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10 June 2024
9:30
Les cartes de l’action publique. Pouvoirs, territoires, résistances
sur Mappemonde

Les cartes de l’action publique, ouvrage issu du colloque du même nom qui s’est déroulé en avril 2018 à Paris, se présente comme une recension de cas d’étude provenant de plusieurs disciplines des sciences sociales. Sociologues, politistes et géographes proposent au cours des 14 chapitres de l’ouvrage (scindé en quatre parties) une série d’analyses critiques de cartes dont il est résolument admis, notamment depuis J. B. Harley (1989), qu’elles ne sont pas neutres et dénuées d’intentionnalités. Cette position, assumée dès l’introduction, sert de postulat général pour une exploration de « l’usage politique des cartes, dans l’action publique et dans l’action collective » (p. 12).

Les auteurs de la première partie, intitulée « Représenter et instituer », approchent tout d’abord les cartes de l’action publique par leur capacité à instituer et à administrer des territoires.

Dans un premier chapitre, Antoine Courmont traite des systèmes d’information géographique (SIG) sous l’angle des scien...

7:50
The Lost Pathfinder Game
sur Google Maps Mania

The Lost Pathfinder is a new online game which requires players to connect a path from one side of map to the other.At the beginning of each round of The Lost Pathfinder you are presented with an isometric grid on which all the road tiles have been mixed up. All you have to do is to rearrange the road tiles in order to complete a path from one side of the map to the other. To help you restore

09 June 2024
15:22
Tourcoing autonome
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatique

Si de manière générale les SIG de gestion territoriale sont déployés à l’échelle de groupements intercommunaux et centralisés, certaines communes restent dotées de leurs propres outils. Tel est le cas de figure de la ville de Roubaix ou de sa voisine Tourcoing. Cette dernière possède un SIG autonome tout en restant en synergie avec les différentes structures territoriales. Il met à disposition des services internes un ensemble de données géographiques relatives à la ville. La « carte interactive pro » est aussi déclinée en version pour le grand public structurée par thématiques : Administration, Loisirs, Éducation, Environnement, Déplacements et Santé. Elle y référence le patrimoine, ainsi que les équipements, parcours ou structures. La ville accorde une attention particulière à la gestion de son patrimoine et sa cartographie en détail. Le volet propreté est aussi mis en avant, visant à perfectionner la gestion des déchets et des interventions de propreté par la contribution citoyenne.

+ d'infos :
tourcoing.fr

11:00
Mappery: Breweries of the World
sur Planet OSGeo

And to end the week nicely, refreshingly, I would say, here is our co-founder, who is back with some art in a bar. This is a version of Kenneth Field’s Breweries of the World.
MapsintheWild Breweries of the World

08 June 2024
18:51
Cartes sur le débarquement en Normandie (6 juin 1944)
sur Cartographies numériques

L'anniversaire du débarquement en Normandie donne lieu chaque année à une floraison de cartes sur le sujet. Le D-Day est désormais célébré comme un événement historique et patrimonial. L'Anniversaire des 80 ans du Débarquement en 2024 n'a pas dérogé à la règle. Sans prétention à l'exhaustivité, ce billet vient proposer une recension en distinguant les plans et documents cartographiques produits à l'époque et les reconstitutions historiques que l'on peut trouver aujourd'hui sous forme d'infographies ou de cartes animées. Nous y avons ajouté une rubrique concernant les problèmes posés par ces représentations cartographiques et la vigilance à avoir par rapport à des productions qui relèvent souvent plus du sensationnel et de la promotion touristique que de l'information historique et géographique.

I) Cartes et plans contemporains du débarquement
Le 6 juin 1944, 156 000 Américains, Britanniques, Canadiens et quelques troupes françaises libres commencent à attaquer les forces allemandes en Normandie (nom de code de l'opération amphibie : Neptune). Les troupes alliées arrivent sur les plages d'Utah, d'Omaha, de Gold, de Juno et de Sword. Les épais bunkers en béton du Mur de l'Atlantique sont quasiment imprenables. Quelques Allemands armés de mitrailleuses imposent un lourd tribut aux Américains. Il n'y a aucun endroit où se cacher. Les Britanniques, forts de leur expérience à Dieppe en 1942, sont mieux préparés et souffrent un peu moins. Evénement hautement symbolique, le débarquement de Normandie marque le début d'une vaste opération qui vise à créer une tête de pont alliée de grande échelle dans le Nord-Ouest de l'Europe, et à l'ouverture d'un nouveau front à l'ouest.
La Bibliothèque du Congrès fournit une collection de cartes de situation du 12e groupe d'armée. Cette série de cartes donne un aperçu quotidien des opérations de l'armée américaine depuis le débarquement allié en Normandie le 6 juin 1944 jusqu'en juillet 1945, reflétant les informations dont dispose le général Omar Bradley (Library of Congress). Ces cartes sont disponibles en animation sur le site du Chronoscope.

Our 12th Army Group Situation Map collection provides insight into WWII US Army operations from the June 6, 1944 Allied landings in Normandy through July 1945, reflecting the information available to Gen. Omar Bradley.

Explore the full collection here: [https:]] pic.twitter.com/XT7iGKpwZk
— LOCMaps (@LOCMaps) June 6, 2024

Le douzième groupe d’armées américain contrôlait la majorité des forces américaines sur le front occidental. Les cartes représentent les positions quotidiennes des troupes alliées et de l'Axe telles que comprises par l'état-major des opérations. Les cartes ont été dressées pendant le brouillard de la guerre et comportaient souvent des informations incomplètes et inexactes. Cependant, elles constituent une source d'informations inestimable sur les mouvements des troupes et un guide important sur la progression des troupes alliées à travers l'Europe occidentale après le jour J et jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Les bibliothèques de l'Université du Texas possèdent deux cartes secrètes US BIGOT montrant Omaha Beach Est et Ouest. BIGOT était un nom de code pour l'Opération Overlord et la liste BIGOT comprenait les noms de tout le personnel qui avait été autorisé à connaître les détails de l'Opération Overlord. Les informations fournies sur les cartes suggèrent qu'elles ont été réalisées pour aider les navires à débarquer sur Omaha Beach (des cartes ont également été créées pour Utah Beach). Les cartes fournissent des détails sur les profondeurs d'eau, les obstacles de la plage, les laisses de basse mer, les bancs de sable, etc. Elles fournissent également une image panoramique de la plage vue de la mer (Les cartes secrètes du Débarquement par Jules Grandin - Les Echos)
« 6 juin 1944, débarquement en Normandie : des photographies aériennes du Jour J » (Un regard sur la Terre). Il n'y avait pas encore de satellites d’observation en juin 1944. Mais un grand nombre de photographies aériennes ont été prises avant, pendant et après le jour J.
« Comment le guide Michelin 1939 en est venu à jouer un rôle crucial pour orienter les Alliés lors du D-Day » (Le Monde).
Ce bel hommage en forme de clin d’œil médivaliste à la broderie de Bayeux, a été publié à la Une du New Yorker le 15 juillet 1944 : « Mare navigavit D-day… »
Le 15 juin 1944, le New-Yorker consacre sa Une au Débarquement avec une illustration médiévaliste : une reprise et actualisation de la broderie (pas tapisserie) de Bayeux ! Petit thread pour décrypter chaque case... ?? ! #histoire #6juin2024 #DDay pic.twitter.com/8HiP5iqXLI
— Actuel Moyen Âge (@AgeMoyen) June 7, 2024
En 1946, le maréchal britannique Montgomery publia Normandy to the Baltic, un récit personnel de la campagne de libération de l'Europe, depuis le débarquement en Normandie le jour J jusqu'à la défaite finale de l'Allemagne. Le livre est un compte rendu détaillé des opérations, des batailles, de la logistique de la campagne visant à ouvrir un deuxième front à l'ouest. Ce qui rend ce livre assez original, ce sont les deux pochettes à l'avant et à l'arrière du livre qui contiennent un total de 47 cartes en couleur et 3 diagrammes. Les cartes détaillent la campagne depuis le jour J jusqu'à la fin de la guerre.

II) Cartes et infographies proposant des reconstitutions historiques
Légende Cartographie a produit une cartographie animée du débarquement en Normandie qui permet de reconstituer le mouvement des troupes. A découvrir également sous forme de carte statique ainsi qu'une infographie donnant la chronologie détaillée des événements.

6-7 Le débarquement du 6 juin 1944 - La bataille de Normandie pic.twitter.com/T5KsHq4HtF
— LegendesCartographie (@LegendesCarto) June 8, 2024

A l'occasion du 75e anniversaire, Visactu a produit une infographie assez efficace. Les drapeaux des pays engagés viennent souligner l'engagement des pays alliés face à l'Allemagne hitlérienne. La coordination des opérations est renforcée par les flèches jumelées que l'on retrouve sur de nombreuses cartes du débarquement.

Il y a 75 ans, le #débarquement en Normandie.

Notre carte du #JourJ est à découvrir sur le site du quotidien @lestrepublicain : [https:]] #DDay75thAnniversary #DDay pic.twitter.com/yyxCwqwxE7
— Visactu (@visactu) June 6, 2019

Série de cartes explicatives sur Dday.Overlord.com. Le site propose un grand nombre de cartes à différentes échelles permettant d'analyser le détail des opérations.
Sur le site Cartolycée, Jean Christophe Fichet fournit une carte de synthèse Le débarquement du 6 juin 1944 : Overlord, la reconquête. Le chapitre 3 du programme d'Histoire de Terminale générale fixe un point de passage et d’ouverture sur le débarquement du 6 juin 1944 en Normandie et l’opération Bagration en Europe de l'Est. La cartographie s’attache à l’opération Overlord menée par les Alliés sur le front ouest. Elle est complétée par un corpus documentaire qui permet de lier l’étude aux approches plus générales sur cette question telles que l’étendue du conflit ou l’extrême violence et les enjeux de la guerre.

Rappel cartolycée : le #débarquement du 6 juin 1944 en Normandie - Overlord la reconquête #DDay [https:]] pic.twitter.com/Cb3OWSMY2Q
— jc fichet (@cartolycee) June 5, 2024

Traditionnellement les cartes de manuels scolaires montrent les étapes des combats et la coordination des opérations entre Alliés (voir par exemple cette carte indiquant le positionnement des opérations Spring et Cobra dans la Bataille de Normandie). La tendance aujourd'hui est de replacer le débarquement dans le cadre plus large de la libération de l'Europe par les Alliés (voir par exemple la carte du débarquement proposée par le magazine L'Histoire).
Rhodes Cartography souligne le fait que les cartes de D-Day montrent soit la zone immédiate des débarquements, soit le schéma global de l'opération Overlord, rarement les deux ensemble. Il propose de donner une vue macro et micro en une seule image d'un voyage effectué par un groupe de navires.

80 years ago thousands of ships were approaching the French coast. This map shows the 70-hour transit of Convoy U2A(1): left Salcombe 6/3, recalled 6/4 after passing the halfway point, touched at Portland on 6/5, and arrived on H-Hour at Utah Beach 6/6. #DDay80 @USNavy pic.twitter.com/B4t2GIytXO
— Rhodes Cartography (@RhodesMaps) June 5, 2024

Timelapse montrant les 87 jours de combat après le débarquement (Reddit). L'animation montre que les Alliés ont mis beaucoup de temps à progresser au cours des mois de juin et juillet, avant d'arrriver à opérer une percée.

80 years ago today, more than 160,000 Allied troops embarked on a historic mission to liberate Europe from tyranny and oppression.

This excellent map shows 87 days of combat in Normandy.

US united marked in blue, Canadian in red, British in orange and Axis in black. pic.twitter.com/N6cqmdfNCp
— Xavi Ruiz (@xruiztru) June 6, 2024

L'événement donne lieu aujourd'hui à un important tourisme de mémoire en Normandie. C'est tout particulièrement perceptible au moment des cérémonies d'anniversaire, telle celle qui a eu lieu pour le 80e Anniversaire du Débarquement le 6 juin 2024 (voir la carte des événements). La région Normandie a publié à cette occasion une étude des usages et des retombées économiques de ce tourisme de mémoire.
L'IGN a édité une carte Normandie Jour J – 6 juin 1944 pour commémorer son 80ème anniversaire. Cette carte à l’échelle du 1:100 000 (1 cm = 1 km) présente les plages du débarquement, les positions des différents corps d’armée et l'évolution du front du 06 juin au 18 août 1944. Vous y trouverez également des informations sur les sites touristiques du conservatoire du littoral, sur les vestiges et cimetières militaires ainsi que les musées existants. Réalisée en partenariat avec le comité du 75ème anniversaire Bataille de Normandie-terre de liberté, cette carte propose une légende et des informations éditoriales en trois langues (français, anglais et allemand).

Carte historique Michelin n° 102, réimpression de l'édition de 1947. Cette carte éditée par le service du Tourisme Michelin au lendemain de la Seconde Guerre mondiale est l'une des premières à lancer le tourisme mémoriel lié au débarquement. Voir sa transcription en carte thématique.
« Carte. Voici l’histoire du Débarquement à travers dix sites emblématiques à visiter en Normandie » (Ouest France)
KilRoyTrip est une carte interactive des mémoriaux de la Seconde Guerre mondiale en Normandie. Il constitue « un guide pour ceux qui visitent la région et s'intéressent au débarquement et à la libération de la France ».
« A la veille des 80 ans du D-Day, le business mémoriel bat son plein en Normandie » (La Tribune). Profitant du 80ème anniversaire de l’opération Overlord du 6 juin 1944, les entreprises normandes ont joué à fond la carte du tourisme de mémoire. En ligne de mire, les millions de visiteurs attendus sur les plages du débarquement.
« 80e D-Day : près de chez vous, quelles rues portent un nom lié au Débarquement ? » (Ouest France)
« Les bunkers, un patrimoine archéologique à préserver » (France Culture). Sur plus de 4 400 kilomètres de côtes, le mur de l'Atlantique a constitué le réseau de défenses du IIIe Reich. Sur ces 8 000 fortifications, nombre d'entre elles ont d'ores et déjà disparu. Les archéologues s'appuient sur la carto-interprétation en se basant sur les photographies aériennes, surtout les couvertures IGN de 1947 par exemple, qui permettent de retrouver ces bunkers.

III) Problèmes posés et vigilance à avoir par rapport à ces représentations du débarquement
« 80 ans du D-Day : des livres, des films et des jeux vidéo pour se replonger dans le Débarquement » (France-Info)
« Comment "Le Jour le plus long" a façonné notre imaginaire du Débarquement... et ses clichés » (France Culture).
« D-Day : cette vidéo spectaculaire vous plonge dans des conditions immersives inédites » (TF1-Info). La vidéo propose de vivre le Débarquement dans des conditions immersives grâce à la technologie de la capture volumétrique. Ce type de reconstitution spectaculaire a tendance à privilégier le sensationnel.
« 80 ans du Débarquement : l’opération Fortitude", cette fake news sur le Pas-de-Calais qui a permis aux Alliés de tromper les nazis » (La Dépêche).
Le documentaire « Apocalypse. Les débarquements » (France 2), écrit et réalisé Isabelle Clarke et Daniel Costelle, retrace en deux épisodes les préparatifs de cette opération et le jour de cette offensive d'ampleur. Consacré aux débarquements en Normandie et en Provence, il retrace le terrible fiasco des répétitions du D-Day (France Info). Plus de 300 heures d’archives ont été nécessaires pour réaliser ces deux épisodes racontés par Mathieu Kassovitz.

Toujours le même problème avec ces documentaires. L'infographie et la cartographie sont traitées comme la 5e roue du carrosse. D'où à chaque fois des énormités cartographiques. #mapfail ?? [https:]] pic.twitter.com/zyv7QG3vtf
— ?????? Guillaume Balavoine ????? (@gbalavoine) June 5, 2024

« De de Gaulle à Macron, comment s’est construite la mémoire française du D-Day » (L'Opinion). Le jeune historien Benjamin Massieu décrit l'évolution des commémorations, qui changent dans les années 1980 avec la mise en avant du sauveur américain.
Jusque dans les années 1980, les commémorations du débarquement sont essentiellement militaires : les chefs d'État ne sont pas représentés. Le tournant est dû à François Mitterrand qui, en 1984, transforme la cérémonie militaire d'alors en cérémonie politique où sont invités les chefs d'État. L'historien Olivier Wieviorka note ainsi : « dorénavant, les commémorations ne sont plus axées sur l'idée de victoire, mais sur l'idée de paix, de réconciliation et de construction européenne ». En 1945, un sondage Ifop demandait aux Français : « Quelle est la nation qui a le plus contribué à la défaite de l’Allemagne nazie ? » Réponse : URSS à 57 % et États-Unis à 20 %. En 2004, les chiffres s’étaient inversés32. Entre les deux, il y a eu la chute du bloc soviétique et le fantastique succès des films hollywoodiens, qui, du Jour le plus long (1962) à Il faut sauver le soldat Ryan (1998), ont redessiné le souvenir des derniers mois de la guerre ».
« 80 ans de la Libération : enseigner des faits, transmettre des récits » (France Culture). Comment s'emparer des commémorations du Débarquement et de la Libération de façon éclairante et pédagogique, et donner des clés pour comprendre cette période dans toute sa complexité ?

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Cartes et atlas historiques

11:00
Mappery: « C215 autour de l’Inguimbertine »
sur Planet OSGeo

From the 8th of June to the 31st of October 2024, a temporary exhibition at the Inguimbertine, Carpentras (FR) Chrisitan Guémy, alias C215, exhibits these works, including the maps.

Chrisitan Guémy’s website (link to the English version).

About the exhibit, follow this other link (FR)
MapsintheWild « C215 autour de l’Inguimbertine »

10:09
TimeMap, un moteur de recherche pour trouver des cartes historiques par zones géographiques
sur Cartographies numériques

TimeMap est un site web créé par Old Maps Online, Map Tiler et le David Rumsey Map Center pour explorer des cartes historiques. Le corpus disponible comprend 500 000 documents, ce qui en fait un moteur puissant pour trouver des cartes anciennes. La sélection des cartes se fait par période (à travers la barre chronologique) et par zoom géographique (directement sur la carte). Le site existait depuis plusieurs années mais il s'est considérablement enrichi en 2024 avec l'ajout de nouvelles cartes de la collection David Rumsey.
Interface du moteur de recherche visuel TimeMap.org
L'application utilise largement Wikipédia pour fournir un contexte aux cartes historiques. On peut effectuer des recherches par noms de régions, par personnages, dirigeants ou batailles. Le principal intérêt du site est de permettre de chercher des cartes par zones géographiques que l'on peut ensuite comparer ou annoter (en mode édition). Pour bénéficier des avantages de la recherche avancée ou se constituer une collection de cartes en favoris, il faut créer un compte (gratuit).

Plus qu'un atlas historique, TimeMap.org est un moteur de recherche visuel de cartes anciennes. La cartographie qui sert d'outil de navigation y est d'ailleurs assez sommaire. Les territoires ne correspondent pas toujours aux délimitations historiques qui ont souvent beaucoup changé au cours du temps.
Il convient de ne pas confondre avec le site Timemaps.com qui repose sur un abonnement payant. Il ne s'agit pas non plus des Timeline-maps proposées par le site David Rumsey qui sont des cartes originales pour représenter des chronologies historiques.
Le composant TimeMap d'OldMapsOnline permet aux utilisateurs de mieux comprendre le contexte historique d'une carte en fournissant des informations cliquables sur les personnes et les événements qui y sont associés. A noter qu'il existe d'autres outils pour partager ou annoter des cartes en ligne.

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Cartes et atlas historiques

9:59
The Vespa Map of Rome
sur Google Maps Mania

This is yet another map I discovered via the ever fascinating Web Curios, which is a weekly roundup of interesting things found online (very often with an AI bent). This week Web Curios reviewed Dolce Activation, 'a very content-lite website' but one in which you get to drive 'A TINY VESPA AROUND ROME!!!'In truth Dolce Activation is little more than a marketing campaign for Dolce and Gabbana

9:07
Cartes et simulateur de votes de l'Observatoire électoral du Grand Continent
sur Cartographies numériques

L’Observatoire électoral du Grand Continent est un nouveau projet structurant du Groupe d’études géopolitiques — le centre de recherche stratégique domicilié à l’École normale supérieure qui édite le Grand Continent — et de sa revue scientifique, BLUE (Bulletin des élections de l’Union européenne) qui documente depuis 2021 l’ensemble des élections dans l’Union européenne. L'objectif est d'explorer en profondeur et d’une manière interdisciplinaire, multiscalaire et plurilingue les transformations de la démocratie européenne, en étudiant une tendance tectonique – l’européanisation de la politique.
Page d'accueil de l'Observatoire électoral du Grand Continent

Avec plus de 2,3 millions de data points et plus de 750 graphiques, cartes et tableaux, l’Observatoire électoral du Grand Continent propose la première plateforme mise à jour quotidiennement agrégeant l’ensemble des sondages pertinents au niveau national, analysant et représentant les résultats électoraux de l’échelle municipale à celle continentale, publiant des analyses fouillées, des entretiens doctrines et de la cartographie dans un même espace.
Afin de couvrir l’élection européenne du 6-9 juin 2024, l’Observatoire publie un générateur automatique de coalitions basé sur des projections de la composition du prochain Parlement européen.

Par ailleurs, l'Observatoire propose une carte des résultats des élections européennes à l’échelle locale, régionale et nationale à partir des données officielles publiées par les offices statistiques des 27 États membres. L'intérêt est de pouvoir comparer les résulats sur deux élections (2019 et 2024) et selon différents niveaux d'analyse (NUTS 1 - 2 et 3).
Les résultats des élections européennes à différentes échelles (source : Observatoire électoral du Grand Continent)

Un article qui relie la montée de l'euroscepticisme dans l’UE aux problèmes de développement régional. Avec des cartes et graphiques utiles sur la question
"The Geography of EU Discontent and the Regional Development Trap" (Economic Geography) [https:]] pic.twitter.com/lsTs4mEcw3
— Sylvain Genevois (@mirbole01) June 4, 2024
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La carte, objet éminemment politique : exemple des élections européennes
Les Européens se sentent-ils plus attachés à l'Union européenne, à leur pays ou à leur région ?

Baisse de la part des jeunes dans la population de l’Union européenne d’ici 2050

Simulateur de vote et résultats aux élections présidentielles aux États-Unis
Dis-moi où tu vis, je te dirai ce que tu votes ? (Géographie à la carte, France Culture)

07 June 2024
15:00
Standards Enabling Collaboration For Global Challenges
sur Open Geospatial Consortium (OGC)

The Open Geospatial Consortium (OGC) is a membership organization dedicated to solving problems faced by people and planet through our shared belief in the power of geography. OGC is one of the world’s largest data and technology consortia and—at 30 years old—one of its longest standing. OGC works with new and established partners and stakeholders to develop and apply accelerated, practical, and implementable solutions to today’s biggest issues, from climate resilience, emergency management, and risk management & insurance, to supply chain logistics, transportation, and health care and beyond.

