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8:30
Augustin J.-P. et Gillon P., 2021, Les jeux du monde. Géopolitique de la flamme olympique
sur MappemondeJean-Pierre Augustin de l’Université Bordeaux-Montaigne, chef de file d’une géographie sociale et culturelle du sport en France depuis presque quatre décennies, et Pascal Gillon, tenant plutôt du courant de l’analyse dite spatiale, inspiré, entre autres, par le travail de Jean Praicheux à l’Université de Franche-Comté et co-auteur notamment de l’Atlas du sport mondial, présentent un ouvrage d’envergure. La quantité d’informations, la qualité du traitement et des fondements théoriques du travail d’analyse, et surtout ce croisement entre deux écoles que parfois tout oppose, mais qui se complètent ici de manière remarquable, offrent un ouvrage majeur sur le sujet.
Le dessin discutable de première de couverture du graphiste pourtant connu Adria Fruitos ne doit pas obérer la teneur des 220 pages au format royal de ce titre de la nouvelle collection « Monde » des éditions Armand Colin, une collection consacrée à des ouvrages d’envergure qui permettent de comprendre les mécanismes de nos so...
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8:30
La ligne de couleur de W.E.B Du Bois. Représenter l’Amérique noire au tournant du XXe siècle
sur MappemondeDepuis 2013, un mouvement politique lutte contre le racisme envers les Noirs d’Amérique : Black Lives Matter. Pourtant, un tel militantisme en faveur de la cause noire ne date pas d’hier. William Edward Burghardt Du Bois en est un précurseur lorsque, en 1900, pendant l’Exposition universelle de Paris, il entend illustrer les progrès accomplis par la communauté afro-américaine depuis l’abolition de l’esclavage. Pour ce faire, ce sociologue et historien américain réalise une soixantaine de représentations : cartes, graphiques et diagrammes colorés, de véritables innovations, pour son époque, dans les domaines statistique et cartographique. Son travail minutieux est à la croisée de plusieurs disciplines : de l’histoire à la géographie, en passant par les statistiques, la sociologie et l’ethnologie. Il entend, à travers cette exposition, mettre en lumière ce qu’il appelle le « très proche », ces structures invisibles du « colonialisme et du capitalisme racial, qui conditionnent l’organi...
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8:30
De l’intérêt des pictogrammes pour figurer les représentations sociocognitives de l’espace résidentiel
sur MappemondeQuel rapport émotionnel un individu entretient-il avec son habitat ? Un jeu de simulation de négociation entre les différents critères d’évaluation de l’environnement résidentiel permet de recueillir un corpus de données. Son analyse implique une réflexion sur la formalisation des résultats obtenus. Deux options sont confrontées : une représentation en graphe polaire et une image composée de pictogrammes symbolisant les multiples dimensions de l’espace résidentiel qui peuvent motiver les choix d’installation. Cette dernière image permet une appréhension plus simple du lien entre les structures spatiales, cognitives et sociales.
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8:30
Saisir la position sémio-spatiale d’un élément géographique dans les cartes cognitives
sur MappemondeL’article propose d’analyser la position sémio-spatiale d’un élément géographique, en l’occurrence une frontière d’État, dans les cartes cognitives d’une ville frontalière. Sur le plan théorique, le recours au concept sémiologique de topos et la notion de position permettent de saisir les significations d’un élément géographique en fonction des positions sociales, afin de cerner leur contribution au positionnement de l’élément dans la carte cognitive. Méthodologiquement, cette analyse requiert une étroite intégration d’une tache discursive aux méthodes plus classiques de la cartographie cognitive.
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8:30
La photographie comme représentation : L’ancrage et l’objectivation iconographique
sur MappemondeCet article aborde l’utilisation de la photographie de lieux comme un outil de recueil des représentations spatiales. Cette approche repose sur la présence des processus d’ancrage et d’objectivation dans l’iconographie qui révèle un rapport de communication tout comme une représentation sociospatiale. 20 habitants de Montreuil-sous-Bois ont réalisé des photos caractéristiques et non caractéristiques de quatre lieux imposés dans leur ville. Les résultats montrent que pour représenter ce qui est caractéristique d’un lieu, les personnes ancrent et objectivent leurs photos dans l’usage et/ou la fréquentation du lieu. À l’inverse, les photos non caractéristiques tentent d’être impersonnelles. La photographie de lieux apparait comme une réelle communication entre individus et comme un outil à développer pour aborder les représentations sociospatiales.
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8:30
Des cartes mentales pour analyser la vulnérabilité au risque d’une ville de l’Arctique russe : Khamagatta
sur MappemondeL’article présente les résultats principaux d’un atelier cartographique conduit à Khamagatta (Sibérie orientale). L’objectif en était double : observer la vulnérabilité aux inondations de débâcle de la ville par les connaissances d’enfants et d’adolescents y vivant ; utiliser la carte comme instrument de dialogue, d’intégration des connaissances et de recueil de données. Récits et cartographies ne s’opposent pas, mais se renforcent. L’atelier cartographique a permis que se côtoient différents registres de connaissances et produit au final des informations précieuses pour l’analyse scientifique.
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8:30
« Self Cartography », une narration autour du monde
sur MappemondeCet article propose une utilisation de la carte géographique comme support à la mise en récit de souffrances psychiques liées à l’expérience de la migration. À partir de la conception d’une méthodologie spécifique — « Self Cartography » — dans le champ de la psychologie clinique, nous reviendrons sur l’élaboration de cette méthode et l’illustrerons par la présentation de cas cliniques.
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7:58
The World in Hong Kong
sur Google Maps ManiaYou can walk from Zurich to Rome in just over 1 hour. That is 'Zurich Avenue' and 'Crescendo Roma Viale' in Hong Kong (according to Google Maps it will take you 195 hours to walk from Zurich, Switzerland to Rome, Italy).Rome and Zurich are not the only world locations which feature in the street names of Hong Kong. According to Asia’s World City: Around the World in One Day through Hong Kong's
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Exactly what are Virtual Info Rooms?
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A online data room is a secure online repository that supports the secure sharing of critical paperwork and documents with multiple parties concurrently. These are generally applied during M & A, loan syndications, licensing and equity bargains, where firms share data that is private or that might be damaging to them or perhaps their consumers […]
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Selecting the best Virtual Data Room Service provider
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A virtual data space is a protect online platform where multiple parties may upload, conserve and deal with files and files. Typically accustomed to streamline and accelerate homework, www.dataroomzone.info/top-7-tips-for-working-with-virtual-file-cabinet/ M&A and other transaction-related processes, these platforms provide users web-site and get easily promote and gain access to information via anywhere, whenever they want. While many […]
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16:54
Impact du changement climatique sur le niveau des nappes d'eau souterraines en 2100
sur Cartographies numériques
Source : Impact du changement climatique sur le niveau des nappes d'eau souterraines en 2100 (CNRS, 13 juillet 2023).
Seules 30 % des réserves d’eau douce de la planète sont accessibles, les 70 % restant sont sous forme de glace dans les glaciers. Cette eau douce exploitable est principalement constituée d’eaux souterraines contenues dans les aquifères (29 %), loin devant les eaux de surfaces (1 %) formant les rivières, les lacs, ou les zones humides. Comprendre l’impact du changement climatique à venir sur les eaux souterraines est donc essentiel pour améliorer les plans d'adaptation de la gestion de la ressource en eau à l’échelle mondiale.Dans une nouvelle étude réalisée dans un laboratoire rattaché au CNRS-INSU, une équipe de scientifiques a analysé, selon l'évolution climatique à l’horizon 2100, l’évolution du niveau des nappes souterraines dans les 218 principaux bassins aquifères non-confinés du monde, en suivant les derniers scénarios de changement climatique utilisés par le GIEC. Cette étude a été réalisée avec les deux modèles de climat du CNRM (CNRM-CM6-1 et CNRM-ESM2-1), capables de représenter les rétroactions entre le climat, le changement d’utilisation des terres et les processus liés aux eaux souterraines, mais pas les prélèvements anthropiques. Selon le scénario considéré, ces modèles simulent une hausse du niveau des nappes d’eau souterraines à la fin du 21ème siècle sur 33 % à 42 % des régions couvertes par les principaux bassins aquifères du monde, et une baisse du niveau de ces nappes sur 26 % à 37 % de ces régions. Ces estimations sont ensuite croisées avec des projections de densité de population afin de tenir compte des possibles effets liés aux prélèvements d’eau par les activités humaines.
L’équipe estime alors que 31 % à 43 % de la population mondiale en 2100 pourrait être affectée par ces modifications du niveau des nappes. La majorité (29 % à 40 % de la population mondiale), serait alors plus fréquemment confrontée à des problèmes de pénurie d'eau, liés à l’évolution du climat et/ou de la consommation d’eau par les activités humaines, alors que seulement 1,7 % à 2,2 % de la population mondiale verrait sa ressource en eau augmenter, entrainant un risque accru d’inondations.
Changements simulés de la profondeur des nappes d’eau souterraines (en %) entre la période historique (1985-2014) et la fin du 21ème siècle (2071-2100) - Source : Costantini & al., 2023
Légende
Changements simulés de la profondeur des nappes d’eau souterraines (en %) entre la période historique (1985-2014) et la fin du 21ème siècle (2071-2100) dans le scénario SSP370 mis en place pour le 6e rapport du GIEC. Les régions bleues et rouges correspondent à une hausse ou une baisse du niveau des nappes, respectivement. Les régions blanches correspondent aux zones où les changements simulés ne sont pas statistiquement significatifs à un niveau de confiance de 95 %. Ces estimations ne prennent en compte que les facteurs climatiques, l’impact des prélèvements anthropiques sont discutés dans l’étude.
Pour en savoir plus
Costantini, M., Colin, J., & Decharme, B. (2023). Projected climate-driven changes of water table depth in the world's major groundwater basins. Earth's Future, 11, e2022EF003068.
L'évaporation des lacs dans le monde : une tendance à la hausse
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Un jeu de données SIG sur les fleuves qui servent de frontières dans le monde
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10:03
Which Country Most Resembles Your Country?
sur Google Maps ManiaThe political scientist Anders Sundell has posted a Twitter thread which reveals "the countries that look the most like each other". For example (according to Anders) the country which most resembles the United States is Saudi Arabia. According to the text on each country comparison an "algorithm checked the shapes of all countries in order to find the most similar shapes. All countries were -
9:12
Mapping Oil Exports to North Korea
sur Google Maps ManiaThe Financial Time's investigation Inside North Korea's Oil Smuggling Triad begins with an amazing cinematic pan out from a 3D model of two oil tankers, up through some animated clouds, to a map of East Asia. The whole sequence begins with a 3D reconstruction of an illegal ship-to-ship transfer from the oil tanker Unica to a North Korean ship. This reconstruction then zooms out to a map of East
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8:11
UC Esri 2023 : Les principales annonces autour des technologies ArcGIS
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Cette semaine avait lieu la Conférence Mondiale des utilisateurs Esri à San Diego (Californie). De retour en présentiel depuis l'an dernier, le nombre record de participants de 2019 a été dépassé cette année avec 18000 participants en présentiel (15500 d'utilisateurs, 2500 des équipes d'Esri et des distributeurs) auxquels il faut rajouter 15000 participants en digital.
Chaque année, la conférence Esri est l'occasion de proposer un apophtegme développé par Jack Dangermond lors de la plénière et par les témoignages et les communications des utilisateurs tout au long de la semaine. Celui de cette année était le suivant : "GIS Creating the world you want to see". Il nous rappelle que, dans notre domaine des SIG comme partout ailleurs dans nos vies, c'est nous qui avons la main sur notre futur et nous revient d'en faire ce que nous souhaitons...
Après un mois de juin extrêmement riche en sorties de nouvelles versions dans les solutions ArcGIS, il y avait énormément d'informations à découvrir pour les utilisateurs venus de plus de 140 pays pour apprendre sur les produits Esri, partager les expériences, et s'inspirer des innovations et tendances technologiques pour faire avancer l'usage de l'information géospatiale dans leur organisation.
Parlons donc évolutions technologiques...
J'ai pris le parti de n'aborder dans cet article que des annonces que je n'ai pas encore traité dans mes articles ces dernières semaines et qui concerne les mois à venir. Aussi, je précise que ces informations sont à prendre toujours avec précaution car des changements sont toujours possibles tant qu'une solution n'est pas sortie officiellement.
De nombreux thèmes ont structurés cette année la plénière et les centaines d'ateliers techniques de la conférence. Les thèmes généraux suivants m'ont paru les plus en vue : Imagerie, Reality Capture, Intégration SIG BIM, SIG 3D, SIG Indoor, GeoAI, Jumeaux Numériques. D'autres thèmes plus techniques ont également retenu mon attention comme la mise à jour et l'analyse avancée sur le web, l'intégration de données multi-langues et multi-fuseau horaires, la conception d'architectures cloud native ou encore la parité fonctionnelle qui se renforce entre les outils SIG Desktop et Online.
Imagerie et Reality Capture
Sortie il y a quelques semaines, la famille d'applications ArcGIS Reality a été largement démontrée en plénière et illustrée lors des ateliers techniques et sur les stands d'Esri et de ses partenaires. En particulier ArcGIS Reality Studio net ArcGIS Reality for ArcGIS Pro qui permettent la génération de produits 2D/3D en haute définition sur de larges territoires à partir d'images collectées par drone, avion ou satellite. Esri a notamment confirmé plusieurs évolutions à venir comme la possibilité de créer des produits 3D à partir d'imagerie satellitaire ou la possibilité d'exécuter ses traitements de manière distribuée. On notera également qu'Esri travaille sur le développement d'une application de planification de vol "Site Scan Flight" pour les drones sur Android pour offrir une alternative à celle existant actuellement sur iOS.
Au-délà des évolutions fonctionnelles liées aux workflows d'intégration et de traitement d'image (notamment d'IA), de nombreuses évolutions vont marquer les prochains mois autour de l'imagerie. Par exemple, l'arrivée du rôle serveur "Video Server" en version 11.2 d'ArcGIS Enterprise va permettre la diffusion et le traitement à la volée de vidéo géolocalisée avec des applications web comme Excalibur ou encore ArcGIS Pro ou ArcGIS AllSource. La gestion, la diffusion et l'exploitation de l'imagerie orientée (vues immersives, imagerie oblique issue de drones/avions) va prendre une place de choix au cœur du système ArcGIS avec l'intégration et le support à partir d'ArcGIS Pro 3.2 et d'ArcGIS Online de novembre prochain.
Mobilité
Coté mobilité, beaucoup d'ingénierie chez Esri concernent l'accélération de la collecte de données en s'appuyant notamment sur les capacité d'IA embarquée dans des applications comme Survey123 (reconnaissance d'équipements, qualification des objets collectés, comptage de personnes, ...). Des pistes de R&D autour de l'IA ont marqués les esprits avec la démonstration de ce qu'IA générative (type GPT4 par exemple) dans l'assistance à la création de formulaires dans Survey123, mais pas d'annonce d'une intégration dans le produit dans l'immédiat.
En ce qui concerne ArcGIS Field Maps, l'intégration des capacités d'ArcGIS Workforce sera finalisée prochainement (d'ici la fin de l'année). D'autres évolutions communes à l'ensemble des apps de terrain ArcGIS concernent le support des Utility Networks en mode déconnecté, des règles attributaires, ou encore l'amélioration de l'expérience utilisateur autour de la mise à jour des enregistrements reliés.
ArcGIS Enterprise
La roadmap à court, moyen et long terme a été largement évoquée dans plusieurs ateliers car le passage en version 11.x a ouvert une nouvelle ère au composant serveur du système ArcGIS. Plus de fonctionnalité, plus de facilité à déployer et à maintenir, plus de scalabilité, .... mais aussi une meilleure intégration aux architectures cloud vont guider les prochaines versions.
Parmis les évolutions concrètes pour les prochaines versions (11.2 et 11.3), on pourra signaler de nouvelles interfaces dans le portail pour gérer directement un certain nombre de services web du GIS Server, comme alternative à ArcGIS Server Manager. Les Custom Data Feed pourront bientôt être déclaré via l'interface ArcGIS Server Manager. Autre évolution importante, le support de connexion à des bases de données NoSQL telles que ElasticSearch, OpenSearch ou encore MongoDB.
Par ailleurs, la prochaine version d'ArcGIS Enterprise proposera de nouvelles options (à l'installation) pour tirer profit, dans un environnement déconnecté, de certains contenus du Living Atlas, avec un mécanisme de mise à jour régulier des données.
Au niveau des composants internes d'ArcGIS Enterprise, Esri poursuit ses efforts pour permettre l'utilisation de composant Cloud Native lorsque vous le souhaitez (par exemple : l'utilisation de DynamoDB + S3, ou d'Azure Tables pour le Config-Store d'ArcGIS Server qui est proposé aujourd'hui en 11.x).
On signalera également l'arrivée prochaine (11.2 ou 11.3) des outils d'analyse d'ArcGIS Online ainsi que la possibilité de déployer ArcGIS Urban ou ArcGIS GeoBIM, normalement dans la prochaine version (11.2).
Coté Kubernetes, on notera la finalisation du support complet de la technologie Image Server avec l'implémentation des capacités d'analyse sur les services d'imagerie dans l'architecture Kubernetes. Il restera possible d'utiliser un rôle "Image Server" sur un serveur (Windows/Linux) fédéré. On notera également qu'Esri va étendre très prochainement le support d'ArcGIS Enterprise à une 5ème "plateforme" Kubernetes : Rancher Kubernetes Engine.
ArcGIS Pro
La roadmap d'ArcGIS Pro est, de mon point de vue, une des plus ambitieuse. En particulier pour la version 3.2 attendue en novembre prochain. En effet, une multitude d'évolutions clés vont voir le jour. On citera par exemple la possibilité de stocker et de partager ses projets ArcGIS Pro directement sur son portail ArcGIS Enterprise pour une collaboration plus étroite entre différents utilisateurs sur les mêmes données, cartes/scène, analyses, mises en page, tâches, .... très prometteur !
En ce qui concerne les capacités fonctionnelles je peux vous signaler des nouveautés à court terme comme les couches exclusives (couche et groupe de couches avec des boutons radio), le support des fichiers/flux au format 3D Tiles, la génération de rapports sur les schémas de vos sources de données (fichiers ou service) comme X-Ray dans ArcMap (mais plus puissant), de nouveaux outils interactifs 3D de simulation de crues, l'intégration en standard des imageries orientées, le support des ObjectID en 64 bits dans les Géodatabases, de nouveaux types de champs dans les Géodatabases,... On notera aussi la possibilité d'opter pour un environnement de mise à jour mono-workspace ou multi-workspace et la mise à jour de classes d'entités non-versionnées dans les Géodatabase Enterprise.
Une nouvelle notion très intéressante va permettre aux utilisateurs d'ArcGIS Pro de créer des présentations à partir des cartes et des scènes de leurs projets mais également en intégrant des textes, images, vidéos,... Ces "PowerPoint géographiques" vont vous permettre de présenter vos contenus, vos workflows et vos analyses tout en gardant l'interactivité et la navigation dans vos cartes et vos scènes 3D. Ces présentations pourront être exportées au format HTML et en tant que vidéo.
Esri a également évoqué des orientations à plus long terme sur ArcGIS Pro avec notamment l'implémentation de nouveaux formats 3D en natif ou l'ajout de nouveaux connecteurs vers des Cloud Storages du marché. A noter aussi des ambitions fortes sur l'intégration de capacités d'IA générative pour assister l'utilisateur dans différentes tâches SIG mais aussi pour des recherches plus intelligentes dans ses données ou encore pour l'aide au scripting. Là aussi, c'est très prometteur mais nous aurons le temps d'en reparler.
