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DuckDuckMaps tente d’associer cartographie et vie privée
sur Veille cartographieCet article DuckDuckMaps tente d’associer cartographie et vie privée est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Présentation de DuckDuckGo : DuckDuckGo est un moteur de recherche lancé en 2008 qui s’est peu à peu imposé aux concurrents et grands moteurs de recherches connus tel que Google, Bing ou encore Yahoo. La particularité de DuckDuckGo est d’avoir comme principal objectif de protéger la vie privée de ses utilisateurs. En effet, aucune donnée […]
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18:00
Tracking Global Coronavirus Vaccinations
sur Google Maps ManiaThe New York Times is tracking the progress that countries around the world are making in vaccinating their citizens. You can view the results on the newspaper's Tracking Coronavirus Vaccinations Around the World interactive map. The NYT's map shows that Israel is still leading the world, having fully vaccinated 46% of their population. The UK and the USA are doing well if you look at those -
11:09
The Dutch Election Dot Map
sur Google Maps ManiaNext Wednesday the Netherlands will hold a general election. Four years ago more than 10 million people voted in the last House of Representatives election. You can now explore how the Dutch voted in that election on a new dot map of the 2017 vote.On Dutch newspaper NRC's interactive map All Votes as Ten Million Dots every vote in the 2017 elections is represented by a single colored dot. One
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18:20
Revue de presse du 12 mars 2021
sur GeotribuGeoRDP du 12 mars 2021 : la revue de presse de la géomatique libre et open source.
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18:00
The Japanese Tsunami Video Map
sur Google Maps ManiaMapcident is a rather voyeuristic interactive map which maps videos of accidents around the world. Mapcident says its mission is "to offer everyone the ability to share when, where and what they have observed, in it's raw form." In essence Mapcident allows you to search for and watch videos of accidents posted by people around the world. If that seems a little gruesome that is because browsing -
12:29
The OSM Ochestra
sur Google Maps ManiaOpenStreetMap isn't only the world's leading editable map, it is also a never ending free-form improvised song.Open up Musical OSM and you can not only watch edits being made to OpenStreetMap in real-time but you can also listen to those edits as they are being made. Musical OSM is an interactive map which shows the locations of edits being made to OpenStreetMap around the world. As each edit is
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19:41
Urbanisme, les territoires se plient en cartes - Méthode agile & SIG - Assureurs & Climat - GeoMSF - Map'O - ArcGIS for Microsoft Power BI... Découvrez le sommaire du nouveau SIGMAG
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe magazine SIGMAG n°28, numéro de mars 2021, vient de paraître. En voici le sommaire.
DOSSIER : «Urbanisme : les territoires se plient en cartes». Le SIG est devenu un outil incontournable dans les agences d’urbanisme. Véritables agrégateurs de données, ces structures montées à la fin des années 70 font aujourd’hui face à la multiplication des thématiques liées à l’espace urbain et à leur restitution cartographique. Elles restent très ancrées dans la connaissance fine de leurs territoires. Leur traitement fiable de l’information, notamment à destination du grand public, est le gage de leur respectabilité. Sur le terrain, il est aussi à la base du processus décisionnaire conduit par des élus chargés de la préservation du cadre de vie de leurs administrés. Dans ce dossier retrouvez les témoignages de l'agence d'urbanisme de l'agglomération de Tours (ATU), l’agence d’urbanisme et de développement de Clermont Métropole, l’agence de développement et d’urbanisme de Lille Métropole (ADULM), l'Institut Paris Région, l’agence d'urbanisme et de développement de Saint-Omer (AUD), l’agence d'urbanisme Catalane pays Méditerranée (AURCA), l’agence d’urbanisme de Marseille (Agam), Esri Suisse, l'agence d’urbanisme de la région stéphanoise (Epures).
ENQUÊTE : «Projets SIG : et si vous passiez en mode agile ?» Opposée à la traditionnelle démarche de travail collaboratif, la méthode agile regorge d'atouts notamment plus de flexibilité et une diminution du taux d'échec des projets et des coûts inhérents. À condition de l'utiliser à bon escient. Une enquête qui s'appuie sur plusieurs retours d'expériences de services SIG.
PRATIQUE : «Les assureurs au chevet du climat». Face aux risques climatiques, le secteur de l'assurance crée des modèles de prédiction qui élaborent des scenarii sur des échelles de temps longs. Un enjeu majeur pour aussi garantir la solvabilité du secteur.
PRATIQUE : Focus sur le service SIG d'Orléans métropole et son portail Map'O et GeoMSF la nouvelle plate-forme du GIS Center, la nouvelle organisation en charge de la geo au sein de Médecins Sans Frontières (MSF)
GUIDE : Zoom sur ArcGIS for Power BI. Dans le pas-à-pas réalisé pour les lecteurs de SIGMAG par notre partenaire arcOrama, découvrez comment créer des analyses cartographiques directement dans cette solution proposée par Microsoft.
Découvrez également en page Guide le portrait de la société Mazalab qui réalise des expériences collaboratives virtuelles de rencontres et de formation. Nous nous intéressons à la gestion des dangers au sein des laboratoires de l'université de Lausanne (Unil) avec Topomat.
DÉCOUVERTE : «Une vie en jaune : 28 ans de sentiers balisés» Dans les pas de Pascal Bourquin qui s'est fixé pour objectif de parcourir tous les sentiers de Suisse. En 7 ans, il a déjà parcouru 20.000 km !
D’autres articles sont à découvrir dans les différentes rubriques de SIGMAG, comme le portrait de Pascal Audureau (ONF), le billet Perspectives de Daniel Ribeiro (GeoDataSolutions) autour de la Geoblochain...
Ce numéro de 52 pages est accompagné du supplément poster SIGMAG Junior qui s'intéresse aussi à l'urbanisme avec l'aide de l'agence d'urbanisme Bordeaux Aquitaine a'urba. Comment se construit un nouveau quartier, les cités-jardins, la zéro artificialisation nette sont au programme de ce numéro avec les SIGGIES.
SIGMAG n°28 est disponible en version numérique à partir du jeudi 11 mars 2021
CLIQUEZ POUR UN ACCES DIRECT AU MAGAZINE EN VERSION NUMÉRIQUE
À noter : les premières pages de ce magazine sont accessibles gratuitement.
Les abonnés à la version papier le recevront à partir du vendredi 19 mars 2021.
Pour acheter ce numéro en version numérique ou vous abonner à SIGMAG , rendez-vous sur www.sigtv.fr/boutique/
Pour contacter la rédaction : redaction@sigmag.fr
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18:00
Honoring America's Covid Victims
sur Google Maps ManiaIn America: How Could This Happen is an interactive map which displays virtual flags in honor of people who have died as a result of the coronavirus epidemic. This virtual memorial to the victims of Covid-19 is the online recognition of a real memorial erected on the Armory Parade Ground in the U.S. Capitol last year.In the Fall of 2020 thousands of people traveled to Washington D.C. to plant
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16:19
Several issues found in recent papers on cloud detection published in MDPI remote sensing
sur Séries temporellesIn the last few months, several papers on Sentinel-2 cloud detection have been published by MDPI remote sensing journal. We found large errors or shortcomings on two of these papers, that should not have been allowed by the reviewers or editors. The third one is much better, even if we disagree with one of its conclusions.
IntroductionBefore analyzing the papers, let's review a few points that someone interested in the performances of Sentinel-2 cloud masks should know.
1- False cloud negatives (cloud omissions) are worse than false cloud positives:- given that Sentinel-2 observes the same pixel every fifth day, false cloud positives only reduce the number of available data for the processing, but one can expect the same pixel will be available and clear -and classified as such- 5 or 10 days before or after. Of course, systematic false positives, like, for instance, the classification of bright pixels as clouds, should be avoided as they would mean such a pixel would never be available during the long period in which it is bright;
- false cloud negatives can degrade the analysis of a whole time series of surface reflectance, yielding a wrong estimate of bio-physical variables or of land cover classification for instance.
Due to the difference of observation angles between bands, the edges of the cloud have a different color 2 - Cloud masks should be dilated, for at least three reasons:
- all Sentinel-2 spectral bands do not observe the surface in the exact same direction. As the cloud mask is made using a limited number of bands, it is necessary to add a buffer around it so that the clouds are asked in all the bands;
CLouds have fuzzy edges which can be hard to detect, hence the interest of dilation
- cloud edges are often fuzzy, and the pixels in the cloud neighborhood can be affected by the limbos of the cloud;
- clouds scatter light around them, and the measurement of surface reflectances is disturbed by this effect, named "adjacency effect" in remote sensing jargon.
For these reasons, in our software MAJA, we recommend to use a parameter which dilates the cloud mask by 240 meters. This dilation is a parameter, and different cloud masks should be compared using the same value of this parameter. Dilating the cloud mask will lower the false negatives, and increase the false positives, and overall, it will reduce the noise due to clouds in time series of surface reflectance.
3- Cloud shadows or clouds are both invalid pixels:- clouds and cloud shadows disturb surface reflectance time series. These pixels are therefore invalid for most analyses. we do not know of any user who really needs to know if an invalid pixel is in fact a shadow or a cloud. And moreover, a pixel can very often be both a cloud and a shadow, as some clouds partly cover their shadows. It is therefore not very useful to separate both classes in the validation, as it can bring differences if the hypotheses are different between the reference and the cloud detection method.
We have followed these guidelines in our own cloud mask validation paper, also published in remote sensing, and provided more details about their justification. This being said, we can now analyze the three papers.
Sanchez et al: Comparison of Cloud cover detection algorithms on sentinel–2 images of the amazon tropical forestA typical image in over the Amazon (here, Surinam), with lots of broken clouds.
This paper compares the quality of FMask, Sen2cor and MAJA cloud masks over the Amazon forest, which has an excessively high cloud cover. Such a cloud cover is not favorable to MAJA, which is a multitemporal method that works better when the surface is seen cloud free once per month. We are therefore not surprised that MAJA is not at its best in this comparison. The paper relies on a careful elaboration of reference fully classified images. It is a serious work, but which still includes at least 4 shortcomings concerning MAJA's evaluation:
- MAJA cloud mask was improperly decoded, and the authors wrongly concluded that MAJA could not detect cloud shadows. This error has been admitted by the authors. The Joined image shows that, for the images used by Sanchez et al, the cloud shadows are indeed detected.
One of the images for which Sanchez et al wrote that MAJA could not detect shadows.
- MAJA dilates the clouds, but the authors compared the dilated cloud masks to non-dilated "reference cloud masks". In the Amazon region, where the clouds are often large fields of small cumulus, this approximation can lead to very large differences. MAJA's dilation parameter could have been tuned to use the same hypothesis as in the reference (no dilation), but it wasn't. The differences are therefore counted as false positives for MAJA, which inequitably degrades its performances;
- The authors considered shadows and clouds as two different categories. As explained in the introduction, differences in hypotheses on the classification of pixels with clouds above shadows can bring errors in the evaluation of the performance of the method, which is of no interest for the users;
- Moreover, the Sentinel-2 mission started to be operational (5 days revisit on all lands) only after November 2017. Before that, the revisit in Amazonia was 20 days until July 2017, and 10 days after Sentinel-B entered in operations. Two thirds of the images used in the paper from Sanchez et al were obtained before July 2017. In these conditions, the average frequency of cloud free observations was lower than one every three months, or 4 per years, quite far from the cloud-free observations per month required for MAJA to work optimally. Of course it is not representative of MAJA's performance for the rest of the life of Sentinel-2 (for at least 15 years).
We asked MDPI for a correction, but while it seems that MDPI tries to be fast in the review process, it is not as fast to recognize errors and publish corrections. We signaled the errors in September, asking how to correct it. We received an answer end of October, submitted our comment in November, which was finally published in March, after a minor revision in January which requested us to change only one single word. With our comment, MDPI also published an answer from the authors, who acknowledge the error on the decoding, but did not bother to show the results after separating the results obtained with a revisit of 20 days, and those with a revisit of five days. MDPI did not insist, which we found -to say the least- disappointing. Meanwhile, this paper with false results has been quoted 9 times.
EDIT : as this blog post has had some success, I have received some feedback, and one of the actual reviewers of the paper told me he had submitted comments close to ours, and these comments where disregarded by the authors and the paper was accepted by MDPI, while the reviewer still recommended Major revisions.
Zekoll et al: Comparison of Masking Algorithms for Sentinel-2 ImageryComparison of cloud masks over Naples, for MAJA, left, and Sen2cor, right. The detected clouds are circled in green.
This paper compares three cloud detection codes, FMask, ATCOR and Sen2cor, by comparing the cloud masks generated by the automatic methods to reference data taken manually:
"Classification results are compared to the assessment of an expert human interpreter using at least 50 polygons per class randomly selected for each image".
The method by Sanchez et al used fully classified images, and so did our method, but the one used in Zekoll et al is based on selected polygons, which might be less accurate, because it is highly dependent on the choice of the samples. For instance, with such a method, you tend not to select samples near the cloud edges, because it is hard to do so manually. But the issue is that the cloud edges are one of the most difficult cases, while the center of a cloud is usually easier to classify automatically. Cloud edges are also one of the cases where Sen2cor classification is often wrong, avoiding to sample them is a convenient way to obtain good results. The paper does not show any example of reference classification, which is described in one sentence and a graph, so the reader can just hope that the work was done properly.
The paper contains also a sentence that should have shocked a good reviewer:
"However, dilation of Sen2Cor cloud mask is not recommended with the used processor version because it is a known issue that it misclassifies many bright objects as clouds in urban area, which leads to commission of clouds and even more if dilation is applied."
It could be translated by, "let's avoid the dilation or it would reveal the real value of Sen2cor". How can a review accept such a statement ? Yes, the disclaimer is present in the paper, but the performance quoted in the abstract and conclusion does not take it into account. It is therefore misleading.
And finally, the most beautiful construction in the paper is in the abstract:
"The most important part of the comparison is done for the difference area of the three classifications considered. This is the part of the classification images where the results of Fmask, ATCOR and Sen2Cor disagree. Results on difference area have the advantage to show more clearly the strengths and weaknesses of a classification than results on the complete image. The overall accuracy of Fmask, ATCOR, and Sen2Cor for difference areas of the selected scenes is 45%, 56%, and 62%, respectively. User and producer accuracies are strongly class and scene-dependent, typically varying between 30% and 90%. Comparison of the difference area is complemented by looking for the results in the area where all three classifications give the same result. Overall accuracy for that “same area” is 97% resulting in the complete classification in overall accuracy of 89%, 91% and 92% for Fmask, ATCOR and Sen2Cor respectively."
Instead of giving in the abstract the Overall Accuracy for all reference data sets, which is not good (despite using non dilated reference cloud masks), the authors have found a way to show the fast reader that the "overall accuracy is 92% for Sen2cor". You need to carefully read between the lines to understand that it is only for the pixels on which the three methods agree, ie. for the pixels which are easy to classify. The real performance for cloud detection is available but lost in the results :
Fmask performs best for the classification of cloud pixels (84.5%), while ATCOR and Sen2Cor have a recognition rate of 62.7% and 65.7%, respectively
The corresponding User Accuracy of FMask is low, but most of the Cloud commision errors are due to the dilation.
To conlude, here is one element which explains the low quality of the paper :
Received: 1 December 2020 / Revised: 25 December 2020 / Accepted: 27 December 2020 / Published: 4 January 2021
Congratulations to the MDPI review process, who accepted this paper in less than one month, in a period that includes the Christmas and New Year break . Let me recall that our negotiation with MDPI for adding a comment to Sanchez et al took seven months.
I have to add that I just saw a presentation at the S2 Validation Team meeting from by the first author, V. Zekoll, a PhD student. The presentation was much better than the paper, and which only focused on the comparison of the three methods she studied, and did not even show any comparison with the reference. This blog post does not aim at blaming her, but rather the editing process.
Cilli et al: Machine Learning for Cloud Detection of Globally Distributed Sentinel-2 ImagesThe last paper by Cilli et al avoids most of the traps in which the other papers fell. It takes the necessary dilation into account, even though the reference mask was not dilated. The reference validation data set was a good one based on fully classified images. In fact it was the data set we generated three years ago and made available to the public. We are happy it was useful and well used. But finally, the paper missed the necessity to detect cloud shadows, i just suppose it is a work in progress.
The paper compares machine learning approaches and more classical threshold based methods including MAJA, Sen2cor and FMask. The machine learning method uses a database by Hollstein et al as training data set, and evaluates all methods against CESBIO's data set.
The conclusions correspond to how we designed MAJA. MAJA is the most sensitive, but has some false positive clouds, which mostly correspond to the dilation in the products generated by MAJA. The authors also note that MAJA does not have false positives on bright pixels, while the other methods have.
The conclusion of the paper for the threshold based method is as follows :
"In general, MAJA resulted in the most sensitive (95.3%) method and FMask resulted in the most precise (98.0%) and specific (99.5%); however, it is worth noting that according to specificity the difference with Sen2Cor is negligible (99.4%)."
The SVM method developed by Cilli et al is less sensitive than MAJA but more precise (probably as the dilation is thinner).
However, I am puzzled by the following sentence:
"These findings should be taken into consideration as the main purpose of cloud detection is avoiding false positives, especially for change detection or land cover applications."
I had an email interaction with some of the authors, who come from the machine learning domain and are rather new to remote sensing, and they recognize that as Sentinel-2 provides time series, it is more relevant to avoid false negatives than false positives. The authors concede that they did not take into consideration that Sentinel-2 data are not single images, but time series of images. This is again a questionnable position that passed through the MDPI review process.
ConclusionNumber of special issues per MDPI journal, source : [https:]
Validating cloud masks it not as easy as it seems. It includes numerous pitfalls, and requires both a good understanding of cloud mask processors strategies and tuning, and a robust methodology. Falling into one of these traps is not shocking in itself and can fuel scientific discussions. But the fact that the cited articles go into publication with such shortcomings despite the usual revision process is surprising. This questions both the very fast review process of MDPI and the multiplication of guest editors who may not be specialists.
To finish, I have to say that I have published several papers in MDPI, and I appreciated that the review process wasquick and the reviews not too severe, my critics can apply to my own papers. Moreover, I have been a guest editor for 4 special issues of MDPI over the years :
- SPOT (Take5) special issue
- VENµS special issue
- Sentinel Analysis Ready Data
- Sentinel-2 science and applications
My feedback in these special issues, is the easyness to open one, but also the pressure from MDPI to have a fast processing. This pressure results in only one member of the guest editing board handling all the papers, because it takes a long time to coordinate on who will be handling the paper. For the SPOT(Take5) paper, I handled most papers, except those of which I was a co-author. For the other special issues, the main guest editors does most of the work, except for the few papers that fall exactly in my field of expertise.
Written by O.Hagolle and J.Colin
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13:27
The Global Wildfire Map
sur Google Maps ManiaOver the last couple of years we have begun to see how global heating is already leading to more widespread and intense wildfire seasons in Australia, California and Africa. Kontur's Global Fires interactive map is a new tool which visualizes the past year's global fire data. It also can be used to visualize smoke pollution during wildfire seasons around the world. The Global Fires map consists
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13:02
Free and Open Source GIS Ramblings: Movement data in GIS #33: “Exploratory analysis of massive movement data” webinar
sur Planet OSGeoYesterday, I had the pleasure to speak at the RGS-IBG GIScience Research Group seminar. The talk presents methods for the exploration of movement patterns in massive quasi-continuous GPS tracking datasets containing billions of records using distributed computing approaches.
Here’s the full recording of my talk and follow-up discussion:
and slides are available as well.
This post is part of a series. Read more about movement data in GIS.
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8:39
Peters vs Mercator ?
sur Carnet (neo)cartographiqueArticle original à retrouver en français ici et en anglais (avec les code sources) là.
Camarades cartographes, vous connaissez peut-être la série « À la Maison-Blanche » (The West Wing), cette série américaine créée par Aaron Sorkin et diffusée aux États-Unis sur le réseau NBC de 1999 à 2006 et en France à partir de 2001. Cette série récompensée à de nombreuses reprises, met en scène la vie d’un Président des États-Unis démocrate incarné par Martin Sheen et de ses collaborateurs, installés dans la fameuse aile Ouest de la Maison-Blanche, The West Wing en anglais.
Quel rapport avec la cartographie ? Le fait est que dans l’épisode 16 de la deuxième saison, une journée porte ouverte est organisée à la maison blanche pour recevoir « tous ceux qui veulent discuter de choses dont on se fiche éperdument ». C’est ainsi que débarquent trois universitaires membres de l’organisation des cartographes pour l’égalité sociale (sic). Ils sont là pour réclamer une législation visant à rendre obligatoire dans toutes les écoles publiques, l’utilisation par les professeurs de géographie de la projection de Peters au lieu de la traditionnelle Mercator.
« La Terre est bleue comme une orange » (Paul Eluard)Depuis l’antiquité, tous les cartographes ont du faire face à une épineuse question : comment dessiner en deux dimensions sur une feuille de papier ou un écran un Monde en trois dimensions. En d’autres termes, comment passer de la sphère au plan ? Faites l’expérience avec une orange, épluchez-là et essayez de disposer son écorce à plat sur la table devant vous. Un constat s’impose, il y a mille et une façons de procéder et quelle que soit votre technique, il y aura des cassures et des déformations. Au final, l’image de l’orange mise à plat sur la table ne pourra être autre chose qu’une orange déformée, bien loin de l’objet sphérique initial. Alors comment s’y prennent les cartographes pour se jouer de cette difficulté ?
Le Monde de MercatorAu 16e siècle, le cartographe Mercator proposa une projection très astucieuse qui avait l’avantage de reproduire assez fidèlement la forme des différents pays et continents. Autre avantage, sa carte qui était destinée aux marins européens comme outil de navigation, leur permettait de suivre le cap en traçant simplement une ligne droite sur la carte. Par contre, pour rendre cela possible, cette projection cartographique avait l’inconvénient d’exagérer fortement les surfaces des pays au fur et à mesure que l’on se rapproche des pôles. Par exemple, sur cette carte, le Groenland semble 15 fois plus grand que le Mexique alors qu’en réalité les deux pays font à peu près la même taille. L’Afrique semble plus petite que l’Amérique du Nord alors qu’en réalité, avec 1/5e des terres émergées de la planète, c’est le plus grand continent après l’Asie. Autre écueil, l’Allemagne est située au milieu de la carte alors qu’en réalité elle est bien plus au Nord. Au final, la carte de Mercator surreprésente très largement les pays du Nord au détriment de ceux du Sud. Pour les fameux experts cartographes de la série télé, la projection de Mercator encourage ainsi « une attitude européenne impérialiste depuis des siècles et a créé des préjugés ethniques contre le tiers monde ». Pourtant, d’autres façons de dessiner le Monde sont possible.
