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12:25
Fitness Route Planner
sur Google Maps ManiaThanks to London's new lock-down rules I can now only realistically leave my house for essential shopping or for exercise. To help pass the time, and in an attempt to lose a little weight, I have set myself a goal of walking 10 kilometres a day. To help me achieve this aim I want a route planner which can generate random 10k routes and which, when possible, will pick the most scenic routes.The
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10:56
arcOpole Représentations parcellaires, la nouvelle ressource gratuite du programme
sur arcOpole - Actualité du ProgrammeLes données MAJIC sont très riches et rarement exploitées à leur plein potentiel ! Avec cette nouvelle ressource arcOpole « Représentations parcellaires » vous allez pouvoir exploiter facilement et gratuitement ce gisement de données dans ArcGIS. Typologie de propriétaires, type de bâti, densité des constructions sont au programme, alors suivez le guide !Disponible en téléchargement sur notre
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10:00
Lutra consulting: New version of Serval QGIS plugin
sur Planet OSGeoRaster selection tools and editing with QGIS expressions.
What’s new?In the previous version Serval allowed for setting a constant value to a single raster cell at a time. The latest version brings in new raster cells selection tools and new ways of manipulating cells value:
- QGIS expressions and
- 3x3 low-pass filter.
Multi-bands rasters are fully supported - each band can be edited separately. Serval is meant to provide a convenient way to modify selected parts of a raster layer. It is not optimized to process entire images - use Raster Calculator for that.
Raster selection toolsIn order to modify raster cells values users need to select them first with a line or polygon selection tool. The line selection tool has a configurable width and unit. Selections can also be easily imported/exported from/to a vector map layer.
Multiple selections are allowed and users can add or remove from existing selection using CTRL and SHIFT keys modifiers, respectively.
Modifying rasters with QGIS expressionsIn addition to setting a constant value, new cells value might be evaluated using QGIS expressions. Users can build their expressions using cells’
row
andcolumn
variables, orx
andy
of cell center point.In the
Serval
group of the builder users will find several expression functions for:- interpolating raster value from a mesh layer,
- averaging attribute values from vector layer features intersecting the cell,
- getting the nearest vector layer feature attribute,
- interpolating z-value from the nearest 3D linestring feature.
With the recent QGIS additions it is very easy to create mesh layers. Users can use a mesh layer for raster cell value interpolation. For example,
interpolate_from_mesh()
function will identify mesh dataset value and return it as a new raster value, optionally only when the value is higher than existing cell value. It is a convenient way for finding an embankment shape on a raster DTM - see pictures below.
Interpolation on 3D linestringsAnother useful function finds the nearest point on a 3D line feature and interpolate its z-value. It could be used for fine-tuning terrain elevation from a 3D profile line.
For example, if the existing embankment crown needs to be raised by an amount at one of its ends, a user could create a profile line, adjust the vertex elevation in the Vertex Editor and use it for the interpolation.
Creating custom expression functionsIn the Expression builder users can define their own functions using other types of vector and raster layers.
Applying 3x3 low-pass filterFor eliminating peak values or local cell values averaging, users can use 3x3 low-pass filter.
For more details and examples, refer to the plugin’s Manual.
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8:05
La version 4.18 de l'API JavaScript ArcGIS est disponible
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierVous l'aurez constaté ces dernières semaines, l'année 2020 se termine sur un rythme très soutenu en termes de sorties et de mises à jour des différentes applications ArcGIS. Last but not least, Esri vient de mettre en ligne la version 4.18 de l'API JavaScript ArcGIS. Cette API est une pierre angulaire de l'édifice ArcGIS. D'une part parce qu'elle permet aux développeurs de construire des applications cartographiques riches et puissantes. D'autre part parce que de nombreux composants du système ArcGIS reposent sur cette API: les visionneuses 2D/3D et les apps configurables du portail, ArcGIS Dashboards, ArcGIS Web AppBuilder, ArcGIS Experience Builder, ArcGIS Hub, ArcGIS Urban, ArcGIS Indoors web, ArcGIS for Office, ...
L'équipe de développement de l'API a fait un travail magnifique durant toute cette période de confinement pour innover et apporter de nombreuses améliorations qui changeront véritablement les ambitions de vos applications web 2D et 3D. L'API JavaScript ArcGIS propose sans conteste la plus riche et la plus moderne API JavaScript dans le monde du Geospatial.
Je vous propose de jeter un coup d'œil à certaines nouvelles capacités que vous pouvez désormais intégrer à vos applications…
Modules ECMAScript (beta)
Si vous utilisez l'API ArcGIS pour JavaScript avec un framework tel que Angular ou React ou si vous créez des builds personnalisées de l'API, ce processus est devenu plus simple. Les modules ES sont désormais une nouvelle option pour consommer l'API. Ils permettent l'écriture d'un code simplifié et une intégration transparente avec les frameworks et les outils modernes de build.
Pour commencer, vous installerez un nouveau package NPM @arcgis/core, puis vous pourrez utiliser des imports natifs comme ceci:
Pour plus d'infos, vous consulterez la rubrique suivante du guide sur les modules ES pour connaître les étapes complètes nécessaires à l'utilisation de ces modules de l'API. Il existe également des exemples d'applications disponibles qui illustrent les concepts de base pour l'intégration des modules avec divers frameworks et outils.
Dois-je migrer vers des modules ES ?
Si vous ne vous intégrez pas à des frameworks ou ne créez pas de builds personnalisées de l'API, il n'est pas nécessaire de migrer vers les nouveaux modules ES. Les modules AMD (qui constituent la manière alternative et originale de consommer l'API) continueront d'être disponibles aux côtés des modules ES dans le futur. Les deux formats ont les mêmes capacités car ils sont construits à partir de la même base de code.
Vous pourrez consulter la rubrique Présentation des outils pour apprendre à utiliser ces nouveaux modules et savoir si vous devez ou pas les utiliser.
Interroger les entités regroupées (en clusters)
Vous pouvez dorénavant interroger des entités regroupées dynamiquement en clusters afin d'accéder aux entités sous-jacentes. Cela vous permet d'effectuer les opérations suivantes:
- Interrogez les statistiques des entités en cluster.
- Affichez l'étendue visible des entités d'un cluster.
- Calculez et affichez l'enveloppe convexe (convex hull) des entités regroupées.
- Affichez la véritable positions des entités appartenant à un cluster.
Effets de couche
Vous pouvez désormais appliquer des effets à toutes les couches des MapViews 2D, soit aux entités qui répondent aux critères de filtre, soit à l'ensemble de la couche. Cette fonctionnalité puissante vous permet d'appliquer des fonctions similaires aux filtres css sur les couches de vos carte pour améliorer leur qualité cartographique.
L'application d'un effet de manière sélective sur des critères de filtre à l'aide de la classe FeatureEffect a été proposée à partir de la version 4.11. Cette version 4.18 introduit la possibilité d'appliquer un effet sur une couche entière et propose de nouveaux types d'effets: bloom, drop-shadow et blur:
Blur
L'effet Blur applique un flou gaussien à la couche et donne un aspect flou. Une utilisation classique consistera à adoucir une couche sous une couche de référence, ou d'autres couches importantes, de sorte que les caractéristiques au-dessus puissent se démarquer plus clairement. Vous pouvez également l'utiliser pour visualiser l'incertitude des limites non discrètes telles que les limites d'habitat.
Ces cartes montrent les aires d'habitat historiques (bleu) et actuelles (rouge) du grizzli dans l'ouest américains. En bas, l'effet de couche Blur est utilisé pour indiquer le flou / l'incertitude sur les limites.
Bloom
Cet effet produit des zones lumineuses autour des entités de la couche. Vous pouvez ajouter ainsi une lueur à vos couches pour des cartographies d'incendies, d'éruptions volcaniques, de points d'éclairages ou pour mettre en évidence des entités sur lesquelles vous souhaitez attirer l'attention (comme dans cet exemple mis à jour qui montre les empreintes de bâtiments de New York par année de construction). Vous pouvez combiner plusieurs effets sur une même couche et utiliser des effets similaires ou différents sur plusieurs couches d'une même carte. Dans la carte ci-dessous, les emplacements de feu actifs ont un effet de floraison tandis que la couche de fumée a plusieurs effets, y compris le flou pour une limite floue.
Drop-shadow
Cet effet est utile lorsque vous souhaitez que certaines entités se démarquent du reste des entités de la couche ou de la carte. Par exemple, vous pouvez appliquer cet effet à vos étiquettes (couche de référence) pour les rendre lisibles.
Les captures d'écran suivantes montrent la même carte, avec et sans effets. En bas, l'ombre portée est appliquée aux entités qui croisent les limites des arrondissements de Londres, tandis que les effets de flou et de luminosité (réduite) sont utilisés pour désaccentuer les entités ne répondent pas à ces critères. La carte (inspirée de ce tweet ) montre l'indice global de privation multiple en 2019 subie par les personnes vivant dans la région du Grand Londres.
Étant donné que certains effets tels que l'ombre portée et le flou sont sensibles à l'échelle, Esri a également amélioré la partie "Effets" de l'API pour rendre les effets dépendants de l'échelle.
Vous pourrez en savoir plus en explorant les exemples de code qui tirent parti de ces effets qui peuvent vraiment transformer votre carte et l'expérience globale de votre application. Vous pouvez également creuser un peu plus en lisant la documentation sur chacun des effets.
Widget de profil d'élévation (version beta)
Depuis cette version 4.18 de l'API, vous pouvez créer des profils d'élévation à l'aide du nouveau widget ElevationProfile. Disponible à la fois sur les objets MapView et SceneView, le widget permet à l'utilisateur de dessiner ou de sélectionner de manière interactive des lignes existantes sur votre carte (ou scène) pour comparer la surface du terrain mais aussi des objets 3D présents (dans une scène) tels que des bâtiments. Le graphique est calculé en utilisant l'élévation du sol et fournit des statistiques supplémentaires le long de la ligne. L'utilisateur peut personnaliser le widget en basculant ses éléments visibles et en ajustant les étiquettes et les couleurs de ligne.
Mise à jour des couches 3D
Plus tôt cette année, Esri avait introduit des capacité de mise à jour sur les couches d'entités 3D. Cet effort se poursuit dans cette version en ajoutant la prise en charge de nouveaux types de couches et des aides interactives.
Vous pouvez désormais mettre à jour les attributs des couches de scène d'objets 3D à l'aide du widget Editor existants ou en appelant par code la fonction applyEdits(). Les modifications sont appliquées à la couche d'entités associée, mais prises en compte et rendues par l'API jusqu'à ce que le cache I3S soit mis à jour. Cette approche est cohérente avec la manière dont d'autres produits tels qu'ArcGIS Pro traitent les modifications des couches de scènes.
Lors de la modification interactive de géométries (lignes et polygones), la nouvelle fonction d'auto-accrochage aidera vos utilisateurs à dessiner des géométries précises avec des contraintes géométriques telles que des lignes parallèles et des angles droits lors de la modification de couches d'entités dans des scènes 3D. Vous activerez l'auto-accrochage via la nouvelle propriété SketchViewModel.snappingOptions et activez-la lors d'une opération de dessin.
Il s'agit de la première étape vers l'activation de complet l'accrochage aux entités dans les workflows de mise à jour 2D et 3D. Cette prise en charge sera étendue progressivement au cours des versions ultérieures.
Navigation contextuelle
Les zooms, les déplacements et les rotations interactifs dans la partie souterraine des scènes ou dans les parties très haute (avec une grande inclinaison) se sont considérablement améliorés. Un nouvel algorithme de navigation contextuelle prend désormais en compte les objets visibles pour mieux prédire la zone d'intérêt. Vous remarquerez donc une expérience de navigation plus stable, en particulier lorsque vous vous déplacez autour et vers des objets souterrains.
La navigation contextuelle ne nécessite plus de cliquer exactement sur les entités pour déplacer la caméra.
Transparence indépendante de l'ordre des entités
Jusqu'à maintenant l'approche pour l'affichage de la transparence garantissait que la surface la plus transparente à l'avant et toutes les entités opaques derrière étaient toujours rendues. En fonction de la position de la caméra, d'autres éléments transparents à l'arrière étaient visibles de manière sélective, ce qui les faisait scintiller lors de la navigation.
Une nouvelle approche de la transparence dite "indépendante de l'ordre" (OIT) garantit que tous les objets transparents sont rendus indépendamment de la caméra. Ceci est utile lors de la visualisation d'une grande quantité de symboles couvrant d'autres entités transparentes. Les scènes avec des WebStyles 3D semi-transparents ou une symbologie d'icônes transparentes (comme le style Firefly par exemple) bénéficient également de cette transparence améliorée.
Prise en charge de Mars et de la Lune
On peut clairement dire que l'API couvre de nouveaux espaces dans cette dernière version ! En effet, vous pourrez désormais utiliser l'objet SceneView pour exploiter les fonds d'imagerie et les couches d'élévation de la Lune et de Mars, mais également vos couches contenant des informations cartographiées sur ces deux corps célestes. L'atmosphère et les dimensions physiques utilisées dans les outils interactifs tels que les mesures sont automatiquement ajustées lors du chargement d'une couche avec un système de coordonnées extraterrestre pris en charge.
Construire des symboles vectoriels
Vous pouvez symboliser vos éléments graphiques et vos couches d'entités à l'aide de symboles CIM (en savoir plus sur la spécification Cartographic Information Model). Les symboles CIM sont des symboles vectoriels multicouches qui s'affichent de manière impeccables à n'importe quelle échelle. Ces symboles sont puissants car vous pouvez concevoir votre propre symbole CIM personnalisé à l'aide d'une ou plusieurs couches de symboles. De plus, vous pouvez mettre à jour individuellement des couches de symboles de manière dynamique en fonction de la logique de l'application et des attributs de vos données.
Pour faciliter le processus de création de ces symboles personnalisés, nous avons introduit un générateur de symboles CIM. Cette application fournit un environnement dans lequel vous pouvez concevoir des symboles CIM avec une interface utilisateur simple, copier le JSON du symbole et l'utiliser dans une application web créée avec l'API JavaScript ArcGIS. Vous en apprendrez davantage sur cet outil dans le récent article du blog ArcGIS: CIM Symbol Builder .
Widget de dessin
Le widget Sketch a reçu beaucoup d'attention de la part des développeurs pour cette version ! En effet, en plus de quelques améliorations de performances et de qualité visuelle, Esri a ajouté deux nouveaux outils de sélection: la sélection par rectangle et la sélection par lasso. L'utilisateur final peut utiliser ces outils pour sélectionner un ou plusieurs éléments graphiques à la fois pour les faire pivoter, les mettre à l'échelle, les déplacer ou les supprimer. Dans une prochaine version, l'API permettra la même fonctionnalité dans le widget Editor.
Fin de la prise en charge des navigateur IE11 et Edge Legacy
La prise en charge d'Internet Explorer 11 et Edge Legacy pour une utilisation avec l'API JavaScript ArcGIS est devenue obsolète à partir de la version 4.16. La version 4.17 était la dernière version prenant en charge ces navigateurs. Cela signifie que les applications créées avec 4.18 (et suivantes) ne fonctionneront pas dans IE11 / Edge Legacy. Consultez la page Configuration système mise à jour et la page Pourquoi Esri met-elle fin au support d'Internet Explorer 11? du blog ArcGIS pour en savoir plus.
Et plus encore à découvrir…
Il existe de nombreuses autres évolutions dans cette version 4.18, telles que la possibilité d'utiliser des mises en page personnalisées pour l'impression, des améliorations sur les objets ImageryLayer telles que l'identification, ou encore la prise en charge de websockets personnalisés pour les couches de flux dans les scènes 3D. Assurez-vous de consulter les notes de version et de tester les nouveaux exemples de code pour avoir une vision complète de cette nouvelle version !
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4:00
Narcélio de Sá: TecnoloGEO #24 – Especial de Natal
sur Planet OSGeoNeste podcast: Nesse episódio especial de Natal, último da primeira temporada do TecnoloGEO, nós nos reunimos ai vivo no nosso canal no Youtube para conversar sobre esse ano de 2020, falamos sobre nossas espectativas e projetos para 2021 e respondemos perguntas do nosso público.
Aperte o ? para começar o TecnoloGEO #24O tecnoloGEO é encabeçado por Murilo Cardoso (@niilistativo) , Narcélio de Sá (@narceliodesa) e Luiz Sadeck (@sadeckgeo), o projeto tem a pretensão de ser semanal e contar sempre com convidados, que sejam relevantes ao assunto em pauta da vez, pra bater aquele bate papo descontraído e informativo sobre as Geotecnologias.
Referências e Indicações do TecnoloGEO 24:Deixe seu comentário e participe!
Entre em contato com o TecnoloGEO:
Equipe do TecnoloGEO:
Narcélio de SáLeonardo
João AtaídeMichelangelo
Murilo CardosoRaphael
Tiago SouzaDonatello
Luis SadeckMestre Splinter
The post TecnoloGEO #24 – Especial de Natal appeared first on Narcélio de Sá.
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1:02
Free and open data: fine, but who pays for the processing?
sur Séries temporellesIn the previous post, Olivier advocated for the open data policy in remote sensing. Although Oliver is facing some actual resistance because the Sentinel-HR mission would step on the toes of industrial champions, my feeling is that there is now a large consensus on this issue. The economic and social benefit of the open data policy in remote sensing is well accepted, especially in the scientific community. Yes, scientists are rational people and they prefer not to pay rather than.. to pay.
Talk about free data!I think that the discussion should go beyond the cost of the data itself. Sentinel-2 generates 1.6 Terabytes of compressed raw image every day. It's great that the data is free, but how do I handle that? Currently, a hard drive of 1 Tb costs about 50 €. Storing all Sentinel-2 data would cost me 30 k€ every year. Let's assume my department tries to optimize the expenses by subscribing to a cloud storage service. Google provides an example of pricing for a storage usage of 160 Tb as well as bandwidth consumption that spans multiple tiers: it costs 7500 € per month, and the storage is largely insufficient for large scale processing of Sentinel-1 or Sentinel-2 data. This is clearly too expensive for many groups, not only research labs but also startup companies.
Of course I don't need to store all Sentinel data, I could download them and delete the files once I've done the processing. Yet, processing data is costly, too. Amazon rates range from $ 94 / year to $ 2,367 / year (CPU time). As an example, the CPU time to generate snow and ice products over Europe from Sentinel-2 since 2016 was about 100 years of CPU!
So far the computation took approximately 1 million hours CPU, that is 1 century of CPU time
[https:]]
— Simon Gascoin (@sgascoin) November 12, 2020
These estimates of storage and processing costs are probably inaccurate but they give an order of magnitude. The conclusion is that although data is free, the cost of storage and processing is out of reach for many research projects, not to mention small businesses. This is why Google Earth Engine is a huge success in the remote sensing community (despite the warnings of some authors..). Recently, I was also struck by this sentence in the recent announcement of the release of Landsat collection 2:
"Collection 2 was processed in the Amazon Web Services (..) at a clip of 450,000 scenes per day—a speed that enabled the reprocessing of the entire archive in just five weeks. By comparison, it took 18 months to process Collection 1 in 2016, at a rate of 25,000 scenes each day." (USGS, 01 Dec 2020)
Due to economies of scale, unit costs of storage and processing are significantly lower for Google and Amazon than for a small company or a university. But can we rely on Tech Giants to do public research? Is it sustainable for a startup company to build a commercial application based on Google Earth Engine[1] ? Should we build operational services for the monitoring of climate, agriculture, water resources, based on privately-owned data centers? The DIAS are an alternative to Google/Amazon but the cost are still to high for many users (we investigated this option in our lab to replace our current infrastructure).
A public cloud for the public goodI wonder how much would cost a free, public cloud server based on open source software to give everyone the possibility to tap into the power of the Copernicus data in a transparent and reproducible way?
The Copernicus 2019 market report indicates that "the EU has invested 8 billions € into this program from 2008 up to 2020 (...) Over the same period, this investment will generate economic benefits between EUR 16.2 and 21.3 billion (excluding non-monetary benefits)."
The EU has made the Copernicus Earth observation program a flagship of the European space policy thanks to the high quality of its satellite fleet and its open data policy. There is evidence that the open data policy is generating more "monetary benefits" than its investments. It is time to evaluate the cost of giving everyone the ability to freely process these data. Not to mention the potential economies of scales in terms of energy consumption by concentrating computation and storage.
"A public cloud for the public good" it sounds like a nice program, isn't it?
Found out yesterday @ECMWF ERA5-Land is now available on #EarthEngine as well with 69 variables! Excited about the potential for easy coupling of climate and #remotesensing. To celebrate I made an animation of 18 of my favorite variables using #rstats #ggplot. pic.twitter.com/wwHWrKpOUz
— Philip Kraaijenbrink (@philipkraai) December 17, 2020
[1] From Earth Engine FAQ: "Earth Engine's terms allow for use in development, research, and education environments. It may also be used for evaluation in a commercial or operational environment, but sustained production use is not allowed."
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23:52
From GIS to Remote Sensing: Major Update: Semi-Automatic Classification Plugin v. 7.3.0
sur Planet OSGeoThis post is about a new update of the Semi-Automatic Classification Plugin v. 7.3.0. This version includes several bug fixes and in this version the tool for importing USGS Spectral Library was updated for the USGS Spectral Library version 7 [https:]]
The USGS Spectral Library (Kokaly, R.F., Clark, R.N., Swayze, G.A., Livo, K.E., Hoefen, T.M., Pearson, N.C., Wise, R.A., Benzel, W.M., Lowers, H.A., Driscoll, R.L., and Klein, A.J., 2017, USGS Spectral Library Version 7: U.S. Geological Survey Data Series 1035, 61 p., [https:]] ) is grouped in chapters including Minerals Soils, Coatings, Liquids, including mixtures of liquids, Organic compounds, Artificial materials, and Vegetation and other biologic materials.These spectral libraries can be imported and used for classifying remote sensing images in SCP.
Read more »
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12:32
Visualisez les réseaux en réalité augmentée avec l'extension vGIS de FOUILLES 3D
sur Imagerie Géospatiale
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11:38
Stefano Costa: Fedora 33: recover disk space from swap partitions, and other tips for upgrading
sur Planet OSGeoAs described in detail by Andy Grover in the article Upgrading to Fedora 33: Removing Your Old Swap File on EFI Machine, Fedora 33 defaults to using a compressed-memory-based swap device using zram. There is no swap partition any more!
It’s time to reclaim that disk space. If you follow the guide in the linked article, you will successfully delete the swap partition but the disk space will remain unused.
Here’s what I did to extend my home partition by 8 GB, which I found good since it’s only 200 GB.
Fedora used LVM by default for all releases previous to 33. The commands are those that modify the “physical volume” (pvresize), the “logical volume” (lvextend) and finally the actual filesystem (resize2fs). “volgroup” and “logvol” are example labels for the LVM items, and they may be different on your system.
pvresize /dev/sda3 lvextend -l +100%FREE /dev/volgroup/logvol resize2fs /dev/volgroup/logvol
Please make sure you have backups before doing anything that modifies disk partitions and filesystems!
nano as default editorFedora 33 has nano as default editor for new installs. This means you get nano instead of vi even for git commit messages. To obtain the same default if you’re upgrading from Fedora 32 or earlier, install the package
nano-default-editor
.I have nothing against vi but nano is definitely easier to work with for occasional text editing in the terminal.
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10:17
3D: Déambulation Du Dimanche - # 6
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Cette semaine, ma Déambulation Du Dimanche s'est arrêtée sur les réalisation de la société suédoise Sweco. Présente dans plusieurs pays européens, ses différents métiers visent à planifier et concevoir les villes et les collectivités durables de demain. Dans une récente Story Map ArcGIS, elle présente la valeur de l’intégration BIM et SIG avec différents cas d'usages comme l'analyse du bruit, l'estimation de l’énergie solaire et la quantification des eaux pluviales. Des travaux interessants qui montrent à la fois des usages pertinents de la données 3D dans ArcGIS mais aussi comment les Story Maps ArcGIS peuvent intégrer et consommer des scènes web 3D. L'objectif ici est de fournir plus d'interactivité, de perspective et par conséquent une meilleure compréhension auprès des cibles de votre communication.
La Story Map ArcGIS est accessible en Live ici.
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21:21
Stefano Costa: I gasometri di Ventimiglia tra archeologia romana e industriale
sur Planet OSGeoQualche settimana fa, grazie all’interesse di Giovanna Rosso del Brenna per i gasometri di Ventimiglia, ho scritto un articolo per Repubblica che è stato pubblicato all’interno di una serie dedicata all’archeologia industriale della Liguria (la serie aveva tratto spunto dalle vicende legate al gasometro di Campi, vicino al viadotto autostradale sul Polcevera).
L’articolo è scritto a quattro mani con Gianpiero Martino, che è stato funzionario archeologo a Ventimiglia per diversi decenni.
Di seguito il testo integrale.
Tra i monumenti di archeologia industriale della Liguria, i gasometri di Ventimiglia sono forse quelli che oggi si trovano nel contesto più inaspettato. L’area archeologica di Nervia infatti è una delle più estese realtà di epoca romana della nostra regione, una delle floride città costiere dell’antichità con monumenti di eccezionale interesse, tra cui spicca il teatro che da pochi anni è tornato a ospitare spettacoli.
L’Officina del Gas è sorta nei primi anni del XX secolo in una zona del territorio di Ventimiglia che dalla fine dell’Ottocento fino al secondo dopoguerra è stata interessata da una serie di insediamenti industriali, infrastrutture ferroviarie e servizi urbani che ne hanno profondamente segnato la morfologia e lo sviluppo urbanistico ed edilizio.
Nel 1908 la Albintimilium romana era molto meno riconoscibile di quanto sia oggi, ma lo scavo per la costruzione dei due gasometri da parte della Tuscan Gas Company rivelò la presenza di una strada antica, registrata da Girolamo Rossi insieme ad altri ritrovamenti che però non ostacolarono in alcun modo lo sviluppo del complesso produttivo. Già allora, il profondo interro degli strati di epoca romana, che a Ventimiglia in alcuni punti raggiunge i cinque metri, faceva apparire le distinte aree romane scollegate tra loro, come monumenti isolati ed indipendenti. Fu Nino Lamboglia a iniziare i primi veri scavi stratigrafici, estesi per 1000 metri quadrati nell’angolo nord occidentale dell’Officina del gas, fino a rendere palese la sovrapposizione dell’impianto industriale ai resti delle insulae. I quartieri di abitazione civile sono articolati all’uso romano in isolati delle dimensioni di 10 per 25 m, separati da cardini e decumani con il loro ordinamento regolare. Percorrendo il cavalcavia stradale dell’Aurelia, i passanti vedono ben cinque insulae, due cardini e un decumano, con i due gasometri in secondo piano.
Paradossalmente, è stato proprio lo sfruttamento industriale dell’area di Nervia che ha consentito al Ministero dei Beni Culturali di acquisire e recuperare gli spazi che costituivano il sedime dell’antica Albintimilium, grazie al contemporaneo trasferimento delle attività dell’Italgas erede della Tuscan Gas Company, delle Ferrovie dello Stato e dell’Enel, avvenuto alla fine del XX secolo. Da allora su gran parte delle aree pubbliche, vincolate per interesse archeologico in momenti diversi già a partire dal secondo dopoguerra, ha preso il via una lunga attività di recupero e progettazione mirata a restituire l’area alla fruizione pubblica, con la costante convinzione di mantenere ed esaltare la duplice natura di questo spazio, due volte archeologico, al tempo stesso romano e industriale. Questo percorso non è ancora concluso, e ha dovuto subire varie battute di arresto compreso l’avvio di una lunga operazione di bonifica dagli idrocarburi che hanno inquinato il terreno, che attualmente ha la poco invidiabile particolarità di essere contemporaneamente un bene archeologico e un rifiuto speciale.
Oggi le strutture metalliche dei gasometri sono apprezzate soprattutto dai gabbiani e la loro dimensione archeologica, come tracce materiali di un tempo ormai passato, è evidente: il quartiere di Nervia è prevalentemente residenziale e si sta riappropriando degli spazi ex ferroviari ed ex industriali. La pista ciclabile prende il posto del parco ferroviario, valorizzando al tempo stesso i resti più significativi. L’officina del gas è quindi anche il cuore di questo tessuto di archeologia industriale, ancora in attesa di una sistemazione definitiva.
Le strutture metalliche in elevato dei gasometri, l’elemento più iconico del complesso, non si limitano a un semplice scheletro ma conservano gli elementi originari legati al funzionamento nei loro movimenti di espansione e di abbassamento della calotta, come le “selle” (carrucole) e le cremagliere nelle quali scorrevano sotto la spinta della pressione del gas. Inoltre i gasometri non sono corpi isolati: sia gli edifici ora riconvertiti a servizio dell’area archeologica, sia i forni e le strutture accessorie per la produzione del gas utilizzate nell’Officina sono state opportunamente trattate e bonificate per conservarle. Tra gli edifici, un capannone mostra ancora il pregevole disegno delle capriate metalliche Polonceau, un caratteristico esempio di struttura di copertura industriale di inizio ‘900.