Visibilité sur la roadmap d'ArcGIS Pro (février 2023)
ArcGIS Online
Le SIG en mode SaaS séduit un nombre toujours plus important d'utilisateurs avec une croissance exponentielle du nombre d'utilisateurs et de contenus sur ArcGIS Online. Dans ce domaine aussi, Esri a renforcé ses capacités de R&D et la roadmap ne manque pas d'ambition.
Si on évoque application Map Viewer qui est au cœur de vos workflows, on pourra noter plusieurs évolutions à court terme comme une nouvelle expérience pour l'éditeur de fonctions raster, de nouveaux outils d'analyse, le support des fenêtres contextuelles sur les couches de tuiles vectorielles, l'intégration des couches d'imagerie orientées, ou encore l'enregistrement possible des couches multimédia, des couches de dessins ou des couches d'imagerie dans vos contenus. A plus long terme, on retiendra qu'Esri travaille sur une interface de type "ModelBuilder" pour enchainer différents outils d'analyse et sur le support des services de géotraitement et des notebooks en tant qu'outils d'analyse personnalisé dans Map Viewer.
A court terme, on pourra noter plusieurs évolutions clés assez attendue des utilisateurs. Tout d'abord, la capacité d'afficher les relations (dépendances) entre différents éléments de contenus de son portail, par exemple entre une carte web et les couches qui la compose ou inversement entre une couche et les cartes qui l'utilisent. Les utilisateurs pourront bientôt annuler, durant une certaine période, la suppression de certains éléments de leur portail (un peu comme la corbeille de votre PC ou de votre Mac).
A plus long terme, d'importantes évolutions sont également en cours de développement pour fournir une application dédiée à la mise à jour avancées de données (spatiale et attributaire) dont les capacités devront à terme être proches de celles d'ArcGIS Pro (règles attributaires, topologie, outils de construction, utility networks,...) et permettre la personnalisation de workflows de mises à jour spécifiques à vos métiers et à vos modèles de données.
Concernant les contenus, les idées ne manquent pas pour completer l'éventails de couches proposées dans le Living Atlas. Esri participe à la fondation Overture Maps et annonce l'implémentation prochaine du nouveau schéma de données d'OSM Daylight pour l'actualisation régulière des fonds de cartes 2D et 3D mise à disposition des utilisateurs d'ArcGIS.
Collaboration avec ArcGIS Hub
La collaboration et l'engagement de communautés autour de données Open Data est plus que jamais un enjeu que les SIG contribuent à adresser. ArcGIS Hub jour un rôle clé en exposant une partie des données du SIG via des portails Open Data mais aussi en fournissant les outils pour implémenter des initiatives collaboratives pour engager des communautés (partenaires, associations, citoyens, ...) sur des actions concrètes. Une évolution à court terme est relative aux recherches sur les sites Open Data qui va être totalement repensée en termes d'expérience utilisateur. Une autre nouveauté à venir concerne la possibilité, dans ArcGIS Hub Premium, de créer des projets dans une initiative afin de pour découper les objectifs de l'initiative en projets plus ciblés. D'autres innovations intéressantes dans ArcGIS Hub Premium concernent l'introduction d'outils pour collecter les commentaires, les idées ou les retours des participants à une initiative. Enfin, une autre évolution intéressante, que l'on retrouvera également dans d'autres applications du portail ArcGIS, concerne la possibilité d'utiliser les services de télémétrie intégré à ArcGIS Hub plutôt que ceux de Google Analytics ou Adobe Analytics.
Et du coté des applications web configurables...
Pas mal de nouveautés arrivent sur les applications web configurables. Par exemple, ArcGIS Dashboards va prendre en charge les scènes web pour permettre la création de tableau de bords intégrant une visualisation carto en 3D. De nouveaux types éléments de data-visualization, le support du multi-langue et la notion de modèles de tableaux de bord arriveront également rapidement.
En ce qui concerne ArcGIS Experience Builder, la prochaine version (Online et Dev Edition) proposera trois nouveaux widgets : un widget pour l'intégration de services de géotraitement, un widget pour l'intégration des outils d'analyse d'ArcGIS Online et un widget pour fournir les outils de mesures dans des couches d'imagerie disposant des métadonnées adéquates. On notera également, le support de paramètres d'URL dans les applications pour définir des propriétés spécifiques au démarrage de l'application Experience Builder, une demande de nombreux utilisateurs depuis la sortie de cette nouvelle solution.
Visibilité sur la roadmap ArcGIS Experience Builder pour 2023 (janvier 2023)
Du coté des Instant Apps, la tendance est d'améliorer les capacités des modèles d'apps existants, de finaliser les modèles actuellement en beta (comme le modèle 2D/3D Atlas très plébiscité par les utilisateurs durant la semaine). L'objectif est également de finaliser les quelques modèles manquant pour le remplacement définitif des anciennes applications configurables, notamment les 3 modèles Crowdsource Manager, Polling et Reporter qui auront, début 2024, leur équivalent dans les Instant Apps.
Pour conclure...
Vous l'aurez compris, il ne s'agit là que de quelques pistes qui ont retenu mon attention mais qui sont loin d'être exhaustives. En novembre prochain, les principaux composants du système ArcGIS (Online, Enterprise, Pro, Apps) seront actualisés et je reviendrai en détails sur leurs évolutions.
Pour terminer, je vous signale que les vidéos de la session plénière sont disponibles en accès libre. Je vous recommande les parties 1 et 2 ou, si vous êtes pressé(e)s, les vidéos découpées par démo.
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2:00
PostGIS Development: PostGIS 3.4.0beta1
sur Planet OSGeoThe PostGIS Team is pleased to release PostGIS 3.4.0beta1! Best Served with PostgreSQL 16 Beta2 and GEOS 3.12.0.
This version requires PostgreSQL 12 or higher, GEOS 3.6 or higher, and Proj 6.1+. To take advantage of all features, GEOS 3.12+ is needed. To take advantage of all SFCGAL features, SFCGAL 1.4.1+ is needed.
3.4.0beta1This release is a beta of a major release, it includes bug fixes since PostGIS 3.3.3 and new features.
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9:20
Mapping Things
sur Google Maps ManiaI am a cartophile. Which means I love maps. But then who doesn't.My cartophilia however manifests itself in a specific way. I like mapping collections of 'things'. And I'm not the only one. There are in fact lots of people who seem obsessed with mapping specific categories of thing.Here are some individual 'things' that I've recently seen mapped:Skyscrapers - Highrises is a project by a four
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15:58
Codere casino » opiniones y experiencia
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15:58
Trabajar en CODERE
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15:58
Codere, casa de apuestas oficial del Real Madrid por cinco temporadas Deporte y Negocio
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11:43
Une brève histoire de géodatabase - Épisode 1/3
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Cet article est le premier de la série "Une brève histoire de Géodatabase".
Microsoft a déprécié le support pour les librairies Microsoft Jet Database Engine 4.0 et considère la technologie Data Access Objects (DAO) obsolète. Il s'agit de la technologie Microsoft qui rendait préalablement le support des géodatabases personnelles possible dans ArcMap avec ArcGIS Desktop. De plus, il n'existe pas de version 64 bits de ces librairies, et ArcGIS Pro est une application 64 bits.
Depuis que ces technologies rendant l'utilisation des géodatabases personnelles possible ne sont plus supportées, et que Microsoft déconseille l'usage de ces formats dépréciés, il n'existe plus de chemin viable ou supporté pour les géodatabases personnelles dans ArcGIS Pro.
À partir de maintenant, il vous est recommandé de migrer vos données depuis une géodatabase personnelle vers une géodatabase fichier ou géodatabase mobile.
Les géodatabases avantLe modèle de géodatabase a été introduit pour la première fois par Esri en 1999 avec la sortie d'ArcGIS 8.0. La première phase du système ArcGIS comprenait alors cinq produits: ArcInfo, ArcInfo Editor, ArcView GIS, ArcExplorer et un navigateur (Browser).
La version ArcGIS 8.0 a introduit la géodatabase comme le moyen de stockage et un cadre de gestion par défaut pour toutes les solutions ArcGIS. Tandis que certains étaient hésitants au départ, l'intérêt de migrer des données depuis des shapefiles pour tirer partie de nouveaux comportements uniquement disponibles avec une géodatabase a rapidement grandi.
Initialement, les géodatabases ne pouvaient être implémentées que dans les applications ArcGIS en 32 bits pour usage individuel ou pour des utilisateurs multiples. Une géodatabase personnelle pour un utilisateur unique utilisait le format Microsoft Jet, était stockée dans un fichier unique Microsoft Access avec une extension .mdb, et avait une limite de taille de 2 GB. Tandis que les géodatabases à utilisateurs multiples étaient stockées dans un système de gestion de base de données (SGBD) géré par ArcSDE. Le support pour la géodatabase fichier a été ajouté plus tard, fin 2006, avec la version d'ArcGIS 9.2, offrant plus de fonctionnalités, une capacité de stockage accrue, et de meilleures performances que la géodatabase personnelle.
Les géodatabases maintenant
La géodatabase est toujours la structure de données native pour ArcGIS et le premier format de données employé pour la mise à jour et la gestion de données.
ArcGIS Pro est la prochaine génération de SIG bureautique. Une solution complète offrant la meilleure expérience SIG aux utilisateurs pour créer, analyser, visualiser, et travailler avec des données géographiques.
En conclusion…
ArcGIS Pro est une station de travail d'analyse spatiale et de data science employant une architecture 64 bits multi-tâches, signifiant qu'elle peut lancer plusieurs processus de traitement de manière simultanée sans avoir à attendre qu'une tâche se termine pour passer à la suivante. Par exemple, en lançant un géotraitement depuis la fenêtre d'outils, vous pouvez toujours naviguer dans une vue, ou ajouter un jeu de données dans vos contenus.
ArcGIS Pro utilise une approche par projet pour garder toutes vos cartes, couches, outils, géodatabases, et connexions à un seul endroit. Cela vous permet de mieux collecter, stocker, gérer, préparer, et partager vos données au sein des produits ArcGIS, comme ArcGIS Online et ArcGIS Enterprise, et de travailler au travers du système ArcGIS via le SIG Web.
Alors qu'ArcGIS Pro supporte de nombreuses sources de données, il est désigné pour fonctionner avec et exploiter les capacités de la géodatabase comme point central du stockage de vos données et de vos workflows de gestion de données.
Trois types de géodatabases sont supportées dans ArcGIS Pro:
Mais attendez ! Pourquoi la géodatabase personnelle (.mdb) n'est pas listée dans les types de géodatabases supportées par ArcGIS Pro ?
Vous êtes encore nombreux à souhaiter que la géodatabase personnelle soit supportée dans ArcGIS Pro. Certains d'entre vous auront peut-être même retarder leur migration vers ArcGIS Pro pour cette raison.Cependant, les raisons pour lesquelles les géodatabases personnelles (.mdb) ne sont pas et ne seront pas supportées dans ArcGIS Pro sont nombreuses:- Microsoft a déprécié le support pour les librairies Microsoft Jet Database Engine 4.0 et considère la technologie Data Access Objects (DAO) obsolète;
- Pour travailler avec les géodatabases personnelles, ArcGIS Desktop 8.x, 9.x et 10.x utilisent les librairies Microsoft Jet 4, incluant Jet Data Access Objects (DAO). ArcGIS Pro est une application 64 bits, mais il n'existe pas de version des librairies dépréciées Microsoft Jet qu'il pourrait utiliser, et Jet DAO est considéré comme une technologie obsolète. Il s'agit d'ailleurs d'une des raisons pour lesquelles ArcGIS Server n'a jamais supporté les géodatabases personnelles;
- Les librairies Microsoft employées pour travailler avec les géodatabases personnelles n'existent plus dans les versions actuelles de Windows et ne seront pas disponibles sur des systèmes d'exploitation Windows 64 bits;
- Depuis que Microsoft ne supporte plus ces librairies, ni aucune librairie de remplacement, il n'existe pas de chemin viable pour le support des géodatabases personnelles dans ArcGIS Pro.
Pour plus de détails, voici quelques extraits de la documentation Microsoft:
Extraits des Composants d'accès aux données Microsoft ou WindowsAucune nouvelle fonctionnalité ne sera ajoutée aux composants dans MDAC/WDAC et il n'est pas recommandé de les utiliser pour le développement de nouvelles applications.
Composants MDAC/WDAC dépréciés: ces composants sont toujours pris en charge dans la version actuelle de MDAC/WDAC, mais ils sont susceptibles d’être supprimés dans les versions ultérieures. Lors du développement de nouvelles applications, Microsoft vous recommande d’éviter d’utiliser ces composants. En outre, lorsque vous mettez à niveau ou modifiez des applications existantes, supprimez toutes les dépendances sur ces composants.
Microsoft Jet Database Engine 4.0 : À partir de la version 2.6, MDAC ne contient plus de composants Jet. En d’autres termes, MDAC 2.6, 2.7 et 2.8 ne contiennent pas Microsoft Jet, le fournisseur Microsoft Jet OLE DB, les pilotes de base de données de poste de travail ODBC et Jet Data Access Objects (DAO). Il n’existe pas de version 64 bits du moteur de base de données Jet, du pilote Jet OLEDB, des pilotes Jet ODBC ou Jet DAO. Pour plus d’informations, consultez l’article 957570 de la Base de connaissances.
Extraits des Technologies d'accès aux données obsolètes
Les technologies obsolètes sont des technologies qui n’ont pas été améliorées ou mises à jour dans plusieurs versions des produits et qui seront exclues des futures versions des produits. N’utilisez pas ces technologies quand vous écrivez de nouvelles applications. Lorsque vous modifiez des applications existantes écrites à l’aide de ces technologies, envisagez de migrer ces applications vers ADO.NET ou une autre technologie actuelle.
Et la suite ! Quel futur pour les géodatabases personnelles?Data Access Objects (DAO) : DAO permet d’accéder aux bases de données JET (Access). Cette API peut être utilisée à partir de Microsoft Visual Basic, Microsoft Visual C++ et certains langages de script. Elle était incluse avec Microsoft Office 2000 et Office XP. DAO 3.6 est la version finale de cette technologie. Elle ne sera pas disponible sur le système d’exploitation Windows 64 bits.
Si j'utilise actuellement une géodatabase personnelle, quelles options s'offrent à moi?
Voici les options qui s'offrent à vous si vous utilisez actuellement des géodatabases personnelles:- Utilisez OLE DB pour établir une connexion en lecture seule vers votre géodatabase personnelle depuis ArcGIS Pro;
- Migrez vos données depuis votre géodatabase personnelle vers une géodatabase fichier;
- Migrez vos données depuis votre géodatabase personnelle vers une géodatabase mobile.
Mais qu'est ce qu'une géodatabase mobile?
Avec ArcGIS Pro 2.7, Esri a introduit un nouveau type de géodatabase basé sur la base de données SQLite: la géodatabase mobile. Les géodatabases mobiles supportent tous les jeux de données classiques de géodatabase et tous les comportements, tels que les domaines, sous-types, règles attributaires, topologies, et réseaux. Pour plus d'informations sur les comportements supportés dans les géodatabases mobiles, rendez-vous sur la page des Géodatabases mobiles.
Ne vous découragez pas !
Des questions restent probablement en suspens. Le changement n'est pas toujours chose facile et je vais vous guider dans cette expérience grâce à une série d'articles pour découvrir et explorer les sujets suivants:- Apprenez comment utiliser une connexion OLE DB dans ArcGIS Pro pour établir des connexions en lecture seule vers vos sources de données existantes, incluant une base de données Microsoft Access et une géodatabase personnelle;
- Découvrez les différences entre une géodatabase fichier, mobile et personnelle;
- Suivez le processus pas à pas de migration de données depuis une géodatabase personnelle vers une géodatabase fichier, puis vers une géodatabase mobile si besoin;
- Explorez les options et exemples de rapports, incluant les options tierces disponibles pour utilisation avec votre géodatabase mobile.
Rendez-vous au prochain épisode !
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10:56
A Map of the World's Deadliest Epidemics
sur Google Maps ManiaDuring the spread of the Bubonic plague in the 14th Century ships arriving in Venice from infected ports would be required to wait 40 days before landing. This practice led to the origin of the word 'quarantine', from the Italian quaranta giorni, meaning 40 days.This is just one of the many interesting facts in the Bulletin of the Atomic Scientists interactive map An Illustrated History of the
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22:17
Esri annonce ArcGIS Indoors Floor Plan Editor (en beta)
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
La base d'un SIG "indoor" est la création d'une représentation géoréférencée de l'environnement intérieur de vos sites, bâtiments et étages à l'aide de bases de données spatiales et de cartes des espaces intérieurs (et extérieurs bien entendu) qui précises et actualisée. Pour créer une carte "indoor" avec ArcGIS Indoors, vous pouvez utiliser plusieurs sources de données, notamment des fichiers CAO/DAO (DWG, DXF, DGN, …), des fichiers BIM (Revit, IFC), des fichiers PDF et même des jeux de données de type LiDAR ou 3D de l'intérieur de vos bâtiments.
Comme pour tout projet de système d'information, la qualité des données est essentielle lors de la mise en œuvre d'un SIG "indoor". Il est donc primordial de pouvoir compléter et mettre à jour les données de vos plans d'étage pour assurer leur qualité et leur utilité.
Une façon de s'en assurer consiste à faire en sorte que les données sources, telles que les fichiers CAO/DAO ou BIM soit la donnée faisant autorité en effectuant des chargements des mises à jour depuis ces données source dans la Géodatabase ArcGIS Indoors, selon la fréquence nécessaire. Cependant, dans certains cas, le délai pour obtenir et charger les mises à jour de ces sources de données dans la Géodatabase ne peut pas répondre aux besoins de l'entreprise en matière de "fraîcheur" des données.
Une mise à jour simplifiée et plus rapide des plans d'étage
Pour aider à résoudre ce problème, ArcGIS Indoors proposera une nouvelle application web, carto-centrique, pour créer et modifier les données de plan d'étage. Son principal avantage réside dans son expérience conviviale, permettant aux techniciens opérationnels vos sites de prendre le contrôle direct de la gestion et de la maintenance de leurs données de plan d'étage en dehors d'ArcGIS Pro.
Cette nouvelle application s'appelle ArcGIS Indoors Floor Plan Editor et sort en beta en juillet.
Exemple de mise à jour avec la fusion d'unités dans l'éditeur de plan d'étage basé sur le Web
Le personnel opérant sur vos sites et leurs installations doit être en mesure de modifier les données (murs, cloisons, ouvertures, mobiliers, équipements, …) des différents espaces contenus dans vos plans d'étage avec une expérience utilisateur simple qui leur soit intuitive. Ils pourront notamment :
- Créer des données de plan d'étage lorsqu'aucune donnée source numérique n'existe, puis les gérer.
- Maintenir les plans d'étage qui ont été chargés à partir de données source et qui ne seront pas mis à jour, comme des collectes "one-shot" de fin de chantier par exemple.
- Corriger ou mettre à jour les données de plan d'étage qui ne peuvent pas attendre que les données source en amont, comme les plans CAO/DAO ou les BIM, soient corrigées et rechargées.
- Faire une planification sur une scénario d'aménagement pour anticiper les modifications de disposition du plan d'étage
L'application de modification de plan d'étage a été conçue pour proposer, dans un premier temps, ces capacités :
- Saisir de nouveaux espaces (units), étages (levels) et bâtiments (buildings).
- Fractionner, fusionner, remodeler et attribuer des espaces.
- Placer des entrées, des fenêtres, des portes, des équipements et du mobilier à partir de la palette de dessin.