La projection Gall-PetersDans une volonté de combattre ce discours cartographique dominant, un cartographe Allemand du nom d’Arno Peters donne son nom au début des années 1970 à une projection qu’il présente alors comme supérieure à celle de Mercator. Même s’il ne s’agit pas vraiment d’une invention puisque cette façon de représenter le Monde avait déjà été décrite en 1855 par James Gall (on parlera alors plutôt de projection Gall-Peters), Peters la sort de sa dimension purement technique pour l’inscrire dans une démarche altermondialiste et militante. Car cette carte a en effet de nombreux atouts. Contrairement à la carte de Mercator, elle dessine un monde où la surface de tous les pays sont scrupuleusement respectés. Sur cette carte, l’Afrique paraît massive tout simplement parce que l’Afrique est gigantesque dans la réalité. Plus de 30 millions de km². A contrario, l’Europe semble toute petite et ratatinée en haut de la carte car dans la réalité, c’est le plus petit continent après l’Australie. Au final, cette projection redonne aux pays du Sud l’importance qu’ils méritent. Car toujours selon les experts de la maison blanche, « tant que la représentation des pays du tiers monde sera erronée, ils seront sous estimés ».
Perdre le NordAussi, pourquoi ne pas questionner aussi la position des différents pays sur la carte ? Qui mettre au centre ? Qui mettre en haut ? Qui mettre en bas ? Si en Europe on a l’habitude de représenter le monde centré sur l’Europe, sachez que les américains et les japonnais en font de même. Leurs planisphères sont bien souvent centrés sur leur pays. Par ailleurs, puisque la terre est ronde, pourquoi ne pas remettre en cause également notre façon de toujours représenter le Nord en haut de la carte ? Une sphère n’a ni haut, ni bas. Et cela c’est justement ce qu’a essayé de rappeler en 1979 le géographe australien Stuart McArthur en proposant une carte « à l’envers » où l’Australie règne triomphalement en haut de la carte. Rappelons au passage qu’au cours de l’Histoire, l’orientation des cartes au Nord n’a pas toujours été une évidence. Au moyen âge par exemple, les cartes européennes étaient tournées vers l’est, vers l’orient. C’est d’ailleurs de là que provient le mot « orienter » qu’on utilise souvent en cartographie pour parler du nord. Un contre sens, donc… Au final, retourner la carte est un moyen d’en changer le message. Car comme le disent les membres de l’organisation des cartographes pour l’égalité sociale, « tant que la projection de Mercator exagérera l’importance des pays occidentaux, et tant que l’hémisphère nord se trouvera en haut, et que l’hémisphère sur sera en bas, malheureusement les gens tendront a adopter une attitude allant du haut vers le bas ».
Mille et une façons de dessiner le MondeEn résumé, les projections cartographiques sont un moyen d’expression pour les cartographes leur permettant de raconter le Monde dans lequel nous vivons. Déformer, à la manière d’une caricature, permet de « grossir le trait » pour attirer le regard vers ce qui est important (en le plaçant au haut et au centre) et minimiser ce qui l’est moins (en le reléguant sur les bords voir au-delà des limites de la carte). Un simple fond de carte porte donc en lui des idées, des choix sous-jacents pour exprimer une vision du Monde. Celle-ci peut être porteuse de valeurs égalitaires comme la projection polaire ou simplement d’une vision géopolitique comme celle inventée par Xao Xiaoguang en 2002. Choisir telle ou telle façon de dessiner le Monde c’est toujours prendre parti. Rien n’est anodin en cartographie. Tenez-vous le pour dit !
Ingénieur de recherche CNRS en sciences de l'information géographique. Membre de l'UMS RIATE et du réseau MIGREUROP / CNRS research engineer in geographical information sciences. Member of UMS RIATE and the MIGREUROP network.
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7:15
Pourquoi investir dans l’intelligence géographique et pour quelles applications ?
sur Blog GEOCONCEPT FRLes entreprises leaders dans l’utilisation de la cartographie et des données de localisation se démarquent par une expérience client, des performances commerciales et une efficacité opérationnelle supérieures à celles de leurs concurrents. Et si vous mettiez vous aussi l’intelligence géographique au cœur de votre activité ?
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7:15
Pourquoi investir dans l’intelligence géographique et pour quelles applications ?
sur Blog GEOCONCEPT FRLes entreprises leaders dans l’utilisation de la cartographie et des données de localisation se démarquent par une expérience client, des performances commerciales et une efficacité opérationnelle supérieures à celles de leurs concurrents. Et si vous mettiez vous aussi l’intelligence géographique au cœur de votre activité ?
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7:00
Lutra consulting: Project wizard and packaging for Mergin in QGIS
sur Planet OSGeoBased on the feedback from users, it appeared that packaging and creating a stand-alone project for using on the Input app were sometimes cumbersome and confusing. Existing projects have links to several layers and those layers can be spread over different network drives or folders.
With the new release of the Mergin plugin for QGIS, we have introduced a project wizard, which can help users to package and upload the project to the Mergin service. There is also a new toolbar to simplify your workflow.
Easy access to Mergin toolsThe plugin now comes with a new toolbar. The common tasks (syncing the project/data and checking the status of the project) are now available from the toolbar.
Project wizardTo create a new project, you can start from a blank project or alternatively open an existing project. You can then select Create Mergin Project from the toolbar:
A new window will appear which should give you three options (the last two options are available only if you have an existing project open):
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New basic QGIS project: if you are new to QGIS, this is a good starting point. With this option, a project will be created. Within the project there will be a survey layer (a point layer) and background map (OpenStreetMap).
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Package current QGIS project: this option will create a copy of your project and copies all the files to a single folder. The wizard tries to guess each format and offers users three options to package the layer, keep as is (i.e. the layer will be referenced as is in the new project) or ignore (the layer will not be included in the new project). The default for each layer type is as: the web services (e.g. WMTS, XYZ tiles, vector tile layers) will be referenced in the new project as they are. Vector layers will be all written to Geopackage format (each vector in one Geopackage database). Raster layers will be copied as they are. The layers will be referenced in the new project accordingly.
- Use current QGIS project as is: this is for cases when you have already a stand-alone folder with your projects packaged.
In the next window, you will be prompted to assign a project name and select a path where your project folder and associated files will be generated (this option is only available for the first two choices):
After the wizard, the new project will be created locally and on the Mergin server.
Validation and status checkIt is recommended to run the project status after changing your layers and project. This will help getting a list of pending changes and also see any warnings or validations of your project. The warnings are related to restructuring of a Geopackage layer (adding/removing a field or addding/removing a layer in a Geopackage database). Validations can be linked to missing layer or availability of a layer when working offline:
Reporting issuesIf you have any issues or suggestion to improve the plugin, you can file a ticket on the Github project repository.
What nextYour project is ready to be used in Input. Get the app for your Android or iOS device. Log into the Mergin service and download the project(s) created in the above section on your device.
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21:40
[Le blog SIG & URBA] Les 3 accès à DVF
sur GeoRezo.net - GéoblogsEn mai 2019, je saluais sur ce blog l'ouverture en opendata et donc en accès libre des données "DVF" c'est à dire les données sur les transactions immobilières et foncières.Entretemps j'ai pu découvrir dans ma propre pratique professionnelle que ces données en opendata n'étaient pas complètes par rapport aux données d'origine. En particulier, elles ne fournissent pas ce que j’appellerais ici la clé foncière, par analogie avec la clé parcellaire, qui permet de structurer ces données. C'est toute la difficulté de l'opendata entre volonté d'ouverture et protection des données personnelles !En effet, les données de valeurs foncières "DVF" ne <a href=" [www.groupe-dvf.fr] être utilisées "telles quelles"</a> ou "à plat", sinon les traitements font ressortir des données fausses et des répétitions. En faisant simple : comme les données cadastrales, les données foncières en brut présentent <a href=" [www.groupe-dvf.fr] de lignes répétées</a> que de locaux principaux et secondaires et de parcelles faisant l'objet d'une même disposition. <br> <br> Grace au Groupe National DVF, constitué depuis 2012 dans la lignée des travaux précédemment engagés dans le cadre de l'ADEF, cette difficulté peut être oubliée. Ces travaux ont permis d'organiser le traitement des données au travers d'une version améliorée de DVF appelée DVF+ portée par le CEREMA. <br> <br> <br> <h2>DVF+</h2> <br> La version opendata de DVF+ reprend l'ensemble des champs présents dans la donnée source "DVF version opendata "et permet : <br> <ul> <br> <li>de géolocaliser les transactions à la parcelle</li> <br> <li>de structurer DVF selon un modèle de données partagé en 12 tables principales et de caractériser les biens, ce qui est indispensable pour procéder à des analyses foncières et immobilières pertinentes : il s'agit de ne pas mélanger indistinctement des choux et des carottes, et plus globalement le neuf et l'ancien car les volumes et les prix ne sont pas comparables, ...</li> <br> </ul> <br> Du fait de la disparition des champs d'identification de la mutation et du local dans la donnée open-data, des identifiants fictifs ont été reconstitués à la place des identifiants réels. DVF+ open-data est <a href=" [https:] target="_blank">téléchargeable gratuitement</a> sous différents formats : <br> <ul> <br> <li>Fichiers SQL pour intégration de l’ensemble des données DVF dans une base de données PostgreSQL/Postgis structurée dans le modèle DVF+ (17 tables + données brutes DVF). L’intégration dans la base postgres se fait à l’aide de l’application <a href=" [https:] mise à disposition elle aussi gratuitement</li> <br> <li>Fichiers simples 1 ligne – 1 mutation, directement utilisables en format SIG Geopackage (.gpkg), ou en format tableur (.csv). Dans ces 2 formats, chaque ligne correspond aux informations d’une vente, avec une géométrie associée dans la version SIG.</li> <br> </ul> <br> <br> <br> Le modèle DVF+ est donc constitué de 12 tables et de 5 tables annexes : <br> <ul> <br> <li>Parmi elles, la table « mutation » est centrale car elle contient les éléments de prix (la fameuse « valeur foncière ») et synthétise en une ligne les éléments caractéristiques de la vente (champs calculés par le Cerema).</li> <br> <li>Pour une analyse plus fine, il conviendra de requêter sur les autres tables du modèle renseignant sur le détail des dispositions. Deux tables détaillent notamment le ou les locaux au sens fiscal du terme, et la ou les parcelles concernées par la transaction.</li> <br> </ul> <br> <br> <h2>DV3F</h2> <br> La donnée DVF ou DVF+ reste cependant insuffisante pour analyser la complexité du marché foncier et immobilier. La valeur d’un bien se construit en effet en grande partie sur ses caractéristiques propres (nombre de pièces, année de construction, nature détaillée des locaux…) et sur le contexte de la vente (informations sur l’acquéreur et le vendeur, informations sur la destination du bien après la vente…). <br> <br> Pour pallier à ce constat, le Cerema expérimente depuis 2015 un nouveau modèle de données : DV3F, qui croise la donnée DVF et les Fichiers Fonciers (retraitement des données MAJIC qu’il produit annuellement). Reprenant la même structure que DVF+, le modèle DV3F est plus riche (13 tables principales et 7 tables annexes dans le format v4 actuel) et concentre lui aussi sur les informations essentielles d’une vente sur la table mutation (130 variables + géolocalisation à la parcelle). <br> <br> Par ses nombreuses variables, il permet d’affiner la description physique des biens objets de la vente (année de construction notamment), propose une typologie de ces biens (celle du GnDVF) et apporte des informations sur le type de propriétaire avant/après (typologie, raison sociale des personnes morales…). <br> <br> Pour cette base enrichie la donnée n’est pas ouverte à tous. Ce format est disponible depuis 2020 à l’ensemble des ayants-droits des Fichiers Fonciers (essentiellement les collectivités publiques). <br> <br> <br> <blockquote> <br> <h2>En résumé :</h2> <br> [DGFiP] DVF opendata, 07/2015 à 06/2020, 1 fichier texte France entière par année, mise à jour semestrielle (avril/octobre) : une version « brute » et volumineuse difficile à utiliser ; <a href=" [https:] <br> <br> [Etalab] DVF géolocalisé et normalisé, 01/2014 à 06/2020, 1 fichier csv par année et par commune, mise à jour semestrielle : géolocalisation (lat/lon) des parcelles mais toujours présence de doublons : <a href=" [https:] <br> <br> [Cerema] DVF+ opendata, 01/2014 à 06/2020, 1 fichier par département, mise à jour semestrielle : une version structurée en format SQL ou « à plat » aux formats csv et shp : <a href=" [https:] <br> <br> [Cerema] DV3F format v4, janvier 2010 à décembre 2019 : une donnée structurée et enrichie à intégrer dans une base postgres/postgis, accessible aux ayants-droits : <a href=" [https:] <br> <br> Et, en bonus, clé en main pour des recherches ponctuelles, la carte proposée par Etalab, s’appuyant sur la version DVF géolocalisée : <a href=" [https:] <br> <br> <br> Ces apports en données et en méthode sont complétés par toute une série de guides et tuto. En effet, l’accès apparemment facile à ces données ne doit pas faire oublier un certain nombre de principes à respecter : <br> <ul> <br> <li>Celui du secret statistique avec des analyses à baser en toute logique sur au moins 11 valeurs.</li> <br> <li>Extraire les ventes particulières. En l'occurrence un filtre a été créé pour repérer et exclure les biens rares ou des conditions de vente spécifique.</li> <br> <li>Baser ses analyses sur des biens simples plutôt que sur des mutations complexes, mélangeant plusieurs logements ou plusieurs types de locaux.</li> <br> <li>Et tenir compte des indications données dans la mutation sur la qualité de l'information : les terrains à bâtir sont potentiellement sous estimés et la construction neuve est également difficile à caractériser, en particulier les VEFA.</li> <br> </ul> <br> <br> <h2><strong>Pour aller + loin :</strong></h2> <br> Le site du Groupe national DVF, présentant la donnée DVF et ses usages : <a href=" [https:] <br> <br> Le tuto complet en version web : <a href=" [doc-datafoncier.cerema.fr] <br> <br> Toutes les ressources Dv3F : <a href=" [https:] <br> <br> <br> <h3>Et encore :</h3> <br> <a href=" [https:] <br> <a href=" [https:] https://georezo.net/forum/viewtopic.php?id=98688&p=2</a> <br> <a href=" [https:] https://www.oramaritima.fr/wp-content/uploads/2019/11/3-DV3F_Cerema_27sept2019.pdf</a> <br> Débat sur le modèle : <a href=" [https:] GeoRezo / DVF : l’intégration facile proposée par le Cerema</a> <br> Discussion sur l’accès aux données et la version opendata : <a href=" [https:] GeoRezo / DVF (Données de Valeurs Foncières) publiées en Opendata</a> <br> <br> <br> <br> <em>Article rédigé avec les enrichissements de Julien Place et la lecture attentive d'Antoine et Bruno, merci à eux. <br> </em>
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21:18
La cartographie au service de la recherche d’emploi – Europe 1
sur Veille cartographieCet article La cartographie au service de la recherche d’emploi – Europe 1 est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Le contexte sanitaire actuel impacte notre économie et indéniablement nos relations sociales. Celle-ci peut également avoir des répercussions sur l’insertion professionnelle (recrutement, trouver un travail). Au cœur de cette crise sanitaire, les étudiants sont particulièrement touchés (seul, difficulté pour se nourrir / trouver un emploi/stage…). Les étudiants touchés par la crise sanitaire Sensible aux difficultés […]
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19:46
Un planisphère de nouveau genre en forme de vinyle : la carte du monde la plus réaliste
sur Veille cartographieCet article Un planisphère de nouveau genre en forme de vinyle : la carte du monde la plus réaliste est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Les cartes du monde que l’on représente depuis des siècles ne sont pas très réalistes. En effet, représenter notre planète, une sphère, à plat en 2D se révèle, depuis des siècles, difficile. L’objectif premier est de représenter notre planète dans sa rondeur, et aujourd’hui, la meilleure manière de la représenter le plus fidèlement possible est […]
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18:00
Putting Women on the Map
sur Google Maps ManiaYesterday, in honor of International Women's Day, Canada's Minister of Natural Resources announced the release of a new interactive map which highlights all the roads, towns and other locations in the country which have been named for women. The Recognizing Women with Canadian Place Names interactive map shows 500 locations in Canada which have been named for women from lots of different -
11:20
Comparing Map Route Suggestions
sur Google Maps ManiaWhy settle for one suggested route when you can have eight, each one of which is provided by a different routing engine? Request directions from SuperRoute and you can view eight different suggested routes on one interactive map. Each one of the eight routes shown on SuperRoute is suggested by a different mapping service, including Google Maps, Apple Maps, MapQuest, HERE, Mapbox, Esri, Azure
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9:41
La dimension territoriale de l’accès à l’emploi des femmes
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCliquez sur l’image pour télécharger le PDF
Les femmes ont un accès à l’emploi globalement dégradé par rapport à leurs collègues masculins : moindre rémunération, précarité accrue, temps partiel involontaire plus fréquent… Mais cette situation ne s’observe pas de la même façon selon les territoires.
Cette publication de l’ANCT propose en effet une lecture territoriale des freins potentiels à l’amélioration des conditions d’emploi des femmes (parentalité, non-mixité de l’offre d’emploi ou encore mobilités) qui sont autant de dimensions de la vie quotidienne qui influent sur les inégalités territoriales femmes-hommes, cartes à l’appui.Cet article La dimension territoriale de l’accès à l’emploi des femmes est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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9:31
Bils-Deroo Transports fait appel à l’expertise de PTV Group pour optimiser les tournées de livraison de ses clients distributeurs spécialisés
sur Décryptagéo, l'information géographiqueBils-Deroo Transports, filiale du Groupe BILS-DEROO, réapprovisionne les points de vente de ses clients distributeurs et e-commerçants en s’appuyant sur le logiciel d’optimisation de tournées PTV Route OptimiserLe Groupe BILS-DEROO
Implantée dans les Hauts-de-France, la société Bils-Deroo Transports a remporté l’appel d’offres concernant la gestion des flux transports du réseau de distribution GiFi. La prestation couvre un maillage de près de 300 magasins répartis sur toute la moitié Nord France et mobilise une centaine de véhicules par jour, flotte propre et affrètements, au départ de plusieurs agences.
C’est dans le cadre de ce projet d’envergure que Bils-Deroo Transports a choisi de s’équiper du logiciel de planification et d’optimisation de tournées PTV Route Optimiser.
En sollicitant l’expertise de PTV, le client a opté pour une solution de référence qui a fait ses preuves auprès de nombreuses d’entreprises dans les secteurs du transport routier de marchandises et de la distribution.
Pour Jimmy Bils, Président du Groupe BILS-DEROO, 1600 collaborateurs et 157 millions d’euros de C.A. en 2020, « nous sommes dans une recherche continue d’amélioration du service rendu à nos clients pour les accompagner dans leur développement. Cette collaboration fait sens et renforce d’autant plus l’agilité et la réactivité de notre système d’informations ».
L’utilisation du logiciel PTV Route Optimiser garantit un gain de productivité opérationnel qui devrait entrainer, sur le périmètre du client, une réduction des coûts de transports estimée à 6% par an, notamment grâce à la baisse des kilomètres parcourus et par conséquent, une diminution des émissions de CO2 ; Un objectif qui répond également à la politique environnementale du groupe.
Lucas DE WEVER et Amina HAMIDOU BEIDARI, respectivement Chargé Méthodes, Projets et Appels d’Offres Transport et Responsable Applicatif Transport & Logistique au sein du Groupe BILS DEROO : « Les raisons pour lesquelles nous avons choisi de travailler avec la société PTV sont évidentes. Tout d’abord, elle est leader sur le marché des logiciels de gestion et d’optimisation des tournées mais également en cartographie. Les solutions qu’elle propose sont souples puisque nous pouvons ajouter des modules au pack initial tout comme de nouveaux utilisateurs si nécessaire. Nous avons donc choisi leur logiciel pour gérer, maximiser et mieux maitriser l’activité de l’un de nos plus gros clients. En effet, les tournées sont actuellement organisées de façon « manuelle » et optimisées grâce à la connaissance et à l’expérience de nos collaborateurs dans ce domaine. Suite aux différents échanges entre nos deux sociétés et surtout aux démonstrations faites sur ce logiciel, nous nous sommes vite rendu compte que l’offre PTV répondait à nos attentes et nous faisait gagner un temps précieux en termes d’exploitation ; notre objectif principal étant d’avoir un outil qui nous permette d’automatiser la gestion de notre activité et donc de soulager la charge de travail conséquente de nos exploitants et affréteurs. De plus, nos contacts chez PTV sont très réactifs ; Ils nous comprennent et savent s’adapter à nos besoins. Enfin, PTV travaille également avec notre éditeur de TMS ce qui est un plus, notamment au niveau de l’interface des deux systèmes ».
PTV Route Optimiser se connecte avec l’ERP transport WINTRANS et l’outil de mobilité TRANSICS permettant, entre autres, de transmettre les tournées planifiées sur les systèmes télématiques et applications mobiles des véhicules.
Le logiciel regroupe automatiquement les ordres de transports et va les répartir sur des itinéraires et des tournées optimisés. Il respecte l’ensemble des contraintes métiers de nos clients et prend en compte les restrictions liées aux caractéristiques et aux gabarits des véhicules, aux temps de conduite et de repos, aux heures d’ouverture des rampes de livraison, aux temps de chargement et de déchargement, etc.
Essentielle pour une meilleure gestion des coûts externes, la solution intègre un module de préfacturation avec les grilles tarifaires sous-traitants (module e-cargo).