OGC holds regular member meetings across the globe where geospatial professionals convene to develop standards and advance innovation initiatives led by OGC Members. Most sessions are open to the public and offer valuable opportunities to network with leaders from industry, academia, and government, define future technology trends, and contribute to the open geospatial community.

OGC’s 129th Member Meeting will be held in Montreal, Canada, from June 17–22, 2024. The event kicks off OGC’s 30th anniversary celebrations and carries the theme ‘Standards Enabling Collaboration for Global Challenges.’ Support for the meeting comes from OGC Strategic Member Natural Resources Canada, with additional support from Esri Canada, CAE, Safe Software, and dinner sponsor Bentley Systems.

Eric Loubier, Director General of the Canada Centre for Mapping and Earth Observation at Natural Resources Canada (NRCan) will open the week with a keynote, followed by a 30-year Canadian retrospective by OGC Board Chair Prashant J. Shukle.

“The 129th Member Meeting provides a great opportunity to hear from our incredible Canadian partners and community,” said OGC CEO Peter Rabley. “Some of OGC’s earliest—if not our first—and longest-running supporters have been Canadians and Canadian firms. Our keynote from Eric Loubier and the exciting 30-year Canadian retrospective by Prashant Shukle will serve well to kick off the week’s exciting sessions and discussions.”

“Throughout the 30 years of OGC’s history, Canadians have played a foundational role,” said OGC Board Chair Prashant J. Shukle. “My friend and mentor Dr. Bob Moses, who founded PCI Geomatics, was one of OGC’s first funders and a long-time supporter of OGC. As an emergency room doctor, Bob saw the power of new technologies and data. Critically, he understood that technologies had to work together seamlessly and effectively to really address complex problems.

“Like Bob, many other Canadians instantly saw the powerful role and impact that OGC could have, and I am constantly amazed at their leadership and vision. It is my privilege to honor those Canadians who have gone almost unnoticed here in Canada, but who have fundamentally changed how the world uses technology across so many industries.”

Other highlights of the week will include a Methane Summit, a meeting of the OGC Canada Forum, the popular Future Directions session (this meeting’s topic is AI), as well an abundance of working group sessions on diverse topics such as marine, climate & disaster resilience, and beyond.

The Methane Summit is organized by Steve Liang, Professor and Rogers IoT Research Chair at the University of Calgary and Founder and CTO of OGC Member SensorUp. Steve is spearheading this summit to tackle the critical global challenge of monitoring and tracking methane emissions. The event will feature speakers from McGill University and Environment and Climate Change Canada (ECCC), who will discuss the challenges and opportunities of data management in methane emissions management. Attendees will also be introduced to the Methane Emissions Modeling Language (MethaneML)—a new tool designed to enhance the accuracy and efficiency of methane emissions tracking & reduction. This summit promises to be a significant step forward in our collective efforts to address climate change through innovative data solutions.

The meeting of the OGC Canada Forum is scheduled for June 17 & 18. The Canada Forum is open to all Canadian organizations, regardless of OGC membership status. The sessions have the aim of facilitating collaboration to address Canada’s geospatial needs through capacity building, innovation, standards, and economic growth. Cameron Wilson, Project Manager at Natural Resources Canada (NRCan), will delve into the history, progress, and future priorities of the forum, highlighting key issues crucial for the Canadian community.

Another highlight of the Forum will be a debate addressing the topic: In an era of ever-increasing data availability, there is a pressing need for digital interoperability to solve today’s biggest problems through rapid innovation. Standards only slow this down and are therefore no longer necessary. Debaters include Ed Parsons, Geospatial Technologist at Google, the aforementioned Steve Liang, Will Cadell, CEO of Sparkgeo, and Bilyana Anicic, President of Aurora Consulting. This session promises to offer diverse perspectives on the role that standards can, should, or won’t play in today’s rapidly evolving geospatial landscape.

This meeting’s Future Directions session, held Tuesday morning, is all about AI, with presentations and a panel from Bentley Systems, GeoRoundtable/IEEE GRSS, makepath, and TerraFrame.

Participation in the 129th OGC Member Meeting is welcomed both in-person and remotely. This event is an exciting opportunity to engage in sessions that celebrate three decades of geospatial collaboration and innovation. Attendees will have the chance to learn from, and network with, leading experts from around the world.

Register now for the 129th OGC Member Meeting to be part of OGC’s continued efforts to advance location data and technology and collaboratively address critical global challenges.

The post Standards Enabling Collaboration For Global Challenges appeared first on Open Geospatial Consortium.

11:34
Suivre les évolutions du Calcite Design System...
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier

En janvier 2023, j'annonçais sur ce blog la mise à disposition du Calcite Design System, un ensemble de ressources utilisées en interne par les équipes Esri pour créer des interfaces utilisateurs cohérentes à travers les différentes applications web ArcGIS. Cet ensemble de composants et de librairies continue d'évoluer pour vous permettre de développer des applications toujours plus intuitives pour vos utilisateurs et cohérentes avec les autres applications web ArcGIS qu'ils ont l'habitude d'utiliser.

Pour suivre les évolutions de ce framework, ma collègue Pauline Louis propose régulièrement des articles sur le blog CodeTheMap que je vous recommande de consulter si vous utilisez (ou si vous projetez de le faire) ces composants d'interfaces réutilisables.

11:21
ARC/INFO Manuals
sur James Fee GIS Blog

If there is one regret in my life, it is that I didn’t steal the ARC/INFO manual binders from one of the jobs I used to use ARC/INFO. I’ve had an eBay search going for years in hope that someone will give them up. I suspect every binder set that still exists will never be given up. It’s like owning a Picasso, you’d never sell it and ask your relatives to bury you with it.

11:00
Mappery: Globe clock
sur Planet OSGeo

Displayed at the Victoria and Albert Museum aka the V&A
MapsintheWild Globe clock

10:09
Séminaire, juin 2024
sur Neogeo Technologies
Le séminaire annuel de Neogeo réalisé cette année dans les locaux de GEOFIT à Nantes s’est achevé avec succès.

Ces quelques jours ont été remplis de moments partagés donnant lieu à des discussions passionnantes, d’ateliers interactifs et d’échanges inspirants.

Nous tenons à remercier chaleureusement tous les participants pour leur présence et leur engagement le tout dans la bonne humeur. Un immense merci également à nos intervenants (TEICEE) pour leurs présentations éclairantes et leur expertise.

Ce séminaire a été une formidable opportunité pour renforcer le lien entre les équipes, nos connaissances, élargir nos horizons et créer de nouvelles connexions professionnelles.

Nous sommes impatients de mettre en pratique les idées et les stratégies discutées.

Publié le 07/06/2024
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Séminaire annuel NEOGEO c’est parti…

Rien de mieux qu’une formation DevOps pour mettre les équipes autour d’une table et discuter de l’amélioration continue de nos processus de développement

C’est aussi l’occasion de découvrir les salles de réunion du nouveau siège du groupe GEOFIT à Nantes.

Publié le 05/06/2024
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8:16
Retour sur le Techday 2024
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatique

Le Techday Romandie a rassemblé une centaine d’utilisateurs romands d’Esri Suisse le 21 mai à l’Hôtel Mirabeau de Lausanne. Au programme, des retours sur l’utilisation et la puissance d’ArcGIS dans le domaine de la construction, pour l’Architecture, Engineering et Construction. L’intégration BIM et du SIG « indoor » a été abordé, notamment à travers la gestion des assets. Un point a été fait autour de Survey 123 et de ses configurations avancées comme l’Intelligence Artificielle et le multilinguisme, important en Suisse. Il a été suivi par les bonnes pratiques pour l’administration du système ArcGIS, par l’usage d’ArcGIS pour les citoyens, ArcGIS Hub et la communication au grand public. Les interventions se sont clôturées sur les nouveaux concepts dans ArcGIS avec la collaboration, l’IA et les nouveautés ArcGIS Pro. Pour la première fois, les partenaires d’Esri Suisse bénéficiaient d’une mise en avant dans un espace dédié.

+ d'infos :
esri.ch">[https:]

7:51
Every Ship Sunk in WWII
sur Google Maps Mania

Over the course of the Second World War more than 20,000 ships were sunk around the world. Esri's Paul Heersink has spent the last ten years scouring historical records to create and map the 'most comprehensive dataset' of ships sunk in WWII.Resurfacing the Past is a fascinating story map which not only visualizes where Allied and Axis ships were lost in WWII, it also explores the WWII sunken

7:34
QGIS Blog: Danish User Group becomes Flagship Member
sur Planet OSGeo

QGIS User Groups all over the world have become an essential component of the QGIS community. They provide a point of contact for local users and developers and help people connect through localized communication channels or by organizing events.

Another important aspect of users groups is that many of them also have become sustaining members of QGIS.ORG. In total, their contributions account for a significant share of our project budget.

The Danish User Group now has opened a new chapter by becoming the first user group supporting QGIS on the Flagship level. And that’s a reason to celebrate and to reminisce. For example, about the awesome time we had at the first QGIS User Conference organized at the University of Copenhagen campus in Nødebo.

And who can forget how we all struggled to pronounce QGIS 2.16 “Nødebo”?

And how the “ø” upset some services? Good times.

Thank you very much to everyone from the Danish user group and to all the other user groups, small and large, who support QGIS our project and help make it even better for everyone.

06 June 2024
19:00
Retour sur le colloque "souveraineté et données géolocalisées : le temps de l'action" du 4 juin dernier !
sur Conseil national de l'information géolocalisée

Retour sur le colloque "souveraineté et données géolocalisées : le temps de l'action" du 4 juin dernier !
19:00
Retour sur le colloque "souveraineté et données géolocalisées : le temps de l'action" du 4 juin 2024 !
sur Conseil national de l'information géolocalisée

Retour sur le colloque "souveraineté et données géolocalisées : le temps de l'action" du 4 juin 2024 !

18:17
Impact of Microsoft SQL Server 2008 on Geospatial Innovation
sur James Fee GIS Blog

We were talking (or typing) on Slack last week and I was asked what I thought was the single greatest software innovation while I’ve been working. A ton of things came to mind from from Apple’s HyperCard (more than anything this made me a programmer) and I even wrote a post about it back in 2006. I don’t think anything on that list is technically incorrect, but I wouldn’t put ArcView 3.x in that list anymore.

BUT, let’s get real here. Each of those software products are amazing in their own right, but I don’t think any of them really moved the needle on spatial like the one I really think impacted the trajectory of what we used to call GIS.

Microsoft SQL Server 2008

Now I know what you’re going to say, why isn’t it PostGIS??? Now PostGIS has been clearly the leader since SQL Server 2008 arrived, but I believe it was SQL Server which changed expectations on paying for a geospatial database (Oracle, SDE or others). I mean I used to have Esri SDE on Oracle, I can’t even remember how expensive that was and how buggy it all was. Microsoft even put spatial into their free version.

I can’t recall the last time I used stand alone SQL Server, mostly my days are PostGIS or some cloud based spatial geodatabase engine. But, the line before SQL Server 2008 and after is clear as day. All of a sudden enterprise grade geodatabase when from niche to normal and spatial ceased to be special. Using Oracle Spatial or Esri ArcSDE always ended with me tossing the server in the trash.

17:24
Mapgears: Mapgears wins the regional MercadOr award in the category ‘Sustained Growth in Exportation’
sur Planet OSGeo

On June 5th, SERDEX International awarded prizes to four companies that stood out in the region. Mapgears was one of the winning companies in the “Sustained Growth in Exportation” category. As mentioned by Daniel Morissette, President of Mapgears:
This award is a recognition for the entire Mapgears team: we sell software, and our raw materials to make it are the brains, skills, and creativity of the team members… without all the team members, none of this would have been possible.

Photo Credit: Journal Le Quotidien

To learn more about this wonderful evening and the incredible companies that were honored, we invite you to read the article in Le Quotidien newspaper right here! (French only)

The post Mapgears wins the regional MercadOr award in the category ‘Sustained Growth in Exportation’ appeared first on Mapgears.
17:14
Tim Waters: Vaisigano
sur Planet OSGeo
Vaisigano is a prototype citizen science project focused on fresh water resources by National University of Samoa and The Übersee Museum. On Instagram @s_vaisigano and on Facebook Citizen Science Vaisigano. Vaisigano is the name of the river in Samoa by the University.

Last year I was involved to help develop the prototype mobile-first web app for geolocated data collection ahead of a visit to the field with biologists and students.

Aimed at non specialist university students to use in the field to help survey and record measurements and observations for river quality health along a river in Samoa. The purpose of this first app is to show possibilities and demonstration for future solutions. River and water quality measurements can involve surveys for invertebrates (aquatic insects), pH of the water, turbidity, velocity, temperature etc. Traditionally such surveys were taken, recorded on paper and input later back in the laboratory. A mobile device out in the field can also have documents, multimedia and tutorials to guide users. The project involved research into Citizen Science projects. Many good platforms exist, for example ODK or Kobo which can have very complex and detailed logic for forms but it was decided that a more user friendly and casual approach would be better.

The front page gives a brief outline, a call to action button “Start Collecting”, two summary tables of the latest observations and the latest active users.

The main aims:
- Sustainable – able to run on its own
- Collect data in a continuous manner
- Accessible and easy to use
- Handheld
- Benefit learning for curriculum
- Incorporate reinforcement rewards, feedback
- Surveys should be georeferenced
- Review of previous surveys
Some of the challenges included GPS variability in forest, using mobile devices and water, and bandwidth requirements in the field.

The app showed tips before starting.

The application was designed around 3 types of data forms. physical, biological and chemical

Each form had a time and location which used browser / GPS geolocation. Users could move the location if they wanted.

Physical
- River width
- River depth
- Has it been raining or not?
- What evidence of water user can you see (fishing, boats, use for homes, irrigation, etc)
- What man made structures can you see (e.g. weirds, dams, wells, bypass channels etc
- On the surface. Can you see foam, litter, oil on the surface?
- What land use is around the site (pasture, town, forest etc)
- Flow regime. (pools, ripples, waterfalls, rapids, cascade etc)
- What is the colour of the water (clear, murky etc)
- Estimate the water flow (still, slower, or faster than walking speed etc)
- Turblence of water (calm, turbulent)
- Images looking down stream showing both banks
Chemical
These needed a kit to help complete
- Water temperature
- Water acidity
- Conductivity
- Nitrates
- Phosphates
Biological
- Description of the river bank and vegetation and what % of the river is shade
- What evidence of aquatic life: plants below surface, emerging, floating. Fish, insects etc
- Substrates – boulders, stones, gravel, sand, organic matter etc
- Macroinvertables
  - From kick sampling
  - These allowed users to add a name with a count and attach images.
  - Some species would be pre-populatated in the boxes.
The site has an admin page which allows editing and reviewing of contributions and allows them to download all the data as a spreadsheet and to download the images zipped up.

The site has a simple scoring for users based on number of contributions, and shows feedback of their contributions so that people can see the reports coming in and the nature of them

Vaisigano.org

code on github

15:00
Maintenance du 18 juin de 2h
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGN

Maintenance du 18 juin 2024 de 2h

13:12
GRASS GIS: Results of the GRASS GIS student grant
sur Planet OSGeo

Easy command history navigation through the History browser panel Linda’s work in her own words During my master’s studies, I began contributing to the enhancement of the GRASS GIS user interface (GUI). My main goal was to increase its user-friendliness, making GRASS accessible not only to experienced users with scripting knowledge but also to GIS beginners. Over the years, I have worked on several projects, including: “Creation of a new GRASS GIS startup mechanism”, “First steps towards a new GRASS GIS Single-Window GUI “, “Redesigning a map display status bar combo box into a new settings dialog “, “Improving Single-Window GUI user experience”.
11:00
Mappery: D-Day Landings
sur Planet OSGeo

Elizabeth spotted this advert for a special commemorative coin for the D-Day landings which took place on June 6th, 1944. The coin has a map illustrating the five landing sites – Utah, Omaha, Gold, Juno and Sword
MapsintheWild D-Day Landings

8:44
The Sound of the City
sur Google Maps Mania

Every city in the world has a unique sound. On Sonicity that unique sound is generated by each city's map. Select a city on Sonicity (currently limited to 10 global cities) and you can listen to its map being played by various instruments. To be honest I have no idea what is going on here. The only info that Sonicity provides is that 'Each city has its own unique geographical data. These

8:28
OPENGIS.ch: QField receives prestigious recognition as a digital public good from the Digital Public Goods Alliance
sur Planet OSGeo
We are thrilled to announce that the Best of Swiss Apps Enterprise winner 2022, QField, has been officially recognized as a Digital Public Good by the UN-endorsed Digital Public Goods Alliance. This prestigious recognition highlights QField’s significant contributions to six key Sustainable Development Goals (SDGs): SDG 6 (Clean Water and Sanitation), SDG 9 (Industry, Innovation, and Infrastructure), SDG 11 (Sustainable Cities and Communities), SDG 13 (Climate Action), SDG 15 (Life on Land), and SDG 16 (Peace, Justice, and Strong Institutions). The “Swiss Made Software” QField is the leading fieldwork application with almost 1 Million downloads worldwide.
Leading the Way in Fieldwork Technology
QField stands out as the leading fieldwork app, designed to bring the power of geospatial data collection and management to the fingertips of users worldwide. Developed with a user-centric approach, QField allows seamless integration with QGIS, providing a robust and intuitive platform for data collection, visualization, and analysis directly in the field. This recognition as a Digital Public Good underscores QField’s vital role in advancing digital solutions for sustainable development.
QField 3.2 Statistics Accessible for Everyone
One of QField’s key strengths is its ease of use, making it accessible not only to professionals but also to students, researchers, and community members. Its intuitive interface ensures that users with varying levels of technical expertise can efficiently collect and manage geospatial data. This inclusivity promotes wider adoption and engagement, enhancing the app’s impact across different sectors and communities.
Land surveying project Tonga Exemplary Open Source Project
At the heart of QField’s success is its commitment to technological excellence and open-source principles. As an exemplary open-source project, QField fosters a collaborative environment where developers and users alike contribute to continuous improvement and innovation. QField frequently contributes back to its upstream project, QGIS, ensuring mutual growth and enhancement of both platforms. This community-driven approach not only enhances the app’s functionality but also ensures that it remains accessible and adaptable to diverse needs across the globe.
Supporting Sustainable Development Goals
QField’s capabilities extend beyond just one aspect of the United Nations Sustainable Development Goals (SDGs); they intersect with multiple goals, enhancing efforts towards a sustainable future:
- SDG 6: Clean Water and Sanitation: QField facilitates efficient water quality monitoring and management, ensuring communities have access to clean and safe water.
- SDG 9: Industry, Innovation, and Infrastructure: By providing cutting-edge tools for infrastructure planning and development, QField drives innovation in various industries.
- SDG 11: Sustainable Cities and Communities: QField supports urban planning and sustainable development, contributing to the creation of resilient and inclusive cities.
- SDG 13: Climate Action: The app enables precise data collection for climate research and environmental monitoring, aiding in climate action initiatives.
- SDG 15: Life on Land: QField aids in biodiversity assessments and conservation efforts, promoting the sustainable use of terrestrial ecosystems.
- SDG 16: Peace, Justice, and Strong Institutions: Through its reliable and transparent data management capabilities, QField supports the development of strong institutions and governance systems.
Post-disaster assessment Tonga A Future of Innovation and Sustainability
As we celebrate this recognition, we remain committed to pushing the boundaries of what is possible in fieldwork technology. QField will continue to evolve, driven by the needs of its global user base and the imperative to support sustainable development. We invite all stakeholders to join us on this journey towards a more sustainable and equitable future.
Land surveying project Tonga
For more information about QField and its contributions to the SDGs, please visit [https:]]
Media Contact:
Marco Bernasocchi is happy to receive interview requests or queries about the project.
Email: marco@opengis.ch
Phone: +41 79 467 24 70 (14:00 – 18:00 CET)

OPENGIS.ch GmbH
Via Geinas 2
CH-7031 Laax
About the OPENGIS.ch product “QField” application
QField is an open-source fieldwork app that integrates seamlessly with #QGIS, providing a powerful platform for data collection, visualization, and analysis. Designed for professionals across various sectors, QField empowers users to efficiently manage and analyze geospatial data in the field, contributing to sustainable development and innovation worldwide. Link: https://qfield.org
About the OPENGIS.ch service QFieldCloud
#QFieldCloud is a spatial cloud service integrated in #QField that allows remote provisioning and synchronisation of geodata and projects. Although “QFieldCloud” is still in an advanced beta stage, it is already being used by many groups to significantly improve their workflows. Link: https://qfield.cloud
About OPENGIS.ch:
OPENGIS.ch GmbH is a Swiss software development company based in Laax. OPENGIS.ch employs 19 people and works mainly in the field of spatial software development, geodata infrastructure deployments and professional support. Personalised open-source GIS solutions are often planned and developed as desktop or mobile applications. OPENGIS.ch finances itself through tailor-made customer solutions, professional support and adaptations. Link: https://opengis.ch
OPENGIS.ch About Digital Public Goods Alliance (DPGA)
The Digital Public Goods Alliance is a multi-stakeholder initiative endorsed by the United Nations Secretary-General, working to accelerate the attainment of the Sustainable Development Goals in low- and middle-income countries by facilitating the discovery, development, use of, and investment in digital public goods.

For more information on the Digital Public Goods Alliance please reach out to hello@digitalpublicgoods.net.

Images for editorial purposes are freely available for download if the copyright ©OPENGIS.ch is mentioned: [https:]]

7:47

Nouveautés autour des Géodatabases dans ArcGIS Pro 3.3

sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier

05 June 2024
22:17
19 Years and 2,362 Posts
sur James Fee GIS Blog

I mean we’ve been saying it since Elon had bought Twitter, but the deed is done.

The social network formerly known as Twitter has officially adopted X.com for all its core systems. That means typing twitter.com in your browser will now redirect to Elon Musk’s favored domain

I was talking to a good friend over email last month and he had this to say:

The fun days of early twitter and before that blogging certainly made our industry more fun — thanks so much for your key role in that. Sadly those days seem to be gone and I don’t know where to find the modern equivalents.