- Copier et coller des éléments de plan d'étage pour en créer de nouveaux à partir d'éléments existants.*
- Mesurer et s'accrocher à des objets existants pendant la saisie.*
- Supprimer, faire pivoter, déplacer et annoter des entités
- …
* Ces fonctionnalités seront incluses dans la prochaine version beta
Choisir et placer une nouvelle entrée dans un bureau
De plus, les gestionnaires du SIG indoor peuvent permettre aux parties prenantes de modifier les données des plans d'étage tout en conservant la possibilité de charger les mises à jour des données de plan d'étage à partir de fichiers CAO/DAO et BIM. En effet, les outils ETL (Extract-Translate-Load) fournis avec l'extension Indoors d'ArcGIS Pro (ArcGIS Indoors Pro) ont été récemment améliorés pour fournir plus de flexibilité concernant les données à mettre à jour à partir des modifications effectuées dans ces fichiers CAO/DAO et BIM. Les utilisateurs d'ArcGIS Pro peuvent ainsi charger de manière sélective des parties d'un plan d'étage afin qu'ils puissent compléter les mises à jour du plan d'étage effectuées avec l'éditeur de plan d'étage par les parties prenantes.
Le mieux c'est encore de tester cette nouvelle application par vous-même. Pour cela, inscrivez-vous dès maintenant à ce programme Early Adopter d'Esri pour bénéficier d'un accès anticipé et fournir des commentaires pour aider à orienter le développement d'ArcGIS Indoors Floor Plan Editor.
Pour participer aux tests de cette version beta vous pouvez vous enregistrer sur cette page du site Early Adopter Esri.
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20:51
GeoTools Team: Construction Ahead: Refactoring org.opengis to org.geotools.api
sur Planet OSGeoIn the next release of GeoTools 30.0 there are some breaking API changes to look forward to:org.opengis package is renamed to org.geotools.api packageThis release will include update instructions, and a migration script, to fix your code.This is a breaking change, the formal change control proposal is here.Why is this changingThe GeoAPI Implementation Specification is a Java standard (Interfaces
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18:20
Zenbook S13 OLED
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLa saison des régimes est là et ASUS annonce le Zenbook S13 OLED. C’est tout simplement le PC portable le plus fin du monde, avec un profil d’à peine 1 cm pour un poids de seulement 1 kg ! Sa taille de guêpe ne l’empêche pas d’afficher des capacités avancées grâce à son processeur Intel Core de 13e génération refroidi par un ventilateur ultra plat, 32 Go de RAM et... 1 To de mémoire avec son disque SSD PCIe ! La performance réside aussi dans son autonomie : sa batterie longue durée de 63 Wh autorise, par exemple, 14 heures de streaming vidéo sur un écran OLED 16:10 de 13,3 pouces (doté d’une caméra IR FHD). Le flanc du Zenbook est tout juste épais pour proposer deux ports Thunderbolt 4 USB-C, un port USB 3.2, un port HDMI et une prise aussi 3,5 mm. ASUS a particulièrement travaillé sur le pavé tactile 9,5 % plus grand que sur d’autres modèles. Surtout, il a optimisé l’écoresponsabilité. Du châssis en alliage magnésium aluminium recyclé, au plastique récupéré dans les océans pour les touches et haut-parleurs, en passant par l’emballage 100 % compostable ou la consommation énergétique ultra frugale, ce Zenbook est décidément un top modèle du genre.
+ d'infos :
asus.com
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16:56
Ces pays qui bloquent les réseaux sociaux (Statista)
sur Cartographies numériques
En réponse aux violences urbaines qui ont enflammé les banlieues françaises fin juin 2023, le président Emmanuel Macron a évoqué de potentielles mesures visant à bloquer l'accès aux réseaux sociaux en cas d'épisode de crise dans le pays. Ce genre de mesures, si elles venaient à être mises en place, constitueraient une première au sein des démocraties occidentales.
Source : « Ces pays qui bloquent les réseaux sociaux » par Tristan Gaudiaut (Statista, 10 juillet 2023).Depuis 2015, 62 pays ont bloqué l'accès à des réseaux sociaux ou des applications de messagerie selon une étude de Surfshark. Ces restrictions sont principalement le fait de gouvernements non démocratiques. Si l'on comptabilise les coupures et autres restrictions d'accès à Internet, ce chiffre grimpe à 77. C'est ce qui ressort d'une étude couvrant 196 pays réalisée par la société Surfshark, spécialisée dans la protection de la vie privée et la sécurité des données en ligne.
Ces restrictions sont principalement le fait de gouvernements non démocratiques. Comme le montre notre carte, la grande majorité des pays ayant bloqué l'accès à des réseaux sociaux ou messageries ces dernières années sont situés en Afrique et en Asie. Dans la plupart des cas, les restrictions sont temporaires et visent à limiter ou contrôler les flux d'informations lors de troubles et d'événements politiques (élections, manifestations, guerres, conflits, coups d'État, etc.). Parmi les cas les plus récents, on peut citer le Sénégal, où des coupures de plusieurs plateformes, dont Facebook, Twitter, Instagram, WhatsApp et Telegram, ont été rapportées le mois dernier lors des protestations contre la condamnation du leader de l'opposition Ousmane Sonko. L'accès à depuis été rétabli.
Selon Surfshark, des restrictions sont toujours en vigueur dans une vingtaine de pays (au 4 juillet 2023). En Chine, en Russie, en Corée du Nord, en Iran, au Myanmar et au Turkménistan, ce sont principalement les réseaux sociaux étrangers qui ont été bannis par les autorités, comme Twitter, Facebook et Instagram. Il convient de noter que la Chine a en parallèle développé son propre écosystème national d'applications, avec par exemple WeChat, Weibo et QQ. Quant aux pays de la péninsule Arabique - Émirats arabes unis, Qatar, Oman, Yemen - ils restreignent l'utilisation de WhatsApp, Telegram et plus généralement des appels passés via Internet (voix sur IP).
Source : « Ces pays qui bloquent les réseaux sociaux » (Statista, Licence Creative Commons CC BY-ND 3.0)
Pour compléter
La France pourrait-elle couper les réseaux sociaux ? Comprendre en trois minutes (Le Monde).
Violences après la mort de Nahel : pourquoi interdire les réseaux sociaux est une mauvaise idée (France 3)
Répression d'internet : la carte des coupures politiques (France Culture)
La cartographie d’une semaine d’émeutes en France (Le Monde - Les décodeurs)
La crise contre le mouvement : comprendre les émeutes en France (Le Grand Continent)
Les émeutes françaises montrent à quel point les inégalités sont enracinées (Financial Times)
Articles connexes
Mesurer la liberté de la presse dans le monde en 2022. Reporters Sans Frontières modifie sa méthodologie
La liberté de la presse dans le monde selon Reporters sans frontières
Cartographie des journalistes tués ou emprisonnés dans le monde
Carte de l'indice de perception de la corruption (Transparency International)
L'indice de perception de la démocratie selon Dalia Research
Géographies de l'exclusion numérique par Mark Graham et Martin Dittus
Quand Facebook révèle nos liens de proximité
Cartographie du réseau social Mastodon
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16:49
Appel à communications pour la 30e conférence internationale en histoire de la cartographie (ICHC), Lyon 1-5 juillet 2024
sur Cartes et figures du mondeVous trouverez ci-dessous l’appel à communications pour la 30e ICHC qui se tiendra à Lyon l’année prochaine du 1er au 5 juillet 2024, avec une pré-conférence à Paris le 29 juin.
Toute personne (chercheur confirmé, doctorant, conservateur, etc.) effectuant des recherches sur les cartes en tant qu’objet d’étude est invitée à y répondre.L’appel est bilingue, mais les réponses sont attendues en anglais et les communications seront, elles-aussi, présentées en anglais.
Pour soumettre une proposition de communications, se connecter à : [https:]
L’appel est ouvert du 1er septembre au 20 novembre 2023.Vous trouverez le calendrier de la conférence ici : [https:]
Confluences Interdisciplinarity and New Challenges in the History of Cartography1-5 July 2024 – Université de Lyon – France
The ICHC is the only academic conference solely dedicated to advancing knowledge of the history of maps and mapmaking, regardless of geographical region, language, period or topic. The conference promotes free and unfettered global cooperation and collaboration among cartographic scholars from many academic disciplines, curators, collectors, dealers and institutions through illustrated lectures, presentations, exhibitions, and a social program. In order to expand awareness of issues and resources, each conference is sponsored by a leading educational and cultural institution. Conferences are held biannually and are administered by local organizers in conjunction with Imago Mundi Ltd. In 2024, the University of Lyon welcomes the conference with the support of the research unit UMR 5600 – EVS (Environment, City, Society).
The 30th ICHC will take the opportunity to present the following themes:
- Mapping travels, voyage and encounters in cartography
Encompasses the production of maps to help travellers and tourists meet their goals, organize accommodation and transportation, and the way territories are highlighted.
- Maps and networks – Uses, exchanges and circulation of maps
Explores the interrelations between map producers, bearing in mind diffusion of new fields of interest, new uses, the introduction of new techniques and sharing networks
- Mapping nature, wilderness and agriculture
Aims at a new understanding of how spaces of nature, wilderness and agriculture were dealt with, including vegetation, mountains, water expanses, agricultural productions, city surroundings, and natural hazards.
- The development of urban planning and cartography
Planning implies or supposes a precise knowledge of the topographic reality, which led to improvements in cartography, both in measuring techniques and conceptualization, and recently to the introduction of digital mapping
- New perspectives on the digital transition
Investigates the way dematerialization introduces new issues: breaking down in vector layers to put together and organize for new uses, new relationships between data and graphic expression, big data, conservation (or discarding) of historical/outdated data and digital maps.
- Any other aspects of the history of cartography.
The call for papers proposes 4 types of interventions:
- Oral communication: 15 to 20 minutes presentation on a research in progress
- Posters: presentation dedicated to showing an analysis of visual devices accompanied by short texts
- Workshops: possibilities to integrate a technical demonstration of the possibilities of analysis associated with the history of cartography
- Thematic session: proposal for an oral paper session (abstracts of individual papers to be provided to the scientific committee)
The official language of the conference will be English, and all presentations must be in that language. There will be no simultaneous translation.
Important dates: call for papers from 01/09/2023 to 20/11/2023
Scientific Committee response: January 2024
Registration for participants – Feb/April 2024: early bird / May/July 2024: full prices
Confluences Interdisciplinarité et nouveaux défis dans l’histoire de la cartographie1-5 juillet 2024 – Lyon – France
L’ICHC est la seule conférence universitaire entièrement consacrée à l’avancement des connaissances sur l’histoire des cartes et de la cartographie, indépendamment de la région géographique, de la langue, de la période ou du sujet. La conférence encourage la coopération et la collaboration libres et sans entraves entre les spécialistes de la cartographie de nombreuses disciplines universitaires, les conservateurs, les collectionneurs, les marchands et les institutions par le biais de conférences illustrées, de présentations, d’expositions et d’un programme social. Afin de mieux faire connaître les enjeux et les ressources, chaque conférence est parrainée par une institution éducative et culturelle de premier plan.
Les conférences ont lieu tous les deux ans et sont gérées par des organisateurs locaux en collaboration avec Imago Mundi Ltd. En 2024, l’Université de Lyon accueille la conférence avec le soutien de l’unité de recherche UMR 5600 – EVS (Environnement, Ville, Société).
La 30e édition de l’ICHC sera l’occasion de présenter les thèmes suivants :
- Cartographie des déplacements, voyages et rencontres en cartographie.
Englobe la production de cartes pour aider les voyageurs et les touristes à atteindre leurs objectifs, à organiser l’hébergement et le transport, et la manière dont les territoires sont mis en valeur.
- Cartes et réseaux – Utilisation, échange et circulation des cartes
Explore les interrelations entre les producteurs de cartes, en tenant compte de la diffusion de nouveaux champs d’intérêt, de nouvelles utilisations, de l’introduction de nouvelles techniques et des réseaux de partage.
- Cartographie de la nature, des espaces sauvages et de l’agriculture
Vise une nouvelle compréhension de la manière dont les espaces naturels, sauvages et agricoles ont été traités, y compris la végétation, les montagnes, les étendues d’eau, les productions agricoles, les environs des villes et les risques naturels.
- Le développement de l’urbanisme et de la cartographie
La planification implique ou suppose une connaissance précise de la réalité topographique, ce qui a conduit à des améliorations de la cartographie, tant au niveau des techniques de mesure que de la conceptualisation, et récemment à l’introduction de la cartographie numérique.
- Nouvelles perspectives sur la transition numérique
Étudie la manière dont la dématérialisation introduit de nouvelles problématiques : décomposition en couches vectorielles à assembler et organiser pour de nouveaux usages, nouveaux rapports entre données et expression graphique, big data, conservation (ou mise au rebut) des données historiques/anciennes et des cartes numériques.
Et tout autre aspect de l’histoire de la cartographie.
L’appel à communications propose 4 types d’interventions :
- Communication orale : présentation de 15 à 20 minutes sur une recherche en cours
- Posters : présentation dédiée à montrer une analyse de dispositifs visuels accompagnées de textes succincts
- Ateliers/Workshops : possibilités d’intégrer une démonstration technique des possibilités d’analyse associées à l’histoire de la cartographie
- Session thématique : proposition d’une séance de communications orales (les résumés des différentes interventions doivent être communiqués au comité scientifique)
Dates importantes : appel à communications/ateliers/posters – du 01/09/2023 au 20/11/2023
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9:57
OpenIG : Webinaire GeoRivière le replay
sur Makina CorpusVisualisez le replay du webinaire OpenIG sur l'application de suivi et de gestion des cours d'eau GeoRivière. Découvrez la présentation et le compte-rendu de l'événement.
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9:15
Mapping Tree Shadows
sur Google Maps ManiaTed Piotowski of ShadeMap fame has been experimenting with using LiDAR data to map tree shadows. Ted's ShadeMap currently simulates shadows caused by buildings and elevated land during the course of the day for any day of the year. However like most interactive shade maps his map doesn't show the shadows cast by trees.Shadow maps tend to use elevation and building height data to simulate how
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7:29
gvSIG Team: Geoportal del Instituto Nacional de Estadística de Uruguay
sur Planet OSGeoEl INE de Uruguay también está utilizando gvSIG Online para publicar una serie de información estadística. La capacidad para interpretar la información estadística aumenta significativamente cuando lo hacemos de un modo espacial.
En el Geoportal del INE podemos acceder, por ejemplo, a información como la evolución histórica de la población por departamentos desde 1963 hasta 2011, año del último censo. Por cierto, este año se inicia la actualización del censo… para lo que también tendrá una especial importancia el proyecto realizado con la Suite gvSIG para disponer de un Sistema Único de Direcciones.
Mediante el geoportal disponible podemos consultar el censo de población, el de hogares y el de viviendas por departamentos, secciones, segmentos, zonas o localidades. Ver la representación cartográfica de indicadores de actividad inmobiliaria, como las altas de compraventas por tipo de propiedad por departamento o precios de alquiler en Montevideo. También hay accesible información como la tasa de actividad, empleo y desempleo, así como capas complementarias con información de unidades geoestadísticas, infraestructuras y servicios.
Enlace: Geoportal INE
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23:34
Et si cet été, vous démarriez avec le SDK ArcGIS Map for JavaScript ?
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulierLe SDK ArcGIS Map for JavaScript (anciennement nommée API JavaScript ArcGIS) est sans aucun doute l'API de cartographie 2D/3D sur le web la puissante du marché. Pour autant elle est simple d'accès, dès lors que l'on dispose de quelques bases en développement JavaScript. En quelques lignes vous pourrez intégrer facilement de la géo à vos applications web. Pour la découvrir, comprendre ses capacités et la prendre rapidement en main, ma collègue Pauline Louis vous propose, durant tout cet été, une série de tutoriels à suivre progressivement sur le blog CodeTheMap.
Rendez-vous dès maintenant sur cet article d'introduction qui vous guidera vers les épisodes suivants...
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15:52
Esri annonce un nouvel éditeur de métadonnées dans ArcGIS Online (en beta)
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
J'évoque régulièrement sur ce blog la nécessité et l'intérêt de disposer d'outils, au cœur de son SIG, pour gérer efficacement les métadonnées. Cette documentation de vos données favorise le partage et l'utilisation de contenu et sont essentielles pour des données de qualité qui sont Facilement trouvables, Accessibles, Interopérables, Réutilisables (FAIR) et prêtes à la prise de décision.
Mais créer des métadonnées n'est pas toujours facile. Les normes sont compliquées et les éditeurs de métadonnées, avec différentes interfaces utilisateur, peuvent être difficiles à utiliser. Partant de ce constat, les équipes d'Esri travaillant sur ce sujet ont estimé que le moment était venu de changer.
Avec la version de juin 2023 d'ArcGIS Online, Esri a introduit la version beta d'un nouvel éditeur de métadonnées. Ce dernier propose une expérience utilisateur simplifiée pour créer des métadonnées géospatiales de haute qualité. Ce nouvel éditeur vous permet de :- Compléter rapidement ce qui est nécessaire, en créant des métadonnées essentielles conformes aux normes ouvertes internationales.
- Constituer une documentation plus robuste, y compris pour des éléments de métadonnées facultatifs.
- Rechercher et trouver des éléments de métadonnées.
- Afficher, télécharger et remplacer les métadonnées.
Activer la version beta du nouvel éditeur de métadonnées
Pour les organisations qui ont activé les métadonnées, le bouton "Activer la version beta de l'éditeur de métadonnées" est disponible pour permettre aux utilisateurs propriétaires d'éléments et aux administrateurs de créer et de modifier des métadonnées.
Les administrateurs activent les métadonnées dans les paramètres de l'organisation.
On notera aussi au passage que le style de métadonnées "ISO 19115-3 XML Schema Implementation" fait également partie de la version de juin 2023 d'ArcGIS Online et qu'elle peut être utilisée avec la version beta de l'éditeur de métadonnées.
Exploration de ce nouvel éditeur de métadonnées
Dans l'organisation ArcGIS Online, vous pouvez accéder à l'onglet "Contenu" et ouvrir un élément existant. Dans la page de description de l'élément, vous cliquerez sur le menu déroulant du bouton "Métadonnées" pour ouvrir le nouvel éditeur de métadonnées.
Documenter les métadonnées essentielles
L'onglet "Métadonnées essentielles" réduit la création de métadonnées en présentant uniquement les éléments de métadonnées requis et suggérés pour le style de métadonnées actif.
Pour créer un jeu de métadonnées minimalement conforme, il vous suffira de parcourir chaque élément en complétant les informations requises et suggérées. Les messages de validation affichent une coche verte pour les informations complétées et sont regroupés afin que vous puissiez rapidement voir ce qui est nécessaire.
Documenter toutes les métadonnées
L'onglet "Toutes les métadonnées" offre une expérience complète incluant tous les éléments de métadonnées requis, suggérés et facultatifs pour le style de métadonnées actif.
Vous choisirez une section dans la navigation de gauche et vous pourrez alors parcourir les éléments de métadonnées de cette section, en complétant les informations requises, suggérées et facultatives comme vous le souhaitez. Les messages de validation affichent une coche verte pour les éléments requis et suggérés qui ont été complété. Vous naviguerez dans chaque section et vous cliquerez sur les messages de validation restants pour obtenir le résultat souhaité.
Très pratique, vous pourrez dorénavant utiliser la nouvelle fonction de recherche pour trouver les éléments de métadonnées correspondants. Certains éléments de métadonnées se trouvent dans des sections facultatives et peuvent être activées selon les besoins. Par défaut, les résultats de la recherche n'afficheront pas ces sections facultatives. Lors d'une recherche, vous avez la possibilité d'afficher ces résultats masqués.
Recherche d'un élément de métadonnées dans l'éditeur
Le futur...
Pour Esri, la motivation de travailler sur ces évolutions c'est que la gestion des métadonnées doit être une expérience agréable qui alimente des catalogues de données riches et permet de générer des résultats de recherche plus pertinents. La version beta de ce nouvel éditeur de métadonnées n'est qu'un début. La feuille de route à long terme consiste à réduire la complexité, à améliorer et à unifier l'expérience de mise à jour des métadonnées dans l'ensemble du système ArcGIS.