Enfin, finies les tâches chronophages et fastidieuses pour les exploitants et affréteurs qui bénéficient d’un puissant outil d’analyse et d’aide à la décision pour construire les plans de transport. En quelques clics, ils accèdent à des indicateurs de performances et sont en mesure de créer des rapports d’analyses des tournées, de comparer le planifié et le réalisé afin de prendre des décisions éclairées sur des mesures correctives et d’éventuelles améliorations à apporter.
La solution a rapidement fait l’unanimité auprès des exploitants Bils-Deroo Transports et des responsables IT, transport et logistique du Groupe BILS-DEROO. Un test réalisé en septembre 2020, sur la base d’un jeu de données du client, avait pu démontrer les performances du logiciel PTV Route Optimiser, bientôt en production.
- PTV Route Optimiser – le logiciel d’optimisation de tournées
- Références Clients
- Pour plus d’informations, merci de contacter :
- Marie Gomes, Responsable Communications
- Mobile : +33 (0)1-30-75-75-82, marie.gomes@ptvgroup.com
- Internet: www.ptvgroup.com
PTV Group suit une approche holistique qui intègre tous les aspects du trafic, du transport et de la logistique pour créer et promouvoir une mobilité durable. Reconnu comme un leader international sur son marché, PTV développe des solutions logicielles intelligentes pour le transport et la logistique, la planification et la gestion de la circulation. Ainsi les villes, les entreprises et les personnes génèrent des économies de temps et d’argent, renforcent la sécurité routière et réduisent leur impact sur l’environnement. Basé sur son expertise unique dans tous les domaines de la mobilité, PTV garantie que les personnes et les marchandises arrivent à destination en toute sécurité et à l’heure.
Plus de 2500 villes utilisent les produits PTV. Les itinéraires et les tournées de plus d’un million de véhicules sont planifiés avec nos logiciels. Le modèle de transport européen, qui couvre tous les déplacements de passagers et de marchandises en Europe, a été développé avec la technologie PTV. Nous avons plus de 850 collègues dans le monde impliqués dans la conception de haute performance de nos produits. Le siège de PTV, situé en plein cœur du bassin technologique de Karlsruhe, accueille notre centre de développement et d’innovation. De là, PTV planifie et optimise tous les déplacements des Hommes et des marchandises dans le monde – telle est l’idée conductrice qui accompagne le groupe depuis sa fondation en 1979. La société française PTV France est une entreprise de PTV Group. www.ptvgroup.com
Membre de l’Alliance internationale pour la décarbonisation des transports (lien vers [tda-mobility.org] ) PTV Groupe France a aussi rejoint le comité des partenaires de la Métropole du Grand Paris (lien vers [https:]] ).
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8:00
La solution UrbanThink® : évaluer l’aménagement d’un territoire selon 60 indicateurs..
sur Veille cartographieCet article La solution UrbanThink® : évaluer l’aménagement d’un territoire selon 60 indicateurs.. est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Esri France et SETUR ont signé un partenariat autour de la solution UrbanThink®. Il s’agit d’un outil permettant de simuler et d'évaluer l'aménagement d'un territoire selon 60 indicateurs. Découvrez cette solution et réinventez votre manière de travailler !
Cet article La solution UrbanThink® : évaluer l’aménagement d’un territoire selon 60 indicateurs.. est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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7:06
Jeux vidéo : la cartographie au service d’expériences immersives
sur Carnet (neo)cartographiqueAujourd’hui, dans Néocarto, nous sommes ravis d’accueillir deux personnes : Eve Ben-Haïm, Inspirational Content Advisor et Julien Laurent, chef de projet Web, tous deux cartographes en immersion dans l’imaginaire du jeu vidéo.
Néocarto : Bonjour et bienvenue à vous deux. Quels sont vos parcours respectifs ?
Eve : Bonjour Néocarto ! je vous remercie de nous recevoir. Je m’appelle Eve BEN-HAÏM et je suis Responsable des Recherches de Terrain – Inspirational Content Advisor à Ubisoft. Je suis issue d’une formation à l’Université Paris-Sorbonne : j’y ai réalisé une Licence en Géographie et Aménagement, suivi d’un Master de Géographie, Aménagement, Environnement et Logistique des échanges, spécialité Culture, Politique Patrimoine. Je me suis consacrée à de nombreux projets de terrains, et j’ai développé des connaissances et des expertises en géographie humaine et environnementale. J’y ai également appris la cartographie, entre autres auprès de vous, Françoise Bahoken. J’ai conclu mon mémoire en Juin 2019, et j’ai rejoint la Research Unit d’Ubisoft depuis Novembre 2019.
Julien : Bonjour, je m’appelle Julien LAURENT, et ça fait cette année 10 ans, que je travaille chez Ubisoft. Originellement formé aux métiers du web, J’ai officié en tant que Web designer en agence avant d’entrer chez Ubi où j’ai occupé divers postes, finalement toujours en lien avec le partage d’expertise et plus généralement des connaissances auprès de nos studios de production. Je suis aujourd’hui chef de projet Web dans la Research Unit.
Source : Cartograph, Time zones (Julien Laurent)
Néocarto : En quoi consistent vos métiers aujourd’hui ?
Eve : Ubisoft est un des leaders mondiaux de la création et de l’édition de jeux vidéo. La Research Unit est une équipe transdisciplinaire dans laquelle nous mettons en commun nos différentes expertises en sciences humaines pour apporter du soutien aux studios d’Ubisoft dans leurs processus de création et de production. Ce système internalisé contribue à la fabrication d’univers immersifs, authentiques, et plus ou moins inspirés par la réalité. Notre objectif est de fournir aux équipes les informations scientifiques nécessaires pour s’assurer de la cohérence des univers qu’ils créent, tout en les nourrissant de contenus inspirationnels pour étoffer leurs perspectives créatives.
Jeux de rôle au quotidien
Au quotidien, cela se traduit par plusieurs rôles que nous occupons :
- Nous mettons en place et alimentons des encyclopédies en interne, dédiées aux différents projets de jeux ou transversaux. Nous y écrivons des articles multimédia et interactifs, qui ont l’avantage d’être plus précis et orientés pour les besoins de nos équipes que les wikis « grand public » que l’on retrouve en ligne.
- Nous contribuons à l’écriture de livres internes qui accompagnent les différents projets.
- Nous sommes sollicités pour réviser les contenus envisagés pour les jeux (personnages, quêtes, environnements…) afin d’y apporter notre point de vue.
- Nous emmenons certains membres de l’équipe sur le terrain afin de les aider à prendre la pleine mesure des facteurs sociaux, environnementaux, et des activités qui font l’essence d’une région, d’une ville.
Julien : Quant à moi, mon cas est un peu spécifique dans l’équipe Recherche vu que je m’occupe de créer et de faire évoluer les outils web nous permettant de mener à bien notre mandat inspirationnel. Nous étoffons ces outils au jour le jour pour continuer à enrichir notre palette d’action. Concrètement, je m’occupe de définir les besoins et de porter la vision produit. Je travaille au long cours avec une petite équipe de webdesigners et développeurs au quotidien pour implémenter tout ça.
Néocarto : Depuis quand vous intéressez-vous aux jeux vidéos ? Certains vous ont-il plus marqué que d’autres ?
Eve : Je m’intéresse aux jeux vidéo depuis ma toute jeune enfance, car à ma naissance, ma grande sœur avait déjà une PlayStation 1. Je me prends tout particulièrement de passion pour les jeux qui me font découvrir des univers remplis de mystères. J’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir un monde à travers les âges transformé par des singes dans Ape Escape. Foncer à toute allure dans les merveilleux paysages de Rayman Origins est très satisfaisant pour moi, autant que de planifier une stratégie d’attaque et de défense au cours d’une partie tendue de Rainbow 6 Siege.
Julien : J’ai commencé avec la Game boy et la NES il y a fort longtemps, et la liste des jeux qui m’ont retourné, fait vibrer et émerveillé est bien trop longue pour être énoncée ici. Mon dernier coup de cœur est Outer Wilds, un savant mélange d’exploration spatiale et d’énigmes dont la fin, profonde, m’a mis les larmes aux yeux. Vous avez 22 minutes avant l’explosion du soleil en supernova et beaucoup de choses à découvrir
Néocarto : Eve, arrivez-vous à faire le lien entre la cartographie académique et la cartographie imaginaire ou virtuelle des jeux vidéos ?
Eve : La cartographie est omniprésente dans les jeux vidéo : de l’écran de pause aux « mini-maps » à même l’écran de jeu, les joueurs et les joueuses ont accès à des cartes dans la grande majorité de leurs expériences. La cartographie imaginaire est une chance de mobiliser ce qui pourrait être un outil informatif de prime abord comme un vecteur d’immersion, d’histoires, d’émotions. Les cartes d’univers sont l’héritage d’une véritable tradition de la fiction en littérature, et les jeux vidéo peuvent s’en inspirer pour inviter les joueurs et les joueuses à découvrir leurs univers. De très nombreux romans de fiction s’ouvrent sur une carte pour faire exister empiriquement leur univers, à l’instar du Seigneur des Anneaux. De la même manière, nos cartes de jeux vidéo visent à transmettre des informations, mais également un sentiment d’univers propre, qui existe, aux joueurs et aux joueuses.
Cartographier pour « conscientiser » l’architecture d’une carte
D’un point de vue technique, croiser des compétences de cartographie académique aux forces créatives des jeux est un bon moyen de conscientiser l’architecture d’une carte. En somme, d’affirmer les intentions des équipes de création en matière de cartographie, de cerner ce que l’on souhaite créer à travers notre carte.
« A quoi sert notre carte ?
Que veut-on transmettre aux publics ?
Avec quel niveau d’intensité ? »
La GIS [SIG, ndlr] est également un outil utile pour nos équipes, pour deux raisons principales. Dans un premier temps, la vision « par layers » induite par la pratique des GIS est d’une grande aide lorsqu’il s’agit de trier et de hiérarchiser les très nombreux niveaux d’information que nous essayons de faire coexister au sein d’une carte de jeu. D’autre part, l’utilisation de cartes interactives fabriquées à l’aide de l’outil Cartograph de Julien, est un atout majeur pour transmettre des informations claires et lisibles à l’aide du langage quasi-universel qu’est la cartographie.
Cartograph, c’est l’outil de Julien. Cette carte sur les invasions perses est un exemple de carte qui peut accompagner les équipes sur un projet historique…
Source : Cartograph, Persian invasion (Julien Laurent)
… un projet historique comme Assassins Creed Odyssey, qui se déroule pendant les guerres du Péloponnèse.
La cartographie pour créer du contenu, le mettre en perspective, …
Néocarto : Eve, vos compétences (méthodes et outils de l’analyse cartographique) acquises à l’Université vous sont-elles utiles ? En quoi vous permettent-elles de spécifier votre poste actuel, de l’enrichir ?
Eve : Les compétences universitaires me servent au quotidien dans la mesure où notre équipe s’attache à l’authenticité scientifique et historique. Elles permettent de compléter les forces créatives et artistiques des équipes pour que, de concert, nous puissions bâtir des univers imaginaires cohérents, denses et inspirés.
De manière très directe, les compétences dédiées à la recherche, telles que la recherche de documents et la création de contenus pédagogiques constituent le cœur de mon métier.
Mes compétences cartographiques sont mobilisées dans deux contextes au quotidien :
- D’une part, lorsqu’il s’agit de créer du contenu de support aux équipes de création. C’est-à-dire qu’à l’aide de l’outil de Julien, nous allons créer des cartes interactives pour permettre aux membres des équipes de création et de productions des jeux de s’informer et d’accéder à des informations scientifiques par ce biais. Un studio de jeu est constitué de nombreuses personnes qui travaillent à des tâches différentes les unes des autres : imaginez arriver dans un studio en tant que [développeur], et apprendre que vous allez travailler sur un jeu dédié à la culture viking. Il est bon d’avoir accès à des moyens rapides et efficaces pour s’informer sur la période, afin d’être au même « niveau de connaissances » sur le sujet que le reste de ses collègues. Par ailleurs, nous essayons d’approfondir nos contenus, afin que tout le monde puisse s’inspirer et profiter de ces connaissances.
- D’autre part, lorsque les équipes travaillent directement sur la cartographie d’un jeu, je peux être mobilisée pour apporter mes perspectives. En règle générale, la cartographie est confiée à des designers et des artistes, qui réalisent un excellent travail. Mon objectif dans ce contexte va être, non pas de concevoir et de dessiner moi-même la carte du jeu, mais plutôt d’apporter des éclairages, de souligner quels éléments sont particulièrement réussis et à l’inverse lesquels pourraient être améliorés. J’essaie de poser les questions qui permettront de pousser la carte un cran plus loin, dans l’objectif de favoriser l’immersion et la rétention d’information du côté du public de nos jeux.
Néocarto : Julien, pourriez-vous nous présenter l’un des outils de cartographie que vous avez développés ?
Julien : Pour délivrer des contenus inspirationnels à des équipes ayant des questionnements extrêmement divers, il nous fallait un éditeur agile et suffisamment flexible pour pouvoir construire plusieurs types de cartes. Nous voulons pouvoir partager des cartes géopolitiques, des cartes historiques, des cartes choroplèthes, de la dataviz ou encore associer de manière interactive graphiques, media et autres informations additionnelles à n’importe quel point, polygone ou texte ajouté sur nos cartes.
Nous voulons être capables de créer des cartes illustratives très simples comme des cartes structurées avec des dizaines de layers et de sections. Ces dernières peuvent présenter une image globale d’un sujet, d’un contexte spatio-temporel qui intéresse les studios. Elles regroupent, par exemple, des informations sur les infrastructures d’une ville, leurs points d’intérêt, des flux, des indicateurs socio-économiques, etc.
… apporter un sentiment d’authenticité
Cette carte qui décrit le parcours de Helena est un exemple de support aux équipes lié au sentiment d’authenticité dans nos projets contemporains …
Source : Cartograph, Field Trip (Julien Laurent)
… à l’instar de Far Cry 5 qui se passe dans le Montana.
Il existe énormément d’applications GIS commerciales ou open source de qualité mais aucune ne nous permettait de répondre à tous nos besoins clé en main. Nous avions en plus besoin d’interfacer ces cartes avec nos autres outils. Nous avons donc conçu notre propre éditeur de cartes interactives [d’où sont extraites l’ensemble des images de ce billet] nous permettant de partager à n’importe quelle équipe d’Ubisoft ces contenus, qui peuvent les éclairer sur des éléments spécifiques concernant leurs projets. L’éditeur s’appuie sur une API et des fonds de carte bien connus puisqu’il s’agit de l’API Google Maps.
Source : US unemployment choropleth map, Ubisoft.
Le développement de cet outil est loin d’être terminé et il y a encore de nombreuses fonctionnalités qui nous manquent. Quelques exemples :
- A date, ce qui nous intéresse sont les cartes du monde réel, mais nous voulons pouvoir charger nos propres fonds de carte, ce qui va considérablement ouvrir le champ du possible.
- Continuer à développer l’intégration et la manipulation des fichiers GeoJSON (que nous gérons déjà) afin de faciliter le travail plus lourd sur des gros jeux de données.
- Nous allons mettre en place des outils de comparaison de cartes (typiquement une timeline pour comparer l’évolution d’un phénomène).
- Nous allons permettre la co-construction d’une carte entre plusieurs éditeurs.
J’en passe bien d’autres, mais c’est pour vous donner une idée.
De l’utilité des applications cartographiques dans le milieu du jeu vidéo
Néocarto : En quoi ce type d’application cartographique est-il utile dans l’univers du jeu vidéo ?
Julien : Par rapport au mandat inspirationnel de notre équipe, la capacité de partager des cartes taillées sur mesure est un atout absolument essentiel qui prolonge nos moyens d’actions. C’est un langage graphique familier, synthétique, qui nous permettra de creuser et d’accompagner notre propos.
Néocarto : Pour finir, quel message souhaitez-vous envoyer aux étudiant.e.s géographes, potentiellement futur.e.s cartographes ?
Eve : La géographie est une porte d’entrée pluridisciplinaire qui présente l’avantage d’être particulièrement professionnalisante, à l’échelle des sciences humaines. Je vous recommande de vous investir dans les projets qui vous passionnent et vous intéressent, d’en tirer le fil pour les développer. Une fois que ces projets sont réalisés, surtout : parlez-en. Si certains sujets attirent votre attention, c’est sans doute qu’ils intéressent également d’autres personnes. Communiquez autour de vos réalisations : la géographie et la cartographie sont des terrains de jeu très vastes. A vous de vous en approprier les outils pour tester, créer et apporter de nouvelles perspectives à vos projets !
Néocarto : merci à vous deux.
Géographe et cartographe, Chargée de recherches à l'IFSTTAR et membre-associée de l'UMR 8504 Géographie-Cités.
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20:05
SISelune : la banque de données partagée de l’Observatoire Sélune
sur Veille cartographieCet article SISelune : la banque de données partagée de l’Observatoire Sélune est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
L’Observatoire Sélune L’Observatoire Sélune s’insère dans un programme de recherche ayant débuté en 2012 : le Programme Sélune. Il a été mis en place suite à la décision d’effacer les barrages de la Sélune. En effet, deux barrages hydro-électriques se situaient en travers de ce fleuve qui coule sur le département de la Manche (Normandie), pour […]
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18:00
The Elevation of Hawaii
sur Google Maps ManiaHawaii Elevation is an interactive map which visualizes elevation data on the Hawaii island of O'ahu. O'ahu is the third-largest of the Hawaiian islands and home to around two thirds of the state's population. The map uses data from the Hawaii Statewide GIS Program's Geospatial Data Portal to show how volcanic activity has shaped the island's geology.The map includes a slide control which -
12:36
The Bombing of London
sur Google Maps ManiaI live in London's East End, in a mainly residential area which was first developed in the Victorian age. Housing in this area of London emerged during the 19th Century as a result of the new railway lines and to provide housing for the huge numbers of workers needed to run London's busy docks. The housing and municipal buildings in my neighborhood are still mainly Victorian. The streets are
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11:20
Afficher facilement l'aide de son plugin QGIS
sur GeotribuPetite astuce dans le développement de plugins QGIS : rediriger facilement l'utilisateur final vers la documentation en ligne.
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9:58
Actualisation 2021 du Livre Blanc “Découvrir et comprendre la gouvernance de l’information géographique” !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueTéléchargé plus de 1000 fois à sa publication, le livre blanc d’Halbout Consultants et Isogeo sur la gouvernance de l’information géographique s’est imposé comme une véritable référence dans le monde de la géomatique.
Toutefois, face à l’évolution constante du monde des données géographiques (déclin de la Directive INSPIRE, expérimentation de l’open data, arrivée du BIM…), les deux sociétés se sont lancées dans la rédaction d’une édition actualisée prévue pour septembre 2021. Cette seconde édition se concentrera entre autres sur les retours d’expérience des secteurs public et privé.
Retour sur l’édition 2016.
Encore récente à l’époque, la notion de “gouvernance de l’information géographique” a été définie comme suit : “C’est une procédure (méthodes, règles, structures) qui établit et clarifie les rôles et responsabilités (production, mise à jour, diffusion) de chacun des acteurs (publics, privés, individuels), par rapport au patrimoine global de données géographiques sur un territoire donné”.
Une meilleure gouvernance des données permettrait ainsi de mieux comprendre, gérer et valoriser le patrimoine de chacun : la dispersion des données ne serait en effet plus un problème, les prises de décision seraient facilitées malgré la multiplicité des acteurs impliqués et l’information correctement communiquée au sein des réseaux…
Mais concrètement, quels bénéfices peut-on retirer de la gouvernance dans le cadre d’un projet SIG, d’une IDG ou encore d’un projet d’Open Data ? Quels sont les enjeux du catalogage de données et les nouveaux défis à venir concernant la gestion du patrimoine géographique ? Ce sont les questions auxquelles l’édition 2016 du livre blanc a voulu répondre, dans une volonté d’établir un tour d’horizon sur la gouvernance de l’information géographique en France.
? Retrouvez le livre blanc ici !
Participez à l’édition 2021 !À l’aube de cette nouvelle année 2021 et face aux nombreuses évolutions rencontrées dans le monde de la géomatique, Isogeo et Halbroult Consultant se sont lancés dans l’actualisation de leur livre blanc sur la gouvernance de l’information géographique en France.
Dans cette nouvelle édition de “Découvrir et comprendre la gouvernance de l’information géographique”, l’accent sera mis sur les retours d’expérience des secteurs public et privé.
? En savoir plus sur le livre blanc 2021.
? Le sujet vous intéresse ? Vous souhaitez y participer et partager votre propre expérience ? Contactez les rédacteurs.
À propos d’Isogeo :Créée en 2009, la société Isogeo accompagne les organismes publics et privés dans leur projet de Geodata management.
Isogeo édite et commercialise une plateforme web éponyme qui permet de recenser, documenter et partager ses données SIG. Grâce à cette solution, à une multitude d’applications complémentaires et à un accompagnement personnalisé, les clients d’Isogeo cataloguent et valorisent facilement leurs données.
À propos d’HALBOUT Consultants :HALBOUT Consultants a développé, depuis plus de 25 ans, une grande expérience et une véritable expertise dans les domaines des SIG, de la 3D et aujourd’hui du BIM : conseiller sur les aspects stratégiques et techniques de l’information géographique, accompagner le changement, faire de la veille technologique, réaliser des prestations techniques (cahier des charges, appels d’offre), rédiger des articles, informer/former aux usages de l’information géographique, de l’open data et aux technologies innovantes connexes.
La société ne vend ni progiciel, ni solution SIG, pas plus que des données géographiques, garantissant ainsi sa neutralité vis-à-vis des intégrateurs, éditeurs et autres producteurs de données. Cette indépendance lui permet de proposer, à chaque étape d’un projet, une réponse objective en adéquation avec les besoins de ses clients.
Contact presse :Mathieu Becker Isogeo (www.isogeo.fr)
Président – fondateur Isogeo Mail : contact@isogeo.fr
Mail : mathieu.becker@isogeo.fr Téléphone : 09 67 46 50 06
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9:39
Karos lève 7 millions d’euros avec Macif et la Commission européenne et entame son expansion Européenne avec un partenariat au Danemark
sur Décryptagéo, l'information géographique- Karos est le leader français du covoiturage sur les trajets domicile-travail.
