spatiales, et une envie de travailler dans un domaine ultra-innovant,
envoyez-nous votre CV (isabelle.pelissier@geomatys.com) Poste à pourvoir sur Montpellier
Salaire
A négocier selon expérience
Menu Linkedin Twitter YoutubeThe post Ingénieur Qualité first appeared on Geomatys.
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15:22
De l'IA dans l'application "Esri Support" pour mieux vous accompagner !
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
L'application mobile "Esri Support" existe depuis presque 5 ans maintenant et c'est vrai que je ne l'évoque pas très souvent. Cependant, celle-ci s'enrichie régulièrement de nouvelle capacités et les innovations introduites lors de la récente mise à jour sont une excellente occasion d'en dire quelques mots.
L'application "Support Esri"
Cette application, que vous installez sur un appareil iOS, MacOs ou Android, met à votre disposition les ressources d'auto-dépannage d'Esri, les services d'aide assistée et les fonctionnalités pour la gestion de vos "tickets de support" directement depuis votre smartphone. Avec l'application Esri Support, vous pouvez :
- Trouver des réponses à vos questions et des solutions aux problèmes techniques.
- Accéder aux pages de support produit, aux articles mis en avant par Esri, au dictionnaire SIG.
- Explorer les cycles de vie des produits, les avis de dépréciation, la disponibilité de correctifs,...
- Contacter directement le support Esri par téléphone, soumettre des demandes de cas via un formulaire web ou discuter avec nous en ligne.
- Vérifier l'historique et le statut des cas que vous avez soumis au support.
Cette application vous accompagne donc au quotidien pour vous aider dans votre relation avec le support mais aussi en autonomie dans la gestion de votre système ArcGIS.
Les évolutions récentes
Depuis quelques jours, la version 7.x est disponible sur les Apps Store avec plusieurs innovations intéressantes :
- Possibilité d'afficher l'état des services de la plateforme ArcGIS Online.
- Une navigation facilitée lors de l'accès à vos cas support à l'aide d'un tableau de bord.
- Amélioration de l'expérience pour la consultation des vidéos avec de nouvelles options de tri.
- Notification lors de la publication d'un nouvel article technique, d'une vidéo, d'un patch, ...
Un nouvel outil conversationnel base sur de l'IA
Pour terminer, le point le plus marquant est probablement l'introduction du Chatbot, un outil de conversation automatisée par de l'intelligence artificielle (IA) qui vous permettra de poser vos questions interactivement. Ce dernier est basé sur un modèle d'IA générative (type GPT) qui a été entrainé spécifiquement sur les ressources documentaires du système ArcGIS. Dans la vidéo ci-dessous, je vous montre quelques exemples d'usage de cette nouvelle interface conversationnelle.
Cet outil d'assistance de nouvelle génération est un exemple qui préfigure des capacités qui seront introduites dans les différentes applications ArcGIS dans le futur. L'IA pour accompagner l'utilisateur ArcGIS dans ces tâches quotidienne est un sujet sur lequel je reviendrai au cours de l'année prochaine...
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11:49
The Origin of Country Names
sur Google Maps ManiaDid you know that Australia got its name from the Latin australis' meaning 'southern', or that Spain derives its name from a small rodent ('España' coming from 'I-Shpania', meaning "island of hyraxes")? Thanks to a new interactive map from Le Monde you can now discover the origin of every country's name in the world. If you hover over a country on the map in the article Discover the origin
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8:13
Le DMAV nouveau arrive
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe modèle de géodonnées de la mensuration officielle DMAV (Datenmodell der amtlichen Vermessung) version 1.0 remplace le MD. 01-MO-CH. Ce nouveau modèle a été présenté par l’Office fédéral de topographie swisstopo et il devrait être intégré au sein des cantons et des communes pilotes en 2024. La Suisse entière devrait commencer à en être équipée en 2026 pour une exploitation en 2028. Ce changement inclut de multiples avantages, d’abord en termes d’homogénéité des données à l’échelle nationale. Ensuite, le modèle de données est modulaire et son développement peut être poursuivi facilement. Il offre la possibilité d’intégrer des services et il est donc basé sur le principe « Once Only ». Enfin, le modèle est examiné au moment de la saisie des données de façon plus moderne, puisque fondé sur INTERLIS2, le rendant plus fiable avec des données de grande qualité. De plus, l’altimétrie, les domaines de numérotation, la répartition des plans et les bords de plan ne font plus partie des données de la mensuration officielle.
+ d'infos :
cadastre.ch
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8:13
Le DMAV nouveau arrive
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe modèle de géodonnées de la mensuration officielle DMAV (Datenmodell der amtlichen Vermessung) version 1.0 remplace le MD. 01-MO-CH. Ce nouveau modèle a été présenté par l’Office fédéral de topographie swisstopo et il devrait être intégré au sein des cantons et des communes pilotes en 2024. La Suisse entière devrait commencer à en être équipée en 2026 pour une exploitation en 2028. Ce changement inclut de multiples avantages, d’abord en termes d’homogénéité des données à l’échelle nationale. Ensuite, le modèle de données est modulaire et son développement peut être poursuivi facilement. Il offre la possibilité d’intégrer des services et il est donc basé sur le principe « Once Only ». Enfin, le modèle est examiné au moment de la saisie des données de façon plus moderne, puisque fondé sur INTERLIS2, le rendant plus fiable avec des données de grande qualité. De plus, l’altimétrie, les domaines de numérotation, la répartition des plans et les bords de plan ne font plus partie des données de la mensuration officielle.
+ d'infos :
cadastre.ch
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17:33
Atlas archéologique de la France
sur Cartographies numériques
Coédité par Tallandier et l'Inrap, l'Atlas archéologique de la France présente et répertorie en une centaine de cartes et de plans inédits plusieurs dizaines de milliers de fouilles archéologiques. Conçu par Dominique Garcia, président de l'Inrap, et Marc Bouiron, conservateur en chef du patrimoine, l'atlas met en perspective plus de 500 000 ans d’occupation du territoire hexagonal et ultramarin.Dominique Garcia, Marc Bouiron, (dir.), Atlas archéologique de la France, Paris, Tallandier, 2023, cartes d’Aurélie Boissière. Site de l'éditeur.
Résumé
Des milliers de découvertes surgissent sans cesse sous la truelle des archéologues. Les vestiges d’habitats, de tombes, de sanctuaires ou d’ateliers enrichissent notre patrimoine comme notre compréhension des sociétés passées. Jamais encore ces archives du sol, du Rhin au Finistère, de la baie de Somme à la Corse et dans les terres d’outremer, n’avaient été cartographiées et illustrées avec une telle ampleur. Page à page, nous explorons les strates archéologiques telles que chaque époque nous les a léguées. Cartes en mains, cet ouvrage nous emmène sur les sentiers de la préhistoire, nous montre les usages des femmes et des hommes du Néolithique, l’empreinte des Gaulois et de Rome, le Moyen Âge des fermes et des cathédrales, les traces de l’esclavage, les vestiges de notre activité industrielle et les marques laissées par la violence des guerres. Chaque objet, chaque pan de mur, chaque sépulture, chaque reste de repas mis au jour vient documenter le récit d’un million d’années et permet d’écrire une nouvelle histoire de la France.
Les auteurs de Atlas archéologique de la France :
Dominique GARCIA
Professeur d’archéologie à l’université d’Aix-Marseille, Dominique Garcia est président de l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap). Archéologue de terrain, il est l’auteur d’une vingtaine d’ouvrages sur les sociétés protohistoriques de la Méditerranée nord-occidentale au Ier millénaire.Marc BOUIRON
Conservateur en chef du patrimoine, Marc Bouiron est directeur scientifique et technique de l’Institut national de recherches archéologiques préventives. Ses publications portent sur l’évolution urbaine des villes du midi de la France, de la protohistoire à la période moderne.Quelques extraits sur le site de l'INRAP :
- Carte de « La première grande statuaire » (Néolithique)
- Vin méditerranéen et contreparties gauloises (Ve - Ier siècle av JC)
- La diffusion des produits venant du Nouveau Monde
Pour aller plus loin :
- Dominique Garcia présente l'Atlas archéologique de la France (INRAP)
- L’archéologie mise en cartes, avec Marc Bouiron et Muriel Gandelin (Paroles d'histoire)
- La France archéologique en cartes (Carbone14, le magazine de l'archéologie - France Culture)
la France archéologique comme on ne l'a jamais vue !
— carbone 14 (@LeSalonNoirFC) December 16, 2023
" les marchands italiens transportent le vin dans des bateaux sur les voies navigables [...] et cela pour un prix incroyable: pour une jarre de vin, ils reçoivent un esclave" (Diodore)
A découvrir dans: [https:]] pic.twitter.com/FzxLMGfUyE
ArchéOdyssée, une carte interactive de plus de 800 musées et sites archéologiques en France
Des images Lidar pour rendre visible l'invisible. L'exemple de l'archéologie
Une carte pour recenser les objets africains dans les musées du monde
L'histoire par les cartes : la carte archéologique de Paris
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17:00
VigiNappe : application de gestion des nappes phréatiques
sur Makina CorpusL’objectif du projet VigiNappe est de mettre
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11:47
Le nouveau calculateur d’itinéraire EuroVelo : l’intégration des SIG pour des voyages cyclistes optimaux
sur Veille cartographieCet article Le nouveau calculateur d’itinéraire EuroVelo : l’intégration des SIG pour des voyages cyclistes optimaux est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Par Lisa Fontaine Qu’est-ce qu’EuroVelo ? EuroVelo est un réseau de pistes cyclables à longue distance en Europe, géré par la Fédération Européenne des Cyclistes (ECF). Ce réseau regroupe plus de 45 000 km de routes aménagées et vise à encourager le cyclotourisme en Europe en offrant des itinéraires balisés et sécurisés pour les cyclistes […]
Cet article Le nouveau calculateur d’itinéraire EuroVelo : l’intégration des SIG pour des voyages cyclistes optimaux est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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10:20
prettymaps, des jolies cartes sans SIG
sur GeotribuPrise en main du package Python 'prettymaps', un générateur de cartes artistiques et illustratives à partir d'une simple adresse, en utilisant les données OpenStreetMap et les bibliothèques osmnx, GeoPandas et matplotlib.
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10:20
Historical Sanborn Maps of America
sur Google Maps ManiaFrom 1866 to 1977 the Sanborn Map Company produced very accurate individual building level maps of U.S. cities and towns. The Sanborn maps provided detailed information about individual city buildings in order to enable fire insurance companies to accurately calculate fire risk. In the 1960s Fire Insurance companies stopped using maps to underwrite fire risk meaning that there was no need to
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9:00
Bascule de l'IGN, tutoriel : modification des fonds de plan dans Geotrek
sur Makina CorpusCet article présente les modifications à réaliser dans les différentes briques pour pouvoir continuer de bénéficier des services de l'IGN à partir de Janvier 2024.
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8:58
Mise à jour de l'extension ArcGIS Reality for ArcGIS Pro - Novembre 2023
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierAvec la mise à jour d'ArcGIS Pro en version 3.2, c'est également une nouvelle version mise à jour de l'extension ArcGIS Reality for ArcGIS Pro qui est disponible. Cette nouvelle extension de Reality Mapping d'ArcGIS Pro permet la génération de différents produits cartographiques en haute-résolution (true-orthophotos, MNT/MNS, nuages de points colorisés, photomaillages 3D) à partir d'images de drones, d'avions ou de satellites.© Airbus DS 2023 - Réalisé à partir d'images Pléiades Néo
Les capacités de cette extension se sont encore agrandies pour repousser les limites d'échelle et les possibilités de vos projets de cartographie de la réalité (Reality Mapping). Vous pouvez désormais utiliser des images satellite RPC (Rational Polynomial Coefficients) facilement disponibles et créer des représentations 3D très réalistes de pratiquement n'importe endroit sur la Terre ! Et tout cela dans l'environnement ArcGIS Pro familier.
© Airbus DS 2023 - Réalisé à partir d'images Pléiades Néo
L’imagerie satellitaire libère le potentiel des données géospatiales 3D à l’échelle mondiale.
Les images satellite sont extrêmement intéressantes car elles offrent une couverture mondiale, une collecte de données cohérente dans le temps et une perspective unique à grande échelle. En plus du contexte et des informations fournies par l'imagerie satellite elle-même, les produits géospatiaux générés par Reality Mapping vous permettent d'extraire des informations supplémentaires notamment en 3D. La cartographie obtenue par Reality Mapping avec de l'imagerie satellite RPC vous permet de créer des représentations numériques incroyablement fidèles à la réalité et précises, fournissant ainsi un outil puissant pour obtenir des informations plus approfondies et une compréhension de toute région d'intérêt, quels que soient sa taille ou son emplacement. De plus, vous pouvez améliorer davantage votre capacité à visualiser, analyser et comprendre des régions d'intérêt vastes ou éloignées en tirant parti des puissants outils d'analyse qui existent déjà dans ArcGIS, tels que la détection des changements, l'analyse multidimensionnelle, les analyses de visibilité et de champ de vision, et d'autres fonctionnalités basées sur l'IA.
Explorons plus en détails les avantages de l'ajout des capacités de Reality Mapping sur des images satellites dans ArcGIS Pro.
Obtenir un aperçu précis de zones difficilement accessibles
L’imagerie satellitaire est un contenu précieux pour observer et comprendre des événements dans des zones difficiles ou impossible d'accès. L'intégration du Reality Mapping dans votre flux de travail SIG vous permet de voir les choses telles qu'elles sont réellement, dans des endroits où vous ne pouvez pas être. Ce pont reliant le monde numérique et le monde réel vous permet de prendre des décisions éclairées, qu'elles soient liées à des situations d'urgence ou à des circonstances non urgentes mais néanmoins stratégiques. Par exemple, il vous permet d’évaluer avec précision l’étendue des dommages causés par les catastrophes naturelles, de détecter des constructions ou des équipements récents ou de cartographier et quantifier des déforestations même lorsque vous êtes physiquement éloigné du lieu. Tout cela grâce à la 3D.
Prendre de meilleures décisions sur de vastes domaines d’intérêt, plus rapidement
Avant l'ajout de la prise en charge de l'imagerie satellite RPC, ArcGIS Reality for ArcGIS Pro vous permettait déjà de créer des produits géospatiaux 3D à l'aide d'images aériennes et de drones. Les drones peuvent capturer fréquemment des images haute résolution et sont très efficaces lorsqu’une cartographie détaillée du site est nécessaire. Les avions avec équipage sont très efficaces pour capturer des images haute résolution de villes entières, voire de pays. Désormais, grâce à la prise en charge de l'imagerie satellite, vous pouvez tirer parti de la capacité unique des satellites à capturer rapidement des données sur pratiquement toutes les zones d'intérêt dans le monde. Cette perspective supplémentaire améliore les capacités analytiques et fournit des informations précieuses pour la prise de décision urgente dans des applications telles que la réponse et la gestion des catastrophes, ainsi que la sécurité et la défense.
Réduire les risques
La cartographie de la réalité avec l'imagerie satellite RPC offre une alternative sûre et efficace pour la collecte et l'analyse de données. En tirant parti de l’imagerie satellite, des informations précieuses peuvent être obtenues sans avoir besoin d’une présence physique dans des zones dangereuses ou inaccessibles. Il permet une évaluation à distance de l'environnement, l'identification des risques potentiels et une prise de décision éclairée, tout en réduisant les risques pour les vies humaines et les équipements coûteux.
Ceci est particulièrement utile lorsqu’il s’agit de zones sinistrées actives et de zones de conflit ou pour évaluer les conditions récentes dans des régions éloignées au terrain difficile.
Un accès facile amplifie l’utilité de l’imagerie satellite
La disponibilité croissante de l’imagerie satellitaire a révolutionné divers domaines. Cela a ouvert de nouvelles possibilités en matière de cartographie, de surveillance environnementale, de planification urbaine et de réponse aux catastrophes. Les fournisseurs de satellites commerciaux comme Maxar, Blacksky et Airbus, qui sont des partenaires importants d'Esri, proposent des images haute résolution de presque n'importe quel endroit sur Terre. Ces images sont accessibles via des services d'abonnement ou des achats à la demande, permettant aux organisations d'acquérir rapidement des images satellite.
En intégrant l'imagerie satellite dans les flux de travail de Reality Mapping, les organisations peuvent désormais créer des représentations précises et détaillées du monde réel. Cette intégration facilite une meilleure prise de décision et une meilleure compréhension de notre planète.
En savoir plus sur la cartographie de la réalité à l'aide de l'imagerie satellite
Pour en apprendre davantage sur les capacités de Reality Mapping d'ArcGIS, en particulier à partir d'imagerie satellite, vous pouvez :- Regarder la vidéo de démonstration ci-dessus du récent webinaire "Large Area Mapping with ArcGIS"
- Suivre ce didacticiel étape par étape : Créer un produit de modèle numérique de surface à partir d'images satellite dans ArcGIS Reality for ArcGIS Pro
- Consulter la page "Imagerie et Télédétection" du site Esri France et prendre contact avec nos équipes d'experts
Toutes les images satellite de cet article de blog proviennent d'Airbus de la constellation PleiadesNeo et sont traitées par Esri à l'aide d'ArcGIS Reality pour ArcGIS Pro.
Au-delà de la prise en charge des satellites : d'autres façons dont ArcGIS améliore la cartographie de la réalité
La prise en charge des satellites n'est pas la seule nouvelle fonctionnalité intéressante d'ArcGIS Reality for ArcGIS Pro. Cette nouvelle version introduit non seulement la prise en charge de l'imagerie satellite RPC, mais améliore également les fonctionnalités pour s'adapter à diverses entrées de données et emplacements de stockage. Dans cette nouvelle version, les utilisateurs peuvent intégrer de manière transparente différents types de données et de travailler avec leurs systèmes de stockage de données préférés, offrant ainsi un flux de travail plus flexible et plus efficace pour la cartographie de la réalité.
Accédez à vos données dans le cloud
Vous pouvez désormais utiliser les images stockées dans les magasins d'objets AWS, Azure et d'ArcGIS Entreprise pour vos workflows de Reality Mapping grâce à la dernière version d'ArcGIS Reality for ArcGIS Pro. Vous n'êtes plus limité aux contraintes de stockage des disques locaux ou des dossiers réseau. En tirant parti du cloud, vous pouvez réduire les frais généraux de gestion informatique liés à la mise en place de votre propre infrastructure de stockage ou utiliser votre propre environnement de gestion cloud pour créer un accès facile aux entrées de cartographie de la réalité dont vous avez besoin, quand vous en avez besoin.
Prise en charge des caméras à obturateur roulant
Avec la dernière version d'ArcGIS Reality for ArcGIS Pro, vous pouvez générer des photomaillages 3D (3D Textured Meshes) de haute qualité et d'autres produits de cartographie de la réalité à partir d'images de drones capturées à l'aide de caméras à obturateur roulant. Vous obtiendrez désormais des résultats d'alignement plus précis pour les images capturées à l'aide de caméras à obturateur roulant. Les résultats d'alignement de meilleure qualité augmentent la précision et l'exactitude globale des MNT/MNS, des true-orthos, des nuages ??de points et des photomaillages 3D.
Pour plus d'information sur ArcGIS Reality for ArcGIS Pro, vous pouvez consulter cette page ou prendre contact avec Esri France à cette adresse.
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1:00
Camptocamp: Innovations and Standards in Geospatial
sur Planet OSGeoPièce jointe: [télécharger]
At Camptocamp, we are deeply committed to the heart of the open source communities, not just to spur innovation but also to integrate the needs of our clients and partners.
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23:30
Calendrier des prochaines formations sur les Données Foncières
sur Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)Publié le 20 août 2023Retrouvez le calendrier des formations sur les données foncières Sessions sur les Fichiers fonciersFormation certifiée QualiopiDu 11 au 13 juin 2024 à Aix-en-ProvenceDu 14 au 16 mai 2024 à Lille Sessions sur DV3FFormation certifiée (…)
Lire la suite
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17:04
Décrire la carte, écrire le monde
sur Cartographies numériques
La revue scientifique à comité de lecture international Phantasia porte une attention spécifique à l’imagination sous toutes ses formes, rigoureusement articulée à des problématiques et des thèmes aussi variés que la conscience, la perception, l’affectivité, la corporéité, la représentation, l’image, l’expérience esthétique, le langage, la textualité, l’écriture, le politique, le social, le droit, l’histoire, la culture ou la connaissance en général. Elle consacre son volume 13 à la carte et à l'écriture du monde :Ost, I., d'Avout, A. (dir.). « Décrire la carte, écrire le monde », Phantasia, vol 13, 2023. L'ensemble des articles de la revue est accessible en open access.
Extrait de l'introduction
« Si la carte constitue un système de signes complexe méritant un décodage patient, il arrive qu’elle s’impose à l’observateur dans un régime d’immédiateté esthétique. Par la richesse de ses lignes, de ses formes, de ses couleurs, de ses noms, l’image cartographique semble moins s’offrir comme un instrument de connaissance que comme la source d’un émerveillement spontané, emblématique de l’étendue et de la diversité du monde [...]. Dès l’origine conçue comme une œuvre d’art digne des plus grands maîtres, la carte n’a pas manqué, sinon de fasciner, du moins d’interpeller les autrices et les auteurs, qui ont cherché à rendre compte de sa beauté. Mais à y regarder de plus près, jusqu’où ceux-ci ont-ils véritablement entrepris de la décrire, de traduire son scintillement graphique comme sa rigueur scientifique en des termes aussi clairs que précis?? [...] Représentation du monde située à mi-chemin entre l’image (par son caractère visuel) et le langage (par sa nomenclature, ses toponymes et la légende qu’elle contient), la carte engage une lecture progressive et patiente, qu’une plume trop alerte serait en peine de restituer. [...] Représentation elle-même difficilement représentable, la carte résiste au mouvement de la description littéraire : dans les lignes de tel roman ou de tel essai, elle apparaît plus souvent sous la forme d’esquisses que de compositions abouties... Au fond, l’intérêt de la description littéraire des cartes repose sur la nature spéculaire de l’objet : la carte ne constitue-t-elle pas elle-même, avec ses codes et ses conventions spécifiques, une manière d’écrire le monde?? En faire l’objet d’un texte ne revient-il pas à proposer de facto une mise en abyme, à redoubler l’interprétation du réel dont tout support cartographique est porteur?? »
Table des matières
Aurélien d’Avout & Isabelle Ost Introduction
PARTIE 1. APPROCHES PANORAMIQUESIsabelle Ost Littérature et cartographie. Histoire de trompe-l’œil
Théo Soula Jeux d’échelles : aux limites de la littérature et de la cartographie
PARTIE 2. DYNAMIQUES DESCRIPTIVESClaire Olivier Rebattre les cartes, l’ekphrasis paradoxale de Philippe Vasset
Giacomo Fuk Les cartes utopiques de Louis Marin
Manon Delcour Du lac de Grand-Lieu à une carte des grands lieux : résidence d’écriture et pratiques cartographiques
PARTIE 3. NAVIGATIONS NUMÉRIQUESNathalie Gillain Dreamlands Virtual Tour, le projet carto-photographique d’Olivier Hodasava : filiation perecquienne et enjeux de la cartographie numérique
Anna Guilló Du Google Art au roman contemporain.Écriture, cartographie et géolocalisation
COMPTES RENDUSHenri Desbois Abstractions cartographiques : trois volumes du collectif Stevenson. Stevenson, Mappa Insulae, mappa Urbis et mappa Naturae, Marseille, Éditions Parenthèses, 2019, 2021 et 2023
Cécile Chatelet Émilie Ieven, Les territoires politiques de la littérature contemporaine française. Espace, ligne, mouvement, Paris, Presses universitaires de Vincennes, 2023
Juliette Morel Ceci n’est pas un atlas, Nepthys Zwer éditeur, Éditions du commun, 2023
Maxime Berges Aurélien d’Avout, La France en éclats. Écrire la débâcle de 1940, d’Aragon à Claude Simon, Bruxelles, Les Impressions Nouvelles, 2023
A propos des auteurs
Aurélien d’Avout
Ancien élève de l’ENS (Paris), agrégé de Lettres modernes et docteur en Littérature française, il est actuellement chargé de recherches du F.R.S.-FNRS à l’UCLouvain Saint-Louis Bruxelles. Ses recherches portent principalement sur la prose narrative du xxe siècle, les rapports entre littérature et géographie, la poétique du récit de guerre et la génétique des textes. Il a notamment publié l’ouvrage La France en éclats. Écrire la débâcle de 1940 d’Aragon à Claude Simon (Impressions Nouvelles, 2023).