He is so right, I’m not sure how important my role was in the whole Twitter Geospatial world was, but that grouping we had back then was some of the best sharing of ideas and opinions I’ve ever been part of. I find myself rarely sharing anything spatial on Twitter anymore, mostly it is where I go to complain about the San Francisco Giants, Los Angeles Lakers or Arizona State Sun Devils. And most of that is just shouting into the abyss. This leaves no space for any outlet of my thought and feelings on spatial and the such.

Hence I’m back to blogging, I feel like this has always been the best format for longer form thoughts and given I control the content vs some insane emerald mine heir this is better for my sanity. I am laughing at some of your still using RSS readers (heck I’m one) and having this post show up in your feed after many years. Thanks for never unsubscribing and stay tuned!

21:04
Géopolitique des céréales
sur Les cafés géographiques

Géopolitique des céréales, sous la direction de Sébastien ABIS,
Editions EYROLLES, 2024

Cet album, de taille modeste mais au contenu très dense, traite de ce qui constitue la moitié des calories consommées sur la planète, les céréales, cultivées, transformées, transportées, utilisées à des fins politiques. Sur les 40 fiches proposées, 20 sont consacrées au blé, à deux échelles, mondiale et française, 20 traitent des autres céréales et des produits alimentaires les plus populaires conçus à partir des céréales. Chaque thème est abordé par un texte de deux courtes pages, un « focus » qui en développe un aspect majeur ou peu connu et une illustration (carte, graphique ou schéma).

Les médias généralistes suscitent régulièrement les inquiétudes de leurs lecteurs en annonçant les pénuries futures de matières premières et de ressources énergétiques mais peu évoquent des pénuries possibles, voire probables, de produits alimentaires. Sur les 700 millions d’hectares cultivés dans le monde (à peu près la surface de l’Australie), la moitié est consacrée aux céréales. Or celles-ci constituent la moitié des calories consommées par la population mondiale. Trois fiches font de la « géopolitique-fiction » (2040, 2050, 2060). Elles présentent plutôt des scénarios catastrophes. Est-ce pour nous alerter ? En 2040 il faudra nourrir 9 milliards d’hommes alors que les incidents climatiques seront de plus en plus fréquents et que les superficies emblavées seront réduites par l’artificialisation des sols et le souci de conserver la biodiversité. A ces inquiétudes il faut ajouter la volonté de puissance de certains Etats qui peuvent utiliser l’« arme du blé ». La sécurité alimentaire se pose dans des termes difficiles.

Même si le blé n’a plus que le deuxième rang (après le maïs) dans la production céréalière, sa consommation est vitale pour une population mondiale dont l’urbanisation a changé les habitudes alimentaires. Partout sur la planète, on consomme du blé sous des formes différentes. Or si la Chine et l’Inde sont les premiers producteurs mondiaux, la Russie, troisième producteur, est, depuis cinq ans, le premier exportateur mondial (25% à 30%) et le changement climatique devrait lui permettre d’étendre largement ses terres cultivables (à contrario, les sécheresses vont affecter lourdement les « terres à blé » aux Etats-Unis, en Europe, en Australie…). Même si l’Union européenne reste le deuxième exportateur mondial – mais il n’y a pas de politique céréalière extérieure commune -, beaucoup de pays d’Afrique du Nord, du Moyen-Orient et d’Asie du Sud-Est sont et seront très dépendants de la Russie. Néanmoins la sécheresse récente dont a souffert récemment le sud du pays montre que son pouvoir sur la scène internationale n’est pas inébranlable. Par contre l’Ukraine a réussi à empêcher la catastrophe économique engendrée par l’invasion russe de février 2000. Les exportations de grains – dont une majorité de blé- qui n’atteignaient plus 500 000 tonnes en mars 2022, ont été de 7 millions de tonnes en avril 2024. Le conflit logistique a été gagné par les Ukrainiens grâce aux « nouvelles voies de solidarité » (terrestres et fluviales) et au corridor maritime de la mer Noire.

Au sein des pays de l’U.E., la France occupe une place privilégiée (5^ème producteur et 5^ème exportateur mondial). Le blé occupe 20% de la S.A.U. (2) et a des rendements élevés. Ces résultats sont remarquables pour un pays qui a connu le rationnement jusqu’en 1949. Mais le blé français (comme tous les blés européens) est dépendant des engrais riches en azote (150-200 kg/ha), nécessaires à une forte teneur en protéines. Or l’azote provient du gaz naturel fourni jusqu’alors par…la Russie. Il faut donc miser sur la recherche agronomique pour faire des progrès dans la génétique végétale et les engrais bas-carbone pour assurer notre sécurité alimentaire.

Depuis la fin du XX^esiècle, le maïs est la céréale prédominante. Les Etats-Unis, la Chine, le Brésil et l’Argentine fournissent 70% de la récolte mondiale annuelle et 90% des exportations. L’U.E., première zone d’importation, se fournissait principalement en Ukraine qui connait une baisse drastique de ses exportations. Ce choix s’explique par le label « sans O.G.M. » du maïs ukrainien, à la différence des maïs produits sur le continent américain. L’expansion du maïs – qui occupe actuellement 1/8 des terres cultivées – suscite des controverses. Alors que des millions de personnes sont sous-alimentées et que la croissance démographique va se poursuivre jusqu’en 2050, est-il raisonnable de consacrer 60% de la première céréale mondiale à l’alimentation animale et un pourcentage non négligeable à la fabrication du bioéthanol et à divers usages industriels ?

Production asiatique par excellence, le riz réclame des conditions de culture très exigeantes, climatiques particulièrement, qui risquent d’être très impactées par le changement climatique. Or il est nécessaire d’accroître rapidement la production. La Chine, premier pays producteur, est aussi importatrice et en Inde, premier exportateur, 40% de la population souffre de malnutrition. Seulement 10% de la production sont commercés dans le monde. Pourtant c’est en Afrique subsaharienne, faible productrice, que la demande augmente le plus rapidement (la croissance de la demande est de 6% par an). Et la production africaine ne satisfait que 55 à 60% de la consommation. Entre 2023 et 2050, la population africaine doit doubler. Il est donc indispensable de revenir aux céréales traditionnelles, mils et sorgho.

Mils et sorgho sont des céréales à redécouvrir car elles ont des qualités nutritives et sont peu exigeantes en matière climatique et écologique. La F.A.O. (2) en fait la promotion sans rencontrer beaucoup de succès jusqu’alors.

Assurer la sécurité alimentaire de leur population dans les décennies à venir constitue donc un défi difficile à relever pour beaucoup d’Etats. Ils doivent non seulement faire aux risques naturels induits par le changement climatique mais aussi aux stratégies de puissance de quelques grands pays. Le conflit ukrainien en donne un exemple. On a déjà évoqué la dépendance de nombreux Etats à l’égard des blés russes. Il faut aussi souligner l’action de la Chine qui, bien qu’importatrice elle-même, utilise les besoins africains en riz pour accroître son influence. La deuxième puissance mondiale pratique une politique de stockage des céréales (blé, maïs, riz) à grande échelle. Elle détient plus de 50% des stocks mondiaux de céréales, ce qui lui permet de faire face à d’éventuelles mauvaises récoltes mais aussi lui donne du pouvoir sur les acheteurs.

Certains produits alimentaires fabriqués à partir de céréales contribuent au soft power des Etats dans lesquels ils ont été conçus, par leur notoriété mondiale. Ils sont porteurs d’une identité nationale, qu’il s’agisse de la tortilla mexicaine d’origine précolombienne, de la pasta italienne exportée dans le monde par les migrants italiens dès la fin du XIX^esiècle et bien sûr de la baguette française de tradition (les normes de fabrication ont été fixées par décret) qui a été classée au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO en 2022. Le sushi, produit culturel japonais largement diffusé depuis la fin du XX^esiècle, était à l’origine une méthode de conservation du poisson. Aliment et boisson, la bière est le premier alcool au monde (180 milliards de litres sont consommés par an dans le monde. C’est un vrai produit de la mondialisation qui était déjà fabriqué dans l’Antiquité (Mésopotamie, Egypte…). Les grands producteurs de bière (Chine, Etats-Unis, Brésil, Mexique et Allemagne) utilisent du malt produit dans des malteries, secteur dans lequel la France est leader mondial (premier producteur et premier exportateur mondial depuis 1967) grâce à son haut niveau d’expertise. 1 pinte sur 5 bue dans le monde est faite avec du malt français ! la production française de bière (6^ème rang mondial) est un secteur dynamique, créateur d’emplois qui font une large place aux cadres jeunes et féminins.

Nous pouvons clore cette présentation « en élevant le débat ». La culture des céréales a été génératrice de « grandes cultures » : les premières civilisations du Moyen Orient, il y a plus de 10 000 ans. Les croyances et rituels religieux leur ont accordé une grande place symbolique (par exemple, le pain dans le sacrement de l’Eucharistie).

L’étude des céréales nous a permis de traiter de géographie, de géopolitique, d’histoire, de gastronomie…et même de religion !

(1) A.U. : surface agricole utilisée. Elle comprend l’ensemble des terres arables, les pâturages et les cultures permanentes
(2) FAO : Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture

Michèle Vignaux, juin 2024

(Ce compte rendu a pu bénéficier d’informations glanées dans le webinaire organisé par S. Abis et son équipe pour accompagner la sortie de l’ouvrage).

Les illustrations ont été reproduites avec l’aimable autorisation des Editions Eyrolles.

14:28
Mises à jour juin 2024
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGN

Tous les nouveaux services web géoservices et toutes les mises à jour de données en téléchargement du mois de juin 2024.

11:00
Mappery: Change the World sip by sip
sur Planet OSGeo

I saw this van at Gloucester Road station
MapsintheWild Change the World sip by sip

8:43
The Warlord Map Game
sur Google Maps Mania

Are you ready to conquer Europe in a battle of Computer Classic Warlord? In this game of military conquest only the strongest survive. So get ready to engage in a thrilling battle of supremacy to take over the entire map of Europe.Readers of a certain age may remember the board-game The Warlord. The Warlord is a 1970's game of nuclear conquest, in which players attempt to conquer countries

8:00
Recolt’ô et GeoRivière des innovations en gestion de l'eau à tester
sur Makina Corpus

Fort de nos expertises en logiciel libre et en gestion de l’eau, nous avons conçu deux applications innovantes pour œuvrer en faveur de la protection de l’environnement et agir face au changement

2:00
GeoServer Team: How to Implement Basic Security in Geoserver
sur Planet OSGeo
GeoSpatial Techno is a startup focused on geospatial information that is providing e-learning courses to enhance the knowledge of geospatial information users, students, and other startups. The main approach of this startup is providing quality, valid specialized training in the field of geospatial information.

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How to Implement Basic Security in Geoserver
In this session, we want to discuss the Security section in GeoServer, Defining Users, Groups, and Roles, and Granting rights to created users. If you want to access the complete tutorial, simply click on the link.

Introduction
GeoServer has a robust security subsystem. Most of the security features are available through the Web Administration interface. In the Security panel, you can find links to set user properties and bind data to security rules. The basic idea is that you create users and roles, and then combine them with data rules to enable a specific set of access policies. You can also limit read and write access by role.
Defining users, groups, and roles
Security in GeoServer is based on a role system where each role defines a specific set of functions. You can assign roles to users and groups; that is, assign functions to real people using your system. To ensure data security, you must identify who is accessing your layers and services.

To organize your real users, GeoServer provides you with the user, group, and role concepts. With the first two, you can insert real people into the GeoServer security subsystem, and with roles, you can grant rights to real users.
User definition
In GeoServer, a user is someone entitled to use the system; it may be another software or a real person. When you add a user to the security system, GeoServer stores a username, uniquely identifying the user, a password, and a set of key/value pairs to store general information about it. You can disable a user at any time, preventing him from using the system.
Group definition
A group in GeoServer is a collection of users. It consists of a list of usernames that are part of the group, along with a unique group name that identifies it. Since GeoServer may have a large number of users, assigning roles to each individual user can be challenging. Therefore, groups can be created to simplify the process, allowing roles to be assigned based on the group membership of users.

Note. Considering that there are no dependencies between users, groups, and roles. A group can be disabled, but note that this only removes the roles deriving from the disabled group and does not disable the users belonging to the group.
Roles definition
GeoServer roles are associated with performing certain tasks or accessing particular resources. Roles are assigned to users and groups, authorizing them to perform the actions associated with the role.
Creating users and groups
To fully understand how security works in GeoServer, we will use a typical scenario. We want to restrict access to this data to only the organization’s members. Inside the organization, there are a few people editing data to create new data sets or to update existing ones, and many more members who need to read data to compose maps. There is also a need for an administrator to keep it all working. Lastly, we need to consider that our GeoServer site also contains data that should remain freely available. We will now create the security organization from an unsecured GeoServer as follows:
- In the Security section of the left pane, click the Users, Groups, and Roles link. This link shows you the User Group Services configured. You will find the default service shipped with GeoServer. Click on the Name to edit it.
- Select the Groups tab, then click on Add a new group.
- Enter group_readers as a group name and leave the group Enabled. Do not assign any role to the new group as we will create specific roles later. Press the Save button.
- Repeat the previous step to create the group_editors and group_admins groups. Your list should now show the three groups.
- Now switch to the Users tab. Obviously, it lists the only existing user, that is, admin, as shown in the screen.
- Click on the Add new user link, and add user_admin with a password of your choice, as Data Administrator.
- Add “user_admin” to the “group_admins”, then press the Save button.
- Repeat the previous step to create a user, user_editor as a member of the “group_editors” group, and user_reader as a “group_readers” group member. Your list now shows the three users.
We just created three users for the three groups and this may seem overkill to you. Consider them as templates for real users. In the real world, we do not want to have too many administrators; we will probably need several “user_readers” and “user_editors” processing the data. Now, we need to define what they can do on GeoServer.
Defining roles
A user or a group without any role assigned is useless. Now it is time to create roles and assign them to our users. Please refer to the following points:
- From the User, Groups, and Roles section, select the Roles tab. You will find that two roles already exist. They are the administrative roles assigned to the admin account, and they grant access to all GeoServer configurations. Click on the Edit link
- Switch to the Roles tab, then click on Add new role.
- Enter role_reader as a new role name. We do not need a Parent role. A child role inherits all the rights from the Parent role, making it useful when you want to extend a basic role with more rights. Indeed, we will do this in the next step.
- Press the Save button and then repeat the previous step to create the role_editor role. This time, select “role_reader” as the Parent role.
- Press the Save button and then repeat the previous step to create the role_admin role. This time, select “role_editor” as the Parent role.
- The final step is to associate a role to users or groups. Select the User, Groups, and Roles page from the left pane, then select the Groups list and click on the “group_readers” group to edit it. Add the “role_reader” role to the group and save it.
- Now click on the “group_editors” group and associate it with the role_editor role.
- Finally, associate the “group_admins” group to the “role_admin” role.
By defining roles and associating them to the users, we completed the definition of our organization. Now, we need to explore how data is bound to roles and users.
Accessing data and services
GeoServer supports access control at both the service level and at the per-layer or per-workspace level, allowing for restriction of service operations to authenticate users with specific roles. This helps in ensuring data security and controlling access to different layers or workspaces within the server. When working with layers, you can define rules that specify what a role can do on any specific layer.

The operations controlled are the view, write, and admin access. When granting read access on a layer, you enable a user to add it on a map; while granting write access you enable the user to update, create, and delete features contained in the layer. The admin access level enables the user to update the layer’s configuration.
Layer Security
We want to protect the dataset contained in the test workspace from unauthorized access while leaving the remaining layers freely available to all users. In this section, we will associate layers and roles:
- Navigate to the Data > Security page. The rules list shows the two shipped with the default GeoServer configuration. The *.*.r rule is associated with the * roles. This means that “any user”, including the anonymous one, can access “any layer” from “any workspace” configured on GeoServer. The general format of the rules is: workspace.layer.accessMode.
- Now click on the Add new rule link. In the rule editing page, select test as the Workspace and leave “*” as a Layer. Since we want to protect all layers in this workspace, the Access mode should be Read. Select the “role_reader” role and move it to the right list by clicking on the arrow. Press the Save button to create the reading rule.
- Repeat the previous step to create a writing rule. Select Write as the access mode and “role_editor” as the role.
- Repeat the previous step, then create the administration rule. In other words, select Admin as the Access mode and “role_admin” as the Role.
- Press the Save button, on the rule list page, and then log off from the GeoServer web interface. If you try to access the layer preview anonymously, you won’t see any layers from the test workspace while all the others are still listed.
- Now, log on as “user_reader”, with the password you assigned to him. Going back to the layer preview, you should see the test layers listed. Try the Open Layers preview page for the river layer. It works and you can use the data to compose maps.
- However, “user_reader” can’t edit the styles associated with the layer or any other property. He would need admin rights granted for it; can you guess who the proper user will be?
- Log on to GeoServer as “user_admin”. Now, the left pane is richer than it was when you were “user_reader”, but with fewer features than those visible to the GeoServer’s default admin role. Click on the Layer link; you will see only the layers belonging to the test workspace.
- If you go on Layer preview and select the rivers layer again, can you see the map? Of course, you can. Because of roles inheritance, which you set when creating the roles. So, “role_admin” inherits all the rights from “role_editor”, and hence from “role_reader”.
In this session, we took a brief journey through GeoServer security. we discussed the Security section, Defining Users, Groups, and Roles, and Granting rights to created users in GeoServer. If you want to access the complete tutorial, simply click on the link.

04 June 2024
13:56
Compatibilité entre ArcGIS Desktop, ArcGIS Pro et ArcGIS Enterprise
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier

Lorsque vous publiez des services web à partir d'applications SIG bureautiques (ArcMap ou ArcGIS Pro) vers ArcGIS Enterprise, ces services web ArcGIS Server transforment le contenu de votre carte en ressources SIG web. Ce processus de transformation est géré via le moteur d'exécution de service d'ArcGIS Enterprise. Le comportement et les fonctionnalités des services web sont déterminés par le moteur d'exécution de service et la compatibilité des versions entre votre application bureautique ArcGIS et ArcGIS Enterprise. Par conséquent, vous devez tenir compte de la compatibilité des produits ArcMap ou ArcGIS Pro lors de la publication sur ArcGIS Enterprise.
Les paragraphes suivants résument les principales considérations en matière de compatibilité de publication lorsque vous travaillez avec différentes versions d'applications SIG bureautiques et ArcGIS Enterprise.

ArcMap vs. ArcGIS Pro
Les moteurs d’exécution des services ArcMap et ArcGIS Pro sont fondamentalement différents. Étant donné qu'ArcMap 10.8.x est la dernière série de versions d'ArcMap et sera un produit retiré d'ici 2026, de nombreuses nouvelles fonctionnalités ne sont pas prises en charge dans le moteur d'exécution du service ArcMap (par exemple, les instances partagées). Par conséquent, il est recommandé d'utiliser ArcGIS Pro avec ArcGIS Enterprise 10.9 et versions ultérieures. Pour plus d'infos, vous pouvez lire la suite dans cet article arcOrama.
Important également, depuis la version 11.0, ArcGIS Enterprise ne prend plus en charge le moteur d'exécution de service ArcMap. Cela signifie que si vous envisagez de mettre à niveau votre ArcGIS Enterprise vers la version 11.0 (ou ultérieure), vous devez migrer tous vos services existants vers le moteur de service ArcGIS Pro. Dans la majorité des cas, cela se fera par les outils de migration et dans quelques cas particuliers en republiant vos services depuis ArcGIS Pro. Le document suivant décrit les étapes de migration d'un service du runtime ArcMap vers le runtime du service ArcGIS pro :

Versions d'ArcGIS Pro
Bien que, de manière générale, vous puissiez publier un service d'ArcGIS Pro vers des versions antérieures et ultérieures d'ArcGIS Enterprise, il est recommandé d'utiliser la version équivalente. Si vous ne disposez pas de la version équivalente d'ArcGIS Enterprise, il n'est pas recommandé de publier vers une version dépassant une à deux versions inférieures ou supérieures. Dans le cas contraire, vous pourriez rencontrer des erreurs ou des avertissements lors du processus de publication ou des comportements inattendus dans nos services web.
Cela peut être particulièrement un problème avec les versions majeures. Par exemple, lorsque vous publiez un service d'impression à partir d'ArcGIS Pro 3.0, votre serveur Enterprise doit être en version 11.0 (ou supérieure). Si vous tentez de publier des modèles d'impression créés dans ArcGIS Pro 3.0 vers des versions antérieures d'ArcGIS Enterprise (par exemple 10.9.1), le moteur d'exécution de service ArcGIS Server ne peut pas reconnaître les modèles de mise en page créés à partir d'ArcGIS Pro 3.0. Par exemple, la publication de fichiers CRF (Cloud Raster Format) sur ArcGIS Enterprise 10.8.1 entraîne un service d'imagerie corrompu si le fichier CRF est généré dans ArcGIS Pro 3.x.
Pour plus de détails concernant la compatibilité des versions entre ArcGIS Pro et ArcGIS Enterprise, vous pouvez consulter les liens suivants :
Questions générales sur les compatibilités de versions : [https:]]
Compatibilités sur les services de géotraitement :
[https:]]
Pour la migration d'un service ArcMap vers un service ArcGIS Pro : [https:]]

11:00
Mappery: The Mountain Goats Tour 2019
sur Planet OSGeo

Dean shared with us this t-shirt
MapsintheWild The Mountain Goats Tour 2019

9:26
Indian Election Maps
sur Google Maps Mania

Counting is now underway of the votes in the world's largest election. Over 642 million people are expected to have voted in the 2024 Indian General Election, the result of which will be declared today (June 4th). Based on the earliest results it appears that current prime minister Narendra Modi is likely to keep his job, but that his party, the BJP, will win less seats than in 2019.The Times

03 June 2024
21:49
Data Journaliste : Portrait de Raphaëlle Aubert de la société éditrice Le Monde
sur Geomatick

Les Données libres (ou Open Data) représentent des sources d’informations importantes dans de nombreuses thématiques comme l’environnement. Les traitements et la valorisation de ces données offrent la possibilité de proposer des applications diverses pour les acteurs publics et privés. Informer sur des sujets à partir de différentes sources de données… Continuer à lire →

L’article Data Journaliste : Portrait de Raphaëlle Aubert de la société éditrice Le Monde est apparu en premier sur GEOMATICK.