- La Commission européenne et Macif, via sa filiale Macif Innovation, entrent au capital.
- Cette levée de fonds va permettre à Karos d’accélérer son développement pour réduire toujours plus le nombre de voitures sur les routes et décarboner la mobilité quotidienne.
- La Commission européenne réalise son investissement via son fonds de capital–risque EIC Fund, dans le cadre de son programme EIC Accelerator, qui vise à détecter les innovations de rupture les plus prometteuses pour les disséminer en Europe.
- Karos démarre son expansion européenne avec un premier déploiement au Danemark en partenariat avec FDM, opérateur majeur de services de mobilité.
Karos, leader français du covoiturage domicile-travail, vient de concrétiser un tour de financement de 7 millions d’euros réalisé principalement avec Macif, via sa filiale Macif Innovation dédiée à l’investissement dans les start-up innovantes, et l’EIC Fund, le fonds de la Commission européenne.
La Commission européenne a choisi Karos pour réaliser son deuxième investissement en capital en France (après Corwave en janvier), dans le cadre de son programme EIC Accelerator, dont l’objectif est d’accélérer l’émergence des technologies les plus prometteuses pour répondre aux grands enjeux de l’Union européenne. En l’occurrence, avec Karos, la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
« Nous sommes très heureux de soutenir Karos à travers l’EIC Fund pour faire évoluer la mobilité quotidienne. Cette levée de fonds va aider Karos à contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre dans les aires urbaines et accélérer le passage aux mobilités durables en ville », se félicite Kerstin Bock, membre du Comité du Fonds d’investissement de l’EIC.
Avec l’investissement de Macif Innovation, Karos fait entrer pour la première fois un acteur économique à son capital, afin notamment de proposer des services de mobilité innovants aux 5.5 millions de sociétaires de la Macif (1).
« La Macif est fière d’accompagner le déploiement de Karos, contribuant ainsi à l’essor d’un nouveau mode de transport partagé, qui facilite la mobilité des populations dans leur quotidien tout en limitant l’impact écologique. Cet engagement auprès de Karos vient tout naturellement renforcer notre écosystème pour accompagner la mobilité de demain », affirme Erwann Bertheleme, Directeur de Macif Innovation.
Les fonds d’investissement Aster, Eiffel Investment Group et Aglaé Ventures, actionnaires historiques de Karos, participent massivement à cette augmentation de capital. Leur confiance renouvelée confirme le considérable potentiel de création de valeur de la société et le chemin parcouru depuis leur entrée au capital en 2018.
Cette levée de fonds intervient à un moment-clé pour Karos, qui va ainsi être en mesure de capter pleinement les opportunités qui vont se matérialiser en sortie de crise sanitaire, dont la perspective se précise enfin à moyen terme. Le marché du covoiturage domicile-travail s’ouvre rapidement, porté par la Loi d’orientation des Mobilités (LOM), promulguée il y a quelques mois, et le Forfait Mobilités Durables, qui commence à être déployé dans les entreprises.
« Avec un chiffre d’affaires qui a quasiment doublé en 2020, nous avons prouvé la résilience de notre activité et la pertinence de nos services et de nos technologies, au sein d’un marché de la mobilité quotidienne qui a pourtant terriblement souffert de la pandémie. Nous sommes ravis d’accueillir la Commission européenne et Macif Innovation pour, plus que jamais, lutter contre la congestion automobile, réduire les émissions de gaz à effet de serre, et désenclaver les zones périurbaines mal desservies par les transports en commun, partout en Europe », déclare Olivier Binet, Président et co- fondateur de Karos.
Démarrage de l’expansion européenne avec un premier contrat au DanemarkKaros ayant désormais prouvé son concept à grande échelle en France avec plus de 400 000 utilisateurs et plus de 150 clients entreprises et collectivités locales, ce nouveau tour de financement a entre autres pour objectif de déployer les technologies et les méthodologies de la société en Europe.
Dans ce contexte, Karos vient de signer un premier contrat majeur avec FDM pour déployer ses solutions au Danemark. Fondée en 1909, FDM est l’association des automobilistes danois. Elle fournit des services variés (contrôle technique, assistance, dépannage, entretien, etc.) à ses 250 000 foyers membres. Le partenariat prévoit que FDM déploie l’ensemble des services technologiques et méthodologiques de Karos à destination des particuliers, employeurs et collectivités en marque locale Ta’Med.
« Nous sommes fiers que FDM puisse jouer un rôle moteur dans le développement du covoiturage. Avec cette nouvelle collaboration, FDM apporte l’expérience et la technologie françaises aux Danois. Le tout pour le bien de la société danoise », déclare Thomas Møller Thomsen, PDG de FDM.
« Nous avons trouvé dans FDM un partenaire local de premier plan, capable à la fois de créer une masse critique d’utilisateurs importante en capitalisant sur leur large base d’abonnés, mais aussi particulièrement bien positionnée pour déployer nos solutions dédiées aux collectivités et aux employeurs », analyse Olivier Binet, Président et co-fondateur de Karos.
A PROPOS DE KAROSCréée en 2014, Karos développe des technologies mobiles et d’intelligence artificielle pour transformer les véhicules individuels en véritables réseaux de transport collectifs et ainsi optimiser la mobilité quotidienne en dehors des centres-villes. Les 400 000 utilisateurs de l’application Karos vivent une expérience unique de covoiturage domicile- travail, à la fois simple, fiable et flexible. Ils économisent 97 euros en moyenne par mois, sans pour autant changer leurs habitudes, et ont déjà permis d’éviter l’émission de 3 200 tonnes de CO2. Karos déploie ses solutions technologiques et méthodologiques pour le compte des employeurs (AP-HP, Airbus, Aéroports de Paris, Safran, l’UGAP, etc.) qui souhaitent optimiser l’accessibilité de leurs sites tertiaires et industriels et auprès des collectivités (Régions Ile-de-France, Normandie, Occitanie, Réunion, Pays-de-la-Loire et métropoles comme Troyes, Grenoble, Béthune, etc.) qui souhaitent efficacement compléter leurs réseaux de transports en commun en zones périurbaines et rurales.
Plus d’infos sur www.karos.fr
A PROPOS DE MACIFAssureur mutualiste, la Macif s’engage au quotidien auprès de ses 6 millions de sociétaires et clients pour protéger le présent et permettre l’avenir. La Macif propose des offres et services de protection simples et utiles en assurances dommages, santé-prévoyance et finance-épargne. Gérant plus de 18,4 millions de contrats, la mutuelle d’assurances a réalisé un chiffre d’affaires de près de 6,4 milliards d’euros en 2019. Depuis janvier 2021, la Macif est affiliée à Aéma Groupe. Aéma Groupe, né du rapprochement entre Aésio mutuelle et Macif, imagine chaque jour les contours d’un monde plus juste et plus humain en plaçant la prévenance au cœur de la relation avec ses adhérents, sociétaires et entreprises clientes. Plus d’infos sur www.macif.fr.
A PROPOS DU EIC FUND DE LA COMMISSION EUROPEENNECréé en juin 2020, l’EIC Fund est une initiative innovante de la Commission européenne pour réaliser des prises de participation en fonds propres ou quasi-fonds propres (entre 500 000 et 15 millions d’euros) dans des start-up et scale-up à fort impact de la deep tech européenne. L’EIC Fund fournit du capital patient et investit dans des sociétés de tous secteurs, dans tous les pays de l’Union européenne (UE) et dans les pays affiliés à l’horizon 2020. Le fonds fait particulièrement attention à soutenir et encourager les entreprises créées par des femmes, ainsi qu’à réduire le fossé entre les différents pays de l’UE quant à l’innovation. L’EIC Fund a pour but de répondre aux besoins de financement des sociétés qui créent des technologies disruptives pour avoir un impact sociétal fort.
CONTACTS PRESSEAgence Henry Conseil (Karos)
- 01 46 22 76 43 agence@henryconseil.com www.henryconseil.com
Macif
- Joanne Benhaim
- jbenhaim@macif.fr
- 07 77 92 27 15
(1) Macif, 1ère société d’assurance en Auto en France en 2019, avec 6 millions de véhicules assurés.
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19:59
GeoIgnite – avril 2021
sur Géoclip, le générateur d'observatoire cartographiqueCiril GROUP, partenaire de GeoIgnite 2021, participera pour la troisième année consécutive à ce grand rendez-vous de la géomatique au Canada qui se tiendra tout le mois d'avril durant.
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18:25
La carte dans les jeux de stratégie #1/3
sur Carnet (neo)cartographiquePour poursuivre sur la cartographie dans l’univers du jeu vidéo, nous accueillons aujourd’hui Tony Hauck, un géomaticien – data designer freelance et féru de jeux vidéos ! Tony nous parle du support cartographique dans le jeu vidéo dans une série de 3 billets, à commencer par celui-ci. Nous lui laissons la parole.
Le support cartographique dans le paysage vidéoludique“I wisely started with a map and made the story fit”
TolkienQue ce soit dans des œuvres de fiction ou fantastique, les cartes ont toujours eu un rôle crucial.
Croquis de la Terre du Milieu par J.R.R Tolkien
Les jeux vidéo n’échappent pas à cette règle. En effet, que vous jouiez à un FPS (first-person-shooter), un RPG (jeu de rôle ou role playing game), un jeu d’aventure ou de stratégie, elles ont depuis longtemps été présentes et poursuivent des objectifs bien précis, objectifs qui diffèreront suivant les genres de jeu.
Daggerfall, sorti en 1996, est un jeu disposant d’une des cartes les plus étendues dans l’histoire du jeu vidéo (230 000 kilomètres² d’espace de jeu !).
Source : Daggerfall Forums
La carte n’est pas uniquement un support informatif sur sa localisation dans un monde virtuel, les destinations possibles s’offrant à nous et les différents chemins nous permettant d’y accéder.
La cartographie, dans les jeux vidéo, sert à donner corps à un univers imaginaire. Elle participe à la construction d’un monde fictif, à la création d’un tout crédible et cohérent et contribue grandement à la suspension consentie de l’incrédulité[1] du joueur.
Il existe autant de manières d’êtres de la carte
qu’il existe de genres de jeu vidéo.
Il existe une grande variété d’utilisation de la carte dans le médium vidéoludique. J’irai même jusqu’à dire qu’il existe autant de manières d’êtres de la carte qu’il existe de genres de jeu vidéo.Le bijou de Konstantinos Dimopoulos, Virtual Cities, propose une longue sélection de cartes de jeux vidéo. Son œuvre est surtout une preuve de l’exhaustivité de ce sujet et de la manière dont l’industrie vidéoludique s’est appropriée les codes de la cartographie au sein de son écosystème. L’importance de l’élément cartographique va différer suivant le genre du jeu auquel nous jouons.
La carte dans les jeux de stratégieDans le cas des jeux de stratégie ou des wargames[2], la carte va être le support principal de l’expérience de jeu et une grande partie des mécaniques de gameplay[3] auront pour dénominateur commun cette dernière. En effet, dans ces jeux que l’on nomme généralement jeu 4X (eXploration, eXpansion, eXploitation et eXtermination), le joueur évolue sur une carte et son objectif est de tirer profit des ressources éparpillées autour de lui pour développer son territoire ou accroître son influence. Les jeux tels que Europa Universalis, Civilization ou bien la saga des Total War, sont des cas bien concrets où la carte se révèle être le médium principal du système de jeu.
En bref : Sans carte, pas de jeu !
Les jeux de l’éditeur Paradox Interactive et leur saga Europa Universalis sont connus pour l’austérité graphique de leur interface : une carte du monde et des graphiques. Néanmoins ce visuel (pouvant en rebuter plus d’un) laisse rapidement place à une expérience de jeu des plus chronophages, où nous sommes invité à réécrire l’histoire de la nation de notre choix sur une période s’étalant sur une de trois siècles !
Source: Europa Universalis.
Ce point de vue omniscient de la carte adopté dans les jeux de stratégie pourrait rapidement faire perdre l’intérêt et l’attention du joueur. En effet, ce dernier a une vue globale et il surplombe l’action, cela pourrait donc rendre les heures de jeu ennuyeuses et sans saveur dans la mesure où il sait tout, il voit tout et où il pourrait par conséquent prévoir les moindres mouvements de ces adversaires.
Néanmoins, c’est sans compter sur l’ingéniosité des développeurs, qui ont réussi à rendre l’expérience de jeu addictive et palpitante grâce à une astuce de game design[4] : le brouillard de guerre ou fog war.Le fog war est un élément de jeu dissimulant les belligérants, les ressources et les reliefs présents sur le terrain sous un brouillard épais qui ne sera rendu visible que lorsque le joueur se déplacera sur ces zones. Le brouillard de guerre oblige ainsi le joueur à partir à la découverte de l’univers du jeu… Sous peine d’avoir de mauvaise surprise en se rendant compte un peu tard que nous sommes entourés d’un voisinage belliqueux et bien plus développé que vous ! Par cette mécanique de gameplay, l’intérêt du joueur est constamment relancé, son envie de découverte et d’exploration venant nourrir son expérience vidéoludique.
Exemple de brouillard de guerre dans les jeux Total War Shogun 2 et le mythique Age Of Empire 2 :
Source : Steam
Source : Reddit
Un article paru sur Canadian Geographic nous permet d’en apprendre plus sur le processus de création cartographique, un processus empruntant énormément à la communauté des géomaticiens et des cartographes. L’inspiration n’est pas à pas à sens unique, bien au contraire ! Par exemple, certains cartographes, adorateurs de jeux de stratégie, se sont à leur tour réappropriés ce concept de fog war dans leur production cartographique.
Robin Hawkes a développé une carte sous Mapbox dévoilant en temps réel uniquement les lieux visités ou traversés, le reste de la carte étant drapé sous un épais voile aux motifs hexagonaux :
Source : @robhawkes
Ce style de jeu démontre parfaitement comment les développeurs de jeu vidéo se sont appropriés les codes de la cartographie.
Dans les jeux de stratégie, la carte est l’acteur principal de ces types de jeu, celui au travers duquel le jeu est rendu possible. Au travers de ce billet, nous n’avons effleuré qu’une infime partie de ce sujet.
Nous aborderons dans un prochain billet les usages de la carte dans un autre style de jeu vidéo… Lequel ?! Surprise !
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Notes :
[1] « Le mécanisme psychologique qui va permettre au lecteur/joueur/spectateur de se laisser embarquer dans des aventures pourtant totalement irréalistes, parfois dès leur postulat de départ » (https://writingsfff.wordpress.com/2016/08/21/la-suspension-consentie-de-lincredulite/)
[2] Jeux de stratégie simulant des situations de conflit.
[3] Ensemble des éléments liés à l’interaction entre le joueur et le jeu, dont les règles et les possibilités d’actions, qui sont définis et intégrés au jeu lors de la création d’un jeu vidéo, et qui contribuent au plaisir de jouer, découlant de l’interactivité, ressenti pendant le jeu.
[4] Système de règles, une structure imposée au joueur pour l’amener vers une situation ludique (Genvo, 2006)
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18:00
California's Healthy Places
sur Google Maps ManiaThe Public Health Alliance of Southern California has created an interactive map which can help Californian residents explore the local conditions which can influence health outcomes. The California Healthy Places Index (HPI) rates the local factors across the state that help determine life expectancy and compares the different community conditions that influence people's health. The HPI
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14:38
Revue de presse du 23 février au 9 mars 2021
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAu menu de ces derniers jours : quelques beaux succès pour les entreprises de l’information géographique, des explications sur le rôle des couleurs et des projections ainsi que la sortie d’un nouveau concurrent à Google Maps à la tête de canard…GÉOPOUVOIR : « Comment les cartographes caricaturent la planète pour représenter le monde », un article de Nicolas Lambert paru dans l’Humanité fait le point sur les projections.
BERTINIEN : « Sémiologie d’un mariage de couleurs ». À partir de l’étude de la saisonnalité des mariages depuis 1 856 publiée par l’INSEE, Éric Mauvière (papa de Géoclip et fondateur de ICEM7) nous livre une analyse approfondie de quelques concepts de sémiologie graphique et nous éclaire sur les choix de ratios et de couleurs.
LA VIE SANS GOOGLE MAPS : « DuckDuckGo lance Maps, une alternative à Google Maps qui protège votre vie privée » nous apprend Phone Android. Une alternative qui utilise une API Apple et manque encore de fonctionnalités.
SUCCÈS : « Le Gersois Parera, leader français de la cartographie des réseaux, innove et résiste à la crise » en devenant le « petit Google des réseaux ». À lire sur Touleco.
CONTRAT : « Open data : Bruxelles a choisi Capgemini pour moderniser le portail européen de données » qui permettra de développer des services autour de l’open data. Des spécialistes de l’information géographique font également partie du consortium.
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14:09
Culture en plan
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlors que la crise sanitaire laisse la culture en plan, Lucas Destrem, chargé de mission inventaire et valorisation du patrimoine industriel au Pays d’art et d’histoire des Pyrénées Catalanes a détourné le plan du métro parisien. Les noms de stations sont remplacés par des établissements artistiques, culturels et de loisir à proximité.« Pour aller du théâtre de la Clarté au musée Édith Piaf, changez à l’École Boule. » Verra-t-on un jour un agent de la RATP nous renseigner de la sorte ? Peut-être bien, grâce à Lucas Destrem, qui s’est détourné de son Limousin natal et de ses Pyrénées d’adoption pour revisiter le métro parisien.
« Il s’agit d’attirer l’attention sur la richesse et la diversité du tissu socio-culturel et artistique de la région parisienne, de mettre en évidence le patrimoine vivant que ces différent.e.s acteurs et actrices protègent, valorisent, étudient et créent, et de rappeler combien ces lieux sont essentiels à l’équilibre de tout un chacun, en ce qu’ils créent du lien, de l’émotion mais aussi font vivre des millions de personnes en France » explique le cartographe sur son site.
Ce sont plus de 300 stations de métro qui ont été rebaptisées : cirques, théâtres, musées, librairies, bibliothèques, cabarets, conservatoires, tiers lieux culturels, salles de concert, écoles… et nous en oublions sûrement. Car étonnamment, peu de stations portent un nom faisant référence à la culture, alors même que Paris est synonyme d’art et de culture pour beaucoup : politiques, habitants, touristes et romantiques de tous les pays.
https://twitter.com/LucasDestrem/status/1366999338703081473?s=20
Même si les choix ont été douloureux (et parfois malheureux, mais « l’erreur » a été vite corrigée), cette carte, publiée avec l’aval de la RATP, fait le tour des réseaux sociaux et des médias, relayée entre autres par les établissements concernés, trop heureux de briser le silence des salles vides. Amis parisiens, y découvrirez-vous des bons plans de sorties… pour bientôt ?
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13:04
[Appli] Openflight Air Travel | Naresh Suglani
sur Carnet (neo)cartographiqueTrès jolie application web de Naresh Suglani réalisée (avec Tableau) à partir des données Openflightdata (mars 2018 à février 2019) déjà mobilisées ici dans un registre similaire.
L’intérêt de cette exploration cartographique des routes aériennes proposées par Openflightdata est son approche historique (1991-2020) qui permet de visualiser directement l’effet de la crise sanitaire de la Covid-19 sur la circulation aérienne globale : ses répercussions en termes d’ouvertures de lignes, d’effectifs de passages et, bien sûr, leurs conséquences financières.
L’application se présente sous la forme d’un poster interactif. Très riche, elle mobilise l’ensemble des données du site (et des données complémentaires de sources non précisées – je ne les ai pas trouvées, mais j’ai peut-être mal cherché. Elle présenter une carte globale (ou régionale) ainsi qu’une série de graphiques.
La carte mondiale décrit par des lignes, l’ensemble des routes et par des cercles proportionnels les degrés des aéroports, à savoir le nombre de routes par aéroport – il ne s’agit pas du trafic de passagers.
Les tableaux proposés, très visuels et agréablement stylisés, présentent de leur côté des indicateurs classiques tels le Top 10 des routes ou encore des toutes, mais cela, sans lien avec la cartographie proposée – ils ne sont hélas pas mis à jour avec une éventuelle sélection géographique, pourtant rendue possible (voir infra).
Sur l’évolution des lignes ouvertes et l’effectif correspondant de passagers, leur baisse est logiquement importante vu le lockdown imposé au Monde dans son ensemble. La situation en 2020 à 1 795 milliards de US$ se situe dans le même ordre de grandeur qu’en 2003, ce que ce graphique illustre.
Il en résulte une baisse drastique de rentrées financières pour le secteur du transport aérien en 2020, avec 1328 milliards de US$.
La richesse des informations embarquées limite quelque peu la réactivité lors de l’exploration. Il est toutefois possible de (géo)visualiser la situation en sélectionnant un continent en particulier, en fonction de sa teinte.
Deux modalités de filtrage des continents sont en effet proposées, pour :
– en exclure un ;
– en garder un exclusivement (voir ci-dessous, l’Afrique)Pour des possibilités de filtrage sur les liens de ces mêmes données, voir ici ou encore ici.
[ Accéder ] à l’application.
Billets liés :
Exploration cartographique de relations mondiales
~~~ Billet #2 liens majeurs
~~~ Billet #3 liens distants
~~~ Billet #4 anamorphoseBahoken F. (2018), Cartographie du réseau Openflight de relations mondiales, Carnet du groupe fmr (flux, matrices, réseaux).
Géographe et cartographe, Chargée de recherches à l'IFSTTAR et membre-associée de l'UMR 8504 Géographie-Cités.
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10:36
"GeoNet" devient "Esri Community"
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Lors de la création de GeoNet en 2014, la vision était déjà de construire un espace pour que les professionnels des SIG puissent se connecter et échanger sur l'ensemble des champs d'application du Géospatial et ceci au delà même des produits et des développements autour des technologie Esri. A travers les forums, les blogs d'Esri et des utilisateurs, des groupes thématiques, ... une véritable communauté d'utilisateurs s'est constituée et permet à chacun de développer ses propres compétences et de mettre à disposition leur expertise.