Isabelle Ost
Elle est professeur ordinaire en littérature et en philosophie à l’UCLouvain Saint-Louis Bruxelles. Elle y co-dirige le Centre Prospéro. Langage, image et connaissance ainsi que l’École des sciences philosophiques et religieuses. Ses recherches et publications portent principalement sur les rapports entre philosophie et littérature ainsi que sur la littérature contemporaine de langue française. Elle supervise actuellement un programme de recherche (PDR du F.R.S.-FNRS) consacré aux rapports entre littérature et cartographie : dans ce cadre, elle a dirigé un ouvrage collectif intitulé Cartographier. Regards croisés sur des pratiques littéraires et philosophiques contemporaines (PUSL, 2018) et a co-dirigé le présent numéro de la revue Phantasia (Décrire la carte, écrire le monde).
Articles connexes
Hors du monde : la carte et l'imaginaire - Exposition cartographique (Strasbourg, du 18 mai au 20 octobre 2019)
Un océan de livres : un atlas de la littérature mondiale
Carte des road trips les plus épiques de la littérature américaine
Le tour de France des classiques de la littérature (Gallica - BNF)
Le voyage d'Ulysse. Comment cartographier un mythe ?
Cartes et fictions (XVIe-XVIIIe siècle) par Roger Chartier
Vers une carte interactive de la littérature de fiction dans le monde
Découvrir Paris à travers les grands classiques de la littérature
Fake Britain, un atlas de lieux fictionnels
Rubrique Cartes et atlas imaginaires
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16:39
Nouveautés ArcGIS GeoBIM - Novembre 2023
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
ArcGIS GeoBIM est la solution qui offre aux utilisateurs une expérience web innovante et simple à utiliser pour permettre aux équipes de collaborer sur des projets de conception et de modélisation d'infrastructures (BIM) et de résoudre les problèmes en s'appuyant sur le contexte géographique (SIG) de cette dernière. Les équipes d'architecture, d'ingénierie, de construction (AEC) et les équipes d'exploitation peuvent ainsi prendre de meilleures décisions en accédant en toute sécurité à des informations à jour sur les projets et les équipements, notamment les modèles numériques 3D, la documentation, les problèmes et la capture de la réalité.
La récente version de novembre 2023 étend la collaboration aux opérations terrain en intégrant ArcGIS GeoBIM à ArcGIS Field Maps. Des améliorations ont également été apportées pour géoréférencer les documents encore plus rapidement et faire gagner du temps aux utilisateurs. Je vous propose de voir cela plus en détails.
Prise en charge de la collaboration sur le terrain avec ArcGIS Field Maps
ArcGIS GeoBIM s'intègre désormais à ArcGIS Field Maps pour améliorer la collaboration SIG et BIM entre le bureau et le terrain sur les projets et les actifs. Les équipes peuvent facilement accéder à des informations précises sur le terrain tout en restant au courant de la logistique du site et en accélérant le traitement des problèmes.Image montrant une scène 3D d'un projet de construction dans ArcGIS GeoBIM (à droite) et l'application mobile
ArcGIS Field Maps (au centre à gauche) pour collecter des problèmes et des notes.
Les parties-prenantes et les chefs de projet intervenant sur le site de l'infrastructure peuvent désormais collecter des problèmes et des notes sur le terrain relatives aux projets directement dans ArcGIS GeoBIM avec des cartes activées pour l'usage en mobilité (connecté ou déconnecté). Ils peuvent vérifier les problèmes collectés dans ArcGIS GeoBIM et apporter des modifications si nécessaire. Lorsqu'ils sont prêts, les chefs de projet peuvent facilement télécharger les problèmes examinés vers Autodesk Construction Cloud ou BIM 360 à l'aide des nouveaux outils de gestion de problèmes dans les applications ArcGIS GeoBIM.
Les collaborateurs opérant sur le terrain ont désormais accès à une carte mobile plus complète et actualisée du site du projet et aux dernières notes et problèmes issues des BIM d'Autodesk Construction Cloud et de BIM 360 lorsqu'ils sont connectés. À l’aide de l’application mobile ArcGIS Field Maps disponible pour les appareils iOS et Android, ils peuvent créer des problèmes et des notes avec des coordonnées GPS ou simplement en pointant vers un emplacement sur la carte de leur appareil mobile.
Si vous souhaitez approfondir cette intégration, vous pouvez consulter ce récent article (en anglais) : Étendre ArcGIS GeoBIM au terrain avec ArcGIS Field Maps. Vous pouvez également regarder cette liste de vidéos des démos contenues dans l'article de blog pour voir l'intégration en action.
Grâce à la collaboration d'ArcGIS Field Maps et d'ArcGIS GeoBIM, un flux de travail numérique rationalisé remplace les processus papier inefficaces et étend l'intégration BIM aux opérations réalisées sur le terrain, améliorant ainsi les flux de travail d'ingénierie et de construction avec une approche géographique. En ajoutant ArcGIS Field Maps aux projets ArcGIS GeoBIM, les équipes AEC et les équipes opérants l'infrastructure peuvent améliorer la productivité, la précision et la collaboration avec les équipes sur site.
ArcGIS Field Maps est une application tout-en-un qui utilise des cartes basées sur les données pour aider les agents de terrain à collecter et modifier des données, à rechercher des ressources et des informations, et à signaler leur emplacement en temps réel. Parce qu'il est construit sur la plateforme ArcGIS, tout le monde, sur le terrain et au bureau, bénéficie de l'utilisation des mêmes données.
Géoréférencement plus rapide des documents et problématiques BIM
Cette nouvelle version d'ArcGIS GeoBIM apporte également des améliorations pour géoréférencer les documents et les problèmes BIM plus rapidement. Les fichiers IFC (Industry Foundation Classes), les fichiers Autodesk Revit et DWG sont désormais géoréférencés jusqu'à 40% plus rapidement qu'auparavant. Les problèmes sont également géoréférencés jusqu'à 2 fois plus rapidement.
Pour des performances maximales, Esri recommande recommande d'utiliser les modèles Revit Cloud et Cloud Workshared autant que possible et de mettre à niveau les fichiers RVT créés avec Revit 2021 ou une version antérieure.
Pour aller plus loin...
Vous travaillez dans une stratégie de convergence BIM-SIG et vous vous demandez ce que peut apporter ArcGIS et en particulier des applications comme ArcGIS GeoBIM, vous pouvez commencer par lire ces articles du blog arcOrama puis visiter les pages de la communauté des utilisateurs ArcGIS GeoBIM d'Esri pour poser vos questions et participer aux discussions sur les produits. Par la suite, si vous souhaitez aider les équipes d'Esri à développer de nouvelles fonctionnalités ou des capacités améliorées pour les versions futures, vous pouvez exprimer vos idées d'évolution produit sur le site ideas.arcgis.com. N'hésitez pas à contacter vos interlocuteurs techniques et commerciaux chez Esri France pour des échanges plus spécifiques.
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14:40
Stages 2024
sur Le blog de GeomatysStages Geomatys pour 2024- 04/12/2023
- Isabelle Pelissier
Voici les 4 stages proposés en 2024 :
- Création d’un démonstrateur innovant pour la segmentation d’image haute résolution ?
- Démarrage de la commercialisation du logiciel LOG’AU ?
- 3 D Unreal / Cesium ?
- Prototypage de traitement innovants pour un logiciel de suivi de la qualité de l’eau ?
Si l’un de ces thèmes vous interresse n’hésitez pas à postuler : isabelle.pelissier@geomatys.com
Menu Linkedin Twitter YoutubeThe post Stages 2024 first appeared on Geomatys.
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12:36
Jorge Sanz: MSF Mapathon at Universitat de València
sur Planet OSGeoLast week for the first time since the pandemic I attended a Mapathon in person. With the geomaticblog.net retired, this is my first geospatial post on my own website ?. What’s a mapathon? For those that don’t know the term, a mapathon is a gathering of volunteers to do some remote mapping with the objective of improve the cartography of an area of the world that does not have a proper map. -
12:36
Jorge Sanz: MSF Mapathon at Universitat de València
sur Planet OSGeoLast week for the first time since the pandemic I attended a Mapathon in person. With the geomaticblog.net retired, this is my first geospatial post on my own website ?. What’s a mapathon? For those that don’t know the term, a mapathon is a gathering of volunteers to do some remote mapping with the objective of improve the cartography of an area of the world that does not have a proper map. -
11:30
Jackie Ng: Announcing: mapguide-rest 1.0 RC6
sur Planet OSGeo6 years later, I have finally put out another release of mapguide-rest!
The reason for finally putting out a new release (besides being long overdue!), is that I needed a solid verification of the vanilla SWIG API binding work for MapGuide Open Source 4.0 and mapguide-rest was just the ideal project that touches almost every nook and cranny of the MapGuide API. So if mapguide-rest still works with the PHP binding in MapGuide Open Source 4.0, that is as good of an endorsement to the reliability and readiness of these bindings.
For this release of mapguide-rest, it is compatible with the version of PHP that comes with:
- MapGuide Open Source 3.1.2 (PHP 5.6)
- MapGuide Open Source 4.0 Beta 1 (PHP 8.1)
Download
Special thanks to Gordon Luckett and Scott Hamiester for assistance in internal testing of many internal builds of mapguide-rest that finally culminated in this long-overdue release.
Now that this is out of the way, it is back to MapGuide development proper and getting closer to the 4.0 release.
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10:12
Global Heating
sur Google Maps ManiaIn 2023 the Earth's global temperature was 1.05°C warmer than normal. This is extremely alarming as we are quickly approaching what many environmental scientists believe will be the tipping point for global heating. The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) has identified 1.5 degrees Celsius of warming above pre-industrial levels as a critical threshold. Beyond this point, the risks
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9:50
Mise à jour ArcGIS QuickCapture - Novembre 2023
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierArcGIS QuickCapture est l'application de collecte de données mobile rapide d'Esri. Elle permet la collecte de données sur le terrain via une expérience utilisateur simple basée sur de gros boutons. Recueillir des lignes, des polygones et des observations ponctuelles ; tout à la fois et en appuyant simplement sur un bouton !
Depuis quelques jours, la version 1.18 de l'application est disponible. Cette mise à jour inclut des nouveautés et améliorations autour des expressions Arcade, des entrées utilisateur par bouton et des couches d’imagerie orientée.
Prise en charge des expressions Arcade
Dans ArcGIS QuickCapture Designer, vous trouverez désormais un nouvel éditeur Arcade. Utilisez-le pour calculer automatiquement des attributs en utilisant vos propres expressions Arcade ! L'animation ci-dessous montre comment ouvrir l'éditeur et une expression simple pour effectuer un calcul d’intersection d’un point dans un polygone.
Les utilisateurs finaux de l'application mobile ne le remarqueront même pas : appuyez sur un bouton et QuickCapture exécutera Arcade de manière transparente pour enrichir les données collectées. Vous travaillez hors connexion ? Pas de problème : Arcade fonctionnera avec toutes les données que vous collectez même lorsque vous êtes hors connexion.
Ce didacticiel étape par étape (en anglais) vous explique comment créer vos propres expressions Arcade dans QuickCapture. Vous pouvez également consulter cet article de blog (en anglais) de la communauté Esri pour trouver quelques exemples courants d’expressions Arcade.
Des "entrées utilisateur" encore améliorées
Les entrées utilisateur sont une fonctionnalité puissante de QuickCapture ; elles permettent aux utilisateurs terrain d'ajouter des attributs supplémentaires à l'aide de boîtes de dialogue spécialement conçues pour une saisie rapide des données. L'animation ci-dessous montre un exemple dans lequel les entrées de l'utilisateur sont affichées pour définir le matériau, le propriétaire et l'état d'un équipement.
Auparavant, les entrées utilisateur étaient limitées à un maximum de trois par bouton. Vous pouvez désormais en configurer jusqu’à dix !
Avant la version 1.18, les entrées utilisateur étaient présentées selon l'ordre des champs dans votre couche d'entités. À partir de la version 1.18, l'ordre est défini par l'auteur du projet QuickCapture. Pour l'instant, vous devrez définir l'ordre de vos entrées utilisateur en modifiant manuellement le JSON de votre projet QuickCapture. Mais Esri prévoit de permettre de modifier l'ordre visuellement, via QuickCapture Designer, lors de la prochaine mise à jour début 2024.
Couches d’imagerie orientée
Avec ArcGIS QuickCapture, vous pouvez facilement collecter des images terrestres et les exploiter dans ArcGIS. Consultez l'article de blog sur l'imagerie">[https:] orientée et la collecte de données sur le terrain si vous n'êtes pas familier avec ce concept.
L'imagerie orientée est désormais de plus en plus intégrée dans ArcGIS : ArcGIS Online a récemment ajouté la prise en charge des couches d'imagerie orientée et le Map Viewer a introduit un widget d'imagerie orientée.
Utilisez cette mise à jour pour mettre facilement à niveau vos catalogues d’imagerie orientée existants vers la nouvelle couche d’imagerie orientée et exploiter toutes vos données à partir des nouveaux widgets d’imagerie orientée dans Map Viewer et ArcGIS Pro.
Autres améliorations
- Support des GNSS haute précision de la série SXblue
- Gérer la visibilité des couches dans votre carte QuickCapture
- Configurer l'ordre dans lequel les entrées utilisateur apparaissent (JSON uniquement)
- Nouveau processus pour la récupération de données
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9:30
Riccardo Ciavolella, 2023, Pétaouchnok(s). Du bout du monde au milieu de nulle part, Paris, La Découverte, 2023, 413 p.
sur CybergeoC’est d’abord une curiosité amusée qui pousse les géographes à feuilleter cet ouvrage. Cet "atlas imparfait", aux dires de son auteur, invite à un tour du monde en 80 lieux, et peut d’abord se comprendre comme une invitation au voyage, exercice que nous pratiquons si souvent dans nos grands et petits livres, récits des voyages d’exploration historiques, ou petits récits de voyage au fil de nos histoires. C’est une cartographie sémantique tout autant que géographique que l’auteur nous propose, en indiquant au début de ses notices des éléments de contexte et d’usage pour situer chaque lieu. Aux antipodes des "non-lieux" scrutés par Marc Augé, l’attention est ici portée sur la singularité de chacun de ces bouts du monde, voire des antimondes comme ceux qu’a étudiés Roger Brunet, ou encore des tiers lieux, qu’évoquent par exemple Armelle Choplin et Olivier Pliez dans leur ouvrage sur "la mondialisation des pauvres".
Pendant plus de 400 pages, l’auteur s’amuse et sait divertir ses lecteur...
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9:30
CybergeoNetworks 2: una robusta aplicación de aprendizaje para publicaciones científicas
sur CybergeoCon motivo del coloquio desarrollado el 26 de mayo del 2016 para celebrar el 20º aniversario de la revista Cybergeo, cuatro jóvenes investigadores unieron fuerzas para desarrollar una aplicación altamente pionera para el análisis geográfico, estadístico y semántico de datos extraídos del conjunto de datos de Cybergeo (texto completo y metadatos) y además datos en línea asociados a la revista entre 1996 y 2015 (motores de búsqueda, Tweets, citas y publicaciones), naciendo así el sitio CybergeoNetworks. Fieles a nuestra política de publicación a acceso abierto, tal aplicación permite localizar visual y estadísticamente datos referentes a los autores de los artículos de la revista, países estudiados y citados, o incluso quien estudia qué. Compuesto por cuatro módulos interactivos, la información proporcionada por sus análisis es remarcable. Por ejemplo, es posible agrupar países por redes semánticas, visualizar y asociar a estos según la procedencia de los autores (información que Lode...
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9:30
CybergeoNetworks 2: a deep learning application for scientific publishing
sur CybergeoOn the occasion of the conference held on May 26, 2016 to celebrate the 20th anniversary of Cybergeo magazine, four young researchers joined forces to develop a pioneering application for geographic, statistical and semantic analysis of data extracted from the Cybergeo corpus (full text and metadata), as well as online data associated with the magazine between 1996 and 2015 (search engines, tweets, citations and publications). The CybergeoNetworks website was born. In keeping with our open-access publishing policy, it provides visual and statistical access to data on the location of the authors of the journal's articles, the countries studied and cited, and who is studying whom? Comprising four interactive modules, the information provided by its analyses is impressive. For example, it is possible to group countries by semantic networks, to visualize the states to which authors are affiliated (information that Lodel, OpenEdition's publishing software, does not provide in its current...
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9:30
CybergeoNetworks 2 : une application d’apprentissage profond au service de la publication scientifique
sur CybergeoA l’occasion du colloque du 26 mai 2016 pour la célébration des 20 ans de la revue Cybergeo, quatre jeunes chercheurs se sont associés pour développer une application tout à fait pionnière d’analyses géographique, statistique et sémantique des données extraites du corpus de Cybergeo (plein texte et métadonnées), mais aussi des données en ligne associées à la revue entre 1996 et 2015 (moteurs de recherche, tweets, citations et publications). Le site CybergeoNetworks, est né. Fidèle à notre politique de publication en accès ouvert, il permet de situer visuellement et statistiquement des données sur la localisation des auteurs des articles de la revue, les pays étudiés et cités, ou encore qui étudie qui ? Composée de quatre modules interactifs, l’information fournie par ses analyses est impressionnante. A titre d’exemple, il est possible de regrouper des pays par réseaux sémantiques, de visualiser les États auxquels sont affiliés les auteurs (une information que Lodel, le logiciel d’éd...
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9:30
Philipp Ther, 2023, How the West Lost the Peace: The Great Transformation Since the Cold War, Polity, 304 p.
sur CybergeoÀ toutes les époques, il y eut des voix pour espérer faire une seule nation de l'humanité entière, mais à chaque génération le rêve recule un peu plus. La chute du mur de Berlin, en 1989, a soulevé de nouveaux espoirs, qui ont amené Habermas (1994) à préparer comme objectif à long terme "de surmonter progressivement la division et la stratification sociale de la société mondiale, sans porter atteinte aux singularités culturelles". Dans ce contexte idéalisé, développé par les médias occidentaux, la population a subi une surprise brutale lors de l’agression russe en Ukraine en 2022. Finis les rêves, il semblait qu’on avait perdu la paix, comme en d’autres temps on avait perdu la guerre.
Dans la dernière édition de son livre, paru en 2023 chez Polity (How the West Lost the Peace: The Great Transformation Since the Cold War), l’historien Philipp Ther cherche à comprendre comment cette défaite est arrivée. Gagner la paix, comme gagner la guerre, suppose des sacrifices et la prise de risqu...
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9:30
Is a dense city a healthy city? A preliminary study on the interplay between urban density and air quality in Oran, Algeria
sur CybergeoThe general consensus is that dense cities are more sustainable. However, high urban density or compact urban form may affect the health of city dwellers, more particularly when compactness is not associated with the provision of mass transit systems. This paper analyses the correlation between urban density indicators and air pollution in Oran (Algeria), a city that suffers a lack of public transport. It assesses the density of green space needed to reduce airborne pollutants in cities. The paper also examines the impacts of exposure to air pollution on respiratory mortality using a quantitative health impact assessment methodology. Findings show that population density and building density strongly correlates with air pollution, due to motorized transport and other human activities (e.g. industries, residential heating or lacking green space). Results indicate that for population density greater than 12100 inhabitants/ha with associated values exceeding 100 for building density an...
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9:30
Contribution of maritime surveillance data to French Maritime Spatial Planning: between technical potential and political constraints
sur CybergeoMaritime Spatial Planning (MSP) is widely recognised around the world as a lever for sustainable development at sea. In practice, it is a new form of negotiation for the use of maritime space and its resources. To support shared decision-making, MSP requires information on the spatiotemporal dynamics of existing maritime activities. In this context, maritime surveillance, operated in real-time by the State (defence, fisheries monitoring) is a strategic source of data (AIS, VMS and radar) and information for planning purposes. While these data are growingly used by the scientific community, their contributions to MSP remains marginal. This article identifies the main reasons for this, drawing on 38 semi-directive interviews with French MSP stakeholders. It highlights two obstacles to the use of data for MSP: a) a limited accessibility of data for many actors, especially public ones and; b) a lack of acceptability on the part of historical users of maritime space when faced with their...
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9:30
Le péage urbain de Tromsø, l’urbanisme durable à l’épreuve de la périphéricité arctique
sur CybergeoL’article s’intéresse au processus d’instauration du péage urbain de Tromsø, dont l’adoption très tardive (2021) pose question dans un pays qui a fait de l’exemplarité environnementale un levier d’intégration mondiale. L’article propose une lecture géohistorique du processus d’adoption du péage au prisme des relations centre-périphérie, explorant les racines de la rétivité locale aux principes nationaux de l’urbanisme durable et s’attachant à comprendre l’attachement singulier des habitants à l’automobile. À l’heure où ailleurs en Europe, la reconfiguration des relations centre/périphérie marque une autonomisation des villes face à la tutelle étatique, l’établissement du péage urbain de Tromsø se singularise par le maintien d’une forte dualité entre la centralité méridionale et sa périphérie septentrionale. L’instauration du péage signe la fin d’un régime particulier accordé à la municipalité par l’État, et révèle le changement de statut de la ville, passée, malgré elle, de marge se...
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9:30
Contribution des données de surveillance maritime à la Planification de l’Espace Maritime français : entre potentiels techniques et contraintes politiques
sur CybergeoLa Planification de l’Espace Maritime (PEM), plébiscitée autour du globe comme un levier du développement durable en mer, s’illustre en pratique comme une nouvelle forme de négociation pour l’usage de l’espace maritime et de ses ressources. Pour alimenter et conforter la prise de décisions partagées, la PEM suscite un fort besoin d’information sur les dynamiques spatiotemporelles des activités maritimes existantes. Dans ce contexte, la surveillance maritime opérée en temps réel par l’État (défense, suivi des pêches) s’inscrit comme une source stratégique de données (AIS, VMS et radar) et d’informations au profit de la planification. Si l’exploitation de ces données fait l’objet d’un intérêt croissant de la part de la communauté scientifique, leur contribution effective à la planification en mer demeure marginale. Cet article en identifie les principales raisons à partir d’une enquête par entretiens semi-directifs réalisée auprès de 38 acteurs de la PEM française. Il met en lumière d...
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9:30
La dialectique entre activités informelles et action de l’État dans la construction territoriale des grands espaces : le cas de l’orpaillage dans l’intérieur de la Guyane française
sur CybergeoLes grands espaces, ou régions faiblement peuplées, se distinguent par une série de caractéristiques spécifiques et notamment par un contrôle incomplet de la part des États. Cela ouvre des brèches pour l’exercice de pratiques qui, si elles sont ou illégales ou à la limite de la légalité, apportent des ressources économiques, des connaissances sur les territoires concernés et participent finalement à la domination, voire à la conquête des zones concernées par les États. Bien qu’invisibles ou réprimées, ces activités informelles influencent donc, directement ou indirectement, la construction officielle, symbolique et matérielle du territoire. Cet article analyse la pratique de l’orpaillage en Guyane selon cette perspective. En analysant le jeu dialectique entre contrôle formel du territoire et exploitation informelle des ressources, il met en relief la contribution des activités informelles à l’exploration, à la formation des frontières et à la gouvernance de l’intérieur de ce territo...
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9:11
#1Jour1Carte - Édition hiver, spéciale fête de l'Avent 2023
sur Makina CorpusÀ partir de début décembre, Makina Corpus vous invite à suivre son événement "1Jour1Carte", édition hiver spéciale Fête de l'Avent 2023, sur ses réseaux sociaux : Twitter et LinkedIn.
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8:50
ArcGis Indoors Floor Plan Editor
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueArcGIS Indoors s’enrichit d’une nouvelle application web carto-centrique afin de créer et de modifier les données de plan d’étage. « ArcGis Indoors Floor Plan Editor » répond aux problématiques de délai d’obtention et de chargement des mises à jour des sources de données dans la Géodatabase. Elle donne la possibilité aux techniciens opérationnels de prendre le contrôle de la gestion et de la maintenance de leurs données en dehors d’ArcGIS Pro de façon intuitive. Ils peuvent donc concevoir des données de plan d’étage quand aucune donnée source numérique n’est existante. Ils peuvent aussi corriger ou mettre à jour les données sans attendre que les données sources soient rechargées ou encore planifier un scénario d’aménagement afin d’anticiper les modifications de disposition. À l’avenir, des fonctionnalités devraient être ajoutées à la première version bêta, comme copier et coller des éléments, créer de nouveaux plans à partir d’éléments existants, ou mesurer et s’accrocher à des objets pendant la saisie.
+ d'infos :
esri.com
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8:30
Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur MappemondeL’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
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8:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur MappemondeLes classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.