Il primo progetto di musealizzazione sviluppato nel 1999 prevedeva una ibridazione ancora più stretta tra i gasometri e la città romana, con un percorso di attraversamento su due livelli che avrebbe fatto delle cisterne interrate due suggestivi ambienti espositivi dei reperti archeologici antichi, forse non a caso negli stessi anni in cui prendeva corpo la trasformazione in sede museale della Centrale Montemartini a Roma. La possibilità di riprendere l’intervento di recupero dell’intera area è arrivata lo scorso anno con un primo finanziamento del MiBACT finalizzato a “rimettere in moto” la progettazione e una fruizione almeno parziale.
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18:51
Un dernier petit cadeau carto ?
sur Décryptagéo, l'information géographiqueEnvie d’offrir un dernier petit cadeau cartographique ? Découvrez les productions des Artisans cartographes, toujours sympas.#Nantes, un jeu de cartes … cartographique pour (re)découvrir la cité des Ducs –> découvrir le jeu
#Paris, une sérigraphie de la capitale 100cm*70cm pour afficher fièrement le dédale des rues Parisiennes –> voir la sérigraphie
#Paris encore, un atlas complet des rues pour ne pas vous perdre lors de votre prochaine sortie vélo –> lien vers l’atlas
#Bruxelles, une gravure sur bois du centre ville, quoi de plus chic qu’une Golden Map pour la capitale Européenne ? –> découvrir la gravure
#Mapzle, pour tous les amoureux de cartes et de puzzles –> voir le puzzleCet article Un dernier petit cadeau carto ? est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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18:51
Un dernier petit cadeau carto ?
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14:14
Le samedi, c'est Map Story !
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierSi certains rendez-vous semblent incontournables et étanches à toutes les crises de la société, l'élection de Miss France en est parfait exemple. Miss France 2021 se déroulera ce samedi 19 décembre en direct du Puy du Fou qui accueillera la traditionnelle cérémonie mais cette année sans public en raison de la pandémie. En collaboration avec TF1, Esri France a réalisé cette Story Map qui présente notamment les 29 candidates à la couronne que la reine de beauté 2020, Clémence Botino, remettra ce soir.
Après une présentation du portrait des différentes candidates, cette narration cartographique retrace le palmarès, région par région, des Miss France. Elle nous permet de découvrir par exemple que toujours l'Ile-de-France qui détient le record avec 16 sacres depuis 1920.
L’édition 2021 de Miss France marque le centenaire du concours, qui s’appelait à ses débuts "la plus belle femme de France". L'application célèbre donc ces 100 ans de concours et offre l'occasion de constaté que, quel que soit l'avis que l'on peut porter sur les cérémonies Miss France, le contexte de cette "compétition de beauté" a su évoluer avec la société.
D'un point de vu technique, ce récit a été configuré à l'aide de l'application gratuite ArcGIS StoryMaps. Les contenus et l'application sont hébergés sur la plateforme ArcGIS Online.
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12:33
Islands of Global Warming
sur Google Maps ManiaIn February 1287 a massive flood destroyed the town of Winchelsea on the English coast. In response the townspeople decided to move the whole town one mile inland to a nearby hill. They chose the location of the new Winchelsea well - because in 30 years from now the town may be the only local land which isn't under water.According to Climate Central's 2050 Annual Flood Level map due to global
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11:19
Aurélien Chaumet
sur Geotribu# Aurélien Chaumet ![Portrait Aurélien Chaumet] [https:] "Portrait Aurélien Chaumet"){: .img-rdp-news-thumb } Ingénieur en Aménagement du territoire, je suis arrivé à la géomatique par un hasard de parcours professionnel en 2016, suite à mon admission au concours d'ingénieur territorial. De formation autodidacte, je travaille au Pays Marennes Oléron en tant que chargé de mission Système d'Information Territoriale, sur toutes les thématiq -
10:55
Revue de presse du 25 décembre 2020
sur GeotribuEnclosure: [download]
GeoRDP du 25 décembre 2020 : la revue de presse géomatique de Geotribu pour souhaiter Joyeux Noël et bonnes fêtes !
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10:07
Le samedi, c'est Map Story !
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierLa pandémie de la Covid-19 aura été le révélateur et l'accélérateur de différents phénomènes économiques, politiques, écologiques ou encore sociaux, et ceci dans le monde entier. La Story Map que j'ai sélectionné cette semaine met en évidence une de ces évolutions en nous expliquant, à travers quelques exemples marquants, comment le numérique s'assure de la distanciation sociale et, par la même, réduit la liberté des citoyens.
Un mal pour un bien, un bien pour le mal, le récit se focalise sur 9 outils mis en place récemment par les gouvernements, les entreprises, ou même les citoyens, pour restreindre les relations sociales.
Drones, robots disperseur, bracelets électroniques, .... les technologiques numériques semblent illimitées pour obliger la population à maintenir les distances de sécurité sanitaire. Le récit cartographique d'Alice Margaillan (étudiante journaliste de l'EJMAC) nous propose de les découvrir mais aussi de localiser les pays ou les villes qui les ont mis en oeuvre.
D'un point de vue technique, cette narration a été configurée à l'aide de l'outil gratuit ArcGIS StoryMaps. L'application et ses contenus sont hébergés sur la plateforme ArcGIS Online.
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4:35
Martin Davis: Randomization to the Rescue!
sur Planet OSGeoNow that OverlayNG has landed on JTS master, it is getting attention from downstream projects interested in porting it or using it. One of the JTS ports is the Net Topology Suite (NTS) project, and it is very proactive about tracking the JTS codebase. Soon after the OverlayNG commit an NTS developer noticed an issue while running the performance tests in JTS: the InteriorPointInAreaPerfTest was now causing a StackOverflowError. This turned out to be caused by the change to GeometryPrecisionReducer to use OverlayNG with Snap-Rounding to perform robust precision reduction of polygons. Further investigation revealed that failure was occurring while querying the KdTree used in the HotPixelIndex in the SnapRoundingNoder. Moreover, in addition to the outright failure, even when queries did succeed they were taking an excessively long time for large inputs.
The reason for using a K-D tree as the search structure for HotPixels is that it supports two kinds of queries with a single structure:
- Lookup queries to find the HotPixel for a coordinate. These queries are performed while building the index incrementally. Hence a dynamic data structure like a K-D tree is required, rather than a static index such as STRtree.
- Range queries to find all HotPixels within a given extent. These queries are run after the index is loaded.
The JTS KdTree supports both of these queries more efficiently than QuadTree, which is the other dynamic index in JTS. However, K-D trees are somewhat notorious for becoming unbalanced if inserted points are coherent (i.e. contain monotonic runs in either ordinate dimension). This is exactly the situation which occurs in large, relatively smooth polygons - which is the test data used in InteriorPointInAreaPerfTest. An unbalanced tree is deeper than it would be if perfectly balanced. In extreme cases this leads to trees of very large depth relative to their size. This slows down query performance and, because the KdTree query implementation uses recursion, can also lead to stack overflow.
A perfectly balanced K-D tree, with depth = logN. In the worst case an unbalanced tree has only one node at each level (depth = N).
I considered a few alternatives to overcome this major blocker. One was to use a QuadTree, but as mentioned this would reduce performance. There are schemes to load a K-D tree in a balanced way, but they seemed complex and potentially non-performant.
It's always great when people who file issues are also able to provide code to fix the problem. And happily the NTS developer submitted a pull request with a very nice solution. He observed that while the K-D tree was being built incrementally, in fact the inserted points were all available beforehand. He proposed randomizing them before insertion, using the elegantly simple Fisher-Yates shuffle. This worked extremely well, providing a huge performance boost and eliminated the stack overflow error. Here's the relative performance times:
Num Pts Randomized In Order 10K 126 ms 341 ms 20K 172 ms 1924 ms 50K 417 ms 12.3 s 100K 1030 ms 59 s 200K 1729 ms 240 s 500K 5354 ms Overflow Once the solution was merged into JTS, my colleague Paul Ramsey quickly ported it to GEOS, so that PostGIS and all the other downstream clients of GEOS would not encounter this issue.
It's surprising to me that this performance issue hasn't shown up in the other two JTS uses of KdTree: SnappingNoder and ConstrainedDelaunayTriangulator. More investigation required!
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12:50
Measles Deaths Hits 20 Year High
sur Google Maps ManiaFor obvious reasons vaccinations are a very hot topic at the moment. Many countries around the world are currently rolling out programs to vaccinate their populations for Covid-19. After being vaccinated individuals have a very high degree of protection from catching the virus (although we don't know as yet how long that protection lasts). What is very clear from the growing number of measles
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11:18
Cartographier la Terre de demain
sur Veille cartographieCet article Cartographier la Terre de demain est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La Terre n’a pas toujours eu le visage qu’on lui connaît aujourd’hui. La disposition des continents est changeante au fil des millénaires, du fait des mouvements des diverses plaques tectoniques. La prédiction des formes futures que prendra la Terre, passe ainsi par la création de modèles créés à partir du fondement de la théorie de […]
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1:00
PostGIS Development: PostGIS 3.1.0
sur Planet OSGeoThe PostGIS Team is pleased to release the release of PostGIS 3.1.0!
This version exposes the new features of GEOS 3.9 as well as numerous core performance enhancements for spatial joins, large object access, text format output and more.
Performance is a key feature of this release, with improvements to spatial joins, text outputs, large object reads, vector tile output, and a host of smaller tweaks.
The k-means clustering code has been enhanced to support weighting and higher dimensional clusters.
Geometry generators to create hexagonal and square tilings have been added, for simpler in-the-database summarization queries.
Finally, PostGIS exposes the latest enhancements in the GEOS geometry library 3.9 version. The new overlay engine (aka “OverlayNG”) provides more robust handling of difficult input geometries, using a set of new noding strategies to process geometry. For the end user, this should mean no more “topology exceptions” when using the union, difference, intersection or symmetric difference functions. PostGIS also exposes the new fixed precision overlay capability via an additional grid-size parameter on ST_Intersection and the other overlay functions.
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21:42
La ville de Paris s’associe à la start-up GéoVélo pour l’analyse des flux de vélo
sur Veille cartographieCet article La ville de Paris s’associe à la start-up GéoVélo pour l’analyse des flux de vélo est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Avec la pandémie de COVID19, les grandes villes et plus particulièrement Paris connaissaient un recul de trafic automobile. En effet, suite au déconfinement de nombreux parisiens ne souhaitent plus prendre les transports en commun. La mairie de Paris a alors fait construire 50km de pistes cyclables provisoires afin d’encourager les gens à utiliser le vélo […]
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21:41
Le réseau Téléray : calcul de la radioactivité en temps réel dans l’air
sur Veille cartographieCet article Le réseau Téléray : calcul de la radioactivité en temps réel dans l’air est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La catastrophe nucléaire survenue le 26 avril 1986 à Tchernobyl en Russie est l’accident nucléaire le plus connu et meurtrier. Cet accident a eu pour conséquence de libérer dans l’atmosphère des éléments radioactifs. Ces derniers ont provoqué de grandes infections cutanées et de nombreux décès. De fait, la radioactivité émise dans l’atmosphère doit être surveillée […]
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21:40
Issy-les-Moulineaux lance son dashboard de l’open data
sur Veille cartographieCet article Issy-les-Moulineaux lance son dashboard de l’open data est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Mi-novembre, la ville d’Issy-les-Moulineaux a mis en ligne son tableau de bord permettant de visualiser rapidement les données clés de son portail open data. Cette plateforme a pour objectif de regrouper l’ensemble des activités municipales au sein d’un même outil. C’est un outil inédit dans le monde de la data des collectivités locales. Ce […]
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21:39
Carte du pays confiné et carte du pays reconfiné, cartographie critique avec Ariane Pinel
sur Veille cartographieCet article Carte du pays confiné et carte du pays reconfiné, cartographie critique avec Ariane Pinel est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
La crise sanitaire que nous traversons à bouleversé nos comportements et nos interactions sociales. Mais bien que la crise ne se restreigne pas aux simples conséquences médicales, elle touche de plein fouet l’économie, le travail, les loisirs et notre gestion du quotidien. Sans dénigrer les lourdes conséquences de l’aspect physique de la maladie, la covid-19 a un large impact sur notre mental. Or, la très large majorité des cartes du virus ne font que donner une analyse quantitative assez morose de son impact.
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18:01
IDC et HERE publient un livre blanc : « Utiliser une plateforme de localisation pour tirer le meilleur parti de vos données »
sur Décryptagéo, l'information géographiqueL’institut International Data Corporation (IDC) et HERE Technologies annoncent la parution du livre blanc « utiliser une plate-forme de localisation pour tirer le meilleur parti de vos données »Le présent livre blanc propose un éclairage sur le marché des données à travers ses usages et ses bénéfices.
Les dirigeants ont tout à fait conscience que les données de leurs entreprises ne prennent de la valeur que si elles sont partagées. Cependant, les données spécifiques à un lieu ne sont que rarement exploitées. Les acheteurs et les vendeurs de ce type d’actifs ont encore du mal à se trouver. Les marketplaces permettent non seulement de constituer un lien, mais également de simplifier le processus de mise en relation des données avec les acheteurs. Ce sont les marketplaces de données de localisation qui permettent aux entreprises d’offrir leurs données, leurs algorithmes et leurs API/SDK à un public plus large, créant ainsi de plus grandes opportunités de valeur.
Ces dernières années, l’intérêt pour les données a donné naissance à un grand nombre de ces plateformes. Dans son livre blanc, IDC revient sur les différentes tendances émergentes de ce marché et pour illustrer son propos, met en avant le témoignage de HERE Technologies qui offre un positionnement et une vision unique.
HERE Technologies propose une marketplace complète et centrée sur la localisation et s’illustre comme un leader du marché dans le domaine de la localisation avec plus de 35 ans d’expérience dans le domaine de l’intelligence de localisation.
Parmi ses principaux points forts :
- Sécurité, confidentialité et contrôle de la plateforme. Les ensembles de données de localisation ont tendance à être très volumineux et peuvent divulguer beaucoup d’informations sur les capteurs, les utilisateurs et les contributeurs. Grâce à la vision sophistiquée des propriétés de localisation de HERE Technologies, l’entreprise a intégré la sécurité, la confidentialité et le contrôle au sein de la plateforme et de ses outils. La société offre des fonctions d’anonymisation, des protocoles d’accès spécifiques, la gestion du consentement et des capacités de nettoyage des données.
- Plus que de simples données. La plateforme donne accès à une grande variété de données, mais elle n’est pas seulement une marketplace. Les acheteurs et les vendeurs peuvent également travailler avec du contenu géolocalisé, des API, des SDK et des algorithmes contrairement à d’autres marketplaces qui sont limitées aux données ou aux API.
- Une force de vente mondiale. Rejoindre la plateforme HERE Technologies en tant qu’acheteur ou vendeur signifie rejoindre une organisation ayant une présence et des capacités mondiales dans le domaine de localisation.
La concurrence s’intensifie sur le marché et les vendeurs devront relever le défi de l’expansion. Plus le volume, la variété des données, et le nombre d’algorithmes sont importants, plus il est probable que les vendeurs seront en mesure d’attirer une proportion croissante d’acheteurs. HERE Technologies dispose déjà de données à l’échelle mondiale et de contributeurs du monde entier.
Les atouts initiaux de la plateforme proviennent de l’héritage de HERE Technologies dans les applications pour les véhicules et le transport. Le défi pour HERE consiste à développer des cas d’utilisation pour d’autres secteurs industriels comme les Télécoms ou les assurances.
Le livre blanc est disponible dans le lien ici
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
Katherine Haller, 01 56 02 68 30
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IDC et HERE publient un livre blanc : « Utiliser une plateforme de localisation pour tirer le meilleur parti de vos données »
sur Les Rencontres DécryptagéoL’institut International Data Corporation (IDC) et HERE Technologies annoncent la parution du livre blanc « utiliser une plate-forme de localisation pour tirer le meilleur parti de vos données »Le présent livre blanc propose un éclairage sur le marché des données à travers ses usages et ses bénéfices.
Les dirigeants ont tout à fait conscience que les données de leurs entreprises ne prennent de la valeur que si elles sont partagées. Cependant, les données spécifiques à un lieu ne sont que rarement exploitées. Les acheteurs et les vendeurs de ce type d’actifs ont encore du mal à se trouver. Les marketplaces permettent non seulement de constituer un lien, mais également de simplifier le processus de mise en relation des données avec les acheteurs. Ce sont les marketplaces de données de localisation qui permettent aux entreprises d’offrir leurs données, leurs algorithmes et leurs API/SDK à un public plus large, créant ainsi de plus grandes opportunités de valeur.
Ces dernières années, l’intérêt pour les données a donné naissance à un grand nombre de ces plateformes. Dans son livre blanc, IDC revient sur les différentes tendances émergentes de ce marché et pour illustrer son propos, met en avant le témoignage de HERE Technologies qui offre un positionnement et une vision unique.
HERE Technologies propose une marketplace complète et centrée sur la localisation et s’illustre comme un leader du marché dans le domaine de la localisation avec plus de 35 ans d’expérience dans le domaine de l’intelligence de localisation.
Parmi ses principaux points forts :
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- Plus que de simples données. La plateforme donne accès à une grande variété de données, mais elle n’est pas seulement une marketplace. Les acheteurs et les vendeurs peuvent également travailler avec du contenu géolocalisé, des API, des SDK et des algorithmes contrairement à d’autres marketplaces qui sont limitées aux données ou aux API.
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La concurrence s’intensifie sur le marché et les vendeurs devront relever le défi de l’expansion. Plus le volume, la variété des données, et le nombre d’algorithmes sont importants, plus il est probable que les vendeurs seront en mesure d’attirer une proportion croissante d’acheteurs. HERE Technologies dispose déjà de données à l’échelle mondiale et de contributeurs du monde entier.
Les atouts initiaux de la plateforme proviennent de l’héritage de HERE Technologies dans les applications pour les véhicules et le transport. Le défi pour HERE consiste à développer des cas d’utilisation pour d’autres secteurs industriels comme les Télécoms ou les assurances.
Le livre blanc est disponible dans le lien ici
HERE, plateforme technologique de données de localisation, permet aux consommateurs, aux entreprises et aux villes d’exploiter toute la puissance de la localisation. En donnant une lecture plus précise du monde à ses clients, ses solutions permettent d’atteindre de meilleurs résultats – qu’il s’agisse d’aider une ville à gérer son infrastructure ou une entreprise à optimiser ses actifs, ou encore de guider les conducteurs vers leur destination en toute sécurité.
Pour en savoir plus sur HERE, rendez-vous sur [360.here.com] et www.here.com
Constance Falourd, 01 56 02 68 25
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17:38
LIDAR pour mieux aménager les villes : l’exemple du centre de Dublin
sur Veille cartographieCet article LIDAR pour mieux aménager les villes : l’exemple du centre de Dublin est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Depuis 2007, plus de la moitié de la population mondiale vit en ville (Véron,2007). La croissance continue de la population urbaine depuis le début du XXe siècle a pour conséquence l’apparition de territoire urbain de plus en plus vaste et peuplé. Ainsi, de nouveaux enjeux apparaissent afin de garantir des conditions de vie saines […]
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13:14
19th Century San Francisco in 3D
sur Google Maps ManiaOne really fun thing that you can do with the new 3D terrain option in Mapbox GL is to view historic vintage maps in 3D. This is particularly fun in places which have very interesting terrain - such as San Francisco. San Francisco, 1857 in 3D is an interactive map which allows you to view a mid-19th Century map of San Francisco overlaid on top of the city's hilly terrain.The vintage map is
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10:20
gvSIG Team: Solución al problema de la carga de la capa base OSM en gvSIG Mobile
sur Planet OSGeoDesde hace un tiempo, uno de los requerimientos de las aplicaciones alojadas en la Play Store es que los accesos a las diferentes URL sean a través de [https.] En la última versión de gvSIG Mobile, la capa mapnik de OSM que figura como capa base por defecto está como [http,] por lo que no se muestra en el visor.
La solución para que se muestre dicha capa es la siguiente:
- Descargar el siguiente fichero desde el móvil: [devel.gvsig.org]
- Acceder al menú de capas base de gvSIG Mobile, y añadir dicho fichero.
- Después seleccionar esa capa “mapnik10” como capa base, y ahora si abrimos el visor nos aparecerá ya la capa de OSM (siempre que tengamos conexión a internet).
Aquí os dejamos un vídeo sobre cómo hacerlo:
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10:00
CARTO Blog: Visualize Waze Traffic Data using Google BigQuery & CARTO
sur Planet OSGeoOver 140 million monthly active drivers use Waze every day to save time and navigate roads and freeways more easily. Waze users (aka Wazers) can log accidents, potholes, sl... -
10:00
CARTO Blog: Human Mobility & Transport Analysis in the Canary Islands
sur Planet OSGeoMobility in our cities has been experiencing big changes this year with increases in pedestrianization, bike use, and micromobility options alongside commuting shifts favor...
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9:13
ArcGIS Pro 2.7 est disponible
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Depuis aujourd'hui, la dernière mise à jour d'ArcGIS Pro est disponible (en langue anglaise). Véritable cadeau de fin d'année, il s'agit d'une version particulièrement riche en nouvelles fonctionnalités. Cette version 2.7 apporte également de nombreuses améliorations que vous retrouverez en détails dans la page "Nouveautés" de la documentation (définir la langue de la page en anglais si nécessaire). Je vous propose de découvrir dans cet article quelques points importants parmi les 541 évolutions de cette mise à jour.
Une nouvelle page de démarrage pour l'application
La page d'accueil d'ArcGIS Pro a évolué pour vous offrir un accès rapide à différentes ressources utiles lorsque vous souhaitez apprendre à mieux utiliser l'application.
Les ressources proposées sont les suivantes:- Accéder à la rubrique des nouveautés de la dernière version d'ArcGIS Pro .
- Développer ses compétences avec des didacticiels de démarrage rapide du site "ArcGIS Learn".
- Faire progresser votre apprentissage d'ArcGIS Pro avec des cours d'auto-apprentissage et dispensés par un formateur Esri.
- Poser des questions, partagez vos connaissances et échangez vos idées avec la communauté mondiale des utilisateurs ArcGIS Pro sur GeoNet.
- Lire le blog ArcGIS pour y trouver des articles, des annonces et des workflows métiers rédigés par les ingénieurs produit d'Esri .
- Bénéficier d'une aide approfondie et contextuelle sur toutes les facettes d'ArcGIS Pro .
Spécifier votre version dans l'aide en ligne (sur le web)
Petit détail mais qui peut avoir son importance, vous pourrez désormais afficher l'aide en ligne de la version majeure précédente d'ArcGIS Pro. Ainsi, si le supplément de langue de la version 2.7 n'est pas encore disponible et que vous souhaitez rester en version 2.6, l'aide en ligne (sur le web) reste tout de même accessible.Support des Géodatabases Mobiles
En complément des Géodatabases Fichier et des Géodatabases Enterprise existantes, les Géodatabases Mobile constituent un nouveau type de géodatabase dans ArcGIS Pro 2.7. Comme avec les autres types de géodatabases, vous pouvez créer des Géodatabases Mobiles pour stocker des jeux de données géographiques, modéliser vos données en classes d'entités, en jeux de classes d'entités,... et les utiliser comme entrées pour des outils et des scripts de géotraitement.
Une Géodatabase Mobile est stockée dans une base de données SQLite, ce qui offre les avantages suivants:
- SQLite est une base de données largement disponible, stable et fiable.
- SQLite est open source et dans le domaine public, donc aucune licence n'est requise pour l'utiliser.
- Les bases de données SQLite sont prises en charge sur plusieurs plateformes et sont stockées dans un seul et unique fichier sur votre disque, ce qui les rend très portables. Elles constituent ainsi un format d'échange de données efficace.
- SQLite est une base de données relationnelle complète qui permet d'interroger et de créer des rapports pour vos flux de travail en utilisant SQL.
- SQLite possède un type de colonne spatial (Spatialite) qui est utilisé par ArcGIS.
Prise en charge de la localisation GPS (via des appareils GNSS)
Vous pouvez désormais connecter un appareil GNSS (GPS) à ArcGIS Pro pour afficher l'emplacement de votre PC/Tablette sur la carte ou la scène courante. Lorsque vous vous déplacez, l'emplacement est automatiquement actualisé dans la vue.
Lorsque la localisation GPS est activée, vous pouvez créer des entités en fonction de l'emplacement géographique actuel de l'appareil GNSS ou configurer une classe d'entités ponctuelles pour enregistrer automatiquement les données de l'appareil à mesure que votre position se met à jour.
Fusion de couches et d'entités
Une innovation très intéressante en terme de cartographie va vous permettre d'appliquer des modes de fusion aux couches de votre carte. Par exemple, vous allez pouvoir éclaircir ou assombrir une couche pour en fonction des valeurs des entités (ou des pixels) d'une autre couche pour accentuer son rendu "normal". Généralement utilisés dans les workflows de retouche d'image et de conception graphique, les modes de fusion peuvent améliorer la visualisation des entités et modifier la façon dont vous concevez des cartes pour publication.
Lorsqu'un mode de fusion est appliqué à un calque, les calques situés en dessous dans l'ordre de dessin de la carte sont visuellement modifiés. La plupart des modes de fusion sont appliqués à chaque canal de couleur indépendamment. Pour un contrôle plus avancé, vous pouvez également appliquer des modes de fusion aux entités au sein d'une seule et même couche d'entités. Dans ce cas, les entités symbolisées sont fusionnées les unes avec les autres au sein de la couche.
Outils d'analyse de mouvement
Les outils d'analyse de mouvement utilisent des données de suivi de localisations (issues de Tracker par exemple) pour détecter, analyser et visualiser le mouvement de personnes (ou d'appareils) dans l'espace et le temps. Les données de suivi de localisations correspondent à des séquences d'emplacements (des points) dans le temps regroupés à l'aide d'un identifiant propres à chaque appareil. Quatre nouveaux outils complètent la boîte à outils introduite en version 2.6:- Find Cotravelers détermine quels appareils (téléphones portables par exemple) ont voyagé ensemble au même endroit et à la même heure.
- Find Meeting Locations identifie les zones où certains appareils montrent un ralentissement dans leur déplacement et une proximité, indiquant un lieu probable de réunion.
- Compare Areas trouve les appareils traversant des zones prédéfinies au même endroit et au même moment.
- Classify Movement Events identifie des changements dans les mouvements dans les données de suivi de localisations (accélération, ralentissement, changement de direction, demi-tour, ...).
Couche d'entités d'objets 3D dans les Géodatabases
Les classes d'entités d'objets 3D constituent un nouveau type de données dans les Géodatabase ArcGIS Pro 2.7. Comme les multipatchs, les objets 3D décrivent l'enveloppe extérieure des entités qui occupent l'espace 3D, mais ils possèdent un ensemble de propriétés supplémentaires qui va au delà de la texture et de la couleur de l'objet 3D. Par exemple, ils peuvent intégrer des informations telles que la réflexion, les ombres ou la rugosité de leurs surfaces. Les classes d'entités d'objets 3D sont stockées dans une Géodatabase Fichier, Entreprise ou Mobile. Les objets 3D des classes d'entités des Géodatabases Fichier peuvent être ouvertes et modifiées directement dans un certain nombre d'applications de modélisation tierces, notamment Maya et Blender.
Lorsque vous ajoutez une couche d'entités d'objets 3D à une scène dans ArcGIS Pro, vous pouvez utiliser les mêmes outils d'édition et d'analyse que ceux qui fonctionnent sur les multipatchs. Des outils de géotraitement sont disponibles pour convertir des classes d'entités multipatch en classes d'entités d'objets 3D et vice versa.Exemple d'une entité de type "multipatch" (à gauche)
et d'une entité de type "objet 3D" (à droite)
Référencement linéaire
Les systèmes de référencement linéaire (Linear Referencing System) permettent de modéliser le positionnement d'événements le long d'entités linéaires calibrées par un système de mesures (en abscisses curvilignes). Par exemple, des accidents localisés par PK ou PR le long de routes. Ils sont créés en tant qu'entités de type "polyligne" possédant des coordonnées x,y pour chaque sommet ainsi qu'une valeur de mesure "m" indépendante de la géométrie de la ligne.
Vous pouvez désormais créer un système de référencement (appelé "itinéraire") à partir d'une sélection d'entités linéaires, de calibrer des itinéraires à l'aide d'au moins deux points de calibrage ou encore définir les mesures d'une partie d'un itinéraire en le traçant et en cliquant sur deux points de calibrage le long de cet itinéraire.