Aujourd'hui cette vision est une réalité puisque plus de 200 000 utilisateurs partagent et collaborent sur cette plateforme à travers plus de 200 groupes et pas moins 20 communautés internationales. Depuis le 26 février, GeoNet a changé de nom pour "Esri Community" afin d'identifier plus clairement ce qui relie cette communauté d'utilisateurs des technologies Esri. Ce nouveau nom affirme aussi que le principal enjeux de cette plateforme collaborative est la résolution des problématiques SIG des utilisateurs et que, pour cela, les équipes d'Esri et de ses distributeurs ont une contribution active autant pour écouter les besoins (et les intégrer dans la roadmap des produits) que pour y répondre en ligne en fournissant leur expertise.
Dois-je revenir en arrière ou modifier mes contenus (blogs, documents, questions, vidéos, événements et articles) ?
Non, aucune action rétroactive n'est nécessaire.
Comment ce changement de nom va impacter la communauté GeoNet ?
Ce changement de nom aura un impact très minime sur vos opérations habituelles. Le nom du domaine et l'URL [https:]] continue de fonctionner, vous constaterez cependant une redirection sur [https:]] . Il est donc recommandé désormais d'utiliser cette nouvelle URL pour une meilleure performance et expérience utilisateur.
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10:29
The Roadmap to Success
sur Google Maps ManiaThe route to success is not a straight path. It is a path often paved with failure. It is very easy to become lost on this path, distracted by the daily demands of work and everyday life. It is therefore important to pause & take stock occasionally, to sit down and map out your personal journey to success.If you need some help in mapping out your own personal path to success then you should try
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22:15
GeoJSON Ballparks and MLB Minor League Realignment
sur Planet Geospatial - http://planetgs.com**UPDATE** – See the plan.
Boy, where to start? First, for those who haven’t been following, this happened over the winter.
Major League Baseball announced on Friday (February 12, 2021) a new plan for affiliated baseball, with 120 Minor League clubs officially agreeing to join the new Professional Development League (PDL). A full list of Major League teams and their new affiliates, one for each level of full-season ball, along with a complex league (Gulf Coast and Arizona) team, can be found below.
Minor League Baseball
What does that mean? Well for GeoJSON Ballparks basically every minor league team is having a modification to it. At a minimum, the old minor league names have changed. Take the Pacific Coast League that existed for over 118 years is now part of Triple-A West which couldn’t be a more boring name. All up and down the minor leagues, the names now just reflect the level of minor league the teams are. And some teams have moved from AAA to Single A and all around.
I usually wait until Spring Training is just about over to update the minor league teams but this year it almost makes zero sense. I’ve sort of backed myself into a spatial problem, unintended when I started. Basically, the project initially was just MLB teams and their ballparks. The key to that is that the teams drove the dataset, not the ballparks even though the title of the project clearly said it was. As long as nobody shared a ballpark, this worked out great. The problem now is so many teams, especially in spring training, minor leagues and fall ball, share stadiums, that in GeoJSON-Ballparks, you end up with multiple dots on top of each other. No one-to-many relationship that should happen.
So, I’m going to use this minor league realignment to fix what I should have fixed years ago. There will be two files in this dataset moving forward. One GeoJSON file of the locations of a ballpark and then a CSV (or other format) file containing the teams. Then we’ll just do the old fashioned relate between the two and the world is better again.
I’m going to fork GeoJSON-Ballparks into a new project and right the wrongs I have done against good spatial data management. I’m finally ready to play centerfield!
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22:15
GeoJSON Ballparks and MLB Minor League Realignment
sur James Fee GIS Blog**UPDATE** – See the plan.
Boy, where to start? First, for those who haven’t been following, this happened over the winter.
Major League Baseball announced on Friday (February 12, 2021) a new plan for affiliated baseball, with 120 Minor League clubs officially agreeing to join the new Professional Development League (PDL). A full list of Major League teams and their new affiliates, one for each level of full-season ball, along with a complex league (Gulf Coast and Arizona) team, can be found below.
Minor League Baseball
What does that mean? Well for GeoJSON Ballparks basically every minor league team is having a modification to it. At a minimum, the old minor league names have changed. Take the Pacific Coast League that existed for over 118 years is now part of Triple-A West which couldn’t be a more boring name. All up and down the minor leagues, the names now just reflect the level of minor league the teams are. And some teams have moved from AAA to Single A and all around.
I usually wait until Spring Training is just about over to update the minor league teams but this year it almost makes zero sense. I’ve sort of backed myself into a spatial problem, unintended when I started. Basically, the project initially was just MLB teams and their ballparks. The key to that is that the teams drove the dataset, not the ballparks even though the title of the project clearly said it was. As long as nobody shared a ballpark, this worked out great. The problem now is so many teams, especially in spring training, minor leagues and fall ball, share stadiums, that in GeoJSON-Ballparks, you end up with multiple dots on top of each other. No one-to-many relationship that should happen.
So, I’m going to use this minor league realignment to fix what I should have fixed years ago. There will be two files in this dataset moving forward. One GeoJSON file of the locations of a ballpark and then a CSV (or other format) file containing the teams. Then we’ll just do the old fashioned relate between the two and the world is better again.
I’m going to fork GeoJSON-Ballparks into a new project and right the wrongs I have done against good spatial data management. I’m finally ready to play centerfield!
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22:38
3D: Déambulation Du Dimanche - #17
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierEn zones urbaines, dans le contexte du déploiement de réseaux 5G, il y a peu d’emplacements disponibles pour la mise en œuvre de nouvelles infrastructures comme les pylônes cellulaires. Ceci rend essentiel de connaître l'environnement 3D du site avant de planifier un nouveau réseau. L’analyse géographique et la visualisation en 3D peuvent jouer un rôle crucial dans ce processus et mes collègues Mark Desar et Christoffer Malm d'Esri Nederland ont créé ce rapide article de blog expliquant les possibilités offertes par un SIG 3D comme ArcGIS pour la planification du réseau 5G.
Ma Déambulation Du Dimanche s'arrête donc cette semaine sur cette application de Trillium Levine (Esri Nederland) qui présente les résultats de cette analyse.
L'application 3D ArcGIS est accessible en Live ici.
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21:04
Fish & Click : une application pour lutter contre les déchets maritimes
sur Veille cartographieCet article Fish & Click : une application pour lutter contre les déchets maritimes est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
L’Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer (IFREMER) a été fondé en 1984 et est un des premiers instituts en sciences et technologies marines. Cet institut a pour double objectif de conduire recherches et expertises afin de protéger et restaurer l’océan tout en exploitant ces ressources de manière responsable. Le projet INdiGO […]
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20:59
From GIS to Remote Sensing: Major Update: Semi-Automatic Classification Plugin v. 7.8.0
sur Planet OSGeoThis post is about a new update of the Semi-Automatic Classification Plugin v. 7.8.0.
Following the changelog:-new tool for analysis of neighbor pixel with convolution matrix-improved performance with multiprocessing calculations-fixed conversion to vector
This new version includes a new Preprocessing tool named Neighbor pixels.This tool allows for the calculation of several neighbor pixel statistics for every band of a band set defined in the Band set.
The statistics are calculated for every pixel of the input raster considering the values of the neighbor pixels. Neighbor pixels are defined through a distance or through a custom matrix.For example, the following matrix represents the neighbor pixels within a distance of 1 pixel from a central pixel, resulting in a 3x3 matrix.Neighbor Neighbor Neighbor Neighbor Center Neighbor Neighbor Neighbor Neighbor
Several statistics are available. The statistic Sum will result in a raster convolution. For instance, this can be useful to apply an image filter to all the bands a band set for photointerpretation.An output band is created for every band in the band sets.
Also, the multiprocessing calculations have been optimized and calculations should generally be more rapid compared to previous version.
For any comment or question, join the Facebook group or GitHub discussions about the Semi-Automatic Classification Plugin.
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17:14
GéoDésirs : une exposition de Ghislaine Escande à Issy-les-Moulineaux jusqu’au 31 mars
sur Décryptagéo, l'information géographiqueGéoDésirs – Exposition de Ghislaine Escande Espace Andrée Chedid – Issy-les-Moulineaux du 3 au 31 mars 2021Pas de vernissage, malheureusement, mais la possibilité de faire une visite sur rendez-vous (à prendre auprès de moi en répondant à ce courriel ou par téléphone au 01 41 23 82 82). L’Espace Andrée Chedid est un très beau lieu, l’exposition est répartie sur l’ensemble (covid oblige, public limité à 6 personnes par salle).
Si vous pouvez venir les samedis 6, 13 et 20 mars entre 14h30 et 17h30, prenons rendez-vous, je serai là. Je serai aussi présente le mercredi 13 car nous aurons la chance d’accueillir Gilbert Lascault, qui lira ses textes (rencontre filmée et mise en ligne).
Une visite virtuelle sera très prochainement mise en ligne sur la page Facebook de l’Espace et sur la mienne, ma page perso, mon compte Instagram et mon site internet.
Désir d’évasion, de voyage ? Suivez le guide, GéoDésirs vous transporte ailleurs.
Empruntez La Route de l’Arpenteur qui passe sur le mur d’images de l’entrée de l’Espace Andrée Chedid, tournez ensuite à gauche dans la salle Entre Nil et Seine pour découvrir le livre virtuel de Melissa Ruba, également réalisé à partir de La Route de l’Arpenteur, mon livre d’artiste. Faites ensuite le tour de la salle, cartes thématiques et mondes recomposés vous emmènent aux confins du réel et de l’imaginaire. Engagez-vous ensuite sur la passerelle à la recherche d’un Paris perdu et retrouvé, poursuivez votre recherche dans la salle L’Autre. Reprenez votre chemin pour assister à des leçons de géographie insolites, données par des professeurs très divers à des élèves que vous reconnaîtrez peut-être… Montez à l’étage supérieur, d’autres paysages planétaires vous attendent. Le voyage est offert, à faire et à refaire ; il vous entraîne près et loin d’Issy avec humour et poésie. La visite sera guidée et virtuelle, on vous prépare un petit film et des ateliers. Bientôt en ligne !
Pour visiter mon site, c’est par ici
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16:53
Open Data : Enedis participe à un projet collaboratif mondial d’échange de données
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnedis et OpenStreetMap (OSM) France viennent de signer une convention pour 3 ans, qui marque un pas supplémentaire vers l’échange de données cartographiques à grande échelle. Engagée dans l’Open Data depuis 2015, Enedis s’allie à un projet collaboratif de renommée internationale pour mettre à disposition ses données de réseau et favoriser le crowdsourcing. Ce partenariat est un pas de plus dans cette révolution de la confiance engagée par l’entreprise au travers de son Projet Industriel et Humain 2020-2025.L’enrichissement de cette base de données s’effectue sur la plateforme commune : [https:]
Les données géographiques sont de plus en plus importantes pour les écosystèmes numériques.
L’Open Data : une solution gagnant-gagnant, au service des clients
Lancé en 2004, le projet OpenStreetMap propose de manière collaborative de fournir une description détaillée du monde entier, sous la forme d’une unique base de données géographiques. Ses 7 millions de contributeurs enregistrés dans le monde ont à cœur de décrire leur environnement avec le plus de précision possible à partir de constatations terrain régulières. La collaboration par le plus grand nombre/de la multitude permet de vérifier les contributions de la base de données. Les données produites sont réutilisables librement selon les conditions accordées par la Fondation et consultables sur le site du projet OpenStreetMap.La convention prévoit qu’Enedis s’engage à fournir à OSM France ses images aériennes afin d’enrichir les outils de cartographie collaborative.
L’association OSM France s’engage à mettre à disposition de la communauté (plusieurs milliers de contributeurs actifs en France) ces photos au travers des outils usuels de contribution. Les contributeurs pourront alors renseigner plus précisément les positions et caractéristiques des poteaux électriques répartis sur l’ensemble du territoire.Grâce à ce partenariat, les contributeurs OSM auront donc accès à une imagerie aérienne de plus grande précision. Enedis bénéficiera des enrichissements des cartes grâce aux contributions et pourra assurer un suivi encore plus fin du réseau électrique qu’il opère dans l’Hexagone, y compris la préparation de chantiers ou encore la prévision de travaux. La convention prévoit une extension à d’autres ouvrages comme les coffrets électriques.
L’orthophotographie comme base d’informationLes orthophotographies qu’Enedis s’engage à fournir à OSM France pour enrichir les cartographies sont des images aériennes rectifiées géographiquement permettant de mesurer des distances ou coordonnées géographiques avec une grande fiabilité. Les orthophotographies fournies par Enedis descendent à un niveau de détail très fin, un pixel objet de 5 cm. Cela signifie que les utilisateurs voient sur les outils de contribution OpenStreetMap les plus petits objets sur le terrain comme le marquage au sol, un coffret électrique ou un poteau.
Ces orthophotographies sont habituellement acquises par Enedis pour améliorer la position géographique des ouvrages en concession et ainsi améliorer la sécurité des intervenants sur le réseau de distribution publique.
L’Open Data favorise la transparence et incite à un mode de partage collaboratifEn 2015, Enedis est devenu le premier distributeur européen à publier en Open Data des données énergétiques agrégées. Depuis, Enedis approfondit cette démarche pour tous les acteurs de la transition énergétique. Consommation et production, description du réseau d’électricité ou panorama des énergies renouvelables, ces données qu’Enedis publie sont utiles à des acteurs aussi variés que des collectivités, des fournisseurs de services, des acteurs de la mobilité électrique, des associations, des acteurs du marché de l’électricité, des chercheurs ou encore des citoyens, notamment afin de mieux comprendre la transition énergétique, ses enjeux et ses implications. Cette démarche participe du Projet Industriel et Humain 2020-2025 d’Enedis en favorisant la relation de confiance avec ses parties prenantes.
Enedis protège les données à caractère personnel et les informations commercialement sensibles. Les données de consommation et de production, par exemple, tiennent compte des règles d’agrégation fixées par la réglementation.
A propos d’EnedisEnedis est une entreprise de service public, gestionnaire du réseau de distribution d’électricité qui emploie 38 000 personnes. Au service de 37 millions de clients, elle développe, exploite, modernise 1,4 million de kilomètres de réseau électrique basse et moyenne tension (230 et 20.000 Volts) et gère les données associées.
A propos d’OpenStreetMap France
Enedis réalise les raccordements des clients, le dépannage 24h/24, 7J/7, le relevé des compteurs et toutes les interventions techniques. Elle est indépendante des fournisseurs d’énergie qui sont chargés de la vente et de la gestion du contrat de fourniture d’électricité.
Contact: audrey.boissonnot@enedis.fr / service-presse@enedis.frOpenStreetMap France est une association loi 1901 créée le 8 octobre 2011 qui assure la promotion du projet mondial OpenStreetMap en France. Elle est le chapitre local de la Fondation OpenStreetMap depuis juillet 2017. Ses membres s’investissent dans la diffusion des pratiques et usages de la cartographie collaborative. Elle a également pour objectifs la collecte, la diffusion et l’utilisation de données cartographiques sous des licences libres. Elle est composée uniquement de bénévoles et son conseil d’administration se compose de 13 membres issus de la société civile.
Contact: contact@openstreetmap.frCet article Open Data : Enedis participe à un projet collaboratif mondial d’échange de données est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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12:04
Projet DANUBIUS
sur Veille cartographieCet article Projet DANUBIUS est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
LE PROJET Le projet DANUBIUS, projet ayant pour but la représentation de l’organisation ecclésiastique et de la topographie chrétienne du Bas-Danube est un projet en cours piloté par l’ANR (Agence Nationale de la Recherche). Ce projet se base sur des données issues de sources sur l’Antiquité tardive (du IIIème au VIIIème siècles). LOCALISATION Le Bas-Danube […]
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11:14
Storks and Rockets
sur Google Maps ManiaWhen Mapbox first announced the release of 3D terrain as part of Mapbox GL I briefly toyed with the idea of creating a 3D terrain map with a 3D model of a plane in order to create a very basic flight simulator. This flight simulator would combine the Mapbox demo maps Add a 3D Model and Add 3D Terrain to the Map to load a 3D model of a plane on top of a 3D terrain Mapbox map. Unfortunately I
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17:22
Opendatasoft : Open Data Day, sensibilisons les Français à l’open data
sur Décryptagéo, l'information géographiqueParis, le 5 mars 2021 – L’Open data reste un sujet encore méconnu des français, 42%* d’entre eux déclarent ne pas savoir ce qu’est l’open data. Pourtant l’année 2020 a marqué un tournant en France sur le partage des données depuis l’apparition de la pandémie COVID-19. À l’occasion de la journée internationale de l’Open Data, il est important de sensibiliser le grand public aux atouts du partage de données le 6 mars prochain.
L’année 2020 a confirmé l’usage plus affirmé de l’open data : 2 305 255, c’est le nombre de visiteurs uniques en novembre dernier sur la plateforme data.gouv.fr, ce qui représente le plus haut pic de fréquentation jamais enregistré sur la plateforme. Un chiffre qui montre le besoin du public de rester informé pendant cette pandémie, sur des sujets tels que le nombre de tests, de contaminations, ou les données hospitalières dont le jeu de données recueille 884 000 visites. En ce début d’année 2021, c’est la vaccination qui intéresse davantage la population.
“ À mon sens, il faut se baser sur cette intelligence collective, sur le partage des données qui la nourrit, pour résoudre un grand nombre de problématiques. Le fait de pouvoir rendre disponibles des données statistiques sur l’évolution de la pandémie, ou un annuaire de commerçants ouverts lors du confinement, c’est une condition nécessaire pour travailler ensemble à imaginer, à développer des solutions” explique Jean-Marc Lazard, CEO Opendatasoft.
Bien que les cinq jeux de données les plus consultés soient tous consacrés au covid-19, 2020 a montré un fort intérêt pour la gestion des villes et les questions environnementales. Pour 63%* des Français, c’est le budget de la ville qui requiert le plus grand intérêt.
L’action des territoires et collectivités en matière de pollution de l’air et de gestion des déchets intéresse aussi. D’ailleurs, 73%* des français pensent qu’il est important que les acteurs publics partagent les données en libre accès.Les acteurs du privé ont une place à prendre et doivent participer à la diffusion du partage des données, car pour 53% des français, ils ne communiquent pas assez sur les informations relatives à leurs activités.
Comme l’indique le récent rapport Bothorel, l’open data est le fer de lance de l’innovation mondiale, plus questions de se dire comment faire sans mais bien de se dire pourquoi ce n’est pas déjà mis en place.
Sensibiliser la population à cet outil est devenu incontournable :
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- Qu’est-ce que signifie l’open data ?
- Qu’est-ce que cela apporte et en quoi cela peut améliorer la vie des citoyens ?
- Comment pouvons-nous améliorer la communication envers les citoyens ?
- Quels sont les usages de cet outil par les citoyens ?Contacts presse
L’AgenceRP
opendatasoft@lagencerp.com
Justine Boiramier – 06 50 31 86 24
· [https:]A propos :
Opendatasoft est le leader européen des plateformes conçues pour l’ouverture, le partage et la réutilisation des données pour tout type d’organisations, publiques et privées. Opendatasoft offre aux villes, aux entreprises et à leurs partenaires une plateforme prête à l’emploi pour gérer le partage et la diffusion des données, et démocratiser leur accès auprès du plus grand nombre (via des visualisations, des cartes, et des APIs). De nombreuses organisations, en France mais aussi à l’international, ont ainsi adopté la plateforme proposée par Opendatasoft. Parmi eux, figurent des villes telles que Paris, Lille, Bristol, Namur ou Eindhoven mais aussi de grandes entreprises telles Schneider Electric, Indigo, Veolia, Enedis ou encore Saint-Gobain.Cet article Opendatasoft : Open Data Day, sensibilisons les Français à l’open data est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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16:55
Une cartographie sans précédent révèle une perte de 220 millions d’hectares de forêts tropicales humides depuis 1990
sur Décryptagéo, l'information géographiqueUne équipe associant des scientifiques du Centre commun de recherche (JRC), du Cirad, du CIFOR et de l’INPE, publie ce vendredi 5 mars dans la revue Science Advances un travail inédit : trente ans de données satellitaires sur les perturbations du couvert forestier tropical mondial. Les cartes fournies ont permis d’évaluer avec une précision sans précédent l’évolution de la déforestation et de la dégradation des forêts depuis 1990.Carte des forêts tropicales humides restantes en janvier 2020 (panneaux par continents) © Science Advances , Vancutsem et al. 2021.
Selon les résultats de ces travaux, les trois dernières décennies ont vu la perte de 220 millions d’hectares de forêt tropicale humide. « Les données satellites nous montrent que, entre 1990 et 2020, ce sont environ 7 millions d’hectares de forêt tropicale humide qui ont disparu en moyenne chaque année. Cela équivaut environ à la taille de l’Irlande, tous les ans » , précise Ghislain Vieilledent, écologue spécialiste des forêts tropicales au Cirad et co-auteur de l’article.
Déforestation sous-estimée et dégradation qui s’accélèreL’étude révèle que la déforestation a été largement sous-estimée par les précédents travaux, en particulier sur le continent africain. En Afrique, la déforestation associée à l’agriculture sur brûlis est de type mosaïque, affectant des surfaces de forêts petites mais multiples, ce qui la rend plus difficile à détecter par satellite. Au niveau mondial, ce sont 17 % des forêts tropicales humides qui ont disparu au profit de l’agriculture et d’autres utilisations des terres depuis 1990 . En 2020, il reste 1070 millions d’hectares de forêt tropicale humide dans le monde contre 1290 millions d’hectares en 1990.
Les forêts tropicales qui subsistent sont par ailleurs très dégradées. La dégradation des forêts tropicales, qui est caractérisée par une perte ponctuelle du couvert forestier, est associée majoritairement à l’exploitation de bois, aux feux de faible ampleur et aux perturbations naturelles comme les tempêtes. Sur les 1070 millions d’hectares de forêt tropicale humide en 2020, 10 % constituent de la forêt dégradée et ont une forte chance d’être déforestés dans un futur proche.En effet, environ la moitié des forêts dégradées sont par la suite déforestées. Et la situation semble s’accélérer, comme le note Christelle Vancutsem, spécialiste en télédétection au JRC et première auteure de l’étude : « Sur les cinq dernières années, de 2015 à 2019, on observe une forte augmentation de la dégradation des forêts : 2,6 millions d’hectares en plus par rapport à la période 2010-2014 ». Cette tendance s’explique notamment par des conditions climatiques particulières (sécheresses et feux associés à l’effet El Nino).