11:00
Mappery: Clerkenwell Design Week
sur Planet OSGeo

A few weeks ago, Clerkenwell Design Week took place. The website offers an interactive virtual map, but luckily, we could find some real ones, in the wild, wandering in the street during the event.
MapsintheWild Clerkenwell Design Week

10:30
Impact du numérique sur la relation entre les systèmes de gestion de crise et les citoyens, analyse empirique en Île-de-France et en Région de Bruxelles-Capitale
sur Cybergeo

Depuis une dizaine d’année, les systèmes de gestion de crise utilisent les canaux de communication apportés par le numérique. D'un côté, le recours aux plateformes numériques et aux applications smartphones permet une plus grande visibilité des connaissances sur le risque. De l’autre, les réseaux sociaux numériques apparaissent comme un levier idéal pour combler le manque d'implication citoyenne dans la gestion de crise. Pourtant, jusqu'à la crise sanitaire qui a débuté en 2020, rien ne semble avoir été fait pour impliquer les citoyens au cours du processus de gestion de crise. Dans cet article, nous posons la question de l'apport du numérique dans la transformation de la communication sur les risques et dans l'implication citoyenne dans la gestion de crise. En 2018, nous avons diffusé un questionnaire en Île-de-France et dans la région de Bruxelles-Capitale afin de comprendre les attentes des citoyens et les effets des stratégies de communication territoriale sur la perception des ...
10:30
La fabrique publique/privée des données de planification urbaine en France : entre logique gestionnaire et approche territorialisée de la règle
sur Cybergeo

La question des données territoriales revêt une importance croissante pour l’État, qui entend orienter leur production, leur circulation et leur condition d’usage. Cet article examine les modalités du repositionnement de l’État vis-à-vis des collectivités locales en matière d’urbanisme règlementaire dans le cadre de la standardisation et de la numérisation des données des Plans Locaux d’Urbanisme. Il explore également l’intégration de ces données dans une géoplateforme unique. Nous montrons que ce projet de construction d’un outil commun à l’échelle nationale s’inscrit dans le cadre d’une reprise en main par le pouvoir central des données de planification urbaine à travers l’intégration partielle de méthodes privées, développées par des sociétés commerciales au cours des années 2010 grâce au processus d’open data. L’étude de la fabrique publique/privée des données de l’urbanisme règlementaire permet de mettre en exergue deux points clés de la reconfiguration de l’action de l’État pa...
10:30
Le territoire est toujours vivant. Une analyse transversale de la littérature sur un concept central de la géographie
sur Cybergeo

Le concept de territoire fait l’objet d’une très abondante littérature en sciences humaines et sociales, qui alimente des sens et des usages apparemment très différents. Cet article dresse un état de l’art multidisciplinaire qui situe les uns par rapport aux autres les différents courants sur le concept de territoire. Dans le format synthétique qui est le sien, le but n’est pas d’approfondir chacune des discussions théoriques. Le premier objectif est plutôt de structurer, à travers un corpus d’environ 120 références, un panorama de la très abondante littérature francophone, anglophone et hispanophone sur le territoire. Le deuxième objectif est de tenter des rapprochements entre ces arènes de discussions qui échangent peu entre elles, autour de trois problématiques qui pourraient leur être communes. Enfin, en approfondissant la lecture transversale de la littérature et l’effort de synthèse, le troisième objectif est de soumettre à la discussion des caractéristiques fondamentales qui ...
10:30
Vers une transition des systèmes agricoles en France métropolitaine ? Une géographie contrastée et en mouvement (2010 et 2020)
sur Cybergeo

Face aux objectifs de décarbonation de l’agriculture, de préservation de l’environnement et aux enjeux de viabilité économique et de sécurité alimentaire qui en découlent, les politiques européennes (Farm to fork) et françaises encouragent une transition en profondeur des systèmes agri-alimentaires. Dans ce contexte, la transformation des modes de production agricole devient une nécessité. Cet article présente une géographie des exploitations agricoles en transition en France métropolitaine. Il repose sur une typologie des exploitations agricoles combinant mode de production agricole (biologique ou conventionnel) et mode de commercialisation des produits (circuit court ou filière longue) à partir des données des recensements agricoles de 2010 et 2020. L’analyse propose une cartographie à échelle fine (canton INSEE) des trajectoires d’évolution sur la période 2010-2020 des agricultures en transition, ouvrant la voie à discussion sur les facteurs favorables à l’émergence certains type...
10:30
Explorer la répartition spatiotemporelle des piqûres de tiques sur les humains en France : la température moyenne comme indicateur du risque acarologique
sur Cybergeo

Parmi les maladies à transmissions vectorielles, les maladies à tiques (dont la Borréliose de Lyme) sont celles dont la fréquence des cas est en constante augmentation. L’Europe et l’Amérique du Nord sont particulièrement concernées dans les régions tempérées. Comme il existe une saisonnalité des piqûres de tiques, plus de signalement en été, moins en hiver, nous nous sommes demandés s’il existait des marqueurs climatiques permettant de connaître le début de la saison du risque acarologique pour en informer le public. Grâce à programme de sciences participatives de l’INRAe, CiTIQUE, 22 000 cas géolocalisés en France de piqûres de tiques sur des humains ont été collectés, entre juillet 2017 et avril 2020. Ces signalements ont été appairés avec les conditions météorologiques (issues des bases Météo-France et Dark Sky) qui régnaient au lieu et à la date de chacune des piqûres signalées. Parmi toutes les variables analysées, la température quotidienne moyenne est le meilleur indicateur....
10:30
Bernard Lahire, 2023, Les structures fondamentales des sociétés humaines, Paris, La Découverte, Collection sciences sociales du vivant, 970 p.
sur Cybergeo

L’ouvrage de Bernard Lahire est d’importance, par son volume, par son érudition qui en fait une véritable "somme" scientifique, et par sa position originale réaffirmant en la substantialisant la liaison entre les sciences sociales et les sciences de la nature. Il faut admirer le courage de l’auteur, qui mobilise un vaste corpus de données pour aller souvent à contre-courant des idées plus fréquemment reçues en sciences sociales, et identifier des éléments de savoirs cumulables pour construire une sociologie faite d’universaux et de lois. Je ne prétends pas faire ici la recension que mérite cet ouvrage, quant à ce qu’il représente en termes d’apport à la science sociologique, d’autres plus qualifiés s’en chargeront, et sa dimension et sa construction rendraient difficile autant qu’injuste une proposition de résumé. Chacune de ses trois grandes parties offre cependant une lecture qui sera du plus grand intérêt pour les géographes. La première partie "Des sciences sociales et des lois"...
10:30
Improving the perfomance of commercial mapping on the web : proposals for the web site of the French Forest Authority
sur Cybergeo

In 1999 the Internet was used for the first time as a marketing medium by the ONF (France’s National Forest Office) to sell timber from state- and locally-owned forests. Using a search engine, this site enables visitors to locate items corresponding to their requests (species, available volume,...). The only map proposed by the ONF is a document indicating roughly the felling location. It seemed appropriate to suggest the addition of an atlas allowing sellers to increase the visibility of the products on sale and visitors to rationalize their purchases. Is the result more efficient? A questionnaire is provided for Cybergeo readers.
Keywords: geomatics, Internet, wood sale, applied cartography, ONF
10:30
Le principe de solidarité dans les politiques françaises de l’eau : originalité, fonctionnement et fragilités
sur Cybergeo

Pour répondre à la dégradation de la qualité de l’eau en France, le législateur a créé en 1964 des outils novateurs d’une gestion autonome de l’eau, à savoir les agences et les comités de bassin, délimités selon les bassins hydrographiques. Durant les cinquante années qui ont suivi, les lois françaises puis les directives européennes ont favorisé une solidarité unique en matière de politiques environnementales, fonctionnant à un triple niveau : hydrographique, financier et territorial. Cet article présente l’originalité de cette solidarité et son évolution, en s’appuyant sur l’évolution des règlementations et l’analyse du fonctionnement des agences et des comités de bassin à mesure de l’élargissement de leurs missions. La récente reconnaissance nationale d'une pression quantitative sur la ressource, matérialisée en 2023 par l'adoption de 53 mesures visant une gestion de l'eau résiliente et concertée, recentre les agences et les comités de bassin au cœur de la gouvernance de l'eau. C...
10:30
Déforestation au nord du Bénin : un éclairage par des enquêtes communautaires
sur Cybergeo

Cet article part du constat d'une hétérogénéité spatio-temporelle de la déforestation dans le nord du Bénin au cours des quatre dernières décennies. Pour explorer les raisons sous-jacentes de ces disparités spatiales, nous avons mené une enquête approfondie auprès des résidents des territoires où le couvert ligneux a connu des évolutions s’écartant sensiblement de la tendance régionale. En utilisant des méthodes statistiques textuelles, notre analyse de ces entretiens a fourni des perspectives plus approfondies sur les nuances locales spécifiques dans les perceptions de la population concernant les transformations environnementales en cours au sein de leurs territoires. Nos enquêtes ont également mis en évidence une aggravation des inégalités sociales et foncières qui touche l’ensemble de la région. La poursuite de la déforestation au Nord du Bénin ainsi que le sentiment de vulnérabilité économique et sociale exprimé par les populations interrogées trouvent un écho à des situations ...
10:30
Georges Courade, 2023, "Comme le fleuve, la vérité se perd dans le désert". Faire de la recherche dans les Afriques en décolonisation, Paris, Les Indes savantes, 151 p.
sur Cybergeo

Dans ce petit livre interrogeant sur un mode personnel les modalités de la recherche en Afrique subsaharienne entre les décennies 1960 et 2010, Georges Courade mène un projet devenu assez commun dans le monde de la géographie, l’égohistoire. Mais c’est un projet exigeant, visant à reconstituer la vérité d’un parcours scientifique, vérité pour soi, par rapport aux enjeux successivement formulés par l’institution de recherche "pour le développement" et en termes d’effets sur les sociétés étudiées. Ce récit de vie vise aussi à retracer une "aventure collective" menée par une "génération 1962-1968" dans le cadre d’une recherche finalisée au sein de l’ORSTOM puis de l’IRD. Mais surtout, il s’agit d’une autofiction, une analyse réflexive menée en fin de carrière sous le truchement du personnage de Basile Costal.

Le récit se déroule en dix chapitres. Les six premiers portent sur les débuts et sur le background du chercheur, encadrés par son "baptême" dans un coin peu connu de l’Afrique, le ...

9:30
Appropriations de l’espace et répression du mouvement des Gilets jaunes à Caen
sur Mappemonde

En mobilisant différentes méthodologies de recherche issues principalement de la géographie sociale et de la sociologie politique, le présent article souhaite esquisser quelques pistes d’analyse et répondre à la question suivante : comment rendre compte par la cartographie des espaces de lutte du mouvement des Gilets jaunes dans l’agglomération caennaise ? En explorant ainsi sa dimension spatiale, nous désirons contribuer aux débats méthodologiques et analytiques qui ont accompagné ce mouvement qui s’est distingué par ses revendications et sa durée, mais aussi par sa géographie.
9:30
Les cartes dans l’analyse politique de l’espace : de l’outil à l’objet de recherche
sur Mappemonde

La publication de la carte répertoriant les trajets d’utilisateurs de l’application de sport Strava, en 2017, a rendu identifiables des bases militaires dont les membres utilisaient Strava lors de leurs entraînements (Six, 2018). Cet exemple souligne à la fois l’omniprésence de l’outil cartographique dans nos vies et sa dimension stratégique. Aucune carte n’est anodine, quand bien même son objet semble l’être. Nos sociétés sont aujourd’hui confrontées à de nouveaux enjeux, liés à l’abondance des cartes sur Internet, dans les médias, au travail, que celles-ci soient réalisées de manière artisanale ou par le traitement automatisé de données géolocalisées. L’usage de la cartographie, y compris produite en temps réel, s’est généralisé à de nombreux secteurs d’activités, sans que l’ensemble des nouveaux usagers ne soit véritablement formé à la lecture de ce type de représentation, ni à leur remise en question. Dans ce cadre, le rôle du géographe ne se limite pas à la production de cartes...
9:30
Les stratégies cartographiques des membres de la plateforme Technopolice.fr
sur Mappemonde

Conséquence de la transformation des cadres institutionnels du contrôle et de la sécurité, le déploiement de la vidéosurveillance dans l’espace public est aujourd’hui contesté par plusieurs collectifs militants qui s’organisent à travers des modes d’action cartographiques. Leurs pratiques entendent dénoncer, en la visibilisant, une nouvelle dimension techno-sécuritaire des rapports de pouvoir qui structurent l’espace. Grâce aux résultats d’une enquête de terrain menée auprès des membres de la plateforme Technopolice, nous montrons que le rôle stratégique de la cartographie collaborative dans leurs actions politiques réside dans ses fonctions agrégatives et multiscalaires. La diffusion de cartes et leur production apparaissent alors comme des moyens complémentaires, analytiques et symboliques, utilisés par les militants pour mieux appréhender et sensibiliser le public au phénomène auquel ils s’opposent.
9:30
La végétalisation de Paris vue au travers d’une carte : une capitale verte ?
sur Mappemonde

Cet article s’intéresse à un dispositif cartographique en ligne proposant de visualiser les projets de végétalisation urbaine entrant dans la politique municipale parisienne. Avec une approche de cartographie critique, nous montrons comment la construction de la carte, et en particulier le choix des figurés et la récolte des données, participe à donner à la capitale française une image de ville verte. Le mélange de données institutionnelles et de données contributives composant la carte du site web Végétalisons Paris traduit l’ambiguïté de la politique de végétalisation parisienne, entre participation citoyenne et instrumentalisation politique.
9:30
Géopolitique de l’intégration régionale gazière en Europe centrale et orientale : l’impact du Nord Stream 2
sur Mappemonde

Dépendante des importations de gaz russe, l’Union européenne tente de diversifier ses approvisionnements depuis la crise gazière russo-ukrainienne de 2009. En Europe centrale et orientale, cette politique se traduit par un processus d’intégration régionale des réseaux gaziers. Planifié depuis 2013, ce processus n’a pas connu le développement prévu à cause des divisions engendrées par le lancement du projet de gazoduc Nord Stream 2 porté par Gazprom et plusieurs entreprises énergétiques européennes. Ainsi la dimension externe de la politique énergétique des États membres a un impact sur la dimension interne de la politique énergétique européenne.
9:30
Les Petites Cartes du web
sur Mappemonde
Les Petites Cartes du web est un ouvrage de 70 pages de Matthieu Noucher, chargé de recherche au laboratoire Passages (Bordeaux). Il s’adresse à un public universitaire ainsi qu’à toute personne intéressée par la cartographie. Son objet est l’analyse des « petites cartes du web », ces cartes diffusées sur internet et réalisées ou réutilisées par des non-professionnel?les. Elles sont définies de trois manières :
- historique, comme des cartes en rupture avec les « grands récits » de la discipline ;
- politique, comme des cartes « mineures », produites hors des sphères étatiques et dominantes ;
- technique, en référence aux « petites formes du web » d’É. Candel, V. Jeanne-Perrier et E. Souchier (2012), participant à un « renouvellement des formes d’écriture géographique ».
Ce bref ouvrage, préfacé par Gilles Palsky, comprend trois chapitres. Les deux premiers, théoriques, portent l’un sur la « profusion des “petites cartes” » et l’autre sur l’actualisation de la critique de la cartographie. L...
9:30
L’Amérique latine
sur Mappemonde

En choisissant de commencer son ouvrage par la définition du terme « latine », Sébastien Velut donne le ton d’une approche culturelle et géopolitique de cette région centrale et méridionale du continent américain. Grâce à une riche expérience, il présente ce « grand ensemble flou » (p. 11), ce continent imprévu qui s’est forgé depuis cinq siècles par une constante ouverture au Monde. L’ouvrage, destiné à la préparation des concours de l’enseignement, offre une riche analyse géographique, nourrie de travaux récents en géographie et en sciences sociales, soutenue par une bibliographie essentielle en fin de chaque partie. L’exercice est difficile mais le propos est clair, explicite et pédagogique pour documenter l’organisation des territoires de l’Amérique latine. En ouverture de chaque partie et chapitre, l’auteur pose de précieuses définitions et mises en contexte des concepts utilisés pour décrire les processus en œuvre dans les relations entre environnement et sociétés.

En presque 3...
9:30
Les cartes de l’action publique. Pouvoirs, territoires, résistances
sur Mappemonde

Les cartes de l’action publique, ouvrage issu du colloque du même nom qui s’est déroulé en avril 2018 à Paris, se présente comme une recension de cas d’étude provenant de plusieurs disciplines des sciences sociales. Sociologues, politistes et géographes proposent au cours des 14 chapitres de l’ouvrage (scindé en quatre parties) une série d’analyses critiques de cartes dont il est résolument admis, notamment depuis J. B. Harley (1989), qu’elles ne sont pas neutres et dénuées d’intentionnalités. Cette position, assumée dès l’introduction, sert de postulat général pour une exploration de « l’usage politique des cartes, dans l’action publique et dans l’action collective » (p. 12).

Les auteurs de la première partie, intitulée « Représenter et instituer », approchent tout d’abord les cartes de l’action publique par leur capacité à instituer et à administrer des territoires.

Dans un premier chapitre, Antoine Courmont traite des systèmes d’information géographique (SIG) sous l’angle des scien...
9:30
Vulnérabilités à l’érosion littorale : cartographie de quatre cas antillais et métropolitains
sur Mappemonde

L’érosion littorale est un phénomène naturel tangible dont la préoccupation croissante, compte tenu du changement climatique, nous a menées à travailler sur la problématique de la cartographie de certaines composantes du risque d’érosion comprenant l’étude de l’aléa et de la vulnérabilité. Les terrains guadeloupéens (Capesterre-Belle-Eau et Deshaies) et métropolitains (Lacanau et Biarritz) ont été choisis, présentant une grande diversité d’enjeux. À partir d’un assortiment de facteurs, puis de variables associées à ces notions, la spatialisation d’indices à partir de données dédiées permettrait d’aider les décideurs locaux dans leurs choix de priorisation des enjeux et de mener une réflexion plus globale sur la gestion des risques.
9:30
La construction d’une exception territoriale : L’éducation à la nature par les classes de mer finistériennes
sur Mappemonde

Les classes de mer, inventées en 1964 dans le Finistère, restent encore aujourd’hui très implantées localement. Dépassant la seule sphère éducative, ce dispositif est soutenu par des acteurs touristiques et politiques qui ont participé à positionner le territoire comme pionnier puis modèle de référence en la matière à l’échelle nationale. Tout en continuant à répondre aux injonctions institutionnelles, poussant à la construction d’un rapport normalisé à la nature (développement durable, éco-citoyenneté), cette territorialisation du dispositif singularise la nature à laquelle les élèves sont éduqués.

9:16
Climadiag Commune v2 : à quoi ma commune devra-t-elle s'adapter en 2030, 2050, 2100 ?
sur Makina Corpus

Météo-France a mis en place Climadiag Commune afin de rendre accessible une synthèse des évolutions climatiques attendues d’ici 2050 pour chaque commune ou intercommunalité, en France métropolitaine.

8:46
ArcGIS Urban est disponible dans ArcGIS Enterprise 11.3
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Avec l'arrivée de la version 11.3 d'ArcGIS Enterprise, Esri annonce la disponibilité de l'application de l'application (optionnelle) ArcGIS Urban sur les éditions Windows ou Linux d'ArcGIS Enterprise. Pour tous ceux qui ne souhaitent pas utiliser l'offre SaaS d'ArcGIS Urban, cette nouvelle offre est la solution on-premise qui permettra aux organisations d'étendre l'utilisation de leur SIG, dans leur infrastructure, pour les besoins spécifiques de planification urbaine. Qu'il s'agisse de visualiser en 3D le jumeau numérique de son territoire, d'intégrer et d'analyser les indicateurs liés aux modifications des règlements d'urbanisme ou aux scenarii d'aménagement, ou simplement de suivre l'avancement des projets d'aménagement sur votre zones d'intérêt, ArcGIS Urban fournit une suite complète de fonctionnalités pour prendre en charge les décisions de planification urbaine basées sur les données.

Affichage d'indicateurs contextuels dans ArcGIS Urban

Optimiser les processus de planification urbaine en toute sécurité
ArcGIS Urban répond à un défi courant : les responsables de m'aménagement et de l'urbanisme n'ont pas toujours un accès facile aux données pertinentes du SIG qui pourraient les aider à prendre des décisions plus rapides et fondées sur des données fiables et sur l'évaluation de différents scenarii.
Avec des données spatiales déjà gérées dans votre SIG ArcGIS Entreprise, telles que vos propres données 2D et 3D, vos couches d'imagerie aérienne, vos données de PLU et de cadastre, votre équipe de planification peut créer un jumeau numérique 3D précis et réaliste de votre ville, agglomération, métropole ou région. Avec ce modèle ArcGIS Urban, vous pouvez…
- Expérimenter et évaluer l'impact des changements de zonage réglementaire et d'occupation des sols
  
  Ajouter vos propres informations sur les règlements d'urbanismes et évaluer l'impact potentiel des changements à travers divers scenarii de zonage et d'occupation des sols.
  
  Affichage du potentiel constructible à partir du zonage réglementaire
- Suivre les activités de planification à l'échelle de votre territoire
  
  Suivre les propositions et les statuts des projets d'aménagement en cours (conception, instruction, construction ou destruction, redéveloppement, ...) avec une vue à l'échelle de la ville qui peut être partagée avec les parties prenantes pour une plus grande transparence.
  
  Accéder à un observatoire de vos projets et vos plans d'aménagements
  
  Inspecter les informations détaillées des maquettes 3D et des modèles BIM dans leur contexte
- Évaluer les propositions de construction dans leur contexte
  
  Détecter les problèmes potentiels avant le début de la construction en téléchargeant ou en esquissant des bâtiments pour évaluer les effets négatifs potentiels sur la zone environnante.
  
  Analyse des ombres portées sur un nouveau projet d'aménagement
  
  Affichage du contexte réel d'un aménagement à l'aide de vues immersives dans ArcGIS Urban
- Evaluer et présenter différents scenarii et les indicateurs associés
  
  Combiner les contraintes réglementaires et les objectifs d'aménagement pour envisager différents scenarii et suivre les KPIs (logements, population, emploi, énergie, transport, équipements et services publiques, ...) pour une meilleure prise décision.
  
  Evaluation d'indicateurs dynamiques liés aux occupations des espaces existants ou projetés
  
  Définition d'indicateurs dynamiques dans ArcGIS Urban
- Visualiser et communiquer sur des décisions de planification parfois complexes
  
  Partager des scène web et des tableaux de bord 3D interactifs pour aider les parties prenantes à comprendre plus facilement les impacts de divers changements ou décisions de développement.
  