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8:30
L’accessibilité dans les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien
sur MappemondeL’analyse des parentés observées entre les petits espaces insulaires du Sud-Ouest de l’océan Indien nous a conduits à mettre en évidence cinq spécificités de l’accessibilité insulaire. À partir de ces traits fonctionnels, le but poursuivi par cette étude est donc de modéliser l’accessibilité insulaire. Pour ce faire, nous examinons la nodalité et la réticularité des ports et aéroports insulaires régionaux.
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8:30
La morphologie de la ligne de flux. Une nouvelle variable visuelle issue du système de Cartes figuratives de Minard
sur MappemondeLes travaux de Charles-Joseph Minard (1781–1870) sur la cartographie des flux et des « mouvements de transports » sont historiquement reconnus. Unanimement salués, ils font l’objet de mentions régulières voire d’anthologies, mais qui s’intéressent davantage à l’image qu’à la méthode mise en œuvre. L’examen de la fabrique de son « système de Cartes figuratives » nous conduit à présenter les apports fondamentaux de Minard sur la sémiologie cartographique des flux/mouvements, à révéler l’ancrage théorique, méthodologique et conceptuel de ces cartes. L’analyse de la forme perçue sur la carte du dessin de la ligne de flux nous pousse à introduire une nouvelle variable visuelle : la morphologie.
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8:30
Atlas des phares du bout du monde, Autrement, 2021
sur Mappemonde« L’Atlas des phares du bout du monde » est l’une des traductions (il y en aurait onze) du Breve Atlas de los Faros del Fin del Mundo paru en 2020 aux éditions Menguantes. L’auteur, graphiste de métier, déclare dans son avant-propos qu’il est « loin d’être un expert en la matière » et que c’est la rencontre fortuite entre son envie de faire un de ces « atlas poétiques (…) capables de vous transporter dans des lieux reculés depuis le confort de votre canapé », ses compétences de graphiste et un travail qu’il a dû faire, au cours duquel il a dessiné des phares qui ont été la source de son inspiration.
L’ouvrage présente 34 phares qui sont, d’abord, tous localisés sur une belle carte du monde, sans limite étatique, réalisée dans des tons bleus et jaunes pâles. Puis, chaque phare est présenté en quatre pages, toujours selon la même structure. D’abord une page de texte accompagnée de quelques informations de localisation et, en vis-à-vis, le dessin, réalisé par l’auteur, du phare dans so...
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8:30
Atlas des grandes découvertes. De l’Antiquité à nos jours, Autrement, 2021
sur MappemondeVoici un atlas pour lequel Stéphane Dugast, pour l’écriture des textes, Xemartin Laborde, pour les cartes, et Audrey Lagadec, pour les illustrations, ont été associés pour le plus grand plaisir de nos connaissances et de notre imagination. Un atlas est un recueil de cartes, celui-ci, comme l’explique l’introduction, est « une ode à la carte » offrant de célébrer les grandes découvertes qui ont rythmé l’histoire de l’humanité.
L’atlas est découpé en cinq grandes parties organisées de manière chronologique. Chaque page comporte une notice présentant un(e) ou plusieurs explorateurs/exploratrices et, le plus souvent, une carte qui décrit les voyages d’exploration effectués. Les cartes sont, en apparence, très simples avec peu de figurés, mais elles permettent une visualisation claire et précisent des faits d’exploration décrits dans la notice. Certaines pages montrent le monde « connu » à des époques plus anciennes avec des mappemondes comme celle de Ptolémée ou d’Al Idrissi. Le texte es...
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8:30
Grand Atlas de l’Antiquité romaine, Autrement, 2019
sur MappemondeCet atlas, rédigé par Christophe Badel et Hervé Inglebert avec des cartes de Claire Levasseur, offre un vaste panorama de l’Empire romain : de ses prémices au IIIe siècle av. J.-C. aux conséquences de son effondrement au Ve/VIe siècle.
Cet atlas commence par des cartes anciennes reconstituant la vision des anciens de leur monde. La plus célèbre de ces cartes est celle dite « Table de Peutinger », copie médiévale d’un original du IIe/IVe siècle, qui représente le réseau routier de l’Empire romain. Page 63, l’atlas fait également figurer l’énigmatique carte romaine d’Agrippa. L’hypothèse est qu’il s’agissait d’une carte, située sur le temple du forum d’Auguste, qui aurait été créée pour montrer l’étendue de l’Empire au 1er siècle. Carte ou liste de lieux ou de routes perdue irrémédiablement, mais dont l’existence supposée montre tout l’intérêt des autorités impériales pour leur immense territoire et pour ce moyen très pratique de se l’approprier, tout au moins par le regard, qu’est l’o...
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8:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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8:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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8:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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1:00
MapTiler: GeoCamp ES 2023
sur Planet OSGeoGeoCamp ES is a non-profit, free-to-attend, and self-financed national conference of the international collective Geoinquietos. To talk and learn about earth sciences, open geodata services, free software, and GIS applications, especially around the OSGeo community. -
1:00
MapTiler: GeoCamp ES 2023
sur Planet OSGeoGeoCamp ES is a non-profit, free-to-attend, and self-financed national conference of the international collective Geoinquietos. To talk and learn about earth sciences, open geodata services, free software, and GIS applications, especially around the OSGeo community. -
15:50
From GIS to Remote Sensing: Tutorial: Using Remotior Sensus in Copernicus JupyterLab
sur Planet OSGeoThis is a tutorial about Remotior Sensus, a Python package that allows for the processing of remote sensing images and GIS data.
In particular, this tutorial describes the use of Remotior Sensus in Copernicus JupyterLab, which is a Jupyter Notebook service in a web-based environment, offering several tools for working with the Copernicus Data Space.This service can be accessed at this link [https:]] after a free registration to the Copernicus Data Space Ecosystem (CDSE).
The Jupyter Notebooks are available in 3 flavors: Small (2 CPU cores and 4GB RAM), Medium (2 CPU cores and 8GB RAM) and Large (4 CPU cores and 16GB RAM). As stated in the documentation, to ensure the fair use of resources by the CDSE users, it is recommended to start with the Small flavor and switch to a bigger only in case of issues with kernel crashing due to the lack of available memory.
Therefore, the Copernicus JupyterLab offers a great opportunity to use Copernicus data in a cloud environment. In this tutorial, we are going to see how to:- Download and preprocess Sentinel-2 images.
- Create a BandSet and prepare a training input
- Run a Random Forest classification
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14:31
Free and Open Source GIS Ramblings: Mapping Neo4j spatial nodes with GeoPandas
sur Planet OSGeoIn the recent post Setting up a graph db using GTFS data & Neo4J, we noted that — unfortunately — Neomap is not an option to visualize spatial nodes anymore.
GeoPandas to the rescue!
But first we need the neo4j Python driver:
pip install neo4j
Then we can connect to our database. The default user name is
neo4j
and you get to pick the password when creating the database:from neo4j import GraphDatabase URI = "neo4j://localhost" AUTH = ("neo4j", "password") with GraphDatabase.driver(URI, auth=AUTH) as driver: driver.verify_connectivity()
Once we have confirmed that the connection works as expected, we can run a query:
QUERY = "MATCH (p:Stop) RETURN p.name AS name, p.location AS geom" records, summary, keys = driver.execute_query( QUERY, database_="neo4j", ) for rec in records: print(rec)
Nice. There we have our GTFS stops, their names and their locations. But how to put them on a map?
Conveniently, there is a to_db() function in the Neo4j driver:
import geopandas as gpd import numpy as np with driver.session(database="neo4j") as session: tx = session.begin_transaction() results = tx.run(QUERY) df = results.to_df(expand=True) df = df[df["geom[].0"]>0] gdf = gpd.GeoDataFrame( df['name'], crs=4326, geometry=gpd.points_from_xy(df['geom[].0'], df['geom[].1'])) print(gdf) tx.close()
Since some of the nodes lack geometries, I added a quick and dirty hack to get rid of these nodes because — otherwise —
gdf.explore()
will complain about None geometries.You can find this notebook at: [https:]]
Next step will have to be the relationships. Stay posted.
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8:22
Cinquième édition du défi cartographique #30DayMapChallenge (novembre 2023)
sur Cartographies numériquesLa 5e édition du défi cartographique du #30DayMapChallenge s'est terminée fin novembre 2023. Parmi les thèmes proposés, on retrouve un certain nombre de classiques de la cartographie et de la sémiologie graphique. Cette année, les couleurs ont été un peu laissées de côté au profit des figurés (points, lignes, polygones, hexagones). L'édition 2023 introduit des thèmes nouveaux concernant les continents, la population, l'atmopshère. Enfin quelques thèmes originaux à souligner : les cartes rétros, les cartes de navigation, les cartes du dehors, "Le Nord n'est pas toujours en haut", "Est-ce un graphique ou une carte ?"
Les réalisations peuvent être retrouvées sur X (Twitter) à partir du hashtag #30DayMapChallenge et sur Github. Chaque année, un portfolio est mis à disposition sur le site officiel du 30DayMapChallenge.
Bravo à tous les auteurs, anciens ou nouveaux, qui ont participé à cette édition 2023 ! Voici une sélection parmi nos coups de coeur
#30DayMapChallenge Day 1: Points
— Romain T. (@Romainsologne) November 1, 2023
? En automne la forêt de Sologne revêt son plus beau manteau.
?Voici donc une proposition de carte sur la couleur du feuillage de la forêt solognote à partir de la BD FORET. pic.twitter.com/mvTpZoWWqb
Jour 2 : Lignes
— AB Pictoris (@AbPictoris) November 2, 2023
? Connectivité en Mer Baltique#30DayMapChallenge pic.twitter.com/YDoWx9Ms7X
For day 7 - Navigation of the #30DayMapChallenge , a Spilhaus-y animation of one of my favorite datasets: 18th century whaling logbooks from @mysticseaport. #maps #gis #datavis pic.twitter.com/B0U9ccUjwk
— Peter Atwood (@Peterincan) November 7, 2023
#30DayMapChallenge Day 9: Hexagons pic.twitter.com/Q8GmXlJU23
— Ceren Dolma ? (@ceren_do) November 9, 2023
#30DayMapChallenge | Day 9 | Hexagons
— riannek (@fneukirchen) November 9, 2023
Kindergartens in #Berlin. Tools: Python, Geopandas, h3pandas, h3-py and QGIS
Data: Geoportal Berlin (@OpenDataBerlin) and Kontur Population. Cmap: acton by @fcrameri#Kita @KonturInc pic.twitter.com/5l1c9JugME
??#30DayMapChallenge : jour 12, l'Amérique du Sud. Que signifie le nom des États et capitales du continent ? Hypothèses plus ou moins certaines de traductions littérales... Mes préférences : l'une des propositions pour le Chili ??, et aussi pour le Vénézuela ?? ! Et vous ? pic.twitter.com/VSe28agn2B
— Lucas Destrem ??? (@LucasDestrem) November 12, 2023
???Wanted to try the trivariate choropleth script of #Day13 of #30DayMapChallenge on another country, so here is a map of soil texture for contiguous USA
— Benjamin Nowak (@BjnNowak) November 21, 2023
?#RStats code: [https:]] [https:]] pic.twitter.com/qmXKaUaYl5
#30DayMapChallenge - day 14: Europe
— Britt Lonneville (@BrittLonneville) November 14, 2023
As one of my favourite profs at uni taught his puzzled freshmen: "Europe does not exist" (because there is no conclusive definition for it) ? So today let's look at some official and less official interpretations of what Europe is (not) ?? pic.twitter.com/tCPbBcVYeI
#30DayMapChallenge Jour 13 - #Choropleth
— IGN France (@IGNFrance) November 13, 2023
? En France métropolitaine, le taux de boisement (rapport entre la superficie forestière et la superficie totale du territoire) s’élève à 31 %. Cette moyenne masque néanmoins de fortes différences départementales.
?Cinq départements… pic.twitter.com/d3sxduu5Ka
#Day15 of the #30mapchallenge: The Geography of Central London toilets!
— Helen McKenzie (@helenmakesmaps) November 15, 2023
The theme for today is #OpenStreetMap and I wanted to map something that is really hard to find in the data world, to highlight why OSM is so important to the #geospatial industry.#QGIS #CARTO #maps pic.twitter.com/Ts96bU4Xiq
A clear view of the global maritime transport network. One of my creations made it into maritime news from @Splash_247! Go, check it out :) . The #30daymapchallenge is always rewarding. #dataviz #b3d [https:]]
— Julian Hoffmann (@Julian_H0ffmann) December 1, 2023
#30DayMapChallenge Day 17: “Flow”
— Charlie Lott (@chartographie) November 17, 2023
This map tracks the movements of 8 different whale sharks in the Gulf of Mexico. The whale shark is a filter feeding shark, living off of plankton and small fish. They can travel 67 kilometers (42 miles) in a single day. Data from Movebank. pic.twitter.com/8J494uC2LfJour 18 du #30DayMapChallenge :
— perrin remonté (@PerrinRemonte) November 18, 2023
Thème : Atmosphère
une occasion de spammer sur ce petit modèle climatique à 5km de résolution que j’ai usé jusqu’à la corde
Sortez les parapluies, c’est la saison des pluies ????? pic.twitter.com/qhkTqeB4pC
#30DayMapChallenge 2023 Day 19: 5 minute map
— nordaufnordost (@nordaufnordost) November 19, 2023
How far can you travel in 5 minutes?
Done in QGIS (3:36 minutes) and Gimp (2:21 minutes), so a 5 minute-ish map... pic.twitter.com/uVLe0S8wqw
#30DayMapChallenge 21: raster ?? la présence humaine à travers les lumières nocturnes et les bateaux ?? human presence through nightlights and boats pic.twitter.com/snr1YDqmsE
— HistoCarte (@HistoCarte) November 21, 2023
Day 22 : North is not always up. Suivez le tour du monde de Charles Darwin à bord du HMS Beagle ?
— Yasmine ? (@Yasmine_Bouzid_) November 22, 2023
Cette carte est à retrouver dans le nouveau numéro de #Mercator qui sortira demain ! Restez à l'écoute des nouvelles des @Artisans_Cartos pour en savoir plus.#30DayMapChallenge pic.twitter.com/dxp3ZJjtT0
Tadaaaaaaam
— Anne L. (@AlandcoC) November 23, 2023
Jour 23 du #30DayMapChallenge : 3D !
Méandre du Mississippi entièrement brodé main (et carte modèle).
Des heures de boulot, des centaines de points, mais super contente (et fière) du résultat ?#passionméandres
Bonus : fil à dérouler pour d'autres photos ! pic.twitter.com/MWj6R95mdb
#30DayMapChallenge Day 24 : Black & White
— Joël Mariteau (@James_Tib_Kirk) November 24, 2023
Les déplacements domincile-lieu d'études en Bretagne en 2022.
Carte réalisée sous QGIS. Source : INSEE. pic.twitter.com/KlRn1SqjQQ
#30DayMapChallenge day 24: Black & white
— Jean-Marc Viglino (@jmviglino) November 24, 2023
???? with @IGNFrance Vector Tile Service ? #Geoservices #geocommuns ?? #Macarte #MVT
?? online map ?? [https:]] pic.twitter.com/cCyQUv6Gal
#30DayMapChallenge Day 25: Antarctica
— Gaëlle Sutton (@Gaelle_Sutton) November 25, 2023
Lieux de passages, humains et non-humains, à partir des données de Qantarctica du @NorskPolar ??#Antarctica #southpole pic.twitter.com/fm8i7GxSfV#30daymapchallenge Day 26 : Minimal | Africa aspires to be self-sufficient in everything, including food. Will this be possible without the collapse of societies? Just two colors, but countless " If ". pic.twitter.com/f7sShSJAqq
— Padonou Mikhaïl (@229Biodiversity) November 26, 2023Chaque point de cette carte adopte la couleur moyenne des lacs de la zone qu’il recouvre. Seuls un tiers d’entre eux sont encore bleus. Un atlas tristement poétique pour ce défi n°27 “Dot” du #30DayMapChallenge. A mieux scruter dans @Epsiloon_mag #18 ici: [https:]] pic.twitter.com/fPsw5XnzlC
— Léa Desrayaud (@Lea_Des) November 27, 2023
Day 28 of #30DayMapChallenge has the theme 'is this a chart or a map?' For this map, I revisited the same @ghgis data as yesterday. This time I focussed on London with a map exploring spatial patterns of street suffixes in ~1900, with a pie chart (controversial!) per Borough. pic.twitter.com/nZXMGNI1o9
— Heather Chamberlain (@HeatherCh100) November 29, 2023
??#Day28 (chart or map) of #30DayMapChallenge
— Benjamin Nowak (@BjnNowak) November 28, 2023
??This is not a map??
My fav topic, so I tried to comply as closely as possible with the prompt with a treemap inside a map
?#RStats code if you're curious (map only, annotations added with Figma): [https:]] pic.twitter.com/QcUIngEwX7
One more for #30DayMapChallenge 29: Population. This was a backup idea; might as well share it. This shows the population of people living under democracy and dictatorship, defined by a country's level of suffrage, free and fair elections, and freedom of association and the press pic.twitter.com/6G3g6f5qyr
— tterence on bsky (@researchremora) November 29, 2023
? #30DayMapChallenge, jour 29 : Population. ??
— Lucas Destrem ??? (@LucasDestrem) November 29, 2023
Une carte des communes françaises de moins de 100 habitants... Des microscopiques, des inattendues, des célèbres, des zones à forte concentration… le saviez-vous ?
Zoom ??? pic.twitter.com/eR1euipIu9
#30DayMapChallenge 30, one of favorite. Terra Nostra, une Méditerranée orientée ouest/est, reliefs inversés. Ses voyages antiques, ses épaves célèbres, ses naufrages plus récents, anonymes et quotidiens, des bateaux de sauvetage, quelques îles disparues, à vendre ou protégées pic.twitter.com/SjAkMxObiB
— Julien Dupont Kobri (@Kartokobri) November 30, 2023
Suite au #30DayMapChallenge 2023, cet article revient sur cet évènement où la cartographie est à l'honneur: [https:]] . Pour cette 5ème édition les Makiniens se sont impliqués pour : proposer 3 cartes, créer un site interne de votes, vous partager nos cartes préférées pic.twitter.com/XCv0O0ab6E
— Makina Corpus (@makina_corpus) January 16, 2024
Articles connexesDe la géographie au climat, des guerres à l’impact des GAFAM… Le journaliste-cartographe @XemartinLaborde réhabilite la mythique mappemonde et nous invite à observer la planète sous tous ses angles. Venez donc voir !
— 28 minutes (@28minutes) January 27, 2024
? [https:]] @dunod_editeur pic.twitter.com/WGreNbI0ET
Quatrième édition du défi cartographique #30DayMapChallenge (novembre 2022)
Troisième édition du défi cartographique #30DayMapChallenge (novembre 2021)
Deuxième édition du défi cartographique #30DayMapChallenge (novembre 2020)
Un défi cartographique de 30 jours en novembre 2019 (#30DayMapChallenge)
Les cartes et data visualisations de Topi Tjukanov : entre art et cartographie
La cartographie du monde musulman et ses nombreux mapfails
Vidéos des présentations au congrès cartographique NACIS 2022
Comment différencier infographie et data visualisation ?
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0:19
Sean Gillies: 2024 Bear 100 registration
sur Planet OSGeoIn my previous post I said that I was going to register for the 2024 Bear 100 and I did. I was logged into UltraSignup promptly at 8 am on Friday and am glad, because this race apparently filled up within the day. 2024, let's fucking go!
Brunch at Upper Richards Hollow, 2023-09-29
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15:54
From GIS to Remote Sensing: Tutorial: Random Forest Classification Using Remotior Sensus
sur Planet OSGeoThis is a tutorial about Remotior Sensus, a Python package that allows for the processing of remote sensing images and GIS data.In the last few months Remotior Sensus was frequently update to fix and integrate new functions, in particular for the integration with the Semi-Automatic Classification Plugin for QGIS.
In this tutorial we are going to use Remotior Sensus to perform the Random Forest classification of a Copernicus Sentinel-2 image, which involves the following main steps:- Create a BandSet using an image
- Load a training input
- Perform the random forest classification
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12:49
Le samedi, c'est Map Story !
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Bien qu'en baisse d'environ 10% par rapport à l'année 2022, les ventes de Smartphones continuent de représenter une grosse part des achats HighTech dans le monde et constituera cette année encore un des principaux cadeaux de noël. La StoryMap que je vous propose cette semaine offre un regard éclairant sur les impacts environnementaux et humains de cette industrie. Nous savons tous que l'empreinte de nos smartphones n'est pas neutre sur la planète, mais ce récit va vous permettre de comprendre de manière plus précise les enjeux.
Le récit commence tout d'abord par une série de questionnements géographiques qui vous demandent "où sommes-nous et qu'est ce qui se passe" dans la chaîne de vie de nos chers appareils. Le récit prend ensuite le temps de revenir sur chaque localisation et vous explique ce qu'il s'y passe...
La deuxième partie du récit revient sur les différents composants d'un appareil mobile et en particulier les métaux et terres rares (Or, Tantale, Lithium, Cobalt, ...). Cette partie du récit nous explique comment et où sont extraits ces éléments et les conséquences que cela entraine.
La troisième partie se focalise sur les flux qui, des quatres coins du monde, sont engendrés par l'extraction, le traitement et l'assemblage des composants de nos smartphones.
Le récit est conçu pour se terminer par des échanges en classe entre les étudiants. Ceci constitue également un point intéressant pour l'usage des StoryMaps en tant que document d'introduction à des séances hybrides.
D'un point de vue technique, l'application a été configurée à l'aide de la solution ArcGIS StoryMaps. L'application et la majorité de ses contenus sont hébergés sur ArcGIS Online la plateforme Cloud d'Esri.
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11:44
QGIS Blog: Plugin Update Sept-Nov 2023
sur Planet OSGeoThis autumn, from September to November, 84 new plugins have been published in the QGIS plugin repository.