Prêt à essayer ?
Vous pouvez dès maintenant tester la version beta de ce nouvel éditeur de métadonnées dans ArcGIS Online. Il est sans aucun impact sur les jeux de métadonnées saisis ou modifiés, et vous pourrez à tout moment revenir à l'ancien éditeur. Partagez ensuite vos commentaires sur les pages dédiées Metadata, Catalogs and Search d'Esri Community.
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9:30
Contribution des données de surveillance maritime à la Planification de l’Espace Maritime français : entre potentiels techniques et contraintes politiques
sur CybergeoLa Planification de l’Espace Maritime (PEM), plébiscitée autour du globe comme un levier du développement durable en mer, s’illustre en pratique comme une nouvelle forme de négociation pour l’usage de l’espace maritime et de ses ressources. Pour alimenter et conforter la prise de décisions partagées, la PEM suscite un fort besoin d’information sur les dynamiques spatiotemporelles des activités maritimes existantes. Dans ce contexte, la surveillance maritime opérée en temps réel par l’État (défense, suivi des pêches) s’inscrit comme une source stratégique de données (AIS, VMS et radar) et d’informations au profit de la planification. Si l’exploitation de ces données fait l’objet d’un intérêt croissant de la part de la communauté scientifique, leur contribution effective à la planification en mer demeure marginale. Cet article en identifie les principales raisons à partir d’une enquête par entretiens semi-directifs réalisée auprès de 38 acteurs de la PEM française. Il met en lumière d...
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9:30
La dialectique entre activités informelles et action de l’État dans la construction territoriale des grands espaces : le cas de l’orpaillage dans l’intérieur de la Guyane française
sur CybergeoLes grands espaces, ou régions faiblement peuplées, se distinguent par une série de caractéristiques spécifiques et notamment par un contrôle incomplet de la part des États. Cela ouvre des brèches pour l’exercice de pratiques qui, si elles sont ou illégales ou à la limite de la légalité, apportent des ressources économiques, des connaissances sur les territoires concernés et participent finalement à la domination, voire à la conquête des zones concernées par les États. Bien qu’invisibles ou réprimées, ces activités informelles influencent donc, directement ou indirectement, la construction officielle, symbolique et matérielle du territoire. Cet article analyse la pratique de l’orpaillage en Guyane selon cette perspective. En analysant le jeu dialectique entre contrôle formel du territoire et exploitation informelle des ressources, il met en relief la contribution des activités informelles à l’exploration, à la formation des frontières et à la gouvernance de l’intérieur de ce territo...
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9:30
Alexandre Grondeau, Altermétropolisation : une autre vi(ll)e est possible, Aix-en-Provence, La Lune sur le toit, collection Hic et nunc, 2022, 337 p.
sur CybergeoLa photographie en couverture de l’ouvrage illustre ce qu’Alexandre Grondeau identifie comme une "schizophrénie urbaine" : la dissociation extrême entre deux espaces proches, un immeuble d’apparence luxueuse et des habitations faites de briques et de tôles. Cette opposition iconique entre un quartier aisé et une favela de São Paulo a été immortalisée par le photographe brésilien Tuca Vieira en 2007, comme symbole des inégalités extrêmes induites par la métropolisation contemporaine. Se posant comme "clinicien" de ces villes métropolisées, Alexandre Grondeau se propose alors d’en analyser les causes et symptômes, permettant d’envisager des remèdes à sa question centrale : comment faire advenir une autre ville ?
À la croisée entre l’ouvrage de synthèse et l’essai universitaire, ce livre interroge l’avenir des espaces urbains, partant de ce que l’innovation (tant technologique que sociale) fait (et peut faire) aux territoires. Actuellement maître de conférences habilité à diriger des re...
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9:30
Sergio J. Rey, Rachel S. Franklin (eds), 2022, Handbook of spatial analysis in the social sciences, Cheltenham, Northampton, Edward Elgar publishing, 568 p.
sur CybergeoQuel plaisir constitue la lecture de cet ouvrage pour tout amateur d’analyse spatiale quantitative. C’est l’acception disciplinaire (et non technique) de l’analyse spatiale qui est privilégiée ici, celle des théories, des concepts et des méthodes permettant de mieux comprendre les localisations d’objets et de processus sociaux. Si vous cherchez des algorithmes de géotraitements pour votre SIG, passez votre chemin. À la fois très complet, rigoureux, pédagogique, ce livre, édité par Sergio J. Rey (Professeur à l’Université de Californie et directeur du Center for geospatial sciences) et Rachel S. Franklin (Professeure de géographie à l’Université de Newcastle et éditrice-en-chef de la revue Geographical analysis), compile le travail de synthèse de 51 auteurs (dont Roger Bivand, Luc Anselin, Michael Goodchild, Alan T. Murray, Stewart Fotheringham, et d’autres grands noms de la géographie quantitative) à travers 33 chapitres. Si certains de ces chapitres présentent des concepts ou des m...
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9:30
Géographicité et immersion : La réalité virtuelle pour voyager dans le passé
sur CybergeoLe principe de l’immersion participe depuis le XIXe siècle du succès de nombreuses attractions visuelles, à l’exemple du cinéma, et a atteint une dimension inédite avec les dispositifs de réalité virtuelle à destination du grand public. C’est en particulier parce qu’elle permet d’interagir avec l’environnement simulé, et par le puissant effet de réel de son dispositif, que cette technologie est utilisée en contexte muséal. Outre les perspectives que son usage ouvre en termes de conservation, sa capacité à déplacer le visiteur ailleurs et dans un autre temps invite à l’interroger en termes de géographicité : son caractère immersif relève-t-il d’une "valence organisatrice de l’espace" ? Ou ne relève-t-il que d’un simple effet, aussi spectaculaire soit-il ? Cet article vise à identifier les modalités d’appropriation spectatorielle de cette technologie en contexte patrimonial, à partir d’un travail ethnographique mené sur le site d’une installation de réalité virtuelle présentée au musé...
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9:30
Karl R. Kegler, 2015, Deutsche Raumplanung. Das Modell der "Zentralen Orte" zwischen NS-Staat und Bundesrepublik, Paderborn, Ferdinand Schöningh GmbH, 648 p.
sur CybergeoCe livre est la version révisée d’une thèse soutenue à l’université d’Aix-la-Chapelle le 10 juin 2011 sous la direction de Gerhard Fehl, fondateur de la chaire de théorie de la planification à l’Université technique de Rhénanie-Westphalie d’Aix en 1971. L’ouvrage a fait l’objet de recensions en allemand et en anglais, mais pas encore en français. Karl R. Kegler est depuis 2015 professeur à la faculté d’architecture de l’Université de Munich, où il enseigne l’histoire et la théorie de la ville et de l’architecture. Outre son enseignement, il travaille actuellement sur le lien entre la planification et les crimes commis par l'État nazi dans les territoires occupés d'Europe de l'Est.
Son ouvrage lie histoire, géographie, aménagement du territoire et architecture. Il témoigne de ses deux domaines de spécialisations, l’histoire d’une part et l’architecture d’autre part. Cette double formation lui permet de formuler son hypothèse de base : le "modèle" christallérien est tellement erroné qu...
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9:30
Mapping the urban climate to address summer comfort management in French urban planning documents
sur CybergeoIn France, the integration of climate and energy issues in the spatial planning tools of local authorities is compulsory for cities with more than 20000 inhabitants. Through the example of Toulouse Metropole, the interdisciplinary work here presented make use of the available geographic and climatic data to perform spatial microclimatic diagnostics and its translation into recommendations to address thermal summer comfort. Analysis maps and strategic maps for daytime and night time are presented for thermal and aeraulic analysis taking advantage of available numerical simulations at 250x250 m, one year of duration and local weather type classifications. A three years long collaboration with the local authority and the urban agency allowed the co-construction of the cartographic protocol and the publication of an Atlas as well as a set of guidelines. Collaboration with a network of French cartographers allowed original propositions on graphic semiology as visual organization, the cho...
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9:30
Sous la carte, des jeux d’acteurs : cartographie de l’environnement et SIG critique
sur CybergeoCet article documente la cartographie d’objets environnementaux, tels que les fonctions des zones humides et le paysage, à l'aide d'outils de géographie numérique. Si ces cartes doivent servir d’appui aux politiques publiques de gestion de l’eau et d’anticipation du changement climatique, leur dimension politique est rarement discutée. Nous cherchons donc à observer et rendre visibles les enjeux méthodologiques présents dans les processus de description, de reconnaissance et de localisation de ces objets environnementaux. Nous déconstruisons l’illusion d’une fabrique de carte numérique rapide et automatique, permettant de répondre de manière objective à toute question : les choix méthodologiques doivent être discutés en tenant compte de la finalité de la carte. Il s’agit, dans nos contextes interdisciplinaires, de prendre la mesure de la polysémie des termes afin de s’accorder sur une définition commune des objets à représenter. Les outils numériques remettent en question l'expertis...
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9:30
Using Geographically Weighted Regression to Explore County Subdivision Level Predictors of Drug Overdose Death in Connecticut, U.S.
sur CybergeoDeaths caused by drug overdoses have increased significantly over the past 2 decades in the U.S, becoming a public health concern. Existing empirical evidence examining the spatial association between the contextual correlates and drug overdose death rates, however, remains limited and ambiguous. Additionally, death caused by drug overdose is a multi-disciplinary issue and requires a correspondingly multifaceted and multidisciplinary approach, but there has been little research to date in the U.S. focusing on risk factors of drug overdose deaths from a crime perspective. This paper uses geographically weighted regression to examine the relationship between drug overdose death rates and contextual characteristics at the county subdivision level in the State of Connecticut. The results show that explanatory variables, such as gender, education, poverty, housing, and racial/ethnic diversity, are associated with drug overdose death rates in the state. Most importantly, the association b...
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9:30
“Diverse Ormeau, shared Ormeau”. Lutte pour l’appropriation symbolique d’un quartier en cours de gentrification en Irlande du Nord
sur CybergeoL’article retrace une lutte pour l’appropriation symbolique d’un quartier en cours de gentrification à Belfast. Cette lutte se cristallise autour de la présence de drapeaux unionistes, symboles du maintien de l’Irlande du Nord dans le Royaume-Uni. Depuis le milieu des années 2010, un groupe de propriétaires se mobilise pour demander la suppression de ces drapeaux dans l’espace public au nom du "partage" et de la "mixité sociale". Ces mots d’ordre sont bien souvent mobilisés pour légitimer la gentrification de quartiers centraux attractifs. Toutefois, nous expliquons que la mobilisation pour la "mixité" de ces propriétaires ne se réduit pas à la seule volonté de justifier la gentrification du quartier. Leur mobilisation contre les drapeaux s’analyse à l’aune de la restructuration de rapports de classe, mais également de la restructuration de rapports ethniques. Nous montrons en effet que le groupe de propriétaires, appartenant aux classes moyennes supérieures et se déclarant principa...
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9:20
Géo J'aime mets la transmission au coeur de ses actions
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueFondateur et président d’Esri France jusqu'en 2020, Rony Gal met aujourd’hui toute son énergie dans le fonds de dotation Géo J’aime qu’il a créé. Il détaille à SIGMAG son engagement pour initier à l'information géographique. QU’EST-CE-QUE GÉO J’AIME ?
Géo J’aime, c’est un fonds de dotation. Son objectif est de soutenir et de développer différents projets afin de promouvoir l’utilité de l’information géographique auprès des plus jeunes, notamment ceux âgés de 8 à 14 ans. L’information géographique est un sujet passionnant et ça devient encore plus enthousiasmant quand il s’agit de faire de la transmission ! J’ai créé Géo J’aime en 2020, à l’occasion de ma prise de retraite. Mais en raison de la Covid, l’activité n’a réellement démarré qu’un an et demi plus tard. Cette activité est issue d’une volonté de poursuivre mon action de sensibilisation initiée chez Esri France à sa création, en 1988. Chez Esri France, mes démarches auprès des plus jeunes ont eu moins d’impact que ce que j’aurais voulu. C’est pour cette raison que j’ai souhaité m’y consacrer une fois que j’en ai davantage de temps. Selon moi, aujourd’hui plus que jamais, l’information géographique est d’actualité.
Retrouvez la suite de cette interview réalisée par Kim Janiec dans le magazine SIGMAG N°37
Découvrez le site Géo J'aime
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9:02
Who Speaks Your Language?
sur Google Maps ManiaEnter the name of a language into The Language World Map and it will show you all the countries in the world where that language is spoken.You can enter more than one language into the map, which means that you can create some nice comparison maps of different languages. For example the map below shows where Spanish and Portuguese are spoken. This map is a neat visualization of the effect of
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8:30
Navigae : un outil polyvalent pour valoriser et visualiser les données géographiques patrimoniales
sur MappemondeNavigae est une plateforme de recherche permettant de consulter des données issues de travaux en géographie et de valoriser la dimension spatiale des données. Elle permet de diffuser et de visualiser des données numériques issues de structures de recherche ou de bibliothèques, selon des modes d’interrogation et de visualisation cartographique. Son objectif est de favoriser l’ouverture des données grâce à de nombreux services d’exposition et de récupération de données, ainsi qu’à travers un travail de curation permettant la conservation, la maintenance et l’enrichissement des données des différents fonds documentaires géographiques présents dans la plateforme.
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8:30
UD-SV : Plateforme d’exploration de données urbaines à n-dimensions — Espace, Temps, Thématiques
sur MappemondeCet article présente la plateforme UD-SV (Urban Data Services and Visualization) développée au laboratoire LIRIS. UD-SV regroupe un ensemble de composants s’appuyant sur du code ouvert permettant de stocker, de visualiser, d’interagir, de naviguer et d’interroger des modèles de villes 2D et 3D, mais aussi temporels. UD-SV permet d’intégrer des données spatiales, temporelles et sémantiques pour l’analyse urbaine et pour la compréhension de son évolution. Nous décrivons l’architecture, la conception, le développement et nous exemplifions avec quelques processus de calcul de UD-SV.
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8:30
Geodatadays 2022
sur MappemondeLes GéoDataDays constituent un évènement national indépendant dédié à la géographie numérique en France. Ces rencontres annuelles sont organisées par l’AFIGÉO et DécryptaGéo depuis cinq ans, en partenariat avec une plateforme régionale d’information géographique et des collectivités territoriales. Au cœur de cet évènement, le Groupement de recherche CNRS MAGIS, consacré à la géomatique, co-organise depuis trois ans un concours, les CHALLENGES GEODATA, qui vise à faire connaître et à récompenser les innovations du monde académique par un jury indépendant et multipartites (recherche, collectivités et services de l’État, industriels). Les domaines d’application sont très variés et touchent à la collecte, au traitement, à l’analyse et à la visualisation de données géographiques (ou géolocalisées). Les six critères retenus par le jury permettent de comparer et d’évaluer ces propositions souvent hétérogènes : originalité, public ciblé, potentiel de dissémination, qualité et justesse des m...
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8:30
Augustin J.-P. et Gillon P., 2021, Les jeux du monde. Géopolitique de la flamme olympique
sur MappemondeJean-Pierre Augustin de l’Université Bordeaux-Montaigne, chef de file d’une géographie sociale et culturelle du sport en France depuis presque quatre décennies, et Pascal Gillon, tenant plutôt du courant de l’analyse dite spatiale, inspiré, entre autres, par le travail de Jean Praicheux à l’Université de Franche-Comté et co-auteur notamment de l’Atlas du sport mondial, présentent un ouvrage d’envergure. La quantité d’informations, la qualité du traitement et des fondements théoriques du travail d’analyse, et surtout ce croisement entre deux écoles que parfois tout oppose, mais qui se complètent ici de manière remarquable, offrent un ouvrage majeur sur le sujet.
Le dessin discutable de première de couverture du graphiste pourtant connu Adria Fruitos ne doit pas obérer la teneur des 220 pages au format royal de ce titre de la nouvelle collection « Monde » des éditions Armand Colin, une collection consacrée à des ouvrages d’envergure qui permettent de comprendre les mécanismes de nos so...
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8:30
La ligne de couleur de W.E.B Du Bois. Représenter l’Amérique noire au tournant du XXe siècle
sur MappemondeDepuis 2013, un mouvement politique lutte contre le racisme envers les Noirs d’Amérique : Black Lives Matter. Pourtant, un tel militantisme en faveur de la cause noire ne date pas d’hier. William Edward Burghardt Du Bois en est un précurseur lorsque, en 1900, pendant l’Exposition universelle de Paris, il entend illustrer les progrès accomplis par la communauté afro-américaine depuis l’abolition de l’esclavage. Pour ce faire, ce sociologue et historien américain réalise une soixantaine de représentations : cartes, graphiques et diagrammes colorés, de véritables innovations, pour son époque, dans les domaines statistique et cartographique. Son travail minutieux est à la croisée de plusieurs disciplines : de l’histoire à la géographie, en passant par les statistiques, la sociologie et l’ethnologie. Il entend, à travers cette exposition, mettre en lumière ce qu’il appelle le « très proche », ces structures invisibles du « colonialisme et du capitalisme racial, qui conditionnent l’organi...
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8:30
De l’intérêt des pictogrammes pour figurer les représentations sociocognitives de l’espace résidentiel
sur MappemondeQuel rapport émotionnel un individu entretient-il avec son habitat ? Un jeu de simulation de négociation entre les différents critères d’évaluation de l’environnement résidentiel permet de recueillir un corpus de données. Son analyse implique une réflexion sur la formalisation des résultats obtenus. Deux options sont confrontées : une représentation en graphe polaire et une image composée de pictogrammes symbolisant les multiples dimensions de l’espace résidentiel qui peuvent motiver les choix d’installation. Cette dernière image permet une appréhension plus simple du lien entre les structures spatiales, cognitives et sociales.
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8:30
Saisir la position sémio-spatiale d’un élément géographique dans les cartes cognitives
sur MappemondeL’article propose d’analyser la position sémio-spatiale d’un élément géographique, en l’occurrence une frontière d’État, dans les cartes cognitives d’une ville frontalière. Sur le plan théorique, le recours au concept sémiologique de topos et la notion de position permettent de saisir les significations d’un élément géographique en fonction des positions sociales, afin de cerner leur contribution au positionnement de l’élément dans la carte cognitive. Méthodologiquement, cette analyse requiert une étroite intégration d’une tache discursive aux méthodes plus classiques de la cartographie cognitive.
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8:30
La photographie comme représentation : L’ancrage et l’objectivation iconographique
sur MappemondeCet article aborde l’utilisation de la photographie de lieux comme un outil de recueil des représentations spatiales. Cette approche repose sur la présence des processus d’ancrage et d’objectivation dans l’iconographie qui révèle un rapport de communication tout comme une représentation sociospatiale. 20 habitants de Montreuil-sous-Bois ont réalisé des photos caractéristiques et non caractéristiques de quatre lieux imposés dans leur ville. Les résultats montrent que pour représenter ce qui est caractéristique d’un lieu, les personnes ancrent et objectivent leurs photos dans l’usage et/ou la fréquentation du lieu. À l’inverse, les photos non caractéristiques tentent d’être impersonnelles. La photographie de lieux apparait comme une réelle communication entre individus et comme un outil à développer pour aborder les représentations sociospatiales.
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8:30
Des cartes mentales pour analyser la vulnérabilité au risque d’une ville de l’Arctique russe : Khamagatta
sur MappemondeL’article présente les résultats principaux d’un atelier cartographique conduit à Khamagatta (Sibérie orientale). L’objectif en était double : observer la vulnérabilité aux inondations de débâcle de la ville par les connaissances d’enfants et d’adolescents y vivant ; utiliser la carte comme instrument de dialogue, d’intégration des connaissances et de recueil de données. Récits et cartographies ne s’opposent pas, mais se renforcent. L’atelier cartographique a permis que se côtoient différents registres de connaissances et produit au final des informations précieuses pour l’analyse scientifique.