  Partage de scenarii en tant que scène web pour créer des StoryMaps, des Dashboards et des sites ArcGIS
  pour mieux collaborer avec les parties prenantes
Avantages d'ArcGIS Urban sur ArcGIS Enterprise
Le déploiement d'ArcGIS Urban dans ArcGIS Enterprise permet d'exploiter les performances et les capacités de votre organisation, tout en offrant aux équipes de planification un moyen plus simple d'accéder et d'utiliser les données SIG. Vous pouvez également vous connecter à vos propres sources de données gérées par l'utilisateur pour les utiliser dans ArcGIS Urban.
Un autre avantage clé est la possibilité d'exploiter l'infrastructure de sécurité existante du déploiement d'entreprise de votre organisation. Ceci est particulièrement important dans les pays et régions où les lois sur la souveraineté des données, comme le Règlement Général sur la Pprotection des Données (RGPD), sont en vigueur.

Si vous découvrirez ArcGIS Urban à l'occasion de cette nouvelle option de déploiement offerte par la version 11.3 d'ArcGIS Enterprise, n'hésitez pas à contacter votre interlocuteur Esri pour répondre à vos question, voir une démonstration approfondie, ...

8:36
Find Your Nearest Hurricane
sur Google Maps Mania

As this year's hurricane season gets underway StarNews has released an interactive map which allows you to see how many tropical storms have passed near your home since 1851. Enter your address into the Hurricanes that passed near me map and you can view the tracks of all the hurricanes and tropical storms that have occurred near your home since the middle of the 19th Century. The StarNews

02 June 2024
19:08
Quand Israël et la Palestine « disparaissent » des cartes scolaires. Le cas de l'Arabie saoudite
sur Cartographies numériques

Les manuels scolaires cristallisent souvent des débats politiques. Un rapport d'étude publié en mai 2024 par l'ONG israélienne IMPACT-se (Institut pour le suivi de la paix et de la tolérance culturelle dans l’éducation scolaire) s'intéresse aux dernières évolutions des manuels scolaires saoudiens. Des mots considérés comme hostiles à Israël ont été supprimés à plusieurs endroits du programme, en particulier des termes tels que « ennemi » ou « ennemi sioniste », ainsi qu'une grande partie du contenu académique qui mettait en garde contre les ambitions israéliennes dans la région et les tentatives d'expulsion des Palestiniens de leurs terres. « Israël » n'est toujours pas mentionnée sur les cartes, mais le nom « Palestine » a aussi été supprimé de la plupart des cartes sur lesquelles il figurait auparavant, laissant ce territoire dans le vide et l'indétermination. Toutefois comme le précise le rapport, les pays n’ayant pas de frontière avec l’Arabie saoudite ne sont en général pas mentionnés nominalement sur ces types de cartes qui ont tendance à faire apparaître l'Arabie saoudite comme une « île » entourée d'espaces vierges. La question se pose de savoir si cette « disparition » du nom d'Israël et de la Palestine dans les manuels scolaires correspond à un simple choix pédagogique ou à une volonté politique de normalisation de la part de l'Arabie saoudite par rapport à Israël et au reste du monde ?

Extrait d'un manuel de sciences humaines de 5e année montrant la Palestine sans nom sur l'édition de 2023 contrairement à l'édition de 2022 (source : rapport d'étude IMPACT-se de mai 2024)

« Polémique. Les cartes des nouveaux manuels scolaires saoudiens ne mentionnent ni Israël ni la Palestine » (Courrier International)
Un rapport annuel récemment publié par une ONG israélienne montre les dernières évolutions des manuels scolaires saoudiens. Nombre de médias arabes s’offusquent : les nouveaux manuels s’emploieraient à biffer la Palestine “pour faire plaisir à Israël”. Qu’en est-il en réalité ?
« L’Arabie Saoudite supprime la "Palestine" des cartes de ses programmes scolaires. La normalisation approche-t-elle ? » (Arabi21)
L’Arabie Saoudite se dit ouverte à une normalisation avec « Israël », mais à la condition de reconnaître un État palestinien. Le Royaume d’ Arabie Saoudite a supprimé la « Palestine » des cartes de plusieurs manuels scolaires, laissant l’espace vide, alors que les discussions se multiplient sur l’approche d’une normalisation israélienne avec Riyad, qui l’obligerait à reconnaître l'« État d’Israël » sur la majeure partie des territoires occupés et à l’inclure dans ses programmes.
« Quand la "Palestine" disparaît de certaines cartes scolaires en Arabie saoudite » (L'Orient le Jour)
En 2023 déjà, l’Institute for Monitoring Peace and Cultural Tolerance in School Education rappelait dans un rapport que « presque tous les exemples décrivant les chrétiens et les juifs de manière négative » ont été supprimés des manuels scolaires saoudiens. Ce n’est pas la première fois que les programmes scolaires saoudiens sont soumis à des modifications pour des raisons politiques. Ils ont fait l’objet d’un examen minutieux en Occident après les attentats du 11 septembre, au cours desquels 15 des 19 pirates de l’air étaient saoudiens. Depuis, le royaume a progressivement supprimé les contenus radicaux de ses manuels.
Pour télécharger le rapport d'étude d'IMPACT-se : Updated Review Saudi Textbooks 2023–2
Ce rapport IMPACT-se sur les manuels scolaires saoudiens 2023-24 examine les changements curriculaires au cours des cinq dernières années. Un examen complet de 371 manuels scolaires publiés entre 2019 et 2024 révèle une évolution vers la paix et la tolérance selon les normes de l'UNESCO. Les représentations négatives des infidèles et des polythéistes, ainsi que les représentations des pratiques chiites et soufies comme hérétiques, ont diminué. Les exemples problématiques promouvant le jihad et le martyre ont été supprimés ou modifiés, et des améliorations notables ont été constatées en matière de représentation des genres et de réduction des contenus homophobes, bien que les rôles traditionnels de genre et l'interdiction du travestissement demeurent. Le programme montre un fort dévouement à la cause palestinienne, mais avec des représentations révisées d’Israël et du sionisme, éliminant le contenu qui définissait auparavant le sionisme comme un mouvement « raciste ». Malgré ces changements, Israël n’est toujours pas reconnu sur les cartes, les références à la « Palestine » ont été réduites, l’Holocauste est absent et Israël est qualifié d’« occupation israélienne » ou d’« occupants israéliens » en ce qui concerne la guerre de 1948.
A titre de comparaison, un rapport d'IMPACT-se sur les manuels scolaires israéliens : Arabs and Palestinians in Israeli Textbooks 2022?23
Ce rapport IMPACT-se offre un aperçu des principaux thèmes liés aux Arabes et aux Palestiniens dans les manuels scolaires israéliens en langue hébraïque approuvés par le gouvernement couvrant l'éducation civique, la géographie, les études hébraïques, l'histoire, la patrie, la société et l'éducation civique, les études israéliennes, la pensée juive et la culture judéo-israélienne. La recherche explore comment des leçons, des images et des exercices spécifiques décrivent et façonnent les attitudes envers les Palestiniens et les Arabes issus de divers horizons au sein de la société israélienne et de la région. Il évalue la représentation des conflits arabo-israéliens et israélo-palestiniens, du processus de paix et de l’Autre arabe et palestinien – vivant en tant que citoyens d’Israël, à Jérusalem, en Cisjordanie, dans la bande de Gaza et ailleurs. Cette analyse porte sur 107 manuels scolaires enseignés dans les écoles publiques et religieuses approuvées par le ministère israélien de l’Éducation pour l’année scolaire 2022-2023. Il s’agit notamment de l’intégralité du corpus des huit manuels d’éducation civique approuvés par l’État (parmi lesquels les écoles pouvaient choisir), ainsi que de la majorité des manuels d’histoire traitant des périodes du conflit israélo-arabe. Ce faisant, ce rapport se concentre sur six catégories thématiques : « Éducation à la paix », « L'expérience palestinienne », « Diversité et valeurs démocratiques », « Introspection, violence et injustice », « Har Bracha : perspective de Cisjordanie, » et « Cartographie ». Le rapport montre que de nombreuses cartes reconnaissent les localités des Palestiniens et des Arabes israéliens, marquant notamment la Ligne verte et indiquant les territoires contrôlés par l'Autorité palestinienne. Cependant, ces cartes sont souvent incohérentes en ce qui concerne la représentation de la Cisjordanie. La plupart des cartes représentent les zones A et B, représentant divers degrés de contrôle palestinien (conformément aux accords d'Oslo) ; d'autres ne montrent que la zone A ; certaines ne montrent aucune différenciation spatiale entre les territoires israéliens et palestiniens. La zone C (essentiellement contrôlée par Israël) n’est généralement pas indiquée sur les cartes, mais expliquée dans les textes qui l’accompagnent.

Liens ajoutés le 2 juin 2024

Cependant, ces cartes sont souvent incohérentes en ce qui concerne la représentation de la Cisjordanie. La plupart représentent les zones A et B, avec divers degrés de contrôle palestinien ; d'autres ne montrent que la zone A
6/ pic.twitter.com/iUmCOaTjc4
— Sylvain Genevois (@mirbole01) June 3, 2024

Dans un manuel d'éducation civique pour les classes de 7e à 9e, une caricature montre une carte d'Israël avec la ligne d'armistice de 1949 autour de la Cisjordanie. Elle invite les élèves à voir leur pays en portant des lunettes différentes (laïque, religieuse, juive, autre..)
8/ pic.twitter.com/WzjnOrSx8i
— Sylvain Genevois (@mirbole01) June 3, 2024

Ce 2e rapport donne aussi bcp d'exemples de cartes historiques reconnaissant les Juifs et les Arabes dans la région à une période donnée
10/ pic.twitter.com/hGzU9DHE0A
— Sylvain Genevois (@mirbole01) June 3, 2024

Les manuels scolaires cristallisent souvent des débats politiques. Leur analyse a priori permet d'aborder ces questions. Elle ne préjuge pas des utilisations réelles qui en sont faites en classe et des discours et analyses des enseignants et des élèves à partir d'elles12/
— Sylvain Genevois (@mirbole01) June 3, 2024

Lien ajouté le 3 juin 2024

Israël-Palestine : quelles géographies ? Politique étrangère, vol. 89, n° 2, 2024
L'article de M. Foucher insiste sur le rôle des cartes pour légitimer la colonisation israélienne qui aurait nui à l'inscription territoriale d'un État palestinien [https:]] pic.twitter.com/Ruyx5inAu1
— Sylvain Genevois (@mirbole01) June 3, 2024

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La carte, objet éminemment politique : la montée des tensions entre l'Iran et les Etats-Unis

11:00
Mappery: Shirts
sur Planet OSGeo

Alex Selby-Boothroyd sent us these shirts; thank you for sharing. Let’s do a bit of commercial, here is a link men-s-golf-shirt. And some other options below

MapsintheWild Shirts

10:37
The 46 States of America & Each State Flower
sur Google Maps Mania

Close-up of the Flying Donkey map game Yesterday I had a lot of fun browsing through the Osher Map Library. The Osher Map Library and Smith Center for Cartographic Education, at the University of Southern Maine has a wonderful collection of vintage maps. Many of which you can view online.There are lots of curiosities in the collection, including the Flying Donkey Game, Yaggy's Nature in

01 June 2024
11:00
Mappery: Netherlands in a Sushi
sur Planet OSGeo

Reinder sent us a while ago this sushi roll; for a long time, I hesitated to publish it; is this real? Let’s have a conversation on our social. And for now let’s enjoy the sushis.
MapsintheWild Netherlands in a Sushi
2:00
Paul Ramsey: Cancer 10
sur Planet OSGeo

Back to entry 1

So, I got the news from pathology.

There is no cancer left in me, I am officially “cured”.

Since I am still recovering from surgery and relearning what my GI tract is going to do for the future, I don’t feel entirely cured, but I do feel the weight of wondering about the future lifted off of me.

The future will not hold any more major cancer treatments, just annual screening colonoscopies, and getting better post-surgery.

I truly have had the snack-sized experience, not that I would recommend it to anyone. Diagnosed late February, spit off the back of the conveyor belt in late May. Three months in Cancerland, three months too many.

A few days ago NBA great Bill Walton died of colorectal cancer. It’s the second most common cancer in both men and women, and you can avoid a trip to Cancerland through the simple expedient of getting screened. Don’t skip it because you are young, colorectal cancer rates amount people under 50 are going up fast, and nobody knows why (there’s something in the environment, probably).

31 May 2024
14:59
Earth Nose Game Champion 2024
sur Google Maps Mania

Welcome to the 2024 Earth Nose Game World Championship! This year's event promises to be the most exciting and innovative yet, as players from around the globe gather to showcase their unique skills and compete for the coveted title of World Earth Nose Champion. Players in this year's competition will have to be at the very top of their nasal game as the 2024 Nose Game World Championship

11:00
Mappery: Palm Springs airport
sur Planet OSGeo

Painted wall at Palm Springs airport, shared by Foonsayzee
MapsintheWild Palm Springs airport

8:54
Les données mondiales ACLED sur les conflits armés sont disponibles sur le Living Atlas ArcGIS
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Le projet de données sur la localisation et les événements des conflits armés (ACLED) est un projet de collecte, d'analyse et de cartographie de données désagrégées. ACLED est la source mondiale de données et d'analyses en temps réel de grande qualité et la plus largement utilisée sur les violences politiques et les manifestations dans le monde (des informations sur la méthodologie peuvent être trouvées dans la bibliothèque de ressources ACLED). Les praticiens, les chercheurs, les journalistes, les analystes des risques, les responsables de la sécurité des entreprises et les gouvernements comptent sur ACLED pour obtenir les dernières informations fiables sur les schémas de désordres actuels.

Les données ACLED disponibles pour tous les utilisateurs ArcGIS
Un fichier de données ACLED agrégées est désormais disponible via le Living Atlas of the World ArcGIS. Il y a trois éléments intéressants à explorer : une couche d'entités, un groupe de couches d'indicateurs clés et une carte web avec une dimension temporelle. Les données sont présentées sous forme de chiffres par mois pour l'année écoulée et sont cartographiées sur un centroïde de la première division administrative (ex. Province/Région) telle que définie par l'ACLED. Ces décomptes comprennent:
- Le nombre total d'événements par division administrative (ventilé par type d'événement) par mois
- Une estimation prudente des décès signalés par division administrative
- Le nombre total d'acteurs violents distincts actifs dans la division administrative correspondante
Grâce à ces nouvelles ressources, vous pouvez visualiser et analyser les statistiques clés sur les conflits au fil du temps pour comprendre les schémas mondiaux et régionaux actuels des conflits. Par exemple:
- Comparez les données récentes de l'ACLED à d'autres données du Living Atlas telles que l'indice de précipitation standard (SPI). Cela montre où le conflit existant peut s’aggraver en raison de l’augmentation des facteurs de stress environnementaux et où une planification d’intervention humanitaire peut donc être nécessaire :
- Vous pouvez utiliser un tableau de bord ArcGIS pour surveiller les tendances des conflits et les activités de démonstration à proximité des actifs, des lignes d'approvisionnement et des emplacements du personnel de votre organisation. Cela peut aider à éclairer les besoins et les actions de sécurité de l’entreprise:
- Vous pourrez également configurer une expression Arcade dans la fenêtre contextuelle pour comparer les statistiques ACLED sur une période de temps spécifique. Il peut signaler si le nombre d’acteurs violents augmente ou diminue dans une zone, ce qui peut contribuer à la stratégie de sécurité nationale:
Plus d'options de données d'ACLED
Bien que ces données agrégées soient disponibles pour tous les utilisateurs d'ArcGIS via le Living Atlas, des données entièrement désagrégées (sous réserve de certaines limitations en fonction de votre type d'organisation) peuvent être obtenues en s'inscrivant via le portail d'accès sur le site web de l'ACLED et en les exportant via l'outil d'exportation de données. Vous pouvez également explorer les données via d'autres outils interactifs .

8:34
gvSIG Team: The Ministry of Transport and Sustainable Mobility awards the first National Prize for Geographic Sciences to the gvSIG association
sur Planet OSGeo

The Ministry of Transport and Sustainable Mobility has awarded the gvSIG association the first National Prize for Geographic Sciences, which honors individuals or entities that have made significant contributions through special actions or professional careers in the field of Geographic Sciences. The award resolution will be published shortly in the Official State Gazette (BOE).

This award, which includes a monetary prize of 20,000 euros, is overseen by the National Geographic Information Center at the initiative of the Superior Geographic Council, the governing body of the National Cartographic System. It aims to highlight the contribution, innovation, and impact of advancements achieved in the production, updating, and everyday use of geographic information, its infrastructures, and the derived products and services.

The gvSIG Association is a Spanish non-profit entity dedicated to research, innovation, and development of free and open-source software technologies related to geographic sciences. Based on values such as collaboration, solidarity, and shared knowledge, it has become an international reference, with its catalog of technological solutions for managing geographic information being used practically worldwide.

The gvSIG Association has made significant contributions to the open-source community and geographic technologies, as well as to the promotion of standards. It has developed a range of widely used solutions that have enabled the establishment of a new successful business model, allowing small and medium-sized Spanish companies to offer services and projects in various countries.

Thus, it has carried out projects in more than thirty countries, promoting the internationalization of Spanish companies. Examples of major projects include the Spatial Data Infrastructure of Uruguay, the SDI of the State of Tocantins in Brazil, the application for identifying risks in the movements of Blue Helmets in Mali, the SDI of Repsol for managing renewable energy projects, the Urban Expansion Atlas developed for UN-Habitat, and the current development of the multipurpose cadastral management system of the Dominican Republic.

The National Prize for Geographic Sciences thus recognizes this association for its individual and collective contributions and innovations in the field of geographic sciences and engineering, geomatics, cartography, and geospatial information, as well as its significance and impact on public administrations and society in general.

The jury that recommended granting the award made its decision unanimously after evaluating the merits of a total of fourteen candidates, which raised the deliberations to a high level of excellence. The jury was chaired by the Undersecretary of Transport and Sustainable Mobility and President of the Superior Geographic Council, with the Director General of the IGN and President of the CNIG acting as vice president, and included members representing the governing bodies of the Superior Geographic Council and professional associations in the field of geographic sciences.

Source

7:41
Pas-de-Calais : le SIG, utile pour gérer une crise d’ampleur
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatique

Plus de 200 communes ont subi deux inondations majeures à quelques semaines d’écart. Indispensable pour mettre en sécurité les sinistrés ou gérer les réseaux, le SIG sert désormais à coordonner la reconstruction et à réviser certains plans. Le Lieutenant-Colonel Jérémie Degrande, Chef de la sous-direction opérationnelle du SDIS 62 fait un point. « Ce sont d’abord des crues par précipitation de certains petits cours d’eau qui s’étalent. Généralement, l’eau pénètre dans le sol, mais une fois que les nappes n’absorbent plus, le trop-plein remonte à la surface. À ce phénomène s’ajoute celui des marées et de ses coefficients qui font que la mer, seul exutoire naturel, ne fonctionne pas toujours. Il faut donc pomper et jouer entre les canaux, les écluses et les horaires ». Nécessitant beaucoup de pédagogie pour être accepté par les sinistrés, l’exercice reste courant dans ces territoires du Nord de la France historiquement gagnés sur la mer.
Retrouvez la suite de cette enquête dans le magazine SIGMAG N°40

7:14
Plugin QGIS French Locator Filter 1.1.0 : API Photon et personnalisation avancée !
sur Oslandia
Avec près de 50 000 téléchargements depuis sa première version, le plugin QGIS French Locator Filter est utilisé par de nombreux utilisateurs Français. Nous avons dernièrement eu l’occasion de le faire évoluer à l’occasion d’un projet client mais de façon significative et qui profite à tout le monde ! on prend enfin le temps de vous présenter la nouvelle version 1.1.0 !

Pour rappel ce plugin permet simplement une recherche sur la BAN (Base Nationale des Adresses) depuis la barre de recherche de QGIS (en bas à gauche de l’interface principale).

French Locator Filter dans le gestionnaire d’extensions de QGIS 3.34 LTR

Mais pourquoi une nouvelle version pour un plugin qui semble déjà répondre aux besoins des utilisateurs (on n’a quasiment aucune demande entrante) ? Tout simplement parce qu’un de nos clients avait besoin d’un autre service de géocodage et qu’on s’est dit qu’il était bien mieux de le partager avec tous plutôt que de garder ça pour nous/eux.

Encore une bonne raison pour tous d’adhérer aux principes de l’OpenSource !
- Le client : la Métropole du Grand Lyon
- Le projet : refonte de l’application Dryade (outil de gestion du patrimoine arboré) pour un passage sur QGIS
- Le besoin : permettre l’utilisation d’un outil de recherche d’adresse adossé à un service internalisé et basé sur Photon
Photon ? késako ?
Il s’agit d’une API de recherche d’adresse (géocodage) basée sur les données OpenStreetMap (OSM). Développé par Komoot, le service utilise ElasticSearch pour les recherches et se présente comme une alternative au vénérable Nominatim. Si vous voulez essayer, une instance publique est à disposition et disponible sur le site officiel de la solution : [https:]] .
document.createElement('video'); [https:]]
L’API se rapproche de celle d’Addok, brique logicielle de géocodage développée pour les besoins de la BAN et désormais bien connue et intégrée un peu partout (notamment sur adresse.gouv.fr et la Géoplateforme de l’IGN). La Métropole du Grand Lyon a déployé une instance en interne dont on peut consulter la documentation parmi les autres services liés à Data Grand Lyon.

Plutôt que de faire un autre plugin de géocodage, nous avons décidé de mutualiser un maximum de code et d’intégrer le géocodage Photon dans les fonctionnalités du plugin QGIS French Locator Filter. Certes, un travail plus long mais plus pérenne et profitable à beaucoup plus d’utilisateur/ices.

Fonctionnellement, cet ajout permet d’avoir un service indépendant avec des résultats complémentaires.
Une personnalisation plus poussée
En plus de l’enrichissement fonctionnel, nous avons également fait en sorte de rendre le plugin davantage configurable de façon à permettre à un organisme de configurer l’instance de l’API Addok ou Photon à utiliser. Accoutumés à travailler sur les problématiques de déploiement et de configuration de QGIS sur les parcs informatiques, nous en avons profité pour rendre ces différents paramètres réglables via des variables d’environnement.

French Locator Filter 1.1.0 – Variables d’environnement
Aidez vous à mieux géocoder dans QGIS
Nous souhaiterions aller encore plus loin avec le French Locator Filter et nous cherchons des partenaires pour :
- ajouter un autre service normé de géocodage, par exemple celui de la Géoplateforme de l’IGN
- aller encore plus loin dans notre intégration à QGIS avec l’utilisation de l’interface (QgsGeocoderInterface)
- profiter de cette intégration pour proposer un service de géocodage inversé
- ajouter la recherche par lot via une intégration au processing QGIS
N’hésitez pas à nous contacter sur infos@oslandia.com

Encore merci à nos partenaires SmartOrigin et Métropole du Grand Lyon qui nous ont fait confiance pour cette prestation.