Une précision sans précédent, indispensable pour les politiques de conservation
La déforestation et la dégradation des forêts constituent une menace majeure pour le climat et la biodiversité. « La conversion des forêts pour un usage agricole est la deuxième source d’émissions de CO2 dans l’atmosphère après la combustion d’énergies fossiles » , rappelle Ghislain Vieilledent.Cette étude documente pour la première fois à l’échelle pantropicale et sur une période de 30 ans, l’étendue et les changements de couvert des forêts tropicales humides. Des cartes à haute résolution spatiale (30m) fournissent des informations annuelles sur la dégradation, la déforestation et la régénération des forêts tropicales humides sur la période 1990-2019. Surtout, la dégradation est, pour la première fois à si large échelle, différenciée de la déforestation . Le degré de précision des cartes obtenues permet de différencier les causes de déforestation ou de dégradation des forêts : agriculture, exploitation forestière ou feux de forêt. La carte de l’évolution du couvert forestier sur la période 1990-2019 et sur un pas de temps annuel est mise à disposition de la communauté scientifique et du grand public : [https:]] .
Pour les auteurs de l’article, ce travail sur les changements de couvert des forêts tropicales humides à l’échelle mondiale est primordial pour soutenir les politiques de lutte contre la déforestation et de conservation de la biodiversité. Les résultats et produits de cette étude pourront ainsi être utilisés à l’échelle globale, nationale ou régionale pour une meilleure gestion et conservation des forêts tropicales humides. Les résultats de l’étude permettront également à terme de quantifier de manière plus efficace les contributions des forêts tropicales aux flux de carbone à l’échelle planétaire.
Carte des forêts tropicales humides restantes en janvier 2020 (panneaux par continents) © Science Advances , Vancutsem et al. 2021.
RéférenceVancutsem C., F. Achard, J.-F. Pekel, G. Vieilledent, S. Carboni, D. Simonetti, J. Gallego, L. Aragao and R. Nasi. 2021. Long-term (1990–2019) monitoring of forest cover changes in the humid tropics . Science Advances (Sci. Adv.) 2021; 7 : eabe1603
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16:28
Pause Lecture Cartographique
sur Veille cartographieCet article Pause Lecture Cartographique est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Le webmapping OpenSource Par une matinée brumeuse d’hiver, une réflexion prit place dans mon esprit. C’est intéressant de savoir utiliser les outils de géomatique mais comment fonctionnent-ils ? Étant donné que la curiosité est une qualité du géomaticien (source : self-made), il fallait trouver un élément qui étancherait ma soif passagère sur ce sujet. Puisque selon Victor Hugo […]
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15:00
Présentation de Geotribu sur les Reclus aux Confins
sur GeotribuLes Reclus aux Confins : Découvrir ou redécouvrir la présentation de GeoTribu - Contributions ouvertes à tous
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11:35
Un point c’est tout !
sur Carnet (neo)cartographiqueSaviez-vous que la cartographie en densités de points a été justement mise au point par un chirurgien militaire français en 1830 ? La particularité de cette méthode est de représenter la distribution d’une quantité pourtant agrégée en zones sous la forme de pointillés évoquant visuellement le peuplement dont il est question.
La carte philosophique de la population de la France de Montizon représente en effet la population française par départements, sous la forme d’un semis de points, avec une relation de 1-à-plusieurs où 1 point sur la carte symbolise 10 000 personnes.
Et si on géo visualisait comme cela la densité du « peuplement » mondial ?
Cette méthode à été portée sur [R] et [d3.js] par Nicolas Lambert, pour permettre de cartographier, par exemple, la population mondiale à l’échelle des pays, à partir des données du Gridded Population of the World (GPW) (édition 2018) proposées par le CISIEN.
La carte ci-dessous décrit ainsi la population mondiale par point-équivalent 3 millions de personnes – une version interactive et paramétrable est accessible ici.Le maillage territorial de référence étant celui des pays, il est par définition hétérogène. L’utiliser comme fond cartographique de référence conduit à une vision étatique du peuplement : elle est dépendante de contingences politico administratives nationales, ce qui est logique.
Et si on testait la méthode sur un maillage régulier ?
Pour se défaire de cette vision étatique du peuplement, il faudrait pouvoir cartographier la population mondiale sans être contraints par ces limites nationales. C’est cette éventualité qui a conduit au développement d’une variante de la méthode, mobilisant un maillage régulier.
La carte ci-dessous représente la même information que précédemment, mais à partir d’une distribution carroyée de la population mondiale.
Cette carte est également disponible sous une forme interactive. Sa version paramétrable est proposée ci-dessous. Il est possible de changer la taille de l’ensemble des points (Dot size) et la valeur de chaque point (Dot value). De même que la grille de référence initiale peut être affichée comme ci-dessus (See Reference Grid) et modifiée (Initial Resolution in degrees) : plus fine est la maille et plus précise est la carte.
A vous de jouer !
Le code source et les explications techniques sont disponibles ici.
Voir aussi :
[R] Transformer des quantités aréales en densité de points
DotDensity Map (regular grid)
DotDensity Map from countries)
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11:00
Heritage Under Threat
sur Google Maps ManiaThe National Trust has released a new interactive map which highlights the risk to the UK's most important heritage sites from climate change. The National Trust is a charitable organization responsible for preserving land and buildings of national importance and/or outstanding beauty. The trust's new map identifies the future climate threats, such as coastal erosion, extreme heat and flooding
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21:00
GeoTools Team: GeoTools 25-RC Release Candidate
sur Planet OSGeoThe GeoTools team is pleased to share the availability GeoTools 25-RC : geotools-25-RC-bin.zip geotools-25-RC-doc.zip geotools-25-RC-userguide.zip geotools-25-RC-project.zip This release candidate is also available from the OSGeo Maven Repository and is made in conjunction with GeoServer 2.19-RC and JTS 1.18.1.Please Test this Release Candidate A release candidate is your chance to both try out
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18:00
The Cold Blob in the Gulf Stream
sur Google Maps ManiaNew climate data shows that the Gulf Stream is now at its weakest in more than 1,000 years. The Gulf Stream is the warm Atlantic ocean current that stretches from the Gulf of Mexico across the Atlantic Ocean to the western coast of Europe. The Gulf Stream has a huge influence on the climates of the east coast of North America and of western Europe. Any weakening of the Gulf Stream could have
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17:35
La pleine terre : nécessité d’une définition partagée dans les PLU
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’Institut Paris Region publie aujourd’hui la Note rapide n° 884
La pleine terre : nécessité d’une définition partagée dans les PLU
Déposé à l’assemblée nationale le 10 février, le projet de loi « climat et résilience », qui fait suite aux travaux de la convention citoyenne pour le climat, donne un nouveau relief à la pleine terre comme levier de la lutte contre l’artificialisation. L’enjeu du maintien de sols fonctionnels en ville n’est pas nouveau.Pour autant, la notion de pleine terre n’est toujours pas officiellement définie, faisant place à une approche à géométrie variable dans les documents d’urbanisme.
Cet article La pleine terre : nécessité d’une définition partagée dans les PLU est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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12:03
AI4GEO veut automatiser la production de données géographiques 3D
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnviron 4 minutes de lecture Projet de R&D à visée industrielle partiellement financé par le programme d’investissement d’avenir (PIA), AI4GEO vise « à développer une solution unique de production d’information géospatiale 3D automatique » en utilisant les techniques de l’intelligence artificielle. Point de situation un an après son démarrage. Réellement démarré en La suite de cet article est réservée à nos abonnésAbonnez-vous pour un accès illimité
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10:42
Where is the Brave Heart of Scotland?
sur Google Maps ManiaAlasdair Rae has created an interactive map which shows both the geographical center of Scotland and its 'population weighted' center. There are of course a number of different methods that you can use to map the geographical center of Scotland - each of which will result in a different center point for the country. For example in 2002 the Ordnance Survey used a 'centre of gravity' method to
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10:00
CARTO Blog: How Google Cloud & CARTO power geospatial analysis at scale
sur Planet OSGeoAs the volume of data with a location component continues to grow exponentially, both geospatial analysts and data scientists are looking to scale their analytical workflow... -
4:17
GeoTools Team: GeoTools default branch changed to main
sur Planet OSGeoA quick public service announcement, the GeoTools default branch has changed to main. To update your local repository: git branch -m master maingit fetch upstreamgit branch -u upstream/main main GeoTools is following the development ecosystem (git, gitlab, github, bitbucket) and information technology industry effort to replace the use of word " master " in a -
1:00
GeoServer Team: GeoServer repository transition to main branch
sur Planet OSGeoThe GeoServer project is changing our default branch to
main
.The casual use of the words “master” and “slave” in computer software is an unnecessary reference to a painful human experience that continue to impact society.
The change is part of an industry shift made possible by the git, bitbucket, github and gitlab projects. The git command line, repository implementations, now support
main
as default branch setting.To update your local repository:
git branch -m master main git fetch upstream git branch -u upstream/main main
To configure your local
git
tool so that new repositories are created with amain
branch:git config --global init.defaultBranch main
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1:00
GeoServer Team: GeoServer 2.19-RC Released
sur Planet OSGeoWe are happy to announce GeoServer 2.19-RC release candidate is available for testing. Downloads are available (zip and war) along with docs and extensions.
This is a GeoServer release candidate made in conjunction with GeoTools 25-RC and GeoWebCache 1.19-RC.
- Release candidates are a community building exercise and are not intended for production use.
- We ask the community (everyone: individuals, organizations, service providers) to download and thoroughly test this release candidate and report back.
- Participating in testing release candidates is a key expectation of our open source social contract. We make an effort to thank each person who tests in our release announcement and project presentations!
- GeoServer commercial service providers are fully expected to test on behalf of their customers.
This is an exciting release and a lot of great new functionality has been added. We would like to ask for your assistance testing the following:
- The number one testing priority is to try out GeoServer with your data! Mass market open source thrives on having many people to review. Scientific open source like GeoServer thrives on exposure to many datasets.
- Help check that new extension download bundles have contain everything needed, including appropriate readme instructions and open source license information.
- The rest of this blog post highlights new features for GeoServer 2.19, please try out these features, read the documentation links, and ask questions.
Known Issues:
- Layer configured with missing style throws NPE
In this release, MapML has graduated from community module to extension status. Map Markup Language (MapML) is a proposed extension to HTML, for maps. The objective of the project is to standardize accessible, performant Web maps with native support from Web browsers (maps in HTML). The GeoServer MapML extension will closely track the MapML specification as it evolves. Find out more at [https:] and if you like our goals, join the community group!
The MapML extension works with GeoServer layers and layer groups, and uses WMS, WMTS and WFS facilities built into GeoServer to provide simple map previews layers. The layer previews can be “dragged” from one browser tab onto another map preview to visualize a mashup of the layers of layer groups using the built in MapML viewer.
Editing a layer’s MapML properties in the Layers panel
Editing a layer’s MapML gridsets in the Layers panel Tile Caching tab
Preview a layer in the MapML viewer by following the MapML link
Mash up MapML previews by drag and dropThe Maps for HTML community would like to thank Andrea Aime, Jody Garnett and the GeoServer PSC for their support and help in getting this extension published.
More information on the GeoServer MapML extension is available in the user guide
WPS JDBC extensionThe WPS JDBC extension allows to share the status of asynchronous WPS requests across a GeoServer cluster. The status of all requests, past and ongoing, can be stored in a database, for later reference.
The module uses GeoTools JDBC stores to access databases, create the necessary tables, and track status. Connection parameters are provided as property files, e.g.:
user=postgres port=5432 password=****** passwd=****** host=localhost database=gsstore driver=org.postgresql.Driver dbtype=postgis
For more information, refer to the module documentation.
We’d like to thank Ian Turton for developing the module on behalf of GeoSolutions, Alessio Fabiani (GeoSolutions) for providing documentation for it, and Andrea Aime (GeoSolutions) for performing the QA and graduation steps.
WPS Download extensionThe WPS download plugin provides support for the download of large amounts of data, allowing use of asynchronous requests, where using WFS, WCS or WMS for the same task would lead to HTTP timeouts. Also, download limits can be configured to avoid excessively large requests: size in MB, number of features, number of animation frames.
In particular, the following processes are available:
DownloadEstimator
, verifying that a raster/vector download about to be attempted will fit the download limits.DownloadProcess
, allowing to download either raster or vector data, reproject and clip themDownloadMapProcess
, allows to download a large map matching what is visible on a client (which may be using tiles and display on a multi-screen), eventually dynamically fetching layers from remote WMS servers as well. It’s also possible to decorate the final map using the standard decoration layouts.DownloadAnimationProcess
, allows to build a MP4 movie given a set of layers and times.
GeoNode uses the module to allow download of datasets, eventually clipped and filtered to the current view. The asynchronous download allows to download large datasets, and retrieve them later, once ready.
Initiating a download in GeoNode
Configuring the download
The download package is ready
Viewing the clipped download in QGISFor more information, refer to the module documentation.
Thanks to Alessio, Andrea, Daniele, from GeoSolutions, for developing the extension, and GeoNode/MapStore for testing it in various production environments.
WMTS Multidimensional extensionThe WMTS multi-dimensional extension is an extension to the WMTS protocol developed during OGC Testbed 12. The extension allows to explore the dimensions attached to a dataset, providing ways to explore them, finding relationships between them.
Here are a couple of real world examples of this functionality:
- GeoServer is publishing a set of satellite images. Each image is time stamped. The user is browsing the set of data on a map, and the client software wants to show the list of available times for the current area. The WMS/WMTS dimension support cannot help, but the WMTS extension has a request,
GetDomainValues
, which exactly answers this question. - GeoServer is publishing a set of NetCDFs containing weather forecasts. Each dataset has two times associated, a run time (the time the forecast was run) and a time (the predicted time for the weather data). Forecasts are run for the short term future, so the two times are strictly related. A user wants to compare forecasts for a given predicted time. The
GetDomainValues
request can be used to locate the run times that have a prediction for the given forecast time. - GeoServer is publishing a set of timestamped data. The client wants to display a timeline, providing an idea of which times are available for the current view. In addition to that, the clients wants to display how many datasets are available along the timeline. The
GetHistogram
request can be used to retrieve a count of datasets available over time buckets in a given interval.
The MapStore client uses the module to power its timeline extension, providing time discovery, navigation, animation, and histogram display.
MapStore timeline plugin, with animation controls
MapStore timeline plugin, histogram viewFor more information, refer to the module documentation.
Thanks to Nuno Oliveira (GeoSolutions) and Andrea Aime (GeoSolutions) for the initial development, and MapStore for adopting the module, using it in production, and ensuring its long term development
Params-extractor extensionThe parameter extractor module is used to inject vendor parameters in all links that a standard OGC client uses, by either reflecting them into the Capabilities documents backlinks, or hiding them in an extra component in the URLs paths.
This can be used, for example, to provide a desktop client, such as QGIS, a different view of a given layer based on
viewparams
,cql_filter
orenv
parameters, even if the client would not be able to use the parameters natively. Each combination of parameters receives a different starting GetCapabilities request.A simple query parameter echoing can be setup for clients honoring query parameters in capabilities backlinks:
Parameter extractor echoingFor clients ignoring query parameters or even ignoring backlinks, the parameters can be added as a path component instead, and then expanded in a larger templated value:
Parameter expansion from path componentWith the above setup, a URL ending with
H11
:/geoserver/tiger/wms/H11?SERVICE=WMS&VERSION=1.1.1&REQUEST=GetMap
is interpreted as:
/geoserver/tiger/wms?SERVICE=WMS&VERSION=1.1.1&REQUEST=GetMap&CQL_FILTER=CFCC%3D%27H11%27
For more information, refer to the module documentation.
Thanks to Nuno Oliveira (GeoSolutions) for developing this module.
GeoWebCache-S3 extensionThe GeoWebCache S3 blobstore allows to store GeoWebCache tiles in a S3 bucket. It has been also tested with a few other S3 compatible blob storage mechanisms, such as Minio.
This plugin is particularly useful when deploying GeoServer on AWS, but also when setting up a shared tile storage in Kubernetes.
Setting up the S3 tile storageFor more information, refer to the module documentation.
Retire ArcSDE ExtensionsThe ArcSDE Extension has been retired.
In this case we found that the extension is no longer actively used, and lacked sufficient feedback and resources for continued development. The last tested ArcSDE 10.2.2 version is no longer available, making the required jars required for installation unavailable.
Retire the Script community moduleThe Script community module has been retired.
The module provided scripting abilities for GeoServer, allowing to add WPS processes and small REST services in scripting languages, and storing them in the data directory.
Unfortunately the module fell un-maintained and would no longer build nor work.
Codebase updates and Quality AssuranceGeoServer continues to be build with the latest open source technologies:
- GeoTools 25-RC
- GeoWebCache 1.19-RC
- JAI-EXT 1.1.19
- JTS 1.18.1
- GeoFence 3.4.7
- Upgrade oshi-core from 5.4.0 to 5.5.0 for new Apple hardware support
- Freemarker 2.3.31
We do not get a chance to talk about the code-base that makes up GeoServer often, but recent changes and improvements deserve some praise. The GeoServer team has really embraced automating code checks, starting with simply formatting the code in a consistent fashion, to more advanced techniques checking for common mistakes.
- Switch most of the unit tests from JUnit 3 to JUnit 4
- Remove usage of Vector/Hashtable, replace with ArrayList and HashMap, add PMD rule to enforce it
- Remove un-necessary casts from code, add PMD rule to enforce it
- Replace try/finally with try-with-resources, add a PMD rule to enforce it
- Collapse catch statements with the same body in a multi-catch, add PMD rule to enforce it
- Avoid assertTrue for tests that can be expressed with dedicated assertions. Add PMD rule to enforce it.
- Replace iterator loops with enhanced for loops, add a QA rule to enforce it.
- Run PMD checks on test sources as well.
- Use Collection.isEmpty() when checking for item availability
- Remove explicit types when diamond operator can be used instead. Added a PMD rule to enforce it.
- Remove or suppress unchecked casts, enable the Java compiler lint option for it.
Although all these changes sound small in isolation, the fact that they are performed on the entire codebase, and checked each time a pull-request is proposed, really provides confidence in the technology we publish.
Thanks to Andrea for this valuable work.
And more!There are several other new features and improvements, including:
- Upgrade SQL Server packaging to use open source JDBC driver
- Setting Entity Expansion limit on WFS XML Readers
- Tutorial on running GeoServer in cloud foundry.
- Updated DB2 installation instructions
Find out more in the release notes.
About GeoServer 2.19Additional information on GeoServer 2.19 series:
- GeoServer repository transition to main branch
- Release notes (2.19-RC)
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1:00
GeoServer Team: GeoServer repository transition to main branch
sur Planet OSGeoThe GeoServer project is changing our default branch to
main
.The casual use of the words “master” and “slave” in computer software is an unnecessary reference to a painful human experience that continue to impact society.
The change is part of an industry shift made possible by the git, bitbucket, github and gitlab projects. The git command line, repository implementations, now support
main
as default branch setting.To update your local repository:
git branch -m master main git fetch upstream git branch -u upstream/main main
To configure your local
git
tool so that new repositories are created with amain
branch:git config --global init.defaultBranch main
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19:04
Qui est Jacques Bertin ?
sur Cartographie – Icem7Lorsque l’on s’intéresse, comme nous à icem7, à la sémiologie graphique, il est incontournable de s’interroger à propos de Jacques Bertin. Afin de dresser son portrait, j’ai entrepris quelques recherches à son sujet. Aujourd’hui, Internet rend cela plus facile (à condition de ne pas se laisser noyer par la quantité d’informations).
Jacques Bertin, celles et ceux qui s’intéressent à la cartographie thématique le savent, est le père de la sémiologie graphique. Il est l’auteur de l’ouvrage de référence à ce propos, Sémiologie graphique : les diagrammes, les réseaux, les cartes, paru pour la première fois en 1967, réédité en 1973, puis en 1999, toujours considéré aujourd’hui comme un fondamental de cette approche interdisciplinaire, à l’intersection entre la géographie, la cartographie, la statistique.
Jacques Bertin est cartographe. Il convient de le préciser dans son moteur de recherche, pour éviter toute confusion avec un homonyme encore plus illustre, Jacques Bertin, chanteur [1]. Wikipédia compte une notice pour chacun des deux hommes.
Les principes énoncés par Bertin sont toujours inspirantsRevenons au cartographe qui, décédé en 2010, aurait eu 100 ans en 2018. En 2017, pour célébrer le 50e anniversaire de la première publication de son œuvre principale, une rétrospective lui a été consacrée. Gilles Palsky lui a rendu hommage en expliquant en quoi « le traité de Jacques Bertin s’est imposé comme une sorte de doxa cartographique et a modelé la pratique de générations de cartographes depuis les années 1970. »
Jacques Bertin a passé l’essentiel de sa vie professionnelle à la tête de l’Atelier de cartographie, renommé ensuite Atelier de graphique, au sein de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS). Outre le considérable pavé de 430 pages déjà cité, il a publié en 1977 La graphique et le traitement graphique de l’information, ainsi qu’un Atlas historique de l’humanité.
En tant que cartographe, il est aussi l’auteur, en 1953, d’une projection de la carte du monde tout à fait singulière. Cette représentation, outre ses qualités esthétiques (Jacques Bertin, fils d’un peintre, était très attaché à ces questions), a pour caractéristique de ne pas trop modifier la forme des continents (sauf celle de l’Amérique du Nord).
Généralement, les ouvrages signés par des universitaires sont truffés de références bibliographiques. Ce n’est pas le cas des livres de Jacques Bertin, puisque ce dernier a consacré sa carrière à défricher un domaine entièrement nouveau à cette époque. En revanche, ses écrits sont cités en références dans d’innombrables publications scientifiques. Une requête dans Google Scholar, moteur de recherche académique, renvoie plus de 3 000 résultats à partir de « Jacques Bertin ».