Les nouvelles fonctionnalités de mise à jour de référencement linéaire font partie de l'application ArcGIS Pro en standard (sans aucune extension).
Prise en charge des codes de couleur PANTONE®
Les cartographe ayant des besoins de production papier et des contraintes d'imprimerie industrielle en tons directs pourront désormais gérer les couleurs de leurs éléments cartographique à l'aide de codification PANTONE®. Ainsi, 8 nouveaux styles de symboles système contenant ces couleurs PANTONE® ont été ajoutés dans Pro 2.7; ils sont présentés dans le tableau ci-dessous. Les couleurs Pantone sont un cas particulier des tons directs.
Diagrammes
De nombreuses améliorations ont été apportées sur les diagramme dans ArcGIS Pro 2.7. Vous pouvez par exemple exporter le contenu de n'importe quel diagramme en tant que fichier graphique (SVG, JPG ou PNG) pour un usage avec des outils tiers.- Un nouveau type de représentation est proposé avec les diagrammes matriciel de chaleur qui permettent de visualiser les relations entre des variables catégorielles et peut également être utilisé pour visualiser leurs changements au fil du temps.
- Les matrices de nuages ??de points ont de nouvelles options de mise en page, avec notamment la possibilité d'afficher les diagrammes avec l'indice r (corrélation de Pearson), indiquant à la fois la force et la direction de chaque relation.
Scènes 3D et couches de scènes- Les paquetage de couches de scènes (SLPK) peuvent désormais être projetés dans n'importe quel système de coordonnées à l'aide de l'outil Projeté.
- Les couches de scènes de points sont désormais créées en I3S version 1.7 à l'aide de l'outil Créer un paquetage de couches de scènes de points.
- Les scènes locales créées dans un système de coordonnées personnalisé peuvent être partagées avec ArcGIS Enterprise 10.9 ou ArcGIS Online.
- Une nouvelle propriété de couche, "Utiliser la sélection de niveau de détail prédéfinie", vous permet de basculer entre une utilisation des LOD du cache I3S ou les LOD calculés par ArcGIS Pro pour tous les types de couches de scène.
Infographies
Les infographies de comparaison vous permettent désormais d'effectuer une comparaison côte à côte de plusieurs entités à partir de n'importe quel modèle d'infographie.
Expressions Arcade
Le langage d'expression du système ArcGIS continue d'évoluer. ArcGIS Pro prend en charge Arcade version 1.12. Plusieurs fonctions intéressantes ont été ajoutées comme GetUser() ou GDBVersion() très intéressantes pour les règles attributaires. On notera plusieurs nouveautés pour la gestion de tableaux de valeurs (Array) et la capacité très puissante, dans les règles attributaires, de mettre plusieurs champs à partir d'une même expression Arcade.
Vous découvrirez l'ensemble des nouveautés de cette version 1.12 dans la page suivante.
On pourra également signaler la possibilité d'afficher, dans les différents contextes d'ArcGIS Pro, la "console" de débogage pour vos expressions Arcade.
Exporter des cartes et des mises en page
L'export au format GeoTIFF est désormais pris en charge pour les mises en page. Auparavant, cette fonctionnalité n'était disponible que lors de l'export de cartes. Pour les mises en page contenant plusieurs cadres de carte, vous pouvez choisir le cadre de carte utilisé pour écrire les balises GeoTIFF.
Cartographie et visualisation
Dorénavant, lorsque vous accédez à une palette de couleurs, vous pouvez utiliser l’outil Pipette pour sélectionner une couleur dans la vue active et l’appliquer à l’élément actuel.
Mise à jour de données
La version 2.7 apporte beaucoup de nouveaux outils d'aide à la construction comme les contraintes d'inférence, les outils d'alignement et de distribution d'entités, la définition d'un modèle d'attribut en le copiant d'une entités existante ou encore l'outil de création de copie d'entités sur une grille régulière.
ModelBuilder- Vous pouvez parcourir les couches de votre carte à l'aide du nouvel outil Itérer les couches et créer des branches conditionnelles dans votre modèle en les basant sur le type de la couche. Les propriétés de la couche, telles que la visibilité de la couche, son format ou son type de géométrie, peuvent être utilisées pour filtrer et spécialiser le traitement.
- Les améliorations suivantes ont été apportées aux sorties de modèle:
- Les sorties peuvent être ajoutées à une carte avec la commande Ajouter à l'affichage.
- Les sorties apparaissent sous la forme d'une couche de groupe ModelBuilder dans la fenêtre de contenu de votre carte/scène.
- Les noms de couche en sortie incluent à la fois le nom de la variable ModelBuilder et la valeur de la variable.
De nombreuses autres évolutions ont été intégrées à cette version 2.7. Plusieurs nouveaux outils d'analyse 3D, d'extraction d'objets dans des nuages Lidar (Deep Learning), d'extraction d'objets dans des couches raster (Deep Learning), d'analyse multidimensionnelles, ... mais aussi plusieurs outils de préparation de données (Data Engineering) et de Data Science.
Beaucoup d'améliorations ont été apportées autour de l'ergonomie générale d'ArcGIS Pro. Vous découvrirez également de nombreuses évolutions autour des capacité de rendu et de symbologie de vos couches d'entités. Par exemple, Pro 2.7 introduit des styles de symboles supplémentaires (81 nouveaux symboles ponctuels, 57 nouveaux symboles de ligne, 24 nouveaux symboles de polygones).
Enfin, du coté des extensions Spatial Analyst, 3D Analyst, Business Analyst, Indoors, Workflow Manager,... vous retrouverez également d'importantes évolutions.
Toutes ces innovations sont décrites en détails dans la page "Nouveautés" de la documentation en ligne. Je reviendrai sur certaines d'entre-elles dans arcOrama.
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9:05
Outsight donne aux opérateurs la vision intégrale de leurs opérations en temps réel
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes opérateurs des espaces publics peuvent désormais assurer un monitoring des flux de personnes avec la solution d’Intelligence Spatiale laser d’OutsightOutsight est le créateur d’une solution de traitement LiDAR unique qui peut simultanément percevoir et comprendre l’environnement en 3D. Sélectionnée par le Groupe ADP (Aéroport de Paris), la technologie est actuellement en test sur l’aéroport Paris-Charles de Gaulle pour fournir, tout en préservant les données privées, un suivi précis des flux de personnes en temps réel.
Grâce à la technologie d’Outsight, le gestionnaire d’aéroports peut obtenir des informations précieuses sur les flux de personnes et l’utilisation des actifs en temps réel à un niveau de détail inégalé auparavant. En effet, la technologie mesure précisément le nombre de personnes en salles de livraison bagages, leurs déplacements et leurs interactions.
Toutes ces observations en temps réel apportent un niveau de connaissance précis pour permettre à l’opérateur de suivre les flux de passagers via son interface de monitoring et pour intervenir en cas de besoin.
Pour Raul Bravo, Président et cofondateur d’Outsight, “ce premier résultat obtenu avec le partenariat noué avec le Groupe ADP, quelques mois à peine après la création de l’entreprise, démontre la pertinence de notre démarche dans la perception 3D dans un contexte d’amélioration des opérations et de la sécurité. Cette première implémentation fait suite à une succession d’annonces pour Outsight qui reçoit de nombreuses sollicitations dans d’autres domaines tels que les centres commerciaux, les gares, les stades, les centres de loisirs et de congrès.”
Un suivi individuel et précis avec un anonymat garantiUn des éléments-clés de cette technologie est le respect de la vie privée : le laser détecte les formes mais aucune donnée sensible n’y est rattachée. Cela permet de suivre un individu en respectant les principes de protection des données et de respect de la vie privée.
Améliorer les espaces publicsLe cœur de métier des opérateurs est d’optimiser les passages des visiteurs. Avoir une meilleure compréhension de leurs déplacements leur permet de fournir un meilleur service et d’adapter les infrastructures aux utilisateurs. Ce qui se traduit instantanément par l’augmentation des revenus et la baisse des coûts. Outsight, leader dans le marché en pleine expansion de l’Intelligence Spatiale, est un partenaire clé pour ses clients qui visent l’excellence opérationnelle.
Une technologie récompenséeEn moins d’un an, Outsight a réussi à développer et industrialiser cette nouvelle génération de traitements de données Lidar[1] qui a fait l’objet de 42 dépôts de brevets.
L’innovation d’Outsight a gagné le prestigieux Best of CES Innovation Awards à Las Vegas ainsi que le Prism Award décerné par les leaders mondiaux de la photonique et des lasers. Outsight a déjà convaincu de nombreuses organisations et fabricants d’équipements dans l’automobile, l’aéronautique, le marché de la sécurité, incluant Faurecia et Safran.
À propos de OutsightOutsight développe des solutions matérielles et logicielles de perception 3D temps réel, à partir de technologies laser de pointe. Nous apportons aux Smart Machines et Smart Cities un niveau de compréhension inédit de leur environnement et des évènements qui s’y produisent. Nous pensons que ces nouvelles capacités contribuent à la construction d’un monde plus sûr et plus économe en ressources. Les équipes internationales de scientifiques et d’ingénieurs d’Outsight s’y consacrent avec passion depuis Paris, Helsinki et San Francisco.
Contacts presse Outsight :Jean-François Kitten, +33 (0)6 11 29 30 28 – jfk@outsight.tech
Sophie Renard, +33 (0)6 82 80 61 97 – s.renard@licencek.com
Ilinca Spita, +33 (0)6 64 75 12 98 (EN) – i.spita@licencek.com (EN)
Sasha Rolland, +33 (0)6 47 77 36 53 – s.rolland@licencek.com (EN)
[1] Light detection and ranging
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Outsight donne aux opérateurs la vision intégrale de leurs opérations en temps réel
sur Les Rencontres DécryptagéoLes opérateurs des espaces publics peuvent désormais assurer un monitoring des flux de personnes avec la solution d’Intelligence Spatiale laser d’OutsightOutsight est le créateur d’une solution de traitement LiDAR unique qui peut simultanément percevoir et comprendre l’environnement en 3D. Sélectionnée par le Groupe ADP (Aéroport de Paris), la technologie est actuellement en test sur l’aéroport Paris-Charles de Gaulle pour fournir, tout en préservant les données privées, un suivi précis des flux de personnes en temps réel.
Grâce à la technologie d’Outsight, le gestionnaire d’aéroports peut obtenir des informations précieuses sur les flux de personnes et l’utilisation des actifs en temps réel à un niveau de détail inégalé auparavant. En effet, la technologie mesure précisément le nombre de personnes en salles de livraison bagages, leurs déplacements et leurs interactions.
Toutes ces observations en temps réel apportent un niveau de connaissance précis pour permettre à l’opérateur de suivre les flux de passagers via son interface de monitoring et pour intervenir en cas de besoin.
Pour Raul Bravo, Président et cofondateur d’Outsight, “ce premier résultat obtenu avec le partenariat noué avec le Groupe ADP, quelques mois à peine après la création de l’entreprise, démontre la pertinence de notre démarche dans la perception 3D dans un contexte d’amélioration des opérations et de la sécurité. Cette première implémentation fait suite à une succession d’annonces pour Outsight qui reçoit de nombreuses sollicitations dans d’autres domaines tels que les centres commerciaux, les gares, les stades, les centres de loisirs et de congrès.”
Un suivi individuel et précis avec un anonymat garantiUn des éléments-clés de cette technologie est le respect de la vie privée : le laser détecte les formes mais aucune donnée sensible n’y est rattachée. Cela permet de suivre un individu en respectant les principes de protection des données et de respect de la vie privée.
Améliorer les espaces publicsLe cœur de métier des opérateurs est d’optimiser les passages des visiteurs. Avoir une meilleure compréhension de leurs déplacements leur permet de fournir un meilleur service et d’adapter les infrastructures aux utilisateurs. Ce qui se traduit instantanément par l’augmentation des revenus et la baisse des coûts. Outsight, leader dans le marché en pleine expansion de l’Intelligence Spatiale, est un partenaire clé pour ses clients qui visent l’excellence opérationnelle.
Une technologie récompenséeEn moins d’un an, Outsight a réussi à développer et industrialiser cette nouvelle génération de traitements de données Lidar[1] qui a fait l’objet de 42 dépôts de brevets.
L’innovation d’Outsight a gagné le prestigieux Best of CES Innovation Awards à Las Vegas ainsi que le Prism Award décerné par les leaders mondiaux de la photonique et des lasers. Outsight a déjà convaincu de nombreuses organisations et fabricants d’équipements dans l’automobile, l’aéronautique, le marché de la sécurité, incluant Faurecia et Safran.
À propos de OutsightOutsight développe des solutions matérielles et logicielles de perception 3D temps réel, à partir de technologies laser de pointe. Nous apportons aux Smart Machines et Smart Cities un niveau de compréhension inédit de leur environnement et des évènements qui s’y produisent. Nous pensons que ces nouvelles capacités contribuent à la construction d’un monde plus sûr et plus économe en ressources. Les équipes internationales de scientifiques et d’ingénieurs d’Outsight s’y consacrent avec passion depuis Paris, Helsinki et San Francisco.
Contacts presse Outsight :Jean-François Kitten, +33 (0)6 11 29 30 28 – jfk@outsight.tech
Sophie Renard, +33 (0)6 82 80 61 97 – s.renard@licencek.com
Ilinca Spita, +33 (0)6 64 75 12 98 (EN) – i.spita@licencek.com (EN)
Sasha Rolland, +33 (0)6 47 77 36 53 – s.rolland@licencek.com (EN)
[1] Light detection and ranging
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7:45
5 bénéfices de la géolocalisation pour vos équipes mobiles et votre entreprise
sur Blog GEOCONCEPT FR
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22:03
Témoignage d’une cartographe indépendante
sur Veille cartographieCet article Témoignage d’une cartographe indépendante est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Diplômée d’un master 2, géographie, gestion des risques et milieu naturel en 2015 à Paris Diderot 7, Gaëlle Sutton est aujourd’hui cartographe indépendante, en freelance depuis un an et demi. A l’occasion de la mise en ligne de son nouveau site internet découvert par le biais des réseaux sociaux je l’ai interviewée afin d’avoir son […]
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19:51
Sébastien Soriano est nommé directeur général de l’IGN
sur Décryptagéo, l'information géographiqueSébastien Soriano, président de l’Arcep, a été nommé directeur général de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), lors du conseil des ministres du 16/12/2020. Sébastien Soriano prendra ses fonctions le 4/01/2021.Sébastien Soriano (c) DR
Depuis 2015 président de l’Arcep, autorité de régulation des télécoms des postes et de la distribution de la presse, Sébastien Soriano vient d’être nommé directeur général de l‘IGN. Cette nomination intervient dans un contexte de mutation profonde de l’Institut qui vient d’annoncer le 11/12 l’ouverture de ses données sous licence ouverte Etalab 2.0 et dont le COP 2020-2024, qui oriente et matérialise la trajectoire stratégique de l’IGN, vient d’être signé par ses deux tutelles du ministère de la Transition écologique et du ministère de l’Agriculture et de l’alimentation. Un contexte on ne peut plus favorable à l’arrivée de Sébastien Soriano à ce poste, auteur d’« Un Avenir pour le service public » qui vient de paraître aux éditions Odile Jacob et pour lequel l’innovation publique et la posture d’un Etat plus partenarial sont parties prenantes des enjeux environnementaux. Ainsi aura-t-il à confirmer l’IGN dans son rôle d’opérateur de l’Etat dont l’ambition affichée est de porter la nécessaire avance technologique au profit de la transformation des politiques publiques. Parmi les projets de l’IGN, citons la Géoplateforme, la nouvelle plateforme publique pour l’information géographique ; le programme national Lidar Haute Densité, lauréat du FTAP (fonds pour la transformation de l’action publique) 2020 dans le cadre d’action publique 2022, pour la prévention des risques et la gestion des ressources forestières ; la production, par la DGALN, du référentiel d’occupation et usage des sols également lauréat du FTAP 2020, pour la préservation de la biodiversité et la lutte contre l’artificialisation des sols, dont la mise en œuvre a été confiée à l’IGN ; la production d’une cartographie HD pour la circulation du véhicule autonome notamment en Ile-de-France ; la production d’un PCRS (plan corps de rue simplifié) sur les réseaux enterrés.
Ingénieur (corps des mines), Sébastien Soriano est âgé de 45 ans. Il succède à Daniel Bursaux, DG de l’IGN de novembre 2014 à juin 2020.
PARCOURS :- 2015-2020 Président de l’Arcep, autorité de régulation des télécoms et des postes
- 2014 Conseiller spécial de la Ministre de la culture et de la Secrétaire d’Etat au commerce extérieur (Quai d’Orsay) 2012-2014 Directeur de cabinet de la Ministre déléguée chargée des PME, de l’innovation et de l’économie numérique, 2009-2012 Autorité de la concurrence, rapporteur général adjoint,
- 2004-2009 Arcep, chef d’unité (mobile) puis directeur (haut débit et collectivités locales),
- 2001-2004 Conseil de la concurrence, rapporteur. FORMATION :
- 2000-2001 Licence d’administration publique à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne 1999-2001 Ecole Telecom ParisTech, Paris
- 1996-1999 Ecole Polytechnique, Paris (intégration du corps des télécoms, devenu mines)
L’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie vectorielle, de l’optique, de l’électronique, du traitement des images et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint l’Université Gustave Eiffel créée en janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts PresseSophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse –
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Sébastien Soriano est nommé directeur général de l’IGN
sur Les Rencontres DécryptagéoSébastien Soriano, président de l’Arcep, a été nommé directeur général de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN), lors du conseil des ministres du 16/12/2020. Sébastien Soriano prendra ses fonctions le 4/01/2021.Sébastien Soriano (c) DR
Depuis 2015 président de l’Arcep, autorité de régulation des télécoms des postes et de la distribution de la presse, Sébastien Soriano vient d’être nommé directeur général de l‘IGN. Cette nomination intervient dans un contexte de mutation profonde de l’Institut qui vient d’annoncer le 11/12 l’ouverture de ses données sous licence ouverte Etalab 2.0 et dont le COP 2020-2024, qui oriente et matérialise la trajectoire stratégique de l’IGN, vient d’être signé par ses deux tutelles du ministère de la Transition écologique et du ministère de l’Agriculture et de l’alimentation. Un contexte on ne peut plus favorable à l’arrivée de Sébastien Soriano à ce poste, auteur d’« Un Avenir pour le service public » qui vient de paraître aux éditions Odile Jacob et pour lequel l’innovation publique et la posture d’un Etat plus partenarial sont parties prenantes des enjeux environnementaux. Ainsi aura-t-il à confirmer l’IGN dans son rôle d’opérateur de l’Etat dont l’ambition affichée est de porter la nécessaire avance technologique au profit de la transformation des politiques publiques. Parmi les projets de l’IGN, citons la Géoplateforme, la nouvelle plateforme publique pour l’information géographique ; le programme national Lidar Haute Densité, lauréat du FTAP (fonds pour la transformation de l’action publique) 2020 dans le cadre d’action publique 2022, pour la prévention des risques et la gestion des ressources forestières ; la production, par la DGALN, du référentiel d’occupation et usage des sols également lauréat du FTAP 2020, pour la préservation de la biodiversité et la lutte contre l’artificialisation des sols, dont la mise en œuvre a été confiée à l’IGN ; la production d’une cartographie HD pour la circulation du véhicule autonome notamment en Ile-de-France ; la production d’un PCRS (plan corps de rue simplifié) sur les réseaux enterrés.
Ingénieur (corps des mines), Sébastien Soriano est âgé de 45 ans. Il succède à Daniel Bursaux, DG de l’IGN de novembre 2014 à juin 2020.
PARCOURS :- 2015-2020 Président de l’Arcep, autorité de régulation des télécoms et des postes
- 2014 Conseiller spécial de la Ministre de la culture et de la Secrétaire d’Etat au commerce extérieur (Quai d’Orsay) 2012-2014 Directeur de cabinet de la Ministre déléguée chargée des PME, de l’innovation et de l’économie numérique, 2009-2012 Autorité de la concurrence, rapporteur général adjoint,
- 2004-2009 Arcep, chef d’unité (mobile) puis directeur (haut débit et collectivités locales),
- 2001-2004 Conseil de la concurrence, rapporteur. FORMATION :
- 2000-2001 Licence d’administration publique à l’université de Paris I Panthéon-Sorbonne 1999-2001 Ecole Telecom ParisTech, Paris
- 1996-1999 Ecole Polytechnique, Paris (intégration du corps des télécoms, devenu mines)
L’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière de référence. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie vectorielle, de l’optique, de l’électronique, du traitement des images et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint l’Université Gustave Eiffel créée en janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts PresseSophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse –
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18:00
How Full is Your Hospital?
sur Google Maps ManiaLast week the Department of Health and Human Services began releasing data on the number of Covid-19 patients in each hospital. The Carlson School of Management at the University of Minnesota started using this data in their COVID-19 Hospitalization Tracking Project to reveal the percentage of hospital beds occupied by Covid-19 patients at the county level. The New York Times has now released
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13:23
Mise à jour ArcGIS Excalibur - Décembre 2020
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
ArcGIS Excalibur change la manière dont les analystes recherchent, découvrent et utilisent leurs ressources d'imagerie, le tout à travers une simple application web. L'application premium ArcGIS Excalibur modernise et améliore les workflows basés sur des données d'imagerie en unifiant les vues géospatiales et les vues basées sur l'imagerie généralement séparées dans des outils distincts en une seule et même interface intégrée. Avec une expérience web facile à utiliser, Excalibur permet véritablement d'améliorer la collecte d'information et la prise de décision quotidienne grâce à vos catalogues d'images.
La version de décembre 2020 d'Excalibur améliore la manière dont les utilisateurs accèdent à leurs images et introduit de nouvelles fonctionnalités qui améliorent la gestion des workflows de collecte d'observation.
Accéder aux services d'imagerie ou de mosaïque de carte Web
ArcGIS Excalibur continue d'étendre la prise en charge des normes Open Geospatial Consortium (OGC). En un seul clic, les utilisateurs peuvent facilement accéder aux services Web Map Tile Services (WMTS), permettant aux analystes de travailler avec ce format de contenu ouvert qui offre des performances élevées et augmente l'évolutivité.
Recherches enregistrées
Pour accéder rapidement aux images, les analystes peuvent créer et enregistrer des requêtes de recherche définies par l'utilisateur à partir de leur précédentes recherche. Cette nouvelle capacité, en un seul clic, améliore l'expérience de recherche et de découverte d'images.Modification par lots des observations
À l'aide du nouvel outil de modification par lots des observation, les utilisateurs peuvent sélectionner et apporter des modifications à plusieurs observations en même temps. Cela permet d'améliorer la productivité en gagnant du temps pendant le processus de revue de qualité.
Restez informés
ArcGIS Excalibur continue de transformer vos workflows d'imagerie grâce à des améliorations constantes répondant à vos commentaires et à l'expansion des capacités d'imagerie d'ArcGIS, notamment celles du rôle ArcGIS Image Server de votre ArcGIS Enterprise. Pour en savoir plus sur Excalibur et comprendre l'ajouter au déploiement ArcGIS Enterprise de votre organisation, contactez un représentant Esri sur go.esri.com/excalibur ou visitez cette liste de lecture YouTube.
Dans les prochains mois, plusieurs nouvelles options d'hébergement et de traitement de données d'imagerie en mode Saas vont faire leur apparition dans la plateforme ArcGIS. Elles proposeront des capacités de diffusion et d'analyse sur des services d'imagerie très similaires à celle d'ArcGIS Image Server. Je reviendrai en détails sur cette opportunité qui augmentera encore le potentiel, l'agilité et la scalabilité de votre plateforme d'imagerie notamment avec des applications spécialisées comme ArcGIS Excalibur.
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12:12
GEOCONCEPT présente Territory Manager Winter 2021, pour une sectorisation géographique optimisée
sur Décryptagéo, l'information géographiqueLes décideurs bénéficient de fonctionnalités de simulation et d’analyse enrichies, pour répartir plus efficacement leur activité, leurs équipes et leurs ressources
Paris, le 15 décembre 2020 – GEOCONCEPT, leader des technologies d’optimisation géographique pour les professionnels, lance la nouvelle version de sa solution cloud de sectorisation géographique : Territory Manager Winter 2021. Cette nouvelle version apporte des fonctionnalités d’analyse et d’optimisation enrichies, telles que la comparaison de deux simulations, et la sectorisation partielle pour affiner pas à pas une simulation. Les utilisateurs bénéficient également de nombreuses améliorations ergonomiques et de nouvelles possibilités d’export.
Territory Manager est la solution web de référence pour répartir équitablement l’activité, les équipes et les ressources. A l’aide de cet outil intuitif, les responsables commerciaux, les planificateurs et les décideurs définissent des stratégies omnicanales orientées vers la performance : objectifs commerciaux équilibrés, couverture de marché optimale et productivité améliorée des équipes terrain.
L’outil permet de construire des secteurs équilibrés en trois étapes : la visualisation de la répartition géographique existante ; l’identification des déséquilibres et dysfonctionnements ; et l’optimisation via l’équilibrage automatique des secteurs. Cette solution s’adresse aux entreprises souhaitant optimiser l’affectation de leurs ressources sur un territoire donné. La sectorisation géographique constitue également une étape préalable à l’optimisation des déplacements des forces mobiles (commerciaux, techniciens ou livreurs).
Nouveautés de la version Winter 2021 :
Simulation et analyse
Outil de simulation par excellence, Territory Manager Winter 2021 franchit un pas de plus dans l’aide à la décision en offrant à ses utilisateurs la possibilité de comparer deux simulations, particulièrement utile pour évaluer par exemple les changements apportés par une sectorisation prévisionnelle. Pour permettre aux utilisateurs de mieux évaluer l’impact des modifications apportées, les données peuvent à présent être représentées en fonction de leur écart à la moyenne, ou de l’atteinte de seuils personnalisés.
Optimisation de la sectorisation
Plusieurs modes d’optimisation sont disponibles pour réaliser une sectorisation idéale, dont une nouvelle méthode : l’optimisation sur la base d’une valeur cible. Au lieu d’optimiser la charge de travail ou le potentiel de vente au sein d’un nombre de secteurs prédéfini, ce nouveau mode permet de calculer le nombre de secteurs nécessaires pour atteindre une valeur cible, comme par exemple un potentiel moyen d’un million d’euro pour chaque secteur. Grâce à la capacité de sectorisation partielle, également nouvelle, les utilisateurs peuvent réaliser une optimisation non plus sur l’ensemble du territoire mais sur une sélection de secteurs. Cette méthode permet notamment d’affiner pas à pas une simulation. En outre, la charge de travail des équipes peut maintenant être évaluée au niveau global, et le transfert de points d’un secteur à un autre peut être effectué directement dans la carte par simple glisser-déposer.
Ergonomie et prise en main de la solution
Avec la version Winter 2021, les utilisateurs bénéficient de nombreuses évolutions ergonomiques et peuvent dorénavant :
- Identifier rapidement la qualité des adresses géocodées grâce à un code couleur sur la carte et dans le tableau
- Définir des préférences d’affichage
- Réattribuer facilement des secteurs
- Annuler ou rétablir une sectorisation automatique
- Sélectionner l’ensemble ou une partie des données en un clic
- Zoomer sur un site spécifique
- Accéder aux commandes depuis le nouveau menu
- Sauvegarder plus facilement les études en cours
- Consulter l’historique des informations de l’éditeur
Partage des résultats
Pour faciliter la diffusion des simulations, les cartes de sectorisation peuvent désormais être exportées sous forme d’images.
Un rééquilibrage facile et rapide : l’expérience de Quadient
La société Quadient aide les entreprises à gérer leurs interactions clients grâce à une communication omnicanale construite autour de quatre catégories de solutions : traitement du courrier, automatisation des processus métier, gestion de l’expérience client, consignes colis automatiques. Avec une force de vente composée d’une centaine de commerciaux en France, Quadient avait besoin d’un outil facile d’utilisation permettant de travailler rapidement le découpage des secteurs géographiques en phase avec la stratégie de l’entreprise.
Samuel Guinet, Responsable Stratégie & CRM au sein de Quadient France, témoigne : « Nous avons été séduits par le degré de réactivité et la qualité de la proposition de GEOCONCEPT. Territory Manager est une solution cloud très ergonomique, qui nous permet d’équilibrer efficacement nos secteurs pour répondre à nos besoins. Réaliser des études est facile et rapide, et nous pouvons partager les résultats avec les directeurs régionaux et les agences de manière très fluide, pour une mise en œuvre concrète de nos plans d’actions ».