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8:30
« Self Cartography », une narration autour du monde
sur MappemondeCet article propose une utilisation de la carte géographique comme support à la mise en récit de souffrances psychiques liées à l’expérience de la migration. À partir de la conception d’une méthodologie spécifique — « Self Cartography » — dans le champ de la psychologie clinique, nous reviendrons sur l’élaboration de cette méthode et l’illustrerons par la présentation de cas cliniques.
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7:37
gvSIG Team: Optimizando el trabajo con datos en gvSIG Desktop: Tutorial para pasar de shapefile a base de datos H2Spatial.
sur Planet OSGeoSi queréis optimizar vuestro trabajo a la hora de trabajar con información geográfica… no os perdáis este vídeo, sobretodo si manejáis capas de información grandes, con cientos de miles o millones de registros, lo que siempre da problemas de velocidad a la hora de hacer zooms, desplazamientos, etc.
Lo que os vamos a mostrar es cómo cambia de manera exponencial la velocidad de trabajo de tener nuestros datos en un formato como el shapefile a hacerlo con una base de datos espacial. H2 es una base de datos ligera, muy fácil de usar y que en nuestro caso va directamente incluida en gvSIG Desktop, por lo que no requiere ninguna instalación. Se basa en ficheros, por lo que distribuir una base de datos de H2 es tan sencillo como compartir un determinado fichero.
En el ejemplo que se muestra en el vídeo vamos a trabajar con una capa del denominado SIGPAC (una especie de Catastro agrícola) de la provincia de Valencia y que contiene aproximadamente 2 millones de registros.
Hemos decidido no cortar el vídeo para que veáis que lo único que demora es el paso inicial de exportar el shapefile a la base de datos, por lo que podéis ver hasta el minuto 2:20 y luego pasar al minuto 17, donde ya tenemos la misma información en ambos formatos y se realiza la comparativa en sí. Vuestros problemas para manejar volúmenes de datos grandes, sin requerir instalar nada adicional a vuestro SIG de escritorio… ya se han resuelto.
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10:30
Créer ses propres palettes de couleurs avec Dicopal
sur Cartographies numériques
Dicopal est une bibliothèque JavaScript qui fournit des centaines de palettes de couleurs. Elle est basée sur Colorbrewer2, CARTOColors, cmocean, Matplotlib, MyCarta, Tableau et bien d'autres palettes. Nicolas Lambert a intégré Dicopal dans Observable et montre comment l'utiliser pour l'appliquer à des cartes. Même sans passer par Observable, il est possible de récupérer les codes couleurs de ces palettes et de les utiliser dans d'autres applications cartographiques.I) Découvrir Dicopal.js
Dicopal (Discrete color palettes) est une bibliothèque javascript qui intègre de nombreuses palettes de couleurs :
- Colorbrewer2
- Fabio Crameri's Scientific Colour Maps
- CARTOColors
- cmocean
- Light & Bartlein
- Matplotlib
- MyCarta
- Tableau
- The Wes Anderson Palettes blog
- Masataka Okabe and Kei Ito's Color Universal Design (CUD) palette
2) Combiner Dicopal.js et Bertin.js
Nicolas Lambert montre sur la plateforme Observable comment combiner les bibliothèques javascript Dicopal.js et Bertin.js. L'application interactive est très pratique : elle permet de jouer à la fois sur le choix de palette et le nombre de couleurs. Le rendu s'affiche directement sur la carte :
Outre la discrétisation, Dicopal peut être utilisé également pour créer des typologies avec des couleurs contrastées :
3) Récupérer les codes couleurs de DicopalNicolas Lambert donne la possibilité de copier directement les codes html des palettes que l'on a choisies.
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Divorced, Befriended, Married or Died
sur Google Maps ManiaMadrid's Almendra Central is an island of bachelors surrounded by a sea of married couples. Spanish newspaper El Confidencial has used 2021 census data to map out whether there are more single people or married couples in every census tract in Spain. An interactive map in the paper's Singles in Your Area, Street by Street colors every neighborhood in the country depending on whether the
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2:00
Paul Ramsey: MapScaping Podcast: Pg_EventServ
sur Planet OSGeoLast month I got to record a couple podcast episodes with the MapScaping Podcast’s Daniel O’Donohue. One of them was on the benefits and many pitfalls of putting rasters into a relational database, and the other was about real-time events and pushing data change information out to web clients!
TL;DR: geospatial data tends to be more “visible” to end user clients, so communicating change to multiple clients in real time can be useful for “common operating” situations.
I also recorded a presentation about pg_eventserv for PostGIS Day 2022.
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12:31
Save the Date - Cloned
sur Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)Publié le 07 juillet 2023Organisée par la DGALN et le Cerema, cette journée a pour ambition de favoriser les échanges, de partager plus largement encore les pratiques approfondies des données et d’en multiplier les usages. Elle est l’occasion de rassembler les divers utilisateurs des données foncières (Fichiers fonciers, DV3F, Lovac et RFP), qu’ils soient confirmés ou novices, autour des pratiques et leurs usages. C’est votre communauté d’utilisateurs qui fait vivre les données foncières, et les journées nationales constituent des moments privilégiés qui nous permettent de progresser (…)
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12:31
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sur Datafoncier, données pour les territoires (Cerema)Publié le 07 juillet 2023Organisée par la DGALN et le Cerema, cette journée a pour ambition de favoriser les échanges, de partager plus largement encore les pratiques approfondies des données et d’en multiplier les usages. Elle est l’occasion de rassembler les divers utilisateurs des données foncières (Fichiers fonciers, DV3F, Lovac et RFP), qu’ils soient confirmés ou novices, autour des pratiques et leurs usages. C’est votre communauté d’utilisateurs qui fait vivre les données foncières, et les journées nationales constituent des moments privilégiés qui nous permettent de progresser (…)
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Un oeil sur Mars
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueDepuis deux ans, le rover Perseverance et le petit hélicoptère robotique Ingenuity explorent Mars pour la mission de la NASA « Mars 2020 ». Cette exploration vise à rechercher des signes de vie microbienne sur la planète rouge, en collectant des échantillons de roche et de sol. L’évolution des robots est à suivre via l’application 3D ArcGIS « Mars 2020 Mission Tarcker ». Réalisée par Bruno Sousa du laboratoire d’études spatiales de l’Université Rice sous ArcGIS Experience Builder, il y est possible de visualiser les modèles de terrain ; ceci grâce aux couches réalisées par le Bruce Murray Laboratory for Planetary Visualization intégrant la mosaïque officielle de 5.7 terapixels. Les trajectoires des robots, leurs localisations ou des images de la surface martienne, prises par Perseverance, sont également disponibles. Les distances et les surfaces peuvent être mesurées, permettant de développer une cartographie de la planète. Enfin, avec des lunettes adaptées, certaines images sont à visionner en 3D !
+ d'infos :
experience.arcgis.com
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9:13
Poetry Walks
sur Google Maps ManiaWalk along Church Street as if you were a silent observer watching the world go by.Turn right onto Brick Land like a mermaid swimming in the depths of the sea.Let your worries fade away and turn left onto the High Street. This is a short extract from a poem which was generated for me by the wonderful A Walking Poem. A Walking Poem generates short poems based on your current location. Share your
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7:21
gvSIG Team: Working with Enumerations in gvSIG Online (and gvSIG Mapps)
sur Planet OSGeoAmong the many tools available to gvSIG Online users, there are those related to enumerations. These types of functionalities are extremely useful for data maintenance, as they allow us to define the possible values for a field. They become even more useful when using gvSIG Mapps integrated with gvSIG Online, as when capturing or updating information using the mobile application, these fields will display dropdown menus for easily selecting the corresponding value for each recorded element.
Enumeration lists can be added, modified, or deleted from the administration area of gvSIG Online. We can create a list from scratch or instruct gvSIG Online to automatically generate it based on the unique values available in that field. Interesting, right?
Once an enumeration is created, we can also assign it to other fields in other layers. Even more interesting, isn’t it?
When editing a published layer in a project, these fields will display a dropdown menu with the elements that make up the list, and one of them can be selected to assign it as an attribute of a map element, if it is of type “enumeration,” or multiple elements if it is of type “multiple enumeration.”
And, as we mentioned earlier, in gvSIG Mapps, we would automatically have our dropdown menus ready to facilitate data collection in the field.
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15:00
OGC Compliance Certification Available for v1.0 of the OGC API – Processes Standard
sur Open Geospatial Consortium (OGC)The Open Geospatial Consortium (OGC) is excited to announce that the Executable Test Suite (ETS) for version 1.0 of the OGC API – Processes – Part 1: Core Standard has been approved by the OGC Membership. Products that implement the Standard and pass the tests in the ETS can now be certified as OGC Compliant.
The OGC API – Processes Standard supports the wrapping of computational tasks into executable processes that can be offered by a server through a Web API and be invoked by a client application. Typically, these processes combine raster, vector, coverage, and/or point cloud data with well-defined algorithms to produce new information. Examples of computational processes that can be supported by implementations of this Standard include vector data analysis, imagery analysis, and various types of Artificial Intelligence (AI) enhanced analysis. To learn more about how the family of OGC API Standards work together to provide modular “building blocks for location” that address both simple and the most complex use-cases, visit ogcapi.org.
Implementers are invited to validate their products using the new test suite, which is available on the OGC validator tool. Testing involves submitting the endpoint of an OGC API – Processes implementation to be assessed. The validator tool sends the appropriate requests to the endpoint of the implementation and then evaluates the responses. These tests typically take only 5-10 minutes to complete. Once a product has passed the tests, the implementer can submit an application to OGC for use of the OGC Compliant trademark on their product.
To support developers with implementation of the standard, GeoLabs ZOO-Project 2.0 and Ecere GNOSIS Map Server 1.0 have been designated as reference implementations of the standard after the software products successfully passed the compliance tests.
The OGC Compliance Program offers a certification process that ensures organizations’ solutions are compliant with OGC Standards. It is a universal credential that allows agencies, industry, and academia to better integrate their solutions. OGC compliance provides confidence that a product will seamlessly integrate with other compliant solutions regardless of the vendor that created them.
More information about the OGC compliance process is available at ogc.org/compliance. Implementers of version 1.0 of the OGC API – Processes – Part 1: Core Standard – or other OGC Standards – are welcomed to validate their products using the OGC validator tool.
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13:42
Dépréciation d'ArcGIS Configurable Apps
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Esri annonce la dépréciation d'ArcGIS Configurable Apps, le groupe des modèles d'applications configurables historiques, avec la mise à jour de juin 2023 d'ArcGIS Online (depuis le 15 juin 2023) et devrait être retiré en décembre 2025.
La dépréciation n'a pas d'incidence sur la disponibilité, les fonctionnalités ou le support technique d'ArcGIS Configurable Apps (phase d'assistance du cycle de vie du produit). La dépréciation annonce le retrait à cette date ultérieure.
Les applications configurables ArcGIS restent disponibles jusqu'à leur retrait officiel, mais ne recevront pas de nouvelles fonctionnalités ni d'autres améliorations. D'ici le retrait, vous pouvez toujours créer des applications à l'aide des modèles ArcGIS Configurable Apps et les applications existantes continueront de fonctionner.
Contexte de cette dépréciation
Cette dépréciation est en cohérence avec la dépréciation et le plan de retrait de l’API JavaScript d’ArcGIS 3.x (ArcGIS API for JavaScript 3.x) sur laquelle ArcGIS Configurable Apps est basé.
ArcGIS Configurable Apps, également nommé Applications configurables, avait été introduit en 2014 et depuis lors constituait un des modes de conception d'applications web cartographiques faciles à configurer puisque basées sur des modèles d'applications. ArcGIS Configurable Apps est basé sur l'ancienne API JavaScript 3.x d'Esri (ArcGIS API for JavaScript 3.x), qui sera retirée en juillet 2024 dans son édition Développeur, et fin 2025 dans ArcGIS Online et ArcGIS Enterprise. La technologie sous-jacente d'ArcGIS Configurable Apps étant en voie de retrait, ce concepteur sera logiquement retiré dans ArcGIS Online et ArcGIS Enterprise.
Au cours des dernières années, les technologies web en général et celles d'Esri en particulier ont évolué et se sont modernisées. ArcGIS Instant Apps, la nouvelle génération de l'outil de conception d'applications Web configurables d'Esri, a été lancé en 2021 et est basée sur la dernière génération de la technologie de cartographie Web, l'API JavaScript 4.x d'Esri (nommée ArcGIS Maps SDK for JavaScript 4.x).
ArcGIS Instant Apps offre notamment une ergonomie améliorée via un assistant en 5 étapes, mais également plus d'options en désactivant l'assistant dit Express, et de nombreux nouveaux modèles d'applications valorisant les contenus 2D (cartes web) ou 3D (scènes web).
ArcGIS Instant Apps est le concepteur d'applications Web configurables depuis 2021 dans ArcGIS Online et depuis ArcGIS Enterprise version 10.9. Il continuera d'évoluer à chaque mise à jour d'ArcGIS Online (trois fois par an) ou d'ArcGIS Enterprise (deux fois par an). Il propose actuellement 19 modèles d'applications pour faciliter l'usage de cartes web ou de scènes web.
Impact de la dépréciation d'ArcGIS Configurable Apps
La dépréciation n'a pas d'incidence sur la disponibilité, les fonctionnalités ou le support d'ArcGIS Configurable Apps, (phase de support du cycle de vie du produit). La période entre la dépréciation et le retrait encouragera l'adoption d'ArcGIS Instant Apps via les messages d’annonce de mise à jour d’ArcGIS Online, l'engagement des utilisateurs et les modifications de l'interface utilisateur/de l'expérience utilisateur dans l'application.
Ces efforts vous amèneront à supprimer ArcGIS Configurable Apps de vos flux de travail avant leur retrait. La dépréciation d'ArcGIS Configurable Apps vous signale de donner la priorité à l'essai d'ArcGIS Instant Apps et de noter les défis que vous rencontrez, afin de vous adapter progressivement à cette nouvelle technologie.
Impact du retrait d'ArcGIS Configurable Apps
Le retrait des applications configurables devrait avoir lieu en décembre 2025 dans ArcGIS Online. Les versions d’ArcGIS Enterprise publiées jusqu’au premier trimestre 2025 incluront encore ArcGIS Configurable Apps pour une durée du support selon la version (Short Term Support - STS ou Long Term Support - LTS). Les versions d'ArcGIS Enterprise publiées après le premier semestre 2025 n'incluront plus ArcGIS Configurable Apps.
Lors du retrait fin 2025 :
- Les utilisateurs ne pourront plus créer d'applications configurables classiques dans ArcGIS
- Les applications précédemment créées par les utilisateurs à l'aide d'ArcGIS Configurable Apps resteront dans leur dossier de contenu ArcGIS Online mais ne fonctionneront plus
- L'expérience de configuration d'applications configurables ne sera plus disponible depuis le bouton Créer une application
- L'expérience de développement des applications configurables ArcGIS, permettant de créer des modèles d'applications configurables personnalisés et de les héberger sur son propre serveur de données, sera également supprimée.
Recommandations
Pendant la période entre la dépréciation et le retrait, vous êtes encouragés à examiner les applications créées dans vos organisations à l'aide d'ArcGIS Configurable Apps et à identifier les applications qui doivent être re-créées à l'aide de technologies plus modernes, telles qu'ArcGIS Instant Apps pour l'essentiel, mais aussi ArcGIS StoryMaps, ArcGIS Dashboards et ArcGIS Experience Builder. Si vous n'avez pas encore utilisé ArcGIS Instant Apps, consultez la documentation ou les ressources utiles disponibles en fin d'article pour vous aider à effectuer la transition.
Le tableau ci-dessous détaille les modèles d'applications actifs et dépréciés, ainsi que leurs applications de remplacement recommandées. Certains modèles d'applications configurables actifs qui sont toujours pris en charge, comme Crowdsource Manager, Crowdsource Reporter, Crowdsource Polling, Formule géographique (GeoForm) et Masque d'image (Image Mask), n'ont pas encore d'application de remplacement. Cependant, Esri travaille à la construction des remplacements recommandés et seront annoncés à une date ultérieure avant le retrait.
Alternatives aux modèles actifs ArcGIS Configurable AppsAlternatives aux modèles d'applications configurables dépréciés
Alternatives aux modèles dépréciés ArcGIS Configurable AppsAlternatives aux modèles d'applications configurables dépréciés
Ressources utiles
- Site du support d'Esri > Avis de dépréciation d'ArcGIS Configurable Apps
- FAQ ArcGIS Online > Que se passe-t-il quand un modèle ArcGIS Configurable Apps est étiqueté Éprouvé ?
- FAQ ArcGIS Online > Puis-je toujours utiliser des modèles étendus et éprouvés ArcGIS Configurable Apps ?
- Vidéo Choisir le bon concepteur d'application (conférence 2022)
- arcOrama > Questions / Réponses à propos des configurateurs d'applications ArcGIS
- Aide ArcGIS Online > ArcGIS Instant Apps
- Aide ArcGIS Online > Explorer et gérer des applications
- Tutoriels Esri France sur ArcGIS Instant Apps
- Learn ArcGIS > Essayer ArcGIS Instant Apps - Parcours de découverte pour démarrer avec des leçons détaillées et des articles de blog avec des exemples
- Blog ArcGIS > Présentation d'ArcGIS Instant Apps (en anglais) - Article de blog fournissant une vue d'ensemble et des exemples d'Instant Apps.
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9:57
Mapping the Route of the Adriana Disaster
sur Google Maps ManiaIn the very early hours of June 14th the Adriana, a fishing boat overcrowded with migrants, capsized in international waters off the coast of Pylos, Messenia, Greece. It is believed that the boat was carrying 400 to 750 migrants. 104 people were rescued by the Greek coastguard but hundreds died. The Washington Post has created an animated map which tracks the last journey of the Adriana and
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9:06
Quelles sont les villes les plus arborées de France ? Nos Villes Vertes livre son nouveau classement !
sur Décryptagéo, l'information géographiqueRennes le 6 juillet 2023. Pour faire face aux épisodes de chaleur appelés à devenir plus fréquents et plus intenses, la végétation urbaine joue un rôle essentiel. Mais quelles sont les villes qui font la part belle aux arbres pour apporter fraîcheur et bien-être à leurs habitants ? Réponse sur nosvillesvertes.fr, la plateforme de référence permettant d’observer, analyser et comparer la place de la végétation dans toutes les communes françaises.La plateforme réalisée par Kermap permet de consulter en accès libre l’ensemble de ces informations, en cartes et en chiffres. Actualisée sur la base des dernières photographies aériennes disponibles, Nos Villes Vertes livre un nouveau classement qui met à l’honneur Nice, Aix-en-Provence, Rueil-Malmaison ou Saint-Cloud. À l’inverse, Bordeaux, Clermont-Ferrand, Boulogne-Billancourt, Kourou ou Levallois-Perret apparaissent les moins bien loties en matière de végétation urbaine.
Nos Villes Vertes illustre le potentiel de l’exploitation massive des données géographiques grâce à l’intelligence artificielle, au service du grand public comme des acteurs des territoires. Forte de ce savoir-faire applicable sur l’ensemble du pays et aujourd’hui industrialisé, Kermap fait partie des premières entreprises à rejoindre le réseau Datalliance, lancé en juin 2023 par l’IGN pour répondre par la donnée aux grands défis de la transition écologique.