Here’s the quick overview in reverse chronological order. If any of the names or short descriptions piques your interest, you can find the direct link to the plugin page in the table below:
SOSIexpressions Expressions related to SOSI-data Puentes Run external Python files inside QGIS. UA CRS Magic ?????? ??????? ???????? ??? ?????????? ???? FilterMate FilterMate is a Qgis plugin, a daily companion that allows you to easily explore, filter and export vector data QWC2_Tools QGIS plug-in designed to publish and manage the publication of projects in a QWC2 instance. The plugin allows you to publish projects, delete projects and view the list of published projects. QGIS Fast Grid Inspection (FGI) This plugin aims to allow the generation and classification of samples from predefined regions. QDuckDB This plugin adds a new data prodivder that can read DuckDB databases and display their tables as a layer in QGIS. CIGeoE Toggle Label Visibility Toggle label visibility CIGeoE Merge Areas Centro de Informação Geoespacial do Exército Drainage the hydro DEM analysis with the TauDEM Postcode Finder The plugin prompts the user to select the LLPG data layer from the Layers Panel and enter a postcode. The plugin will search for the postcode, if found, the canvas will zoom to all the LLPG points in the postcode. Multi Union This plugin runs the UNION MULTIPLE tool, allowing you to use up to 6 polygon vector layers simultaneously. FLO-2D MapCrafter This plugin creates maps from FLO-2D output files. Download raster GEE download_raster_gee GisCarta Manage your GisCarta data TENGUNGUN To list up and download point cloud data such as “VIRTUAL SHIZUOKA” LADM COL UV Plugin de Qgis para la evaluación de calidad en el proceso de captura y mantenimiento de datos conformes con el modelo LADM-COL ohsomeTools ohsome API, spatial and temporal OSM requests for QGIS Social Burden Calculator This plugin calculates social burden Show Random Changelog Entry on Launch Shows a random entry in the QGIS version’s visual changelog upon QGIS launch Fotowoltaika LP Wyznaczanie lokalizacji pod farmy fotowoltaiczne LP KICa – KAN Imagery Catalog KICa, is QGIS plugin Kan Imagery Catalog, developed by Kan Territory & IT to consult availability of images in an area in an agnostic way, having as main objective to solve the need and not to focus on suppliers. In the beginning, satellite imagery providers (free and commercial) are incorporated, but it is planned to incorporate drone imagery among others. Risk Assessment Risk assessment calculation for forecast based financing ViewDrone A QGIS plugin for viewshed analysis in drone mission planning qgis2opengis Make Lite version of OpenGIS – open source webgis Quick Shape Update Automatic update of the shapes length and/or area in the selected layer CoolParksTool This plugin evaluates the cooling effect of a park and its impact on buildings energy and thermal comfort Nahlížení do KN Unofficial integration for Nahlížení do Katastru nemovitostí. PyGeoRS PyGeoRS is a dynamic QGIS plugin designed to streamline and enhance your remote sensing workflow within the QGIS environment. D4C Plugin This plugin allows the manbipulation from QGis of Data4Citizen datasets (Open Data platform based on Drupal and CKan) Avenza Maps’s KML/KMZ File Importer This plugin import features from KML e KMZ files from Avenza Maps Histogram Matching Image histogram matching process PV Prospector Displays the PV installation potential for residential properties. The pv_area layer is derived from 1m LIDAR DSM, OSMM building outlines and LLPG data. Save Attributes (Processing) This plugin adds an algorithm to save attributes of selected layer as a CSV file Artificial Intelligence Forecasting Remote Sensing This plugin allows time series forecasting using deep learning models. Salvar Pontos TXT Esse plugin salvar camada de pontos em arquivo TXT QGIS to Illustrator with PlugX The plugin to convert QGIS maps to import from Illustrator. With PlugiX-QGIS, you can transfer maps designed in QGIS to Illustrator! QCrocoFlow A QGIS plugin to manage CROCO projectsqcrocoflow Soft Queries This plugin brings tools that allow processing of data using fuzzy set theory and possibility theory. TerrainZones This Plugin Identifies & Creates Sub-Irrigation Zones Consolidate Networks Consolidate Networks is a a Qgis plugin bringing together a set of tools to consolidate your network data. AWD Automatic waterfalls detector SAGis XPlanung Plugin zur XPlanung-konformen Erfassung und Verwaltung von Bauleitplänen Monitask a SAM (facebook segment anything model and its decendants) based geographic information extraction tool just by interactive click on remote sensing image, as well as an efficient geospatial labeling tool. PLATEAU QGIS Plugin Import the PLATEAU 3D City Models (CityGML) used in Japan — PLATEAU 3D??????CityGML?????QGIS??????? FLO-2D Rasterizor A plugin to rasterize general FLO-2D output files. Geoportal Lokalizator PL: Wtyczka otwiera rz?dowy geoportal w tej samej lokacji w której u?ytkownik ma otwarty canvas QGIS-a. EN: The plugin opens the government geoportal in the same location where the user has the QGIS canvas open (Poland only). BorderFocus clicks on the edge center them on the canvas LANDFILL SITE SELECTION LANDFILL SITE SELECTION Bearing & Distance This plugin contains tools for the calculation of bearing and distances for both single and multiple parcels. Moisture and Water Index 2.0 Este complemento calcula el índice NDWI con las imágenes del Landsat 8. K-L8Slice Este nombre combina el algoritmo k-means que se utiliza para el agrupamiento (K) con “Landsat 8”, que es el tipo específico de imágenes satelitales utilizadas, y “Slicer”, que hace referencia al proceso de segmentación o corte de la imagen en diferentes clusters o grupos de uso del suelo. EcoVisioL8 Este complemento fue diseñado para automatizar y optimizar la obtención de índices SAVI, NDVI y SIPI, así como la realización de correcciones atmosféricas en imágenes Landsat 8. QGIS Animation Workbench A plugin to let you build animations in QGIS Catastro con Historia Herramienta para visualizar el WMS de Catastro en pantalla partida con historia. RechercheCommune Déplace la vue sur l’emprise de la commune choisie. Sentinel2 SoloBand Sentinel2 SoloBand is a plugin for easily searching for individual bands in Sentinel-2 imagery. CIGeoE Right Angled Symbol Rotation Right Angled Symbol Rotation CIGeoE Node Tool Tool to perform operations over nodes of a selected feature, not provided by similar tools and plugins. Spatial Distribution Pattern This plugin estimates the Spatial Distribution Pattern of point and linear features. Webmap Utilities This plugin provides tools for clustered and hierarchical visualization of vector layers, creation of Relief Shading and management of scales using zoom levels. Simstock QGIS Allows urban building energy models to be created and simulated within QGIS Fast Point Inspection Fast Point Inspection is a QGIS plugin that streamlines the process of classifying point geometries in a layer. Layer Grid View The Layer Grid Plugin provides an intuitive dockable widget that presents a grid of map canvases. Kadastr.Live Toolbar ????? ??????? ?? ????? Kadastr.Live ?? ??????????? ???????. S+HydPower Plugin designed to estimate hydropower generation. QollabEO Collaborative functions for interaction with remote users. digitizer digitizer NetADS NetADS est un logiciel web destiné à l’instruction dématérialisée des dossiers d’urbanisme. Runoff Model: RORB Build a RORB control vector from a catchment FlexGIS Manage your FlexGIS data LXExportDistrict Export administrative district PostGIS Toolbox Plugin for QGIS implementing selected PostGIS functions Chasse – Gestion des lots Fonctions permettant de définir la surface cadastrale des lots de chasse et d’extraire la liste des parcelles concernées par chaque lot de chasse, sous forme de fichier Excel®. Time Editor Used to facilitate the editing of features with lifespan information RST This plugin computes biophysical indices Japanese Grid Mesh Create common grid squares used in Japan. ???????????????????????????????????????????????????????????????????CSV???????????????????????????????????????? Panoramax Upload, load and display your immersive views hosted on a Panoramax instance. StereoPhoto Permet la visualisation d’images avec un système stéréoscopique CIGeoE Merge Multiple Lines Merge multiple lines by coincident vertices and with the same attribute names and values. CIGeoE Merge Lines Merge 2 lines that overlap (connected in a vertex) and have same attribute names and values. Nimbo’s Earth Basemaps Nimbo’s Earth Basemaps is an innovative Earth observation service providing cloud-free, homogenous mosaics of the world’s entire landmass as captured by satellite imagery, updated every month. OpenHLZ An Open-source HLZ Identification Processing Plugin Selection as Filter This plugin makes filter for the selected features
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10:06
Sea Level Rise Maps
sur Google Maps ManiaDarren Wiens' new Sea Level Rise Simulation map shows how rising sea levels might effect coastlines around the world. Using the simulator you can adjust the height of the sea around the world to see what level of global heating will turn your town into the next Atlantis.Darren's map uses AWS Terrain Tiles with Mapbox GL's raster-value expression to visualize global sea levels. In very simple
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15:27
La vision utopique des villes
sur Veille cartographieCet article La vision utopique des villes est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Dans son livre L’Utopie, Thomas More, démontre « qu’un lien existe entre l’harmonie et l’ordre social dans la cité » (M. Bischoff et E. Imbert). Avec la révolution industrielle, la ville est insalubre et accueille uniquement les ouvriers qui habitent proche de leur lieu de travail. La ville est donc mal vue par beaucoup. La perception qu’ont […]
Cet article La vision utopique des villes est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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12:05
Mises à jour décembre 2023
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNTous les nouveaux services web géoservices et toutes les mises à jour de données en téléchargement du mois de décembre 2023.
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10:21
The Live Music Mapping Project
sur Google Maps ManiaThe combination of the Covid epidemic, inner-city gentrification and austerity has had a hugely negative impact on live music venues and the live music networks of many cities. The Live Music Mapping Project has been launched to help overcome these challenges by creating detailed maps of the local live ecosystem in individual cities. Currently the project has released interactive maps for seven
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1:25
ArcGIS CityEngine 2023.1 est disponible
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
ArcGIS CityEngine est une application très spécifique dans le système ArcGIS. Son objectif est de créer des environnements 3D analytiques ou réalistes à partir de données SIG (généralement en 2D) pour une parcelle, un quartier, une ville, une région.,.. à partir de règles procédurales. Ces dernières (appelées aussi règles CGA) sont des enchainements d'opérateurs qui transformant des géométries de base (emprise de bâtiment, occupation du sol, axe de voie, localisation d'équipement, ...) et leurs attributs en modèles 3D très évoluées. Depuis quelques jours, la version 2023.1 est disponible avec plusieurs évolutions importantes.
Depuis des années, nos utilisateurs nous font remonter à quel point CityEngine est génial, mais aussi que sa courbe d'apprentissage est abrupte. Le conseil que je donne généralement est de regarder plus de tutoriels et de commencer par des projets simples et de complexifier progressivement ses objectifs. Mais inévitablement, vous devrez maîtriser le language CGA.
Pour vous aider à devenir des experts du CGA, l'équipe de CityEngine a investi beaucoup d'énergie pour proposer une interface visuelle pour vos modèles CGA. Pour l'instant en version beta, les plus anciens d'entre vous sur CityEngine retrouveront une interface assez similaire à celle qui existait dans les toutes premières versions de l'application.
Dans la suite de cet article, je vous propose de revenir sur l'ensemble des évolutions de cette nouvelle version.
Introduction d'un mode d'affichage "sombre"
ArcGIS CityEngine fait peau neuve pour sa dernière version, notamment en introduisant un mode sombre souvent demandé. On notera également l'utilisation d'un tout nouveau jeu d'icônes plus modernes et compréhensibles. Vous pouvez désormais faire passer l'interface utilisateur du mode clair au mode sombre pour des vues telles que l'éditeur de scène, le navigateur, l'inspecteur, etc.
La couleur d'arrière-plan et le panorama par défaut de la vue 3D sont améliorés et adaptés pour une utilisation en mode sombre. Les nouvelles icônes, en haute résolution, s'adaptent parfaitement aux différents types et résolutions d'écran pour une expérience visuelle plus fluide pendant que vous travaillez.
Intégration améliorée avec ArcGIS Urban
Esri continue d'améliorer l'intégration entre ArcGIS CityEngine et ArcGIS Urban, en se concentrant dans cette version 2023.1 sur les espaces et les zones de démolition : les espaces peuvent désormais être importés et visualisés dans CityEngine, et les zones de démolition sont désormais prises en charge pour les bâtiments existants.
Dorénavant, vous pouvez également vous connecter aux instances d'ArcGIS Urban sur ArcGIS Enterprise, et les importations depuis ArcGIS Urban ont été globalement accélérées.
"Visual CGA", une interface pour la conception de vos règles CGA (beta)
Cette version d'ArcGIS CityEngine apporte une nouvelle interface (en beta) nommée "Visual CGA" (VCGA), un éditeur interactif pour créer, modifier et visualiser les nœuds de vos règles CGA qui permet de créer rapidement des règles complexes sans écrire une seule ligne de code. Bien qu'il n'y ait pas encore de documentation VCGA (et qu'il puisse y avoir quelques bugs mineurs), l'exemple complet VCGA Playground vous aidera à démarrer. Esri a également rassemblé ces didacticiels vidéo pour vous aider à explorer cette nouvelle fonctionnalité.
Parallèlement à ces mises à jour, Esri a apporté de nombreuses autres améliorations, notamment à l'outil de fractionnement de composants, au compilateur CGA, aux importations réalisées avec l'assistant "Get Map Data and OSM", et bien plus encore. Pour un aperçu complet des mises à jour, vous pouvez consulter les notes de version.
Si vous n'utilisez pas encore CityEngine, mais que vous souhaitez l'essayer, une offre d'essai gratuit de 21 jours vous permettra de démarrer dès aujourd'hui avec l'aide de ces didacticiels.
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18:39
How OGC Contributes to FAIR Geospatial Data
sur Open Geospatial Consortium (OGC)Standards are a key element of the FAIR Principles of Findability, Accessibility, Interoperability, and Reusability. As such, the Open Geospatial Consortium (OGC) has been supporting the FAIR Principles for geospatial information since its formation 30 years ago.
Following the more recent codification of the FAIR principles, the growing recognition of their potential to improve data production, storage, exchange, and processing is seeing them being used to support and enhance recent technological developments such as artificial intelligence, crowdsourcing, data spaces, digital twins, cloud computing, and beyond. This blog post, therefore, offers an overview of select OGC standards and components that support FAIRness in geospatial data.
Within the whole OGC Standards suite, we can broadly distinguish two types of Standards: data format and transfer standards that facilitate data exchange between systems; and semantic interoperability standards that support a common understanding of the meaning of data. For example, OGC Standards that define interoperable geometrical information formats, such as 3D Tiles, GML, GeoPackage, GeoTiff, or KML, support FAIRness by facilitating data Access and Reuse.
Communication StandardsStarting with OGC Web Map Service (WMS) 1.0 in 2000, the suite of OGC Web Services Standards grew to become OGC’s most popular and successful suite of Standards. Services that implement OGC Web Services Standards give access to different kinds of data through the web. Most OGC Web Services provide instructions on how to post a message or build a query URL that gives access to the data behind the service. The URL contains an action to perform and parameters to modify the action and specify the form of the result.
While perfectly functional, the OGC Web Services Standards do not completely follow modern practices on the Web. In particular they do not focus on resources but on operations. To correct that issue, the OGC is evolving the OGC Web Services into the OGC APIs – open web APIs that define resources and use HTTP methods to retrieve them. OGC APIs have diverse functionalities, as explained below.
Communication Standards for Finding DataThe Catalog Service for the Web (CSW) is an OGC Web Service that provides the capacity to query a collection of metadata and find the data or the services that the user requires. Deploying a CSW (e.g. a GeoNetwork instance) is a way to comply with the FAIR sub-principle “F4. (Meta)data are registered or indexed in a searchable resource.” CSW is compatible with Dublin Core and ISO 19115 metadata documents. An interesting characteristic of the GeoNetwork is its capability to store attachments to the metadata. This provides a way to store the actual data as an attachment and link it to the distribution section of an ISO 19115. This ensures not only Findability of the metadata but also Findability of the data. In the Open Earth Monitor (OEMC) project, CSW can be effectively used to store metadata about the in-situ data and some of the results of the pilots, making them Findable on the web. The original Remote Sensing data is offered through a SpatioTemporal Asset Catalog (STAC).
The OGC API – Records Standard is an alternative to CSW that uses the aforementioned resource-oriented architecture. It gives a URL to each and every metadata/data record stored in the catalog, making it compliant with the FAIR sub-principle “F1. (Meta)data are assigned a globally unique and persistent identifier.” The OGC API – Records Standard is still in its draft phase and the authors are making efforts to exploit STAC good practices and make the two compatible.
For flexibility, in the CSW and OGC API – Records Standards, a metadata record is not obligatory, though it is desirable in many cases. This is useful for improved findability, but also for preservation purposes when the dataset may no longer be available. This ensures compatibility with the FAIR sub-principle “A2. Metadata are accessible, even when the data are no longer available.”
Communication Standards for Accessing DataThe OGC Web Feature Service (WFS) and the Web Coverage Service (WCS) give access to feature or coverage data independently of the data’s data model or schema. Implementations of these services are based on Open Standards that can be implemented for free. This complies with the FAIR sub-principle “A1.1 The protocol is open, free, and universally implementable.” It is possible to get the whole resource or a subset of it based on spatial or thematic queries. However, these services are based on a service-oriented architecture and do not necessarily provide a URI for each resource.
The newer OGC API – Features and OGC API – Coverages Standards, though, provide similar functionality with a resource-oriented architecture. They provide a URI for each resource they expose. This makes the OGC API Standards, as well as the SensorThings API, compliant to the FAIR sub-principle “A1. (Meta)data are retrievable by their identifier using a standardized communications protocol.” OGC Web Services and OGC APIs both use the HTTP protocol over the Internet and can make use of the current standards and practices for authentication and authorization, such as OpenID Connect.
However, the resource-oriented architecture of the OGC API Standards means they are better positioned to adopt best practices for authentication and authorization. In this paradigm, authorization on geospatial resources can be fine-tuned for each resource URI in the same way as any other resource on the Web. As such, OGC API – Features, OGC API – Coverages, and The Sensor Things API comply with the FAIR sub-principle “A1.2 The protocol allows for an authentication and authorization procedure, where necessary.”
Semantic Interoperability Standards The OGC RAINBOWTo better support the “Interoperable” FAIR principle as it applies semantic interoperability, OGC is implementing the OGC RAINBOW (formerly the OGC Definitions Server) as a Web accessible source of information about concepts and vocabularies that OGC defines or that communities ask the OGC to host on their behalf. It applies FAIR principles to the key concepts that underpin interoperability in systems using OGC specifications.
The OGC Registry for Accessible Identifiers of Names and Basic Ontologies for the Web (RAINBOW) is a linked-data server, published and maintained by OGC, used to manage and publish reference vocabularies, standard definitions with profiles, ontologies, and resources. It is intended to be a node in an interoperable ecosystem of resources published by different communities. It supports a wide spectrum of resources and allows more value to be realized from data. It can be accessed at opengis.net/def.
OGC RAINBOW is implemented using Linked Data principles that provide enhanced findability, making it compliant with the FAIR sub-principles “F1. (Meta)data are assigned a globally unique and persistent identifier” and “F4: (Meta)data are registered or indexed in a searchable resource.” It is accessed using the HTTP protocols over the Internet, so is also compliant with “A1. (Meta)data are retrievable by their identifier using a standardised communication protocol” and “A1.1 The protocol is open, free, and universally implementable.”
The set of concepts stored in the RAINBOW or in other vocabularies can be used by data and metadata to comply with the FAIR sub-principles “I1. (Meta)data use a formal, accessible, shared, and broadly applicable language for knowledge representation” and “I2. (Meta)data use vocabularies that follow FAIR principles.”
The OGC SensorThings APIThe OGC SensorThings API is an open and free standard that complies to the FAIR sub-principle “A1.1 The protocol is open, free, and universally implementable.” It incorporates a data model that includes two properties that allow for linking to URLs for “units of measurement” and “observed properties” (e.g. references to variable definitions) that makes it compliant with the FAIR sub-principle “I2. (Meta)data use vocabularies that follow FAIR principles.” However, other services and APIs, such as OGC API – Features and OGC API – Coverages, do not specify how this could be done in practice, so more work needs to be done in that respect.
On the other hand, the new OGC APIs use link mechanisms to connect datasets, resources, and resource collections to other resources for different purposes, making them compliant with the FAIR sub-principle “I3 (Meta)data include qualified references to other (meta)data.”
Similarly, the new OGC SensorThings API plus (STAplus) Standard includes an additional element called “Relation” that allows for relating an observation to other internal or external observations. It also adds an element called “License” associated with the datastream or observation group that complies with the FAIR sub-principle “R1.1. (Meta)data are released with a clear and accessible data usage license.” Further, the STA data model can be extended to domain-specific areas by subclassing some of the entities, such as “Thing” and “Observation,” allowing it to meet the FAIR sub-principle “R1.3. (Meta)data meet domain-relevant community standards.”
STAplus includes many considerations for secure operations and can support authentication and authorization through the implementation of business logic, making it compliant with the FAIR sub-principle “A1.2. The protocol allows for an authentication and authorization procedure where necessary.”
Other Standard Thematic Data ModelsOGC also offers Standards that define thematic data models and knowledge representations. For example, WaterML is an information model for the representation of water observations data. In addition, PipelineML defines concepts supporting the interoperable interchange of data pertaining to oil and gas pipeline systems. The PipelineML Core addresses two critical business use-cases that are specific to the pipeline industry: new construction surveys and pipeline rehabilitation.
Another example is the Land and Infrastructure Conceptual Model (LandInfra) for land and civil engineering infrastructure facilities. Subject areas include facilities, projects, alignment, road, railway, survey, land features, land division, and “wet” infrastructure (storm drainage, wastewater, and water distribution systems). CityGML is intended to represent city objects in 3D city models. The (upcoming) Model for Underground Data Definition and Integration (MUDDI) represents information about underground utilities. IndoorGML offers a data model to represent indoor building features. Finally, GeoSciML is a model of geological features commonly described and portrayed in geological maps, cross sections, geological reports and databases. This standard describes a logical model for the exchange of geological map data, geological time scales, boreholes, and metadata for laboratory analyses.
The existence of these Standards can help each thematic sector to comply with the FAIR Interoperability sub-principle “I1. (Meta)data use a formal, accessible, shared, and broadly applicable language for knowledge representation.” As well as these standards, connecting their vocabularies to information systems or databases would significantly increase their usefulness and encourage the principle of Reusability “R1.(Meta)data are richly described with a plurality of accurate and relevant attributes” and sub-principle “R1.3 (Meta)data meet domain-relevant community standards.”
FAIR in Everything We DoOGC’s Mission, to “Make location information Findable, Accessible, Interoperable, and Reusable (FAIR),” places the FAIR Principles at the heart of everything we do. This post has shown how OGC Standards explicitly address the FAIR Principles to contribute to FAIR geospatial data.
The Standards shown here were chosen due to their popularity and utility, but represent only a small portion of what’s available from OGC. You can see the full suite of OGC Standards at ogc.org/standards.
For more detailed information on OGC API Standards, including developer resources, news of upcoming code sprints, or to learn how the family of OGC API Standards work together to provide modular “building blocks for location” that address both simple and the most complex use-cases, visit ogcapi.org.
The post How OGC Contributes to FAIR Geospatial Data appeared first on Open Geospatial Consortium.
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10:24
The Most Popular Music in Your Town
sur Google Maps ManiaSZA's Kill Bill was the most listened to song in New York and San Francisco this year. In Denver and New Orleans the most listened to song was Morgan Wallen's Last Night. While Eslabon Armado y Peso Pluma's Ella Baila Sola was the most popular tune in Los Angeles, Houston and San Diego.Spotify has released a new interactive map which reveals the most listened to songs in cities around the world
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8:13
Les nouveautés d'ArcGIS Insights 2023.3
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
ArcGIS Insights est l'application du système ArcGIS qui combine l'exploration, la visualisation et l'analyse des données pour accélérer la prise de décision. Les diagrammes, les statistiques à la volée, les filtres et les cartes sont interactifs et offrent des capacités très avancées d'analyse. Insights offre un large éventail de fonctionnalités pour vous aider à comprendre vos données, à répondre à des questions importantes et à créer des rapports interactifs.
La version Insights 2023.3 (novembre 2023) est disponible depuis quelques jours. Elle propose un nouveau widget de filtre, un nouveau type de diagramme "alluvial" et des flèches nord pour les cartes. Dans cet article, je vous propose d'en savoir un peu plus sur ces nouvelles fonctionnalités afin de pouvoir les essayer la prochaine fois que vous utiliserez Insights.
Widget de filtre
Un nouveau widget de filtre a remplacé le widget de filtre prédéfini. Les widgets de filtre prennent en charge toutes les configurations de filtres prédéfinis, ainsi que des configurations supplémentaires et des performances améliorées.
Les widgets de filtre sont idéaux pour permettre aux utilisateurs de filtrer les données sur les rapports publiés.
Les filtres prédéfinis existants peuvent toujours être utilisés dans les classeurs et les rapports, mais ne peuvent pas être mis à jour ou configurés. Pour de meilleurs résultats, remplacez les widgets de filtre prédéfinis par un widget de filtre.
Diagrammes alluviaux
Les diagrammes alluviaux sont un type de graphique qui montre la relation entre des valeurs uniques dans plusieurs champs. Vous pouvez utiliser des diagrammes alluviaux pour comprendre l'ampleur des relations entre les catégories et la façon dont les objets, les personnes ou les phénomènes circulent entre eux.
Flèche d'orientation du nord
Une flèche nord peut désormais être ajoutée à une carte. Les flèches Nord sont utiles pour orienter les cartes qui ont été pivotées.
Autres mises à jour
Les fiches de type "Diagrammes de densité" et de type "Date Clock" prennent désormais en charge la définition de classification manuelle.
Des polices supplémentaires sont désormais disponibles pour les étiquettes de carte
Davantage de ressources
Vous pouvez désormais accéder à ces améliorations et à plusieurs autres dans ArcGIS Insights. Pour obtenir la liste complète des nouvelles fonctionnalités, consultez Nouveautés dans la documentation d’aide Insights.
Vous pouvez poser vos questions ou signaler vos réalisations via la communauté ArcGIS Insights, et accéder également à des ressources et soumettre des idées de nouvelles fonctionnalités que vous souhaitez voir arriver dans Insights.
Conclusion
Vous pouvez dès maintenant commencer à tester ces nouvelles fonctionnalités. Sachez cependant qu'ArcGIS Insights 2023.3 est actuellement disponible uniquement sur ArcGIS Online. Les éditions d'ArcGIS Insights sur ArcGIS Enterprise et ArcGIS Insights Desktop 2023.3 seront bientôt disponibles.
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1:00
GeoServer Team: GeoServer installation methods on Windows
sur Planet OSGeoGeoSpatial Techno is a startup focused on geospatial information that is providing e-learning courses to enhance the knowledge of geospatial information users, students, and other startups. The main approach of this startup is providing quality, valid specialized training in the field of geospatial information.
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GeoServer installation methods: “Windows Installer” and “Web Archive”GeoServer installation methods: “Windows Installer” and “Web Archive” In this session, we will talk about how to install GeoServer software by two common methods in Windows. If you want to access the complete tutorial, simply click on the link.