Pour en savoir plus sur Territory Manager : [https:]]
A propos du Groupe GEOCONCEPT
Le Groupe GEOCONCEPT, éditeur français de solutions logicielles d’optimisation géographique pour les professionnels, se positionne aujourd’hui parmi les leaders mondiaux de la planification des interventions terrain et de l’optimisation de tournées. Reconnu comme acteur majeur du Field Service Management et du Vehicle Routing & Scheduling par le cabinet Gartner, GEOCONCEPT optimise quotidiennement les déplacements de 155 000 ressources dans le monde.
Livraison du dernier kilomètre, gestion des interventions terrain, performance commerciale, géomarketing, développement de réseaux, SIG, géo-décisionnel… : les domaines d’application de la géoptimisation sont nombreux et les bénéfices engendrés multiples (15 à 30 % de gain de productivité, réduction des coûts opérationnels, satisfaction client, conditions de travail améliorées).
Grâce à ses nombreuses possibilités de déploiement (SaaS, on-premise, mobile, server, API…), l’ouverture de ses technologies, la couverture géographique de ses solutions et son support 24/7, GEOCONCEPT gère des projets d’envergure internationale.
Le Groupe GEOCONCEPT est implanté à Paris, Grenoble et Caen, et dispose de bureaux aux Etats-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse. Des partenaires stratégiques revendent également les solutions du Groupe dans de nombreux pays dont la Grande-Bretagne, le Mexique, le Brésil ou encore le Japon.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller – katherine.haller@axicom.com
Vincent Rosso – vincent.rosso@axicom.com
Contact marketing : GEOCONCEPT
Laura L’hoiry – laura.lhoiry@geoconcept.com
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12:12
GEOCONCEPT présente Territory Manager Winter 2021, pour une sectorisation géographique optimisée
sur Les Rencontres DécryptagéoLes décideurs bénéficient de fonctionnalités de simulation et d’analyse enrichies, pour répartir plus efficacement leur activité, leurs équipes et leurs ressources
Paris, le 15 décembre 2020 – GEOCONCEPT, leader des technologies d’optimisation géographique pour les professionnels, lance la nouvelle version de sa solution cloud de sectorisation géographique : Territory Manager Winter 2021. Cette nouvelle version apporte des fonctionnalités d’analyse et d’optimisation enrichies, telles que la comparaison de deux simulations, et la sectorisation partielle pour affiner pas à pas une simulation. Les utilisateurs bénéficient également de nombreuses améliorations ergonomiques et de nouvelles possibilités d’export.
Territory Manager est la solution web de référence pour répartir équitablement l’activité, les équipes et les ressources. A l’aide de cet outil intuitif, les responsables commerciaux, les planificateurs et les décideurs définissent des stratégies omnicanales orientées vers la performance : objectifs commerciaux équilibrés, couverture de marché optimale et productivité améliorée des équipes terrain.
L’outil permet de construire des secteurs équilibrés en trois étapes : la visualisation de la répartition géographique existante ; l’identification des déséquilibres et dysfonctionnements ; et l’optimisation via l’équilibrage automatique des secteurs. Cette solution s’adresse aux entreprises souhaitant optimiser l’affectation de leurs ressources sur un territoire donné. La sectorisation géographique constitue également une étape préalable à l’optimisation des déplacements des forces mobiles (commerciaux, techniciens ou livreurs).
Nouveautés de la version Winter 2021 :
Simulation et analyse
Outil de simulation par excellence, Territory Manager Winter 2021 franchit un pas de plus dans l’aide à la décision en offrant à ses utilisateurs la possibilité de comparer deux simulations, particulièrement utile pour évaluer par exemple les changements apportés par une sectorisation prévisionnelle. Pour permettre aux utilisateurs de mieux évaluer l’impact des modifications apportées, les données peuvent à présent être représentées en fonction de leur écart à la moyenne, ou de l’atteinte de seuils personnalisés.
Optimisation de la sectorisation
Plusieurs modes d’optimisation sont disponibles pour réaliser une sectorisation idéale, dont une nouvelle méthode : l’optimisation sur la base d’une valeur cible. Au lieu d’optimiser la charge de travail ou le potentiel de vente au sein d’un nombre de secteurs prédéfini, ce nouveau mode permet de calculer le nombre de secteurs nécessaires pour atteindre une valeur cible, comme par exemple un potentiel moyen d’un million d’euro pour chaque secteur. Grâce à la capacité de sectorisation partielle, également nouvelle, les utilisateurs peuvent réaliser une optimisation non plus sur l’ensemble du territoire mais sur une sélection de secteurs. Cette méthode permet notamment d’affiner pas à pas une simulation. En outre, la charge de travail des équipes peut maintenant être évaluée au niveau global, et le transfert de points d’un secteur à un autre peut être effectué directement dans la carte par simple glisser-déposer.
Ergonomie et prise en main de la solution
Avec la version Winter 2021, les utilisateurs bénéficient de nombreuses évolutions ergonomiques et peuvent dorénavant :
- Identifier rapidement la qualité des adresses géocodées grâce à un code couleur sur la carte et dans le tableau
- Définir des préférences d’affichage
- Réattribuer facilement des secteurs
- Annuler ou rétablir une sectorisation automatique
- Sélectionner l’ensemble ou une partie des données en un clic
- Zoomer sur un site spécifique
- Accéder aux commandes depuis le nouveau menu
- Sauvegarder plus facilement les études en cours
- Consulter l’historique des informations de l’éditeur
Partage des résultats
Pour faciliter la diffusion des simulations, les cartes de sectorisation peuvent désormais être exportées sous forme d’images.
Un rééquilibrage facile et rapide : l’expérience de Quadient
La société Quadient aide les entreprises à gérer leurs interactions clients grâce à une communication omnicanale construite autour de quatre catégories de solutions : traitement du courrier, automatisation des processus métier, gestion de l’expérience client, consignes colis automatiques. Avec une force de vente composée d’une centaine de commerciaux en France, Quadient avait besoin d’un outil facile d’utilisation permettant de travailler rapidement le découpage des secteurs géographiques en phase avec la stratégie de l’entreprise.
Samuel Guinet, Responsable Stratégie & CRM au sein de Quadient France, témoigne : « Nous avons été séduits par le degré de réactivité et la qualité de la proposition de GEOCONCEPT. Territory Manager est une solution cloud très ergonomique, qui nous permet d’équilibrer efficacement nos secteurs pour répondre à nos besoins. Réaliser des études est facile et rapide, et nous pouvons partager les résultats avec les directeurs régionaux et les agences de manière très fluide, pour une mise en œuvre concrète de nos plans d’actions ».
Pour en savoir plus sur Territory Manager : [https:]]
A propos du Groupe GEOCONCEPT
Le Groupe GEOCONCEPT, éditeur français de solutions logicielles d’optimisation géographique pour les professionnels, se positionne aujourd’hui parmi les leaders mondiaux de la planification des interventions terrain et de l’optimisation de tournées. Reconnu comme acteur majeur du Field Service Management et du Vehicle Routing & Scheduling par le cabinet Gartner, GEOCONCEPT optimise quotidiennement les déplacements de 155 000 ressources dans le monde.
Livraison du dernier kilomètre, gestion des interventions terrain, performance commerciale, géomarketing, développement de réseaux, SIG, géo-décisionnel… : les domaines d’application de la géoptimisation sont nombreux et les bénéfices engendrés multiples (15 à 30 % de gain de productivité, réduction des coûts opérationnels, satisfaction client, conditions de travail améliorées).
Grâce à ses nombreuses possibilités de déploiement (SaaS, on-premise, mobile, server, API…), l’ouverture de ses technologies, la couverture géographique de ses solutions et son support 24/7, GEOCONCEPT gère des projets d’envergure internationale.
Le Groupe GEOCONCEPT est implanté à Paris, Grenoble et Caen, et dispose de bureaux aux Etats-Unis, en Chine, en Inde et en Suisse. Des partenaires stratégiques revendent également les solutions du Groupe dans de nombreux pays dont la Grande-Bretagne, le Mexique, le Brésil ou encore le Japon.
Contacts presse : AxiCom France
Katherine Haller – katherine.haller@axicom.com
Vincent Rosso – vincent.rosso@axicom.com
Contact marketing : GEOCONCEPT
Laura L’hoiry – laura.lhoiry@geoconcept.com
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11:06
Stonehenge in Your City
sur Google Maps ManiaNext Monday druids will not be meeting at Stonehenge to celebrate the winter solstice. Every year people gather at Stonehenge on the winter solstice to observe the sunrise. Due to Covid-19 restrictions there will be no-one witnessing the sunrise at Stonehenge this year. But don't worry - you can still worship the solstice sun in your own city. Stonehenge in your City can help you find nearby
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9:00
Paul Ramsey: Waiting for PostGIS 3.1: GEOS 3.9
sur Planet OSGeoThis post originally appeared on the Crunchy Data blog.
While we talk about “PostGIS” like it’s one thing, it’s actually the collection of a number of specialized geospatial libraries, along with a bunch of code of its own.
- PostGIS provides core functionality
- bindings to PostgreSQL, the types and indexes,
- format reading and writing
- basic algorithms like distance and area
- performance tricks like caching
- simple geometry manipulations (add a point, dump rings, etc)
- algorithms that don’t exist in the other libraries
- Proj provides coordinate system transformations
- GDAL provides raster algorithms and format supports
- GEOS provides computational geometry algorithms
- geometry relationships, like “intersects”, “touches” and “relate”
- geometry operations, like “intersection”, “union”
- basic algorithms, like “triangulate”
The algorithms in GEOS are actually a port to C++ of algoriths in the JTS Java library. The ecosystem of projects that depend on GEOS or JTS or one of the other language ports of GEOS is very large.
Overlay NGOver the past 12 months, the geospatial team at Crunchy Data has invested heavily in JTS/GEOS development, overhauling the overlay engine that backs the Intersection, Union, Difference and *SymDifference functions in all the projects that depend on the library.
The new overlay engine, “Overlay NG”, promises to be more reliable, and hopefully also faster for most common cases.
One use of overlay code is chopping large objects up, to find the places they have in common. This query summarizes climate zones (bec) by watershed (wsa).
SELECT Sum(ST_Area(ST_Intersection(b.geom, w.geom))) AS area_zone, w.wsd_id, b.zone FROM bec b JOIN wsa w ON ST_Intersects(b.geom, w.geom) WHERE w.nwwtrshdcd like '128-835500-%' GROUP BY 2, 3
The new implementation for this query runs about 2 times faster than the original. Even better, when run on a larger area with more data, the origin implementation fails, it’s not possible to get a result out. The new implementation completes.
Another common use over overlay code is melting together areas that share an attribute. This query takes (almost) every watershed on Vancouver Island and melts them together.
SELECT ST_Union(geom) FROM wsa WHERE nwwtrshdcd like '920-%' OR nwwtrshdcd like '930-%'
At the start, there are 1384 watershed polygons.
At the end there is just one.
The new implementation takes about 50% longer currently, but it is more robust and less likely to fail than the original.
Fixed Precision OverlayThe way Overlay NG ensures robust results, is by falling back to more and more reliable noding approaches. “Noding” refers to how new vertices are introduced into geometries during the overlay process.
- Initially a naive “floating point” noding is used, that just uses double precision coordinates. This works most of the time, but occasionally fails when noding “almost parallel” edges.
- On failure, a “snapping” noding is used, which nudges nearby edges and nodes together within a tolerance. That works most of the time, but occasional fails.
- Finally, a “fixed precision” routing nudges all of the coordinates in both geometries into a fixed space, where edge collapses can be handled deterministically. This is the lowest performance approach, but it very very rarely occurs.
Sometimes, end users actually prefer to have their geometry forced into a fixed precision grid, and for overlay to use a fixed precision. For those users, with PostGIS 3.1 and GEOS 3.9 there are some new parameters in the intersection/union/difference functions.
- ST_Intersection(geometry geomA, geometry geomB,float8 gridSize)
- ST_Union(geometry geomA, geometry geomB, float8 gridSize)
- ST_Difference(geometry geomA, geometry geomB, float8 gridSize)
The new “gridSize” parameter determines the size of the grid to snap to when generating new outputs. This can be used both to generate new geometries, and also to precision reduce existing geometries, just be unioning a geometry with an empty geometry.
Inscribed CircleAs always, there are a few random algorithmic treats in each new GEOS release. For 3.9, there is the “inscribed circle”, which finds the large circle that can be fit inside a polygon (or any other boundary).
In addition to making a nice picture, the inscribed circle functions as a measure of the “wideness” of a polygon, so it can be used for things like analyzing river polygons to determine the widest point.
- PostGIS provides core functionality
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9:00
Paul Ramsey: Waiting for PostGIS 3.1: Grid Generators
sur Planet OSGeoThis post originally appeared on the Crunchy Data blog.
Summarizing data against a fixed grid is a common way of preparing data for analysis. Fixed grids have some advantages over natural and administrative boundaries:
- No appeal to higher authorities
- Equal unit areas
- Equal distances between cells
- Good for passing data from the “spatial” computational realm to a “non-spatial” realm
Ideally, we want to be able to generate grids that have some key features:
- Fixed origin point, so that grid can be re-generated and not move
- Fixed cell coordinates for a given cell size, so that the same cell can be referred to just using a cell address, without having to materialize the cell bounds
The ST_SquareGrid(size, bounds) function generates a grid with an origin at (0, 0) in the coordinate plane, and fills in the square bounds of the provided geometry.
SELECT (ST_SquareGrid(400000, ST_Transform(a.geom, 3857))).* FROM admin a WHERE name = 'Brazil';
So a grid generated using Brazil as the driving geometry looks like this.
ST_HexagonGrid()The ST_HexagonGrid(size, bounds) function works much the same as the square grid function.
Hexagons are popular for some cartographic display purposes and modeling purposes. Surprisingly they can also be indexed using the same two-dimensional indexing scheme as squares.
The hexagon grid starts with a (0, 0) hexagon centered at the origin, and the gridding for a bounds includes all hexagons that touch the bounds.
As with the square gridding, the coordinates of hexes are fixed for a particular gridding size.
SELECT (ST_HexagonGrid(100000, ST_Transform(a.geom, 3857))).* FROM admin a WHERE name = 'Germany';
Here’s a 100km hexagon gridding of Germany.
Summarizing with GridsIt’s possible to materialize grid-based summaries, without actually materializing the grids, using the generator functions to create the desired grids on-the-fly.
Here’s a summary of population points, using a hex grid.
SELECT sum(pop_max) as pop_max, hexes.geom FROM ST_HexagonGrid( 4.0, ST_SetSRID(ST_EstimatedExtent('places', 'geom'), 4326) ) AS hexes INNER JOIN places AS p ON ST_Intersects(p.geom, hexes.geom) GROUP BY hexes.geom;
It’s also possible to join up on-the-fly gridding to visualization tools, for very dynamic user experiences, feeding these dynamically generated grids out to the end user via pg_tileserv.
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9:00
Paul Ramsey: Waiting for PostGIS 3.1: Performance
sur Planet OSGeoThis post originally appeared on the Crunchy Data blog.
Open source developers sometimes have a hard time figuring out what feature to focus on, in order to generate the maximum value for end users. As a result, they will often default to performance.
Performance is the one feature that every user approves of. The software will keep on doing all the same cool stuff, only faster.
For PostGIS 3.1, there have been a number of performance improvements that, taken together, might add up to a substantial performance gain for your workloads.
Large Geometry CachingSpatial joins have been slowed down by the overhead of large geometry access for a very long time.
SELECT A.*, B.* FROM A JOIN B ON ST_Intersects(A.geom, B.geom)
PostgreSQL will plan and execute spatial joins like this using a “nested loop join”, which means iterating through one side of the join, and testing the join condition. This results in executions that look like:
- ST_Intersects(A.geom(1), B.geom(1))
- ST_Intersects(A.geom(1), B.geom(2))
- ST_Intersects(A.geom(1), B.geom(3))
So one side of the test repeats over and over.
Caching that side and avoiding re-reading the large object for each iteration of the loop makes a huge difference to performance. We have seen 20 times speed-ups in common spatial join workloads (see below).
The fixes are quite technical, but if you are interested we have a detailed write-up available.
Header-only Geometry ReadsThe on-disk format for geometry includes a short header that includes information about the geometry bounds, the spatial reference system and dimensionality. That means it’s possible for some functions to return an answer after only reading a few bytes of the header, rather than the whole object.
However, not every function that could do a fast read, did do a fast read. That is now fixed.
Faster Text GenerationIt’s pretty common for web applications and others to generate text formats inside the database, and the code for doing so was not optimized. Generating “well-known text” (WKT), GeoJSON, and KML output all now use a faster path and avoid unnecessary copying.
PostGIS also now uses the same number-to-text code as PostgreSQL, which has been shown to be faster, and also allows us to expose a little more control over precision to end users.
How Much Faster?For the specific use case of spatially joining, here is my favourite test case:
Load the data into both versions.
shp2pgsql -D -s 4326 -I ne_10m_admin_0_countries admin | psql postgis30 shp2pgsql -D -s 4326 -I ne_10m_populated_places places | psql postgis30
Run a spatial join that finds the sum of populated places in each country.
EXPLAIN ANALYZE SELECT Sum(p.pop_max) as pop_max, a.name FROM admin a JOIN places p ON ST_Intersects(a.geom, p.geom) GROUP BY a.name
Average time over 5 runs:
- PostGIS 3.0 = 23.4s
- PostGIS 3.1 = 0.9s
This test is somewhat of a “worst case”, in that there are lots of very large countries in the admin data, but it gives an idea of the kind of speed-ups that are available for spatial joins against collections that include larger (250+ coordinates) geometries.
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8:07
Mise à jour ArcGIS Velocity - Décembre 2020
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
ArcGIS Velocity est la solution 100% Saas d'Esri qui permet aux organisations d'ingérer, de visualiser, d'analyser et d'agir sur les données temps-réel issues de leurs capteurs. Elle permet également le stockage et le traitement des gros volumes de données historisées pour avoir comprendre les modèles, les tendances et les anomalies potentielles dans ces big data. La surveillance à distance de ses équipements, la maintenance prédictive et l'optimisation des processus sont quelques-uns des avantages que vous pouvez tirer de vos données IoT avec ArcGIS Velocity.
Comme le reste de la plateforme ArcGIS Online, ArcGIS Velocity est mis à jour régulièrement. Ci-dessous je vous propose un aperçu rapide de quelques évolutions importantes de cette version de Décembre 2020:
Général
Dans ArcGIS Velocity, les couches d'entités spatio-temporelles hébergées (Big Data) prennent en charge les mêmes propriétés d'accès et de contrôle sur les données que les couches d'entités, y compris les options relatives aux différents types de modifications autorisées.En outre, les options de visualisation pour la couche d'image de carte continuent d'être améliorée. Désormais, des options de rendu supplémentaires sont proposée lorsque l'agrégation dynamique passe à l'affichage des entités non-agrégées. Le rendu par classes de valeurs pour les entités non-agrégées prend désormais en charge les seuils naturels, les intervalles égaux, les écarts-types et les quantiles. Pour plus d'informations, voir Visualiser les couches d'images cartographiques .
Flux, sources de données et sorties Dans ArcGIS Velocity, les Flux sont des messages ou des sources de données entrant dans le système. Ils sont analysés en temps-réel ou stockés en tant que Big Data puis traité à posteriori.
Kafka est un des types de flux pris en charge par ArcGIS Velocity. Dans cette version, la méthode d'authentification SASL/PLAIN est désormais pris en charge pour les flux Kafka. Pour mémoire, Kafka est une plateforme open source de diffusion en continu qui permet de publier et de s'abonner à un flux de messages, et peut gérer des flux de données à très haute vitesse.
Plusieurs améliorations ont été apportées à la journalisation des flux et des sources de données. Par exemple, lors de l'interrogation d'un site web ou d'un flux RSS, les journaux sont désormais capturés avec des informations sur chaque requête, la durée de la requête et le nombre de messages d'événement reçus.
Une sortie est un résultat ou une action à exécuter comme étape finale d'une analyse en temps réel ou d'une analyse Big Data. Les analyses peuvent émettre des flux données vers une variété de destinations différentes, y compris le stockage de données dans une couche d'entités, l'envoi d'un e-mail, l'écriture dans un espace de stockage cloud et la transmission du flux de données vers un système tiers pour l'activation d'un équipement par exemple. Dans cette version de décembre, les formats JSON et GeoJSON peuvent désormais être définis comme format d'entité pour les types de sortie suivants: Azure IoT Hub, Azure Blob Store, Amazon S3, Kafka et RabbitMQ.
Analyses
Grâce aux analyses en temps réel et aux analyses Big Data, vous pouvez générer de véritables informations, riches et utiles, à partir de vos données IoT. Par exemple: détecter les incidents et les anomalies sur une série de données temps-réel, trouver des relations entre différents flux de données et découvrir des modèles ou des tendances dans vos données au fil du temps. Dans cette version, les analyses en temps réel ont été améliorées pour prendre en charge les traitements "avec état" (stateful). Ceci permet l'analyse en temps-réel permet notamment de détecter des changements entre le message courant et des messages antérieures relatif au même élément (équipement, véhicule, personne,...), tandis que les données sont activement diffusées. L'une des applications les plus courantes de l'analyse en temps réel "avec état" est la détection d'une entrée ou d'une sortie d'une emprise géographique spécifique (geofencing).
Il existe quatre nouveaux outils pour les analyses temps-réel "avec état":- Entrée/Sortie pour le filtrage par géométrie
Le filtrage spatial (geofencing) peut désormais être configuré pour définir la relation spatiale à entrer ou à sortir, vous permettant d'isoler lorsqu'un actif arrive ou quitte une zone d'intérêt. - Entrée/Sortie pour les entités de jointure
Vous pouvez définir l'entrée ou la sortie comme relation spatiale pour les entités de jointure. Cet outil peut être utilisé comme un outil d'enrichissement pour associer à un événement une information sur la zone traversée, comme enrichir une observation de navire avec la zone maritime dans laquelle elle se trouve. - Calculer les statistiques de mouvement
À l'aide de cet outil, vous pouvez enrichir les données de vos équipement avec des informations telles que la vitesse, la distance parcourue, l'accélération, etc. - Détecter les incidents
Avec la prise en charge du traitement "avec état", vous pouvez aller au-delà de l'évaluation de chaque message au fur et à mesure de son arrivée et identifier des incidents globaux identifiables par des conditions d'ouverture et de fermeture. Par exemple, ouvrir un incident lorsqu'un capteur de moteur de véhicule signale une valeur problématique et fermer l'incident si cette valeur revient à la normale ou si le véhicule retourne à son point de parking.
Et plus encore...
Pour une liste complète des améliorations de cette version de décembre, vous pouvez consulter la rubrique "Nouveautés" dans la documentation (forcer la langue en anglais pour visualiser la page actualisée pour décembre 2020).
Pour en savoir plus sur ArcGIS Velocity qui est une offre récente d'Esri, vous pouvez parcourir les ressources disponibles et accéder notamment aux vidéos produits, aux leçons rapides, à la documentation et plus encore ! - Entrée/Sortie pour le filtrage par géométrie
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18:08
Tableau 2020.4 : vous pouvez maintenant préparer vos données dans votre navigateur !
sur Décryptagéo, l'information géographiquePrincipales nouveautés de cette version : Tableau Prep Builder disponible dans votre navigateur pour des déploiements simplifiés en entreprise et dans le cloud, Resource Monitoring Tool maintenant disponible sur Linux et optimisation de l’analyse spatiale.
PARIS – 15 décembre 2020 : Tableau Software, leader de la solution data visualisation, annonce aujourd’hui le lancement de Tableau 2020.4. Cette nouvelle version simplifie la préparation et l’analyse des données en entreprise en apportant toutes les fonctionnalités de Tableau Prep dans le navigateur, via Tableau Server et Tableau Online. Cela permet de réduire les coûts de déploiement globaux, tout en simplifiant le processus de préparation des données. En effet, les analystes peuvent maintenant créer et modifier leurs flux directement dans le navigateur. Tableau 2020.4 apporte d’autres améliorations, comme la possibilité d’ajouter un nombre illimité de couches spatiales aux cartes, la surveillance des ressources (RMT, Resource Monitoring Tool) dans Linux, ou encore de nouveaux connecteurs natifs.« Tableau Prep démocratise la préparation des données en la rendant plus simple, plus visuelle et plus directe », explique François Ajenstat, directeur produit chez Tableau. « Désormais, chacun peut accéder aux flux de données, les créer et les modifier dans un navigateur Web, où qu’il se trouve. Concrètement, cela met la préparation de données à la portée de tous les collaborateurs.»
La préparation de données devient possible partout
Tableau Prep Builder est conçu pour aider les clients à combiner, remanier et nettoyer facilement leurs données avant de les analyser en utilisant de simples glisser-déposer, une convivialité que connaissent bien tous les utilisateurs Tableau. Dans la version 2020.4, tout cela peut être effectué intégralement dans un navigateur, ce qui simplifie les opérations en entreprise et permet aux administrateurs IT de centraliser la gestion du déploiement et le contrôle des versions, sans avoir à mettre à jour chaque machine. Désormais, les analystes peuvent se connecter à une source de données, nettoyer et préparer leurs données, créer des tableaux de bord pour réaliser des analyses et même partager leurs résultats, sans passer par une application sur leur ordinateur.
« Avec Tableau Prep dans le navigateur, l’étape de la préparation devient accessible à ceux qui connaissent le mieux les données », se réjouit Julien Beylat de la société The Information Lab. « Les équipes sont encore plus à même de préparer elles-mêmes leurs données, aussi souvent que nécessaire, afin d’en exploiter tout le potentiel. »
Surveillance des ressources sur Linux
Tableau Server sur Linux est une solution très intéressante pour les clients qui déploient Linux dans leurs environnements IT et qui ne souhaitent pas avoir à gérer une instance Windows pour leur déploiement Tableau. Resource Monitoring Tool (RMT) est maintenant disponible sur Linux. Avec Tableau 2020.4, les clients qui utilisent Server Management Add-On peuvent surveiller et dépanner proactivement leurs déploiements, avec une visibilité optimale sur les performances matérielles et logicielles. Auparavant disponible uniquement sur Windows, l’outil RMT sur Linux permet d’identifier les problèmes à l’origine d’un chargement plus long, les erreurs dans les extraits, ainsi que les autres problèmes critiques susceptibles de dégrader l’expérience utilisateur.
Autres nouveautés de Tableau 2020.4 :
- Fonctionnalités spatiales améliorées. Les clients analysant des données géospatiales peuvent désormais ajouter un nombre illimité de couches de repères d’une même source de données sur leurs cartes, et ainsi combiner plusieurs couches spatiales à des informations contextuelles pour faciliter la compréhension et les analyses. Par ailleurs, les utilisateurs Tableau peuvent désormais se connecter directement à des tables de données spatiales Amazon Redshift, préparer les données dans Tableau Prep, puis créer des cartes hors ligne avec Tableau Server.
- Améliorations apportées à la modélisation prédictive, comme l’ajout de la régression linéaire régularisée et du processus gaussien à la liste des modèles prédictifs. Il est facile de changer le modèle à utiliser dans le champ de calcul et de voir instantanément les effets sur les prédictions.
- Nouveaux connecteurs et améliorations des connecteurs existants, avec notamment une modification de l’API de connecteur Salesforce, qui permet une connexion directe aux derniers objets Salesforce, comme Work.com. Parmi les ajouts, citons notamment Datorama, ainsi que le tout nouveau connecteur de données Web COVID-19 qui permet d’accéder facilement aux données les plus récentes sur les tests COVID.
Pour en savoir plus sur cette nouvelle version ou pour l’essayer gratuitement, rendez-vous sur tableau.com/fr-fr/new-features.
À propos de Tableau
Tableau aide les utilisateurs à voir et comprendre leurs données. Sa plate-forme analytique en libre-service leur permet d’analyser leurs données, quel que soit leur niveau de compétence. De l’utilisateur isolé aux plus grands groupes, en passant par les organismes à but non lucratif et les administrations, des dizaines de milliers de clients partout dans le monde font confiance à Tableau pour faire ressortir des insights plus rapidement et prendre de meilleures décisions en s’appuyant sur les données. Découvrez comment Tableau peut vous aider en téléchargeant la version d’évaluation gratuite sur www.tableau.com/fr-fr/trial.
###Contacts Presse : L’AgenceRP
Lisa Hagen
06 69 30 95 58
lisa@lagencerp.comRaya Rizk
07 85 15 22 40
raya@lagencerp.comCet article Tableau 2020.4 : vous pouvez maintenant préparer vos données dans votre navigateur ! est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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18:08
Tableau 2020.4 : vous pouvez maintenant préparer vos données dans votre navigateur !
sur Les Rencontres DécryptagéoPrincipales nouveautés de cette version : Tableau Prep Builder disponible dans votre navigateur pour des déploiements simplifiés en entreprise et dans le cloud, Resource Monitoring Tool maintenant disponible sur Linux et optimisation de l’analyse spatiale.