Nice, n°1 des grandes métropolesAvec une couverture arborée (canopée) couvrant 33% de l’espace urbain, Nice s’affiche comme la grande métropole réservant la plus large part de son territoire citadin aux arbres, devant Montpellier et Marseille. La cité azuréenne est également celle qui affiche la surface de canopée par habitant la plus élevée (53 m²) devant Toulouse et Montpellier.
En bas du classement, Bordeaux fait grise mine, dernière en termes de couverture arborée (19%), devant Strasbourg et Lille. S’agissant de la surface de canopée par habitant, Paris (12 m²) et Lyon (20 m²) ferment la marche, avec des scores qui reflètent aussi leur densité de population très élevée.
Dans la catégorie des 31 villes de 100.000 à 200.000 habitants, Aix-en-Provence s’impose comme la ville la plus arborée en zone urbaine (36%), d’une courte tête devant Nîmes. Toulon complète ce podium méridional que manque de peu Saint-Paul. La cité réunionnaise s’empare néanmoins de la 3e place en termes de surface de canopée par habitant (128 m²), devancée là encore par Nîmes (145 m²) et Aix-en-Provence (132 m²).
Dans le bas du classement, la plus faible couverture arborée est observée à Clermont-Ferrand (16%), derrière Perpignan et Reims. Si l’on s’intéresse à la surface arborée par habitant, c’est à Boulogne-Billancourt qu’elle est la plus modeste, avec 10 m², sensiblement moins que les 29e et 30e, Montreuil (19m²) et Villeurbanne (18 m²).
La catégorie des communes moyennes (50.000 à 100.000 habitants) voit Rueil-Malmaison s’imposer comme la plus arborée, avec une couverture de 39% de la zone urbaine, juste devant Versailles et Antibes. Au prisme de la surface arborée par habitant, cependant, le podium change complètement : la première place revient à Montauban, avec 189m², devant Fréjus et Quimper.
Du côté des villes moyennes les moins bien loties, on retrouve Cayenne et Dunkerque, à seulement 14% de couverture arborée. En termes de superficie par habitant, toutefois, c’est Levallois-Perret que l’on retrouve en fin de classement, avec seulement 5 m² par habitant.
Dans les communes de 10.000 à 50.000 habitants, la palme de la ville la plus arborée revient à Saint-Cloud, avec 54% de couverture en zone urbaine, devant Orsay et Valbonne. Un classement à nouveau totalement chamboulé lorsque l’on s’intéresse à la superficie arborée par habitant : c’est alors Biscarosse qui s’impose, avec 732 m², devant Porto-Vecchio et La Teste-de-Buch. À noter toutefois que, pour cette commune, la dernière photographie disponible, sur laquelle a été réalisée l’analyse, a été acquise en 2021, avant les incendies qui ont ravagé son territoire l’été dernier.
Enfin, les trois villes les moins bien classées de cette catégorie en termes de couverture arborée sont Kourou (9%), Fos-sur-Mer (10%) et Le Port (11%), sur l’île de La Réunion. Si l’on s’intéresse à la surface de canopée par habitant, c’est un trio francilien qui ferme la marche : Montrouge et Saint-Mandé (8%), ainsi que Charenton-le-Pont (9%).
Des épisodes de chaleur de moins en moins exceptionnels, des villes de plus en plus denses : pour faire face au défi climatique, végétaliser les milieux urbains n’est plus une option. Alors que les villes, petites, moyennes ou grandes, accélèrent sur la végétalisation des espaces urbains, Kermap a souhaité livrer avec Nos Villes Vertes son éclairage sur cette problématique. Le principe : cartographier le patrimoine végétal de chaque commune française et l’analyser, afin de livrer une information homogène et comparable sur l’ensemble du territoire.
Nos Villes Vertes est le fruit du traitement de l’ensemble des photographies aériennes les plus récentes, publiées en open data par l’Institut géographique national (IGN). Kermap s’est appuyé sur ses techniques innovantes d’intelligence artificielle pour pouvoir traiter un tel volume de données en un temps record. Celles-ci sont restituées sous formes de cartes, accompagnées d’indicateurs et de classements, nationaux ou par département. Et mises à disposition en accès libre pour permettre à tous, grand public comme décideurs, d’interpréter facilement cette information sur le patrimoine végétal des villes françaises.
Verdir les villes est l’une des pistes les plus accessibles et prometteuses pour améliorer la résilience des milieux urbains. Cela suppose une connaissance exhaustive du patrimoine vert de son territoire, une vision globale dont ne disposent pas les collectivités, notamment dans l’espace privé. C’est cette information stratégique que fournit Nos Villes Vertes. Une illustration de l’ambition fondatrice de Kermap : simplifier l’accès aux informations issues de l’observation de la Terre, pour accompagner les territoires vers un aménagement plus durable et résilient.
Grâce à l’intelligence artificielle, l’exploitation massive des données géographiques ouvre un nouveau champ des possibles pour répondre aux enjeux environnementaux et climatiques des territoires. Kermap a opérationnalisé et industrialisé cette approche pour proposer aux collectivités les services experts qui leur permettent d’aller plus vite encore sur ces sujets : des cartographies haute précision de la végétation, sur lesquelles s’appuient diagnostics et suivi de territoire. Ces outils et indicateurs permettent de spatialiser la présence de la nature et son impact pour livrer des données de pilotage essentielles à l’aménagement urbain.
Cartographie très haute résolution de la végétation urbaine pour la Ville de Nice – ©Kermap, 2022
Depuis sa création en 2017, Kermap accompagne ainsi plusieurs dizaines de collectivités dans ce travail de cartographie, d’analyse et de visualisation : Région Grand-Est, département de la Seine-Saint-Denis, Ville de Nice, Montpellier Métropole, Rennes Métropole, Limoges, Troyes, Sceaux, La Roche-sur-Yon…
Forte de ce savoir-faire applicable sur l’ensemble du pays et au-delà, Kermap fait partie des premières entreprises à rejoindre le réseau Datalliance, lancé en juin 2023 par l’IGN. Une initiative qui vise à faire monter en puissance les synergies public-privé en matière de géodonnées, et dans laquelle s’inscrit pleinement Kermap afin d’accompagner les territoires face aux enjeux environnementaux et climatiques d’aujourd’hui et de demain.
Fondée en 2017 et implantée à Rennes, Kermap propose des services de géo-intelligence des territoires à destination des acteurs publics et privés. Son objectif : simplifier l’accès aux données géographiques issues de l’observation de la Terre que la recherche académique sait produire, mais qui restent complexes et coûteuses à valoriser pour les intervenants de terrain. Grâce à son expertise en analyse spatiale et en automatisation du traitement des images par IA, Kermap produit et facilite la visualisation de ces informations à grande échelle pour le suivi territorial et l’aide à la décision, à l’image de ses solutions Nos Villes Vertes et Nimbo. En seulement cinq ans, l’envergure, l’efficacité et la fiabilité de ses solutions SIG ont déjà convaincu des dizaines d’acteurs dans le domaine de l’urbanisme, l’environnement, et l’agriculture : Ministère de l’Agriculture, collectivités (région Grand-Est, Seine-Saint-Denis, Dordogne, Ville de Nice, Montpellier Méditerranée Métropole, Rennes Métropole…), organismes publics (Eau de Paris, Bureau de recherches géologiques et minières…) ONG (Earthworm Foundation) et clients privés (Nestlé, McCain…) engagés dans des initiatives de transition écologique. Kermap a également intégré en 2022 la première promotion FrenchTech DeepNum20 récompensant les deeptech les plus prometteuses, porteuses de projets de rupture technologique.
Pour en savoir plus : www.kermap.com
Contacts presse :
Yann Daoulas – yann.daoulas@kermap.com / 06 03 67 42 11
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7:55
gvSIG Team: Trabajar con enumeraciones en gvSIG Online (y gvSIG Mapps)
sur Planet OSGeoEntre las muchas herramientas que los usuarios de gvSIG Online tienen disponibles se encuentran las relacionadas con enumeraciones. Este tipo de funcionalidades son extremadamente útiles para el mantenimiento de los datos, ya que nos permiten definir los valores posibles de un campo. Doblemente útil si utilizamos gvSIG Mapps integrado con gvSIG Online, ya que a la hora de capturar o actualizar información con la aplicación móvil, en esos campos se nos mostrarán desplegables para elegir fácilmente el valor que corresponde a cada elemento relevado.
Los listados de enumeraciones se pueden añadir, modificar o eliminar desde el área de administración de gvSIG Online. Podemos crear un listado desde cero o bien decirle a gvSIG Online que lo genere automáticamente a partir de los valores únicos disponibles en ese campo. ¿Interesante, verdad?.
Una vez creada una enumeración también podemos asignársela a otros campos de otras capas. ¿Más interesante aún, no?
Cuando se inicie la edición de una capa publicada en un proyecto, en estos campos se desplegarán el listado con los elementos que conforman el listado y se podrá seleccionar uno de ellos para asignarlo como atributo de un elemento del mapa,si es del tipo «enumeración», o varios si es de tipo «enumeración múltiple».
Y, como ya hemos comentado, en gvSIG Mapps tendríamos automáticamente nuestros desplegables listos para facilitar la toma de datos en campo. -
2:00
Geomatic Blog: Retiring geomaticblog.net
sur Planet OSGeoVicente, Pedro-Juan, and me started this blog in 2006. Back then blogs were the best way to create content and share knowledge. It was the times of RSS, Google Reader, social bookmarking through
del.icio.us
, and pictures onFlickr
. Very different from these days of micro-blogging, quick videos, influencers moving from one platform to another chasing their viewers' attention and money, newsletters under paywalls, etc.We stayed for a few months in a self-hosted Drupal CMS but maintaining it was a pain, so we moved to a managed Wordpress where we lived most of the time. Wordpress offered an excellent balance to get us writing without much hassle, keeping our domain, and very infrequent ads. Finally, last year I migrated the content to Hugo, a static generator, to save some costs, but the decline in writing started in 2018, so it is OK to close this project formally.
I will keep the blog code and content on a GitHub repository at [https:]] where we have posts in Markdown since 2007, and everything is hopefully for ever available in the web archive at [https:]] . I will probably copy my posts to my website.
Needless to say that we are forever grateful to those that encouraged us to write here. I had a lot of fun maintaining the website and writing content for everyone else. We are easy to find on the Internet, so please contact us anytime!
Have fun!
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18:19
gvSIG Team: Curso – Concurso Geoalfabetización mediante la utilización de Tecnologías de la Información Geográfica
sur Planet OSGeoCompartimos información sobre la nueva edición del Curso-Concurso de gvSIG Batoví
¡Vamos por el sexto año!
El Curso – Concurso Geoalfabetización mediante la utilización de TIGs se desarrollará entre el 5 de julio y el 8 de diciembre. Este año la iniciativa fue seleccionada por el Programa de Asistencia Técnica 2023 del Instituto Panamericano de Geografía e Historia, que prevé extender la experiencia desarrollada en Uruguay a otros países de la región: Chile y Colombia.
La iniciativa consta de 2 partes: primero: un curso denominado Tecnologías de la Información Geográfica y gvSIG Batoví dirigido a docentes de enseñanza media de Geografía y áreas relacionadas con el conocimiento geográfico, ambiental y social. La capacitación se desarrollará del 31 de julio al 18 de agosto en modalidad b-learning (plataforma + taller por videoconferencia).
Se entregará una certificación avalada por las instituciones organizadoras del curso, en la cual se reconocerá la participación satisfactoria de los cursillistas en la capacitación brindada (30 horas) y en…
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18:14
Hesperides, the data garden
sur Séries temporelles (CESBIO)=>Since a few years, my colleagues from THEIA project and from the data campus at CNES, started designing a new processing and distribution center, named Hysope-II. This centre was initially set up for products related to hydrology. It includes a processing center, a catalog, and a distribution center (hydroweb.next). It was developed in the framework of the SWOT mission downstream project, and aims to provide users with all the data that can help analyse hydrology data.
But the tools developed on this occasion quickly proved their worth, and little by little we became convinced that they were perfectly suited to the setting up of the new CNES production center for THEIA. Indeed, it is necessary to replace the current MUSCATE, whose technologies and processing capabilities are no longer state-of-the-art, despite the million products already published.
Rather than calling it MUSCATE-NG, my colleagues have poetically voted to name it « Hesperides », after the mythical garden where Hercules, tasked with picking well-guarded golden apples, distinguished himself by his cunning. The golden apples of the garden will be our beautiful continental surface remote sensing data, and we’ll do our utmost to make it as easy as possible for you to access them. It’s up to CNES to do the work of Hercules, not up to data users.
Hesperides description Zone de production de validation en cours dans Hysope-IIHespérides will consist of three workshops, based on developments from Hysope-II:
- Hymotep will be the production workshop, based on a processing orchestrator developed for the SWOT mission: Chronos.
- Hygor will be the database manager
- Hydra will oversee the entire system
These workshops already exist, as for Hysope-II, they are already producing France in near real time, with the following processors: MAJA (Sentinel-2 surface reflectances), LIS (snow cover) and Surfwater (water surfaces).Their adaptation to Hesperides therefore mainly consists of configuring them for the specific features of THEIA production.
Hesperides does not provide a data access center, as the distribution and access will be handled by hydroweb.next and the GeoDataHub, which are also being developed.
While it used to take months to integrate a new chain into MUSCATE, it has now been demonstrated that it only takes a few weeks to configure Hymotep to put a new chain into production. This should make it possible to finally put into production some of the chains that have been prepared for years in THEIA’s CES.
Finally, the Hesperides garden will be hosted in fertile ground, with the new CNES TREX computing centre and its datalake, which should increase the computing power dedicated to THEIA at CNES by almost tenfold. Hesperides is scheduled to start mass production in the second quarter of 2024.
What should we process ? Nicolas Gasnier counted the number of tiles (Tuiles in French) of Sentinel-2 grid per continent. Hespérides could produce up to 10 000 tiles.As new possibilities open up, two questions will quickly arise:
- which areas of the world are we going to cover?
- with which processors?
To determine this, two processes will take place in parallel :
- consolidating the assessment of our processing capacities, and determining the priorities of the CNES, which is funding this infra-structure
- gathering the needs of THEIA users (French public remote sensing community). THEIA will be issuing a call for projects at the end of the summer. You will be able to put forward your areas of interest and ask for processing lines to be put into production. So you can already start thinking about your requests to be submitted after the holidays.
We already know that the processors will be able to rely on Sentinel-2 L2A data produced with MAJA, and on the Sentinel-1 data, ortho-rectified on Sentinel-2 tile grid with S1-Tiling processor.
Of course, despite their sharp increase, resources will remain limited, and we probably won’t be able to meet all requests. That said, before calling on Hercules and Atlas, don’t hesitate to submit your ideas and requirements.
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16:39
A recap of the 126th OGC Member Meeting, Huntsville, AL, USA
sur Open Geospatial Consortium (OGC)From June 5-9, almost 200 geospatial innovators, influencers, and leaders from across the globe attended OGC’s 126th Member Meeting – with 100 more attending virtually. Hosted by GEOHuntsville at the beautiful Huntsville Botanical Garden in Alabama, USA, meeting attendees spent the week discussing the latest geospatial innovations and hearing how geospatial is transforming organizations and industries across the globe.
The meeting was additionally sponsored by Hexagon, OpenSensorHub (Botts Innovative Research and GeoRobotix), Ethar, Womble Bond Dickinson, and Compass-HSV.
The week saw the usual abundance of Standards Working Group (SWG) and Domain Working Group (DWG) meetings, networking & social events (including a fantastic Sunday pre-meeting gathering at the Signals Museum, hosted by Ethar), two award presentations – a Lifetime Achievement Award as well as the new Community Impact Award – and several special sessions, including a Space Standards ad hoc, an Open Science Summit, a Portrayal Workshop, a Connected Systems track, a Defense and Intelligence Track, and a Climate Workshop.
The full agenda for the 126th OGC Member Meeting is available here. Read on for an overview of the best bits, below.
OGC CEO, Dr. Nadine Alameh (L), OGC CSO, Scott Simmons (M), and Stan Tillman from meeting sponsor, Hexagon. Opening SessionOpening the meetings on Monday morning was David Lucas, the Executive Director of host GEOHuntsville, who welcomed attendees and provided event context. This was followed by a welcome from the City of Huntsville Mayor, Tommy Battle.
Next, we heard from Stan Tillman, of meeting sponsor Hexagon, who provided information on the company with specific information regarding Hexagon Digital Reality capabilities. Dr. Chris Tucker, representing additional meeting sponsors OpenSensorHub participants Botts Innovative Research and GeoRobotix, then highlighted the upcoming session on Tuesday for Connected Systems.
OGC CEO Dr. Nadine Alameh then provided a CEO Welcome and described the value of recent organizational changes in OGC. Prashant Shukle, Chair of the OGC Board of Directors then gave a greeting from the Board and highlighted a commitment by the Board to more actively participate in OGC activities.
OGC CEO, Dr. Nadine Alameh (L), with Patty Mims, Director of Global National Government, EsriNadine’s regular fireside chat followed, this time with Patty Mims, Director of Global National Government, Esri. As has become the trend for these chats, they discussed the motivation for joining the geospatial industry as well as provided advice for others to join and succeed in the community.
Trevor Taylor, Senior Director, Member Success and Development of OGC, welcomed new members and refreshed attendees on the new OGC membership model that’s now in place for new members.
I, Scott Simmons, Chief Standards Officer of OGC, then wrapped up the session by providing some logistics information for the week and describing the process to be followed in the coming weeks-to-months to roll out of the new Technical Committee Policies and Procedures. I also described the new tools in place for submitting presentation requests and special sessions for meetings.
Special SessionsThe Space Standards ad hoc continued the discussion from the 125th Member Meeting concerning where OGC should work in Space Standards, which identified a number of topical areas for Standardization as well as existing Standards covering some portions of those areas. Participants at this session identified areas of focus and proposed a new Domain Working Group (DWG) that will begin the chartering process in the coming weeks. OGC Members can access the presentations and a recording on this page in the OGC Portal.
The Open Science Summit focused on a proposal for a new OGC Pilot project for an Open Science Persistent Demonstrator. NASA, Google, and the European Space Agency (ESA) each presented information on their own platforms. The Summit then followed with an open discussion on which other platforms might exist and what should be included. OGC Members can access the presentations and a recording on this page in the OGC Portal.
Marge Cole, Director, Collaborative Solutions and Innovation Programs, OGC, speaking at the Open Science SummitThe Portrayal Workshop: OGC has been modernizing its Standards for the portrayal of geospatial data. Numerous other communities have dependencies on the OGC Standards portfolio and need to understand the applicability of these newer Standards and how they replace the functionality of legacy Standards. The Portrayal Workshop was organized jointly with the International Cartographic Association (ICA) and was run to develop an OGC Technical Paper for “Standards supporting cartographic best practices.” OGC Members can access the presentations and a recording on this page in the OGC Portal.
The Connected Systems track: OGC has chartered new working groups to update and create a RESTful implementation of sensor-related Standards. The Autonomy, Sensors, Things, Robots, and Observations (ASTRO) Domain Working Group (DWG) investigates requirements and standardization targets and the Connected Systems Standards Working Group (SWG) is building the new Standards. These groups held a full-afternoon track to describe the intent of the Connected Systems API, the relationship of the work to other OGC APIs and the Sensor Web Enablement (SWE) Standards, and to demonstrate how the new Standards work in practice. OGC Members can access the presentations and a recording on this page in the OGC Portal, as well as the Demonstration here.
The Defense and Intelligence Track: The Defense and Intelligence DWG takes a broad look at the use of Standards in defense/intelligence operations as well as the requirements for interoperability that can be solved, in part, by Standards. The DWG held a full-afternoon track to explore the fundamental concepts and thus bring participants to a baseline of understanding. The session also explored where OGC members could contribute to new Standards in imagery & motion imagery as well as Space. OGC Members can access the presentations and a recording on this page in the OGC Portal.