IntroductionGeoServer can be installed on different operating systems, since it’s a Java based application. You can run it on any kind of operating system for which exists a Java virtual machine. GeoServer’s speed depends a lot on the chosen Java Runtime Environment (JRE). The latest versions of GeoServer are tested with both OracleJRE and OpenJDK. These versions are:
- Java 17 for GeoServer 2.23 and above
- Java 11 for GeoServer 2.15 and above
- Java 8 for GeoServer 2.9 to GeoServer 2.22
- Java 7 for GeoServer 2.6 to GeoServer 2.8
- Java 6 for GeoServer 2.3 to GeoServer 2.5
- Java 5 for GeoServer 2.2 and earlier
But remember that the older versions are unsupported and won’t receive fixes nor security updates, and contain well-known security vulnerabilities that have not been patched, so use at own risk. That is true for both GeoServer and Java itself.
There are many ways to install GeoServer on your system. This tutorial will cover the two most commonly used installation methods on Windows.
- Windows Installer
- Web Archive
The Windows installer provides an easy way to set up GeoServer on your system, as it requires no configuration files to be edited or command line settings.
Installation- GeoServer requires a Java environment (JRE) to be installed on your system, available from Adoptium for Windows Installer, or provided by your OS distribution. For more information, please refer to this link: [https:]
Consider the operating system architecture and memory requirements when selecting a JRE installer. 32-bit Java version is restricted to 2 GB memory, while the 64-bit version is recommended for optimal server memory. Utilizing JAI with the 32-bit JRE can enhance performance for WMS output generation and raster operations.
- Install JRE by following the default settings and successfully complete the installation.
- Navigate to the GeoServer.org and download the desired version of GeoServer.
- Launch the GeoServer installer and agree to the license.
- Enter the path to the JRE installation and proceed with the installation. The installer will attempt to automatically populate this box with a JRE if it is found, but otherwise you will have to enter this path manually.
- Provide necessary details like the GeoServer data directory, administration credentials, and port configuration.
- Review the selections, install GeoServer, and start it either manually or as a service.
- Finally, navigate to localhost:8080/geoserver (or wherever you installed GeoServer) to access the GeoServer Web administration interface.
GeoServer can be uninstalled in two ways:
- By running the uninstall.exe file in the directory where GeoServer was installed
- By standard Windows program removal
GeoServer is packaged as a web-archive (WAR) for use with an application server such as Apache Tomcat or Jetty. It has been mostly tested using Tomcat, and so is the recommended application server. There are reasons for installing it such as it is widely used, well-documented, and relatively simple to configure. GeoServer requires a newer version of Tomcat (7.0.65 or later) that implements Servlet 3 and annotation processing. Other application servers have been known to work, but are not guaranteed.
Installation- Make sure you have a JRE installed on your system, then download Apache Tomcat from its website [https:] For the Windows installation package, scroll down and choose the 32bit/64bit Windows Service Installer option.
- Configure Tomcat by selecting components, setting up a username and password, and specifying memory settings. So, before start the Tomcat service, you have to configure the memory settings that will use for Java VM. To do it, open the Tomcat9w from the bin folder, then click on the Java tab. This tab allows for configuration of memory settings, including initial and maximum memory pool sizes. Recommended values are 512MB for the initial memory pool and 1024MB for the maximum memory pool.
- Start Tomcat service and verify its functionality, then navigate to localhost:8080, and get the Tomcat9 web page.
- Navigate to the GeoServer.org and Download page. Select Web Archive on the download page from the version of GeoServer that you wish to download.
- Deploy the GeoServer web archive as you would normally. Often, all that is necessary is to copy the GeoServer.war file to the Tomcat’s webapps directory, then the application will be deployed automatically.
- Now to access the Web administration interface, open a browser and navigate to localhost:8080 and press Manager App button. Enter the username and password of apache tomcat. Click on the start button for the GeoServer. Once it has started, click the GeoServer link. This will take you to the GeoServer web page.
Stop the container application. Remove the GeoServer webapp from the container application’s webapps directory. This will usually include the GeoServer.war file as well as a GeoServer directory.
Difference between GEOSERVER.war and GEOSERVER.exe?- The ‘GeoServer.exe’ NSIS installer registers GeoServer as a Windows Service, which uses the Jetty application server to run GeoServer. The ‘GeoServer.war’ is a platform independent web-archive package to be deployed in your own application server (we recommend Apache Tomcat). Using the ‘GeoServer.exe’ installer is a reliable way to setup GeoServer as a windows background service. The downside is the included Jetty application server is managed using text files (jetty.ini) once installed.
- Use of ‘GeoServer.war’ web-archive is provided to install into your own application server (we recommend Apache Tomcat as the market leader, with excellent documentation and integration options). A single application server may support several web application allowing GeoServer to be run alongside your own java web application.
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19:42
Le dessin du géographe
sur Les cafés géographiquesUn certain nombre de géographes dessinent lors d’excursions sur le terrain ou de missions scientifiques. Certains en ont même fait une activité régulière, et en illustrent leur production. Mais cette activité demeure presque confidentielle. Beaucoup de dessins restent dans les tiroirs, n’ayant bénéficié que d’un regard furtif et admiratif des collègues qui jettent un coup d’œil sur le carnet. Rares sont les géographes qui comme Pierre Deffontaines en ont fait l’argument central d’un ouvrage (Petit Guide du voyageur actif, réed.1980 Presses d’Ile de France). Nous souhaitons sortir cette activité artistique et scientifique de cet anonymat.
En même temps les dessins géographiques qui ont illustré les publications de nos prédécesseurs méritent d’être revus (et relus comme on le fait dans les recherches sur l’épistémologie de la Géographie)
Il conviendra alors de distinguer le croquis fait par le géographe sur le motif ou d’après nature, du croquis d’après photographie qui fut beaucoup pratiqué aussi longtemps que l’appareil photographique demeura lourd et encombrant. Le croquis du géographe professionnel diffère aussi du croquis à usage pédagogique des manuels de l’enseignement primaire et secondaire, croquis le plus souvent supervisé et contrôlé par un géographe.
Le croquis à finalité géographique a changé de place au cours du temps. Les expéditions de découverte, de recherche scientifique, de conquête coloniale ont souvent été accompagnées par des artistes dessinateurs et ont produit des croquis qu’on peut considérer comme les premiers paysages géographiques, puisqu’ils avaient une finalité documentaire et qu’ils ont souvent été repris ensuite par les premiers ouvrages de géographie (cf les relations des voyages d’Alexandre von Humboldt ou les images de la géographie universelle d’Elisée Reclus,). Et les « pères fondateurs » de la science géographique, dans les écoles allemande, française, américaine, ont été parfois de bons dessinateurs sur le terrain.
A la fin du XIX° siècle, quand se met en place l’enseignement de la géographie dans sa forme moderne, les manuels sont illustrés de nombreux dessins ; les photographies sont rares, pour des raisons techniques, dont la qualité de l’impression et du papier. Puis les photos élargissent leur champ au détriment des dessins.
En même temps surgit avec Vidal de la Blache une géographie si soucieuse des paysages qu?elle en fait une des bases fondamentales de sa réflexion. La géographie est alors conçue comme une description raisonnée des paysages. Les paysages incitent au croquis. La prééminence de la géographie physique et à l’intérieur de celle-ci, la domination de la géomorphologie encouragent alors l’usage du dessin et du bloc-diagramme dont de Martonne se fait le chantre et le propagandiste.
Notre propos n’est pas de retracer une histoire du croquis géographique : cette histoire se construira d’elle-même chemin faisant. Elle est plutôt de sortir de l’oubli une pratique et de la raccrocher au devenir de la géographie, comme nous avons pu le faire par ailleurs pour la chanson des géographes. Enfin, la technique du croquis reste une pratique d’aujourd’hui et chacun des lecteurs peut proposer ses croquis, si leur esprit se raccroche à cette rubrique.
Les carnets de terrain illustré à la main gardent leur séduction : l’édition et les expositions en témoignent. Si l’appareil photo numérique est devenu un outil quasi indispensable, les perfectionnements technologiques de ce dernier, ne lui confèrent pas la puissance analytique d’un croquis de terrain qui trie et hiérarchise les éléments du paysage : et aide à comprendre le monde avec une feuille de papier et un crayon.
Remarques importantes :
*Le dessin de paysage (naturel, rural, urbain) proposé sur le site, sera accompagné d’un court commentaire, qui l’identifiera (auteur, date, lieu, site représenté, source) et le situera dans la production géographique de l’auteur en question : contexte, place du dessin dans l’analyse, dans l’illustration du texte, des faits décrits…, afin de le resituer dans la production générale de dessins géographiques.
*Chaque proposition devra se préoccuper des droits d’auteur et de reproduction de l’image sur le site des cafés géo : Les droits de l’auteur (propriété intellectuelle) s?éteignent 70 ans après sa mort (et jusque là leur édition dépend de l’autorisation des ayant-droit). Mais les droits de reproduction de l’image, liés à la source dont elle a été tirée (éditeur d’un ouvrage, musée, bibliothèque, archives, etc?) sont plus difficiles à connaître et souvent plus compliqués à obtenir.
Roland Courtot, Michel Sivignon
• Retrouvez également la liste des dessins du géographe
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19:41
Le dessin du géographe n°95. Les ciels brésiliens d’Hercule Florence (1804-1879)
sur Les cafés géographiquesEn France, son visage n’est connu de personne ou presque, sa maison natale à Nice n’est pas un musée, son existence n’a intéressé que quelques Monégasques qui lui ont consacré une exposition à la Villa Paloma en 2017. Au Brésil, l’Institut Hercule Florence n’a été créé qu’en 2006 à Sao Paulo. Pourtant, c’est un génial inventeur que l’Atlantique a séparé des savants de son temps. Cet isolement l’a privé d’une quelconque notoriété. Cet héritier des Lumières n’a eu de cesse, sa vie durant, d’inventer, de chercher des procédés pour améliorer la distribution de l’eau (noria permanente), le séchage accéléré des grains de café, le filage du coton, la reproduction d’écrits et d’images (découverte de la photocopie qu’il appelle « photographie »), l’écriture du langage des oiseaux, etc. Il souffre de l’ingratitude de ses contemporains comme en témoigne son journal : « Pourquoi ma vie n’est-elle qu’adversité ? Comment briser l’étau de l’isolement de cette lointaine province de l’empire sud-américain ? Parmi les milliers de documents, dont il est l’auteur, accessibles seulement depuis la fin du XXe siècle, figurent des dessins zoologiques, botaniques, ethnologiques et cartographiques. Dans cette œuvre graphique, nous avons choisi d’étudier les dessins de paysages célestes.
Un « dessinateur », membre de l’expédition scientifique russe en AmazonieFils d’un médecin militaire, également professeur de dessin, Hercule Florence est né à Nice en 1804. Son oncle et son grand-père Vignali furent peintres à la cour du Prince de Monaco. A 14 ans, Hercule rêve d’aventures et se fait embarquer sur une frégate. A 19 ans, il est apprenti dans la Marine royale. Et à 21 ans, il répond à une petite annonce vue dans un journal à Rio de Janeiro et parvient à se faire embaucher comme « géographe », deuxième dessinateur et chroniqueur de l’expédition scientifique amazonienne du baron Von Langsdorff.
Ce baron hessois est un naturaliste, qui a déjà fait le tour du monde. Il vit près de Rio où il est chargé d’affaires du tsar Alexandre 1er et consul général de Russie au Brésil. Il est mandaté pour explorer le Mato Grosso depuis la région de Sao Paulo afin d’atteindre l’Amazone. Un projet un peu fou car le pays est politiquement instable depuis la récente indépendance de 1822. Pour cette campagne de prospection scientifique, il engage quarante personnes, dont des savants et deux jeunes dessinateurs : Adrien Taunay et Hercule Florence. Le baron achète aussi du matériel, dont sept embarcations et des mules. Toute l’équipe quitte Rio le 3 septembre 1825, longe la côte jusqu’à Sao Paulo et remonte vers le nord-ouest par le Rio Tieté. Tout va bien jusqu’à l’arrivée à Porto Feliz à 300 km de Sao Paulo, en octobre 1826. Mais ensuite, les embarcations chavirent dans les rapides, les hommes souffrent de la fièvre jaune… L’expédition parvient en janvier 1827 à Cuiaba, la capitale du Mato Grosso. Les hommes y passent un an car le baron est malade et sénile. Un groupe de morts-vivants finit par arriver le 1er juillet 1828 à Santarèm, là où le rio Tapajos se jette dans l’Amazone. Épuisés, les survivants embarquent sur un brick qui les ramène à Rio le 13 mars 1829. Les données recueillies lors de l’expédition sont envoyées à l’Académie impériale de Saint-Pétersbourg (objets, dessins, cartes, notes, graines, fruits, spécimens de bois, ossements, etc.). Le recensement du contenu des caisses et leur analyse devait donner matière à une publication, synthèse de l’expédition. Mais, Langsdorff ne peut s’en charger et tout est délaissé jusqu’à ce que les autorités soviétiques retrouvent les caisses en 1930. Aujourd’hui, une partie des objets rapportés est exposée au musée ethnographique de la ville.Après l’expédition, Hercule Florence revient à Porto Feliz. En janvier 1830, il épouse Maria Angelica, la fille du notable, Francisco Alvares Machado e Vasconcellos, futur gouverneur du Rio Grande do Sul. Machado possède une plantation de café à Sao Carlos (aujourd’hui Campinas), une petite ville de 6000 habitants. Le jeune couple s’y installe. Les inventions multiples pour alléger le travail des esclaves rendent les méthodes d’Hercule Florence très impopulaires dans la communauté des planteurs de la région, dont il fait partie en tant qu’héritier de la plantation de son beau-père. Trois ans après le décès de Maria Angelica, Hercule fonde une école à Campinas en 1863, avec sa seconde épouse Carolina Krug. Ce Colégio Florence est destiné aux filles. Il y enseigne des méthodes expérimentales de dessin comme l’emploi de l’huile de ricin dans la peinture à l’huile appelée cellographie, l’aquarellographie, la peinture solaire…
Un « aquarelliste » d’arrière-plans célestes, au service de ses confrèresLes dessins d’Hercule Florence les plus reproduits sont ceux de l’expédition : des spécimens de la flore et de la faune, des paysages de rivières et leurs rapides, des forêts, les coutumes des indiens Apiacas observés en 1828. Moins connues, sont les images des activités rurales (l’élevage bovin, les cultures sur brûlis, les champs de café ou de canne à sucre) et du travail de transformation des produits agricoles. Elles datent de son installation à Campinas.
Curieux de tout, dès 1830, Hercule Florence est intrigué par le rayonnement solaire et ses effets. Après avoir constaté que le soleil efface les couleurs des tissus, il reconstitue la chambre noire de Léonard de Vinci. En 1832, il réalise des ‘‘Tableaux Transparents de jour’’ issus de la projection concentrée des raies de soleil sur du papier recouvert de nitrate d’argent. A la lueur de la bougie, dans l’obscurité, des ombres de nuages sont visibles.
Son intérêt pour la nature et la qualité de la lumière le pousse à se pencher sur la couleur du ciel, la forme et la genèse des nuages. Il découvre tout du sujet puisqu’il semble n’avoir entendu parler « que d’un homme très instruit, qu’un artiste allemand [qui] s’occupait principalement des ciels dans des paysages ». Est-ce une allusion à Goethe et son Traité des couleurs ? En tout cas, Hercule Florence tente de comprendre les ciels et leurs nuages par le dessin. Une méthode largement partagée à l’époque. En effet, de très nombreuses peintures de ciels ont été réalisées de la fin du XVIIIe au début du XIXe siècle. Les artistes les plus connus sont : Caspar Friedrich, Alexandre Cozens, Corneille Cels, et bien sûr Luke Howard et John Constable. Les dessins d’Hercule Florence répondent à une curiosité scientifique très similaire. Mais, son originalité vient du fait qu’il n’habite pas les moyennes latitudes d’Europe mais le Brésil à la latitude du tropique du Capricorne. Cela fait de lui le pionnier de l’étude des nuages aux basses latitudes australes. Et il en est bien conscient puisqu’il écrit : « On pourra dire que ces études ayant été faites sous le tropique du Capricorne, ne peuvent servir que pour les peintres qui habitent les régions intertropicales, parce que les ciels de la zone torride sont différents des ciels des contrées tempérées. »
Les ciels qu’il observe lui inspirent un Atlas pittoresque des ciels à l’usage des jeunes paysagistes. Cet ensemble comprend 22 aquarelles. Une sorte de catalogue, qui s’adresse en priorité aux peintres afin qu’ils représentent des arrière-plans vraisemblables (saison, heure du jour) dans leurs tableaux. Chaque ciel est en principe numéroté, daté et décrit plus ou moins minutieusement. Le descriptif prend souvent le point de vue critique d’un utilisateur potentiel artiste-peintre.
On y retrouve des archétypes de ciels plus ou moins nuageux des deux grandes saisons du climat de la région de l’état de Sao Paulo. A la latitude du tropique, la température n’est pas le facteur discriminant de la périodisation. C’est au contraire, la fréquence et l’abondance des pluies déversées par les nuages (près d’1,5 m/an en moyenne) qui divisent le cycle annuel.
La période la plus nuageuse et pluvieuse débute en octobre par des ondées et dure jusqu’à fin mars. En décembre-janvier, le ciel est couvert 90 % du temps. De grosses masses de nuages à fort développement vertical, très noirs et menaçants (22 janvier 1833) se déplacent rapidement. Ils font dégringoler des pluies très drues un jour sur deux (16 décembre 1832) parfois accompagnées d’éclairs et de tonnerre. En février et surtout mars, l’atmosphère est plus calme et engendre des nuages bourgeonnants contigus. Ils montent, près du sol, dans l’air « équatorial amazonien » surchargé d’humidité et apportent des ondées en fin d’après-midi (9 mars 1835).22 janvier 1833, 4 h du soir. © Hercule Florence. Instituto Moreira Salles
16 décembre 1832 © Hercule Florence. Instituto Moreira Salles
9 mars 1835 © Hercule Florence. Instituto Moreira Salles
A l’opposé dans l’année, pendant la saison relativement sèche (avril-septembre), les ciels sont plus dégagés. C’est le cas un jour sur deux, en juillet-août-septembre. Pourtant, il n’y a aucun « grand bleu » dans l’atlas d’Hercule Florence. Le peintre est trop soucieux du pittoresque. Il cherche à donner aux peintures de la profondeur de champ et des contrastes. Une autre raison peut justifier cette rareté. Campinas est à près de 700 mètres d’altitude et l’air maritime atlantique de l’alizé s‘élève sur les contreforts de la Serra do mare. Cette ascendance conduit à la saturation et la condensation. Vers 2000 mètres d’altitude, des altocumulus isolés s’alignent en rues, dans le sens du vent (27 juillet 1832) laissant les rayons du soleil atteindre le sol par des trouées. Parfois, des ciels d’un bleu plus vif et plus vert accompagnent les coulées d’air frais à froid venu de l’Antarctique, via la Patagonie. En haute altitude, de grands cirrus zèbrent alors l’azur (25 avril 1844, 16 octobre 1832). Sous ces ciels d’apparence radieuse, l’air gélif peut brûler les feuilles, les branches et les cerises du caféier, et ainsi mettre en péril la qualité et la quantité de café récolté. Ce qui arrive malheureusement plusieurs fois par siècle.
27 juillet 1832, 3 h de l’après midi © Hercule Florence. Instituto Moreira Salles
25 avril 1844 © Hercule Florence. Instituto Moreira Salles
L’Atlas est structuré par ordre chronologique ; des commentaires figurent en marge du dessin mais aussi dans un texte descriptif. Quant au travail sur les images, il est inabouti parce que la pensée de l’inventeur est, entre autres, accaparé simultanément par la mise au point d’un papier monnaie inimitable et surtout par la quête d’un appareil, efficace et bon marché, pour reproduire des images et du texte.
Un « artiste », à l’écart de la science météorologiqueCet inventaire de types de ciels brésiliens ne se comprend qu’à la lueur de l’histoire sud-américaine de la science météorologique. Des décennies après l’Europe, l’INEMET (Institut National de Météorologie) est créé en 1909. Il ne gère alors que 74 stations de mesures, un réseau très insuffisant pour un si vaste pays. Les premières publications scientifiques, comme celle de Henrique Morize datent de 1892. Elles permettront des synthèses fondatrices au début du XXe siècle (Climatologie du Brésil, en 1916 et Météorologie du Brésil, en 1917). Hercule Florence ne dispose donc que des connaissances vernaculaires, empiriques, nécessaires aux pratiques de l’agriculture vivrière. Elles sont largement partagées et mises en scène par des « prophètes de la pluie », des anciens souvent illettrés qui prédisent l’arrivée et l’abondance des précipitations de chaque saison pluvieuse. Les productions agricoles d’exportation comme la canne ou le café se calent également sur ce calendrier climatique subtropical à deux saisons. Le peintre fait allusion à cette bipartition annuelle du climat pour les brûlis.
Dans ses descriptifs de nuages, Hercule Florence n’emploie jamais la terminologie en usage aujourd’hui. Il n’en a pas connaissance. Certes, c’est en 1802, lors d’une conférence à l’Askesian Society,que l’Anglais Luke Howard, a proposé sa classification, publiée un an plus tard, sous le titre On the modifications of Clouds and on the Principles of their production, suspension and destruction. Sa typologie de nuages aux noms latins (cumulus, cirrus, stratus) les définit d’après leur physionomie (altitude et forme). Elle a été complétée du nimbostratus en 1830, du stratocumulus en 1841 et du cumulonimbus en 1880, avant d’être officiellement adoptée en 1891 par les services météorologiques internationaux. L’année suivante paraissait le premier atlas des nuages. Dans l’ignorance de ce vocabulaire, Hercule Florence utilise un langage populaire, très descriptif comme la classification oubliée de Lamarck. Les mêmes images y sont utilisées pour caractériser les formes des nuées. Les termes : pommelé (1 sept 1832, 28 octobre 1832, 5 novembre 1832, 22 janvier 1833, 1er janvier 1833), cotonné (5 novembre 1832, 27 juillet 1832), arrondi, moelleux, etc. s’appliquent aux nuages cumuliformes. Le caractère échevelé (27 juillet 1832), arqué, strié, en filet léger (28 octobre 1832) est le propre des cirriformes. Quant au nuage fondu sur ses bords, ce ne peut être qu’un stratus (5 novembre 1932, 28 octobre 1832). Comme l’artiste privilégie les heures du levant ou du couchant, les teintes des nuages du blanc pur au noir sont modifiées par les reflets, jaunes, rouges, orangés, voire pourpre, des rayons du soleil.Date effacée, 10 h du matin © Hercule Florence. Instituto Moreira Salles
Hercule Florence décrit aussi leur agencement linéaire (horizontal, oblique, vertical par rapport à l’horizon), en grille ou quadrillage (16 octobre 1832), en pyramide inversée (19 septembre 1832) etc. Par deux fois, des rideaux de pluies drues apparaissent à l’horizon comme le 16 décembre 1832. Les effets des nuages chauds des brûlis sont aussi observables dans les très basses couches de l’air ainsi que la mise en suspension de cendres. Tel est le cas le 28 octobre 1832, qu’il décrit ainsi : « l’horizon est rempli de la fumée d’une grande partie des feux qu’en ce pays et dans cette saison, on allume pour brûler de grands abattis que l’on fait dans les bois pour semer des grains ». Depuis 2017, la nomenclature internationale intègre une nouvelle classe pour ces nuages d’origine le plus souvent humaine : les pyrocumulus ou cumulus flammagenitus.
Modestement, Hercule Florence met l’accent sur des ciels « mal exécutés », sur « l’insuffisance de ses esquisses », à cause en partie des « difficultés du lavis, et le mauvais papier, [qui] m’ont empêché de faire mieux ». Compte tenu de son objectif artistique, il suggère des premiers plans pour accompagner ces ciels. Pour celui du 28 octobre 1832, il écrit : « ce ciel me paraît convenir à une vue de cascade, où la blancheur de beaucoup d’eaux écumantes serait rehaussée par le sombre de l’horizon ». Le 27 juillet 1832, il propose, pour améliorer les contrastes de couleur, « un ciel d’invention » en redoublant « les masses obscures à volonté ». Et, le 9 mars 1835, il juxtapose au ciel, un « accessoire, une vue de l’Amazone, dans la Guyane portugaise ». Plus que la réalité d’un ciel d’une journée donnée, c’est la vraisemblance d’un type de temps dans sa saison, qu’il convient de chercher dans ces dessins. Et d’ailleurs, cet inventeur touche à tout n’installe pas de station météorologique dans sa propriété, parce que les données quantitatives ainsi recueillies ne résoudraient aucune de ses préoccupations esthétiques.