PARIS – 15 décembre 2020 : Tableau Software, leader de la solution data visualisation, annonce aujourd’hui le lancement de Tableau 2020.4. Cette nouvelle version simplifie la préparation et l’analyse des données en entreprise en apportant toutes les fonctionnalités de Tableau Prep dans le navigateur, via Tableau Server et Tableau Online. Cela permet de réduire les coûts de déploiement globaux, tout en simplifiant le processus de préparation des données. En effet, les analystes peuvent maintenant créer et modifier leurs flux directement dans le navigateur. Tableau 2020.4 apporte d’autres améliorations, comme la possibilité d’ajouter un nombre illimité de couches spatiales aux cartes, la surveillance des ressources (RMT, Resource Monitoring Tool) dans Linux, ou encore de nouveaux connecteurs natifs.« Tableau Prep démocratise la préparation des données en la rendant plus simple, plus visuelle et plus directe », explique François Ajenstat, directeur produit chez Tableau. « Désormais, chacun peut accéder aux flux de données, les créer et les modifier dans un navigateur Web, où qu’il se trouve. Concrètement, cela met la préparation de données à la portée de tous les collaborateurs.»
La préparation de données devient possible partout
Tableau Prep Builder est conçu pour aider les clients à combiner, remanier et nettoyer facilement leurs données avant de les analyser en utilisant de simples glisser-déposer, une convivialité que connaissent bien tous les utilisateurs Tableau. Dans la version 2020.4, tout cela peut être effectué intégralement dans un navigateur, ce qui simplifie les opérations en entreprise et permet aux administrateurs IT de centraliser la gestion du déploiement et le contrôle des versions, sans avoir à mettre à jour chaque machine. Désormais, les analystes peuvent se connecter à une source de données, nettoyer et préparer leurs données, créer des tableaux de bord pour réaliser des analyses et même partager leurs résultats, sans passer par une application sur leur ordinateur.
« Avec Tableau Prep dans le navigateur, l’étape de la préparation devient accessible à ceux qui connaissent le mieux les données », se réjouit Julien Beylat de la société The Information Lab. « Les équipes sont encore plus à même de préparer elles-mêmes leurs données, aussi souvent que nécessaire, afin d’en exploiter tout le potentiel. »
Surveillance des ressources sur Linux
Tableau Server sur Linux est une solution très intéressante pour les clients qui déploient Linux dans leurs environnements IT et qui ne souhaitent pas avoir à gérer une instance Windows pour leur déploiement Tableau. Resource Monitoring Tool (RMT) est maintenant disponible sur Linux. Avec Tableau 2020.4, les clients qui utilisent Server Management Add-On peuvent surveiller et dépanner proactivement leurs déploiements, avec une visibilité optimale sur les performances matérielles et logicielles. Auparavant disponible uniquement sur Windows, l’outil RMT sur Linux permet d’identifier les problèmes à l’origine d’un chargement plus long, les erreurs dans les extraits, ainsi que les autres problèmes critiques susceptibles de dégrader l’expérience utilisateur.
Autres nouveautés de Tableau 2020.4 :
- Fonctionnalités spatiales améliorées. Les clients analysant des données géospatiales peuvent désormais ajouter un nombre illimité de couches de repères d’une même source de données sur leurs cartes, et ainsi combiner plusieurs couches spatiales à des informations contextuelles pour faciliter la compréhension et les analyses. Par ailleurs, les utilisateurs Tableau peuvent désormais se connecter directement à des tables de données spatiales Amazon Redshift, préparer les données dans Tableau Prep, puis créer des cartes hors ligne avec Tableau Server.
- Améliorations apportées à la modélisation prédictive, comme l’ajout de la régression linéaire régularisée et du processus gaussien à la liste des modèles prédictifs. Il est facile de changer le modèle à utiliser dans le champ de calcul et de voir instantanément les effets sur les prédictions.
- Nouveaux connecteurs et améliorations des connecteurs existants, avec notamment une modification de l’API de connecteur Salesforce, qui permet une connexion directe aux derniers objets Salesforce, comme Work.com. Parmi les ajouts, citons notamment Datorama, ainsi que le tout nouveau connecteur de données Web COVID-19 qui permet d’accéder facilement aux données les plus récentes sur les tests COVID.
Pour en savoir plus sur cette nouvelle version ou pour l’essayer gratuitement, rendez-vous sur tableau.com/fr-fr/new-features.
À propos de Tableau
Tableau aide les utilisateurs à voir et comprendre leurs données. Sa plate-forme analytique en libre-service leur permet d’analyser leurs données, quel que soit leur niveau de compétence. De l’utilisateur isolé aux plus grands groupes, en passant par les organismes à but non lucratif et les administrations, des dizaines de milliers de clients partout dans le monde font confiance à Tableau pour faire ressortir des insights plus rapidement et prendre de meilleures décisions en s’appuyant sur les données. Découvrez comment Tableau peut vous aider en téléchargeant la version d’évaluation gratuite sur www.tableau.com/fr-fr/trial.
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18:00
The Legacy of Redlining
sur Google Maps ManiaCovid-19 has brought into stark relief the often shocking disparities in health provision in most American cities. Black Americans have been disproportionately infected by Covid-19 and have disproportionately died as a result of catching the virus. A new website from the University of Richmond's Digital Scholarship Lab suggests that this is at least partly due to the historical inequality of
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17:45
MAPublisher 10.7 est désormais disponible !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlain Olivier Géomatique et Avenza Systems Inc. sont heureux d’annoncer la sortie de MAPublisher® 10.7 pour Adobe Illustrator®.Cette version de MAPublisher assure une compatibilité continue avec Adobe Illustrator 2021 et macOS Big Sur. Les améliorations apportées aux types de licence incluent une nouvelle licence flottante Cloud offrant une configuration plus facile à la fois pour les administrateurs et les utilisateurs finaux.
Les améliorations et nouvelles fonctionnalités de MAPublisher 10.7 sont les suivantes :– Compatibilité avec Adobe Illustrator 2021 sur Mac et Windows
– Compatibilité avec macOS 11 Big Sur
– Accès aux licences flottantes depuis le Cloud
– Améliorations de l’interface utilisateur et de l’ergonomie
Pour télécharger cette mise à jour, cliquez ici : [www.mapublisher.fr]
MAPublisher est un puissant logiciel de production cartographique pour la création de cartes de haute qualité à partir de données SIG. MAPublisher est un ensemble de filtres pour Adobe Illustrator qui renforcent ce logiciel d’édition graphique par de très nombreuses fonctionnalités cartographiques incluant notamment l’import/export des principaux formats SIG avec toute l’information attributaire alphanumérique, intacte et utilisable pour de nombreuses opérations (requêtes, créations de cartes thématiques, indexation, jointures, étiquetage sans collision avec MAPublisher Label Pro, etc.). Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.mapublisher.fr] .
Avenza Systems Inc. est une société qui fournit aux cartographes de puissants outils logiciels pour réaliser les meilleures cartes possibles. Outre les logiciels sous Windows, OS X et iOS, la société propose des jeux de données, des sessions de formations et des conseils. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.avenza.com] .
Alain Olivier Géomatique est partenaire de Avenza Systems Inc. en France et distributeur actif d’outils innovateurs pour la géomatique et l’édition cartographique. La combinaison d’une vaste connaissance de la géomatique et d’un haut niveau de services a fait ses preuves auprès de nombreux clients francophones à travers le monde, en particulier dans le support technique et la formation. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.geomatique.fr] .
Alain Olivier Géomatique
04 79 64 34 35
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Les améliorations et nouvelles fonctionnalités de MAPublisher 10.7 sont les suivantes :– Compatibilité avec Adobe Illustrator 2021 sur Mac et Windows
– Compatibilité avec macOS 11 Big Sur
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– Améliorations de l’interface utilisateur et de l’ergonomie
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MAPublisher est un puissant logiciel de production cartographique pour la création de cartes de haute qualité à partir de données SIG. MAPublisher est un ensemble de filtres pour Adobe Illustrator qui renforcent ce logiciel d’édition graphique par de très nombreuses fonctionnalités cartographiques incluant notamment l’import/export des principaux formats SIG avec toute l’information attributaire alphanumérique, intacte et utilisable pour de nombreuses opérations (requêtes, créations de cartes thématiques, indexation, jointures, étiquetage sans collision avec MAPublisher Label Pro, etc.). Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre à l’adresse suivante : [www.mapublisher.fr] .
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17:16
[Expo] All over the maps, Paula Sher (2020)
sur Carnet (neo)cartographiquePaula Sher est une artiste peintre qui fabrique des œuvres cartographiques pour se poser, une activité qui la « force à être patiente, un trait de caractère » qui lui manquerait. Familière du mouvement actuel de data visualisation, elle y participe via son art.
« La conception se fait rapidement sur ordinateur et la peinture est laborieuse. Le design est social. La peinture est isolante. Le design a un but. L’art n’a pas de but. Je ne peux pas imaginer l’un sans l’autre. » Elle évoque dans un entretien pour The Atlantic (2011) le fait que parce que l’information existe, elle doit avoir l’air scientifique, d’où le rôle joué par l’ordinateur pour standardiser la production visuelle, la dataviz de sorte que, finalement, « l’information réfléchit pour vous et vous n’avez pas besoin de réfléchir du tout. Je suis peut-être un précurseur de cela, mais j’espère que ce n’est pas le cas ».
Mais pourquoi donc avoir choisi de peindre des cartes ?
« Je suis obsédée par les tableaux, les graphiques, les diagrammes et les cartes depuis trente ans … »
Parce qu’elle a toujours baigné dans la cartographie.
Paula Sher tire en effet sa passion pour la carte, la cartographie traditionnelle de celle mise en œuvre par son père, un ingénieur civil qui était photogrammètre à l’USGS (United States Géological Survey). Elle se plait d’ailleurs à dire que lui qui s’occupait à mesurer des distances entre les formes d’occupation du sol, pour réaliser les référentiels géographiques américains (les vraies cartes, donc, celles aux mesures supposées exactes) lui a toujours parlé de l’inexactitude des cartes : « Toutes les cartes mentent ».Si cette expression « Toutes les cartes mentent » est pratiquement tombée dans le domaine public – n’importe qui évoquant le mensonge des cartes, surtout à propos de leur projection ou des statistiques dont elles décrivent la géographie [ce qui ne relève pas d’un mensonge, mais passons] – le père de Paula Scher est probablement de ceux qui savent de quoi ils parlent en matière de « mensonge » des cartes.
Il connaissait en effet probablement mieux que d’autres cette impossible exactitude des cartes, fussent t’elle issues d’un dispositif de mesure sophistiqué. L’appareil qu’il a d’ailleurs inventé, le Stereo Template, avait justement pour objectif de corriger les apparentes erreurs de mesures lues sur les cartes, erreurs liées aux distorsions provenant du passage entre la photographie aérienne et la carte imprimée [voir ici].
Par les travaux de son père, Paula Sher s’est ainsi très tôt familiarisée avec le dessin cartographique qu’elle met en œuvre sous une forme artistique, selon différentes techniques : peinture, gravure, installations monumentales…
« … et je les utilise comme une forme de satire et de commentaire social dans mon travail de conception »
La série « All over the maps » évoquée ici a récemment fait l’objet d’une exposition en ligne (du 9 octobre au 8 novembre 2020).
Elle illustre, de mon point de vue, cette profusion mondiale de cartes proposées à tous les niveaux, à toutes les échelles…
Cependant, à l’heure de ce ralentissement global imposé par la pandémie, ces cartes m’ont directement évoqué toutes ces mises en relations rendues possibles par tous ces réseaux sociaux faisant la part belle à une image de plus en plus souvent cartographique et qui, finalement, plutôt que de nous détendre ou de nous aérer, en nous ouvrant sur un ailleurs, saturent nos espaces visuels, encombrent nos espaces privés.
World Trade Routes ((Paula Scher, 2018).
Il est de plus amusant de constater que ces cartes décriant la profusion de la circulation de biens de consommation, sont publiées à l’heure où les personnes sont empêchées de circuler !
D’après la galerie SeemsRed qui accueille l’artiste [Voir], les cartes de Paula Scher mettent en évidence la « (…) sur-stimulation de notre époque moderne et la publicité constante, les nouvelles, les signes et les symboles qui nous entourent dans notre vie quotidienne. Les représentations sans équivoque de l’abondance que fait l’artiste sont en quelque sorte une méta-étude de la sémiotique, dans le cadre de sa propre satire schérienne caractéristique. »
Les cartes proposées sont assez étonnament et dans l’ensemble, plutôt très chargées, comme pour évoquer la complexité de la réalité. Cependant, retranscrire cette complexité, l’autrice fait ce que nous faisons tous à savoir sélectionner l’information pour in fine proposer des cartes très spécialisées : elles décrivent des courbes de niveaux, des réseaux et échanges de toutes sortes apparentes.
Sur les cartes de réseaux, l’artiste décide de montrer la vision relationnelle du monde : lke commerce international mondial (voir ci-dessus), les distances inter états aux Etats-Unis comme dans USA distances (ci-dessous), ou encore l’enchevêtrement de lignes du métro de Londres [voir ici].
[Voir] d’autres cartes sur le site de la galerie.
Références mentionnées :
– Paula-scher-all-over-the-map online exhibition (2020)
– Paula Scher Makes Enormous Maps That Are Only Sort of Right, The Atlantic (2011)Géographe et cartographe, Chargée de recherches à l'IFSTTAR et membre-associée de l'UMR 8504 Géographie-Cités.
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11:23
3D Models with 3D Terrain
sur Google Maps ManiaVersion 2 of the Mapbox GL JS mapping library includes the option to view the world's terrain in 3D. Mapbox is also very good at displaying 3D models. Combine the new 3D terrain with a 3D model and you can produce a very realistic looking 3D map. For example check-out this 3D Map of the Golden Gate Bridge.I had a little look at the source code on the 3D Map of the Golden Bridge and it appears
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10:28
La cartographie participative pour lutter contre le développement des décharges sauvages
sur Veille cartographieCet article La cartographie participative pour lutter contre le développement des décharges sauvages est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Cartographie paticipative ou comment tous devenir acteur de la protection de notre environnement ? C’est en parallèle de la COP24 qui a eu lieu en décembre 2018 que le site d’informations FranceInfo lance le #AlertePollution. Il s’agit là d’une enquête participative permettant à tous de signaler des sites pollués via un formulaire. Le but ? Recenser […]
Cet article La cartographie participative pour lutter contre le développement des décharges sauvages est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
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10:23
L’Observatoire des Territoires et l’Open Data en France
sur Veille cartographieCet article L’Observatoire des Territoires et l’Open Data en France est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Des territoires et des données ouvertes (open data) : La France métropolitaine et les efforts des collectivités vers l’ouverture numérique Désormais omniprésentes, les données ouvertes (open data) sont des informations quantitatives et/ou qualitatives, facilement accessibles pour tout le monde. Ces données sont ensuite utilisées et partagées et permettent de créer des analyses, des cartographies, des applications… […]
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10:20
Des cartes en ligne pour calculer la zone de 20 km autour de chez nous pendant le confinement
sur Veille cartographieCet article Des cartes en ligne pour calculer la zone de 20 km autour de chez nous pendant le confinement est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Un déconfinement progressif A compter d’aujourd’hui, le 15 décembre 2020, nos déplacements personnels ne sont plus limités spatialement. En effet, depuis le second confinement annoncé le 28 octobre, nous n‘étions plus autorisés à nous rendre à plus de quelques kilomètres de chez nous en raison de la crise sanitaire. A partir du 30 octobre, les […]
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9:38
Les 50 idées utilisateurs qui seront intégrées dans ArcGIS Pro 2.7
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierLa version 2.7 d'ArcGIS Pro sortira dans quelques jours (en version anglaise). Comme chaque mise à jour elle sera particulièrement riche en nouvelles fonctionnalités mais aussi en termes de d'améliorations des interfaces et des outils existants.
Plus que jamais, Esri construit la roadmap et les évolutions d'ArcGIS Pro en se basant sur les retours des utilisateurs (via ideas.arcgis.com). Pour vous en convaincre, Esri vient de mettre en ligne cette vidéo qui reprend 50 idées reprises dans la cette prochaine mise à jour d'ArcGIS Pro 2.7.
Je reviendrai plus tard cette semaine sur les principales évolutions de cette version 2.7 qui sortira en fin de semaine et qui propose des évolutions géniales sur plus d'un aspect...
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20:01
Singapour, la « Nation Intelligente » : Virtual Singapore
sur Veille cartographieCet article Singapour, la « Nation Intelligente » : Virtual Singapore est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Qu’est-ce que le Virtual Singapore ? « Virtual Singapore » ou « Singapour Virtuel » est un outil collaboratif de modélisation dynamique en trois dimensions de Singapour. Ce projet, mené par la Fondation Nationale de la Recherche Singapourienne est voué, une fois terminé, à devenir la plateforme numérique 3D faisant autorité. Virtual Singapore sera à l’usage d’acteurs […]
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19:01
Le Groupe Delta Drone fortement engagé dans la formation des télépilotes et opérateurs de drones civils à usage professionnel
sur Décryptagéo, l'information géographiqueDelta Drone, acteur majeur du secteur des drones civils à usage professionnel, développe son activité « formation » à travers de sa filiale Techni Drone, leader français de la formation des télépilotes avec plus de 2 000 personnes formées depuis 2013. Localisée à Dardilly près de Lyon Techni Drone bénéficie de l’expertise d’anciens instructeurs pilotes professionnels pour prodiguer des formations aux élèves sur des sujets toujours plus spécialisés.Dotée d’un espace flambant neuf composé d’une salle d’instruction de plus de 100m² et de zones extérieures et intérieures pour les travaux pratiques, Techni Drone propose des formations de pointe pour ses clients équipés des solutions professionnelles Delta Drone, mais aussi des sessions « intra-entreprise » pour le compte de grands groupes désireux de former son personnel à l’utilisation de drones de tous types.
Afin d’être au plus près des clients et d’offrir le meilleur service, des centres de formations temporaires sont mis en place à Paris, Nantes, Arcachon, Toulouse, Avignon, Cannes, mais aussi en Guadeloupe et en Suisse.
Depuis le début de la pandémie actuelle, le groupe s’est également adapté et a élargi son offre en proposant des formations en visioconférence.
Avec plus de 213 stagiaires formés et plus de 15 000 heures de formations dispensées en 2019, Techni Drone met un accent particulier et permanent sur la définition précise des formations pratiques et théoriques adaptées au mieux de la demande du client, permettant le développement des compétences et des qualifications des télépilotes. La qualité de l’enseignement permet de maintenir, à chaque instant, un niveau d’exigence élevé. Une fois par an, il est également proposé aux stagiaires un contrôle du maintien des compétences ainsi qu’une remise à niveau, suivant une méthodologie conforme aux usages du secteur aéronautique.
L’activité formation constitue un axe stratégique important pour le groupe au sein de son pôle « services associés ». Il devrait connaître un nouvel élan avec l’ouverture prochaine d’un centre de formation en Afrique du Sud, en étroite collaboration avec l’Université de Pretoria.
En France, Techni Drone prévoit d’accroitre son offre de formation à distance, qui comprendra également des sessions d’assistance de 30 minutes en ligne avec un formateur en fonction des besoins.
En totale cohérence avec la stratégie de « dronifier » des métiers et des secteurs d’activité, Delta Drone et sa filiale Techni Drone ont pour ambition d’intégrer la formation « drone » directement au sein de l’enseignement académique, dans les écoles du bâtiment et des travaux publics par exemple, afin de former les étudiants qui seront les professionnels des drones de demain.
A propos de Delta Drone : Le Groupe Delta Drone est un acteur international reconnu du secteur des drones civils à usage professionnel. Il développe une gamme de solutions professionnelles basées sur la technologie des drones ainsi que tous les services associés qui forment une chaine de valeur complète.
L’action Delta Drone est cotée sur le marché Euronext Growth Paris – Code ISIN : FR0011522168
Sont également cotés sur Euronext Growth des BSA Y – Code ISIN : FR 0013400991
Louise Caetano+33 1 55 02 15 13
Sarah Ousahla
+33 1 55 02 15 31
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Le Groupe Delta Drone fortement engagé dans la formation des télépilotes et opérateurs de drones civils à usage professionnel
sur Les Rencontres DécryptagéoDelta Drone, acteur majeur du secteur des drones civils à usage professionnel, développe son activité « formation » à travers de sa filiale Techni Drone, leader français de la formation des télépilotes avec plus de 2 000 personnes formées depuis 2013. Localisée à Dardilly près de Lyon Techni Drone bénéficie de l’expertise d’anciens instructeurs pilotes professionnels pour prodiguer des formations aux élèves sur des sujets toujours plus spécialisés.Dotée d’un espace flambant neuf composé d’une salle d’instruction de plus de 100m² et de zones extérieures et intérieures pour les travaux pratiques, Techni Drone propose des formations de pointe pour ses clients équipés des solutions professionnelles Delta Drone, mais aussi des sessions « intra-entreprise » pour le compte de grands groupes désireux de former son personnel à l’utilisation de drones de tous types.
Afin d’être au plus près des clients et d’offrir le meilleur service, des centres de formations temporaires sont mis en place à Paris, Nantes, Arcachon, Toulouse, Avignon, Cannes, mais aussi en Guadeloupe et en Suisse.
Depuis le début de la pandémie actuelle, le groupe s’est également adapté et a élargi son offre en proposant des formations en visioconférence.
Avec plus de 213 stagiaires formés et plus de 15 000 heures de formations dispensées en 2019, Techni Drone met un accent particulier et permanent sur la définition précise des formations pratiques et théoriques adaptées au mieux de la demande du client, permettant le développement des compétences et des qualifications des télépilotes. La qualité de l’enseignement permet de maintenir, à chaque instant, un niveau d’exigence élevé. Une fois par an, il est également proposé aux stagiaires un contrôle du maintien des compétences ainsi qu’une remise à niveau, suivant une méthodologie conforme aux usages du secteur aéronautique.
L’activité formation constitue un axe stratégique important pour le groupe au sein de son pôle « services associés ». Il devrait connaître un nouvel élan avec l’ouverture prochaine d’un centre de formation en Afrique du Sud, en étroite collaboration avec l’Université de Pretoria.
En France, Techni Drone prévoit d’accroitre son offre de formation à distance, qui comprendra également des sessions d’assistance de 30 minutes en ligne avec un formateur en fonction des besoins.
En totale cohérence avec la stratégie de « dronifier » des métiers et des secteurs d’activité, Delta Drone et sa filiale Techni Drone ont pour ambition d’intégrer la formation « drone » directement au sein de l’enseignement académique, dans les écoles du bâtiment et des travaux publics par exemple, afin de former les étudiants qui seront les professionnels des drones de demain.
A propos de Delta Drone : Le Groupe Delta Drone est un acteur international reconnu du secteur des drones civils à usage professionnel. Il développe une gamme de solutions professionnelles basées sur la technologie des drones ainsi que tous les services associés qui forment une chaine de valeur complète.
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18:53
CARL Berger-Levrault lance CARL Source 6 : Une nouvelle version du logiciel GTP et GMAO tournée vers le futur
sur Décryptagéo, l'information géographiqueCARL Berger-Levrault, expert en solutions de gestion du patrimoine technique, présente la nouvelle version de son logiciel CARL Source. Doté d’évolutions ergonomiques, d’améliorations métiers et d’innovations autour de l’Internet des objets, du BIM ou encore de fonctionnalités étendues dans la mobilité, CARL Source 6 est une version majeure de l’offre de l’éditeur.« CARL Source 6 est le fruit de développements animés en collaboration avec des clients référents, impliqués au quotidien dans la gestion de leurs parcs techniques. Les évolutions fonctionnelles ou ergonomiques ont ainsi été éprouvées in-situ, dans le cadre des chantiers de développement menés selon des processus agiles », indique Tugdual le Bouar, Directeur Général de CARL Berger-Levrault.
« Cette nouvelle version concrétise la transformation de notre offre GMAO / GTP, et intègre une plateforme unifiée et digitale de gestion des équipements. Cette plateforme combine des processus de gestion optimisés du cycle de vie des actifs, la dimension graphique et cartographique (plan, SIG, BIM), le big data et l’intelligence artificielle.
Au travers de ses solutions innovantes, CARL Source 6 accélère, pour nos utilisateurs, l’entrée dans l’univers de l’industrie 4.0, du smart building ou de la smart city. Il répond ainsi aux enjeux de performance économique et technique du pilotage de la maintenance », déclare Tugdual Le Bouar.
Une nouvelle ergonomie et plus de fonctions métiers :Le premier contact avec le progiciel est essentiel pour l’adhésion des acteurs de l’application, ainsi cette version fait peau neuve dès sa page d’accueil. CARL Source 6 étend ses possibilités de contextualisation (couleurs, logos…) selon la charte de l’entreprise qui l’utilise. Le portail d’accueil a été enrichi (nouveaux widgets), et sa manipulation est repensée. Le portail informe, alerte et oriente l’utilisateur dans les actions qu’il doit mener au quotidien.
Un axe clé visait à optimiser la rapidité d’accès aux contenus. Ainsi, une fonction de recherche full texte paramétrable permet de traiter et d’extraire l’information utile à partir d’un grand volume de données (base NoSQL). De plus, des « timeline » (ligne de temps) dédiées aux informations importantes ont été mises en place pour faciliter la compréhension de l’avancement d’un processus ou le cycle de vie d’un équipement.
Les possibilités liées à la publication de contenus à destination d’acteurs externes ont été étendues. Par exemple, l’envoi programmé du rapport d’activité toutes les semaines ou la réception du compte-rendu d’intervention…
Le pilotage de la maintenance simplifiéLa planification des ressources : un casse-tête pour le manager !
CARL Source 6 intègre un nouveau planning graphique des ressources, esthétique, pensé pour la maintenance. L’affectation d’interventions via un panier, le déplacement et la permutation des ressources ou des moyens matériels par drag & drop, ainsi que les possibilités de personnalisation au contexte métier constituent ses principaux atouts.L’interopérabilité avec les outils de gestion de Ressources Humaines a été enrichie. En effet, une partie des informations proviennent de systèmes tiers (ex : congés, RTT…) et leur intégration est maintenant simplifiée.
Une offre en mobilité enrichie
Pionnier en GMAO mobile, CARL Berger-Levrault s’est distingué par la fourniture d’applications mobiles sur mesure répondant aux besoins des utilisateurs. Fort des succès remportés par CARL Touch et CARL Flash, l’éditeur complète sa gamme d’applications mobiles avec CARL Xpress, et renforce les fonctionnalités de sa gamme mobile.CARL Xpress, une nouvelle application pour les techniciens et prestataires : intuitive et simple, CARL Xpress permet, en quelques clics, de réaliser des comptes-rendus express. Son ergonomie épurée exploite les dispositifs favorisant les échanges (Chat) et l’acquisition d’informations (dictée vocale, multimédia, NFC, QrCode…). L’application est destinée à tous les agents, internes ou externes à l’entreprise (équipes de production, organismes de contrôle, techniciens SAV…) amenés à réaliser des actes de maintenance ou des diagnostics élémentaires.
CARL Touch, l’application dédiée aux agents itinérants, aux gestionnaires de stocks, accroit ses capacités fonctionnelles : dotée d’un moteur de synchronisation optimisé (base NoSQL), CARL Touch 6 offre une solution adaptée aux organisations d’envergure (plusieurs milliers d’accès concurrents) en garantissant le transfert de données et de documents dont le volume est souvent corrélé avec l’étendue du patrimoine maintenu. CARL Touch s’enrichit de fonctionnalités pour les acteurs maintenance : le suivi des activités permet de distinguer les temps en cours ou hors interventions, et toutes occupations hors maintenance. Des assistants intelligents simplifient l’enregistrement des actions de pose, dépose ou d’échanges standard d’équipements lors d’une intervention.
Le gestionnaire de stock peut également réaliser les actions de réception d’achats ou de transfert. Le contrôle de réception, l’enregistrement des litiges ou la prise de photos améliorent la couverture de cette activité.
Enfin la technologie NFC est intégrée à l’ensemble des processus de gestion des équipements ou des articles.CARL Flash, l’application de demande de services tout public : elle permet aux utilisateurs d’un bien, d’un équipement ou d’un espace public de solliciter, pour des besoins variés, les services techniques chargés d’en assurer la maintenance.
Le réglementaire sans peine :CARL Source 6 et ses options mobiles apportent à nos clients une réelle facilité et efficacité pour assurer la conformité avec la réglementation RGPD. Cette démarche autour de la conformité réglementaire est en parfaite cohérence avec les fondamentaux du groupe Berger-Levrault.