The Climate Workshop: OGC’s Climate Resilience DWG organized a Climate Workshop for Friday where the DWG defined the nature of its mission for resilience as the “ability of a system to compensate for impacts.” The session highlighted numerous initiatives underway in OGC and other organizations, framing them in terms of opportunities for impact. The workshop also expressed a proposed timeline for the next OGC Climate Resilience Pilot. OGC Members can access the presentations and a recording on this page in the OGC Portal.
Today’s Innovation/Tomorrow’s Technology and Future DirectionsThe popular Today’s Innovation/Tomorrow’s Technology and Future Directions session focused on ongoing OGC research and deployment of the nascent OGC Rainbow (borne from the OGC Definitions Server), which represents the state-of-the-art in enabling semantic interoperability.
OGC Rainbow is a web-accessible source of information about things (“Concepts”) that the OGC defines or that communities ask the OGC to host on their behalf. OGC Rainbow comprises several registries linked to common access for both human- and machine-readable representation of the data.
The OGC Definitions Server has long provided Coordinate Reference System (CRS) definitions, terminology definitions used in OGC Standards, and code lists for various domains of interest. As the capability of the OGC Rainbow increases, OGC will be registering requirements from Standards, representation of the OGC Building Blocks, and linkages to other authoritative registries. OGC Rainbow will improve consistency in the geospatial standards community and allow for expedited development of new capabilities.
Dr. Ingo Simonis and Dr. Rob Atkinson of the OGC COSI Program explained the capabilities and use cases of the OGC Rainbow and moderated open discussion amongst participants regarding the use of OGC Rainbow. OGC Members can access the presentations and a recording on this page in the OGC Portal. Stay tuned to the OGC Blog for more on the OGC Rainbow soon.
Dinner & AwardsThe always wonderful Executive Dinner was held on Wednesday night at the U.S. Space & Rocket Center – Davidson Center for Space Exploration, where attendees had the unforgettable experience of dining under an actual Saturn V rocket – one of only three in the world!
Attendees of the Executive Dinner had the unforgettable experience of dining under an actual Saturn V RocketAt the dinner, two awards were presented: Dr. Jeff de La Beaujardiere received the OGC Lifetime Achievement Award; and Natural Resources Canada received the inaugural OGC Community Impact Award.
Dr. Jeff de La Beaujardiere was selected for the Lifetime Achievement award due to his long standing leadership, commitment, and support for the advancement and uptake of standards used for the dissemination of Earth Science information. In the OGC community, Jeff is best known as the Editor of the OGC Web Map Service (WMS) Specification: a joint OGC/ISO Standard that now supports access to millions of datasets worldwide. OGC WMS was the first in the OGC Web Services suite of Standards and is the most downloaded Standard from OGC. But most importantly, the OGC WMS Standard truly revolutionized how geospatial data is shared and accessed over the web. Jeff was also a major contributor to other OGC Standards, including the OGC Web Services Architecture, the OGC Web Map Context, OGC Web Terrain Service, and OGC Web Services Common.
The new OGC Community Impact award highlights the importance of collaboration, volunteering time and energy, advancing technologies and standards, raising awareness, and helping solve critical issues across the geospatial community. Natural Resources Canada exemplifies all of these qualities through their championing of innovation and standards. They consistently go above and beyond as both an OGC Member, and as a member of the wider geospatial community.
My well-deserved congratulations go out to both recipients!
Ryan Ahola (R) accepts the inaugural OGC Community Impact Award, on behalf of Natural Resources Canada, from OGC CEO Dr. Nadine Alameh (L) Important Things and the Closing PlenaryWrapping up the week, I opened the Important Things session with a rapid, 15-minute summary of the entire meeting week that included slides and content from a large number of Working Group sessions. OGC Members can access the presentations and a recording on this page in the OGC Portal.
The Important Things session then featured a discussion on how much OGC SWGs should accommodate developer interests and existing applications vs. optimizing their Standards work to meet the Standard requirements. OGC Members then discussed the issue and provided numerous examples of the conflict in current work. OGC Members can read the notes from the session in the Etherpad “Important-Things-2023-06”.
The Closing Plenary, though mostly focused on presentations and voting, also saw several presentations. Carsten Rönsdorf of Ordnance Survey provided a summary of the effectiveness of the model-driven standard authoring that was used for CityGML 3.0 and is now underway with MUDDI. Ali Al’Awaji highlighted the success of recent cooperation between his organization, the General Authority for Survey and Geospatial Information (GASGI) and OGC. The remainder of the session advanced a number of Standards, SWGs, and documents toward vote or publication.
Thank you to our communityThe GEOHuntsville Member Meeting was not only one of our most attended, but also one of our most memorable – with the beautiful grounds and the unforgettable Saturn V Rocket. As always it was a pleasure seeing our Members interacting, collaborating, and driving technology and standards development forward. It’s the vibrancy and enthusiasm of our community that makes OGC truly special – and my job so enjoyable. So I thank you all, once again, for your time & energy and your dedication to making OGC the world’s leading and most comprehensive community of location experts.
Be sure to join us for the 127th Member Meeting, happening September 25-29, 2023, at the Lifelong Learning Institute, Singapore. Registration and further info can be found at ogcmeet.org.
Sponsorship opportunities are also available: download this brochure or contact OGC for more info.Be sure to subscribe to the OGC Update Newsletter to stay up to date on all things OGC, including future OGC Member Meetings, funding opportunities, and how to contribute to our open Standards.
The post A recap of the 126th OGC Member Meeting, Huntsville, AL, USA appeared first on Open Geospatial Consortium.
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13:24
Partager la géographie
sur Les cafés géographiquesInstitut de géographie de Paris.- Géographies en partage, coord. par Lydie Goeldner-Gianella ; préf. de Christian Grataloup, Ed. de la Sorbonne, 2023
Les Editions de la Sorbonne viennent de publier un livre sur l’UFR (Unité de formation et de recherche) de géographie de Paris I dans leur collection consacrée au jubilé de cette université. Intitulé Géographies en partage1, cet ouvrage auquel ont participé 55 auteurs, est coordonné par Lydie Goeldner-Gianella, directrice actuelle de l’UFR. Il sort un peu plus de cinquante ans après la fondation de l’Université de Panthéon-Sorbonne (Paris I) et de l’UFR de géographie en 1971. Cette naissance est liée à l’éclatement de la Sorbonne après les événements de mai-juin 1968 puis la loi Edgar Faure. A Paris, la géographie est alors étudiée et enseignée dans les universités de Paris I Panthéon-Sorbonne, Paris IV (aujourd’hui Sorbonne Université) et Paris VII Paris-Diderot.
Ce livre, dense et copieux (plus de 300 pages, 14 chapitres, 3 index, 65 figures, 25 encadrés, 7 tableaux…), se compose de trois parties : Histoire de l’UFR et de l’Institut de géographie, La géographie à Paris I (à travers ses masters, ses laboratoires…) et Les filières Aménagement et environnement.
Il commémore un jubilé : cinquante ans de fonctionnement de l’UFR de géographie de Paris I permettent de dresser un bilan solide et de dessiner des perspectives d’avenir… d’autant qu’il ne s’agit pas de n’importe quelle UFR, mais de la plus importante de France qui, en outre, n’a cessé de grandir, passant d’un millier d’étudiants en 1971 à plus de 1200 aujourd’hui et d’une cinquantaine d’enseignants en 1971 à plus de trois cent vingt aujourd’hui. Dans nombre d’universités, en raison d’effectifs plus faibles, il n’existe pas d’UFR de géographie ; la discipline est alors noyée dans une UFR de sciences humaines et/ou sociales…
Par ailleurs, l’UFR de Paris I est indissolublement liée à l’Institut de géographie, voulu par Vidal de la Blache (1845-1918), financé par la marquise Arconati-Visconti (grande mécène de l’Université de Paris), construit par l’architecte de la Sorbonne, Nénot, et opérationnel à partir de 1925. Et, comme l’écrit Jean-Marie Théodat (p. 93), « quand on dit “géographie”, tous les regards se tournent vers la rue Saint-Jacques, le 191 exactement, au sommet de la montagne Saint-Geneviève, comme au point symboliquement le plus élevé de la discipline. Là se trouve l’Institut de géographie. » Il est, de toute évidence, le lieu central de la discipline, l’épicentre des manifestations géographiques, à commencer par les congrès internationaux. Certes, les enseignements des premières années ont lieu au centre Pierre Mendès-France (Paris, XIIIe). Par ailleurs, les locaux de l’Institut de géographie (bureaux, salles de cours, amphis…) sont partagés entre trois universités ; mais sa gestion est assurée par Paris I, “gardienne” de l’Institut de géographie, Pénélope en quelque sorte…
La Bibliothèque, emblématique, dépend de la BIS2 (Bibliothèque interuniversitaire de la Sorbonne). Constamment enrichie, elle possède d’immenses ressources (livres, périodiques, cartes, documents patrimoniaux…). Un chapitre fort intéressant en révèle l’histoire depuis 1880, heureuse incursion dans le passé.
Selon Christian Grataloup, auteur de la préface, malgré les particularités de cette UFR, « le demi-siècle ici raconté résume (…) plutôt bien le parcours de l’ensemble de la géographie française ces dernières décennies. » Raison supplémentaire pour découvrir cet ouvrage !Notes
(1) Lydie GOELDNER-GIANELLA, Géographies en partage. : L’UFR de géographie, préface de Christian Grataloup. – (Collection Histoire de la France aux XIXe et XXe siècles ; 93). – Paris : Editions de la Sorbonne, 2023. 328 p., 25 €.
(2) Pour une histoire de la BIS, voir Laurence BOBIS, Boris NOGUES, La bibliothèque de la Sorbonne. 250 ans d’histoire au cœur de l’université, Editions de la Sorbonne, 2022, 440 p., 25 €.
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11:40
Hespérides, le jardin des données
sur Séries temporelles (CESBIO)Depuis quelques années, mes collègues du projet THEIA et du Campus de la Donnée au CNES, ont entrepris la conception d’un nouveau centre de traitement et de distribution des données liées à l’hydrologie, appelé Hysope-II. Ce centre était initialement destiné à produire et distribuer les données spatiales utiles à l’hydrologie. Il inclut un centre de traitement, un catalogue et un centre de distribution (hydroweb.next). Ce système a été mis en place à l’occasion du développement de la mission SWOT, et permet aux utilisateurs d’accéder à toutes les données permettant d’interpréter les données hydrologiques. Ces travaux ont été financés par le programme SWOT Aval.
Mais les outils développés à cette occasion ont rapidement démontré leur efficacité, et petit à petit, nous nous sommes convaincus qu’ils étaient parfaitement adaptés à la mise en place du nouveau centre de production du CNES pour THEIA. Il est en effet nécessaire de remplacer l’actuel MUSCATE, dont les technologies et capacités de traitement ne sont plus à la pointe du progrès, malgré le million de produits déjà publiés.
Plutôt que de l’appeler MUSCATE-NG, mes collègues, par un vote plein de poésie, ont décidé de l’appeler Hespérides, un jardin mythique où Hercules, chargé d’y cueillir des pommes d’or bien gardées, s’est illustré par sa ruse. Les pommes d’or du jardin seront nos belles données de télédétection des surfaces continentales, et nous ferons tout notre possible pour vous en simplifier l’accès. C’est au CNES de faire le travail d’Hercules, pas aux utilisateurs de données.
Description d’Hespérides Zone de production de validation en cours dans Hysope-IIHespérides sera composé de trois ateliers, issus des développements d’Hysope-II :
- Hymotep sera l’atelier de production, basé sur un orchestrateur de traitements développé pour la mission SWOT : Chronos.
- Hygor sera le gestionnaire de base de données
- Hydra supervisera tout le système
Ces ateliers existent déjà, puisque dans Hysope-II, ils sont déjà en production pour traiter la France au fil de l’eau, avec les chaines MAJA (réflectances de surface Sentinel-2), LIS (couverture neigeuse) et Surfwater (surface en eau). Leur adaptation à Hespérides consiste donc principalement à les configurer pour les spécificités de la production de THEIA.
Hespérides ne fournit pas d’atelier d’accès aux données, car ce rôle sera dévolu à hydroweb.next et au GeoDataHub, également en préparation.
Alors que l’intégration d’une nouvelle chaine dans MUSCATE prenait des mois, la démonstration a été faite qu’il suffit de quelques semaines pour configurer le système pour mettre en production une nouvelle chaine. Ceci devrait permettre de mettre enfin en production certaines des chaines préparées depuis des années dans les CES de THEIA.
Enfin, le jardin des Hespérides s’appuiera sur un terreau fertile, avec le nouveau centre de calcul du CNES TREX et son datalake, qui devraient quasiment décupler la puissance de calcul dédiée à THEIA au CNES. Il est prévu qu’Hesperides commence à produire en masse au deuxième trimestre 2024.
Que traiter ? Nicolas Gasnier a compté les tuiles de la grille Sentinel-2 par continent. Hespérides pourrait produire entre 5000 et 10 000 tuiles.Alors que de nouvelles possibilités s’ouvrent à nous, deux questions vont donc se poser rapidement :
- quelles zones du monde allons nous traiter ?
- avec quelles chaines ?
Pour déterminer cela, deux processus vont avoir lieu en parallèle,
- la consolidation de l’évaluation de nos capacités de traitement, et la détermination des priorités du CNES, qui finance cette infra-structure
- le recueil des besoins des utilisateurs de THEIA. Pour ce recueil des besoins, un appel à projets va être diffusé à la fin de l’été par THEIA. Vous pourrez y proposer vos zones d’intérêt, et demander la mise en production de chaines de traitement. Vous pouvez donc dores et déjà réfléchir à vos demandes à soumettre après les vacances.
Il est déjà clair que les produits pourront se baser sur les données Sentinel-2 produites avec MAJA, ainsi que les données Sentinel-1, ortho-rectifiées et projetées sur la grille Sentinel-2 avec l’outil S1-Tiling.
Bien évidemment, malgré leur forte augmentation, les ressources resteront limitées, et nous ne pourrons probablement pas accéder à toutes les demandes. Ceci dit, avant d’en appeler à Hercules et Atlas, n’hésitez pas à soumettre vos idées et besoins.
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9:51
Récepteur GNSS Trimble TDC650
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLe nouveau Trimble TDC650 est un récepteur GNSS de terrain qui offre un confort de travail inégalé pour des inventaires intensifs de données. Léger (790 g), ergonomique et robuste (IP67), il peut être tenu à la main ou positionné sur une canne. Son écran tactile de 6 pouces est lisible en plein soleil, comme par temps couvert. Compatible toutes constellations et sources de corrections différentielles temps réel, il permet la saisie de points ou d’éléments avec une précision, selon la version, de 1 cm, décimétrique (7cm XY et 2 cm en Z), submétrique (30 cm en XY et Z) à 1 m. Affichant une autonomie longue durée de 8 heures, il est doté d’un appareil photo avant/arrière de 13 et 5 Mpx (64 Go de stockage, extensible jusqu’à 256 Go en microSD). Bien évidemment, le TDC650 est compatible avec la plupart des workflows SIG Android, notamment ArcGIS Field Maps.
+ d'infos :
d3e.f
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9:38
Mapping Loch Ness Monster Sightings
sur Google Maps ManiaThe best place to spot the Loch Ness Monster is on or around Loch Ness in Scotland. In When, where and how to see the Loch Ness Monster – based on 1,500 years worth of data! the Press and Journal has mapped the locations of Loch Ness monster sightings over the last 83 years in order to determine the best location where you are most likely to spot Nessie. After hours of analysis the newspaper
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9:31
Météo-France et Solagro lancent un service climatique dédié au secteur agricole
sur Makina CorpusHausse des températures, sécheresses de plus en plus intenses et fréquentes, gelées printanières... Le changement climatique affecte l’agriculture quelles que soient les productions, aussi bien végétales qu’animales, et sur tout le territoire.
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7:48
gvSIG Team: Geoportal del Instituto Nacional de Vitivinicultura del Uruguay
sur Planet OSGeoOtro de los Geoportales que utilizan el gvSIG Online implantado para la Infraestructura de Datos Espaciales del Uruguay es el creado por el INAVI, el Instituto Nacional de Vitivinicultura.
El Geoportal permite cruzar la información del INAVI con otras cartografías del país mantenidas por otras entidades, como la hidrografía (IDEuy), las redes de transporte (MTOP), el Catastro (DNC), etc.
En cuanto a los datos compartidos por el INAVI podemos encontrar capas como puntos de control, cuadros de cultivos, inventario de suelos bajo viña, superficie de vid implantada por departamento…
Sin más, compartimos el enlace por si queréis explorar este Geoportal: [https:]]
Por cierto, en la temática de vitivinicultura estamos desarrollando un proyecto de gran relevancia y complejidad para la Generalitat Valenciana, pero eso os lo contaremos otro día.
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7:27
Bureaux de vote et adresses de leurs électeurs en France (INSEE)
sur Cartographies numériques
L’Insee rend public un extrait du Répertoire électoral unique (REU) de l’ensemble du territoire français, daté de septembre 2022. Ces données permettent de mettre en correspondance les bureaux de vote et les adresses des électeurs, ce qui est très utile pour conduire des analyses électorales à l'échelle infra-communale. Cette ouverture des données était attendue depuis longtemps et avait buté jusque-là sur des fins de non recevoir. Elle vient de trouver en partie une issue grâce à la publication des données par l'Insee, à qui a été confiée la gestion du REU. En extraire les contours des bureaux de vote demande cependant quelques compétences techniques, en attendant une publication complète des informations avec les données géométriques qui devrait faciliter leur réutilisation en open data.
« A voté » : à chaque bureau de vote ses électeurs (source : Lequien & Pramil, Blog de l'Insee)
1) Description du Répertoire électoral unique (REU)
Les fichiers de correspondance entre les bureaux de vote et les adresses des électeurs qui en dépendent permettent la construction des aires de bureaux de vote. Celles-ci facilitent la comparaison des données électorales avec les caractéristiques socio-démographiques des électeurs rattachés à ces aires. Ces fichiers sont élaborés à partir du Répertoire électoral unique (REU), institué par la loi n°2016-1048 du 1er août 2016 rénovant les modalités d’inscription sur les listes électorales, et qui a été mis en œuvre à partir du 1er janvier 2019.
Géré par l’Insee, le REU a pour finalité la gestion du processus électoral et la fiabilisation des listes électorales. Il permet la mise à jour en continu des listes électorales à l’initiative, soit des communes (et des consulats) qui procèdent aux inscriptions et radiations des électeurs, soit de l’Insee sur la base des informations transmises par différentes administrations (armées, justice, intérieur) et des données d’état-civil.
Le REU contient, entre autres, l’adresse des électeurs inscrits sur les listes électorales et leur bureau de vote, ce qui permet de les mettre en correspondance. À la suite de l’avis favorable rendu par la Commission d’accès aux documents administratifs sur la publication des adresses, et en concertation avec le ministère de l’Intérieur, l’Insee a développé une méthode permettant de publier cette correspondance adresses-bureaux de vote en données ouvertes (au format csv), tout en ne divulguant aucune information sur les noms et prénoms des personnes. Le projet a bénéficié de la collaboration de la DINUM (Etalab), l’organisme public qui coordonne la politique d’ouverture et de partage des données publiques.
2) Fichiers mis à disposition en open dataLes données brutes utilisées par l’Insee correspondent à une extraction des adresses du Répertoire Électoral Unique réalisée en septembre 2022. Le travail effectué sur cette extraction permet la diffusion de 2 fichiers, proposés aux formats csv et parquet :
- La table des adresses normalisées et géolocalisées du REU
- La table des bureaux de vote du REU
Trois fichiers de documentation sont disponibles en accompagnement des données :
- Le dictionnaire des variables de la table des adresses
- Le dictionnaire des variables de la table des bureaux de vote
- Un document méthodologique détaillant le travail effectué sur les données du REU
Ces fichiers de données et métadonnées sont à télécharger sur le site Data.gouv.fr. Le code associé aux traitements effectués est disponible sur Github.