Conclusion
Florence conclut même au sujet de son travail sur les ciels : « je prie les connaisseurs de les examiner, et si elles méritent leur approbation, je les recommande à leur zèle pour les arts, afin qu’elles ne restent pas dans l’oubli qui est mon partage, et ce qu’elles auront d’appréciable, sera alors plutôt leur ouvrage que le mien ».A la toute fin de sa vie, en 1879, la traduction en portugais de ses notes sur l’expédition Langsdorff est enfin publiée. Elle va lui valoir d’intégrer l’Académie des sciences à Rio. Par contre, ses découvertes dans le domaine de la photographie ne sont reconnues que plus timidement. Son inventivité multiforme est résumée par le qualificatif de l’historien Komissarov qui parle de “Léonard de Vinci” du Brésil.
Depuis peu, Hercule Florence connaît un début de reconnaissance posthume en tant que dessinateur. Et en effet, ses ciels n’ont rien à envier à ceux de Constable, ses dessins naturalistes à ceux de Bernard Germain de Lacépède, ses planches de travailleurs à celles de Louis-Jacques Goussier qui œuvra pour les Encyclopédistes…Illustrations :
Toutes les images sont reproduites avec l’aimable autorisation de Julia Kovensky, Coordenadora de Iconografia, Instituto Moreira Salles.
+ 55 21 3284 7432
www.ims.com.brBibliographie :
Beaud Marie-Claire et al., 2017, Hercule Florence. Le Nouveau Robinson, éditions du Nouveau Musée National de Monaco, 381 p.
Carelli Mario, 1992, A la découverte de l’Amazonie. Les carnets du naturaliste Hercule Florence, Découverte Gallimard, 144 p.
Dubreuil Vincent, Fante K., Planchon O., Sant’Anna Neto J., 2019, Climate change evidence in Brazil from Köppen’s climate annual types frequency, International Journal of Climatology, 39 (3), pp.1446-1456.
Florence Hercule. L’ami des arts livré à lui-même ou Recherches et découvertes sur différents sujets nouveaux, 1837-1859. Manuscrito, Tinta ferrogálica sobre papel, 30,0 x 20,0 cm (fechado). Coleção Instituto Hercule Florence (São Paulo).
Florence Leila (org.), 2010, Céus. O teatro pitoresco-celeste de Hercule Florence. São Paulo, Florescer Produções Culturais – Coleção Cyrillo Hércules Florence.
Jefferson Mark, 1924, New Rainfall Maps of Brazil , Geographical Review, Vol. 14, No.1, pp. 127-135.
Komissarov, Boris N. 2010. “Langsdorff: Com o Brasil, para Sempre.” In Expedição Langsdorff [catálogo da exposição], 14-35. Rio de Janeiro: Centro Cultural Banco do Brasil. [https:]]
Luret William, 2001, Les trois vies d’Hercule Florence, éditions Jean-Claude Lattès, 305 p.Mendonça Francisco, 2012, La connaissance du climat au Brésil : entre le vernaculaire et le scientifique Confins, numéro 15/7610.
Monbeig Pierre, 1952, Pionniers et planteurs de Sâo Paulo, A. Colin, 376 p.
Morize Henrique, 1889. Esboço da climatologia do Brasil. Observatorio Astronômico, Rio de Janeiro, 47 p.
Papy Louis, 1954, Au pays des plantations caféières de Sâo Paulo, avec M. Pierre Monbeig, Les Cahiers d’Outre-mer, 7-26, pp. 195-203.
Planchon Olivier, 2003, Transition entre climats tropicaux et tempérés en Amérique du sud : essai de régionalisation climatique, Les Cahiers d’Outre-mer, 223, pp. 259-280.Martine Tabeaud, novembre 2023
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19:22
Makina Corpus sponsorise le Capitole du Libre 2023 et nos experts animent une conférence !
sur Makina CorpusCette année encore, Makina Corpus est heureuse de sponsoriser le Capitole du Libre 2023. Nos experts animent une conférence autour de la constitution d'une communauté du libre à l'occasion de l'événement.
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15:34
Du 26 au 28 mars 2024 à Aix-en-Provence: formation "savoir utiliser les Fichiers fonciers"
sur Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)Publié le 06 novembre 2023Une session de formation "Savoir utiliser les Fichiers fonciers" se tiendra du 26 au 28 mars 2024 dans les locaux du Cerema Méditéranée à Aix-en-Provence. Cette session est à destination des bénéficiaires des Fichiers fonciers et des bureaux d'études. Vous trouverez le contenu et le coût de la formation dans la rubrique Accompagnement Inscription jusqu'au 1er mars (…)
Lire la suite
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12:42
Retour sur le webinaire CoSIA, la donnée Couverture du Sol par Intelligence Artificielle
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNLe mardi 10 octobre a marqué la participation de plus de 600 personnes au webinaire CoSIA. -
12:27
Nouvelles fonctionnalités de l’outil IGN de création cartographique Ma carte
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGNMa Carte, outil en ligne IGN de création et de publication de cartes à la disposition de tous les publics, s’enrichit de nouvelles fonctionnalités.
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11:34
Locking Up Louisiana
sur Google Maps ManiaThe state of Louisiana likes putting its citizens in jail. Nearly 1 in every 100 Louisiana residents are locked up in a state prison or local jail. The reasons for Louisiana's high incarceration rates are simple. It isn't because Louisiana is full of criminals. It is because of racism and the profits to be made from enforced slave labor.I arrived at this conclusion after reading the Vera
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11:03
Marco Bernasocchi: New QGIS Courses dates for 2024
sur Planet OSGeoWe published our new dates for all courses in 2024 and are looking forward to your participation
- Cours QGIS de base, 10.01. et 17.01.2024 à Lausanne in French
- Cours QGIS avancé, 24.01. et 31.01.2024 à Lausanne in French
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2:38
Nouveautés Site Scan for ArcGIS - Novembre 2023
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Alors que l'année 2023 se termine en termes de nouvelles versions d'applications ArcGIS, je souhaitais partager certaines des améliorations majeures de l'année pour Site Scan for ArcGIS ainsi que les nouvelles fonctionnalités publiées ce mois-ci. Cet article contient les points forts, mais j'ai également veillé à inclure des liens pour que vous puissiez trouver des informations plus détaillées.
Première version de Reality EngineTrue-Ortho générée par le moteur ArcGIS Reality
Au premier semestre de cette année, Esri a lancé ArcGIS Reality, une suite de produits de cartographie de la réalité par photogrammétrie numérique conçue pour permettre des flux de travail de capture de la réalité à l'échelle de sites, de villes et de pays, à partir d'images de drones, aériennes ou satellites. Ce qui rapproche ces produits, c'est qu'ils utilisent la même technologie de traitement pour fournir des cartes et des modèles 3D visuellement hyper-réalistes et très précis. Cela vous permet d'interagir avec un jumeau numérique qui contient une représentation des objets tels qu'ils sont réellement, et d'y superposer des données géospatiales qui enrichissent la réalité avec un contexte plus large. Le Reality Engine était en version bêta dans Site Scan et est maintenant publié dans son intégralité.
Ce nouveau moteur "Reality Engine" d'Esri sur lequel repose Drone2Map, ArcGIS Reality Studio et l'extension ArcGIS Reality for Pro est également disponible depuis quelques mois en beta dans Site Scan for ArcGIS. Il est désormais disponible en tant que moteur de traitement principal (par défaut) dans Site Scan for ArcGIS.Exemple de photomaillage 3D généré par Site Scan for ArcGIS
Le traitement des images de drones fait partie des fondements de Site Scan, et il est crucial que le traitement soit précis, efficace et génère des résultats de haute qualité. En intégrant le nouveau moteur Reality Engine, Esri souhaite fournir le meilleur moteur de traitement du marché et le partager dans tous les produits de la famille ArcGIS Reality.
La famille des produits ArcGIS Reality
Vous verrez que Reality Engine est désormais défini sur le moteur de traitement par défaut pour certains types de projets Site Scan. A mesure qu'Esri publiera davantage de mises à jour, Esri fera évoluer tous les types de projets pour utiliser systématiquement le moteur Reality Engine. Pour plus d'informations, veuillez consulter cet article de la communauté Site Scan for ArcGIS.
Capacités de publication améliorées vers ArcGIS Online ou ArcGIS Enterprise.
Si vous êtes un utilisateur d'ArcGIS Image for ArcGIS Online, vous pouvez désormais publier de manière transparente et directes des couches d'imagerie tuilée à partir de Site Scan. Cela offre une possibilité immédiate pour des analyses avancées, des flux de travail de GeoAI, ainsi et des capacités plus larges de communication via votre portail ArcGIS. Avec la possibilité de publier selon le format d'imagerie directement dans ArcGIS Online, vous pouvez supporter des workflows entièrement basés sur le cloud, depuis la capture d'images par votre drone jusqu'à l'analyse avancée des images, la détection de changement, ... en passant par le partage des résultats d'une manière facile à comprendre avec les autres collaborateurs de votre organisation (ou même le grand-public).
Pour mieux comprendre les différences et les avantages des couches de tuiles raster (parfois appelées cache de tuiles de carte ou encore couches de cache de tuiles) et les couches d'imagerie tuilée, vous pouvez vous référer à cet article arcOrama.
De plus, vous pouvez désormais publier des couches d'imagerie orientée et créer une application web de consultation de ces données d'imagerie orientée dans ArcGIS Online à l'aide d'ArcGIS Experience Builder. Ceci vous permettra, par exemple, d'effectuer des inspections détaillées de vos sites/équipements. Les données d'imagerie orientée vous permettront de naviguer autour de votre site (ou de vos équipements) dans un environnement 3D immersif.
Connecter votre compte Site Scan à votre portail ArcGIS Enterprise est désormais plus simple que jamais. Cette opération peut désormais être effectuée par n'importe quel administrateur de Site Scan en suivant les étapes fournies sur la page Paramètres de votre organisation.
Pour en savoir plus sur les fonctionnalités de publication dans Site Scan et sur la manière d'activer les fonctionnalités beta, vous pouvez consulter cet article de la communauté Site Scan for ArcGIS (en anglais).Volet Paramètres dans Site Scan for ArcGIS pour activer la version bêta des outils de publication.
Garder ses cartes web à jour automatiquement
Les organisations Site Scan for ArcGIS bénéficiant d'un abonnement personnalisé peuvent désormais créer des services web pour leurs projets Site Scan et les intégrer à d'autres applications SIG telles qu'ArcGIS Pro ou ArcGIS Online. Cela vous permet de visualiser les True Orthos d'un projet avant de publier les données. Site Scan génère un service web de type Web Map Tile Service (WMTS), qui fournit une vue des données sans les étapes supplémentaires de téléchargement, de publication ou de stockage des données en dehors du cloud Site Scan. Pour en savoir plus sur la façon d'utiliser cette fonctionnalité, consultez cet article de la communauté Site Scan for ArcGIS (en anglais).
Rester informer
L'équipe de Site Scan for ArcGIS travaille en continu pour poursuivre ces améliorations. N'hésitez pas à partager vos idées et vos questions sur la page de la communauté Site Scan for ArcGIS (en anglais) et pour rester informé de tout ce qui concerne Site Scan, vous pouvez aussi vous abonner à cette newsletter (en anglais).
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18:57
Free and Open Source GIS Ramblings: Analyzing mobility hotspots with MovingPandas & CARTO
sur Planet OSGeoToday, I want to point out a blog post over at
written together with my fellow co-authors and EMERALDS project team members Argyrios Kyrgiazos and Helen McKenzie.
In this blog post, we walk you through a trajectory hotspot analysis using open taxi trajectory data from Kaggle, combining data preparation with MovingPandas (including the new OutlierCleaner illustrated above) and spatiotemporal hotspot analysis from Carto.
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15:47
gvSIG Team: Free workshop on ‘Introduction to gvSIG,’ using version 2.6 and its new icon set at 19th gvSIG Conference
sur Planet OSGeoOn November 30, 2023, during the 19th International gvSIG Conference, a free workshop will be held to learn to use version 2.6 of gvSIG, showcasing the new icon set.
To participate in the workshop, simply register using the following link: Workshop Registration.
Version 2.6 comes with an improved default icon set, replacing the one used since its initial versions.
This workshop will cover the main tools of the application, creating views, loading vector and raster layers, both locally and remotely, editing them graphically and alphanumeric, applying geoprocessing, and creating maps. All of this will be done using the new icon set, providing a refreshed version of gvSIG.
Whether you’ve used gvSIG before or it’s your first time, you won’t want to miss this workshop.
To follow it, you’ll need to download the portable version 2.6 of gvSIG for your operating system: Windows 64 – Windows 32 – Linux 64 – Linux 32
You’ll have to extract it to a folder without spaces. For example, you can create a folder called ‘gvSIG’ in C:\ (on Windows) or in the user’s home directory (on Linux), place the zip file inside, and extract it there.
You’ll also need to download the cartography to be used: Workshop Cartography ‘Introduction to gvSIG 2.6’
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13:54
3 explorations bluffantes avec DuckDB – Butiner des API JSON (2/3)
sur Icem7DuckDB saurait-il rivaliser avec JavaScript pour exploiter des données JSON ? Ce n’est pas le terrain sur lequel j’attendais ce moteur SQL. Quelle ne fut pas ma surprise, pourtant, de le voir se jouer des imbrications les plus retorses, des modèles de données les plus échevelés, auxquels JSON accorde volontiers son flexible habillage.
Après le premier épisode consacré aux formats Parquet et CSV dans DuckDB, voici donc à nouveau deux exemples concrets de jeux avec des données formattées en JSON.
A - API recherche d'entreprises : celles autour de chez moi, quelles sont-elles ?C’est en explorant les belles ressources du portail api.gouv.fr que l’idée de cet article a pris forme. De multiples API de données sont désormais proposées de façon ouverte, sans identification : professionnels bio (Agence bio), base adresses (BAN), demandes de valeurs foncières (DVF), annuaire de l’Éducation nationale, annuaire des entreprises…
Je me suis arrêté sur cette dernière source, interrogeable par une API très simple, construite par la Dinum.
Vous pouvez lui poser deux questions :
• quelles infos peux-tu me donner sur une entreprise ? Ex. : icem7, et si je tape icem77 j’aurai tout de même la bonne réponse ;
• quelles sont les entreprises autour d’un point GPS ?Alors, j’ai voulu regarder les entreprises près de chez moi. Les bureaux d’icem7 jouxtent mon domicile, j’ai donc bien retrouvé ma société et constaté que nous étions cernés par les sociétés civiles immobilières – le quartier est, il est vrai, plutôt résidentiel.
Voyons gentiment comment arriver à un tel résultat, avec DuckDB et un outil web simple.
L’URL suivante construite d’après la doc prend comme paramètres un point GPS (longitude et latitude) et un rayon (en km) ; j’ai choisi 300 m, le rayon maximum est de 50 km.
https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3
Dans un navigateur (ici Chrome), vous pouvez facilement consulter la réponse dans un affichage confortable et flexible. Quelques données numériques encadrent un « array » JavaScript de results, avec ici 10 entreprises (sur 89 annoncées, dans total_results).
Si je déplie le premier résultat (d’indice 0), se révèle une structure hiérarchique, avec bon nombre de rubriques :
On devine déjà l’intérêt de cette API, pour laquelle la Dinum collationne en temps réel de multiples sources de données : immatriculation et statut juridique, certifications, résultats financiers, siège et établissements. Les entreprises listées ici ont au moins un établissement dans le rayon de ma requête (matching_etablissements).
Que sait lire DuckDB ? Je vais l’utiliser ici dans sa version la plus dépouillée et la plus rapide, l’exécutable de 20 Mo, qui présente les résultats de façon toujours lisible, quelle que soit la largeur de votre écran.
FROM read_json_auto('https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3');
Cette simple requête constitue un tableau d’une seule ligne, dont la première colonne reprend results, c’est-à-dire un array (ou liste) de données structurées. Là où JavaScript parle d’array et d’objets, DuckDB évoquera des listes et des structures. Le format Parquet a aussi cette capacité d’accueillir de telles colonnes complexes.
Comment déplier ce tableau en autant de lignes que d’entreprises ?
Découvrons le pouvoir magique (et proprement bluffant, oui) de la fonction unnest() :
SELECT unnest(results, recursive := true) FROM read_json_auto('https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3');
Avec le paramètre recursive := true, unnest() va continuer à déplier les structures cachées dans les colonnes de chaque « result », si bien que le tableau ci-dessus contient désormais 10 lignes et 78 colonnes, autant de pépites d’information sur chaque entreprise.
Affichons-en quelques-unes en clair ; je vais réduire mon champ géographique à 10 m autour de chez moi :
SELECT unnest(results, recursive := true) FROM read_json_auto('https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.01');
Et en effet, je retrouve bien icem7, et même ma précédente entreprise, dont icem7 a pris la suite. Emc3 n’existe plus à cette adresse, l’API renvoie, je le découvre, des entreprises dont le statut administratif a pu évoluer.
Je vais donc affiner mes requêtes ultérieures en demandant à voir, près de chez moi, les seuls établissements actifs :
FROM ( SELECT unnest(results, recursive := true) FROM read_json_auto('https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.01') ) WHERE list_filter(matching_etablissements, d -> d. etat_administratif = 'A').len() >= 1 ;
Avec list_filter(), je vous laisse goûter à l’une des nombreuses fonctions de manipulations de listes, qui donnent à DuckDB toute facilité pour explorer des structures imbriquées à la JSON.
Il reste plusieurs colonnes de type liste que unnest() n’a opportunément pas dépliées, car cela aurait encore multiplié le nombre de lignes.
Déplions manuellement la colonne dirigeants, ce qui fait apparaitre une sous-table, où je me reconnais avec mon associée. On y trouve des infos étonnamment personnelles comme l’identité, la nationalité et même la date de naissance (que je ne dévoile pas ici, par galanterie) !
WITH tb1 AS ( SELECT unnest(results, recursive := true) FROM read_json_auto('https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.01') ) SELECT unnest(dirigeants, recursive := true) FROM tb1 WHERE list_filter(matching_etablissements, d -> d. etat_administratif = 'A').len() >= 1 ;
Sur les 78 colonnes de la table dépliée, je vais donc choisir quelques infos parmi les plus parlantes, afin de localiser ces entreprises et d’en savoir plus sur ce qu’elles font et qui les dirige. Je peux identifier des certifiés « bio » (producteurs ou revendeurs / préparateurs), des organismes de formation, par exemple ceux certifiés Qualiopi comme icem7.
Par commodité, je m’en tiens au seul premier établissement près de chez moi d’une même entreprise. DuckDB utilise des indices qui commencent par 1 (et non 0 comme dans JavaScript).
SELECT siret, nom_complet, activite_principale, dirigeants, matching_etablissements[1].longitude::float AS lon, matching_etablissements[1].latitude::float AS lat, est_qualiopi FROM ( SELECT unnest(results, recursive := true) FROM read_json_auto('https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3') ) WHERE list_filter(matching_etablissements, d -> d. etat_administratif = 'A').len() >= 1 ;
Avec ce premier résultat, je pourrais déjà cartographier ces entreprises et produire une analyse coloriée par code activité (NAF).
Dépasser les contraintes de l'APIBien sûr, le problème est que je n’ai reçu d’infos que sur 10 entreprises. Voyons comment relever le curseur. La doc de l’API indique que je peux pousser jusqu’à 25 entreprises par appel, et lancer 7 appels par seconde.
Pour avoir les 89 établissements à 300 m de chez moi, je m’attends donc à m’y reprendre à plusieurs fois.
SELECT total_results, total_pages FROM read_json_auto('https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3&per_page=25');
Avec le paramètre per_page=25, l’API me renvoie désormais une première « page » de 25 résultats, et me précise le nombre de pages nécessaires (4). Pour avoir la page 2, je dois ajouter à l’URL un paramètre &page=2.
DuckDB permet commodément de charger dans le même mouvement toute une collection d’URL :
SELECT unnest(results, recursive := true) FROM read_json_auto([ 'https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3&per_page=25', 'https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3&per_page=25&page=2', 'https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3&per_page=25&page=3', 'https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3&per_page=25&page=4' ]) ;
Mais une telle écriture reste bien lourde. Il y a plus élégant, plus « vectoriel » :
SELECT unnest(results, recursive := true) FROM read_json_auto( list_transform(generate_series(1, 4), n -> 'https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3&per_page=25&page=' || n) ) ;
generate_series(1, 4) produit un vecteur [1,2,3,4], lequel se voit transformer avec list_transform() en un vecteur d’URL.
Je suis donc en mesure de récupérer en une seule requête tous mes voisins entrepreneurs, et pour ne pas solliciter l’API à chaque raffinement de mes écritures, je vais stocker ce premier résultat dans une table.
CREATE OR replace TABLE etab_proches_icem7 AS FROM ( SELECT unnest(results, recursive := true) FROM read_json_auto( list_transform( generate_series(1, 4), n -> 'https://recherche-entreprises.api.gouv.fr/near_point?lat=43.69875&long=1.46158&radius=0.3&per_page=25&page=' || n) ) ) WHERE list_filter(matching_etablissements, d -> d. etat_administratif = 'A').len() >= 1 ;
Voici un aperçu de cette table de 89 établissements, liste que j’ai triée pour montrer en premier les organismes de formation certifiés Qualiopi ; icem7 apparait bien.
SELECT nom_complet, activite_principale, matching_etablissements[1].longitude::float AS lon, matching_etablissements[1].latitude::float AS lat, est_organisme_formation, est_qualiopi FROM etab_proches_icem7 ORDER BY est_organisme_formation DESC, nom_complet ;
Désormais, je peux cartographier ce résultat à partir d’un export GeoJSON de cette table :
LOAD SPATIAL ; COPY ( SELECT nom_complet, activite_principale, ST_Point(matching_etablissements[1].longitude::float, matching_etablissements[1].latitude::float) AS geometry FROM etab_proches_icem7 ) TO 'C:/.../entr_proches_icem7.json' WITH (FORMAT GDAL, DRIVER 'GeoJSON') ;
L’export GeoJSON repose sur l’extension SPATIAL, que je charge au préalable (cette procédure devrait prochainement se simplifier dans DuckDB, avec un chargement automatique déclenché dès l’appel d’une fonction spatiale).
La table doit ensuite comprendre une colonne de géométrie (nommée obligatoirement geometry), ici une colonne ponctuelle générée avec la fonction ST_Point().
Je fais glisser le fichier ainsi créé dans l’interface de geojson.io pour découvrir – enfin – cette carte des entreprises près de chez moi – et elles sont nombreuses !
Joindre une nomenclatureLe code activité principale, issu de la NAF, me parle peu, je vais donc chercher des libellés clairs.
Grâce à SQL, le pouvoir des jointures, et la capacité de DuckDB à piocher directement sur le web, je récupère, par une table de passage constituée par mes soins au format parquet, les différents niveaux d’agrégation de la NAF et leurs dénominations.
SELECT nom_complet, activite_principale, ST_Point(matching_etablissements[1].longitude::float, matching_etablissements[1].latitude::float) AS geometry, n.LIB_NIV5,n.LIB_NIV1 FROM etab_proches_icem7 LEFT JOIN 'https://static.data.gouv.fr/resources/naf-1/20231123-121750/nafr2.parquet' n ON etab_proches_icem7.activite_principale = n.NIV5 ;
Pour produire une cartographie plus analytique, avec des punaises coloriées selon l’activité, j’utilise le service MyMaps de Google, seul outil en ligne que j’aie pu identifier pour ce faire et afficher en arrière-plan une couche de rues.
Maps ne lit pas de GeoJSON mais accepte le CSV, pourvu qu’on y insère les deux colonnes longitude et latitude (nommées comme on veut).
COPY ( SELECT nom_complet, activite_principale, matching_etablissements[1].longitude AS lon, matching_etablissements[1].latitude AS lat, n.LIB_NIV5,n.LIB_NIV1 FROM etab_proches_icem7 LEFT JOIN 'https://static.data.gouv.fr/resources/naf-1/20231123-121750/nafr2.parquet' n ON etab_proches_icem7.activite_principale = n.NIV5 ) TO 'C:/.../etab_proches_icem7.csv' ;
Comme il me reste, même au niveau le plus agrégé de la NAF, beaucoup de modalités différentes, je termine en créant un code activité simplifié, avec une catégorie « Autres » regroupant les effectifs les plus faibles :
COPY ( WITH tb1 AS ( SELECT nom_complet, activite_principale, matching_etablissements[1].longitude AS lon, matching_etablissements[1].latitude AS lat, n.LIB_NIV5,n.LIB_NIV1, count(*) OVER (PARTITION BY LIB_NIV1) AS eft_naf FROM etab_proches_icem7 LEFT JOIN 'https://static.data.gouv.fr/resources/naf-1/20231123-121750/nafr2.parquet' n ON etab_proches_icem7.activite_principale = n.NIV5 ) SELECT CASE WHEN eft_naf >= 3 THEN LIB_NIV1 ELSE 'Autres' END AS activite, * FROM tb1 ) TO 'C:/.../etab_proches_icem7.csv' ;
Et voici une carte interactive, dont vous pouvez déplier la légende (bouton en haut à gauche) ou cliquer les punaises :
B - DataTourisme et le hackaviz DataGrandEstMon second exemple sera plus concis, et il a surtout servi à résoudre un problème concret. Mon collègue Alain Roan, qui prépare le Hackaviz du 13 décembre 2023 de DataGrandEst, s’est déclaré lui-même proprement « bluffé » par l’agilité de DuckDB.