Les paramètres du plugin

2:00
Camptocamp: SUEZ 3D: First version of a multi-input Cesium viewer
sur Planet OSGeo

Pièce jointe: [télécharger]

SUEZ Smart Solutions is a branch of the SUEZ Group that offers technological solutions for intelligent water and waste management. In January 2024, Suez launched a Proof of Concept (POC), a significant step in its efforts to optimize interventions on its water management network.

30 May 2024
18:05
Map Disco 2000
sur Google Maps Mania

Apropos of nothing I present to you my Dancing Polygons!This afternoon I asked ChatGPT to help me create interactive polygons from an isometric grid that I had created using turf.js. I wanted to give a click event to each diamond polygon shape in the isometric grid. However ChatGPT had other ideas and instead decided to create a series of irregular polygon shapes by connecting random

16:26
Free and Open Source GIS Ramblings: ChatGPT Data Analyst vs movement data
sur Planet OSGeo

Today, I took ChatGPT’s Data Analyst for a spin. You’ve probably seen the fancy advertising videos: just drop in a dataset and AI does all the analysis for you?! Let’s see …

Of course, I’m not going to use some lame movie database or flower petals data. Instead, let’s go all in and test with a movement dataset.

You don’t get a second chance to make a first impression, they say. — Well, Data Analyst, you didn’t impress on the first try. How hard can it be to guess the delimiter and act accordingly?

Anyway, let’s help it a little:

That looks much better. It makes an effort to guess what the columns could mean and successfully identifies the spatiotemporal information.

Now for some spatial analysis. On first try, it didn’t want to calculate the length of the trajectories in geographic terms, but we can make it to:

It will also show the code used to get to the results:

And indeed, these are close enough to the results computed using MovingPandas:

“What about plots?” I hear you ask.

For a first try, not bad at all:

Let’s see if we can push it further:

Looks like poor Data Analyst ended up in geospatial library dependency hell

It’s interesting to watch it try find a solution.

Alas, no background map appears:

Not giving up yet :)

Woah, what happened here? It claims it created an interactive map in an HTML file.

And indeed it did:

This has been a very interesting experiment for me with many highs and lows. The whole process is a bit hit and miss. But when it does work, it’s fun.

I wasn’t sure what to expect with regards to Data Analyst’s spatial data processing capabilities. Looks like there are enough examples in its training data to find solutions for the basic trajectory analysis problems I asked it solve today, eventually, at least.

What’s the conclusion? Most AI marketing videos are severely overselling the capabilities of these tools. However, that doesn’t mean that they are completely useless, either. I’m looking forward to seeing the age of smaller open source models specifically trained for geospatial analysis to finally make it unnecessary for humans to memorize data analysis library syntax.
14:25
gvSIG Team: Algo más que software
sur Planet OSGeo

Recientemente, han otorgado a gvSIG el primer Premio Nacional de Ciencias Geográficas. Un premio que se suma a la larga lista de premios recibidos y que no hace otra cosa que certificar que, sin lugar a duda, gvSIG es uno de los referentes internacionales en materia de Geomática y Geolocalización.

gvSIG tuvo su origen en 2004 en la Generalitat Valenciana. Bueno, realmente en 2004 fue cuando se liberó la primera versión del software de escritorio. La idea empezó a gestarse a finales de 2002.

Un proyecto que empezó siendo un software de escritorio y que hoy se ha convertido en una Suite que permite la gestión de integral de la información geográfica. Junto al inicial cliente de escritorio está el cliente web y la solución para dispositivos móviles; pero esto último que estoy diciendo ya os lo sabéis muy bien los asiduos de este blog.

Por mi parte, hace ya varios años que no estoy vinculado profesionalmente ni a gvSIG ni a trabajos en el ámbito de la geolocalización. Sin embargo, no ocurre así con la componente emocional. Es imposible desligarme de un proyecto que contribuí a poner en marcha desde sus orígenes y a los que he dedicado tantos años de mi vida.

Gracias a gvSIG he podido participar en numerosos congresos y sesiones de trabajo por diferentes lugares del mundo y de España. O que decir de las jornadas internacionales de gvSIG que se celebran todos los años en Valencia y de las que ya se han realizado 19 convocatorias.

Toda esta actividad me ha regalado el privilegio de conocer a mucha, pero que a mucha gente de todo el mundo. Una amplia red de personas con las que hemos colaborado sobre todo en base a unos principios compartidos.

Y es ahora, en el séptimo párrafo cuando llego a lo que realmente quería comentar. Si es que menudo rollo tengo . Recuerdo que en sus inicios se hablaba mucho de los valores de gvSIG. Los más antiguos posiblemente recordaran eso de “Más, mejor y de una forma más justa” “Un modelo de producción basado en la colaboración y en la solidaridad”, “conocimiento compartido vs especulación con conocimiento adquirido” etc.

En la evolución del proyecto cada vez se ha sido menos explícito con estos principios y se ha focalizado más en las dimensiones técnica y comercial. Algo por otra parte que considero natural. Pero sí recuerdo que esos valores eran parte fundamental del pegamento que fue constituyendo la red de amigos y colaboradores de gvSIG. Desde aquella gente que está más próxima al núcleo hasta aquellos colaboradores más puntuales.

Y es que no tengo ninguna duda que estos valores forman parte del ADN de la familia gvSIG. Esto, que algunos llaman capital humano, es el principal activo del proyecto. De ahí, mi alegría y trasladar mi felicitación al equipo de gvSIG por este éxito, que es uno más de los muchos recibidos y de los muchos por recibir.

11:05
Matrice des fonctionnalités ArcGIS Enterprise 11.3
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier
Comme je l'évoquais il y a quelques jours dans cet article, la version 11.3 d'ArcGIS Enterprise est désormais disponible. Esri vient donc de publier une version actualisée de la matrice de fonctionnalités d'ArcGIS Enterprise. Il s'agit d'un document synthétique reprenant les principales fonctionnalités par niveau de licence (Basic, Standard et Advanced) et pour les différents composants (Serveur SIG, Portail, Rôles serveur complémentaires et extensions).

Le document présente un récapitulatif des capacités relatives aux différents types d'utilisateur, extensions, rôles serveur et niveaux de licence (Standard ou Advanced) d'ArcGIS Enterprise. Il contient également des informations actualisées concernant :
- les versions des SGBD supportés
- les environnements Cloud sur lesquels ArcGIS Enterprise est déployable
- les versions des services web OGC et des standards supportés
- les standards de sécurité implémentés
- ...
Vous trouverez le fichier PDF à cette URL.

11:00
Mappery: Paris, immersive experience
sur Planet OSGeo

Simon Landauer shared this picture from an immersive experience in Paris
MapsintheWild Paris, immersive experience

10:24
Avant les JO : Sports et SIG, un duo gagnant au sommaire de SIGMAG n°41
sur SIGMAG & SIGTV.FR - Un autre regard sur la géomatique

Le magazine SIGMAG n°41, numéro de juin 2024, vient de paraître. En voici le sommaire.

DOSSIER: «Sports et SIG, le duo gagnant». Des tracés de courses à l’organisation d’événements dans des stades, le SIG est partout. Dès lors qu’il faut orienter les compétiteurs comme les organisateurs, aider les différents publics à mieux se déplacer, faciliter le travail de la sécurité et des secours ou planifier les événements eux-mêmes, le SIG est là. En marge des JO, SIGMAG enquête sur les outils numériques géoréférencés au service de l’organisation de manifestations sportives. Dossier réalisé par Valérie Handweiler avec la participation de l’Institut régional de développement du sport (IRDS), l’UTMB, CItec, Esri France, la région Hauts-de-France, OnePlan, Police cantonale de Genève, Météo France Sports, Créon Vélo CLub, arx iT, Mass Trsit Academy (SNCF) et Fit Immersion..
ENQUÊTE: «Dix ans de SIG… MAG» À l’occasion de son anniversaire, la rédaction de SIGMAG a interrogé de nombreux experts, géomaticiennes et géomaticiens. Nous leur avons demandé de regarder en arrière pour constater les principales évolutions durant ces dix dernières années du contexte dans lequel se développent les SIG, les géodonnées et les pratiques de la géomatique. Leur réflexion porte également sur les outils et les technologies mis à la disposition des acteurs, aussi bien dans la sphère professionnelle qu’auprès du grand public. Enfin, ils analysent la manière dont a progressé le métier de géomaticien depuis juin 2014. Souvent leurs positions se recoupent et se complètent, bien que nous avons dû faire des choix : impossible de tout restituer en une dizaine de pages… Cette enquête nous permet aussi de retrouver quelques connaissances, celles et ceux avec qui nous avons déjà eu l’occasion d’échanger en vue de noircir une des quelque 2.000 pages SIGMAG publiées depuis 2014. En somme, même s’il ne saurait être exhaustif, voici un retour vers le futur.

PRATIQUE: «Nantes Métropole : un SIG responsable et encadré». La Métropole a une longue expérience en matière de géodonnées. Migré depuis 2013, le SIG Métropolitain a atteint sa maturité et continue de s’enrichir. Sa force : permettre de prendre de la hauteur pour mieux observer et orienter les décisions.

GUIDE:  «Voir la réalité directement depuis son SIG». L’imagerie orientée est devenue une source de donnée standard pour Esri. L’utilisateur y voit l’intérêt d’augmenter sa capacité à travailler Ave des données que l’on peut visuellement attester. Dans le pas-à-pas réalisé pour les lecteurs de SIGMAG par notre partenaire arcOrama, découvrez comment intégrer, des photos d’équipement télécom prises sur le terrain en tant que couche d’imagerie orientée ArcGIS.
Découvrez également en page Guide les nouveautés solutions Esri, ainsi que le portrait de la société belge SIGGIS qui accompagne ses clients en leur proposant une offre SIG combinée, entre le plate-forme ArcGIS et les solutions Vertigis.
DÉCOUVERTE: «Les arts numériques subliment Metz». Durant l’été, le festival international Constellations révèle le territoire messin et le transforme en musée à ciel ouvert. Il s’appuie sur l’art numérique, lui faisant revêtir toutes ses formes et tous ses angles

D’autres articles sont à découvrir dans les différentes rubriques de SIGMAG, comme le portrait de Jonathan Sidgwick (CA Grand Montauban) et en Perspectives, la suite de la série proposée par Daniel Ribeiro (GeoDataSolutions) qui vous propose de découvrir comment il est possible de rendre plus vert logiciels et SIG.
SIGMAG n°41 est disponible en version numérique à partir du 30 mai 2024

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À noter : les premières pages de ce magazine sont accessibles gratuitement.

Les abonnés à la version papier le recevront à partir du 10 juin 2024.

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9:16
Oslandia: (Fr) Topographie et topologie dans et autour de QGIS
sur Planet OSGeo
Since 2018 and the arrival of Loïc Bartoletti, Oslandia has accelerated its focus on topography and topology within and around QGIS.

Two questions have driven this focus:
- How to draw directly in GIS by integrating drawing tools inspired by the CAD world into QGIS.
- How to integrate plugins for topographic calculations directly into QGIS.
To address this, Oslandia has worked on several fronts: training, developing open-source plugins, and improvements in QGIS.
1- Plugins
The following plugins were developed by Oslandia or partners, with contributions from Oslandia:
- landsurveycodesimport : [https:]]
  A plugin for surveyors working with the point coding methodology in topography.
- QompliGIS : [https:]]
  A tool to ensure your dataset or plan complies with a specification.
- Total Open Station : [https:]]
  An open-source project initiated by Italian and French archaeologists, it is a tool to convert various formats of survey field books.
- Topaze : [https:]]
  A topometric calculation tool developed with Jean-Marie Arsac (Azimut). It was a proof of concept that such calculations can be done within a GIS.
These plugins can be used at different stages of a project. They can be used all together or only those needed and integrated into workflows.
2- Improvements on QGIS
Oslandia also focuses on improving the core of QGIS. Last years, our teams have worked on:

— Integration of shape tools: circles, ellipses, rectangles, regular polygons, etc.
— Improvement of snapping tools.
— Enhancement of Z and M coordinate support.
— Improvement of topological tools (relationships between geometries).

Coming soon is the possibility to use geometry and topology validation and correction plugins directly in QGIS processing tools, developed by Jacky Volpès and Loïc Bartoletti.
3- Training
Oslandia is QUALIOPI certified and offers a training program around QGIS and QField:
- Drawing: Transition from CAD to GIS with QGIS: https://oslandia.com/formations/qgis3-dessiner-avec-qgis/
- Topography with QGIS (LSCI, Topaze, QompliGIS, Total Open Station)
- QField Training
- Deployment of QField Cloud
« In 2023, 89 people were trained by Oslandia, who recommend our training at 90.9%.»
4- And QField ?
Since our partnership with OPENGIS.ch, Oslandia offers QField Cloud server deployment services, training, and QField support.
5- Coming Soon!
Several technical posts are being prepared: how to open CAD files in a GIS? What are the differences between QField and LSCI? You will find them on our website in the coming weeks.

Additionally, we are preparing a white paper on the topic of migrating from CAD to QGIS, which we should release in September.

Stay tuned!
8:55
QGIS Blog: Felt renews their Flagship-level Sustaining Membership
sur Planet OSGeo

We’re delighted to announce Felt’s continued flagship-level sustaining membership of QGIS. Felt’s contributions will allow us to continuously improve QGIS’ functionality and documentation, as well as the QGIS project infrastructure, including our 2024 Grant Programme.

In addition to their membership, Felt is releasing a new version of the “Add To Felt” QGIS plugin. Developed by the talented team at North Road, the plugin makes it easy to upload your data from QGIS to the web, where you can share it with colleagues and clients. The newest release includes raster data support and more robust preservation of styles from QGIS to Felt. This enables seamless integration and a flexible workflow between your desktop and the web.

Don’t miss your chance to meet Felt’s team presenting “Add To Felt” at tomorrow’s QGIS Open Day.
Felt is the first user-friendly, collaboration tool for making and sharing the maps that drive your business. Felt makes it easy to visualize your data and communicate across teams quickly. Learn more at felt.com.

8:05
Are these are the safest streets in the world?
sur Google Maps Mania

Vision Zero is a global strategy aimed at eliminating all traffic fatalities. It is a vision built on the principle that the loss of life from road traffic accidents is unacceptable and preventable. Unfortunately many people believe that achieving zero road fatalities is impossible, especially in urban environments. The DEKRA Vision Zero Map not only shows that the Vision Zero goal is

7:04
Topographie et topologie dans et autour de QGIS
sur Oslandia
La réflexion sur la topographie et la topologie dans et autour de QGIS s’est accélérée chez Oslandia depuis 2018 et l’arrivée de Loïc Bartoletti.

Deux questions ont alimenté cette réflexion :
- Comment dessiner directement dans le SIG en intégrant des outils de dessin inspirés du monde de la DAO dans QGIS ;
- Comment intégrer des plugins pour les calculs topographiques directement dans QGIS.
Pour cela, Oslandia a travaillé sur plusieurs axes : formation, développement de plugins open source et améliorations dans QGIS.
1- Les plugins
Les plugins ci-dessous ont été développés par Oslandia ou par des partenaires, avec des contributions Oslandia :
- landsurveycodesimport : [https:]]
  Un plugin pour les topographes qui travaillent avec la méthodologie de codification des points de topographie.
- QompliGIS : [https:]]
  Un outil pour conformer son jeu de données, son plan par rapport à un cahier des charges.
- Total Open Station : [https:]]
  Projet open source né à l’initiative d’archéologues italiens et français, c’est un outil pour convertir les différents formats de carnets de terrain des appareils des topographes.
- Topaze : [https:]]
  Un outil de calcul topométrique développé avec Jean-Marie Arsac (Azimut). Il s’agissait d’une preuve de concept que ce genre de calculs peut se faire dans un SIG.
Ces plugins peuvent être utilisés à différents moments d’un projet. On peut les utiliser tous ensemble ou seulement ceux dont on a besoin et les intégrer dans des traitements.
2- Les améliorations sur QGIS
Oslandia se mobilise également pour apporter des améliorations dans le cœur QGIS. Ces dernières années, nos équipes ont notamment travaillé sur :

— intégration d’outils de forme : cercles, ellipses, rectangles, polygones réguliers, … ;
— amélioration des outils d’accrochage ;
— amélioration du support des coordonnées Z et M ;
— amélioration des outils topologiques (relations entre les géométries).

À venir, la possibilité d’utiliser les plugins de vérification et de correction de la géométrie et de la topologie directement dans les outils de traitements de QGIS développé par Jacky Volpès et Loïc Bartoletti.
3- Les formations
Oslandia est certifié QUALIOPI et propose un programme de formations autour de QGIS et QField :
- Dessin : passer de la DAO au SIG avec QGIS : [https:]]
- La topographie avec QGIS (LSCI, Topaze, QompliGIS, Total Open Station)
- Formation à QField
- Déploiement de QField Cloud
« En 2023, 89 personnes ont été formées par Oslandia, qui recommandent nos formations à 90,9% »
4- Et QField ?
Depuis la mise en œuvre du partenariat avec OPENGIS.ch, Oslandia propose des prestations de déploiement de serveurs QField Cloud, des formations et de l’assistance QField.
5- À venir !
Plusieurs billets techniques sont en cours de préparation : comment ouvrir les fichiers DAO dans un SIG ? Quelles différences entre QField et LSCI ? Vous pourrez les retrouver sur notre site dans les prochaines semaines.

Par ailleurs, nous préparons un livre blanc sur le thème de la migration de la DAO vers QGIS que nous devrions sortir en septembre.

Restez connectés !

29 May 2024
18:52
Oslandia: (Fr) Plugin QGIS French Locator Filter 1.1.0 : API Photon et personnalisation avancée !
sur Planet OSGeo

Sorry, this entry is only available in French.

11:54
Maintenance sur l'infrastructure Géoplateforme le 12 juin
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGN

Maintenance sur l'infrastructure Géoplateforme le 12/06/2024

11:00
Mappery: London dressing gown
sur Planet OSGeo

Angharad Stone shared her London dressing gown.
MapsintheWild London dressing gown

10:00
Ils utilisent Ma Carte : Interfaces et ambiances sonores à la Madrague - Montredon
sur Toute l’actualité des Geoservices de l'IGN

Ces cartes illustrent de manière originale comment associer le son à un rendu cartographique plus traditionnel pour permettre à un utilisateur de se plonger dans l’ambiance (sonore) d’une ville, d’un quartier.

9:03
gvSIG Team: Premio Nacional de Ciencias Geográficas… agradecimientos
sur Planet OSGeo

Estamos sobrepasados emocionalmente por el número de agradecimientos y apoyos recibidos al darse a conocer que la Asociación gvSIG ha recibido el primer Premio Nacional de Ciencias Geográficas que se otorga en España.

Sin duda este premio está compuesto de muchos pedacitos, de muchas organizaciones y personas que han ido sumando a este proyecto. Este post quiere agradecer a algunas de estas entidades que han dado su apoyo a la candidatura de la Asociación gvSIG en una lista que tiende a infinito. ¡Gracias!

Universidad Autónoma del Estado de México (UAEM), Universidad Nacional de Misiones de Argentina (UNaM), Universidad Católica de la Santísima Concepción de Chile (UCSC), Instituto Tecnológico de Informática (ITI), Gaia-X, Centro de Investigação em Ciências Geo-Espaciais (CICGE) – Faculdade de Ciências da Universidade do Porto, North Carolina State University (NC State University), Universidad Politécnica de Madrid (UPM), Massachusetts Institute of Technology (MIT), Universidad Politécnica de Cartagena (UPCT), University of New Hampshire, Universidad Central “Marta Abreu” de Las Villas – Cuba, Asamblea de Cooperación por la Paz (ACPP), Instituto de Geografía de la Universidad de Buenos Aires, Centro de Investigaciones en Geografía Ambiental de la Universidad Nacional Autonóma de México (UNAM), Colegio Profesional de Delineantes y Diseñadores Te?nicos de Andalucía (CODTA), European Commission open source programme office, Universitat Jaume I de Castellón, Infraestructura de Datos Espaciales del Uruguay, Institute of Applied Physics (IFAC) – National Research Council (CNR) de Italia, Ordnance Survey (United Kingdom National Mapping Agency), Universidad Nacional de General Sarmiento de Argentina, Open Source Geospatial Foundation (OSGeo), Diputación de Albacete, Laberit Sistemas, DISID Corporation, SCOLAB Software Colaborativo, Ayuntamiento de Talavera de la Reina, Universidad Don Bosco de El Salvador, Universitat de València, Green Urban Data, eGeoMapping, Revista Internacional de Geomática y Ciencias de la Tierra MAPPING, Grupo MERCATOR: Tecnologías de la GeoInformación y Agentes inteligentes, Universidad Nacional de Moreno, Instituto Federal do Pará de Brasil, Observatorio de Estudios sobre Convivencia y Seguridad Ciudadana – Gobierno de la provincia de Córdoba de Argentina, Universidad de Santiago de Chile, Universidad de La Laguna, Universidade da Coruña, Universidad de Coimbra – Portugal, Instituto Panamericano de Geografía e Historia (IPGH), Mundialis GmbH & Co, Kalios Geospatial Technologies – India, Ayuntamiento de Castellón, Consorcio Provincial de Bomberos de Valencia (CPBV), Smart to People Solutions, Comunidade Intermunicipal do Alto Tâmega e Barroso, Tresca Ingeniería, Avansig, Intendencia de Montevideo – Uruguay, Ayuntamiento de Valencia, Instituto Nacional de Estadística y Geografía de México (INEGI), Conselleria de Medio Ambiente, Agua, Infraestructuras y Territorio de la Generalitat Valenciana, Washington State Department of Transportation, Pavapark Movilidad, Innovación, Cooperación, Cartografía y Territorio (iCarto), Politecnico Milano, Ayuntamiento de Cartagena, Istanbul University, Ayuntamiento de Albacete, Universitat Politècnica de Catalunya (UPC), Universidad de las Azores, Fundación Forjando Futuros, Universidad de Costa Rica, Ion Creanga State Pedagogical University – República de Moldavia, Sociedad de Ingenieros Geodestas, Geomáticos y Agrimensores de Venezuela (SIGGMA), Asociación Española de Geómetras Expertos (GEX), Ayuntamiento de Úbeda, Empresa Brasileira de Pesquisa Agropecuária (EMBRAPA), GIZ cono Sur, Universidad de Playa Ancha – Chile, LandNetwork GmbH, Universitat Politècnica de València, Ajuntament d’Onda, ASECRIM, Laboratorio Internacional de Tecnología e Investigación Espacial (ISTAR) – México, Gobierno de la República Dominicana, Universidad Regional Amazónica Ikiam, Comunidad gvSIG Uruguay, Confederación Empresarial de la Comunitat Valenciana (CEV), Ayuntamiento de l’Eliana, IdeasG – Perú, Hímaco (História, Mapas e Computadores) – Universidade Federal de São Paulo (UFSP), Instituto de Geografía UNAM, Instituto Valenciano de Competitividad Empresarial (IVACE), Mancomunitat del Pla de Mallorca, DALEPH, Alkante – Francia, Geospatial Enabling Technologies, Universidad Filadelfia de México, Geomática del Golfo, Université Rennes 2 – Francia, Universitat Oberta de Catalunya, Infraestructura de Datos Espaciales de Santa Fe (IDESF), Asociación para la prevención de incendios forestales (PREVIFOR), Universidad Internacional de Valencia (VIU), Universidad de Castilla – La Mancha (UCLM), Map4Business, GAUSSGEO Geotecnologia e Engenharia LTDA, Intendencia Departamental de Durazno, NISR, VinfoVAL, Geodireito – Planejamento e Regulação Ltda, Governo do Estado Tocantins – Brasil, Ajuntament d’Alzira, Universidad de Belgrano, Universidad de las Fuerzas Armadas ESPE – Ecuador, MundoGEO, Ajuntament de Torrent, Indromeda, Corredor Mediterráneo del Gobierno de España (MITMA-Adif), Programa Iberoamericano de Ciencia y Tecnología para el Desarrollo (CYTED), Instituto Tecnológico de Canarias, Alumni UPV, Universidad de La Rioja, Diputació de Barcelona, Geoscan Consultoría, Universidad Autonóma de Sinaloa,…

8:07
The Loss of the Great American Grasslands
sur Google Maps Mania

The Cornell Lab of Ornithology and the Act for Grasslands. have teamed up to map the loss of grasslands in the United States. Over 2 million acres of American grasslands are lost on average every year. The result of which has a devastating effect on American wildlife. Using historical satellite records Map for Grasslands has tracked grassland loss in the USA over the last 30 years. By

28 May 2024
15:18
OPENGIS.ch: The PostgreSQL Connection Service File and Why We Love It
sur Planet OSGeo
The PostgreSQL Connection Service File pg_service.conf is nothing new. It has existed for quite some time and maybe you have already used it sometimes too. But not only the new QGIS plugin PG service parser is a reason to write about our love for this file, as well we generally think it’s time to show you how it can be used for really cool things.
What is the Connection Service File?
The Connection Service File allows you to save connection settings for each so-called “service” locally.