Les grandes villes mettent souvent directement à disposition les découpages de bureaux de vote ainsi que leur évolution. C'est le cas de Paris, Lyon, Marseille, Lille, Bordeaux, Toulouse. Voir sur le site Data.gouv.fr pour une recherche plus avancée par communes.
3) Réutilisation des donnéesUn article du blog de l’Insee présente un exemple de réutilisation de ces données.
En résumé, il s'agit de poser les adresses sur une carte, puis de dessiner une limite autour de chaque groupe d’adresses appartenant au même bureau de vote.
Méthode proposée par Denis Vannier pour tracer les contours des bureaux de vote (source : Github)
Les fichiers geojson créés en sortie (un par département) nécessitent malgré tout une intervention au cas par cas dans un logiciel comme Qgis. Car le résultat est souvent chaotique lorsqu'on zoome sur les limites de bureaux de vote. Le découpage proposé par Etalab, impose d’ailleurs les mêmes corrections a posteriori. Cette limite s’explique principalement par les conditions de production des listes électorales dans chacune des 35 000 communes, et dans une moindre mesure par les erreurs de géolocalisation des adresses. Parfois, des électeurs sont rattachés à un autre bureau de vote que celui correspondant à leur domicile. Il arrive que des communes conservent des bureaux de vote répartis sur une base alphabétique malgré la réforme de 2016 (c’était encore le cas de Fonsorbes, en Haute-Garonne, à la veille de la présidentielle). Ces cas sont marginaux, mais suffisants pour mettre la pagaille dans un programme.
Etalab devrait prochainement publier un découpage en open data des bureaux vote à partir des données du REU. Affaire à suivre...
4) Exemples d'analyse électorale à l'échelle des bureaux de vote
Cartelec. Cartographie des grandes villes françaises à l’échelle des bureaux de vote. [cartelec.univ-rouen.fr]
Beauguitte, L. et Colange, C. 2013. Analyser les comportements électoraux à l’échelle du bureau de vote, mémoire scientifique de l’ANR CARTELEC.
Beauguitte, L. et Lambert, N. 2014. « L’HyperAtlas électoral parisien (2007?2012). Un outil pour l’analyse des dynamiques électorales intra-urbaines », Mappemonde, n° 114.
Éric Agrikoliansky, « Paris, 23 avril 2017 : un renouveau des clivages socio-politiques ? », Métropolitiques, 5 mai 2017.
Jean Rivière, 2023 : « La présidentielle 2022 au microscope. Continuités et ruptures avec le paysage électoral antérieur dans la Métropole », in F. Madoré, J. Rivière, C. Batardy, S. Charrier, S. Loret, Atlas Social de la métropole nantaise,Articles connexes
L'évolution du vote des Français sur la 1999-2019 sur le site du Politoscope
Dis-moi où tu vis, je te dirai ce que tu votes ? (Géographie à la carte, France Culture)
Analyser les cartes et les données des élections présidentielles d'avril 2022 en France
Analyser les cartes et les données des élections législatives de juin 2022 en France
S'initier à la cartographie électorale à travers l'exemple des élections présidentielles de novembre 2020 aux Etats-UnisCartographie électorale, gerrymandering et fake-news aux Etats-Unis
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13:12
Webinaire IdéalCo : adoptez un outil collaboratif pour le suivi des cours d'eau
sur Makina CorpusAgent gémapien ou chargé d'activités de pleine nature, vous avez à cœur de connaître toujours mieux les cours d'eau de votre territoire et aimeriez suivre leur état idéalement en continu ?
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12:36
GeoCat: FOSS4G 2023
sur Planet OSGeoWow what an adventure, Jody Garnett here returning from visiting FOSS4G conference and the GeoCat offices.
FOSS4G for the PeopleThe Free and Open Source Software for Geospatial conference was very much a community affair this year. FOSS4G 2023 was a chance to meet and speak with peers from the GeoNetwork and GeoServer projects and connect with companies and the B2B activity.
Indeed GeoCat attended with a booth, and a few things to hand out, and conversation. Our booth was near the speakers, so we would sneak over and turn down the music so we could talk. And we talked a lot – so many nice people! With all the talking I do not beleive I opened my laptop to show off our products once the entire week.
It was a pleasure seeing Jeroen and Florent comfortable on the massive stage providing an 1:250k scale overview of GeoNetwork activities.
I had a good workshop on GeoServer with Ian Turton to start, and some entertaining presentations with Andrea over the course of the week. The GeoServer Feature Frenzy and GeoServer used in fun and interesting ways were real highlights with great audience response.
Photos by Jody Garnett and FOSS4G CC-by-A
Presentations:
- State of GeoNetwork
- GeoNetwork Orientation
- GeoServer Feature Frenzy 2023
- State of GeoServer 2.23
- GeoServer Orientation
- GeoServer used in fun and interesting ways
- Getting Started with GeoServer (Workshop)
This year I only had one outreach presentation, on the topic of OSGeo values, with Tom.
With the conference hosted by OSGeo and the FLOSSK regional open source group it appeared attendees were already comfortable with open source as a concept. However OSGeo values go a bit further than just a license – looking at a project’s sustainability and other risk factors also.
Presentation:
GeoCat BennekomIt is always a pleasure to visit the GeoCat office, and customers, in the Netherlands. Everyone was full of ideas and opportunities, and pushing hard on GeoCat Bridge for ArcGIS.
The office garden is amazing, exploring outside of the village showed a landscape surprisingly dry from a regional drought.
Coming soonThe next activity GeoCat is attending is the Bolsena Code Sprint. Please consider yourself invited!
There are number of regional foss4g events coming up and we look forward to more opportunities for advocacy and meeting new customers.
The post FOSS4G 2023 appeared first on GeoCat B.V..
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9:32
Maps with New Zealand
sur Google Maps ManiaNew Zealand is often omitted from maps of the world. A fact which has inspired the subreddit Maps Without New Zealand and the Tumblr page World Maps Without New Zealand, both of which collect examples of maps that don't include New Zealand. One reason that New Zealand is often omitted from world maps is that lots of them are centered on or near the Greenwich meridian, which means in most map
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9:19
Testez la démo de l'application cartographique Terravisu dédiée aux territoires
sur Makina CorpusComment utiliser l'application cartographique TerraVisu dédiée aux territoires ?
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7:57
gvSIG Team: Inventario turístico georreferenciado del Pla de Mallorca adaptado a la Normativa (UNE 178503)
sur Planet OSGeoComo parte de uno de los proyectos que estamos abordando con la Suite gvSIG, la IDE turística de la Mancomunidad del Pla de Mallorca, hemos realizado un inventario turístico en el que se ha partido de datos existentes y se ha realizado labor de toma de datos en campo (con gvSIG Mapps). La novedad de dicho inventario es que es pionero en la adopción de la Norma UNE 178503 para representar las distintas capas de datos georrefenciados.
La UNE 178503:2022 “Semántica aplicada a destinos turísticos inteligentes”, define una semántica base que permite representar la información relevante en la que se conforma el destino turístico (destino turístico, recursos turísticos dentro del destino, experiencias de viaje), asegurando la interoperabilidad de sus plataformas turísticas y de la ciudad y el territorio entre sí y con desarrollos de terceros.
Esta adopción de la Norma ha conllevado un trabajo previo de análisis de datos existentes y de la propia Norma permitiendo, entre otras cosas, identificar posibles términos que no están incluidos en la norma UNE 178503:2022 o campos que no aplican a las características de la Mancomunidad. De este modo se ha conseguido una adopción y adaptación a la realidad particular del destino del Pla de Mallorca que ha acabado reflejado en el modelo de datos de la Infraestructura de Datos Espaciales.
Por tanto, este proyecto ha conllevado llevar la interoperabilidad de datos geográficos turísticos un paso más allá, tanto en servicios de acceso (WMS, WMTS. WFS) como en semántica y modelo de datos.
En breve os contaremos más sobre el proyecto y compartiremos la IDE/Geoportal resultante, donde podréis consultar el inventario. Todo ello desarrollado con gvSIG Online para la publicación de datos, gvSIG Mapps para la toma de datos y gvSIG Desktop para el tratamiento de datos.
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2:00
SourcePole: FOSS4G 2023 Prizren
sur Planet OSGeoFOSS4G is the annual global event of free and open source geographic technologies and open geospatial data hosted by OSGeo. In 2023 it took place in Prizren, Kosovo.
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2:00
GeoServer Team: GeoServer at FOSS4G 2023
sur Planet OSGeoThe GeoServer team was pleased to attend FOSS4G 2023 last week (26 June - 2 July 2023) in Prizren, Kosovo!
FOSS4G 2023 was put on this year by the Open Source Geospatial Foundation (OSGeo) and the regional Free Libre Open Source Software Kosova (FLOSSK) organization. The local organizing committee worked very hard to make everyone feel welcome and well cared for. Thank you for hosting everyone, we had a great time.
GeoServer content:
- State of GeoServer 2.23
- GeoServer Feature Frenzy 2023
- GeoServer used in fun and interesting ways
- GeoServer Orientation
- Getting Started with GeoServer (Workshop)
GeoServer community content:
- FOSS4G 2023 (GeoCat Blog)
- GeoSolutions presence at FOSS4G 2023 in Prizren (Kosovo) (GeoSolutions Blog)
- Many additional presentations featured GeoServer and showcased its capabilities.
When videos are provided of the event we will update this post with links.
Prizren (Kosovo)We also had our first scheduled codesprint on refactoring org.opengis package. The foss4g sprint was a fact-finding mission to establish the scope of work and confirm time frame and budget.
- The activity was successful in that we were able to change from org.opengis to org.geotools.api and write a script to update GeoWebCache and GeoServer projects.
- GeoServer has some difficulties as gs-printing and gs-geofence-server include the work of external projects which will require assistance.
The work is scheduled for the Bolsena Codesprint 2023 ahead of the GeoServer 2.24.0 release cycle.
For more information see OpenGIS Harmonization at OSGeo. If you are in a position to provide sponsorship, or in-kind participation, this activity could use your support.
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21:15
La vie du littoral. Définir, protéger, aménager.
sur Les cafés géographiquesDe ce petit ouvrage publié récemment (1), on peut souligner l’actualité. Nombreux sont en effet les reportages et les actualités qui nous inquiètent sur le sort de notre littoral (il faudrait compléter le titre par « littoral de la France métropolitaine »). Villas en équilibre instable sur le bord d’une falaise, plages disparaissant à marée haute, appauvrissement de la biodiversité littorale… L’expression « vivre les pieds dans l’eau » ne fait plus la fortune des agents immobiliers. Les pouvoirs publics doivent faire face à une contradiction majeure : comment ramener le plus possible les espaces littoraux à l’état naturel à une époque où leur attractivité sur la population permanente et touristique n’a jamais été aussi forte.
Les deuxième et troisième parties (« protéger » et « aménager ») constituent un petit manuel de droit. Le rappel de chaque mesure restrictive ou incitative qui porte sur la bande côtière et les eaux territoriales, est appuyé sur un article de loi, un décret, une ordonnance, un arrêt du Conseil d’Etat (2). La première partie (« définir ») est essentiellement descriptive. Puisqu’il n’y a pas de définition juridique du littoral, pourquoi ne pas privilégier une approche sensorielle (bruit des vagues, odeurs des embruns, douceur du sable…) (3). L’auteur s’autorise alors un style imagé : « l’océan, ce vieux lunatique », « les goémons, rois du covoiturage », ce qui ne l’empêche pas de donner des définitions précises du milieu littoral terrestre (estran, laisse de mer, pré-salé…) et marin (avifaune, herbiers marins…).
C’est un arrêt du Conseil d’Etat du 12 août 1973 qui a créé la notion de domaine public maritime dont la délimitation, fixée par une mission d’experts, est évolutive. Les objectifs sont écologiques mais relèvent aussi du service public : assurer à tous un libre passage piétonnier le long de la côte (4). Les pouvoirs de police administrative s’exerçant sur le domaine public maritime et ses eaux surjacentes relèvent du maire, du préfet de département et du préfet maritime.
Depuis cette date la législation est abondante, surtout dans les dix dernières années. Nous retiendrons la loi Littoral de 1986 relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral, qui n’a permis que de freiner modestement l’urbanisation, la loi pour la reconquête de la biodiversité de 2016, la loi « Climat et résilience » de 2021 qui organise la lutte contre l’artificialisation des sols et la gestion du recul du trait de côte. Inconstructibilité de la bande littorale des 100m, interdiction des prélèvements (sable, galets…), création de zones naturelles protégées (357 en 2022), respect de la visibilité du paysage… Nombreux sont les domaines d’intervention.
La menace la plus urgente à moyen et même à court terme est sans doute le recul du trait de côte (correspondant à la laisse (5) des plus hautes mers) qu’accentue la puissance croissante des tempêtes. Actuellement, il touche 920km de côte (à une vitesse de 50 cm/an sur les côtes basses sablonneuses). L’érosion nationale fait l’objet d’une cartographie obligatoire. La stratégie de gestion du trait de côte comporte des variantes selon la situation du littoral. Là où l’habitat est dense et les enjeux économiques importants, la priorité est donnée à la défense contre la mer. Ailleurs on privilégie le retour à l’état naturel des espaces libérés en recourant à des aménagements anti-érosion (dunes, forêts…). Dans les zones menacées, l’autorité publique peut agir en utilisant une procédure d’expropriation ou son droit de préemption.
Actuellement toute intervention dans l’espace littoral est soumise à une législation abondante et complexe qui suscite parfois les réactions négatives des pouvoirs locaux attachés aux bénéfices amenés par une forte activité humaine. Mais la prise de conscience des nécessaires évolutions à engager semble l’emporter.
Notes
(1) Presses universitaires de Rennes, mars 2023.
(2) L’auteur est agrégé de droit, professeur émérite de l’université de Poitiers.
(3) L’auteur renvoie aux travaux d’Alain Corbin, historien des sensibilités.
(4) L’actuel Sentier du littoral s’étend sur 4577 km. Il manque encore 1200 km pour faire le tour complet du littoral métropolitain.
(5) Les laisses sont les lignes de marée haute et de marée basse, soit les limites entre lesquelles la marée oscille.
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10:00
Luxembourg à la loupe
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatiqueLa ville de Luxembourg s’est dotée d’une visionneuse 3D. Cet outil offre la possibilité d’explorer la commune de manière interactive, via le modèle urbain, mais surtout d’effectuer des analyses autour de la luminosité de la ville selon la lumière du jour, les zones de soleil et d’ombres. De la visualisation des ombres projetées, c’est-à-dire les zones qui restent dans l’ombre plus longtemps. Ou encore les lignes de visée, permettant d’observer la visibilité d’un point d’observation à un ou plusieurs points cibles. La plate-forme dispose d’un cadastre solaire au service des citoyens, avec une calculatrice de rentabilité. Ainsi qu’un cadastre des toitures vertes, afin de visualiser la surface des toitures adaptées ou non à cette démarche. Le calculateur de rendement permet d’obtenir des informations sur le potentiel de rétention des eaux pluviales, la fixation du CO2 et des particules fines, et même une recommandation de végétaux à installer selon la toiture.
+ d'infos :
maps.vdl.lu
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9:30
Contribution des données de surveillance maritime à la Planification de l’Espace Maritime français : entre potentiels techniques et contraintes politiques
sur CybergeoLa Planification de l’Espace Maritime (PEM), plébiscitée autour du globe comme un levier du développement durable en mer, s’illustre en pratique comme une nouvelle forme de négociation pour l’usage de l’espace maritime et de ses ressources. Pour alimenter et conforter la prise de décisions partagées, la PEM suscite un fort besoin d’information sur les dynamiques spatiotemporelles des activités maritimes existantes. Dans ce contexte, la surveillance maritime opérée en temps réel par l’État (défense, suivi des pêches) s’inscrit comme une source stratégique de données (AIS, VMS et radar) et d’informations au profit de la planification. Si l’exploitation de ces données fait l’objet d’un intérêt croissant de la part de la communauté scientifique, leur contribution effective à la planification en mer demeure marginale. Cet article en identifie les principales raisons à partir d’une enquête par entretiens semi-directifs réalisée auprès de 38 acteurs de la PEM française. Il met en lumière d...
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9:30
La dialectique entre activités informelles et action de l’État dans la construction territoriale des grands espaces : le cas de l’orpaillage dans l’intérieur de la Guyane française
sur CybergeoLes grands espaces, ou régions faiblement peuplées, se distinguent par une série de caractéristiques spécifiques et notamment par un contrôle incomplet de la part des États. Cela ouvre des brèches pour l’exercice de pratiques qui, si elles sont ou illégales ou à la limite de la légalité, apportent des ressources économiques, des connaissances sur les territoires concernés et participent finalement à la domination, voire à la conquête des zones concernées par les États. Bien qu’invisibles ou réprimées, ces activités informelles influencent donc, directement ou indirectement, la construction officielle, symbolique et matérielle du territoire. Cet article analyse la pratique de l’orpaillage en Guyane selon cette perspective. En analysant le jeu dialectique entre contrôle formel du territoire et exploitation informelle des ressources, il met en relief la contribution des activités informelles à l’exploration, à la formation des frontières et à la gouvernance de l’intérieur de ce territo...
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9:30
Alexandre Grondeau, Altermétropolisation : une autre vi(ll)e est possible, Aix-en-Provence, La Lune sur le toit, collection Hic et nunc, 2022, 337 p.
sur CybergeoLa photographie en couverture de l’ouvrage illustre ce qu’Alexandre Grondeau identifie comme une "schizophrénie urbaine" : la dissociation extrême entre deux espaces proches, un immeuble d’apparence luxueuse et des habitations faites de briques et de tôles. Cette opposition iconique entre un quartier aisé et une favela de São Paulo a été immortalisée par le photographe brésilien Tuca Vieira en 2007, comme symbole des inégalités extrêmes induites par la métropolisation contemporaine. Se posant comme "clinicien" de ces villes métropolisées, Alexandre Grondeau se propose alors d’en analyser les causes et symptômes, permettant d’envisager des remèdes à sa question centrale : comment faire advenir une autre ville ?
À la croisée entre l’ouvrage de synthèse et l’essai universitaire, ce livre interroge l’avenir des espaces urbains, partant de ce que l’innovation (tant technologique que sociale) fait (et peut faire) aux territoires. Actuellement maître de conférences habilité à diriger des re...
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9:30
Sergio J. Rey, Rachel S. Franklin (eds), 2022, Handbook of spatial analysis in the social sciences, Cheltenham, Northampton, Edward Elgar publishing, 568 p.
sur CybergeoQuel plaisir constitue la lecture de cet ouvrage pour tout amateur d’analyse spatiale quantitative. C’est l’acception disciplinaire (et non technique) de l’analyse spatiale qui est privilégiée ici, celle des théories, des concepts et des méthodes permettant de mieux comprendre les localisations d’objets et de processus sociaux. Si vous cherchez des algorithmes de géotraitements pour votre SIG, passez votre chemin. À la fois très complet, rigoureux, pédagogique, ce livre, édité par Sergio J. Rey (Professeur à l’Université de Californie et directeur du Center for geospatial sciences) et Rachel S. Franklin (Professeure de géographie à l’Université de Newcastle et éditrice-en-chef de la revue Geographical analysis), compile le travail de synthèse de 51 auteurs (dont Roger Bivand, Luc Anselin, Michael Goodchild, Alan T. Murray, Stewart Fotheringham, et d’autres grands noms de la géographie quantitative) à travers 33 chapitres. Si certains de ces chapitres présentent des concepts ou des m...