La Sémiologie graphique a marqué les esprits en France, non seulement à l’université, mais aussi à l’Insee, la Datar, l’IGN, Sciences Po… Ce fut aussi le cas aux États-Unis, mais plus de 15 ans après, avec la première traduction en anglais, Semiology of Graphics (University of Wisconsin, 1983). Jacques Bertin est tout autant, voire plus populaire outre-atlantique qu’en France. Il a influencé les plus grands chercheurs en visualisation : Edward Tufte, Leland Wilkinson, puis la nouvelle génération des Hadley Wickham (R), Mike Bostock (D3), Jeffrey Heer (Vega), qui le citent comme une référence majeure.
L’image d’un homme modesteCependant, il n’y a que peu de traces laissées sur l’homme qu’il était. Il faut bien chercher pour trouver des images qui montrent son visage. Je n’en ai trouvées que 4 ou 5, toutes de petite taille, souvent en noir et blanc. Elles montrent un homme d’allure débonnaire, avec un visage rond, un crâne largement dégarni, un regard vif derrière de grandes lunettes, souvent la pipe à la main. On imagine quelqu’un de calme, modeste et néanmoins solide et déterminé.
Il a conduit ses travaux à une époque où l’informatique n’était pas aussi puissante et accessible qu’aujourd’hui et a mené ses recherches à partir d’observations empiriques.
Entourant Jacques Bertin, l'équipe du Laboratoire de cartographie de l'EHESS, en 1964.Il a mis au point une méthode manuelle astucieuse pour trier et ordonner un tableau croisé, connue sous le nom de « matrice de Bertin ». Cette méthode a été automatisée et est accessible en ligne sous le nom de « bertifier ». Cela n’est pas donné à tout le monde de voir son patronyme transformé en nom commun !
Ce que voient nos yeux et ce que comprend notre cerveauSi Jacques Bertin poursuivait ses travaux de nos jours, je suis sûre qu’il se passionnerait pour les neurosciences, qui cherchent à comprendre le fonctionnement de notre système nerveux. Il se pencherait sans nul doute sur la question de comment notre cerveau interprète ce que nos yeux perçoivent, à la lumière de ce que montrent les nouvelles techniques d’imagerie médicale par résonance magnétique.
Un élément central de ses travaux porte sur les perceptions visuelles. Il a décrit et théorisé la notion de variables visuelles en partant du constat que nos yeux cherchent d’abord à reconnaître des similitudes ou repérer des différences.
Comparer, trier, classer, ordonner : à chaque instant, notre cerveau analyse chaque image qui nous tombe sous les yeux.
Jacques Bertin a identifié 6 variables rétiniennes qu’il convient de savoir utiliser à bon escient pour construire une représentation graphique : taille, valeur, grain, couleur, orientation et forme. Aujourd’hui, des outils graphiques aussi populaires que Tableau, GGplot2, Vega utilisent explicitement le concept d’encodage d’indicateurs en variables visuelles élémentaires.
Une idée forte de la « pensée bertinienne » est que nos yeux appréhendent d’abord une image comme un tout. Il convient par conséquent que l’image délivre son message directement, dès que le regard se pose sur elle. Pour qu’une image délivre son message, il ne doit pas être brouillé par des éléments parasites. Pour obtenir in fine une représentation graphique claire et efficace, le travail de préparation et de construction en amont peut s’avérer complexe.
Quelques références- Hypergéo :
- Cybergéo :
- La graphique et le traitement graphique de l’information
- Le Manifeste des cartographes
- Bon anniversaire, Jacques Bertin !
- Traduire encore Bertin aujourd’hui
- L’héritage pédagogique de Jacques Bertin
Image extraite de l'ouvrage Sémiologie graphique pour illustrer l'effet vibratoire du grain. On dirait de l'art moderne !
- Tableau des niveaux des variables rétiniennes
- Design graphique et recherches en sciences sociales. Jacques Bertin et le Laboratoire de Graphique. EHESS 1954-2000
- Projection Bertin (1953)
- Archives du Laboratoire de cartographie de l’EPHE/EHESS aux Archives nationales – un instrument de recherche en ligne
- Comment fabriquer une “matrice de Bertin” : DIY Bertin Matrix
- L’œil du peintre : une courte vidéo qui montre Jacques Bertin !
[1] Jacques Bertin, le chanteur, plus jeune que le cartographe, est toujours de ce monde. À près de 75 ans, il continue de mener une carrière discrète dans la chanson française « à textes », loin des paillettes du show business. La célébrité est une notion relative… Parmi les quelques 20 000 personnes portant le patronyme Bertin, un certain nombre doit se prénommer Jacques… Le réseau professionnel LinkedIn en compte 52 (mais une seule page icem7
).
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17:26
Intelligence Artificielle : SUEZ et ffly4u déploient une solution unique pour optimiser la collecte des déchets sur le territoire toulousain (31)
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDepuis juillet 2020, les 200 bennes collectant les déchets déposés par les toulousains dans les 13 déchèteries du territoire gérées par SUEZ, sont équipées d’une intelligence embarquée. En test depuis 2019, la solution ffly4u a été déployée avec pour objectif de diminuer la consommation de carburant, d’optimiser les flux de bennes et de réduire les coûts à travers l’optimisation des moyens de collecte.Schéma simplifié du bénéfice quotidien en exploitation de la technologie ffly4u
Le partenariat entre ffly4u et SUEZ a débuté fin 2019 avec la mise en place d’une expérimentation sur une déchèterie et une dizaine de bennes. Forts de ce succès, SUEZ et Decoset[1] ont déployé la solution ffly4u en juillet 2020 dans les 13 déchetteries toulousaines. Ainsi grâce aux boitiers connectés placés sur les bennes, SUEZ dispose d’une visibilité en temps réel sur le taux de remplissage des bennes, leur localisation à quai et hors quai, aussi bien au sein des déchèteries qu’en transit. Les équipes opérationnelles connaissent précisément les phases de chargement/déchargement des bennes c’est-à-dire bennes sur camion ou au sol, et sont alertées en cas d’immobilisation prolongée. Sur un territoire fortement urbanisé qui attire chaque année plus de 10 000 nouveaux habitants, la digitalisation optimise la planification, le remplissage et le transport des bennes et permet ainsi de réduire de 5 % les émissions de gaz à effet de serre (GES) liées au transport des déchets.
Une technologie unique en Europe
L’innovation ffly4u repose sur l’intégration des technologies d’Intelligence Artificielle (IA) et de « Machine Learning » (ML) dans un boitier à faible consommation énergétique (de 4 à 6 ans d’autonomie des boitiers). Cette solution appelée « Edge AI Low Power® », lancée en 2018 par ffly4u, permet d’identifier précisément les phases de vie des objets industriels dans le secteur du recyclage mais aussi dans les secteurs du câble/fibre, des remorques, des emballages réutilisables et dans l’aéronautique.
Jean-Christophe Didio, Directeur régional Recyclage & Valorisation de SUEZ : « SUEZ développe des solutions innovantes pour capter plus de déchets valorisables, optimiser en continu la performance de la collecte et réduire son impact environnemental. La solution ffly4u expérimentée avec succès dans la région toulousaine, est un apport important dans la digitalisation de nos métiers. Le groupe SUEZ et l’équipe de ffly4u sont en discussion pour étendre cette solution à d’autres territoires ».
Rodolphe Henry, Directeur commercial Europe de ffly4u : « Ce projet avec le groupe SUEZ prouve la valeur ajoutée de notre approche et marque une véritable prise de conscience, de la part de nos clients et donneurs d’ordre, du potentiel important de création de valeur de nos services. Aujourd’hui le constat est clair : la remontée de données brutes provenant de capteurs élémentaires, comme la localisation ou la température, ne suffit plus. Les industriels sont à la recherche de véritables données spécifiques à leurs métiers. »
[1]Fin 2018, Decoset a confié à SUEZ l’exploitation de 13 déchèteries du toulousain dans un but d’amélioration continue, d’optimisation de la performance et d’amélioration de la qualité de service auprès des usagers.Schéma simplifié du bénéfice quotidien en exploitation de la technologie ffly4u
Contacts Presse :
SUEZ Occitanie
Géraldine Leroux
Responsable Communication
06 83 84 94 59
ffly4u
Antoine Monnier
06 03 71 76 10
A propos de ffly4u
Dans un secteur IoT en pleine évolution, le constat de ffly4u est clair : depuis l’apparition de l’Internet des Objets Industriels en 2014, les boitiers remontent des données standards (géolocalisation, température,) alors que la demande du marché depuis 2018 concerne des données-métier de plus en plus complexes et spécifiques. ffly4u a choisi de répondre à cette demande en développant une approche par verticale métier, composée à la fois d’une compréhension détaillée du métier (grâce à une collaboration de fond avec les utilisateurs sur le terrain) et de la technologie propriétaire embarquée – « Edge AI Low Power ® ». Cette approche novatrice permet au global d’identifier finement les différentes phases de vie d’un objet industriel assurant la création de données spécifiques à très forte valeur ajoutée, pouvant être dans certains cas monétisables.
Plus d’information sur www.ffly4u.com
et sur les réseaux sociaux
À propos de SUEZ
Fort de son expertise bâtie depuis la fin du XIXème siècle, SUEZ aide les femmes et les hommes à améliorer constamment leur qualité de vie, en préservant leur santé et en accompagnant le développement économique. Présent sur les 5 continents, le Groupe et ses 90000 collaborateurs préservent les éléments essentiels de notre environnement : l’eau, la terre et l’air, en proposant des solutions innovantes et résilientes de gestion de l’eau, de valorisation des déchets, de dépollution des sols et de traitement de l’air qui permettent aux collectivités et aux industries d’optimiser la gestion de leurs ressources, telles les villes « intelligentes » et d’améliorer leurs performances environnementale et économique. Le Groupe dessert 64 millions d’habitants en services d’assainissement, produit 7,1 milliards de m3 d’eau potable, contribue au développement économique avec plus de 200 000 emplois directs et indirects créés par an, et contribue à la création de nouvelles ressources avec 4,2 millions de tonnes de matières premières secondaires produites. A l’horizon de son plan stratégique, le Groupe ambitionne des solutions 100% durables ayant un impact positif sur l’environnement, la santé et le climat. En 2019, le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 18,0 milliards d’euros.
Retrouvez l’actualité du Groupe SUEZ
sur le site Internet & sur les réseaux sociaux
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11:27
I Am Not a Dot, I Am a Free Man
sur Google Maps ManiaLast week saw the release of two excellent dot maps, Kenneth Field's Presidential Election 2020 map and NBC's coronavirus deaths map 500,000 Lives Lost. My only problem with these two dot maps is that they both fail to acknowledge that using a dot as a mode of representation is an inherently political act. To paraphrase The Prisoner, I am not a dot, I am a free man.I for one don't want to be -
18:00
Conjoined Twin Towns
sur Google Maps ManiaSãotá is a really interesting experiment which merges the map data of two very different cities to create a map of an imagined conjoined city. The map was created by Near Space Interface and combines geodata from the Brizilian city of São Paulo and the Colombian city of Bogotá. The new 3D map of the imagined city of Sãotá combines map data from two neighborhoods in Bogotá (La Candelaria and
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11:20
Développement QGIS : utiliser les documentations hors-ligne avec Zeal
sur GeotribuBlog-note de développement sur QGIS : présentation de Zeal qui permet de disposer d'un naviguer hors-ligne dans les documentations techniques de QGIS et PyQGIS.
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11:08
Mapping a Landslide
sur Google Maps ManiaIn February more than 200 people were killed in the Himalayas when a landslide on India's second highest peak caused a flash flood which swept away villages and two hydro-electric projects. Such large landslides are rare at this time of year, leading climate scientists to warn of the potential for ever increasing numbers of deadly landslides in the Himalayas as the planet continues to
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10:00
CARTO Blog: COVID Vaccine: Mapping Rollout & Optimizing Supply Chain
sur Planet OSGeoWith over 224 million doses of COVID vaccine having been administered to date worldwide, this week also sees the first shipments of the COVID-19 Vaccines Global Access (COV...
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18:00
Discovering the Northwest Passage
sur Google Maps ManiaArctic Fog is a fascinating historical journey into the discovery of the Northwest Passage and the Northeast Passage. The map recounts all the important expeditions carried out by explorers through the ages which eventually lead to the discovery of sea routes from Europe, through the frozen north, to the Pacific and towards Asia.At the beginning of Arctic Fog you can choose whether you want to
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16:53
Swisstopo : un trésor numérique gratuit
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueTrois mois après l’IGN en France, l’Office fédéral de topographie swisstopo met à disposition gratuitement ses données et services numériques officiels en ligne. «Un trésor numérique gratuit», comme affirmé lors de la conférence de presse.
Cette ouverture des données s’inscrit dans le cadre de la «Stratégie en matière de libre accès aux données publiques en Suisse» adoptée par le conseil fédéral en novembre 2018.
Les cartes nationales numériques (dont la toute nouvelle carte nationale), les images aériennes, les modèles topographiques ou les données vectorielles géologiques sont mis à disposition gratuitement sous forme d’Open Government Data. Ils peuvent donc être utilisés, partagés et réutilisés gratuitement, y compris au sein de services commerciaux. Il faut seulement faire mention de la source.
+ d'infos :
swisstopo.ch
Retrouvez dans CLUB SIG, l'intervention de Sandrine Kloetzli (Swisstopo) lors de l'émission spéciale donnée libres et ouvertes, en exclusivité sur l'application gratuite SIGMAG SIGTV.FR. Télécharger : clubsig.fr
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10:08
Switzerland is Now Open
sur Google Maps ManiaThe Swiss Federal Office of Topography, or 'Swisstopo' as they are officially known, is Switzerland's national mapping agency. Swisstopo are renowned for their incredibly detailed and accurate topographical maps. Maps which you can now use in your own mapping projects.From today Swisstopo is making its geodata free to use according to the principles of Open Government Data (OGD). This means
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10:00
CARTO Blog: How to Enrich POS Data to Analyze & Predict CPG Sales
sur Planet OSGeoOver the past year consumer behavior has changed significantly and many believe permanently. Last year U.S. CPG sales rose by 10.3% to $933 billion as consumers stocked up ...
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14:21
3D: Déambulation Du Dimanche - #16
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Cette semaine, ma Déambulation Du Dimanche nous conduit au Portugal et plus particulièrement sur le campus de la faculté des sciences de Lisbonne. A l'aide d'ArcGIS Enterprise, la FCUL a modélisé l'ensemble du campus en 3D et propose plusieurs applications web sur son portail ArcGIS. La maquette 3D est très complète et intègre différents modèles de résolution et de niveau de détail allant du simple modèle 3D texturés à des modèles BIM très détaillés notamment en "indoor".
L'application 3D ArcGIS est accessible en Live ici.
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9:06
Stefano Costa: I libri che ho letto nel 2020
sur Planet OSGeoAnche quest’anno niente classifiche e niente recensioni ? solo qualche commento. Lo sapete tutti, il 2020 è stato segnato dalla pandemia e come tanti ho passato molto più tempo senza poter uscire. Ho letto un po’ più dello scorso anno, per quel che conta la quantità.
Michele Ainis, DemofolliaUna raccolta di saggi, complessivamente un po’ ripetitiva ma visto che uno dei temi ricorrenti è quello della burocrazia è anche una lettura doverosa. Nel libro e anche nell’introduzione Ainis porta l’esempio paradossale del Ministero dei Beni Culturali che ha cambiato nome tre volte in pochi anni. Ebbene, dopo la pubblicazione del libro è cambiato di nuovo. E all’inizio del 2021 è cambiato di nuovo. Cinque volte.
Matteo Vinzoni, Pianta delle due riviere della serenissima Repubblica di Genova divise ne’ commissariati di sanità (a cura di Massimo Quaini)Questa è una lettura, sì. Come molti ho consultato decine di volte la Pianta e i suoi disegni, ma non sapevo che fosse accompagnata da un testo descrittivo molto articolato. L’edizione maestra curata dal grande Massimo Quaini ha una lunga introduzione al testo che racconta la storia di Matteo Vinzoni, di come è diventato uno dei più grandi cartografi della sua epoca e della fatica interminabile che gli è costata questa Pianta. E la cosa che più mi ha sorpreso è stata la causa scatenante per l’istituzione dei commissariati di sanità: un’epidemia di peste (cosiddetta peste di Marsiglia, 1720), in cui la cartografia è uno degli strumenti di controllo capillare del territorio al servizio del governo. Quante cose ci sono da imparare.
Margaret Elphinstone, La notte del radunoLo scorso anno con “L’ultima dei Neandertal” avevo detto, ci vuole più narrativa ambientata nella preistoria! Eccomi servito. Siamo nel Mesolitico delle isole britanniche e questo racconto a più voci è la storia di un mondo lontanissimo, in cui uomini e donne vivono secondo regole e credenze molto legate alla natura e ai suoi cicli, ma sono anche pieni di grandezza, di spazi immensi, di legami profondi tra persone. L’ho trovato un racconto senza un genere preciso e forse per questo veramente profondo.
Telmo Pievani, La fine del mondoMi ha prestato questo libro mio fratello, senza commento. Conoscendo un poco l’autore, mi aspettavo una trattazione sui temi più critici del riscaldamento globale e disastri annessi. Nulla di tutto ciò, il libro di Pievani è una raccolta di sommari culturali-filosofici del mondo occidentale su vari livelli a cui è stata concepita la fine del mondo. Mi ha fastidiosamente ricordato un brutto libro di Remo Bodei letto anni fa. Nessuno spazio è dato alla storia del pensiero nel mondo indiano o cinese. Compaiono i Maya (scritti però minuscoli, diversamente dagli antichi romani maiuscoli) per “lip service” alla più nota delle teorie pseudostoriche catastrofiste. Non mi è piaciuto. Non era piaciuto nemmeno a Enrico.
Chimamanda Ngozi Adichie, Dovremmo essere tutti femministiMolto breve e tagliente. Quest’anno non ho letto in modo esclusivo autrici, ma ho comunque continuato ad esplorare fuori dalla mia comfort zone.
Ayòbámi Adébáyò, Resta con me (Stay with me)E questo è molto fuori. Il racconto è a due voci ma quella maschile sembra in molte parti vivere un livello umano diverso, più elementare, nella lunga tragedia che segna la vita della coppia. È stato straziante, soprattutto con un bimbo di pochi mesi in casa, e scava molto profondamente nelle assurde consuetudini che in tanti luoghi controllano la vita delle coppie che si amano.
Claire Cameron, L’orsoClaire Cameron è l’autrice de “L’ultima dei Neandertal”, facile. Ma questo orso è mi-ci-dia-le. Sarà una banalità, ma la voce narrante adorabile di questa storia inquietante rende il libro un vero concentrato di emozioni forti e fortissime. Di nuovo, c’è una quasi corrispondenza con le età dei miei figli e questo mi ha fatto leggere l’orso in maniera molto più riflessiva ? parafrasando Scaruffi la trama è l’ultima cosa interessante di tutto il libro.
Hisham Matar, Un punto di approdoQuesto è un delizioso regalo per il mio compleanno. Mi ha fatto tornare a Siena e capire quante cose ho perso di Siena negli anni in cui ci ho abitato.
Chinua Achebe, La freccia di DioIl terzo volume della trilogia, ammesso che sia davvero una trilogia. È spietato e tragico in modo grandioso.
Donna Haraway, A cyborg manifestoHo letto con grande fatica, in lingua originale, questo saggio, di cui non avevo capito bene né l’estensione né la dimensione politico-accademica. Ho anche ascoltato una versione “audiolibro” non molto ascoltabile, ma pur avendo colto alcuni concetti fondamentali che oggi sono diventati estremamente potenti, non sono riuscito a seguire per bene il discorso complessivo. Mi ha lasciato un po’ guardingo l’avvio iniziale sul ruolo “ironico” del cyborg, perché mi sto convincendo profondamente che l’ironia sia molto deleteria. Quindi ho comprato la traduzione italiana, che leggerò prossimamente.
Ursula K. Le Guin, I reietti dell’altro pianeta (Dispossessed: an ambiguos utopia)Ce l’ho fatta! Sono finalmente riuscito a leggere un romanzo di Le Guin. Che meraviglia. Che incredibile viaggio questo sul pianeta Anarres. Scopro l’acqua calda, ma acqua calda rimane.
James Ellroy, Le strade dell’innocenza (Blood on the moon)Ho questa trilogia da un paio d’anni, comprata usata da “Nostalgie di carta”, la libreria di via Daste che purtroppo ha chiuso i battenti con la morte del titolare. Il primo libro è un “classico” Ellroy, lontanissimo dalle costruzioni complesse degli anni successivi ma comunque una buona lettura.
Paolo Rumiz, La leggenda dei monti navigantiQuesto me lo ha prestato mio padre. È il libro che mi ha fatto pensare di più e sicuramente quello che più mi ha fatto innervosire, non perché sia brutto (vedi sopra la fine del mondo), ma perché mescola una ricerca approfondita di luoghi, persone e storie con una serie di mostruosità che non riesco a tollerare. I beceri stereotipi (la macchina femmina, qua e là donne bellissime che compaiono unicamente come tali). L’ingenuità di fronte ai lavori nel ventre delle montagne (pure ritrattata nel libro stesso). Le lamentele sull’abbandono che solo uno nato e cresciuto in città può concepire.
Il libro è effettivamente composto di due parti (anche qui, dichiarate in apertura), una di autobiografia lenta riguardante le Alpi, i molti personaggi quasi tutti legati all’alpinismo, all’epica della montagna con le sue gesta eroiche e le sue tragedie. Questa parte è forse abbastanza banale. La seconda parte è un diario di viaggio on the road in cui Rumiz attraversa l’intero Appennino evitando tutte le strade principali. In questa seconda parte lo spirito di ascolto è più profondo e segue solo in parte personaggi “famosi”, ma si perde innumerevoli volte di fronte a scempiaggini linguistiche e toponomastiche, è ossessionato da Annibale (su cui ha scritto un altro libro .. ora sul mio comodino) e qualunque cosa incontri lungo il proprio tragitto diventa paradigmatica di qualcosa. Un altro aspetto che trovo fastidioso è il continuo ricorso a paragoni geografici: una nuova valle in cui arriva non merita mai di essere se stessa, ma per avere valore deve per forza assomigliare a qualche altro posto già visto.