So when you have a database called gis on a local PostgreSQL with port 5432 and username/password is docker/docker you can store this as a service called my-local-gis.
```
# Local GIS Database for Testing purposes
```
[my-local-gis]
host=localhost port=5432 dbname=gis user=docker password=docker

This Connection Service File is called pg_service.conf and is by client applications (such as psql or QGIS) generally found directly in the user directory. In Windows it is then found in the user’s application directory postgresql.pg_service.conf. And in Linux it is by default located directly in the user’s directory ~/.pg_service.conf.

But it doesn’t necessarily have to be there. The file can be anywhere on the system (or on a network drive) as long as you set the environment variable PGSERVICEFILE accordingly:
```
export PGSERVICEFILE=/home/dave/connectionfiles/pg_service.conf 
```
Once you have done this, the client applications will search there first – and find it.

If the above are not set, there is also another environment variable PGSYSCONFDIR which is a folder which is searched for the file pg_service.conf.

Once you have this, the service name can be used in the client application. That means in psql it would look like this:
```
~$ psql service=my-local-gis
psql (14.11 (Ubuntu 14.11-0ubuntu0.22.04.1), server 14.5 (Debian 14.5-1.pgdg110+1))
SSL connection (protocol: TLSv1.3, cipher: TLS_AES_256_GCM_SHA384, bits: 256, compression: off)
Type "help" for help.

gis=#
```
And in QGIS like this:

If you then add a layer in QGIS, only the name of the service is written in the project file. Neither the connection parameters nor username/password are saved. In addition to the security aspect, this has various advantages, more on this below.

But you don’t have to pass all of these parameters to a service. If you only pass parts of them (e.g. without the database), then you have to pass them when the connection is called:
```
$psql "service=my-local-gis dbname=gis"
psql (14.11 (Ubuntu 14.11-0ubuntu0.22.04.1), server 14.5 (Debian 14.5-1.pgdg110+1))
SSL connection (protocol: TLSv1.3, cipher: TLS_AES_256_GCM_SHA384, bits: 256, compression: off)
Type "help" for help.

gis=#
```
You can also override parameters. If you have a database gis configured in the service, but you want to connect the database web, you can specify the service and explicit the database:
```
$psql "service=my-local-gis dbname=web"
psql (14.11 (Ubuntu 14.11-0ubuntu0.22.04.1), server 14.5 (Debian 14.5-1.pgdg110+1))
SSL connection (protocol: TLSv1.3, cipher: TLS_AES_256_GCM_SHA384, bits: 256, compression: off)
Type "help" for help.

web=#
```
Of course the same applies to QGIS.

And regarding the environment variables mentioned, you can also set a standard service.
```
export PGSERVICE=my-local-gis
```
Particularly pleasant in daily work with always the same database.
```
$ psql
psql (14.11 (Ubuntu 14.11-0ubuntu0.22.04.1), server 14.5 (Debian 14.5-1.pgdg110+1))
SSL connection (protocol: TLSv1.3, cipher: TLS_AES_256_GCM_SHA384, bits: 256, compression: off)
Type "help" for help.

gis=#
```
And why is it particularly cool?
There are several reasons why such a file is useful:
- Security: You don’t have to save the connection parameters anywhere in the client files (e.g. QGIS project files). Keep in mind that they are still plain text in the service file.
- Decoupling: You can change the connection parameters without having to change the settings in client files (e.g. QGIS project files).
- Multi-User: You can save the file on a network drive. As long as the environment variable of the local systems points to this file, all users can access the database with the same parameters.
- Diversity: You can use the same project file to access different databases with the same structure if only the name of the service remains the same.
For the last reason, here are three use cases.
Support-Case
Someone reports a problem in QGIS on a specific case with their database. Since the problem cannot be reproduced, they send us a DB dump of a schema and a QGIS project file. The layers in the QGIS project file are linked to a service. Now we can restore the dump on our local database and access it with our own, but same named, service. The problem can be reproduced.
INTERLIS
With INTERLIS the structure of a database schema is precisely specified. If e.g. the canton has built the physical database for it and configured a supernice QGIS project, they can provide the project file to a company without also providing the database structure. The company can build the schema based on the INTERLIS model on its own PostgreSQL database and access it using its own service with the same name.
Test/Prod Switching
You can access a test and a production database with the same QGIS project if you have set the environment variable for the connection service file accordingly per QGIS profile.

You create two connection service files.

The one to the test database /home/dave/connectionfiles/test/pg_service.conf:
```
[my-local-gis]
host=localhost
port=54322
dbname=gis-test
```
And the one for the production database /home/dave/connectionfiles/prod/pg_service.conf:
```
[my-local-gis]
host=localhost
port=54322
dbname=gis-productive
```
In QGIS you create two profiles “Test” and “Prod”:

And you set the environment variable for each profile PGSERVICEFILE which should be used (in the menu Settings > Options… and there under System scroll down to Environment

or

If you now use the service my-local-gis in a QGIS layer, it connects the database prod in the “Prod” profile and the database test in the “Test” profile.
The authentication configuration
Let’s have a look at the authentication. If you have the connection service file on a network drive and make it available to several users, you may not want everyone to access it with the same login. Or you generally don’t want any user information in this file. This can be elegantly combined with the authentication configuration in QGIS.

If you want to make a QGIS project file available to multiple users, you create the layers with a service. This service contains all connection parameters except the login information.

This login information is transferred using QGIS authentication.

You also configure this authentication per QGIS profile we mentioned above. This is done via Menu Settings > Options… and there under Authentication:

(or directly where you create the PostgreSQL connection)

If you add such a layer, the service and the ID of the authentication configuration are saved in the QGIS project file. This is in this case mylogin. Of course this name must be communicated to the other users so that they can also set the ID for their login to mylogin.

Of course, you can use multiple authentication configurations per profile.
QGIS Plugin
And yes, there is now a great plugin to configure these services directly in QGIS. This means you no longer have to deal with text-based INI files. It’s called PG service parser:

It finds the connection service file according to the mentioned environment variables PGSERVICEFILE or PGSYSCONFDIR or at its default location.

As well it’s super easy to create new services by duplicating existing ones.
And for the Devs
And what would a blog post be without some geek food? The back end of this plugin is published on PYPI and can be easily installed with pip install pgserviceparser and then be used in Python.

For example to list all the service names.
```
>>> import pgserviceparser
>>> pgserviceparser.service_names()
['my-local-gis', 'another-local-gis', 'opengisch-demo-pg']
```
Optionally you can pass a config file path. Otherwise it gets it by the mentioned mechanism.

Or to receive the configuration from the given service name as a dict.
```
>>> pgserviceparser.service_config('my-local-gis')
{'host': 'localhost', 'port': '54322', 'dbname': 'gis', 'user': 'docker', 'password': 'docker'}
```
There are some more functions. Check them out here on GitHub or in the documentation.
Well then
We hope you share our enthusiasm for this beautiful file – at least after reading this blog post. And if not – feel free to tell us why you don’t in the comments
14:53
GeoSolutions: GeoSolutions presenting at FOSS4G 2024 Europe in Tartu (Estonia)
sur Planet OSGeo

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14:44
gvSIG Team: Transportes concede el primer Premio Nacional de Ciencias Geográficas a la asociación gvSIG
sur Planet OSGeo

Reproducimos la nota de prensa oficial:

El Ministerio de Transportes y Movilidad Sostenible ha galardonado a la asociación gvSIG con el primer Premio Nacional de Ciencias Geográficas, que recompensa a personas o entidades que hayan contribuido de forma especial o mediante su actuación singular o trayectoria profesional al campo de las Ciencias Geográficas. La resolución de concesión se publicará próximamente en el Boletín Oficial del Estado (BOE).

Este galardón, con una dotación económica de 20.000 euros, es instruido por el Centro Nacional de Información Geográfica a iniciativa del Consejo Superior Geográfico, órgano de dirección del Sistema Cartográfico Nacional, y trata de poner en valor la aportación, innovación e impacto de los avances conseguidos en la producción, actualización y uso cotidiano de la información geográfica, sus infraestructuras y los productos y servicios derivados de ella.

La Asociación gvSIG es una entidad española sin ánimo de lucro, dedicada a la investigación, innovación y desarrollo de tecnologías de software libre y código abierto relacionadas con las ciencias geográficas. Basándose en valores como la colaboración, la solidaridad y el conocimiento compartido, se ha convertido en un referente internacional, siendo su catálogo de soluciones tecnológicas para la gestión de información geográfica utilizado en la práctica totalidad del planeta.

La Asociación gvSIG ha contribuido notablemente a la comunidad de código abierto y a las tecnologías geográficas, así como al impulso de estándares, desarrollando una serie de soluciones de amplio uso que han permitido constituir un nuevo modelo de negocio exitoso que permite a pequeñas y medianas empresas españolas ofrecer servicios y proyectos en diversos países.

De este modo, ha realizado proyectos en más de treinta países, fomentando la internacionalización de empresas españolas. Entre los ejemplos de grandes proyectos se encuentran la Infraestructura de Datos Espaciales de Uruguay, la IDE del Estado de Tocantins en Brasil, la aplicación para identificación de riesgos en los desplazamientos de los Cascos Azules en Malí o la IDE de Repsol para la gestión de proyectos de energías renovables, el Atlas de Expansión Urbana desarrollado para ONU-Habitat o el actual desarrollo del sistema de gestión de Catastro Multipropósito de la República Dominicana.
Aportación a las Ciencias Geográficas
El Premio Nacional de Ciencias Geográficas reconoce así a esta asociación su aportación e innovación, individual y colectiva, en el campo de las ciencias e ingeniería geográficas, la geomática, la cartografía y la información geoespacial, y su trascendencia, e impacto en el conjunto de las administraciones públicas y de la sociedad en general.

El jurado que ha informado el otorgamiento del galardón ha adoptado su decisión por unanimidad, tras valorar los méritos aportados por un total de catorce candidaturas que elevaron las deliberaciones a un nivel de gran excelencia. Ha estado presidido por el subsecretario de Transportes y Movilidad Sostenible y presidente del Consejo Superior Geográfico, actuando como vicepresidente el director general del IGN y presidente del CNIG, y contando como miembros a los representantes de los órganos de gobierno del Consejo Superior Geográfico y de colegios profesionales en el ámbito de las ciencias geográficas.

14:00
Réaliser des cartes avec Blender - Partie 1
sur Geotribu

Réaliser des cartes de relief avec le logiciel libre 3D Blender. Partie 1 : préparer les données avec GDAL et/ou QGIS.

11:00
Mappery: Maps rock!
sur Planet OSGeo

In case there would be any doubts, Maps Rock! Thanks, Dean, for sharing this badge.
MapsintheWild Maps rock!

10:56
The Death of Japantown
sur Google Maps Mania

I'm a little late to this one but last month the San Francisco Chronicle published a superb story map documenting the effect of America's internment of Japanese American citizens in World War II on San Francisco's Japantown District.Following the Japanese attack on Pearl Harbor in 1941, President Franklin D. Roosevelt signed Executive Order 9066. This order led to the forced removal and

8:58
Les nouveautés d'ArcGIS Enterprise 11.3
sur arcOrama, un blog sur les SIG, ceux d ESRI en particulier

ArcGIS Enterprise est la technologie serveur, installée dans votre infrastructure (on-premise), qui vous permet la diffusion de services web géospatiaux (couches 2D/3D, cartes, géotraitements, BigData, Imagerie, flux IoT temps-réel, flux vidéo, ....) dans un contexte sécurisé via le portail ArcGIS. Depuis quelques jours, la version 11.3 d'ArcGIS Enterprise est disponible. Cette version 11.3 est une version majeure LTS (proposant un support à long terme) qui regorge de nouvelles fonctionnalités et d'améliorations pour améliorer l'expérience SIG des membres de votre organisation. De la gestion de contenu simplifiée aux capacités d'analyse améliorées en passant par les outils de visualisation plus puissants et des améliorations de de toutes les apps du portail ArcGIS, cette version permet aux organisations d'obtenir plus de résultats et plus rapidement à partir de leurs données géolocalisées.

Le Portail d'ArcGIS Enterprise
ArcGIS Enterprise 11.3 introduit de nombreuses nouveautés dans le portail ArcGIS Enterprise. Ces améliorations ont pour objectif de répondre à vos besoins en matière de cartographie, de visualisation et d'analyse pour travailler avec des données 2D et 3D. Enterprise 11.3 introduit également le nouvel éditeur de métadonnées et de nombreuses améliorations d'administration.

Mises à jour de Map Viewer
Map Viewer prend désormais en charge quatre nouveaux types de champs pour la gestion des données de date et d'heure. Les champs Date uniquement (Date Only) , Heure uniquement (Time Only), Décalage d'horodatage (Timestamp Offset) et Grand entier (Big Integer) vous permettent notamment d'avoir plus de contrôle lorsque vous travaillez avec des données temporelles et de prendre en charge les ObjectID sur 64-bit. Par exemple, les champs "Date uniquement" et "Heure uniquement" sont utiles si vous disposez de données qui ne nécessitent pas à la fois des données et une heure. Le type "Date uniquement" peut être utilisé pour les anniversaires ou les dates de début et de fin de l'année scolaire, tandis que "Heure uniquement" peut être utilisé pour les heures d'ouverture et de fermeture d'une entreprise. Ces types de champs étaient une fonctionnalité beta dans ArcGIS Enterprise 11.2 et sont désormais généralement officiellement supportées dans Enterprise 11.3.
Une autre amélioration liée aux données temporelles est la possibilité de définir désormais des fuseaux horaires spécifiques pour vos cartes web. Auparavant, les données temporelles étaient toujours affichées dans le fuseau horaire de l'appareil (navigateur web, téléphone portable, etc.) à partir duquel l'utilisateur accédait à la carte. Cela signifiait que les utilisateurs qui accédaient à des cartes web à partir de différents fuseaux horaires verraient des valeurs de date et d'heure différentes. Vous pouvez choisir de définir une carte web sur un fuseau horaire spécifique ou sur le fuseau horaire de l'appareil. Si vous choisissez un fuseau horaire spécifique pour votre carte web, tous les utilisateurs verront les mêmes valeurs de date et d'heure, quel que soit l'endroit à partir duquel ils accèdent à la carte. Le widget d'étiquette de fuseau horaire affiche le fuseau horaire de la carte web, ce qui permet aux utilisateurs de savoir facilement dans quel fuseau horaire les valeurs de date et d'heure s'affichent.
Des améliorations ont également été apportées lorsque vous travaillez avec des enregistrements associés dans Map Viewer. Vous pouvez désormais utiliser et modifier des enregistrements associés pour les relations entité à entité. Ceci est pris en charge pour les couches d’entités et les sous-couches d’entités hébergées et référencées au sein d’une couche d'un service de carte. Ces enregistrements associés peuvent également être affichés sous forme de fenêtre contextuelle dans Map Viewer.

Map Viewer prend désormais en charge la possibilité de dupliquer des entités de dessin. Vous sélectionnerez simplement l'entité de dessin que vous souhaitez dupliquer, puis cliquez sur le bouton "Dupliquer". La nouvelle entité de dessin sera créée au même emplacement que l'entité d'origine et aura les mêmes attributs. Vous pouvez également copier des entités de dessin vers une nouvelle couche de dessin. Cela peut être utile si vous souhaitez créer une sauvegarde de vos entités de dessin ou si vous souhaitez les utiliser sur une autre carte. Pour copier des entités de dessin vers une nouvelle couche, vous sélectionnerez simplement les entités que vous souhaitez copier, puis cliquez sur le bouton "Copier vers une nouvelle couche" dans la barre d'outils de dessin.

Une autre nouvelle fonctionnalité de Map Viewer est la possibilité d'activer les info-bulles pour afficher les dimensions des entités lors du dessin des entités de dessin. Cela peut s'avérer utile lorsque vous essayez de créer des entités de dessin précises. Pour activer les info-bulles, cliquez simplement sur le bouton "Activer les info-bulles" dans la barre d'outils de dessin.
Enfin, vous pouvez désormais ajouter des titres et des fenêtres contextuelles à plusieurs entités de dessin en une seule fois. Cela peut vous faire gagner du temps si vous créez un grand nombre d'entités. Pour ajouter des titres et des fenêtres contextuelles à plusieurs entités de dessin, vous sélectionnerez simplement les entités que vous souhaitez modifier, puis cliquez sur le bouton "Ajouter des titres et des fenêtres contextuelles" dans la barre d'outils de dessin. Pour plus d'informations, consultez la page relatives aux Nouveautés.

Mises à jour de Scene Viewer
Cette version 11.3 introduit des améliorations significatives à Scene Viewer, pour améliorer l'expérience utilisateur et rationaliser les flux de travail. L'application Scene Viewer prend désormais en charge les modifications directes d'une couche de scène de photomaillage 3D (3D Textured Mesh) dans le navigateur. En quelques clics, vous pourrez découper, masquer ou remplacer une ou plusieurs parties de votre couche de photomaillage 3D. De plus, un nouveau mode de présentation "simplifié" comporte un minimum d'éléments d'interface utilisateur et un ruban de diapositives minimaliste pour une navigation facile, ce qui le rend idéal pour présenter et communiquer du contenu et des scènes web 3D avec vos collaborateurs.

Les fenêtres contextuelles des couches de scènes web 3D ont également été améliorées, permettant aux utilisateurs d'utiliser les expressions Arcade et d'afficher les enregistrements associés. Cette nouvelle fonctionnalité permet aux utilisateurs d'accéder visuellement à une multitude d'informations supplémentaires, améliorant ainsi l'interactivité et l'exploration des données 3D. L'application Scene Viewer inclut désormais la prise en charge de contrainte lors des phases de la création / mise à jour des géométries des entités, ce qui permet des modifications plus précises et concises.
On notera également que les fonds de carte 3D, auparavant en version beta dans Enterprise 11.2, sont désormais officiellement pris en charge dans Enterprise 11.3. Cette prise en charge a également été étendue pour offrir aux utilisateurs une gamme plus large de fonds de carte 3D, facilitant la création de scènes visuellement attrayantes et informatives. Ces mises à jour améliorent considérablement l'expérience utilisateur globale dans Scene Viewer, permettant aux utilisateurs de visualiser, analyser et présenter efficacement leurs données 3D. Consultez le blog pour en savoir plus .

Mises à jour des capacités d'analyse
En termes d'analyse, la version 11.3 d'ArcGIS Enterprise offre aux utilisateurs une flexibilité accrue et un accès à de nouvelles fonctionnalités, afin que vous puissiez améliorer vos flux de travail et tirer le meilleur parti de vos données et de votre serveur SIG.
L'une des évolutions les plus notables est la prise en charge des outils web personnalisés dans Map Viewer. Les outils web personnalisés peuvent être créés à partir d'un Notebook ou d'un service de géotraitement, d'un script ou d'un modèle de géotraitement. Ils peuvent également être utilisés pour effectuer une grande variété de tâches, telles que de l'analyse spatiale, du traitement de données et la visualisation des résultats directement dans votre carte web.
Une autre innovation importante est le support des services de carte (Map Service) en tant qu'entités en entrée pour une analyse. Cela peut être utile lorsque vous souhaitez analyser des données stockées dans un service de carte. Par exemple, vous pouvez utiliser un service de carte pour les données socio-démographiques de référence afin d'effectuer une analyse spatiale de ces données.
En plus de ces mises à jour majeures, il existe plusieurs nouveaux outils d'analyse et fonctions raster, tels que "Géocoder des localisations à partir d'une table" et "Calculer un indice composite". Ils offrent des fonctionnalités supplémentaires pour l'analyse spatiale et la gestion des données. Du coté des fonctions raster, de nouveaux outils tels que "Dégrader" et "Interpoler le raster par dimension" offrent également des options d'analyse et de visualisation supplémentaires. Pour une liste complète des nouveaux outils d'analyse et fonctions raster dans ArcGIS Enterprise 11.3, vous pouvez consulter la documentation.