Le concours s’appuie sur des données touristiques ; il s’agit de mettre en regard des nuitées et des points d’intérêt (POI) touristiques, c’est-à-dire de tenter d’expliquer la venue des touristes par l’existence de ressources attractives : monuments, spectacles, itinéraires, etc.
Alain et l’agence régionale du tourisme voulaient constituer un fichier de POI avec une double localisation longitude/latitude et code commune Insee. Selon les sources, ils disposaient soit de l’un, soit de l’autre, mais pas des deux.
Ils le savaient, la réponse se trouve dans le portail DataTourisme. Il s’agit d’une superbe initiative, formalisée en 2017, rassemblant en temps réel toutes les sources de données disponibles. Toutefois, son « API web moderne » évoque plutôt les années 1980, époque regrettée des programmes lancés « en batch » sur « grosse machine ». Comme quand j’ai commencé à l’Insee, il faut attendre le lendemain pour disposer des résultats d’une demande d’extraction. Les « flux » ainsi mis à disposition sont d’une fluidité toute relative, celle d’une grosse goutte se détachant toutes les 24 heures.
Plus enthousiasmant encore, la requête en partie décrite dans l’image suivante (région Grand Est) conduit à récupérer une archive de plus de 20 000 fichiers JSON :
Ces 21 211 fiches JSON représentent environ 500 Mo de données, qu’il faut décompresser sur son disque dur pour envisager de les exploiter. Elles s’organisent dans une arborescence à deux niveaux. Les noms de fichier sont peu évocateurs et chaque document présente un contenu assez dense.
Voilà un court extrait d’une fiche pour vous donner une petite idée :
Armé de DuckDB, ma première entreprise fut d’extraire d’une fiche au hasard les variables essentielles pour le hackaviz. Les noms de champ sont un peu pénibles à manier, mais le bonheur de toucher du doigt l’univers enchanté des « ontologies » et du « web sémantique » l’emporte sur le désagrément d’avoir à multiplier les quotes et les crochets :
SELECT isLocatedAt[1]['schema:address'][1]['hasAddressCity']['insee'] AS code_com, "rdfs:label"['fr'][1] AS label, array_to_string("@type", ',') AS types, array_to_string(isLocatedAt[1]['schema:address'][1]['schema:streetAddress'], ' ') AS streetAddress, isLocatedAt[1]['schema:address'][1]['schema:postalCode'] AS postalCode, isLocatedAt[1]['schema:address'][1]['schema:addressLocality'] AS addressLocality, isLocatedAt[1]['schema:geo']['schema:latitude']::float AS latitude, isLocatedAt[1]['schema:geo']['schema:longitude']::float AS longitude FROM read_json_auto('C:\...\objects\2\23\3-23a1b563-5c8c-32e0-b0fc-e0fcbb077b29.json');
Et voici l’apparition du dernier effet bluffant DuckDB, la lecture en une seule passe et moins de 10 secondes des 21 211 fiches JSON :
CREATE OR replace TABLE poi_grandest AS SELECT isLocatedAt[1]['schema:address'][1]['hasAddressCity']['insee'] AS code_com, "rdfs:label"['fr'][1] AS label, array_to_string("@type", ',') AS types, array_to_string(isLocatedAt[1]['schema:address'][1]['schema:streetAddress'], ' ') AS streetAddress, isLocatedAt[1]['schema:address'][1]['schema:postalCode'] AS postalCode, isLocatedAt[1]['schema:address'][1]['schema:addressLocality'] AS addressLocality, isLocatedAt[1]['schema:geo']['schema:latitude']::float AS latitude, isLocatedAt[1]['schema:geo']['schema:longitude']::float AS longitude FROM read_json_auto('C:\...\objects\*\*\*.json') ;
L’API DataTourisme est tellement monumentale et raffinée que la plupart des professionnels du tourisme sont incapables de l’utiliser (mais des simplifications sont annoncées pour la fin de l’année). Qu’à cela ne tienne, un marché de développeurs affutés a pu naitre, auxquels les acteurs du tourisme en besoin de données sur mesure commandent des extractions, réalisées en Python, R ou autres langages d’académique facture.
Bienvenue donc au trublion DuckDB, qui sait rendre l’open data véritablement open.
FROM poi_grandest LIMIT 10;
J’ai voulu montrer avec ces deux exemples comment interroger des ressources JSON avec DuckDB, en les manipulant comme des tables. J’ai même pu apparier avec un fichier distant au format Parquet.
L’annuaire des entreprises gagnerait sans doute à être mis à disposition aussi au format parquet. L’API offre de son côté des services spécifiques complémentaires (recherche textuelle, recherche de proximité). Mais le format GeoParquet, dès qu’il aura intégré les index spatiaux, saura rivaliser avec une API par ailleurs contrainte en volume et nombre d’appels.
Dans le prochain épisode (3/3), je parlerai de cartographie, de requêtes spatiales et précisément du format GeoParquet.
Pour en savoir plus- 3 explorations bluffantes avec DuckDB – Interroger des fichiers distants (1/3), icem7, 2023
- 3 explorations bluffantes avec DuckDB – Croiser les requêtes spatiales (3/3), icem7, 2023
- Parquet devrait remplacer le format CSV, icem7, 2022
- DuckDB redonne une belle jeunesse au langage SQL, icem7, 2023
- Why parquet files are my preferred API for bulk open data, Robin Linacre, 2023
- DuckDB – nested functions
- Annuaire des entreprises
L’article 3 explorations bluffantes avec DuckDB – Butiner des API JSON (2/3) est apparu en premier sur Icem7.
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11:00
LOG’AU voit le jour !
sur Le blog de GeomatysLOG'AU : Le Grand Départ !- 28/11/2023
- Jordan Novais Serviere
Ça y est, c’est fait ! La nouvelle plateforme de Geomatys consacrée à la gestion et la surveillance de la qualité de l’eau est opérationnelle ! LOG’AU est une plateforme qui offre aux producteurs d’eau potable une solution complète pour surveiller en temps réel la qualité de l’eau à leurs différents points de captage, afin d’avoir une vue d’ensemble de leur territoire pour prendre des décisions éclairées et réactives pour garantir la sécurité sanitaire de leurs usagers.
LOG’AU permet à ses utilisateurs :
- D’avoir accès à leurs données détaillées pour chaque capteur…
- …Et des rapports complets pour chaque BAC et Structures
- D’accéder à module cartographique pour contextualiser géographiquement vos données
- De paramétrer des alertes en cas de dépassement des seuils sanitaires
Les quatre principaux modules de LOG’AU
Lancé avec le soutien de ses partenaires, LOG’AU reflète une véritable avancée dans la gestion proactive des ressources hydriques, et met en avant la volonté de Geomatys d’agir dans des secteurs environnementaux et sanitaires. En permettant aux producteurs d’eau potable de prendre des mesures basées sur des données fiables et précises, cette plateforme devient un atout essentiel pour garantir la durabilité de nos ressources en eau ainsi que la santé des populations locales.
Pour en savoir encore plus sur LOG’AU, visitez le site dédié, afin de trouver des informations complémentaires concernant chaque fonctionnalité du produit.
Vous souhaitez prendre contact avec nous ? Ou demander une démo de LOG’AU ? Contactez nous par mail : contact@logau.eu , ou par téléphone : +33 (0)4 84 49 02 26
Menu Linkedin Twitter YoutubeThe post LOG’AU voit le jour ! first appeared on Geomatys.
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10:19
OpenStreetMap, c’est aussi des professionnels : cette nouvelle fédération les rassemble
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa Fédération des pros d’OpenStreetMap (FPOSM) vient d’être créée par 11 entreprises. Ce regroupement d’experts permet de répondre à un large panel de besoins cartographiques professionnels.Fédération des pros d’OpenStreetMap : Photo de groupe prise en juin 2022
Des expertises françaises, OpenStreetMap en communOpenStreetMap, le Wikipédia de la cartographie, est une base de données géographique collaborative, libre et mondiale. Commun numérique par excellence, OpenStreetMap (OSM) est co-construit par des millions de contributeurs particuliers ou professionnels.
Un collectif de onze entreprises qui se retrouvent autour de valeurs et de principes communs a donc décidé de créer la « Fédération des Professionnels d’OpenStreetMap » (FPOSM) pour représenter les intérêts des entreprises françaises proposant des prestations liées à OSM.
Structurer un écosystème foisonnantLa fédération a pour ambition de structurer la filière en mettant en valeur les expertises, réalisations et partenariats de ses membres, en augmentant la visibilité d’OSM auprès des utilisateurs professionnels et pourra servir d’interlocuteur pour des projets d’envergure.
Face aux problématiques de souveraineté numérique et de maîtrise des données, OSM apporte des solutions d’innovation ouverte avec un potentiel énorme pour les entreprises et collectivités.
La fédération permettra une meilleure lisibilité des solutions et des acteurs. Elle créera des synergies entre entrepreneurs individuels, PME innovantes, acteurs industriels et institutionnels.
Les pros, au service du communLes membres fondateurs de la fédération sont issus de la communauté OpenStreetMap bénévole historique. Ils s’engagent à un respect absolu du fonctionnement de la communauté OpenStreetMap et de ses valeurs.
« Nous protégeons et promouvons OpenStreetMap »Au delà de ces valeurs partagées, la fédération vise à soutenir activement le commun numérique OpenStreetMap. C’est un principe au cœur de l’ADN de la fédération qui se reflète notamment par une charte éthique exigeante.
La nouvelle fédération vise à mieux adresser le besoin grandissant des acteurs privés et publics de s’approprier OpenStreetMap afin de mieux répondre à leurs besoins métier. Son action est donc complémentaire aux activités bénévoles de l’association « OpenStreetMap France » qui apporte déjà un soutien efficace à la communauté des contributeurs.
Contact? Contact presse : Florian Lainez, président – 06 31 02 71 08 – contact@fposm.fr
Dossier de presseTélécharger le dossier de presse (.zip, 4Mo) : photos, logos et plaquette.
EN SAVOIR PLUS? Twitter : [https:]]
Entreprises membres de la fédération au 12/11/2022Liste dans l’ordre alphabétique :
Structure commerciale Site internet Adrien Pavie https://pavie.info Alvi Maps https://alvi-maps.fr APITUX http://www.apitux.com Carto’Cité https://cartocite.fr Dynart I/O https://dynartio.com GéoVélo https://geovelo.fr Jungle Bus https://junglebus.io Latitude-Cartagène https://www.latitude-cartagene.com Teritorio https://www.teritorio.fr Verso https://verso-optim.com WebGeoDataVore https://www.webgeodatavore.com Cet article OpenStreetMap, c’est aussi des professionnels : cette nouvelle fédération les rassemble est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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9:06
Geotrek lauréat des OSOR Awards : meilleure initiative open source du secteur public européen !
sur Makina CorpusGeotrek, l'application de gestion et valorisation des activités de pleine nature et touristiques remporte le prix de la meilleure initiative open source du secteur public européen des OSOR Awards.
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7:28
Bien comprendre les options de partage d'images et de données raster proposées par ArcGIS
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
La donnée raster (ou donnée image) est bien plus qu’une jolie image, on est bien d'accord ? Nous achetons, collectons et acquérons des images dans le but d’en extraire des informations, que ce soit par visualisation ou par analyse. Cependant, ces données raster doivent être partagées en tant que services web avant que vous ou quiconque dans votre organisation puissiez profiter de ces images. Une fois que vous avez trouvé un endroit pour héberger vos images, il peut être difficile de décider du type de service web à utiliser pour les partager.
Cet article a pour objectif de fournir les informations dont vous avez besoin lors du partage d'images et de rasters. Dans ArcGIS, vous disposez de trois manières de partager (ou de diffuser) vos images et vos données raster : les couches de tuiles raster, les couches d'imagerie tuilée et les couches d'imagerie dynamique. Mais si vous débutez dans l'imagerie, vous vous demandez probablement quelles sont les différences, les avantages et les inconvénients de chacune et laquelle vous convient le mieux. Alors, plongeons-nous…
Qu'est-ce qu'une couche de tuile raster ?
Considérez les couches de tuile raster comme une collection d’images assemblées en mosaïque pour créer une jolie image, souvent un fond de carte. Cette image est optimisée pour les performances et conçue pour pouvoir être potentiellement mise à jour (totalement ou partiellement). Ce qui rend ces couches de tuiles raster rapides, c'est que le prétraitement et la compression sont effectués avant sa diffusion. Étant donné que chaque imagette est mise en cache et optimisée pour l'affichage, les imagettes sont affichées immédiatement lorsque vous effectuez un déplacement ou un zoom sur la carte. Techniquement, elles sont générallement publiées à partir d'un paquetage de tuile (fichiers tpk).
Un exemple de couche de tuiles raster est le World Imagery Service accessible depuis le Living Atlas ArcGIS.
Avantages
Les couches de tuiles raster sont très performantes, ce qui les rend particulièrement bien adaptées à la visualisation. Lorsque les images ou les données d'altitude sont uniquement destinées à servir de couche d'habillage ou de fond de carte, il est recommandé de diffuser vos images en tant que couche de tuiles raster (appelés aussi parfois cache de tuiles de carte).
Inconvénients
Bien que les couches de tuiles raster soient performantes, il faut aussi que vous diffusez en réalité des tuiles d'images compressées "statiques" sans autres capacités que l'affichage. Les informations potentiellement très riches qui sont souvent contenues dans les images sont perdues. Le processus de mise en cache des tuiles enregistre automatiquement vos images au format 8 bits et les projette sur une seule projection. Un cache de tuiles de carte ne donne pas accès aux valeurs des différentes bandes spectrales, aux métadonnées des images ou à la possibilité de reprojeter à la volée les images (sauf des outils bureautiques comme ArcGIS Earth ou ArcGIS Pro). Si vous devez permettre aux utilisateurs de faire plus avec l'imagerie qu'une visualisation de base, il est recommandé de diffuser des couches d'imagerie tuilée ou des couches d'imagerie dynamique.
Qu'est-ce qu'une couche d'imagerie tuilée ?
À l’instar des couches de tuiles raster, les couches d'imagerie tuilée rassemblent une collection d’images pour créer un service unique ou un tapis d’images. Cependant, contrairement à un cache de tuiles de carte, les images n'ont pas besoin d'être compressées ou projetées, donc davantage d'informations provenant des images d'origine restent accessible via le service web.
Avantages
Les couches d'imagerie tuilée offrent une expérience "idéale" pour la visualisation mais aussi pour l'analyse. Ce sont des couches rapides et performantes, comme les couches de tuiles raster dont le rendu des tuiles se fait côté client, sans aucun calcul requis sur le serveur. Et le contenu riche des images achetées, collectées ou acquises est préservé. La fidélité des valeurs de chaque bande pour chaque pixel n’est pas perdue. Cela signifie que vous ne limitez pas le nombre de bandes que vous pouvez diffuser ; la profondeur (bits) reste fidèle à l'image d'origine et vous pouvez obtenir des valeurs de pixels pour n'importe quel emplacement. Cela vous permet d'effectuer une analyse, de définir des rendus et de visualiser différentes combinaisons de bandes à l'aide d'une seule couche d'images prête pour l'analyse.
Inconvénients
Cette option n’est pas idéale si vous disposez d’images superposées, multi-résolution ou multi-temporelles. Comme mentionné ci-dessus, les couches d'imagerie tuilée traitent vos données comme un aplat d'images avec une projection et une taille de pixel prédéfinies. Si vous souhaitez assembler des images en temps réel provenant de différents capteurs ou collectées à différentes dates pour une zone donnée, il est recommandé d'utiliser des couches d'images dynamiques.
En résumé, les couches d'imagerie tuilée ont (en partie) le coté dynamique d'une couche d'imagerie dynamique et le coté performant d'une couche de tuiles raster.
Qu'est-ce qu'une couche d'imagerie dynamique ?
Les couches d''imagerie dynamique sont des collections d'images qui sont dynamiquement mosaïquées (assemblées) à la volée par le serveur. Lorsque vous effectuez un déplacement et un zoom sur la carte, les images d'une zone entière sont récupérées sur le serveur pour couvrir l'étendue spécifique requise. Cela fonctionne de la manière suivante : pour la zone d'intérêt, un appel est effectué au serveur pour sélectionner toutes les images de cette zone, les traiter si nécessaire, les assembler puis les renvoyer le rendu final à l'application cliente. Le résultat vous donne ainsi une vue "dynamique" basée sur les règles de mosaïquage que vous avez spécifiées, extraites directement de l'imagerie source.
Avantages
Vous pouvez utiliser des couches d’images dynamiques pour analyser des images superposées et multi-temporelles. Ce service d'imagerie est idéal pour les cas d'utilisation qui nécessitent de parcourir la dimension temporelle des images ou de trier dynamiquement les images en fonction d'attributs, tels que la couverture nuageuse, la date d'acquisition ou l'angle du nadir.
Exemple de couche d'imagerie dynamique avec différentes combinaisons de bandes
et mosaïquage dynamique de plusieurs images en partie superposées.
Pour les scénarios où la couverture nuageuse pose problème, ces couches permettrons de choisir dynamiquement les images disponibles sans nuages. Si vous effectuez un flux de travail de détection de changements, vous utiliserez une couche d'imagerie dynamique pour interroger deux images de dates différentes.
Et comme si cela ne suffisait pas, les couches d'images dynamiques vous permettent de traiter les images sur le serveur à l'aide de fonctions raster avant de renvoyer les pixels au client.
Pour résumer, l'objectif d’une couche d’imagerie "dynamique" est de fournir à l'utilisateur la capacité de contrôler finement la combinaison, le traitement et le rendu des pixels envoyés par le serveur à l'application cliente.
Inconvénients
Étant donné que les données sont traitées à la volée, les couches d'imagerie dynamique ont tendance à être plus lentes et légèrement plus coûteuses que les options précédentes, mais cela est dû au fait qu'elles offrent davantage de fonctionnalités. Elles nécessitent également de la puissance de traitement de votre serveur. Et, si vous hébergez vos images via ArcGIS Image for ArcGIS Online, ces services ne peuvent pas être diffusés publiquement, uniquement au sein de votre organisation. Cependant, vous pouvez également fournir un accès public via ArcGIS Image Dedicated, le SaaS géré par Esri ou simplement avec ArcGIS Enterprise en utilisant le rôle serveur ArcGIS Image Server.
J'espère que ces conseils vous aideront à décrypter les différents services d'image et à sélectionner celui qui répond le mieux à vos besoins. Cette rapide matrice vous sera peut-être également utile.
Passer à l'étape suivante
Si vous avez besoin d’un moyen rapide d’héberger et de partager vos images et données raster, vous devez absolument regarder ce qu'ArcGIS Image for ArcGIS Online peut faire pour vous à l'aide de cette vidéo :
Vous en apprendrez également bien davantage sur la suite de produits ArcGIS Image.
Enfin, si vous recherchez plus de ressources sur le partage de vos images et données raster, vous pouvez consulter le site d'Esri (en anglais) sur les flux de travail d'imagerie.
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1:30
The Live Amtrak Train Map
sur Google Maps ManiaTrains.fyi is a live interactive map which shows the real-time locations of passenger trains in the U.S. and Canada. The map uses colored markers to show the near real-time positions of trains from a number of different train companies in North America. The arrow on the markers show a train's direction of travel and the colors indicate the transit operators of individual trains. If you
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1:06
GeoTools Team: GeoTools 30.1 released
sur Planet OSGeo The GeoTools team is pleased to the release of the latest stable version of GeoTools 30.1:geotools-30.1-bin.zip geotools-30.1-doc.zip geotools-30.1-userguide.zip geotools-30.1-project.zip This release is also available from the OSGeo Maven Repository and is made in conjunction with GeoServer 2.24.1. The release was made by Jody Garnett (GeoCat).Release -
22:31
Free and Open Source GIS Ramblings: Setting up a graph db using GTFS data & Neo4J
sur Planet OSGeoIn a recent post, we looked into a graph-based model for maritime mobility data and how it may be represented in Neo4J. Today, I want to look into another type of mobility data: public transport schedules in GTFS format.
In this post, I’ll be using the public GTFS data for Riga since Riga is one of the demo sites for our current EMERALDS research project.
The workflow is heavily inspired by Bert Radke‘s post “Loading the UK GTFS data feed” from 2021 and his import Cypher script which I used as a template, adjusted to the requirements of the Riga dataset, and updated to recent Neo4J changes.
Here we go.
Since a GTFS export is basically a ZIP archive full of CSVs, we will be making good use of Neo4Js CSV loading capabilities. The basic script for importing the stops file and creating point geometries from lat and lon values would be:
LOAD CSV with headers FROM "file:///stops.txt" AS row CREATE (:Stop { stop_id: row["stop_id"], name: row["stop_name"], location: point({ longitude: toFloat(row["stop_lon"]), latitude: toFloat(row["stop_lat"]) }) })
This requires that the stops.txt is located in the import directory of your Neo4J database. When we run the above script and the file is missing, Neo4J will tell us where it tried to look for it. In my case, the directory ended up being:
C:\Users\Anita\.Neo4jDesktop\relate-data\dbmss\dbms-72882d24-bf91-4031-84e9-abd24624b760\import
So, let’s put all GTFS CSVs into that directory and we should be good to go.
Let’s start with the agency file:
load csv with headers from 'file:///agency.txt' as row create (a:Agency { id: row.agency_id, name: row.agency_name, url: row.agency_url, timezone: row.agency_timezone, lang: row.agency_lang });
… Added 1 label, created 1 node, set 5 properties, completed after 31 ms.
The routes file does not include agency info but, luckily, there is only one agency, so we can hard-code it:
load csv with headers from 'file:///routes.txt' as row match (a:Agency {id: "rigassatiksme"}) create (a)-[:OPERATES]->(r:Route { id: row.route_id, shortName: row.route_short_name, longName: row.route_long_name, type: toInteger(row.route_type) });
… Added 81 labels, created 81 nodes, set 324 properties, created 81 relationships, completed after 28 ms.
From stops, I’m removing non-existent or empty columns:
load csv with headers from 'file:///stops.txt' as row create (s:Stop { id: row.stop_id, name: row.stop_name, location: point({ latitude: toFloat(row.stop_lat), longitude: toFloat(row.stop_lon) }), code: row.stop_code });
… Added 1671 labels, created 1671 nodes, set 5013 properties, completed after 71 ms.
From trips, I’m also removing non-existent or empty columns:
load csv with headers from 'file:///trips.txt' as row match (r:Route {id: row.route_id}) create (r)<-[:USES]-(t:Trip { id: row.trip_id, serviceId: row.service_id, headSign: row.trip_headsign, direction_id: toInteger(row.direction_id), blockId: row.block_id, shapeId: row.shape_id });
… Added 14427 labels, created 14427 nodes, set 86562 properties, created 14427 relationships, completed after 875 ms.
Slowly getting there. We now have around 16k nodes in our graph:
Finally, it’s stop times time. This is where the serious information is. This file is much larger than all previous ones with over 300k lines (i.e. times when an PT vehicle stops).
This requires another tweak to Bert’s script since
using periodic commit
is not supported anymore:The PERIODIC COMMIT query hint is no longer supported. Please use CALL { … } IN TRANSACTIONS instead.
So I ended up using the following, based on [https:]] ::auto load csv with headers from 'file:///stop_times.txt' as row CALL { with row match (t:Trip {id: row.trip_id}), (s:Stop {id: row.stop_id}) create (t)<-[:BELONGS_TO]-(st:StopTime { arrivalTime: row.arrival_time, departureTime: row.departure_time, stopSequence: toInteger(row.stop_sequence)})-[:STOPS_AT]->(s) } IN TRANSACTIONS OF 10 ROWS;
… Added 351388 labels, created 351388 nodes, set 1054164 properties, created 702776 relationships, completed after 1364220 ms.