Des innovations tournées vers l’avenirUn Connecteur IFC BIM assure l’intégration des informations issues des maquettes numériques 3D relatives aux bâtiments et infrastructures. Ainsi, la continuité du BIM construction vers le BIM exploitation maintenance est assurée. Les données de la maquette (locaux, équipements, réseaux) sont récupérées de manière itérative dès la phase de conception et sont intégrées dans CARL Source 6. Le gain de temps est indéniable, le passage en cycle de maintenance est immédiat, pour les travaux de construction ou de rénovation.
Une Plateforme IoT : CARL Berger-Levrault lance sa propre plateforme IoT dédiée à la maintenance. Capable de traiter toutes les composantes de la chaîne IoT, du capteur à la valorisation des données dans la GMAO, elle permet aux services techniques de disposer des données prévisionnelles nécessaires au déclenchement optimal de la maintenance.
À propos de CARL Berger-LevraultCARL Software, expert en solutions de gestion du patrimoine technique et de la maintenance depuis plus de 30 ans a rejoint le groupe Berger-Levrault en mai 2018. Il fait évoluer son nom de marque : CARL Berger-Levrault.
Le groupe Berger-Levrault, éditeur de logiciels international, accompagne les professionnels privés et publics à répondre aux exigences croissantes de performance et de transformation digitale de leurs métiers.
Avec plus de 50 000 clients et 1 800 collaborateurs en France, en Espagne, au Canada et au Maroc, le Groupe adresse, les collectivités et administrations locales, les entreprises privées, les industries, les établissements médico-sociaux, le secteur hospitalier et le monde de l’éducation.?L’ambition de Berger-Levrault est de faire bénéficier ses utilisateurs du formidable potentiel du numérique au travers de plateformes de services à l’heure de l’ouverture massive des données et des interfaces intelligentes.
En 2019, le groupe Berger-Levrault (Siège social à Boulogne Billancourt/Paris) a réalisé un CA de 168 M€ dont 20% réalisés à l’international.Contact Presse : Agence Abrasive?
Aimée Le Goff : 06 24 00 00 18
eMail : aimee@abrasive.frCet article CARL Berger-Levrault lance CARL Source 6 : Une nouvelle version du logiciel GTP et GMAO tournée vers le futur est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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18:53
CARL Berger-Levrault lance CARL Source 6 : Une nouvelle version du logiciel GTP et GMAO tournée vers le futur
sur Les Rencontres DécryptagéoCARL Berger-Levrault, expert en solutions de gestion du patrimoine technique, présente la nouvelle version de son logiciel CARL Source. Doté d’évolutions ergonomiques, d’améliorations métiers et d’innovations autour de l’Internet des objets, du BIM ou encore de fonctionnalités étendues dans la mobilité, CARL Source 6 est une version majeure de l’offre de l’éditeur.« CARL Source 6 est le fruit de développements animés en collaboration avec des clients référents, impliqués au quotidien dans la gestion de leurs parcs techniques. Les évolutions fonctionnelles ou ergonomiques ont ainsi été éprouvées in-situ, dans le cadre des chantiers de développement menés selon des processus agiles », indique Tugdual le Bouar, Directeur Général de CARL Berger-Levrault.
« Cette nouvelle version concrétise la transformation de notre offre GMAO / GTP, et intègre une plateforme unifiée et digitale de gestion des équipements. Cette plateforme combine des processus de gestion optimisés du cycle de vie des actifs, la dimension graphique et cartographique (plan, SIG, BIM), le big data et l’intelligence artificielle.
Au travers de ses solutions innovantes, CARL Source 6 accélère, pour nos utilisateurs, l’entrée dans l’univers de l’industrie 4.0, du smart building ou de la smart city. Il répond ainsi aux enjeux de performance économique et technique du pilotage de la maintenance », déclare Tugdual Le Bouar.
Une nouvelle ergonomie et plus de fonctions métiers :Le premier contact avec le progiciel est essentiel pour l’adhésion des acteurs de l’application, ainsi cette version fait peau neuve dès sa page d’accueil. CARL Source 6 étend ses possibilités de contextualisation (couleurs, logos…) selon la charte de l’entreprise qui l’utilise. Le portail d’accueil a été enrichi (nouveaux widgets), et sa manipulation est repensée. Le portail informe, alerte et oriente l’utilisateur dans les actions qu’il doit mener au quotidien.
Un axe clé visait à optimiser la rapidité d’accès aux contenus. Ainsi, une fonction de recherche full texte paramétrable permet de traiter et d’extraire l’information utile à partir d’un grand volume de données (base NoSQL). De plus, des « timeline » (ligne de temps) dédiées aux informations importantes ont été mises en place pour faciliter la compréhension de l’avancement d’un processus ou le cycle de vie d’un équipement.
Les possibilités liées à la publication de contenus à destination d’acteurs externes ont été étendues. Par exemple, l’envoi programmé du rapport d’activité toutes les semaines ou la réception du compte-rendu d’intervention…
Le pilotage de la maintenance simplifiéLa planification des ressources : un casse-tête pour le manager !
CARL Source 6 intègre un nouveau planning graphique des ressources, esthétique, pensé pour la maintenance. L’affectation d’interventions via un panier, le déplacement et la permutation des ressources ou des moyens matériels par drag & drop, ainsi que les possibilités de personnalisation au contexte métier constituent ses principaux atouts.L’interopérabilité avec les outils de gestion de Ressources Humaines a été enrichie. En effet, une partie des informations proviennent de systèmes tiers (ex : congés, RTT…) et leur intégration est maintenant simplifiée.
Une offre en mobilité enrichie
Pionnier en GMAO mobile, CARL Berger-Levrault s’est distingué par la fourniture d’applications mobiles sur mesure répondant aux besoins des utilisateurs. Fort des succès remportés par CARL Touch et CARL Flash, l’éditeur complète sa gamme d’applications mobiles avec CARL Xpress, et renforce les fonctionnalités de sa gamme mobile.CARL Xpress, une nouvelle application pour les techniciens et prestataires : intuitive et simple, CARL Xpress permet, en quelques clics, de réaliser des comptes-rendus express. Son ergonomie épurée exploite les dispositifs favorisant les échanges (Chat) et l’acquisition d’informations (dictée vocale, multimédia, NFC, QrCode…). L’application est destinée à tous les agents, internes ou externes à l’entreprise (équipes de production, organismes de contrôle, techniciens SAV…) amenés à réaliser des actes de maintenance ou des diagnostics élémentaires.
CARL Touch, l’application dédiée aux agents itinérants, aux gestionnaires de stocks, accroit ses capacités fonctionnelles : dotée d’un moteur de synchronisation optimisé (base NoSQL), CARL Touch 6 offre une solution adaptée aux organisations d’envergure (plusieurs milliers d’accès concurrents) en garantissant le transfert de données et de documents dont le volume est souvent corrélé avec l’étendue du patrimoine maintenu. CARL Touch s’enrichit de fonctionnalités pour les acteurs maintenance : le suivi des activités permet de distinguer les temps en cours ou hors interventions, et toutes occupations hors maintenance. Des assistants intelligents simplifient l’enregistrement des actions de pose, dépose ou d’échanges standard d’équipements lors d’une intervention.
Le gestionnaire de stock peut également réaliser les actions de réception d’achats ou de transfert. Le contrôle de réception, l’enregistrement des litiges ou la prise de photos améliorent la couverture de cette activité.
Enfin la technologie NFC est intégrée à l’ensemble des processus de gestion des équipements ou des articles.CARL Flash, l’application de demande de services tout public : elle permet aux utilisateurs d’un bien, d’un équipement ou d’un espace public de solliciter, pour des besoins variés, les services techniques chargés d’en assurer la maintenance.
Le réglementaire sans peine :CARL Source 6 et ses options mobiles apportent à nos clients une réelle facilité et efficacité pour assurer la conformité avec la réglementation RGPD. Cette démarche autour de la conformité réglementaire est en parfaite cohérence avec les fondamentaux du groupe Berger-Levrault.
Des innovations tournées vers l’avenirUn Connecteur IFC BIM assure l’intégration des informations issues des maquettes numériques 3D relatives aux bâtiments et infrastructures. Ainsi, la continuité du BIM construction vers le BIM exploitation maintenance est assurée. Les données de la maquette (locaux, équipements, réseaux) sont récupérées de manière itérative dès la phase de conception et sont intégrées dans CARL Source 6. Le gain de temps est indéniable, le passage en cycle de maintenance est immédiat, pour les travaux de construction ou de rénovation.
Une Plateforme IoT : CARL Berger-Levrault lance sa propre plateforme IoT dédiée à la maintenance. Capable de traiter toutes les composantes de la chaîne IoT, du capteur à la valorisation des données dans la GMAO, elle permet aux services techniques de disposer des données prévisionnelles nécessaires au déclenchement optimal de la maintenance.
À propos de CARL Berger-LevraultCARL Software, expert en solutions de gestion du patrimoine technique et de la maintenance depuis plus de 30 ans a rejoint le groupe Berger-Levrault en mai 2018. Il fait évoluer son nom de marque : CARL Berger-Levrault.
Le groupe Berger-Levrault, éditeur de logiciels international, accompagne les professionnels privés et publics à répondre aux exigences croissantes de performance et de transformation digitale de leurs métiers.
Avec plus de 50 000 clients et 1 800 collaborateurs en France, en Espagne, au Canada et au Maroc, le Groupe adresse, les collectivités et administrations locales, les entreprises privées, les industries, les établissements médico-sociaux, le secteur hospitalier et le monde de l’éducation.?L’ambition de Berger-Levrault est de faire bénéficier ses utilisateurs du formidable potentiel du numérique au travers de plateformes de services à l’heure de l’ouverture massive des données et des interfaces intelligentes.
En 2019, le groupe Berger-Levrault (Siège social à Boulogne Billancourt/Paris) a réalisé un CA de 168 M€ dont 20% réalisés à l’international.Contact Presse : Agence Abrasive?
Aimée Le Goff : 06 24 00 00 18
eMail : aimee@abrasive.frCet article CARL Berger-Levrault lance CARL Source 6 : Une nouvelle version du logiciel GTP et GMAO tournée vers le futur est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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18:00
Upstream / Downstream
sur Google Maps ManiaThe Watershed Explorer interactive map allows you to click anywhere in the world to view all of its upstream areas and the downstream flow.When you click on this map a high-resolution digital elevation model is used to calculate the flow direction that water would take at every point on the surrounding land. The map then follows "these directions to calculate the region that contributes to a
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17:30
Bonne fin d’année 2020
sur Géoclip, le générateur d'observatoire cartographiqueCiril GROUP vous souhaite une belle fin d’année 2020 !
Soyez plus forts que le virus, protégez-vous pendant les fêtes, pour votre santé et celle de vos proches.Cet article Bonne fin d’année 2020 est apparu en premier sur Géoclip.
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14:38
Bilan 2020 – Claire Milverton, CEO, 1Spatial
sur Décryptagéo, l'information géographiqueInnovation pendant une année où tout a changéClaire Milverton, CEO de 1Spatial dresse le bilan de l’année 2020
14 décembre 2020
Bilan 2020 – Claire Milverton, CEO, 1Spatial
Lorsque je regarde l’année écoulée, je n’arrive pas à croire à quel point et à quelle vitesse nous nous sommes tous adaptés aux nouvelles méthodes de travail en 2020.
L’histoire nous apprend que les entreprises qui continuent d’innover pendant une crise s’en sortent mieux que celles qui ne le font pas. L’innovation étant au cœur de 1Spatial. En 2020, nous avons été en mesure de relever de nouveaux défis et de saisir de nouvelles opportunités, tout en assurant nos prestations de haute qualité pour nos clients.
En effet, quelle année intense ! Avec la signature de nombreux nouveaux contrats et l’extension de projets clés avec nos clients à travers le monde, en passant par le lancement de 1Data Gateway – l’offre de traitement de données de 1Spatial basée sur le cloud – et la poursuite de nos plans de recrutement. Nous avons également lancé un nouveau site web Groupe et un programme d’événements virtuels. Toute notre communauté a fait preuve d’une réelle résilience en ces temps compliqués, tout en permettant à nos équipes de poursuivre leurs activités en télétravail.
Au Nord, au Sud, à l’Est et à l’Ouest – 1Spatial en 2020En mars, nous avons eu le plaisir d’annoncer le lancement de 1Data Gateway : un portail web libre-service intuitif pour la validation, le traitement et l’amélioration des données. Il fait partie de notre gamme de produits de gestion des données de localisation de référence (LMDM) qui assurent la qualité et la cohérence des données spatiales dans toute l’organisation.
1Integrate a également connu un enrichissement significatif de ses fonctionnalités cette année. Suivez son évolution car, en 2021, nous sortirons un équivalent 3D sous le nom de 1Integrate3D, qui fournira les mêmes fonctions de contrôle, de qualité et d’enrichissement des données pour les données vectorielles 3D comme pour la modélisation des villes ou les projets BIM.
Même avant la Covid-19, l’importance des données de localisation était grandissante, et aujourd’hui déjà 80% des données gérées ont une composante de localisation.
Pour les organismes gouvernementaux et le secteur public, elles sont un élément unificateur entre plusieurs domaines, comme le calcul des impôts fonciers, l’agriculture, l’urbanisme et la construction. Par conséquent, au cours des 12 derniers mois, notre expertise principale – la gestion des données – a pris de l’importance dans les programmes gouvernementaux, tant au Royaume-Uni, en Europe qu’à travers le monde.
Principaux contratsLes données de localisation jouent également un rôle déterminant dans le secteur privé. Par exemple, nous sommes un fournisseur majeur du Métro de Londres avec lequel nous collaborons à la constitution d’un référentiel patrimonial des actifs visant à prévenir les pannes accidentelles, un projet précurseur avant la préparation d’un Registre National des Actifs du Métro (NUAR). Aussi, avec UK Power Networks nous préparons une Carte Nationale de l’Energie.
Au Royaume-Uni, notre partenariat avec Black and Veatch sur le projet Datastore Rules and Validation (DRV) utilise les données GeoCOBie dans 1Integrate pour aider à construire des répliques numériques d’infrastructures complexes. Avec le développement rapide des jumeaux numériques, notre marché avec l’Agence de l’Environnement dans un autre projet DRV nous met en bonne position pour contribuer à un monde virtuel où les actifs numériques sont aussi précieux que les actifs physiques.
Nos clients font preuve d’une grande ingéniosité en adoptant différentes méthodes de travail et en refusant de laisser la pandémie mondiale arrêter les activités. Par exemple, Northumbrian Water a continué à innover et à faire progresser son projet révolutionnaire sur la sécurité des réseaux, en mesurant et en modélisant la profondeur de son réseau souterrain de conduites d’eau. Nous avons été ravis de travailler en partenariat avec eux dans le cadre d’ateliers virtuels et de discussions de groupe via des applications mobiles pour éviter que le projet ne soit retardé.
Aux États-Unis, notre contrat de 5 ans pour la mise en place d’une infrastructure de données spatiales pour un montant de 2,6 millions de dollars US avec l’État du Michigan permettra à 1Data Gateway d’être utilisé par des centaines d’organisations. Nous avons également reçu les félicitations de CalTrans pour le succès de notre projet de validation de la gestion des actifs en partenariat avec Gartner. Cette année, nous avons également élargi notre relation et notre contrat avec Google.
En Europe, faisant suite à l’acquisition de Geomap-Imagis en 2019, nous avons maintenant achevé la fusion juridique de nos sociétés françaises. En conséquence, 1Spatial France emploie 90 personnes dans cinq bureaux à travers le pays qui travaillent comme une seule équipe pour offrir à nos clients les meilleurs services autour des données et des solutions métier géospatiales. Notre société belge est également intégrée dans la nouvelle activité, ainsi que notre filiale en Tunisie, qui se consacre à la numérisation et au traitement de données géospatiales.
En Tunisie, nous avons déménagé nos locaux afin d’offrir un lieu de travail plus agréable et proche du centre à nos 42 collaborateurs, spécialisés dans le traitement des données.
Nous poursuivons notre étroite collaboration avec nos nombreux clients existants et sommes heureux d’accueillir tous les nouveaux clients signés cette année en France et en Belgique.
Nous continuons à intégrer les dernières innovations dans nos chaines de traitements de données et nos solutions logicielles telles qu’arcOpole Pro, 1Water et RealWorld4D pour apporter les meilleures capacités métier aux collectivités territoriales, aux secteurs des transports, des réseaux d’utilité publique et du bâtiment/facilities management.
Notre partenariat avec Esri dans toutes nos régions continue d’apporter des opportunités communes passionnantes. Entre autres actions, nous avons lancé cette année plusieurs projets de migration avec des clients communs en France et en Belgique, et à la conférence Esri France nous avons présenté une dizaine d’applications qui utilisent la plateforme ArcGIS.
Dans la région Asie-pacifique, les ventes continuent de croître et, en raison de notre expansion, nous avons déménagé nos bureaux de Sydney dans des locaux plus modernes, semblables à ceux de Melbourne. En Australie, nos consultants couvrent un large éventail de secteurs et réalisent des projets passionnants et stimulants. Nous travaillons notamment à la transition vers GDA2020 (le nouveau système de référence géodésique australien), à la fourniture de solutions innovantes pour des clients tels que Yarra Valley Water pour le Development Industry Translator (DIT), qui valide automatiquement les données fournies par les promoteurs immobiliers, et à la modernisation et au remplacement d’anciens systèmes par des plates-formes basées sur le serveur FME, qui sous-tendent des sites web très fréquentés de nombreuses organisations.
Nous avons été les premiers à vendre des abonnements FME pour les collectivités locales, les services publics et les entreprises sur le marché australien, ainsi que la nouvelle offre Dynamic Engines de Safe Software. L’éditeur de FME a attribué à 1Spatial Australie le titre de revendeur ayant directement contribué à la plus forte augmentation annuelle des ventes de FME dans la région Asie-Pacifique.
Connecter les gens – où qu’ils soientAlors que nous avons tous souffert du manque de réseautage en face à face, nos expériences virtuelles se sont avérées être très positives et ont permis de connecter des personnes du monde entier grâce à un programme complet de webinaires. Le mois dernier, notre conférence Smarter Data Smarter World a réuni plus de 600 participants à travers la planète désireux d’en savoir plus sur les avantages de la gestion des données de localisation de référence, et en mai, notre tournée mondiale FME a attiré un public similaire de plus de 800 délégués du monde entier.
Pour aider les clients, les partenaires et les personnes du secteur à surmonter leurs difficultés en matière de données, nous avons transformé notre site web en un outil interactif doté d’un contenu sur mesure tel que des webinaires à la demande, des vidéos, des liens d’assistance produit et un « appel à l’innovation » permettant aux utilisateurs de nous soumettre directement leurs idées.
L’équipe a continué à travailler avec les clients, les partenaires et les confrères du secteur pour fournir des solutions qui contribuent à libérer la valeur des données de localisation. Je tiens à remercier chacun d’entre eux pour leur engagement et leur professionnalisme.
La Covid-19 nous a montré à quel point il est difficile de prédire l’avenir, et les succès des 12 derniers mois ont été obtenus sur un fond d’incertitude. Nous avons tous beaucoup appris et nous utiliserons ces connaissances pour nous adapter aux défis futurs.
Nous nous réjouissons de travailler sur de nombreux autres projets passionnants au cours de la nouvelle année.
A 2021 et à tout ce que cette nouvelle année apportera !
Contact :
Catherine Gauthier
Responsable Marketing et CommunicationF +33 (0)4 79 25 38 71
M +33 (0)6 25 93 72 59
catherine.gauthier@1spatial.com
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Bilan 2020 – Claire Milverton, CEO, 1Spatial
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14 décembre 2020
Bilan 2020 – Claire Milverton, CEO, 1Spatial
Lorsque je regarde l’année écoulée, je n’arrive pas à croire à quel point et à quelle vitesse nous nous sommes tous adaptés aux nouvelles méthodes de travail en 2020.
L’histoire nous apprend que les entreprises qui continuent d’innover pendant une crise s’en sortent mieux que celles qui ne le font pas. L’innovation étant au cœur de 1Spatial. En 2020, nous avons été en mesure de relever de nouveaux défis et de saisir de nouvelles opportunités, tout en assurant nos prestations de haute qualité pour nos clients.
En effet, quelle année intense ! Avec la signature de nombreux nouveaux contrats et l’extension de projets clés avec nos clients à travers le monde, en passant par le lancement de 1Data Gateway – l’offre de traitement de données de 1Spatial basée sur le cloud – et la poursuite de nos plans de recrutement. Nous avons également lancé un nouveau site web Groupe et un programme d’événements virtuels. Toute notre communauté a fait preuve d’une réelle résilience en ces temps compliqués, tout en permettant à nos équipes de poursuivre leurs activités en télétravail.
Au Nord, au Sud, à l’Est et à l’Ouest – 1Spatial en 2020En mars, nous avons eu le plaisir d’annoncer le lancement de 1Data Gateway : un portail web libre-service intuitif pour la validation, le traitement et l’amélioration des données. Il fait partie de notre gamme de produits de gestion des données de localisation de référence (LMDM) qui assurent la qualité et la cohérence des données spatiales dans toute l’organisation.
1Integrate a également connu un enrichissement significatif de ses fonctionnalités cette année. Suivez son évolution car, en 2021, nous sortirons un équivalent 3D sous le nom de 1Integrate3D, qui fournira les mêmes fonctions de contrôle, de qualité et d’enrichissement des données pour les données vectorielles 3D comme pour la modélisation des villes ou les projets BIM.
Même avant la Covid-19, l’importance des données de localisation était grandissante, et aujourd’hui déjà 80% des données gérées ont une composante de localisation.
Pour les organismes gouvernementaux et le secteur public, elles sont un élément unificateur entre plusieurs domaines, comme le calcul des impôts fonciers, l’agriculture, l’urbanisme et la construction. Par conséquent, au cours des 12 derniers mois, notre expertise principale – la gestion des données – a pris de l’importance dans les programmes gouvernementaux, tant au Royaume-Uni, en Europe qu’à travers le monde.
Principaux contratsLes données de localisation jouent également un rôle déterminant dans le secteur privé. Par exemple, nous sommes un fournisseur majeur du Métro de Londres avec lequel nous collaborons à la constitution d’un référentiel patrimonial des actifs visant à prévenir les pannes accidentelles, un projet précurseur avant la préparation d’un Registre National des Actifs du Métro (NUAR). Aussi, avec UK Power Networks nous préparons une Carte Nationale de l’Energie.
Au Royaume-Uni, notre partenariat avec Black and Veatch sur le projet Datastore Rules and Validation (DRV) utilise les données GeoCOBie dans 1Integrate pour aider à construire des répliques numériques d’infrastructures complexes. Avec le développement rapide des jumeaux numériques, notre marché avec l’Agence de l’Environnement dans un autre projet DRV nous met en bonne position pour contribuer à un monde virtuel où les actifs numériques sont aussi précieux que les actifs physiques.
Nos clients font preuve d’une grande ingéniosité en adoptant différentes méthodes de travail et en refusant de laisser la pandémie mondiale arrêter les activités. Par exemple, Northumbrian Water a continué à innover et à faire progresser son projet révolutionnaire sur la sécurité des réseaux, en mesurant et en modélisant la profondeur de son réseau souterrain de conduites d’eau. Nous avons été ravis de travailler en partenariat avec eux dans le cadre d’ateliers virtuels et de discussions de groupe via des applications mobiles pour éviter que le projet ne soit retardé.
Aux États-Unis, notre contrat de 5 ans pour la mise en place d’une infrastructure de données spatiales pour un montant de 2,6 millions de dollars US avec l’État du Michigan permettra à 1Data Gateway d’être utilisé par des centaines d’organisations. Nous avons également reçu les félicitations de CalTrans pour le succès de notre projet de validation de la gestion des actifs en partenariat avec Gartner. Cette année, nous avons également élargi notre relation et notre contrat avec Google.
En Europe, faisant suite à l’acquisition de Geomap-Imagis en 2019, nous avons maintenant achevé la fusion juridique de nos sociétés françaises. En conséquence, 1Spatial France emploie 90 personnes dans cinq bureaux à travers le pays qui travaillent comme une seule équipe pour offrir à nos clients les meilleurs services autour des données et des solutions métier géospatiales. Notre société belge est également intégrée dans la nouvelle activité, ainsi que notre filiale en Tunisie, qui se consacre à la numérisation et au traitement de données géospatiales.
En Tunisie, nous avons déménagé nos locaux afin d’offrir un lieu de travail plus agréable et proche du centre à nos 42 collaborateurs, spécialisés dans le traitement des données.
Nous poursuivons notre étroite collaboration avec nos nombreux clients existants et sommes heureux d’accueillir tous les nouveaux clients signés cette année en France et en Belgique.
Nous continuons à intégrer les dernières innovations dans nos chaines de traitements de données et nos solutions logicielles telles qu’arcOpole Pro, 1Water et RealWorld4D pour apporter les meilleures capacités métier aux collectivités territoriales, aux secteurs des transports, des réseaux d’utilité publique et du bâtiment/facilities management.
Notre partenariat avec Esri dans toutes nos régions continue d’apporter des opportunités communes passionnantes. Entre autres actions, nous avons lancé cette année plusieurs projets de migration avec des clients communs en France et en Belgique, et à la conférence Esri France nous avons présenté une dizaine d’applications qui utilisent la plateforme ArcGIS.
Dans la région Asie-pacifique, les ventes continuent de croître et, en raison de notre expansion, nous avons déménagé nos bureaux de Sydney dans des locaux plus modernes, semblables à ceux de Melbourne. En Australie, nos consultants couvrent un large éventail de secteurs et réalisent des projets passionnants et stimulants. Nous travaillons notamment à la transition vers GDA2020 (le nouveau système de référence géodésique australien), à la fourniture de solutions innovantes pour des clients tels que Yarra Valley Water pour le Development Industry Translator (DIT), qui valide automatiquement les données fournies par les promoteurs immobiliers, et à la modernisation et au remplacement d’anciens systèmes par des plates-formes basées sur le serveur FME, qui sous-tendent des sites web très fréquentés de nombreuses organisations.
Nous avons été les premiers à vendre des abonnements FME pour les collectivités locales, les services publics et les entreprises sur le marché australien, ainsi que la nouvelle offre Dynamic Engines de Safe Software. L’éditeur de FME a attribué à 1Spatial Australie le titre de revendeur ayant directement contribué à la plus forte augmentation annuelle des ventes de FME dans la région Asie-Pacifique.
Connecter les gens – où qu’ils soientAlors que nous avons tous souffert du manque de réseautage en face à face, nos expériences virtuelles se sont avérées être très positives et ont permis de connecter des personnes du monde entier grâce à un programme complet de webinaires. Le mois dernier, notre conférence Smarter Data Smarter World a réuni plus de 600 participants à travers la planète désireux d’en savoir plus sur les avantages de la gestion des données de localisation de référence, et en mai, notre tournée mondiale FME a attiré un public similaire de plus de 800 délégués du monde entier.
Pour aider les clients, les partenaires et les personnes du secteur à surmonter leurs difficultés en matière de données, nous avons transformé notre site web en un outil interactif doté d’un contenu sur mesure tel que des webinaires à la demande, des vidéos, des liens d’assistance produit et un « appel à l’innovation » permettant aux utilisateurs de nous soumettre directement leurs idées.
L’équipe a continué à travailler avec les clients, les partenaires et les confrères du secteur pour fournir des solutions qui contribuent à libérer la valeur des données de localisation. Je tiens à remercier chacun d’entre eux pour leur engagement et leur professionnalisme.
La Covid-19 nous a montré à quel point il est difficile de prédire l’avenir, et les succès des 12 derniers mois ont été obtenus sur un fond d’incertitude. Nous avons tous beaucoup appris et nous utiliserons ces connaissances pour nous adapter aux défis futurs.
Nous nous réjouissons de travailler sur de nombreux autres projets passionnants au cours de la nouvelle année.
A 2021 et à tout ce que cette nouvelle année apportera !
Contact :
Catherine Gauthier
Responsable Marketing et CommunicationF +33 (0)4 79 25 38 71
M +33 (0)6 25 93 72 59
catherine.gauthier@1spatial.com
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10:47
Protecting British Fishing
sur Google Maps ManiaOne of the biggest stumbling blocks holding up Brexit trade talks is the right to fish in UK waters. Under European Union rules European and UK fishing vessels have been allowed to fish in each others waters. This will change after Brexit and new fishing rights need to be negotiated. At the moment the UK and EU can't agree on fishing quotas and the length of a transition period for fishing
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9:42
Mise à jour ArcGIS Field Maps - Décembre 2020
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierUn mois après la sortie de la première version d'ArcGIS Field Maps, le 2 novembre dernier, une première mise à jour est déjà disponible. Celle-ci complète la première phase de regroupement des capacités d’ArcGIS Explorer (visualisation et annotation de carte), d’ArcGIS Collector (collecte et inspection de données) et d’ArcGIS Tracker (suivi de la localisation) dans une seule application que vous pouvez déployer au sein de votre organisation.