A Rumiz stanno sulle palle i gerani ai balconi e lo scrive svariate volte nel libro. È esterofilo ma solo perché il “vero” spirito della montagna in Italia è soverchiato da altri valori, altrimenti saremmo noi i migliori. Mah.
Ursula K. Le Guin, Il magoLa letteratura fantastica e quella fantascientifica non sono così diverse, sembra di capire leggendo questo primo volume della saga di Terramare. La componente psicologica è quella fondamentale nei rapporti tra personaggi e nelle gesta dei protagonisti, ben più della coerenza nel world building o nel linguaggio, che comunque ci sono e sono potenti e sistematici. Ho passato tutta la lettura a consultare la mappa dell’immenso arcipelago, questo mi ha dato grande soddisfazione. Ora voglio con la giusta calma continuare la lettura della saga.
Sto leggendo Seni e uova di Mieko Kawakami. A proposito di uscire dalla zona di confort.
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11:28
Making Histyory with Maps
sur Google Maps ManiaMaking History Sandbox is an interesting interactive mapping tool which allows you to make maps which show developments over time. It is probably easiest to explain this tool using a working example - so here is a little demo map of an animated timeline I created with Making History Sandbox. Essentially the tool consists of a timeline and regions which can be colored on the map. To create a -
18:00
The Affordable Housing Map
sur Google Maps ManiaThe average house price for all home types in the United States is now around $295,000. The days of being able to buy a five figure starter home are fast coming to an end. But they aren't over just yet.If you want to know where your can find a home for less than $100,000 then you can refer to Social Explorer's Housing Units Less Than $100,000 interactive map.Housing Units Less Than $100,000 uses
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15:20
Revue de presse du 26 février 2021
sur GeotribuGeoRDP du 26 février 2021 : cette édition de la revue de presse de la géomatique open-source a été co-rédigée à 16 mains. Cette dimension collaborative se retrouve dans la diversité des sujets évoqués : artificialisation des sols, MOOC Adresse, Géovélo, nuages de poussière et les traditionnelles évolutions d'outils dont QGIS 3.16 LTR et QGIS 3.18 et bien d'autres choses encore.
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11:10
Avec le temps… serions-nous devenus les méchants ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueJe vous parle d’un temps… où personne dans votre entourage ne savait ce que vous faisiez de vos journées, à pianoter sur un ordinateur pour faire des cartes, mais on vous admirait. Je vous parle d’un temps… où une bande de petits gars sympas, fans de SF, ont déboulé avec leur globe virtuel Google Earth, et où votre mère a enfin découvert qu’elle ne vous avait pas payé des études pour rien. Je vous parle d’un temps… où une épingle est devenue notre emblème, inspirant nos logos, même celui de DécryptaGéo. Je vous parle d’un temps… où la géo s’est gentiment immiscée dans nos vies hyperconnectées nous permettant de créer nos propres cartes, de découvrir la magie des traces. Je vous parle d’un temps… où la géomatique s’est mise à irriguer tous les secteurs économiques, à servir les causes les plus nobles (climat, biodiversité, justice sociale…).
Ces temps que nous avons vécu ensemble depuis plus de vingt ans seraient-ils définitivement derrière nous ? La « géo » de géomatique est devenue l’une des données les plus convoitées, les plus captées, les plus revendues afin de cibler de plus en plus finement nos comportements de consommateurs, comme le prouve encore une nouvelle étude. La « tique », quant à elle, est devenue trop gourmande dans un monde qui voudrait bien devenir plus sobre mais ne sait pas comment faire (voir les critiques ici ou là des dernières annonces gouvernementales sur sa politique numérique et environnement). Aujourd’hui, nous avons parfois l’impression de faire partie du camp des méchants. Comme dirait un rockeur que ceux d’un autre temps n’ont peut-être pas connu* : « C’est comment qu’on freine ? »
* Pour une séance de rattrapage, s’adresser à la rédaction.
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10:18
Les minutes ArcGIS Pro - Episode 40
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Je vous propose aujourd'hui un nouvel épisode de ma série "Les minutes ArcGIS Pro". Dans cet épisode 40, toujours en moins de 5 minutes, vous apprendrez comment publier un MNT personnalisé en tant que couche d'élévation sur un portail ArcGIS (Online ou Enterprise) et pouvoir ainsi l'utiliser dans vos scènes web.
Episode 40: Publier un MNT personnalisé pour l'utiliser dans des scènes web
Vous retrouvez l'ensemble de la série de vidéos sur la playlist "Les minutes ArcGIS Pro".
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9:37
The Coronavirus Monitor
sur Google Maps ManiaThe map I have consulted most often in the last few months has been the Berliner Morgenpost's Coronavirus Monitor. The German newspaper's visualization of the epidemic not only provides a global overview of the present number of new infections in countries around the world but also allows you to explore how the virus has spread in those countries since the beginning of the outbreak at the start
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0:21
Les cartes d’état-major
sur Veille cartographieCet article Les cartes d’état-major est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La cartographie à l’échelle française a connu 2 entreprises majeures, reflet aujourd’hui de l’histoire de la France. Il s’agit là de la carte de Cassini et celle d’état-major. Il est intéressant de constater que toutes 2 sont présentes sur le Géoportail, accessible donc au grand public. Si la carte de Cassini a déjà été traité […]
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18:34
thinkWhere va développer le portail Open Maps for Europe
sur Décryptagéo, l'information géographiqueMené par EuroGeographics, l’association qui rassemble les instituts nationaux de cartographie et du cadastre de la grande Europe (soit une soixantaine d’organismes dans près de cinquante pays), Open Maps for Europe est un projet de portail d’accès aux données officielles ouvertes. thinkWhere, entreprise écossaise, est en charge de son développement.Avec le développement de l’open data, le rôle d’EuroGeographics se transforme. D’abord centré sur la création de jeux de données pan européens et à ce titre, spécialiste de l’harmonisation et de l’interopérabilité, l’association va proposer un portail rassemblant les données officielles ouvertes de ses membres.
Le grand public pourra ainsi découvrir et naviguer dans les « cartes officielles » de 40 pays : cartes topographiques, modèles numériques de terrain, photographies aériennes, données parcellaires… C’est thinkWhere, une société de service écossaise spécialisée dans l’open source qui est chargée de développer le portail, dont l’ouverture est prévue à l’été prochain.
L’accent semble être mis sur la fluidité de l’interface afin qu’elle soit utilisable par les plus néophytes des Européens.
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18:00
The Stars & Warming Stripes
sur Google Maps ManiaIn 2018 Ed Hawkins, a climate scientist at the National Centre for Atmospheric Science at the University of Reading, released a powerful data visualization to illustrate how temperatures have risen around the globe over the last century. His visualization used colored stripes to show the average annual temperatures for every year of the last century. This type of data graphic is now commonly
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16:32
Densité urbaine et propagation du coronavirus
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L’arrivée de la pandémie de Covid-19 a eu un impact majeur sur tous les domaines et en particulier celui des sciences humaines et sociales. En effet, depuis le début de 2020 nos pratiques sociales ont fortement changé. Ce changement a suscité de nombreux débats et a remis en question certains concepts et notions. L’un des plus importants débats suscités est celui autour de la densité urbaine. Celle-ci est considérée comme étant la principale cause de la forte propagation du virus au regard du fait que les plus forts taux de contamination sont dans les grandes métropoles. La question se pose donc avec acuité, est-ce que la densité urbaine représente réellement le facteur principal de la propagation de la Covid-19 ?
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16:18
Changement climatique : illustration du déplacement forcé des animaux grâce à une carte interactive
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Les changements climatiques sont la question déterminante de notre époque. L’évolution des conditions météorologiques, les effets sur la production agricole et alimentaire, l’élévation du niveau des mers qui augmente les risques d’inondations … sont des conséquences évidentes de ce changement climatique. Mais les sociétés humaines et leurs activités ne sont pas les seules à être […]
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16:17
A l’aide de Blaxtair connect, Suez cartographie les zones à risques
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Le groupe Suez s’occupe de la gestion d’eau et de déchets. Il est également le premier fournisseur d’eau privé dans le monde. L’entreprise compte plus de 80 000 salariés et est réputée pour l’attention qu’elle apporte à ses derniers. En effet, en 2021, et pour la neuvième fois Suez a été certifié “Top employeur”. Cette […]
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16:03
Situation de l’Open Data pour l’aménagement cyclable en France
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En France le vélo connait un fort développement depuis un certain nombre d’années. En effet, 40 % des français de plus de 15 ans ont une pratique régulière, au moins annuelle du vélo et ce chiffre ne cesse d’augmenter. Cela représente presque 22 millions de personnes. De plus, le vélo, en vue du contexte sanitaire […]
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15:49
EOS Data annonce le lancement d’une flotte satellitaire dédiée à l’observation de l’agriculture
sur Veille cartographieCet article EOS Data annonce le lancement d’une flotte satellitaire dédiée à l’observation de l’agriculture est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
EOS (Earth Observing System) est une entreprise spécialisée dans la production et le traitement de données géospatiales. Récemment, EOS Data a annoncé le lancement d’une flotte de satellites qui aura pour objectif la production de données en liens avec l’agriculture. Des satellites techniques pour la télédétection C’est à partir en 2024 que la flotte […]
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15:49
KERMAP : carte interactive et téléchargement des données des cultures majoritaires en France
sur Veille cartographieCet article KERMAP : carte interactive et téléchargement des données des cultures majoritaires en France est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
KERMAP produit et valorise des données géographiques, en proposant des services d’aide à la décision aux acteurs du territoire, à partir de données satellites et aéroportées.
L’un de leur récent projet est la conception d’une carte interactive présentant les cultures majoritaires sur le territoire métropolitain, en 2020. Venez découvrir cette carte originale !Cet article KERMAP : carte interactive et téléchargement des données des cultures majoritaires en France est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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12:35
Free and Open Source GIS Ramblings: Video recommendations from FOSDEM 2021
sur Planet OSGeoThe Geospatial Dev Room at FOSDEM 2021 was a great event that (virtually) brought together a very diverse group of geo people.
All talk recordings are now available publicly at: fosdem.org/2021/schedule/track/geospatial
In line with the main themes of this blog, I’d particularly like to highlight the following three talks:
MoveTK: the movement toolkit A library for understanding movement by Aniket Mitra
Telegram Bot For Navigation: A perfect map app for a neighbourhood doesn’t need a map by Ilya Zverev
Spatial data exploration in Jupyter notebooks by yours truly
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10:00
CARTO Blog: Foursquare POI & Foot Traffic Data now available in CARTO
sur Planet OSGeoAs we enter into the second year of a COVID-19 era, consumers are continuing to shift how they move through the physical world with the physical location of businesses and ...
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9:46
IBM utilise les images satellite d’Airbus pour surveiller la végétation près des lignes électriques et assurer la fiabilité du réseau
sur Décryptagéo, l'information géographiqueHerndon, VA, USA, 25 février 2021 – Airbus fournit désormais des images satellite à très haute résolution à la société The Weather Company d’IBM. Celles-ci seront utilisées pour aider les entreprises de services publics et d’énergie à mieux comprendre l’état de la végétation à proximité des câbles, dans le but de les aider à réduire les risques de perturbations électriques et à améliorer la fiabilité globale du réseau. En effet, la végétation est le principal moteur des pannes d’électricité selon la Commission fédérale de régulation de l’énergie (*).Des images satellite à très haute résolution de 50 cm d’Airbus seront introduites dans la plateforme IBM Vegetation Management Platform, qui fait partie du IBM Weather Operations Center. Cette technologie de pointe transforme rapidement d’énormes quantités de données géospatiales (satellite, drone, aérien et LIDAR), de capteurs IoT et de données météorologiques pour fournir suivre l’évolution au fil du temps et aider à comprendre l’état de la végétation sur les territoires des services publics.
L’imagerie satellite Pléiades de 50 cm montre des détails sur la végétation permettant à des traitements basés sur l’Intelligence Artificielle de discerner les couvertures des arbres, puis d’identifier, de segmenter et d’estimer leur hauteur. Au final, les compagnies d’électricité seront en mesure de prioriser de manière proactive et efficace les efforts de coupe pour aider à se concentrer sur la végétation la plus à risque de provoquer des pannes d’électricité ou de déclencher des incendies de forêt.
«Nos satellites Pléiades offrent une excellente combinaison de très haute résolution et de grande capacité de couverture, pour alimenter la plateforme d’IBM avec des images précises et à jour, qui aident à mieux surveiller et préserver l’intégrité des lignes de services publics», a déclaré François Lombard , Directeur de l’activité Intelligence d’Airbus Defence and Space.
«Dans le cadre de la révolution actuelle des données, plus une équipe peut avoir de perspicacité et de visibilité sur l’état actuel de la végétation, plus les entreprises peuvent avoir confiance dans le passage à une approche de gestion plus conditionnée, ce qui peut finalement conduire à plus d’avantages pour les clients et les opérations, a déclaré Rob Boucher, responsable des offres pour l’énergie et les services publics, IBM. «L’expérience approfondie du secteur et la technologie d’IBM éclairent la solution, comme l’intelligence artificielle qui lit l’image pour discerner et identifier le couvert végétal pour aider à surveiller et analyser les actifs.»
L’imagerie satellite Pléiades de 50 cm aidera à améliorer les sources de données IBM actuelles, ainsi qu’à aider IBM à surveiller la végétation dans les endroits où les sources de données pourraient faire défaut ou être difficiles à obtenir. En outre, Airbus lancera Pléiades Neo au début de 2021, ce qui donnera à IBM, et à d’autres, la possibilité d’utiliser des images satellite de résolution de 30 cm pour améliorer davantage les connaissances et la couverture nécessaires à l’analyse prédictive.
Pour plus d’informations sur The Weather Company d’IBM, visitez [https:]]
(*)Commission fédérale de régulation de l’énergie des États-Unis : [https:]]
A propos d’Airbus
Airbus pioneers sustainable aerospace for a safe and united world. The Company constantly innovates to provide efficient and technologically-advanced solutions in aerospace, defence, and connected services. In commercial aircraft, Airbus offers modern and fuel-efficient airliners and associated services. Airbus is also a European leader in defence and security and one of the world’s leading space businesses. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions and services worldwide.
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9:27
100,000,000 OpenStreetMap Edits
sur Google Maps ManiaUpdate: The 100,000,000th edit has now been made to OpenStreetMap. The edit was made by user Lamine Ndiaye, who made a change to OSM in Nianiane, in the Fatick Region of Senegal. Lamine has been a registered user of OpenStreetMap since 2013 and has made 2,151 edits to the map. Later today the 100,000,000th edit will be made to OpenStreetMap. OpenStreetMap is a free crowdsourced map of the
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8:14
Les minutes ArcGIS Pro - Episode 39
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Je vous propose aujourd'hui un nouvel épisode de ma série "Les minutes ArcGIS Pro". Dans cet épisode 39, toujours en moins de 5 minutes, vous apprendrez comment convertir un ensemble de positions GPS en entités linéaires pour reconstituer les traces de différents parcours.
Episode 39: Reconstruire des traces linéaires à partir de points GPS
Vous retrouvez l'ensemble de la série de vidéos sur la playlist "Les minutes ArcGIS Pro".
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18:00
Street Fashion on Street View
sur Google Maps ManiaEuropean fashion retailer Zalando has launched a new and unique online shopping experience. With its new Street It All campaign Zalando allows customers to view and buy street fashions directly from a Google Map.Using the Street It All interactive Google Map you can explore custom street views shot in four different Spanish cities. Click on the map markers in Barcelona, Madrid, Malaga and
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15:55
Lancement de la huitième saison des webinaires Isogeo !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLa société Isogeo animera 4 web conférences du 11 mars au 10 juin 2021, dédiées aux retours d’expérience des différents utilisateurs de sa plateforme spécialisée en Geodata management. Une solution de Geodata management inéditeLe secteur des données géographiques a profondément évolué ces dernières années : explosion du nombre de données, apparition de nouveaux formats, norme ISO, directive INSPIRE, données publiques (Open Data), arrivée du BIM… Si les efforts de catalogage et de documentation des données géographiques sont de plus en plus nombreux, les outils de pilotage du SIG restent peu développés.
C’est pourquoi Isogeo propose une plateforme pour mieux gérer et valoriser votre patrimoine de données SIG, grâce à un catalogue de données exhaustif et à une multitude d’applications vous accompagnant sur l’ensemble des facettes du Geodata management (exploitation des données, diffusion interne et externe, open data, vitrine web…).
Du 11 mars au 10 juin : au programme de cette huitième saison…Après une saison 7 ( [https:]] ) tournée vers les enjeux de la gestion des données SIG et les différents outils proposés par Isogeo, c’est au tour des utilisateurs de la plateforme de s’exprimer sur leur projet de Geodata management. Des raisons qui les ont poussés à choisir notre solution aux outils mis en place avec nos équipes (OpenCatalog, CSW et plugins&widgets), plusieurs métropoles, départements et régions viendront témoigner sur leur expérience avec Isogeo et conseilleront ceux qui souhaitent se lancer dans un tel projet.
- Épisode 1 – 11 mars : Témoignage des métropoles d’Aix-Marseille-Provence et de Rouen Normandie.
- Épisode 2 – 8 avril : Témoignage du département Pyrénées-Atlantiques sur la cartographie globale des données avec notre partenaire Dawizz ( [https:]] ) .
- Épisode 3 – 6 mai : Témoignage des départements du Calvados et du Loiret.
- Épisode 4 – 10 juin : Témoignage des régions.
Les intervenants répondront également aux questions en fin de conférence.
Comment participer ?Les webinaires Isogeo sont gratuits et ouverts à tous. Il suffit de vous inscrire via cet article ( [https:]] ) aux épisodes qui vous intéressent.
Des enregistrements seront également disponibles sur la chaine Youtube Isogeo ( [https:]] ) .
A propos d’IsogeoCréée en 2009, la société Isogeo a pour objectif d’aider les organismes publics et les grands comptes à optimiser l’utilisation, le partage et la valorisation de leurs données géographiques.
Avec plus de 50 clients et 500 utilisateurs, Isogeo s’est imposé auprès des organismes publics et privés comme la solution de référence pour le catalogage de données géographiques : métropoles, départements, régions, établissements publics, gestionnaires de réseaux…
Contact presse :Mathieu Becker Isogeo (www.isogeo.fr)
Président – fondateur Isogeo Mail : contact@isogeo.fr
Mail : mathieu.becker@isogeo.fr Téléphone : 09 67 46 50 06
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15:21
Cartographie avec Photoshop : nouveautés Geographic Imager 6.3
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlain Olivier Géomatique et Avenza Systems Inc. sont heureux d’annoncer la sortie de la version Geographic Imager 6.3. Cette version apporte de nombreuses améliorations telles que la compatibilité avec Adobe Photoshop 2021 ainsi qu’une compatibilité entière avec la dernière version de Mac OS 11 Big Sur. Nous sommes également ravis de présenter un tout nouveau moyen simple d’accéder aux licences flottantes directement depuis le Cloud !
La version Geographic Imager 6.3 inclut plusieurs améliorations :Une entière compatibilité avec macOS 11 Big Sur
Les utilisateurs seront ravis de constater que Geographic Imager 6.3 est désormais entièrement compatible avec macOS 11 Big Sur. Cela signifie que tous les utilisateurs peuvent passer à la dernière version macOS sans aucune interruption de leurs capacités avec Geographic Imager.Un nouveau système de gestion des licences flottantes dans le Cloud
Un nouveau système de gestion des licences flottantes est désormais disponible dans le cadre de Geographic Imager 6.3. Ce nouveau système de gestion des licences améliore considérablement les versions précédentes permettant à la fois aux utilisateurs et aux administrateurs d’une organisation d’accéder de manière efficace et transparente aux licences flottantes directement depuis le Cloud. Le nouveau système de licence est basé sur la plate-forme RLM Cloud ; les licences flottantes peuvent être mises en œuvre sans les défis de la configuration, du déploiement et de la gestion d’un serveur local.Découvrez les nouvelles options de licence Cloud en accédant au panneau de gestion des licences dans Geographic Imager 6.3 :
Geographic Imager est disponible dès maintenant !
Tous les détenteurs d’une maintenance en cours peuvent effectuer gratuitement la mise à jour à Geographic Imager 6.3 et ce, dès aujourd’hui. Les utilisateurs sans maintenance à jour, ou sur une version précédente de Geographic Imager, peuvent bien entendu mettre à niveau leur licence.? Pour télécharger Geographic Imager 6.3 : [www.mapublisher.fr]
À propos de Geographic Imager
Geographic Imager pour Adobe Photoshop exploite les capacités très supérieures dans le domaine de l’édition de l’imagerie du premier logiciel au monde de retouche des formats rasters le transformant en un puissant outil de productions géospatiales. Travaillez ainsi avec des images satellitaires, des photos aériennes, des MNT au format GeoTIFF et bien d’autres formats d’images S.I.G. en utilisant les fonctions d’Adobe Photoshop (ex. : transparences, filtres, etc.) tout en maintenant le géoréférencement et en conservant la prise en charge de centaines de systèmes de coordonnées. Pour plus d’information, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.mapublisher.fr/produits/gi/
À propos d’Avenza Systems Inc.
Avenza Systems Inc. est une société qui fournit aux cartographes de puissants outils logiciels pour réaliser les meilleures cartes possibles. Outre les logiciels sous Windows, OS X et iOS, la société propose des jeux de données, des sessions de formations et des conseils. Pour plus d’information, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.avenza.com
À propos d’Alain Olivier Géomatique
Alain Olivier Géomatique est partenaire de Avenza Systems Inc. en France et distributeur actif d’outils innovateurs pour la géomatique et l’édition cartographique. La combinaison d’une vaste connaissance de la géomatique et d’un haut niveau de services a fait ses preuves auprès de nombreux clients francophones à travers le monde, en particulier dans le support technique et la formation. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : www.geomatique.fr
Pour plus d’informations, veuillez contacter :
Alain Olivier Géomatique
04 79 64 34 35
info@geomatique.frCet article Cartographie avec Photoshop : nouveautés Geographic Imager 6.3 est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.