As you can see, this took a while. But now we have all nodes in place:
The final statement adds additional relationships between consecutive stop times:
call apoc.periodic.iterate('match (t:Trip) return t', 'match (t)<-[:BELONGS_TO]-(st) with st order by st.stopSequence asc with collect(st) as stops unwind range(0, size(stops)-2) as i with stops[i] as curr, stops[i+1] as next merge (curr)-[:NEXT_STOP]->(next)', {batchmode: "BATCH", parallel:true, parallel:true, batchSize:1});
This fails with:
There is no procedure with the name apoc.periodic.iterate registered for this database instance. Please ensure you've spelled the procedure name correctly and that the procedure is properly deployed.
So, let’s install APOC. That’s a plugin which we can install into our database from within Neo4J Desktop:
After restarting the db, we can run the query:
No errors. Sounds good.
Let’s have a look at what we ended up with. Here are 25 random Trips. I expanded one of them to show its associated StopTimes. We can see the relations between consecutive StopTimes and I’ve expanded the final five StopTimes to show their linked Stops:
I also wanted to visualize the stops on a map. And there used to be a neat app called Neomap which can be installed easily:
However, Neomap does not seem to be compatible with the latest Neo4J:
So this final step will have to wait for another time.
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18:49
gvSIG Team: Taller gratuito sobre “Introducción a gvSIG”, con la versión 2.6 y su nuevo juego de iconos en las 19as Jornadas gvSIG
sur Planet OSGeoEl día 30 de noviembre de 2023, durante las 19as Jornadas Internacionales gvSIG, se realizará un taller gratuito sobre el manejo de la versión 2.6 de gvSIG, con el nuevo juego de iconos.
Para seguir el taller solo deberás registrarte desde el siguiente enlace: Inscripción taller.
La versión 2.6 incluye por defecto un nuevo juego de iconos mejorado, sustituyendo al que llevaba desde sus versiones iniciales.
En este taller se repasarán las principales herramientas de la aplicación, aprendiendo a crear vistas, cargar capas vectoriales y raster, locales y remotas, a editarlas, tanto gráfica como alfanuméricamente, a aplicar geoprocesamiento y a generar mapas. Todo ello se realizará con el nuevo juego de iconos, que da una versión renovada a gvSIG.
Tanto si ya has utilizado gvSIG previamente, como si es tu primera vez, no puedes perderte este taller.
Para poder seguirlo, deberás descargarte la versión 2.6 portable de gvSIG, según tu sistema operativo: Windows 64 – Windows 32 – Linux 64 – Linux 32
Se deberá descomprimir en una carpeta sin espacios ni acentos ni eñes. Se puede crear por ejemplo una carpeta “gvSIG” en C:\ (en Windows) o en el home de usuario (en Linux), dejar el zip dentro, y descomprimir ahí.
Se deberá también descargar la cartografía a utilizar: Cartografía taller “Introducción a gvSIG 2.6”
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14:07
The Climate of Middle Earth: définir le climat d’un lieu imaginaire
sur Veille cartographieCet article The Climate of Middle Earth: définir le climat d’un lieu imaginaire est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Dans l’univers de la Terre du Milieu, décor du Seigneur des Anneaux, imaginé par J.R.R Tolkien, le climat façonne les paysages et les différents espaces. De la forêt luxuriante des elfes à la verte campagne des Hobbits en passant par les montagnes enneigées du territoire des nains et les paysages volcaniques du Mordor, Terre de […]
Cet article The Climate of Middle Earth: définir le climat d’un lieu imaginaire est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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9:20
The World as 1000 People
sur Google Maps ManiaIf the world's population was proportionally represented as 1,000 people then 591 of those people would live in Asia, 185 would live in Africa, 91 in Europe, 75 would live in North America, 55 in South America and the remaining 5 people would live in Oceania. The Visual Capitalist has mapped The World's Population as 1,000 People. On the map each marker (shaped as a human figure)
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9:00
Geotrek pour l'agglomération d'Alès !
sur Makina CorpusMise en place et maintenanceL'histoire de ce projet débute par un besoin :
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8:48
2023 : quelles nouveautés pour TerraVisu ?
sur Makina CorpusCette année, la solution TerraVisu a connu de nombreux bouleversements, tant dans l'organisation de son code source que dans l'amélioration et l'enrichissement de ses fonctionnalités.
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8:32
ArcGIS modernise ses briefings
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueUne nouvelle fonctionnalité s’ajoute dans ArcGIS StoryMaps. afin de réaliser des présentations. Cet outil sera idéal pour les organisations souhaitant partager et présenter des informations efficacement avec un visuel attrayant. Il permet de communiquer, en interne ou en externe, en proposant un contenu structuré et intuitif. En ajoutant des cartes en direct et des données temps-réel, le format de présentation est dynamisé. La narration est plus courte et basée sur des diapositives, à la manière d’un PowerPoint amélioré. Dans un contexte d’urgence ou même de manière plus classique, Briefings peut apparaître comme un bon support pour la prise de décision. Les présentations peuvent se partager à l’aide de liens et seront prochainement exportables au format PDF. Le contenu est sécurisé par le cadre de sécurité robuste d’Esri. La table des matières permet de naviguer entre les slides de façon plus fluide et rapide. Pour créer un briefing, il suffit d’éditer un récit ou une collection.
+ d'infos :
esri.com
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6:49
La version 3.2 d'ArcGIS Pro est disponible (en anglais)
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierEn février dernier, ArcGIS Pro passait en version 3.1 avec de nombreuses nouveautés que vous avez peut-être oublié et si c'est le cas je vous recommande de redécouvrir cet article sur arcOrama. Aujourd'hui, c'est la seconde mise à jour majeure de l'année qui est disponible avec l'arrivée de la version 3.2 d'ArcGIS Pro 3.2 (en anglais). Comme à chaque mise à jour, cette version regorge de nouvelles fonctionnalités mais aussi de nombreuses améliorations en termes de capacité fonctionnelle, de performance, de productivité et de qualité. Ce sont littéralement des centaines de nouvelles choses que vous allez pouvoir essayer, avec de nouveau plus de 100 idées d'utilisateurs mises en œuvre à partir du site collaboratif ideas.arcgis.com.
Avec tant de nouveautés, il y en a forcément certaines qui vous concernent, mais par où commencer ? Tout d'abord, vous pouvez vous référer à cette page des nouveautés de la documentation en ligne. Vous pouvez également poursuivre cet article dans lequel je vous propose une première liste des nouveautés les plus marquantes :
- Documenter et parcourir votre modèle de données de Géodatabase
- Gagner en efficacité grâce aux améliorations apportées aux raccourcis clavier
- Créer des séries de cartes thématiques
- Affiner vos modèles de données avec 4 nouveaux types de champ
- Offrir de nouvelles perspectives à votre SIG avec de l'imagerie orientée (vue immersives)
- Interopérer avec votre SIG 3D avec les nouveaux outils d'import/export de fichier 3D
- Donner du contexte à vos scènes avec les fonds de carte 3D
- Prendre le contrôle de votre expérience lors des sessions de mise à jour
- Organiser et rationaliser les éléments visuels de votre projet avec l'export complet des styles
- Utiliser le nouveau rendu de nuages de points LiDAR par carrés pour plus de performance
- Possibilité de modifier les jeux de données LiDAR basé sur des fichiers zLAS
Documenter et parcourir votre modèle de données de Géodatabase
Si vous étiez fan du complément X-Ray pour ArcCatalog, cet outil est fait pour vous ! Vous pouvez désormais créer un document complet décrivant le modèle de données de vos Géodatabases avec l'outil "Générer le rapport de structure". Vous produirez ainsi un rapport décrivant les ensembles de données, les relations, les règles et les propriétés, fournissant un aperçu complet du schéma. Avec la possibilité d'exporter dans plusieurs formats, tels qu'Excel, JSON, HTML et PDF, vous pouvez facilement collaborer autour de la structure de vos données avec vos collaborateurs, aider à la migration des données, ou encore les utiliser comme dictionnaire de données. Les hyperliens du rapport permettent une navigation et une exploration rapides des éléments de votre schéma, facilitant ainsi la recherche des informations dont vous avez besoin.Exemple de rapport de structure de Géodatabase exporté au format Excel
Exemple de rapport de structure de Géodatabase exporté au format Excel
Pour en savoir plus sur les récentes évolutions de fonctionnalités, les améliorations et les didacticiels disponibles pour vous aider à gérer vos données dans ArcGIS Pro, je vous recommande le nouveau hub de ressources sur les Géodatabases.
Gagner en efficacité grâce aux améliorations apportées aux raccourcis clavier
La toute nouvelle boîte de dialogue des raccourcis clavier (accessible via la touche F12) vous permet de rechercher des raccourcis par défaut, de modifier les raccourcis existants et d'en ajouter de nouveaux pour répondre à vos besoins spécifiques.
En quoi est-ce nouveau ? Le nouveau cadre de raccourcis clavier de Pro prend en charge les raccourcis contextuels ; c'est-à-dire que vous pouvez réutiliser le même raccourci lorsque différentes parties de l'application sont actives. Par exemple, vous souhaiterez peut-être que Ctrl+S enregistre le projet lorsque vous travaillez dans une vue cartographique, mais vous souhaiterez peut-être également que Ctrl+S enregistre les modifications lorsque vous travaillez dans la table attributaire. Maintenant, vous pouvez le faire !
La boîte de dialogue comprend des avertissements pour vous alerter si le même raccourci est attribué à des commandes en conflit, garantissant ainsi une expérience fluide et sans erreur. Prenez le contrôle de votre productivité en utilisant des raccourcis clavier personnalisables dans cet environnement efficace et convivial.
Créer des séries de cartes thématiques Il dorénavant possible de créer des séries de cartes thématiques, c'est à dire des pages dans lesquels la fenêtre cartographique est paramétrée une seule fois, tandis que les données de la carte sont mises à jour sur chaque page. Imaginez les possibilités !
Vous pourrez ainsi mettre en évidence différentes couches ou groupes de couches dans votre carte, fournissant ainsi une représentation dynamique de vos différentes couches thématiques pour générer ce que l'on appelle souvent un atlas de cartes. Comment ça marche ? En parcourant de manière transparente les couches d'un groupe de couches de type "radio" (avec affichage exclusif des couches), chaque page de la série de cartes présente une couche différente, tout en gardant l'étendue inchangée. Cela signifie qu'une seule couche du groupe est visible sur chaque page, tandis que les autres couches du groupe restent masquées, garantissant une présentation claire et ciblée. Les couches extérieures au groupe de couche "radio" restent visibles sur toute la série de cartes, offrant ainsi le contexte et la continuité.Créer une série de carte thématique Exemple de série de carte thématiques dans ArcGIS Pro
Affiner vos modèles de données avec 4 nouveaux types de champ
Pour optimiser et affiner vos modèles de données, Esri améliore les capacités de stockage de données avec quatre nouveaux types de champs dans ArcGIS Pro, ainsi que le support des ID d'objet en 64 bits. Ces types de données offrent plus de flexibilité et de précision pour stocker et analyser vos informations avec la plus grande maîtrise. Les nouveaux types de champs sont disponibles lors de la création de nouvelles tables ou classes d'entités, dans l'interface "Champs" ou via des outils de géotraitement tels que "Ajouter un champ".
Les 4 nouveaux types de champs :- Entier très grand (Big Integer) : Permet de stocker de très grands nombres entiers au-delà de la plage du type de données entier "Long".
- Décalage d'horodatage (Timestamp offset): Permet de stocker la date et l'heure en tant que décalage par rapport au temps universel coordonné (UTC), idéal pour gérer les informations de fuseau horaire.
- Date uniquement (Date only): capturez les dates sans valeurs temporelles, idéal pour suivre les dates de naissance, les périodes de vacances ou les années scolaires.
- L’heure uniquement (Time only): concentrez-vous sur l’horloge ! Stockez les valeurs temporelles sans dates, ce qui facilite la gestion des heures de travail, des horaires de transport, etc.
Et pour compléter les améliorations autour des données de type date-heure, l'outil de géotraitement "Migrer le champ de date en haute précision" vous permet de migrer les données vers des champs de "Date" en haute précision prenant en charge l'heure en millisecondes.
Offrir de nouvelles perspectives à votre SIG avec de l'imagerie orientée (vue immersives)
L'intégration, la gestion et l'affichage d'imagerie orientée dans ArcGIS Pro était possible depuis quelques années à l'aide d'un complément fourni par Esri. Désormais, ces capacités sont intégrées en standard au cœur d'ArcGIS et donc dans Pro. Quelles soient terrestres ou aériennes, c'est un moyen génial de gérer, de visualiser et d'explorer des collections d'images obliques, localisées et orientées dans vos cartes. ArcGIS Pro gère divers types d'images, depuis les images obliques prises par avion ou par drone jusqu'aux photos d'inspection rapprochées et aux images prises de la rue.
Une fois les photos référencées dans les nouvelles couches d'imagerie orientée, à l'aide de leurs métadonnées associées, vous utiliserez la visionneuse d'images orientées, en cliquant sur la carte pour afficher la meilleure image pour l'emplacement cliqué. Soyez témoin des mises à jour dynamiques des empreintes d'images lorsque vous effectuez un panoramique et un zoom et utilisez l'outil de navigation ou la galerie d'images pour explorer différentes perspectives. Lorsque vous êtes prêt, partagez votre couche d'imagerie orientée pour la collaboration et l'analyse.
Interopérer avec votre SIG 3D avec les nouveaux outils d'import/export de fichier 3D
Lorsque vous travaillez avec des couches d'objets 3D (nouvelle génération des couches multipatch), vous pouvez maintenant importer (ou exporter) des objets 3D à partir (ou à destination) de fichiers aux formats suivants :- COLLADA (.dae)
- Drawing (.dwg)
- Autodesk Filmbox (.fbx)
- Graphics Library Transmission (.glb)
- JSON Graphics Library Transmission (.gltf)
- Industry Foundation Class (.ifc)
- Wavefront Object (.obj)
- Universal Scene Description (.usdc)
- Compressed Universal Scene Description (.usdz)
Donner du contexte à vos scènes avec les fonds de carte 3D
A partir de cette version 3.2, vous pourrez améliorer vos scènes ArcGIS Pro en accédant aux nouveaux fonds de carte 3D d'Esri à partir du Living Atlas ArcGIS.Fond de carte topographique 3D sur le campus Esri à Redlands
Les fonds de carte 3D peuvent fournir un contexte intéressant à vos scènes en ajoutant des bâtiments, des arbres et des étiquettes sur des POI 3D tout en visualisant des fonds de carte à tuiles vectorielles populaires comme la carte topographique Esri, la carte communautaire Esri ou encore le fond de carte OSM.
Interopérer avec votre SIG 3D avec les nouveaux outils d'import/export de fichier 3D
Lorsque vous travaillez avec des couches d'objets 3D (nouvelle génération des couches multipatch), vous pouvez maintenant importer (ou exporter) des objets 3D à partir (ou à destination) de fichiers aux formats suivants :- COLLADA (.dae)
- Drawing (.dwg)
- Autodesk Filmbox (.fbx)
- Graphics Library Transmission (.glb)
- JSON Graphics Library Transmission (.gltf)
- Industry Foundation Class (.ifc)
- Wavefront Object (.obj)
- Universal Scene Description (.usdc)
- Compressed Universal Scene Description (.usdz)
Exploiter des photomaillages et des objets 3D depuis des sources au format 3D Tiles
Avec la dernière version d'ArcGIS Pro 3.2, les utilisateurs peuvent exploiter des éléments de type photomaillage 3D (3D Textured Mesh) et de type Objet 3D à partir de répertoires locaux ou de services web au format 3D Tiles. Vous pouvez ainsi combiner ces couches 3D Tiles avec d'autres couches SIG standard de communauté Open Geospatial Consortium (OGC) telles que les couches de scènes 3D au format I3S. Les couches I3S et 3D Tiles permettent une utilisation dans les outils d'exploration, l'analyse, l'animation, les mises en page, etc. A la différence de nombreuses applications accédant à des données 3D Tiles, dans ArcGIS Pro, ces sources de données sont parfaitement intégrées au SIG 3D ArcGIS. Les utilisateurs peuvent exploiter ces données au-delà de la visualisation réaliste en tirant parti de la puissance analytique d'un SIG complet.
Prendre le contrôle de votre expérience lors des sessions de mise à jour
Vous pouvez personnaliser votre flux de travail de mise à jour dans ArcGIS Pro. Tout d’abord, vous pouvez définir les options liées aux sessions de mise à jour pour exiger l’activation manuelle de l’outil. Vous pourrez aussi choisir si ArcGIS Pro gère automatiquement les sessions de mise à jour des espaces de travail ou si l'utilisateur sélectionne manuellement un espace de travail. Ces paramètres peuvent également être contrôlés par les administrateurs système, vous donnant un contrôle total sur l'environnement de mise à jour de votre organisation. En exécutant des sessions de mise à jour par espace de travail unique et en sélectionnant un espace de travail de Géodatabase d'entreprise non-versionnée, vous pouvez maintenant enregistrer ou ignorer manuellement les mises à jour directement à partir de l'onglet "Mise à jour" du ruban.
Le comportement de la session de mise à jour par espace de travail unique est contrôlé à partir de l'onglet "Projet > Options > Mise à jour".
Lorsque ArcGIS Pro est défini sur "Session de mise à jour d'espace de travail unique", une nouvelle interface utilisateur "Choisir un espace de travail" apparaît.
Organiser et rationaliser les éléments visuels de votre projet avec l'export complet des styles
Vous pouvez dorénavant enregistrer tous les éléments de style d'un projet dans un seul et même fichier de style, en organisant ainsi efficacement les symboles, les couleurs, l'emplacement des étiquettes et les éléments de mise en page utilisés dans les cartes, les scènes, les mises en page, etc. Les fichiers de style permettent de catégoriser et des gérer les éléments graphiques d'un projet pour améliorer la cohérence visuelle de vos différents projets et des cartes, scènes et mises en page associées. Vous créez un style à partir de votre projet et vous pouvez partager le fichier .stylx au sein de votre organisation pour générer plus facilement des produits cartographiques standardisés et cohérents.
Utiliser le nouveau rendu de nuages de points LiDAR par carrés pour plus de performance
Avec la version 3.2, une nouvelle option d'affichage permet désormais d'afficher les nuages de points avec une symbologie par carrés à la place de la symbologie par points (option par défaut).
Possibilité de modifier les jeux de données LiDAR basé sur des fichiers zLAS
Le format zLAS est un format compressé mis au point par Esri, il y a plusieurs années, pour réduire la taille (environ -30%) des fichiers standards LAS. Jusqu'à maintenant, ArcGIS Pro ne pouvait que visualiser et publier les jeux de données Lidar basés sur ce format. Désormais, vous pouvez utiliser le format zLAS pour modifier les classes et les couleurs des points.
Conclusion
Je n'ai évoqué ici que quelques-unes des nouveautés de cette version 3.2 d'ArcGIS Pro. Vous découvrirez la liste complète à partir de cette page de l'aide en ligne (en anglais). En ce qui concerne la disponibilité de la version française, cette dernière est annoncée par Esri pour mi-décembre 2023. J'annoncerai cela dans un court article sur arcOrama.
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1:00
GeoServer Team: GeoServer 2.24.1 Release
sur Planet OSGeoGeoServer 2.24.1 release is now available with downloads (bin, war, windows), along with docs and extensions.
This is a stable release of GeoServer recommended for production use. GeoServer 2.24.1 is made in conjunction with GeoTools 30.1, and GeoWebCache 1.24.1.
Thanks to Jody Garnett (GeoCat) for making this release.
Release notesImprovement:
- GEOS-11152 Improve handling special characters in the Simple SVG Renderer
- GEOS-11153 Improve handling special characters in the WMS OpenLayers Format
- GEOS-11154 Improve handling special characters in the MapML HTML Page
- GEOS-11155 Add the X-Content-Type-Options header
- GEOS-11173 Default to using [HttpOnly] session cookies
- GEOS-11176 Add validation to file wrapper resource paths
- GEOS-11188 Let DownloadProcess handle download requests whose pixel size is larger than integer limits
- GEOS-11189 Add an option to throw a service exception when nearest match “allowed interval” is exceeded
- GEOS-11193 Add an option to throw an exception when the time nearest match does not fall within search limits
Bug:
- GEOS-11074 GeoFence may not load property file at boot
- GEOS-11166 OGC API Maps HTML representation fail without datetime parameter
- GEOS-11184 ncwms module has a compile dependency on gs-web-core test jar
- GEOS-11190 GeoFence: align log4j2 deps
- GEOS-11196 NPE in VectorDownload if ROI not defined
- GEOS-11200 GetFeatureInfo can fail on rendering transformations that generate a different raster
- GEOS-11203 WMS GetFeatureInfo bad WKT exception for label-geometry
- GEOS-11206 Throw nearest match mismatch exceptions only for WMS
For the complete list see 2.24.1 release notes.
Community Module Updates OAuth2 OpenID-Connect improvementsTwo improvements have been made to the community module for OAuth2 OpenID-Connect authentication:
- GEOS-11209 Open ID Connect Proof Key of Code Exchange (PKCE)
- GEOS-11212 ODIC accessToken verification using only JWKs URI
In addition the module includes an
OIDC_LOGGING
profile and updated documentation covering new settings and troubleshooting guidance.Thanks Jody Garnett for these improvements on behalf of GeoBeyond.
note: Over the course of 2024 the OAuth2 plugins will need to be rewritten for spring-framework 6. Interested parties are encouraged to reach out to geoserver-devel email list; ideally we would like to see this functionality implemented and included as part of GeoServer.
About GeoServer 2.24 SeriesAdditional information on GeoServer 2.24 series:
- GeoServer 2.24 User Manual
- State of GeoServer 2.24 (foss4g-na presentation)
- Control remote HTTP requests sent by GeoTools/GeoServer
- Multiple CRS authority support, planetary CRS
- Extensive GeoServer Printing improvements
- Upgraded security policy
Release notes: ( 2.24.1 | 2.24.0 | 2.24-RC )
GeoServer is an Open Source Geospatial Foundation project supported by a mix of volunteer and service provider activity. We reply on sponsorship to fund activities beyond the reach of individual contributors.
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10:37
The World's Largest Snow Dome
sur Google Maps ManiaThis morning I discovered MapTheClouds, which features a whole host of impressive interactive map visuals. I'm sure a lot of the maps featured on MapTheClouds are very useful but as ever I'm drawn to the fun, experimental maps, to the maps that apparently serve no other purpose than they were fun to create and are even more fun to play with.Here are a few links to my personal favorites, but check
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18:47
KAN T&IT Blog: Destacada participación de Julia Martinuzzi y Walter Shilman en el Side Event de UN-GGIM Américas
sur Planet OSGeoEl pasado 20 de octubre, nuestra Directora de Operaciones (COO), Julia Martinuzzi, y nuestro Director de Tecnología (CTO), Walter Shilman, asumieron roles clave durante la Décima Sesión de la Comisión de las Naciones Unidas para América Latina y el Caribe (ECLAC) celebrada en Santiago de Chile. Su destacada participación se centró en la organización y liderazgo del Side Event titulado «Open Source technologies for geospatial information management and their role in the implementation of the IGIF.»
Este evento, coordinado por el capítulo argentino de OSGeo – Geolibres, reunió a destacados expertos de la región para compartir sus conocimientos sobre enfoques sostenibles y accesibles para abordar los desafíos geoespaciales.
La discusión se centró esencialmente en la implementación del Marco Integrado de Información Geoespacial (IGIF), resaltandola importancia de la accesibilidad y sostenibilidad, con un énfasis primordial en la aplicación de tecnologías de código abierto.
Los participantes exploraron temas clave, como la integración de datos estadísticos y geoespaciales, destacando cómo las tecnologías de código abierto fomentan la colaboración y mejoran la toma de decisiones. Además, se examinó el papel esencial de la geoinformación y las tecnologías de código abierto en la gestión de desastres.
El evento concluyó resaltando la necesidad de difundir y promover el uso de tecnologías de código abierto entre los países miembros de UN-GGIM, subrayando su poder en la Gestión de Información Geoespacial. La colaboración e intercambio de conocimientos entre expertos y principiantes fueron identificados como impulsores clave para un uso más efectivo de la información geoespacial en diversas aplicaciones, desde la planificación urbana hasta la gestión de desastres.
En ese momento, Julia Martinuzzi y Walter Shilman lideraron de manera destacada, contribuyendo significativamente al buen desarrollo del evento. Esperamos que esta experiencia positiva siga siendo una fuente de nuevas ideas y trabajo conjunto en el manejo de información geoespacial en América Latina y el Caribe.
Presentación en el Side Event sobre «Open Source technologies for geospatial information management and their role in the implementation of the IGIF,»
Les compartimos la presentación del evento para que todos puedan acceder.
Presentación Side Event: «Open Source technologies for geospatial information management and their role in the implementation of the IGIF»
UN-GGIM-Americas-Side-Event-ENDescarga