Pour rappel, Esri a annoncé le retrait de ces trois applications (Explorer, Collector et Tracker) en décembre 2021 (voir cet article arcOrama).
La mise à jour 20.2.0 de l’application mobile ArcGIS Field Maps, disponible sur l'Apple App Store et Google Play. Elle comprend les évolutions suivantes:- Nouvelles capacités pour les formulaires intelligents
- Démarrez le suivi de la localisation pendant une durée prédéfinie
- Démarrez le suivi de la localisation depuis votre Apple Watch, un lien ou même par la voix à l'aide de l'Assistant Google
- Support du mode sombre pour les appareils iOS
L'application web ArcGIS Field Maps, qui permet de centraliser et simplifier la configuration et le déploiement des cartes à utiliser dans ArcGIS Field Maps, est désormais disponible en version finale sur ArcGIS Online. Accessible depuis le lanceur d’application du portail ArcGIS, elle permet :- Création et paramétrage de formulaires pour la collecte de données
- Activation des cartes web pour une utilisation hors connexion
- Configuration des modèles d'entités
- Gestion des déploiements de cartes avec partage et visibilité des cartes
Les nouveautés de la version 20.2.0
Les formulaires intelligents améliorent l’expérience de collecte de données sur le terrain et font partie des spécifications de vos cartes. Depuis novembre, ils offrent en autre la possibilité de regrouper des champs ou encore de gérer la visibilité conditionnelle de certains de ces champs. Avec cette mise à jour, Esri ajoute les nouveautés suivantes:
- L'interface web pour la configuration des projets ArcGIS Field Maps est désormais affichée la langue de votre profil (en français par exemple)
- Vous pouvez définir la propriété "Requis" pour un champ de votre formulaire à l'aide de l'application web Field Maps. Désormais, vous n’avez pas à la définir au niveau du schéma. Cela offre une plus grande flexibilité et c’est l'une des fonctionnalités de collecte de données les plus demandées. Cette propriété est également supportée via une visibilité conditionnelle.
- Vous pouvez préciser les types d'entrée attendues pour certains champs. Par exemple, ne saisissez que la date et non la date et l'heure. Vous pouvez également contraindre la saisie à une plage de dates. Pour le texte, il est maintenant possible de spécifier le nombre de caractères minimum et maximum.
- Définir un champ en lecture seule. Cela est très utile lorsque votre flux de travail implique la mise à jour des champs d'une entité existante et que l'utilisateur puisse consulter certains champs, mais sans pouvoir les modifier (matériau d'un actif, date d'installation, etc.).
- Modifier le nom du formulaire.
- Fournir une astuce pour chaque champ texte ou numérique. Ce texte d'indication peut être utile pour guider l’utilisateur en lui indiquant la saisie attendue.
Les formulaires intelligents sont stockés dans les spécifications de la carte web. De ce fait, si vous utilisez la même carte dans le Map Viewer en version beta pour ajouter ou modifier une entité, vous retrouverez votre formulaire intelligent.
Améliorations du suivi de la localisation
L'intégration du suivi de la localisation dans Field Maps signifie que les utilisateurs peuvent enregistrer et partager leur position pendant qu'ils travaillent, avec la simplicité et la logique d'économie de batterie issue d’ArcGIS Tracker. Avec cette mise à jour, Esri a ajouté quelques nouvelles fonctionnalités intéressantes :- Activer le suivi pour une durée prédéfinie - lorsque vous activez le suivi, vous pouvez choisir la durée (4h, 8h ou 12h) pendant laquelle vous souhaitez être suivi. Lorsque vous avez atteint cette durée, le suivi sera automatiquement désactivé. L’activation et la désactivation manuelle du suivi restent toujours disponibles.
- Support de l'Apple Watch - vous pouvez ajouter Field Maps à votre montre en tant qu'application compagnon. À l'aide de votre montre, vous pouvez activer ou désactiver le suivi sans avoir à déverrouiller votre téléphone et vous pouvez afficher l'état du suivi de la localisation.
- Démarrer le suivi à l'aide des liens d'application - vous pouvez désormais contrôler le comportement de suivi à l'aide des liens d'application, ce qui inclut la demande de démarrage de Field Maps, l’activation du suivi pour une durée prédéfinie et l'arrêt du suivi lorsque la durée est atteinte.
Support du mode sombre (iOS uniquement)
Le mode sombre offre une meilleure expérience visuelle dans des environnements à faible luminosité. ArcGIS Field Maps supporte désormais au mode sombre lorsqu’il est activé au niveau d’iOS et s'ajuste en conséquence. Le mode sombre offre également un contraste supplémentaire dans des conditions de luminosité forte. Si vous prévoyez d'utiliser le mode sombre, envisagez de choisir un fond de carte comme Imagery Hybrid ou Streets (Night) pour fournir un contraste similaire à votre carte.
- Nouvelles capacités pour les formulaires intelligents
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1:00
Lutra consulting: Mergin and PostGIS in action
sur Planet OSGeoOne of the challenges of data collection projects is consolidating all the data a central database, such as Postgres/PostGIS. Using PostGIS as a live survey layer is not usually recommended:
- Security: exposing your database to the wider internet
- Access and connectivity: internet connection is not always guaranteed for a field survey projects
A more cumbersome way around this, is to convert your tables from PostGIS to a file based GIS layer (e.g. Geopackage) and take the files with you to the field. This will create a new problem: keeping all the tables (from multiple surveyors) and the PostGIS table up-to-date.
During an XXX survey, our friends at Kartoz have commissioned us to extend the Mergin service to support PostGIS. The Mergin service already supports file-based data synchronisation. The aim was to bridge the gap between the Mergin service and PostGIS so that the changes from Mergin immediately appear on PostGIS and vice versa.
To facilitate that, we further developed the Geodiff library to support Postgres driver. In addition, we developed a tool to sync the tables from Postgres database with the Mergin service.
The above diagram, details how Postgres/PostGIS synchronisation works with the Mergin service via the DB-Sync tool.
- Tables 1 and 2 from the Postgres/PostGIS server are set up to work with the Mergin service
- DB-Sync tool runs on the server (same server as the Postgres) on a regular interval to sync with the Mergin service
- An offline version of Tables 1 and 2 are provided within the QGIS survey project on Mergin
- Several surveyors download the project and add their data mostly while offline. The data are then synced with the Mergin.
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1:00
PostGIS Development: PostGIS 3.1.0rc1
sur Planet OSGeoThe PostGIS Team is pleased to release the release candidate of the upcoming PostGIS 3.1.0 release. This version is exposes some of the new performance and feature enhancements in GEOS 3.9 as well as numerous speed enhancements not requiring newer GEOS.
Best served with:
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21:49
Markus Neteler: MapScaping podcast: GRASS GIS probably doesn’t get the attention it deserves
sur Planet OSGeoIn episode 86 of MapScaping podcast, Markus Neteler talks about the functionality offered (the topological vector engine, 2D and 3D raster analysis, image processing and available programming interfaces), and whom GRASS GIS is for.
Markus is the cofounder of mundialis, a Bonn based business. He is also the Chairman of the GRASS GIS Project Steering Committee.
Enjoy the podcast and the transcript!
The post MapScaping podcast: GRASS GIS probably doesn’t get the attention it deserves appeared first on GFOSS Blog | GRASS GIS and OSGeo News.
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16:21
Cartographie de l’emploi dans la fibre en France
sur Décryptagéo, l'information géographiqueInfraNum, la Banque des territoires, l’Avicca et Régions de France lancent la 1ère cartographie de l’emploi dans la fibre en France. Un outil à enrichir avec les régions. Décembre 2020Paris, le 10 décembre 2020
Alors que les industriels de la fibre se démènent pour tenir les objectifs du plan France THD, ils sont à la peine pour trouver des candidats partout en France. C’est pourquoi la fédération InfraNum, soutenue par la Banque des Territoires et en partenariat avec l’Avicca et Régions de France, présentent un nouvel outil pour sensibiliser les acteurs et prescripteurs de l’emploi dans chaque territoire. Pour cette première cartographie interactive, qui se veut le meilleur reflet de l’emploi dans la fibre en France, les partenaires lancent un appel aux Régions et aux territoires.
Dans un contexte d’aggravation du chômage en France, les partenaires de ce nouvel observatoire n’acceptent pas que la promesse de recruter 7 000 à 8 000 nouveaux entrants par an au cours des 2 prochaines années, dans une filière reconnue comme essentielle, ne se réalise pas.
La méconnaissance de ces métiers, non seulement par le grand public, mais aussi par les acteurs et prescripteurs de l’emploi dans les territoires, reste encore bien trop répandue.Aussi, si InfraNum travaille avec le gouvernement pour mettre en place une campagne nationale d’information du grand public, elle a décidé en parallèle de s’adresser directement aux acteurs de l’emploi.
La fédération a organisé avec succès en Nouvelle-Aquitaine puis, début novembre, en Bourgogne Franche-Comté un événement à destination de ces acteurs, avec le soutien de l’association Régions de France.
Cette fois-ci, Régions de France s’associe à l’ensemble des partenaires de l’observatoire (InfraNum, Avicca et Banque des Territoires) pour lancer la première cartographie de l’emploi et des déploiements de la fibre en France.Basée sur les chiffres recueillis dans le cadre de l’Observatoire national du THD sorti en juin 2020 et synchronisé avec les chiffres du bilan de l’EDEC fibre optique publié en septembre, cette cartographie interactive permet de connaître par région et même par département, le potentiel d’emploi, d’heures d’insertion et de formation, pour chaque zone de déploiement (ZDT, AMII et RIP) en 2019, 2022 et 2025.
Les partenaires souhaitent associer l’ensemble des Régions et acteurs de l’emploi à ce nouvel outil mis à leur disposition sur :
Objectif : actualiser les projections (2022 et 2025) au plus près de la réalité terrain (puisqu’elles sont pour l’instant issues de données modélisées) pour être un outil de référence annualisé pour les prescripteurs de l’emploi sur chaque territoire.
Pour rappel, le site objectif fibre peut venir en complément pour les professionnels, qui y trouveront toute l’information utile sur les profils, description de postes et événements emploi par territoire.
Exemple de la cartographie avec un zoom sur la Région Grand-Est
- Contact presse lnfraNum
Sylvie LE ROUX : 06 28 69 05 24 / sylvie.leroux@pressentiel.fr
- Contact Avicca
Ariel TURPIN – Délégué général : 01 42 81 59 99
Cet article Cartographie de l’emploi dans la fibre en France est apparu en premier sur DécryptaGéo, l'information géographique.
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16:21
Cartographie de l’emploi dans la fibre en France
sur Les Rencontres DécryptagéoInfraNum, la Banque des territoires, l’Avicca et Régions de France lancent la 1ère cartographie de l’emploi dans la fibre en France. Un outil à enrichir avec les régions. Décembre 2020Paris, le 10 décembre 2020
Alors que les industriels de la fibre se démènent pour tenir les objectifs du plan France THD, ils sont à la peine pour trouver des candidats partout en France. C’est pourquoi la fédération InfraNum, soutenue par la Banque des Territoires et en partenariat avec l’Avicca et Régions de France, présentent un nouvel outil pour sensibiliser les acteurs et prescripteurs de l’emploi dans chaque territoire. Pour cette première cartographie interactive, qui se veut le meilleur reflet de l’emploi dans la fibre en France, les partenaires lancent un appel aux Régions et aux territoires.
Dans un contexte d’aggravation du chômage en France, les partenaires de ce nouvel observatoire n’acceptent pas que la promesse de recruter 7 000 à 8 000 nouveaux entrants par an au cours des 2 prochaines années, dans une filière reconnue comme essentielle, ne se réalise pas.
La méconnaissance de ces métiers, non seulement par le grand public, mais aussi par les acteurs et prescripteurs de l’emploi dans les territoires, reste encore bien trop répandue.Aussi, si InfraNum travaille avec le gouvernement pour mettre en place une campagne nationale d’information du grand public, elle a décidé en parallèle de s’adresser directement aux acteurs de l’emploi.
La fédération a organisé avec succès en Nouvelle-Aquitaine puis, début novembre, en Bourgogne Franche-Comté un événement à destination de ces acteurs, avec le soutien de l’association Régions de France.
Cette fois-ci, Régions de France s’associe à l’ensemble des partenaires de l’observatoire (InfraNum, Avicca et Banque des Territoires) pour lancer la première cartographie de l’emploi et des déploiements de la fibre en France.Basée sur les chiffres recueillis dans le cadre de l’Observatoire national du THD sorti en juin 2020 et synchronisé avec les chiffres du bilan de l’EDEC fibre optique publié en septembre, cette cartographie interactive permet de connaître par région et même par département, le potentiel d’emploi, d’heures d’insertion et de formation, pour chaque zone de déploiement (ZDT, AMII et RIP) en 2019, 2022 et 2025.
Les partenaires souhaitent associer l’ensemble des Régions et acteurs de l’emploi à ce nouvel outil mis à leur disposition sur :
Objectif : actualiser les projections (2022 et 2025) au plus près de la réalité terrain (puisqu’elles sont pour l’instant issues de données modélisées) pour être un outil de référence annualisé pour les prescripteurs de l’emploi sur chaque territoire.
Pour rappel, le site objectif fibre peut venir en complément pour les professionnels, qui y trouveront toute l’information utile sur les profils, description de postes et événements emploi par territoire.
Exemple de la cartographie avec un zoom sur la Région Grand-Est
- Contact presse lnfraNum
Sylvie LE ROUX : 06 28 69 05 24 / sylvie.leroux@pressentiel.fr
- Contact Avicca
Ariel TURPIN – Délégué général : 01 42 81 59 99
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13:56
Free and Open Source GIS Ramblings: Spatial data exploration with linked plots
sur Planet OSGeoIn the previous post, we explored how hvPlot and Datashader can help us to visualize large CSVs with point data in interactive map plots. Of course, the spatial distribution of points usually only shows us one part of the whole picture. Today, we’ll therefore look into how to explore other data attributes by linking other (non-spatial) plots to the map.
This functionality, referred to as “linked brushing” or “crossfiltering” is under active development and the following experiment was prompted by a recent thread on Twitter launched by @plotlygraphs announcement of HoloViews 1.14:
Dash HoloViews was just released as part of @HoloViews version 1.14!
$ ??? ??????? ?????????==1.14
Automatically link selections across multiple plots (crossfiltering)
Display #BigData using #Datashader@jonmease's post: [https:]]
— plotly (@plotlygraphs) December 3, 2020
Turns out these features are not limited to plotly but can also be used with Bokeh and hvPlot:
It'll even work for hvPlot output. Would definitely be interested to see how it interacts with the geometries you usually work with.
— Philipp Rudiger (@PhilippJFR) December 4, 2020
Like in the previous post, this demo uses a Pandas DataFrame with 12 million rows (and HoloViews 1.13.4).
In addition to the map plot, we also create a histogram from the same DataFrame:
map_plot = df.hvplot.scatter(x='x', y='y', datashade=True, height=300, width=400) hist_plot = df.where((df.SOG>0) & (df.SOG<50)).hvplot.hist("SOG", bins=20, width=400, height=200)
To link the two plots, we use HoloViews’ link_selections function:
from holoviews.selection import link_selections linked_plots = link_selections(map_plot + hist_plot)
That’s all! We can now perform spatial filters in the map and attribute value filters in the histogram and the filters are automatically applied to the linked plots:
Linked brushing demo using ship movement data (AIS): filtering records by speed (SOG) reveals spatial patterns of fast and slow movement.
You’ve probably noticed that there is no background map in the above plot. I had to remove the background map tiles to get rid of an error in Holoviews 1.13.4. This error has been fixed in 1.14.0 but I ran into other issues with the datashaded Scatterplot.
It’s worth noting that not all plot types support linked brushing. For the complete list, please refer to [holoviews.org]
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12:56
[La Minute GeoRezo] Soutenez le GeoRezo
sur GeoRezo.net - Géoblogs<br> <br> GeoRezo est une association à but non lucratif dont la pérennité repose sur le bénévolat de ses membres et sur le dynamisme de ses contributeurs. <br> Financièrement, l’association existe grâce aux dons de ses sympathisants et aux adhésions de ses modérateurs (18 adhérents en 2020). <br> <br> Les charges annuelles inhérentes à la vie du portail et de l’association s’élèvent à 1 800 euros, dont près de 90 % sont alloués à l’hébergement de l’infrastructure. En 2019, vos dons s'élèvent à 2300 €, nous permettant de terminer l'exercice avec un excédant de 1000 € qui sera ré-investi pour l'amélioration de notre portail (hébergement, évolution des outils ...). <br> <br> Vos dons sont importants, et permettent le bon fonctionnement de l'Association. Nous vous en remercions vivement. <br> <a href=" [https:] <br> Par ailleurs, GeoRezo étant une association reconnue d’intérêt général, votre don est déductible de vos impôts à hauteur de 66 % des sommes versées (dans la limite de dons représentant 20 % du revenu imposable). Plus d’informations ici : <a href=" [https:] <br> <br>
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9:13
3D: Déambulation Du Dimanche - #5
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierPour notre Déambulation Du Dimanche, je vous propose aujourd'hui une scène 3D ArcGIS d'un lieu très atypique situé près de Denvers (Colorado). L'amphithéâtre de Red Rocks est un lieu de concert étonnant aménagé entre deux formations et peut accueillir jusqu'à 9 500 personnes.
Cette scène web ArcGIS Online présente un photomaillage 3D (3D Textured Mesh) collecté et traité par ArcGIS Drone2Map à partir d’un drone. A l'aide du widget "Lumière du jour" de la visionneuse de scène, on peut afficher l’ombre et le parcours du soleil en fonction de l'heure et de la date du jour. Ainsi, vous pourrez prévoir à l’avance la quantité de crème solaire dont vous aurez besoin car il semblerai que le soleil cogne bien !La scène web évoquée dans cet article et dans la vidéo est accessible en Live ici:
[https:]]
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22:36
Free and open data pays off
sur Séries temporellesAs for most users of Copernicus or LANDSAT data I guess, the advantages of free and open remote sensing data are so clear that it's hard to imagine they could be challenged. However, in the framework of Sentinel-HR phase 0, we prepared arguments in case our requirement for free and open data is questioned.
Table of contentsWhy should users pay for data ?
Why should users pay for data ?
The LANDSAT example
Economic benefits of free and open data
Social benefits of free and open dataOf course, remote sensing data from private companies (Planet, Airbus, Maxar...) are not free. The hard work to make satellites and produce data must be funded and companies are there to earn money.
There has also been examples of state owned satellites whose data were commercialized, such as SPOT, Pleiades, and LANDSAT data at certain periods of time. With the exception of LANDSAT, Most of these data were provided by satellites which perform observations on demand. These satellites are tasked to optimize the acquisition according to the orders, and the satellites is oriented towards the site to acquire when it is possible. These satellites usually have a limited observing capacity, and in our capitalistic economies, asking a customer to pay is a classical way to choose which scene will be observed.
Thanks to the development of commercial satellites, the states are discharged of the necessity to fund the investment for the spatial infra-structure, and they can limit their intervention to missions which do not have a straightforward commercial application capacity. However, it turns out that states or local communities are also large customers for the data of these satellites, e.g. for the defense application, for research purposes, or for local land management. Finally, at the European scale, is it really cheaper to let the industry build and fund high resolution satellite missions and buy a large quantity of data, or to build public satellite missions which ensure a free and open access to data ? I think the latter is cheaper, except maybe for some niches, but feel free to correct me, I'll be happy to learn.
When satellites have a sufficient observation capacity, they can become systematic observation satellites, which observe almost all the landscapes that enter their field of view, with no need to change the satellite orientation to observe a new scene. I only know one public decametric or metric resolution satellite mission that performed systematic observations and still tried to sell its data : the LANDSAT mission, until 2008.
The LANDSAT exampleThe information below comes from the following paper. Quoted sentences are in italics.
Michael A. Wulder, Jeffrey G. Masek, Warren B. Cohen, Thomas R. Loveland, Curtis E. Woodcock, Opening the archive: How free data has enabled the science and monitoring promise of Landsat, Remote Sensing of Environment, Volume 122, 2012, Pages 2-10, ISSN 0034-4257, https://doi.org/10.1016/j.rse.2012.01.010.
In October 2008, Landsat data became free and open data. Before that, costs for an individual photographic image varied from $20 (1972–1978) to $200 (1979–1982) for MSS digital data; digital data ranged from approximately $3000 to $4000 for TM data (1983–1998), and $600 for ETM+ data (1999–2008). Prior to October 2008, no calendar month ever recorded more than 3000 scenes sold in a given month.
Here is what happened after October 2008 :
In red, number of Landsat Scenes distributed each month, after data became free and open in October 2008. The very little blue bar in the bottom left corner is the maximum number of scenes bought in a given month when LANDSAT data were not open (From Wulder, 2012))
In less than three years, the number of tiles downloaded each month was multiplied by 100 ! But it was just the beginning, and in the next years, the download rate continued to increase until Sentinel-2 came into operation.
Cumulative number of downloaded Landsat Scenes [https:]
A few hours ago, the French Cartographic Institute (IGN) announced the release of its data bases as free and open data. This decision comes was justified by a report from the French Parliament : "It's not the sale of data that creates its value, it is its circulation". To justify this change of policy, the report states that : "Free dissemination and reuse of sovereign geographic data implies that the production of sovereign geographic data must be financed by the state subsidies, if not by the sale of the data. If the open data business model is empirically verified, a return to the public purse will be achieved by the taxes of the additional wealth created by the release of data."
After a policy change was envisaged during the moderate center right Trump administration, the LANDSAT Science team studied the benefits of the free and open data policy of LANDSAT data, quoted sentences are in italics.
Zhe Zhu, Michael A. Wulder, David P. Roy, Curtis E. Woodcock, Matthew C. Hansen, Volker C. Radeloff, Sean P. Healey, Crystal Schaaf, Patrick Hostert, Peter Strobl, Jean-Francois Pekel, Leo Lymburner, Nima Pahlevan, Ted A. Scambos, Benefits of the free and open Landsat data policy, Remote Sensing of Environment, Volume 224, 2019, Pages 382-385, ISSN 0034-4257, https://doi.org/10.1016/j.rse.2019.02.016.
The National Geospatial Advisory Committee (National Geospatial Advisory Committee Landsat Advisory Group, 2014) analyzed sixteen economic sectors (e.g., agriculture, water consumption, wildfire mapping) where the use of Landsat data lead to productivity savings, and estimated the economic benefit of Landsat data for the year 2011 as $1.70 billion for U.S. users plus $400 million for international users. Many of the sixteen economic sectors are directly associated with U.S. federal, state and local government activities (e.g., risk assessments, mapping and monitoring activities). In addition, the open data policy is particularly beneficial to government, university, and commercial research groups and organizations that have limited budgets.
An economic study tried to measure the economic benefits of the Landsat open data :
John Loomis, Steve Koontz, Holly Miller, Leslie Richardson, Valuing Geospatial Information: Using the Contingent Valuation Method to Estimate the Economic Benefits of Landsat Satellite Imagery, Photogrammetric Engineering & Remote Sensing,Volume 81, Issue 8, 2015, Pages 647-656, ISSN 0099-1112, [https:]]
Based on a survey among 14 000 users of all sorts the authors tried to determine the value at which they would stop buying data and then how much benefit from the activity would be lost. The results are provided in the table below and show that at a cost of 100 $ per image, 46 M$ would be lost each year.
Of course, I have not enough economics skills to be able to criticize the study, but a sentence stroke me in the discussion, because I think we might be in that case : If the users who drop out of the market more quickly as the price per scene increases (i.e., they are not willing to pay as much per scene) obtain a greater share of the scenes than those users who stay in the market as the price in-creases, the results in Table 5 represent a lower bound on the annual economic loss to society associated with increasing the price of the imagery.
Let's look at just one of the many products made at European Continental scale with Sentinel-2 data, in which CESBIO was involved, the snow and ice fraction cover product. This product is useful for hydrology purposes (how much water will be available for irrigation or to fill the dams after melting ?), for biodiversity (plants are different where the snow stays longer), for climate studies of course, as well as for recreational purposes (should I take snow equipment for my hike this week-end ?) This product involves 1500 tiles, 365/3 images per year (there is overlap in Northern regions, so one image every 3rd day on average), and we processed 5 years of data, in the past, and the exploitation will go on for 2 more years. The cost of the project was 1.5 M€, thanks to the free and open data. Let's consider only a cost of 10 € per scene (which is probably a very low fee, Landsat data were sold 600 $):
- Number of images : 1500*365/3* 7*10 = 1 280 000
- Total data cost for a cost of 10 € per scene : 12.8 M€
The data cost would be almost 10 times the current cost of the project, and it probably means the project would not exist, and I doubt it would even exist with a cost of 1€. Could we imagine selling Sentinel-2 data at 1€ per image ? Well let's see with planet. Planet has a special offer for research and education, which allows to download 5 000 km² of data for free. 5 000 km² is less than half the surface of a Sentinel-2 image. As this proposal is an incentive for future users, and as I expect planet to be more generous, I guess the cost of 5 000 km² is more than 1 €.
The Copernicus-NG studyThe European Copernicus is preparing a new generation of the Sentinel 1 to 6 in the 2030 horizon. Before studying the new missions, a comprehensive study of user needs was done, which included an economic study to consider a possible change of data policy. It also includes a nice summary of the pros and cons of adding a fee to Sentinel-NG data.
Study on the Copernicus data policy post-2020, Nextspace Final Report. 2 February 2019
3 options were considered regarding data policy changes, the main option being keeping the current data policy :
- Allowing access only to European citizens
- Access allowed against a fee for all users with the exception of European public institutions
- Access allowed for all users, but with no right to redistribute data (except upon agreement). This option would enable to avoid Amazon or Google to get revenue from Sentinel-2 data.
As seen in the study, this would have difficult legal implications and diplomatic consequences (access for Europe to data from other countries could be denied), but let's see the economic impact according to the study:
Data policy options 1 -access only in Europe 2 - add fee on data 3 - redistribution forbidden, except upon agreement Operational costs/year 7 M€ 11 M€ 9M€ Loss in economic activity in Europe/year 700 M€ 2300M€ 220 M€ Activity loss in Europe, in percentage -13% - 48% -5 % Economic impact of the three changes studied for Copernicus data policy
The operational costs would cover the need to enforce the regulations and to check users comply with the conditions. Of course, the option with a fee would require to set up services to advertise, negociate, recover the fees and provide support on the billing process.
The economical costs cover the fact that the data use relies on partners from outside Europe that would need to be replaces, by reduce export possibilities due to the restriction, and for the option 2 with fees, for all the activity that would not happen because of the necessity to pay for the input data. The study concludes, for option 2, that a reduction of the economic activity would be as high as 50%.
Although I have not heard if the Copernicus program intends to change something regarding the data policy, bades on the reports conclusions, it does not seem likely.
More economic considerations How to start a new business based on remote sensing data ?Now, imagine you are a company, and you have a good idea for a product that could be successful and generate revenue, for instance estimating evapo-transpiration in agricultural fields to provide advice on irrigation. To be credible, you need to demonstrate its over a region such as Occitania (10 tiles, 2 years). Can you afford to invest 180 k€ (10 x 365/4 x 2 x 100, assuming 100€ per image), just to make this demonstration ? Will you find funding for that, while you already need to fund the R & D investment ?
Sentinel-2 global mosaic 2019 by EOX.
Without the free and open data policy, the EOX could not have made its fantastic cloudless global mosaic, which is perfect tool to explore our planet and a good showcase for EOX remote sensing skill. Without the free and open data, Sinergise Sentinel-playground would not exist, and Sinergise would probably still be a little software company. In France, Kermap, Geosys and many others benefit from these data.
Cloud processing
Given the data volume, the current tendency is to avoid data transfers and process the data where they are stored. We have seen a large number of private operators and public platforms proposing cloud computing facilities with access to the data archive. If data are not free, with a unique distributor, it will become more difficult for independent organizations to duplicate archives to propose them withing their platforms. Of course, contracts could be signed, but probably not for free, and if two data sources belong to two different operators, will they propose access to both of them ?
Cloudy data have value when they are freeLet's forget the costs, budgets and suppose we are in a good society where users have some money to do their research. Of course they are asked to spare money and can't buy everything they want. This image in November with 35% of clouds has the same price as a cloud free image in September, should they buy it ? As it happened for LANDSAT when the data had to be paid, only the almost cloud free images are paid, and more than half of the images are never ordered, while they have intrinsic value.