Processus de calcul d'un indice composite

Éditeur de métadonnées
Le nouvel éditeur de métadonnées fournit une interface intuitive et conviviale pour une expérience simplifiée de la saisie et la gestion des métadonnées de vos contenus géospatiaux. Les utilisateurs peuvent rapidement compléter ce qui est nécessaire dans la section "Métadonnées essentielles" et compléter une documentation plus détaillée dans la section "Toutes les métadonnées".

De plus, un nouvel outil de recherche a été ajouté qui permet aux utilisateurs de trouver des éléments de métadonnées correspondants, ainsi que d'autres outils pour les télécharger, les écraser et les réinitialiser. Les administrateurs peuvent activer l'éditeur de métadonnées pour leur organisation.

Une fois activé, le nouvel éditeur est l'option par défaut, mais l'éditeur de métadonnées classique est toujours disponible. L'éditeur de métadonnées a été initialement introduit en tant que fonctionnalité bêta dans Enterprise 11.2 et est désormais entièrement pris en charge dans Enterprise 11.3. Consultez la documentation pour en savoir plus sur les fonctionnalités.

Mises à jour liée à l'administration du portail ArcGIS Enterprise Une nouvelle option permet aux organisations de bloquer certaines applications ArcGIS qui ne pourraient pas être bloquées via des privilèges et des licences. Ceci offre aux organisations plus de contrôle pour organiser les applications dont leurs utilisateurs ont besoin pour terminer leur travail.

Par exemple, vos utilisateurs peuvent disposer d'applications via leur licence dont ils n'ont peut-être pas besoin pour leur travail. Le blocage de ces applications peut offrir à vos utilisateurs une expérience plus simple et plus claire. Les applications bloquées seront supprimées du lanceur d'applications et les éléments d'application ne pourront pas être créés à partir de la page des contenus ou d'une carte web. Cette option peut aussi être utilisée pour bloquer l'usage d'applications dépréciées ou retirées.

Nouveaux privilèges administratifs personnalisés
Désormais, les utilisateurs peuvent créer et gérer des rapports ainsi que des groupes administratifs. Lorsqu'un utilisateur bénéficie de privilèges de rapport personnalisé, il peut créer et gérer des rapports d'organisation administrative dans le portail ArcGIS Enterprise.

Possibilité de supprimer des utilisateurs en masse
Les administrateurs peuvent désormais supprimer du contenu dans des groupes lors de la suppression d'un utilisateur (au lieu de transférer préalablement la propriété du contenu), ce qui permettra de gagner du temps. De plus, les administrateurs ont la possibilité de supprimer en masse jusqu'à 100 membres à la fois dans leur portail ArcGIS Enterprise. On notera également, lors de la suppression groupée de membres, que le transfert automatique des groupes n'est pas encore disponible.

Gestion des contenus et des données
Mieux gérer les mises à jour de contenu du Living Atlas ArcGIS
D’un simple clic, les administrateurs peuvent désormais mettre à jour le contenu ArcGIS Living Atlas pour leur organisation. De plus, des mises à jour du contenu peuvent être planifiées et des notifications seront affichées sur le portail d'ArcGIS Entreprise lorsqu'un nouveau contenu est disponible. Cela signifie que vous pourrez désormais garantir que vos utilisateurs ont accès aux contenus Esri les plus récents et les plus à jour d’Esri sans attendre les mises à niveau d’ArcGIS Enterprise.

Activer les extensions de service (SOE/SOI) dans le portail
Vous pouvez désormais activer les extensions d'objet serveur (SOE) et les intercepteurs d'objet serveur (SOI) à partir de la page de description des éléments du portail pour les services de carte. Dans les versions précédentes, cela ne pouvait être effectué que via l'interface d'ArcGIS Server Manager ou lors de la publication à partir d'ArcGIS Pro. Cela s'appuie sur les capacités de gestion des services introduites dans le portail d'ArcGIS Enterprise en version 11.2.
Collaboration distribuée
La collaboration distribuée est un mécanisme qui permet de connecter de manière transparente des contenus SIG d'un portail ArcGIS Enterprise (ou Online) avec un autre portail ArcGIS Enterprise (ou Online). L'amélioration en version 11.3 permet aux utilisateurs de partager du contenu accompagné des métadonnées d'éléments et de sous-couches participants à la collaboration, rendant ainsi le contenu que vous partagez plus utile et la collaboration plus efficace. De plus, l'organisation d'envoi peut modifier les métadonnées et synchroniser les modifications pour que les participants à la collaboration puissent les consulter. Ce flux de travail permet aux organisations de partager leur contenu faisant autorité grâce à la collaboration tout en minimisant les écarts et les erreurs de métadonnées.
Mises à jour d'ArcGIS Data Store
Vos administrateurs peuvent remplacer le certificat auto-signé utilisé par les magasins de données relationnels (Relational Data Store) , de cache de tuiles (Tile Cache Data Store), de graphes (Graph Data Store) ou d'objets (Object Data Store) par un certificat signé par une autorité de certification pour améliorer la sécurité. De plus, les administrateurs peuvent utiliser les nouvelles options –roles dans l'utilitaire configureatastore pour désigner un rôle pour chaque machine dans leur cluster de stockage de Big Data spatio-temporelles. Auparavant, chaque machine d'un cluster coordonnait le cluster, stockait et récupérait les données. Cette fonctionnalité, si elle est utilisée, offrira plus de contrôle aux administrateurs système et améliorera considérablement l'évolutivité du stockage de Big Data spatio-temporelles, car les fonctions du stockage de données peuvent désormais être isolées sur des machines dédiées.

Rôles serveur d'ArcGIS Enterprise ArcGIS Image Server
ArcGIS Image Server 11.3 offre à votre organisation des capacités de gestion, d'analyse et diffusion de vos données d'imagerie et vos données raster de manière plus générale. Les nouvelles fonctionnalités incluent deux nouveaux outils raster dans Map Viewer (Analyse en composantes principales multidimensionnelles, Détection de changements par Deep Learning) et une prise en charge améliorée du stockage cloud pour les outils de Deep Learning. Vous pouvez consulter la documentation pour en savoir plus.

Knowledge Server ArcGIS
ArcGIS Knowledge 11.3 offre des fonctionnalités améliorées telles que la nouvelle interface Web Knowledge Studio, le support de fenêtres contextuelles personnalisées, un chargement de données simplifié, etc... Vous pourrez partager des graphes de liens et des cartes sur plusieurs plates-formes, intégrez les informations de votre graphique de connaissances dans des fenêtres contextuelles de cartes Web et analysez facilement vos graphiques de connaissances d'entreprise. Vous pouvez consulter le blog pour en savoir plus.

Notebook Server ArcGIS
Avec la sortie d'ArcGIS Enterprise 11.3, ArcGIS Notebook Server prend désormais en charge Docker Engine installé à partir de fichiers binaires sous Windows. Ce workflow nouvellement pris en charge peut servir d'alternative open source à Mirantis Container Runtime (MCR) pour le déploiement de Notebook Server avec des conteneurs Windows. Vous pouvez consulter cet article du blog ArcGIS pour en savoir plus.

ArcGIS Video Server
Les applications bureautiques ArcGIS Image Analyst et ArcGIS AllSource sont désormais mieux intégrés à ArcGIS Video Server en prenant en charge les couches de vidéos et permettant également d'effectuer des analyses sur ces vidéos géospatiales. Les utilisateurs de l'extension Image Analyst peuvent utiliser les mêmes flux de travail vidéo animés qu'ils connaissent dans ArcGIS Pro, et la communauté du renseignement peut appliquer la vidéo comme autre source de données à leurs flux de travail dans ArcGIS AllSource. Vous pouvez consulter cet article du blog arcOrama pour en savoir plus.

ArcGIS Workflow Manager Server
ArcGIS Workflow Manager est un système de gestion des processus SIG d’entreprise qui rationalise vos processus de production en automatisant et en simplifiant les tâches SIG et leur gestion. Vous réduisez vos coûts tout en améliorant la qualité et l’exactitude des données, en optimisant l’allocation des ressources, en améliorant la communication, ainsi qu’en standardisant et en centralisant les tâches reproductibles. En version 11.3, ArcGIS Workflow Manager inclut désormais la prise en charge des enquêtes ArcGIS Survey123 hébergées dans des environnements déconnectés, des nouvelles variables prédéfinies en Arcade, une fonctionnalité de modélisation d'étape améliorée et des fonctionnalités de navigation pour les couches d'entités hébergées. De plus, ArcGIS Workflow Manager Server peut être fédéré dans un déploiement ArcGIS Enterprise sur Kubernetes. Vous pouvez consulter cet article du blog ArcGIS pour en savoir plus.

Mises à jour des applications du portail ArcGIS
ArcGIS Dashboards
Les fuseaux horaires vous permettent de contrôler la manière dont les valeurs de date et d'heure sont traitées et affichées pour les utilisateurs répartis sur plusieurs fuseaux horaires.

De plus, la nouvelle fonctionnalité d'écran de démarrage vous permet d'afficher la marque de votre organisation, un message de bienvenue, des clauses de non-responsabilité importantes et bien plus encore. Vous pouvez consulter la documentation pour en savoir plus.

Sites web ArcGIS Entreprise
ArcGIS Enterprise Sites inclut une nouvelle vue de recherche flexible. Cette vue permet aux utilisateurs de rechercher du contenu par emplacement, type ou mot-clé. Il offre également un moyen plus visuel de parcourir et d’organiser le contenu ; les visiteurs du site peuvent désormais afficher les éléments sous forme de liste ou de grille. Vous pouvez consulter l'article du blog ArcGIS pour en savoir plus.

ArcGIS Excalibur
ArcGIS Excalibur rationalise la manière dont les utilisateurs partagent les informations du projet, accèdent aux couches d'observation et se connectent aux diffusions en direct à l'aide d'ArcGIS Video Server. De plus, Excalibur prend désormais en charge les couches de graphiques de connaissances. Consultez le blog pour en savoir plus. Vous pouvez consulter cet article du blog ArcGIS pour en savoir plus.

ArcGIS Experience Builder
La version 11.3 d'ArcGIS Enterprise fait évoluer le concepteur d'application Experience Builder en intégrant les évolutions des mises à jour d'Octobre 2023 et de Février 2024 d'ArcGIS Online. Vous pourrez, entre autres, ajouter des outils de géotraitement à une application avec le nouveau widget "Analyse" ou recherchez des entités à une distance spécifiée d'un emplacement défini avec le nouveau widget "Autour de moi". On notera également la possibilité de générer des rapports dans le widget "Imprimer".

ArcGIS GeoBIM
ArcGIS GeoBIM arrive officiellement dans ArcGIS Enterprise à partir de la version 11.3. ArcGIS GeoBIM est une application web qui connecte les données géospatiales aux informations de conception et de construction afin que les équipes puissent explorer et collaborer sur des projets de modélisation des informations du bâtiment (BIM). Vous pouvez désormais déployer l'application dans vos environnements informatiques d'entreprise auto-hébergés pour répondre à des exigences plus élevées en matière de sécurité et de données. Vous en découvrirez d'avantage dans cet article du blog ArcGIS.

ArcGIS Indoors
ArcGIS Indoors optimise désormais les workflows de réservation d'espaces de travail et la gestion des plans d'étage, permettant ainsi aux utilisateurs de gérer tous les espaces de travail réservables en un seul endroit. De plus, les réservations de salles de réunion et d'espaces de travail prennent en charge davantage de fonctionnalités et offrent une meilleure expérience utilisateur. Vous pouvez consulter cet article du blog ArcGIS pour en savoir plus.

ArcGIS Instant Apps
De nombreuses évolutions ont été apportées aux Instant Apps ArcGIS. Vous pourrez par exemple configurer des applications multilingues en choisissant une langue dans une liste déroulante et en affichant le texte dans cette langue. Le modèle "Encarts" a élargi la gamme de zones géographiques prédéfinies disponibles, permettant aux utilisateurs d'interagir avec les données de ces régions. Concernant la prise en charge du multilingue, vous pouvez consulter cet article du blog ArcGIS.

ArcGIS StoryMaps
Les briefings ArcGIS StoryMaps étaient une fonctionnalité beta introduite dans ArcGIS Enterprise 11.2. Ils sont désormais officiellement disponibles et supportés en version 11.3. Les briefings sont parfaits pour partager des diapositives et créer des histoires engageantes pour votre public grâce à de nouvelles fonctionnalités telles que la lecture automatique, les médias alternatifs, l'impression, etc. Vous pouvez consulter cet article du blog ArcGIS pour en savoir plus.

ArcGIS Urban
ArcGIS Urban arrive officiellement dans ArcGIS Enterprise à partir de la version 11.3. ArcGIS Urban est une application de modélisation de scenarii 3D destinée aux urbanistes et aux aménageurs. Grâce aux visualisations 3D interactives et aux capacités d'analyse dynamique des données (cadastre, PLU, infrastructures existantes, projets, ...), ces derniers peuvent créer des scenarii de simulation pour éclairer les décisions de zonage, d'occupation des sols et de l'espaces et de développement urbain. En déployant ArcGIS Urban sur ArcGIS Enterprise, les spécialiste et les élus en charge du développement urbain des territoires peuvent bénéficier de performances et d'une évolutivité améliorées, et tirer parti de leur propre infrastructure pour garantir la confidentialité des données. Vous consulter cet article du blog ArcGIS pour en savoir plus.

Autres mises à jour importantes dans ArcGIS Enterprise 11.3
Version pour la gestion de réseaux
ArcGIS Enterprise 11.3 est une version long terme et cible pour la gestion de réseaux. Elle inclut de nouvelles fonctionnalités et améliorations qui offrent aux gestionnaires de réseaux de distribution (eau, gaz, électricité, télécom) des moyens plus efficaces de gérer leurs réseaux. Pour en savoir plus sur les versions de gestion de réseaux, vous pouvez consulter cet article du blog ArcGIS.
Prise en charge de .NET 8
ArcGIS Enterprise 11.3 introduit la prise en charge du framework .NET 8, qui est une version de support à long terme de Microsoft. Cette mise à jour apporte une gamme d'améliorations et de fonctionnalités que les développeurs peuvent exploiter pour améliorer leurs applications ArcGIS. Pour profiter de ces avantages, les développeurs devront mettre à jour leur Visual Studio vers une version .NET 8 prise en charge. Pour ceux qui développent de nouvelles extensions SDK ou migrent des extensions existantes, il est recommandé d'utiliser .NET 8. Cela garantit la compatibilité et permet aux développeurs d'exploiter les dernières fonctionnalités offertes par le framework.

Pour connaître toutes les autres évolutions...
Pour plus de détails sur les autres évolutions introduites en 11.3, vous pouvez consulter la documentation d'ArcGIS Enterprise et en particulier la rubrique Nouveautés d'ArcGIS Enterprise pour découvrir toutes les améliorations et les avantages qu'elles peuvent apporter à votre organisation.
La version française d'ArcGIS Enterprise (documentation et interface d'ArcGIS Server Manager) sera disponible dans quelques semaine. Pour mémoire, l'interface du portail ArcGIS Enterprise 11.3 est déjà disponible dans toutes les langues supportées par ArcGIS (dont le français).

8:49
Plongez dans l'aventure au cœur du Comminges avec Geotrek !
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Nouvelle expérience de randonnée avec Geotrek-Rando-v3
En 2019, la Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges a franchi une étape majeure dans l

6:55
OPENGIS.ch: The PostgreSQL Connection Service File and Why We Love It
sur Planet OSGeo
The PostgreSQL Connection Service File pg_service.conf is nothing new. It has existed for quite some time and maybe you have already used it sometimes too. But not only the new QGIS plugin PG service parser is a reason to write about our love for this file, as well we generally think it’s time to show you how it can be used for really cool things.
What is the Connection Service File?
The Connection Service File allows you to save connection settings for each so-called “service” locally.

So when you have a database called gis on a local PostgreSQL with port 5432 and username/password is docker/docker you can store this as a service called my-local-gis.
```
# Local GIS Database for Testing purposes
[my-local-gis]
host=localhost
port=5432
dbname=gis
user=docker
password=docker
```
This Connection Service File is called pg_service.conf and is by client applications (such as psql or QGIS) generally found directly in the user directory. In Windows it is then found in the user’s application directory postgresql.pg_service.conf. And in Linux it is by default located directly in the user’s directory ~/.pg_service.conf.

But it doesn’t necessarily have to be there. The file can be anywhere on the system (or on a network drive) as long as you set the environment variable PGSERVICEFILE accordingly:
```
export PGSERVICEFILE=/home/dave/connectionfiles/pg_service.conf 
```
Once you have done this, the client applications will search there first – and find it.

If the above are not set, there is also another environment variable PGSYSCONFDIR which is a folder which is searched for the file pg_service.conf.

Once you have this, the service name can be used in the client application. That means in psql it would look like this:
```
~$ psql service=my-local-gis
psql (14.11 (Ubuntu 14.11-0ubuntu0.22.04.1), server 14.5 (Debian 14.5-1.pgdg110+1))
SSL connection (protocol: TLSv1.3, cipher: TLS_AES_256_GCM_SHA384, bits: 256, compression: off)
Type "help" for help.

gis=#
```
And in QGIS like this:

If you then add a layer in QGIS, only the name of the service is written in the project file. Neither the connection parameters nor username/password are saved. In addition to the security aspect, this has various advantages, more on this below.

But you don’t have to pass all of these parameters to a service. If you only pass parts of them (e.g. without the database), then you have to pass them when the connection is called:
```
$psql "service=my-local-gis dbname=gis"
psql (14.11 (Ubuntu 14.11-0ubuntu0.22.04.1), server 14.5 (Debian 14.5-1.pgdg110+1))
SSL connection (protocol: TLSv1.3, cipher: TLS_AES_256_GCM_SHA384, bits: 256, compression: off)
Type "help" for help.

gis=#
```
You can also override parameters. If you have a database gis configured in the service, but you want to connect the database web, you can specify the service and explicit the database:
```
$psql "service=my-local-gis dbname=web"
psql (14.11 (Ubuntu 14.11-0ubuntu0.22.04.1), server 14.5 (Debian 14.5-1.pgdg110+1))
SSL connection (protocol: TLSv1.3, cipher: TLS_AES_256_GCM_SHA384, bits: 256, compression: off)
Type "help" for help.

web=#
```
Of course the same applies to QGIS.

And regarding the environment variables mentioned, you can also set a standard service.
```
export PGSERVICE=my-local-gis
```
Particularly pleasant in daily work with always the same database.
```
$ psql
psql (14.11 (Ubuntu 14.11-0ubuntu0.22.04.1), server 14.5 (Debian 14.5-1.pgdg110+1))
SSL connection (protocol: TLSv1.3, cipher: TLS_AES_256_GCM_SHA384, bits: 256, compression: off)
Type "help" for help.

gis=#
```
And why is it particularly cool?
There are several reasons why such a file is useful:
- Security: You don’t have to save the connection parameters anywhere in the client files (e.g. QGIS project files). Keep in mind that they are still plain text in the service file.
- Decoupling: You can change the connection parameters without having to change the settings in client files (e.g. QGIS project files).
- Multi-User: You can save the file on a network drive. As long as the environment variable of the local systems points to this file, all users can access the database with the same parameters.
- Diversity: You can use the same project file to access different databases with the same structure if only the name of the service remains the same.
For the last reason, here are three use cases.
Support-Case
Someone reports a problem in QGIS on a specific case with their database. Since the problem cannot be reproduced, they send us a DB dump of a schema and a QGIS project file. The layers in the QGIS project file are linked to a service. Now we can restore the dump on our local database and access it with our own, but same named, service. The problem can be reproduced.
INTERLIS
With INTERLIS the structure of a database schema is precisely specified. If e.g. the canton has built the physical database for it and configured a supernice QGIS project, they can provide the project file to a company without also providing the database structure. The company can build the schema based on the INTERLIS model on its own PostgreSQL database and access it using its own service with the same name.
Test/Prod Switching
You can access a test and a production database with the same QGIS project if you have set the environment variable for the connection service file accordingly per QGIS profile.

You create two connection service files.

The one to the test database /home/dave/connectionfiles/test/pg_service.conf:
```
[my-local-gis]
host=localhost
port=54322
dbname=gis-test
```
And the one for the production database /home/dave/connectionfiles/prod/pg_service.conf:
```
[my-local-gis]
host=localhost
port=54322
dbname=gis-productive
```
In QGIS you create two profiles “Test” and “Prod”:

And you set the environment variable for each profile PGSERVICEFILE which should be used (in the menu Settings > Options… and there under System scroll down to Environment

or

If you now use the service my-local-gis in a QGIS layer, it connects the database prod in the “Prod” profile and the database test in the “Test” profile.
The authentication configuration
Let’s have a look at the authentication. If you have the connection service file on a network drive and make it available to several users, you may not want everyone to access it with the same login. Or you generally don’t want any user information in this file. This can be elegantly combined with the authentication configuration in QGIS.

If you want to make a QGIS project file available to multiple users, you create the layers with a service. This service contains all connection parameters except the login information.

This login information is transferred using QGIS authentication.

You also configure this authentication per QGIS profile we mentioned above. This is done via Menu Settings > Options… and there under Authentication:

(or directly where you create the PostgreSQL connection)

If you add such a layer, the service and the ID of the authentication configuration are saved in the QGIS project file. This is in this case mylogin. Of course this name must be communicated to the other users so that they can also set the ID for their login to mylogin.

Of course, you can use multiple authentication configurations per profile.
QGIS Plugin
And yes, there is now a great plugin to configure these services directly in QGIS. This means you no longer have to deal with text-based INI files. It’s called PG service parser:

It finds the connection service file according to the mentioned environment variables PGSERVICEFILE or PGSYSCONFDIR or at its default location.

As well it’s super easy to create new services by duplicating existing ones.
And for the Devs
And what would a blog post be without some geek food? The back end of this plugin is published on PYPI and can be easily installed with pip install pgserviceparser and then be used in Python.

For example to list all the service names.
```
>>> import pgserviceparser
>>> pgserviceparser.service_names()
['my-local-gis', 'another-local-gis', 'opengisch-demo-pg']
```
Optionally you can pass a config file path. Otherwise it gets it by the mentioned mechanism.

Or to receive the configuration from the given service name as a dict.
```
>>> pgserviceparser.service_config('my-local-gis')
{'host': 'localhost', 'port': '54322', 'dbname': 'gis', 'user': 'docker', 'password': 'docker'}
```
There are some more functions. Check them out here on GitHub or in the documentation.
Well then
We hope you share our enthusiasm for this beautiful file – at least after reading this blog post. And if not – feel free to tell us why you don’t in the comments

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