Social benefits of free and open data Science for the citizens, NGO , journalistsI don't have a statistics, but free and open data enable surveillance of our planet by citizens, NGOs, journalists. Just take a few examples from citizen Gascoin :
- A mining company polluted a Siberian river, in 2016, and Sentinel-2 witnessed it. In this case, it is true that free and open data can be detrimental to corporate profits (the company was fined).
- Scientists emitted a warning about a glacier about to collapse with Sentinel-1 data, triggering evacuation and maybe saving lives.
- A video with LANDSAT-8 data by Simon, on the dynamics of sand near the Bassin d'Arcachon was relayed in the local press draining a large number of connections to this blog, and raising awareness within the public. Simon would not have pulished this video, had he had to pay 5000 € for the images.
- Pierre Markuse great images of forest fires from Sentinel-2 or Landsat-8 are often used in the press, to inform the broad public on the magnitude of the affected regions.
Free and open data are a great way to let students manipulate data and learn how to conduct a remote sensing project. A lot of the cloud platform users are students, it is also the case for Theia.
ResearchIn many European countries, research is relatively poor, and researchers are mainly funding researchers. We already lose to much time with proposal writing activities, let's not add the necessity to find more money to buy the data we need, negotiate the cost to access these data, check the number of images ordered, and find more money if the project works and we need more data.
Reducing the data access for the research community might slow down the progress of Earth observation science, and therefore degrade the impact of remote sensing data on society.
Earth monitoringAccess to data being costly, products at continental scale, such as the Pan European layers of Copernicus, the snow and ice layer, the Common Agricultural Policy products, or DLR's world settlement footprint would be updated less often. Europe could lose a good way to monitor its lands. Even worse, products at global scale would be almost inaccessible. Similarly, the less developed countries would have difficulties to afford the access to Copernicus data and monitor the state of crops or forests in their countries.
ConclusionsThis post, written with the help of Simon Gascoin and Julien Michel, might look biased (it probably is). But we have not found studies that conclude against the free and open data policy of Copernicus. If you are aware of any, please mention it in the comments, we are not specialists of bibliography in the economics domain. As summarized above, several studies show that the huge cost of development of satellite systems such as Landsat or the Copernicus Sentinels pays off in the long run, in temps of services activity and better knowledge of the state of our planet, at global or local scale.
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12:49
Le samedi, c'est Map Story !
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
En cette période confinement les occasions de s'évader son rares mais si vous habitez dans la région mayennaise, la ville de Laval propose de faire briller ses rues. Durant les fêtes de Noël (de septembre et janvier), les Lumières de Laval donnent un nouveau visage au centre-ville en créant une ambiance féérique. Pour cette édition 2020, le thème de la plume de Paon donne des tons de bleu, d’or et d’argent à toute la ville. La Story Map que j'ai retenu cette semaine présente les installations mises en place pour illuminer la ville.
Le récit cartographique permet de guider les utilisateurs des les différents quartiers et de découvrir les points clés et les horaires associés à chaque installation.
D'un point de vue technique, l'application a été configurée à partir du générateur de récits ArcGIS StoryMaps. Les contenus et l'application sont hébergées sur la plateforme Sass ArcGIS Online.
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11:37
The Perserverance Landing Site on Mars
sur Google Maps ManiaThe Mars 2020 mission will land the Perseverance rover and the Ingenuity helicopter drone on Mars on 18th February next year. The Perseverance rover will land in the Jezero crater. The crater is believed to have once been filled with water and to be now rich in clay deposits. One of the primary aims of the Mars 2020 mission is to find evidence of ancient life on Mars. The lake that once
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23:43
How to make a mosaic of Theia snow products in three command lines
sur Séries temporellesAssuming that you have downloaded from Theia and unzipped several products in the same directory. Assuming that you have a Linux OS with GNU Parallel, GDAL and OTB command line utilities installed..
Then, in your terminal, type:
# Get the color table wget [https:] # reproject all SNW raster products to a common system (here Web Mercator) and assign 255 to nodata parallel gdalwarp -srcnodata 255 -overwrite -r near -t_srs "EPSG:3857" {} {/} ::: $(ls SEN*/*SNW*.tif) # Apply color table parallel otbcli_ColorMapping -in {} -out c{} uint8 -method.custom.lut LIS_SEB_style_OTB.txt ::: $(ls S*SNW*.tif) # Merge colored images and set 0 to nodata gdal_merge.py -n 0 c*tif -o mosaic.tif -co COMPRESS=DEFLATE
Here the output is yesterday's snow cover map of the entire French Alps (10 December 2020). Snow is cyan, clouds are white.
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23:24
La cartographie des eaux usées afin de suivre l’évolution de la Covid
sur Veille cartographieCet article La cartographie des eaux usées afin de suivre l’évolution de la Covid est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
L’analyse des eaux usées permet de détecter presque une semaine à l’avance les foyers de contamination de l’épidémie mondiale. Ainsi, plusieurs projets ont été mis en place: Un réseau de surveillance, OBEPINE , afin de mesurer le virus dans l’environnement mais aussi la cartographie des eaux usées […]
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23:16
Nouveauté ArcGIS : ArcGIS Fields Maps
sur Veille cartographieCet article Nouveauté ArcGIS : ArcGIS Fields Maps est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Pour qui ? Les utilisateurs ayant besoin de visualiser des cartes, collecter ou mettre à jour des données SIG, enregistrer leur localisation dans un contexte de mobilité, sur le terrain. Fonctionnalités : Il s’agit d’une application mobile qui intègre la collecte de données, la visualisation de cartes et le suivi de localisation dans une seule […]
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19:42
Sounds of the Forest : la carte sonore interactive des bruits des forêts dans le monde
sur Veille cartographieCet article Sounds of the Forest : la carte sonore interactive des bruits des forêts dans le monde est apparu en premier sur Veille cartographique 2.0.
Qui n’a pas un jour rêvé de pouvoir écouter des sons naturels apaisants tout en restant chez soi ou en prenant les transports en commun ? Les organisateurs du Timber Festival ont eu cette idée de créer une carte sonore des forêts dans le monde. Le Timber Festival : festival international de la forêt Pour commencer, le […]
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18:00
The Hospital Capacity Map
sur Google Maps ManiaThe Carlson School of Management at the University of Minnesota has released a new interactive map which shows for the first time how hospitals in the United States are coping with epidemic levels of coronavirus. According to the map Tioga County in Pennsylvania currently has the highest percent of hospital beds occupied by Covid-19 patients. While Lincoln County, Nebraska, has the highest rate
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15:58
La prerelease d'ArcGIS Enterprise 10.9 est disponible
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
La prerelease d'ArcGIS Enterprise 10.9 (prévue pour Mars 2021) est désormais disponible sur My Esri pour tous les clients sous condition de maintenance de leur ArcGIS Enterprise. Cette prerelease comprend un aperçu de ce qui est à venir dans cette version 10.9. Comme pour les versions précédentes, vous trouverez ci-dessous des remarques et des considérations importantes:- La prerelease d'ArcGIS Enterprise est un aperçu de la prochaine version, les fonctionnalités ne sont donc pas complètes. Plusieurs fonctionnalités et améliorations nouvelles ne seront disponibles que dans la version finale. Vous trouverez sur My Esri les informations relatives aux problèmes connus.
- Pour cette prerelease, vous devrez générer vos licences pour ArcGIS Enterprise 10.9 dans My Esri.
- Il s'agit de la première version pour laquelle la mise à niveau à partir de versions antérieures d'ArcGIS Enterprise vers la version 10.9 est prise en charge. Cependant, comme toute prerelease, celle-ci ne doit en aucun cas être déployée dans un contexte de production.
- La mise à niveau de cette prerelease d'ArcGIS Enterprise 10.9 vers la version 10.9 finale (ou toute autre version intermédiaire à venir d'ici là) ne sera pas prise en charge. Ainsi, il est indispensable d'installer cette prerelease sur un système que vous prévoyez de mettre hors service après les tests.
La prerelease d'ArcGIS Enterprise 10.9 propose de nouvelles fonctionnalités pour les administrateurs du portail d'entreprise, notamment des rapports administratifs et une authentification multifacteur pour les comptes intégrés. En plus de cela, un nouvel éditeur de page d'accueil du portail d'entreprise et de nouvelles options de messagerie peuvent être définis dans ce dernier. Pensez à consulter les sections "Nouveautés de l'aide" installée pour obtenir des informations supplémentaires sur les nouvelles fonctionnalités et fonctionnalités disponibles pour chaque composant d'ArcGIS Enterprise 10.9 prerelease.
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15:38
À compter du 1er janvier 2021, toutes les données publiques (vecteur et ortho-images) de l’IGN seront libres et accessibles gratuitement
sur Décryptagéo, l'information géographiqueAlors que l’ouverture de l’ensemble des données publiques demandée par le Gouvernement était prévue en 2022, l’IGN anticipe et annonce l’ouverture de ses données publiques à compter du 1er janvier 2021. Cet accès gratuit et libre pour tous, en téléchargement ou par flux, contribue au plan national de relance de l’économie.L’ouverture des données IGN sous licence ouverte Etalab 2.0, signifie un accès et un usage gratuit pour tous. Pas de droits de reproduction, ni de diffusion à régler. Seules les données incluant des droits de tiers ou protégées par le droit d’auteur (cartes et SCANs) ne sont pas concernées par cette ouverture. Parmi les données importantes qui seront désormais ouvertes, citons la BD TOPO®, la BD ORTHO®, la BD forêt® et le RGE® Alti.
« Avec la logique d’ouverture des données publiques, l’objectif est d’offrir à tous la possibilité de valoriser les données sans contrainte limitante, de faciliter leur croisement avec d’autres données et de faire émerger de nouveaux services rendus nécessaires par la transformation numérique de la société et de l’Etat. Nous faisons le pari que l’ouverture permettra de construire de nouveaux partenariats et de nouvelles collaborations solides, renforçant ainsi l’adéquation entre les données publiques produites et les attentes exprimées par ceux qui les utiliseront. » déclare Sylvain Latarget, Directeur général par intérim de l’IGN.
Dans la dynamique de la stratégie d’État-plateforme modernisant l’action publique et de la révolution des usages numériques, l’IGN a, ces dernières années, fait évoluer sa mission historique de production-diffusion de données, son organisation, son modèle économique et ses méthodes de travail pour satisfaire un impératif : apporter un appui direct aux politiques publiques.
« Pour tous ceux qui attendaient cette ouverture avec impatience, la mise à disposition de ces données publiques, qui représentent la bagatelle de quelques centaines de téraoctets, se fera progressivement jusqu’à l’ouverture de notre nouvel outil de diffusion massif des données prévue à la fin du 1er trimestre 2021.» complète Sylvain Latarget.
Pour toute question utilisateur : [https:]]
A propos de l’IGNL’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique pour la ville et les territoires durables), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie, de l’opto-électronique, de la photogrammétrie et de la télédétection, du traitement des images, de l’intelligence artificielle, et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint, comme école membre, l’Université Gustave Eiffel créée au 1er janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de la géomatique et de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts Presse
Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse
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15:38
À compter du 1er janvier 2021, toutes les données publiques (vecteur et ortho-images) de l’IGN seront libres et accessibles gratuitement
sur Les Rencontres DécryptagéoAlors que l’ouverture de l’ensemble des données publiques demandée par le Gouvernement était prévue en 2022, l’IGN anticipe et annonce l’ouverture de ses données publiques à compter du 1er janvier 2021. Cet accès gratuit et libre pour tous, en téléchargement ou par flux, contribue au plan national de relance de l’économie.L’ouverture des données IGN sous licence ouverte Etalab 2.0, signifie un accès et un usage gratuit pour tous. Pas de droits de reproduction, ni de diffusion à régler. Seules les données incluant des droits de tiers ou protégées par le droit d’auteur (cartes et SCANs) ne sont pas concernées par cette ouverture. Parmi les données importantes qui seront désormais ouvertes, citons la BD TOPO®, la BD ORTHO®, la BD forêt® et le RGE® Alti.
« Avec la logique d’ouverture des données publiques, l’objectif est d’offrir à tous la possibilité de valoriser les données sans contrainte limitante, de faciliter leur croisement avec d’autres données et de faire émerger de nouveaux services rendus nécessaires par la transformation numérique de la société et de l’Etat. Nous faisons le pari que l’ouverture permettra de construire de nouveaux partenariats et de nouvelles collaborations solides, renforçant ainsi l’adéquation entre les données publiques produites et les attentes exprimées par ceux qui les utiliseront. » déclare Sylvain Latarget, Directeur général par intérim de l’IGN.
Dans la dynamique de la stratégie d’État-plateforme modernisant l’action publique et de la révolution des usages numériques, l’IGN a, ces dernières années, fait évoluer sa mission historique de production-diffusion de données, son organisation, son modèle économique et ses méthodes de travail pour satisfaire un impératif : apporter un appui direct aux politiques publiques.
« Pour tous ceux qui attendaient cette ouverture avec impatience, la mise à disposition de ces données publiques, qui représentent la bagatelle de quelques centaines de téraoctets, se fera progressivement jusqu’à l’ouverture de notre nouvel outil de diffusion massif des données prévue à la fin du 1er trimestre 2021.» complète Sylvain Latarget.
Pour toute question utilisateur : [https:]]
A propos de l’IGNL’IGN, l’Institut national de l’information géographique et forestière, est l’opérateur de l’Etat en matière d’information géographique et forestière. L’Institut intervient en appui à l’évaluation et à la mise en œuvre des politiques publiques de prévention des risques et d’aménagement du territoire. Il évolue en permanence pour répondre aux besoins croissants en données géolocalisées. Grâce à ses équipes de recherche au sein de l’UMR LaSTIG (Laboratoire en sciences et technologies de l’information géographique pour la ville et les territoires durables), de l’UMR IPGP (l’Institut de Physique du Globe de Paris) et du Lif (Laboratoire d’inventaire forestier), l’IGN dispose d’un potentiel d’innovation de haut niveau dans les domaines de la géodésie, de la topographie, de l’opto-électronique, de la photogrammétrie et de la télédétection, du traitement des images, de l’intelligence artificielle, et de l’inventaire forestier. L’ENSG-Géomatique, l’Ecole nationale des sciences géographiques de l’IGN, a rejoint, comme école membre, l’Université Gustave Eiffel créée au 1er janvier 2020. Elle forme les futurs ingénieurs de la géomatique et de l’information géographique.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) est placé sous la double tutelle de la ministre de la transition écologique et du ministre de l’agriculture et de l’alimentation.
Contacts Presse
Sophie Couturier – Tél : 01 43 98 83 05 – 06 85 31 34 90 – sophie.couturier@ign.fr
Corinne Waechter – Tél : 01 43 98 83 12 – 07 63 85 61 29 – corinne.waechter@ign.fr
ign.fr – geoportail.gouv.fr – Instagram – Facebook IGNFrance – @IGNFrance – @IGNpresse
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12:44
The Air War on Germany
sur Google Maps ManiaWhen I walk around my neighborhood in East London I can easily see where the bombs fell in World War II. There are a few plaques and memorials which mark locations which experienced a particularly large number of causalities. However the main clue is the age of the buildings. In my street every building constructed post-1945 is built on the site of a building bombed in World War II. A similar
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11:41
Mise à jour ArcGIS QuickCapture - Décembre 2020
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierAvec la mise à jour d'ArcGIS Online cette semaine, ArcGIS QuickCapture apporte également son lot d'améliorations. ArcGIS QuickCapture est une de mes application favorite car elle permet de collecter des données géolocalisées sur le terrain de manière extrêmement productive, avec une interaction réduite au stricte minimum entre l'utilisateur et l'écran de son smartphone ou de sa tablette (iOS ou Android). Dans cette version de décembre, ArcGIS QuickCapture propose plusieurs évolutions fonctionnelles très intéressantes que je reprends dans cet article.Une application mobile toujours plus fiable
Au cours des 3 derniers mois, Esri a travaillé en étroite collaboration avec des organisations déployant QuickCapture à grande échelle: pour soutenir les efforts liés au COVID-19, en réponse aux catastrophes naturelles (notamment les grands incendies en Californie), pour l'entretien et les inspections d'équipements actifs, dans des projets de conservation de l'environnement et la biodiversité, et plein d'autres initiatives sociales et solidaires de toutes sortes. Grâce à cette collaboration, Esri a pu mettre en évidence certaines améliorations pour rendre l'application mobile encore plus fiable et robuste.
Par exemple, QuickCapture gère désormais mieux que jamais la variation des conditions de connexion à internet. L'application prend mieux en charge les contextes dans lesquelles la connectivité réseau est médiocre ou peu fiable et récupère automatiquement les échecs de téléchargement de données sans intervention de l'utilisateur. Cette mise à jour apporte également une meilleure gestion de la mémoire, vous permettant de capturer plus de données simultanément et sur des périodes plus longues.
Plus d'options de configuration de projet
Une série d'améliorations ont été ajoutées au concepteur web QuickCapture, l'interface permettant de créer et de gérer vos projets QuickCapture.- Il est désormais possible de saisir du texte libre dans les listes d'entrées utilisateur du projet. Les entrées utilisateur du projet sont utilisées pour que l'utilisateur puisse définir des informations avant le début de la collecte de données qui seront insérées automatiquement dans la base de données à chaque capture. Par exemple, le nom de la personne qui fait la collecte, l'ID du pipeline en cours d'inspection, la commune sur laquelle se font les observation,... Vous pouvez désormais définir les entrées utilisateur du projet sous la forme d'une liste de choix prédéfinie fermée ou laisser la liste ouverte afin que les utilisateurs finaux puissent entrer des valeurs supplémentaires non présentes dans la liste d'origine.
- Vous pouvez maintenant changer la taille des étiquettes des boutons. Depuis le concepteur web QuickCapture, vous pouvez contrôler la lisibilité des étiquettes, ce qui est tout sauf un petit détail pour des utilisateurs opérant sur le terrain.
- QuickCapture permet dorénavant de transmettre l'emplacement actuel de l'appareil à un formulaire intelligent Survey123. Esri a introduit le concept de boutons de lien dans sa mise à jour précédente. En ajoutant des boutons de lien vous permettez aux utilisateurs de lancer d'autres applications depuis QuickCapture. Par exemple, il pourra ouvrir une application web, telle qu'un tableau de bord, une carte web, un manuel d'instructions ou encore visualiser une vidéo explicative. Vous pouvez également lui permettre d'exécuter des applications natives présentes sur son appareil, comme ArcGIS Survey123. Si c'est le cas, vous pourrez désormais transmettre sa position ainsi que d'autres informations pour pré-remplir les questions d'un formulaire intelligent dans Survey123.
- Vous allez pouvoir dorénavant utiliser l'emplacement de la photo pour l'entité capturée. Dans certains workflow, vous souhaiterez d'abord capturer l'emplacement d'un objet, puis reculer de quelques pas et prendre une photo de cet objet. Dans d'autres cas, vous souhaiterez peut-être conserver l'emplacement à partir duquel vous prenez la photo, par exemple pour capturer l'emplacement d'une observation. Le concepteur web QuickCapture vous pouvez désormais décider ce qui vous convient. Pour cela, une nouvelle option vous permet d'utiliser l'emplacement de la prise de la photo comme emplacement de l'enregistrement capturé.
- De nouvelles variables issues de votre appareil peuvent maintenant être enregistrées avec votre capture. Les variables de l'appareil permettent de récupérer automatiquement des variables issues de votre tablette ou de votre smartphone et de les ajouter en tant qu'attributs aux entités que vous capturez avec QuickCapture. Voici la liste des variables de l'appareil récemment ajoutées:
- Photo: cap, décalage, roulis, tangage
- Emplacement: MGRS, USNG, DDM, DMS
- Version: de l'application QuickCapure, du système d'exploitation
- Mesure: Longueur de ligne, Surface du polygone
Modèles de projet
Les modèles de projet vous permettent de démarrer vos propres projets à partir d'une liste de projets prédéfinis directement opérationnels. Vous pouvez utiliser ces modèles tels quels ou les adapter à vos besoins. Dans cette version, Esri a ajouté plusieurs nouveaux modèles:
- Comptage de présence (occupancy Counter): pour comptez le nombre d'individus entrant et sortant d'un site donné avec ArcGIS QuickCapture.
- Courir, Marcher, S'amuser (Run, Walk, Have Fun): pour l'organisation une course virtuelle. Vous utiliserez ainsi ArcGIS QuickCapture pour enregistrer les itinéraires et les photos des participants en cours de route.
- Opérations de recherche de personnes portées disparues (USAR): ce modèle est une adaptation du projet WiSAR par le groupe de travail SAR de la fondation National Alliance for Public Safety GIS (NAPSG).
Imagerie orientée (beta)
Enfin, cette mise à jour de QuickCapture a été également l'occasion d'introduire une nouvelle capacité (en beta) de collecte d'imagerie orientée. L'idée ici est de permettre à l'utilisateur de collecter et d'exploiter les photos prises sur le terrain de manière plus interactive, à l'aide d'outils d'imagerie orientée dans ArcGIS.
À partir de cette version, vous pouvez activer la collecte de données d'imagerie orientée dans vos projets QuickCapture. Ainsi, lorsqu'une photo est prise avec l'application, un certain nombre d'attributs (emplacement de la photo, direction, tangage, roulis, champ de vision horizontal, champ de vision vertical,...) sont automatiquement stockés en tant qu'attributs de l'entité dans votre SIG. Avec ces informations, les outils d'imagerie orientée d'ArcGIS Web AppBuilder (Developer Edition) et d'ArcGIS Pro vous permettront de visualiser et d'interroger les données collectées sur le terrain de manière innovante. Voici une brève animation montrant ces outils en action.
Les outils d'imagerie orientée permettent de découvrir rapidement les photos associées à vos points en cliquant sur une carte. Vos photos s'affichent alors dans un contexte géographique en projetant, dans la carte, le champ de vision des images capturées. L'activation de l'imagerie orientée dans vos projets QuickCapture n'ajoute aucun effort supplémentaire pour l'utilisateur terrain, mais enrichit et prépare les données collectées pour l'utilisation de ces outils qui vont continuer à évoluer dans ArcGIS à l'avenir.
Plus de ressources
La vidéo ci-dessous reprend rapidement ces nouveautés et montre comment les mettre en oeuvre. Vous pourrez également consulter la page d'aide dédiée aux nouveautés de cette version 1.8.
Evolutions à venir pour QuickCapture ?
Esri travaille déjà sur la prochaine mise à jour, qui devrait être disponible au moment de la prochaine mise à jour d'ArcGIS Online (mars 2021). Beaucoup de nouvelles fonctionnalités intéressantes sont envisagées tout en gardant à l'esprit les principes de base de l'application (saisie simple et rapide, la plus automatisée possible). Les versions beta de la version 1.9 seront mises à disposition de la communauté Early Adopters de QuickCapture. - Il est désormais possible de saisir du texte libre dans les listes d'entrées utilisateur du projet. Les entrées utilisateur du projet sont utilisées pour que l'utilisateur puisse définir des informations avant le début de la collecte de données qui seront insérées automatiquement dans la base de données à chaque capture. Par exemple, le nom de la personne qui fait la collecte, l'ID du pipeline en cours d'inspection, la commune sur laquelle se font les observation,... Vous pouvez désormais définir les entrées utilisateur du projet sous la forme d'une liste de choix prédéfinie fermée ou laisser la liste ouverte afin que les utilisateurs finaux puissent entrer des valeurs supplémentaires non présentes dans la liste d'origine.
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11:00
CARTO Blog: Our Thoughts as MapboxGL JS v2.0 Goes Proprietary
sur Planet OSGeoThis week, Mapbox announced that they were changing the license of their MapboxGL JS library as part of their latest v2.0 release. The library has gone from an Open Source ... -
10:00
CARTO Blog: Announcing the CARTO Scientific Committee
sur Planet OSGeoCARTO has been at the forefront of the development of Spatial Data Science, a subset of Data Science that focuses on the unique characteristics of spatial data, moving beyo...
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17:47
In the Minds of Tudor England
sur Google Maps ManiaI am currently reading Hilary Mantel's fantastic historical novel Wolf Hall, which explores the plots and intrigues of the court of Henry VIII, told from the perspective of Thomas Cromwell. I am in awe of Mantel's skill in being able to bring to life (in the minds of her readers) the lives of people from half a millennium ago.The only other way I know of gaining such an insight into the minds of
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16:57
gvSIG Team: 16th International gvSIG Conference: Recording of presentations and workshops available
sur Planet OSGeoThe presentations given at 16th International gvSIG Conference, that were held from November 4th to 6th in online mode, are now available.
Recording of presentations that were given in English, Spanish or Portuguese, as well as the workshop in Spanish about “Normalización radiométrica e índices de vegetación en mapeo de incendios” are available at the Conference website.
If you couldn’t follow the live conference you can watch the videos of the different sessions and the workshop and download the presentations now.
Don’t miss them and see you in the next gvSIG Conference!
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16:42
gvSIG Team: 16as Jornadas Internacionales gvSIG: Disponible la grabación de las ponencias y el taller
sur Planet OSGeoYa están disponibles las presentaciones realizadas en las 16as Jornadas Internacionales gvSIG, que se celebraron de forma online del 4 al 6 de noviembre.
También está disponible la grabación, tanto de las ponencias que se realizaron en español, inglés y portugués, como del taller sobre “Normalización radiométrica e índices de vegetación en mapeo de incendios”que se impartió durante las jornadas.
Si no pudiste seguir las jornadas en directo ahora puedes disponer de la grabación de las distintas sesiones, y también del interesante taller realizado.
¡Os esperamos en las siguientes jornadas!
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16:24
Airbus qualifie un réflecteur dépliable de cinq mètres pour satellites radar, une première en Europe
sur Décryptagéo, l'information géographique
Coûts réduits pour missions ou constellations de petits satellites radarFriedrichshafen, le 10 décembre 2020 – Airbus a complété la qualification d’un réflecteur d’antenne radar dépliable de cinq mètres, le premier en Europe. Ce réflecteur dépliable de 70 kilogrammes permettra d’obtenir d’un instrument radar une meilleure résolution pour l’observation de la Terre. Avec sa conception exceptionnellement légère, sa rigidité et sa grande robustesse, la technologie du réflecteur semi-rigide offre des avantages significatifs par rapport aux réflecteurs à mailles classiques.
Avec son grand diamètre, le réflecteur ne tiendrait dans aucune coiffe de fusée; il doit donc être replié pour le lancement. Une fois la coiffe larguée, le réflecteur se dépliera comme une fleur – de 1,6 à 5 mètres. Le concept du réflecteur parabolique dépliable permet à Airbus de pénétrer le marché des missions ou constellations radar à coûts réduits.
A l’issue d’une campagne de tests de déploiement et d’environnement intensive, le modèle de qualification a été livré au client pour des tests supplémentaires au niveau du système satellitaire complet. Le modèle de vol sera livré en 2021 et son lancement est actuellement prévu pour le client export, en 2022.
About Airbus
Airbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
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16:24
Airbus qualifie un réflecteur dépliable de cinq mètres pour satellites radar, une première en Europe
sur Les Rencontres Décryptagéo
Coûts réduits pour missions ou constellations de petits satellites radarFriedrichshafen, le 10 décembre 2020 – Airbus a complété la qualification d’un réflecteur d’antenne radar dépliable de cinq mètres, le premier en Europe. Ce réflecteur dépliable de 70 kilogrammes permettra d’obtenir d’un instrument radar une meilleure résolution pour l’observation de la Terre. Avec sa conception exceptionnellement légère, sa rigidité et sa grande robustesse, la technologie du réflecteur semi-rigide offre des avantages significatifs par rapport aux réflecteurs à mailles classiques.
Avec son grand diamètre, le réflecteur ne tiendrait dans aucune coiffe de fusée; il doit donc être replié pour le lancement. Une fois la coiffe larguée, le réflecteur se dépliera comme une fleur – de 1,6 à 5 mètres. Le concept du réflecteur parabolique dépliable permet à Airbus de pénétrer le marché des missions ou constellations radar à coûts réduits.
A l’issue d’une campagne de tests de déploiement et d’environnement intensive, le modèle de qualification a été livré au client pour des tests supplémentaires au niveau du système satellitaire complet. Le modèle de vol sera livré en 2021 et son lancement est actuellement prévu pour le client export, en 2022.
About Airbus
Airbus is a global leader in aeronautics, space and related services. In 2019, it generated revenues of € 70 billion and employed a workforce of around 135,000. Airbus offers the most comprehensive range of passenger airliners. Airbus is also a European leader providing tanker, combat, transport and mission aircraft, as well as one of the world’s leading space companies. In helicopters, Airbus provides the most efficient civil and military rotorcraft solutions worldwide.
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